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(31847 résultats)
Il y a 5 ans et 7 jours

Covid-19 : L'OPPBTP lance une plateforme d'entraide pour les entreprises du BTP

Cet outil leur permet d'échanger des conversations et de partager librement leurs idées, bonnes pratiques et expériences terrain concernant différents sujets. Consultable par tous, les professionnels devront cependant créer un compte en ligne afin de pouvoir contribuer à leur tour en mettant en ligne des éléments visibles par tous les visiteurs du site.Cet espace s'adresse à tous les professionnels du BTP, qu'ils soient artisans, préventeurs, maîtres d'ouvrage, chefs d'entreprises, partenaires… Mise en place pour leur offrir un moyen supplémentaire de communication et d'entraide en cette période particulièrement difficile, la plateforme doit leur permettre de partager toutes leurs idées et bonnes pratiques à mettre en œuvre. Cela peut concerner tous les sujets utiles pour assurer la sécurité des professionnels en activité : des équipements à l'organisation des chantiers, en passant par la gestion des préconisations sanitaires ou la mise en œuvre opérationnelle.Ainsi, les professionnels sont invités à partager des photos, des vidéos, des liens ou des documents aux formats pdf, ppt ou word. Il peut s'agir de retours d'expérience, de conseils illustrés, d'exemples de plan de continuité d'activité, d'aide aux mises à jour du Document Unique, ou encore de modes opératoires. Pour faciliter la consultation, le visiteur peut effectuer une recherche de sujet par catégorie ou bien par mot clé, grâce à la barre de recherche.Par ailleurs, l'équipe de conseillers de PréventionBTP En Direct se tient à disposition pour répondre à toutes les questions des visiteurs par mail, à l'adresse endirect@preventionbtp.fr.La plateforme d'entraide est consultable à l'adresse :www.Entraide-COVID19.preventionBTP.fr
Il y a 5 ans et 7 jours

Covid-19 : La crise sanitaire stoppe net la flambée des prêts immobiliers

"Le début de l'année 2020 a été très bon jusqu'au 15 mars", a résumé jeudi dans une vidéo Jean-Marc Vilon, directeur général de l'organisme Crédit Logement, qui réunit les principales banques françaises."Et puis est arrivé le moment du confinement, et à partir de là évidemment l'activité a baissé de manière extrêmement importante", a-t-il poursuivi, à l'occasion d'un bilan mensuel qui fait référence, établi par Crédit Logement avec l'institut CSA.Depuis la mi-mars, les Français sont contraints de rester chez eux et de nombreux commerces ont dû fermer, afin de lutter contre la propagation du coronavirus. Cette situation a logiquement plombé le marché immobilier, même s'il est encore trop tôt pour mesurer précisément l'ampleur de la chute des transactions.Le marché des prêts en donne toutefois une idée. Selon l'observatoire, leur nombre a reculé de presque 14% en mars, par rapport à un an plus tôt. Comme le confinement n'a été instauré qu'au milieu du mois dernier et est prévu jusqu'au 11 mai, la chute va probablement s'accentuer.Le coronavirus a donc fait ce qui semblait impossible depuis plusieurs années: bloquer un marché du crédit immobilier dont l'essor était tel qu'il commençait à inquiéter les autorités financières.Celles-ci demandaient depuis plusieurs mois aux banques de durcir un peu leurs conditions, alors que les prêts atteignaient en France un montant total historique. Les ménages profitent de taux qui n'ont jamais été aussi bas à la suite de la politique de crédit facile menée par la Banque centrale européenne (BCE).Les demandes des autorités ont, certes, eu des effets. Les banques ont prêté sur des durées un peu moins longues en moyenne - 229 mois en mars, soit légèrement plus que 19 ans - et surtout ont eu tendance à accroître la part d'emprunteurs jugés plus sûrs au détriment des ménages les plus jeunes et moins fortunés."Nombreuses inconnues"Mais, pris dans son ensemble, le marché avait peu changé: les prêts restaient historiquement nombreux et, en moyenne, les taux ne remontaient pas.Le coronavirus a-t-il vraiment changé la donne ou n'aura-t-il interrompu qu'un moment l'essor du marché ? C'est, pour le moment, impossible à dire et les acteurs évitent de s'y aventurer."On est face à une crise totalement inédite à la fois par son ampleur mais également par le type de crise", a souligné M. Vilon. "Elle a été choisie, finalement, par nos gouvernements. On a décidé d'arrêter l'économie"."L'impact sur l'immobilier résidentiel, c'est bien sûr moins de transactions en particulier en 2020", a-t-il avancé. "C'est sans doute encore un impact en 2021 mais on peut avoir des effets qui restent limités".Surtout, que feront les taux? Pour le moment, ils n'ont que très faiblement augmenté en mars - à 1,14% en moyenne -, mais ce chiffre mesure mal la réaction éventuelle des banques à la crise.Les données d'avril en donneront une meilleure idée, le temps que soient adaptés les barèmes. Or, plusieurs courtiers ont déjà évoqué une tendance à la hausse, même s'ils la jugent limitée."A ce stade, nous anticipons une hausse de taux pour la sortie de crise, mais celle-ci dépendra notamment de la longueur du confinement qui déterminera la durée où le marché est resté à l'arrêt", a jugé dans un communiqué le courtier Meilleurtaux.Mais "il convient d'être extrêmement prudent, car l'évolution dépend d'une équation dont nous ne maîtrisons pas les nombreuses inconnues", conclut-il.
Il y a 5 ans et 8 jours

Schneider Electric annonce des ventes en repli au 1er trimestre mais reste confiant dans son modèle

Le chiffre d'affaires du spécialiste des équipements pour l'énergie et des automatismes industriels se monte sur ces trois premiers mois à 5,8 milliards d'euros, en baisse organique de 6,4% et à -7,6% en croissance publiée.Sur l'Asie-Pacifique (environ un quart de l'activité du groupe), les ventes sont en repli de 19,1%.Au deuxième trimestre, Schneider, qui avait connu en 2019 une année record, prévoit "un impact significatif" au vu des mesures de confinement instaurées dans le monde, tout en se disant "confiant quant à son profil de croissance".Le groupe, très présent en Europe et en Amérique du nord, "souhaite à ce stade s'abstenir de toute hypothèse quant à la forme et au calendrier de la reprise au second semestre 2020 ou au-delà".Mais "nous entrons dans cette crise avec des fondamentaux solides", a déclaré le PDG Jean-Pascal Tricoire, dans un communiqué, citant l'"approche multi-locale" de l'entreprise, l'essor de ses "services digitaux qui permettent de réaliser des opérations à distance" et "la solidité de la situation de trésorerie"."Nous sommes face à l'inconnu", a commenté jeudi le directeur général des finances Emmanuel Babeau, lors d'un point téléphonique avec la presse."Nous savons qu'avril sera impacté significativement dans de nombreuses géographies, en Europe et aux États-Unis. La Chine est en voie de récupération mais nous ne savons pas, pour le reste, ce que sera le rythme et la magnitude du rebond. Nous avons de nombreux scénarios sur la table, il est trop tôt pour dire lequel s'imposera", a-t-il dit, alors que Schneider a suspendu fin mars ses prévisions annuelles.Par exemple, la chute d'activité sur les marchés du bâtiment varie selon les pays: des projets de construction reprendront à la mise en place de mesures de sécurité, tandis que plusieurs gouvernements ont décidé la suspension de projets non essentiels."Dans ces temps incertains, nous avons une boussole, qui commence par la sécurité de nos personnels, puis la continuité de nos services, essentielle quand il s'agit d'hôpitaux, d'industries alimentaires, de centres de données... Et puis nous travaillons sur nos coûts", a énuméré M. Babeau.Le groupe affiche un montant de liquidités (incluant trésorerie et équivalents et lignes de crédits accordées) d'environ 9 milliards d'euros, "suffisantes pour lui permettre de mener à bien ses activités et rembourser ses dettes, tout en versant le dividende et en finançant les acquisitions déjà annoncées", note le communiqué.Au sortir de la crise, Schneider Electric "devrait être en mesure de tirer profit de l'essor des mégatendances portées par des initiatives gouvernementales" (tout électrique, tout digital, énergies renouvelables), estime le groupe. Il compte aussi sur "la montée en puissance des investissements" sur certains de ses principaux marchés (centres de données, infrastructures, bâtiments intelligents).
Il y a 5 ans et 8 jours

Blocs, parements et chaperons Bradstone - Carré D'arc animent l'ambiance

Marques du Groupe Fabemi, BRADSTONE et CARRÉ D'ARC mettent à leur disposition un riche assortiment de modèles dans la ligne Béton Design.Les blocs Hadrien et Schistone BRADSTONE permettent de monter des séparations sur mesure, en parfaite harmonie avec l'environnement, les parements CARRÉ D'ARC animent un lieu, y compris à l'intérieur. Et, pour couvrir murs et piliers, les nouveaux chaperons de mur et chapeaux de pilier CARRÉ D'ARC ajoutent leur touche élégante à l'ouvrage.Apporter du rythme, jouer avec les matières, insérer de l'inattendu dans un décor… tout cela est possible avec les créations Béton Design issues du savoir-faire BRADSTONE et CARRÉ D'ARC. Une belle palette de textures et de coloris pour structurer l'espace avec goût.Blocs Hadrien BRADSTONE : un relief de pierre tailléeFaciles à poser, les blocs Hadrien BRADSTONE imitent parfaitement la pierre taillée à la main. Ils peuvent servir à construire un mur de séparation entre deux jardins, un muret courant le long d'une allée bordée de massifs, ou encore des jardinières. Leur tracé irrégulier accroche la lumière et apporte une ambiance chaleureuse.Les éléments Hadrien sont proposés en nuance Gironde. Ceux de forme incurvée permettent de réaliser des ouvrages en demi-cercle. Il existe également des blocs linteau droit, about, angle droit et angle gauche, sans oublier le bloc de chaînage et le couronnement.Les solutions apportées par les blocs Hadrien BRADSTONE se déclinent en muret, délimitation d'allée, coin terrasse et haut mur de séparation mitoyen. Ce dernier est décoré en son milieu d'une lame d'eau s'écoulant dans un bassin. Chaque structure est habillée de couronnements Hadrien BRADSTONE.Blocs Hadrien BRADSTONEBlocs : 60 x 15 x 7,5 cm Prix public indicatif : 11 euros TTC la pièceBloc chaînage : 45 x 15 x 7,5 cm Prix public indicatif : 17 euros TTC la pièceBloc linteau droit : 45 x 15 x 14 cm Prix public indicatif : 33 euros TTC la pièceBloc linteau about : 45 x 15 x 14 cm Prix public indicatif : 33 euros TTC la pièceBlocs linteau angle droite ou gauche : 45 x 15 x 14 cm Prix public indicatif : 33 euros TTC la pièceBloc courbe : 53 x 15 x 7,5 cm Prix public indicatif : 11 euros TTC la pièceCouronnement : 48,5 x 19,5 x 4 cm Prix public indicatif : 14 euros TTC la pièceColoris : GirondeMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxBloc Schistone BRADSTONE : charme celteLe bloc Schistone BRADSTONE présente un feuilletage qui rappelle les murets en roche schisteuse ponctuant les paysages de la Bretagne traditionnelle. Cet aspect pierre sèche est parfaitement rendu et convient à des ambiances authentiques ou régionales.Le bloc Schistone BRADSTONE pourra également mettre en valeur un décor contemporain. Cette belle lame d'eau semble percer le mur, telle une source jaillissante. Les blocs Schistone BRADSTONE ont cédé le passage sous la pression de l'eau, c'est du moins l'astucieuse mise en scène du paysagiste, inspiré par la rusticité armoricaine du matériau.Bloc Schistone BRADSTONEBloc : 58,5 x 14 x 10 cm (15 blocs au m² - longueur utile 47,5 cm) Prix public indicatif : 17 euros TTC la pièceColoris : GirondeMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxParement de mur Eygalières CARRÉ D'ARC : temps jadis au goût du jourDécoratif à l'extérieur comme à l'intérieur, le parement de mur Eygalière CARRÉ D'ARC a l'apparence des revêtements anciens aux pierres jointées. Il comprend deux types de modules de dimensions variables ainsi que des angles droits multiformats.Le parement de mur Eygalière est proposé en nuance Aquitaine et Luberon.Ces murs revêtus de parements Eygalières CARRÉ D'ARC teinte Aquitaine structurent l'espace par de douces lignes courbes délimitées par des piliers aux justes proportions.Parement Eygalières CARRÉ D'ARCDimension parement plat ép. 1,5 cm : 2 types de modules de dimensions variables Prix public indicatif : 56 euros TTC le m²Dimensions angles droits ép. 1,5 cm : multiformats 3 grands + 3 petits Prix public indicatif : 72 euros TTC le mlColoris : Aquitaine et LuberonMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxParement de mur Vaugelas CARRÉ D'ARC : esprit moderneInspiré de la pierre de schiste, le parement Vaugelas CARRÉ D'ARC se distingue par sa simplicité et le relief graphique qui convient aussi bien dans un espace partagé avec la nature que pour habiller le mur d'une pièce. Il est proposé en trois modules plats de tailles différentes et un angle droit. Le choix du coloris - Aquitaine, Ardèche ou Basalte - déterminera l'ambiance finale de la réalisation.Les terrasses du jardin, délimitées par des murets revêtus de parements Vaugelas CARRÉ D'ARC nuance Basalte, offrent des plages de gazon reposantes, décoratives, entre ombre et lumière.Le parement Vaugelas CARRÉ D'ARC donne un relief agréable et chaleureux à ce mur de salle de bains moderne aux lignes épurées. Sa teinte Aquitaine s'harmonise avec le plancher d'un élégant coloris châtaigne.Parement Vaugelas CARRÉ D'ARCDimensions parement plat : 3 modules différents 50 x 10 x 1,5 cm30 x 10 x 1,5 cm20 x 10 x 1,5 cm Prix public indicatif : 72 euros TTC le m²Dimensions angle droit : 20/10 x 10 x 1,5 cmPrix public indicatif : 89 euros TTC le mlColoris : Aquitaine, Ardèche et BasalteMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxParement de mur Avallon CARRÉ D'ARC : allure nordiqueLa régularité singulière des briques de construction évoque immanquablement les maisons du Nord. Le parement plat Avallon CARRÉ D'ARC revisite la briquette avec succès, pour habiller les murs intérieurs ou extérieurs. Les teintes, blanc uniforme, doré et feu avec nuances de rouge, apporteront l'effet surprise désiré.Le gris et le blanc sont faits pour aller ensemble. Démonstration avec le parement de mur Avallon CARRÉ D'ARC de cette chambre à coucher, dont la blanche fraîcheur facilite un réveil en douceur.Parement Avallon CARRÉ D'ARCDimensions parement plat : 24 x 5,5 x 2,5 cm Prix public indicatif : 72 euros TTC le m²Dimensions angle droit : 12 x 24,5 x 5,5 cm – ép. 2,5 cm Prix public indicatif : 77 euros TTC le mlColoris : Blanc, Doré et FeuMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxLa ligne Béton Design CARRÉ D'ARC ajoute cette année à sa riche gamme de produits un choix de chaperons de mur et de chapeaux de pilier, composés de ciment blanc et d'agrégats clairs, proposés en deux modèles, deux formats et trois couleurs. Des accessoires indispensables pour protéger un ouvrage et lui donner une belle finition.Chaperons de mur CARRÉ D'ARC : élégance au sommetProposés en trois teintes lumineuses, Beige, Blanc et Gris, les chaperons de mur Lisses CARRÉ D'ARC assurent une couverture solide et protègent de l'humidité. Les deux modèles, plat ou à deux pentes, sont dotés de « gouttes d'eau », c'est-à-dire 2 rainures parallèles sciées dans la masse et courant sur toute la longueur afin de gérer l'écoulement de l'eau de pluie.Les chaperons plats portent également en surface une légère arête centrale de 1 mm, qui sert à évacuer l'eau de pluie.Les chaperons de mur Lisses CARRÉ D'ARC sont proposés en 2 dimensions (50 x 30 cm et 100 x 30 cm) et 2 épaisseurs distinctes (4 cm pour les plats et 5,7 cm pour les 2 pentes).Le chaperon de mur 2 pentes CARRÉ D'ARC fait serpenter sa luminosité sur un beau mur ocre rouge. Son rôle à la fois couvrant et décoratif éclate au grand jour.Chaperons de mur Lisses CARRÉ D'ARCChaperon de mur plat : 50 x 30 x 4 cm Prix public indicatif : 15,50 euros TTC la pièceChaperon de mur plat : 100 x 30 x 4 cm Prix public indicatif : 30 euros TTC la pièceChaperon de mur 2 pentes : 50 x 30 x 5,7 cm Prix public indicatif : 16 euros TTC la pièceChaperon de mur 2 pentes : 100 x 30 cm x 5,7 cm Prix public indicatif : 31 euros TTC la pièceColoris : Beige, Blanc et GrisMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxChapeaux de pilier Lisses CARRÉ D'ARC : finition indispensableTout pilier encadrant un mur de clôture porte son chapeau. Les modèles de chapeaux Lisses CARRÉ D'ARC suivent le même procédé de fabrication que les chaperons afin de créer une couverture harmonieuse et uniforme.Deux modèles sont proposés en deux formats au choix : le plat, carrés de 40 cm ou 50 cm de côté, sur 4,5 cm d'épaisseur, et le pointe de diamant de mêmes dimensions, sur 7,7 cm d'épaisseur. Les trois coloris - Beige, Blanc et Gris - peuvent être assortis aux chaperons.Plat ou en pointe de diamant, le chapeau de pilier Lisse CARRÉ D'ARC protège tout en s'inscrivant dans un cadre esthétique lumineux.Chapeaux de pilier Lisses CARRÉ D'ARCChapeau de pilier plat : 40 x 40 x 4,5 cm Prix public indicatif : 23 euros TTC la pièceChapeau de pilier plat : 50 x 50 x 4,5 cm Prix public indicatif : 29 euros TTC la pièceChapeau de pilier pointe diamant : 40 x 40 x 7 cm Prix public indicatif : 24 euros TTC la pièce Chapeau de pilier pointe diamant : 50 x 50 x 7,7 cm Prix public indicatif : 30 euros TTC la pièceColoris : Beige, Blanc et GrisMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxBlocs pilier à enduire CARRÉ D'ARC : Superposables, ils portent bien le chapeauLe bloc pilier en béton CARRÉ D'ARC, creux et de section carrée, est disponible en cinq dimensions : 20, 26, 35, 40 et 50 cm de côté, pour une hauteur commune de 25 cm. Faciles et rapides à poser, ils peuvent être habillés d'un enduit de façade, de parements de mur ou de bardages.Un chapeau de pilier Lisse plat CARRÉ D'ARC ton Blanc coiffe ce pilier ton Béton gris à enduire. Le mur, à enduire également, est couvert d'un chaperon deux pentes ton Blanc CARRÉ D'ARC.Blocs pilier CARRÉ D'ARCDimensions : 5 modules différents 20 x 20 x 25 cm Prix public indicatif : 4,50 euros TTC la pièce26 x 26 x 25 cm Prix public indicatif : 5 euros TTC la pièce35 x 35 x 25 cm Prix public indicatif : 6 euros TTC la pièce40 x 40 x 25 cm Prix public indicatif : 15 euros TTC la pièce50 x 50 x 25 cm Prix public indicatif : 25 euros TTC la pièceColoris : Béton grisMatériau : Béton DécoratifPoints de vente : Négoces en matériaux
Il y a 5 ans et 8 jours

Baisse des revenus de Covivio au 1er trimestre, les hôtels plombés par la crise sanitaire

Entre janvier et mars, Covivio a engrangé 158 millions d'euros de revenus, soit une baisse de 4,8% par rapport à un an plus tôt. Néanmoins, ce recul est dû à des cessions, qui l'ont privé de loyers, et sans les prendre en compte, les revenus stagnent.Le groupe, qui détient dans plusieurs pays européens des bâtiments variés comme des bureaux et des logements, a surtout vu ses revenus s'effondrer dans ses hôtels, à la suite de la crise du coronavirus: ils y chutent de 10% à périmètre constant.La crise sanitaire est catastrophique pour le secteur du tourisme: de multiples pays ont fermé leurs frontières et des mesures de strict confinement ont été mises en place à travers l'Europe depuis mars.Le groupe sauve, pour l'heure, la situation dans ses bureaux et logements, où il observe une petite hausse de ses revenus à périmètre constant (+2,3%).En ce qui concerne l'avenir, il confirme qu'il devra revoir ses objectifs, ce qu'il avait déjà annoncé mi-mars, mais attend ses résultats semestriels, en juillet, pour donner des détails.Il confirme aussi qu'il compte toujours acquérir l'ensemble de Godewind, un spécialiste des bureaux allemands, dont il détient pour l'heure environ 60% après avoir lancé cette opération en début d'année.
Il y a 5 ans et 8 jours

Reprise progressive du chantier de Notre-Dame à partir de lundi

"Dans le cadre de la reprise progressive de l'activité à partir de lundi, j'ai veillé à ce que les mesures et procédures adaptées soient mises en œuvre, afin de garantir le respect des gestes barrières et le maintien de la distanciation sociale", souligne dans un communiqué Jean-Louis Georgelin, chargé de piloter la restauration de l'édifice."Trois étapes" sont prévues à partir de lundi, "avec une montée en puissance des effectifs tout au long du mois de mai", précise l'Établissement public.Il s'agira d'abord de la "remise en fonctionnement de la base vie du chantier", puis d'une "reprise et achèvement des travaux" en cours à la mi-mars, et qui concernent notamment les "nouvelles installations de décontamination". Enfin, d'une "reprise des travaux complexes de sécurisation", dont la dépose de l'échafaudage sinistré et le montage d'un "échafaudage pour la dépose du grand orgue".La décision de relancer l'activité sur le chantier, suspendue depuis la mi-mars, "a été prise après instruction approfondie des conditions de reprise" avec notamment la maîtrise d'œuvre, les entreprises concernées et sur la base des "préconisations de sécurité sanitaire" élaborées par le gouvernement.Les compagnons travaillant sur le site auront des masques, l'accès à des distributeurs de gel hydroalcoolique et bénéficieront de "solutions d'hébergement" et de livraison de repas, précise l'Établissement public."Une réunion du collège interentreprises de sécurité, de santé et des conditions de travail (CISSCT) se tiendra lundi après-midi en présence des organismes de contrôle (Inspection du travail et Caisse régionale d'assurance maladie d'Ile-de-France)", précise l'organisme dans son communiqué.A l'occasion du premier anniversaire de l'incendie, le 15 avril, le président Emmanuel Macron a confirmé son objectif de reconstruire la cathédrale en cinq ans.Avant d'être suspendu en raison de la pandémie de coronavirus, le chantier avait déjà été brièvement arrêté l'été dernier, pour améliorer la protection des ouvriers vis-à-vis du plomb.
Il y a 5 ans et 8 jours

Covid-19 : reprise progressive du chantier de Notre-Dame à partir de lundi

"Dans le cadre de la reprise progressive de l'activité à partir de lundi, j'ai veillé à ce que les mesures et procédures adaptées soient mises en œuvre, afin de garantir le respect des gestes barrières et le maintien de la distanciation sociale", souligne dans un communiqué Jean-Louis Georgelin, chargé de piloter la restauration de l'édifice."Trois étapes" sont prévues à partir de lundi, "avec une montée en puissance des effectifs tout au long du mois de mai", précise l'Établissement public.Il s'agira d'abord de la "remise en fonctionnement de la base vie du chantier", puis d'une "reprise et achèvement des travaux" en cours à la mi-mars, et qui concernent notamment les "nouvelles installations de décontamination". Enfin, d'une "reprise des travaux complexes de sécurisation", dont la dépose de l'échafaudage sinistré et le montage d'un "échafaudage pour la dépose du grand orgue".La décision de relancer l'activité sur le chantier, suspendue depuis la mi-mars, "a été prise après instruction approfondie des conditions de reprise" avec notamment la maîtrise d'œuvre, les entreprises concernées et sur la base des "préconisations de sécurité sanitaire" élaborées par le gouvernement.Les compagnons travaillant sur le site auront des masques, l'accès à des distributeurs de gel hydroalcoolique et bénéficieront de "solutions d'hébergement" et de livraison de repas, précise l'Établissement public."Une réunion du collège interentreprises de sécurité, de santé et des conditions de travail (CISSCT) se tiendra lundi après-midi en présence des organismes de contrôle (Inspection du travail et Caisse régionale d'assurance maladie d'Ile-de-France)", précise l'organisme dans son communiqué.A l'occasion du premier anniversaire de l'incendie, le 15 avril, le président Emmanuel Macron a confirmé son objectif de reconstruire la cathédrale en cinq ans.Avant d'être suspendu en raison de la pandémie de coronavirus, le chantier avait déjà été brièvement arrêté l'été dernier, pour améliorer la protection des ouvriers vis-à-vis du plomb.
Il y a 5 ans et 8 jours

3 présidents de région demandent au gouvernement d'aller plus loin pour les loyers des commerces

Face au confinement lié au Covid-19, les premières annonces du gouvernement, "qui se sont suivies d'annulation de la part de certains bailleurs, vont dans le bon sens, mais ne seront malheureusement pas suffisantes", écrivent Alain Rousset (PS), Loïg Chesnais-Girard (PS) et Xavier Bertrand (ex-LR) dans une lettre au ministre de l'Économie Bruno Le Maire, dont l'AFP a obtenu copie.Selon eux, il est "important que le médiateur national" annoncé la semaine dernière par le ministre soit "nommé avant la fin de la semaine et qu'il puisse y avoir également un représentant régional"."Ce médiateur devra pouvoir analyser les dossiers au cas par cas car nous sommes bien conscients que certains bailleurs n'ont pas la solidité financière pour pouvoir supporter des annulations de loyers en cascade, notamment du fait du poids de la dette qu'ils peuvent avoir à rembourser", soulignent-ils.A leurs yeux, la question de l'annulation de certains loyers ne peut par ailleurs "pas se concevoir sur la seule période du confinement du 14 mars jusqu'au 11 mai" car "la reprise ne se fera que très progressivement"."Il est donc nécessaire de réfléchir dès maintenant à la mise en place d'un système de progressivité des loyers à partir de la reprise de l'activité. Sans cette progressivité, les entreprises ne pourront malheureusement pas faire face sereinement à la crise économique liée au Covid-19", jugent les trois présidents de région en demandant à Bercy de "réunir rapidement les représentants des commerçants, des bailleurs et des banques".
Il y a 5 ans et 8 jours

L'indemnisation du Covid-19 comme maladie professionnelle jugée "très insuffisante"

Le Covid-19 sera reconnu de façon "automatique" comme maladie professionnelle pour le personnel soignant, mais pas pour les autres catégories de travailleurs, qui devront se soumettre aux procédures classiques, avait indiqué mardi le ministre de la Santé Olivier Véran devant l'Assemblée nationale."Nous sommes loin du compte", dénoncent la Fnath (association des accidentés de la vie) et l'Association nationale des victimes de l'amiante. "Le personnel soignant bénéficiera d'une reconnaissance automatique en maladie professionnelle et les autres devront engager des procédures longues, coûteuses, et vraisemblablement vouées à l'échec".La Fnath et l'Andeva "dénoncent le mépris affiché par le gouvernement avec une indemnisation au rabais pour ceux qui ont risqué jusqu'à leur vie pour assurer à une population confinée une garantie de soin, d'alimentation et de livraison"."Après les éloges et les engagements du président de la République à propos de ces +soldats de 1ère et 2e ligne+, c'est une bien piètre reconnaissance que la Nation leur réserve", concluent les deux associations qui "souhaitent rencontrer au plus tôt le ministre de la Santé et la ministre du Travail pour trouver une solution plus satisfaisante pour les victimes".L'Unsa Fonction publique demande mercredi que "le dispositif de maladie professionnelle soit étendu à tous les agents engagés sur le terrain, dans les hôpitaux, auprès des Français, dans le cadre de leur mission".Pour le syndicat, "il parait normal qu'un enseignant accueillant des élèves, qu'un policier procédant à un contrôle, qu'un hospitalier exerçant à l'hôpital puissent bénéficier des dispositifs liés aux maladies professionnelles dans la fonction publique". Le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner avait d'ailleurs plaidé en faveur d'une telle reconnaissance pour certains de ses agents.Au-delà de la seule fonction publique, Force ouvrière "revendique l'élargissement, au-delà des soignants, du dispositif de reconnaissance automatique en maladie professionnelle du Covid-19 pour tous les salariés exposés dans le cadre de leur activité", et pense notamment "aux secteurs de la distribution, de la logistique, aux éboueurs, aux travailleurs sociaux, aux postiers, aux personnels de sécurité..."Interrogée mercredi sur le sujet à l'Assemblée lors de la mission d'information sur le coronavirus, la ministre du Travail Muriel Pénicaud a expliqué "qu'il y avait des maladies professionnelles qui n'existent que dans le monde professionnel, ça c'est facile, mais il y a beaucoup de maladies, c'est le cas du Covid-19, où la contamination peut avoir lieu partout, c'est le droit commun a priori qui s'appliquera"."Toute personne peut faire un recours", a-t-elle dit, "si elle a des séquelles", et ce "sera évalué par les commissions spécialisées".
Il y a 5 ans et 8 jours

La France adopte finalement sa feuille de route énergétique

La programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) pour 2019-2028 "est adoptée", selon un décret paru au Journal officiel.Son adoption était initialement attendue fin 2018, mais ce texte aux multiples implications aura pris beaucoup de retard.Un second décret, visant l'adoption de la stratégie nationale bas-carbone (SNBC), a également été publié jeudi. Celle-ci fixe comme objectif la neutralité carbone de la France à l'horizon 2050."Nous publions aujourd'hui des textes écologiques structurants, qui impliquent la décarbonation de tous les secteurs d'activités et qui incarnent notre volonté intacte de poursuivre la transition écologique de notre pays", a souligné Elisabeth Borne, la ministre de la Transition écologique et solidaire, dans un communiqué.Les arbitrages dans le secteur de l'énergie avaient été esquissés dès la fin 2018 par le président Emmanuel Macron et le projet de PPE avait ensuite connu plusieurs versions avant d'être soumis à consultation en début d'année.Sur le nucléaire, le gouvernement confirme l'objectif de fermer 14 réacteurs d'ici 2035, dont les deux de la centrale de Fessenheim (Haut-Rhin) qui doivent s'arrêter cette année. Le premier a déjà été arrêté en février, le second doit l'être le 30 juin.La France cherche ainsi à réduire sa dépendance au nucléaire en ramenant sa part dans sa production d'électricité à 50% en 2035, contre plus de 70% aujourd'hui.Sur le fond, la PPE publiée jeudi reprend pour l'essentiel le texte qui avait déjà été rendu public et mis en consultation. Il ne diverge que sur quelques mesures techniques portant sur les réseaux de chaleur (avec une sortie accélérée du charbon) et le photovoltaïque, selon le ministère de la Transition écologique et solidaire."Nous nous réjouissons de la publication de la PPE, qui donne, dans ce moment particulier de notre histoire, de la visibilité à nos différentes filières et confirme l'engagement de la France dans la transition énergétique", a salué Jean-Louis Bal, le président du Syndicat des énergies renouvelables (SER)."Mais, nous devrons tous être très attentifs aux moyens mis en oeuvre pour atteindre, dans les délais, les objectifs fixés", a-t-il ajouté, dans un communiqué.Des ONG de défense de l'environnement ont en revanche critiqué le texte, estimant qu'il manquait d'ambition."Le gouvernement s'est refusé à intégrer les mesures complémentaires nécessaires à l'atteinte des objectifs climatiques - pourtant insuffisants - et de baisse de la consommation d'énergie de la France", ont jugé dans un communiqué commun plusieurs associations (Réseau Action Climat, Amis de la Terre, Greenpeace, France Nature Environnement...)."Il acte ainsi l'écart entre les discours et les actes et se prive de leviers clés pour une reprise économique compatible avec l'Accord de Paris", ont-elles estimé.
Il y a 5 ans et 8 jours

Covid-19 : comment accompagner les entreprises lors de la sortie de la crise sanitaire ?

Le Covid-19 bouleverse durablement le rapport au travail des Français et il est source d'enseignements pour les entreprises. Elles ont fait un certain nombre de constats dans ce moment si particulier. Renforcer l'usage du télétravail45% des actifs ne travaillent plus du tout, seulement 1 sur 4 se rend encore au travail, les autres exercent en télétravail. Si sa pratique explose, une fracture territoriale demeure : 41% des actifs télétravaillent en Ile-de-France contre seulement 11% en Normandie, par exemple. Plus généralement, le télétravail a maintenu l'activité des cadres, alors que les employés et salariés l'ont soit perdu, soit se trouvent contraints à exercer en « présentiel ». La crise met donc en lumière les capacités, mais aussi les disparités technologiques de nos entreprises à s'adapter à leur environnement. En sortie de crise, une réflexion de fond devra être engagée pour aider les différents secteurs à s'équiper, donc à pousser plus loin, les dispositions de la Loi PACTE qui a donné un cadre légal au télétravail. En effet, il est probable qu'il s'imposera comme une pratique beaucoup plus généralisée ; les trois-quarts des Français souhaitant qu'il se développe davantage à l'avenir (76%).La solidarité entre les acteurs économiques Dans une économie intégrée où les entreprises sont pour la majorité, exposées au contexte international tant sur le plan de l'approvisionnement, de la circulation des biens, des personnes et des flux monétaires, la solidarité doit s'exercer. C'est-à-dire, qu'elles devront partager et développer l'effet réseau entre elles. Des solutions par secteur ?Si le 11 mai pourrait être une date de redémarrage des activités en France, toutes les entreprises ne vont pas répondre immédiatement et de concert. Leur activité sont de nature complémentaire d'un point de vue macroéconomique. Pour autant, chacune à ses spécificités propres. Par ailleurs, la mise en place de la distanciation sociale et des gestes barrières vont générer des adaptations et des nouvelles charges. Notamment dans le secteur du BTP, déjà touché par le blocage des matières premières aux frontières et l'arrêt des chantiers. Près de 90 % des chantiers seraient ainsi à l'arrêt en France, selon la Fédération Nationale des Travaux Publics (8.000 entreprises et 300.000 salariés). Leur logistique va être également perturbée, comme pour toutes les PME et ETI en général, encore plus spécifiquement dans le commerce et l'automobile. Enfin, s'agissant, du e-commerce, les négociants ou commerçants qui s'étaient déjà digitalisés ou qui ont opté pour ce processus durant la crise, bénéficieront d'une nette avance dans la poursuite de l'activité. Les avantages du e-commerce, de la dématérialisation, des flux et des outils collaboratifs ne seront alors plus à prouver. Dans le secteur de l'hôtellerie et de la restauration, dont la date de reprise est inconnue à ce jour, les précautions sanitaires devraient être très lourdes là aussi, alors que les coûts fixes resteront inchangés, voire massifs. Par conséquent, l'économie peut se réactiver mais son fonctionnement habituel ne pourra être restauré en partie que par une souplesse propre à chaque secteur d'appartenance. Enfin, le COVID-19, source de risques psycho-sociologiques ne disparaîtra pas des consciences du jour au lendemain. 7 actifs sur 10 disent avoir peur d'attraper le virus en retournant au travail (71%). Cette tendance pèsera sur la reprise.Quel plan de trésorerie ?Au delà des aspects sanitaires qui priment sur tout, la sortie de crise imposera de nouveaux plan de gestion pour les entreprises. En plus des aides de l'Etat, du prêt sans garanties et des dispositifs de soutien, il sera indispensable de mettre en place un plan prévisionnel de trésorerie dans chaque structure économique. Il visera indéniablement à la survie de l'entité et à son redressement en sortie de crise. Ce plan de trésorerie risque toutefois d'être complexe à élaborer, dans la mesure où l'augmentation de l'endettement de chacun, se traduira probablement, dans certains secteurs, par une augmentation des primes de risque. Les imprévus vont se multiplier. Il convient donc de réaliser 3 scénarios : pessimiste, réaliste et optimiste. De plus, de bonnes pratiques, comme le report à l'amiable ou la négociation d'un échéancier, donnera une vision claire des fluctuations possibles. Une seule certitude pour l'heure : cette crise bouleverse la manière dont les entreprises s'organisent, travaillent, interagissent. Mais une chose est certaine : le digital, la dématérialisation et les outils de gestion en ligne seront en mesure d'apporter des réponses à ces immenses défis, en rapprochant les individus et en créant de nouveaux services entre les acteurs économiques. Le programme de stabilité pour 2020 (PSTAB) sur lequel travaillera la Commission européenne fin avril, devrait être de nature à éclairer le dirigeants et les pouvoirs publics. Du moins, espérons-le.
Il y a 5 ans et 8 jours

Covid-19 : continuité des processus de qualification et aménagements exceptionnel

L'occasion de rappeler pourquoi la qualification est un atout pour les entreprises, et le restera lors de la reprise de l'activité, et comment Qualifelec accompagne et continuera d'accompagner le développement de l'ensemble de la filière, notamment sur de nouveaux marchés. Continuité et fiabilité du processus de qualificationDurant le confinement, les équipes de Qualifelec se sont organisées pour être opérationnelles, en télétravail, et restent joignables au 01 53 06 65 20, du lundi au vendredi de 9h30 à 12h, et par mail (contact@qualifelec.fr). Tous les dossiers de qualification (initiaux, renouvellements, modifications et annuels) reçus par Qualifelec avant le 17 mars sont en cours de traitement. Les comités de qualification poursuivent également leur travail à distance, et cela, toujours dans un strict respect de la collégialité. Qualifelec peut, ainsi, continuer à étudier l'intégralité des dossiers reçus, en garantissant l'objectivité et l'équité des décisions prises par ses comités.Pour rappel, les comités de qualification sont constitués de qualificateurs issus des trois collèges composant les instances de Qualifelec. Le vote des représentants des organisations professionnelles de la filière (collège A) a le même poids que celui des représentants des clients et prescripteurs d'entreprises qualifiées (collège B) et celui des Institutionnels (collège C). Ce sont donc l'ensemble des acteurs du marché qui décident de l'attribution des qualifications aux entreprises. Cette organisation collégiale garantit la force et la fiabilité de la qualification Qualifelec.Aménagements exceptionnelsToutes les entreprises qui le peuvent sont donc invitées à compléter et renvoyer leur dossier ou les pièces manquantes de leur dossier, soit par mail, soit, pour les dossiers "annuels", en passant par leur espace client, en respectant l'échéance de leur cycle de qualification. Pour les entreprises qui n'auraient pas cette possibilité ou qui rencontrent des difficultés dans leurs démarches, Qualifelec adapte ses règles : un nouveau certificat de qualification sera automatiquement transmis (peu avant la date d'échéance). Sa date de validité pourra être prolongée jusqu'au 30 juin, voire jusqu'au 30 septembre 2020 en fonction des cas. La prolongation des dates de validité des certificats est un aménagement exceptionnel qui permettra à toutes les entreprises de rester qualifiées lors de la reprise de l'activité.Les audits programmés, ou à réaliser, sont logiquement reportés. Les entreprises concernées seront tenues informées des nouvelles dates d'audit, lorsqu'il sera possible de les reprogrammer. Leurs qualifications ne seront pas suspendues.Enfin, si cela s'avère nécessaire, les équipes de Qualifelec feront tout leur possible pour porter une attention particulière aux spécificités des "cas particuliers". Une garantie de qualité pour accompagner "la relance"Depuis sa naissance en 1955, Qualifelec est déterminé à agir pour l'amélioration continue de la filière électrique et énergétique. Nous apportons aux clients la meilleure garantie de satisfaction, de sécurité et de performance des installations. Dans la période qui s'annonce, cette mission s'avère d'autant plus nécessaire.En 2019, le gouvernement a témoigné de sa volonté d'accélérer les travaux de rénovation énergétique via des dispositifs financiers fortement incitatifs. Les pompes à chaleur ont ainsi fait l'objet d'une aide renforcée. Dans ce contexte, Qualifelec a un rôle à jouer pour lutter contre les travaux de mauvaise qualité et la fraude. L'année dernière, notre organisme de qualification a mené différentes actions dans ce sens : signature de la charte de qualité de l'AFPAC (Association française pour la pompe à chaleur), lutte contre le démarchage abusif de certaines plateformes téléphoniques, partenariat avec EDF pour favoriser des travaux de rénovation énergétique de qualité, etc.).Par ailleurs, Qualifelec s'engage à ce que ses entreprises qualifiées proposent systématiquement des contrats de maintenance des installations de Pompe à Chaleur à leurs clients. C'est le seul organisme de qualification à avoir créé un indice Maintenance dans sa qualification relative aux pompes à chaleur.A la reprise de l'activité, Qualifelec poursuivra sa mission pour protéger le consommateur en lui garantissant des travaux de rénovation énergétique de qualité, et ce, avec le souci de la performance dans la durée.En 2019, un travail de concertation avec les acteurs du marché nous a conduit à créer la mention Colonnes Montantes, désormais prescrite par Enedis (suite à une disposition de la loi Elan qui prévoit le transfert au réseau public de distribution d'électricité de l'ensemble des colonnes montantes, au plus tard le 23 novembre 2020). Au-delà de l'adaptation aux évolutions réglementaires, Qualifelec sait aussi accompagner les entreprises vers de nouveaux marchés, comme celui de la mobilité électrique (avec la mention Infrastructures de Recharge de Véhicules Electriques).A la reprise de l'activité, Qualifelec continuera de répondre aux enjeux liés aux nouveaux modèles de production et de consommation de l'électricité, à la transition énergétique, à l'intégration des technologies du numérique (pilotage des énergies, smart city, smart building...), en accompagnant la montée en compétence des professionnels sur des marchés à fort potentiel de développement, tout en maintenant l'exigence de qualité.« D'une ampleur inédite, la crise que nous traversons sera suivie d'une reprise de l'activité que nous espérons la plus dynamique possible, et ce, le plus rapidement possible. Qualifelec a été créé après-guerre, en pleine période de reconstruction du pays. Pour cette nouvelle période de relance, les professionnels du génie électrique et énergétique et leurs partie-prenantes doivent pouvoir s'appuyer sur une garantie fiable de qualité, de performance et de sécurité. Qualifelec accompagnera l'évolution de l'ensemble de la filière, notamment sur de nouveaux marchés. » - Yves Jalageas, Président de Qualifelec
Il y a 5 ans et 8 jours

Covid-19 : Le Groupe Enr'Cert plaide pour le maintien du Green Deal

Cette décision serait un non-sens sur le plan sanitaire, économique et environnemental. Santé et climat étant étroitement liés, le Green Deal doit rester au premier plan. Il est l'une des solutions à la sortie de crise.L'Union Européenne doit profiter de cette occasion unique pour établir une barrière carbone aux frontières de l'Europe, qui rendra tangible le coût environnemental de nos consommations.Ce changement de doctrine doit s'accompagner d'un soutien clair aux relocalisations et aux circuits courts. L'efficacité énergétique est l'un des meilleurs outils pour ce faire : elle rendra notre société plus économe, moins sensible aux fluctuations des prix de l'énergie et donc plus résiliente.L'efficacité énergétique est également un levier puissant pour nos entreprises qui, affaiblies par la crise actuelle, y verront un moyen de réduire leurs coûts tout en diminuant leur empreinte environnementale.Pour les ménages, c'est un gain de pouvoir d'achat qui pourra être réinvesti utilement au sein d'une économie davantage tournée vers le long-terme.La rénovation énergétique est également créatrice d'emplois non-délocalisables, impliquant des compétences et des niveaux de qualifications variés, et qui seront l'un des ingrédients de la relance.“La crise sanitaire doit être un catalyseur et non un frein en matière d'efficacité énergétique.” déclare Gaëtan THORAVAL, directeur général d'Enr'Cert.
Il y a 5 ans et 9 jours

Covid-19 : Grohe revoit sa production en Europe

Pour ses trois sites de fabrication allemands, les calendriers de production et les différentes installations ont été adaptés pour respecter les recommandations et directives officielles en matière d'hygiène et de sécurité du personnel.La production à Albergaria, au Portugal, est suspendue depuis le 30 mars 2020, en raison des dernières réglementations gouvernementales et de l'intensification de la situation dans cette région. Une reprise de l'activité est prévue pour le 12 avril 2020.Outre les usines européennes, le site de fabrication de Klaeng en Thaïlande suit également des procédures strictes, telles que des contrôles de température des employés, afin de garantir des normes d'hygiène et de sécurité.Avec ses nouvelles mesures, la marque GROHE veut préserver la sécurité et la santé de son personnel ainsi que soutenir les efforts mis en place pour contenir la pandémie. Sur tous les sites, les différentes mesures et réglementations sont constamment révisées et font l'objet d'ajustements si nécessaire.GROHE travaille en étroite collaboration avec ses partenaires commerciaux pour gérer les niveaux de stock dans toute la région EMENA, en tenant compte des circonstances et des exigences des différents marchés.« Avec la propagation du nouveau coronavirus à travers le monde, nous assistons à une situation sans précédent. Au cours des dernières semaines, l'impact s'est accru tant sur la société que sur l'économie. Compte tenu de la dynamique générale, nous avons dès le début évalué la conjoncture afin de déterminer les actions nécessaires. C'est maintenant que nous renforçons les mesures existantes pour mieux protéger nos employés », déclare Thomas Fuhr, directeur général de LIXIL International et de Grohe AG.
Il y a 5 ans et 9 jours

Quatre nouveaux revêtements de sol haut de gamme s'ajoutent à la collection MOSO® Bamboo Elite

MOSO® a également amélioré les fonctions techniques du revêtement de sol : une stabilité accrue avec une lame nettement plus large et un système de clic pour une installation facile en pose flottante. La gamme Bamboo Elite affirme ainsi son originalité, tout en conjuguant durabilité et esthétisme contemporain.Extra large pour créer un aspect luxueuxLe format XXL donne non seulement l'impression que les espaces sont plus spacieux, mais il apporte aussi une touche d'élégance supplémentaire. Les lames MOSO® Bamboo Elite Premium se démarquent aussi par ses grandes dimensions ; elles présentent une largeur de 190 mm, soit 31 mm de plus que les lames Bamboo Elite originales, qui sont déjà plus larges que la plupart des lames bambou disponibles sur le marché. Ce nouveau format de lame est rendu possible par la stabilité améliorée des couches intermédiaires de bambou lamellé croisé. MOSO® comprime les lamelles de bambou selon un processus de fabrication optimisé.Des couleurs et finitions tendances Les quatre nouvelles versions sont disponibles dans deux styles différents : Vertical et Density®. L'aspect naturel du revêtement de sol en bambou durable est accentué par un verni extra mate avec une légère pigmentation blanche. Bamboo Elite Premium est disponible dans les versions suivantes :À l'instar de tous les revêtements de sol MOSO®, une attention particulière a été accordée aux aspects environnementaux lors du développement des quatre nouveaux produits ; ces derniers sont déjà conformes à la nouvelle réglementation sur les émissions qui entrera en vigueur en Allemagne en 2020. Aux versions vernies Caramel et Naturel White, s'ajoute une finition huilée pour le style vertical Caramel. La collection Bamboo Elite est désormais disponible dans toutes les structures et couleurs de bambou : vertical, horizontal et Density®, Caramel et Naturel.Un sol en bambou massif répondant aux plus hautes exigences Bamboo Elite Premium Density® est très stable grâce à la structure symétrique d'une couche supérieure et inférieure de bambou Density®. La dureté Brinell élevée, allant jusqu'à 9,5 kg/mm² (EN 1534), lui confère une résistance à l'usure impressionnante : il est plus robuste que tout autre parquet en bois. Ainsi, a longue durée de vie des sols Bamboo Elite Premium est garantie 30 ans. Ces propriétés techniques sont complétées par la classe de feu particulièrement élevée allant jusqu'à Bfl-s1 (versions Density®, selon la norme EN 13501-1), ce qui rend le parquet Bamboo Elite Premium Density® spécialement adapté aux applications résidentielles, mais aussi aux applications commerciales telles que les bureaux, les restaurants et les magasins de détail. Grâce au système de clic, la pose flottante du revêtement de sol permet de gagner du temps. Lors de la pose sur un sol chauffant ou dans le secteur commercial, MOSO® recommande de coller entièrement le revêtement de sol sur le support.Écologique - plus qu'une simple déclaration L'écologie fait partie intégrante des valeurs de la société MOSO®. Le bambou Moso est une graminée qui atteint les caractéristiques du bois dur après une période de croissance d'environ 5 ans. Il peut être récolté pour être transformé. Pendant cette période, le bambou Moso croît six fois jusqu'à la maturité de la récolte. La plante ne meurt pas après la récolte ; sa culture ne provoque donc pas de déforestation. Le rapport ACV (Analyse du Cycle de Vie) réalisé par la TU Delft (ISO 14040/44) montre que Bamboo Elite Premium, évalué sur l'ensemble de son cycle de vie, est certifié CO2 neutre. Grâce à des résultats de tests supplémentaires et à sa disponibilité optionnelle en tant que revêtement de sol certifié FSC®, le sol en bambou massif contribue à l'évaluation des certifications de bâtiments durables telles que LEED et BREEAM.Prix public : 78 -98€/m² (sans TVA)
Il y a 5 ans et 9 jours

Covid-19 : Pierre et Vacances va demander un prêt garanti par l'État

Le numéro un européen des résidences de loisirs a fait état d'un chiffre d'affaires semestriel en baisse de 5,7% sur un an, à 696 millions d'euros. Son seul pôle touristique - cœur de l'activité du groupe - affiche une légère croissance de 0,7% sur la période, close fin mars."La croissance significative des performances opérationnelles du groupe pré Covid-19 a permis de compenser les effets court-terme de la crise", commente Pierre et Vacances dans son communiqué.Il fait état d'un manque à gagner de 31 millions d'euros pour ses activités touristiques "lié à la fermeture de la quasi-totalité" des sites lors de la deuxième quinzaine de mars.Ainsi, outre les domaines Center Parcs fermés depuis mi-mars, les résidences Pierre & Vacances ont vu leur saison d'hiver réduite des 4 dernières semaines, leur ouverture en balnéaire reportée en France et en Espagne. Quant à Adagio, une dizaine d'aparthotels est maintenue en exploitation pour des longs séjours et des personnels soignants."Dans ce contexte, le groupe met en œuvre des mesures exceptionnelles de réduction de ses coûts et de préservation de sa trésorerie", telles que le recours à l'activité partielle ou la suspension du paiement des loyers pendant les périodes de fermeture.Pierre et Vacances indique avoir "mobilisé l'ensemble de ses sources de financement afin de surmonter la période d'absence de revenus touristiques", mais annonce qu'en complément, "par précaution liée à l'incertitude des dates de réouverture de ses sites, il instruit un dossier de Prêt garanti par l'État", dont le montant n'est pas précisé.Il indique également travailler sur "la finalisation d'un offensif plan de relance qui sera engagé dès que seront délivrées les autorisations de réouverture".Dans la suite du déconfinement, le groupe estime que "la demande de séjours touristiques familiaux devrait être intense et concentrée sur les marchés domestiques".Le groupe indique poursuivre parallèlement la mise en œuvre de son plan stratégique lancé en janvier, se disant "confiant dans sa stratégie de rentabilité pérenne".Avec ce plan baptisé "Change Up", Pierre et Vacances, déficitaire depuis 2011, vise un retour à la rentabilité dès 2021, via un plan d'économies de 50 millions d'euros.
Il y a 5 ans et 9 jours

Covid-19 : Moscou inaugure un hôpital inspiré de l'expérience chinoise

Situé à Golokhvastovo, un village à 70 km au sud-ouest de la capitale russe, le projet s'est inspiré de la construction en Chine d'hôpitaux en des délais record pour endiguer l'épidémie."A la différence d'établissements similaires qui ouvrent dans beaucoup de pays en période de lutte contre la maladie Covid-19, ce centre va fonctionner à titre permanent", a souligné la mairie de Moscou dans un communiqué."Après la fin de la pandémie, toutes sortes d'infection seront traitées ici", a-t-elle précisé.Plus de 500 personnes ont déjà commencé à travailler dans cet hôpital d'une capacité de 800 lits ayant accueilli ses 20 premiers patients lors des dernières 24 heures, selon la même source.Au total, l'établissement, dont la capacité pourrait être élargie à 900 lits, prévoit d'employer plus d'un millier de spécialistes médicaux.Des travaux sont toujours en cours d'achèvement sur le site, qui dispose d'un laboratoire et d'un foyer pour le personnel, selon un journaliste de l'AFP qui a visité l'hôpital lundi.Plus de 3.000 ouvriers ont participé à la construction de cet hôpital, entamée à la mi-mars.La propagation du nouveau coronavirus a mis à l'épreuve les hôpitaux de la capitale russe, épicentre de l'épidémie en Russie avec 29.433 cas recensés mardi.Au total, 52.763 cas et 456 décès du coronavirus ont été officiellement enregistrés dans le pays, qui n'a pas encore atteint son pic épidémique.
Il y a 5 ans et 9 jours

Dans les communautés Emmaüs, le destin de 5.000 compagnons suspendu aux dons

"On pourra passer avril en grattant sur les économies, mais la réalité, c'est qu'Emmaüs pourrait très bien ne pas survivre à cette crise", alerte Antoine Sueur, président de la communauté Emmaüs Liberté à Ivry-sur-Seine, en banlieue parisienne.Pour la première fois de son histoire, après le vibrant appel à une "insurrection du don" de l'Abbé Pierre au cours de l'hiver 1954, Emmaüs France a lancé un appel à la générosité.En 70 ans d'existence, Emmaüs était pourtant devenu un phalanstère prospère, venant en aide à 20.000 précaires, les logeant, les hébergeant, les réinsérant.Parmi eux, près de 5.000 compagnons. Hérauts de la décroissance, ils vivent de la collecte des objets que les autres jettent, dans 119 communautés à travers la France. Retaper, revendre: "offrir une seconde chance aux hommes et une seconde vie aux objets", c'est un des credo de l'association.Mais aujourd'hui, faute d'activité due au confinement, les communautés créées par l'Abbé Pierre en 1949 se retrouvent sans le sou et les compagnons, menacés de retourner à la rue.A Ivry, 45 hommes et femmes sont logés, nourris, blanchis, contre un peu de travail. "Ici, on fait vivre une quarantaine de personnes sans que ça coûte un euro à la société", lance M. Sueur. Mais depuis le 17 mars, tout s'est arrêté.Celui qui réceptionnait les trésors collectés dans le fond des greniers a posé son couteau sur un canapé encore emballé, celles qui triaient les dons de vêtements destinés à la revente ont laissé des piles à moitié faites sur une table.Dans les plus de 2.000 m2 de dépôt encombrés d'armoires et de vaisselle, ici, une poupée nue sur une pile de jouets abîmés attend un coup de lustre. Là, des piles de livres abandonnés avant d'avoir pu être triés, rangés, répertoriés.La plupart des communautés Emmaüs sont touchées par le manque d'argent. Au début du confinement, elles ont fait jouer l'entraide, les plus riches ont donné aux plus pauvres. Mais après cinq semaines, la solidarité est à l'os et les fonds de tiroir ont été raclés.Pour relancer la mécanique enrayée par le confinement, l'association a besoin de 5 millions d'euros. "Nous sommes condamnés à mort si nous ne recevons pas d'aide", dit simplement M. Sueur. "Tu manges, tu dors"Depuis 11 ans, Georges, 62 ans, est compagnon à Ivry. D'origine portugaise, sans famille en France, il n'a, à un moment de sa vie, plus trouvé de travail parce "trop vieux", lui disait-on.Il s'occupe d'habitude de la vaisselle dans le bric-à-brac. Avec la suspension des activités, il s'est recyclé dans les cuisines et prépare désormais les repas. Une manière de s'occuper, "si je reste dans la chambre, c'est la cata", dit-il.Il ne trouve pas toujours les mots pour se raconter mais ça, il le dit tout net: "Si ça ferme ici, je suis dans la merde"."Ici tu manges, tu dors, et c'est déjà beaucoup", reconnaît Sembala, un sans-papier de 22 ans, là depuis un an.Dans ce monde de déshérités, les sans-papiers ont remplacé ces dernières années les ex-taulards et les hommes brisés par la Seconde guerre mondiale, la guerre d'Indochine, puis celle d'Algérie, qui avaient fait les premiers compagnons.Pas moins de 27 nationalités sont représentées parmi les 45 compagnons de la communauté d'Ivry.Originaire du Mali, Sembala a déjà connu la rue, en France, et avant, en Grèce. L'idée d'y retourner le rend nerveux: la misère, les repas tirés des poubelles, il se souvient. "J'ai peur", dit-il.
Il y a 5 ans et 9 jours

Covid-19 : le cap des dix millions de salariés au chômage partiel dépassé

"Ce matin, en France, il y a 10,2 millions de salariés dont le salaire est payé par l'État, par le ministère du Travail, car ils sont en chômage partiel", a déclaré Mme Pénicaud sur BFM Business.Ce dispositif, qui permet au salarié d'être indemnisé à hauteur de 70% du salaire brut et 84% du salaire net, concerne désormais 820.000 entreprises, soit plus de 6 sur 10."C'est considérable, on n'a jamais fait ça dans notre pays", a-t-elle poursuivi, ajoutant que ces chiffres continuaient à augmenter "jour après jour".La crise du coronavirus a mis un coup d'arrêt à de nombreux secteurs professionnels, notamment l'hôtellerie-restauration, où 9 salariés sur 10 sont au chômage partiel, et le BTP, où 93% des salariés sont également au chômage partiel, a-t-elle détaillé."On voit l'ampleur de la tâche pour le retour au travail dans le déconfinement (...) Plus la crise dure, plus les lendemains seront difficiles", a ajouté Mme Pénicaud, disant vouloir "travailler avec toutes les professions, les syndicats, pour que le travail puisse reprendre progressivement, en respectant pleinement les conditions de sécurité".Pour Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT interviewé dans Le Figaro, "le dispositif de chômage partiel ne devra pas être arrêté du jour au lendemain et la politique de soutien à l'emploi devra être maintenue bien après le début du déconfinement"."Le risque est en effet grand que les entreprises les plus en difficulté, notamment dans le secteur des bars, hôtels et restaurants aujourd'hui totalement à l'arrêt, suppriment des emplois", dit-il.Plus généralement, le plan d'urgence mis en place par le gouvernement "est globalement efficace". "Cette crise marque, en tout cas, le retour en force et la nécessité de l'État protecteur qui sait être présent quand il faut amortir les chocs".Mais le leader syndical note toutefois des problèmes: "Certaines entreprises, dans les transports ou l'alimentaire, ne respectent toujours pas les règles sanitaires et mettent en danger leurs salariés. La situation des soignants, qui luttent au quotidien contre le virus, est toujours préoccupante. Certaines entreprises, comme le cabinet de conseil Sopra Steria, l'opérateur SFR ou certains établissements privés d'enseignement sous contrat, abusent également du chômage partiel alors que la situation ne le justifie pas, en faisant télétravailler leurs salariés".
Il y a 5 ans et 9 jours

Parc éolien de Saint-Brieuc : les pêcheurs opposés aux études techniques

"Les professionnels de la pêche informent (le porteur du projet) Ailes Marines et RTE (Réseau de Transport d'électricité, ndlr) qu'ils ne laisseront aucun navire venir faire ces campagnes en baie de Saint-Brieuc tant que des éléments scientifiques sur les effets de ces études techniques ne sont pas portés à notre connaissance", souligne le comité des pêches des Côtés d'Armor dans un communiqué de presse.Les pêcheurs s'opposent aux études techniques sur les zones de pêche en l'absence "d'éléments scientifiques (...) sur les effets du bruit liés à des opérations de forages et d'ensouillages sur les espèces d'intérêt halieutique".Lors des échanges avec les pêcheurs, "Ailes Marines et RTE n'ont pas apporté ces réponses, ni même abordé ce volet", souligne le comité des pêches, qui affirme même que les deux sociétés "ont l'intention de débuter ces études au cours du mois de mai prochain, sans même avoir pris en compte les demandes des professionnels de la pêche"."Ailes Marines et RTE pensent pouvoir passer en force !!", dénoncent les marins pêcheurs, qui évoquent un contexte déjà "très compliqué" en raison des "nombreux épisodes de tempêtes de l'hiver" et de "la crise liée à l'épidémie de coronavirus".Le projet de parc prévoit 62 éoliennes de 216 m à environ 16 km des côtes les plus proches de la baie de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor). D'une puissance de 496 MW, le parc permettrait d'alimenter 835.000 foyers en électricité.Le consortium Ailes Marines est détenu à 70% par l'espagnol Iberdrola.
Il y a 5 ans et 9 jours

Covid-19 : les artisans du bâtiment très fortement impactés par la crise sanitaire

"L'artisanat du bâtiment fait face à une crise économique sans précédent consécutive à la crise sanitaire du Covid-19", a résumé dans un communiqué Patrick Liébus, président de la la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb).Au premier trimestre, selon les chiffres extrapolés par la fédération après sondage auprès de ses adhérents, l'activité du secteur, qui va de la construction de maison à la rénovation énergétique, a chuté de 12% par rapport à un an plus tôt, un effondrement jamais vu.Cette chute ne donne même pas la pleine mesure des effets de la crise du coronavirus car ce n'est qu'à la mi-mars qu'un strict confinement a été mis en place pour lutter contre la propagation de la maladie, contraignant de nombreux secteurs économiques à un ralentissement voire un arrêt total.A ce titre, quatre cinquièmes des entreprises de l'artisanat du bâtiment sont à l'arrêt, selon la Capeb. Les autres sont, pour l'essentiel, en activité réduite.Les adhérents ont dû s'arrêter pour de multiples raisons, dont l'impossibilité à s'approvisionner, mais la principale - dans plus de deux tiers des cas - reste le refus d'un client particulier de reprendre un chantier.Après une période de tensions avec le gouvernement, le secteur du bâtiment a pourtant mis en place des règles sanitaires, destinées à permettre la reprise des chantiers, mais celle-ci peine à se faire.Pour mettre en place ces mesures, les artisans du bâtiment ont besoin d'une aide financière du gouvernement, selon la Capeb, qui estime impossible de répercuter sur leurs clients particuliers les coûts supplémentaires.Qui plus est, en matière de régulation, "il faut des fois faire tomber certaines barrières", a jugé mercredi Christian Vabret, président par intérim de la Chambre de métiers et de l'artisanat (CMA), sur la chaîne BFM Business. Des "organismes de contrôle sont en train de bloquer les chantiers", a-t-il regretté.
Il y a 5 ans et 9 jours

Appel à la création d'un fonds d'urgence pour les travaux d'économies d'énergies

"L'ampleur de la crise actuelle appelle à mettre en place en urgence un dispositif de soutien massif auprès des TPE et PME de cette filière, qui sont un maillon essentiel du dispositif des certificats d'économies d'énergie (CEE) et plus largement de la rénovation énergétique du pays", soulignent les signataires dans une lettre au Premier ministre Edouard Philippe.Ce fonds, géré par les pouvoirs publics, serait alimenté financièrement en échange de CEE par les fournisseurs d'énergie qui souhaiteraient s'engager dans cette démarche solidaire, expliquent-ils.Pour eux, il s'agit d'"assurer la survie d'entreprises en difficulté et de relancer au plus vite la dynamique de travaux de rénovation énergétique"."En ciblant l'utilisation de ce fonds vers les TPE/PME présentant des garanties suffisantes quant au respect des règles, il appuierait la réforme en cours du dispositif des CEE notamment pour lutter contre la fraude", notent-ils.En outre, "grâce à la délivrance de CEE, la tension potentielle sur leur prix, inéluctable avec l'arrêt de la production pendant la crise, s'atténuerait", "évitant une flambée de la facture des clients", arguent-ils.Outre l'UFE, les principales fédérations de l'énergie (Afieg, Ufip, FFPI, Fedene...) et du bâtiment (FFB, CAPEB) portent cette initiative.Introduit en 2006, ce dispositif de certificats dits "CEE" oblige les fournisseurs d'énergie à financer des actions d'économies d'énergie (rénovation thermique des bâtiments, changement de chaudières, isolation, etc.), sous peine de pénalités.
Il y a 5 ans et 10 jours

Covid-19 : Elisabeth Borne a réuni les acteurs du secteur pétrolier

L'approvisionnement en produits pétroliers répond à des besoins du quotidien pour de nombreux Français et est essentiel à la vie économique du pays et à son fonctionnement. La ministre et les acteurs ont pu constater que l'approvisionnement était aujourd'hui totalement assuré dans un contexte de ralentissement très fort de la consommation des carburants routiers et aériens (de 60 à 95% de baisse selon les produits). Les stocks commerciaux des opérateurs pétroliers dans les dépôts sont à un niveau particulièrement élevé. Certaines installations ont dû réduire leur fonctionnement, pour ne pas s'arrêter et être opérationnelles lors de la reprise économique.Dans ce contexte économique difficile, la ministre a remercié les entreprises et leurs salariés pour leur mobilisation qui a permis le maintien des services essentiels, dont les stations-services sur les autoroutes - nécessaires en particulier pour les transporteurs routiers de marchandises – de même que les livraisons de combustibles aux particuliers ou de gazole non routier aux entreprises du BTP et du secteur agricole.Le ministère de la Transition écologique et solidaire reste attentif au bon fonctionnement de l'ensemble de la logistique des produits pétrolier, en lien avec les acteurs du secteur, pour continuer à assurer l'approvisionnement en carburant sur l'ensemble du territoire.Par ailleurs, Elisabeth Borne a annoncé le lancement d'échanges avec les représentants des opérateurs pétroliers afin de définir les principes et bonnes pratiques permettant de renforcer la continuité de l'activité du secteur, tout en assurant le respect des consignes sanitaires. Ces travaux permettront également de préparer la reprise de certaines activités et le retour progressif à la normale dans un contexte de déconfinement.
Il y a 5 ans et 10 jours

Covid-19 : une appli contrôle le port des équipements de protection

Permettre le respect des procédures de prévention sur chaque siteCette extension permet de procéder à la vérification de la conformité du port des équipements de protection individuelle par chaque intervenant sur un chantier ou site de production. Les clients donneurs d'ordre des plateformes Bativigie/Activigie peuvent ainsi s'assurer du bon respect des procédures de prévention définies pour leurs sites en matière de port des EPI. Une procédure simple, qui vient prolonger de manière concrète les préconisations de l'OPPBTP (l'organisme professionnel de prévention du BTP), visant à lutter contre la propagation du virus Covid 19, notamment par l'utilisation d'un masque de protection.« Très concrètement, lors d'un contrôle, l'opérateur en charge de celui-ci va systématiquement procéder à une vérification visuelle de la présence des équipements de protection attendus. Si un défaut est constaté sur un intervenant, celui-ci ne pourra pas accéder au chantier ou site de production. Une déclaration d'incident est activée par notre plateforme, avec une notification simultanée au donneur d'ordre et à l'entreprise employeur. Cette dernière devra alors s'assurer que son salarié dispose des équipements nécessaires et en adopte le bon port », détaille Frédéric Pradal, créateur et dirigeant des plateformes Bativigie/Activigie.Nouvelle version de l'application : à télécharger sans surcoûtLa nouvelle application est d'ores et déjà disponible, en téléchargement via Apple Store ou Play Store. Cette nouvelle version est entièrement gratuite, sans surcoût de service, pour les clients et utilisateurs des plateformes Bativigie/Activigie. Depuis 2015, Bativigie et Activigie fournissent aux donneurs d'ordre de la construction et de l'industrie des services de vigilance sous-traitance uniques en France. La plateforme logicielle sécurise les chantiers et sites industriels des risques liés au travail illégal, en permettant un contrôle des personnels via une application dédiée. Celle-ci, embarquée sur un simple smartphone, assure la vérification de la conformité des opérateurs présents sur un site au regard d'une douzaine de points de contrôle (carte d'identité, attestation Urssaf, déclaration de détachement…). Le système gère en amont l'ensemble des données et documents relatifs aux intervenants et garantit une traçabilité intégrale de la vigilance mise en œuvre, avec un reporting en temps réel sur les incidents. En cinq années, plus de 6000 chantiers ont ainsi été réalisés sous contrôle Bativigie.
Il y a 5 ans et 10 jours

Façade anglaise en bois brûlé Kebony

La délicate patine flambée apportée au bois Kebony prépatiné s’accorde harmonieusement avec l’esprit contemporain de cette maison individuelle située dans le nord de Londres, signée par le bureau d’architecture Claridge Architects. Les lames de « Hijo Ni Mirikiteki Na », réalisées par la société Shou Sugi Ban, sont posées en diagonale et apportent au bâtiment une palette de tons gris qui complètent le caractère suburbain des jardins environnants.Le nom de la société Shou Sugi Ban reprend un terme japonais se traduisant par « planche de cèdre brûlé ». Cette entreprise basée au Royaume-Uni fabrique du bois en utilisant la technique ancienne de bois brûlé, brossé ou pré-patiné, et travaille avec le bois Kebony pour offrir un produit d’apparence unique et intrigante. Développée en Norvège, la technologie brevetée Kebony est un procédé respectueux de l’environnement, qui modifie les résineux issus de sources durables en chauffant le bois avec de l’alcool furfurylique ; un sous-produit agricole. En polymérisant la paroi cellulaire du bois, les résineux adoptent de façon permanente les attributs du bois dur tropical, notamment une durabilité, une dureté et une stabilité dimensionnelle élevées. Le bois Kebony est ainsi le matériau idéal pour ce processus de bois brûlé, car il développe une surface intéressante ainsi qu’une teinte noire profonde, tout en conservant sa durabilité reconnue.M. Karl Harrison, fondateur de la société Shou Sugi Ban, commente son choix en ces termes : « Kebony est l’un des types de bois les plus durables sur lesquels nous travaillons – pour notre plus grand plaisir. L’effet “brûlé” met en évidence le grain du bois. La réaction de nos clients a été enthousiaste. Nous nous réjouissons d’avance de proposer dans l’avenir d’autres projets faisant appel à Kebony. »* Technologie KebonyLa technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Il y a 5 ans et 10 jours

Covid-19 : focus sur l'exposition des riverains à la pollution automobile

Des mesures locales en complément des modélisations nationalesEn complément entre autres des publications de l'Ineris sur l'évolution de la qualité de l'air en France, d'images satellites d'agences spatiales, des communiqués d'Atmo France et localement des différentes AASQA sur l'impact du confinement sur la qualité de l'air, Atmo France a réalisé un focus synthétique sur l'évolution des oxydes d'azote (NOx) à proximité des axes routiers à fort trafic grâce aux données historiques des stations de mesure des associations agréées en charge de la surveillances et de l'information sur la qualité de l'air en France. Les NOx proviennent en grande partie du transport routier ; or la baisse drastique de ce dernier est l'un des éléments le plus marquant du confinement pour l'ensemble du territoire métropolitain et outre-mer. Pour les personnes dont le lieu de vie est proche de grands axes routiers, leur exposition aux NOx est particulièrement importante.Grace à la surveillance et aux données de terrain des AASQA, il est possible de voir, sur tout le territoire, l'historique de la pollution de l'air à différents polluants, notamment aux NOx, ainsi que l'évolution de cette pollution.Pourquoi choisir les oxydes d'azote (NOx) comme indicateur ?Les NOx regroupent le monoxyde d'azote (NO) et le dioxyde d'azote (NO2) exprimés en µg/m3 équivalent NO2. La source principale d'émission de NOx en ville est le trafic routier pour plus de 2/3. Indicateurs de pollution du trafic routier, ces polluants sont règlementés par la législation européenne. Leur surveillance sur le territoire est obligatoire et le NO2 est une espèce particulière suivie en raison de sa toxicité. La France est, d'ailleurs, en contentieux avec la Commission européenne pour non-respect des directives concernant les concentrations de ce polluant dans l'air ambiant de nombreuses agglomérations. L'équilibre en NO et NO2 étant très sensible à la température, l'indicateur NOx est plus stable que le simple NO2 en période de variation importante de température.Les NOx sont également précurseurs d'autres polluants : dans certaines conditions climatiques et d'ensoleillement, ils réagissent avec certains polluants selon des processus physico-chimiques complexes intervenant dans l'atmosphère. Ils réagissent en particulier avec les composés organiques volatils (COV) pour conduire à la formation d'ozone troposphérique ou avec l'ammoniac (NH3) pour former des particules secondaires (dont les niveaux sont d'ailleurs restés soutenus certains jours pour une bonne partie de la France, malgré les mesures de confinement).Diminution importante des expositions aux oxydes d'azote (NOx) en bordure des axes de traficAtmo France avec l'appui des AASQA a analysé l'évolution des concentrations moyennes journalières en NOx du 1er au 31 mars 2020 sur des stations représentatives de l'exposition à la pollution dû au trafic dans les principales agglomérations françaises. Les émissions de NOx étant globalement en lien avec le trafic routier, les données de la station de référence à l'exposition du trafic ont été utilisées et ce, pour toutes les préfectures de région ainsi que pour les agglomérations de plus de 500 000 habitants.La baisse du trafic routier lié au confinement a eu pour impact une baisse globale des concentrations de NOx sur tout le territoire français métropolitain et outre-mer. Sur le mois de mars 2020, la mise en place du confinement a mené à une baisse des concentrations moyennes journalières en NOx proches des axes routiers de 50% à Bordeaux ; 70% à Toulouse ; 67% à Fort-de-France ; 69% à Dijon ; 62% à Rennes et 69% à Marseille par exemple (voir infographie ci-dessus).L'évolution des niveaux de NOx a également été analysée pour plusieurs agglomérations de plus de 500 000 habitants. L'impact de la baisse du trafic routier y est également visible sur les concentrations de NOx. Par exemple l'agglomération de Paris a observé une baisse de 73%, l'agglomération de Grenoble de 72%, l'agglomération de Toulon de 49% et l'agglomération de Nice de 69%.MéthodologieAfin de montrer l'impact du confinement sur la pollution en NOx, Atmo France a réalisé sur quelques stations trafic représentatives dans chaque agglomération un ratio entre la moyenne des concentrations journalières en NOx du mois de mars avant la mise en place du confinement (1er au 17 mars 2020) et au début du confinement (18 au 31 mars 2020). Exprimé en pourcentage, ce ratio indique l'évolution des niveaux de NOx mesurés sur les grands axes routiers en mars 2020 avant et pendant le confinement.Les concentrations journalières en NOx du mois de mars 2019 sont également renseignées sur les graphiques en partie III afin d'illustrer l'état des concentrations en NOx en 2019 à la même période*. La comparaison entre les mois de mars 2019 et de mars 2020 illustre aussi cette baisse des concentrations, tout en gardant à l'esprit que les variations observées résultent d'une part de l'impact du confinement sur la circulation mais aussi de conditions météorologiques qui ont pu localement être très différentes entre 2019 et 2020.* A la suite d'incidents techniques, dans certaines régions, quelques données journalières sont indisponibles. A noter que la réglementation oblige les AASQA à disposer d'au moins 90% de données sur l'année.
Il y a 5 ans et 10 jours

Covid-19 : l'UFME accompagne ses adhérents

Ayant à cœur de remplir pleinement sa mission de relais d'information et de soutien, l'équipe de permanents de l'UFME, en télétravail, reste quotidiennement à l'écoute des besoins et préoccupations de ses adhérents.En veille permanente, elle repère et diffuse les dernières informations gouvernementales et des autres organisations professionnelles du secteur. Les adhérents sont ainsi informés en temps réel :des nouvelles mesures liées à la loi d'urgence sanitaire et intégrées dans le code du travail,des préconisations de sécurité, un sujet cher aux adhérents qui priorisent avant tout la préservation de la santé des collaborateurs et des clients,des différents et récents guides de recommandations pour sécuriser les activités lorsque la reprise est en cours ou imminente.La récente diffusion à ses adhérents de son « Guide sur la reprise de l'activité « chantiers » dans le diffus Menuiseries intérieures & extérieures » illustre sa démarche d'adaptation des guides de préconisations sanitaires du BTP aux spécificités des métiers de la menuiserie, et dans un premier temps avec l'étape « métré ». Cet outil, résultat des travaux menés par le Groupe de Travail « Sécurisation des chantiers dans le diffus », présente des recommandations et des préconisations pour :définir les risques liés à son activité vis-à-vis des collaborateurs dans l'entreprise et sur le chantier, et des clients,adapter ses activités et son intervention sur le chantier en temps de crise sanitaire, en analysant les exigences préalables, en hiérarchisant ses chantiers et en définissant les conditions d'intervention du métreur chez le client.Lutter contre l'isolementSe revendiquant historiquement comme un soutien fort des industriels, l'UFME multiplie les prises de contacts régulières avec ses adhérents. Une manière de lutter contre l'isolement. L'équipe les aide à décrypter et assimiler les informations au fil de l'actualité, à appliquer les mesures sanitaires ou encore à regrouper les commandes de masques.
Il y a 5 ans et 10 jours

Loyers des commerces : la CPME pour un fonds abondé par les assureurs et le e-commerce

Si une solution est "en passe d'émerger avec les bailleurs institutionnels, la question reste pleine et entière pour les autres types de location commerciale", relève l'organisation patronale dans un communiqué.Les principales organisations de bailleurs ont appelé leurs adhérents à annuler trois mois de loyers pour les très petites entreprises (TPE) qui ont dû fermer au début du confinement, mais 16 fédérations de commerçants ont jugé insuffisante leur proposition qui ne concerne que les TPE bénéficiaires du fonds de solidarité.Aussi, pour ne pas "léser les bailleurs non institutionnels", la CPME propose que soit "mis en place un fonds dédié abondé par les assurances et par les géants du e-commerce"."Les assureurs qui mettent en avant des arguments juridiques pour refuser l'indemnisation des pertes d'exploitation, auraient ainsi l'occasion de démontrer leur volonté de prendre part plus significativement aux efforts consentis par tous pour venir en aide aux plus petites entreprises", argumente l'organisation.Tandis que les banques ont beaucoup augmenté les prêts accordés aux entreprises rencontrant des difficultés de trésorerie grâce au dispositif de prêts garantis par l'État à hauteur de 90%, les assureurs sont souvent accusés de ne pas en faire assez.Dans le cadre de l'élargissement du fonds de solidarité aux TPE, ils ont porté leur contribution de 200 à 400 millions d'euros."De la même façon, les géants du e-commerce qui dans la période actuelle voient sensiblement s'accroitre leur activité pourraient ainsi manifester leur solidarité avec les commerçants de proximité qui, eux, voient baisser sensiblement leurs volumes de ventes", poursuit le communiqué de la CPME.
Il y a 5 ans et 10 jours

Covid-19 : La récession et le déficit seront peut-être plus "impressionnants" que prévu, selon Darmanin

"Il y aura peut-être un troisième budget rectificatif avec des chiffres sans doute encore plus impressionnants", a affirmé le ministre sur France Inter.Le gouvernement a présenté la semaine dernière un nouveau projet de budget rectifié pour 2020, le deuxième en moins d'un mois. Voté dans la nuit de vendredi à samedi à l'Assemblée nationale, il est examiné mardi au Sénat.Il intègre une prévision de contraction du produit intérieur brut (PIB) de -8% cette année, un déficit de 9% du PIB, une dette publique de 115%. Alors que le précédent plan d'action prévoyait de mobiliser 45 milliards d'euros (dont des reports de charges et d'impôts) pour soutenir l'économie, la nouvelle mouture doit relever ces aides à 110 milliards d'euros."La stratégie du gouvernement est de s'adapter aux demandes économiques" des Français et des entreprises, a assuré Gérald Darmanin, ajoutant que le gouvernement "a préféré l'endettement à la faillite"."Nous sommes dans le montant de déficit et de dette jamais atteint depuis la seconde guerre mondiale", a-t-il insisté."Il n'y a pas de plafond (...) Aujourd'hui la France continue de pouvoir emprunter dans des conditions satisfaisantes (...) avec des taux bas", a-t-il encore ajouté.M. Darmanin a d'ores et déjà annoncé que les reports de charges pour les entreprises seraient prolongés pour les échéances du mois de mai.
Il y a 5 ans et 10 jours

Top 10 des meilleures villes où investir dans l'immobilier neuf selon son profil d'acquéreur

