Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Bati journal

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Il y a 3 ans et 281 jours

38ème édition des Journées européennes du patrimoine

Les Journées européennes du patrimoine offrent à tous, ces 18 et 19 septembre, l’occasion de se rassembler autour de la richesse du patrimoine français avec un thème fédérateur : « Patrimoine pour tous, ensemble, faisons vivre le patrimoine ». En métropole comme dans les territoires d’Outre-Mer, les propriétaires publics et privés de monuments historiques, les associations de sauvegarde et de valorisation du patrimoine, les restaurateurs et conservateurs de biens patrimoniaux, guides conférenciers et architectes se mobilisent pour accueillir le public dans une multitude de lieux. Le programme complet est accessible en ligne dans le courant de l’été sur le site : https://journeesdupatrimoine.culture.gouv.fr  
Il y a 3 ans et 281 jours

Appel aux dons pour l’hôtel de la mer du Domaine du Rayol

Le Domaine du Rayol, acquis en 1989 par le Conservatoire du littoral, s’étend sur 20 ha de la corniche des Maures, dont 7 ha aménagés sous la conduite du paysagiste Gilles Clément en « Jardin des paysages méditerranéens du monde ». Ce site labellisé « Jardin remarquable », géré par l’Association du Domaine du Rayol, est devenu l’un des premiers sites touristiques du Var, recevant 80 000 visiteurs par an. A l’entrée du site, l’Hôtel de la Mer est le principal bâtiment d’accueil du public,. Il s’agit d’un hôtel particulier de 1 200 m² représentatif de l’architecture balnéaire d’inspiration classique, bâti au début du XXe siècle. Il a été dessiné par l’architecte Guillaume Tronchet, architecte en chef du gouvernement. Il souffre de son aspect dégradé qui interroge beaucoup les visiteurs, et dénote fortement avec le reste du site . La restauration extérieure de cet édifice est un projet initié dès le début des années 2000 mais pour lequel il a toujours été difficile de mobiliser les financements suffisants. Le plan de relance lancé en 2021 par l’Etat, et dont l’Hôtel de la Mer va pouvoir bénéficier, est une opportunité sans précédent. Il reste néanmoins à mobiliser des financements complémentaires. Le Conservatoire du littoral a lancé un appel aux dons pour la restauration de cet édifice. Ce projet tant attendu va pouvoir être engagé en 2022. La restauration concerne l’ensemble de la structure du corps de bâtiments qui présente de nombreuses fissures, des menuiseries en très mauvais état ainsi que d’importantes dégradations visibles sur la totalité des façades. Tout un ensemble de fresques et de bas-reliefs en très mauvais état est aussi à restaurer. Photo : Jean-Pierre Juigner  
Il y a 3 ans et 281 jours

Notre-Dame de Paris modélisée

Ayant étudié Notre-Dame depuis plus de 25 ans, AGP, société spécialisée dans le relevé laser et la numérisation des monuments historiques, dispose d’une connaissance approfondie de l’édifice. En 1993, l’entreprise réalise les premières opérations de relevés numériques de la cathédrale pour produire de la documentation qui servira dans le cadre de travaux de maintenance. En 2010, AGP, équipée de scanners laser, collabore avec Andrew J. Tallon, historien de l’Art d’origine belge reconnu, pour effectuer des relevés complémentaires de l’édifice. La technologie BIM d’Autodesk est utilisée pour créer un modèle 3D de la cathédrale. Le processus implique des milliards de mesures, effectuées avec une précision millimétrique, qui alimentent un modèle de données en temps réel pouvant être utilisé aujourd’hui pour fournir des plans techniques, des quantités précises de matériaux et des évaluations des coûts de rénovation. Ce modèle joue un rôle essentiel dans le projet de restauration et continuera à contribuer à la préservation du patrimoine à l’avenir. Visuel : Autodesk  
Il y a 3 ans et 282 jours

Des chênes franciliens pour Notre Dame de Paris

À l’aube des Journées européennes du patrimoine, l’Agence des espaces verts de la Région Île-de-France, gestionnaire de plus de 10 000 hectares de forêts, fait don de 60 chênes destinés à la reconstruction de Notre-Dame de Paris. Issues des coupes de sujets exceptionnels, avoisinant les 110 centimètres de diamètre et pouvant atteindre jusqu’à 35 mètres de hauteur du pied à la cime, ces bois marqués à l’effigie de Notre-Dame, et dont certains sont bicentenaires seront plus particulièrement destinés à la flèche et sa charpente. Le jeudi 16 septembre 2021, l’AEV et ses partenaires ont procédé au débardage. Cette contribution équivaut à 25 % du bois fourni par les collectivités de France, et vient compléter l’enveloppe de 10 millions d’euros accordée par la Région Île-de-France pour la reconstruction de Notre-Dame de Paris. La mobilisation de ces chênes issus des forêts régionales franciliennes et plus particulièrement de la Forêt régionale de Ferrières, en Seine-et-Marne, permet ainsi d’alimenter en circuit court ce chantier de reconstruction de grande ampleur.
Il y a 3 ans et 283 jours

La tour Emblem entièrement rénovée

Petit, filiale de VINCI Construction France, a livré en juillet 2021 à RedTree Capital et Invesco la rénovation de la tour Emblem à La Défense, IGH de 29 étages construit en 1998 et situé sur la commune de Courbevoie. L’opération développée par JLL dont les travaux ont été conduits par les équipes de Petit a porté sur la restructuration lourde de la tour de 29 000 m2 afin d’offrir aux utilisateurs 24 plateaux de 89 postes de travail, un espace multiservice, un food court d’une capacité de 1140 repas par jour, ainsi qu’un rooftop de plus de 400 m2. Cette entière rénovation confère à la tour un nouveau visage avec les façades en granit, qui se déploient sur 103 m de hauteur, remplacées par 1 455 panneaux de BFUHP (Béton Fibré à Ultra Haute Performance) de 450 Kg chacun, qui incluent désormais un éclairage LED et font l’objet d’une procédure d’ATEx. Ce procédé a permis de mettre en conformité la tour avec les nouvelles réglementations thermiques et les normes vis-à-vis du feu.   Photo : Shoootin  
Il y a 3 ans et 283 jours

Tuile de rénovation teintée dans la masse

ERLUS élargit son offre E 58 SL avec une version teintée dans la masse. Elle réunit tous les avantages de la famille des pannes E 58 : universelle, économique et polyvalente. Elle est disponible avec tous les accessoires ERLUS, y compris ceux en aluminium. La tuile E 58 SL est une tuile panne galbée adaptée pour le neuf comme pour la rénovation. Elle se montre particulièrement robuste et résistante à la casse. Avec son pureau variable de 30 millimètres et son important jeu latéral, elle est facile à poser. Le quadruple recouvrement à l’angle des tuiles, avec un accrochage correct, lui confère une résistance élevée contre la tempête ou l’aspiration du vent. Cette tuile est particulièrement adaptée à la rénovation des toits avec des tuiles d’un pureau de 32,5 à 35,5 centimètres. Elle est fabriquée à l’usine Erlus de Teistungen à partir de grès bigarré de Teistungen préhistorique.
Il y a 3 ans et 283 jours

Murs rideaux intérieurs/extérieurs pour 65000 m2 de bureaux

La société PYROMETAL est intervenue sur le chantier Stories à Saint-Ouen en sa qualité d’expert en menuiseries résistant au feu. L’architecte, Chartier Dalix a cherché à uniformiser l’aspect des parois vitrées intérieures avec celles des façades qui sont constituées de murs rideaux. « Les façades des deux étages du socle du bâtiment, réunissant la rue intérieure et les espaces communs sont entièrement constituées de murs rideaux et nous avons le choix de décliner les murs rideaux sur toutes les grandes parois vitrées intérieures qui sont en contact avec les façades afin d’uniformiser le rendu des profils de menuiseries. Nous avons aussi retenu les châssis vitrés avec des vitrages bord à bord afin de minimiser le nombre de montants lorsque nous avons favoriser la transparence et la continuité des vitrages pour certains ensembles donnant sur des doubles hauteurs.» PYROMETAL a apporté son expertise en sécurité incendie, aux côtés de BATEG, filiale de VINCI Construction France. La société a fourni et posé des portes deux vantaux E30 (pare-flamme 30 minutes), ainsi que des cloisons EI60 (coupe-feu 60 minutes) et murs-ri- deaux EI60. Ces produits ont été conçus sur des profilés en acier et appartiennent à la gamme PYROTEK. Fabriqués en France par l’entreprise VD-INDUSTRY, ils sont développés pour répondre à la réglementation incendie, sans en délaisser l’aspect esthétique et les souhaits architecturaux.   Photo : L’Autre Image  
Il y a 3 ans et 284 jours

Artibat : nouvelle édition du plateau TV Bati-Journal !

