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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Bati journal

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Il y a 6 ans et 23 jours

10e Journées nationales de l’archéologie

Les Journées nationales de l’archéologie invitent le public, depuis 10 ans, partout en France, à découvrir les coulisses de cette discipline à travers activités pédagogiques et ludiques (simulateurs de fouilles, ateliers de céramologie, mosaïques, taille de silex, monnaie…), rencontres et visites avec les chercheurs mais aussi expositions, reconstitutions, projections, manipulations en laboratoire… Les 14, 15 et 16 juin 2019, plus d’un millier de manifestations accessibles à tous vont se déploier sur tout le territoire. Temps forts, une dizaine de villages de l’archéologie accueillent les visiteurs curieux de découvrir cette discipline et les dernières avancées de la recherche : à Aléria, mais aussi à Lyon, Mandeure, Marseille, Nice, Orléans, Rennes, Saint-Germain-en-Laye, Toulouse et Troyes. Pour cette nouvelle édition, les Journées nationales de l’archéologie (JNA) s’ouvrent à l’Europe avec des rendez-vous en Allemagne, en Angleterre, en Belgique, en Écosse, en Espagne, en Italie, au Portugal et en Suisse.
Il y a 6 ans et 23 jours

Exposition Archéologie du Débarquement

Dans le cadre du 75e anniversaire du Débarquement et des Journées Nationales de l’Archéologie (14,15, 16 juin), l’Inrap, le Conservatoire du littoral, le conseil régional Normandie et la DRAC Normandie s’associent pour valoriser les vestiges archéologiques de la 2nde guerre mondiale (éclats d’obus, épaves, trous d’homme…). L’exposition donne ainsi à voir, dans la casemate de Longues-sur-Mer (14), placée au cœur du secteur d’assaut allié lors de l’opération Overlord, les travaux interdisciplinaires menés par l’Etat et ses partenaires : – l’INRAP (Institut national de recherches archéologiques préventives), la DRAC et le Conservatoire du littoral sur les aménagements côtiers, – le DRASSM (Département de recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines ) sur – l’archéologie subaquatique, – le CNRS (Centre national de recherche scientifique) ou l’INSA (Institut national des sciences appliquées) sur les carrières qui ont abrité les civils lors des bombardements. Photo : DRAC Normandie – Casemate Longues sur mer – CRMH Philippe Rochas  
Il y a 6 ans et 24 jours

Production d’électricité éolienne et solaire record au premier trimestre 2019

Selon le Panorama de l’électricité renouvelable au 31 mars 2019, les énergies renouvelables ont participé à hauteur de 20,1 % à la couverture de la consommation d’électricité en France au cours du premier trimestre 2019 avec une production de 28,5 TWh. Sur les douze derniers mois, l’électricité renouvelable a permis de couvrir 22% de la consommation en France métropolitaine. Le parc éolien atteint 15 352 MW au 31 mars 2019 avec 243 MW raccordés sur le trimestre. Sur les douze derniers mois, sa croissance s’élève à 1 643 MW. L’objectif fixé à la filière par la PPE à fin 2023 est compris entre 21 800 MW et 26 000 MW. La filière a produit 10,1 TWh sur le premier trimestre 2019, en hausse de 2,8% par rapport au premier trimestre 2018. C’est la première fois que la production éolienne dépasse les 10 TWh sur un trimestre. Le taux de couverture de la consommation par l’énergie éolienne s’établit à 6% sur les douze derniers mois (et à plus de 10% sur le seul mois de mars). La puissance du parc solaire s’élève à 8 684 MW au 31 mars 2019, avec 157 MW raccordés au cours du trimestre. Sur les douze derniers mois, 781 MW ont été raccordés. La PPE a fixé un objectif à la filière compris entre 18 200 et 20 200 MW fin 2023. Avec une production de 2,3 TWh sur le premier trimestre 2019 (+50,6% par rapport au premier trimestre 2018), l’énergie solaire photovoltaïque bat son record hivernal. Sur les douze derniers mois, 11 TWh ont été produits, couvrant 2,3% de la consommation de la France métropolitaine. La filière bioénergies électriques représente une puissance installée de 2 043 MW, dont 16 MW raccordés sur le premier trimestre 2019. Sa production renouvelable a atteint pour la première fois 2 TWh sur un trimestre, en hausse de 4,4% par rapport au premier trimestre 2018. Les bioénergies couvrent 1,6% de la consommation électrique métropolitaine sur les douze derniers mois. Le parc hydroélectrique représente une puissance installée de 25 532 MW, dont 22 MW raccordés sur le premier trimestre 2019. Du fait de la faible pluviométrie cet hiver, la production hydraulique a marqué le pas à 14,1 TWh (- 30,4% par rapport au premier trimestre 2018). L’année 2018 avait cependant enregistré des niveaux élevés de production. Sur un an, 57 TWh renouvelables ont été produits, ce qui établit le taux de couverture de la consommation par l’hydroélectricité à 12,1%. Le Panorama de l’électricité renouvelable est élaboré chaque trimestre par RTE, le Syndicat des énergies renouvelables (SER), Enedis, l’Association des distributeurs d’électricité en France (ADEeF) et l’Agence ORE, Opérateurs de Réseaux d’Energie. Télécharger le panorama  
Il y a 6 ans et 24 jours

Accélérer le développement de filières industrielles pour les énergies renouvelables

Les acteurs du Comité stratégique de filière (CSF) sur les « Industries des nouveaux systèmes énergétiques » ont signé avec l’Etat un contrat de filière, en présence du Ministre de la Transition écologique et solidaire, François de RUGY. Ce contrat identifie une série d’engagements très concrets visant à accélérer le développement et la structuration de filières industrielles dans les secteurs de l’éolien en mer, du solaire photovoltaïque et du gaz renouvelable. Dans chacun de ces domaines, les industriels et l’Etat s’engagent sur une série d’actions qui devront permettre d’aboutir à de premiers résultats concrets d’ici deux ans sur le territoire national et à l’export. Afin d’objectiver et de quantifier cette démarche dans le temps, un indicateur de suivi du contenu local des différentes filières sera également mis en place. Au-delà du développement des énergies renouvelables, le CSF travaillera sur différents enjeux qui sont essentiels afin d’accélérer la transition énergétique en France : stockage de l’énergie, réseaux intelligents et massification des solutions d’efficacité énergétique. Pour François de Rugy, « le contrat stratégique de filière vise à saisir les opportunités de la transition énergétique pour développer des filières industrielles compétitives et des emplois en France. Cette démarche permettra d’atteindre nos objectifs en termes climatique tout en alliant pouvoir d’achat du consommateur d’une part et réindustrialisation du pays d’autre part ».
Il y a 6 ans et 24 jours

La Fédération des distributeurs de matériel électrique a signé la Charte LED

Le 22 mai 2019, la Fédération des distributeurs de matériel électrique (FDME) a signé son adhésion à la Charte LED. La récente « Charte LED » présente 20 critères d’évaluation objective de la qualité des luminaires LED pour l’intérieur et l’extérieur, avec elle, le Syndicat de l’éclairage fournit au marché un outil d’aide à la décision dans le choix raisonné des solutions d’éclairage. Avec elle, les fabricants membres du syndicat s’obligent à présenter à leurs clients les valeurs correspondant à ces critères, vérifiées en conformité avec les normes et règlements européens. Comme le Syndicat de l’éclairage, la FDME porte une attention particulière à la qualité et la sincérité des performances annoncées par les luminaires. Elle se félicite de l’engagement des industriels de fournir ces informations, et d’offrir ainsi une meilleure transparence des offres, afin d’établir les conditions d’une concurrence équitable et responsable. Photo : Adhésion de la FDME à la Charte LED par Alain Fragnaud – Président de la FDME (à gauche) et Julien Arnal – Président du Syndicat de l’éclairage (à droite)  
Il y a 6 ans et 24 jours

