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Il y a 3 ans et 114 jours

Comment remplacer un interrupteur simple par un interrupteur lumineux Céliane Legrand ?

Vous avez des difficultés à repérer vos interrupteurs dans le noir ? Grâce à son voyant lumineux qui reste constamment allumé, l’interrupteur lumineux Céliane Legrand se repère à coup sûr la nuit. Sa fonction lumineuse permet notamment aux personnes âgées ou malvoyantes d’allumer la lumière facilement et en toute tranquillité, dans un couloir ou un escalier par exemple. Idéal pour accompagner le maintien à domicile pour l’assistance à l’autonomie. L’interrupteur lumineux Céliane permet de commander tous types de lampes, dans la limite de la puissance tolérée écrite sur la notice. Découvrez dans ce tutoriel comment remplacer un interrupteur simple par un interrupteur lumineux Legrand chez vous en suivant les étapes d’installation : retirer l’interrupteur simple à remplacer installer l'interrupteur lumineux Céliane Legrand terminer l’installation de l'interrupteur lumineux Céliane LegrandPour remplacer un interrupteur simple par un interrupteur lumineux Céliane Legrand : retirer l’interrupteur simple à remplacer : pour une question de sécurité, comme avant toute intervention, couper le courant via le disjoncteur d'abonné et s’assurer de l'absence de tension à sa sortie. Et pour une sécurité maximale, consigner le disjoncteur à l'aide d'un cadenas spécifique afin d'éviter toute remise du courant par un occupant du logement pendant l'installationdémonter l'interrupteur existantbien repérer les fils avant de les déconnecter : le fil de phase et le fil relié à la lampeconserver les fils et la boîte d’encastrementvérifier que la boîte d’encastrement est d'au moins 40 millimètres de profondeurbrancher l'interrupteur lumineux Céliane Legrand : raccorder le fil de phase sur la borne repérée L de l’interrupteur lumineuxraccorder le fil relié à la lampe sur la borne repérée 1terminer l’installation de l'interrupteur à voyant lumineux Céliane Legrand : fixer l'interrupteur lumineux dans la boîte la boîte d’encastrementremonter la plaque de finition Céliane Legranddéconsigner le disjoncteur d’abonné et remettre le courantfaire un test : que le doigt de l'interrupteur soit en position ON ou OFF, le voyant de l'interrupteur lumineux Céliane Legrand doit rester allumé.Votre interrupteur lumineux Céliane Legrand est maintenant installé, prêt à être installé ! Vous savez maintenant, grâce à ce tutoriel Legrand, comment remplacer chez vous un interrupteur simple pour installer un interrupteur lumineux Legrand.
Il y a 3 ans et 114 jours

L'appétit de biens et d'objets, responsable aussi du réchauffement climatique

Construction, alimentation, moyens de transport... 70% des émissions de gaz à effet de serre sont aujourd'hui liées à la production manufacturière et à l'utilisation des biens produits, selon le rapport annuel de la Circle Economy sur la consommation de matières.Pour ces chercheurs, les engagements climatiques des Etats se concentrent souvent sur les émissions liées aux énergies fossiles, en oubliant l'appétit croissant pour les produits de toutes sortes. Seul un tiers de ces promesses mentionnent l'économie circulaire dans leurs objectifs."Si nous repensions notre relation aux objets, qu'est-ce que cela nous apporterait? Et bien, pas mal de choses", selon Matthew Fraser, directeur de recherche.Avec une économie plus circulaire, une extraction de ressources et une consommation réduites de 28%, le monde aurait une chance de limiter le réchauffement à 1,5°C par rapport aux niveaux pré-industriels, selon le rapport. Or aujourd'hui, l'humanité consomme 70% de ressources vierges en trop par rapport à leur capacité de renouvellement. Sur la base des flux commerciaux, The Circle Economy a estimé que les matières consommées annuellement sont passées de 89,8 milliards de tonnes en 2016, à 101,4 en 2021. En 2020, seuls 8,6% ont été ensuite recyclés, l'essentiel finissant en déchet, la demande de consommation dépassant les efforts, réels, en faveur du recyclage et de la réutilisation."Même si les biens gagnent en efficacité - ordinateurs plus petits, voitures plus légères, amélioration du recyclage... - cela ne compense pas la croissance de la demande", constate M. Fraser.Des améliorations sectorielles peuvent encore venir, mais ne dispenseront pas d'une réduction globale de la consommation: pour le chercheur, le modèle qui dans les pays riches permet aujourd'hui de se faire livrer en quelques heures un produit fabriqué de l'autre côté du globe "devra inévitablement changer".Le rapport évoque aussi la nécessaire réparabilité des équipements électriques (qui contiennent des métaux précieux), prône une restriction des plastiques à usage unique, l'essor du partage et de la location. La construction a aussi une grande marge de progrès, note-t-il, en développant des modes de déconstruction plus favorables à l'environnement.Aux gouvernements aussi de réorganiser leurs systèmes de soutien, pour qu'il coûte enfin moins cher de recourir aux matériaux issus du recyclage plutôt qu'aux neufs."Pourrions-nous être plus stricts quant au métabolisme de notre économie? De la même manière que vous n'aimeriez pas consommer de la malbouffe tout le temps", s'interroge le chercheur.La question reste "un angle mort" pour les Etats, qui ne mesurent même pas leur empreinte "matières", regrette-t-il, anticipant une possible pression à venir de la part de l'opinion.
Il y a 3 ans et 114 jours

Le Covid et l'e-commerce, pain bénit pour les entrepôts

"La demande d'entrepôts en France a encore de beaux jours devant elle !", commente auprès de l'AFP Pierre-Louis Dumont, directeur exécutif industriel et logistique au cabinet de conseil en immobilier d'entreprise CBRE.Selon le groupement Immostat, dont les chiffres font référence pour l'immobilier d'entreprise, la demande placée, c'est-à-dire le nombre de mètres carrés d'entrepôts nouvellement loués ou vendus pour être occupés, a connu en 2021 sa meilleure année depuis 2017.Autre symbole de cette santé, le groupe Argan, qui loue des entrepôts à la grande distribution (Carrefour, Casino, Auchan...), à des logisticiens (FM, Geodis...) ou à Amazon, a vu ses revenus locatifs grimper de 10% en 2021. Une progression dopée par la livraison au géant américain de l'e-commerce d'un gigantesque entrepôt de 185.000 mètres carrés sur quatre étages, près de Metz."Il y a une très forte demande, portée d'abord par l'adoption de l'e-commerce, qui oblige à changer les réseaux de distribution, et ensuite par le fait que tout le monde a besoin de le faire en même temps", résume Pierre-Louis Dumont.La pandémie a été un "accélérateur de tendance" pour la France, qui avait moins adopté l'e-commerce que ses voisins, note-t-il.Or, pour passer à l'e-commerce et pouvoir livrer très rapidement ses produits aux clients, une entreprise doit réorganiser sa chaîne d'approvisionnement, faire davantage de stocks et utiliser plus de petits entrepôts à proximité des villes, pour la logistique dite du "dernier kilomètre". Loyers en hausse ?D'où la multiplication de petits entrepôts au coeur des villes. Même si leur poids économique est marginal, et devrait le rester selon Laetitia Dablanc, directrice de recherche à l'université Gustave Eiffel. "Ça restera une niche, mais qui va rester longtemps très active", dit-elle à l'AFP.Autre explication, avancée par François Le Levier, du cabinet CBRE : "Les investisseurs ont mis le frein sur les classes d'actifs traditionnelles, comme le bureau, l'hôtel... qui ont subi de plein fouet la crise sanitaire, et se sont reportés sur les entrepôts logistiques."Et en 2022, le secteur devrait continuer à attirer malgré une offre qui peine à suivre.Construire de nouveaux entrepôts, très gourmands en foncier, va devenir de plus en plus difficile, du fait de la loi française contre l'artificialisation des sols."Il n'y a pas de limitation pour l'instant, mais ils (les entreprises du secteur, NDLR) savent que ça risque de leur arriver, donc ils regardent comment on fait des entrepôts à étages", remarque Laetitia Dablanc.Autre obstacle: l'opposition fréquente des riverains, comme dans le Gard ou près de Nantes, où des mobilisations ont dissuadé l'implantation d'entrepôts Amazon."C'est toujours plus agréable pour les habitants d'avoir à côté de chez eux une résidence seniors ou un immeuble de bureaux qu'un entrepôt avec des camions qui vont et viennent", souligne Pierre-Louis Dumont.Du coup, les loyers pourraient grimper en flèche.D'autant que beaucoup de bailleurs sont des investisseurs, qui achètent des portefeuilles dans toute l'Europe, avec des objectifs de rentabilité financière.Pour eux, "il y a une croissance importante des valeurs locatives à aller chercher, par la rareté du foncier et la loi sur l'artificialisation des sols", relève François Le Levier.
Il y a 3 ans et 115 jours

Évolution des filières de recyclage : quel avenir pour le service public de gestion des déchets ?

La plupart de ces mesures, dont AMORCE a souvent été à l’origine, vont dans le bon sens. Mais des arbitrages précipités et rarement concertés avec les collectivités en charge depuis des décennies de la gestion des déchets laissent craindre des résultats en trompe-l’œil.Certaines décisions risquent en effet d’entraîner des conséquences beaucoup moins positives pour l’avenir du service public, pour la fiscalité locale, et un fort risque de démobilisation des élus et des acteurs territoriaux trop souvent mis devant le fait accompli. Cette déstabilisation progressive du service public de gestion des déchets a connu un nouveau point d’orgue avec la décision récente de bouleverser la filière des emballages.100 % des échéances reportées sur les nouvelles filières de recyclage aux dépens des collectivités et des contribuables locauxEn cette rentrée 2022, AMORCE fait d’abord le constat amer que si l’augmentation massive de la taxe sur le stockage des déchets (TGAP) a été effective dès le début du mandat, sans un jour de retard en 2018, aucune des nouvelles filières de collectes sélectives (jouets, sport et loisirs, bricolage, jardinerie…) qui devaient justement permettre de réduire le stockage des déchets n’est opérationnelle au 1er janvier 2022 comme le prévoyait la loi Agec. Pendant 4 ans, la TGAP aura ainsi rapporté des centaines de millions d’euros au budget de l’État sur le dos des collectivités, y compris les plus vertueuses en matière de recyclage.Le constat est le même pour la filière de recyclage des emballages professionnels de la restauration qui devait initialement être mise en place au 1er janvier 2021 et qui a été reportée de deux ans. Pire encore, 12 ans après la loi Grenelle qui prévoyait déjà un dispositif financier pour gérer les déchets du bâtiment, la mise en place de la filière a de nouveau été reportée d’un an sous la pression des metteurs sur le marché à l’aube de la campagne présidentielle. Et ce, sans aucune concertation avec les collectivités locales concernées qui ont été mises devant le fait accompli. Ces reports successifs laissent des dizaines de milliers de tonnes de déchets à la charge des collectivités et des contribuables locaux.Des changements de règles du jeu pour la filière des emballages et d’autres filières existantes qui risquent de fragiliser lourdement l’organisation du service public de gestion des déchetsConcernant les filières déjà en fonctionnement (emballages, déchets électriques et électroniques, déchets dangereux …), AMORCE déplore une simplification dangereuse des cahiers des charges des éco-organismes, pourtant déjà en situation monopolistique. Les contrats avec les éco-organismes sont de plus en plus déséquilibrés et fragilisent l’action des collectivités. AMORCE déplore également l’affaiblissement de l’ambition initiale de la loi Agec sur les objectifs environnementaux, avec très peu de moyens supplémentaires de coercition pour l’État en cas de non-atteinte de ces objectifs, alors que ce dernier sait être beaucoup plus sévère avec les obligations des collectivités locales.Mais c'est surtout la décision récente de donner à l’éco-organisme le contrôle exclusif de la plupart des flux de déchets d’emballages en plastique, à l’exception des bouteilles et flacons, qui pose question sur les objectifs visés. Une décision prise sans véritable concertation, ni évaluation environnementale et économique, et sans garantie que cela améliore le recyclage des nouveaux plastiques que doivent désormais trier les Français. Ce faisant, les collectivités apparaissent à nouveau comme les variables d’ajustement des stratégies industrielles des metteurs sur le marché en quête de résine, alors qu’elles ont dû investir des centaines de millions d’euros d'argent public, payé par les contribuables, dans de nouveaux centres de tri aujourd’hui remis partiellement en cause. AMORCE dénonce enfin le développement souterrain des automates de consignation des bouteilles en plastique, dernier gisement de déchets qui pourrait encore être trié par les collectivités, le seul ayant de la valeur et faisant baisser le coût du service public des déchets. Le développement de ces automates sur le territoire entre contradiction complète avec l’accord établi avec le gouvernement dans la loi Agec sur le report de ces dispositifs face à l’opposition de nombreux acteurs.Un risque important de démobilisation des collectivités et des élus locauxLes collectivités locales, qui ont été jusqu’ici des acteurs majeurs de l’économie circulaire à l’échelle des territoires, se sentent de plus en plus otages des stratégies commerciales et industrielles nationales ou internationales qui sont très éloignées des préoccupations des citoyens et des enjeux environnementaux de long terme. Sans visibilité sur l’avenir, et impactés financièrement par des décisions ne prenant pas en compte le service public de première nécessité de gestion des déchets, les élus locaux sont de plus en plus nombreux à s’interroger sur leur motivation à s’engager dans les filières de recyclage et à signer les futurs contrats avec les éco-organismes.AMORCE appelle donc le gouvernement à un rééquilibrage des échanges et des décisions entre industriels et collectivités en matière de gestion des déchets, pour éviter la démobilisation, voire le retrait massif des collectivités de nombreuses filières de collecte sélective et de recyclage, dont elles sont la clé de voute. AMORCE présentera dans les prochaines semaines ses propositions en ce sens aux candidats à l’élection présidentielle.
Il y a 3 ans et 115 jours

Le rapport Impact du groupe EDF

Il y a 3 ans et 115 jours

L'accès mobile : l'avenir du contrôle d'accès sans fil

Utilisés comme GPS puis comme carte de paiement, les smartphones évoluent à grande vitesse et deviennent de véritables clés digitales. Grâce à ces derniers, il est désormais possible d’accéder à un bâtiment, sur un ou plusieurs sites, de manière totalement sécurisée.Un récent rapport sur le marché du contrôle d’accès démontre que les utilisateurs voient dans l’accès mobile plusieurs avantages tels que la praticité, le coût et la sécurité. Les identifiants mobiles, lecteur d’empreinte et reconnaissance faciale, sont considérés comme plus sécurisés qu’un badge ou une clé. Le comportement humain est également considéré comme un avantage de l’accès mobile. Par exemple, un employé ne remarquera pas tout de suite avoir perdu son badge d’accès alors que cette personne sera plus soigneuse avec son smartphone.Uniformiser la gestion de la sécurité et des accès avec un smartphone D’après une étude* menée par IFSEC Global et ASSA ABLOY Opening Solutions, deux tiers des entreprises prévoient d’adopter un système de contrôle d’accès mobile dans les deux prochaines années. Avec le téléchargement des identifiants mobiles qui a connu une augmentation de 220% entre 2018 et 2019 et qui continue de croître, selon une étude Omdia**, le contrôle d’accès mobile est l’avenir. D’un point de vue de la gestion de la sécurité, la facilité d’utilisation d’un smartphone est un atout majeur. En effet, les identifiants mobiles peuvent être envoyés à distance et un administrateur peut annuler ces derniers à tout moment. Il n’y a plus de besoin de récupérer les badges des visiteurs occasionnels ou des personnes arrivant à la fin de leur contrat. Financièrement, cette solution est plus intéressante puisqu’elle permet de ne plus imprimer les badges physiques.Les lecteurs sans fil Aperio, une solution de contrôle d’accès mobile pour les bâtiments Les solutions sans fil Aperio offrent un moyen très simple d'étendre le nombre de portes sous contrôle d'accès ou pour remplacer les serrures mécaniques par du contrôle d'accès intelligent. Parce que les solutions Aperio sont sans fil et alimentées par une pile, leur installation est rapide et économique et leurs coûts de fonctionnement et de maintenance en seront donc réduits. L’accès mobile Aperio fonctionne grâce à la technologie Seos®, une plateforme innovante dotée d’une technologie de cryptographie et d’authentification de pointe ainsi que d’une protection à la confidentialité inégalée. Déverrouiller une porte, avec les solutions sans fils Aperio, est simple et intuitif. Les utilisateurs présentent leur smartphone aux lecteurs, sans avoir à ouvrir l’application, tel qu’ils le feraient avec un badge classique. Les produits Aperio peuvent lire simultanément plusieurs technologies de badges. Ainsi, tous les accès n’ont pas vocation à être mobile et les responsables sécurité n’auront pas à migrer tous les identifiants sur une seule et même plateforme. Les lecteurs sans fil Aperio sont pensés pour une compatibilité maximum : les entreprises peuvent utiliser des badges RFID tout en utilisant des identifiants dématérialisés simultanément sur le même équipement. Les lecteurs Aperio permettent de réduire les coûts d’installation et d’extension dans un bâtiment grâce à leur compatibilité avec les systèmes existants. Rapides à installer et peu énergivores en énergie, les lecteurs sans fil Aperio s’intègrent parfaitement avec les systèmes de plus de cent fabricants de contrôle d’accès.
Il y a 3 ans et 115 jours

KE réinvente le confort extérieur d’un appartement

A Venise, Jesolo est l'un des centres touristiques les plus importants de l'Adriatique, depuis les années 1950. Au coeur d’un de ses nouveaux quartiers, il accueille une résidence de vacances à l’architecture moderne dont l’un des appartements a fait l’objet de travaux d’embellissement. Le projet était de créer une continuité entre le salon et la terrasse, dans un équilibre stylistique parfait. Il s’agissait de transformer le balcon/terrasse en une nouvelle et grande pièce à vivre unique et polyvalente (mix intérieur/extérieur) forte de précieux m2 supplémentaires.Le style épuré de la pergola Gennius Vega convenait parfaitement au projet, à la fois comme solution de protection esthétique et fonctionnelle. Équipée de finitions personnalisées comme les inserts LED à lumière diffuse, la pergola Gennius Vega a ainsi permis de créer un espace lounge idéal pour profiter de la terrasse en soirée tout au long de l’année. Des stores latéraux Vertika ont également été ajoutés pour assurer protection et intimité.Fiche réalisationNom du projet : Maison mitoyenne à Jesolo LidoLieu : Jesolo Lido (Venise) ItalieDate de réalisation : juin 2021Projet : bureau PMO de KEClient : privéSurface couverte : 18 m2Produits installés : Pergola Gennius Vega avec toit en pente - Couleur de structure bicolore constituée d’une teinte Carbone et inserts blancs - Dimensions : 7 mètres x 2,5 mètres.Éclairage périmétrique externe à LEDStores latéraux Vertika.Informations techniques générales produits installésPergola Gennius Vega :Toile rétractable par empaquètement fixée sur des traverses qui coulissent de manière horizontale au moyen de chariots et de guides.Dimensions maximales 1300 x 700 cm avec hauteur de colonne 300 cm et surface de couverture 91 m².Résistance au vent jusqu'à la classe 6 (EN 13561: 2015). Classe de protection solaire GTOT (EN 14501: 2006) attribuée par le tissu installé. Le produit a le marquage CE (EN 13561: 2015).Mouvement motorisé par anémomètre avec possibilité de gestion à distance via des appareils domotiques.Différentes options disponibles, parmi lesquelles :Éclairage avec bandeau LED : la structure dispose de plusieurs emplacements pour l’insertion de LEDs qui garantissent un éclairage diffus et uniformément réparti.Possibilité de compléter l’installation avec une fermeture en vitrage panoramique coulissant LINE GLASS.Et pour une fermeture totale, possibilité d’ajouter des triangles latéraux fixes.Stores Vertika pour fermeture latérale et / ou frontaleStore vertical zippé pour une fermeture résistante au vent et à la pluie.
Il y a 3 ans et 115 jours

Soliha est « Mon Accompagnateur Rénov’ » depuis le 1er janvier 2022

Réseau associatif neutre et tiers de confiance, SOLIHA s’inscrit pleinement dans le nouveau dispositif France Rénov’, qui doit permettre au parc de logement français d’atteindre la neutralité carbone.27 millions de logements à rénover énergétiquement d’ici 2050, un enjeu climatique et social !Le secteur résidentiel pèse encore aujourd’hui 29 % de la consommation énergétique nationale et 20 % des émissions de gaz à effets de serre. Le parc de résidences principales français compte près de 30 millions de logements et seulement 3 millions d’entre eux ont une étiquette A ou B, c’est-à-dire, performants d’un point de vue énergétique. Il reste donc 27 millions de logements à rénover en 28 ans pour atteindre la neutralité carbone ! Parmi ces logements, 18% sont des passoires thermiques avec des étiquettes énergétiques F ou G, c’est-à-dire, non décentes au sens de la loi. Cela représente, 11 Millions de Français. Et nombre de ces personnes sont en situation de précarité, se privent de chauffage pour ne pas générer des factures énergétiques trop importantes, risquent des impayés, contractent des problèmes de santé, ont froid l’hiver et chaud l’été chez elles.Le service public France Rénov' a pour mission de relever le défi de la décarbonation du parc de logements et de la diminution de la précarité énergétiqueFrance Rénov’, lancé par la Ministre du Logement Emmanuelle Wargon le 12 Janvier dernier, a pour objectif de déployer une politique de rénovation ambitieuse : « la transition écologique des logements est bel et bien en cours, et aujourd’hui, elle n’entend négliger ni la qualité, ni la performance ». De fait France Rénov’, qui rassemble le réseau Faire de l’ADEME et les opérateurs de l’Anah, doit permettre de fluidifier le parcours des ménages. L’objectif est de les orienter immédiatement vers l’Accompagnateur Rénov’ le plus proche, pour qu’il trouve la solution la plus adaptée à leur projet de rénovation et à leur situation sociale. Afin de faciliter la mise en œuvre de cette réforme, cette mission d’accompagnement est d’ailleurs confiée à ces mêmes acteurs, dont SOLIHA, déjà identifiés localement. De même, tous les financements sont regroupés sous la bannière « MaPrimeRénov’ ». Soliha, l'acteur clé et de confiance pour accompagner les français dans leur projet de rénovation énergétiqueSoliha, ce sont 145 associations, 3 100 salariés, des équipes composées de thermiciens, conseillers habitat et travailleurs sociaux, présentes sur l’ensemble du territoire hexagonal et ultra-marin. Elles déploient des méthodes de travail et des outils éprouvés, permettant d’apporter des solutions de rénovation énergétique personnalisées à chaque ménage. SOLIHA, c’est aussi un tiers de confiance, qui joue un rôle d’ensemblier de toutes les aides existantes pour minimiser le reste à charge de ces personnes.Soliha attire l'attention sur trois points, conditions de succès pour aller à la neutralité carbone L’accompagnement des ménages requiert impérativement la neutralité. Le rôle de tiers de confiance ne saurait être biaisé par des logiques de commercialisation de matériaux ou d’équipement. SOLIHA sera très attentif à l’établissement et respect du cahier des charges de « Mon Accompagnateur Rénov’ ». L’accompagnement social des ménages les plus en difficulté est un levier indispensable pour les amener vers les rénovations les plus ambitieuses. Le financement de ces missions doit être à la hauteur des ambitions. Le financement des travaux suppose un engagement résolu et à haut niveau de l’État, notamment, auprès des ménages modestes et très modestes, pour que leur reste à charge soit soutenable. Il suppose également un engagement des banques à distribuer l’Eco-PTZ ou le Prêt Avance Rénovation.
Il y a 3 ans et 115 jours

Frédéric Plasseraud élu nouveau directeur commercial et marketing de Wienerberger France

Frédéric PLASSERAUD, 50 ans, est diplômé d’un Master marketing de l’IFAG de Toulouse.Il débute sa carrière, en 2000, comme responsable marketing du Groupe V33, fabricant de peinture et de produits d'entretien et de traitement du bois. En 2015, il intègre le Groupe Siniat comme Directeur Marketing. Pendant six ans, il est chargé, pour la France, de la stratégie marketing produits et innovation, de la communication, de l'assistance technique et de la prescription. Fort de son expérience marketing dans l'aménagement intérieur et l'enveloppe du bâtiment, et de sa forte orientation clients, du prescripteur au poseur, Frédéric PLASSERAUD a la volonté de poursuivre la stratégie de croissance de Wienerberger France en réponse aux enjeux du monde de la construction : RE2020, REP, transformations digitales ...Pour Frédéric PLASSERAUD, nouveau Directeur Commercial et Marketing : " Mettre le client au cœur de notre stratégie pour gagner en proximité et préférence, innover pour proposer un habitat sain et durable, sont des enjeux essentiels pour l'entreprise que continueront à porter l'ensemble des équipes commerciales et marketing de Wienerberger France."Wienerberger commercialise aujourd’hui des marques à forte notoriété : Koramic pour la tuile terre cuite, Aléonard pour les tuiles pour bâtiments historiques, Terca pour la brique apparente et Porotherm pour la brique de structure.
Il y a 3 ans et 115 jours

L'enquête sur les liens entre Bernard Laporte et Mohed Altrad touche à sa fin et devrait déboucher sur un procès

Dans une série d'articles diffusés depuis mardi 18 janvier, le quotidien L'Équipe a révélé des éléments de l'enquête ouverte en 2017, dont le contenu d'un rapport de la Brigade de répression de la délinquance économique (BRDE) remis au parquet en juillet.En 76 pages, les policiers y détaillent les conditions d'attribution au groupe Altrad du sponsoring du maillot du XV de France, le contrat d'image signé entre les deux hommes et les appels de Bernard Laporte à Jean-Daniel Simonet, le président de la commission d'appel de la Fédération française de rugby (FFR).Ce rapport est "une construction intellectuelle essentiellement à charge", contredite par les éléments du dossier judiciaire, s'agace Me Jean-Pierre Versini-Campinchi, l'avocat de Bernard Laporte, à la tête de la FFR depuis 2016.D'autres avocats de la défense ont également dénoncé un rapport "très à charge" et souligné que le PNF n'aurait pas suivi les enquêteurs sur l'intégralité des accusations.Dans une note datée du 21 décembre citée par ces conseils, le parquet anticorruption a détaillé les infractions qu'il entendait retenir parmi celles visées par l'enquête (favoritisme, prise illégale d'intérêt, trafic d'influence, corruption...) et les personnes qui pourraient être citées devant le tribunal correctionnel.Le PNF s'orienterait vers des poursuites pour Bernard Laporte, Mohed Altrad et Claude Atcher, directeur général du comité d'organisation du Mondial 2023, ont indiqué à l'AFP des sources proches du dossier, confirmant les informations de L'Équipe. "Infractions hypothétiques"Cette note "ne reprend pas à son compte toutes les hypothétiques infractions pénales énumérées par les policiers", a prévenu M. Laporte dans l'un de ses trois droits de réponse au quotidien.Selon plusieurs conseils, les échanges entre le parquet et les avocats se poursuivent, ces derniers ayant la possibilité d'adresser aux magistrats financiers des éléments pour étayer leur défense."Aucune citation directe n'a été délivrée dans ce dossier à ce jour", a confirmé à l'AFP le PNF.Une décision devrait être prise dans les prochaines semaines et un procès pourrait se tenir d'ici à la fin de l'année, selon les avocats.Le PNF avait ouvert une enquête préliminaire en 2017 pour examiner entre autres les liens entre Bernard Laporte et Mohed Altrad, à la tête du groupe de BTP Altrad et du club Montpellier Hérault Rugby (MHR).La justice soupçonne l'ancien sélectionneur des Bleus (2000-2007) d'avoir usé de son influence pour que l'entreprise de Mohed Altrad, un ami proche et grand argentier du rugby, devienne le sponsor maillot du XV de France à un prix préférentiel.Dans leur rapport cité par L'Équipe, les policiers évoquent ce contrat accordé en 2018 pour 6,8 millions d'euros.Une première estimation avait évalué le sponsor à 9,9 millions d'euros, selon le quotidien sportif.Cette attribution "est exempte de tout reproche", s'est défendu M. Laporte dans un droit de réponse au quotidien: "il n'y a eu ni remise ni cadeau au bénéfice du groupe Altrad". "Du mécénat !""Comment peut-on reprocher à Mohed Altrad de faire une affaire ? Qu'a-t-il obtenu en contrepartie ? Son nom sur un maillot ? Vous mettez 6,8 millions pour avoir votre nom sur le maillot ? C'est du mécénat !", a rétorqué Me Versini-Campinchi."La proposition à neuf millions n'a été acceptée par personne. Tous les sponsors importants et toutes les agences de communication ont été interrogés et tous ont dit que 6,8 millions d'euros, c'est un prix exceptionnel !", a-t-il développé.Mohed Altrad a rejeté les accusations mercredi 19 janvier sur Sud Radio. Contacté par l'AFP, son avocat n'a pas souhaité s'exprimer.Les enquêteurs soupçonnaient aussi Bernard Laporte d'être intervenu auprès du président Simonet pour faire diminuer des sanctions contre Montpellier, le club de M. Altrad, sur la base de nombreux appels entre les deux hommes fin juin 2017.Pendant quatre ans, "on a passé au scanner Bernard Laporte et son entourage. Le supposé coup de téléphone à M. Simonet est passé aujourd'hui au deuxième plan, il n'est même plus question qu'il fasse l'objet de poursuites", croit savoir Me Versini-Campinchi.Bernard Laporte, ancien secrétaire d'État chargé des Sports de Nicolas Sarkozy (2007-2009), avait été placé en garde à vue en septembre 2020, quelques jours avant sa réélection à la tête de la FFR.Mohed Altrad, Claude Atcher et deux hauts responsables de la Fédération, son vice-président Serge Simon et son responsable des relations internationales Nicolas Hourquet, avaient aussi été entendus.
Il y a 3 ans et 115 jours