En direct du salon Artibat ! Découvrez le prochain plateau TV de Bati-Journal. Plateau TV Bati-Journal, présenté par Stéphane Miget – Novembre 2019 Du 13 au 15 octobre 2021, à l’occasion d’ARTIBAT, les équipes de Bati-Journal TV donnent la parole aux professionnels en présentant une nouvelle édition du plateau TV installé dans le Parc Expo de Rennes Au programme, 5 rendez-vous quotidiens autour de 5 thématiques : Construction avec le bois et les matériaux biosourcés Bien rénover Débats Vie des entreprises Répondre aux grands enjeux Une occasion unique de porter un regard original sur les évolutions du secteur du bâtiment. Dès le 13 octobre, retrouvez toutes les émissions sur artibat.com, bati-journal.com, franceboisforet.fr ainsi que sur les sites de nos partenaires médias. Un événement organisé par Éditions des Halles et Artibat, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt et en partenariat avec les magazines 5façades, Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium.
Il y a 3 ans et 284 jours

« To build or not to build » : 9ème Congrès du Bâtiment Durable

Le 9ème Congrès interNational du Bâtiment Durable, dont Planète Bâtiment est partenaire, se tiendra du 6 au 8 octobre 2021 en ligne et en semi-présentiel dans le Grand Est, en Allemagne et en Belgique. Il est organisé cette année par le Réseau National du Bâtiment Durable, Envirobat Grand Est, Cluster Eco-construction, Architektenkammer des Saarlandes.   Il est encore possible de s’inscrire en suivant ce lien https://www.congresbatimentdurable.com/ S’ouvrir pour monter en compétence Lors de cette 9ème édition les participants échangeront trois jours durant, sur l’actualité du bâtiment et l’aménagement durable. Avec une nouveauté cette année, puisque le congrès franchit physiquement les frontières pour la première fois. Katharina Brockstedt : Coordinatrice du Centre de ressources Envirobat Grand Est energivie.pro., nous en dit plus. Par Lucien Brenet.  Photo : Klaus Stöber ©INSA de Strasbourg Quelles seront les grandes thématiques du congrès cette année ? Le premier jour se concentrera sur la thématique du bilan carbone, le deuxième, sur celle de la rénovation, et le troisième, sur l’adaptation au changement climatique. Seront évoquées lors de conférences et tables rondes, des thèmes annexes, dans chacune de ces grandes thématiques, citons :  les Réglementations environnementales, les matériaux biosourcés, la frugalité, la qualité de l’air le réemploi des matériaux de construction, ou encore la réhabilitation des friches, la rénovation à l’échelle urbaine et rurale, la résilience, le confort d’été, l’adaptation au changement climatique, la biodiversité…  Pourquoi ces grands thèmes en particulier ?  La question de l’impact carbone et de l’amélioration du bilan carbone est une évidence en soi (le secteur du bâtiment représente 123 millions de tonnes de CO2 soit le quart des émissions du pays ndlr). L’idée consiste à aborder toutes les notions permettant d’améliorer ce bilan carbone. Concernant la rénovation, étant donné qu’elle représente la majeure partie de l’activité du secteur du bâtiment, son importance est vitale dans l’optique de réduire l’impact environnemental. Nous avons durement besoin de rénover si la France souhaite arriver à la hauteur des ambitions de la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC ndlr) qui vise la neutralité carbone à horizon 2050…  Quant à l’adaptation au changement climatique, nous avons une fois encore pris brutalement conscience de sa nécessité avec un été marqué par les inondations et les incendies. Nous ne pouvons donc pas passer à côté de ce sujet. En Alsace par exemple, où se tient en partie le congrès, nous connaîtrons des pics de températures à 55° en 2050 ! Il faut donc se projeter à cet horizon et réfléchir à comment nous vivrons en ville, et à la campagne d’ici plusieurs décennies. Ce qui est sûr, c’est que nous ne pouvons plus construire comme nous le faisons maintenant.  Cette année, le congrès est élargi aux régions frontalières. Quel est l’objectif de cette démarche ?  La raison est toute simple, cette ouverture consiste à ce que chacun puisse voir comment les autres procèdent afin de monter en compétence. Nous avons les grandes thématiques, et devons trouver des solutions ensemble. Ces solutions dépendent de la législation en vigueur, des mœurs, de l’expérience et de la réflexion. Toutes ces notions sont traitées de façon très diverses au Luxembourg, en Allemagne, en Belgique ou en France. Par exemple, les Allemands, Belges et Luxembourgeois apprendront beaucoup sur tout ce qui a trait à la question du carbone, puisqu’ils leur réglementation environnementale n’inclut pas le poids carbone dans les matériaux par exemple. La France elle, tirera des enseignements de ses voisins sur le réemploi des matériaux de construction, les modes de l’habitat différent et les opportunités de la ville diffuse par exemple, qui sont des notions bien plus développées chez-eux.  Pour découvrir le programme du congrès : https://www.congresbatimentdurable.com/lecongres/programme-cnbd9/
Il y a 3 ans et 286 jours

L’activité du bâtiment est au même niveau qu’avant la crise sanitaire

Selon le dernier baromètre de la Capeb, l’activité de l’artisanat du bâtiment a retrouvé le niveau d’activité de 2019. Le deuxième trimestre 2021 enregistre, par rapport au même trimestre de l’année précédente, une envolée de sa croissance de +37 %, en effet, lors du premier confinement, la reprise n’avait été que partielle et graduelle. Cette croissance est boostée par l’activité en entretien-amélioration fortement dynamisée par les demandes des particuliers, notamment en amélioration de la performance énergétique des logements. La situation économique reste toutefois encore incertaine au regard de la crise sanitaire et de l’envolée des prix des matières premières dans un contexte de pénurie. Ainsi, selon l’enquête CAPEB/XERFI, 76 % des entreprises artisanales du bâtiment déclarent une hausse des prix des matériaux et 57 % des ruptures d’approvisionnement. Une situation qui continue de provoquer des retards et des reports de chantiers. Avec +30 % de croissance (contre -22 % au même trimestre de l’année précédente), la construction neuve progresse logiquement au regard de l’arrêt presque total de l’activité l’année passée à la même époque. Une conjoncture en lien avec le nombre de logements autorisés à la construction (390 600) soit +9,6 % par rapport aux douze mois précédents. Cette évolution vaut aussi bien pour le collectif (+8,4 %) que pour l’individuel (+9,3 %). A noter cependant que le redémarrage est moins marqué concernant le nombre de permis de construire délivrés (+1,3 %) par rapport aux douze mois précédents. L’activité en entretien-rénovation enregistre un record de croissance : +42 % en comparaison avec le 2T2020 et profite du dynamisme des travaux de performance énergétique des logements qui progressent de +43 % contre -27 % au 2T2020.
Il y a 3 ans et 289 jours

Guide « Acoustique et Bois »

Dix mois après la parution du Guide de Préconisations pour Maisons Ossature Bois, Simpson Strong-Tie publie « Acoustique et Bois ». Cet ouvrage vient répondre aux interrogations des professionnels en matière de normes, de réglementations et de bonnes pratiques autour de la gestion de l’acoustique dans les bâtiments bois. Il est disponible gratuitement en ligne : https://www.simpson.fr/fr-FR/brochures  
Il y a 3 ans et 289 jours

Le premier panneau de bois MDF biosourcé présenté à Archtect@work

Evertree, jeune société qui invente des solutions adhésives à partir du végétal, sera présente au salon Archtect@work, les 23 et 24 septembre 2021. Avec son partenaire Panneaux de Corrèze, ils présenteront Next, le premier panneau de bois MDF biosourcé au monde, dont le lancement a été annoncé en juillet 2021. Next est produit à partir de coproduits du bois et de la solution adhésive à base de colza et de tournesol développée par Evertree. A l’occasion de sa 14ème édition, l’événement international Architect@work se tiendra les 23 et 24 septembre 2021 au Paris Event Center.
Il y a 3 ans et 289 jours

Vaste plan éco-collège en Seine-Saint-Denis

Jeudi 9 septembre 2021 ont officiellement été lancés les chantiers des collèges des Docks à Saint-Ouen, Marie Curie aux Lilas, et Alfred Sisley à L’Île-Saint-Denis. Une étape qui marque le coup d’envoi du déploiement du plan éco-collège voté par le Département de la Seine-Saint-Denis. Au total, ce sont 8 nouveaux collèges qui seront construits et 43 autres qui seront rénovés ou reconstruits d’ici 2030 dans le cadre de ce nouveau plan d’investissement voté par le Département fin 2020. Un plan d’un 1 milliard d’euros qui poursuit trois objectifs : répondre au défi démographique en créant 7 000 places supplémentaires, répondre au défi environnemental, en réduisant de 50% les émissions de CO2, en végétalisant les cours de récréation, et en construisant ou rénovant les établissements avec des matériaux bio-sourcés et répondre au défi pédagogique, en renforçant l’équipement numérique, les équipements sportifs, et les enseignements culturels et citoyens. Le collège Alfred Sisley à L’Île-Saint-Denis est reconstruit pour augmenter la capacité d’accueil, rénover énergétiquement les couvertures et les façades, mettre en accessibilité l’ensemble des espaces intérieurs et extérieurs. Un collège provisoire mis à disposition à proximité du collège actuel permettra d’accueillir les collégiennes et collégiens pendant la tenue des travaux, pour une mise en service en septembre 2023. Un nouveau collège dans le quartier en pleine expansion des Docks à Saint-Ouen verra le jour en septembre 2025 et portera les fortes ambitions environnementales du plan eco-collège. Sa cour de récréation, plus ample et végétalisée, sera doublée d’un espace de préservation de la faune et la flore. Toutes les toitures seront végétalisées, et, pour anticiper la future Réglementation Énergétique 2020, le Département visera des performances énergétiques élevées, via l’usage notamment de matériaux biosourcés. « Alors qu’on sait combien la réussite des élèves passe aussi par leur cadre de travail, ce nouveau plan d’investissement massif pour nos collèges, sans doute le plus ambitieux de France, démontre une nouvelle fois à quel point le Département de la Seine-Saint-Denis est mobilisé pour l’éducation. Les trois chantiers que nous lançons en cette rentrée avec Emmanuel Constant, Vice-président en charge de l’Education, et Elodie Girardet, Conseillère déléguée au projet éducatif, en sont la parfaite illustration, puisqu’ils nous permettront à la fois d’accueillir plus d’élèves, d’opérer une transition sur le plan environnemental et d’améliorer encore les équipements. » Stéphane Troussel, Président du Département de la Seine-Saint-Denis
Il y a 3 ans et 290 jours

