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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Bati journal

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Il y a 5 ans et 246 jours

Avec BatINBOX, maîtrisez vos obligations réglementaires amiante en toute sérénité !

Publi-information DTA, DAPP, états de conservation, fiches récapitulatives …Pour un gestionnaire de patrimoine, un bailleur social, ou tout autre propriétaire, la gestion de l’amiante dans un parc immobilier peut s’avérer très complexe : difficile d’identifier les diagnostics déjà réalisés, ceux qui doivent être mis à jour, les échéances à respecter… BatINBOX permet de reprendre la main en simplifiant la gestion de l’amiante de votre patrimoine immobilier. Vous disposez d’un véritable tableau de bord pour maîtriser l’amiante de votre parc. La solution permet d’alerter lorsque des états de conservation ou mesures périodiques doivent être refaits, de mettre à jour facilement le Dossier Technique Amiante (DTA) et d’assurer une traçabilité ! BatINBOX apparaît comme une véritable solution de gestion du patrimoine, visuelle, ergonomique, évolutive aussi. Mais ce n’est pas tout : selon la réglementation, l’obligation du DTA repose sur le propriétaire… Avec BatINBOX, vous avez la possibilité de déléguer la gestion de ce dossier amiante à un expert de la problématique. Pour cela, appuyez-vous sur notre réseau de partenaires. Avec BatINBOX, pilotez efficacement vos obligations amiante. En savoir plus sur BatINBOX contact@batinbox.fr
Il y a 5 ans et 246 jours

22 Entrepreneurs s’appuient sur l’Accélérateur PME / ETI Bois

Les marchés de la filière forêt-bois répondent à des enjeux économique et sociaux majeurs. La filière forêt-bois est un fondement de la transition vers une économie décarbonée. Elle génère près de 400 000 emplois directs et indirects au sein des PME et ETI qui constituent un maillage économique remarquable au sein de l’hexagone. Les industriels et les pouvoirs publics ont construit une offre d’accélération répondant aux enjeux de la filière. 22 Entrepreneurs intègrent la première promotion d’Accélérateur PME / ETI Bois. L’Accélérateur Bois répond aux enjeux spécifiques de croissance et de structuration des petites et moyennes entreprises et leur apportent ainsi les solutions adaptées afin d’accélérer leur développement. Il est articulé autour de trois leviers qui seront activés tout au long des vingt-quatre mois d’accompagnement : – Conseil : réalisation par un consultant d’un diagnostic 360° pour identifier les axes prioritaires de croissance et accès à des modules de conseil dédiés ; – Formation : participation à huit séminaires d’une journée sur des thématiques ciblées, à des ateliers permettant aux entreprises de renforcer leurs compétences et nourrir leurs réflexions stratégiques ainsi que des formations en e-learning et des autodiagnostics ; – Mise en relation : accès privilégié aux réseaux d’entrepreneurs et de partenaires de Bpifrance.
Il y a 5 ans et 246 jours

Coup d’envoi du « Tour de France CTB »

L’Institut technologique FCBA vient de lancer le Tour de France CTB, dont le 1er rendez-vous a réuni plus de 80 professionnels et entreprises de la filière en Nouvelle-Aquitaine, depuis la 1ère transformation et l’approvisionnement, la construction et la maitrise d’œuvre, en passant par le traitement du bois. Dédiés aux professionnels et entreprises engagés dans une démarche de qualité certifiée ou en passe de le devenir, les rendez-vous du Tour de France CTB sont complémentaires aux rencontres thématiques des « After’Bois », lancées par FCBA en mai 2019, accessibles à tous. « On est dans une période transitoire très importante, et ce n’est que le début, sur la Nouvelle-Aquitaine mais aussi, plus largement, en France. Grâce au travail de toute la filière, institutionnels, professionnels, industriels, scieurs…, tout s’accélère. Je pense que dans 10 ans, tout le monde aura sa place dans ce nouveau paysage de la construction et on verra des choses incroyables ». Pierre Deheaulme – Woodland Concept (société d’architecture, conception et réalisation de bâtiments en matériau CLT). Les prochains rendez-vous du Tour de France CTB : Nantes – Janvier 2020 Reims – Avril-mai 2020 Lyon – automne 2020
Il y a 5 ans et 247 jours

Voiles de béton blanc matricé aux fines ondulations horizontales

Conçu par l’architecte Emile Aillaud à la fin des années 60, le quartier de La Grande Borne, à cheval sur les communes de Viry-Châtillon et de Grigny, fait l’objet d’un important programme de rénovation urbaine dans lequel vient s’inscrire l’opération très attendue de l’Accroche Nord. Conduite selon une démarche de conception-réalisation, la construction de cet ensemble compte plusieurs bâtiments à usage mixte comprenant 32 logements, 4000 m² de bureaux ainsi que des locaux à vocation sociale. Associés au projet dès la phase concours, l’architecte Thomas Bourdon et l’entreprise CIBETEC ont étudié les meilleurs choix techniques pour la réalisation des panneaux destinés à habiller les quatre bâtiments. Pour répondre au parti architectural, la solution a consisté à préfabriquer des panneaux en béton blanc matricé et lisse pour les parties inter-fenêtres d’une part et, d’autre part, des panneaux aux fines ondes horizontales (vibration de la lumière) pour la vêture générale, avec l’exigence d’un entretien facile. Ce sont au total 211 panneaux matricés en béton blanc brut C30/37, soit 1700 m², qui ont été fabriqués sur mesure par Cibetec. Leur réalisation a dû relever plusieurs défis : – Respecter le départ des ondes sur 3 moules différents pour que les panneaux fabriqués puissent s’aligner. – Des panneaux lisses de différents formats s’intercalent entre les parties vitrées, en rive ou en pied de panneau. Leur fabrication a nécessité de nombreux ajustements au niveau des moules. – Chaque panneau, d’une épaisseur de 20 cm, a été fixé sur les façades porteuses avec rupteurs thermiques. Toutefois, ces rupteurs thermiques ont constitué une réelle contrainte tant au niveau de leur positionnement, que par la gestion des différents modèles, même si un plan spécifique avait été fourni pour leur implantation. – Une attention particulière a été portée au positionnement des inserts car les joints verticaux de l’ensemble des panneaux ne sont jamais superposés. Au niveau des murs, la conception architecturale a multiplié la diversité des angles : 45°/51°/66°/69°/79°/84°/102°. Pour respecter cette particularité chaque angle a été numéroté et leur réalisation a nécessité l’utilisation de coffrages métalliques pour obtenir des arêtes parfaitement rectilignes.
Il y a 5 ans et 247 jours

DTA pour toiture chaude en zinc

Le système de Toiture Structurale de VMZINC est la seule solution de toiture chaude en zinc du marché pour des bâtiments de faible à moyenne hygrométrie. Sous Atex depuis trois ans, ce système s’est vu valider un nouveau DTA par le CSTB et le GS 5.1 de la CCFAT pour sa solution avec isolant d’épaisseur maximale totale de 260 mm. Une certification obtenue après la mise en œuvre de plus de 50 000 m2 de projets et qui confirme sa fiabilité. Le système garantit une pose optimale et directe du zinc sur isolant, réduisant ainsi l’épaisseur totale du complexe en comparaison à une toiture traditionnelle à épaisseur d’isolant égale. Il se compose d’une couverture ZINC PLUS à joint debout et d’un isolant en laine minérale rigide, de 50 mm à 260 mm d’épaisseur. L’ensemble est rapporté sur support en bac acier ou bois avec pare-vapeur. Le ZINC PLUS est protégé en sous face par une laque composite de 60 microns. Gymnase, St-Bel (France) – Architecte : Atelier de la Passerelle – Crédit photo VMZINC  
Il y a 5 ans et 247 jours

Nouveau profil de couverture et de bardage à joint debout à clipper

Depuis 18 ans, PRIVÉ SA située à Châlons-en-Champagne (51) conçoit, fabrique et distribue des produits de couverture et de bardage à joint debout en acier galvanisé laqué Styl’inov, destinés à l’enveloppe du bâtiment. Fort de cette expérience, la société a développé le nouveau profil à joint debout Styl’inov Evolution. Il se clippe facilement pour une pose avec un aspect joints debout alignés. Sa nouvelle forme atténue les vagues sur la couverture ou la façade des bâtiments pour un aspect lisse sans défaut. Sa rigidité facilite la manutention de profils de 13 m de long.
Il y a 5 ans et 248 jours