Rencontre des startups de la GreenTech Verte

Le ministère de la Transition écologique et solidaire réunit, ce mardi 4 juin 2019, dans les locaux de la Station F, les start ups accompagnées dans le cadre de l’initiative GreenTech verte. Ces jeunes entreprises qui travaillent sur les problématiques de mobilités, de tri des déchets ou encore d’énergies renouvelables auront alors l’occasion de développer davantage de liens avec les différents acteurs de leur filière (entreprises, collectivités). La troisième édition de ce Meet’up réunira plus de 200 startups et grands comptes ainsi qu’une cinquantaine d’investisseurs. Les startups sélectionnées et labellisées GreenTech verte par le ministère présenteront leurs innovations sur plus de 70 stands.
Il y a 6 ans et 25 jours

RIGA ECOlogical : une colle verte à base de lignine pour contreplaqués

La société lettone Latvijas Finieris, spécialisée dans la production et la vente de contreplaqué bouleau, a mis au point une colle verte « RIGA ECOlogical » en coopération avec Stora Enso, (leader mondial de l’industrie forestière chimique et mécanique) à base de lignine.  La lignine d’origine biologique est un produit recyclable et écologique disponible dans le monde entier sous forme d’arbres et de plantes. En effet, tous les bois contiennent de 20 à 30% de lignine. L’utilisation de cette biomolécule, permet de remplacer le phénol traditionnel d’origine fossile. Les tests effectués par les utilisateurs montrent que cette technologie de collage respecte toutes les propriétés des anciennes colles. Cette nouvelle colle permet à l’entreprise Latvijas Finieris d’évoluer dans un environnement commercial de plus en plus vert et de créer un produit plus respectueux de l’environnement.
Il y a 6 ans et 25 jours

Le Centre national des phares en Finistère, un projet ambitieux

Le Conseil départemental du Finistère porte un projet ambitieux visant à créer une institution de référence dédiée à la conservation et à la transmission du patrimoine des phares à Ouessant et à Brest. Le Conseil départemental du Finistère possède une grande partie de la collection nationale des phares et balises depuis 1983 et souhaite gérer du mieux possible son patrimoine. Ce projet a pour but de sensibiliser les familles, les écoles et le grand public à la culture et aux métiers maritimes ainsi qu’à la préservation du milieu marin. Pour cela le Conseil départemental du Finistère veut: rénover le musée des phares et balises à Ouessant rendre accessible le phare du Créac’h développer un centre d’interprétation sur le port de Brest aménager un centre de conservation et de restauration de la collection nationale à Brest Le projet étant entre autres d’exposer le plus possible d’objets possibles appartenant au milieu marin qui reste rangé dans les réserves.
Il y a 6 ans et 25 jours

FFB : redonner une véritable ambition à l’apprentissage

La réforme de la formation professionnelle de fin 2018 modifie en profondeur l’apprentissage et son financement, ce qui oblige à revoir son organisation dans le secteur. La FFB préconise de conserver une contribution spécifique recalibrée pour avoir les moyens de garantir la proximité, la qualité et l’adaptation de l’outil de formation aux besoins réels des entreprises et des jeunes. Elle recommande aussi de concentrer les moyens de péréquation sur l’OPCO afin de rationaliser l’usage des fonds. Développer l’image de l’apprentissage dans le bâtiment auprès des jeunes, c’est faire le choix de la modernité et de l’avenir, la FFB suggère de financer des projets de développement de l’usage du numérique dans l’apprentissage : cours en ligne, réalité virtuelle, numérisation 3D, MOOC…
Il y a 6 ans et 25 jours

La Fondation Cartier accueille une fresque en ciment blanc de Marion Verboom

Née à Nantes en 1983, diplômée, entre autres, de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris, Marion Verboom se plaît à associer les matières, plâtre, résine et bois… souvent en strates comme pour ses totems titrés “Achronies » mis en scène actuellement à La Fondation Cartier, sur fond d’une fresque qu’elle a créée in situ. Cette œuvre a été conçue avec le ciment blanc TECHNOCEM 32,5 R « SB » de Ciments Calcia : « Pour l’application au mur, j’ai travaillé à la main avec un mélange pâteux. Pour la finition et le lissage, je suis intervenue sur certaines zones en ponçage gros grain » confie l’artiste. Le ciment s’avère un matériau qu’elle se plaît régulièrement à employer dans son travail : « il me permet de réaliser des éléments de type « rocaille », une technique d’architecture et de décoration très particulière datant du XVIIe siècle » explique Marion Verboom. Et de poursuivre : « J’apprécie la plasticité et la facilité d’usage du ciment, simplement mélangé à l’eau, que je peux associer à loisir avec d’autres ingrédients comme des pigments, et façonner en positif ou à partir d’un moule ». Elle évoque une « peau chromatique », à partir de trois couleurs, l’or, le noir et le vert, qu’elle a travaillées par « stratifications, comme des squames qui apparaissent à la surface ». Quant au motif principal, elle a repris « celui de la croix de Saint André, un élément architectural fort, présent dans l’espace d’exposition (…) ainsi que d’autres motifs un peu plus libres faisant écho au jardin, visible à travers les larges baies vitrées. »
Il y a 6 ans et 25 jours

Valorisation des déchets du BTP : la filière en avance

Les exploitants des carrières de granulats se sont engagés dans des démarches responsables afin de gérer durablement et de façon raisonnée ces ressources, dans une logique de circuit court et d’économie circulaire. En avril 2016, afin d’optimiser et diffuser largement plusieurs démarches déjà initiées, l’Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (UNICEM) associée à l’Union nationale des producteurs de granulats (UNPG) et au Syndicat national du béton prêt à l’emploi (SNBPE), signait, avec l’Etat, l’un des tout premiers ECV, impliquant les professionnels de la filière dans une démarche de valorisation et de recyclage des déchets inertes du BTP. L’Union européenne a fixé dans la directive-cadre « déchet » l’objectif de 70% de valorisation des déchets du BTP à l’horizon 2020. Cet objectif figure également dans la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte du 17 août 2015. Ce seuil des 70 % de recyclage et valorisation est d’ores et déjà atteint. Les déchets recyclables sont recyclés à hauteur de 80 % couvrant 28 % des besoins en granulats pour la construction. Dans le cadre de l’ « Engagement pour la croissance verte », la profession a développé plusieurs outils d’information et sensibilisation, à destination des acteurs du recyclage et des maîtres d’ouvrages avec, notamment, la création d’une plate-forme internet dédiée, www.MaTerrio.construction, véritable centre de ressources qui donne accès à l’essentiel des informations, référentiels et conseils utiles pour déployer au mieux la valorisation et le réemploi des déchets inertes du BTP. On y retrouve un tableau de bord de la valorisation, une cartographie du réseau national des carrières et des plateformes dédiées à la valorisation et au recyclage, un fil d’actualités et une médiathèque, des témoignages et retours d’expérience, etc. S’y ajoutent, entre autres, la publication de guides référentiels et l’organisation de rencontres dans le cadre de colloques et salons. La profession œuvre pour proposer à l’Etat de signer un nouvel engagement toujours axé sur l’économie circulaire mais s’enrichissant d’autres axes permettant de pérenniser l’approvisionnement durable en matériaux pour la construction et l’industrie, favoriser la transition énergétique et préserver la biodiversité. Principal objectif pour le volet « économie circulaire » : poursuivre des démarches sur le terrain et les actions de sensibilisation afin d’atteindre 90 % de taux de recyclage des déchets inertes à horizon 2025, soit une progression de l’ordre de 8 millions de tonnes, ce qui permettrait de couvrir plus de 30 % des besoins en granulats pour la construction en France. Un volet juridique et réglementaire s’ajouterait aux travaux portant notamment sur la requalification et la sortie du statut de « déchet » (pour la partie inerte) et sur l’élargissement du périmètre du marquage CE pour une meilleure traçabilité des granulats recyclés. Parallèlement, certaines expérimentations ouvrent la voie d’un recyclage à 100 %, dans certaines conditions et pour des chantiers spécifiques. Quand ce taux de recyclage sera possible à grande échelle, il permettra de couvrir au mieux 32 % des besoins en granulats pour la construction.  
Il y a 6 ans et 31 jours