RIOU Glass continue d’investir dans son vitrage chauffant

Précurseur dans la fabrication des vitrages chauffants en France, l’ETI RIOU Glass, spécialiste des vitrages isolants à hautes performances énergétiques et environnementales, continue d’investir dans son innovation CalorGlass®. Le groupe verrier vient d’installer une ligne d’assemblage entièrement automatisée. Il fait également évoluer son réseau et mise sur l’expérience utilisateur en enrichissant son vitrage chauffant d’un nouveau système de pilotage intelligent.
Il y a 3 ans et 290 jours

Une technique de protection du bois unique : le Yakisugi

L’ATELIER BOIS NOIR, fondé en 2020, par deux amoureux du bois, Julien Chaucheprat, ébéniste diplômé en aménagement de l’habitation et Jérôme Pesant ingénieur en génie industriel, propose des créations en bois brûlé. Ils ont recours à une technique de protection du bois unique : le Yakisugi. Ce procédé ancestral nippon confère au matériau sa couleur ébène et présente de nombreux bienfaits, avec une résistance aux intempéries, aux insectes et aux UV exemplaire. Il ne nécessite aucun produit chimique de synthèse et assure une isolation performante. Les Japonais estiment que l’utilisation du Yakisugi en extérieur protège le bois pendant 1 siècle. Côté production, ATELIER BOIS NOIR a fait le choix de la transparence et de l’éco-responsabilité en installant sa manufacture au coeur d’un sanctuaire forestier en Bourgogne. Les bois utilisés pour les créations sont sélectionnés avec soin et proviennent exclusivement de plantations éco-certifiées PEFC. La dernière création de ces deux brûleurs d’art noir sera à découvrir lors des portes ouvertes des agences MRP et ASP qui se dérouleront le 16 septembre de 10h à 21h – 20 rue Léon Jouhaux – 75010 PARIS – Métro République.
Il y a 3 ans et 291 jours

Maison de la Harpiste à Arles : une fresque en 800 caisses de fragments

Le site de la Verrerie à Arles a connu plusieurs fouilles révélant de riches maisons urbaines. La reprise des fouilles par le Musée départemental Arles antique et l’Inrap, entre 2014 et 2017, a dégagé des niveaux jamais atteints et mis au jour « la maison de la Harpiste ». Baptisée ainsi en référence à l’un des personnages peints sur ses murs et fouillée sur 105 m², cette demeure romaine se distingue par sa datation très précoce, son caractère luxueux et l’état de conservations exceptionnel de ses enduits peints. Elle est bâtie dans les années 70-50 avant notre ère, avant même la création de la colonie d’Arles, par des artisans venus d’Italie qui vont ériger la maison selon des techniques de construction romaines qui seront généralisés en Gaule bien plus tard. Cette datation précoce témoigne qu’Arles était un point de diffusion important des nouvelles modes et techniques à travers les provinces nouvellement acquises à Rome. De plan traditionnel pour une domus de la fin de la République, son atrium comprend une galerie entourant un bassin recueillant les eaux pluviales (impluvium) et dessert une série de pièces dont deux ont été intégralement fouillées. Le décor de la première pièce suggère une salle à manger ou une chambre. La seconde pièce, largement ouverte sur l’atrium et aux somptueux décors peints, ne peut être qu’une salle de réception. Dans un état de conservation remarquable, les peintures se présentaient à la fois en place sur les murs et en milliers de fragments effondrés dans les niveaux de comblement. Ils remplissent 800 caisses. Dans le cadre d’un partenariat établi dès 2014 avec l’Inrap, l’étude de ce mobilier archéologique a été confiée à un toichographologue (spécialiste des peintures romaines) de l’Inrap, en collaboration avec les archéologues et restaurateurs du Musée. Depuis avril 2021 et pendant trois ans, ces spécialistes se consacrent à l’étude puis à la restauration des peintures exceptionnelles de la maison de la Harpiste. La recomposition du premier décor est menée, depuis avril 2021, au cœur du musée, dans la salle d’exposition temporaire où les fragments de fresques s’étalent sur plus de 220 m². Parallèlement, l’atelier de conservation et de restauration assure le traitement préalable des parois peintes prélevées sur le site afin de les rendre à nouveau accessibles pour l’étude. Des recherches sont également engagées sur le rouge vermillon afin de prévenir son noircissement irrémédiable.
Il y a 3 ans et 291 jours

Traces du Haut Moyen Âge et de la Seconde Guerre mises en évidence à Bondoufle

Préalablement aux projets de Grand Paris Aménagement à Bondoufle (Essonne), l’Inrap fouille, sur prescription de la Drac Île-de-France une parcelle d’environ un hectare et demi. Les recherches actuelles ont débuté en avril et vont s’achever. Sur le site, les archéologues ont mis au jour l’emplacement des poteaux de cabanes carolingiennes, le sol semi-enterré de ces ateliers et des fours culinaires dont un, situé à côté d’une mare avec son aire de chauffe, présente un très bon état de conservation. La mesure de la résistivité magnétique du sol et de ses composantes permet a permis de repérer des points de forte concentration de battitures (éclats de fer, fait de battre le fer lorsqu’il est chaud) qui témoignent de la présence d’une enclume en pierre à proximité, outil du forgeron. Dès le début du Moyen-Âge, la plupart des habitants des campagnes disposent en effet d’une forge pour fabriquer ou réparer des objets. Des fosses contenant des scories (100 kg sur l’une), des résidus d’activités de forge, confirment qu’il devait s’agir d’une activité professionnelle éventuellement accompagnée d’un point de vente. Pour la période contemporaine, des soutes à munitions au service d’un canon de DCA qui date de la seconde guerre mondiale sont présentes sur le chantier. L’aérodrome de Brétigny-sur-Orge, alors réquisitionné, est à proximité du site et était une base de bombardiers. Un peu plus loin, au sein d’une autre construction, du mobilier de toilette allemand a également été retrouvé. Photo : Exemples de trous de poteau © Solène Bonleu, Inrap  
Il y a 3 ans et 291 jours

ARTCHITECT AT WORK À PARIS

Rendez-vous les 23 et 24 septembre 2021 à Paris pour l’événement Architect@Work ! Cet événement atypique, fort apprécié par l’ensemble des prescripteurs -et notamment par les architectes, architectes d’intérieur et agenceurs- a sélectionné à nouveau plus de 800 nouveaux produits présentés par 248 industriels participants. Afin de garantir une visite dans un environnement sain et sécurisé, cette édition sera soumis au pas sanitaire et organisée sous le strict respect des nouvelles normes sanitaires. Architect at work- 24-septembre 2020 ’BIO-LOGIQUES’ Cette thématique sera notamment déclinée par la présentation, par le Centre de ressources INNOVATHEQUE, de la matériauthèque ’BIOM’, capter le vivant’. A travers cette exposition, l’équipe Innovathèque nous invite à venir découvrir une sélection de matières variées sur la thématique de la nature, un important panel de matériaux, procédés et systèmes bio inspirés qui puisent de manière directe ou indirecte leur genèse de notre environnement. Le monde du vivant est une source d’inspiration intarissable et un véritable levier d’innovation pour imaginer les matériaux de demain. Expositions photographiques et techniques ‘REGARD SUR 10 ANS D’ARCHITECTURE PAR LE STUDIO ERICK SAILLET’. L’exposition permet de découvrir la singularité du regard de ce studio et constitue en même temps un portrait en creux de la production architecturale de la  décennie. ’LES ETUDIANTS DES ENSA SUR LE TERRITOIRE ESSONNIEN’. Dans le cadre de cette 14ème édition, le Comité de pilotage a souhaité mettre en avant une initiative du CAUE de l’Essonne qui, pour accompagner les collectivités dans leurs projets et réflexions sur le devenir de leurs territoires, a construit des partenariats avec les Ecoles Nationales Supérieures d’Architecture. Pour les élus, cela permet une ouverture du champ des possibles, issue des riches échanges avec la jeune génération. Pour de futurs architectes, c’est l’occasion de se confronter à la réalité de la commande publique. ’L’ACCESSIBILITE POUR TOUS, LE CHALLENGE DE LA SENSES ROOM’. Les personnes en situation de handicap sont plus de 10 millions en France. Or 80% d’entre elles ont un handicap invisible…. Aujourd’hui, l’architecte doit intégrer tous ces paramètres dans ses projets et trouver des solutions techniques pour rendre nos vies inclusives et sécurisées au maximum. Depuis 2014, Francis van de Walle présente –à travers sa SENSES ROOM- des solutions pour répondre aux besoins et attentes de tous les handicaps ou maladies lourdes. Un rendez-vous à ne pas manquer pour tous ceux qui souhaitent découvrir les solutions techniques de demain ! Plus d’informations sur le site de l’événement
Il y a 3 ans et 292 jours

Murs béton à isolation intégrée très bas carbone

Knauf lance NEXTherm® Mur-B2i, une solution très bas carbone dévolue aux murs béton à isolation intégrée (prémurs ou béton coulé en place) pour tous types de bâtiments. Cette nouvelle génération de polystyrène expansé fait appel à la valorisation des ressources de la biomasse et plus précisément de déchets organiques ou forestiers. Ce nouveau PSE, produit à partir de bio-naphta et biogaz (avec une certification de l’intégralité de la chaîne selon référentiel RedCert), améliore encore le cercle vertueux des PSE Knauf. Il permet ainsi d’atteindre un équilibre idéal entre performances environnementales fortes, avec notamment le très bas carbone, et haute technicité de l’isolation.
Il y a 3 ans et 293 jours

