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Il y a 4 ans et 74 jours

L'aggravation de la pandémie retarde la reprise économique en Europe

Ces mauvaises nouvelles posent déjà la question d'un renforcement du plan de relance de 750 milliards d'euros voté l'an dernier par l'Union européenne.L'UE "a apporté une réponse à la hauteur" à la suite de la première vague de l'épidémie du printemps 2020. Mais, suite aux 2ème et 3ème vague (...), il nous faudra sans doute compléter cette réponse", a lancé jeudi soir à Bruxelles le président français Emmanuel Macron, ouvrant le débat.Au début du mois de mars, il semblait encore acquis que la reprise serait au rendez-vous cet été, une fois que la campagne de vaccination, après quelques ratés au démarrage, serait franchement sur les rails.Lors de sa réunion du 11 mars, la Banque centrale européenne a maintenu ses prévisions "globalement inchangées", sa présidente Christine Lagarde disant tabler sur "un rebond ferme de l'activité au second semestre".Mais le tableau s'est depuis brutalement assombri. La troisième vague de l'épidémie de Covid-19 a conduit les trois principales économies de la zone euro - Allemagne, France et Italie - à adopter un nouveau régime de restrictions, alors qu'on semblait se diriger au contraire vers un assouplissement des mesures. Et les difficultés d'approvisionnement en vaccins, qui ont dominé jeudi le sommet de l'Union européenne, sont encore loin d'être résolues.En février, l'assureur-crédit Euler Hermès avait estimé que l'UE avait cinq semaines de retard par rapport à son objectif de vacciner 70% de la population d'ici la fin de l'été. Jeudi, il a refait ses calculs : le retard est désormais de sept semaines et pourrait coûter 123 milliards d'euros en 2021 aux Vingt-Sept."Si on compare avec la situation aux Etats-Unis, où les perspectives sont bien plus positives, on prend clairement beaucoup de retard sur la reprise avec cette troisième vague", constate Charlotte de Montpellier, économiste chez ING.Emmanuel Macron a lui-même comparé les politiques de relance de Bruxelles et Washington. "La force de la réponse américaine et du plan annoncé il y a quelques jours par le président Biden et son Congrès nous placent face à une responsabilité historique", a-t-il estimé, en allusion à la décision d'injecter 1.900 milliards de dollars dans l'économie américaine.Europe "à deux vitesses"La banque ING anticipe désormais autour de 3% de croissance pour la zone euro en 2021, soit plus d'un demi-point de moins par rapport à début mars. Elle estime que "l'essentiel de la reprise" aura lieu à partir du troisième trimestre, un peu plus tard que prévu.C'est aussi le diagnostic d'Andrew Kenningham, chef économiste pour l'Europe de Capital Economics, selon qui l'Europe ne retrouvera pas son niveau de PIB d'avant-crise avant la deuxième moitié de 2022, un an après les Etats-Unis.Au rythme actuel, la part de la population vaccinée dans l'UE ne devrait pas atteindre les 50% "avant juillet", un seuil que la Grande-Bretagne a déjà franchi et que les Etats-Unis devraient dépasser "dans les semaines à venir"."Les perspectives se sont dégradées", le retard dans la vaccination, qui diffère la levée des restrictions, risque de déboucher sur une "économie à deux vitesses", avertit Chris Williamson, chef économiste d'IHS Markit.Les chiffres du PMI de mars - qui mesure l'activité du secteur privé - ont ainsi révélé une divergence importante entre l'Allemagne, première économie de la zone euro, qui profite du rebond industriel, et la France, davantage dépendante des services.Le moral des entrepreneurs allemands vient ainsi de retrouver son niveau de juin 2019, selon les données publiées vendredi par l'institut Ifo.Les pays du sud - Espagne, Portugal, Italie, Grèce - s'inquiètent de devoir subir une nouvelle saison touristique en demi-teinte, de quoi menacer la cohésion européenne.Standard and Poor's a cependant choisi de maintenir ses prévisions inchangées pour la zone euro, à +4,2% pour 2021, en soulignant "le maintien de conditions de financement favorables prévalant actuellement". En outre, "l'économie de la zone euro est moins sensible aux restrictions sociales qu'il y a un an", souligne Sylvain Broyer, chef économiste Europe pour S&P.
Il y a 4 ans et 74 jours

Loi climat: plus de 7.000 amendements au menu de l'Assemblée

Ces amendements sont encore en cours de traitement par les services de l'Assemblée et certains pourraient être jugés irrecevables, rappellent des sources parlementaires, à l'issue du dépôt des amendements jeudi.Les LR, hostiles à une "écologie punitive" pointent en tête avec 2.269 amendements, devant les LREM 1.728, ou les non inscrits (746) dont les élus écologistes Delphine Batho ou Matthieu Orphelin.Alors que le texte est très critiqué par les ONG environnementales, les députés LREM ont promis de défendre des "avancées" en séance, notamment sur le volet logement, où le texte prévoit l'interdiction de la mise en location des passoires thermiques en 2028 (logements classés F et G).La majorité veut reprendre à son compte certaines conclusions du rapport présenté le 17 mars par Olivier Sichel, le directeur de la Banque des territoires, qui suggère un "accompagnement" pour lever les freins à la rénovation thermique des logements.Dans la lignée de ce rapport, le gouvernement a d'ores et déjà déposé un amendement pour aider les ménages modestes à accéder au crédit, en vue d'une rénovation. Il s'agit d'élargir le périmètre du fonds de garantie pour la rénovation énergétique (FGRE), avec un mécanisme de "garantie partielle" des "prêts avance mutations", gagés sur la revente de biens ou lors de la succession.Certains députés LREM espèrent aussi obtenir la fin de la mise en location des logements classés E en 2034.On a des "idées pour être plus agressifs en faveur des vélos", a également assuré le rapporteur général Jean-René Cazeneuve (LREM), alors qu'une tribune dans le quotidien Libération, cosignée par son collègue Guillaume Gouffier Cha dénonçait l'absence de mesures pour le développement du vélo dans le texte initial.Le gouvernement tentera de répondre aux demandes des partisans de "la petite reine" avec un amendement qui élargit la prime à la conversion des véhicules les plus polluants à l'achat de vélos et vélos à assistance électrique.Quant au volet publicité, les députés pourraient définir plus précisément le "greenwashing" des entreprises, afin de mieux le sanctionner.L'ensemble du texte reste très critiqué par la gauche, les écologistes et les ONG environnementales. Des membres de la Convention citoyenne pour le climat et des associations appellent à des manifestations dimanche pour "une vraie loi climat".
Il y a 4 ans et 75 jours

Les mesures de soutien devraient coûter environ 32 milliards d'euros en 2021

QUESTION: Selon l'Insee, le déficit public a atteint 9,2% du produit intérieur brut (PIB) l'an dernier, après 3% en 2019. C'est moins que ce que vous aviez prévu, mais c'est quand même un niveau jamais vu...REPONSE: Les chiffres sont à la fois historiques et encourageants. Historiques, parce que le déficit de l'année 2020 est le plus important que la France ait connu dans la période contemporaine, et encourageants car il est moins important que ce que nous avions imaginé lors du vote du dernier projet de loi de finances rectificatif pour 2020 et de la loi de finances pour 2021.La prévision qui était la nôtre était à 11,3%, mais le maintien de l'activité à un niveau plus important que prévu et les recettes fiscales plus importantes que prévues aussi, font que le déficit public s'établit en 2020 à 9,2%. Cela représente un montant de 211,5 milliards d'euros.On est 2 points en dessous de nos prévisions de la fin de l'année, et ça c'est encourageant, parce que cela illustre la capacité de résistance de l'économie française, tout comme l'efficacité des mesures d'aides que nous avons mises en place, comme le fonds de solidarité, l'activité partielle qui permet le maintien des compétences et des emplois.En ce qui concerne la dette publique, elle va s'établir à 115,7% du PIB, alors que nous pensions être autour de 120%. C'est là encore totalement historique.C'est un double effet mécanique. Le fait que le déficit soit moins prononcé que prévu a forcément un impact sur le niveau de la dette et le coût de la dette. Et puis le fait que la récession ait été moins forte que prévu nous permet de finir l'année avec un niveau de PIB moins dégradé que prévu.La charge de la dette en 2020 s'élève elle finalement à 33,2 milliards d'euros, alors qu'on était à 38,9 milliards en 2019. C'est le fait de la baisse des taux d'intérêts, donc c'est plutôt une bonne nouvelle.Q: Avec la poursuite de l'épidémie, les aides vont devoir être maintenues plus longtemps. A combien évaluez-vous leur coût cette année?R: Nous l'avons dit, nous continuerons à aider les Français et les entreprises aussi longtemps que l'activité sera empêchée, aussi longtemps que nous devrons prendre des décisions qui restreignent les horaires d'ouverture, qui obligent à des fermetures administratives.Sur le coût des mesures d'urgence, cela peut évoluer en fonction de l'évolution de la situation, mais à date nous estimons qu'il dépassera les 30 milliards d'euros, autour de 32 milliards d'euros, avec 18 milliards pour le fonds de solidarité, 11 milliards pour l'activité partielle et environ 3,5 à 4 milliards d'euros pour les exonérations de cotisations sociales.Q: Vous attendez toujours une croissance de 6% en 2021. Est-ce que ces dépenses vous poussent à revoir votre prévision d'un déficit ramené à 8,5% du PIB cette année?R: Pour le moment nous n'actualisons pas nos prévisions sur la dette et le déficit. Sur le déficit nous avons une prévision de 8,5%, et il est trop tôt pour que nous puissions la modifier. Cette modification devra tenir compte de deux mouvements contraires. Il y a un mouvement qui est relatif au coût des aides, tout en précisant que sur les 32 milliards que j'ai évoqués, beaucoup sont d'ores et déjà intégrés dans la loi de finances pour 2021 et donc dans cette prévision d'un déficit à 8,5%.Il y a un deuxième mouvement, qui est inverse. Le fait d'avoir réalisé un déficit moins important et une récession moins importante en 2020 peut avoir des effets positifs sur la révision de nos indicateurs pour 2021.Malgré ce contexte épidémique et malgré l'incertitude, je reste extrêmement optimiste sur la capacité de rebond de l'économie française. Il y a un certain nombre d'indicateurs qui sont très rassurants: le fait que l'investissement des entreprises se tient bien, que la consommation se tient bien, le fait que selon l'Insee, le pouvoir d'achat des ménages français a légèrement progressé de 0,6% en 2020 malgré la récession de 8,2%. Et le plan de relance a vocation à accélérer la reprise.
Il y a 4 ans et 75 jours

Accord de financement pour l'établissement public national du Mont-Saint-Michel

C'est le résultat de plusieurs mois de travail et de discussions entre l'Etat (ministères, services déconcentrés et direction générale de l'établissement public), le Centre des monuments nationaux et les collectivités territoriales parties prenantes (département de la Manche, région Normandie, région Bretagne)Toutes les conditions sont désormais réunies pour que le nouvel établissement soit pleinement opérationnel d'ici quelques semaines, une fois la dissolution du syndicat mixte mise en œuvre.Ce site exceptionnel sera désormais géré de manière unifiée, en partenariat étroit avec les collectivités territoriales et le Centre des monuments nationaux. En effet, le nouvel établissement public national du Mont-Saint-Michel aura désormais la charge non seulement de la gestion de l'abbaye mais également celle du barrage, des parkings et des navettes reliant le Mont au continent, et sera en pleine capacité de remplir sa mission de valorisation et de développement du Mont et de son territoire. Le conseil d'administration de l'établissement public est appelé à se réunir prochainement pour approuver formellement cette étape. A terme, l'objectif est que l'établissement puisse atteindre une autonomie de financement.Les ministres adressent leurs remerciements aux élus et acteurs territoriaux qui ont fait preuve d'un grand sens de l'intérêt général pour faire aboutir cette démarche. Ils saluent également l'engagement du directeur général de l'établissement public national du Mont-Saint-Michel et de ses équipes, ainsi que du président du CMN. Après les travaux de rétablissement du caractère maritime du Mont-Saint-Michel, terminés en 2015, et ceux concernant l'abbaye et les remparts, qui se poursuivent aujourd'hui, dans le cadre du plan de relance, par la restauration du bâtiment de la Merveille, c'est une nouvelle ère qui s'ouvre pour ce joyau du patrimoine national, l'un des plus visités de France.
Il y a 4 ans et 75 jours

Partenariat direction générale des finances publiques et ordre des géomètres-experts : la digitalisation en renfort du service public

Le but ? Faciliter l'accès aux données foncières et cadastrales au bénéfice de l'ensemble des usagers, particuliers, services de l'Etat, collectivités territoriales ou encore professionnels, et digitaliser l'ensemble des processus pour rendre le service public plus efficient.Chaque jour, les géomètres-experts sont amenés à produire des données foncières dans le cadre de la conduite de leurs missions. Si l'ensemble de ces actes fonciers sont publiés sur le portail Géofoncier depuis 2010, on estime néanmoins que 13 millions de ces documents - indispensables à la conduite d'opérations d'aménagement ou à la construction de logements - sont aujourd'hui stockés dans les archives des services du cadastre.La signature de cette convention passée entre la Direction Générale des Finances Publiques (DGFiP) et l'Ordre des géomètres-experts (OGE) vise à digitaliser le stock de ces documents mais aussi leur production et répond ainsi à un triple objectif :La numérisation de la documentation (DMPC, croquis fonciers et minutes de remembrement) stockée et archivée dans les services du cadastre depuis 1956 et son financement par l'Ordre des géomètres-experts.La dématérialisation totale de la procédure de production des flux nouveaux de DMPC jusqu'à la signature électronique, qui a été expérimentée avec succès dans plusieurs directions départementales des finances publiques et qui a été proposée aux géomètres-experts pendant la période de confinement.Et la mise en œuvre d'un contrôle allégé en partenariat (CAP) des travaux de vérification des documents d'arpentage assurés par les services du cadastre.L'ensemble des documents cadastraux produits depuis plus d'un demi-siècle seront, dans les 5 prochaines années, numérisés puis versés sur le portail Géofoncier afin de les rendre accessibles gratuitement au public.Le Fonds Européen de Développement Régional a été sollicité pour financer une partie du projet puisqu'il s'inscrit dans une démarche de transition écologique et digitale qui concoure directement à l'intérêt général. Seule obligation pour la profession ? Garantir aux citoyens qu'ils auront librement accès à la base de données du portail Géofoncier.Cette opération de grande ampleur, couplée à la mise en œuvre d'un contrôle allégé en partenariat (CAP) des travaux de vérification des documents d'arpentage permettra également de simplifier le travail de vérification des documents d'arpentage qu'assure l'administration fiscale.Le Président du Conseil supérieur de l'OGE, Vincent Saint-Aubin, s'est dit « très honoré de cette convention qui fera du géomètre-expert et du portail Géofoncier des acteurs majeurs de la Blockchain du foncier ». « Ce travail de digitalisation relève de la mission de service public de notre Ordre et s'inscrit dans une véritable dynamique partenariale public/privé. », a conclu Vincent Saint-Aubin.
Il y a 4 ans et 75 jours