Lébénoïd® lance son nouveau plafonnier LED IZY Pro

LED IZY Pro, le nouveau plafonner de Lébénoïd® à découvrir !  Lébénoïd® agrandit sa gamme de luminaires en proposant son nouveau plafonnier LED IZY Pro. Un luminaire à installation sans outil, avec une connexion directe sur Dispositif de Connexion Luminaire (DCL). Dispositifs obligatoires dans les constructions neuves depuis plusieurs années (conformément à la norme NF 15-100). La ficheDCL intégrée au dos permet au luminaire d’être fixé directement sur la douille du plafonnier par clipsage et sans aucun outil. Simple et rapide; l’installation est à la portée de tous. Disponible en deux coloris blanc ou gris, étanche ;  le produit a été certifié IP07 et IP44
Il y a 6 ans et 31 jours

La 22e édition des Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins

La 22ème édition des Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins, aura lieu les 22 et 23 juin 2019. Parrainé par Jean-Pierre Pernaut, cet évènement aura pour thème « Naturellement durable ».  Manifestation nationale qui permet de mettre en valeur le patrimoine.  Les Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins ont lieu depuis 22 éditions à l’initiative d’acteurs associatifs ou professionnels, mais aussi de collectivités, d’artisans spécialisés ou encore de particuliers œuvrant pour la protection et la transmission du patrimoine. Avec cette 22e édition, découvrez le patrimoine culture et naturel comme source, moteur et levier de développement durable ! Ce thème permettra de mettre en valeur : Notre patrimoine bâti ancien conçu avec des matériaux de construction traditionnels, sains, « nés du sol », respectueux de leur environnement. Les possibilités de réhabilitations écoresponsables, conciliant qualité architecturale et confort thermique performant. Les opérations exemplaires de restauration et la réutilisation de notre patrimoine pour lutter contre l’étalement urbain et revitaliser nos centres-bourgs. Notre environnement, notre biodiversité végétale et animale, notre cadre et vie, nos richesses naturelles, nos paysages, jardins et sites naturels. Les énergies renouvelables, vertes, respectueuses de notre patrimoine comme l’hydroélectricité ou la traction animale. L’agriculture paysanne contemporaine qui ambitionne une production agricole durable, très économe en énergie et respectueuse de la faune et la flore. Plus de 120 000 visiteurs participent chaque année aux 800 animations proposées partout en France. Plus d’informations sur les Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins en cliquant ici.
Il y a 6 ans et 31 jours

La chute continue de la construction

De février à avril 2019, les autorisations de logements à la construction continuent de baisser de 2,0 % par rapport aux trois mois précédents, après – 3,1 %. Les logements individuels fléchissent de 1,7 % après une légère hausse de 1,3 % et les logements collectifs, y compris en résidence, poursuivent leur baisse (- 2,2 % après – 5,9 %). Les mises en chantier accentuent nettement leur baisse (- 6,6 % après – 0,3 %). La diminution est plus importante dans le collectif, y compris en résidence, (- 8,7 % après – 0,1 %) que dans l’individuel (- 3,4 % après – 0,5 %). En un an, de mai 2018 à avril 2019, 444 200 logements ont été autorisés à la construction, soit une baisse de 42 200 logements par rapport aux douze mois précédents. 412 300 logements ont été mis en chantier, en baisse de 19 100 logements par rapport aux douze mois précédents. Source : Service de la donnée et des études statistiques (SDES)
Il y a 6 ans et 31 jours

Photovoltaïque : l’important potentiel des friches et parkings

L’ADEME a évalué le gisement national des zones délaissées (friches) et des parkings propices au déploiement du photovoltaïque. L’étude, qui porte sur la métropole et la Corse, a permis de recenser 17 764 sites propices à l’installation d’une centrale photovoltaïque : 2/3 sont des zones délaissées qui peuvent accueillir des installations au sol et 1/3 des parkings. Le gisement représente 53GWc répartie à 93% sur les zones délaissées (49GWc) et 7% sur les parkings (4GWc), soit 6 fois la puissance photovoltaïque installée à ce jour. La grande majorité́ des sites dispose d’une surface relativement modeste puisque 70 % présentent un potentiel compris entre 0,5 et 2,5 MWc. https://www.ademe.fr/evaluation-gisement-relatif-zones-delaissees-artificialisees-propices-a-limplantation-centrales-photovoltaiques  
Il y a 6 ans et 32 jours

Soudage : la protection n’est pas au rendez-vous

Une étude sur les fumées de soudage,menée par un groupement d’Intervenants en Prévention des Risques Professionnels des Services de Santé au Travail du BTP de l’Est de la France, vient d’être présentée à Metz, à l’occasion des 35èmes Journées nationales de Santé au Travail dans le BTP. Sur les 646 entreprises participantes, 30% déclarent réaliser des travaux de soudage quotidiennement. L’enquête révèle que 85% de ces entreprises ont bien pris en compte les principaux risques liés aux fumées de soudage (inhalation des fumées de soudage, incendie / explosion, projection de métal en fusion) dans leur Document Unique d’Evaluation des Risques (DUER). Par ailleurs, la majorité assure informer leurs salariés des risques liés aux fumées de soudage et des moyens de prévention à mettre en œuvre. Toutefois, l’enquête met en évidence que les mesures de prévention collectives et individuelles doivent être améliorées. Ainsi, si 73% des entreprises réalisant des travaux de soudage quotidiennement travaillent en atelier, 15% déclarent n’avoir aucun dispositif d’aspiration. De même, seulement 13% disposent de cagoules de soudage à adduction d’air.
Il y a 6 ans et 35 jours

UNTEC : le rendez-vous des professionnels de la construction – 20/21 juin 2019 à Avignon

Les 20/21 juin 2019 à Avignon se déroulera la 47ème édition d’UNTEC, le congrès des économistes de la construction. Sous l’égide de l’UNTEC (Union nationale des Economistes de la construction), assistez à des conférences et tables-rondes sur l’intelligence artificielle animés par des intervenants et experts reconnus. L’occasion pour les professionnels de la construction de se rencontrer. Plus de 120 exposants qui vous permettront de découvrir les dernières innovations produits et techniques de la filière construction. Plus de  1 500 participants (prescripteurs, maître d’œuvre, économistes, architectes, maîtres d’ouvrage, bureaux d’études, géomètres, collectivités..) sont attendus pour cette 47ème édition. Toutes les informations sur le site de l’évènement   
Il y a 6 ans et 35 jours

Cahier d’expert spécial terrasses

La nouvelle édition du cahier d’expert spécial terrasses de Dispano met l’accent sur les essences alternatives aux bois exotiques. Dispano a sélectionné des bois esthétiques et robustes pour embellir toutes les terrasses. Cette nouvelle sélection de produits pour la terrasse fait un tour d’horizon des tendances et nouveautés 2019. https://www.dispano.fr  
Il y a 6 ans et 36 jours

Sur la route de l’artisanat

À l’occasion de la semaine de l’artisanat qui se tiendra du 3 au 9 juin 2019, le fonds national de promotion et de communication de l’artisanat lancera une minisérie de 10 épisodes intitulée  « Sur la route de l’Artisanat ». Cette série a pour but de faire découvrir la richesse et les métiers de l’artisanat afin de valoriser les savoir-faire des artisans Français. En effet cette branche représente 1,3 million d’entreprises et 3,1 millions d’actifs en France.  
Il y a 6 ans et 36 jours

Vicat et la start-up 2170 : Développement du ciment bas carbone

Le groupe Vicat et la start-up 2170, filiale du groupe JPS Granulats, décident d’unir  leurs forces pour développer des ciments bas carbone. Le groupe Vicat est une entreprise familiale qui exerce comme métiers principaux : le ciment, le béton prêt à l’emploi (BPE) et les granulats. Cette entreprise est présente dans 12 pays : France, Suisse, Italie, États-Unis, Turquie, Égypte, Sénégal, Mali, Mauritanie. Avec ses 200 ans d’expérience, depuis l’invention du ciment artificiel par Louis Vicat, cette entreprise s’intéresse à la start-up 2170. En février 2018, cette société est le premier acteur français dans son domaine à avoir reçu la certification NF Liants Hydrauliques suite à une production de ciment par mélange. Cette association pourrait permettre l’ouverture de nouvelles perspectives dans la production de ciments bas carbone par mélange.
Il y a 6 ans et 36 jours