Premiers prêts « avance rénovation » dès début 2022

Afin que tous les Français puissent s’engager dans la rénovation énergétique de leur logement, le Gouvernement propose MaPrimeRenov dont la dynamique a été amplifiée grâce au plan France Relance. Néanmoins, certains ménages, souvent modestes ou âgés, peuvent éprouver des difficultés à accéder à des crédits bancaires classiques, y compris bonifiés, tels que l’éco-prêt à taux zéro, pour financer le « reste à charge » des travaux de rénovation. Faisant suite aux recommandations du rapport d’Olivier Sichel, directeur général délégué de la Caisse des dépôts et consignations sur la rénovation énergétique des logements, le Gouvernement a souhaité promouvoir la distribution d’un nouveau type de prêts, les « prêts avance rénovation », pour accompagner les ménages souhaitant engager une rénovation énergétique de leur logement. C’est un prêt hypothécaire qui permet au ménage un remboursement du reste à charge in fine, lors de la vente du logement ou lors d’une succession. Les intérêts peuvent quant à eux être remboursés au fil de l’eau ou in fine. A travers son article 169, la loi Climat et Résilience ouvre la possibilité d’apporter une garantie publique aux banques qui distribueraient ces prêts, via le Fonds de garantie pour la rénovation énergétique (FGRE). Le Crédit Mutuel et La Banque Postale ont pris l’engagement de proposer le « prêt avance rénovation » à leurs clients dès le début de l’année 2022. Cet engagement fait suite à un travail conjoint entre le Ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance, le Ministère de la Transition écologique et les banques concernées afin de préciser les paramètres de la garantie publique qui pourra être apportée à ces prêts. Cette garantie publique sera fixée à hauteur de 75% de la perte éventuellement encourue afin de responsabiliser la banque prêteuse tout en diminuant le risque qu’elle encourt en cas de défaut de remboursement (si le produit de la vente du bien à sa mutation ne permet pas de rembourser le « reste à charge » des travaux de rénovation). L’ensemble des modalités encadrant le prêt avance rénovation sera fixé d’ici la fin de l’année 2021 par un décret en Conseil d’Etat et un arrêté pris en application de la loi Climat et Résilience.
Il y a 3 ans et 293 jours

Guide Solutions Planchers

Le Groupe Fabemi, industriel français, vient de faire paraître l’édition 2021 du guide Solutions Planchers dédié à la mise en œuvre de ses poutrelles, entrevous et accessoires. Véritable outil de travail, le catalogue réunit toutes les informations sur les produits Fabemi et les conseils de pose nécessaires aux professionnels, des prescripteurs aux poseurs. Chaque type d’ouvrage (maison individuelle, petit collectif, ERP…) trouve dans cette édition sa solution détaillée, illustrée de schémas clairs et de tableaux explicites, les produits employés et les accessoires.
Il y a 3 ans et 293 jours

« Mon Toit TERREAL », l’application pour simuler l’esthétique de son toit

TERREAL a développé Mon toit TERREAL afin d’offrir aux professionnels et aux particuliers une projection de leur future toiture. Ce configurateur permet de modéliser le rendu d’un toit avec une représentation fine et réaliste des modèles, couleurs, et textures de tuiles. S’appuyant sur des modèles architecturaux typiques des différentes régions de France, Mon toit TERREAL propose des prototypes de maison et contient toutes les références des gammes de tuiles TERREAL. Au total, près de 100 combinaisons sont possibles dans l’application. En quelques clics, l’utilisateur peut donc sélectionner sa zone géographique et choisir un style de maison, avant de choisir le modèle de tuiles et son coloris. Il peut visualiser immédiatement le rendu esthétique et tester différentes combinaisons pour faire le meilleur choix pour son projet. Au terme de sa configuration, l’utilisateur pourra télécharger une synthèse de sa simulation avec un rendu réaliste. Accessible sur tablette et sur le site internet de TERREAL, Mon toit TERREAL est une application gratuite téléchargeable sur Android et Appstore.
Il y a 3 ans et 296 jours

Couper moins et laisser reposer : une nouvelle gestion des forêts tropicales s’impose

Depuis plusieurs décennies, les équipes du Cirad et leurs partenaires effectuent un suivi des forêts tropicales humides pour observer leur dynamique après exploitation. Les différents types de forêts dans le monde. Cirad Les forêts tropicales humides couvrent actuellement 1070 millions d’hectares (Mha) dans le monde ; plus de 90 % d’entre elles se situent dans trois régions : en Afrique centrale, dans le bassin du Congo (200 millions ha) ; en Amérique du Sud, Amazonie principalement (582 Mha) ; en Asie du Sud-Est, en Indonésie, Malaisie et Papouasie (190 Mha). On estime que 400 millions d’hectares de ces forêts sont officiellement attribués à la production de bois d’œuvre – on désigne ainsi le bois utilisé comme matériau de construction ou pour fabriquer une multiplicité de produits – par les États. Une gestion « durable » qui ne l’est pas assez Or il apparaît aujourd’hui que les règles d’exploitation de ce bois d’œuvre – règles fixées actuellement par la plupart des législations forestières sur des critères d’intensité de coupe et durée des rotations – ne permettent pas une reconstitution durable sur le long terme du stock de bois prélevé dans ces écosystèmes. Ce constat remet en question les fondements de la gestion dite « durable » qui prévaut aujourd’hui… et annonce une dégradation accrue des dernières forêts tropicales humides de production. Il devient ainsi urgent d’anticiper de nouvelles sources de bois d’œuvre : les forêts naturelles ne pourront pas, à elles seules, répondre à la demande actuelle et future. Les principes de la sylviculture tropicale et la place des forêts naturelles tropicales de production sont également à revoir complètement. Dans ce contexte, les programmes de restauration constituent une opportunité à saisir. Des rotations pour reconstituer les stocks Contrairement aux idées reçues, l’exploitation de bois d’œuvre en forêt tropicale ne concerne qu’un très faible nombre d’arbres d’intérêt commercial : un à trois arbres par hectare en Afrique, cinq à sept en Amazonie, plus de huit en Asie du Sud-est. Elle est d’ailleurs dite « sélective » : seules quelques espèces – comme l’ipé ou le cumaru en Amazonie, les mérantis en Asie du Sud-Est ou encore l’okoumé et le sapelli en Afrique centrale – sont exploitées. En pratique, seuls les arbres les plus imposants – de plus de 50 à 80 cm de diamètre – sont abattus et récoltés. La forêt est alors laissée en repos, en général entre 25 et 35 ans selon la législation du pays. Ces périodes de repos appelées « rotation » doivent théoriquement permettre à la forêt de reconstituer le stock de bois exploité. Les données de suivis de la reconstitution de ce stock montrent qu’en réalité ces périodes fixées par les législations forestières sont largement sous-estimées et dépendent essentiellement de l’intensité de prélèvement et du nombre d’espèces considérées comme commerciales (c’est-à-dire pour lesquelles il y a un marché porteur). Des temps de récupération trop courts Dès le début des années 1980, le Cirad et ses partenaires ont mis en place des dispositifs de suivi de la dynamique forestière tropicale, afin d’évaluer les effets de l’exploitation sélective sur la reconstitution du stock de bois. La plupart de ces dispositifs sont aujourd’hui réunis au sein de l’observatoire TmFO (Tropical managed Forest Observatory). Accumulées depuis plus de trente ans, ces informations permettent aujourd’hui de simuler les trajectoires des forêts tropicales humides exploitées selon l’intensité d’exploitation, mais aussi d’autres variables – comme la pluviométrie ou le type de sol. Il a été ainsi possible de calculer la reconstitution de la biomasse, du volume commercial et l’évolution de la biodiversité à l’échelle du bassin amazonien et de mettre en évidence des différences notables au sein d’une même région. Forêts de colline à Bornéo (Indonésie). Plinio Sist Ces données montrent, d’une façon générale, que les durées de rotation de 25-35 ans en vigueur dans la plupart des pays tropicaux sont largement insuffisantes pour reconstituer totalement le volume de bois prélevé, et que la reconstitution du stock de bois prélevé ne dépasse pas 50 %, 30 ans après la première exploitation. En revanche, la biodiversité et la biomasse semblent se reconstituer assez rapidement, en 20-25 ans ; la biodiversité demeure, à plus de 80 %, celle d’avant exploitation. Au Brésil, diviser la récolte par deux En Amazonie brésilienne, la législation actuelle repose sur un cycle de 35 ans, avec une intensité d’exploitation située entre 15 et 20 m3 par hectare et une proportion initiale d’espèces commerciales de 20 %. À ce rythme, et en considérant une surface d’exploitation de 35 millions d’hectares, le niveau de production ne pourra pas se maintenir au-delà d’un cycle d’exploitation, soit 35 ans, puis déclinera chaque année jusqu’à déplétion des ressources. Seule une réduction de moitié de l’intensité d’exploitation et un cycle de rotation de 65 ans permettrait une production durable et constante de bois d’œuvre ; dans cette situation toutefois, seuls 31 % de la demande actuelle pourraient être satisfaits… 40 % du stock reconstitué après 25 ans En Asie du Sud-Est, la durée de rotation est de 20 à 30 ans et les intensités d’exploitation en forêt primaire, en moyenne de 80m3/ha, peuvent dépasser 100m3/ha. Or, les données du suivi de la dynamique forestière indiquent que seule une intensité de 60m3/ha tous les 40 ans assurerait une production durable et constante au cours du temps. Enfin, en Afrique centrale, la reconstitution du stock de bois prélevé 25 ans après exploitation est de seulement 40 %, laissant présager une reconstitution d’à peine 50 % sur une durée de rotation de 30 ans. Baisser l’intensité d’exploitation, prolonger les rotations Le principal dogme de la sylviculture tropicale, bâtie il y a plus d’un demi-siècle, laisse à penser que les forêts naturelles tropicales seraient capables de produire de façon soutenue et durable du bois d’œuvre ; à la lumière de nos résultats, cette position doit être totalement révisée. En effet, le suivi des forêts tropicales après exploitation montre que celles-ci ne pourront pas à elles seules répondre à la demande de bois croissante du marché d’ici 30 ans, selon les règles établies par la plupart des législations forestières des pays tropicaux. Dans la grande majorité des cas, la durabilité exige de réduire considérablement l’intensité d’exploitation et d’augmenter significativement la durée des rotations ; ce qui compromet malheureusement, dans le système actuel, la durabilité économique de l’exploitation sélective. Valoriser les services rendus par les forêts Les forêts naturelles tropicales ne peuvent plus être perçues comme une simple source de bois d’œuvre : les services environnementaux qu’elles produisent méritent d’être également pris en compte. On pourrait, par exemple, envisager de fixer un prix du bois d’œuvre issu de forêts naturelles plus élevé que celui issu de plantations, avec des utilisations adaptées à la qualité supérieure de leur bois en comparaison avec les bois produits en plantations – et pouvant donc faire l’objet d’usages moins nobles. Ce prix plus élevé permettrait alors d’accroître la rentabilité économique de l’exploitation de bois d’œuvre en forêt naturelle. Il est ainsi urgent de mettre en œuvre dès maintenant une sylviculture tropicale diversifiée, alliant production de bois d’œuvre issue de forêts naturelles, de plantations mixtes, d’agroforêts (terme désignant des systèmes forestiers complexes créés par les humains, dotés d’une structure multistrate de la végétation et d’un fonctionnement écologique similaire aux forêts naturelles) et de forêts secondaires (se régénérant sur des zones déboisées laissées à l’abandon). Le récent engouement pour la restauration forestière dans le cadre du défi de Bonn, ou la toute récente proclamation de la décennie des Nations unies pour la restauration des écosystèmes (2021-2030), sont autant d’opportunités à saisir pour mettre en œuvre cette nouvelle approche sylvicole en région tropicale. Cependant, aucun nouveau système de sylviculture visant une production de bois durable ne saurait être mis en place avec succès sans le déploiement de politiques volontaires et efficaces de lutte contre l’exploitation illégale et la déforestation, qui continuent à fournir le marché du bois à moindres coûts et concurrencent tout système d’exploitation visant la durabilité à long terme. Plinio Sist, Écologue des forêts tropicales, Cirad Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original. Photo en-tête : Transport de grumes en Amazonie brésilienne. Plinio Sist, Author provided
Il y a 3 ans et 298 jours