Se chauffer au bois, un geste économique, écologique et citoyen

A l’heure où il fait bon rallumer le chauffage dans les habitations, Fibois AuRA, qui fédère l’ensemble des professionnels de la filière forêt-bois en Auvergne-Rhône-Alpes, souhaite rappeler les atouts environnementaux et économiques du bois énergie. Le bois de chauffage, complémentaire à la récolte de bois d’œuvre utilisé en construction, participe à une meilleure valorisation globale de la récolte forestière. Face à l’épuisement des ressources fossiles, la forêt, qui constitue une ressource renouvelable, représente un potentiel important de combustibles et contribue au développement d’emplois locaux non délocalisables. Pour les particuliers, le bois bûche, étant en moyenne deux fois moins cher que le gaz naturel et près de trois fois moins cher que le fioul, offre une alternative économique intéressante pour le chauffage individuel. Le bois énergie constitue une ressource locale potentiellement inépuisable permettant de valoriser les produits issus de la récolte du bois. Il participe à une meilleure valorisation de la récolte forestière qui pour 1m3 récolté produit à parts égales du bois d’œuvre et du bois énergie. Très compétitif, son prix fluctue très peu, dépendant uniquement du coût de fabrication et non du contexte géopolitique. Le bois permet aujourd’hui à la France d’économiser 6 à 7 milliards d’euros d’importation de pétrole et notre pays prévoit de passer de 8,6 millions de logements chauffés par des équipements individuels au bois (bûches ou granulés) à 10,3 millions en 2023 en consommant la même quantité de bois grâce à l’isolation des maisons et à une meilleure performance des appareils de chauffage*. Choisir le bois pour se chauffer participe également à une démarche écocitoyenne puisque le bois utilisé appartient à des propriétaires forestiers de la région et est transformé par des entreprises locales, très majoritairement des PME participant à l’économie de nos territoires ruraux. Créatrice d’emplois, la filière de production de bois énergie, sous forme de bûche, de bois déchiqueté, ou de granulé, représente plus de 2700 emplois directs non délocalisables en Auvergne-Rhône-Alpes**. __________________________ *Source : Etude ADEME / SOLAGRO, BIOMASSE NORMANDIE, BVA – Août 2018 ** Sources : Etude ADEME et Fibois Drôme/ardèche et Observatoire bois énergie 2019 de Fibois AuRA Afin de guider les consommateurs, Fibois AuRA partage sur son site www.fibois-aura.org les bonnes pratiques à adopter pour se chauffer au bois et synthétise toutes les informations sur cette énergie renouvelable. La marque France Bois Bûche® et ses déclinaisons régionales Auvergne Bois Bûche® et Rhône-Alpes Bois Bûche® constituent un réseau de professionnels, qui apportent aux usagers transparence, information et conseil pour favoriser une utilisation optimale du bois de chauffage. Le site www.franceboisbuche.com répertorie ces entreprises engagées et toutes les recommandations pour l’approvisionnement, l’installation, la maintenance et l’achat d’appareils de chauffage au bois.
Il y a 5 ans et 248 jours

Plan d’action « Sécurité cathédrales »

Le ministère de la Culture est propriétaire de 89 édifices de cultes, dont 87 cathédrales. Il vient de réaliser un état des lieux des systèmes de sécurité et a proposé un plan « sécurité cathédrales », doté de 2 millions d’euros qui viennent en plus des crédits consacrés l’an prochain à leur conservation et à leur restauration. L’objectif de ce plan d’action, élaboré par l’inspection des patrimoines de la direction générale des patrimoines, en lien avec la Conférence des évêques de France, est de préciser les mesures à mettre en œuvre par les différents acteurs du ministère (DRAC, Architectes des Bâtiments de France, Conservateurs des monuments historiques, etc.). Cette démarche dépasse les simples exigences réglementaires. Elle complétera l’action des commissions de sécurité qui s’intéressent principalement aux conditions d’accueil du public et permettra d’assurer un suivi de l’ensemble des cathédrales. Ces dispositions porteront sur 8 axes : – limiter les risques d’éclosion en portant une attention toute particulière aux installations électriques et aux procédures mises en œuvre à l’occasion de travaux, en particulier par point chaud. – réduire les risques de développement et de propagation d’un sinistre par la mise en place de dispositions constructives, techniques et organisationnelles adaptées aux spécificités de chaque édifice ; – faciliter l’action des sapeurs-pompiers – entretenir des relations privilégiées avec les services de secours ; – encadrer les conditions d’exploitation des différentes activités notamment dans le cadre culturel de manière à garantir la sécurité du public et à clarifier les responsabilités de chacune des parties ; – réduire les conséquences d’un sinistre par la mise en place notamment d’un plan de sauvegarde des biens culturels ; – renforcer la formation des acteurs sur les enjeux de sécurité incendie ; – mettre en place des outils de gestion et des mesures organisationnelles.
Il y a 5 ans et 249 jours

PACTE L’ÉVÉNEMENT : un événement dédié à tous les professionnels du bâtiment

Les partenaires du programme PACTE organisent le 10 décembre un événement dédié à tous les professionnels du bâtiment. Une demi-journée consacrée aux outils et solutions pratiques mis à leur disposition pour améliorer la qualité de la construction. Transition énergétique, transition numérique, transition économique : le secteur du bâtiment doit aujourd’hui relever de nombreux défis pour adapter et transformer en profondeur les modèles traditionnels. Conscient de ces enjeux, les représentants de la filière bâtiment et les Pouvoirs Publics se sont rassemblés dans le cadre du programme PACTE pour accompagner les professionnels dans cette nécessaire mutation des pratiques. Depuis 5 ans, PACTE soutient des initiatives concrètes et innovantes, nationales ou territoriales, qui ont permis de développer de nouvelles ressources utiles pour des bâtiments plus performants, confortables et durables : 80 projets soutenus, plus de 200 ressources mises à disposition des professionnels et des formateurs (calepins de chantiers, solutions numériques, référentiels techniques, etc.) PACTE L’ÉVÉNEMENT mettra à l’honneur celles et ceux qui ont contribué au développement des projets. Il permettra de découvrir et tester les outils créés par et pour tous les professionnels de la filière avec l’objectif que tous les participants s’approprient des solutions efficaces et qu’ils diffusent cette mine de ressources gratuites et disponibles pour tous. 4 thématiques articulent cet après-midi : la formation, la performance, les outils pratiques et l’Outre-mer. Dans un contexte permettant la libre découverte, l’échange et le partage de pratiques, un espace forum rassemblera les porteurs de projets et des zones telles qu’une self librairie, un café/rencontres, un espace médias, etc. L’événement se clôturera par une séance officielle – avec la participation du Ministère de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales et de Sabine Basili, présidente du programme PACTE – suivie d’un cocktail avec l’ensemble des participants. Programme et inscription sur pacte-evenement.fr
Il y a 5 ans et 249 jours

Les rubans du patrimoine 2020 : participez à la 26e édition !

Lancé en 1994 sous le nom de « Villes et Villages gagnants », le concours les rubans du Patrimoine distingue et récompense des communes et intercommunalités ayant réalisé des opérations de rénovation ou de mise en valeur de leur patrimoine bâti. Les rubans du Patrimoine 2020 sont organisés dans le cadre d’un partenariat entre : la Fédération Française du Bâtiment ; l’Association des maires de France ; la Fondation du patrimoine ; la Fédération nationale des Caisses d’Épargne ; le Groupement Français des Entreprises de Restauration de Monuments Historiques. Participez à la 26e édition des rubans du Patrimoine !  Le concours est doté de 15000 €, répartis par le jury entre les lauréats nationaux. Toutes les communes lauréates reçoivent un diplôme et une plaque à apposer sur le bâtiment rénové, remis lors d’une cérémonie organisée par les partenaires en présence des médias. Vous êtes maire ou président d’une intercommunalité. Vous avez entrepris des travaux de restauration du patrimoine bâti de votre commune. Les travaux ont été réalisés par des entreprises du bâtiment. Les édifices rénovés ont plus de 50 ans. Les travaux faisant l’objet du dossier se sont terminés entre le 1er janvier 2017 et le 31 décembre 2019 Envoyez votre dossier complet avant le 31 janvier 2020 ! En savoir plus : – Découvrez les lauréats de l’édition 2019 – Participer au concours – www.rubansdupatrimoine.ffbatiment.fr
Il y a 5 ans et 249 jours

Centrale photovoltaïque flottante

Akuo, producteur indépendant français d’énergie renouvelable et distribuée, a inauguré O’MEGA1 à Piolenc (Vaucluse), la centrale photovoltaïque flottante la plus puissante d’Europe. Elle produit de l’énergie 100% renouvelable couvrant la consommation de 4 373 foyers. D’une puissance de 17MWc, dotée de 47 000 panneaux photovoltaïques, elle est déployée sur le lac d’une ancienne carrière de Piolenc, et est équipée de la nouvelle génération de structure flottante Hydrelio® by Ciel & Terre. Ce système permet de réduire les conflits d’usage du sol, il est destiné à être installé sur des bassins écrêteurs de crues et d’irrigation, des réservoirs d’eau potable, des bassins industriels, des terrains inondables ou encore des lacs de carrières. Akuo est le fabricant et le distributeur exclusif de ce système en France. Cette première centrale a été construite par Bouygues Energies Services. Photo : Akuo  
Il y a 5 ans et 249 jours

La réforme du CITE 2020 est bonne pour le chauffage au bois

Suite à l’annonce du Gouvernement de la réforme du CITE 2020, Thomas Perrissin, Vice-Président du Syndicat Français des Chaudiéristes Biomasse regrette, comme le reste de la profession, que les ménages les plus aisés ne soient plus encouragés à engager la transition énergétique par la prime unifiée en 2020. Mais il se félicite des nouvelles orientations des aides : la meilleure valorisation des énergies renouvelables que sont le bois énergie et le solaire thermique, ainsi que la simplification, avec une prime unique et forfaitaire, qui garantit un reste à charge juste pour toutes les solutions énergétiques proposées. Le soutien privilégié à la première énergie renouvelable de France, le bois énergie, est cohérent avec les objectifs fixés par la PPE 2019. Le gouvernement veut 3 à 4 millions d’utilisateurs du chauffage au bois domestique de plus d’ici 2028 et le remplacement de 3 millions de chaudières fioul par des solutions renouvelables.
Il y a 5 ans et 250 jours

Le colloque annuel CREBA : Le 21 novembre à Strasbourg

Le 21 novembre à Strasbourg, le colloque annuel CREBA s’adresse aux professionnels et responsables de la réhabilitation du bâti ancien, particulièrement concernés par les enjeux énergétiques, techniques et patrimoniaux sous-tendus par la loi de Transition Énergétique pour la Croissance Verte. L’objectif de la journée consistera à présenter  » des approches et outils qualitatifs pour accompagner la transition écologique de la réhabilitation du bâti ancien ». Le Centre de ressources pour la réhabilitation responsable du bâti ancien est une plateforme numérique qui a pour but d’aider les professionnels du bâtiment à répondre aux enjeux de la Transition énergétique par des réhabilitations de qualité qui préserveront le patrimoine bâti ancien. Site de l’événement : CREBA
Il y a 5 ans et 250 jours

90 % des produits et systèmes préfabriqués en béton ont une FDES

90 % des produits et systèmes préfabriqués en béton destinés au bâtiment disposent d’une Fiche de Déclaration Environnementales et Sanitaires (FDES) collective, établie par le CERIB à la demande de la Fédération de l’Industrie du Béton. Les FDES vérifiées de la plupart des éléments de maçonnerie en béton de granulats courants étaient déjà disponibles dans la base INIES : blocs de granulats courants posés à joint épais ou à joint mince, blocs de coffrage ainsi que les entrevous en béton. Neuf nouvelles FDES collectives ont été approuvées. Elles couvrent les principaux produits destinés au secteur du bâtiment dans différentes conditions de mise en œuvre : murs à coffrage intégré (MCI), murs à coffrage et isolation intégrée (MCII), prédalles en béton armé et précontraint, dalles alvéolées, poteaux en béton armé, poutres en béton précontraint. D’autres FDES vérifiées seront mises en ligne sur la base INIES dans les semaines qui viennent pour quatre types d’escaliers préfabriqués en béton, pour les panneaux architecturaux pleins et à isolation intégrée, pour les poutrelles en béton ainsi que pour les tuiles en béton. Disposer d’une FDES vérifiée représentative des produits mis sur le marché est devenu un enjeu majeur pour les acteurs de la construction afin de répondre à la nouvelle réglementation environnementale, d’enrichir l’expérimentation E+C- et d’anticiper la future RE2020.
Il y a 5 ans et 250 jours

Création d’un groupe de réflexion pour la qualité d’usage et la qualité architecturale des logements sociaux

Vivre dans un logement de qualité pour tous les citoyens, est une priorité de l’action gouvernementale. L’architecture contribue de façon majeure à la qualité du cadre de vie. Elle joue également un rôle essentiel dans l’accompagnement des engagements pour la transition écologique et énergétique. Dans ce contexte, Elisabeth Borne, Julien Denormandie et Franck Riester ont annoncé le lancement d’une réflexion commune sur l’exercice de la maîtrise d’ouvrage sociale et de la maîtrise d’œuvre. Cette réflexion visera à identifier et valoriser les bonnes pratiques, à garantir la qualité architecturale, l’innovation dans le logement pour la construction neuve comme pour la réhabilitation. L’équilibre dans les rapports entre l’ensemble des acteurs techniques et économiques d’un projet sera également au centre des réflexions. Elle intégrera bien entendu pleinement les dimensions sociale et environnementale des bâtiments. Du fait de son expérience, de ses compétences et de son engagement, les trois ministres ont souhaité confier le pilotage de cette réflexion à Pierre-René Lemas, qui fut notamment directeur général de la Caisse des dépôts et consignations. Il s’appuiera pour cela sur un groupe de pilotage composé de représentants de l’Union sociale pour l’habitat (USH), du Conseil national de l’ordre des architectes (CNOA), de personnalités qualifiées et d’élus locaux, ainsi que sur un comité des parties prenantes, qui seront installés très prochainement et associeront étroitement les territoires. Les propositions de mesures et d’orientations issues de cette réflexion seront communiquées aux trois ministres au printemps 2020.   Visuel : Bessières (17e), Lauréat : « NOC 42 » réinventer Paris  
Il y a 5 ans et 253 jours

Bati-journal vous donne rendez-vous à Batimat 2019 pour une nouvelle édition du plateau Bati-Journal TV

Bati-journal vous donne rendez-vous à Batimat 2019 pour une nouvelle édition du plateau Bati-Journal TV Bati-journal.TV, la web TV de la construction, réunit une nouvelle fois les spécialistes du bâtiment sur son plateau, à l’occastion du Mondial du Bâtiment qui se tiendra du 04 au 08 novembre au parc des Expositions Paris-Nord-Villepinte. Retrouvez cinq thèmes principaux qui rythmeront cinq rendez-vous quotidien : La Matinale de la construction bois en partenariat avec Wood Surfer Industrialisation, préfabrication, valorisation des bois locaux, bois d’ingénierie (CLT), impact carbone, cadre de vie, confort et bien-être, ou encore Jeux Olympiques… La construction bois joue dans la cour des grands et se rapproche de la première marche du podium. Nous verrons qu’avec elle le mot innovation prend tout son sens. Défi Rénovation en partenariat avec Atrium Le plus important gisement d’économies d’énergie et de gaz à effet de serre est dans la rénovation des bâtiments existants. On le sait depuis le Grenelle de l’environnement. Mais dix ans après, c’est encore LE défi à relever. Patrimoine, massification, industrialisation, rénovation basse énergie et bas carbone, rénovation des HLM et copropriétés… Le tour d’horizon sera complet. BJTV, vos questions, nos réponses en partenariat avec Construction21 Inédit, tous les jours entre 13h30 et 14h, nos invités spécialistes répondront en direct et sans filet aux questions du public et des internautes sur un point d’actualité bâtiment et construction. Villes et constructions durables en partenariat avec Planète Bâtiment Ville, quartier, îlot ou bâtiment, l’éco-construction devrait être l’axe unique d’un développement durable. La conscience des enjeux est-elle au rendez-vous ? Serons-nous capables de protéger et de ramener la biodiversité en ville ? De produire un urbanisme durable et bas carbone ? Et l’économie circulaire dans tout ça ? Un avant-goût des questions que nous poserons à nos invités. Enveloppe performante en partenariat avec 5façades Esthétique et technique, l’enveloppe du bâtiment cristallise toutes les problématiques de la construction : architecture et design, confort d’usage (thermique, acoustique, apport et protection solaire…) et réglementation (feu, ventilation…). Nous verrons que les industriels, fortement représentés à Batimat, rivalisent pour offrir des produits et systèmes aptes à répondre à toutes ces attentes. NOUVEAUTÉS 2019 : une émission en interaction avec le public, en partenariat avec Construction21 – Vous ne pouvez venir assister à l’émission ? Posez-nous vos questions dès maintenant en cliquant ici  un nouveau plateau tv avec du mobilier conçu dans le cadre d’un concours de design avec l’École Supérieure du Bois et l’École de Design de Nantes Un événement organisé par Éditions des Halles et Batimat, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt, en partenariat avec 5façades, Atrium, Construction211, Planète Bâtiment, Pour Moi C’est le Bois et Wood Surfer. Toutes les vidéos du plateau TV sont à retrouver dès le 04 novembre sur bati-journal.TV, franceboisforet.fr , batimat.com et les sites de nos partenaires.  
Il y a 5 ans et 254 jours

Façade ventilée sur bâtiment industriel centenaire

Sur l’ancien site des usines automobiles Delage, en pleine mutation urbaine, il reste une empreinte de l’histoire industrielle : un bâtiment en charpente métallique et briques de trois étages, long de 119 m. Sa toiture shed en dents de scie est typique de l’architecture industrielle du début du XXe siècle. En 2015, la quinzaine de copropriétaires s’est adressée à l’Atelier d’Architecture Alter Ego, spécialisé dans la rénovation et l’entretien des bâtiments, pour réaliser un diagnostic de la bâtisse. S’en est suivi un projet de rénovation de l’enveloppe pour restituer l’aspect des façades en briques et métal. Pour Natacha Buffa et Vincent Cabre, les architectes en charge du projet, la solution qui s’impose est une façade ventilée afin d’assurer l’isolation thermique du bâtiment. La société Béchet a proposé la solution la plus satisfaisante : le bardage StoVentec SCM avec finition en briquettes de terre cuite. Selon l’Avis Technique du procédé, l’ossature du bardage est solidarisée à la structure porteuse, généralement en béton en maçonnerie, par des pattes-équerres. Mais, ici, la difficulté est de fixer le bardage sur la façade existante qui n’est pas en béton. Impossible de l’accrocher sur les briques qui n’ont pas une résistance suffisante. Reste la structure métallique en fer puddlé, le même matériau que celui de la tour Eiffel. Les profilés verticaux et horizontaux de l’ossature sont constitués de lames de fer assemblées en cinq ou six couches par des rivets. L’idée du président de l’entreprise, Hugues Béchet, et de ses équipes est de réaliser une structure intermédiaire fixée sur les montants verticaux en fer et qui supporte le complexe de bardage. Des poutres epsilon en acier de 9 m de longueur sont boulonnées sur des consoles en T préalablement soudées sur les montants verticaux en fer puddlé de la façade. Neuf rangs de rails sont ainsi répartis sur la hauteur de la façade. Puis des tubes carrés de 50 x 50 mm sont vissés horizontalement sur ces profilés tous les mètres pour constituer un système de poutre treillis sur toute la façade. La structure est prête pour recevoir les rails en aluminium du système de façade ventilée StoVentec SCM. Cette dérogation à l’Avis Technique est soumise au bureau d’études structure du projet, au service technique de Sto ainsi qu’au bureau de contrôle Veritas qui valident la solution proposée après avoir vérifié que cette sous-structure ne subirait pas de déformations au-delà de ce que peut accepter ce parement. Après des tests in situ, le chantier peut enfin commencer. L’isolant en laine de verre de 140 mm d’épaisseur fixé sur le mur de façade est recouvert de la structure primaire. Un réseau de rails horizontaux en aluminium supporte des plaques à revêtir en billes de verre expansé recyclé fixé directement à la sous-construction en aluminium. Un primaire (StoPrim) est appliqué sur les plaques de bardage, puis recouvert d’un enduit de marouflage (StoLevell Uni) et d’un treillis d’armature en fibre de verre. Les briquettes de terre cuite sont ensuite collées une à une à l’aide du mortier de collage StoColl KM FR avant d’être jointoyées avec un produit adapté. Pour absorber les dilatations du métal, le nombre de fractionnements des plaques de bardage est revu à la hausse. Les panneaux habituels de 6 x 10 m sur des constructions en béton sont ici réduits à 6 x 6 m. Une autre innovation du chantier concerne le recoupement feu imposé aux façades ventilées par l’instruction technique IT 249. Il est ici réalisé avec un dispositif invisible de l’extérieur en remplacement de la bavette acier débordante. En cas d’incendie, cette bande collée et fixée mécaniquement sur un bandeau de laine de roche haute densité s’expanse pour compartimenter la lame d’air. Au rez-de-chaussée côté rue, la façade ventilée est remplacée par le système d’ITE StoTherm Vario associant un isolant en polystyrène graphité avec une finition en briquettes. Quant à la façade sur cour, elle est doublée sur toute sa longueur d’une verrière qui empêche la pose au sol de tout échafaudage. Il est également impossible de fixer un échafaudage en encorbellement sur la façade peu résistante. L’entreprise Béchet a donc dû faire preuve d’ingéniosité en soudant des consoles métalliques sur les fers verticaux, ces consoles reprenant un seul pied d’échafaudage tous les 9 m, puis en renforçant l’échafaudage de diagonales pour assurer sa tenue. Les consoles, dont la fixation soudée se trouvait, après travaux, derrière l’isolant, servent de support à des plateformes définitives recevant les appareils de climatisation du bâtiment. En juin 2019, après un an de travaux, le bâtiment a retrouvé son allure d’antan.
Il y a 5 ans et 254 jours

Peinture façade aux pouvoirs extrêmes

Unikalo, 1er fabricant français indépendant de peinture bâtiment, a mis au point une technologie innovante qui protège les façades contre tous les types d’encrassements. Sa résine siloxane hybride possède une structure moléculaire unique qui décuple les qualités du siloxane (effet perlant, film antistatique et hydrophobe) tandis que la diffusion progressive d’agents encapsulés détruit les salissures résiduelles évitant l’apparition de l’encrassement. Cette solution a été testée et éprouvée dans des conditions climatiques intensives pour en mesurer la pérennité : la gamme EXTREM obtient des performances supérieures aux peintures siloxanes 10C du marché, une meilleure respirabilité et imperméabilité à l’eau, un séchage après intempéries 2 fois plus rapide et une protection anti-crypto 4 fois plus efficace.
Il y a 5 ans et 254 jours

Lariviere et Actis sur un même stand au Salon international du Patrimoine Culturel

Lariviere filiale du Groupe SIG France, distributeur européen spécialiste des marchés de l’enveloppe du bâtiment et de l’aménagement intérieur, sera présent au Salon international du Patrimoine Culturel, du 24 au 27 octobre 2019 au Carrousel du Louvre, entouré de plusieurs partenaires, dont ACTIS. Au sein de la salle Le Nôtre, le groupe présentera ses diverses expertises, par le biais de sa marque d’ardoises naturelles GALIZA et sa filiale Maury-NZ, pour une conservation optimale du patrimoine, basée sur une logique d’excellence de la toiture et de respect des toitures parisiennes. Une grande maquette regroupant plusieurs solutions, isolation, ardoises, zinc, cuivre, plomb, châssis, sera présentée. Les isolants alvéolaires souples d’Actis seront là, ils permettent notamment de ne pas avoir à effectuer d’importante rehausse de toiture. Par conséquent, ces solutions sont particulièrement adaptées à la restauration d’ouvrages architecturaux ayant des contraintes très spécifiques.
Il y a 5 ans et 254 jours

Alternative esthétique aux toitures plates

Rui Moreira, entrepreneur et architecte s’est lancé dans son projet de construction de maison individuelle avec l’idée de lui offrir une enveloppe exclusive et moderne. Il souhaitait une toiture douce et plate, aux lignes épurées, qui puisse répondre aux exigences du PLU imposant une pente minimale de 14 %. Ses recherches, en matière de toiture et pour répondre à ses aspirations sans modifier l’esthétique recherchée, l’ont mené au choix de la tuile contemporaine Ultima TFP ardoisé de Wienerberger. Cette tuile adopte un pureau variable qui lui permet de s’adapter aux différentes longueurs de rampant. Ses emboîtements profonds, associés à sa structure, garantissent une étanchéité renforcée.   Photo : Grégory Tachet  
Il y a 5 ans et 255 jours

Inauguration du centre de conservation du musée du Louvre à Liévin

Le ministre de la Culture, Franck Riester, a inauguré le centre de conservation du musée du Louvre à Liévin. Ce lieu permet de rassembler les réserves du Louvre dans un lieu unique et fonctionnel, d’apporter des conditions de conservation optimales et une meilleure accessibilité des collections aux chercheurs. Environ 250 000 œuvres sont encore conservées dans plus de 60 réserves différentes au sein du palais du Louvre à Paris, majoritairement en zone inondable ou à l’extérieur dans des lieux de stockage provisoire en attente d’une solution pérenne. Le Louvre dispose d’un plan de protection contre les risques d’inondations (PPCI), mais le délai d’évacuation est insuffisant pour mettre à l’abri l’ensemble des collections exposées au risque d’inondation. Par ailleurs, les aménagements de réserves ne répondent plus pour certaines aux exigences de conservation et de fonctionnement d’un musée (absences notamment d’espaces dédiés aux traitements des collections). D’ici à 2014 ces œuvres seront transférées à Liévin. Le centre de conservation s’étend sur 18 500 m², dont 9 600 m² réservés au stockage des œuvres et 1 700 m² destinés à l’étude et au traitement des œuvres. Le cabinet d’architectes britannique Rogers Stirk Harbour + Partners a imaginé un bâtiment paysage où la nature investit le toit, légèrement incliné. Il conjugue lumière naturelle pour les espaces de travail et de circulation des œuvres, et haute performance pour assurer la stabilité climatique nécessaire à la bonne conservation des collections. Cet équipement d’étude et de recherche – l’un des plus importants d’Europe – permettra de consolider les synergies liées à la création du Louvre-Lens, de conforter l’ancrage du Louvre dans le Bassin minier et de renforcer l’attractivité du territoire. Le Louvre et la Région souhaitent ainsi faire du Centre de conservation du Louvre un acteur de dynamique culturelle et économique, en développant des collaborations avec les nombreux musées de la région et en favorisant le développement de formations et d’activités liées à la gestion de collections, grâce à des partenariats de coopération scientifique et culturelle avec les universités des Hauts-de-France et des organismes de formation continue comme l’Institut National du Patrimoine (INP).Le Centre de conservation du Louvre, outre sa mission première de conservation des collections nationales, pourra aussi héberger les œuvres de pays menacés par les conflits. Photo : Centre de conservation du Louvre © Architecte RSHP / Mutabilis Paysage et Urbanisme / Joas Souza Photographe
Il y a 5 ans et 255 jours

Une nécropole antique exceptionnelle à NARBONNE

Aux portes de Narbonne, une nécropole antique est actuellement fouillée par une équipe de l’Inrap, sur prescription de la Drac Occitanie, en préalable à l’aménagement d’un nouveau quartier. Par son importance et son exceptionnel état de conservation, ce site est une découverte majeure pour l’archéologie française et bénéficie d’un important financement public, de la mobilisation des collectivités. La nécropole est structurée par des enclos maçonnés, implantés selon un parcellaire régulier. Ceux-ci permettent de discerner des groupes distincts dont il est possible de comparer les pratiques respectives. Ces concessions, accolées, parfois séparées par des chemins de desserte, présentent des petits monuments ornés d’enduits peints. Des plaques peuvent être apposées sur les monuments. Leurs épitaphes documentent les couches les plus modestes de la plèbe urbaine (esclaves ou affranchis) d’origine essentiellement italienne ; elles témoignent également de la prospérité économique de ces milieux plébéiens. Les sépultures sont majoritairement des crémations : sont présents de nombreux bûchers et des tombes simples – souvent protégées par une couverture ou un coffrage de tuiles. La sépulture comporte les ossements brûlés placés dans un contenant accompagné d’un dépôt de cruches en verre ou en céramique, parfois associées à des vases à parfum et des lampes.  La diversité des structures funéraires, leur état de conservation, la superposition des sols et des tombes font de ce site un cas unique en Gaule, la nécropole de Narbonne apparaît d’ores et déjà comme la référence pour l’étude des pratiques funéraires en Gaule romaine, mais aussi pour la connaissance de la plèbe durant l’Antiquité. Le site est à proximité immédiate du musée archéologique Narbo Via qui, dès 2020, présentera sur 8 000 m² le patrimoine et le récit exceptionnel de la Narbonne antique. Aménagement : Alenis​​ Contrôle scientifique : Service régional de l’archéologie (Drac Occitanie) Recherche archéologique : Inrap​ Responsable scientifique : Valérie Bel, Inrap Photo : Vue de drone de la nécropole antique de Narbonne – Denis Gliksman – Inrap
Il y a 5 ans et 257 jours

Découvrez la nouvelle solution biosourcée de Parexlanko : Parnatur

Conçu en France dans des laboratoires de Recherche & Développent du Centre d’Innovation. Parnatur corps d’enduit chanvre de Parexlanko est une solution biosourcée projetable du marché présentant des performances thermiques (λ = 0,066 W/m.K), hygrothermiques (Moisture Balanced Value – MBV 2,9) et acoustiques (Perte par transmission 53 dB pour 5 cm d’épaisseur). Une solution dédiée à la restauration du bâti ancien en intérieur et extérieur. Composée d’un bi-composant, d’un liant à base de chaux, d’un granulat biosourcée et d’une chènevotte de chanvre ; Parnatur corps d’enduit chanvre répond aux nouveaux défis de la transition énergétique.
Il y a 5 ans et 257 jours

Stratégie nationale pour l’Artisanat et le Commerce de proximité

A l’occasion de la 4ème édition des Rendez-vous de l’Artisanat, qui s’est tenue ce jour dans le cadre des Artisanales de Chartres, Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances, a dévoilé la « Stratégie nationale pour l’Artisanat et le Commerce de proximité ». Elle est destinée à poser le cadre d’un accompagnement novateur et durable de l’Etat au bénéfice des professionnels de l’artisanat et du commerce de proximité afin de s’adapter aux enjeux actuels. L’objectif est également d’accélérer leur développement et de faire de l’administration un partenaire à leur service. Cinq objectifs ont été définis : – Améliorer le financement des TPE et aider l’entrepreneur à choisir le statut le plus adapté, – Faciliter la transition numérique, – Simplifier les procédures, – Accompagner la transition énergétique et écologique, – Promouvoir le commerce de proximité et l’artisanat dans les territoires. La mise en œuvre de cette Stratégie pour l’Artisanat et le Commerce de proximité s’inscrira dans la durée, dans le cadre d’un dialogue constant avec les organisations professionnelles, les collectivités territoriales et les chambres consulaires. Ces dernières, CMA France et CCI France, auront un rôle important à jouer dans sa mise en œuvre : chaque entreprise, où qu’elle se trouve sur le territoire, doit avoir une réponse à ses interrogations et être accompagnée en fonction de ses besoins, que ce soit pour se développer ou faire face à de nouveaux enjeux.
Il y a 5 ans et 259 jours

10 mesures de la FFB pour les artisans du bâtiment

En 2018, les 373 000 entreprises artisanales du bâtiment de 0 à 10 salariés ont réalisé 50 milliards d’euros HT de travaux et employé 437 000 salariés. Le Conseil national de l’artisanat de la FFB est force de propositions pour défendre et promouvoir ces entreprises. Elle vient de proposer aux pouvoirs publics 10 mesures : – Rétablir une équité fiscale pour donner du pouvoir d’achat aux artisans. – Réduire la taxe pour frais de chambre consulaire à la seule part effectivement reversée aux CMA (Chambres de métiers de l’artisanat). – Supprimer la double imposition aux cotisations formation des gérants salariés – Limiter la durée de franchise de TVA à 2 ans pour les microentreprises et la réduire à 15 000 €. – Responsabiliser les plateformes de mise en relation sur le contenu des offres publiées sur leur site. – Renforcer le contrôle des décharges sauvages et ouvrir les déchetteries municipales aux artisans. – Stabiliser et pérenniser les mesures fiscales d’incitation aux travaux (TVA réduite, CITE…). – Faciliter l’accès des artisans à la commande publique. – Simplifier l’accès au financement de la formation des artisans et de leurs conjoints. – Promouvoir l’apprentissage en garantissant une offre de proximité et de qualité.
Il y a 5 ans et 260 jours

Silverwood se recentre sur les bois rabotés

Silverwood se recentre sur son cœur de métier : des bois rabotés de qualité fabriqués en France, sur stock et sur commande. L’entreprise souhaite ainsi devenir le partenaire au quotidien de ses clients avec une équipe commerciale de proximité, s’engager à offrir le meilleur des bois rabotés pour garantir la satisfaction de ses clients en étant attentif à l’efficience de la logistique comme du process industriel. Mais aussi, agir pour l’environnement en utilisant un matériau naturellement vertueux et naturellement performant. Le nouveau catalogue Silverwood regroupe désormais l’intégralité du mix produits. Cinq nouveautés bardages et terrasses viennent enrichir l’offre.
Il y a 5 ans et 261 jours

Plus on habite dans une petite commune, plus on est satisfait de la qualité de son logement

L’Association QUALITEL vient de publier la troisième édition de son Baromètre annuel consacré à la Qualité du logement, en partenariat avec Ipsos. L’étude, d’une ampleur inédite, avec 80 questions et 4 850 personnes interrogées, explore les perceptions des Français sur le logement, selon le type de territoire habité : communes rurales, villes moyennes, métropoles et agglomération parisienne. Le Baromètre QUALITEL 2019 confirme bien le déficit d’infrastructures ou d’accès aux services perçu par les Français résidant dans les communes moyennes ou rurales. En revanche, l’étude met aussi en lumière une autre réalité, peu connue ou pour le moins peu commentée : en matière de qualité du logement, la fracture territoriale doit se lire « à l’envers » : plus on habite dans une petite commune, plus on est satisfait de la qualité de son logement. Le Qualiscore, indice synthétique de 17 critères de satisfaction autour de la qualité du logement, décroît à mesure que la taille de la commune grandit. Le Qualiscore s’élève ainsi à 7 dans les communes rurales, 6,9 dans les villes moyennes, 6,7 dans les métropoles de plus de cent mille habitants et 6,4 dans l’agglomération parisienne. Ces chiffres résultent de la conjugaison de plusieurs facteurs, parmi lesquels : – La surface du logement : dans les communes rurales, la surface jugée idéale pour un logement est de 134 m2, soit quasiment identique à la surface réelle, 135 m2. Dans une ville moyenne, elle est de 114 m2, là encore assez proche de la superficie réelle, 107 m2. A contrario, les habitants des grandes villes sont frustrés de vivre dans un espace moins important que celui rêvé : 94 m2 réels contre 109 m2 souhaités dans les métropoles, et 82 m2 réels contre 105 m2 en agglomération parisienne. – Les nuisances acoustiques, liées à la densité urbaine : les habitants de l’agglomération parisienne sont par exemple trois fois plus susceptibles d’être dérangés par des bruits venant des logements voisins ou de la rue : 33 % sont « gênés, de jour comme de nuit », par des bruits venant du voisinage contre 11 % des habitants des communes rurales. – La qualité intrinsèque du logement : les logements des communes rurales et moyennes devancent systématiquement ceux des grandes villes (jusqu’à 25 points d’écart observés) sur les 5 critères qui contribuent le plus à la perception globale de la qualité : confort thermique, installations sanitaires, qualité des matériaux, isolation acoustique, aération.
Il y a 5 ans et 261 jours

300 projets de parcs éoliens terrestres et de centrales solaire photovoltaïque

Elisabeth Borne, Ministre de la Transition écologique et solidaire, a annoncé les lauréats de la 8ème période de l’appel d’offres visant à développer les installations de production solaire photovoltaïque sur bâtiment et de la 4ème période de l’appel d’offres pour l’éolien terrestre. Dans le cadre de la huitième période de l’appel d’offres pour les projets photovoltaïques sur bâtiment, la ministre a désigné 268 dossiers lauréats, totalisant 129,4 MW. Ces projets valoriseront l’électricité produite à un prix moyen de 97,48 €/MWh pour ceux dont la puissance est comprise entre 100kW et 500kW et 86,54 €/MWh pour ceux dont la puissance est comprise entre 500kW et 8MW. Dans le cadre de la quatrième période de l’appel d’offres visant à développer l’éolien terrestre, lancé en mai 2017, la ministre a retenu 20 projets totalisant 576 MW. Ils valoriseront l’électricité produite à un prix moyen de 66,5 €/MWh sur une durée de 20 ans. Ces projets représenteront la consommation d’électricité de 350 000 foyers. Ils permettront d’augmenter de 3 % la capacité actuelle installée en électricité éolienne et solaire photovoltaïque.
Il y a 5 ans et 261 jours

Quatrième période du dispositif des certificats d’économie d’énergie

A l’issue d’une concertation engagée avec l’ensemble des parties prenantes (énergéticiens, associations de consommateurs, mandataires, associations, etc.), le ministère de la Transition écologique et solidaire a annoncé la mise en œuvre de l’extension d’un an de la quatrième période des certificats d’économie d’énergie, jusqu’au 31 décembre 2021. Ce dispositif impose aux fournisseurs d’énergie de soutenir des actions d’économies d’énergie en contrepartie et à la mesure de celle qu’ils fournissent. De nouveaux leviers sont mis en place et le périmètre des actions couvertes par les CEE a été étendu, notamment dans l’industrie. Les certificats d’économie d’énergie permettent déjà de soutenir un certain nombre d’actions d’économies d’énergie dans l’industrie. Cependant, certaines installations, celles qui sont soumises au système européen d’échanges de quotas de gaz à effet de serre, étaient jusqu’à présent exclues du dispositif. Ces installations représentent près de 10% de la consommation d’énergie en France. Elles constituent donc un gisement important pour l’atteinte des objectifs de baisse de consommation énergétique. Avec ces nouvelles dispositions, ce sont au minimum 200 millions euros par an qui pourront ainsi être mobilisés pour soutenir des actions d’économie d’énergie dans des secteurs aussi variés et importants que la chimie, la sidérurgie et métallurgie, la papeterie, les cimenteries, les verreries, en agissant sur les procédés industriels, la production et la consommation d’énergie pour produire de la vapeur, la récupération d’énergie fatale perdue etc. Parallèlement, les certificats d’économie d’énergie deviendront cumulables avec les aides de l’ADEME, en particulier les aides versées pour assurer le développement de réseaux de chaleur.
Il y a 5 ans et 262 jours

Sites patrimoniaux remarquables : un dispositif qui ne fonctionne pas

Un rapport d’information sur la mise en oeuvre de la loi du 7 juillet 2016 dite LCAP de la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale pointe le manque de lisibilité du dispositif des sites patrimoniaux remarquables (SPR). L’article 75 de la loi a instauré le régime juridique unique des SPR. Les 844 SPR recensés à la fin de l’année 2017 se sont substitués aux secteurs sauvegardés, aux zones de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager (ZPPAUP) et aux aires de mise en valeur de l’architecture et du patrimoine (AVAP). Mais cet outil juridique a encore rarement été créé ex nihil. La ville d’Angers a été la première à entamer les études préalables après la publication de la loi et seuls une quarantaine de SPR seraient aujourd’hui à l’étude, en révision ou en création, et une vingtaine de PVAP ou de PSMV seulement. Outre la relative nouveauté du dispositif, le manque de lisibilité de sa procédure comme l’absence de critères clairs de classement au niveau national peuvent expliquer qu’il y soit, jusqu’alors, peu fait recours. La procédure de classement en SPR ne répondrait pas de manière satisfaisante aux exigences d’efficacité notamment en termes de délai, de clarté et de compréhension, aussi bien pour les ABF que pour les élus. Par exemple, en l’absence d’un porter-à-connaissance formel aux autorités de l’État, les délibérations de certaines communes resteraient lettre morte et ne seraient pas transmises à la CNPA. L’absence de délais contraignants encadrant la procédure ferait également obstacle à ce que les élus locaux se saisissent pleinement du dispositif, peu compatible avec leur propre calendrier et leur projet de territoire. L’absence de critères clairs de classement en SPR limiterait l’utilisation du dispositif par les collectivités. Au total, seuls six dossiers auraient été instruits à ce jour par la CNPA. La faiblesse des moyens des ABF constitue assurément une difficulté supplémentaire. Ces derniers ne sont pas en mesure d’être présents sur le terrain pour accomplir l’ensemble de leurs missions – situation qui nécessite un renforcement rapide de leurs effectifs –, ni de faire le poids face à certains élus puissants.
Il y a 5 ans et 263 jours

Deux études analysent les dépenses de l’Etat favorables et défavorables au climat

L’Institut de l’économie pour le climat (I4CE – Institute for climate economics) a publie deux études, avec le soutien de l’ADEME. L’édition 2019 du Panorama des financements climat analyse les investissements bas carbone révèle que les investissements en faveur du climat ont dépassé 45 milliards d’euros en 2018. Ces investissements ont été réalisés par les ménages, les pouvoirs publics et les entreprises, dans des secteurs tels que le bâtiment, les énergies renouvelables ou la mobilité durable. La transition énergétique concentre désormais un douzième des investissements du pays. Pour Maxime Ledez, chargé de recherche chez I4CE : « D’ici la fin du quinquennat il faudra investir entre 15 et 18 milliards d’euros supplémentaires chaque année pour engager le pays sur la trajectoire de la neutralité carbone. Et il ne suffira pas de mettre à disposition de nouvelles sources de financement : pour déclencher ces investissements, leur rentabilité et la réglementation sont déterminantes ». Les investissements vont surtout devoir augmenter dans la rénovation des logements, les véhicules bas-carbone, les énergies renouvelables, les transports en commun et les aménagements cyclables. Dans le réseau ferroviaire et la construction de logements performants, l’enjeu sera de maintenir les niveaux d’investissements actuels. I4CE publie également pour la première fois son évaluation climat du budget. « Nous avons identifié plus de 250 mesures dans le budget de l’Etat qui influencent, à la hausse ou à la baisse, les émissions de la France. 250 bonnes raisons de s’intéresser au budget » selon Quentin Perrier, chef de projet chez I4CE. Par ailleurs, la France va devoir progressivement réduire ses dépenses défavorables au climat et en particulier ses dépenses dites fiscales. I4CE a identifié 16 milliards d’euros de niches fiscales sur la taxation des énergies fossiles, qui bénéficient à l’aérien, aux poids lourds, au BTP ou encore aux agriculteurs. Pour Marion Fetet, chargée de recherche chez I4CE, « ces niches nourrissent un sentiment d’injustice et entretiennent la dépendance aux énergies fossiles. Le gouvernement devrait fixer un cap clair : leur réforme complète d’ici quelques années. Certains secteurs sont vulnérables économiquement, et l’idée n’est pas d’arrêter d’aider ceux-là mais de les aider autrement ». https://www.i4ce.org/wp-core/wp-content/uploads/2019/09/I4CE-Etude-EvalClimat360°BudgetEtat.pdf  
Il y a 5 ans et 263 jours

L’énergie d’un parking permet de chauffer un bâtiment l’hiver

Le Département de l’Hérault a réalisé un nouveau bâtiment à énergie positive exemplaire et innovant, qui multiplie les dispositifs techniques d’économie et de production d’énergie. Accueillant les services des routes et des forestiers sapeurs, cette construction associe panneaux photovoltaïques, sondes géothermiques et bénéficie pour l’enrobé de son parking du système de « route à énergie positive » Power Road d’Eurovia, utilisé pour la première fois en France dans un bâtiment tertiaire. En été, une chaussée peut atteindre 60°C en surface et 40°C sur ses 10 premiers centimètres : l’essence même du procédé expérimenté à Olonzac consiste donc à récupérer cette énergie générée par le rayonnement solaire sur des enrobés, au plus près des besoins, pour contribuer au chauffage des nouveaux bâtiments. La couche supérieure de la chaussée dans la cour des bâtiments devient alors un échangeur thermique constitué de tubes dans lequel circule un fluide caloporteur. Dans la logique de « circuit court d’énergie », l’énergie solaire thermique captée par les enrobés est emmagasinée sous forme de calories dans le sous-sol par le biais de sondes géothermiques profondes. Dès que le soleil brille, via un système de pompe à chaleur, cette énergie issue du rayonnement solaire sur les enrobés est soit réutilisée directement vers le bâtiment, soit emmagasinée sous forme de calories dans le sous-sol par le biais de puits géothermiques profonds. L’hiver, elle est ensuite récupérée et distribuée pour les besoins de chauffage ou de production d’eau chaude. Ce système utilisant Power Road permet de booster la production de chauffage et d’améliorer le rafraichissement du bâtiment technique. Ce procédé innovant va faire l’objet d’une évaluation pendant 2 ans, à travers une convention tripartite de suivi passée entre Eurovia, le CEREMA (Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement) et le Conseil départemental de l’Hérault.
Il y a 5 ans et 263 jours

EDF ENR dépasse les 2 000 centrales solaires monitorées

EDF ENR assure le suivi quotidien à distance des données de production de plus de 2 000 sites professionnels pour un total de 190 MWc, grâce à son Centre de Contrôle basé à Limonest (69). Une équipe de 7 Experts Superviseurs veille ainsi au bon fonctionnement des installations photovoltaïques 7j/7 grâce à un logiciel d’exploitation spécialement développé par EDF ENR. Ce logiciel est composé d’algorithmes intelligents pour détecter les anomalies de sous-performance d’une installation. Un développement interne qui garantit la maîtrise totale de l’évolution du logiciel et l’amélioration continue des paramètres d’analyse. Les données de production sont analysées en continu pour détecter au plus vite les incidents, réaliser un pré-diagnostic en salle de contrôle, dépanner si possible en ligne et déclencher une intervention de maintenance préventive ou corrective ciblée si nécessaire.
Il y a 5 ans et 263 jours

batireprise : un service de reprise des déchets par POINT.P et SUEZ

POINT.P et SUEZ, acteurs engagés dans l’économie circulaire, lancent le service de reprise des déchets de chantier batireprise avec l’ouverture de 11 déchèteries multiflux pilotes dans les agences POINT.P. Il donne la possibilité de déposer jusqu’à 11 flux de déchets et couvre ainsi la quasi-totalité des typologies de déchets de chantier : – Déchets non dangereux non triés : mélange non-valorisable – Déchets inertes propres : briques, tuiles, carrelages… – Bois A : bois d’emballage, palettes, cagettes… – Bois B : bois de charpente, balcons, volets… – Cartons d’emballage – Films plastiques – Métaux ferreux et non ferreux : ferraille, cuivre, zinc… – Plâtre : plaques et carreaux de plâtre sans isolant… – Fenêtres intègres – Emballages souillés : bombes aérosols, emballages métalliques vides… – Autres matériaux souillés : chiffons, pinceaux, rouleaux souillés… Très simple d’utilisation, les clients se présentent au comptoir du point de vente et déclarent la nature de leurs déchets. Le magasinier, formé par SUEZ et POINT.P, évalue ensuite la quantité et la qualité de ces déchets et indique à quel endroit les déposer. Un bon de réception, signé par le magasinier et le client, est remis ainsi qu’une facture indiquant les informations de traçabilité des déchets. Les déchets ainsi collectés sont pris en charge par SUEZ et acheminés vers la filière la plus adaptée afin d’optimiser le taux de recyclage ou de valorisation. Agences concernées : Brignoles (83), Chartres (28), Cuers (83), Gignac (13), Lorient (56), Mérignac (33), Reims (51), Salon-de-Provence (13), Sens (89), Vannes (56), Villeurbanne (69).
Il y a 5 ans et 264 jours

Sites Seveso : Halte aux assouplissements !

Plus d’une semaine après l’incendie de l’usine Lubrizol à Rouen, nombre de questions persistent. Si les causes de l’accident restent à déterminer, France Nature Environnement interpelle le Premier Ministre sur les risques d’accidents similaires en raison de la régression des exigences environnementales et de la baisse des moyens de contrôle observés ces dernières années. La réglementation qui encadre les sites « Seveso » fait depuis plusieurs années l’objet d’assouplissements conduisant à réduire le seuil des exigences relatives à la sécurité et à la protection de l’environnement. Pour Lubrizol, le préfet de Seine Maritime aurait ainsi autorisé l’augmentation de la capacité de stockage de substances toxiques, sans que l’exploitant n’ait besoin de fournir de nouvelle évaluation environnementale ni d’étude de dangers. Ces assouplissements, conjugués à la baisse du nombre d’inspecteurs chargés du contrôle des sites industriels (plus de 500 000 sites industriels dont environ 1300 sites Seveso, et des inspections qui ont diminué de 40% en 12 ans), conduisent à accroître les risques d’accidents. Et au vu de la baisse de moyens prévue pour le Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire dans le budget 2020, la tendance semble loin de s’inverser. « Il est urgent de mettre un coup d’arrêt à la course à la simplification du droit de l’environnement et à la suppression de postes. Les règles environnementales accusées à tort de freiner l’activité économique permettent en réalité de protéger la santé des travailleurs, des populations voisines des sites industriels et de limiter les risques de pollution de l’environnement. Elles permettent également de protéger les industriels ! » estime Ginette Vastel, pilote du réseau Risques et Impacts Industriels de France Nature Environnement. La fédération demande la création d’une mission d’inspection générale, interministérielle, afin de faire la lumière sur la cause de l’accident et identifier les différents échelons de responsabilités. Ainsi que la mise en place d’un groupe d’expertise pluridisciplinaire et incluant les acteurs concernés dont les associations de protection de l’environnement, pour déterminer les suites à donner à court et long terme sur les problèmes environnementaux et de santé publique générés par cet accident.
Il y a 5 ans et 267 jours