Cadre H multidirectionnel pour échafaudage

En 1974, Layher lançait l’Universel, un système multidirectionnel unique devenu référence mondiale pour le secteur. Cette année, l’entreprise présente un nouveau produit, le « Cadre H Multidirectionnel » en aluminium, alliant polyvalence, précision et légèreté. Il est constitué d’un montant de 48.3 mm de diamètre, pour 4 mm d’épaisseur, et pesant moins de 10kg. Il permet un montage rapide grâce à un cadre formé et s’adapte parfaitement à l’ensemble de la gamme Universel Multidirectionnel pour tous types de réalisations, des plus simples au plus complexes. il n’impose aucun sens de montage. Équipé de disques à 8 ouvertures positionnés tous les 50cm sur les montants, il permet un réglage précis des niveaux et un rayonnement à 360° autour des montants.
Il y a 6 ans et 36 jours

1 200 produits d’étanchéité dans un catalogue

SFIC édite son premier catalogue entièrement consacré à l’un de ses métiers : l’étanchéité. Premier guide tarifé spécialiste, il regroupe l’intégralité des 1 200 produits référencés par SFIC. Il intègre les nouvelles gammes des 24 partenaires industriels de l’enseigne. Ce catalogue se divise en 10 familles (mousse polyuréthane, laine de roche, polystyrène extrudé, polystyrène expansé, perlite expansée, laine minérale de roche et de verre, membranes d’étanchéité, protection lourde, accessoires d’étanchéité, outillage de spécialiste).
Il y a 6 ans et 36 jours

Tout-en-un pour le collage des tuiles

Sika propose un nouveau kit Sikaflex Fixotuile. Doté d’un conditionnement pratique, il comprend l’ensemble des outils nécessaires aux travaux de couverture d’une maison de 120 m2, dont le mastic-colle Sikaflex Fixotuile. Adapté à l’ensemble des tuiles, il permet de coller des tuiles entre elles, coller des tuiles de courant sur plaques fibres-ciment support de tuiles, sur liteaux bois ou sur voliges, de coller des tuiles de couvert sur tuiles de courant ou directement sur plaques fibres-ciment support de tuiles et de fixer des tuiles à emboîtement.
Il y a 6 ans et 37 jours

Projet Grand Saint-Sernin: Mise en valeur d’un patrimoine millénaire

Fondé entre le 11ème et 12ème siècle à Toulouse, la basilique Saint-Sernin est l’un des plus importants édifices religieux romans d’Europe.  Il est une étape incontournable du pèlerinage du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. Toulouse métropole a initié le projet Grand Saint-Sernin ayant pour but d’améliorer l’aménagement piétonnier, de restaurer et de mettre en valeur le patrimoine culturel. Ce projet de réaménagement, conçu par l’architecte-urbaniste Joán Busquets, se terminera en automne 2019.  Il sert entre autres à réaménager l’espace mais aussi de restaurer la basilique et ses trésors. Jusqu’à fin 2017, la place Saint-Sernin était un espace urbain classique avec des trottoirs en béton, de nombreuses circulations et des places de parking. Ayant débuté en 2018, le Grand-Sernin a déjà transformé les 18 000 m2 de la place en un bel espace  piéton. Pour avoir plus de détails sur le projet Grand-Sernin.
Il y a 6 ans et 37 jours

Pour les JO 2024 le site de la tour Eiffel sera piétonnisé et végétalisé

Les Jeux Olympiques de 2024 auront lieu à Paris. Un appel d’offre international avait été lancé en 2018, pour que les aménagements sur le site de la tour Eiffel aient lieu avant cet événement mondial. En effet le passage du Trocadéro à la tour Eiffel sera presque entièrement piétonnisé et végétalisé. Seuls les transports en commun et les transports doux auront aussi le droit d’y accéder. C’est le projet nommé « One », de l’architecte américaine Kathryn Gustafson, qui a été retenu par la commission d’appel d’offre international. Les travaux débuteront fin 2020 ou début 2021 et se termineront en 2023. Une fois les Jeux Olympiques terminés, les travaux reprendront, entre la place Jacques-Rueff et l’École militaire, pour qu’en 2030 tous les travaux soient fini. Cet aménagement ne fera pas moins de 54 hectares pour 72 millions d’euros. Le but étant que les 20 millions de personnes par an qui disent visiter la tour Eiffel, puissent retrouver un environnement calme et naturel en plein cœur de paris.
Il y a 6 ans et 37 jours

Potsdamer Chaussee: Des façades esthétiques en bois

Les travaux de rénovation d’un complexe de logements à Berlin-Zehlendorf ont apporté un bénéfice pratique avec une importante économie d’énergie, et aussi le respect d’exigences esthétiques strictes.  Des travaux de rénovation ont eu lieu à Potsdamer Chaussee.  L’entreprise chargée des travaux a utilisé des vis pour façade HECO-UNIX-top en acier inoxydable A2 pour une fixation rapide. L’architecte a habillé ce complexe de logements d’une nouvelle façade de crépi et de bois. Cela crée une harmonie entre le quartier et son environnement.  L’architecte a opté pour du bois Kebony. Ce bois local, modifié à l’aide d’un liquide à base d’alcool biologique est tout aussi robuste et résistant aux intempéries que les bois tropicaux.  
Il y a 6 ans et 37 jours

Broche autotaraudante HECO-WS pour assemblages bois-acier à sections multiples

Des nouvelles broches autotaraudantes dans la construction bois sont proposées par HECO-Schrauben. Elles permettraient de simplifier et d’accélérer les opérations de travail lors des assemblages bois-acier à sections multiples. La société HECO-Schrauben GmbH & Co. KG est l’un des principaux fabricants allemands de vis et de systèmes de fixation pour la transformation du bois, la construction en béton et en métal et la fixation de charges lourdes.  Les broches autotaraudantes peuvent être mises en œuvre soit à l’atelier, soit directement sur le chantier. Elles sont généralement insérées à fleur, ou encore légèrement noyées dans le bois. Pour plus d’informations sur la société HECO-Schrauben: https://www.heco-schrauben.fr/
Il y a 6 ans et 37 jours

Le Red Bull Roller Coaster: Une construction en bois avec 80 000 vis

À l’occasion du festival de sports d’action MASH 2018, le sponsor Red Bull a commandé la construction d’une rampe de skate entièrement en bois telle qu’on n’en avait encore jamais vue. La conception et le montage a été attribuée au constructeur de rampes Andreas Schützenberger, propriétaire de l’entreprise IOU-Ramps, menuisier de formation et skateur par passion. Ce menuisier allemand a sélectionné et utilisé les moyens de fixation de HECO. L’assemblage de ce parcours en bois a nécessité 80 000 vis HECO. Une équipe de six constructeurs de rampes expérimentés a utilisé au total deux kilomètres et demi de matériau. Par exemple le revêtement de la piste ne comptait pas moins de 450 panneaux de contreplaqué de bouleau. Pour en savoir plus sur les vis HECO: https://www.heco-schrauben.fr/vis-accessoires/vis/heco-topix/ Pour en savoir plus sur l’événement: https://www.redbull.com/fr-fr/events/skate-red-bull-roller-coaster-munich
Il y a 6 ans et 37 jours

Les risques élevés de l’exposition à la silice cristalline

L’Anses vient de publier les résultats de son expertise relative aux risques pour la santé des travailleurs exposés à la silice cristalline. En France, près de 365 000 travailleurs y seraient exposés par inhalation, en particulier au quartz. L’Anses estime que 23 000 à 30 000 travailleurs seraient exposés à des niveaux excédant la valeur limite d’exposition professionnelle (VLEP) de 0,1 mg.m-3 actuellement en vigueur en France, et plus de 60 000 à des niveaux excédant la VLEP la plus basse proposée au niveau international établie à 0,025 mg.m-3. Plus des deux tiers de ces niveaux d’expositions concernent le secteur de la construction. Depuis le classement de la silice cristalline comme cancérogène pour l’Homme par le CIRC en 1997, toutes les études publiées depuis ont confirmé le lien avec le développement du cancer broncho-pulmonaire (CBP). Le risque est majoré en présence d’une silicose pulmonaire, mais les études disponibles confirment l’existence d’un risque significatif indépendamment de la silicose. Si le lien causal est aujourd’hui bien établi avec la silicose, l’expertise souligne l’intérêt de réviser la définition actuelle de la maladie sur le plan médical, en incluant les formes précoces. Outre la silicose et le cancer broncho-pulmonaire, l’expertise de l’Anses confirme une association significative entre une exposition à la silice cristalline et le risque de développer une maladie auto-immune comme la sclérodermie systémique, le lupus érythémateux systémique et la polyarthrite rhumatoïde. De la même manière, l’exposition à la silice cristalline augmente le risque de développer des pathologies respiratoires non malignes autres que la silicose telles que la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), l’emphysème, la tuberculose. Une association a été observée dans les études entre l’exposition à la silice cristalline et le risque de pathologie rénale ou d’une pneumopathie infiltrante diffuse (PID) de type fibrose pulmonaire idiopathique (FPI), mais les données actuellement disponibles sont insuffisantes pour expliquer ces relations de manière précise. L’Anses recommande une série de mesures en termes de prévention et de maîtrise des expositions en milieu professionnel, de surveillance médicale et de reconnaissance des maladies professionnelles. En termes de prévention, l’Anses rappelle en premier lieu la nécessité d’appliquer les mesures de prévention définies par la directive 2004/37/CE concernant la protection des travailleurs contre les risques liés à l’exposition à des agents cancérogènes ou mutagènes au travail. En effet, les « travaux exposant à la poussière de silice cristalline alvéolaire issue de procédés de travail » ont été considérés comme cancérogènes et inscrits dans l’annexe I de cette directive. Ainsi, l’Anses recommande de transposer rapidement en droit français les conséquences de cette inscription. Elle recommande également de réviser les VLEP pour la silice cristalline, jugés insuffisamment protectrices, sans faire de distinction entre ses différentes formes. En termes de surveillance médicale, l’Anses recommande notamment des évolutions du diagnostic et du dépistage de certaines pathologies (silicose, tuberculose, pathologies rénales…) pour des sujets exposés ou ayant été exposés professionnellement à la silice cristalline. Enfin, l’Anses recommande que la révision des tableaux de maladies professionnelles en lien avec la silice cristalline soit engagée.
Il y a 6 ans et 37 jours

Enquête et diagnostics toujours en cours pour Notre-Dame de Paris

Franck Riester, le ministre de la Culture, a dressé, mercredi 15 mai 2019, en présence de Justin Trudeau, Premier ministre canadien, un premier bilan de la catastrophe. « Notre-Dame de Paris dans sa structure architecturale est sauvée, mais il reste encore du travail pour diagnostiquer l’étendue des dégâts et pour sécuriser ce qui reste le point le plus problématique du site : la voûte », a t-il assuré, en précisant que « les opérations de conservation et de sécurisation sont toujours en cours ». A l’issue de cette phase de diagnostic qui pourrait durer « plusieurs semaines », la période de « restauration » à proprement parler de la cathédrale Notre-Dame de Paris pourra débuter. L’enquête sur le déclenchement de l’incendie n’est pas terminée : « Actuellement, ce sont des robots qui retirent les gravats qui sont à l’intérieur de Notre-Dame de Paris pour, d’une part, être analysés par les experts du ministère de la Culture, tant en matière d’archéologie qu’en matière de monuments historiques, notamment avec le laboratoire de Recherche des Monuments historiques, mais aussi par la police pour voir s’il n’y a pas des indices qui permettraient d’expliquer l’origine de l’incendie ». Pour le ministre, il est prématuré de tirer des conclusions. Source : Ministère de la Culture Photo : Anna Ader
Il y a 6 ans et 37 jours

Adoption du projet de loi pour la conservation et la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris

L’Assemblée nationale a adopté le projet de loi pour la conservation et la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris qui institue une souscription nationale. Si la mobilisation populaire est exceptionnelle, grâce notamment à l’action de la Fondation de France, de la Fondation du Patrimoine, de la Fondation Notre-Dame et du Centre des Monuments nationaux, il est prématuré de considérer que « nous aurions trop de fonds collectés, plus qu’il n’en faut pour restaurer la cathédrale » a rappelé le Ministre de la Culture, Franck Riester, à l’Assemblée nationale. Un grand nombre de dons doivent être concrétisés. Par ailleurs, le coût total des travaux n’a pas encore été chiffré, la phase de diagnostic n’ayant pas encore débuté. Photo : Anna Ader
Il y a 6 ans et 37 jours

Un fonds d’urgence pour les « petites Notre-Dame » en danger immédiat

Après avoir collecté 218 millions d’euros qui seront intégralement affectés aux travaux de Notre-Dame de Paris, la Fondation du Patrimoine a clos la collecte dédiée et a décidé dans la foulée de lancer le fonds d’urgence « Plus jamais ça ! ». Sa volonté est de faire bénéficier à de « petites Notre-Dame » en danger immédiat de ce fonds qui profite de la prise de conscience suscitée par le drame arrivé à la cathédrale de Paris. En une semaine, ce sont près de 80 000 € qui ont été récoltés, le nombre de sites retenus dépendra du montant des fonds recueillis. https://soutenir.fondation-patrimoine.org/projects/plus-jamais-ca-293  
Il y a 6 ans et 37 jours

La Nuit des musées, un succès

Plus de 2 millions de personnes se sont rendues au musée, en France, dans la soirée du samedi 18 mai 2019, à l’occasion de la 15e édition de la Nuit européenne des musées. Plus de 3 000 musées en France et en Europe ont participé à l’évènement et ouvert gratuitement leurs portes. Chiffres du Ministère de la Culture : À Paris et en Île-de-France • Le musée du Louvre : 16 324 visiteurs • Etablissement public des musées d’Orsay et de l’Orangerie : 11 943 • Le musée d’Orsay : 8 264 visiteurs • Le musée national de l’Orangerie : 3 679 visiteurs • Les expositions du Grand Palais : 4 776 visiteurs • Le Petit Palais : 5 446 visiteurs • Le musée national des arts asiatiques, Guimet : 1 111 visiteurs • Le musée national Eugène Delacroix : 300 visiteurs • Le musée Picasso Paris : 3 529 visiteurs • Le 11 quai Conti – musée de la Monnaie de Paris : 1 485 visiteurs • Le muséum national d’histoire naturelle (Musée de l’Homme et Grande Galerie de l’évolution) : 8 608 visiteurs • La Philharmonie 2, musée de la musique : 1 642 visiteurs • Le musée national des Arts et métiers : 4 552 visiteurs • Le musée d’Art moderne de la Ville de Paris : 3621 visiteurs • Le musée Jean-Jacques Henner : 426 visiteurs • Le musée de la Chasse et de la Nature : 2 998 visiteurs • Le Centre Pompidou : 7 888 visiteurs • Le musée du quai Branly – Jacques Chirac : 10 960 visiteurs • Le château de Fontainebleau : 1 659 visiteurs • Le musée national de la Renaissance, à Écouen : 564 visiteurs • Le MAC VAL : 780 visiteurs • Le château de Champs-sur-Marne : 4 000 visiteurs • Le Palais de Compiègne : 2 115 visiteurs • Le domaine national de Versailles : 4 780 visiteurs • Le musée Rodin, Meudon : 1 280 visiteurs • L’Institut du monde arabe : 1 191 visiteurs • Le musée de l’Armée – Hôtel national des Invalides : 8 090 visiteurs • Le musée de l’UNESCO : 2 300 visiteurs En régions : chiffres de fréquentation par musées • Le musée des Confluences à Lyon : 6 951 visiteurs • Le musée des Beaux-Arts de Lyon : 3 500 visiteurs • Le MAC Lyon (musée d’art contemporain) : 1 357 visiteurs • Le MUCEM (Musée des civilisations de l’Europe et de la méditerranée) : 3 657 visiteurs • Le musée du Louvre-Lens : 7 794 visiteurs • Le musée des Beaux-Arts de Rouen : 2 009 visiteurs • Historial de la Vendée : 5 212 visiteurs • Le MuMa Le Havre : 1 887 visiteurs • Le musée national Magnin de Dijon : 507 visiteurs • Le MAMC+ (musée d’art moderne et contemporain de Saint-Etienne Métropole) : 1 900 visiteurs • Le musée du Touquet-Paris Plage : 717 visiteurs • Le domaine national du Château d’Angers : 2 034 visiteurs • Le musée national du château de Pau : 855 visiteurs • Le musée des baux-arts de Brest : 1 844 visiteurs • Le CAPC, à Bordeaux : 4 661 visiteurs • Le musée des Augustins à Toulouse : 7 274 visiteurs • Le musée Saint-Raymond à Toulouse : 3 760 visiteurs • Le musée Toulouse Lautrec à Albi : 1 048 visiteurs • La Piscine à Roubaix : 3 769 visiteurs • Le musée Fabre Montpellier Méditerranée Métropole : 5 053 visiteurs • Le muséum d’Histoire naturelle de Toulouse : 7 554 visiteurs • Le musée des impressionnismes à Giverny : 537 visiteurs • Le Centre Pompidou-Metz : 1 723 visiteurs • Le musée des Beaux-Arts de Reims : 1 179 visiteurs • Les musées nationaux du XXe siècle des Alpes-Maritimes : 1 457 visiteurs • Le musée du Petit Palais, à Avignon : 575 visiteurs • Le musée Réattu, en Arles : 1 307 visiteurs • Le musée Unterlinden à Colmar : 1 716 visiteurs • Le musée des beaux-arts de Valenciennes : 1 328 visiteurs • Le musée de la Corse à Corte : 407 visiteurs • Le musée de la chaussure à Romans : 655 visiteurs • Le musée Matisse de Nice : 254 visiteurs • Le musée historique de Villèle : 838 visiteurs • Le musée des Beaux-Arts de Tours : 1 350 visiteurs • Le musée d’art et d’archéologie de Valence : 1 449 visiteurs • Le Palais des Beaux-arts de Lille : 5 115 visiteurs • L’atelier-musée de l’imprimerie : 1 429 visiteurs • Le musée Casa Pairal à Perpignan : 675 visiteurs • Le musée du jouet à Colmar : 1 546 visiteurs • Le muséum de Grenoble : 1 561 visiteurs • Le musée national des douanes de Bordeaux : 2 780 visiteurs • Le musée Georges-Labit de Toulouse : 1 273 visiteurs • Musée des beaux-arts de Calais : 904 visiteurs • Le MAMAC (musée d’art moderne et d’art contemporain à Nice : 2 800 visiteurs • Le musée de Dieppe : 522 visiteurs • Le musée national de la marine à Toulon : 911 visiteurs • Le musée d’histoire naturelle de Tours : 1 012 visiteurs • Le musée Renoir, à Cagnes-sur-Mer : 882 visiteurs • Les Champs Libres – Musée de Bretagne : 3 218 visiteurs • Musée des papillons à Saint Quentin : 1 240 visiteurs • Musée de L’Abbaye de Saint Germain à Auxerre : 1 139 visiteurs • Musée portuaire de Dunkerque : 1 670 visiteurs • Le château des Ducs de Bretagne, à Nantes : 2 269 visiteurs • Le musée d’Arts de Nantes : 1 900 visiteurs Chiffres de fréquentation par ville • Paris Musées (les musées de la ville de Paris) : 11 000 visiteurs • La Nuit des mystères à Mulhouse : 27 574 visiteurs • Les musées de Strasbourg : 15 086 visiteurs • Les musées de Troyes : 3 424 visiteurs • Les musées de la Réunion des musées métropolitains Rouen-Normandie : 4 500 visiteurs • Les musées du Mans : 3 822 visiteurs • Les musées de la ville d’Orléans : 1 775 visiteurs Quelques exemples en Europe • En Espagne, à Barcelone (82 lieux) la Nit dels Museus a rassemblé 170 000 visiteurs ; à Valladolid, le musée de Valladolid : 2 007 visiteurs • En Italie, la bibliothèque universitaire régionale, en Sicile : 3 720 visiteurs • En Serbie, le musée historique à Belgrade : 1 032 visiteurs • En Finlande, le musée de Pori : 1 035 visiteurs • En Roumanie, the Artistic Center Baia Mare ; 1 368 visiteurs • En Grèce, le Peloponnesian Folklore Foundation, à Nafplio : 2 500 visiteurs • En Belgique, les musées de Tournai : 5 890 visiteurs • En Ukraine, le musée d’art régional de Vinnytsia : 910 visiteurs • En Bulgarie, le National Museum Earth and Man (Sofia) : 4 035 visiteurs • En Slovaquie, le SNU Museum (Banská Bystrica) : 715 visiteurs et le musée Gemer-Malohont (Rimavska Sobota) • En Espagne, le Museo Municipal de Albasete : 620 visiteurs • À Madère, le musée Quinta das Cruzes : 1 059 • En Lituanie, le musée de la ville de Kaunas : 7 560 visiteurs La Nuit européenne des musées en chiffres Nombre de musées participants en France 700 en 2005 1 300 en 2019 Nombre de musées participants dans les autres pays européens 450 en 2005 2 000 en 2019 Nombre de pays participants 29 en 2005 30 en 2019
Il y a 6 ans et 38 jours

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Il y a 6 ans et 38 jours

RE2020 : ne pas confondre vitesse et précipitation

La loi ELAN prévoit de prendre en compte, en 2020, le « contenu carbone », c’est-à-dire l’ensemble des émissions de gaz à effet de serre liées à la construction, l’exploitation et la déconstruction des bâtiments. Cette nouvelle approche aura des impacts sur le choix des produits de construction (matériaux et équipements), leur provenance, leur recyclage, et sur le type d’énergie utilisée (gaz, électricité, énergies renouvelables, …). Depuis la promulgation de la loi, un grand plan de concertation copiloté par l’état et le Conseil Supérieur de la Construction et de l’Efficacité Énergétique (CSCEE) a été mis en place. En à peine 6 mois, plus de 250 contributions écrites et de multiples réunions de travail ont alimenté en continu les débats entre les membres du CSCEE. Le CSCEE vient de remettre des propositions au sujet de la méthode d’évaluation des performances des bâtiments et des indicateurs sur lesquels porteront des exigences réglementaires. Pour le choix des indicateurs, sans visibilité sur les niveaux d’exigence, l’exercice s’est révélé difficile. Le CSCEE attend aujourd’hui de l’administration qu’elle lui présente un ensemble de simulations permettant de tester les indicateurs. Par mesure de prudence, il sollicite le Gouvernement pour que 2020 soit avant tout l’année de la publication des textes et non celle de l’entrée en vigueur de cette réglementation qui vient bousculer tous les codes. Ces propositions ont émergé des débats au sein du CSCEE sur la méthode d’évaluation. Il se réserve le droit de revenir dessus en fonction des résultats de simulation qui seront présentés par l’administration à l’automne 1 Expression des exigences sous la forme « socle + points » (une exigence minimale énergie-carbone, complétée d’une performance à obtenir librement sur les aspects énergie et/ou carbone) Rester sur un système de socle dans la continuité de l’expérimentation E+C- avec une exigence sur l’énergie et une exigence sur le carbone. 2 Périmètre de l’évaluation Prise en compte de l’impact carbone des aménagements de la parcelle : ne pas prendre en compte les aménagements de la parcelle dans l’évaluation de l’empreinte carbone du bâtiment, mais au travers d’un indicateur pédagogique. Il s’agit de capitaliser des retours d’expérience suffisants avant de pouvoir fixer un seuil sur cet aspect. Prise en compte de l’impact carbone des opérations de démolition préalables à la construction : ne pas prendre en compte cet impact pour ne pas décourager la construction de la ville sur la ville et ne pas pousser à l’étalement urbain. 3 Obligation de recours à la chaleur renouvelable, ou plus globalement aux EnR Ne pas rendre systématiquement obligatoire le recours à la chaleur renouvelable. S’il y a une obligation de recours aux EnR ciblée, raisonner sur l’ensemble des EnR, sans cibler la seule chaleur renouvelable, et en prenant en compte l’électricité exportée. 4 Stockage temporaire du carbone Mettre en place un indicateur dédié du carbone stocké dans le bâtiment qui ne soit pas agrégé dans l’évaluation de l’empreinte carbone du bâtiment ; Ne pas fixer, dans un 1er temps, d’exigence sur la valeur de cet indicateur ; il s’agit de capitaliser des retours d’expérience suffisants avant de pouvoir fixer un seuil sur cet aspect. 5 Confort d’été Exprimer l’exigence de confort d’été de manière absolue ; Retenir une formulation de l’exigence selon une approche à trois niveaux (absence d’inconfort, inconfort tolérable, inconfort inacceptable) ; Prendre en compte le risque d’installation ultérieure de climatisation. 6 Prise en compte des autres usages mobiliers et immobiliers de l’énergie Pour les autres usages mobiliers (chargement des téléphones portables, électro-ménager, …), mettre en place un indicateur pédagogique avec un ordre de grandeur de la consommation estimée et prendre en compte cette consommation uniquement pour le calcul de l’autoconsommation de l’électricité produite sur site ; Prendre en compte dans le périmètre de la future réglementation, les autres usages immobiliers, tels que les ascenseurs et l’éclairage des parties communes. 7 Surface de référence Retenir un dénominateur commun des indicateurs énergie et carbone, avec la surface habitable (SHAB) pour le résidentiel et son pendant pour le tertiaire, la surface utile (SU). 8 Fin de vie des bâtiments Etudier la sensibilité suivant les différentes hypothèses de durée de vie des bâtiments.
Il y a 6 ans et 38 jours

Comment habiterons-nous dans 20 ans ?