Fiches conseils architecture et bâti ancien pour la Savoie et la Haute-Savoie

Afin d’accompagner les porteurs de projets de travaux en Savoie et Haute-Savoie, l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP 73/74) a conçu une série de recommandations sur le bâti ancien, la qualité architecturale en espace protégé. Mises à disposition des particuliers et des professionnels, publics ou privés, ces fiches viennent répondre aux questions les plus couramment posées sur les thèmes : couvertures sur le bâti ancien, baies et menuiseries, éléments de façade, maçonnerie : enduits, badigeons, usage du pisé et abords : clôture, mur, calades, terrasse et chemin. Accès aux fiches    
Il y a 3 ans et 298 jours

L’installation du chantier de la cathédrale de Troyes est en cours

Les travaux préparatoires à l’installation de l’échafaudage du chantier de restauration de la Tour Sud de la cathédrale de Troyes ont débuté, le 25 août 2021. Dans une démarche de mise en valeur des différents métiers qui interviennent sur ce chantier de restauration, de nombreux dispositifs seront mis en place durant les 18 mois de l’opération, dont un accès exceptionnel du chantier au public, sous certaines conditions. La première opération a concerné l’installation d’une caméra TimeLaps. Il s’agit d’une caméra de chantier qui permettra de visualiser le montage de l’échafaudage en temps réel pendant une durée d’un mois. Des images sélectionnées seront diffusées prochainement. La restauration de la cathédrale de Troyes est une opération financée dans le cadre du « Plan cathédrales » du Plan de relance de l’économie. D’un montant de 949 647 euros, elle est prise en charge à 100% par l’Etat. Maîtrise d’ouvrage : Etat – Direction régionale des affaires culturelles Grand Est Maîtrise d’œuvre : Michel Trubert, architecte en chef des monuments historiques – Agence d’architectes Trubert. Photo : Drac Grand Est
Il y a 3 ans et 298 jours

Restauration de l’église Saint-Maurice à Vienne

L’église Saint-Maurice à Vienne en Isère a été classée en 1840, il s’agit d’un des premiers monuments historiques de France. L’état de l’édifice a entraîné de longue date la sollicitude de la commune propriétaire et de L’Etat principal cofinanceur. De 1993 à 2018, plus de 4, 5 M€ ont été consacrés à la restauration des bas-côté et du haut de la tour nord-ouest. Le nouveau chantier de restauration concernera la tour sud-ouest et la partie basse de la tour nord-ouest de la façade occidentale. Le plan de relance permet d’accélérer l’opération de restauration avec une fin de chantier prévue fin 2022. L’échafaudage a été monté dans le courant de l’été. L’essentiel des parements de la cathédrale sont en molasse, pierre particulièrement fragile, tendre et sujette aux dégradations induites par l’humidité, le vent, les cycles gel et dégel, la pollution. La pierre de molasse est une excellente pierre à bâtir, et suffisamment fine à sculpter. Cependant elle présente une très grande fragilité face à l’action de l’eau : sa constitution de grains de quartz liés par du calcaire fait que le ruissellement de l’eau dissout le calcaire et libère le sable. Il faut donc restaurer les parements et parfois changer des pierres en profondeurs lorsque celles-ci ont un rôle structurel. La première tranche de travaux (haut de la tour nord-ouest 2016-2018) a permis d’expérimenter une méthode adaptée à la situation par un changement très raisonné de pierres de structure ou sculptées, et par un système de plaquettes épaisses de pierre gougeonnées et coulinées de chaux à l’arrière. Ce principe sera reconduit sur les nouvelles tranches de travaux. La pierre de molasse n’existe plus ou est de mauvaise qualité, elle est remplacée par un grès des Vosges ou d’Espagne identique en couleur, grain et dureté. Le montant total des travaux s’élève à 1,824 776 € HT –  Dans le cadre du plan de relance, la participation financière de l’Etat – DRAC Auvergne-Rhône-Alpes s’élève à 500 000 € soit 27,40% du montant total. Opération mentionnée au titre de la 3ème convention patrimoine signée avec la Ville de Vienne. Maîtrise d’ouvrage : Ville de Vienne Maîtrise d’œuvre : ALEP architectes, Philippe Allart, architecte du patrimoine Entreprises : Comte et Demars maçonnerie taille de Pierre ; Lyon Echafaudage ; Tollis Sculpture ; Les Métiers du Bois Charpente couverture ; Thomas vitraux Contrôle scientifique et technique : Drac Auvergne-Rhône-Alpes, Conservation régionale des monuments historiques Photo : Drac Auvergne-Rhône-Alpes
Il y a 3 ans et 298 jours

Restauration de l’abbaye Notre-Dame d’Ourscamp

Située dans la commune de Chiry-Ourscamp dans l’Oise à l’emplacement d’un ancien oratoire fondé par Saint-Éloi en 641, l’abbaye Notre-Dame d’Ourscamp est une ancienne abbaye cistercienne classée au titre des Monuments Historiques. Dans le cadre du Plan de Relance, elle va bénéficier d’une enveloppe de 910 930 euros pour la réhabilitation de l’aile de Lorraine qui avait subi d’importants dommages suite aux bombardements de la guerre de 1914/1918. D’une durée prévisionnelle de 30 mois, les travaux sont sous la maîtrise d’Ouvrage de la Congrégation des serviteurs de Jésus et Marie et la maîtrise d’œuvre d’Alice Capron-Valat, architecte du patrimoine. Ils consistent à mettre en place un échafaudage, restaurer des façades, créer des menuiseries ainsi qu’à restaurer la couverture et des aménagements intérieurs. La date prévisionnelle de démarrage des travaux est fixée à septembre 2021.     Photo : Fifistorien, Wikimedia  
Il y a 3 ans et 304 jours

Tous à ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 !

Tous à ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 ! Pour cette nouvelle édition, Bati-Journal et 5façades sont très fiers d’être les partenaires du rendez-vous incontournable de toute la filière ! Equipbaie-Métalexpo réunit, tous les deux ans, plus de 400 exposants et 20 000 professionnels de la menuiserie et de la métallerie française. L’événement se déroulera du 21 au 24 septembre prochain à Paris Porte de Versailles. C’est le rendez-vous incontournable de la filière et une opportunité pour rencontrer vos fournisseurs et découvrir de nouveaux partenaires. Pour cette nouvelle édition, Equipbaie-Métalexpo vous propose de rencontrer les acteurs accélérant la transition numérique de la filière. Venez découvrir pendant 4 jours, à travers une expérience immersive, les solutions les plus innovantes dédiées aux professionnelles de la menuiserie et de la métallerie. #TousàEquipbaieMétalexpo ! > Commandez votre badge sur le site de l’événement
Il y a 3 ans et 332 jours