Legallais.com, désigné meilleur site E-commerce 2021

Après avoir été de nouveau labellisée Great place to work en novembre, reconnue Entreprise engagée par le Trophée RSE des experts comptables en décembre, Legallais a reçu le prix Or du meilleur site e-commerce BtoB en février.Organisé par BFM Business et la Fevad, Fédération du e-commerce et de la vente aux professionnels sur la base d'un sondage réalisé par Médiamétrie auprès de 1.645 entreprises françaises (collectivités locales, industries, professions libérales, artisans-commerçants, entreprises de services) ayant acheté sur un site de e-commerce B2B au cours des 1é derniers mois. Les notes tiennent compte de 5 critères : choix des produits, fonctionnement du site, rapport qualité/prix, politique RSE et service client. Legallais avait 15 concurrents parmi lesquels CDiscountPro, Manutan, JPG ou Téréva.Plus de 50.000 références accessibles dont le stock est affiché en temps réel, des configurateurs, des guides de choix ou encore un espace pro personnalisé pour gérer et optimiser le processus d'achats ( suivre devis, commandes et livraisons, créer un catalogue sur-mesure avec liste d'achats, tarifs négociés et personnalisés...) sont autant de services et d'atouts pour faire du site legallais.com un allier quotidien des 60.000 clients."Nous sommes très fiers de recevoir cette distinction, c'est tout le travail des équipes Legallais pour offrir à nos clients les meilleurs services disponibles sur internet, qui se voit récompensée aujourd'hui." Philippe Nantermoz, Directeur général
Il y a 4 ans et 75 jours

Le constructeur de maisons Hexaom fait une bonne année 2020 porté par la rénovation

Sur l'année, le groupe a enregistré une hausse de +4,8% de son chiffre d'affaires, à 881,8 millions d'euros, une croissance qui "s'est majoritairement opérée sur le second semestre", selon un communiqué.Tous les métiers du groupe ont vu leur activité progresser, ajoute-t-il.L'activité Construction de maisons s'affiche en légère croissance (+0,1%), à 694,4 millions d'euros.La rénovation, "très fortement pénalisée par le confinement durant le premier semestre", a réalisé une progression de 8% sur l'année, et de 20,3% au seul second semestre, à 153,3 millions d'euros de chiffre d'affaires.Les activités "promotion immobilière" et "aménagement foncier" ont été "en très forte hausse à respectivement 23,6 millions d'euros, contre 2,1 millions en 2019, et 10,8 millions contre 4 millions en 2019" avec "la montée en puissance d'Hibana", la société de promotion immobilière créée en 2018, et "l'intégration en année pleine du groupe Plaire", le constructeur de maisons individuelles, promoteur et lotisseur, précise le communiqué.Le résultat net annuel ressort à 19,7 millions d'euros, en hausse de +6,5%.Sur le plan des prises de commandes, l'activité construction a vu un repli sur l'année de 3,4% en valeur mais elle "reste très bien orientée sur les deux premiers mois de l'année 2021 avec des prises de commandes en hausse de +4,5% en nombre et +7,9% en valeur", selon le groupe.Dans la Rénovation, les prises de commandes, en retrait de 5,3% sur l'année par rapport à 2019, sont sur les deux premiers mois de l'année 2021, "en très forte hausse de +244% par rapport à la même période de l'exercice précédent", précise-t-il.Hexaom anticipe "un objectif de chiffre d'affaires proche du milliard d'euros à fin 2021".
Il y a 4 ans et 75 jours

Jean Nouvel habille de magie une collection prestigieuse au Musée du Quai Branly

Dans ce musée des "arts premiers" voulu par Jacques Chirac dont le fondateur du groupe Fimalac était proche, 36 œuvres rares ont été installées dans une galerie dominant en mezzanine les salles d'exposition permanentes. Cette collection avait déjà fait l'objet d'une exposition en 2016 au Quai Branly.L'inauguration était prévue à l'automne dernier avant d'être reportée en raison du Covid-19.Baignée de clair-obscur, c'est une expérience de contemplation qui attend le visiteur. Sur des socles revêtus de bois, des élégantes enveloppes translucides en PMMA (polyméthacrylate de méthyle, sorte de plexiglas) entourent les plus belles œuvres, épousant leurs formes en les laissant respirer. A hauteur d'homme, on peut en faire le tour, ce qui permet de mieux pénétrer dans le mystère de leur signification, derrière le jeu subtil des reflets.Le concept d'"aura" est défini selon les dictionnaires comme "l'atmosphère spirituelle", "la résonance d'une œuvre" ou "l'émanation entourant un être". C'est tout cela à la fois qui entoure ces objets, chacun chargé d'un sens --religieux, social, naturel-- qui s'est perdu. L'"aura" les laisse vibrer au lieu de les enfermer derrière une cloison vitrée comme dans une exposition traditionnelle.Selon Jean Nouvel, c'est comme si "la protection (le plexiglas) était émue par la fascination qu'exercent sur elle les statues".Pour le président du musée, Emmanuel Kasarhérou, "ce principe de halo constitue une authentique prouesse technique et une première mondiale. Elle marque un nouvel âge de la muséographie qui fait place à l’œuvre dans toutes ses dimensions physiques et spirituelles, à rebours de certains mirages du tout-numérique"."Il a fallu une mécanique d'une complexité incroyable pour installer les statues dans ces vitrines. Sans que rien ne se voie! La vitrine tient sur elle-même", souligne, admiratif, M. Kasarhérou.Le Prix Pritzker 2008, dont la réalisation de ce musée en bord de Seine est une oeuvre phare, explique sa conception de ce nouvel espace: "les œuvres d'art sont là pour habiter un lieu, et le lieu doit devenir une sorte de balcon pour elles".Recherche du souffleLe génie de Jean Nouvel "a été de renoncer à la vitrine parallélépipédique pour lui préférer un souffle qui reprend les formes maîtresses de chaque œuvre", souligne Yves Le Fur, directeur des collections du musée, qui a su trouver une place à chaque "aura"."Le souffle vital est un concept très fort dans la culture africaine", souligne M. Le Fur.Des chefs d'oeuvre habités de fortes symboliques sont ainsi en majesté, comme une magnifique "Maternité assise Sénoufo", récupérée jadis en Côte d'Ivoire.Une grande attention a été aussi accordée à la contextualisation des oeuvres, priorité du nouveau président du musée né en Nouvelle-Calédonie: accessibles avec des QRcodes, des focus sont proposés avec des repères historiques. Marc Ladreit de Lacharrière a commencé à rassembler en 2005 cette collection. Il explique avoir voulu qu'elle "ne soit pas coupée en morceaux en salles des ventes" à sa mort. "Jacques Chirac, a-t-il confié, qui m'a fait abandonner progressivement mon corset d'Occidental biberonné aux arts classiques, serait content d'être là aujourd'hui!".Sa donation, faite en 2018, est la plus importante d’œuvres d'art africaines et océaniennes depuis 1945, d'une valeur de plus de 50 millions d'euros. Il va aussi financer durant cinq années des expositions temporaires, à hauteur de 200.000 euros par an.
Il y a 4 ans et 75 jours

Barbara Pompili lance « la Communauté des territoires démonstrateurs de transition écologique »

Cette communauté a pour but de partager des solutions clé en main, à destination de tous les territoires, sur la base d'initiatives qui ont déjà été expérimentées, approuvées et qui sont à la fois reproductibles et inspirantes.Le Forum des territoires en transition qui s'est tenu hier est à la fois l'aboutissement d'une démarche engagée depuis février 2018 avec les contrats de transition écologique (CTE), et le démarrage d'une dynamique plus large dans les années à venir.Ce forum a permis de mettre en lumière les territoires déjà engagés comme les CTE, les Territoires à énergie positive (TEPOS), les Territoires à énergie positive pour la croissance verte (TEPCV) et les bonnes pratiques mises en œuvre dans le cadre des plans climat-air-énergie territoriaux (PCAET), Le souhait du gouvernement est de diffuser ces expériences positives sur l'ensemble du territoire dans le cadre des Contrats de Relance et de Transition Ecologique (CRTE). Les territoires intéressés pourront ainsi bénéficier de l'expérience de leurs pairs, de leurs outils, pour s'engager dans la transition écologique. Les CRTE porteront la transition écologique comme axe transversal du projet de territoire, dans une approche intégrée de l'ensemble des politiques publiques (culture, sport, santé, éducation, économie, habitat, commerce, agriculture…).Barbara Pompili a annoncé que les territoires qui souhaitent s'engager dans des démarches de transition écologique territoriale seront appuyés et accompagnés par le ministère de la Transition écologique, notamment dans le cadre du plan France Relance.« Depuis le début du quinquennat, le ministère s'est engagé dans une politique volontariste à l'attention des territoires, afin d'ancrer de manière très concrète nos politiques publiques. Grâce aux Contrats de transition écologique (CTE) signés entre l'Etat et les territoires impliqués, le Gouvernement a prouvé que la transition écologique était bel et bien un moteur de transformation et de dynamisme, en faveur d'un modèle de développement résilient. Nous avons désormais besoin que les expériences réussies puissent servir à tous ceux qui souhaitent aujourd'hui s'engager dans la transition écologique de leur collectivité, notamment dans le cadre des nouveaux CRTE. Il existe un vivier formidable d'initiatives que j'ai souhaité réunir sous la bannière de cet événement des territoires en transition. »Barbara Pompili, ministre de la Transition écologiquePour rappel : Du CTE au CRTELe Contrat de transition écologique (CTE) a été lancé par le Gouvernement en février 2018, et fédère 107 territoires. C'est un dispositif contractuel construit à l'échelle d'un ou plusieurs Établissements publics de coopération intercommunale (EPCI), entre l'État et des collectivités. Il associe partenaires publics et privés, notamment les associations environnementales et les acteurs économiques du territoire. Il comprend un programme d'actions concrètes d'une durée de 3 à 4 ans, avec des engagements précis établis entre partenaires, et des objectifs de résultats qui font l'objet d'un suivi et d'une évaluation.Ce contrat a servi de modèle pour l'élaboration des contrats de relance et de transition écologique (CRTE) qui ont vocation à se déployer sur l'ensemble du territoire. Les territoires déjà engagés sont désormais appelés à montrer l'exemple pour monter des projets de territoires écologiques, source de développement économique durable au service du quotidien de nos concitoyens.
Il y a 4 ans et 75 jours

Lancement du Grand Prix National de l'Ingénierie 2021

Il s'agit également de valoriser ainsi la valeur ajoutée de la prestation intellectuelle d'ingénierie, notamment en termes de recherche et développement et innovation, ainsi que son impact économique et social.Ce concours est lancé par les ministères de la Transition écologique, de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, de l'Économie, des Finances et de la Relance, en partenariat avec Syntec-lngénierie et en association avec le groupe Le Moniteur.La date limite de dépôt des candidatures est fixée au 31 mai 2021 avant midi.Le projet récompensé sera au stade du concept, en cours de réalisation ou achevé.Les candidatures seront appréciées au regard des critères suivants:l'inventivité, la technologie ou l'innovation déployée;la pluridisciplinarité de l'équipe et sa capacité d'intégration des outils, des méthodes et des compétences ;l'apport spécifique de la fonction ingénierie à la faisabilité technico-économique du projet;l'intégration des composantes du développement durable dans l'ingénierie du projet.Au vu de la crise inédite que nous traversons, liée à la pandémie de Covid-19, le jury portera une attention toute particulière aux projets qui participent aux objectifs du plan de relance et permettent, notamment, des économies d'énergie, de moindres émissions de gaz à effet de serre et la transition vers une économie bas-carbone, circulaire et durable.Le vice-président du CGEDD assurera la présidence du jury. Le règlement du concours 2021 est disponible sur : syntec-ingenierie.fr et cgedd.developpement-durable.gouv.fr
Il y a 4 ans et 75 jours

Nouvelle mise à jour du Guide de préconisations de sécurité sanitaire de l'OPPBTP

L’enjeu principal est de remobiliser toutes les entreprises et tous les salariés sur l’absolue nécessité de se protéger contre la Covid-19 alors que les nouveaux variants mettent tout le pays sous tension, en particulier dans les départements concernés par de nouvelles mesures de confinement. Le respect des gestes barrières reste la base de la prévention, avec le télétravail pour les postes qui le permettent. Cette nouvelle version du guide intègre ainsi des modifications relatives à l'isolement des cas contact et des salariés symptomatiques ainsi qu'à l'aménagement des lieux de restauration.Ainsi, après un test positif, la période d'isolement pour les personnes contaminées passe de 7 à 10 jours au moins.Les risques de contamination sont les plus forts lors des repas et des pauses, quand il est impossible de garder le masque. La plus grande vigilance est donc requise pour leur organisation. Cette nouvelle version du guide rappelle les dispositions pour l'aménagement des lieux de restauration collective :Respect de l'hygiène des mainsDésinfection régulière des places et ustensilesPort du masque lors des déplacements ; n'enlever celui-ci qu'une fois assis à sa placeDistance minimale de deux mètres entre les places et placement en quinconce, ou installation de cloisons assurant une séparation physique, comme illustré sur la fiche pratique publiée par l'OPPBTP. En fonction de la taille et de l'aménagement des tables, un ou plusieurs collaborateurs pourront y prendre place.De façon exceptionnelle, avec le retour des beaux jours, il est souhaitable d'encourager les collaborateurs des chantiers à manger en extérieur, et d'aménager des espaces à cet effet. Les collaborateurs de bureau peuvent si besoin manger à leur place de travail.Enfin, le guide rappelle que les salariés doivent se munir des attestations de déplacement nécessaires en fonction des consignes gouvernementales applicables dans leur département.« Après de trop longs mois de mobilisation contre cette épidémie qui se traduisent par de la fatigue et de la lassitude, toutes les entreprises doivent redoubler d'attention, en particulier lors des pauses et des repas. »Paul Duphil, Secrétaire Général de l'OPPBTPDans sa boîte à outils Covid-19, l'OPPBTP propose un choix d'affiches pour faciliter le respect des bons gestes sanitaires, notamment lors des périodes de repas ou de pause.La nouvelle version du guide est disponible sur le site internet de preventionbtp.fr.Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l'OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu'à distance grâce au service PréventionBTP En Direct. Une base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 y est disponible.
Il y a 4 ans et 76 jours