La consultation sur le périphérique parisien a coûté 350.000 euros

Dans un courrier daté du 5 janvier, la candidate LR à l'élection présidentielle indique que le budget de cette consultation est constitué de "crédits de fonctionnement de la transformation numérique", pour la plateforme en ligne, et de ceux de la "communication institutionnelle" pour ce qui concerne "l'information des usagers".Selon la région, près de 80.000 personnes ont participé à cette consultation et se sont opposés à 90% à la "suppression d'une voie de circulation pour tous" sur le périphérique, objet d'une bataille politique avec la mairie de Paris qui en a la gestion.La mairie, dirigée par la socialiste Anne Hidalgo, elle aussi candidate à la présidentielle, envisage de réserver cette voie au covoiturage, aux transports en commun voire aux véhicules électriques à l'issue des Jeux olympiques 2024, pendant lesquels elle sera réservée aux participants.L'adjoint (EELV) aux transports de la mairie David Belliard considère donc que cette voie ne sera pas "supprimée" mais "transformée", et avait accusé Mme Pécresse de "mensonge".L'analyse des quelque 46.000 explications de vote est en cours, indique Mme Pécresse, même si des "grandes lignes apparaissent avec force", notamment sur "le risque d'augmentation de la congestion et de la pollution" et "les difficultés pratiques" liés au projet de la mairie.Mme Pécresse, qui avait promis un référendum sur le sujet lors de sa campagne de réélection, début 2021, a aussi réclamé via le syndicat régional des transports qu'elle préside, Ile-de-France Mobilités, de récupérer la gestion du boulevard périphérique.Utilisé chaque jour par un million de véhicules, ce dernier "compte moins de 20% d'usagers parisiens et 40% des trajets se font de banlieue à banlieue", souligne-t-elle dans son courrier, en réponse au conseiller régional PS Jean-Marc Germain, mari d'Anne Hidalgo, et au président du groupe socialistes et apparentés, Maxime des Gayets.Contacté par l'AFP, ce dernier a déploré la "gestion Pécresse" : "après avoir dépensé 130.000 euros pour tenter de bloquer la piétonnisation des voies sur berges portée par la Ville de Paris, Valérie Pécresse aura donc gaspillé 350.000 euros pour une opération de communication insincère et sans objet d'intérêt général", estime-t-il.
Il y a 3 ans et 115 jours

PFUE : bilan des discussions entre les ministres européens de l'énergie

Cette réunion informelle a permis des avancées dans les négociations sur les thématiques des prix de l’énergie, de l’efficacité énergétique et de l’hydrogène.1ère session de travail : les prix de l’énergie pour les consommateurs européensDepuis septembre dernier, les marchés européens de l'énergie font face à une crise historique, causée principalement par l'envolée des cours des énergies fossiles. Si des mesures d'urgence ont été prises aux niveaux européen et national pour protéger les consommateurs, l’Union et les États membres doivent désormais renforcer des stratégies de moyen et long terme pour se prémunir de telles situations à l’avenir.Les 27 ministres européens de l'Énergie, Christian Busoi, président de la commission de l’Énergie du Parlement européen, Kadri Simson, commissaire à l’énergie, et Christian Zinglersen, directeur de l'Agence de coopération des régulateurs de l’énergie (ACER), ont échangé sur des révisions ciblées de la réglementation, dans le cadre des objectifs de l’Union européenne que sont notamment la transition vers une économie bas-carbone, la sécurité des approvisionnements et la maitrise des prix de l’énergie pour les consommateurs. Plusieurs axes de travail ont émergé de cette première session d’échanges :Donner les moyens à chaque consommateur de choisir l'offre de fourniture et l'exposition au risque qui lui convient le mieux, tout en assurant son information sur les risques et opportunités associés ;Favoriser le partage des dividendes de la décarbonation avec les consommateurs particuliers et les entreprises. Plus concrètement, en cas de forte croissance des prix et, dès lors, des bénéfices de certains producteurs, il conviendrait de permettre aux États membres d’en récupérer une partie pour pouvoir les redistribuer à tous les consommateurs.Perfectionner l'optimisation conjointe des moyens de production au sein de l'Union, grâce à des marchés de court terme plus efficaces ;Approfondir la solidarité mutuelle en termes de sécurité d'approvisionnement et réfléchir aux meilleurs moyens de consolider, au moindre coût, les investissements de demain dans la transition énergétique, notamment les énergies renouvelables, mais aussi assurer l'approvisionnement en gaz et rechercher un usage optimisé des capacités européennes de stockage.La Commission européenne et l'ACER vont intégrer ces différents axes de réforme dans leurs réflexions. La remise du rapport commandé à l'ACER est prévue pour avril prochain, avant que les ministres de l'Énergie ne se retrouvent lors du Conseil énergie en juin.2ème session de travail : l’efficacité énergétique Avec la proposition de révision de la directive efficacité énergétique publiée par la Commission le 14 juillet dernier, l'Union européenne doit fournir des efforts supplémentaires significatifs en termes de réduction de sa consommation énergétique d'ici 2030, pour s'inscrire durablement sur la trajectoire de l'Accord de Paris et l'atteinte de la neutralité carbone en 2050. La matinée de travail s’est donc poursuivie avec un échange sur le principe de primauté de l'efficacité énergétique. Une grande majorité des États membres considère dorénavant que l’application de ce principe doit être effective dans toutes les politiques publiques de l’Union et de ses États membres, tout en laissant à ces derniers la flexibilité minimale pour s'adapter à la diversité des situations nationales. Autre point de convergence souligné par les ministres : l’obligation annuelle d’économies d‘énergie tient un rôle central au sein de la directive, puisqu’elle représente un levier majeur pour la décarbonation et pour la réduction de la part des ménages en situation de précarité énergétique.3ème session de travail : l’hydrogène en EuropeLe 11 décembre 2020, le Conseil des ministres a adopté des conclusions sur l’hydrogène, confirmant l’objectif d’accélérer le développement de l’hydrogène décarboné.La Commission a donc entamé dès 2020 un important travail d’évolutions réglementaires avec la publication de sa stratégie hydrogène, la révision du règlement sur les infrastructures énergétiques transeuropéennes, celle de la directive sur les énergies renouvelables publiée en juillet dernier, puis celle du « paquet gaz » en décembre. Ultime étape des réunions informelles d’Amiens, ce déjeuner de travail a ainsi permis aux ministres de l’Énergie de rappeler leur volonté de créer en Europe une chaîne de valeur de l’hydrogène souveraine, associée à une filière industrielle. De nombreux ministres ont souligné les risques associés à des flux d’importation massive, mais aussi la nécessité d’un cadre réglementaire flexible pour ce marché émergent.Les États membres se rejoignent tous sur l’opportunité que représente l’hydrogène dans la décarbonation des activités industrielles et des mobilités lourdes, ainsi que sur la nécessité d’accélérer le développement de solutions techniques européennes, notamment celle de l'électrolyse.
Il y a 3 ans et 115 jours

Le Sénat s'empare du débat sur l'assurance emprunteur

Soutenue par le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, la proposition de loi "pour un accès plus juste, plus simple et plus transparent au marché de l'assurance emprunteur", portée par la députée Patricia Lemoine (groupe Agir), a été adoptée à la quasi-unanimité par l'Assemblée nationale en première lecture.Le marché de l'assurance emprunteur est évalué à près de 10 milliards d'euros de cotisations par an, et concerne près de sept millions de propriétaires ayant un crédit en cours.L'objectif de la proposition de loi est d'introduire davantage de concurrence dans le secteur bancaire, en position de force dans ce domaine (88% de part de marché), et celui des assurances, afin de faire baisser le coût de ces assurances.Depuis 2010, la loi Lagarde permet aux emprunteurs d'opter pour une autre assurance que celle proposée par leur banque. Et plusieurs autres lois ont ensuite déjà œuvré pour plus de concurrence, permettant notamment aux clients de changer d'assurance tous les ans, mais les assureurs alternatifs accusent les banques, qui détiennent la majorité du marché, de faire obstruction.Cette possibilité "fonctionne" et a conduit "à une baisse effective des coûts" pour les assurés, assure pour sa part le rapporteur du texte au Sénat Daniel Gremillet (LR).Les sénateurs ont supprimé en commission la possibilité de résiliation à tout moment, estimant que ce dispositif ne créerait pas de nouvelles économies, mais risquerait de pénaliser les publics âgés et fragiles. Ils ont à la place proposé de renforcer l'information des assurés sur le droit actuel.L'assureur aurait en particulier l'obligation d'informer chaque année son client de son droit de résiliation ainsi que des modalités de mise en œuvre de ladite résiliation et des différents délais qu'il doit respecter. La notion de "date d'échéance", à partir de laquelle est calculée aujourd'hui la période durant laquelle l'assuré est autorisé à résilier, serait clarifiée. Fin du questionnaire de santé ?Interrogé par l'AFP, Eric Maumy, directeur général du courtier grossiste en assurance April et membre de l'Association pour la promotion de la concurrence en assurance des emprunteurs (Apcade), a dit "avoir beaucoup de mal à comprendre que le Sénat puisse devenir le porte-parole de banquiers contre les consommateurs".Le cabinet de courtages Wedou assurances a lui adressé une lettre ouverte à la candidate LR à la présidentielle Valérie Pécresse pour lui demander sa "position officielle" sur le sujet, jugeant "surprenant à plus d'un titre" le rejet par la majorité sénatoriale de la possibilité de changer d'assurance emprunteur à tout moment.L'association de consommateurs UFC-Que Choisir a calculé que la réforme permettrait de libérer 550 millions d'euros de pouvoir d'achat par an.Autre modification majeure introduite en commission par les sénateurs : la suppression du questionnaire médical pour les prêts immobiliers de moins de 200.000 euros qui arrivent à leur terme avant le 65e anniversaire de l'emprunteur.Le gouvernement a d'ores et déjà déposé des amendements pour tenter de revenir sur ces deux points dans l'hémicycle.D'autres points devraient également être âprement discutés, dont la réduction du délai du "droit à l'oubli" pour les pathologies cancéreuses et l'ouverture à de nouvelles maladies de la convention dite AERAS (s'Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé).L'assurance emprunteur couvre divers risques comme le décès, la maladie ou l'invalidité, protégeant à la fois les emprunteurs et les banques contre un éventuel défaut de remboursement.Si les sénateurs restent en séance sur leur version, et qu'ensuite députés et sénateurs ne parviennent pas à un compromis en commission mixte paritaire, c'est l'Assemblée nationale qui aura le dernier mot.
Il y a 3 ans et 115 jours

Quels changements pour les français qui se chauffent au fioul ?

À partir du 1er juillet 2022, il sera donc interdit de faire installer une nouvelle chaudière fioul. Effy fait le point sur les changements qui attendent les Français qui se chauffent au fioul et présente sa radiographie de la France du fioul.VRAI / FAUX sur l’interdiction de changement de chaudière fioul au 1er juillet 2022 [Faux] Au 1er juillet 2022 je n’aurai plus le droit de me chauffer avec une chaudière au fioul.L’utilisation de sa chaudière fioul reste autorisé. En revanche il ne sera plus possible d’en faire installer une neuve. [Faux] Au 1er juillet 2022, je ne pourrai plus acheter de fioul pour remplir ma cuve. Les familles pourront continuer à remplir leur cuve au besoin pour leur chaudière existante en 2022 et après. [Faux] Au 1er juillet 2022, si ma chaudière fioul tombe en panne, je devrai m’en débarrasser. L’interdiction ne concerne pas la réparation des appareils déjà installés. Les interventions techniques éventuelles, tel le changement du brûleur sont possibles, sans contrainte ou obligation de changer sa chaudière. [Faux] Je n’ai pas le gaz, je vais devoir passer à l’électricité. Ma facture va exploser !D’autres alternatives à l’électricité existent comme le granulé de bois. Par ailleurs avec l’installation d’une pompe à chaleur, la facture de chauffage sera en réalité divisée par deux en moyenne. [Faux] Installer un nouveau système de chauffage va me coûter des milliers d’euros. Les aides à la rénovation énergétique (MaPrimeRénov’, Prime Effy) peuvent couvrir jusqu’à 90 % du coût du chantier pour les familles très modestes. Radiographie de la France du fioul Cette radiographie de la France du fioul s’appuie sur la compilation de données publiques, adossée à une vaste enquête d’opinion menée par Effy auprès de 1500 familles qui se chauffent au fioul. Un travail nécessaire pour poser en chiffres et en données concrètes la réalité de ces familles.
Il y a 3 ans et 116 jours

L'immobilier de luxe en France a battu des records en 2021

"C'est vraiment l'année qui a battu tous les records", se félicite auprès de l'AFP Alexander Kraft, PDG de l'agence Sotheby's International Realty France. "2020 était déjà une très bonne année, ce développement continue en pleine force en 2021, et ça continue même jusqu'à aujourd'hui".Comme ses concurrents dans l'immobilier "de prestige" Barnes et Daniel Féau, l'agence a largement battu son record de transactions en France l'an dernier : +42% en un an.Pour la seule région parisienne, par rapport à 2019, la meilleure année jusque-là, le nombre des ventes a bondi de 39% pour Daniel Féau. Barnes, de son côté, a fait 30% de transactions en plus qu'avant la pandémie."Résidences semi-principales"Des chiffres portés par l'envie de vert et d'espace : chez Daniel Féau, le nombre des ventes de maisons et d'hôtels particuliers avec jardin a presque triplé en deux ans."Les clients sont à la recherche d'espaces verts, de terrasses, de jardins, et lorsqu'ils sont dans les grandes villes, ils vont dans la périphérie. C'est pour cela que les Hauts-de-Seine et les Yvelines ont clairement explosé au niveau des ventes de maisons et des ventes d'appartements avec terrasse", témoigne pour l'AFP Thibault de Saint-Vincent, président de Barnes."Les gens, avec les confinements, se sont rendus compte que le lieu de vie était peut-être le facteur décisif pour la qualité de vie, et pourquoi rester dans un appartement si on peut avoir plus de verdure et plus d'espace ailleurs ?", explique Alexander Kraft.D'où l'engouement pour les biens situés loin de Paris, tandis que les prix stagnent dans la capitale.Barnes observe que les ventes et les prix ont "explosé" sur la côte atlantique, la côte basque ou à Deauville, avec des propriétés parties pour 3, 5 ou même 10 millions d'euros.Le département "Propriétés et châteaux" de l'agence, plutôt centré sur la campagne, a aussi "clairement repris des couleurs", explique Thibault de Saint-Vincent.Au point de déceler un phénomène de "résidences semi-principales" : avec l'essor du télétravail, des propriétaires achètent un bien en région en conservant un pied-à-terre en région parisienne."C'est une tendance qu'on a vu apparaître après le premier confinement, et elle se voit au niveau mondial : on a des New-Yorkais qui vont s'installer en Floride ou dans les Hamptons (littoral à l'est de New York, NDLR), des Parisiens qui vont s'installer sur la côte basque...", observe Thibault de Saint-Vincent.Les Français portent le marchéBarnes comme Sotheby's observent que le fossé se creuse entre les biens impeccables, sans défaut majeur, et ceux, même de luxe, sans terrasse ni jardin, ou situés à un étage bas, ou avec des travaux à faire."Les acheteurs sont devenus plus gourmands. Ils n'ont pas nécessairement envie de faire des gros travaux, de restaurer, de rénover... ils veulent acheter des biens qui sont déjà en bon état, qui ont déjà des atouts comme des piscines, des grandes cuisines bien équipées, des chambres avec des salles de bain en suite... et ils sont prêts à payer un prix pour ça", relève Alexander Kraft.En France, ce sont encore les Français qui portent le marché, assure-t-il. Les étrangers "sont prêts à acheter, mais évidemment il n'y a pas beaucoup de gens prêts à acheter sans avoir visité le bien", explique-t-il, estimant entre 90 et 95% la part de Français parmi ses clients l'an dernier, contre environ 50% en temps normal."La clientèle française d'entrepreneurs, de jeunes travaillant dans les nouvelles technologies, de jeunes ayant fait des investissements très profitables dans les cryptos, commence à apparaître", note Thibault de Saint-Vincent, qui voit cependant la clientèle étrangère revenir progressivement depuis le printemps 2021.De quoi lui faire pronostiquer une "très belle année" 2022, quoiqu'un peu en deçà de 2021.
Il y a 3 ans et 116 jours

Les faits marquants du Grand Paris Express 2021-2022

Découvrez les évènements attendus ces prochains mois !
Il y a 3 ans et 116 jours

Rector lance sa nouvelle offre Rsoft Bas Carbone de prémurs et prédalles

Dès la phase de construction, tous les composants voient leur empreinte carbone quantifiée et additionnée pour constituer l’impact environnemental global du bâtiment. Cet indicateur réglementaire, soumis à un seuil maximal dans le cadre de la RE2020, sera par ailleurs revu à la baisse tous les trois ans. C’est dans cette optique de sobriété carbone, initiée il y a tout juste un an avec ses premiers Prémurs béton bas carbone, et pour marquer son propre engagement dans la lutte contre le réchauffement climatique que RECTOR crée aujourd’hui Rsoft, une offre de prémurs et prédalles bas carbone.Une large gamme de produits et systèmes préfabriqués bas carbone pour répondre à tous les projets de construction Fruit d’un travail de recherche et développement sur l’impact carbone de ses produits, l’offre Rsoft Bas Carbone de RECTOR se compose de systèmes constructifs qui garantissent un bilan carbone nettement réduit tout en améliorant la productivité, la sécurité et l’efficacité des chantiers : Prédalles BA Rsoft, pour un bilan carbone allégé à tous les étagesPrémurs Rsoft en infrastructure ou superstructure les verticaux profitent d’une meilleure empreinte environnementaleThermoprédalles BA 0,45 Rsoft la solution de plancher préfabriqué à rupteurs thermiques intégrés qui contribue à la réduction des consommations d’énergie et lutte contre les émissions de gaz à effet de serrePrédalle SPD Rsoft en association avec le plancher-dalle Caméléo pour une structure à l’empreinte environnementale optimisée.Rsoft, des matériaux sobres aux performances garanties Pour alléger l’empreinte environnementale des constructions neuves, l’offre Rsoft Bas Carbone de RECTOR est basée sur l’économie circulaire. Elle intègre, en effet, des formulations béton à faible intensité carbone, des armatures issues d’aciers recyclés et profite d’un processus de fabrication et d’étuvage optimisé afin de garantir la qualité et la performance de ses produits.Ses performances sont certifiées par des FDES, disponibles sur la base INIES.Rsoft, tous les atouts de la préfabrication béton L’offre de prédalles et prémurs Rsoft Bas Carbone offre tous les avantages de la préfabrication : une mise en œuvre rapide, des délais d’exécution maîtrisés, une qualité de parement optimale, des performances structurelles de l’ouvrage inchangé et identique à des produits en béton classique. A ceux-ci s’ajoutent : la garantie sur les gains carbone annoncés grâce à un process de qualité industrielle, une résistance à jeune âge du béton maîtrisée en usine et garantie à la livraison sur chantier.L’ensemble de l’offre Rsoft Bas Carbone de RECTOR est disponible sur l’ensemble du territoire grâce au maillage industriel national du fabricant. Cette proximité participe également à la réduction de l’empreinte environnementale liée au transport.
Il y a 3 ans et 116 jours

Colas dévoile son nouveau site corporate

Destiné à servir la marque de Colas, le site corporate a été repensé pour être la vitrine de la nouvelle identité et du positionnement du Groupe. Modernisation du design, incarnation des valeurs (Respect, Partage et Audace), présentation du projet d’entreprise RSE « ACT » et du nouveau discours Innovation... Le colas.com refondu reflète l’ADN du Groupe en un coup d’œil. Il offre également une expérience utilisateur améliorée grâce à une navigation simplifiée et des contenus revisités et variés.Il permet d’accéder directement à toute la galaxie de sites internet locaux et de spécialités de Colas et devient également la porte d’entrée vers des contenus RH riches publiés sur le site carrière Groupe (offres d’emploi, témoignages de collaborateurs, conseils aux candidats...).Un site plus éco-responsable et accessible à tousLe nouveau colas.com a été pensé pour consommer le moins d’énergie possible lors de sa consultation, en lien avec « ACT », la démarche RSE de Colas. La refonte a été guidée par un enjeu de sobriété graphique et d’usages : réduction du nombre de pages, limitation des animations, compression du poids des images et des vidéos, incitation à visualiser les documents plutôt qu’à les télécharger... Les serveurs qui hébergent le site sont également abrités au sein d’un data center alimenté à 100 % en énergie renouvelable.Simple et intuitif, le nouveau site a également été conçu pour faciliter la consultation des personnes en situation de handicap. En collaboration avec l’agence spécialisée Ipedis, le site a été développé et audité afin d’atteindre un référentiel de normes d’accessibilité.Pour Delphine Lombard, directrice Communication et Marque de Colas : « Avec une précédente refonte datant de 2015, il nous fallait métamorphoser notre site corporate pour en faire la porte d’entrée de l’écosystème digital du Groupe et valoriser notre nouvelle plateforme de marque. Grâce à cette évolution, les visiteurs accèdent en quelques clics à nos activités et chantiers ainsi qu’à nos initiatives RSE et nos innovations. Nous sommes fiers du nouveau colas.com, qui permet au Groupe de porter haut et fort ses couleurs et de toujours mieux se positionner sur les sujets de mobilité innovante et responsable. »
Il y a 3 ans et 116 jours

Würth présente sa nouvelle application de showroom virtuel

Würth France n’a eu de cesse d’évoluer au fil des ans pour proposer aux professionnels une offre variée de systèmes et solutions clients : ORSY, ORSYmat, ORSYscan, ORSYconstruction, ORSY X et bien d’autres encore.Pour les aider à s’immerger davantage dans cet univers de systèmes et solutions, nous avons créé une nouvelle application disponible sur tous les smartphones : le Showroom Virtuel WÜRTH. Cette application gratuite permet de découvrir, dans un univers en 3D et de manière intuitive, tous les systèmes à la disposition des professionnels.L’application est disponible sur le Play Store (Android).
Il y a 3 ans et 117 jours

Les députés indonésiens approuvent la construction d'une nouvelle capitale : "Nusantara"

La nouvelle capitale politique de l'archipel d'Asie du Sud-Est, baptisée "Nusantara", doit être construite à quelque 2.000 kilomètres de la capitale actuelle, qui devrait rester la capitale économique.La chambre basse du Parlement indonésien a approuvé le cadre législatif du projet qui avait été annoncé par le président Joko Widodo en 2019.Jakarta, une conurbation géante de plus de 30 millions d'habitants manque d'infrastructures, est affectée des embouteillages géants, un haut niveau de pollution et voit sa zone côtière s'enfoncer sous le niveau de la mer provoquant de fréquentes inondations.La nouvelle capitale occupera plus de 56.000 hectares dans la province de Kalimantan Est, sur l'île de Bornéo, partagée entre l'Indonésie, la Malaisie et Brunei.Au total, plus de 256.000 hectares ont été réservés en vue d'une expansion du projet.Les premières maquettes de la nouvelle capitale montrent un projet utopiste de ville intelligente construite au milieu des arbres, mais peu de détails ont été confirmés à ce stade.La construction du projet qui devait débuter dès 2020 a été ralentie par la pandémie. Elle devrait s'étaler en plusieurs étapes jusqu'en 2045.Le président Joko Widodo a indiqué lundi que dans la nouvelle capitale "zéro émission", "les gens seront proches de toute destination, et pourront s'y rendre en vélo ou à pied"."Cette capitale aura des bureaux gouvernementaux" mais sera aussi "une nouvelle métropole intelligente qui pourra attirer des talents internationaux et sera un centre pour l'innovation"."Nusantara", qui signifie "archipel" en indonésien, a été choisi parmi une liste de 80 noms car il est reconnaissable facilement par les citoyens et facile à mémoriser, a expliqué lundi 17 janvier le ministre au Développement Suharso Monoarfa.La future capitale sera gouvernée par l'Autorité gouvernementale pour la capitale, une nouvelle entité dirigée par un responsable nommé par le président pour un mandat de cinq ans, selon la loi adoptée par le parlement.Un futur décret présidentiel détaillera le budget du projet évalué précédemment à quelque 33 milliards de dollars.En Asie, la Malaisie a également déménagé sa capitale administrative à Putrajaya en 2003 tandis que la Birmanie a établi une nouvelle capitale en 2006 à Naypyidaw.
Il y a 3 ans et 118 jours

Les députés pour prolonger la concession de la Compagnie nationale du Rhône (CNR)

La proposition de loi portée par Patrick Mignola (MoDem), soutenue par le gouvernement et déjà approuvée à l'unanimité en commission, a été validée par l'ensemble des 65 votants. Elle doit maintenant être examinée au Sénat.La secrétaire d'État auprès de la ministre de la Transition écologique Bérangère Abba a salué "l'idée visionnaire" qui, en 1934, a conduit à confier à la CNR l'aménagement du fleuve matière hydraulique, de navigation ou d'irrigation notamment.Les barrages qui jalonnent le 3ème cours d'eau le plus long de France contribuent à près d'un quart de la production d'électricité d'origine hydraulique du pays, et les réalisations de la CNR en matière d'éolien et de photovoltaïque en font un acteur important en matière de transition énergétique, a-t-elle souligné."Au moment où les débats sur l'éventuelle ouverture à la concurrence des barrages en France suscitent régulièrement l'inquiétude, cette avancée législative ouvre une voie concrète pour requalifier la production d'énergie comme bien stratégique national, au titre des missions d'intérêt général auxquelles elle contribue", fait valoir M. Mignola.La mise à l'abri de la CNR de la concurrence au moins jusqu'en 2041, en particulier concernant ses installations d'hydroélectricité, a été saluée de toutes parts dans l'hémicycle du Palais Bourbon.Mathilde Panot (LFI), s'est félicitée de voir "la majorité abandonner ses ardeurs libérales" et André Chassaigne (PCF) a salué "l'approche guidée par l'intérêt général" de la CNR.A droite, Virginie Duby-Muller (LR) a émis la crainte que la prolongation jusqu'en 2041 de la concession ne "repousse le problème" avec la Commission européenne, et a appelé à "sanctuariser la production hydroélectrique française".La concession de la CNR (1.400 salariés environ) représente 27.000 hectares, répartis sur 3 régions et 11 départements. Elle inclut des notamment 19 ouvrages hydroélectriques, 14 écluses à grand gabarit et 22 sites industriels et portuaires."L'histoire particulière" de la CNR, un "joyau", et son mode de gestion intégrée du fleuve justifient la prolongation "sans mise en concurrence" de cette concession, qui arrive à échéance au 31 décembre 2023, a estimé M. Mignola.Une concertation s'est engagée dès 2016 entre l'Etat et la Commission européenne pour s'assurer qu'une prolongation de cette concession ne contreviendrait pas au régime des aides d'État, ou à celui des commandes publiques.L'exposé des motifs indique à ce propos que les services bruxellois ont, en octobre 2020, confirmé que "le projet ne nécessitait pas de notification à la Commission européenne au titre des aides d'État".
Il y a 3 ans et 118 jours

Les Français ont continué de remplir leur Livret A en 2021, mais moins qu'en 2020

Au total, ce sont donc 19,2 milliards d'euros que les deux livrets ont engrangés en 2021, contre plus de 35 milliards en 2020, un niveau qui reste toutefois historiquement élevé. A titre de comparaison, l'excédent de dépôts avait atteint 16,55 milliards en 2019 avant l'irruption du Covid-19. Cette tendance s'explique surtout par la forte épargne engrangée au début de l'année, en pleines deuxième et troisième vagues et alors que la vaccination n'en était qu'à ses balbutiements. Mais depuis cet été, on observe un retour progressif à la normale avec même en fin d'année une tendance à la décollecte, c'est-à-dire des retraits dépassant les dépôts. Décembre est à cet égard un bon exemple, avec un surplus de retraits de 1,7 milliard d'euros pour le Livret A, tandis que le LDDS a engrangé 630 millions d'euros, et ce alors que le dernier mois de l'année est traditionnellement un mois de collecte. En effet, les dépenses de Noël sont souvent étalées sur les mois précédents et les Français ont tendance à reconstituer leur épargne en décembre, notamment pour ceux touchant un 13e mois ou des primes de fin d'année. Pour Philippe Crevel, directeur du Cercle de l'épargne, ce résultat pour décembre peut s'expliquer par deux facteurs: d'une part "les Français se sont fait plaisir" pour les fêtes de fin d'année, après presque deux années marquées par la pandémie, et d'autre part la hausse des prix, notamment de l'énergie, a limité les capacités d'épargne. Selon M. Crevel, il est cependant encore trop tôt pour savoir dans quelle proportion ces deux facteurs ont pu jouer.Effet Omicron ? Au début de la pandémie, ces deux livrets, qui garantissent pourtant un taux d'intérêt historiquement faible de 0,5% par an, ont connu un époustouflant succès, contrastant avec le désamour constaté sur les contrats d'assurance-vie. Le rendement des livrets est d'autant plus faible qu'en 2021 l'inflation a fortement progressé, atteignant 1,6% en moyenne sur l'ensemble de l'année, et un pic de 2,8% sur un an en novembre et décembre. Cette hausse des prix a d'ailleurs poussé la Banque de France et le gouvernement à annoncer la semaine dernière une hausse du taux du Livret A et du LDDS de 0,5% à 1% à partir du 1er février. Une première depuis dix ans. De quoi redonner l'envie aux Français d'épargner ? La question devrait se poser, d'autant plus que la pandémie n'a pas dit son dernier mot avec la déferlante du variant Omicron fin 2021 et début 2022. Si les conséquences sanitaires demeurent mesurées, notamment comparé au nombre de contaminations, "nous voyons beaucoup moins de sorties dans les restaurants", signale par exemple M. Crevel. En cumulé, le Livret A et le LDDS représentaient à fin décembre un encours total de 469,8 milliards d'euros, soit une hausse de 4,8% sur un an. Gérés conjointement par la Caisse des dépôts et les réseaux bancaires, le Livret A sert essentiellement à financer le logement social, tandis que le LDDS est dédié à l'économie sociale et solidaire ainsi qu'aux économies d'énergie dans les logements.
Il y a 3 ans et 118 jours

La CLCV demande des mesures pour le chauffage collectif

"Le tarif réglementé de vente du gaz ne s'applique plus depuis 2016 pour les contrats professionnels ou chauffage collectif" et "les mesures prises par le gouvernement en octobre de geler provisoirement le prix du gaz ne concernent donc pas le chauffage collectif des immeubles", souligne l'association dans un communiqué.Le Premier ministre Jean Castex avait annoncé fin septembre "un bouclier tarifaire" avec notamment un blocage du tarif réglementé du gaz, dont les cours se sont envolés sur les marchés.La CLCV met en avant les "oubliés" des mesures gouvernementales, citant le cas des locataires d'un bailleur social du Puy-de-Dôme alimentés par une chaudière collective à gaz. Leurs provisions de chauffage ont bondi de 65% sur un an, représentant "près de 800 euros par an à débourser pour un locataire d'un F4, pour une famille de quatre personnes".La CLCV "demande en urgence l'élargissement du chèque énergie à toutes les personnes concernées par la prime inflation et sa revalorisation".Le chèque énergie ne vise actuellement que quelque 6 millions de ménages modestes, tandis que l'indemnité inflation de 100 euros est beaucoup plus large, puisqu'elle concerne 38 millions de personnes."Il est indispensable de revoir le forfait charges ridicule inclus dans le calcul de l'APL (aide personnalisée au logement) qui est totalement déconnecté de la réalité", plaide l'association.
Il y a 3 ans et 118 jours

Trois maisons R&D en construction à Saint-Nazaire pour expérimenter la maison du futur

En 2022, l’entreprise ira plus loin, avec la mise en application de son approche holistique du logement, lui permettant de tester ses recherches à travers un village R&D, pour cela, 3 maisons R&D seront construites à Saint-Nazaire en 2022.3 maisons R&D pour matérialiser l’innovation au plus près des habitantsPour Nicolas Descombes, PDG de la société : « Notre métier nous oblige à avoir une longueur d’avance et à nous projeter, sans jamais improviser. Cette longueur d’avance, nous l’avons toujours eue, par exemple en intégrant l’aluminium dans nos menuiseries dès 1985. En créant notre cellule R&D en 2019, constituée d’un bureau d’études regroupant différents métiers et d’une équipe travaux, (composée de binômes secrétaires techniques / conducteurs de travaux), l’objectif était de maintenir cette avance. »Aujourd’hui, Berthelot Constructions souhaite mettre en application les concepts innovants issus de sa cellule R&D, en les ancrant dans le quotidien des habitants pour analyser leurs utilisations. L’entreprise ligérienne annonce la construction, en 2022, de 3 maisons R&D, qui intégreront de nouvelles technologies et permettront à l’entreprise d’analyser la maîtrise des coûts de celles-ci, afin de pouvoir ensuite les dupliquer et les déployer à plus grande échelle. « Pour cela, le dialogue avec les habitants sera primordial. Nous prévoyons de mener une étude, pour comprendre et étudier l’acquisition de ces technologies pour leurs utilisateurs. » souligne le PDG.Apporter une réponse concrète aux crises du logement et écologiquePour Nicolas Descombes, PDG de la société : « Historiquement, nous développions des maisons témoins, afin de montrer aux futurs habitants à quoi pourrait ressembler leur future maison. Cela leur permettait de se projeter et de découvrir nos dernières innovations. Ce concept n’a plus de sens et n’est plus cohérent aujourd’hui, car dès la construction de cet “habitat vitrine”, il n’est plus à jour et la technologie est déjà dépassée. »L’entreprise est donc dans une autre logique, celle d’utiliser le foncier dont elle dispose, de construire des logements avec l’ensemble des innovations développées par sa cellule de R&D, pour ensuite mettre ces habitats en location. Ces maisons sont construites sur des terrains à la surface réduite, dans le but de répondre aux problématiques d’urbanisation de demain, entre autres, la densification urbaine. « Notre objectif est de répondre à deux crises majeures : la crise du logement, en permettant de construire plus et de manière plus responsable et durable, ainsi que la crise écologique, en préservant les terrains naturels et agricoles. » conclut Nicolas Descombes. L’entreprise fait un pas de plus vers le logement de demain, plus éthique, personnalisé et évolutif.3 « maisons R&D » à Saint-NazaireLa construction des 3 maisons commencera au premier trimestre 2022. Celles-ci auront une superficie comprise entre 84 et 109 m². Chaque Maison R&D est construite pour tester des éléments spécifiques.Maison Evolutia : optimiser durablement l’isolation et le chauffage des murs au plafondSurface habitable : 109.81 m².Plénum, descente de plafond au centre de la maison qui sert à desservir toutes les pièces en chauffage. Système par insufflation performant. Réversible clim/chauffage.Brique en matière première géosourcée et renouvelable exploitée uniquement en France permettant une meilleure qualité de l’air intérieur du logement.ECS (eau chaude thermo dynamique) : la PAC de cette maison ne produit pas d’eau chaude, 1 ballon d’eau chaude est donc suffisant.Isolation Knauff RT+ en accord avec la RE2020 permettant la perméabilité de l’air du bâtiment. La laine de verre utilisée est composée de liants issus de la culture de betterave.Maison Decoria : repenser la gestion des énergiesSurface habitable : 84.54 m².Laine de bois biosourcée offrant une meilleure résistance thermique à l’ensemble de la maison.VMC à simple flux Renson hygro réglable avec auto gérance du traitement de l’air et information sur la qualité de l’air intérieur via une commande tactile Touch Display.Plafond chauffant PLAFINO évitant la surconsommation et la surchauffe couplé à un puits rafraîchissant composé d’un circuit d’eau dans les fondations de la maison.Verre Planistar qui récupère les calories du soleil pour les restituer en journée dans la maison.Béton Hoffman dans les poutres, poteaux et le dallage de la maison. Ce béton est le plus neutre en carbone sur le marché.Maison Natura : lier innovation et qualité de vie en s’inspirant de la natureSurface habitable : 89.58 m².Laine de lin biosourcée.Pack Delta Dore : système de chauffage intégré avec volets roulants et modulation par pièces.VMI (Ventilation Mécanique Inversée) Ventilairsec : système avec boucles d’insufflations sur le toit de la maison et retraitement de l’air (élimine les excès polluants, filtre la pollution extérieure, ré-aspiration dans les pièces humides). Commande smartphone.Multi Splits : chauffage/clim au mur thermo dynamique.Peintures non polluantes aux algues.
Il y a 3 ans et 118 jours

Baromètre Drimki de l’immobilier dans les stations de ski

Une baisse des transactions sur l’ensemble des stations de skiEntre l’année 2019 et 2020, on observe une baisse significative sur la totalité des transactions dans les 9 principales stations de ski. En effet, toutes tailles et tous types de biens (maisons et appartements) confondus, elles sont passées de 2257 transactions en 2019 à 1601 transactions immobilières en 2020, soit une baisse de 29%. Les stations qui ont la cote, à savoir Courchevel (248 transactions en 2019 vs 192 en 2020), Avoriaz (527 en 2019 vs 303 en 2020) et Alpes d’Huez (266 en 2019 vs 213 en 2020) sont les premières à avoir pâti de cette baisse.Les appartements 2 pièces ont été les plus prisés en 2020 avec 536 transactions immobilières, puis les T1 avec 449 transactions et 299 T3. Un appartement de 10 pièces a été vendu à Alpes d’Huez. Concernant les maisons, les plus convoitées sont les 5 pièces avec 78 transactions, on retrouve ensuite les trois pièces avec 63 maisons achetées puis des 4 pièces avec 60 transactions. Une maison de 16 pièces a été achetée à Megève en 2020.La Mongie, Avoriaz et Megève sur le podiumAvoriaz et Megève, les deux stations de ski connues à travers le globe sont devancées dans le top 3 par La Mongie. Les trois stations font à elles seules un peu plus de la moitié des transactions (885) sur l’année 2020. La Mongie arrive en première position avec 309 transactions réalisées sur 2020. Avoriaz et Megève comptabilisent respectivement 303 et 273 transactions immobilières. Viennent ensuite l’Alpe d’Huez (213), Courchevel (192), Font-Romeu (174) et La Bresse-Hohneck (148) Les deux dernières du classement sont Métabief Mont d’or et Serre-Chevalier avec respectivement 88 et 76 achats immobiliers.Courchevel et Megève, les stations de ski les plus chèresAussi appelée, la capitale mondiale du ski, Courchevel est la station de ski au mètre carré le plus élevé avec une moyenne de 10.600€/m2 (appartements et maisons confondus) suivie de Megève avec un prix moyen au mètre carré de 9800€. L’Alpe d’Huez arrive en troisième position avec un prix de 7900€/m2.Avoriaz, Serre-Chevalier et Métabief Mont d’Or ont respectivement un prix moyen de 6800€/m2, 3940€/m2 et 3210€/m2 (maisons et appartements confondus). Le prix moyen au mètre carré est de 2800€ à Font-Romeu, 1920€ à La Bresse- Hohneck et 1460€ à Bagnères-de-Bigorre où se situe en partie la station La Mongie.Pour aller plus loin, la valeur foncière pour un bien à Courchevel sur l’année 2020 est de 96.020.105 € au total pour une surface habitable de 11.748 m2 contre 778.495 € en termes de valeur foncière pour 13.683m2 de surface habitable en 2019.Comme Courchevel, Megève a connu une forte hausse de la valeur foncière de ses biens car elle est passée d’une valeur foncière de 615.514€ pour 19.826 m2 de surface habitable en 2019 à une valeur foncière de 65.814.713 € pour 20.836 m2 de surface habitable en 2020.Une première ébauche de bilan pour 2021 : Courchevel revient sur le devant la scèneBien que sur l’année 2020 Courchevel était sortie du podium, la station de ski comptabilise 162 transactions immobilières sur le premier semestre 2021 et arrive ainsi à la première place. Une hausse de 153% par rapport à la même période en 2020, avec 64 transactions réalisées. L’ensemble des autres stations de ski a connu une baisse significative du nombre de transactions immobilières. Megève, en tête au premier semestre 2020 avec 156 ventes conclues, connaît une forte baisse au premier semestre 2021 avec 57 transactions immobilières.De manière globale, une baisse des transactions se dessine sur l’ensemble des stations de ski au 1er semestre 2021 avec 585 transactions immobilières au total, contre 760 en 2020, appartements et maisons confondus. Cette baisse s’explique principalement par la crise sanitaire qui a impacté ces évolutions du nombre de transactions, et a pu avoir un effet relativement négatif sur l’attractivité des stations de sports d’hiver. Les stations de ski avaient en effet vécu une année blanche liée aux restrictions sanitaires sur la saison 2020/2021.
Il y a 3 ans et 119 jours

Le gouvernement veut prolonger pour deux semaines, la règle des trois jours minimum de télétravail

La ministre a indiqué aux organisations patronales et syndicales que "la situation sanitaire, même si elle semble s'acheminer vers un plateau, ne paraît pas, à date, permettre une levée ou un relâchement immédiat des mesures en matière de télétravail", a-t-on ajouté de même source.Ces mesures doivent encore être confirmées jeudi, à l'issue d'un conseil de défense sanitaire.Depuis le 3 janvier, le protocole sanitaire en entreprise prévoit que les employeurs fixent "un nombre minimal de trois jours de télétravail par semaine, pour les postes qui le permettent". Cette règle avait initialement été mise en place pour trois semaines.Lors de la réunion avec les partenaires sociaux, la ministre a dit espérer qu'il s'agirait d'un "dernier coup de collier" et que les indicateurs sanitaires permettraient ensuite de "rebasculer sur une recommandation (et non plus une obligation), avec une cible de deux à trois jours de télétravail par semaine", a encore indiqué le ministère.Le patronat aurait souhaité que le gouvernement renonce à l'obligation sans attendre deux semaines supplémentaires."On regrette cette décision qui va peser sur certains secteurs de l'économie et sur le moral des collaborateurs. On aurait préféré une incitation à une contrainte", a réagi auprès de l'AFP un porte-parole du Medef.Même son de cloche du côté de la Confédération des PME. "Les entreprises, franchement, jouent le jeu, et aussi bien salariés qu'employeurs sont usés par cette situation (de télétravail obligatoire, NDLR). Nous aurions aimé passer de l'obligation à l'incitation", a souligné auprès de l'AFP le président de la CPME, François Asselin.Avant les mesures renforcées début janvier, le protocole prévoyait une simple "cible" de deux à trois jours par semaine. Aménagé à plusieurs reprises, ce document de référence avait imposé pendant plusieurs mois le télétravail comme une règle à compter d'octobre 2020. Pendant plusieurs mois, il avait été "porté à 100% pour les salariés qui peuvent effectuer l'ensemble de leurs tâches à distance".Malgré les consignes gouvernementales renforcées, le télétravail n'a pas progressé de façon notable début janvier, selon un sondage Harris interactive pour le ministère du Travail publié la semaine dernière.Au cours de la semaine du 3 au 9 janvier, parmi les actifs pouvant télétravailler facilement, 60% avaient ainsi télétravaillé au moins partiellement (58% mi-décembre), les chiffres progressant davantage en Île-de-France (passant de 62% à 69%).Le gouvernement a depuis prévu des sanctions pour les entreprises qui ne jouent pas le jeu, avec le projet de loi transformant le pass sanitaire en pass vaccinal adopté dimanche par le Parlement. Le texte prévoit la possibilité d'amendes administratives pour les entreprises ne respectant pas les consignes sanitaires, notamment en matière de télétravail. Ces amendes pourront aller jusqu'à 500 euros par salarié, dans la limite de 50.000 euros.
Il y a 3 ans et 119 jours

Le point sur les nouveautés de ZWCAD 2022, la meilleure alternative à AutoCAD

Points forts de ZWCADInterface familièreLogiciel de CAO complet, applicatifs métiers et LISPCompatible DWG/DWF/DXF/DWTLicence perpétuelleHotline gratuite illimitée30 jours d'essaiTarifs ZWCAD en 2022 :ZWCAD 2022 Standard est à 680 € HT.ZWCAD 2022 Pro est à 1099 € HT.Nouvelles fonctions de ZWCAD 2022 :Améliorations de l'impression de la transparenceImport IFCFenêtrage de l’espace ObjetMenus classiques & rubanFlatshotCommande SAVEALLCommande MESUREGEOMAnticrénelage (anti-aliasing)Amélioration du Data ExtractionMenu contextuel des lignes de repères multiplesColonnes du gestionnaire de propriétés de calquesLiens bidirectionnelsRéseaux améliorés & paramétriquesNormes de dessinPropulate (Propager les propriétés)Pour en savoir plus consultez : https://www.zwcad.fr/
Il y a 3 ans et 119 jours

Soprema Entreprises signe l'enveloppe forte hygrométrie du nouveau centre aqualudique l'Odyssée d'Aulnay-sous-Bois

Il s’étend sur 7 000 m2 et possède une surface de plan d’eau atteignant 2 600 m2, avec neuf bassins dont un olympique couvert, un espace balnéothérapie, une salle de fitness... 460.000 clients par an en moyenne y sont attendus. L’équipement sportif sera également l’un des centres d’entraînement des JO Paris 2024. Il a été construit, en lieu et place de l’ancien complexe de Coursaille devenu obsolète, par Spie batignolles Ile-de-France, mandataire d’un groupement de conception/réalisation aux côtés de l’agence Chabanne Archi/Ingé. Il est géré par Espacéo (Groupe Spie batignolles) dans le cadre d’une délégation de service public (financement, conception, construction et exploitation) signée avec la mairie d’Aulnay-sous-Bois.Entre mi-juillet et fin novembre 2020, les équipes SOPREMA Entreprises Paris Acier ont entrepris la mise en œuvre d’une enveloppe répondant à la problématique de forte hygrométrie du bâtiment avec 4.500 m2 de couverture acier, dont une membrane PVC blanche collée pour supprimer les ponts thermiques, et 2.200 m2 de bardage triple et simple peau.4 500 m2 de couverture acierElle se compose de bacs acier (74SPA 150 microns laqués sur les deux faces) visibles depuis l’intérieur ; de laine de roche dans les ondes pour optimiser l’acoustique ; de bandes de pontages aluminium ; d’une isolation thermique en verre cellulaire de 180 mm d’épaisseur caractéristique de ce type de bâtiment en milieu humide ; et d’un pare-vapeur soudé en plein (Elastovap) destiné à recevoir la membrane PVC (FLAGON SFC 12). Les étancheurs, entre 6 et 8 en moyenne sur le chantier, ont réalisé la mise en œuvre du complexe en moins de trois mois, de mi-juillet à début octobre 2020.Au niveau de la toiture, le point spécifique résidait dans le système de pose de cette membrane. Afin de supprimer les phénomènes de condensation liés aux ponts thermiques, il était en effet impossible de la fixer mécaniquement. SOPREMA Entreprises a effectué une pose par collage, rare pour ce type de membrane en PVC. La prise étant rapide, elle a requis un travail de précision pour garantir une exécution en une seule fois. De couleur blanche, la membrane PVC se fond dans l’esthétique globale du bâtiment habillé d’un bardage blanc irisé. Cool roof, elle joue également un rôle dans le rafraîchissement du Centre Aqualudique, essentiel pour le confort des occupants et l’empreinte environnementale. La toiture est pliée avec des pentes d’environ 30 %. Lorsque l’équipe SOPREMA Entreprises intervenait sur ces pentes, elle devait faire preuve d’encore plus de minutie.Une centaine de plots auto-adhésifs, type SOPRASOLAR FIX EVO, sans percement, ont également été mis en œuvre sur une membrane bitume pour accueillir une moquette solaire qui produit l’eau chaude sanitaire de l’établissement. La liaison entre la membrane PVC et la bitume a été réalisée à l’aide d’un joint SIKA BR500.2 200 m2 de bardageLes plateaux de bardage (150 microns laqué sur les deux faces) ont été installés à la verticale, comme exigé par l’Avis Technique pour les ouvrages en milieux à très forte hygrométrie.Ils atteignaient 10 m de hauteur. Ils étaient ensuite recouverts d’un isolant thermique en verre cellulaire de 180 mm d’épaisseur, d’une deuxième peau métallique pour l’étanchéité, puis de lames pliées décoratives en acier (ST 300 - l. 300 x h. 4 000/5 000 mm) pour les 700 m2 de bardages triple peau. 1 500 m2 de lames pliées décoratives étaient posées en simple peau sur support béton. Une équipe de 2 à 4 bardeurs a travaillé entre mi-juillet et fin février 2021 au fur et à mesure des zones libérées par les lots menuiserie extérieures, VRD...
Il y a 3 ans et 119 jours

Qualifelec renforce sa position de leader dans la qualification IRVE

En complément de la recharge à domicile, la France compte désormais environ 40.000 points de recharge ouverts au public (chiffre 3e trimestre 2021 - source Gireve) et enregistre, ces derniers mois, une très nette accélération du déploiement de ces Infrastructures de Recharge des Véhicules Électriques (IRVE). Côté filière, cette dynamique est soutenue par le nombre croissant d’installateurs électriciens qui s’investissent dans cette activité. Qualifelec, organisme de qualification de référence du génie électrique, énergétique et numérique, compte aujourd’hui 2.300 entreprises qualifiées dans l’activité IRVE. Ce qui fait de lui, le leader français dans la qualification IRVE. La qualification est un gage de confiance pour les consommateurs qui garantit que les installateurs électriciens qualifiés maîtrisent le savoir-faire indispensable pour répondre aux normes de sécurité en vigueur. Qualifelec a été le premier organisme de qualification à proposer la reconnaissance de la compétence en IRVE, deux ans avant que le législateur ne rende la qualification obligatoire dans cette activité, dans le cadre du décret de janvier 2017. Avec l’aide de ses instances, Qualifelec observe en permanence les évolutions des marchés du génie électrique, énergétique et numérique et développe un outil de cartographie qui permet de localiser, sur l’ensemble du territoire national, les entreprises qualifiées en matière d’IRVE. Pour renforcer encore sa position de leader de la qualification IRVE, le conseil d’administration de Qualifelec a adopté, le 17 novembre dernier, une nouvelle qualification dédiée qui tient compte des évolutions réglementaires et des attentes spécifiques de la maîtrise d’ouvrage, dont les besoins ont évolué. La massification des IRVE ne peut pas se faire sans une exigence d’excellence associée, et contribuer à la sécurité des installations est une priorité pour Qualifelec. C’est pourquoi cette nouvelle qualification renforce les exigences en matière de conception, d’installation et de maintenance des IRVE par les entreprises qualifiées.Que disent les textes réglementaires ? Le décret du 12 janvier 2017 fixe l’obligation de formation de l’installateur et de qualification de l’entreprise pour être autorisé à installer des IRVE d’une puissance supérieure à 3,7 kW, accessibles au public. Le décret du 4 mai 2021 prévoit un renforcement des compétences techniques des entreprises et de nouvelles obligations de qualification en Études et Maintenance.Obligation de produire une étude de conception électrique préalable pour tout projet d’IRVE dans un parc de stationnement d’au moins 50 places ainsi que dans les bâtiments d’habitation collectifs proposant au moins 4 points de recharge.Obligation de qualification spécifique Études IRVE pour les entreprises produisant ces études (détails dans l’arrêté du 27 octobre).Obligation de qualification des entreprises réalisant la maintenance des IRVE. Qualification s’appuyant sur une formation préalable des techniciens(détails dans arrêté du 27 octobre).Obligation d’obtenir une attestation de conformité visée par Consuel pour mise en service d’une IRVE :pour toute nouvelle IRVE d’une puissance supérieure à 36 kWpour toute nouvelle IRVE installée dans les bâtiments d’habitation collectifs, quelle que soit la puissancepour toute modification d’une IRVE existante dont la puissance maximale dépasse les 36kW après modification.Introduction de la notion de Pilotage de la recharge dont les caractéristiques seront fixées par un nouvel arrêté.
Il y a 3 ans et 119 jours

ViaCon acquiert 100% des actions de Tubosider UK, y compris sa filiale, et en devient l’unique propriétaire

Grâce à cette acquisition, ViaCon renforce encore sa position de leader sur le marché européen des solutions de génie civil à base d’acier ondulé, offrant une plate-forme encore plus solide pour fournir des solutions client compétitives et durables.Fondée en 1987, Tubosider UK est le principal fabricant et fournisseur de solutions en acier ondulé pour les systèmes de gestion des eaux pluviales sur les marchés britannique et irlandais. Tubosider UK fournit également des produits pour les ponts et les ponceaux. Le siège social est basé à St. Helens à Sutton au Royaume-Uni.L’acquisition s’inscrit dans la stratégie de ViaCon visant à poursuivre sa croissance en Europe de l’Ouest et à s’implanter plus solidement dans le secteur très prometteur de la gestion des eaux pluviales. Les solutions pour les eaux pluviales réduisent les risques, entre autres, d’inondations en raison de la fréquence croissante des fortes pluies en Europe en raison des changements climatiques en cours. Les solutions uniques de ViaCon basées sur des structures en acier ondulé pour StormWater Solutions apportent un meilleur coût total pour les clients tout en soutenant fortement les programmes de développement durable croissants sur tous les marchés.Pour Stefan Nordström, PDG de ViaCon : « Je suis très heureux de cette acquisition et, à l’avenir, nous voyons des synergies opérationnelles et commerciales très prometteuses. Il renforcera davantage l’activité StormWater Solutions de ViaCon, une activité que nous visons à développer sur le marché très prometteur du Royaume-Uni. L’acquisition nous donne également une plate-forme pour développer notre activité Bridges & Culverts Solutions au Royaume-Uni. »
Il y a 3 ans et 119 jours

Un vaste réseau pakistanais de travail dissimulé dans le BTP et de blanchiment d'argent démantelé

En moins de trois ans (de 2019 à 2021), le réseau aurait blanchi "41 millions d'euros", selon une estimation des policiers de l'OCRGDF (lutte contre la grande délinquance financière) et l'Ocriest (lutte contre le travail dissimulé).Le 10 janvier, 11 personnes (dirigeants de fait de sociétés du BTP et dirigeants de sociétés fictives) ont été interpellées, dont deux frères à la tête du réseau. Tous, Pakistanais ou originaires du Pakistan, ont été mis en examen et écroués le 13 janvier.L'enquête a débuté en 2020 par une information sur une filière approvisionnant un ressortissant pakistanais en France en faux documents administratifs (passeports, carte d'identité, permis de conduire...) issus de différents pays de l'espace Schengen.Depuis le Pakistan, les faux documents transitaient par la Grèce et la Turquie avant d'arriver en France.Les entreprises du BTP concernées utilisaient des salariés non déclarés et sans papiers, ce qui leur permettait de ne pas payer de cotisations sociales et ainsi d'augmenter leurs marges.Parallèlement, le réseau avait créé des sociétés fictives dites "taxi", destinées uniquement à faire transiter l'argent.Les fonds, dont l'origine est encore inconnue, étaient versés sur des comptes bancaires ouverts avec de faux documents (180 au total). La moitié des sommes allait vers des comptes au Pakistan et l'autre moitié était décaissée en espèces ou redirigée vers d'autres comptes.Lors des perquisitions, les enquêteurs ont découvert 134.000 euros en espèces, "plus d'un million d'euros sur plusieurs comptes" et des voitures de luxe.
Il y a 3 ans et 119 jours

La mairie de Paris promet la fin des pieds d'arbres décriés par #saccageParis

"Nous n'aurons plus de fosses d'arbre à Paris (...) parce que ce n'est pas satisfaisant sur le plan esthétique" et que "cela pose d'énormes problèmes d'entretien", a déclaré Emmanuel Grégoire, premier adjoint (PS) de la maire PS Anne Hidalgo, en introduisant devant la presse son "manifeste pour la beauté" de la capitale.Enclos en bois pourris ou cassés, remplis de mégots et autres déchets, végétation non entretenue, épanchements d'urine ou déjections canines : ces fosses d'arbres de 3 mètres sur 3 étaient particulièrement visées par les militants de #saccageParis, un mouvement surgi en 2021 pour dénoncer le bilan d'Anne Hidalgo en matière de propreté, de mobilier urbain ou d'aménagement de l'espace public.A la place de ces "parcs à cochons", durant la période de deux à trois ans nécessaire au renouvellement de la terre et à la croissance du jeune arbre, "nous reviendrons à un aménagement provisoire avec du pavage", méthode "historique" à Paris, a indiqué Emmanuel Grégoire."Sauf", a-t-il précisé, "dans les cas où nous avons des liens avec des associations qui font de la végétalisation de pieds d'arbres qui sont très satisfaisants, mais il y en a peu"."Au bout de trois ans, soit on referme et on remet la grille Davioud", du nom du créateur du mobilier urbain parisien du Second Empire, "soit on fait des grandes bandes végétalisées", a ajouté M. Grégoire, pour qui "cette stratégie de reprise des pieds d'arbres mobilisera 12,5 millions d'euros dans les trois années qui viennent".Les "permis de végétaliser", lancés en 2015 pour permettre aux riverains de jardiner eux-mêmes dans la rue, au pied des arbres, après retrait du bitume ou dans des jardinières, "ne marchaient pas bien", a encore reconnu Emmanuel Grégoire, sauf quand ils étaient "portés par des collectifs très motivés"."Les permis de végétaliser, les Parisiens ne les tiennent pas assez longtemps et rapidement ils les abandonnent", a encore dit le bras droit d'Anne Hidalgo, disant vouloir "corriger ce qui peut l'être".Concernant le mobilier électrique et lumineux, autre cible de saccageParis, 350 mâts d'éclairage public accidentés ou rouillés vont être remplacés en 2022, a encore indiqué le premier adjoint.Sa collègue chargée de la propreté, Colombe Brossel (PS), va renforcer la lutte contre l'affichage sauvage et les tags. Dépôts sauvages et dégradations feront l'objet d'une "systématisation des actions en justice".M. Grégoire a aussi précisé la suppression de tous les marquages jaunes des pistes cyclables temporaires, désormais équipées "de nouvelles balisettes noires" et de glissières en béton armé "plus discrètes". Cette mesure faisait partie d'une précédente série d'annonces sur le mobilier urbain, faite en juillet 2021.Le banc Davioud racheté aux enchères par des habitants qui l'ont offert à la Ville afin d'alerter sur la sauvegarde de ce mobilier emblématique sera installé en juin en plein coeur du Marais.Alors que certains avaient critiqué la réfection de ce banc symbolique, ces amoureux du patrimoine sont maintenant "pleinement satisfaits" de sa rénovation, a assuré M. Grégoire.SaccageParis "a pu être utile aussi dans la dimension d'interpellation et la réactivité que cela nous impose", a reconnu le bras droit d'Anne Hidalgo. "Ce qu'ils dénoncent est vrai, parfois faux parce qu'ils reproduisent ad nauseam certaines photos" et "alimentent des fake news".
Il y a 3 ans et 119 jours

Coup d'envoi à Marseille du plan de rénovation des écoles de 1,2 milliard d'euros

L'édile, à la tête d'une union de la gauche, s'est rendu pour ce lancement sur le chantier de rénovation du groupe scolaire "Saint-Louis Gare", dans un quartier populaire : "C'est le premier projet de la grande aventure du plan écoles que l'on a lancé. Pour les Marseillais, c'est le premier qui sortira (à la rentrée 2023). C'est un symbole", a-t-il expliqué.Le groupe actuellement composé de 11 classes élémentaires (203 élèves) et six de maternelles (119 enfants) doit accueillir à terme 500 enfants dans 27 classes dont sept dédoublées avec des espaces supplémentaires (atelier, bibliothèque, gymnase...), une végétalisation et des panneaux solaires pour réduire la facture énergétique."On a voulu que cela se fasse dans la concertation, on a discuté avec les familles, les enseignants, les agents de la ville. Cela va être une école au service d'un quartier et des associations qui pourront utiliser le nouveau gymnase. C'est plus que des écoles, c'est de la dignité. C'est être au service de lieux qui ont été trop longtemps abandonnés", a-t-il lancé.Initié en octobre 2021 après une visite du président Emmanuel Macron, le plan de rénovation vise à réhabiliter l'ensemble des 470 établissements scolaires qui accueillent quelque 80.000 enfants et dont environ un tiers, 174, dans un état préoccupant, doivent être entièrement rénovés."En 2022, 30 chantiers de rénovations lourdes seront menés", a annoncé Benoît Payan en promettant la mise en route de 80 chantiers d'ici la fin de son mandat en 2026.Ce plan bénéficie d'une aide exceptionnelle de l'Etat de 400 millions d'euros. L'Etat garantira également plus de 650 millions d'euros d'emprunts sur les 800 millions que mobilisera la ville de Marseille. "Et en travaillant sur les taux d'intérêts, on a gagné près de 50 millions d'euros de plus", a souligné M. Payan.Un protocole d'accord, signé par le maire et le Premier ministre le 14 décembre, a été entériné en Conseil municipal le 17 décembre. Reste à créer une structure de pilotage.Le maire de Marseille a indiqué qu'il déposerait dès la semaine prochaine avec le préfet les statuts de la "Société publique des écoles marseillaise", qui sera chargée de superviser ce projet. Cette structure qui associe à part égale la ville et l'Etat sera présidée par M. Payan."C'est la boite à outil qui va nous permettre de construire des écoles de manière intelligente, rapide et efficace", a vanté l'édile évoquant une structure inédite. "C'est la première fois dans l'histoire de ce pays qu'une ville fabrique une société publique avec de l'argent public au service d'un projet municipal spécifique", a-t-il dit.
Il y a 3 ans et 119 jours

Covid : pas de levée immédiate des restrictions, mais le gouvernement veut "donner de la visibilité"

L'exécutif est confronté à une situation paradoxale : si le nombre de cas positifs continue à augmenter - et à battre des records à plus de 300.000 contaminations quotidiennes sur la moyenne des sept derniers jours -, la pression sur l'hôpital et notamment les services de réanimation tend à stagner.Parmi les options du conseil présidé par Emmanuel Macron, une solution intermédiaire est à ce stade privilégiée. Elle consiste à donner un calendrier de levée des restrictions, notamment en ce qui concerne les jauges, l'interdiction au moins jusqu'au 24 janvier des concerts debout et la fermeture des discothèques."On devrait demander aux Français encore deux semaines d'efforts avant de lever des restrictions", a expliqué une source proche de l'exécutif à l'AFP. "On veut donner un peu de visibilité, d'autant que les gens en ont marre. On va dire que si les conditions s'améliorent, dans une ou deux semaines on lèvera des restrictions", ajoute une autre source.Le Conseil de défense doit également se prononcer quant à un report en juin des épreuves de spécialité du baccalauréat, scénario qui tiendrait la corde, selon plusieurs sources au sein de l'exécutif.Mercredi, la ministre du Travail, Elisabeth Borne, a déjà annoncé aux partenaires sociaux que le gouvernement envisageait de prolonger "pour encore deux semaines" la règle prévoyant trois jours minimum de télétravail par semaine.La question de la campagne massive de tests doit par ailleurs être abordée, alors que près de 1,6 millions de prélèvements nasopharyngés PCR ou antigéniques ont été effectués la semaine dernière.Sa pertinence est désormais remise en cause par certains experts eu égard à la circulation incontrôlable du virus, alors que la campagne massive devrait coûter "un peu plus d'un milliard et demi d'euros en janvier", avait affirmé lundi le ministre délégué aux Comptes publics, Olivier Dussopt."On veut rappeler que nous sommes le pays avec le moins de restrictions en Europe, qu'on a bien fait de mettre en place le pass sanitaire en juillet et de ne pas reconfiner il y a un an", a expliqué une source proche de l'exécutif.Une autre source dit que "l'entrée en application du pass vaccinal", espérée dès ce week-end par le gouvernement, peut devenir "un outil de gestion de la décrue hospitalière, si, par exemple, le nombre de cas remontait dans une région, on l'activerait avec une approche géographique".
Il y a 3 ans et 119 jours

Le foret Métal SMART STEP

Il y a 3 ans et 119 jours

Les prêts immobiliers rebondissent en 2021, les taux toujours bas

"La demande s'est redressée dès le début du printemps dernier", constatent les auteurs de cette étude, référence dans le secteur. Sur l'ensemble de l'année 2021, le nombre de prêts accordés a progressé de 4,6% par rapport à l'année précédente.Ce rebond est à mettre en perspective avec la lourde chute observée en 2020 du fait de la crise sanitaire: -18,1%, selon la même source.Les offres acceptées l'an dernier atteignent un total de 190 milliards d'euros (hors renégociations, rachats de crédit et prêts relais), un chiffre provisoire qui surpasse déjà celui de 2019 (189,8 milliards).Cette progression est due à la bonne santé du marché immobilier en France pour les logements neufs comme pour les logements anciens, ainsi qu'à des taux d'intérêt extrêmement bas."Les conditions de crédit sont très bonnes, excellentes même", affirme Michel Mouillart, professeur d'économie chargé de la présentation des résultats de l'étude.Le taux moyen des crédits accordés par le secteur privé était de 1,05% au quatrième trimestre 2021, contre 1,17% en 2020 et 1,20% en 2019."C'est un plancher", reprend M. Mouillart. Les taux pratiqués par les banques l'an dernier "sont les plus bas depuis le début des années 50. De plus, la quasi-totalité des taux servis sur l'ensemble de l'année 2021 sont inférieurs à l'inflation, du jamais-vu", souligne-t-il.L'inflation a en effet nettement accéléré ces derniers mois, atteignant +2,8% en décembre sur un an, selon l'Insee.Ces conditions favorables s'expriment aussi en matière de durée des crédits. En moyenne, les nouveaux prêts immobiliers courent sur près de 20 ans au quatrième trimestre 2021, un niveau historiquement long, de neuf mois supérieur à celui observé en décembre 2019.Crédit Logement est une société de financement spécialisée dans la garantie des prêts immobiliers destinés aux logements des particuliers, en se basant sur des critères comme la solvabilité de l'emprunteur ou la valeur du bien. Elle se targue de garantir un prêt immobilier sur trois.
Il y a 3 ans et 119 jours

Le Cerema poursuit le déploiement de la règlementation environnementale (RE2020) dans les territoires

Le Cerema a apporté pour l’élaboration de la nouvelle réglementation thermique « RE2020 », un appui technique aux services du ministère de la Transition écologique : expertise pour les mesures de performance réelle des bâtiments, détection et analyse de non-conformités et analyse du cycle de vie des bâtiments (ACV). Le Cerema avait auparavant accompagné l’expérimentation Energie Positive et Réduction Carbone E+/C-, qui a préfiguré la RE2020 notamment sur le volet de l’ACV. Nos missions auprès des acteurs des territoires et des professionnels du bâtimentAujourd’hui, la mission de service public du Cerema se poursuit pour déployer la nouvelle règlementation et accompagner tous les acteurs publics et privés avec :La formation des professionnels et des maîtres d’ouvrages à la RE2020 ;L’animation des territoires avec des webinaires dédiés et des conférences techniques territoriales ;L’élaboration de guides de décryptage et de fiches d’application ;La réalisation de Fiches de Données Environnementales et Sanitaires (FDES) pour quantifier l’impact environnemental de chaque produit ;L’évaluation des logiciels RE 2020 sur le volet Analyse du Cycle de Vie ;Le décryptage de l’analyse de cycle de vie dynamique et son lien avec les matériaux biosourcés ;L’encadrement de la filière des professionnels habilités à vérifier sur le terrain le respect des exigences de la réglementation.Avec ses 26 implantations partout en métropole et dans les Outre-mer, le Cerema développe des projets au plus proche des besoins et du contexte des territoires. Il organise régulièrement des conférences techniques territoriales pour accompagner les collectivités et les services de l’État. Focus sur l’action du Cerema en région Bourgogne-Franche-ComtéLe Cerema est présent en région Bourgogne-Franche-Comté par son agence d’Autun qui a développé une expertise de pointe sur plusieurs volets de la RE2020 :Les méthodologies de calcul de la performance des bâtiments : avec des contributions à de nombreux groupes d’expertises pour définir la méthodologie de calcul de la performance des bâtiments, les indicateurs et les seuils réglementaires à retenir dans la RE2020.L’étanchéité à l’air des parois des bâtiments neufs : l’agence d’Autun dispose de matériels de mesure uniques en France et d’une expertise historique mobilisés pour l’élaboration de la RE2020. Cette agence du Cerema accompagne aussi les maîtres d’ouvrages publics dans les territoires afin d’assurer la meilleure performance énergétique et environnementale possible de leurs bâtiments. C’est le cas notamment au collège Dorgelès à Longvic au Sud de Dijon où le Conseil départemental de la Côte d’Or réhabilite un collège par le biais d’une déconstruction – reconstruction en site occupé. L’assistance du Cerema à ce projet a débuté dès 2016 pour finaliser le programme du projet et se poursuivra deux ans après la livraison pour vérifier que le bâtiment tient ses promesses.Pour rappel, la RE2020 a pour objectifs de :Réduire les émissions de gaz à effet de serre des bâtiments, en prenant en compte tout le cycle de vie du bâtiment, de sa conception à sa fin de vie ;Améliorer le confort d’été dès la conception pour éviter le recourt à la climatisation ;Faire baisser la facture énergétique en améliorant les performances des bâtiments neufs.
Il y a 3 ans et 120 jours

Le crowdfunding immobilier poursuit sa forte croissance avec une collecte 2021 qui approche le milliard d'euros

Le financement participatif de l’immobilier a poursuivi sa forte croissance en 2021 pour atteindre 958 millions d’euros collectés, soit une augmentation de 90% par rapport à 2020. Pour Jérémie Benmoussa, Président du Directoire de Fundimmo : « L’année 2021 a fait entrer le crowdfunding immobilier dans une nouvelle ère. Avec une collecte qui a quasi doublé d’une année sur l’autre pour approcher le milliard d’euros, il s’est imposé comme un levier incontournable pour les promoteurs et marchands de biens qui ont vu leurs besoins de financement fortement augmenter en fin d’année avec la hausse des délivrances de permis de construire. Cette collecte 2021, qui représente à elle seule 42% de la collecte totale du crowdfunding immobilier depuis 2015 malgré les ralentissements liés à la pandémie, s’inscrit dans une logique de croissance depuis plusieurs années. Les professionnels sont désormais largement sensibilisés et les épargnants de plus en plus nombreux à se diriger vers ce produit pour diversifier leurs placements et faire fructifier leur patrimoine. Avec un investissement moyen de 2 871€ par collecte, la démocratisation du crowdfunding immobilier se poursuit, particulièrement en Ile-de-France, Région Sud et Auvergne-Rhône-Alpes qui concentrent ensemble près des trois quarts (74%) des investissements. Mais les autres régions décollent avec notamment des collectes en hausse en Nouvelle-Aquitaine (+ 93%) et région Grand Est (+ 97%). D’évidence, l’horizon de placement de moins de 2 ans en moyenne et le rendement moyen de 9,21% par an séduisent les investisseurs et les perspectives sont encourageantes : l’entrée en vigueur fin 2021 d’un nouveau statut du crowdfunding à l’échelle européenne va permettre d’innover et de proposer des investissements dans de nouveaux produits, plus alternatifs et plus internationaux. Sur cette nouvelle base, la période qui s’ouvre permettra certainement d’identifier de nouvelles tendances, qu’il s’agisse des préférences des investisseurs en matière de typologie de projets ou d’intégration des enjeux environnementaux. Les élections qui approchent seront sans doute aussi déterminantes suivant les futures politiques publiques pour la construction immobilière. »Collecte et remboursements inégalésÀ l’image des précédentes éditions du baromètre, les indicateurs de l’année 2021 sont à leur tour à des niveaux records : 958 millions d’euros ont été collectés, contre 505 millions en 2020, soit une hausse de 90%. Cette croissance annuelle est dans la lignée des taux de croissance d’avant crise. La progression des projets financés, 1.065 en 2021 contre 589 en 2020 (+81%), illustre également le fort dynamisme du secteur.Côté remboursements, là encore les chiffres sont à la hausse : 301 millions d’euros remboursés (+67% par rapport à l’an dernier), représentant 474 projets (contre 310 en 2020).Les indicateurs moyens de performance se maintiennentEn se basant sur les données publiées par 26 plateformes, la démocratisation du crowdfunding immobilier se traduit notamment dans le nombre d’investisseurs par collecte : ils étaient 313 en moyenne en 2021, contre 177 en 2020, avec un placement moyen de 2.871 € (contre 4.711€ en 2020).Le montant moyen financé par projet s’élève à 899.933 €, en augmentation de 5% par rapport à l’année précédente. La durée moyenne de placement est quant à elle en très légère hausse, à 21,2 mois, contre 21 mois en 2020. Le taux de rendement annuel moyen quant à lui se maintient au-dessus de 9% : il est de 9,21%/an en 2021 contre 9,3%/an en 2020. Une rémunération qui reste particulièrement attractive pour les épargnants désireux de dynamiser leur patrimoine en investissant dans la pierre, dans un marché relativement stable. L’Ile-de-France reste en tête, le résidentiel se taille la part du lionLa région Ile-de-France reste en tête du classement avec une collecte de 419 millions d’euros (contre 225 millions d’euros en 2020, soit une augmentation de 86%), suivie par la Région Sud et ses 171 millions d’euros (+191%) en deuxième position, portée par les opérations de marchands de biens de luxe notamment sur la Côte d’Azur. En troisième place, l’Auvergne-Rhône-Alpes avec 118 millions d’euros collectés (+87%). À elles seules, ces trois régions concentrent près des trois quarts de la collecte nationale. À quelques exceptions près, la collecte est en hausse dans la majorité des régions.On peut souligner la croissance de la collecte notamment dans le Grand Est (+100%), en Nouvelle-Aquitaine (+93%), dans les Pays de la Loire (+79%), ou encore en Occitanie (+42%). Le marché continue à être porté principalement par les opérations immobilières en résidentiel, qui représentent 81,7% des projets financés en 2021. Suivent ensuite les bureaux (9,8%), les commerces (9,7%), l’hôtellerie (3,8%), les projets d’aménagement (2,2%) et l’activité/la logistique (1%).Autre fait à souligner : la poursuite de la croissance des opérations de marchands de biens, c’est-à-dire des achats de biens qui sont ensuite valorisés puis revendus avec une plus-value. Elles deviennent majoritaires en 2021 (53% de la collecte contre près de 39% l’an passé). En 2021, le « projet moyen » financé par le crowdfunding immobilier était une opération résidentielle de 45 logements en Ile-de-France, représentant un chiffre d’affaires d’environ 11,3 millions d’euros.Une solution de financement à part entière pour les professionnelsDans un contexte d’allongement de la durée des opérations immobilières, le recours au financement participatif est devenu l’un des principaux leviers d’ajustement et d’arbitrage des fonds propres pour les professionnels de l’immobilier. Séduits par la possibilité d’optimiser leur trésorerie rapidement pour poursuivre sereinement leur activité, 1.039 opérateurs se sont laissé convaincre par ce mode de financement depuis la création du marché, dont 259 nouveaux en 2021. À ce stade, le marché du crowdfunding immobilier reste concentré autour de 7 plateformes majeures (dont Fundimmo), qui représentent plus des trois quarts de la collecte totale du marché. Suivent ensuite 9 plateformes de taille intermédiaire qui en représentent moins de 20%. Puis 10 plateformes qui représentent un peu plus de 4% de part de marché. En 2021, seules 26 plateformes ont été actives.Baisse du taux de défaut, légère hausse des taux de retardsLe taux de défaut moyen est calculé sur la base de projets ayant subi une perte en capital et/ou une perte des intérêts depuis 2012. Il est évalué à 0,09%, contre 0,16% en 2020, soit une baisse de 0,07 point.Sans surprise en raison de la crise sanitaire, les taux de retard sont en légère augmentation. Le taux de retards de moins de 6 mois s’élève à 4,76% (contre 4,4% en 2020), et celui de plus de 6 mois de 6,61% (contre 5,7% en 2020), dont 3,9 % avec un retard de 6 à 12 mois. À noter cependant : il s’agit de moyennes qui recouvrent des disparités significatives. Les investisseurs qui subissent ces retards continuent à bénéficier des intérêts additionnels correspondants. Dans une démarche de transparence, l'agrégateur de projets HelloCrowdfunding actualise tous les mois les données sur le déroulement des différents projets, permettant ainsi d'identifier les projets en retard.
Il y a 3 ans et 120 jours

Woven Gradience, la nouvelle collection de revêtement de sol d’Interface qui célèbre la couleur

Woven Gradiance : une collection apaisante et stimulanteWoven Gradience possède des teintes audacieuses qui s’estompent pour laisser la place à des gris doux et relaxants, permettant aux concepteurs designers d'intégrer, facilement, des éclairs de couleur dans la conception des revêtements de sol. La collection est une option parfaite pour le secteur tertiaire, hospitalier ou encore celui de l’éducation.Pour Mandy Leeming, directrice du design chez Interface : « Pour créer Woven Gradience, l’équipe s’est inspirée du mélange de différentes couleurs et textures de la nature. Cette ode à la couleur trouve naturellement sa place dans les environnements de travail. En introduisant des tons vifs, audacieux et naturels, nous pouvons élaborer des motifs de revêtements de sol visuellement stimulants à l’esprit contemporain et original. Les gris, quant à eux, peuvent aussi se combiner pour créer des rendus aux tons feutrés. Les différents coloris peuvent se fondre l’un dans l’autre pour créer des allées ou des zones distinctes et sur mesure. Cette collection propose une approche astucieuse et fonctionnelle aux environnements de travail, sans jamais sacrifier la qualité, le design ni même la durabilité. »La collection Woven Gradience fait partie du programme Carbon Neutral FloorsTM d’Interface, ce qui confère à toutes ses dalles une neutralité en carbone tout au long de leur cycle de vie. Les dalles intègrent la sous-couche CQuestTMBio, sans PVC ni bitume, fabriquée avec un bio-composite à base de matériaux biosourcés et recyclés, lesquels présentent un bilan carbone net négatif.La collection comprend 12 coloris, tous inspirés par les couleurs de la nature, qui peuvent se positionner d’une multitude de manières pour créer des motifs de revêtement de sol uniques. Les huit teintes audacieuses de la sélection (Emerald, Ocean, Terracotta, Sunrise, Rose, Forest, Lagoon et Sage) côtoient des gris couvrant l’ensemble du spectre d’Ink à Charcoal, en passant par Stone et Pearl. Chaque coloris audacieux peut se mélanger à un gris ou à un autre ton afin de générer une palette de couleurs vives.
Il y a 3 ans et 120 jours

Loubat Fermetures rejoint le groupe Estémi

Cette opération s'inscrit dans le cadre du développement externe du groupe ESTÉMI orchestré par son président Jean-Luc Nouveau à la tête du groupe depuis 2007. Loubat Fermetures vient compléter les 4 sites de fabrication et de production du groupe Estémi (tout nouvellement nommé) implantés sur le territoire national.Pour Jean- Luc Nouveau, président du Groupe Estémi : « La construction du groupe Estémi, depuis son origine, s’appuie sur la proximité locale et le produire en France sur des sites déjà ancrés sur leur territoire pratiquant une relation de proximité avec leurs clients, professionnels indépendants de la pose et entreprises générales. Loubat Fermetures devient le 5ème site de fabrication et production du groupe Estémi et vient ainsi enrichir, grâce à son expertise reconnue, notre offre de fermetures sur-mesure, performantes, durables et de fabrication française. Cette opération amène à l’équilibre notre offre de menuiseries et notre offre de fermetures tout en nous permettant de continuer à mailler le territoire national. » Loubat Fermetures est une société spécialisée dans la conception et la fabrication de fermetures sur-mesure implantée à Sainte-Livrade-sur-Lot (47) depuis 1952. Monsieur Kim Van Roy, Président depuis 2020, poursuivra avec son équipe le développement de l’entreprise tant sur le plan industriel que commercial. La société a acquis et capitalisé une expérience et un savoir-faire importants dans le métier de la fermeture sur-mesure et en matière de fabrication industrialisée depuis son origine. Ses produits sont distribués par des artisans professionnels de la pose et des entreprises générales sur une grande partie du territoire français. L’ensemble de son offre de volets roulants, volets battants, volets coulissants et portes de garage, essentiellement en aluminium, est certifiée NF. L’entreprise a été précurseur en France pour la certification NF de volets battant (2016). Ce rachat conforte l'assise financière de Loubat Fermetures et lui permettra de bénéficier à terme, au sein d'un groupe industriel à taille humaine, des synergies d'ordre commercial, productif et administratif, ainsi que d'un appui opérationnel et stratégique. De son côté, Loubat Fermetures apporte au groupe Estémi un savoir-faire et une expertise technique reconnus depuis des décennies dans les métiers de la fabrication de fermetures et notamment des volets battants.Pour Jean- Luc Nouveau, président du Groupe Estémi : « Cette acquisition élève le groupe Estémi à un CA de 88 millions d’euros avec un effectif de 450 salariés. Une nouvelle croissance externe sur le Rhône-Alpes reste d’entière actualité et sera, nous l’espérons le prochain chapitre du groupe sur 2022. »
Il y a 3 ans et 120 jours

Le groupe LP Promotion affiche l’ambition de tripler son chiffre d’affaires en 5 ans

Véritable promoteur des territoires, LP Promotion souhaite poursuivre un développement fort en offrant des solutions d’habitat sur mesure et ambitionne de tripler son chiffre d’affaires consolidé d’ici 2026 pour le porter à plus de 800 millions d’euros.Grandir pour aller plus loin au service des territoiresDéjà présent dans quatre grandes régions de France (Occitanie, Nouvelle-Aquitaine, Ile-de-France et depuis peu Auvergne-Rhône-Alpes), le Groupe s’appuie sur son expertise territoriale pour passer de 2.400 lots réservés en 2021 à près de 7.000 en 2026. Son ambition : être à l’écoute des besoins et spécificités locales.Pour Pierre Aoun, Directeur Général du Groupe LP Promotion : « Notre positionnement de promoteur des territoires a un sens. Il s’agit de nous développer localement, au cœur de nos régions d’implantation, en nous adaptant aux besoins réels des territoires, en répondant aux enjeux locaux et en offrant aux résidents des solutions d’habitat adaptées. Le but est d’aller encore plus loin dans notre maillage régional afin d’anticiper finement les besoins des collectivités et de leurs parties prenantes (riverains, élus...). »Ce changement d’échelle permet à LP Promotion de s’inscrire concrètement en tant qu’acteur de la vie locale. Cela se traduit notamment par une contribution au développement économique des tissus régionaux :Plus de 3.700 emplois seront créés en équivalent temps plein en 2021, via les chantiers,95% des entreprises impliquées sont des acteurs locaux,Des emplois durables sont créés pour la gestion des résidences de services (régisseurs...).Cette volonté d’être un acteur de la vie locale se traduit aussi par différents leviers d’implication de terrain qui participent à l’essor des territoires. Le Groupe soutient ainsi plus de 70 clubs sportifs, associations culturelles et caritatives tels que le Toulouse Football, le Club Nautique Chambéry-Le Bourget du Lac, l’Aviron Bayonnais, les Journées de l’Économie à Lyon ou encore le Spectacle Historique de la Ville de Meaux.Afin d’être encore plus proche des territoires, le Groupe a décidé, en 2021, d’associer plus de 40 managers au capital, favorisant leur implication dans le devenir de l’entreprise et assurant une relation pérenne entre le Groupe et ses partenaires locaux. Cette prise de participation a été rendue possible grâce à l’arrivée d’un nouvel actionnaire, Aermont. Il entérine la sortie d’Abénex (son partenaire durant 4 ans) et du fondateur historique, Lucien Ponsot, tout en assurant la continuité de l’équipe en place. Cette réorganisation de l’actionnariat du Groupe a permis la mise à disposition de moyens financiers importants pour soutenir ses ambitions et accélérer la mise en œuvre de nouvelles réalisations dans les territoires où il est présent.Devenir un leader du marché des résidences géréesEn 2008, le Groupe LP Promotion a fondé la filiale Privilege Services dont le rôle est d’aider à développer et concevoir des résidences de services destinées à des populations ou besoins spécifiques (étudiants, jeunes actifs, coworking, seniors), puis d’en assurer la gestion. Via sa filiale, le Groupe gère aujourd’hui 22 résidences partout en France et souhaite développer fortement cette activité. Pour atteindre ses objectifs, il prévoit, d’ici cinq ans, de multiplier par quatre le nombre de ses résidences gérées.Pour Pierre Aoun, Directeur Général du Groupe LP Promotion : « Être promoteur et gestionnaire nous permet d’être un interlocuteur unique auprès des collectivités et de les accompagner dans la durée. Nous assurons la conception, la construction, la commercialisation et la gestion. Grâce à cette maîtrise globale de la chaîne immobilière, nous pouvons concrètement répondre aux enjeux de la ville de demain et proposer des services en accord avec les attentes et les besoins de la population. Notre volonté est de créer des lieux de vie conviviaux et adaptés à tous les parcours résidentiels. »S’engager en faveur de l’eco-responsabilité et de l’innovation au service de l’habitatConscient de la nécessité d’agir pour inscrire l’habitat dans une transition écologique concrète, LP Promotion mène au quotidien une politique RSE ambitieuse et promeut un habitat durable et respectueux de l’environnement, notamment par le recours à des matériaux renouvelables et à faible empreinte carbone. Le Groupe est ainsi entré, en juillet 2021, au capital de Briques Technic Concept, une société de fabrication et de distribution de briques en terre crue compressée. Ce partenariat représente un véritable engagement pour l’entreprise qui souhaite intégrer la brique en terre crue dans 20% de ses projets d’ici trois ans. Il accompagne le développement territorial de LP Promotion et participe également à la création d’emplois non délocalisables. En effet, chaque ouverture d’unités de production générera 2 à 3 emplois directs et 20 emplois indirects.D’autre part, depuis plusieurs années, le Groupe s’appuie sur un département Recherche &Développement qui travaille quotidiennement, avec les équipes opérationnelles, à développer l’innovation technique et sociétale. Ainsi, en 2020, LP Promotion a été récompensé par une Pyramide d’Or pour son utilisation novatrice du BIM (Building Information Management) pour son projet Les Terrasses de Jade à Toulouse. En 2021, le Groupe a investi un million d’euros en R&D et souhaite maintenir ce cap, au service des territoires.
Il y a 3 ans et 120 jours

Nouveau Bauhaus européen : candidatures ouvertes pour les prix 2022

Comme lors de la première édition, les prix 2022 du nouveau Bauhaus européen récompenseront les idées de jeunes talents ainsi que les projets existants en faveur de la durabilité, de l'inclusion et de l'esthétique qui mettront le pacte vert pour l'Europe à la portée des citoyens et des communautés locales.Pour la commissaire chargée de l'innovation, de la recherche, de la culture, de l'éducation et de la jeunesse, Mme Mariya Gabriel : «Le nouveau Bauhaus européen s'inspire de la culture, de l'éducation, de la science et de l'innovation européennes pour matérialiser la promesse du pacte vert pour l'Europe sous la forme d'améliorations dans notre vie quotidienne. Je me réjouis à la perspective de voir le meilleur de la créativité européenne se concrétiser dans les candidatures envoyées cette année.» Pour Mme Elisa Ferreira, commissaire à la cohésion et aux réformes : «Aujourd'hui plus que jamais, nous avons besoin d'idées durables et innovantes pour transformer notre façon de vivre et de travailler, en ne laissant personne de côté. Le nouveau Bauhaus européen récompense les concepts qui s'avèrent les meilleurs, les plus ambitieux et les plus brillants pour améliorer nos régions et nos villes, d'une manière respectueuse à la fois des personnes et de la planète. La politique de cohésion contribuera à faire de ces idées nouvelles une réalité dans toute l'Europe, dans l'intérêt de toutes nos communautés.» Les prix seront décernés aux projets et aux idées qui contribuent à la création de lieux qui allient beauté, durabilité et inclusion, dans quatre catégories :se reconnecter à la nature;retrouver un sentiment d'appartenance;donner la priorité aux lieux et personnes qui en ont le plus besoin;favoriser une réflexion à long terme, sur le cycle de vie et intégrée dans l'écosystème industriel.Ces catégories reflètent les quatre axes thématiques de transformation du nouveau Bauhaus européen. Ceux-ci ont été définis au cours de la «phase de co-conception» de l'initiative, avec la participation de milliers de personnes et d'organisations qui ont fait part de leurs points de vue et de leurs expériences. Les contributions seront évaluées sur la base des trois valeurs fondamentales de l'initiative: durabilité, esthétique et inclusion. Les ressortissants de tous les États membres et des pays du monde entier sont encouragés à présenter leur candidature pour autant que leurs projets/idées soient situés dans l'Union européenne. Dans chacune de ces catégories, le concours comportera deux volets :les «prix du nouveau Bauhaus européen» — pour les projets existants achevés ces deux dernières années; etles «étoiles montantes du nouveau Bauhaus européen» — pour les concepts ou idées présentés par de jeunes créateurs de moins de 30 ans.Contexte Le nouveau Bauhaus européen est un projet environnemental, économique et culturel, qui vise à combiner conception, durabilité, accessibilité, caractère abordable et investissement afin de contribuer à la réalisation du pacte vert pour l'Europe. Lancé par la présidente von der Leyen dans son discours sur l'état de l'Union de 2020, le nouveau Bauhaus européen a été conçu conjointement avec des milliers de personnes et d'organisations dans toute l'Europe et au-delà.En septembre 2021, l'initiative est passée de la conception conjointe à la mise en œuvre avec une communication de la Commission définissant les actions et les financements qui permettront de concrétiser l'initiative.