Enduits peu courants pour une ITE

Avec ses 287 appartements, la résidence du Moulin Vert, à Sannois (Val d’Oise), est l’un des plus importants ensembles de logements du bailleur social francilien Immobilière du Moulin Vert (SAIMV). Entre 2017 et 2018 ses cinq immeubles R+3 et R+4 ont fait l’objet d’une réhabilitation visant à améliorer leur performance énergétique. Les bâtiments en pierre de taille ont été construits dans les années 1960. Depuis, les façades n’ont pas évolué. Avant la réhabilitation, les logements affichent une étiquette énergétique E (consommation de 231 à 330 kWh/m² an). L’objectif est d’atteindre le niveau C (91 à 150 kWh/m² an). Le programme des travaux comprend la réalisation d’une isolation thermique par l’extérieur ainsi que le remplacement des menuiseries extérieures et la réfection de la couverture. Alexandrin Chorao, dirigeant d’ECI Management, se voit confier la maîtrise d’œuvre de l’opération. Pour casser l’image des barres des années 60 et mieux identifier les entrées, il dessine des failles verticales de couleur foncée au niveau des halls, qui tranchent avec le blanc des parties courantes. Et pour ajouter du relief à ces murs blancs, chaque nez de plancher sera souligné par un profilé métallique horizontal de la même teinte que l’enduit. Côté technique, l’architecte choisit pour les parties courantes un système d’isolation thermique extérieure StoTherm Mineral constitué d’un enduit appliqué sur des panneaux de laine de roche de 160 mm d’épaisseur calés-chevillés. Pour l’enduit de finition, il préconise le Stolit Milano à l’aspect béton poncé. Quant aux failles verticales au droit des halls d’entrée, elles seront réalisées en bardage ventilé à enduire StoVentec R. Là encore, c’est l’enduit Stolit Milano qui est retenu, mais avec un aspect Marmorino et complété d’un revêtement en peinture aux effets métallisés StoColor Metallic de couleur brune. Le bardage étant ventilé, il peut supporter une teinte sombre sans risque d’échauffement excessif sous l’effet du rayonnement solaire. Enfin, les garde-corps qui présentent une partie en maçonnerie seront revêtus d’un enduit D3 armé Stolit MP à la finition lisse dont la couleur gris soutenu (référence 79203) justifie l’apport de la technologie X-black. Ce système composé d’un sous-enduit fibré, d’une trame en fibre de verre et d’une finition traditionnelle structurée apportera une meilleure résistance à ces éléments fissurés présentant des décollements d’enduit. Photo : Manuel Panaget
Il y a 3 ans et 332 jours

Deux motorisations, nouvelle génération, pour volets roulants

elero, marque du groupe Nice spécialisée dans les solutions complètes pour l‘automatisation des volets roulants, des stores extérieurs et intérieurs et des brise-soleil orientables, lance deux nouvelles motorisations, permettant de contrôler l’ouverture et la fermeture des volets roulants : RolSolar et RolMotion. RolSolar fonctionne uniquement grâce à l’énergie solaire, sans branchement au réseau électrique. Sa batterie permet un fonctionnement totalement autonome durant 30 jours, à raison de 2 cycles d’ouverture et fermeture en cas d’absence totale d’ensoleillement. Le moteur est équipé de la technologie de communication radio bidirectionnelle, permettant à l’utilisateur d’avoir l’assurance que son ordre a bien été reçu par le moteur. L’utilisateur a la possibilité de pré programmer 2 positions préférentielles d’ouverture et de fermeture. RolMotion est la solution d’automatisation des volets la plus silencieuse et évoluée présente sur le marché. Disponible en 3 puissances différentes – 6, 10 et 20 Nm, RolMotion est décliné en version filaire, avec une commande placée sur le mur, ou en version radio, grâce à sa télécommande portative.  Cette nouvelle motorisation, révolutionnaire, est dotée d’un frein moteur électromagnétique (brevet elero) ainsi que de la technologie Soft Start – Soft Stop, le rendant parfaitement silencieux (35dB). Il est possible de lui programmer 2 vitesses d’ouverture ainsi que 2 positions d’arrêt préférentielles, et ce, en mode manuel ou automatique. La tête moteur de forme étoilée, permet de s’adapter à l’immense majorité des supports existants. 
Il y a 3 ans et 335 jours

Favoriser l’accès des jeunes sans qualification aux entreprises du bâtiment

Une convention de partenariat nationale vient d’être signée entre le Réseau E2C France et la FFB afin de favoriser l’accès aux entreprises du bâtiment pour les jeunes sans qualification. Cet objectif implique notamment le développement de compétences pour des jeunes sortis du système scolaire souhaitant accéder au monde du travail. L’accord-cadre est bâti sur la volonté commune de contribuer à l’entrée des stagiaires E2C, notamment des jeunes issus des Quartiers de la politique de la ville (QPV), dans le monde du bâtiment. Le parcours intensif vers une insertion sociale, citoyenne et professionnelle proposé aux stagiaires par les E2C favorise leur autonomie. L’entreprise est un acteur majeur pour faciliter l’acquisition de compétences techniques et professionnelles des stagiaires.
Il y a 3 ans et 335 jours

Plan ministériel pour réduire de 50% les émissions de particules fines du chauffage au bois

Dans de mauvaises conditions, la combustion du bois peut constituer une part significative de la pollution aux particules fines. Ainsi, en 2018, le chauffage au bois domestique était responsable de 43% des émissions nationales en PM 2,5, ainsi que plus de la moitié des très fines émissions en PM 1,0. Or, les particules fines sont responsables de 40 000 décès par an en France selon Santé Publique France, dont 17 000 pourraient être évitées en respectant les valeurs limites recommandées par l’OMS. Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, a publié le plan d’action qui voudrait permettre de réduire de 50% d’ici 2030 les émissions de polluants du chauffage au bois domestique. Il permettra de répondre à cet objectif en accélérant le renouvellement des vieux poêles et des vielles cheminées au profit d’équipements performants, en développant l’utilisation de combustibles de qualité et en rappelant les bonnes pratiques d’utilisation des appareils. Puisque le chauffage au bois présente un intérêt écologique (il s’agit d’un mode de chauffage neutre en carbone), l’objectif du plan présenté n’est pas d’abandonner ce mode de chauffage mais de le rendre plus performant. Les dispositifs d’accompagnement pour accélérer le renouvellement des appareils de chauffage au bois seront renforcés. 600 000 appareils seront remplacés  d’ici 2025 grâce aux aides à la rénovation énergétique des logements (MaPrimeRenov) et aux fonds air bois mis à disposition par les collectivités territoriales et l’ADEME. Ces aides peuvent atteindre jusqu’à  90% du coût d’un nouvel équipement pour les ménages les plus modestes. Le label flamme verte évoluera au-delà du seuil « 7 étoiles » pour définir des niveaux de performance plus protecteurs pour la qualité de l’air. Un label attestera de la qualité du combustible (faible taux d’humidité) et de son origine (issu de forêts gérées durablement). Par ailleurs, le ministère de la Transition écologique déterminera un seuil maximal d’humidité auxquels devra répondre le bois de chauffage mis à la vente afin de réduire les émissions de particules lors de sa combustion. L’utilisation du chauffage au bois dans les zones les plus polluées, sera encadré en prenant des mesures adaptées aux territoires pour réduire les émissions de particules fines. La loi Climat & Résilience prévoit désormais que les préfets prennent les mesures locales nécessaires avant le 1er janvier 2023 pour atteindre une réduction de 50% des émissions de particules fines du chauffage résidentiel biomasse entre 2020 et 2030 dans les zones couvertes par un plan de protection de l’atmosphère (PPA).
Il y a 3 ans et 338 jours

Quand 3 industriels s’associent pour accompagner la construction bois

À l’heure où la construction bois se positionne au cœur des enjeux du bâtiment, ISOVER, Placo® et Isonat mettent leurs expertises métiers et leurs solutions produits au service des acteurs de ce marché : pré-fabricateurs, façadiers, charpentiers, entreprises spécialisées bois, architectes, économistes de la construction et bureaux d’études. Forts de leurs connaissances techniques dans les domaines de l’efficacité énergétique, l’acoustique, la protection au feu et l’hygrométrie, quatre enjeux majeurs de la construction bois, les industriels proposent une gamme complète de solutions fabriquées en France. ISOVER conçoit des solutions d’isolation durable pour répondre aux enjeux d’efficacité thermique, d’acoustique et de protection au feu. Le spécialiste s’inscrit dans une démarche continue d’optimisation de l’impact environnemental de ses produits, de l’efficacité énergétique, de la qualité de l’air intérieur et du bien-être. Placo® est engagé dans le développement de produits dédiés à l’habitat durable. Pionnier de la plaque de plâtre en France, l’expert innove en permanence afin de proposer des solutions techniques qui répondent aux exigences acoustiques, thermiques, décoratives, de qualité de l’air intérieur… Isonat,est spécialisée dans l’isolation biosourcée en fibres de bois. L’entreprise conçoit et s’approvisionne en France pour l’ensemble de ses gammes et panneaux isolants dédiés à l’isolation par l’intérieur et l’extérieur.    Visuel : Ilot Bois Sensations Strasbourg – Bouygues Immobilier et Koz Architecture
Il y a 3 ans et 338 jours

Sébastien Nerva, directeur développement de la construction bois de Linkcity

Sébastien Nerva est nommé directeur développement de la construction bois de Linkcity. Arrivé fin avril 2021, il pilotera le volet « construction bois » de la stratégie bas carbone de Linkcity en France. Il mettra son expertise et son expérience au service des équipes afin d’atteindre l’objectif de livrer, en 2030, 50 % des opérations de Linkcity en bois. Diplômé de l’ENS d’architecture/paysage et de l’école d’urbanisme de Paris, Sébastien a démarré son parcours professionnel en 2013 à EpaMarne-EpaFrance où il a travaillé particulièrement au développement d’écoquartiers. En 2015, il est nommé référent construction bois pour accompagner la production de 600 puis 1 000 logements bois par an (de 2015 à 2021) aux côtés des promoteurs/bailleurs avec l’appui de l’Institut Technologique FCBA. Fin 2017, il rejoint la direction de la stratégie, dont il devient fin 2019 le directeur adjoint en charge de la définition et de la mise en application opérationnelle de la transition écologique. 
Il y a 3 ans et 338 jours