Écailles sur-mesure

Système traditionnel, souvent associé à l’architecture religieuse ou aux toitures à la Mansart, les écailles en zinc traversent les époques. Faisant la part belle aux enveloppes organiques, elles répondent aujourd’hui aux tendances architecturales. Ces petits éléments, inscrits depuis toujours dans l’offre VMZINC®, se modernisent. Ils sont désormais proposés dans de nombreux formats (carré, rectangle, losange, pentagone et sur-mesure), et dans une variété d’aspects de surface et de dimensions permettant de composer une architecture vivante inspirée par la nature. Photo : Pôle petite enfance, Mont Saint-Aignan (France) – VMZINC – Architecte : ARTEFACT M. Plantrou
Il y a 5 ans et 267 jours

Façades ventilées Solid Surface

Le Groupe PORCELANOSA s’est imposé comme l’un des leaders du marché des façades ventilées Solid Surface avec KRION pour l’enveloppe des bâtiments, actuellement, elle fournis 200 000 m2 annuels de façades, et réalise des projets dans plus de 60 pays. C’est le seul système sur le marché à être sous avis technique pour les façades cintrées. Il est doté de de particularités exclusives de part sa composition : haute résistance, durabilité, écologique… Il se caractérise par ses excellentes propriétés de thermoformage et de rétroéclairage, permettant de créer une infinité de formes complexes et sans joint.
Il y a 5 ans et 268 jours

Premier titulaire de la certification CTB Finition Bois

L’Institut Technologique FCBA lance la certification CTB Finition Bois pour répondre à une demande forte du marché aussi bien grand public que professionnel : disposer de produits performants (résistance aux UV, perméabilité à l’eau…) dont les durées de vie ont été évaluées. CTB Finition Bois atteste également l‘impact maîtrisé sur la santé et l’environnement : la composition des produits est analysée par une commission d’experts toxicologues et écotoxicologues indépendante de FCBA qui émet un avis sur ces exigences. Cette nouvelle certification a été co-développée avec l’entreprise Blanchon, fabricant de vernis techniques et de peintures pour la protection, la décoration, l’entretien et la rénovation du bâti, qui devient ainsi son premier titulaire. Photo : Groupe Blanchon
Il y a 5 ans et 268 jours

SIPC 2019 : Atrium vous offre des places pour cette 25e édition

Atrium patrimoine et restauration vous invite à la 25e édition du salon international du patrimoine culturel qui aura lieu du 25 au 28 octobre 2019 au Carrousel du Louvre. Institutions, collectivités locales, associations de sauvegarde du patrimoine, organismes de formation, fournisseurs du patrimoine bâti, ébénistes, orfèvres, tailleurs de pierres, restaurateurs de meubles, ferronniers, peintres d’art… plus de 330 exposants français et étrangers se donnent rendez-vous dans une ambiance chaleureuse au Carrousel du Louvre, lieu prestigieux situé en plein cœur de Paris. Le thème de cette nouvelle édition est « futur en héritage » et proposera plus de 40 conférences. Atrium vous offre des places. Pour cela, il vous suffit de demander votre invitation et de rentrer votre code SIPC19HALLES.  Venez nous rencontrer sur le stand M5, Hall Foyer 
Il y a 5 ans et 268 jours

Les fresques de la cité urbaine Tony Garnier de Lyon restaurées

Véritable musée en plein air et en pleine ville, la cité urbaine Tony Garnier de Lyon est connue mondialement pour ses 24 fresques artistiques réalisées sur les façades des immeubles d’habitation. Après 30 ans d’exposition, elles connaissent aujourd’hui un vaste programme de rénovation lancé par Grand Lyon Habitat. Déjà acteurs du premier programme de rénovation, CitéCréation et Zolpan unissent à nouveau leurs savoir-faire hauts en couleurs. 20 ans après la réalisation de ces fresques, une expertise technique commandée par Grand Lyon Habitat, propriétaire de l’ensemble immobilier, démontre la nécessité de remplacer les supports de la moitié des fresques murales. Au total, ce sont 24 façades géantes de bâtiments réalisées avec des produits Zolpan, soit un total de 5 500 m2, qui doivent être restaurées pendant une durée de 8 à 10 ans. Sur les 24 projets, 8 fresques seront reproduites à l’identique, 8 seront améliorées et 8 autres seront refaites entièrement. Photo : Michel Djaoui
Il y a 5 ans et 268 jours

Le nuancier façade de Sto gagne des couleurs

Sto dévoile une nouvelle version de son nuancier façade. Parmi les nouveautés : une utilisation simplifiée, une organisation des lèches différente, un format ergonomique et 61 nouvelles nuances. Composé de 340 teintes, toutes conformes à la réglementation, le nuancier « Façade NF – édition 2019 » offre un large éventail de couleurs parmi les tons incontournables et intemporels les plus utilisés du marché. Ces 340 teintes sont utilisables en systèmes ITE, ravalement et bardage ventilé (sauf les 10 teintes StoVentec R uniquement pour le bardage ventilé). Elles sont réalisables dans une large gamme de revêtements et de finitions (lisse, structurée et autres rendus matières).
Il y a 5 ans et 268 jours

Le bourdon de Notre-Dame de Paris retentit pour la première fois depuis l’incendie

Le bourdon de Notre-Dame de Paris, Emmanuel, a retenti ce lundi 30 septembre pour la première fois depuis l’incendie en hommage à Jacques Chirac. Depuis l’incendie, le système électronique était hors d’usage, c’est donc manuellement que le bourdon Emmanuel a été actionné. Une première depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le bourdon Emmanuel, seconde plus grosse cloche de France, avait été rénové en 2017 dans le Manche, à la fonderie Cornille-Havard. Datant de 1680, c’est un bourdon de 13 tonnes et 2,61 m de diamètre qui a sonné ce lundi midi. #NotreDame sonne le glas pour #JacquesChirac Conséquence de l’incendie, le système électrique est HS et la manœuvre est faite manuellement, à la corde. #Paris #HommageNational pic.twitter.com/zFmLfDOYcP — Jean-Michel Nagat (@jmnagat) September 30, 2019
Il y a 5 ans et 269 jours

la Maison du Peuple à Clichy : le ministre de la Culture s’oppose au projet

Franck Riester, ministre de la Culture, se dit contre le projet de la Maison du Peuple à Clichy. Un projet de rénovation du bâtiment classé monument historique ainsi que la construction d’une tour de 99m. Pour Franck Riester, « dans l’état actuel du projet, l’Etat ne donnera pas son autorisation car cette tour, telle qu’elle est prévue, dénaturerait le bâtiment ».  Le bâtiment a été classé Monument Historique en 1983 mais peu entretenu, il se dégrade progressivement. Face à cette situation et à des travaux coûteux, un appel à projet est lancée par la Métropole du Grand Paris en 2017. C’est le projet proposé par le promoteur Duval et le cabinet d’architectes Rudy Ricciotti qui est retenu : un tour de 99 mètres qui accueillerait restaurant, hôtel 4 étoiles et appartements de luxe. Pour effectuer le projet, le conseil municipal prévoyait de déclasser les bien du domaine public afin de les céder au privé, le groupe Duval. Avec les propos tenus par le premier Ministre c’est un réel frein au projet qui est mis.  Franck Riester demande donc à ce que le projet soit réétudier. ©Groupe Duval / Rudy Ricciotti 
Il y a 5 ans et 269 jours

Awards de l’Innovation du Mondial du Bâtiment : Technal primé

Technal a été primé pour sa double fenêtre coulissante Soleal 2 en 1 aux Awards de l’Innovation du Mondial du Bâtiment. Cette double fenêtre se distingue par son indice d’affaiblissement acoustique atteignant 46 dB RA,tr en position fermée et 25 dB RA,tr en position ouverte. Une solution qui répond à la problématique des nuisances sonores dans les bâtiments d’aujourd’hui et de demain. Sa conception permet de ventiler sans faire l’impasse sur la protection efficace contre les intrusions et même les moustiques grâce à son système « Smart Opening ». En position ventilation, la double fenêtre coulissante Soleal 2 en possède plusieurs atouts : un système « Smart Opening ». Mécanique et totalement intégré, il garantit une ouverture simultanée des deux vantaux, une isolation acoustique optimisée en position ventilation qui atteint 25 dB d’affaiblissement. Ce résultat est obtenu par l’effet chicane de l’ouverture en quinconce, complété par un traitement passif de l’espace inter-vantaux, une protection contre les insectes avec l’intégration d’une moustiquaire innovante et quasi-invisible*. Son process de fabrication est gage de fiabilité et de durabilité (10 ans minimum), une sécurité optimale. Sa configuration permet de conserver les propriétés « anti-intrusion » même en ventilation. ©Technal * Solution MOSTIGLASS fabriquée par l’entreprise GOCAP à partir d’une feuille de polycarbonate perforée