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Il y a 4 ans et 352 jours

Mission pour la sauvegarde du patrimoine en péril : 18 nouveaux sites emblématiques

Pour la troisième édition de la mission pour la sauvegarde du patrimoine en péril confiée par le Président de la République à Stéphane Bern, 18 sites emblématiques des régions de métropole et d’outre-mer ont été sélectionnés. Ils bénéficieront d’un soutien financier de la Mission Stéphane Bern via la Fondation du patrimoine, grâce aux jeux Mission Patrimoine 2020 de FDJ, qui viendra s’ajouter aux subventions du ministère de la Culture pour les édifices protégés au titre des monuments historiques, ainsi qu’aux dons et mécénats collectés. Les 18 sites emblématiques 2020 sont les suivants : Eglise Saint-Etienne de Mélas au Teil – Ardèche Temple protestant Saint-Martin à Montbéliard – Doubs Phare, Fort et Caserne de l’Ile aux Moines – Côtes d’Armor Grange pyramidale à Jars – Cher Couvent des Filles de Marie de l’Île Rousse – Haute-Corse Séchoir à tabac de Lipsheim, remonté à l’Ecomusée d’Alsace d’Ungersheim – Haut-Rhin Église Saint-Pierre de Dompierre-sur-Authie – Somme Fort de Cormeilles-en-Parisis – Val-d’Oise Théâtre romain de Lillebonne – Seine-Maritime Viaduc des Rochers Noirs – Corrèze Abbaye Sainte-Marie de Lagrasse – Aude Ancien Tribunal à Baugé-en-Anjou – Maine-et-Loire Cathédrale Notre-Dame du Réal à Embrun – Hautes-Alpes Habitation Zévallos au Moule – Guadeloupe Eglise du Sacré-Cœur de Balata – Martinique Eglise Saint-Joseph d’Iracoubo – Guyane Pont suspendu de la rivière de l’Est – La Réunion Cathédrale de Saint-Pierre – Saint-Pierre et Miquelon Les dotations accordées à ces 18 sites emblématiques seront annoncées lors des prochaines Journées européennes du patrimoine. 103 nouveaux sites « de maillage » (un site par département et collectivité d’outre- mer), bénéficieront également des jeux Mission Patrimoine en 2020, ils seront annoncés au début du mois de septembre. Photo : Eglise Saint-Etienne de Mélas du Teil © OCUS-Fondation du patrimoine
Il y a 4 ans et 352 jours

À Lavau, des vestiges témoignent de multiples activités de la Préhistoire au XVIIIe

Actuellement, une équipe d’archéologues de l’Inrap mène une fouille sur quatre zones distinctes de la commune de Lavau (Aube) en amont de l’aménagement d’un centre pénitentiaire. La première zone de fouille, en cours de décapage révèle des fosses de chasse du Néolithique. Ces aménagements, qui longent certaines vallées et vallons de la plaine de Champagne, se présentent sous la forme de profondes fosses (parfois plus de 2 mètres), régulièrement alignées. Destinées à piéger les animaux sauvages de la fin de la préhistoire, elles témoignent sans doute des premiers aménagements du paysage séparant le domaine cultivé des espaces sauvages, au moment de l’apparition de l’agriculture. Dans une deuxième zone, les archéologues fouillent les vestiges d’un établissement agricole gallo-romain, actif des années 150 à 250 de notre ère. Cette ferme a été entièrement construite en matériaux d’origine locale. Avec une architecture en bois et torchis, cet établissement est délimité par une palissade dessinant un enclos de plan rectangulaire de 120 sur 50 mètres environ. Dans cet enclos, les archéologues retrouvent les traces de plusieurs bâtiments en terre et bois, au plan très allongé et clairement identifiable. Ces bâtiments, disposés selon une orientation similaire à l’enclos, ont une forme qui évoque des bergeries ou des étables et sont probablement en lien avec l’élevage de moutons. Des traces d’artisanat domestique sont également retrouvées : des pesons de métiers à tisser réemployés dans les fondations des bâtiments témoignent d’une activité textile sur le site. Dans l’angle nord-ouest de cette exploitation, de petits celliers signalent la présence d’une habitation datable des années 200-250 de notre ère. Une dernière zone de fouille concerne le « grand chemin de Troyes à Chalons », qui a précédé l’actuelle route reliant Troyes à Châlons construite à partir de 1750. La bande de roulement de ce « grand chemin » se matérialise par de nombreuses ornières réparties sur une vingtaine de mètres de large, qui incisent profondément le sous-sol. Il semble que la circulation s’effectuait directement sur le substrat crayeux, sans chaussée mise en forme par remblai. Malgré son importance, l’axe de circulation s’apparente plus à une piste qu’à une véritable route, ce que semble confirmer les plans du XVIIIe siècle des environs de Lavau. Du côté oriental de l’axe de circulation, de nombreuses fosses de plantation de vigne sont retrouvées par les archéologues. Mises en parallèle d’autres découvertes archéologiques réalisées dans des parcelles environnantes, elles indiquent l’importance de la viticulture sur le territoire de Lavau entre la fin du Moyen-Âge et la Révolution française. Photo : E Bénistant, Inrap
Il y a 4 ans et 352 jours

Une partie de la charpente de Notre-Dame de Paris reconstituée en une semaine

Du 1er au 7 juillet, vingt-quatre « Charpentiers sans Frontières » ont construit à l’identique une ferme de la charpente de Notre-Dame de Paris en utilisant les méthodes du XIII° siècle dans le parc du château de Mesnil Geoffroy (76). Composé de bénévoles professionnels expérimentés, le collectif mène avec passion ce projet scientifique destiné à illustrer et documenter la manière dont les bûcherons et les charpentiers de l’époque ont bâti la cathédrale Notre-Dame de Paris. Ils souhaitent transmettre un savoir-faire vieux de plusieurs siècles et démontrer qu’il est possible de fabriquer l’une des vingt- cinq fermes de la charpente de la cathédrale en une semaine. Ce chantier a lieu alors que la Commission nationale du patrimoine et de l’architecture se prononcera le 9 juillet 2020 sur la restauration de la cathédrale, ravagée par l’incendie du 19 avril 2019. Afin de mener à bien cette expérience, des propriétaires privés et l’ONF ont fourni neuf chênes de petit diamètre (35-45cm) et du petit bois. Sélectionnées dès cet hiver. Les grumes récemment coupées ont été acheminées avec le soutien de France Bois Forêt, depuis la forêt domaniale de Senonches jusqu’au parc du château de Mesnil Geoffroy, en Seine-Maritime.
Il y a 4 ans et 354 jours

3 start-up lauréates du projet Numériser l’existant

Bimeo, LevelS3D et WiseBIM sont les 3 start-up lauréates du challenge « Numériser l’existant », l’un des 9 projets du programme PROFEEL dédié à l’innovation technologique au service de la rénovation énergétique des bâtiments. Elles bénéficieront d’un soutien financier et technique pour développer les nouvelles fonctionnalités de leurs applis et plateformes de numérisation 3D du bâti, compatibles avec le BIM. Ces solutions digitales innovantes représentent une avancée technologique majeure pour accompagner les professionnels du secteur de la rénovation énergétique des bâtiments et ainsi faciliter et encourager les travaux. Les premiers livrables des outils devraient être finalisés dès l’automne 2020, suivis de nouvelles versions ou fonctionnalités au 1er semestre 2021. ARtoBuild de Bimeo Le scan 3D ultra rapide et précis en quelques clics ARtoBuild est une solution inédite développée par Bimeo, plateforme collaborative BIM, à destination des professionnels du bâtiment, récompensée en 2019 aux cérémonies du BIM d’Or et des Trophées de la Construction. Cette application, compatible avec le dernier iPad pro pour son capteur ultra-précis (technologie Lidar), permet de scanner en 3D simplement et rapidement n’importe quelle pièce. A partir de son interface, les pièces sont assemblées et la maquette numérique est générée au format. Le financement de PROFEEL permet à Bimeo de développer de nouvelles fonctionnalités, telles que la gestion de l’épaisseur des parois, l’ajout d’objets type radiateur, éclairage…, ou encore la possibilité d’annoter la maquette avec des cotations. S3D Capture de LevelS3D Appli, cloud et IA pour un rendu 3D complet LevelS3D est une start-up fondée en 2012 par Yannick Folliard, labellisée JEI (Jeune Entreprise Innovante). Elle a conçu l’application mobile de numérisation S3D Capture, accessible et à bas coût sous forme d’abonnement ou offres à l’acte, compatible avec des smartphones et tablettes équipés d’un capteur de profondeur intégré (compatible sur l’Ipad pro). Basée sur la technologie de nuages de points, elle permet de scanner une habitation aussi facilement qu’en filmant, puis de générer automatiquement et instantanément le modèle 3D. Grâce au financement du projet, LevelS3D prévoit trois phases de développement des nouvelles fonctionnalités : pré- positionnement des nuages de points, ajout de photos pour un rendu plus réaliste, et intégration d’IA pour identifier en 3D des objets et éléments du bâti. Plans2BIM de WiseBIM L’innovation unique qui transforme les plans 2D en 3D WiseBIM est une start-up issue du Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives (CEA) créée en 2017 qui accompagne les gestionnaires de patrimoines immobiliers dans leur transition numérique du bâtiment vers le BIM. Plans2BIM, son logiciel en mode SaaS, en cours de déploiement, sera disponible sur abonnement ou par jetons. Basée sur des algorithmes, cette solution permet de transformer automatiquement et très rapidement en maquette 3D IFC n’importe quel plan architectural 2D, ainsi qu’éditer et enrichir la maquette, via la plateforme en ligne, sans avoir à se déplacer sur site. Le financement obtenu permet à la start-up de finaliser le développement du logiciel, dont des modules pour obtenir rapidement les dimensions d’intérêt ainsi que pour assembler les différents niveaux du bâtiment en une maquette unique.
Il y a 4 ans et 354 jours