Module de préparation, 3D et BIM Premium de Dietrich’s France au Forum Construction Bois

Dietrich’s France présentait au Forum Construction Bois son nouveau module de préparation des chargements de camion, sa visionneuse web 3D et aussi son BIM Premium, lequel a vivement intéressé plusieurs start-ups pour la masse d’informations techniques qu’il permet de récupérer dans sa CAO-FAO de fabrication – sans aucune ressaisie – depuis les logiciels d’architecture les plus connus. Ce Forum de la filière aura été aussi l’occasion de retrouver les partenaires et clients eux-mêmes exposants.  Des partenaires qui proposent des versions fabricant gratuites de DC-Statik pour dimensionner leurs produits et des clients industriels utilisateurs des logiciels Dietrich’s pour leur production bois. Si Dietrich’s équipe de nombreuses TPE artisanales avec des solutions logicielles adaptées, son impact est aussi particulièrement important chez les grands acteurs de la filière.  Témoignage de Mathieu Piquée, responsable du bureau d’étude de POBI : « Pour produire sur notre chaine de production 600 maisons Natilia toutes différentes (2 par jour, avec des pics d’activités à 5 !), et consacrer moins d’une demi-journée à leurs études, Dietrich’s nous a permis de déployer des outils performants.  La récente connexion à notre ERP fiabilise la conception en réduisant les risques d’erreurs des projeteurs sur le choix des fenêtres. Nous testons actuellement le nouveau module de chargement de véhicules, un module attendu auquel nous avons contribué… »
Il y a 3 ans et 339 jours

Art contemporain et boîtes vitrées pour le LUMA Arles

Le LUMA Arles a été inauguré début juin 2021. Installé sur le site d’un ancien centre d’entretien de la SNCF, le centre artistique se présente comme une architecture spectaculaire. À l’origine de sa conception : l’architecte Frank Gehry, qui compte parmi ses réalisations la Fondation Louis Vuitton à Paris, le Musée Guggenheim de Bilbao ou encore la Maison dansante à Prague. Dans le cadre de l’élaboration du design de la tour de LUMA Arles, il a puisé son inspiration dans les paysages locaux, à l’image du massif des Alpilles, ainsi que dans l’histoire de la région avec des assemblages de pierre des constructions romaines et romanes arlésiennes. Surplombant la ville, l’ensemble du bâtiment constitué de 10 niveaux, se compose d’un noyau de béton autour duquel viennent se positionner 4 tours parées de blocs d’acier inoxydable. Associés à des disciplines artistiques différentes, les édifices sont placés sous l’égide de la tour située à l’extrémité nord du Parc des Ateliers. L’enveloppe de cette dernière se compose de la façade bloc (5 000m², 11 000 blocs) qui constitue l’élément principal ; des panneaux isolants qui font office de supports des blocs en acier inoxydable de parement. La Rotonde (4 000m²), grande verrière circulaire de 54m de diamètre et 16m de haut, aussi appelée « drum » par les équipes californiennes de Frank Gehry, crée un espace de transition entre le parvis et le bâtiment. Enfin, les façades en panneaux préfabriqués de grandes dimensions en béton armé (8 500m²) recouvrent le noyau de la tour et les volumes bas. Remarquables, les boîtes vitrées (46 ouvrages intérieurs et extérieurs) percent la façade bloc et apportent la lumière naturelle dans les locaux. Parmi ces 46 boîtes posées en saillie sur la façade, 21 d’entre elles nécessitaient des ouvrants de confort. Pour ces boîtes équipées d’ouvrants à la française sur la face principale, le Bureau d’Études Façades T/E/S/S a sélectionné la gamme SFC 85 VEC de Schüco. L’effet de saillie, plus ou moins prononcé selon les boîtes, multiplie les points de raccord entre les deux faces latérales, le plancher et la petite verrière en toiture, qui doivent être intégrés au millimètre dans leur cadre. Photo : © T/E/S/S atelier d’ingenierie
Il y a 3 ans et 340 jours

Passage au Sénat : avancées et dangers de la Loi Climat pour le patrimoine

Après le vote en première lecture du projet de loi climat par l’Assemblée nationale et par le Sénat, sept associations et fondations de défense du patrimoine reconnues d’utilité publique font le point sur des dispositions votées par le Sénat dans 5 domaines.  Les dispositions approuvées par l’Assemblée nationale interdisant la destruction des seuils des moulins à eau ont fait l’objet d’un vote conforme du Sénat et sont donc acquises. Les associations se félicitent de ce coup d’arrêt donné aux atteintes portées à un élément important du patrimoine rural français.  En matière d’énergie éolienne, le Sénat crée la possibilité d’un veto de la commune devant accueillir un projet d’implantation. Cette disposition a notamment le mérite de permettre enfin aux habitants d’être informés en amont du dépôt d’un projet. Elle doit donc être saluée, encouragée et améliorée. En effet, le délai de 15 jours pour rendre cet avis ne permet pas l’organisation d’une analyse des projets ni d’un débat approfondi. De plus, les projets en cause concernent également les communautés de communes (EPCI), non visées par cette disposition. La déclinaison d’une Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) déraisonnable (6 500 nouvelles éoliennes terrestres à l’horizon 2028) en quotas régionaux n’a pas été amendée par le Sénat alors que sa simple « prise en compte » dans les documents d’urbanisme (dont les SRADDET) aurait été préférable à la « compatibilité » exigée par le texte de loi (voir ici). Les associations condamnent ce dispositif qui veut permettre d’imposer de manière abrupte des objectifs intenables. Dans le domaine de l’isolation thermique des bâtiments, les associations regrettent que la nécessité impérieuse de distinguer le bâti ancien d’avant 1948 de celui, moderne, d’après cette date, ne soit pas expressément rappelée et déclinée dans l’ensemble du texte. Elles s’inquiètent en particulier qu’aucune mention ne soit faite sur la spécificité des compétences et garanties requises pour l’établissement du diagnostic global sur cette catégorie à part du bâti qui constitue l’essentiel du patrimoine français. Les associations soulignent les conséquences de nouvelles mesures densificatrices (dérogations aux règles de gabarit notamment) pour les villes anciennes et s’étonnent que le recyclage du bâti vacant ne soit pas privilégié par une véritable politique d’aménagement du territoire. En matière de publicité extérieure, le Sénat fait de la compétence du préfet le principe mais donne la possibilité aux communes de l’en dessaisir « sans condition » même lorsqu’elles ne sont pas dotées d’un règlement local de publicité (RLP). Il confirme de surcroît la suppression du pouvoir de substitution reconnu aux préfets lorsque les communes compétentes sont inactives. Une France « mosaïque » sans politique nationale des paysages est ainsi encouragée. Les associations : La Demeure Historique – Maisons Paysannes De France – Patrimoine Environnement – Rempart –  Sauvegarde De L’art Français – Sites & Monuments – Vmf
Il y a 3 ans et 340 jours

Voir les 16 statues de la flèche de Notre-Dame de Paris

Les 16 statues des apôtres et des évangélistes qui avaient été déposées quelques jours à peine avant l’incendie de Notre-Dame ont fait l’objet d’une restauration minutieuse ces deux dernières années, sous la maîtrise d’ouvrage de la DRAC Île-de-France. Elles seront désormais visibles à la Cité de l’architecture & du patrimoine jusqu’à leur réinstallation sur la flèche rebâtie. Suite au concours de la restauration de la cathédrale remporté par l’architecte Eugène Viollet-le-Duc, la construction de la flèche est autorisée en 1858. Les statues des apôtres sont installées en 1861. Dessinées par Viollet-le-Duc, elles sont modelées par son sculpteur attitré Adolphe Geoffroy-Dechaume. Quatre types de corps sont retenus pour les apôtres. Seules les mains, les attributs et les têtes changent. Geoffroy-Dechaume réalise un modèle en plâtre à l’échelle 1, divisé en plusieurs fragments. Ensuite, l’atelier de fonderie Durand (puis Monduit) moule et coule chaque partie en fonte de fer. Une plaque de cuivre est appliquée sur la forme en fonte et frappée avec des maillets pour en épouser complètement le relief.  Les morceaux sont soudés entre eux.  Une ossature en fer assure le maintien et la solidité de l’ensemble fiché sur un axe assurant la liaison avec l’édifice. Si les étapes de la restauration de la flèche depuis sa conception sont connues, celles des statues restent énigmatiques car non mentionnées dans les archives.  Lors de la restauration des crêtes de faitages en 2010, la statue du lion, symbole de l’évangéliste Marc, avait été déposée depuis l’échafaudage en place. Confiée au Laboratoire de recherche des monuments historiques pour analyses, ces dernières montrèrent une corrosion des armatures intérieures en fer et un début de dislocation et d’ouverture des feuilles de cuivre. L’eau pénétrant par l’enveloppe déchirée attaquait inexorablement l’armature de fer, la transformant en rouille. A cela s’ajoutait une altération chimique par électrolyse entre le cuivre et le fer. Quelques réparations inesthétiques étaient visibles. Une première étude fut menée sur la restauration des statues en 2013 par Benjamin Mouton, architecte en chef des monuments historiques.  En 2014, le diagnostic de Philippe Villeneuve, architecte en chef des monuments historiques, mit en lumière le mauvais état de la couverture en plomb de la flèche observé lors de la réfection du paratonnerre. La décision fut prise de restaurer l’intégralité de la flèche. Si la charpente bois était en bon état, de nombreuses altérations mécaniques du plomb étaient révélées, fissures, déchirures, casses, impacts, déformations, dislocation des assemblages, ouvertures des pinces, défauts de fixation et de fabrication. Les statues sont déposées le 11 avril 2019 par l’entreprise Socra chargée de la restauration, sous la maîtrise d’œuvre de Philippe Villeneuve et sous la maîtrise d’ouvrage de la DRAC Île-de-France. Chaque grande statue pèse à peu près 150 kg et mesure environ 3,40 m.  Etêtées quelques jours auparavant, afin d’accrocher des sangles à leur structure interne, elles sont déboulonnées sans difficulté. En atelier, la restauration suit un protocole précis. Un berceau est fabriqué pour coucher chaque statue et éviter toute déformation. Les feuilles de cuivre sont désassemblées en partie afin d’extraire l’armature.  Celle-ci est dessinée dans ses moindres détails, puis révisée. Les parties les plus altérées ou disparues sont remplacées à l’identique par des pièces forgées. La structure doit épouser parfaitement la forme de la sculpture. Certaines armatures sont substituées en totalité.  Tous les éléments sont métallisés et peints pour les rendre plus pérennes. Ils sont isolés du cuivre par du téflon, supprimant tout risque d’électrolyse. L’armature est fixée à l’intérieur de la statue par des petites pattes telles qu’elles existaient auparavant, en augmentant leur nombre pour plus de sécurité. Les enveloppes de cuivre désassemblées sont relevées avec précision. Un décapage complet est opéré par microgommage à la poudre de noyau d’abricot afin d’ôter l’oxydation vert-de-gris et remettre le métal à nu. Les déformations sont reprises au marteau. Les quelques trous sont bouchés par des rustines, même technique que précédemment. Les feuilles intégralement conservées, sont ensuite soudées entre elles au millimètre près. Pour la patine finale, le souhait était de retrouver la couleur d’origine des statues au moment de leur pose. Le projet de reconstruction de la flèche d’Eugène Viollet-le-Duc et les photographies prises peu de temps après par Mieusement ou Marville montrent parfaitement cette couleur brune, des sculptures plus sombres que la toiture. L’examen des photographies précise un changement de teinte au début du XXe siècle. Le rapport s’est inversé, des statues claires devant une toiture foncée. Lors de la restauration des années 1935-1937, seul moment où les statues pouvaient être atteintes, des rustines furent installées par endroits et une sorte de patine, découverte sur l’échafaudage, appliquée pour uniformiser l’état de surface. La nouvelle patine couleur bronze a fait l’objet de plusieurs essais à froid ou à chaud. La technique choisie est celle de l’application d’une première couche de dichromate de sodium puis de barège, un produit soufré, au pinceau et chauffé au chalumeau.  Les soudures s’effacent alors. Une cire protectrice est appliquée sur toute la surface. Cette patine vibrante préserve des reflets sous-jacents. Source et photo : Drac Ile-de-France
Il y a 3 ans et 340 jours