EDF ENR s'associe à Axtom pour accélérer le développement du solaire photovoltaïque dans le bâtiment

Pour porter cette ambition, deux sociétés ad hoc dédiées seront créées entre les deux partenaires. S'inscrivant pleinement dans la stratégie du groupe EDF, cette association contribuera au développement des nouvelles capacités photovoltaïques prévues au Plan Solaire.Un plan de développement qui vise la construction de 300 000 m² de toitures photovoltaïques par an Selon les termes de l'accord, deux nouvelles entités seront créées : AXTOM ENR Promotion et AXTOM ENR Aménagement qui travailleront sur la conception de bâtiments à énergie positive équipés d'unités de production et de stockage et disposant d'une capacité d'investissement importante permettant le développement annuel de plus de 300 000 m² de toitures photovoltaïques soit plusieurs dizaines de MW de puissance.Une association en phase avec les ambitions de la France et d'EDF en matière de développement du photovoltaïque« Alors que la France s'est fixée l'objectif de doubler sa capacité de production photovoltaïque d'ici 2023 dans le cadre de la Programmation Pluriannuelle de l'Energie, cette association avec le groupe AXTOM positionne EDF ENR comme l'un des principaux acteurs de la transition énergétique et du développement de l'énergie solaire en Immobilier d'Entreprise en France. Cet accord ambitieux, qui s'inscrit pleinement dans le Plan Solaire du groupe EDF, associera des compétences très complémentaires et témoigne d'une certaine maturité du marché. » Benjamin Declas, Président d'EDF ENR« Nous sommes fiers de nous associer à EDF ENR. Cet accord souligne notre capacité à travailler avec les meilleurs pour offrir des solutions en phase avec les attentes du marché. Nous avions déjà la volonté de dépasser les normes en matière d'exigences environnementales, cet accord nous donne un élan supplémentaire considérable pour innover au service de nos clients »Stéphane Bombon, Président du Groupe AXTOMDévelopper des sites intégralement optimisés en énergie renouvelableLa loi Energie-Climat de 2019 a introduit plusieurs changements dans la conception de bâtiments, dont l'obligation de végétaliser ou d'équiper de dispositifs de production d'énergie renouvelable sur 30% de la surface de toiture des nouvelles constructions de plus de 1000 m² d'emprise au sol dédiées à une exploitation commerciale, un usage industriel ou artisanal. L'ambition d'AXTOM et d'EDF ENR est d'aller plus loin en concevant des bâtiments et des ombrières de parking, 100% photovoltaïques, intégrant des places de parking équipées de systèmes de recharge pour véhicules électriques.
Il y a 4 ans et 76 jours

Covid-19: baisse de 22% du nombre de stages en entreprises en 2020

La totalité des secteurs d'activité ont été affectés par cette forte diminution en 2020 qui "s'explique quasi-intégralement par l'effondrement des entrées en stage durant le premier confinement, de mars à mai, période durant laquelle elles sont habituellement très nombreuses", précise la Dares dans une publication mardi.Le nombre d'entrées en stage par an - de plus de deux mois ou rémunérés au-delà de la franchise légale dans le secteur privé hors agriculture et hors particuliers employeurs - a été de 225.000 en 2020, après 289.000 en 2019, soit une baisse de 22%, alors qu'il avait augmenté régulièrement en 2019 comme en 2018 (+4% par an).La baisse est de 24% en mars 2020 par rapport à la même période en 2019 puis de 87% en avril et de 50% en mai. "À partir de juin, les entrées en stage retrouvent des niveaux similaires à 2019, sans compenser le très fort recul du printemps", souligne la Dares.Les moins de 20 ans sont les plus concernés par la baisse (-39% d'entrées en stage par rapport à 2019). Viennent ensuite les plus de 25 ans (-17%). Le repli est plus limité (-13%) pour les 21-25 ans, qui représentent le plus grand nombre de stages (160.000 par an en moyenne sur les trois dernières années).La baisse concerne tous les secteurs d'activité à l'exception de la santé humaine et de l'action sociale, où le nombre d'entrées en stage augmente de 16%. Le plus fort recul se situe dans l'hébergement et la restauration(-50%, pour atteindre 6.700 en 2020). Il est plus modéré dans l'industrie manufacturière (-29%), et le commerce (-26%) qui représentent chacun 40.000 entrées en stage par an en moyenne en 2018 et 2019.Les autres secteurs de services résistent un peu mieux: -18% pour l'information-communication, -16% pour les activités financières, -15% pour les activités spécialisées, scientifiques et techniques (principal secteur employant des stagiaires avec 64.000 entrées en stage par an en moyenne en 2018 et 2019).Ce décompte est basé sur la déclaration sociale nominative des entreprises.Il comprend une estimation provisoire pour les mois de novembre et décembre 2020, précise la Dares.
Il y a 4 ans et 76 jours

Venteo lance cPURE, un purificateur d’air haute performance, en partenariat avec Eurevia

En effet, les particules virales peuvent se disperser dans un espace intérieur insuffisamment ventilé et rester en suspension dans l’air pendant des heures et s’y accumuler. Pour réduire significativement la concentration de particules virales, absorber les polluants et assurer un air sain, Venteo, expert en qualité de l’air intérieur, complète son expertise en lançant cPURE, un purificateur d’air mobile unique qui permet une décontamination en temps réel et rapide.Le seul purificateur d’air mobile efficace contre le coronavirus, doté d’un système de monitoring de la décontamination en temps réelUn purificateur d’air haute performance et naturel sans agent chimique et sans rayonnementAfin de lutter efficacement contre le coronavirus, d’absorber les polluants et d’améliorer la qualité de l’air dans les espaces clos, Venteo propose cPURE un purificateur d’air haute performance. En effet, ce système a été conçu pour aseptiser l’air des salles blanches des hôpitaux et des industries de précision. Son niveau de performance exceptionnel lui permet d’agir efficacement dans tout type de locaux qu’il est nécessaire d’aseptiser tels que les bureaux, les écoles, les Ehpad, les restaurants, les lieux culturels, les magasins, les salles de sport...« Nous sommes ravis de compléter notre gamme d’expertise avec le lancement du purificateur d’air, cPURE. Ce système ultra performant permet d’apporter une protection supplémentaire contre la transmission des virus et d’assurer un assainissement optimal de l’air intérieur, particulièrement nécessaires en cette période de crise sanitaire », déclare Axel Ballion, DG de Venteo.cPURE est équipé d’un filtre absolu HEPA 13 haute efficacité, répondant aux exigences de l’Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS), qui offre une purification naturelle sans agent chimique et sans rayonnement. Ce système garantit également une préfiltration moléculaire favorisant la désodorisation et l’épuration des polluants gazeux présents dans la pièce traitée : micro-organismes, virus et bactéries ; particules fines atmosphériques ; allergènes et pollens ; odeurs de transpiration, de fumées... ; Composés Organiques Volatiles (COV).Seuls les dispositifs équipés de filtres HEPA de classe minimale H13 selon la norme EN 1822-1 permettent d’arrêter efficacement les aérosols susceptibles de véhiculer le coronavirus.Chaque unité cPURE est livrée avec son certificat de test individuel justifiant d’une efficacité de filtration supérieure à 99,95% des particules de 0,3 μm.Une décontamination rapide de la pièce en temps réelcPURE est le seul système mobile doté d’un monitoring de la décontamination de la pièce en temps réel qui s’opère rapidement : 100 m2 sont décontaminés en moins de 30 min.Via un écran tactile, intuitif et ergonomique, les courbes de suivi de la décontamination apparaissent en temps réel et mesurent, grâce à des capteurs, le nombre et le type de particules fines présentes dans l’air en fonction de leurs diamètres. Lors de cette opération, la couleur de la bordure de l’écran change et indique l’état de la décontamination et donc celui de la qualité de l’air intérieur. Plus l’air est purifié et plus la courbe décroît.Ce purificateur d’air propose, notamment, une programmation de l’ensemble des paramètres de fonctionnement pour adapter le purificateur au plus près des besoins ainsi que l’affichage de l’état de santé de l’appareil.Les principales caractéristiques du cPURE sont :Equipé d’une régulation rCONNECT, le purificateur cPURE est capable de communiquer sous de nombreux protocoles (HMI via extensions IP, Ethernet via BACnet/IP, OPC, ModBus TCP/IP, sauvegarde USB...) permettant ainsi une supervision optimisée, simple d’utilisation et sécurisée. Performant, sobre et silencieux, l’appareil offre une mobilité aisée car il dispose de 4 roues pivotantes avec frein et une stabilité lorsqu’il est en fonctionnement. Il est équipé d’une prise électrique classique à brancher sur secteur 230 V.« Garantir et respirer un air sain dans un espace clos est synonyme, notamment, de l’allongement de l’espérance de vie, de la réduction des coûts médicaux, d’une amélioration de la bonne humeur et de la productivité. La solution cPure proposée par Venteo, en partenariat avec Eurevia, agit en ce sens en assurant le bien-être et la santé de chaque occupant », conclut Axel Ballion.
Il y a 4 ans et 76 jours

L’Est du quartier Flaubert à Rouen commence sa métamorphose avec un 1er projet de développement urbain durable exemplaire

Véritable projet de reconquête urbaine, cette opération ambitieuse initiée par l’aménageur Rouen Normandie Aménagement et développée par Linkcity Grand Ouest avec ses partenaires TVK, AZ Architectes et OLM Paysages, conjugue excellence environnementale et mixité sociale et intergénérationnelle.Son objectif : contribuer positivement à la qualité de vie du territoire et offrir à l’horizon 2023 un nouveau lieu de vie placé sous le signe du bien-vivre ensemble et de la transition écologique. La première phase des travaux, réalisés par Bouygues Bâtiment Grand Ouest, concerne la création de 256 logements, de 9.000 m² de bureaux, de 300 m² de commerces, de 600m² de restaurants inter-entreprises, organisés autour d’espaces paysagers favorisant la biodiversité et la qualité de vie des habitants.Une grande concertation en cours pour dessiner les contours de la frange Ouest et les abords du futur canal du quartier Rouen FlaubertLa Métropole Rouen Normandie mène depuis octobre 2020 une grande concertation autour de la partie ouest du quartier Flaubert. La population est ainsi invitée à réfléchir sur les évolutions d'un projet majeur qui matérialisera la ville de demain et à imaginer ensemble l’aménagement du futur canal. Plusieurs temps d'échanges et plusieurs outils sont ainsi proposés pour permettre à chacun de donner son avis et proposer des idées. Une occasion de contribuer à l’évolution d’un projet qui doit concilier deux priorités : la résilience (risque technologiques, inondations) et la transition social-écologique.« L’Éveil de Flaubert » : une programmation immobilière à l’Est du quartier Flaubert privilégiant la mixité sociale et intergénérationnelleÀ proximité du centre-ville, “L’Eveil de Flaubert“ qui s’étend sur un site d’1,6 hectare entre l’avenue Jean Rondeaux, et les rues François Depeaux et Niki de Saint-Phalle, bénéficie d’une situation privilégiée proche de la Seine offrant une vue panoramique sur la ville et ses alentours. Point de départ de la reconquête de la ville vers l’Ouest, “L’Éveil de Flaubert” traduit la volonté de la Métropole Rouen Normandie de proposer un modèle de développement urbain durable exemplaire. Confiée à Linkcity Grand Ouest, présent sur le territoire depuis plus de 30 ans, cette opération immobilière d’envergure, l’une des plus importantes de la métropole ces dernières années, synthétise les valeurs de Linkcity : une empreinte écologique réduite, une priorité accordée aux usages à travers l’implication des acteurs locaux et des citoyens, un projet ancré dans son territoire, au service du bien-être et du bien-vivre ensemble, pour contribuer à bâtir la ville de demain.Linkcity et ses partenaires architectes TVK, AZ Architectes et OLM Paysages, ont conçu un nouveau lieu de vie favorisant la mixité : mixité urbaine avec une programmation alliant habitations, bureaux, commerces, services et jardins ; mixité sociale et intergénérationnelle avec une offre de logements comprenant résidence seniors, logements locatifs sociaux, intermédiaires et en accession.Le projet est prévu en 2 phases dont la première, lancée en janvier 2021, se déroulera jusqu’à fin 2023. L’arrivée des 3 grues ce mois-ci lance le gros œuvre de cette première phase. Elle concerne la création de 26.000 m² de plancher :Une résidence seniors de 92 appartements gérés par Réside Etudes ;30 logements locatifs sociaux pour le bailleur social Rouen Habitat ;40 logements locatifs intermédiaires pour CDC Habitat ;94 logements en accession, dont 84 logements en accession libre commercialisés par Sogeprom et iSelection et 10 logements qui seront vendus en accession à prix maîtrisés ;Un bâtiment de bureaux en R+7 d’environ 9 000 m² ;Des commerces situés en rez-de-chaussée des bâtiments.Les jardins de “L’Eveil de Flaubert“Ces différents bâtiments s’organiseront autour de jardins présentant des structures végétales adaptées aux usages et en harmonie avec les espaces publics avoisinants. Fruits d’une réflexion sur la place de la nature en ville et la protection de la biodiversité, ces espaces paysagers, où se retrouveront principalement des essences locales (78 % des arbres plantés seront issus du bassin de la Seine ou de Normandie) seront répartis en 3 typologies d’espaces publics ou privés : la venelle Leila Alaoui, espace public constituant une percée visuelle au cœur du quartier ; le square Martha Graham, mail semi-privé aménagé entre les bâtiments tertiaires et les immeubles de logements. Ceux-ci accueilleront également 2 espaces potagers partagés et des haies de fruits rouges ; et les cœurs d’îlots, jardins intimes et contemplatifs destinés aux habitants. Un système de gestion des eaux pluviales a en outre été pensé pour alimenter en eau les espaces plantés.Une opération visant l’excellence environnementaleLinkcity s’attache à développer des projets contribuant à la transition écologique des territoires afin de coconstruire avec ses clients, ses partenaires et les habitants, des villes saines et durables. “L’Eveil de Flaubert“ illustre cette démarche et fait écho à la volonté de la Métropole de réduire son empreinte écologique et de favoriser l’évolution des comportements et des pratiques. Ainsi, l’ensemble immobilier a été conçu pour répondre à ces enjeux. Pour une performance optimale, diverses solutions techniques seront déployées : l’utilisation de matériaux biosourcés, avec une part importante accordée au matériau bois, des consommations énergétiques optimisées grâce au raccordement des logements à un système de réseau de chaleur urbain métropolitain, et au recours à la géothermie pour les bâtiments tertiaires.Le programme vise en ce sens de multiples labels environnementaux :L’ensemble des bâtiments, de logements et tertiaires, ambitionnent d’atteindre le niveau de performance BEPOS Effinergie 2017 et E3 du label Energie Carbone, en avance sur les réglementations en vigueur.Ces labels attestent de performances exemplaires en matière de sobriété et d’efficacité énergétique, avec des exigences renforcées sur la conception bioclimatique et les consommations énergétiques ; de qualité et de confort.Les bâtiments tertiaires visent en outre le label BBCA, qui atteste de l’exemplarité de la démarche de réduction de l’empreinte carbone ;L’immeuble tertiaire de la première phase ambitionne également d’obtenir la certification BREEAM niveau VERY GOOD, certification la plus utilisée en Europe et reconnue à l’international.Enfin, Linkcity Grand Ouest a opté pour ce projet pour la labellisation environnementale de Bouygues Construction baptisée TOPSITE. Issue de réglementations nationales exigeantes, ce label garantit une exécution des travaux, réalisée par Bouygues Bâtiment Grand Ouest, dans le plus grand respect de la sécurité des personnes, de l’environnement et des riverains (gestion optimale des eaux et des déchets, réduction des nuisances acoustiques et vibratoires, propreté du chantier et de ses abords, etc). Les riverains seront également avertis en cas de perturbation.Focus sur le développement de la filière bois localeIllustrant une véritable synergie entre la Métropole Rouen Normandie, Linkcity, le pôle d’expertise WeWood de Bouygues Bâtiment France Europe, les équipes de Bouygues Bâtiment Grand Ouest et de Manubois, un projet pilote va être déployé sur le premier bâtiment tertiaire de “L’Eveil de Flaubert“. Celui-ci consiste en la mise en œuvre d’une innovation constructive : du bois lamellé collé de hêtre en structure fabriqué à partir de hêtre local par Manubois, filiale du groupe Lefebvre, implantée aux Grandes Ventes(76). L’entreprise s’approvisionne essentiellement dans les forêts de Seine Maritime, exploitant des ressources dans un rayon de 50 km environ. Environ 70 poteaux, soit 36 m3 de hêtre lamellé collé, seront mis en œuvre sur ce bâtiment tertiaire de 9 000 m2, en support des planchers en béton. Fabriqué par Manubois à partir de bois de hêtre local, ce projet permet de développer l’usage des matériaux biosourcés et de structurer la filière bois locale, tout en ouvrant la voie à de nouvelles méthodes constructives.
Il y a 4 ans et 76 jours