Le groupe de réflexion Terra Nova décline dans son nouveau rapport plusieurs scénarios d’avenir possibles sur la façon d’habiter dans 20 ans, ainsi que les grands enjeux de nos territoires. « Comment habiterons-nous dans 20 ans ? Formulé de cette manière, le sujet se présente de manière à la fois plus restreinte et plus vaste. Plus restreinte, parce qu’il laisse de côté de nombreux sujets techniques fondamentaux pour le logement, comme le financement, les normes réglementaires, les techniques de construction etc. Mais plus large parce qu’il invite à observer les croisements entre les manières d’habiter et des évolutions de nos modes de vie : la redéfinition de la vie familiale, le vieillissement de la population, le changement du travail, le développement de la mobilité, l’apparition de l’économie du partage etc. » Télécharger le rapport  
Il y a 6 ans et 39 jours

50 % des projets NPNRU validés

Entre mai 2018 et avril 2019, l’ANRU et ses partenaires ont validé la moitié des projets du Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain (NPNRU), concernant 238 quartiers. 47 600 logements sociaux vont être démolis, 36 000 reconstruits et 64 200 réhabilités. L’ANRU a mis 5,7 milliards d’euros à disposition des collectivités et des bailleurs pour engager les chantiers. Ces concours financiers vont permettre la réalisation de projets estimés à plus de 19 milliards d’euros tous financeurs confondus. En avril 2019, l’ANRU et ses partenaires ont validé les projets des quartiers d’intérêt national des collectivités suivantes : – Le Mans Métropole (Allonnes), – Communauté d’Agglomération Villefranche Beaujolais Saône (Villefranche), – Grand Paris Sud Est Avenir (Créteil), – Grand Paris Seine Bièvre (Choisy), – Métropole du Grand Nancy (Nancy, Laxou), – Rouen Normandie Métropole (Cléon-Saint-Aubin-lès-Elbeuf, Rouen) – la Communauté d’Agglomération de la Porte-du-Hainaut (Denain).
Il y a 6 ans et 39 jours

Rénovation du centre-ville de Marseille : une coordinatrice désignée

Muriel JOER LE CORRE, ingénieure générale de la fonction publique territoriale, a été nommée directrice de projet « rénovation du centre-ville de Marseille » auprès du préfet de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, pour une durée de trois ans, à compter du 12 juin 2019, par arrêté du Premier ministre et de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales. Elle sera chargée d’assurer la coordination des services de l’Etat dans le cadre de la rénovation du centre-ville de Marseille. Elle contribuera, également, à l’établissement d’un projet partenarial d’aménagement et à la préfiguration et la mise en œuvre des outils nécessaires à sa réalisation.
Il y a 6 ans et 42 jours

Exposition : Vivre Bois

ADIVBOIS présente du 15 au 23 mai 2019 l’exposition VIVRE BOIS Solutions pour le Cadre de Vie des Immeubles à Vivre Bois à la Galerie au Roi à Paris. Cet événement, destiné à tous les acteurs impliqués dans la construction de la ville et de l’immeuble de demain, repose sur la mise en scène de trois prototypes, solutions de micro-architecture et d’agencement grandeur nature pour le Cadre de Vie des Immeubles à Vivre bois, développés au sein d’ADIVBOIS, au travers d’une exposition regroupant un ensemble de panneaux présentant ces prototypes, leurs caractéristiques et équipes. Un parcours d’exposition retrace les tenants et les aboutissants du projet VIVRE BOIS et permettant d’enrichir le sujet, l’organisation de visites commentées et de workshops du Cadre de Vie permettant aux professionnels de s’emparer du sujet, d’échanger avec les acteurs du projet sur leur retour d’expérience et de formaliser concrètement des solutions et offres produits. Cette exposition dévoile le fruit du travail collaboratif entre architectes, industriels, agenceurs/intégrateurs, designers, marketeurs pour aller au-delà de l’immeuble conventionnel, en liant construction et architecture, structure et aménagement, écologie et économie… avec le bois comme point d’orgue.
Il y a 6 ans et 42 jours

Vivre Bois : prototype 1, partition adaptable

L’immeuble démonstrateur L’étang d’art est le point de départ du prototype Partition adaptable et d’une réflexion sur la flexibilité des lieux de vie et l’économie circulaire. Il est né de la rencontre de multiples acteurs portés par une même envie de proposer des habitats sains, durables et poétiques adaptés aux contraintes du bâtiment, des nouveaux modes de vie tout en valorisant la filière bois et l’économie circulaire et collaborative. Le prototype repose sur des éléments de partitions mobiles ou fonctionnels permettant de répondre aux besoins évolutifs des occupants. Une nouvelle façon d’imaginer son cadre de vie Ce projet repose sur un principe de résilience avec un catalogue de solutions design permettant une partition, une organisation des espaces à la fois optimisée, évolutive et réversible. Ces solutions proposent une nouvelle façon d’habiter, de vivre, de créer, de fabriquer, d’imaginer un cadre de vie, plus adaptable aux souhaits de chacun. Un catalogue de solutions design / partitions & interfaces Partition adaptable, propose un ensemble d’éléments séparateurs (partitions fonctionnelles ou mobiles) et d’interfaces qui s’assemblent à la manière d’un jeu de LEGO®. Ces éléments, à la fois techniques, fonctionnels et esthétiques permettent de faire évoluer son cadre de vie à l’infini. Ils s’adaptent en fonction de l’imaginaire, des envies, des besoins et des espaces. Les partitions, fonctionnelles et mobiles, portent une fonction de séparation ou d’ouverture des espaces et répondent aux besoins du séjour, de la chambre, de la cuisine ou de la salle de bain en intégrant des fonctions de rangement, de lavage, de détente. Quant aux interfaces, elles sont gérées par des connecteurs (traversières, fileurs, stylobate, mur technique). Certains offrent la possibilité de combler la hauteur sous plafond par un complément de rangement ou par une traversière vitrée ; d’autres permettent de compenser les écarts de tolérance entre le bâtiment et l’industrie. Avec ces solutions, le lien avec le cadre bâti est le principal sujet d’innovation. Équipe LA FABRIQUE & MENUISERIE LOFOTEN, Agenceurs-intégrateurs / JOHANNE GUICHARD (ex GOA), Architecte / CREID – Designer / AIA – Bureau d’Etude Structure / ATELIER EMMAUS / COPABOIS / ECO-MOBILIER / VALDELIA   ADIVBOIS présente du 15 au 23 mai 2019 l’exposition VIVRE BOIS Solutions pour le Cadre de Vie des Immeubles à Vivre Bois à la Galerie au Roi à Paris.  
Il y a 6 ans et 42 jours