Le Jardin des Serres d’Auteuil labellisé « Jardin remarquable »

Le 8 juin 2021, le jardin des Serres d’Auteuil a été labellisé « Jardin Remarquable » par Marc Guillaume, préfet de la région d’Ile-de-France, préfet de Paris. Ouvert au public, cet écrin de verdure magnifié par son patrimoine architectural et végétal, sa richesse botanique et son intérêt historique fait partie – avec l’Arboretum, le Parc Floral et le Parc de Bagatelle (tous trois déjà labellisés) – du Jardin Botanique de la Ville de Paris. C’est face aux prémices d’un Service des jardins qu’il était apparu nécessaire de doter la Ville de Paris d’un « fleuriste municipal », des pépinières pour approvisionner les innombrables plantations réalisées dans toute la ville mais aussi pour faire voyager le Parisien. L’architecte Camille Formigé est alors chargé, en 1898, de construire le nouveau de production horticole et les serres municipales.  Aujourd’hui, le parti des Serres d’Auteuil est de privilégier une logique qualitative et de favoriser certaines plantes en raison de leur rareté dans la nature et de leur insuffisance dans les collections nationales. Les jardiniers de la Ville sont les gardiens de ce patrimoine qu’ils ne cessent d’enrichir. Ainsi, des grainetiers à la recherche de certaines plantes disparues de leur catalogue, car passées de mode, ont-ils pu les retrouver aux Serres d’Auteuil. Le territoire francilien compte désormais 41 jardins distingués par ce label « Jardin remarquable » créé par le ministère de la Culture et géré par la Drac. Visuel : Catalogue Schwartz et Meurer, 1900 – Photo © Agnès Chauvin, Drac Île-de-France
Il y a 3 ans et 340 jours

Un objet remarquable découvert par des fouilleurs illicites

Une plaque ornementale en cuivre champlevé, émail rouge, doré représentant un chevalier avait été préemptée par le musée de Cluny lors d’une vente de l’Hôtel Drouot le 27 janvier 2021. Ainsi alerté, le Service régional de l’archéologie de Bretagne (SRA) a également été sollicité par l’Office central de lutte contre le trafic des biens culturels (OCBC) et la brigade de recherche de Vannes pour une assistance lors d’une perquisition. Plusieurs personnes domiciliées dans le Morbihan et en région parisienne ont été placées en garde à vue le 8 juin. Elles vont être jugées pour exécution de fouilles archéologiques sans autorisation. L’objet avait été découvert illégalement sur un site archéologique du Morbihan. Cette affaire montre les liens entre l’usage illégal des détecteurs de métaux et le marché de l’art français. Les fouilles clandestines sont une véritable menace pour le patrimoine, car les couches archéologiques détruites empêchent la compréhension des sites. L’objet fabriqué en Angleterre, vers 1300 mesure 9 cm sur x 10,6. Photo : Drouot  
Il y a 3 ans et 341 jours

Le gouvernement veut agir pour contrer la crise sur les matériaux

La deuxième réunion de crise sur les matériaux du BTP organisée par Bruno Le MAIRE, Emmanuelle WARGON et Alain GRISET, a permis des avancées. Le gouvernement étudie la prise en charge intégrale du coût de la mise en activité partielle des salariés du BTP dès lors qu’elle résulte d’une pénurie de matériaux. Il travaille également à identifier les moyens de limiter les exportations sauvages de grumes, qui constituent l’une des causes des difficultés actuelles d’apprivoisement en produits bois. Une circulaire interministérielle renforce l’impact concret des préconisations déjà faites par le ministre de l’Économie sur les marchés publics, en termes de gel des pénalités de retard comme en termes de prise en compte des surcoûts. Elle s’accompagnera d’une communication du gouvernement à destination des marchés privés. Alain GRISET a annoncé un possible assouplissement à venir des règles en matière de délais maximum de réalisation des chantiers pour bénéficier de certaines aides publiques (MaPrimeRénov’, CEE, …) Pour Olivier Salleron, le président de la FFB, « le gouvernement prend acte du fait que la crise ne se limitera pas à un épiphénomène sur quelques semaines, donc qu’un accompagnement du secteur s’avère nécessaire. Les mesures annoncées doivent maintenant trouver une traduction rapide. La FFB reste donc mobilisée et réitère aussi sa demande de rendre possible la mobilisation immédiate de la créance de carry-back jusqu’à fin 2021. Cette mesure de simple trésorerie rendra les entreprises plus à même de supporter les surcoûts immédiats ».
Il y a 3 ans et 341 jours

Construire plus vite la ville durable dans un livre

Inspirés par les enseignements tirés de la démarche initiée par le « démonstrateur industriel pour la ville durable » Rêve de scènes urbaines, chercheurs et praticiens de disciplines variées tentent, à partir de leurs expériences personnelles, de penser ici collectivement de nouvelles formes partenariales et de proposer de nouvelles méthodes pour concevoir la ville de demain. Retenant successivement des entrées analytiques, méthodologiques et empiriques, cet ouvrage privilégie une perspective interdisciplinaire indispensable pour une approche globale des enjeux de la ville durable. En se focalisant sur l’analyse des dynamiques, des processus et des jeux d’acteurs qui contribuent à faire évoluer les conceptions urbaines existantes, ce livre collectif démontre que le dialogue et la coopération entre les différents acteurs de la fabrique urbaine sont essentiels pour répondre aux nouveaux enjeux des villes et construire plus vite la ville durable. Une référence pour les étudiants, les chercheurs, les experts et les professionnels de la ville. Editions Eyrolles
Il y a 3 ans et 341 jours

Nouveau panneau solaire à fort rendement

REC Group annonce le lancement du REC N-Peak 2, la deuxième génération de ses panneaux solaires à base de cellules TOPCon de type n. Fort du succès de son prédécesseur, le REC N-Peak 2 améliore la densité de puissance et le rendement énergétique par m2 pour permettre aux consommateurs de réaliser des économies sur leurs factures d’électricité et leurs émissions de carbone. Ce panneau utilise 120 demi-cellules monocristallines de type N pour produire jusqu’à 375 Wc de puissance. Il possède le même cadre et les mêmes barres de support emblématiques, extrêmement résistantes et minces, que REC utilise dans ses autres panneaux solaires de pointe. Il peut supporter des charges allant jusqu’à 7 000 Pa. La production du REC N-Peak 2 devrait commencer en août 2021, et les livraisons aux clients du monde entier débuteront en octobre.
Il y a 3 ans et 342 jours

UPER’s, l’ameublement circulaire

Émission Bati-Journal.TV  Présentation d’UPER’s, l’ameublement circulaire Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation. Du 15 au 17 juillet 2021, à l’occasion du Forum Bois Construction, les équipes de Bati-Journal.TV donnent la parole aux professionnels en présentant une nouvelle édition du plateau TV installée dans le Grand Palais Éphémère. Retrouvez l’émission présentant UPER’s, l’ameublement circulaire, à l’initiative de l’Ameublement Français, avec Julie Salord, chargée de projet RSE à Square Solution, Fabrice Poncet, co-fondateur de La Fabrique et porte-parole d’UPER’s et Luc Monvoisin, fondateur de Kataba. Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation.