Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Bati journal

Qui est le réseau bâtiment durable ? Actuellement au congrès Cities to Be avec nos invités du plateau TV Bati-journal TV; nous allons parler réseau bâtiment durable. Nous allons essayer de comprendre ce que c’est, ce que sont les clusters (centres de ressources) et quels sont leurs fonctions, leurs missions. Intervenants : Sylvie Feuga, Directrice – Envirobat Grand Est LQE Illona Pior, Directrice déléguée – Envirobat Occitanie Catherine Herrero, – Directrice administrative – Odeys

Bois et matériaux bisourcés Intervenants : Anaïg LEBEAU, Chargée d’opération Direction Patrimoine Immobilier – Région pays de la Loire Céline LEMASSON Chargée de mission Filières vertes et Matériaux biosourcés, DREAL Pays de la Loire François-Xavier VANDEVILLE Président, Collectif Paille Armoricain

La nouvelle structure du gymnase Gilbert Noël a été pensée par le cabinet Chabanne & Partenaires, mariant 2 matériaux : l’acier et la pierre. Ce projet a permis d’adapter le parement Myral M32, d’une longueur de 12 mètres, en une seule pièce, permettant ainsi une pose rapide et efficace. Le rendu donne une planéité parfaite au bâtiment grâce a son isolation, aux fixations invisibles et aux choix de finitions très variés dans les différentes gammes que développe la société Myral. Une première base en pierre basalte noire constitue le rez-de-chaussée du gymnase. Un second bâtiment (la salle omnisports), de forme rectangulaire, s’est paré d’une enveloppe en acier blanc irisé, reflétant le ciel et les arbres.

La nouvelle réglementation RE 2020 va prendre en compte les émissions de carbone des bâtiments sur l’ensemble de leur cycle de vie. Dans un bâtiment collectif en voiles bétons, le poids en carbone du béton varie entre 15 et 25 %. POINT.P qui avait déjà intégré ce paramètre avec sa gamme ULTIBAT® Tradi, dont les bétons sont en partie décarbonés, franchit un nouveau pas avec la création d’une gamme de trois produits qui contribuent à la réduction de l’impact carbone du bâtiment de l’ordre de 10 %, 20 % ou 35 % : ULTIBAT® Green Basic, ULTIBAT® Green Medium et ULTIBAT® Green Premium. En option, en complément de ces bétons fortement décarbonés, il propose la version intégrant les granulats recyclés et les superplastifiants biosourcés. Cette option à la demande permet au client de satisfaire une double exigence : des bétons très décarbonés et une démarche privilégiant l’économie circulaire.

Bati-Journal TV vous donne rendez-vous pour une série de débats et d’interview sur Cities to Be, événement international organisé par l’Alliance HQE-GBC et Novabuild, les 12 et 13 septembre. Orchestré par Éditions des Halles et les organisateurs du salon, avec le soutien de France Bois Forêt, mise en scène et enregistré par Plan Rapproché, animé par Stéphane Miget, rédacteur en chef de Planète Bâtiment et 5façades, le plateau télé accueillera ses invités engagés dans la construction et la ville durable autour des thèmes qui font toute l’actualité du congrès et de ses conférences. À noter : trois émissions spéciales bois sont programmées. Rejoignez-nous sur le plateau ou retrouvez ces vidéos sur bati-journal.tv et franceboisforet.fr dès le 12 septembre. une animation organisée par avec le soutien de une animation organisée par

Brune Poirson, secrétaire d’État auprès de la ministre de la Transition écologique et solidaire, a réuni les organisations professionnelles de la filière du bâtiment et les associations d’élus afin d’acter une série de mesures destinées à améliorer la gestion des déchets de la construction et lutter contre les décharges sauvages, avant l’examen du projet de loi anti-gaspillage pour une économie circulaire au Sénat. Le secteur du bâtiment génère 42 millions de tonnes de déchets qui sont autant de matériaux pouvant alimenter des décharges sauvages, véritables fléaux écologique et économique pour les collectivités. Chaque année l’enlèvement et le nettoyage de ces décharges représente un coût pour les villes, donc pour les contribuables, estimé entre 340 et 420 millions d’euros. Les acteurs de la filière et les représentants des élus vont travailler aux côtés du ministère pour permettre la reprise gratuite des déchets des professionnels en déchetterie, à condition qu’ils soient triés par grands flux de matière (ferraille, bois, gravats, etc.) et définir la localisation de nouveaux points de collecte des déchets pour les professionnels afin d’augmenter le maillage territorial existant. Ces mesures seront financées par la création le 1er janvier 2022 d’une filière de pollueur-payeur (avec éco organisme ou système équivalent) pour le secteur du bâtiment – comme cela existe déjà pour 14 grandes familles de produits – dont l’étude de préfiguration menée par l’ADEME débutera ce mois-ci. En parallèle, d’autres mesures vont être lancées avec : – la création d’un observatoire national de la gestion des déchets pour consolider l’ensemble des chiffres disponibles sur le territoire ; – la construction d’un système de traçabilité permettant de mieux connaitre où sont produits les déchets, leur parcours et leur destination finale ; – le renforcement des pouvoirs de contrôle et de sanction des autorités locales afin de donner plus de moyens aux élus sur les territoires.

L’ancien centre de loisirs du site de la Borde à Joué-Les-Tours (37) qui datait des années 1970, a été démoli pour laisser place, au bout d’un an de travaux, à un nouveau bâtiment plus grand et plus moderne. Le projet de 3 500 m2 remporté et conçu par l’agence Caraty & Poupart-Lafarge comporte un grand socle en maçonnerie traditionnelle au rez-de-chaussée et à l’étage un espace dénommé « cabanes » qui rappelle l’environnement forestier de la commune, en ossature bois. Pour l’enveloppe, les architectes se sont naturellement tournés vers RHEINZINK, pour sa proposition de solutions esthétiques, de qualité et idéales pour la rénovation. Ainsi la surface est recouverte de l’artCOLOR Skygrey en couverture sur 1 600 m2 et en bardage sur 500 m2. L’artCOLOR Skygrey présente un aspect gris mat traditionnel obtenu par un traitement de haute technicité laissant alors transparaitre la veinure typique du zinc. Associé aux panneaux composites en bois compressé sur les surfaces colorées et aux embrassures à 45° des baies, le résultat capte toute la lumière et donne au rez-de-chaussée un aspect esthétique ouvert. Architecte maître d’œuvre : Caraty & Poupart-Lafarge Entreprise de pose : Stéphane Pouessel Photo : Fabrice Dunou  

Plus simple et plus rapide, la vis connecteurs SSH de Simpson Strong-Tie est désormais la référence idéale pour la fixation des éléments d’assemblage pour le bois, utilisable en intérieur comme en extérieur. L’innovation de la vis connecteurs SSH réside dans son design et son revêtement uniques, qui lui assurent une rapidité de mise en œuvre et une robustesse inégalées. Grâce à la vis SSH, le temps de fixation d’un sabot est réduit de près de 40%, et peut atteindre jusqu’à 80% pour la fixation d’une équerre, en comparaison avec une fixation par cloueur classique. Un gain de temps non négligeable sur chantier. Composée d’un filet asymétrique et d’une pointe à filet cranté, la vis SSH est particulièrement adaptée à la fixation d’acier sur tous types de bois. Sa petite longueur (40mm) lui permet de s’adapter à toutes les épaisseurs de bois, y compris les bois de charpentes industrialisées. Dotée d’une pointe anti-fendage, elle ne nécessite aucun pré-perçage et garantit une haute performance de l’assemblage. En terme de résistance à la traction, 1 vis SSH peut remplacer jusqu’à 7 pointes crantées. Pour une meilleure résistance dans le temps, la vis connecteurs SSH bénéficie également d’un revêtement Impreg+, une exclusivité Simpson Strong-Tie qui lui garantit une durée de vie de plus de 15 ans en extérieur et de 50 ans en intérieur. Une gamme complète, adaptée à tous types de connecteurs. Pour le lancement de cette gamme, 7 références seront commercialisées dès la rentrée 2019, afin de répondre au mieux aux usages et besoins des professionnels et particuliers.

Après avoir annoncé en mars dernier son rapprochement avec SCA Wood France, troisième fournisseur de bois du Nord en France, le groupe ISB repense l’organisation de ses marques afin garantir les stocks et assurer une meilleure réactivité. Ainsi, la marque SCA s’efface au profit de deux marques fortes et spécialisées sur leurs marchés : Silverwood (bois rabotés) et Sinbpla (produits de trading). Par ailleurs, depuis juillet dernier, une nouvelle équipe de direction pilote le groupe ISB. Marc Meunier, jusqu’alors directeur général, devient président du groupe prenant ainsi la suite de Pierre Gautron qui reste actionnaire et membre du comité de surveillance. Benjamin Bodet, précédemment directeur général de SCA Wood France, assurera la direction générale. Le poste de directeur Stratégie, Marketing & Développement du groupe a été confié à Philippe Samit, auparavant directeur commercial et marketing de SCA Wood France. www.group-isb.fr Marc Meunier, président du groupe ISB Benjamin Bodet, directeur général Philippe Samit, directeur Stratégie, Marketing & Développement

Datant du XIIe siècle, le château de Pougne-Hérisson, dans les Deux-Sèvres, l’un des plus anciens de Gâtine, fut bâti sur une colline en plein milieu du bocage et des chaos granitiques. Monument historique inscrit, certaines des parties du château sont aujourd’hui très dégradées. Il fait l’objet en 2019 de travaux de maçonnerie, principalement sur la tour T4 étayée en 2015 et le rempart Sud. La DRAC Nouvelle-Aquitaine soutient cette restauration à hauteur de 40 % du montant total des travaux de cette tranche, au titre du Fonds incitatif d’aide aux petites communes. Les autres partenaires publics sont la Région Nouvelle-Aquitaine (25%), le Conseil départemental des Deux-Sèvres (10%), aux côtés de la Ville de Pougne-le-Hérisson (20%). Ces travaux sur le Câteau de Pougne-Hérisson ont également été sélectionnés pour le Loto du Patrimoine 2019 et sont soutenus par la Fondation du patrimoine à hauteur de 5%. Les travaux sont réalisés par R & C – Raphaël Chouane, Architecte du Patrimoine, basé à Argentonnay en Deux-Sèvres, tandis que la DRAC Nouvelle-Aquitaine, Conservation Régionale des Monuments Historiques – site de Poitiers (CRMH) et l’Unité Départementale de l’Architecture et du Patrimoine des Deux-Sèvres (UDAP 79), accompagnent cette restauration dans le cadre du Contrôle Scientifique et Technique (CST). Source et photo : DRAC Nouvelle-Aquitaine  

La cathédrale Saint-Étienne de Metz, édifice gothique emblématique, s’apprête à fêter son huitième centenaire. La chapelle du Saint-Sacrement a été construite au XVe siècle, au niveau de la cinquième travée de la nef de la Cathédrale. Elle s’ouvre sur le bas-côté sud. Sa toiture a fait l’objet d’une importante campagne de travaux pendant l’Annexion. En 1885, l’architecte allemand Paul Tornow a remplacé la couverture en ardoise par une toiture en cuivre. Il l’a agrémentée de trois lucarnes qui n’existaient pas auparavant. Cette toiture nécessite une intervention de restauration pour mettre fin aux infiltrations d’eau qui menacent la conservation de la charpente et des intérieurs de la chapelle. Le chantier, devrait durer neuf mois et couter 850 000 €, financés par l’État – DRAC Grand Est. Programme d’intervention : – restauration de la couverture en cuivre avec reprise des défauts d’étanchéité ; – restauration de tous les ornements de la toiture et de la croix en fer forgé ; – habillage en cuivre du chéneau en pierre de taille existant ; – restauration ponctuelle de la charpente ; – révision de la porte d’accès aux combles et des volets des lucarnes ; – restauration du pignon nord ; – restauration des pinacles des contreforts, de la frise de la corniche et du fleuron du pignon nord. Photo : Chapelle du Saint-Sacrement © DRAC Grand Est

Les deux sociétés établies de longue date, Felder Group et Otto Mayer, allient leur expertise dans le développement, la production, la vente et le service de scies panneaux horizontales. « En tant que membre du groupe Felder, Mayer aura accès à notre réseau mondial de vente et de services comprenant plus de 250 points. Les sites de production situés à Hall, dans le Tyrol et à Lombach, produisent des machines de qualité sur plus de 100 000 mètres carrés d’espace de production. Ensemble, nous travaillons sur le développement, le marketing et la distribution mondiale de nos produits de haute qualité », déclare Hansjörg Felder. « Notre expertise combinée et le regroupement de toutes les synergies rendront les produits Mayer, Felder et Format-4 encore plus performants sur le marché mondial. Ensemble, nous pouvons développer une valeur ajoutée significative pour nos clients et, en outre, ouvrir de nouvelles perspectives pour les employés Mayer sur le site de Lossburg- Lombach en intégrant Felder Group, l’un des leaders mondiaux du secteur », déclare Hans Mayer, directeur général de Mayer. À propos du groupe Felder Le groupe Felder, dont le siège est situé à Hall, dans le Tyrol, est – avec ses marques Felder, Format-4 et Hammer – un des principaux fournisseurs mondiaux de machines à bois pour les amateurs, les professionnels et l’industrie. Des employés répartis dans 84 pays et plus de 250 points de vente et de services transmettent aux clients du monde entier la passion des machines à bois haut de gamme, sous le slogan « Un fournisseur unique ». Malgré les défis mondiaux croissants, le groupe Felder continue de miser sur la qualité et la précision de production de son site en Autriche. Plus d’informations sur : www.felder-group.com À propos d’Otto Mayer Maschinenfabrik Depuis 1950, Otto Mayer, à Lombach, fabrique des scies à panneaux permettant la découpe de bois, de plastique et d’aluminium. L’entreprise familiale est aujourd’hui dirigée par la deuxième génération : Hans et Kurt Mayer. Plus d’informations sur : www.mayersaws.com

Le PrecHab Wood volet roulant est une solution d’habillage monobloc des menuiseries, adaptée aux constructions en ossature bois. Développé par Louineau, en partenariat avec le bureau d’études de Soprofen, ce pré-cadre en acier mécano soudé permet d’intégrer directement les volets roulants dans les constructions bois avec enduit sur isolant  Il optimise aussi l’étanchéité entre la menuiseries et le support constructif. Le confort acoustique de l’habitant s’accroît grâce à une membrane anti-vibratoire, posée en atelier, limitant les bruits d’impact de la pluie et du vent. Coffres et rails sont invisibles, assurant un meilleur rendu architectural. Sous Avis technique, le Prechab Wood est candidat aux Trophées de l’innovation Batimat 2019. www.louineau.com

Le palmarès des Trophées Placo® a été dévoilé. Le 4 octobre prochain, la soirée des Trophées Placo® aura lieu et permettra de désigner les lauréats de chaque catégorie. Comme à chaque édition, les quatre catégories existantes sont : bâtiments contemporains architecturaux, chantiers performants, innovation et développement durable, patrimoine et monuments bâtiments historiques. Découvrez les chantiers présents dans la catégorie « Patrimoine & Monuments historiques » nous retrouvons : 1/ Le Château de Drudas – Drudas (31) Classé aux Monuments historiques, une maison d’exception du XVIIIème siècle de 1400 m2 rénovée avec passion, dans le respect des codes de la décoration de l’époque avec des touches contemporaines pour lui apporter tout le confort du XXIème siècle. Le château avait été laissé à l’abandon par différents propriétaires, peu concernés par l’histoire qu’il portait en lui. Dates du projet : septembre 2016 à juin 2017 2/ Le Château de Froeschwiller – Froeschwiller (67) Laissé à l’abandon pendant 50 ans puis restauré par un particulier : Mr Pavin, qui en a fait sa résidence. Le château possède une bâtisse historique qui donne l’obligation de reconstituer à l’identique l’existant tant dans l’architecture que dans les techniques employées. Dates du projet : 2013 à 2018 3/ La Cité du Hellfest – Clisson (44) Le chantier consistait a fabriqué et pisé les éléments d’un décor du bâtiment ‘VIP’ du festival Hellfest. Le projet concerne donc la réalisation de ce bâtiment. Le décor doit représenter un « squelette ». Celui-ci est constitué de 3600 vertèbres en staff épousant la structure du bâtiment. Hellfest, est un festival français dédié aux musiques extrêmes. Il est l’un des plus grands festivals de métal en Europe (200 000 personnes en 2018). Dates du projet : mars à mai 2017 pour la 1ère tranche et février 2018 pour la seconde tranche. 4/ L’Hôtel Villa Saint Ange –  Aix en Provence (13) Le chantier de l’Hôtel Villa Saint Ange a demandé la création de plusieurs moulures  sur le chantier. Une gypserie comme décoration intérieure conformément à la demande de l’architecte. Dates du projet : octobre 2018 – juillet 2019 Retrouvez le détail des chantiers juste ici >

Avec sa FDES, Schöck aide les prescripteurs et thermiciens dans leurs choix de solutions techniques pour atteindre les labels du E+ C– En effet, en droite ligne de la récente publication des valeurs par défaut des rupteurs de ponts thermiques sur la base INIES, Schöck est le premier industriel du secteur à mettre à disposition une FDES pour ses rupteurs de ponts thermiques en Isolation Thermique par l’Intérieur Schöck Rutherma DF. Une pole position pour les rupteurs Schöck qui affichent un impact carbone de 14.4 kgCO2/ml contre une valeur INIES de 120 kgCO2/ml calculée par le CSTB. De quoi permettre aux donneurs d’ordre, prescripteurs et thermiciens, d’intégrer cette donnée jusque-là manquante et pourtant requise dans les calculs pour des différents niveaux de labels E+ C-.

Le Salon International du Patrimoine Culturel (SIPC) revient cette année du 24 au 27 octobre 2019. Cette édition marque les 25 ans du salon ! Une édition anniversaire et donc particulière que nous ne manquerons pas de suivre. Cette année, la thématique est le « futur en héritage ».  Créé il y’a donc 25 ans, le SIPC permet de réunir les acteurs du secteur : restaurateurs, prescripteurs et maîtres d’œuvre, fournisseurs de matériaux, de produits mobiliers et immobiliers, collectivités territoriales, associations… Des professionnels qui ont pour travail quotidien de protéger et transmettre la richesse de notre culture. Chaque année, c’est plus de 350 exposants et 22 186 visiteurs (chiffres de l’édition 2018)  au Carrousel du Louvre. Au rendez-vous, des rencontres, des partages d’expériences, des conférences autour de la protection des patrimoines. Informations pratiques :  Carrousel du Louvre – 99, rue de Rivoli, 75001 Paris Jeudi 24 octobre 2019, de 10h à 18h. Vendredi 25 et samedi 26 octobre 2019, de 10h à 19h. Dimanche 27 octobre 2019, de 10h à 18h. https://www.patrimoineculturel.com

L’interprofession nationale de la filière forêt-bois France Bois Forêt réunit onze créateurs lors de la Paris Design Week. « Pour contrer la mondialisation le consommateur cherche l’originalité et l’authenticité, d’où le succès des constructions en bois, de la cabane chic à l’extension contemporaine. Rugueuse, chatoyante ou lisse, une pièce de bois ne sera jamais semblable à une autre, ne serait-ce que par le dessin de son veinage. Travaillé manuellement à la gouge, à la tronçonneuse ou en usinage numérique parfois complété d’un scanner 3 D, le bois révèle d’innombrables facettes. » Ainsi, retrouvez du 5 au 8 septembre de 10h  à 18 h, retrouvez l’exposition « Touchons du bois » qui permet de découvrir des réalisations mélangeant savoir-faire traditionnel et modernité. En savoir plus : Télécharger le communiqué de presse de France Bois Forêt  Toutes les informations sur le site de l’évènement  ©DR Le Groupe Ducerf enrichit la gamme des Bois Profilés avec le designer-ébéniste Sylvain Hardy, auteur de ce panneau graphique lamellé-collé à plis croisés.

le 23 mars 2017, le secrétaire d’État ainsi que le ministre de la Défense, Jean-Marc Todeschini révèle les noms des architectes lauréats du « concours pour la rénovation du musée national de la Marine de Paris » lancé en 2016. Ce sont les agences H2O Architectes et SNØHETTA qui seront donc chargés de cette rénovation. Depuis le 31 mars 2017, le musée national de la Marine, situé place du Trocadéro à Paris, a fermé ses portes. En effet, plusieurs années de travaux sont prévus au vue du projet de réaménagement des espaces muséographiques : scénographie,architecture, espaces permanents et temporaires, parcours de visite, collections… Le musée national de la Mariné est un musée d’histoire et d’art mais aussi de sciences et de techniques, d’aventures humaines et de traditions populaires. Un centre de culture maritime présent dans diverses villes en France (Brest, port Louis, Rochefort, Toulon). En attendant l’ouverture, le musée national de la Marine de Paris vous embarque au coeur de la rénovation sur leur blog dédié.   Image à la une : façade du musée national de la Marine © musée national de la Marine / P. Dantec

Le Syndicat des énergies renouvelables (SER) considère que plusieurs conditions devront être réunies afin de maintenir l’efficacité du soutien à la rénovation énergétique lors de la réforme du Crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE). Les différentes solutions de chauffage à base d’énergies renouvelables permettent d’agir de manière concrète sur le pouvoir d’achat des Français, en leur fournissant une énergie compétitive et dont le prix reste stable au cours du temps. Le SER considère que différentes garanties devront être apportées dans la transformation du CITE afin de poursuivre le développement de la chaleur renouvelable en France. Tout d’abord, l’Agence Nationale de l’Habitat (ANAH), qui se verrait confier le rôle de verser les aides publiques, devra être dotée de moyens supplémentaires, notamment humains, pour être en mesure de traiter rapidement les dossiers qui lui seront confiés. Sans cela, la réforme pourrait, au contraire, conduire à un ralentissement du marché, d’autant plus que le nouveau système, en introduisant un critère supplémentaire (niveaux de revenus du ménage), sera plus complexe que le dispositif actuel. Cette réforme devra ensuite prévoir une transition efficace entre le CITE actuel et le futur système. Il est, en effet, essentiel de ne pas modifier le régime de soutien au milieu de la saison de chauffe 2019-2020. Le SER propose pour cela de permettre aux opérations engagées jusqu’au 31 décembre 2019 sur la base d’une facture d’acompte, de rester éligibles au CITE jusqu’au 30 juin 2020, à condition que les travaux de pose de l’appareil soient réalisés d’ici là. Il conviendra également de s’assurer que le nouveau dispositif permette un développement équilibré du marché, en évitant un alignement vers les seuls équipements d’entrée de gamme. A cet égard, les professionnels seront attentifs à ce que le futur système ne couvre pas l’intégralité du coût des travaux, sauf pour des ménages aux revenus très modestes. Le SER appelle, également, à ce que les périmètres des travaux qui bénéficieront du nouveau système de soutien soient correctement calibrés. Ainsi, s’agissant des appareils de chauffage au bois, il est essentiel que les foyers fermés et les inserts restent éligibles tant pour des opérations de renouvellement que de primo-acquisition, et que les appareils fonctionnant à la bûche bénéficient des mêmes niveaux de soutien que ceux fonctionnant au granulé. De la même manière, le SER propose que la prime couvre l’intégralité de l’achat et de la pose des équipements d’un système géothermique de surface, sans quoi cette solution extrêmement efficace, qui permet également de produire du froid et du frais renouvelables, mais dont les coûts d’investissement restent élevés, ne pourra plus se développer en France. Enfin, la réforme proposée rendrait désormais inéligibles aux dispositifs d’aide les ménages dont les revenus sont situés dans les 9ème et 10ème déciles de la population, alors même qu’ils investissent massivement dans les énergies renouvelables et représentent, actuellement, près de 50% du montant total de la réduction d’impôt obtenue à travers le CITE. Le SER souhaite que des réflexions soient engagées dans les prochains mois afin d’étudier les mesures alternatives qui pourraient être déployées pour ne pas détourner les ménages aux revenus les plus élevés des énergies renouvelables.

Elisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire, a annoncé le lancement de nouvelles périodes des appels d’offres photovoltaïques en vigueur afin de développer 2 GW d’énergie solaire photovoltaïque. Cette annonce permet de redonner de la visibilité au segment des grandes installations photovoltaïques, dont le calendrier d’appels d’offres s’achevait cet été. Le projet de Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) publié début 2019 prévoit de porter la capacité de production d’énergie solaire photovoltaïque de 9,1 GW actuellement à 35,6 à 44,5 GW en 2028. La filière attend maintenant la confirmation de ces objectifs dans la version finale de la PPE. « La profession a besoin de stabilité et de visibilité, cette annonce nous rassure et nous encourage à poursuivre nos efforts pour être au rendez-vous de la transition énergétique », déclare Xavier DAVAL, Président de la Commission SER SOLER. « Cette annonce témoigne de la confiance du Gouvernement dans le développement de l’énergie photovoltaïque », note Jean-Louis BAL, Président du SER.

GRDF a développé un simulateur d’aides conçu spécialement pour les installateurs plombiers-chauffagistes pour l’achat d’une chaudière fonctionnant au gaz naturel dans le cadre d’un projet de rénovation énergétique. Il permet de calculer instantanément les montants des aides financières gouvernementales, en prenant en compte la situation du client et en indiquant le montant du devis prévisionnel du projet. En quelques clics seulement, le montant des aides est connu par l’installateur. Il peut adresser par mail le résultat de la simulation à son client, accompagné d’un document explicatif pour savoir comment récupérer les différentes aides. L’outil est disponible sur www.grdf.fr/installateurs et dans quelques jours sur l’application mobile GRDF Pros du gaz.

Les 21 et 22 septembre, se tiendra, à l’initiative du ministère de la Culture, la 36e édition des Journées européennes du patrimoine.  L’occasion pour le public de découvrir, partout en France, plus de 17 000 lieux patrimoniaux. Vous pourrez également participer sur le territoire métropolitain et ultra-marin à près de 26 000 animations ayant pour but de vous faire découvrir le patrimoine sous tous ses angles.  Chaque année, c’est plus de 12 millions de visiteurs sur le sol français qui profitent de cet évènement. Cette édition 2019 marquée sous le thème « Arts et divertissements » mettra en valeur le patrimoine des spectacles (salles de théâtre, d’opéra, de concert ou encore de cinéma), des sports (piscines, stades, vélodromes, hippodromes…), des jeux et des jouets mais aussi le patrimoine culturel dit « immatériel ». Pour la première fois, le ministère de la Culture et le ministère de l’Éducation nationale s’associent pour proposer, le vendredi 20 septembre, l’opération nationale « Levez les yeux ! » qui permettra, pendant le temps scolaire, aux élèves de découvrir leur patrimoine local. Une exposition exceptionnelle « Revoir Notre-Dame » permettra au public de (re)découvrir des éléments originaux provenant de la flèche et du toit de la cathédrale Notre-Dame de Paris comme le coq rescapé de l’incendie survenu le 15 avril 2019. Cette exposition se déroulera dans les grands Salons du Palais-Royal. Pour en savoir plus sur les Journées européennes du Patrimoine, visitez le site de l’évènement. Découvrez le programme >     

Un ensemble de logements sociaux d’à peine cinq ans subit des infiltrations d’eau. Pour remédier au manque d’étanchéité des façades complexes en béton brut, Sto est le seul industriel à s’engager sur un système d’imperméabilité I4, associé à une étanchéité liquide sur les coursives. A la périphérie nord-ouest de Rennes (Ille-et-Vilaine), les Allées du Parc sont un vaste ensemble résidentiel livré en 2012 au bailleur social Neotoa. Les façades expriment la trame structurelle en béton brut, avec des parties lasurées de la couleur du grès brun-rouge local. Tout allait pour le mieux pour les résidents, jusqu’à ce qu’ils découvrent des infiltrations d’eau dans leurs logements. Les bâtiments prennent l’eau de toutes parts. L’eau pénètre notamment dans les interstices créés par les escaliers extérieurs, les coursives et les multiples points singuliers des façades. La moisissure envahit les plaques de plâtre du doublage. Les désordres sont tels que certains locataires souhaitent quitter les lieux et demandent d’être relogés dans d’autres résidences. Une quarantaine d’appartements doivent ainsi être rénovés. Début 2016, suite à un appel d’offres de maîtrise d’oeuvre, Neotoa choisit l’architecte rennais Olivier Fassot (Atelier Fassot Architecture) pour établir un diagnostic et conduire une opération de remise en état des façades et des logements impactés par les désordres. L’architecte répertorie une dizaine de pathologies différentes associées à des points singuliers tels que les modénatures, les joints de désolidarisation, les coursives, les escaliers, les garde-corps… et élabore un mode opératoire pour traiter chacune d’elles. Il fait appel à quatre fabricants de produits d’imperméabilité de façade pour l’aider dans sa préconisation du revêtement. Un seul accepte de s’engager : Sto. Les points singuliers sont identifiés : le béton brut est en partie recouvert d’une lasure et, surtout, les parties courantes ne peuvent pas être revêtues d’un produit d’imperméabilité I4 classique en raison des nombreuses modénatures qui empêchent de dérouler une toile de verre d’armature sur l’ensemble. Avec l’appui de la direction technique de Sto et après plusieurs visites sur le site, le représentant local Frédéric Dourdain propose une alternative au système d’imperméabilité I4 Irtop : il s’agit d’intégrer au revêtement un voile de verre qui s’interrompt à la rencontre des reliefs de la façade en assurant la continuité au niveau des joints avec un mastic polyuréthane et un doublement de l’épaisseur de la couche de fond. Les sols de coursives seront quant à eux revêtus d’un système d’étanchéité liquide (SEL). Le tout en soignant particulièrement les jonctions entre les deux types de revêtements. Surface de façade traitée : 8 000 m2 Maître d’ouvrage : Neotoa (ex Habitat 35) Maître d’oeuvre : Atelier Fassot Architecture Entreprise applicatrice : Goni S.A.S  

L’immeuble « Le Plaza » est un ancien grand magasin construit dans les années 1960, sur un axe fréquenté du centre-ville de Lille (59). Aménagé en immeuble tertiaire 20 ans plus tard, il accueille désormais des bureaux et des écoles de formation, répartis sur 5 étages. L’enjeu était de procéder à une rénovation de l’intégralité de la façade pour permettre une nouvelle lecture du bâtiment et introduire un jeu d’ombres et de reliefs. « Nous avons opté pour les bardages Argeton, pour leurs qualités esthétiques. Le large choix de coloris proposé nous a permis de créer un motif à dominante blanc carrare (80 %), avec quelques touches de gris basalte (10 %) de gris métal (5 %) et de noir volcan (5 %) », indique l’architecte Jacob Kalfsbeek. Pour redonner vie à l’espace, il a fallu composer avec des éléments incontournables de la structure du bâtiment : « l’atrium est traversé par des poutres apparentes de grande section qui sont indissociables du gros œuvre. Le calepinage aléatoire des coloris de bardage, et le dessin horizontal des capotages en aluminium laqué des poteaux-poutres et l’encadrement de groupes de fenêtres, permettent d’ouvrir et d’éclairer l’espace existant, très répétitif et rigide ». Architecte : Jacob Kalfsbeek, gérant de la SARL Atelier Kalfsbeek Vergès Associés (59000) Entreprise de pose : Isore Bâtiment (53) Photo : Frederic MIETTE – PHOTOTANDEM

Construit dans les années 1960, le complexe sportif Léo Lagrange, au centre de Toulouse, a rouvert ses portes au public fin 2018. Située place Riquet, cette piscine, qui compte deux bassins (50 x 21 m et 21 x 6 m), était fermée depuis juin 2018. Les principales interventions de ce chantier, d’un montant total de 987 000 euros, ont porté sur : la réfection de l’ensemble de la toiture et la réhabilitation complète des réseaux de plomberie du bâtiment. Les anciens éléments porteurs en bacs acier ont été remplacés et des plaques de verre cellulaire FOAMGLAS® READY BLOCK T3+ de 12 cm d’épaisseur (Rth = 3,30) ont été installées sur les 2 000 m2 de toiture. Les plaques isolantes en verre cellulaire, étanches à l’humidité, ont été collées entre elles et au support, ainsi qu’aux émergences. Ensuite, un système d’étanchéité bicouche élastomère, d’une épaisseur d’environ 1 cm, a été collé en pleine adhérence sur le verre cellulaire FOAMGLAS. Composé de cellules hermétiquement closes, le verre cellulaire FOAMGLAS offre une combinaison unique de propriétés : insensibilité à l’eau et à la vapeur d’eau, forte résistance à la compression, isolation thermique qui ne s’altère pas dans le temps, permettant ainsi d’éviter l’apparition de condensation pendant la vie de l’ouvrage.

Une équipe de l’Inrap a mené une nouvelle fouille aux abords de la cathédrale Notre-Dame dans le cadre des travaux de rénovation du centre historique. Cette fouille fait suite à une première phase qui s’est déroulée en janvier et février 2019 sur le parvis de la cathédrale. L’objectif principal de la fouille est l’étude des vestiges d’un quartier médiéval et moderne détruit durant la Seconde Guerre mondiale. Cette deuxième phase a permis également l’étude, inédite, d’une partie d’une ancienne église médiévale, totalement disparue, ayant appartenu à l’Hôtel Dieu de Rouen. Vers une restitution du quartier médiéval et moderne En 1940, lors de la prise de la ville par les allemands, un incendie détruit une grande partie du centre historique. Afin d’épargner la cathédrale de la propagation du feu, le quartier d’habitations au sud de celle-ci est dynamité. La première phase de la fouille sur le parvis de la cathédrale a été riche ; les archéologues ont mis au jour plusieurs maçonneries de ce quartier, dont une cave de l’époque médiévale. Comblée par du mobilier issu des démolitions de 1940, la fouille de cette dernière a livré de nombreux objets : bouteilles en verre soudés par la chaleur, pots à usage pharmaceutique dont le contenu s’est solidifié, un fer à repasser, une machine à coudre, ou encore la plaque de la rue du Change. La seconde phase de la fouille rue du Change poursuit l’étude de ces habitations. Elle permet de compléter les découvertes pour aller vers une restitution de la topographie du quartier préexistant à sa reconstruction en 1950, et d’enrichir les connaissances de la ville médiévale et moderne. L’ancienne église de la Madeleine Les fouilles de la rue du Change permettent aux archéologues l’étude de l’église de la Madeleine, totalement disparue et seulement connue des archives. La moitié nord de la nef et du chœur ont été découverts, dévoilant des murs imposants et un plan avec un chevet arrondi, ce qui n’apparaissait pas sur les plans existants. Au nord, l’église est longée par un aqueduc qui pénètre ensuite sous l’église, permettant d’apporter l’eau de la source dite de Notre-Dame dans l’Hôtel-Dieu. Après le transfert de l’ensemble hospitalier à l’ouest de la ville, l’église est transformée au XIXe siècle en plusieurs habitations qui seront détruites en 1940. Afin de rendre l’église habitable, des cloisons ont été construites, le sous-sol a été creusé pour créer des caves et des massifs d’escalier ont été aménagés à l’intérieur des murs. Aménageur : Métropole Rouen Normandie Contrôle scientifique : Service régional de l’Archéologie (Drac Normandie) Recherche archéologique : Inrap​ Directeur adjoint scientifique et technique : Sylvain Mazet, Inrap​ Responsable scientifique : Bénédicte Guillot, Inrap Source : Inrap  

La Fondation du patrimoine et le Muséum national d’Histoire naturelle s’associent pour lancer, dès le 10 septembre 2019, un appel aux dons visant à financer la restauration de 24 statues réalisées aux XIXe et XXe siècles, réparties sur les 26 hectares de l’ancien jardin royal. En charge des objets d’art, la Direction des Bibliothèques du Muséum a fait réaliser une étude préalable pour la restauration et l’entretien de la statuaire du Jardin des Plantes. Le constat est clair : bien qu’ayant connues de ponctuelles restaurations par le passé, les œuvres s’altèrent en raison de multiples facteurs, qu’ils soient environnementaux ou liés à la fréquentation des lieux. Ces désordres évolutifs nuisent parfois grandement à la lisibilité des sculptures. Ils conduisent également à une lente mais sûre disparition des surfaces originales. Les œuvres en pierre ou marbre sont notamment touchées par la colonisation d’algues, de lichens ou de mousses, par une accumulation de végétaux, par des graffitis ou fissures, par une altération des joints sur les socles… Les œuvres en bronze, elles, connaissent une oxydation du métal relative à leur niveau d’exposition à l’air, une disparition progressive de la patine et là encore graffitis, accumulation de végétaux… Pour ce projet, qui devrait durer jusqu’en 2021, le Muséum national d’Histoire naturelle s’associe à la Fondation du patrimoine afin de lancer une grande opération de souscription auprès du public et des entreprises. Les sommes collectées compléteront les financements institutionnels. L’objectif est ambitieux (coût total estimé à 213 900 euros TTC), mais correspond à l’affection des visiteurs pour ce lieu patrimonial sans pareil. Photo : Science et mystère (1886), J.L Désiré Schroeder – © MNHN – R. Bracco  

Le tombeau de Prosper Mérimée, situé dans le cimetière du Grand Jas à Cannes, a été inscrit au titre des Monuments Historiques par un arrêté du préfet de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur en date du 7 juin 2019. Prosper Mérimée, né en 1803, d’abord écrivain, a succédé en 1834 à Ludovic Vitet aux fonctions d’inspecteur général des monuments historiques après avoir intégré l’administration de la Monarchie de Juillet. Il est à l’origine de la construction du service des Monuments Historiques. Jusqu’en 1860, il sillonne la France afin d’en sauvegarder le patrimoine. C’est à son initiative que le jeune Viollet-le-Duc se voit confier la restauration de monuments majeurs tels que la basilique de Vézelay, le Mont-Saint-Michel, la cathédrale Notre-Dame de Paris, ou la cité de Carcassonne. Son importante œuvre littéraire lui vaut d’entrer à l’Académie française en 1844. Nommé sénateur en 1853, proche de l’impératrice Eugénie, il participe à la vie de la cour sous Napoléon III. Il quitte son poste d’inspecteur général des monuments historiques en 1860 tout en demeurant membre de la Commission des monuments historiques. Il passe les dernières années de sa vie, marquées par la maladie, sur la Côte d’Azur, et décède à Cannes le 23 septembre 1870. Il est enterré dans le carré protestant du cimetière du Grand Jas. Ouvert en 1866, ce cimetière compte au nombre des aménagements publics réalisés sous le Second Empire, conséquence du succès de la villégiature cannoise auprès de l’aristocratie européenne à partir des années 1830. « Prosper Mérimée est une figure incontournable du patrimoine national et de la vie culturelle française. Cette protection confirme l’importance historique et patrimoniale de sa dernière demeure. Un classement au titre des monuments historiques du tombeau sera ultérieurement soumis à l’avis de la Commission nationale du patrimoine et de l’architecture ; suite au vœu en ce sens émis par la commission régionale du patrimoine et de l’architecture. » Franck Riester, ministre de la Culture. Photo : Dadamax – Wikimédia commons

Journées Européennes du Patrimoine 2019 : Rendez-vous à la Maison de l’Outil et de la Pensée Ouvrière pour des animations Dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine 2019, les visiteurs pourront découvrir l’exposition permanente de la Maison de l’Outil et de la Pensée Ouvrière, le samedi 21 et dimanche 22 septembre. Ces journées seront également l’occasion de (re) découvrir l’exposition temporaire sur les facteurs d’instruments, « Du paléolithique à la pataphonie, une histoire d’instruments » et de découvrir et de s’essayer à l’art de la fresque avec les Passeurs de Fresque dans la cour de la Maison de l’Outil et de la Pensée Ouvrière (Hotel Mauroy). Plus d’informations ci-dessous : Samedi 21 et dimanche 22 septembre – de 10h00 à 18h00 Entrée au musée au tarif de 3.50 € http://mopo3.com/

Depuis le 1er juillet 2019, les sociétés PLACO et ISOVER ont entamé le rapprochement de leurs activités en France. Celui-ci vise à accélérer leur développement en apportant au marché davantage d’innovation, de valeur et de service, pour le bénéfice de tous leurs clients. Il s’inscrit dans la continuité du plan mondial de transformation du Groupe Saint-Gobain « Transform & Grow », qui a pour objectifs de renforcer la compétitivité de l’entreprise et d’accélérer sa croissance, en favorisant notamment le déploiement de synergies entre les différentes activités. PLACO et ISOVER, qui partagent des valeurs fortes et des forces communes, conjugueront désormais leurs expertises, tout en conservant les identités propres à leur marque qui font leur renommée.

L‘Assemblée Générale de l’organisation mondiale WorldSkills réunissant 82 pays membres dont environ 60 pays votants a choisi, face au Japon, la candidature française pour l’organisation en 2023 à Lyon des Finales de la compétition internationale WorldSkills. L’Olympiades des Métiers, organisée tous les deux ans dans un pays différent du monde, met en compétition des jeunes professionnels âgés de moins de 23 ans dans plus d’une cinquantaine de métiers techniques, technologiques, artisanaux et de services. Pour Muriel Pénicaud, Ministre du Travail : « L’organisation en France des Olympiades des Métiers à Lyon en 2023 est le symbole de la mobilisation sans précédent du Gouvernement en faveur de l’enseignement professionnel et de l’apprentissage des jeunes dans notre pays, voie d’excellence, de passion et d’avenir. Ces « Jeux Olympiques des métiers » seront la vitrine du talent de nos jeunes et de leurs secteurs. Ils contribueront à l’attractivité des métiers. »

Dans le cadre de la dépollution au plomb dans le secteur de Notre-Dame de Paris, des opérations de nettoyage ont été réalisées depuis début août et se poursuivent. Une troisième phase débute ce lundi 26 août et entraine provisoirement la modification des règles de circulation dans ce secteur. Afin d’assurer la sécurité et le bon déroulement de ces travaux de nettoiement de la voirie, la circulation à tous les véhicules et aux piétons est interdite rue d’Arcole, dans sa partie Sud comprise entre le n°19 inclus, la rue du Cloître Notre-Dame et rue du Cloître-Notre-Dame, depuis le n°16, porte cochère non incluse jusqu’à la rue d’Arcole, ainsi que la voie piétonne longeant la façade de l’Hôtel Dieu, côté parvis Notre-Dame. Le chantier de restauration de la cathédrale avait été arrêté le 25 juillet dernier pour améliorer la protection des travailleurs au regard de la pollution au plomb suite à un rapport de l’inspection du travail et a repris le 19 août.   Photo : Anna Ader

Considérant l’importance que représentent la forêt et le bois en Wallonie, le Gouvernement wallon a souhaité créer l’Office économique wallon du bois ( une société anonyme civile de droit public) en juin 2009 à l’initiative du Gouvernement wallon. L’Office Economique Wallon du bois a officiellement débuté ses activités en 2012. Elles ont pour objectif de créer les conditions propices au développement économique de la filière wallonne du bois.  L’office travaille en collaboration avec chacun des nombreux secteurs d’activité de la forêt et du bois pour accroître la cohésion de la filière, pour lui permettre de devenir l’un des pôles majeurs de l’économie wallonne. PanoraBois est l’événement de cette société, son objectif est de rassembler et de compiler les données disponibles, chiffrées, relatives à la filière bois wallonne. PanoraBois vient de communiquer les chiffres de 2019 autour de la filière bois wallonne. Le rapport entre le bois récolté et ce que la forêt produit, appelé le taux de prélèvement, pour les résineux, atteint 133%. Alors que les accroissements s’élèvent à près de 2,3 millions de mètres cubes par an, les prélèvements, montent à plus de 3 millions de mètres cubes. Le taux de prélèvement des feuillus est de 67% soit un accroissement naturel de plus d’1,3 million de mètres cubes annuels pour un prélèvement de 874 029 mètres cubes. Le taux de prélèvement pour le hêtre est à 86%  et à 68% pour les chênes indigènes. Pour ce qui est de la filière bois wallone en elle-même, il y a 7 990 entreprises dont 4 548 personnes physiques et 3 442 personnes morales. Elles comptabilisent 17 923 emplois directs dont 11 922 salariés contre 6 001 indépendants. Le bois est consommé pour de nombreux secteurs d’activité. Par exemple : 2 371 570 tonnes de bois bûche, rémanents forestiers, connexes, pellets et bois recyclés sont utilisées pour le bois énergie, 1 498 000 m³ de bois feuillus sont consommées pour la pâte à papier et 2 227 000 m³, pour les scieries de bois résineux. Pour plus d’informations : PanoraBois 2019

Un rapport du think tank la Fabrique écologique fait le bilan des différentes manifestations du changement climatique sur les littoraux et de la mise en œuvre encore très insatisfaisante des différentes modalités d’adaptation. 25% des côtes sont aujourd’hui en érosion, tandis que la submersion marine menace 1,4 million de résidents. Le changement climatique, et principalement l’élévation du niveau de la mer, va venir amplifier ces deux phénomènes. A l’échelle européenne et à l’horizon 2050, ce sont 55 000 personnes qui pourraient être, chaque année, concernées par les submersions marines, contre 10 000 aujourd’hui. La France fait partie des pays européens les plus vulnérables à la submersion marine. L’une des options d’adaptation à l’élévation du niveau de la mer fait l’objet d’une attention croissante de la part des pouvoirs publics et de la société. Il s’agit de la relocalisation des activités et des biens. La Stratégie Nationale de Gestion Intégrée du Trait de Côte a comme sous-titre « Vers la relocalisation des activités et des biens ». L’Etat affirme sa volonté de mettre en œuvre une telle recomposition des littoraux. Depuis quelques années, les travaux de chercheurs de différentes disciplines étudient la faisabilité d’une telle mesure et les conditions de son succès. Le corps politique s’est également saisi de cette question puisque des propositions de loi ont été faites tour à tour par l’Assemblée Nationale puis par le Sénat, sans aboutir. Le gouvernement a mis en place en 2019 une mission d’inspection interministérielle sur la question du financement de la recomposition spatiale des littoraux. Le ministre de l’environnement a annoncé récemment la création d’une mission parlementaire visant à préparer un futur débat législatif sur ces enjeux. La question de la répartition du coût des relocalisations se pose. Faut-il faire reposer le financement sur la solidarité nationale, comme cela est le cas pour l’indemnisation des victimes de catastrophes naturelles, ou imaginer des mécanismes de solidarité au niveau local ? Faut-il moduler les indemnisations afin de tenir compte des impératifs de justice environnementale ? Quels seraient dans ce cas les critères d’équité ? D propositions commencent à émerger : modulation en fonction du revenu, de l’attachement au bien, d’un éventuel lien entre l’activité professionnelle du ou des occupants et l’utilisation du bâtiment, etc. Source : L’adaptation au changement climatique sur le littoral français – Jill Madelenat Chargée d’études à La Fabrique Ecologique  

Somfy, leader mondial de l’automatisation des ouvertures et des fermetures et le Groupe Liébot, leader français de la fenêtre industrielle ont mobilisé leurs équipes pendant plus de 2 ans pour créer une baie coulissante automatisée et connectée. L’ouverture et la fermeture des baies se font sans effort et avec une fluidité de mouvement grâce à la motorisation Somfy qui permet un démarrage et un accostage en douceur. Le pilotage peut se faire à distance depuis un smartphone ou en local grâce au point de commande. Avec la fonction « My », l’utilisateur programme une position d’ouverture favorite pour maintenir une liberté de passage. La baie coulissante automatisée s’intègre parfaitement dans l’écosystème des équipements connectés de la maison comprenant : fenêtres et capteurs, volets roulants, chauffage, alarme… Les solutions K.LINE SMART HOME, CAIB CONNECT et MéO associées à la box domotique Tahoma de Somfy permettent de la manœuvrer à distance, de la programmer ou de l’intégrer à un scénario « départ » pour déclencher la fermeture automatique des baies, déclencher le système d’alarme et couper le chauffage. Disponible en avril 2020.   Photo : Somfy – Adrien Daste  

L’arrêté du 16 juillet 2019 « relatif au repérage de l’amiante avant certaines opérations réalisées dans les immeubles bâtis » vient de paraître. Attendu par les professionnels depuis plusieurs mois, il vient consolider le décret du 9 mai 2017 qui rendait effective l’obligation de Repérage Amiante avant Travaux (RAT). L’arrêté précise les modalités de réalisation du repérage, le contenu du rapport, les mesures à mettre en œuvre en cas d’impossibilité de réaliser le repérage, les compétences de l’opérateur de repérage, etc. Fini le perçage, le ponçage ou le remplacement d’une faïence sans connaître la nature des matériaux présents dans son habitation. Désormais lors de travaux à la maison, dans un immeuble d’habitation collective, dans un bâtiment tertiaire ou autre, le propriétaire, le maître d’ouvrage ou le donneur d’ordre devra faire réaliser un RAT portant sur le périmètre et le programme exact des travaux, et faire intervenir des entreprises qui respectent leurs obligations en matière de prévention du risque amiante (« Sous-section 4 » du Code du travail) et de protection de leurs collaborateurs. Dans ce contexte, AC Environnement, leader du diagnostic immobilier en France et du BIM accompagne les particuliers et les professionnels face à leurs nouvelles obligations. Texte de l’arrêté…    

Certaines associations ont dénoncé que la restauration expresse de Notre-Dame de Paris est une incitation à la mise en danger de la vie d’autrui. Entre la toiture et la flèche, ce seraient plus de 300 tonnes de plomb qui sont parties en fumée et retombées sous forme de poussières autour de Notre-Dame sur un périmètre indéterminé. Ce problème inquiète de nombreuses familles. Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la mairie de Paris, est intervenu pour en parler. Il explique qu’ils ont observé deux choses : « la première, c’est qu’il y a des taux qui sont anormalement hauts, c’est ce qu’évoquait à l’instant le directeur régional de la santé, mais pas du tout dans des proportions préoccupantes « , « il n’y aucun risque sanitaire, comprenez bien que nous ne prenons aucun risque ». Une situation qui semble être contrôlée et surveillée par la mairie de Paris. En effet, dans le cas où le taux de plomb atteindrait une proportion alarmante, « les établissement seraient fermés dans l’instant ». 