Photowatt, spécialiste du photovoltaïque et filiale EDF, suscite l’inquiétude en Isère

"Si on abandonne maintenant, c'en est fini du savoir photovoltaïque en France," a déclaré à l'AFP Emilie Brechbuhl, ingénieure et déléguée syndicale CFE-CGC, comprenant qu'EDF veut "se désengager" de Photowatt et de ses 215 salariés.Rachetée par EDF en 2012 et symbole d'une production locale pour les énergies renouvelables, Photowatt n'a pas atteint l'équilibre depuis. Une réorganisation menée par EDF en 2018 avait conduit l'entreprise à maintenir en France la production de plaques de silicium uniquement, l'assemblage des panneaux étant délocalisé en Chine.En novembre, la remise en cause d'un critère d'émission carbone dans le choix des panneaux solaires en France a alerté des salariés."On a gratté, et on s'est rendu compte qu'EDF voulait se désengager" de Photowatt, a poursuivi Mme Brechbuhl, regrettant que l'électricien ne choisisse pas le producteur français pour un récent appel d'offres de panneaux solaires.EDF "cherche la meilleure solution pour Photowatt et ses salariés", a pour sa part assuré l'entreprise, "c'est ce à quoi on s'attelle aujourd'hui" via notamment des "partenariats industriels". Elle assure avoir réalisé 360 millions d'euros d'investissement depuis la reprise en 2012.De son côté, le ministère de l'Economie estime que l'activité de l'entreprise n'est pas le coeur de métier d'EDF, et confirme qu'il privilégie le scénario d'une reprise pour assurer l'avenir du site.Le maire LR de Bourgoin-Jallieu Vincent Chriqui et le Comité social et économique (CSE) de Photowatt confirment que des discussions "sont en cours" entre EDF et ECM Technologies, une entreprise grenobloise de fours industriels, pour une éventuelle reprise.Une perspective qui n'est pas souhaitée par de nombreux salariés, préférant le patronage d'EDF."Photowatt a besoin d'un grand groupe avec une assise financière qui permette de supporter les pertes jusqu'à l'équilibre", a indiqué à l'AFP Barbara Bazer-Bachi, ingénieure élue au CSE, estimant qu'avec des investissements importants, l'entreprise pourrait être rentable."Il faut continuer à investir dans l'appareil de production", a plaidé en ce sens M. Chriqui, qui ajoute que des discussions étaient également en cours avec la région Auvergne-Rhône-Alpes.Samedi, des élus locaux de gauche s'étaient rassemblés devant les locaux de l'entreprise pour soutenir les salariés."Avec le Covid, on a parlé de réindustrialiser l'Europe, de transition énergétique, de loi climat... Et là, on existe, et depuis dix ans, on ne met pas les moyens nécessaire pour Photowatt ?", s'est encore interrogée Mme Bazer-Bachi.
Il y a 4 ans et 76 jours

Tendance déco : les poignées satinées HOPPE pour portes et fenêtres

La possibilité d'équiper toutes les menuiseries intérieures et extérieures d'un habitat avec ces 4 finitions :Fort de son savoir-faire depuis 1952 et de ses innovations reconnues sur le marché, HOPPE, leader européen de la fabrication de poignées de porte et de fenêtre, propose ces finitions dans 3 lignes de poignées (Amsterdam inox, Dallas laiton et Los Angeles laiton) avec :Des poignées pour porte intérieure et menuiserie alu qui bénéficient du mécanisme de blocage carré à montage rapide de HOPPE. Cette innovation brevetée permet de monter les poignées de façon durable, en un seul geste, sans outil ni vis pointeau !Des poignées de fenêtre Secustik® avec un mécanisme de verrouillage intégré qui protège contre les attaques de la ferrure de fenêtreDes poignées coulissants-levants et coulissants à translation pour baie vitréesDes poignées battantesDes sets pour porte coulissanteUne garantie de surface Resista® de 10 ans pour les finitions satinéesLa haute qualité de ces finitions Resista® est conservée longtemps, même en cas d‘utilisation intensive ou dans des conditions climatiques difficiles. Elles bénéficient en effet de la garantie de surface Resista® de 10 ans, sont soumises à des contrôles de qualité permanents et remplissent les exigences de la norme européenne EN 1670.La qualité allemande depuis 1952Tous les produits de la marque HOPPE bénéficient de 10 ans de garantie sur leur fonctionnement mécanique et sont de fabrication européenne.Pour en savoir plus, consultez le site HOPPE : https://www.hoppe.com/fr-fr/
Il y a 4 ans et 76 jours

Wizzcad remporte l'appel à projets d'Elogie-Siemp mené en partenariat avec Impulse partner

Elogie-Siemp, 3ème bailleur social de la Ville de Paris, gère un patrimoine de près de 29.000 logements à Paris et en banlieue. Dans le cadre de son Plan Climat, Elogie-Siemp a lancé en partenariat avec Impulse Partners, accélérateur de start-up, un appel à solutions destiné à identifier des innovations permettant de meilleurs échanges, une meilleure conception, puis une meilleure gestion des chantiers en milieu occupé dans les logements de son parc immobilier.Wizzcad a rempli tous les critères pour convaincre Elogie-Siemp et remporter l'appel d'offres. En effet, Wizzcad est aujourd'hui le seul acteur disposant d'une technologie permettant la gestion des relations locataires lors de la rénovation de logements occupés. Dans un premier temps, un projet pilote va être mis en place sur une opération de réhabilitation globale avant une éventuelle utilisation plus large de la solution au sein de la société.« En France, 31% des locataires sont insatisfaits de la prise en compte de leurs demandes pour les réparations, questions et aménagement par leur bailleur. Une bonne communication entre les différentes parties-prenantes et essentielle tout au long des opérations de réhabilitation. Et aujourd'hui, Wizzcad est la seule solution à offrir un module dédié à la communication et à la satisfaction des locataires. Remporter cet appel à projets auprès d'un bailleur de référence en France est une belle reconnaissance pour notre plateforme collaborative et nous en sommes ravis ! »Cyril Perrin, CEO & Co-Founder de WizzcadL'attribution de l'appel à projets à Wizzcad prouve une nouvelle fois l'intérêt de sa technologie sur le marché du Smart Building, et en particulier pour les bailleurs. A ce jour, et en l'espace de trois ans seulement, Wizzcad a déjà opéré sur une centaine de chantiers différents de réhabilitation de milieux occupés et plus de 30 000 logements. Confrontés aux impératifs de lutte contre les logements énergivores (« passoires thermiques »), les bailleurs sont de plus en plus demandeurs de solutions fluidifiant et simplifiant l'ensemble des collaborations propriétaires - locataires - entreprises sur les chantiers de rénovation.
Il y a 4 ans et 76 jours

Covid-19: Elisabeth Borne est sortie de l'hôpital

"Sortie de l'hôpital à l'instant, je suis soulagée. Merci au personnel soignant qui m'a accompagnée pendant ces jours difficiles pour leur travail formidable et à vous tous pour vos messages de soutien. J'ai une pensée pour nos concitoyens qui luttent en ce moment contre ce virus", a-t-elle indiqué sur Twitter.Cette annonce survient alors que le même jour, l'entourage de sa collègue Roselyne Bachelot, ministre de la Culture, a fait savoir que celle-ci était hospitalisée, ajoutant que son "état est stable et n'inspire pas d'inquiétudes". La ministre de 74 ans avait annoncé samedi sur Twitter avoir été testée positive "à la suite de symptômes respiratoires".Elisabeth Borne avait de son côté annoncé le 14 mars sur le même réseau social avoir été testée positive au Covid-19, tout en indiquant qu'elle continuerait d'exercer ses fonctions à distance.Née le 18 avril 1961, elle est chargée depuis juillet 2020 du lourd dossier du Travail, de l'Emploi et de la Formation, à l'heure de la crise du Covid-19.Auparavant, dans les gouvernements d'Edouard Philippe, elle avait géré le portefeuille des Transports, puis remplacé François de Rugy comme ministre de la Transition écologique et solidaire en juillet 2019.
Il y a 4 ans et 76 jours

Stéphane Thebaut qui présentait "La maison France 5" déménage sur C8

Le nouveau magazine, "M comme maison", sera diffusé chaque vendredi en première partie de soirée, à partir du 16 avril, selon un communiqué de C8.Stéphane Thebaut va ainsi retrouver la case fétiche de "La maison France 5", l'émission emblématique de déco et d'architecture intérieure qu'il animait le vendredi soir sur France 5 depuis 2003 (et qui s'appelait "Question Maison" jusqu'en 2010).Fin 2020, France Télévisions avait annoncé l'arrêt du magazine pour des raisons économiques.France 5 diffuse désormais des programmes culturels le vendredi soir.
Il y a 4 ans et 76 jours

Le Livret A réalise une collecte record pour un mois de février

Le précédent record pour le deuxième mois de l'année était de 2,4 milliards placés sur ce produit phare, en février 2009, année durant laquelle la commercialisation du Livret A avait été ouverte à l'ensemble des établissements bancaires.Avant 2009, seules La Banque Postale et le réseau des Caisses d'épargnes distribuaient ce produit."En temps normal, le deuxième mois de l'année est moyen pour le Livret A.Lors de ces dix dernières années, il a enregistré trois décollectes en février", a réagi dans une note Philippe Crevel, directeur général du Cercle de l'épargne, cabinet de réflexion sur l'épargne et sa fiscalité."Dans un contexte de restrictions sanitaires, les ménages sont toujours en mode 'épargne forcée' dont bénéficie le Livret A en premier lieu. Le couvre-feu en vigueur en février avec la fermeture des bars, des restaurants et de nombreux lieux de loisirs pèse par définition sur la consommation. En outre, la situation économique et sociale demeurant incertaine, les Français donnent la préférence à la sécurité et à la liquidité", ajoute M. Crevel.Ce livret affiche ainsi une collecte nette cumulée de plus de neuf milliards d'euros déjà sur les deux premiers mois de l'année, contre environ cinq milliards sur la même période en 2020.Considéré comme un placement refuge, le Livret A, qui garantit pourtant un taux d'intérêt historiquement faible de 0,5% par an, a connu en 2020 un succès historique, avec une collecte près de deux fois supérieure à la normale, à plus de 26 milliards d'euros, dans le contexte d'incertitudes économiques et sanitaires liées au Covid-19.De son côté, le Livret de développement durable et solidaire (LDDS) a également connu un mois de février dynamique, avec 910 millions d'euros collectés, soit presque trois fois plus que lors du même mois en 2020.Le Livret A finance essentiellement le logement social, tandis que le LDDS est dédié à l'économie sociale et solidaire ainsi qu'aux économies d'énergie dans les logements.Ainsi, la collecte enregistrée par le Livret A et le LDDS réunis s'est montée en février à presque 3,8 milliards d'euros, là aussi un niveau record pour ce mois. Et sur la période janvier-février, cette collecte se monte à près de 11 milliards.À fin janvier, près de 460 milliards d'euros étaient placés au total sur les deux, soit une hausse d'environ 10% sur un an.Pour Philippe Crevel, "le Livret A et le LDDS devraient continuer d'enregistrer des collectes importantes dans les prochains mois en raison du maintien des restrictions sanitaires. Une décollecte ne pourra intervenir qu'en cas de retour à la normale, escompté à la fin du deuxième trimestre et plus sûrement au second semestre. Il est néanmoins peu probable que les Français réduisent rapidement leur épargne 'Covid'".
Il y a 4 ans et 76 jours