Agriculture urbaine : comment aménager une toiture-terrasse

Les exploitations agricoles en ville sont à la croisée des préoccupations environnementales et des aspirations sociétales des citadins. Répondre aux besoins de végétalisation des espaces urbains implique de valoriser les toits, réserve foncière sous-exploitée. Fanny Provent (AgroParisTech) et Paola Mugnier (Urbalia) ont rassemblé les meilleures pratiques pour accompagner les acteurs et décideurs de la ville dans l’installation de potagers en toiture-terrasse, dont elles ont rassemblé les meilleures pratiques. Rétention des eaux pluviales, entretien de la biodiversité, valorisation des déchets, isolation thermique… Les potagers en toiture contribuent, à l’échelle d’un immeuble, au mouvement de végétalisation des villes. Sources de production alimentaire distribuée en circuits courts, ils sont par ailleurs vecteurs de lien social et de pédagogie, à la manière des jardins partagés. Ce guide technique opérationnel correspond bien à l’état d’esprit des défenseurs d’une approche écologique de la vie quotidienne. Illustré de très nombreuses photos et d’infographies, cet ouvrage présente en outre des exemples de réalisations dans plusieurs villes françaises.
Il y a 4 ans et 354 jours

600 000 emplois mobilisés dans la filière électrique pour contribuer à la relance économique

Dans un contexte où l’emploi est plus que jamais un enjeu dans le cadre de la relance économique, les fédérations et associations professionnelles de la filière électrique communiquent les premiers résultats de l’Engagement de Développement de l’Emploi et des Compétences (EDEC). Mené sous l’égide du Ministère du Travail avec le soutien du Ministère de la transition écologique et solidaire, et avec l’appui du cabinet PwC, ce contrat d’étude prospective au périmètre inédit a pour objectif d’appréhender de manière concrète les évolutions à venir des emplois et des compétences de la filière électrique. Au coeur des transitions énergétique et numérique, la filière électrique sera soumise à de fortes transformations d’ici 2030 : évolution du mix énergétique avec davantage de production renouvelable, développement du bâtiment durable et connecté, de la mobilité électrique et de la ville intelligente. Le respect des objectifs fixés dans le cadre de la PPE constitue un potentiel de création de plus de 200 000 emplois directs et indirects supplémentaires dans les territoires d’ici 2030, dont 80 000 consacrés à la rénovation énergétique des bâtiments et 60 000 dédiés aux énergies renouvelables (éolien, solaire photovoltaïque et hydroélectricité). 600 000 emplois qualifiés et pérennes maillent le territoire national dont 300 000 interviennent sur le système électrique (production, transport, distribution et fourniture d’électricité), 220 000 dans le bâtiment, 40 000 dans l’industrie et 40 000 dans les infrastructures de la ville et de la mobilité. La filière électrique compte 30 000 entreprises de toutes tailles, réparties sur l’ensemble de la chaîne de valeur, de l’entreprise unipersonnelle à la multinationale dont plus de 40% des PME-TPE, Ces transformations génèreront en outre d’importantes retombées économiques réparties sur l’ensemble du territoire ou d’effets induits sur l’ensemble de l’économie, qu’il s’agisse d’activités liées à la production et l’acheminement de l’électricité, à la conception et la fourniture d’équipements, aux chantiers du bâtiment et de travaux publics. La transition énergétique s’inscrit dans une dynamique de transformation des métiers et des compétences qui nécessitera un investissement commun pour adapter l’offre de formation professionnelle continue en associant les différentes branches professionnelles concernées. Sécuriser des parcours professionnels dans la durée impliquera également un travail sur les passerelles de mobilité professionnelle, entre métiers du secteur de l’énergie, au niveau national et régional.
Il y a 4 ans et 354 jours

Jean-Christophe REPON, nouveau président de la CAPEB

Jean-Christophe REPON vient d’être élu Président de la CAPEB dont il était le 1er Vice-président depuis 2019. Il succède à Patrick Liébus. Élu au 1er tour d’un scrutin à bulletin secret par le Conseil d’administration réuni ce matin, Jean-Christophe Repon, maître artisan électricien à la tête d’une entreprise employant deux salariés à Toulon dans le Var, devient donc à 53 ans le nouveau chef de file de l’artisanat du bâtiment et le 7ème président de la CAPEB depuis sa création en 1946. Le Conseil d’administration a ensuite procédé à l’élection du nouveau Bureau confédéral, compte tenu des départs du président, d’un vice-président et du secrétaire. Il se compose des huit membres suivants, intégrant 3 nouveaux membres (Christophe Bellanger, David Morales et Francis Mathieu issus du Conseil d’administration) et 3 membres changeant de poste (Corine Postel ancienne trésorière, Gilles Chatras ancien secrétaire adjoint et Michel Dumon ancien trésorier adjoint). Le conseil d’administration a élu membre d’honneur Patrick Liébus en sa qualité de président de la CAPEB de 2010 à 2020.
Il y a 4 ans et 354 jours

La certification NF Habitat – NF Habitat HQE plus accessible

CERQUAL Qualitel Certification a fait évoluer son offre de certification NF Habitat – NF Habitat HQE avec la création de 4 profils permettant aux acteurs d’atteindre des performances supérieures sur des thèmes spécifiques : Économie Circulaire, Air Intérieur, Biodiversité et Bas Carbone. Par ailleurs, les exigences en rénovation ont été ajustées, pour le collectif comme pour la maison individuelle, pour rendre la certification plus accessible et permettre ainsi à un plus grand nombre d’acteurs d’engager leurs projets et activité dans la voie de la qualité. Pour le collectif, les exigences minimales obligatoires ont été réajustées, recentrées autour d’un socle de qualités essentielles, communes à tout bâtiment certifié NF Habitat, afin de limiter les surplus de travaux. Ce socle fondamental porte principalement sur la sécurité des personnes, la sureté et une performance énergétique minimale (150 kWh/m2/an.). Les process de valorisation du niveau HQE ont été simplifiés. Pour la maison individuelle, des évolutions ont été apportées pour mieux répondre aux attentes des particuliers et aux pratiques des professionnels de la rénovation, en prenant en compte tous les fondamentaux d’un projet réussi, dont le respect d’exigences techniques minimales, quels que soient les travaux et toujours en cohérence avec la mention RGE. Pour tous les types de logement, une meilleure prise en compte des cas de surélévation/extension : en collectif par exemple, il est désormais possible de certifier une surélévation/extension seule ou intégrée à un projet de rénovation globale.
Il y a 4 ans et 354 jours

La filière du BTP est oubliée pour FO

18 milliards pour le tourisme, 15 milliards pour l’aéronautique et 8 milliards pour l’automobile… Pour FO, syndicat historique chez LafargeHolcim, l’absence de plan de relance pour le BTP met en péril toute la filière, de l’amont à l’aval. L’inquiétude grandit malgré l’accélération du déconfinement et la fin annoncée de l’état d’urgence sanitaire le 10 juillet. Le nouveau gouvernement va devoir réagir vite. Les plans de relance sectoriels annoncés ces dernières semaines font du BTP, le grand oublié selon Johan Guet, Délégué Syndical Central FO chez Lafarge Ciments. L’heure est à la mobilisation générale. L’administration doit être au rendez-vous. Les permis de construire doivent être délivrés dans des délais raccourcis pour permettre aux chantiers de reprendre au plus vite. C’est toute une chaîne qui est concernée : des matières premières aux installateurs et équipementiers en passant par la conception et la construction. Le syndicat attend un signal clair et rapide. Il s’agit de répondre à une inquiétude grandissante sur l’emploi et le pouvoir d’achat. 120.000 emplois direct sont menacés de suppression d’ici la fin de l’année. Le BTP est au cœur de la croissance verte. Il constitue un formidable levier pour répondre aux attentes de l’après-Covid. Les investissements sont là, à l’image de « l’usine du futur » de Martres-Tolosane. Le groupe LafargeHolcim investit 100 millions d’euros pour faire de cette cimenterie un modèle de développement durable. De la valorisation des déchets aux économies d’énergie, ce site symbolise la transformation du modèle et son entrée dans l’économie circulaire. Avec des coûts de production en baisse, le site de Martres sera compétitif sur un marché tendu et dont la concurrence va s’accroître encore et toujours en raison des conséquences du Covid. Cet investissement répond aussi aux nombreux projets régionaux qui doivent continuer à être soutenus par l’Etat et les collectivités. Il s’inscrit aussi dans l’attractivité du territoire et la qualité de vie à l’heure où le télétravail s’impose progressivement. C’est aussi une réponse aux aspirations et attentes exprimées par les Français.
Il y a 4 ans et 354 jours

Éric Routier a été élu à la présidence du CCCA-BTP

Éric Routier (FNCB-CFDT), 62 ans, a été élu à la présidence du CCCA-BTP ,il succède à Jean-Christophe Repon (CAPEB), qui présidait l’association à gouvernance paritaire depuis 2016. Il a entièrement consacré sa carrière professionnelle au secteur du bâtiment et des travaux publics. Après une formation en menuiserie et avoir exercé dans plusieurs entreprises de la filière, depuis 1984, il travaille au sein de l’entreprise Kaefer Wanner, spécialiste de l’isolation thermique, de montage d’échafaudages, de désamiantage et de peinture en milieu industriel. Il est délégué national CFDT au sein de l’entreprise Kaefer Wanner depuis 1992 et a également été conseiller fédéral au niveau national de la FNCB-CFDT pendant douze ans, jusqu’en 2017. Éric Routier est également administrateur du CCCA-BTP depuis 1997. Jusqu’en 2019, il en a été le trésorier et le secrétaire pendant neuf ans. Son engagement de longue date dans la formation professionnelle aux métiers du bâtiment et des travaux publics, en particulier par la voie de l’apprentissage, l’a amené à présider l’association régionale à gouvernance paritaire BTP CFA Nord – Pas-de-Calais, qui gère les trois centres de formation du BTP du territoire. Éric Routier a par ailleurs présidé l’AREF Nord – Pas-de-Calais, avant d’être nommé administrateur national de Constructys, alors OPCA de la Construction, où il était membre de la commission paritaire du bâtiment des entreprises de moins de onze salariés jusqu’en 2019. Il est également administrateur de PRO BTP Prévoyance, le groupe de protection sociale du BTP.
Il y a 4 ans et 354 jours

Le salon de la piscine et du spa de Lyon aura bien lieu

Suite à l’annonce officielle du maintien de Piscine Global Europe, à Lyon, du 17 au 20 novembre prochain, la Fédération des Professionnels de la Piscine (FPP) confirme son soutien à l’événement leader de la filière. « La FPP est partenaire du salon, depuis 1993. A l’heure où les entreprises ont le plus besoin de notre soutien, il était inconcevable de ne pas confirmer notre engagement réciproque. Piscine Global Europe est un événement indispensable à l’ensemble des acteurs de la filière Piscine & Spa pour accompagner la reprise », souligne Gilles Mouchiroud, Président de la FPP. En affirmant sa volonté d’organiser Piscine Global Europe, au mois de novembre 2020, GL events confirme et poursuit son engagement aux côtés des acteurs du marché de la piscine. Confiant quant aux évolutions sur la libre circulation des personnes, le Groupe proposera, en lien avec l’ensemble des acteurs de l’événementiel et du tourisme d’affaires, une offre de services pour faciliter le déplacement des visiteurs et soutenir ainsi les entreprises de la filière. La FPP fait pleinement confiance à GL events, expert de l’événementiel, pour mettre en place les dispositions sanitaires qui seront en vigueur en novembre prochain.
Il y a 4 ans et 355 jours

UNTEC : le rendez-vous des professionnels de la construction revient les 9 et 10 septembre 2020

Les 9 et 10 septembre 2020 retrouvez le congrès de l’UNTEC, rendez-vous des professionnels de la construction à Angers.  Cette année, le congrès traitera des ruptures en cours : économiques, climatiques, digitales et sociales. « Quels sont les enjeux et témoignages de professionnels et d’acteurs de la filière BTP quant à la rupture environnementale ? Quels sont les enjeux, risques et opportunités pour l’économie et la filière BTP de ces trois ruptures : climatique, digitale, sociale ? Quels sont les enjeux en matière de Responsabilité Sociale et Environnementale pour les entreprises et les cabinets d’économistes de la construction ? Comment la « force de l’humain » peut résoudre des ruptures grâce à la confiance ? » 4 thèmes qui seront abordés lors des conférences. Durant 2 jours : Assistez à des conférences et tables-rondes sur l’intelligence artificielle avec des intervenants experts et reconnus. Découvrez les dernières innovations produits et techniques de la filière construction avec les nombreux exposants présents. Réalisez des rendez-vous d’affaires pendant l’événements sur les espaces dédiés. Rencontrez d’autres professionnels du secteur. L’Untec est depuis 1972, la seule organisation patronale représentative des économistes de la construction en France, qui comptent environ 8 500 entreprises réparties sur l’ensemble du territoire. Conformément à ses statuts, l’Untec a notamment pour objet : de représenter et défendre les intérêts généraux de la profession des économistes de la construction dans ses rapports avec les pouvoirs publics ;  de participer à l’élaboration de la formation initiale et continue de la profession des économistes de la construction ; d’assurer les règles de concorde, de capacité et de probité professionnelle de ses membres au regard du Code de déontologie de la profession ; de promouvoir la profession auprès de tous les acteurs du secteur de la construction et de l’économie en France   Plus d’informations sur le site de l’événement : http://www.congreseconomistes.com/
Il y a 4 ans et 358 jours

Rénovation des menuiseries : un guide en ligne chez Louineau

Louineau a conçu un nouveau guide complet dédié aux fabricants-installateurs et aux artisans poseurs de menuiseries en rénovation. Il est disponible gratuitement sur le site www.louineau.com/renovation-des-menuiseries/. Pensé pour leur faciliter la prescription auprès des particuliers et réaliser leurs travaux dans les règles de l’art, il détaille les différents cas d’écoles rencontrés, les points de vigilance à anticiper, les bénéfices client à valoriser… Ce contenu pédagogique et technique s’inscrit dans la continuité des conférences filmées sur son stand au Mondial du Bâtiment.
Il y a 4 ans et 358 jours

ATEx pour membranes de calfeutrement

Après plus de 8 ans de présence sur le marché francais, la société SIGA a obtenu une ATEx de type A n° 2749 pour les membranes d’étanchéité Fentrim 2® et Fentrim IS 2®. Grâce à l’aspect innovant des ces membranes 100% adhésives, l’entreprise SIGA s’était déjà imposée comme un des acteurs incontournables dans le domaine du calfeutrement des menuiseries et des murs rideaux. Aujourd’hui, cette nouvelle consécration est un tournant pour l’entreprise SIGA, car ces bandes adhésives deviennent les premières membranes de calfeutrement du marché français à être classées dans les techniques courantes selon le classement de la C2P.
Il y a 4 ans et 359 jours

Panneaux sandwich isolants pour toiture

Quickciel propose des produits d’ITE de haute qualité, issus de la recherche et des usines de production de Knauf. L’entreprise est spécialiste de l’ITE pour les toitures avec sa gamme de panneaux sandwich isolants Quickciel Cosyk. Elle propose des panneaux allant de 2,50 à 8 mètres, de 10 en 10 cm, selon le parement sélectionné. L’isolant qui constitue l’âme des panneaux sandwich est un PSE gris hautement performant. Disponibles en deux versions, Th30 (λ de 30 mW/m.K) et Th31 (λ de 31 mW/m.K), et dans des épaisseurs allant de 105 à 260 mm, les panneaux s’adaptent à chaque besoin et permettent d’obtenir une résistance thermique allant jusqu’à 8,95 m².K/W. Le système d’emboitement rainuré bouveté dans le PSE facilite la pose et limite encore les ponts thermiques. Le cœur en PSE est associé à des matériaux résistants qui complètent la structure sandwich. Ils sont facilement manipulables avec une largeur de 60 cm et un poids de 18 à 20 kg/m². Le panneau standard est muni de 2 contre-lattes en bois de résineux pour recevoir les liteaux de couverture et garantir sa ventilation. La pose se réalise sans bande d’alu pour le traitement des joints. Quickciel garantit à ses clients (poseurs et distributeurs) une offre en totale correspondance avec les standards et normes en vigueur de produits certifiés (CSTB, Acermi, HQE, FDES, etc.). Celle-ci se cumule à des services adaptés et appréciés : livraison sur chantier, coupe d’usine en biais pour faîtage et coupe d’égout en bas de pente, solutions pour fixations basses. En effet, Quickciel accompagne ses clients avec une équipe d’experts dédiée sur l’ensemble du territoire qui les conseillent, valident les prises de côtes, calculent les quantités, etc.
Il y a 4 ans et 359 jours

Yann de Carné, nouveau président du GMH

Yann de Carné a été élu président du Groupement des Entreprises de Restauration de Monuments Historiques (GMH) pour un mandat de 4 ans lors de l’Assemblée générale du 1er juillet. Il succède à Gilles de Laâge et Frédéric Létoffé, coprésidents depuis 2016. Âgé de 42 ans, Yann de Carné, est gérant de l’entreprise SMBR dont le siège est basé à Nice. L’entreprise est spécialisée dans les activités de restauration en maçonnerie, taille de pierre et décor peint et emploie 60 salariés.
Il y a 4 ans et 360 jours

La FFB verdit ses propositions pour enrayer la chute d’activité

Aujourd’hui, alors que la crise sanitaire s’estompe, 17 % des chantier du bâtiment se trouvent encore en activité réduite et 5 % toujours à l’arrêt. Pour la FFB, qui vient de publier sa dernière note de conjoncture, la cicatrice restera profonde puisque nos prévisions révisées pour 2020 tablent sur une chute d’activité bâtiment de 18 % hors effet prix et la perte d’environ 120 000 emplois. Le décrochage pourrait atteindre jusqu’à 200 000 postes en 2021 si rien n’est fait. Pour Olivier Salleron, le nouveau président de la fédération, il faut un plan à « prise rapide », pour limiter le trou d’air de septembre et les pertes d’emplois associées, qui en interdiraient la réalisation. Il convient de mobiliser le plus possible les dispositifs qui existent déjà, bien connus et maitrisés. La préoccupation écologique ressort primordiale. En matière de rénovation énergétique, la FFB propose de renforcer le couple CITE-MaPrimeRénov’, au moins pour une période couvrant la fin 2020 et l’année 2021. Elle propose : – de ramener à quelques centaines d’euros le reste à charge pour les ménages très modestes et modestes. Aujourd’hui, les aides nationales couvrent au mieux 90 % des travaux énergétiques, ce qui laisse souvent un montant bien trop important à la charge des ménages visés pour déclencher des opérations. – de restaurer l’éligibilité complète des ménages des déciles 9 et 10 de revenu, soit à partir de 50 000 euros avant impôt par an pour un couple sans enfant, avec les mêmes barèmes que les ménages intermédiaires. Ce sont eux qui ont accumulé le plus d’épargne « forcée » pendant le confinement ; l’orienter vers des travaux de performance énergétique constitue un bon moyen d’alimenter une croissance durable dans notre pays. – de relever de 150 à 400 euros/m² le forfait pour les rénovations globales, dont le coût s’approche souvent des 500 euros/m² dès lors qu’il s’agit de tendre ou d’atteindre le niveau BBC rénovation. Il s’agit d’une des mesures phares du plan FFB. Cette forte majoration doit permettre de prendre en charge une partie des gros travaux non énergétiques qui accompagnent une telle rénovation. C’est aussi un moyen efficace pour que les phases de gros travaux embarquent plus systématiquement la performance énergétique. En première analyse, nous estimons que 50 000 ménages pourraient s’inscrire dans une telle démarche à l’horizon de la fin 2021. La FFB propose même d’aller un pas plus loin, avec une prime poussée à 500 euros/m² en cas de prise en charge complémentaire de l’accessibilité. – de rendre éligibles au CITE, puis à MaPrimeRénov’ les résidences secondaires en zone de revitalisation rurale, parc dont l’importance a été soulignée par la crise sanitaire et qui permet de générer de l’activité, donc de l’emploi, sur ces territoires. – à ce que tous les travaux d’amélioration-entretien bénéficient d’une TVA réduite à 5,5 %. En ce qui concerne le neuf, la FFB propose deux améliorations au PTZ. La première se résume au retour à un prêt de 40 % du montant de l’opération sur tout le territoire. De fait, contrairement aux attentes, le rabotage à 20 % en zones B2 et C depuis 2018 n’a pas conduit les candidats à l’accession vers des zones plus urbaines ou vers l’ancien, mais plus loin des villes et villages pour y trouver un terrain à bâtir moins cher. La baisse de l’aide a donc été vecteur d’étalement urbain. Il convient de revenir en arrière. La seconde proposition correspond à une majoration temporaire à 60 % de la quotité pour les opérations affichant une performance meilleure que la règlementions en vigueur dans le neuf, avec un label « RE 2020 » à définir, ou pour des opérations associées à des travaux permettant un saut de deux classes du diagnostic de performance énergétique (DPE) dans l’ancien. Graphique : Réseau des CERC/FFB/CAPEB
Il y a 4 ans et 361 jours

Témoignage du PDG de SOCATEB sur la façon dont son entreprise, spécialiste de l’enveloppe du bâtiment, a fait face à la crise du Covid 19

Témoignage du PDG de SOCATEB, Jean-Pierre Valente sur la façon dont son entreprise, spécialiste de l’enveloppe du bâtiment, a fait face à la crise du Covid 19 et envisage la reprise dans les mois ou les années à venir. L’entreprise SOCATEB : experte dans le traitement technique des façades (Ravalement, isolation thermique par l’extérieur), l’étanchéïté des toitures terrasses, la serrurerie et le désamiantage 165 salariés. Activité dans les secteurs de la copropriété, bailleurs sociaux, institutionnels. Siège social dans le Val-de-Marne, à Orly. Socateb a subi cette crise au coeur de l’Ile-de-France, région particulièrement touchée par l’épidémie. Comment avez-vous traversé la crise ? Dès le vendredi 13 mars, l’interruption des chantiers est devenue probable et la décision a été prise de les mettre tous en sécurité pour une période d’arrêt, envisagée d’abord pour 15 jours. Le lundi 16, le service production s’est consacré à cette tâche (sécurisation et communication auprès des maîtres d’oeuvre et maîtres d’ouvrage) et le mardi, tous les chantiers étaient fermés. La pénurie de masques, les conditions particulières de travail sur les chantiers (promiscuité, …) et la fermeture des fabricants ont empêché la poursuite de notre activité dans des conditions de sécurité optimale. Nous avons donc mis la plus grande partie de nos équipes en chômage partiel. Le bureau d’études de l’entreprise, son service commercial et son service administratif sont passés en mode télétravail, mais dans la réalité celui-ci ne représentait que 10 à 15 % de l’activité normale, les interlocuteurs habituels de l’entreprise (maîtres d’ouvrage, architectes…) étant eux-mêmes confinés et en télétravail et toutes les assemblées générales de copropriétés suspendues. Avant la crise, l’entreprise s’était équipée d’un système de visioconférences pour permettre aux collaborateurs des réunions à distance, dans une région déjà très touchée par les embouteillages. Cette méthode s’est avérée utile et efficace pendant cette période d’inactivité « forcée ». Durant le confinement, la Direction avec l’aide des services Qualité (QSE) et Production de SOCATEB a mis en place les mesures nécessaires pour la réouverture des chantiers. À avoir, les commandes pour l’approvisionnement en gel hydroalcoolique, en masques, … mais aussi la méthodologie pour la réorganisation des chantiers notamment des bases vie (baraques de chantiers, douches, sanitaires, restauration, etc.) et les nouveaux plannings pour limiter la présence des compagnons. Par exemple, des horaires décalés ont été instaurés pour la pause-repas… que ce soit sur les chantiers ou dans l’entreprise. Parallèlement, la direction a négocié rapidement et facilement un prêt garanti par l’État. Il est vrai que SOCATEB avec ses 40 ans d’ancienneté et sa bonne santé financière présentait toutes les garanties. Cette mesure dans notre cas a été d’une parfaite efficacité. Depuis le 25 mai, SOCATEB aménage ses chantiers suivant les différentes recommandations sanitaires gouvernementales et le guide de l’OPPBTP. Après la validation de la reprise par les différents maîtres d’ouvrage, assistés pat leurs maîtres d’oeuvre et les coordonnateurs de sécurité, ses équipes ont repris progressivement le travail (tout comme leurs fournisseurs eux-mêmes impactés qui ont dû allonger pour certains leurs délais de livraison). Quelles sont les perspectives pour les années à venir ? Aujourd’hui, 100 % de nos chantiers ont repris en Ile-de-France, mais le travail est réalisé en « mode dégradé », ce qui signifie une perte de productivité de 10 à 20%, un nombre de compagnons limité et des « obligations de sécurité renforcées » très consommatrices de temps. L’entreprise maintiendra les mesures de protection sanitaire au plus haut niveau jusqu’à la commercialisation d’un vaccin ou l’annonce gouvernementale marquant officiellement la fin du Covid 19. L’estimation de l’impact économique de la crise Covid pour SOCATEB représente environ 1,5M € de charges non récupérables liées aux frais fixes et d’une diminution de 25% de son chiffre d’affaires sur l’année 2020, le printemps étant la période où l’activité tourne à plein régime dans les métiers du bâtiment. Nous avons estimé pour chaque chantier en cours, les surcoûts entrainés par les frais Covid (on parle en moyenne de 20 000 et 50 000 euros par chantier). Nos clients du secteur public (comme les collectivités et les bailleurs sociaux) ont accepté de prendre en charge une partie de ces dépenses imprévisibles. Dans le secteur privé, nous avons, au cas par cas, expliqué les surcoûts. Certaines copropriétés ont souhaité participer aux frais Covid 19 en utilisant les aléas des travaux votés lors des assemblées générales. Toutefois, la trésorerie de l’entreprise suffisamment solide a permis de reprendre tous les chantiers. Malheureusement, certaines sociétés de notre secteur d’activité, plus fragiles, sont aujourd’hui en grande difficulté face à cette imprévisibilité. Globalement, nous voulons rester optimismes car les besoins en matière de rénovation énergétique des bâtiments sont d’une telle ampleur que si l’on souhaite réellement atteindre les objectifs de la COP 21 les 15 prochaines années n’y suffiront pas.       www.socateb.com
Il y a 4 ans et 361 jours

Hôpital de campagne modulaire à structure bois

La pandémie a révélé des besoins importants d’équipements d’urgence et flexibles pour compléter les capacités d’accueil des établissements de santé existants. Pour faire face à des situations sanitaires d’urgence, AIA Life Designers, groupe pluridisciplinaire d’architectes et d’ingénieurs, a créé HOSPI-CAMP, une solution française d’hôpital de campagne, en partenariat avec LECO Construction, société de construction modulaire en ossature bois. HOSPI-CAMP apporte des surfaces complémentaires pour toutes les activités en lien avec la santé, y compris les plus techniques comme les unités de réanimation, d’urgence, des blocs opératoires ou des laboratoires. Pour atteindre le niveau ISO requis par une chambre de réanimation, AIA Life Designers et LECO Construction ont aussi conçu le PLUG-TECH-AIA qui permet de transformer un module classique en chambre de réanimation avec un minimum de travaux, et ainsi de répondre aux normes sanitaires élevées. La conception des modules est novatrice par le recours à la production hors site qui permet une préfabrication en amont du chantier et un assemblage plus rapide sur place. La simplicité de construction, la disponibilité des matières et la légèreté apportent la souplesse requise par l’urgence. Cette solution est démontable et remontable grâce à la transportabilité de ses modules (par voies aérienne, routière, maritime, fluviale et ferroviaire). Elle peut aussi évoluer au gré des besoins, par ajout ou suppression de modules. Le projet a aussi recours au BIM qui permet un partage d’informations entre les intervenants du projet, tout au long du cycle de vie du bâtiment. Elle permet de maîtriser notamment la gestion des fluides médicaux, fonctionnalité essentielle pour répondre aux futurs usages du bâtiment.
Il y a 4 ans et 361 jours

Dans deux ans, il sera obligatoire de rénover les passoires thermiques !

Le président Emmanuel Macron a annoncé qu’il retenait les 146 propositions des membres de la convention citoyenne sur 149. Un projet de loi sera étudié à la fin de l’été pour intégrer les mesures. 15 milliards d’euros supplémentaires seront injectés sur deux ans pour la transformation écologique. Rappelons que la convention citoyenne souhaitait rendre obligatoire la rénovation énergétique globale des bâtiments d’ici 2040. Pour cela, une les propriétaires occupants et les bailleurs seront contraints de rénover de manière globale, de changer les chaudières au fioul et à charbon d’ici à 2030 dans les bâtiments neufs et rénovés. Un réseau harmonisé de guichets uniques et un système progressif d’aides à la rénovation, avec prêts et subventions pour les plus démunis devrait être développé. Les professionnels du bâtiment seront formés pour répondre à la demande de rénovation globale et assurer une transition de tous les corps de métier du BTP vers des pratiques écoresponsables.
Il y a 4 ans et 364 jours

Nexity s’engage vis-à-vis de ses partenaires tpe/pme pour soutenir la reprise

Le Groupe Nexity se mobilise et prend des mesures concrètes pour accompagner la relance de l’activité immobilière en protégeant l’écosystème des entreprises les plus fragiles dans le contexte actuel. Il s’engage durablement auprès de ses partenaires TPE/PME du secteur du bâtiment en signant une charte autour de 4 axes : – donner aux entreprises une profondeur de carnet de commandes leur permettant d’anticiper leur activité ; – prendre en charge la part des surcoûts de chantiers directement liés à l’application des nouvelles normes sanitaires imputables au Covid ; – réduire les délais de paiements pour soutenir la trésorerie des TPE / PME ; – accompagner les TPE dans leur croissance par du mentorat et de la formation pour mieux maitriser les prix des fournitures. Plus spécifiquement, 1/ pour les petites et moyennes entreprises du secteur (moins de 250 salariés et un chiffre d’affaires annuel inférieur à 50 millions d’euro) : – Mettre en place une démarche partenariale pour trouver les solutions les plus équilibrées en matière de sécurisation du bilan et de la trésorerie de ces entreprises ; – Mettre au service des entreprises partenaires les conditions privilégiées négociées auprès des fournisseurs référencés pour maîtriser les prix des fournitures et les chaines d’approvisionnement ; – Prendre en charge tout ou partie des surcoûts de nettoyage et de désinfection des chantiers ; – S’engager à respecter des délais de paiement de 30 jours. 2/ pour les plus petites entreprises (moins de 10 salariés) – Désigner un interlocuteur privilégié dans le Groupe NEXITY pour les accompagner tout au long de nos relations ; – Faire bénéficier de formations dispensées à nos salariés aux salariés de ces entreprises lorsque cela est utile.
Il y a 5 ans et 0 jours

Vent de fraîcheur pour architecture industrialisée

En périphérie de Lille, sur le site du Centre Régional de Transport 1 de Lesquin/Fretin, l’aménageur et promoteur AVENTIM s’est lancé pour défi d’apporter « un vent de fraîcheur » à cette zone d’activité à l’architecture industrialisée. L’agence O Architecture a été mandatée pour concevoir ce programme baptisé Parc de la Haie. Il est composé de bureaux, showrooms et commerces, où l’usage et le confort sont au cœur des enjeux. La maitrise d’œuvre a travaillé en étroite collaboration avec SOPREMA Entreprises Lille pour la réalisation de l’étanchéité, de l’isolation et du bardage, et sa filiale GH pour la partie charpente métallique. Ces deux sociétés ont uni leur savoir-faire à chaque étape, des études aux plans d’exécution 3D et 2D, en passant par la mise en œuvre et le suivi précis du chantier pour répondre à l’importante coactivité. Leur implantation, sur le même site à Lesquin, a facilité d’autant plus leurs échanges. La toiture et les façades de ces types de bâtis en ossature métallique étant indépendantes, elles ont également nécessité un traitement spécifique de l’étanchéité à l’air. Le projet s’est exécuté en deux phases, entre mars 2019 et mai 2020 : « La Promenade » et « Les Loggias ». Une troisième phase, « L’Atelier », débute également en juin. Ce bâtiment de 5 000 m2 sera réhabilité sur le même modèle architectural que les deux précédents pour une cohérence d’ensemble. La « Promenade » L’ancien siège social de l’enseigne Boulanger a été entièrement réhabilité et redessiné pour laisser entrer la lumière grâce à la création d’une faille paysagère « La Promenade » traversant le bâtiment. Seule la structure métallique a été conservée. Elle a été stabilisée par le charpentier GH pour accueillir, en toute sécurité, des espaces modulables avec de nouveaux usages (5 cellules d’activités sur 5 245 m2, bureaux en rez-de-chaussée et R+1 inclus, et 6 cellules de showrooms et bureaux (R+1) sur 1 998 m2). Au total, 100 tonnes de métal ont été nécessaires pour renforcer l’ossature. Deux extensions (12 x 12 m et 10 x 20 m) en structure métallique classique ont également été ajoutées. De leur côté, les équipes lilloises de SOPREMA Entreprises ont installé 6 400 m2 de couverture sur bac acier (panneaux isolants PIR Efigreen 80 mm et membranes d’étanchéité PVC FLAG SR/FR M2). 3 300 m2 de bardage double peau avec tôles en acier galvanisé et 400 m2 de bois brulé habillent les façades. Les « Loggias » Une nouvelle construction repose également sur une charpente métallique mais avec un noyau central en béton. Elle offre 1 515 m2 de bureaux divisibles du R+1 au R+3 et 460 m2 de showrooms en rez-de-chaussée répartis en deux cellules. Elle est surplombée d’une toiture en double pente de 16 tonnes, comme pour faire écho, de manière contemporaine, au style industriel des bâtiments voisins. Afin de garantir une étanchéité fiable et durable sur cette architecture originale en « pointe de diamant », GH a fabriqué une sur-toiture de 14 tonnes. Ce challenge pour le charpentier a nécessité environ 600 heures d’études entre les calculs et les dessins. 700 m2 de couverture en bac acier, un pare-vapeur (Sopravap Stick), une laine de roche de 180 mm et deux couches d’étanchéité élastomère (Soprafix HP et Sopralene Flam 180 AR FE) ont été posés. Pour parfaire l’enveloppe, des tôles en acier galvanisé et ondulé habillent les 1 000 m2 de bardage double peau et la sur-toiture avec une version perforée. Une partie du toit se pare également d’un rose éclatant. Une touche de couleur, conjuguée à la forme originale du toit, qui signe l’identité du bâtiment. Photo : AVENTIM – GH – SOPREMA Entreprises
Il y a 5 ans et 43 jours

Lecture : Notre-Dame à cœur ouvert

Dans cet essai écrit avec le cœur et un style d’une grande poésie, l’auteur revient sur la signification profonde de ce bâtiment, sur le rapport à la matière et à l’harmonie, s’effrayant que l’on dissocie l’usage du lieu et sa construction. Elle appelle les architectes à respecter le bois de la charpente, vivante matière qui vit aussi de la fonction qu’on lui donne et de l’âme de ceux qui la travaillent ; à s’effacer derrière les mille ans de prières qui ont façonné Notre-Dame ; à ne pas oublier les habitants de l’édifice, âmes du passé qui demeurent entre les murs, hommes du présent qui espèrent et ceux du futur à qui l’on se doit de parler de nous. Voyant en Notre-Dame de Paris une œuvre d’art totale, Marie-Amélie Tek nous propose un texte visionnaire qui nous questionne sur notre rapport à cette cathédrale, mais aussi sur la résonance du patrimoine en chacun de nous. Marie-Amélie Tek est diplômée de l’École nationale supérieure d’architecture Paris-Malaquais et de l’école de Chaillot. En tant qu’Architecte du Patrimoine, elle intervient sur nos monuments historiques prestigieux. Notre-Dame à cœur ouvert, par Marie-Amélie Tek, préface de Christophe Barbier, Pierre Téqui éditeur.editionstequi.com
Il y a 5 ans et 44 jours

Forfait mobilités durables

Dans le cadre du déconfinement, le décret « forfait mobilités durables » a été publié ce dimanche 10 mai pour permettre aux entreprises d’encourager le recours par leurs salariés à des transports plus propres. Le « forfait mobilités durables » permet aux employeurs de prendre en charge de manière facultative les frais de déplacement de leurs salariés sur leur trajet domicile-travail effectué avec des modes alternatifs à la voiture individuelle : à vélo ; en covoiturage (en tant que conducteur ou passager) ; avec des engins de déplacement personnels (motorisés ou non) en location ou en libre-service (comme les scooter et trottinettes électriques « en free-floating ») ; en autopartage avec des véhicules électriques, hybrides rechargeables ou hydrogène ; avec des titres de transports en commun (hors abonnement).Il est exonéré d’impôt sur le revenu et de cotisations sociales jusqu’à 400 euros par an et par salarié. Il remplace l’indemnité kilométrique vélo mise en place jusqu’à ce jour, mais le décret prévoit le maintien de cette prise en charge lorsqu’elle est en vigueur dans les entreprises et prévue dans les accords salariaux existants. Le forfait est cumulable avec la participation de l’employeur à l’abonnement de transport en commun mais l’avantage fiscal résultant des deux aides ne pourra dépasser le montant maximum entre 400 € par an et le montant du remboursement de l’abonnement de transport en commun.
Il y a 5 ans et 44 jours

Planification urbaine bas carbone

Depuis novembre 2019, l’ADEME accompagne 16 collectivités territoriales lauréates de l’appel à manifestation d’intérêt « planification urbaine au service des stratégies bas carbone » pour expérimenter l’effet levier de l’urbanisme dans la mise en œuvre de la transition énergétique et écologique. Cet appel à projet vise à favoriser la prise en compte des enjeux de la transition énergétique et écologique dans les documents de planification (SCoT, PLUi et PLU). Pour accompagner les lauréats, l’ADEME a missionné le CEREMA pour une Assistance à Maîtrise d’Ouvrage (AMO), mutualisée au niveau national. Parmi les 16 collectivités, en fonction de la nature et avancement du projets, 12 bénéficient d’un accompagnement personnalisé en ingénierie, les 4 autres de l’accompagnement collectif. http://www.experimentationsurbaines.ademe.fr
Il y a 5 ans et 44 jours

Prise universelle et connectée

La prise connectée Priska EU supporte les appareils de forte puissance (3 500 W / 16 ampères) et est à la norme européenne Schuko. Elle se connecte en quelques secondes en utilisant le réseau Wi-Fi du domicile et une application dédiée. Ensuite, on peut la piloter à distance et par les assistants vocaux, Amazon Alexa et Google Home. Très intuitive, l’application Konyks permet de créer facilement des automatismes, par exemple pour allumer et étreindre dans une plage horaire donnée, ou des scénarios comme allumer ou éteindre en fonction de la température. La prise Priska EU est vendue en pack de deux à 29,90 euros.
Il y a 5 ans et 45 jours

Permis de construire : redémarrage le 24 mai 2020

Une nouvelle ordonnance permet aux délais applicables en matière d’urbanisme, de courir de nouveau le 24 mai, indépendamment de la prolongation de la période d’urgence sanitaire. Cette ordonnance vient donner de la visibilité aux acteurs du secteur et aux Français pour la continuité de leurs activités et de leurs projets. Elle s’inscrit dans la continuité des ordonnances du 25 mars, 15 et 22 avril qui ont permis d’adapter la question des suspensions de délais pendant la période de confinement.L’ordonnance permet également d’appliquer l’ensemble de ces dispositions à d’autres avis et autorisations liées à la demande d’autorisation d’urbanisme s’agissant de la construction de locaux commerciaux ; de lever toute ambiguïté sur le fait que les délais impartis à l’administration pour vérifier le caractère complet d’un dossier ou pour solliciter des pièces complémentaires dans le cadre de l’instruction d’une autorisation d’urbanisme reprennent dans les mêmes conditions et de faire repartir les délais dans lesquels ces autorisations peuvent être retirées également dès le 24 mai, car comme pour les recours, une purge trop tardive freine les projets.
Il y a 5 ans et 45 jours

RE 2020 : nouveau calendrier

Le Gouvernement a réaffirmé son objectif de mener à bien le chantier de la nouvelle réglementation environnementale pour les bâtiments neufs, dite « RE 2020 ». Les ambitions de la RE 2020, annoncées le 14 janvier 2020 par le Gouvernement, demeurent plus que jamais pertinentes, en particulier : lutter contre le changement climatique en réduisant les émissions de gaz à effet de serre sur l’ensemble du cycle de vie du bâtiment, y compris lors de sa construction, diminuer les consommations énergétiques, et mieux conserver de la fraîcheur dans les bâtiments lors des vagues de chaleur. La crise sanitaire nous appelle également à travailler à des mesures simples, à court terme, pour garantir la qualité de l’air intérieur des logements. Au total, il s’agit de modifier en profondeur la façon de concevoir et de construire les bâtiments de demain.La crise sanitaire a rendu l’organisation des concertations et consultations plus complexe. Or ce travail de concertation est indispensable pour fixer collectivement une ambition environnementale à la fois exigeante et soutenable dans un contexte de reprise. Dans la continuité de l’expérimentation E+C- qui préfigure la réglementation depuis 2017, l’ensemble des acteurs devra également bénéficier d’une période de plusieurs mois pour poursuivre l’appropriation des règles, entre leur officialisation et leur entrée en vigueur.Le calendrier d’élaboration et de mise en œuvre de la RE2020 est ajusté pour tenir compte de l’impact de la situation sanitaire : les concertations se poursuivront pendant l’été pour permettre à tous les acteurs concernés d’y prendre part ; la publication des textes réglementaires (décrets et arrêté) interviendra fin 2020 ou au plus tard au tout début de l’année 2021 ; enfin, la nouvelle réglementation entrera en vigueur à l’été 2021.A plus court terme, la phase de simulations lancée en janvier afin d’éclairer les choix des indicateurs et niveaux de performance pertinents pour la RE2020 s’achèvera courant mai. A l’issue de ces simulations, les ministères de la Transition écologique et solidaire et de la Ville et du Logement mettront leurs résultats à disposition de tous, ainsi que l’outil qui aura été utilisé pour les réaliser. La présentation des résultats lancera une nouvelle étape de concertation avant l’été 2020. Cette concertation permettra par ailleurs de poser les bases d’un label facultatif permettant de préfigurer les bâtiments exemplaires de demain. Photo : Chantier Ris Orangis Promiceapf
Il y a 5 ans et 45 jours

Trêve hivernale jusqu’au 10 juillet

Face à la propagation du Covid-19, dès le 12 mars, le Président de la République avait annoncé le report inédit de fin de la trêve hivernale jusqu’au 31 mai, soit pour deux mois supplémentaires. Afin de tenir compte de la prolongation de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 10 juillet, l’Assemblée nationale vient de voter un nouveau report de la fin de la trêve hivernale à cette même date.
Il y a 5 ans et 50 jours

Gamme pour toitures en zinc mates

GRANUM de Rheinzink a été conçue pour réunir les zincs mats permettant de magnifier les bâtiments haussmanniens ou les toitures à l’impériale, tout comme les architectures contemporaines. Les aspects de surface Skygrey et Basalte évoluent et donnent naissance à GRANUM, une ligne dédiée à ces finitions. Les propriétés des zincs Skygrey et Basalte ont évolué et ont été optimisés pour une plus grande stabilité de l’aspect et de meilleures aptitudes au profilage. La surface mate, obtenue par un traitement de haute technicité, laisse transparaitre, de façon pérenne, la veinure typique du zinc. Un atout esthétique et technique adapté aussi bien en rénovation qu’en constructions neuves. La gamme ne nécessite aucun entretien et constitue une solution durable pour tous les domaines d’application. RHEINZINK, premier fabricant mondial de zinc-titane pour le bâtiment, complète son offre d’aspects de surface de zinc, avec GRANUM, une gamme dédiée aux zincs mats.
Il y a 5 ans et 50 jours

Rénovation d’une toiture amiantée sans dépose

Déposer une toiture amiantée peut vite devenir lourd d’un point de vue financier car il convient de faire appel à une société spécialisée et certifée sous section 3 du Code du travail. Celle-ci doit sécuriser l’ensemble du chantier, dans un cadre législatif très strict. Pour rénover la toiture de leur concession automobile et éviter toute perte d’exploitation durant le chantier, les dirigeants de cette entreprise, située à Caudan dans le Morbihan, ont choisi une rénovation en sur-toiture avec le système ONDUCLAIR RENOV FC proposé par ONDULINE. Le bâtiment est composé de 3 halls, chacun recouvert d’une toiture ondulée en fibrociment amianté de 1 400 m2, soit une surface totale de 4 200 m2. Compte tenu de l‘importance de la surface à rénover et des contraintes économiques, il a été choisi de conserver l’ancienne toiture et de la recouvrir sans perçage avec un matériau adapté. Il a fallu opter pour une solution légère, qui puisse être supportée par la charpente existante.
Il y a 5 ans et 50 jours

Pierres en trompe l’oeil sur une façade en aluminium

Le Centre International de Conventions du Pays de Galles conçu par le cabinet Boyes Reed Architects, reprend certaines caractéristiques des bâtiments locaux, en les revisitant avec une vision actuelle. Pour le design de la façade, les architectes se sont inspirés des murs en pierre typiques des bâtiments civils du sud du Royaume-Uni, évoquant l’effet d’ardoise – gris foncé – et la pierre calcaire -gris clair chaud. Ils ont utilisé un revêtement en aluminium plié sous forme de blocs rectangulaires de différentes dimensions, de chez Kingspan. Les panneaux ont un noyau isolant hybride exclusif qui peut atteindre des valeurs de U de 0.08 W / m2 ∙ K. La jonction entre les panneaux se réalise à l’aide de languettes et fentes crénelées et atteint une excellente étanchéité à l’air. Les couches d’aluminium sont prétraitées afin d’améliorer la résistance à la corrosion et sont peintes avec la peinture en poudre de la collection Patina Stone (Adapta Color) classe 2. L’objectif n’est pas d’imiter la pierre, simplement l’évoquer grâce à la couleur, l’effet et l’opacité de cette gamme de peinture.
Il y a 5 ans et 51 jours

Votez pour des courts métrages sur les métiers et formations du patrimoine

Les métiers et les formations de la restauration du patrimoine sont mis à l’honneur dans le FESTIVAL PARCOURSMÉTIERS AWARDS – 2020, qui bat son plein sur la toile pendant huit semaines, jour et nuit, avec 841 films de 3mn en compétition. Filmées par les jeunes et pour les jeunes, les réalisations présentent des professionnels et des apprentis qui oeuvrent au quotidien à la préservation du patrimoine français. 18 films sont en compétition dans cette thématique, pendant 3 jours. Des films réalisés entre le 1er septembre 2019 et le 30 mars 2020 par des jeunes, avec leur propre regard, et enseignants de l’enseignement supérieur, du lycée, du collège, d’associations… mais aussi d’adultes en centre de formation, permettront de découvrir plus d’une dizaine de métiers. Jusqu’au 8 mai, les internautes peuvent visionner et voter pour les meilleurs films de cette thématique. https://www.parcoursmetiers.tv/page/45-en-ce-moment
Il y a 5 ans et 51 jours

Une plateforme de mise en relation avec les travailleurs indépendants

Un groupe d’entrepreneurs néerlandais et belges a créé la plateforme RedFix qui permet de mettre rapidement en relation les travailleurs indépendants, les entrepreneurs indépendants et les employeurs en Europe. De cette manière, ils peuvent tous continuer à travailler pendant et après la crise du coronavirus. Après un démarrage réussi aux Pays-Bas, la plateforme a également été lancée en Allemagne, au Royaume-Uni, en France, en Espagne, en Italie et en Belgique. RedFix met en relation les travailleurs indépendants et les entreprises clientes qui dressent la liste de leurs missions. Le service est gratuit et il n’y a pas de frais d’agence non plus car les entreprises, les travailleurs indépendants et les entrepreneurs indépendants sont confrontés à des difficultés pendant la crise du coronavirus. Les entreprises peuvent s’enregistrer et dresser la liste de leurs projets. Les indépendants peuvent indiquer leur activité, leur taux horaire minimal et leur disponibilité dans leurs profils. RedFix recherche ensuite la bonne correspondance. https://red-fix.fr/fr/
Il y a 5 ans et 53 jours

Voici le protocole national de déconfinement pour toutes les entreprises

Le ministère du Travail a publié un protocole national de déconfinement pour aider et accompagner les entreprises et les associations, quelles que soient leur taille, leur activité et leur situation géographique, à reprendre leur activité tout en assurant la protection de la santé de leurs salariés grâce à des règles universelles. Ce protocole vient en complément des 48 guides métiers déjà disponibles sur le site du ministère du Travail et élaborés en partenariat avec les fédérations professionnelles et les partenaires sociaux. De nouveaux guides sont par à venir, à la demande des partenaires sociaux, dans les jours qui viennent.Le protocole est divisé en 7 parties distinctes et apportent des précisions relatives :• aux recommandations en termes de jauge par espace ouvert ;• à la gestion des flux ;• aux équipements de protection individuelle ;• aux tests de dépistage ;• au protocole de prise en charge d’une personne symptomatique et de ses contacts rapprochés ;• à la prise de température ;• au nettoyage et à désinfection des locaux. Muriel Pénicaud, ministre du Travail « Nous devons accompagner toutes les entreprises pour que l’activité reprenne dans des conditions garantissant la santé et la sécurité des salariés. C’est une condition nécessaire au retour au travail à partir du 11 mai même si le télétravail doit rester la norme pour toutes les activités qui le permettent pour les prochaines semaines ». https://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/protocole-national-de-deconfinement.pdf
Il y a 5 ans et 53 jours

Les centres de formation continue vont de nouveau accueillir des stagiaires

À compter du 11 mai 2020, les centres de formation sont susceptibles d’accueillir à nouveau dans leurs centres des stagiaires en formation continue (salariés, indépendants, demandeurs d’emploi). Ils devront nécessairement respecter le protocole national de déconfinement. Un guide ad hoc à destination des organismes de formation, travaillé avec la profession et validé par le ministère du travail, complétera le protocole national et sera publié demain mardi 5 mai. Pour Muriel Pénicaud « le développement des compétences est plus que jamais un élément déterminant pour le développement économique des entreprises et l’emploi des salariés. Il est essentiel que les organismes de formation reprennent leur activité, en respectant les mesures sanitaires, à partir du 11 mai 2020 ». La ministre du Travail salue, par ailleurs, la réactivité des organismes de formation qui ont su développer des formations à distance pendant toute la période de confinement. Il est essentiel qu’elles continuent à le faire.
Il y a 5 ans et 53 jours

Réussir la reprise en Auvergne-Rhône-Alpes

En Auvergne-Rhône-Alpes, les chantiers reprennent progressivement. Avec l’ensemble de la filière, il est désormais essentiel de lever les derniers freins logistiques et de rechercher ensemble les solutions économiques favorables à une reprise plus durable. Lever les derniers freins logistiques sur l’amont et l’aval de la filièreD’un point de vue logistique, l’approvisionnement en masques demeure encore problématique même si la situation s’améliore grâce à la mobilisation de l’outil de production local et à des initiatives comme celle du Conseil Régional avec une dotation de 100 000 masques destinée aux entreprises du BTP de moins de 20 salariés. Les lieux de distribution seront les Fédérations Départementales du BTP, les CAPEB départementales et la Fédération Régionale des Travaux Publics. L’approvisionnement, les raccordements provisoires de chantiers, l’ouverture des déchetteries restent également des points sur lesquels la filière se mobilise. Renforcer la concertation et la solidarité économiqueLes Organisations Professionnelles du Bâtiment et des Travaux Publics appellent également à la solidarité de la maitrise d’ouvrage pour faire face aux surcoûts de chantiers liés aux nouvelles contraintes imposées par la crise sanitaire. Devant être chiffrées au cas par cas, ces augmentations correspondant au respect des nouvelles préconisations sanitaires et à la réorganisation des chantiers (distanciation sociale, nettoyage des bases vie, achat de masques, de gants, rotations des camionnettes et VUL, mobilisation supplémentaire de personnels, prolongation des frais financiers, baisse de la productivité, etc.). Les entreprises ne pourront pas les absorber seules. Il est indispensable de renforcer cette solidarité, dont font preuve nombre de maitres d’ouvrage depuis la période de confinement, à l’image notamment de la Région Auvergne-Rhône-Alpes qui a annoncé une enveloppe de 15 millions d’euros dédiée aux surcoûts sanitaires de ses chantiers en cours. Soutenir la commande publique localeEnfin, concernant les freins administratifs, deux modifications de l’ordonnance qui prévoyait un gel des autorisations d’urbanisme à l’issue de la période de confinement ont été obtenues ; mais cette évolution demeurerait insuffisante si aucune consigne n’était donnée aux services instructeurs en vue d’accélérer les délais d’instruction. La situation appelle également à la levée des arrêtés municipaux interdisant les travaux pendant la période de confinement, comme il en est apparu dans notre région. Les Organisations Professionnelles appellent au soutien des EPCI et des collectivités et à la bienveillance des citoyens afin d’éviter un retard qui pénaliserait la reprise d’activité et l’emploi local.La crainte d’un essoufflement de la commande publique locale est en effet bien réelle et pourrait se produire au plus mauvais moment. Il est nécessaire de lancer de nouveaux projets pour éviter un « trou d’air », dès la fin de l’été, qui pourrait avoir de lourdes conséquences sur la santé économique de la filière.De ce fait, les Organisations Professionnelles souhaitent que dans les communes qui ont pu élire l’ensemble de leurs conseillers municipaux, l’installation et le fonctionnement des nouveaux Conseils (élection du Maire, désignation des commissions d’appels d’offre et travaux notamment, élection des délégués communautaires) puissent très rapidement être engagés afin de permettre les décisions de travaux nécessaires aux équipements publics. Dans le même objectif, une réflexion doit rapidement s’ouvrir sur le soutien de l’Etat à l’investissement des collectivités locales. Réactiver la commande privéeLes Organisations Professionnelles demandent aux particuliers qui ne sont pas à risques et aux entreprises d’ouvrir leur porte aux artisans et entreprises du BTP afin qu’ils terminent les travaux initiés ou qu’ils en engagent d’autres… Il en va de la santé économique du BTP et de ses emplois.
Il y a 5 ans et 53 jours

Les Offices Publics de l’Habitat préparent la relance

Pour la Fédération nationale des Offices Publics de l’Habitat , la crise sanitaire actuelle est inédite et met davantage en avant les inégalités sociales. Elle rend visible et palpable, dans l’espace public et dans l’opinion, les difficultés quotidiennes que rencontrent plusieurs millions de concitoyens, la fragilité des services publics mais aussi la mobilisation massive de ceux qui les animent, ainsi que les faiblesses d’un modèle socio-économique. La crise sanitaire a le mérite de mettre en lumière les progrès qu’il reste à accomplir (personnes sans logement, logements insalubres ou surpeuplés…) pour que le droit au logement digne soit effectif pour tous. Deux axes principaux sont à explorer : aboutir à une relance socialement juste, et faire que cette relance irrigue tous les territoires en favorisant la transition écologique et la qualité des logements. Cette dynamique positive devra être accompagnée par l’État, garant de la solidarité nationale en lien avec les collectivités, garantes de la mise en œuvre concrète des politiques de l’habitat. Une relance socialement justePour répondre à cet axe, la FOPH propose différentes actions : la revalorisation de l’APL au-delà de l’inflation ;l’abondement par le budget de l’État des FSL départementaux ou métropolitains les plus sollicités ;la suspension des expulsions pour dette de loyers jusqu’au printemps 2021 ;l’accompagnement individualisé de chaque locataire en difficulté économique et sociale ;la reconnaissance du logement social comme un bien de première nécessité en lui appliquant la TVA à 5,5% sur tous les investissements, soit un gain de 4.000 à 7.000 euros par logement construit. Ce sont ces fonds propres supplémentaires qui dans un premier temps couvriront les surcoûts liés à la crise sanitaire et qui favoriseront une reprise rapide des chantiers, pour ensuite permettre d’accroître les investissements. Le coût estimé pour les finances publiques s’élève à 250 millions par an pour les PLUS, 150 millions pour les PLS. Une relance qui passe par la reprise des chantiersDepuis quelques jours, les chantiers ont repris progressivement. Pour réussir la relance, il est nécessaire de préserver les agents économiques privés et publics. Construire et réhabiliter permettra de contribuer à préserver les PME du bâtiment, présentent sur de nombreux territoires : 94% des communes comptent au moins une de ces entreprises ou artisans. Il sera également nécessaire de le faire plus massivement pour répondre aux besoins quantitatifs de logements et en proposant des logements aux normes environnementales élevées. De nombreux offices devront aussi rénover des logements pour en accroître les qualités de confort et de performances énergétiques. Pour la FOPH, la suppression de la baisse des APL payée par les loyers des locataires serait une mesure simple pour permettre aux HLM de récupérer immédiatement 6% d’autofinancement, soit pour les offices environ 600 millions d’euros, et pour conforter l’État dans son rôle de garant de la solidarité nationale.Cependant, d’autres mesures sont proposées qui évitent le recours à l’endettement, un endettement qui a beaucoup crû avec les mesures « dites » d’accompagnement de la RLS. Parmi les nouvelles mesures, sont attendues: un soutien financier renforcé sous forme de subvention aux projets portés dans le cadre de l’ANRU pour accroître le nombre de reconstructions, de réhabilitations lourdes et les restructurations du patrimoine,une augmentation du nombre de logements réhabilités pour accélérer leur amélioration thermique et leur qualité d’usage. Pour les offices, une première étude issue des mémentos prévisionnels (outils de recensement des PSP des offices) montre que les offices pourraient accroître de 50% le nombre de logements réhabilités chaque année (50 000 en moyenne par an pour un montant moyen au logement de 23 000 euros entre 2014 et 2018) et donc atteindre 75 000 logements par an à partir de 2021/2022, si entre 150 millions et 200 millions de subventions supplémentaires peuvent être injectées chaque année,plus spécifiquement pour les offices, autoriser les collectivités locales à souscrire des titres participatifs de leur office pour accroître leurs investissements au bénéfice des habitants de ces mêmes collectivités. Une relance qui passe par des investissementsChaque année, les Offices Publics de l’Habitat lancent en moyenne 50 000 ordres de service pour des interventions de plus de 5 000 euros par logement. Le coût moyen de ces interventions est de 22,6K€ par logement, soit un engagement d’investissement moyen de 1,1 milliard par an. Plus de 220 000 ordres de services sont également lancés pour des interventions plus légères (moins de 1 200 euros par logement en moyenne), pour un engagement d’investissement moyen de 260millions d’euros. L’investissement total engagé atteint ainsi en moyenne 1,4 milliard par an.
Il y a 5 ans et 58 jours

Le 11 mai, le secteur culturel va déconfiner… un tout petit peu

Le premier ministre, Edouard Philippe, a présenté, mardi 28 avril 2020, le plan du gouvernement pour un déconfinement progressif à partir du 11 mai. L’activité culturelle ne reprendra que très partiellement à partir de cette date. Les déplacements seront limités à un rayon de 100 km du domicile, sauf pour « un motif impérieux, familial ou professionnel » et les départements seront classés selon deux couleurs. Jérôme Salomon, directeur général de la santé, présentera le 30 avril la première carte des départements en catégorie « rouge », « où le déconfinement doit prendre une forme plus stricte », et de ceux classés en « vert », où la circulation du virus est considérée comme « limitée ». Les bibliothèques et petits musées pourront rouvrir dès le 11 mai, sans précision des taille critique. Les grands musées, les cinémas et théâtres, les salles de concert, les salles polyvalentes restent fermés, tout événement de plus de 5 000 personnes étant interdit jusqu’à septembre. Dans les lieux de culte, les cérémonies sont interdites jusqu’au 2 juin. L’ouverture des parcs et jardins publics va dépendre du lieu de résidence, ils « ne pourront ouvrir que dans les départements où le virus ne circule pas de façon active », c’est à dire classé en vert.
Il y a 5 ans et 58 jours

#culturecheznous : banque d’images des Monuments Nationaux

Le Pôle Images du Centre des monuments nationaux possède un fonds riche de plus de 500 000 documents photographiques étroitement lié à l’histoire de l’établissement, héritier de la Caisse nationale des monuments historiques et des sites, sur les thèmes de l’architecture et du patrimoine architectural français. Ses missions se concentrent particulièrement sur les monuments dont le Centre des monuments nationaux assure l’ouverture au public…. https://regards.monuments-nationaux.fr/fr
Il y a 5 ans et 58 jours

#culturecheznous : passionante archéologie sous-marine

Pour partir à la découverte et réaliser l’expertise des épaves, les fouilles et les recherches mobilisent des équipes de passionnés et des savoirs scientifiques et techniques multiples : c’est l’histoire de l’humanité que les archéologues-plongeurs explorent pour en partager les trésors. https://archeologie.culture.fr/archeo-sous-marine/fr
Il y a 5 ans et 58 jours

#culturecheznous : Joseph-Henri Deverin, préserver et illustrer le patrimoine bâti

Joseph-Henri Deverin rejoint la Commission des Monuments Historiques en 1877, et est nommé sur titre architecte en chef des Monuments Historiques en charge de la Vienne (à l’exception de Poitiers), des Deux-Sèvres et plus tard de la Vendée et de la Loire-Atlantique puis de la cathédrale de Luçon. Il est l’auteur de plusieurs projets de restauration comprenant une réhabilitation du Palais Royal et un projet d’aménagement du château de Nantes… Joseph-Henri Deverin
Il y a 5 ans et 58 jours

#culturecheznous : cinq sites patrimoniaux d’exception en Loire-Atlantique

Retrouvez sur une même page un ensemble de contenus numériques réalisés autour des sites patrimoniaux et des collections du musée Dobrée. Partez à la découverte des trésors de Loire-Atlantique, rencontrez les collectionneurs du musée Dobrée, visitez l’église du Vieux-Bourg de Saint-Sulpice-des-Landes, un site méconnu renfermant d’exceptionnelles peintures murales du XVe siècle, manipulez l’écrin du coeur d’Anne de Bretagne en, 3D… https://grand-patrimoine.loire-atlantique.fr/jcms/les-sites-a-visiter-fr-eja_77010
Il y a 5 ans et 58 jours

Programmation Pluriannuelle de l’Energie : respecter le calendrier malgré la crise

Suite à la publication, tant attendue, de la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE) par le gouvernement, le SER alerte sur l’importance du respect indispensable du calendrier malgré la période que nous traversons. Tout retard fragiliserait encore davantage les entreprises du secteur, développeurs et industriels, en particulier les ETI et les PME, et nous éloignerait des objectifs que la France s’est fixé de parvenir à 33% d’énergies renouvelables dans son mix énergétique en 2030 et d’atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050. Pour tenir ce calendrier, au moment du redémarrage, il sera nécessaire d’accélérer les procédures administratives permettant de mettre en service les projets déjà en développement et la planification des appels d’offres afin de compenser les retards dus à la crise. Le SER appelle à ce qu’une réflexion s’ouvre sur les mesures d’accompagnement qui seront nécessaires afin d’atteindre les objectifs définis. Photo : Edilians