Le panneau acoustique Ligno Acoustique light de Lignotrend est entièrement constitué de bois véritable. Il permet la conception de surfaces esthétiques. Il existe maintenant une nouvelle variante : Ligno Acoustique nature:3D. Il présente des tasseaux de différentes hauteurs et largeurs pour un effet tridimensionnel original. Ce panneau offre des surfaces dynamiques visibles sous différents angles, et garantit une acoustique parfaite de la pièce. Afin de former la surface 3D unique, ces nouveaux panneaux sont un peu plus épais (39 mm au lieu de 33 mm). La structure intègre la surface acoustique absorbante en fibres de bois et la surface apparente en bois véritable. La fixation du profil en bois véritable sur la sous-structure s’effectue de façon invisible dans les rainures, à l’aide d’agrafes ou de vis.

STEICO est le seul fabricant de poutres en I sur le marché français à détenir un Document Technique d’Application (DTA). Paru le 9 mai 2019 et valable jusqu’au 31 janvier 2022, le DTA N°3.1/19-980_V1 est délivré par le CSTB. Les poutres en I STEICOjoist sont constituées d’une âme en fibre dure et de membrures en lamibois STEICO LVL. Elles allient légèreté, finesse et une grande performance mécanique. Elles sont idéales pour la construction d’éléments de grande portée.

AEG propose une tronçonneuse à l’autonomie et aux performances poussées au maximum grâce au moteur BRUSHLESS et à la puissance de ses batteries. Cet outil nécessite un couple élevé. Les professionnels de la charpente peuvent envisager sereinement l’exécution de travaux répétitifs avec la garantie d’un travail accompli rapidement et sans effort. La PRO18V AEG peut réaliser 90 coupes dans du sapin de 10 x 10 lorsqu’elle est équipée d’une batterie 18V 6 Ah HD. Son guide de chaîne de 30 cm et sa vitesse de chaîne de 10 m/sec assurent une coupe rapide et nette et garantissent une plus grande polyvalence (pour des coupes de bastaing de charpente, par exemple). L’ergonomie et l’équilibre sont optimisés grâce au positionnement de la batterie pour un meilleur confort de travail. Une pompe à huile avec niveau de remplissage visible, lubrifie automatiquement le guide et la chaîne évitant ainsi les risques de surchauffe. Pour une sécurité maximale, un frein de chaîne mécanique assure l’arrêt instantané de la chaîne de la tronçonneuse.

TERREAL a fourni 1000 m² de bardage émaillé en terre cuite dans le cadre de la construction de la nouvelle école primaire de Villeneuve-Tolosane (31). Pour répondre à la créativité du cabinet d’architecture 360° en charge du projet, l’industriel a proposé un bardage haut en couleur réalisé sur mesure. Cette nouvelle école se pare d’une façade avec des bardages en terre cuite émaillé (30x120cm) réalisés dans un coloris bleu méridional unique. Ce bardage en finition vernissée permet de réfléchir la lumière à la manière du verre, si bien qu’au fil de la journée le bardage dévoile toutes ses variations de bleu (bleu-noir à azur). A cette métamorphose de nuances de couleurs s’ajoute les qualités intrinsèques de la terre cuite que sont sa pérennité, sa résistance dans le temps et sa belle patine. Inaltérable, ce matériau se décline dans une grande diversité de teintes, textures et taille de modules : des qualités esthétiques permettant un constant renouvellement et qui ont inspiré le cabinet d’architecture. Groupe scolaire Las Fonses, Villeneuve-Tolosane, FR Architecte : Atelier 360° Architecture Maitre d’ouvrage: Mairie de Villeneuve-Tolosane Poseur : CEFB Ravalement Photo : Les yeux carrés / 360° Architecture / Terreal

Grâce à sa fine plaque de mousse rigide en résine phénolique, le système complet ITE StoTherm Resol garantie les meilleures performances thermique du marché avec un lambda de 0.022 et autorise ainsi une épaisseur plus fine. Il permet de réduire de 5 cm l’épaisseur de la mousse phénolique par rapport à un isolant PSE standard : une épaisseur de 9 cm répond aux critères exigés par le CITE, contre 14 cm pour le PSE blanc et 12 cm pour le PSE graphité. Ce système ITE apporte également une solution pour réduire la pénibilité de la pose. Il inclut dans sa composition le StoLevell Novo utilisé pour le calage (collage + chevillage) de la mousse phénolique et le marouflage de la trame armée. L’avantage est sa légèreté, un sac pèse 15 kg (contre 25 Kg pour les autres sous-enduits) : sur le chantier il aide à préserver les applicateurs des troubles musculo-squelettiques. Le secret réside dans sa formulation innovante, avec des billes de polystyrène, qui permet d’alléger le produit tout en fournissant un rendement identique en pâte avec moins de poudre.

Le projet de loi dédié à la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris va autoriser le gouvernement à adapter ou déroger par ordonnance un certain nombre de règles (en matière d’urbanisme, d’environnement, de voirie et de transport, mais également en matière de préservation du patrimoine et d’archéologie préventive), dans la mesure où celles-ci seront strictement nécessaires. il est également envisagé de confier les opérations de restauration à un établissement public, afin d’associer à sa gouvernance, les collectivités territoriales concernées, notamment la Ville de Paris, ainsi que le Diocèse de Paris en tant que principal utilisateur de la cathédrale. Le Centre des Monuments nationaux et l’Opérateur du patrimoine et des projets immobiliers de la Culture (OPPIC), s’ils sont tout à fait légitimes et outillés pour de telles opération, ne permettent pas, en l’état des choses de mettre en place une telle gouvernance en leur sein. Cette organisation devrait permettre de prendre en compte les intérêts des principales parties prenantes.   Photo : Anna Ader    

DELTA propose une brochure permettant de se rendre compte des évolutions du DTU 31.2 concernant les membranes (pare-pluie, pare-vapeur, adhésifs et autres accessoires de pose) et de trouver le produit DELTA adéquat. Les membranes DELTA sont conforment aux DTU, y compris au DTU 31.2 de mai 2019. C’est grâce à cette conformité que Doerken peuvent poser, prescrire ou revendre les produits DELTA en toute confiance.