Rénovation urbaine: ces banlieues à la recherche d'un centre-ville

Au pied de la mairie de Bobigny (Seine-Saint-Denis), au milieu des tours de logements sociaux, les pelleteuses abattent les derniers vestiges du vieux centre commercial à l'allure d'entrepôt qui accaparait depuis les années 1970 le cœur de cette ville-préfecture populaire.D'ici 2023, cette galerie marchande, ou "boîte à chaussures", doit laisser place à un quartier flambant neuf aux larges rues piétonnes à ciel ouvert.Elles offriront aux 50.000 Balbyniens une multitude de commerces de proximité, un cinéma de six salles, des bancs à l'ombre des arbres et des fontaines rafraîchissantes. A l'échelle locale, une petite révolution urbaine."C'est important d'avoir un endroit où vous ne faites rien du tout. Vous vous retrouvez, vous vous asseyez sur les bancs. Les ados se retrouvent, zonent ici. C'est le rôle d'un centre-ville", explique à l'AFP l'architecte Pierre Alain Trévelo, dont l'agence TVK a conçu ce nouveau quartier.Jusqu'ici à Bobigny, une commune rurale qui s'est transformée à la faveur de l'explosion urbaine et démographique après la Seconde guerre mondiale, "il n'y avait pas de centre-ville", rappelle Benjamin Dumas, le directeur de cabinet du maire (PCF) Abdel Sadi. "Le lieu pour se retrouver, c'était la dalle."Le chantier s'inscrit dans l'effort de renouvellement et de revitalisation au long cours du centre de la ville, où se côtoient cités montées sur des dalles surélevées et bâtiments administratifs.Revitaliser le centre-villePensé selon l'architecture moderne et politique de l'époque, le quartier a surgi de la campagne au tournant des années 1960-1970 pour intégrer une importante population ouvrière dans cette ville traditionnellement communiste et répondre à la crise du logement. Mais, un demi-siècle plus tard, ce modèle a mal vieilli et est de plus en plus contesté.Sans faire dalle rase du passé, Bobigny cherche toutefois depuis une vingtaine d'années à adapter son urbanisme.La municipalité veut ramener au niveau du sol la circulation des piétons, qui se faisait en hauteur sur les dalles ou passerelles, et créer une continuité nouvelle dans le tissu urbain.L'une des cités a vu sa dalle démolie et deux tours abattues, pour l'ouvrir sur le reste de la commune. Une autre devrait voir une partie de ses dalles disparaître. C'est au milieu de cet ensemble que doivent s'insérer les nouvelles rues commerçantes.L'ancien centre-ville "n'était plus adapté, notamment à cause de la voiture, de la confiscation du rez-de-chaussée", estime M. Trévelo. "Il fallait redonner la primauté au piéton et chercher à faire une pièce fédératrice de tout ce qu'il se passe autour".Vingt ans de travauxDe l'autre côté de l'Ile-de-France, Evry-Courcouronnes tient un raisonnement similaire. La mairie compte démolir une partie de sa dalle de centre-ville et réaménager le quartier. Un chantier d'au moins vingt ans.Le chef-lieu de l'Essonne est né de la fusion récente de Courcouronnes et d'Evry, une ville nouvelle des années 1960 imaginée autour d'une dalle et d'un gigantesque centre commercial qui occupe près de la moitié du coeur de la ville, à une époque où la voiture était reine."L'habitant moyen de l'Essonne qui vient une fois à Evry, il arrive dans un parking sombre et dégueulasse, il sort par un escalier qui sent l'urine et arrive sur une dalle", soupire le maire Stéphane Beaudet (ex-LR).Malgré la concentration dans cette zone des services essentiels aux 70.000 habitants (université, tribunal, préfecture, centre sportif, poste...), l'inhospitabilité des lieux les dissuadent de s'y attarder.Selon des études menées pour le projet, explique l'élu, une personne flânant dans un agréable centre-ville de province marche au maximum à 3 km/h.A Evry, la vitesse de déplacement moyenne d'un piéton est de 5-6 km/h."La sauce ne prend pas", constate l'architecte Xavier Lauzeral, qui travaille sur la réhabilitation du centre d'Evry, "les échanges qui ont été imaginés entre les différentes fonctions commerciales et urbaines ne se sont pas produits".Sur place, les commerçants ne sont pas tous informés des travaux en gestation, qui devraient débuter dans quelques années, mais en comprennent l'utilité. "Ce n'est pas très vivant comme centre, à part les banques et les restos, il n'y a pas de boutiques. On n'a qu'une clientèle de bureau mais ça serait bien de pouvoir se diversifier", témoigne Sandrine Chareunphol, qui y tient un restaurant.Pour Xavier Lauzeral, il faut "revenir sur les fondements et la conception initiale de la ville" et surtout attendre que les habitants s'approprient leur nouveau centre. Les villes nouvelles savent que Rome ne s'est pas faite en un jour.
Il y a 4 ans et 76 jours

Le risque de concentration guette le secteur de la rénovation énergétique selon une étude

Un soutien public massif…La rénovation énergétique des logements est une « priorité nationale » du gouvernement et les moyens mis sur la table sont colossaux. 2 milliards d'euros supplémentaires seront injectés en 2021 et 2022 pour soutenir la rénovation thermique des bâtiments dans le cadre du plan France Relance. Cette nouvelle mesure, annoncée en septembre 2020, s'ajoute à l'arsenal déjà en place : plan de rénovation énergétique des bâtiments qui vise 500.000 rénovations par an, transformation du crédit d'impôt en prime (MaPrimeRénov) avec un budget rehaussé et un périmètre élargi…En parallèle, la 5ème période des CEE commencera en 2022 avec des objectifs en hausse. Ce dispositif est apprécié des pouvoirs publics car il ne leur coûte rien, tout le financement reposant sur les fournisseurs d'énergie et surtout leurs clients.… Insuffisant pour tenir les objectifsLe gouvernement souhaite notamment « le renforcement du soutien à la rénovation globale » et l'éradication des passoires thermiques à l'horizon 2030. Ces engagements sont structurants pour la filière de la rénovation énergétique car ils supposent de s'attaquer à deux problématiques lourdes : le financement et la constitution d'offres globales.Car une rénovation énergétique coûte cher et même avec les aides, le reste à charge est élevé. C'est même le principal frein à la rénovation. La situation concernant le reste à charge ne va pas changer à moyen terme, d'autant que le contexte économique très dur va aggraver le problème. L'impact économique de la crise sanitaire, qui s'éternise malgré le lancement de la compagne de vaccination, va se faire sentir longtemps. Les ménages risquent de faire preuve d'attentisme en 2021, voire au-delà, en reportant, quand ils le peuvent, leur projet de travaux.Les seules parades sont d'augmenter les aides. Les finances publiques le permettront-elles? Pas sûr. En revanche, les objectifs en hausse des CEE se traduiront peut-être par une augmentation du niveau des primes. En l'état, l'objectif de 500.000 logements rénovés par an à moyen terme semble peu probable. Atteindre 400.000 rénovations annuelles d'ici 3 ans serait déjà une bonne performance.L'autre difficulté à résoudre pour les acteurs du marché est de constituer une offre globale, simple et lisible, intégrant notamment audit énergétique, financement et réalisation des travaux.La bataille du leadMême si le marché de la rénovation énergétique ne tient pas toujours ses promesses, c'est un terrain de jeux pour une multitude de prétendants d'horizons divers. Fournisseurs d'énergie, fabricants de matériaux et d'équipements, négociants, enseignes de bricolage, délégataires ou encore courtiers en travaux, tous ont un objectif commun : être le point de contact des consommateurs. C'est le nerf de la guerre car il est synonyme de captation d'une part importante de la valeur.Mais la concurrence est très vive et le paysage proche de la saturation. Dans cet écosystème très atomisé, et durement touché par la crise sanitaire, tout pousse à une accélération de la concentration du secteur comme l'illustrent, par exemple, les rachats de Mychauffage. com par EDF ou Economie d'Energie par le groupe La Poste…Pour en savoir plus sur cette étude : www.lesechos-etudes.fr
Il y a 4 ans et 77 jours

Près de 400 organisations se mobiliseront pour une vraie Loi Climat le dimanche 28 mars

Alors que le projet de loi est très loin d'atteindre l'objectif de 40% de réduction d'émissions de gaz à effet de serre inscrit dans la feuille de route de la Convention Citoyenne pour le Climat, et encore moins le nouvel objectif européen de -55%, plus de 400 organisations (un record) se mobilisent pour dénoncer un projet de loi qui n'est pas à la hauteur de l'Histoire. D'Alternatiba à la CFDT, de Greenpeace à Makesense, en passant par de nombreuses personnalités comme Cyril Dion, Yann Arthus-Bertrand, ou encore l'actrice Lucie Lucas, les appels à mobilisation s'intensifient.“Chaque jour qui passe sans que nous ne faisons rien aggrave le dérèglement climatique et nos conditions de vie sur Terre : malgré la pandémie mondiale, 2020 a été l'année la plus chaude jamais enregistrée. Aucune mesure ambitieuse n'a été prise sous le quinquennat d'Emmanuel. Macron, et ce dernier texte législatif concernant l'environnement le confirme une fois de plus.” explique Elodie Nace, porte-parole d'Alternatiba.Tous les observateurs sont unanimes : les 150 membres de la Convention citoyenne pour le Climat, d'abord, qui ont attribué une note de 2,5/10 à l'action gouvernementale en réponse à leurs propositions. De nombreuses organisations ensuite, tout comme le Conseil national de la transition écologique, le Conseil économique, social et environnemental ou encore le Haut Conseil pour le Climat, ce dernier jugeant que l'Etat s'engage dans des délais “manifestement incompatibles avec le rythme attendu de l'action contre le changement climatique”.“J'ai traversé cette Convention avec, à l'esprit, l'amour pour mes enfants et petits-enfants, leur avenir dans un monde habitable, sûr, et socialement juste. Rejoignez-nous dans la rue pour réclamer un projet de loi à la hauteur de la crise climatique qui s'annonce, et donner ainsi un avenir à ceux qui viennent après nous”, rappelle Guy Kulitza, membre tiré au sort de la Convention citoyenne pour le ClimatLe gouvernement, qui a pourtant été reconnu coupable d'inaction climatique à deux reprises récemment, a mis de côté ou considérablement amoindri les propositions de la Convention citoyenne pour le climat que cette loi était censée reprendre. En ce sens, Emmanuel Macron a trahi sa parole donnée aux citoyen·nes de la Convention Citoyenne pour le Climat, et confirme le bilan très faible de son quinquennat sur le plan environnemental.“La Convention Citoyenne pour le Climat est un exercice démocratique inédit qui a permis à 150 citoyens, représentatifs de la société française, de se former et de trouver des consensus pour proposer un socle minimum pour une autre société plus résiliente et respectueuse du vivant. Ne pas respecter leur travail aujourd'hui est un déni de démocratie.” rappelle Magali Payen, d'Onestprêt.Car le gouvernement a usé de tous les stratagèmes possibles pour empêcher les députés d'améliorer le texte : passage en procédure accélérée, temps législatif programmé réduisant les débats au maximum, article 45 de la Constitution interprété de manière stricte (44% des amendements déposés ont été déclarés irrecevables, le plus haut taux de tout le quinquennat). Les lobbys, qui n'avaient pas pu agir directement sur le processus de la CCC, ont également tout mis en oeuvre pour affaiblir le texte, menant à des situations ubuesques comme le débat sur l'aide à l'achat de véhicules neufs pour les ménages précaires évacué en 10 minutes après une heure et demi de débats sur l'admission des voitures de collection dans les Zones à Faibles Emissions.Dans le cadre des nouvelles mesures sanitaires, il est à noter que les mobilisations sont bien maintenues partout en France, les rassemblements en extérieur demeurant autorisés. A Paris, le rendez-vous est donné place de l'Opéra à 14h. Le cortège festif se dirigera jusqu'à la Place de la République.
Il y a 4 ans et 77 jours

Amiante: la Cour de cassation valide la reprise de l'enquête sur l'entreprise Everite

Les familles de victimes se battent pour obtenir un procès contre les responsables de cette entreprise de Dammarie-les-Lys (Seine-et-Marne).Dans une ordonnance datée du 8 mars, consultée par l'AFP, le président de la chambre criminelle de la Cour de cassation a décidé qu'il n'y avait "lieu d'admettre, en l'état, le pourvoi du procureur général près la cour d'appel de Paris" dans le dossier du site d'Everite à Dammarie-les-Lys (Seine-et-Marne). Il a estimé que "ni l'intérêt de l'ordre public, ni celui d'une bonne administration de la justice" ne commandait l'examen de ce dernier pour l'instant. Avec ce pourvoi, le parquet général s'opposait à un arrêt de la cour d'appel de Paris du 20 janvier infirmant le non-lieu rendu en décembre 2018 par les juges chargés de l'enquête sur cette filiale de Saint-Gobain. Dans cet arrêt, la cour d'appel avait en effet renvoyé le dossier aux magistrats instructeurs pour qu'ils reprennent leurs investigations en vue d'éventuelles mises en examen de responsables de l'entreprise. S'appuyant sur une interprétation juridique inédite dans l'histoire de ce scandale sanitaire vieux de plus de vingt ans, la cour d'appel estimait que l'exposition de ces salariés à l'amiante pouvait être imputée à ces responsables. Elle prenait le contrepied d'une analyse établie en 2017 par les juges d'instruction et le parquet du pôle santé publique du tribunal de Paris, selon laquelle il serait impossible de déduire avec précision le moment de l'exposition des salariés à cette fibre cancérogène, et celui de leur contamination, et par conséquent d'établir les responsabilités pénales de tel ou tel dirigeant. Depuis lors, une quinzaine d'affaires, liées au scandale de l'exposition à ce matériau interdit en France en 1997, avaient pris ou devaient prendre le chemin d'un non-lieu. Dans un communiqué, l'Association nationale de défense des victimes de l'amiante (Andeva) se réjouit de cette "nouvelle victoire pour les victimes", et demande aux juges du pôle santé publique du tribunal de Paris "de reprendre sans délai l'instruction du dossier pénal de l'entreprise Everite", soulignant que beaucoup de responsables avaient déjà disparu. Elle a aussi demandé que la cour d'appel de Paris examine au plus vite les appels formés dans d'autres dossiers liés à l'amiante qui s'étaient aussi conclus par des non-lieux des juges d'instruction. Michel Parigot, un responsable d'une autre association de défense des victimes de l'amiante, l'AVA, a toutefois estimé que cette décision ne permettrait pas d'avoir un grand procès sur "l'affaire de l'amiante". "Ce que l'on pourra juger, ce sont de simples affaires d'hygiène et de sécurité, mais pas des responsables nationaux" de ce scandale, a-t-il déclaré à l'AFP. La raison pour laquelle l'AVA veut déposer une citation directe visant les responsables nationaux de la catastrophe sanitaire de l'amiante. Cette procédure, annoncée depuis deux ans mais toujours pas engagée, permet de saisir directement le tribunal sans passer par une instruction pénale, à charge pour les plaignants de collecter et de présenter les éléments de preuve à l'audience.
Il y a 4 ans et 77 jours

Sto fait la différence avec une nouvelle bande coupe-feu 30% plus légère

Pour rappel, il est obligatoire de placer des bandes de recoupement minérales en laine de roche entre chaque étage et en départ d’ETICS lorsque du polystyrène expansé est posé sur des bâtiments de 3ème famille (jusqu’à 28 m) et ERP du 1er groupe à partir de R+2.Confort de pose et gain de productivitéSto est sensible au bien-être de ses clients, et leur confort et leur sécurité font partie de ses priorités. Pour cela, le spécialiste de la façade - isolation thermique par l’extérieur (ITE), produits techniques et d’embellissement des façades, bardage ventilé - a mis au point Sto-Speedlamelle Typ II Plus.Plus légère de 30 % qu’une bande coupe-feu traditionnelle, elle rend la manipulation sur le chantier plus facile et réduit ainsi la pénibilité.Et pour un gain de temps et une meilleure adhérence de la couche de base, elle est pré-imprégnée d’un primaire sur ses deux faces.Cette nouvelle bande coupe-feu s’applique exclusivement en systèmes ITE à base de sous-enduit en poudre (StoTherm Vario) et de polystyrène Sto avec technologie Innopearls (PSE gris Sto-Panneau Top31 et PSE blanc PS15),pour des épaisseurs de 100 à 200 mm.La méthode de pose de cette bande coupe-feu se fait conformément au CPT 3714 : collage en plein au moyen d’un mortier colle hydraulique de Sto,fixation mécanique au support avec un minimum de deux chevilles par bande et un entraxe de 500 mm maximum.Ces dernières sont mise en œuvre à cœur ou à fleur de la bande de laine de roche ;une armature complémentaire débordant de 150 mm de part et d’autre de la bande coupe-feu sur le PSE est également à appliquer.Une exclusivité Sto validée par un essai LEPIR« Exclusive à Sto, Sto-Speedlamelle Type II a été validée par un essai LEPIR dans le cadre de notre système StoTherm Vario et StoTherm Brick PSE », précise Julien Velar, chef produits ITE de Sto.Elle affiche un classement feu A1 et est conforme à la norme EN 13501-1.Sa conductivité thermique λD est de 0.039 W / (m*K)Cette nouvelle bande coupe-feu vise plus spécifiquement les bâtiments d’habitation collectifs de 3ème famille et les bâtiments recevant du public(ERP) du 1er groupe soumis à l’IT 249.Toutes les configurations sont décrites au sein du nouveau guide de préconisation ETICS-PSE : https://www.sto.fr/fr/services/newsdetailview_82752.html
Il y a 4 ans et 77 jours

Le courtier Meilleurtaux acquiert l'assureur en ligne Active Assurances

"Jusqu'à présent, nous n'étions présents sur l'assurance-auto et l'assurance santé qu'en tant que pur comparateur. Avec ce rachat, nous allons pouvoir vendre, émettre et opérer la gestion de contrat sur ces métiers. C'est une nouvelle activité pour le groupe", a expliqué Guillaume Autier.Le montant de l'opération n'a pas été dévoilé mais selon le quotidien économique, la valorisation d'Active Assurances serait supérieure à 150 millions d'euros.C'est la plus grosse acquisition pour le groupe, qui avait racheté en 2017 l'assureur Assurea, et au début du mois le courtier spécialisé dans l'épargne Mes-Placements.fr. "Avec cette opération, notre palette de services financiers est enfin complète", a assuré M. Autier dans les Echos. Meilleurtaux est passé en octobre sous le contrôle du fonds d'investissement américain SilverLake, qui a pris une participation majoritaire pour un montant compris entre 700 et 800 millions d'euros, selon une source proche du dossier. Le groupe affirmait alors avoir engrangé un chiffre d'affaires consolidé supérieur à 200 millions d'euros en 2019, soit le double de son niveau de 2016. Il revendiquait également avoir enregistré en 2019 plus de 90 millions de visites sur ses sites internet et "intermédié près de 10 milliards d'euros de crédits immobiliers".
Il y a 4 ans et 77 jours

Manubois et Bouygues Bâtiment France Europe expérimentent une solution constructive innovante en hêtre lamellé-collé

Dans cette transition vers la neutralité carbone, les synergies se multiplient entre les acteurs de la construction et de l’immobilier et ceux de la filière bois, pour faire écho aux engagements du plan “Ambition Bois Construction 2030”, et notamment investir en Recherche & Développement, développer l’offre en bois français et soutenir l’économie des territoires. Ce sont les enjeux auxquels répondent Bouygues Bâtiment France Europe, qui ambitionne de faire de 30% de ses ouvrages des projets bois d’ici 2030, et Manubois, filiale du groupe Lefebvre, qui renouvelle les modes constructifs bois avec le lancement de bois lamellé-collé structurels en hêtre. Les deux entreprises vont expérimenter cette innovation technique dès l’été 2021 sur un projet tertiaire construit à Rouen par Bouygues Bâtiment Grand Ouest et développé par le promoteur Linkcity.Le hêtre fait son entrée sur le marché de la constructionSi la construction bois connaît un fort développement, boostée par les innovations techniques et encouragée par les pouvoirs publics, elle a majoritairement recours aux bois résineux, au coût généralement inférieur, mais qui représentent moins de 30% de la forêt française et sont donc largement importés d’Europe du Nord et de l’Est pour faire face à une demande croissante. Or les bois feuillus constituent plus de 70% de la surface forestière française, le hêtre étant la deuxième ressource après le chêne. Cette essence plébiscitée dans le domaine de l’ameublement etdes menuiseries intérieures, se distingue par une densité et une résistance mécanique remarquables qui laissent entrevoir de belles perspectives pour la construction bois.C’est le pari que fait Manubois, filiale du groupe Lefebvre spécialisée dans la seconde transformation du bois, qui produit du bois lamellé-collé abouté (LCA), principalement en hêtre, depuis 30 ans. L’entreprise normande se lance dans la production de hêtre lamellé collé pour un usage en structure. Ses process et outils industriels ont dû être adaptés à la fabrication de BLC de grandes dimensions, pour la réalisation de poteaux et poutres. Manubois a obtenu la certification “CTB” bois lamellé collé à base de hêtre pour un usage en “structure” délivrée par le FCBA, qui atteste de la fiabilité, de la qualité et de la performance de cette solution. La caractérisation du produit par l’institut FCBA a permis de mettre en lumière ses propriétés mécaniques - une densité et une résistance nettement supérieures à celles des résineux - qui en font une alternative durable au béton et au métal pour les fortes charges.Une innovation prometteuse pour la construction bois et biosourcéeHormis les atouts écologiques du bois - un matériau naturel, renouvelable et recyclable relevant de la filière sèche, et sa capacité à stocker le carbone (1 m3 de bois stocke environ 850 kg de CO2) - cette innovation présente de nombreux avantages pour la construction. Elle contribue au développement du bois français et même local : Manubois s’approvisionne essentiellement dans les forêts de Seine Maritime, exploitant des ressources dans un rayon de 50 km environ. Elle favorise ainsi les circuits courts, impactant positivement le bilan carbone de ses activités. De plus, “avec cette solution dédiée à la construction, nous utilisons des bois aujourd’hui peu ou mal valorisés, parce qu’ils comportent des nœuds par exemple, et contribuons ainsi à la bonne gestion des forêts” souligne Maxime CASTEL, Prescripteur Hêtre structurel chez Manubois.Le BLC+ Hêtre se distingue en outre par ses qualités esthétiques : composé de petites lamelles, il présente une homogénéité et un aspect de surface très qualitatifs, ainsi qu’une teinte claire et chaleureuse. Ces qualités alliées à sa résistance élevée permettent de mettre en œuvre des sections beaucoup plus fines, ce qui constitue un atout architectural et offre un précieux gain d’espace au sol dans les bâtiments. Cette finesse génère enfin des économies de matière qui, ajoutées à un bilan carbone réduit, compensent le surcoût de la transformation par rapport à celle des essences résineuses.Une dynamique partenariale pour accélérer l'essor du bois dans la constructionEngagé au quotidien pour bâtir un cadre de vie durable, Bouygues Bâtiment France Europe a fait de la construction bois l’une de ses priorités avec l’objectif de faire de 30% de ses ouvrages des projets bois d’ici 2030. Cette ambition est illustrée par la démarche WeWood et la création d’un pôle d’excellence bois constitué de 30 ingénieurs experts offrant conseil, expertise et formation à l’ensemble de ses équipes. Mais aussi par le club de partenaires et les solutions WeWood, pour faire émerger collectivement des innovations et les concrétiser dans les projets développés par toutes ses filiales. C’est dans cette logique de co-construction que Bouygues Bâtiment France Europe accompagne Manubois dans le développement de son innovation BLC+ Hêtre.« Notre stratégie est pragmatique, » explique Fabrice Denis, Directeur Stratégie Construction Bois –Bouygues Bâtiment France Europe, « mettre du bois partout où l’on peut, en capitalisant sur un pôle d’excellence, les atouts innovants des solutions bois, la formation et un club des partenaires ! »Un premier bâtiment tertiaire démonstrateur à RouenUne première expérimentation est ainsi prévue à Rouen, dans le cadre d’un ambitieux projet de renouvellement urbain, celui du quartier “L’éveil de Flaubert”, développé par Linkcity et dont le chantier sera réalisé par Bouygues Bâtiment Grand Ouest. Cette vaste opération mixte et intergénérationnelle est également la plus grosse opération tertiaire de la métropole, avec deux bâtiments de bureaux d’une superficie totale de 16 500 m². Un premier bâtiment tertiaireR+7, d’une superficie de planchers de 9 000 m² devrait sortir de terre entre mars 2021 et mars 2023 dans ce quartier situé en bordure de Seine. Environ 70 poteaux, soit 36 m³ de hêtre lamellé collé, seront mis en œuvre sur ce bâtiment, en support des planchers en béton.Ce bâtiment qui se veut exemplaire en termes d’impact sur l’environnement atteindra le niveau BEPOS Effinergie 2017 et E3 du label E+C-. Il vise également le label BBCA et la certification BREEAM Nouvelle Construction 2016, niveau VERY GOOD. Cette certification est aujourd’hui la plus utilisée en Europe.Fruit d’une véritable synergie entre les équipes de Manubois, Bouygues Bâtiment Grand Ouest, Linkcity et le pôle d’expertise WeWood, ce projet collaboratif allie faible impact environnemental et fort ancrage local : il favorise à la fois l’innovation et les ressources du territoire au sein d’une opération pilote destinée à soutenir le développement d’une filière bois locale et ouvrir la voie à de nouvelles méthodes constructives.
Il y a 4 ans et 77 jours

Une large gamme de finitions sur les panneaux Copanel

Ce matériau à la grande solidité est conçu pour que les façades résistent au mieux aux attaques du temps.Le Copanel participe activement à l'isolation thermique par l'extérieur et améliore efficacement les performances énergétiques des bâtiments.Pastel ou soutenu, le Copanel se décline sur une large palette de couleurs et de multiples formats. De plus, la possibilité de découpe spécifique laisse libre cours à l'imagination des architectes. Les nuances naturelles et l'aspect minéral des panneaux donnent au Copanel des effets de matière qui lui sont propres et rendent chaque panneau unique. Par temps de pluie, des nuances dues à la porosité du produit, peuvent apporter un effet de matières.Copanel propose plusieurs types de finitions :la finition "griffée" G24 apporte au produit un certain relief avec des lignes dans le sens de la longueur du panneau, parallèles entre elles et donne du mouvement au produit.la finition G16 dite "structurée", proche de la précédente, se caractérise par des profondeurs de rainures plus marquées qui apportent une palette de nuances plus larges à la façade.la finition "Etna" est obtenue par projection de sable envoyé à très forte pression pour apporter un mouvement déstructuré qui valorise l'esprit minéral et unique de la façade tout en gardant le teintée masse du produit.Rainurée : le retrait de matière par défonçage laisse la place à toutes possibilités créatives sur la surface des plaques (lignes, vagues, dessins, chiffres, lettre...)Grande performance de tenue au feu pour supprimer les bavettes coupe-feuLa résistance au feu des matériaux de construction est une problématique hautement considérée par l’État. La sécurité des occupants d’un bâtiment rentre dans le cadre des obligations de construction.Avec une classification A2-s1, d0 (d’après l’arrêté du 21 novembre 2002 de la classification européenne relative à la réaction au feu des produits de construction et d’aménagement) et plus récemment le test LEPIR 2 obtenu sur les panneaux Copanel.Cela permet de supprimer les bavettes coupe-feux disgracieuses sur les façades d’immeubles et porter fièrement le titre de panneau résistant au feu.Copanel a effectué le test de la résistance et assure l’efficacité de ce produit.Pour en savoir plus sur Copanel, cliquez ici et télécharger l’appréciation technique de transition délivrée par le CSTB, cliquez ici.
Il y a 4 ans et 77 jours

Les entreprises des zones reconfinées devront mettre en place des "plans d'action" pour le télétravail

Le texte indique que dans ces 16 départements, "les entreprises définissent un plan d'action pour les prochaines semaines, pour réduire au maximum le temps de présence sur site des salariés, tenant compte des activités télétravaillables au sein de l'entreprise". "Ce plan d'action, dont les modalités sont adaptées à la taille de l'entreprise, fait l'objet d'échanges dans le cadre du dialogue social de proximité. En cas de contrôle, les actions mises en oeuvre seront présentées à l'inspection du travail", précise le document qui doit être publié mardi sur le site du ministère du Travail, les partenaires sociaux ayant encore un délai pour faire des retours. Ce protocole actualisé a été présenté lors d'une réunion de concertation en présence de Laurent Pietraszewski, secrétaire d'Etat chargé des Retraites et de la Santé au travail. Il représentait la ministre du Travail Elisabeth Borne, hospitalisée en raison du Covid-19. En matière de restauration collective, la fiche dédiée est retouchée notamment pour préciser qu'il faut "déjeuner seul en laissant une place vide en face de soi, et en respectant strictement la règle de distanciation" de deux mètres entre chaque personne. Le texte demande aussi d'adapter "systématiquement" les plages horaires d'ouverture et évoque la mise en place, "dans la mesure du possible, de paniers à emporter et à consommer sur le poste de travail pour tout ou partie des convives". Le protocole fait aussi un rappel aux règles en matière de respect des gestes barrières en cas de covoiturage, et indique que "l'employeur limite autant que possible les situations de covoiturage". "C'est presque plus des rappels de bon sens que des choses nouvelles", a commenté auprès de l'AFP Cyril Chabanier (CFTC), tandis que Gérard Mardiné(CFE-CGC) a vu dans les plans d'action sur le télétravail "un détournement d'énergie" et "un excès de formalisme". Une étude de l'Institut Pasteur réalisée en mars 2021 montre que les contaminations au travail représentent 15% des cas identifiés de Covid-19.
Il y a 4 ans et 77 jours

Quels sont en moyenne les prix et les surfaces des maisons neuves ?