Vivre Bois : prototype 2, capsule capable / prête à habiter

L’immeuble démonstrateur Capable est le point de départ du prototype Capsule capable qui propose une solution industrialisée englobant cuisine, douche, rangements, bureau ou dressing dans un module de 5 m2 qui vient se plugger dans une pièce. L’ensemble se présente sous une forme compacte et pré-construite. Ce produit, fruit de l’association de compétences plurielles et de partenariats, prend en compte l’ensemble des contraintes et des attentes des différentes expertises mobilisées, afin de proposer un produit à la fois prêt à poser et prêt à habiter. Plug & Play Spécialement pensée pour se plugger à la structure d’un projet de bâtiment neuf, la capsule peut être posée une fois réalisés le clos-couvert et les fluides. La gaine technique qui en constitue le noyau offre une simplicité maximale : il suffit d’une seule entreprise pour venir brancher la capsule aux alimentations électriques et aux arrivées et évacuations d’eau, évitant les interfaces aussi coûteuses que complexes. Qualité de vie Ce travail de compacité ne fait aucun sacrifice à la qualité de vie proposée par la capsule. Un soin particulier, notamment, a été porté aux enjeux d’intimité entre salle d’eau et chambre. Le bois, visible sur les faces extérieures de la capsule, joue par ailleurs à plein en matière de chaleur, de confort, d’acoustique, de bien-être et de personnalisation. Mise en œuvre minimale / réversibilité maximale Sa simplicité de mise en œuvre se prête également à des projets de réhabilitation : la capsule peut être posée directement sur un plateau, sans autre intervention que son branchement fluide. De même, la capsule Capable peut être simplement démontée et déposée. Cette caractéristique laisse envisager la conception de bâtiments pleinement évolutifs sur le long cours : fusion de studios, division d’espaces, mutation d’une destination vers une autre… Équipe AMORIS GROUPE MALVAUX, Agenceur intégrateur / ALTERSMITH, Architecte / BRUNO HOUSSIN, designer/ECSB – Bureau d’études structure / CARBONNEL INGENERIE, bureau d’étude fluide / LCA, charpentier/LES PARTENAIRES : NORA, FERMACEL, GEBERIT, HANSGROHE, SAS MINIMUM, PIVETEAU, WARICOR, WM 88   ADIVBOIS présente du 15 au 23 mai 2019 l’exposition VIVRE BOIS Solutions pour le Cadre de Vie des Immeubles à Vivre Bois à la Galerie au Roi à Paris.  
Il y a 6 ans et 42 jours

Vivre Bois : prototype 3, du macro-meuble à la réversibilité

L’immeuble démonstrateur Balcons en forêt est le point d départ de ce prototype « du macro meubles à la réversibilité ». Éléments séparatifs fonctionnels, ces macro-meubles permettent d’optimiser l’espace. Ce projet expérimental se décline également sur un autre démonstrateur ADIVBOIS : l’immeuble Timber Loggias. Balcons en forêt  exploite les possibilités qu’offre la construction bois pour créer une architecture ouverte, constituée d’espaces plus libres, plus fluides, plus réversibles, et donc plus appropriables par les habitants, pour accompagner les évolutions des modes de vie. Espaces servants / espaces servis Balcons en Forêt décompose l’espace en deux familles : les espaces servants, qui concentrent l’ensemble des pièces de service (entrée, pièces humides : placées à proximité des réseaux) et les espaces servis, que sont les lieux de vie. Le prototype développé porte plus particulièrement sur les espaces servants. Autour de cet « espace servant », les « espaces servis » (une chambre, deux chambres, un grand salon, un bureau, une cinquième pièce, une buanderie, un loft) sont composés et recomposés librement selon les besoins des occupants. Les macro-meubles Cette « bande servante » s’appuie sur un ensemble de « macro-meubles », à la fois séparatifs et pouvant recevoir différentes fonctions et usages. Cette combinaison de fonctions permet de créer, par exemple, des rangements toute hauteur et d’optimiser les volumes afin de libérer de l’espace. Au-delà du rangement, ces cloisons-meubles peuvent intégrer des modules fluides (pièces d’eau) ou secs (rangement). Ils sont démontables, personnalisables, adaptables (PMR, par exemple). Les fonctions elles-mêmes sont flexibles. La bande servante est ainsi constituée d’une succession d’espaces qui peuvent être disposés librement et se transformer. Personnalisation / configuration Au-delà de la possibilité de reconfigurer les espaces (en déplaçant les cloisons-meubles) et de la réversibilité des fonctions, les « macro-meubles » peuvent être enrichis par une multitude d’options, pour s’adapter aux différentes configurations architecturales. De la même manière, revêtements et finitions sont choisis et combinés selon les désirs des habitants. Équipe BURI & INSIGHT Design Groupe HASAP, Agenceur-Intégrateur / Atelier Pascal Gontier, Architecte / SATHY, Architectes / R2K, Architectes / GGSV, Designer / iXot, Domotique   ADIVBOIS présente du 15 au 23 mai 2019 l’exposition VIVRE BOIS Solutions pour le Cadre de Vie des Immeubles à Vivre Bois à la Galerie au Roi à Paris.  
Il y a 6 ans et 42 jours

Dégradation des ventes du logement : appel à un PTZ fort sur tous les territoires

Le marché de la maison individuelle en secteur groupé subit toujours une forte érosion selon les chiffres du ministère. En glissement annuel à fin mars 2019, les ventes reculent de 8,1 % sur trois mois et les mises en vente s’effondrent de 45,5 % sur le premier trimestre, de 15,6 % sur un an. Les ventes en logement collectif affichent une relative stabilité (+ 0,2 % au premier trimestre 2019) mais les mises en vente d’appartements chutent de 29,5 % sur ces trois mêmes mois. La situation s’avère très préoccupante dans les zones détendues. Au premier trimestre 2019, en zones B2 et C, les ventes de logements collectifs et individuels groupés s’écroulent de 18,6 %, tandis que les mises en vente de ces deux segments de marché s’effondrent de 42 %. L’offre bancaire très favorable, avec des taux d’intérêts historiquement bas, porte à bout de bras la solvabilité des foyers les moins fortunés. Pour Grégory Monod, Président de LCA-FFB, « le dynamisme du crédit immobilier ne doit pas faire oublier le rôle décisif des aides publiques pour le secteur du logement, notamment celles dédiées à l’accession à la propriété des ménages modestes. Tôt ou tard, le marché bancaire se retournera et il ne pourra contenir bien longtemps les effets désastreux pour ces ménages de la disparition du PTZ en zones détendues si celle-ci était confirmée. Dans l’attente de la réforme du zonage annoncée après les municipales, nous appelons une nouvelle fois le Gouvernement à rétablir le prêt à taux zéro aux conditions d’avant 2018 en zones B2 et C, et à le prolonger jusqu’à fin 2021 ».
Il y a 6 ans et 43 jours

Bardage acier sur-mesure pour la salle immersive à 360° du Mémorial de Caen

Créer une salle de cinéma immersive à 360°, au cœur du Mémorial de Caen, est le défi que souhaitait relever son directeur Stéphane Grimaldi. À l’initiative du projet, il a imaginé, dessiné et financé à hauteur de deux millions d’euros cet ouvrage original. « C’est dans sa forme circulaire, imposée par le type de bâtiment, que réside toute la complexité du chantier. », résume Jacques MILLET, architecte de l’agence MILLET CHILOU GARDETTE. La structure béton, de 20 mètres de diamètre s’habille de 290 m2 de tôles en acier noir et épais de 4 mm d’épaisseur, soit 10 tonnes au total. Une conception inédite pour le charpentier métallique CCS OUEST et son bureau d’études intégré, qui ont créé un bardage aux dimensions XXL, à la fois massif, cintré et mis en œuvre sur des fixations invisibles développées spécifiquement pour le chantier. Chacune des 93 pièces étant uniques, il aura fallu deux mois pour réaliser cette partie extérieure. Un travail minutieux de serrurerie plus que de charpentier. La mise en œuvre a demandé une précision exemplaire. Chaque tôle devait être attachée à la structure sans laisser apparaître les fixations. Le bureau d’études a développé un système de crémaillère unique. Une fois installé, il suffisait aux équipes de suspendre discrètement ces plaques de 140 kg à l’aide d’une grue mobile 35 tonnes. La pose s’est effectuée en deux phases, durant tout le mois de février et une semaine fin mars pour les dernières plaques. « Le travail sur les relevés en amont et cette création spéciale nous ont apporté un gain de temps considérable. Au total, l’installation des fixations et des tôles représente 750 heures. », souligne Nicolas BRISSET, Chargé d’affaires CCS OUEST. Les plaques sont venues recouvrir et protéger l’isolant laine de roche de 120 mm d’épaisseur et le pare-pluie. Photo CCS Ouest