Faire construire sa maison est souvent le rêve d'une vie. La première question des ménages qui se lancent dans l'aventure est de savoir combien ça coûte ? La seconde sera comment trouver un terrain ? Et pour quelle surface ?Pour se faire une idée, Domexpo, acteur des villages de maisons d'exposition, présente son Baromètre annuel, mené avec Caron Marketing[1], dédié au prix moyen des maisons et des terrains en France et en Île-de-France. Focus sur les dernières données…En 2019, 124.085 permis de construire ont été accordés pour la construction d'une maison neuve (dont 6.269 pour l'Île-de-France, région dans laquelle sont basés les villages Domexpo). Quel a été le prix moyen de ces maisons ? Pour quelle surface moyenne ? Pour y répondre, Domexpo a mené l'enquête avec son partenaire Caron Marketing :Pour une maison :Pour un terrain :« Cette année encore, les résultats confirment la particularité de l'Île-de-France par rapport au reste de la France : les maisons sont plus spacieuses et les terrains plus petits. On remarque aussi que le budget pour faire construire dans cette région est plus important, s'expliquant notamment par le niveau de revenus des franciliens qui est plus élevé.La crise sanitaire que nous traversons actuellement, avec pour conséquence la généralisation du télétravail, pourrait prochainement avoir un impact sur le marché en Île-de-France. On constate en effet que de nombreux franciliens n'ont plus peur de s'éloigner de Paris et souhaitent faire construire sur des départements limitrophes comme l'Eure ou l'Oise. Dans cette zone, les prix des terrains sont moins élevés, ce qui permet ainsi d'avoir une maison un peu plus grande, avec un espace de télétravail dédié. C'est d'ailleurs une demande de plus en plus courante.Rendez-vous pour l'édition 2022 du Baromètre Domexpo annuel consacré au prix des terrains et des maisons, pour confirmer ou pas ces tendances. »Daniel Lair-Lachapelle, Président de Domexpo[1]Étude menée sur la base des prix des terrains à bâtir 2019 – Ministère de la Transition Écologique
Il y a 4 ans et 77 jours

Bibliotek Bluetek : Tutoriel BIM

Il y a 4 ans et 77 jours

La FFB alerte sur la flambée des prix des matériaux et la baisse des constructions de logements

Activité : urgence construction neuveAinsi, après ré-étalonnage des modèles des services de l'État, le nombre des mises en chantier tombe à 351.000 logements en 2020, soit 10.000 de moins que la moyenne de long terme et un niveau équivalent à celui de l'entrée en crise du début des années 1990. Rapporté au nombre de ménages, c'est même au plus dur de cette crise qu'il faut se comparer ! Et les évolutions à fin janvier ne rassurent pas, avec des permis encore en recul de 9% en glissement annuel sur trois mois, après -15% en 2020. Sans relance puissante et rapide, la barre des 300.000 logements commencés sera très probablement enfoncée au tournant 2021-2022.Le choc s'avère encore plus violent pour le non résidentiel neuf. Les surfaces commencées abandonnent 16% en 2020. Et la chute n'a guère de raison de ralentir, puisque les surfaces autorisées s'affichent à -19% en 2020 et encore à -16% en glissement annuel sur trois mois à fin janvier 2021. L'année 2021 risque donc de se révéler la pire jamais observée depuis 1986 en termes de surfaces commencées. D'autant que tous les segments du non résidentiel participent de ce mouvement, y compris commande publique.A contrario, l'amélioration-entretien redresse la tête. Le bilan 2020 ne le révèle pas tout à fait pour l'ensemble, puisqu'au sens de la facturation, l'activité du quatrième trimestre s'inscrit encore en baisse de 2% sur un an, hors effet prix. Toutefois, on l'observe dans l'évolution de la rénovation énergétique, qui ressort stable sur la même période. De fait, le déblocage de MaPrimeRénov' au quatrième trimestre 2020 et le volet bâtiment de « France relance », quasi-exclusivement consacré à la rénovation énergétique, commencent à faire sentir leurs effets.Évidement bienvenus, ils ne suffiront pas à compenser la violente chute du neuf.Emploi : la menace se préciseL'emploi résiste dans le bâtiment, avec 2.900 postes perdus au total en 2020, soit 0,2%, uniquement dans l'intérim. Toutefois, avec 44.000 logements commencés en moins sur 2021 et un ratio de 1,6 emploi mobilisé dans l'ensemble de la filière par logement construit, 70.000 emplois se trouveront très fragilisés à l'horizon 2022, compte tenu des délais de production. En tenant compte de la chute du non résidentiel neuf, aux environs de 100.000 emplois seront menacés.La dynamique de la rénovation énergétique permettra d'atténuer le choc, pas de l'empêcher. D'autant que certains des métiers du gros-œuvre peineront à trouver des passerelles vers ceux de la rénovation et que la mise en œuvre de la RE2020 au 1er janvier 2022 risque de constituer pour eux une seconde lame de fond.Entreprises : attention à la dérive des coûtsBien que plus tardifs qu'anticipés, le choc de la pandémie se manifeste clairement dans les coûts depuis la fin 2020. Une fois les stocks épuisés, la désorganisation des filières productives et des transports internationaux conduisent à de fortes hausses des prix des matériaux. D'abord observé sur les produits acier et cuivre, puis sur le bois de construction et les autres métaux non ferreux, le mouvement gagne plus récemment les plastiques, le polyuréthane et le polystyrène. Il n'est plus rare de recevoir des annonces à +30%, voire plus encore, sur les produits bâtiment. Les craintes se portent maintenant vers des équipements plus techniques, dotés de puces électroniques ou autres composantes en silicium.Pour certains produits bois, PVC ou polyuréthane, cela se double de difficultés d'approvisionnement, donc de réalisation de chantier.Or, force est de constater que la plupart des marchés restent signés à prix ferme, non actualisables ni révisables, et prévoient des pénalités de retard. Ces chantiers risquent donc de se révéler systématiquement en perte.Le bâtiment tient, mais il faut l'aider à poursuivreMalgré la violente chute de 15% de l'activité en 2020, le bâtiment tient. Grâce aux puissantes mesures de soutien public rapidement décidées et à un déconfinement réussi, l'emploi a été préservé et les entreprises ont survécu au choc. Ce qui a permis, au plan macro-économique, de palier le décrochage d'autres secteurs.Pour permettre au bâtiment poursuivre dans cette voie. Pour le permettre, il faudrait tout d'abord lever les blocages et accompagner les donneurs d'ordres. À ce titre, la FFB en appelle aux collectivités locales, afin que la délivrance des permis s'accélère franchement. Dans cette même logique, elle réitère sa proposition de mettre en place un « permis déclaratif » pour toute opération réalisée sous permis d'aménager ou en zone d'aménagement concerté.Elle alerte aussi sur le risque que la loi Climat et résilience débouche sur une politique foncière axée sur le seul objectif de lutte contre l'« artificialisation des sols », aux contours mal maitrisés, sans prise en compte des besoins socioéconomiques sur les territoires visés.Une relance puissante et rapide du neuf passe aussi par le soutien de la demande, que la crise fragilise. Le nouveau protocole d'engagement Action logement-État-USH en faveur du logement social s'avère de bon augure. Mais il conviendrait d'aller plus loin pour permettre une véritable reprise de la primo-accession, fragilisée aujourd'hui par un avenir trop incertain, mais également par les recommandations –bientôt d'ordre règlementaires– du Haut Conseil de stabilité financière (HCSF). À cette fin, la FFB propose la mise en place d'un crédit d'impôt sur les cinq premières annuités d'emprunt des primo-accédants. Quant à l'investissement locatif, la FFB rappelle son souhait de voir majorer transitoirement la réduction d'impôt « Pinel ».Par ailleurs, afin de ne pas entraver la réalisation des opérations, la FFB continue de militer pour l'annonce rapide d'un accompagnement financier permettant de couvrir les surcoûts associés à la RE2020.Enfin, pour permettre au secteur de tenir, il faut s'assurer que les surcoûts liés aux matériaux soient partagés des industriels jusqu'au client final. La FFB demande donc que soit réactivée pour quelques mois les ordonnances qui, au printemps 2020, avaient transitoirement gelé les pénalités de retard et que le gouvernement communique fortement en faveur de l'indexation des marchés.Semaine de la prévention100% digital, la Semaine de la prévention repose sur un programme de quarante webinaires santé - prévention à la carte. Celui-ci sera accessible durant une semaine complète, du 29 mars au 2 avril prochain. Les objectifs sont de sensibiliser et d'informer les chefs d'entreprise, leurs salariés, les apprentis et les intérimaires sur les risques professionnels du BTP et les moyens de s'en prémunir. Cinq thématiques seront abordées: travaux en hauteur ;risque routier ;poussières et risque chimique ;accueil santé/sécurité sur chantier et au poste de travail ;*manutentions manuelles et troubles musculosquelettiques (TMS).Colloque InnovationLa FFB organise le 13 avril prochain de 16h à 17h30, un événement virtuel consacré à l'innovation, diffusé en direct depuis la Station F sur la chaîne YouTube de la FFB.Cet événement s'articulera autour de tables rondes consacrées à l'innovation vue sous les prismes de la transition écologique, la transformation numérique et le développement de nouveaux modes constructifs. Il comprendra des témoignages concrets sur des sujets tels que le béton vert et les nouveaux matériaux biosourcés, l'intelligence artificielle et les objets connectés, l'industrialisation et de nouveaux procédés constructifs.L'occasion de rompre avec les idées préconçues et de prouver que le bâtiment innove, que ce soit en termes de services apportés aux usagers, de transformation numérique, de transition écologique, d'organisation ou d'évolution des matériaux et procédés constructifs.
Il y a 4 ans et 77 jours

Les tarifs réglementés du gaz baissent de 4,1% en moyenne en avril

"Cette baisse est de 1,2% pour les clients qui utilisent le gaz pour la cuisson, de 2,5% pour ceux qui ont un double usage, cuisson et eau chaude, et de 4,3% pour les foyers qui se chauffent au gaz", a détaillé la Commission de régulation de l'énergie (CRE) dans un communiqué.Selon la CRE, cette baisse des tarifs s'explique par "une moindre demande en gaz naturel liée à la remontée des températures et par la baisse des prix du gaz naturel liquéfié en Asie et en Europe".La loi prévoit l'extinction progressive d'ici à 2023 des tarifs réglementés de vente (TRV) du gaz pour les particuliers. Ils ont déjà été supprimés pour les consommateurs professionnels depuis le 1er décembre.Depuis le 1er janvier 2019, les tarifs réglementés ont baissé en tout de 12,9%, et leur niveau reste inférieur à celui de 2015, souligne la CRE.
Il y a 4 ans et 78 jours

Bpifrance et la Banque des Territoires lancent la première promotion de l'Accélérateur Construction

Avec le soutien de Batimat, du pôle de compétitivité Fibres Energivie, des Canaux/ ESS2024 et de CCCABTP, 31 PME à fort potentiel de croissance, implantées sur tout le territoire français, bénéficieront d’un accompagnement durant 12 mois.Lancé par la Banque des Territoires et Bpifrance, l’Accélérateur Construction est un programme d’accompagnement qui s’adresse aux entreprises de 10 salariés à 250 employés réalisant un chiffre d’affaires compris entre 2 et 20 millions d’euros. Ce programme est accessible aux entrepreneurs dont l’entreprise fait partie de la filière de construction au sens large : industriels de la construction, entreprises du BTP et entreprises de services adressant le secteur. Il intègre aussi des entreprises ayant répondu aux grands appels d’offres (projet de transformation des Territoires, grands projets urbains, Village des athlètes 2024, etc.) et des entreprises de l’Economie Sociale et Solidaire (ESS). Les dirigeants bénéficieront d’un accompagnement intensif adapté aux enjeux spécifiques de croissance et de structuration des petites et moyennes entreprises, alliant conseil, formation et mise en relation avec notamment : Conseil : réalisation par un consultant d’un diagnostic 360° pour identifier les axes prioritaires de croissance et accès à des modules de conseil dédiés ; Formation : participation à cinq séminaires coconstruits avec CentraleSupélec et CCCABTP sur des thématiques ciblées, à des ateliers permettant aux entreprises de renforcer leurs compétences et nourrir leurs réflexions stratégiques ainsi que des formations en e-learning, des autodiagnostics et des webinaires réunissant des experts de la filière ; Mise en relation : accès privilégié aux réseaux d’entrepreneurs et de partenaires de Bpifrance, événements de mise en relation et organisation de journée dédiées aux dirigeants accélérés de la Filière Construction. « Nous sommes ravis de lancer ce premier programme à destination des entreprises de la filière de la Construction. Avec cet Accélérateur, nous avons la volonté d’accompagner de façon dédiée cette cible d’entreprises dans leurs problématiques de développement, en tenant compte des grands défis que la filière doit relever. L’Accélérateur s’inscrit pleinement dans la stratégie de Bpifrance d’accompagner toutes les entreprises, quelles que soient leurs tailles, dans leur croissance et leur rebond. »Guillaume Mortelier, Directeur exécutif en charge de l’Accompagnement chez Bpifrance« La croissance des petites entreprises est essentielle au développement économique, à la création d’emplois et à la prospérité des territoires. Cette 1ère promotion d’entrepreneurs de l’Accélérateur Construction démontre que la Banque des Territoires et Bpifrance sont engagées, aux côtés des entreprises vers une construction plus numérique, plus proche des territoires et plus durable. »Antoine Troesch, Directeur de l’investissement à la Banque des Territoires« Le Pôle Fibres-Energivie s’implique avec beaucoup d’enthousiasme dans cet accélérateur qui arrive à point nommé au moment du plan de relance pour accompagner l’innovation indispensable à notre filière sur les 3 axes de la matrice Demain réalisée en 2019 par Bpifrance pour la filière construction : numérisation, construction hors site et bâtiment vert, modulable et connecté. »Jean-Luc Sadorge, Directeur Général du Pôle de compétitivité Fibres Energivie« Pour faire face aux défis imposés par l’évolution radicale des enjeux sociétaux et environnementaux, les petites et moyennes entreprises du secteur de la construction doivent être agiles pour répondre aux besoins de leurs marchés. Le CCCA-BTP se réjouit de contribuer à cette première édition de l’accélérateur et d’accompagner ces entrepreneurs dans le développement de leurs compétences et pour leur permettre de s’approprier les nouveaux usages dans la construction, au service de leur performance et de leur croissance. »Franck Le Nuellec, Directeur du marketing, du développement et de l’innovation stratégique du CCCA-BTP« C’est avec beaucoup d’enthousiasme que Les Canaux participent à l’accélérateur « Construction Durable » aux côtés de Bpifrance et de l’ensemble des partenaires. Nous y apporterons notre expertise en matière d’apport d’affaires, notamment sur les grands marchés des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, et de mise en relation avec des entreprises de l’ESS. Nous sommes convaincus que cette 1ère promotion contribuera avec réussite à la structuration d’une filière exemplaire à l’échelle nationale, qui saura répondre avec exigence et innovations aux besoins des donneurs d’ordre. »Christophe Divi, Directeur ESS 2024 et Achats Solidaires« Nous sommes heureux de pouvoir contribuer au lancement de l’accélérateur, dispositif innovant pensé pour les patrons de PME qui souhaitent s’inscrire dans le futur du secteur. Cette 1ère promotion montre une très belle diversité et promet des échanges constructifs et de l’enrichissement mutuel. Batimat s’est engagé dans cette initiative pour permettre à ces dirigeants d’appréhender les grands défis du secteur du bâtiment. »Guillaume Loizeaud, Directeur Division Construction, Reed ExpositionsUn dispositif qui fait suite à la Matrice Demain Bpifrance :Lancé en mars 2021, la première promotion de l’Accélérateur Construction vient s’inscrire dans la continuité d’une étude menée par Bpifrance en 2019 sur la filière : la Matrice Demain. Cette Matrice avait permis de relever les grands axes de transformation auxquels allaient devoir faire face la filière : La transformation numérique, avec le BIM ; L’industrialisation de la filière, avec le Hors Site ; Le Bâtiment de demain, vert, modulable et connecté. Ces trois axes constitueront le fil rouge du programme d’accélération cette année, que les dirigeants accélérés auront l’occasion d’étudier cette année avec les intervenants de notre école partenaire CentraleSupélec et CCCABTP.Avec ce dispositif la Banque des Territoires et Bpifrance soutiennent le secteur de la construction dans un contexte de reprise consécutif à la crise COVID-19. Elles se mobilisent pour que la filière construction s’inscrive dans une trajectoire zéro carbone à horizon 2050 et dans l’objectif d’imperméabilisation nette zéro des sols. La Banque des Territoires et Bpifrance souhaitent appuyer le développement des entreprises sur une vision renouvelée de la filière : le bâtiment de demain sera numérisé, durable, inclusif ; en particulier, dans le cadre de ce premier accélérateur.
Il y a 4 ans et 78 jours

Siniat dévoile une nouvelle gamme d’enduits prêts à l’emploi

Cette gamme est conçue pour offrir gain de temps et facilité d’emploi et elle répond parfaitement aux besoins sur chantier :pas besoin d’eau,pas de gâchage,qualité et consistance constantes,propreté (moins de poussière),réduction des déchets (pas de perte en fin de chantier),produit mécanisable (airless et machines à joint).Les enduits Prêts à l’emploi se caractérisent par leur blancheur extrême, leur pouvoir couvrant et leur ponçage aisé.Les enduits Prêts à l’emploi Siniat s’inscrivent dans une démarche globale de l’entreprise pour une construction durable et responsable : ils ont une durée de conservation rallongée à 12 mois et sont conditionnés dans des emballages éco responsables, composés à 50% de plastique recyclé et 100% recyclable.La nouvelle gamme d’enduits Prêts à l’emploi Siniat se compose de trois références rapidement identifiables grâce à un code couleur. Véritable repère pour les professionnels, la couleur est déclinée sur le corps du seau, le couvercle et l’anse pour une visibilité maximale.Les informations essentielles (nom du produit, fonction et principales caractéristiques techniques) bénéficient d’une lecture facile et claire.Afin de garantir une qualité certifiée, les enduits PRÉGY S, PRÉGY XS et PRÉGY L sont fabriqués en France et sont conformes aux normes et DTU en vigueur. Ils bénéficient du marquage sanitaire A+, niveau le plus faible d’émission de substances polluantes pour l’air intérieur.La nouvelle gamme d’enduits Prêts à l’emploi Siniat se décline en troisréférences pour couvrir tous les besoins sur chantier, en neuf commeen rénovation :deux enduits à joints PRÉGY S et PRÉGY XS, standard et allégé pour répondre au traitement des joints entre plaques de plâtre à bords amincis,un enduit de finition PRÉGY L, pour le lissage des murs et plafonds avant mise en peinture ou pose de revêtement.Enduits Prêts à l’emploi Siniat :une gamme de trois produits ultra performantsPRÉGY S est un enduit à joint à séchage se distinguant par une glisse parfaite facilitant la pose du produit (pas d’effort sous l’outil), une grande souplesse d’utilisation (ne colle pas, ne pèle pas), un excellent pouvoir couvrant évitant le spectre de bande pour un rendu uniforme, et un très faible retrait permettant une application en 2 passes sans nécessité de couche de finition. PRÉGY S est mécanisable (machines à joint).PRÉGY XS est un enduit à joint très allégé (60% plus léger que les prêtsà l’emploi standards) rendant son application plus aisée et offrant un temps de séchage réduit. D’une très grande blancheur, il se caractérise par sa finesse qui facilite le ponçage et permet un chantier plus propre, mais aussi par son excellent rendement. PRÉGY XS est mécanisable (machines à joint).PRÉGY L est un enduit de lissage et de surfaçage pour la finition des murs et des plafonds. Il séduit par son grain fin qui facilite le ponçage et offre une finition lisse, un excellent pouvoir garnissant et opacifiant et une blancheur extrême. Autre atout de taille, PRÉGY L est mécanisable (airless).
Il y a 4 ans et 78 jours

Un McDonald’s revêtu de bois Kebony aspire à devenir le premier restaurant rapide à « zéro émission nette »

La construction du restaurant phare McDonald’s Disney a récemment été achevée. Celui-ci, visant à être le premier établissement à « zéro émission nette » dans l’industrie de la restauration rapide, illustre l’engagement du leader du domaine dans la construction d’un avenir meilleur. Sous un toit en appentis revêtu de panneaux solaires, le restaurant de près de 750 m² conçu par Ross Barney Architects a été imaginé et développé en adéquation avec le climat de Floride.D’après le site web de l’architecte, la consommation d’énergie est réduite grâce à l’optimisation des systèmes de bâtiment et de cuisine. L’énergie est produite sur place par plus de 1.700 m² de panneaux solaires, près de 450 m² de panneaux photovoltaïques intégrés au vitrage (BiPV), et 25 lumières de parking hors réseau qui produisent davantage d’énergie que le restaurant n’en consomme.Orlando étant sujet à une importante humidité, le bâtiment est naturellement ventilé pendant environ 65% de l’année. Les fenêtres jalousie, actionnées par des capteurs d’humidité et de température extérieures, se ferment automatiquement lorsque la climatisation devient nécessaire. Un « porche »,aux murs à persienne en bois Kebony, prolonge la salle à manger en extérieur.Développée en Norvège, la technologie révolutionnaire Kebony est un procédé breveté et respectueux de l’environnement, qui modifie les bois résineux issus de sources durables en chauffant le bois avec de l’alcool furfurylique ; un sous-produit agricole. En polymérisant la paroi cellulaire du bois, les résineux adoptent en permanence les attributs du bois dur tropical, notamment une durabilité, une dureté et une stabilité dimensionnelle élevées. Ce procédé unique donne au boisKebony son apparence caractéristique, qui n’a de cesse de s’embellir avec le temps.Parmi les autres stratégies durables, citons les matériaux de pavage qui réduisent l’effet de chaleur urbain, les surfaces qui redirigent l’eau de pluie, un mur végétal vivant de 164 m² qui accroît la biodiversité, un nouvel éclairage LED, et des appareils de plomberie à faible débit.Ross Barney Architects souligne le fait qu’une « stratégie d’éducation solide était l’un des objectifs du projet ». L’architecture elle-même devient un outil narratif en plus des graphismes des murs intérieurs, du contenu vidéo interactif, et des jeux uniques de cet endroit. Le restaurant apprend aux visiteurs de tous âges à devenir les gardiens dévoués de l’environnement.Ben Roberts, Directeur marketing USA chez Kebony, a commenté : « C’est un projet phénoménal pourMcDonald’s, et Kebony est extrêmement fier d’être associé au premier restaurant à service rapide“zéro émission nette” au monde. Avec près de 1 400 m² de bois brûlé Kebony® reSAWN’s HALLO shou sugi ban, le bâtiment s’inscrit dans une démarche de développement durable et constitue un exemple fantastique d’une exceptionnelle créativité en matière de design. »
Il y a 4 ans et 78 jours

Le Groupe Rockwool dévoile les résultats de son rapport développement durable pour l’année 2020

Parallèlement, l’entreprise a atteint ou dépassé deux de ses six objectifs intermédiaires de développement durable avec deux ans d’avance sur le calendrier fixé.Alors que les gouvernements et la société sont toujours aux prises avec la pandémie de COVID-19, une reprise économique plus « verte » revêt une importance encore plus grande. Le Rapport sur le développement durable 2020 du Groupe ROCKWOOL décrit en détail la contribution des produits de l’entreprise à la concrétisation de cette ambition. Il comprend également des informations sur les améliorations d’ordre opérationnel qui ont été apportées et les progrès accomplis pour soutenir la réalisation des ODD.La réduction de la consommation d’énergie et de l’utilisation des ressources est essentielle pour maîtriser le défi du changement climatique mondial. Les produits ROCKWOOL jouent ici un rôle majeur. « La réduction de la consommation d’énergie et le recours aux énergies renouvelables sont les moyens les plus efficaces pour décarboner la société en termes économiques. C’est pourquoi nous maintenons que la meilleure approche est d’utiliser moins de ressources et de repenser le reste dans une optique verte », déclare le CEO du Groupe ROCKWOOL Jens Birgersson.Jens Birgersson ajoute : « Nous sommes fiers que S&P Global Trucost ait une nouvelle fois classé tous nos produits comme positifs au regard des ODD, soulignant ainsi leur impact positif sur la réalisation de ces objectifs. Le développement durable est au cœur de nos activités. Nous suivons une approche vérifiable et basée sur des données concrètes pour la documentation de nos efforts visant à maximiser l’impact positif de nos produits et réduire le plus possible l’impact négatif de nos opérations.»À noter que le cabinet S&P Global Trucost a évalué plus de 15 000 entreprises dans le monde et classe le Groupe ROCKWOOL dans le top 10 de celles qui proposent des produits à l’impact positif.Un autre chiffre indique l’impact environnemental positif de l’entreprise : le Groupe ROCKWOOL estime que 95 % de ses revenus issus des produits d’isolation sont conformes à la taxonomie européenne définie pour les activités apportant une contribution positive à la lutte contre le changement climatique et, ainsi, à un développement durable en Europe. Dans l’optique de poursuivre la réduction de son empreinte carbone, en décembre 2020, le Groupe ROCKWOOL s’est engagé à suivre un plan de décarbonation à long terme, avec des objectifs vérifiés et validés dans le cadre du projet Science Based Targets initiative (SBTi).À propos des efforts du Groupe ROCKWOOL visant à réduire son impact opérationnel, Jens Birgersson déclare, « Au cours de l’année 2020, nous avons continué à renforcer la circularité de nos activités en réalisant ou dépassant deux sur six de nos objectifs avec deux ans d’avance sur le calendrier fixé. La réalisation de deux autres objectifs est par ailleurs en bonne voie ».Jens Birgersson pour conclure : « En dépit des défis qui restent à relever par la communauté internationale, nous sommes optimistes pour l’avenir. Les solutions à de nombreux défis de la planète existent déjà, notamment dans la construction. Le Groupe ROCKWOOL souhaite continuer à apporter une contribution à la création de communautés plus durables, plus saines et plus sûres, ainsi qu’à la mise en place d’une économie plus circulaire. »Les principales performances du Groupe ROCKWOOL en matière de développement durable en 2020 Sur l’ensemble de leur durée d’utilisation, les produits d’isolation de bâtiments ROCKWOOL vendus en 2020 permettront d’économiser 100 fois le carbone émis et l’énergie consommée pendant leur production.En décembre 2020, le Groupe ROCKWOOL a annoncé des objectifs de décarbonation mondiaux ambitieux, vérifiés par le projet Science Based Targets initiative (SBTi). En voici les grandes lignes :Réduction des émissions absolues de gaz à effet de serre de 38 % d’ici 2034 (par rapport à l’année de référence 2019)Réduction des émissions absolues de gaz à effet de serre sur l’ensemble du cycle de vie hors usine de 20 % d’ici 2034 (par rapport à l’année de référence 2019)En 2020, le Groupe ROCKWOOL a atteint deux de ses six objectifs de développement durable avec deux ans d’avance sur le calendrier fixé. Ces deux objectifs sont la réduction des déchets de production mis en décharge de 40 % (chiffre atteint par le Groupe ROCKWOOL : 50 %) et l’amélioration de l’efficacité hydrique des usines de 10 %.