Les meilleures opportunités d'investissement dans l'immobilier neuf se trouvent actuellement dans les périphéries de grandes villes particulièrement dynamiques : Grenoble, Annecy, Genève, Paris, Toulouse, Marseille et Aix-en-Provence, Bordeaux. Les prix du neuf sont souvent supérieurs aux prix de l'ancien. Ce surcoût, justifié par la qualité des constructions et, dans de nombreux cas, compensé par les avantages fiscaux attachés au neuf, est bien moindre lorsqu'on s'éloigne (mais pas trop) des grandes agglomérations. Il y a donc de nombreuses pépites à découvrir lorsqu'on analyse systématiquement toutes les villes françaises où des biens neufs sont proposés. « Les villes mises en lumière par ce double classement proposent un environnement plus apaisé, plus vert, bien moins cher, et bien plus rentable que les métropoles qu'elles bordent. La méthodologie suivie dans cette étude a permis de ne sélectionner que des opportunités équilibrées d'investissement en veillant, au-delà de la rentabilité ou de la plus-value attendue, à ce que les risques (non location, impayé de loyer, éloignement des transports ou des services de base) soient également bien maîtrisés. » Commente Mathieu Morio, fondateur de GridkyClassement profil rentabilitéA seulement 2 km de Grenoble, Saint-Martin-le-Vinoux (38) arrive en tête de classement. La rentabilité locative brute des investissements y est de 6,5% (en prenant en compte l'avantage fiscal Pinel, et 4,5% sans cet avantage). Cette ville bénéfice à plein du dynamisme économique et éducatif de Grenoble (5ème ville la plus innovante du monde), tout en présentant des prix plus attractifs. Elle se situe au cœur du Parc naturel régional de Chartreuse tout en étant à 3 arrêts de tram de la métropole. La part des nouveaux ménages arrivant chaque année à Saint-Martin-le-Vinoux représente 35% contre 3,7% en moyenne nationale. La population a ainsi augmenté de 19% sur 5 ans sur cette zone.Arrive en seconde position du classement Allonzier-la-Caille (74), petite ville de 2.000 habitants située à 10 minutes d'Annecy et 20 min de Genève, placée en pleine nature tout en bénéficiant de la proximité avec 2 centres économiques majeurs. La rentabilité locative atteint 5,7% (avec levier fiscal). Reflétant cette situation privilégiée, le taux de logements vacants y est particulièrement bas, à 4,9% contre 7,1% au national.On retrouve en troisième place la commune d'Asnières-sur-Seine (92), qui figure régulièrement dans les classements des villes de banlieue les plus courues par les parisiens. Commune de l'ouest parisien située à moins de 15 min de la Défense, Asnières-sur-Seine bénéficie d'un cadre paisible et du charme des bords de Seine. La rentabilité locative dans le neuf, notamment dans le nouvel écoquartier Seine Ouest, est de 5,6% (avec levier fiscal). Ville aisée, le taux de cadres y atteint 33% contre 25% au niveau national.La Bouilladisse (13) est la quatrième ville où l'investissement d'un bien neuf est le plus rentable avec 5,5% (avec levier fiscal). La commune de 6.000 habitants bénéficie d'une position stratégique entre Marseille, Aix en Provence et Aubagne (accessibles en moins de 30 min). Reflétant ces avantages, la part des nouveaux ménages arrivant chaque année représente 7,6% contre 3,7% en moyenne nationale. Par ailleurs, le taux de logements vacants y est particulièrement bas à 5,5%, et les cadres, 27% des habitants, y sont fortement représentés.Balma (31), aux portes de Toulouse (accessible en 20 min par le métro A et plusieurs lignes de bus), arrive en cinquième position du classement avec une rentabilité de 5,5% (avec levier fiscal). Balma propose un bassin d'emplois sur place avec par exemple AG2R La Mondiale et plusieurs sièges de banques implantées localement. Il s'agit de l'une des communes les plus intéressantes en première couronne de Toulouse. La part des nouveaux ménages arrivant chaque année représente 35% contre 3,8% en moyenne nationale, et la population a augmenté de 19% sur 5 ans sur cette zone.Pontault-Combault (77), idéalement placée entre les pôles d'emplois de Créteil et de Marne-la-Vallée, et à seulement 30 min du centre de Paris en transports, Pontault-Combault est la sixième ville dans le classement Gridky. La rentabilité locative brute de l'investissement dans un bien neuf y est de 6% (avec levier fiscal), notamment en raison d'une forte demande locative. Il n'y a que 4,1% de logements vacants (presque deux fois moins que la moyenne nationale), et la balance démographique est de +5,1% sur 5 ans. Pontault-Combault est légèrement moins bien classée que les villes qui la précèdent en dépit d'une meilleure rentabilité, car le risque locatif y est un peu plus fort (tout en restant néanmoins excellent), avec un poids des loyers dans les revenus des habitants à 17% (au même niveau que la moyenne nationale).A 15 km de Perpignan, Saint-Cyprien (66) se place à la 7ème position du classement. Ville à la fois moderne et ayant gardé son atmosphère de village, Saint-Cyprien est située à 5 min de la mer. La rentabilité locative d'un appartement neuf y est de 6% (avec levier fiscal). La tension locative y est maximale avec seulement 0,2% de logements vacants. Il n'y a donc quasiment aucun logement disponible à la location sur la commune. Saint-Cyprien n'est toutefois pas classée plus haut en dépit de son excellent taux de rentabilité, car la croissance démographique, à 1,9% sur 5 ans, y est légèrement moins élevée que sur les villes mieux classées.Tournefeuille (31), commune de 27.000 habitants située à l'ouest de Toulouse, arrive en 8ème place. La proximité avec la ville rose, et ses nombreuses lignes de bus la reliant en 20 min, lui permettent de bénéficier de l'afflux démographique que connaît la région depuis plusieurs années : Tournefeuille a vu sa population croître de 2,6% sur les 5 dernières années, et l'arrivée de 12% de nouveaux ménages chaque année. Vous pouvez y espérer une rentabilité locative de 5,3% (avec levier fiscal).En 9ème position du classement, on retrouve Clamart (92). La rentabilité locative atteint 5,3%. Déjà à moins de 30 min de Paris en voiture, la commune va bénéficier du Grand Paris avec l'arrivée en 2024 de la ligne 15. Cette position privilégiée dans le sud-ouest parisien motive de nombreux nouveaux ménages à y emménager (+9,4% chaque année). Enfin, Clamart est en pleine mutation, avec l'émergence de nouveaux quartiers (le Panorama par exemple) offrant une haute qualité de vie.Gradignan (33), à seulement 9 km de Bordeaux, est à la 10ème place du classement. La rentabilité locative atteint 5%. La ville bénéficie d'un boom démographique avec une augmentation de 9,5% de sa population sur les 5 dernières années. La commune a vu son besoin en logements bondir, ce que reflète le très faible pourcentage de logements vacants (3%).Classement profil « plus value »Allonzier-la-Caille (74) passe en première position. Il existe sur cette ville certains biens neufs ayant un prix au m² de 3 760 €, ce qui est inférieur aux prix de l'ancien (qui se situent actuellement entre 2 826 € et 5 291 €), avec un prix moyen de 3 919 €. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 54%.Balma (31) arrive en seconde place. Le prix au m² des biens neufs est de 3 276 € face à un prix au m² dans l'ancien qui se situe actuellement entre 2 177 € et 4 124 € (avec un prix moyen de 2 973 €). L'écart de prix au m² des biens neufs par rapport au prix moyen dans l'ancien sur cette zone n'est ainsi que de 10%. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 53%.Asnières-sur-Seine est toujours troisième du classement. Le prix au m² de certains biens neufs est de 5 549 €, très proche du prix au m² dans l'ancien (qui se situe actuellement entre 3 563 € et 7 093 € sur cette zone, avec un prix moyen de 5 054 €). Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 60%.Fait son apparition en quatrième position du classement, la ville de Bruges (33), située au nord de Bordeaux. Le prix au m² des biens neufs est de 3 917 € en regard d'un prix dans l'ancien allant de 2 574 € à 4 771 € sur cette zone, avec un prix moyen de 3 524 €. Le neuf y est donc à peine 11% plus cher que l'ancien, ce qui est tout à fait attractif. Par ailleurs, si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 45%. La population a augmenté de 16% sur 5 ans sur cette zone, et le taux de logements vacants n'y est que de 3,2% (contre 6,9% au national).Saint-Martin-le-Vinoux se place en cinquième position. Avec des biens neufs accessibles dès 2 555 € alors que le prix au m² dans l'ancien se situe actuellement entre 1 757 € et 3 554 € sur cette zone, (avec une moyenne de 2 491 €), le prix de ce bien neuf est inférieur au prix maximum observé actuellement sur le marché de l'ancien, ce qui est tout à fait attractif. De plus, l'écart de prix au m² de ce bien neuf par rapport au prix moyen dans l'ancien sur cette zone est de 2,6%, alors que l'écart moyen entre le neuf et l'ancien est de 44% sur l'ensemble du marché. Ce lot est donc sensiblement moins cher au m² par rapport aux prix dans l'ancien que les autres biens neufs actuellement en vente. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 52% sur cette ville.Frontalière avec la Suisse (à moins de 30 min du centre-ville de Genève), la ville d'Etrembières (74) arrive en sixième place des villes où investir dans le neuf pour maximiser sa plusvalue. Le prix au m² des biens neufs est de 4 221 €, soit quasiment au même niveau que les prix de l'ancien qui se situent entre 2 924 € et 5 789 € sur cette zone, avec un prix moyen de 4 010 €. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 44%. La population a augmenté de 29% sur 5 ans sur cette zone.Autre ville frontalière avec nos voisins helvétiques, Gex (01) se place en septième position. Le prix au m² des biens neufs est de 3 685 € quasiment au niveau de l'ancien qui se situe actuellement entre 2 844 € et 5 595 € sur cette zone, avec un prix moyen de 3 574 €. De plus, si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 42%. La population a par ailleurs augmenté de 21% sur 5 ans à Gex.Première métropole du classement, Bordeaux (33) est la 8ème ville où il est le plus intéressant d'acheter un bien neuf pour espérer obtenir une belle plus-value. Le prix au m² des biens neufs les plus intéressants est de 4 449 €, ce qui n'est pas très cher en comparaison d'un dans l'ancien qui se situe entre 3 131 € et 5 845 €, avec un prix moyen de 4 307 €. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 49%.On retrouve la ville de Bouilladisse en 9ème place du classement. Le prix au m² des biens neufs est de 3 169 €, très proche du prix de l'ancien qui se situe entre 2 162 € et 4 362 €, avec un prix moyen de 3 011 €. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 45%. La population a augmenté de 2,3% sur 5 ans sur cette zone. La part des cadres dans les actifs sur cette zone (27%) reflète un environnement plutôt aisé.Biscarrosse (40) est 10ème .Le prix au m² des biens neufs est de 3 280 €, ce qui est inférieur à la moyenne du prix dans l'ancien : 3 442 €, avec un min de 2 530 € et un max de 4 651 € sur cette zone. Si les évolutions de prix observées historiquement se prolongent, la croissance des prix sur le marché de l'ancien, à un horizon de 15 ans, serait alors de 50%. La part des nouveaux ménages arrivant chaque année représente 14% contre 3,7% en moyenne nationale. La population a augmenté de 13% sur 5 ans sur cette zone.
Il y a 5 ans et 10 jours

Covid-19 : La FFB annonce une remise de 50% sur ses cotisations nationales du deuxième trimestre 2020

Alors que plus de 90% des chantiers se sont arrêtés à l’annonce du confinement, la FFB a décidé de participer significativement à l’effort collectif indispensable au soutien des artisans et entrepreneurs.La FFB rappelle qu’elle a demandé aux organismes professionnels – PRO BTP, SMA, BTP BANQUE, Caisses de congés payés – des mesures d’accompagnement pour les artisans et entrepreneurs du bâtiment. De la même façon, la Fédération contribue par une mesure financière directe à soulager les entreprises dans cette période particulièrement difficile.Les actions de la Fédération vont encore s’amplifier pour accompagner la reprise progressive de l’activité dans les meilleures conditions sanitaires, sociales, économiques, financières et juridiques, en lien avec les pouvoirs publics.Pour Jacques Chanut, président de la FFB « La sortie de crise sera collective ou ne sera pas. C’est bien dans ces moments que les valeurs de solidarité et de mutualisation prennent tout leur sens. Dans cette période, accompagner nos adhérents par une baisse de cotisations, c’est notre conception d’un syndicalisme patronal engagé et indépendant. Première organisation représentative des employeurs du bâtiment, la FFB témoigne ainsi de sa solidarité avec les artisans et les entrepreneurs qu’elle représente et défend. »
Il y a 5 ans et 11 jours

Covid-19 : appel à reprendre l'activité et assouplissements pour les Ehpad

Sommé par le président Emmanuel Macron de présenter un plan de déconfinement avant la fin avril, son Premier ministre Édouard Philippe en a dessiné dimanche les grands principes, sans entrer dans les détails.Une chose est claire: il n'y aura pas de retour à la normale avant de longs mois, mais il faut relancer un pays à l'arrêt depuis le 17 mars.La ministre du Travail Muriel Pénicaud a appelé lundi les chefs d'entreprises à reprendre leur activité s'ils le pouvaient en annonçant que 9,6 millions de salariés étaient actuellement au chômage partiel et dont le salaire est payé par l'État, soit près d'un salarié du privé sur deux.Le chômage partiel ne sera pas abandonné le 11 mai "sinon il y aurait des catastrophes", a-t-elle déclaré. "Mais ça va être dégressif".Le confinement sur huit semaines en France pour lutter contre l'épidémie de coronavirus va se traduire par 120 milliards d'euros de pertes pour l'activité, selon une étude publiée lundi par l'OFCE."Pendant la période de confinement, le produit intérieur brut (PIB) est réduit de 32%", correspondant à cinq points de PIB sur l'année 2020, précise l'Observatoire français des conjonctures économiques.Le gouvernement estime de son côté que le PIB reculera sur l'ensemble de l'année 2020 de 8% sous l'effet du choc économique.Masque, accessoire de mode ?Le gouvernement est toujours à l'œuvre pour trouver la formule qui permettra au pays de redémarrer tout en maintenant les précautions sanitaires qui reposeront sur les gestes barrière, des tests massifs et l'isolement des malades.Un assouplissement a été mis en place dès lundi pour humaniser l'isolement des personnes les plus vulnérables: le droit de visite est rétabli pour les familles dans les Ehpad et les établissements qui accueillent des personnes en situation de handicap, dans des conditions "extrêmement limitées", a annoncé dimanche le ministre de la Santé Olivier Véran.Face à "beaucoup d'inconnues" qui entourent encore le virus, les Français vont "devoir apprendre à vivre avec lui", a averti le Premier ministre."Il faut changer culturellement notre mode de vivre. Nous étions plutôt proches les uns des autres, cela va changer une des composantes fondamentales de notre société", a déclaré lundi Karine Lacombe, cheffe du service infectiologie de l'hôpital Saint-Antoine sur France Inter.Son confrère, Eric Caumes, chef du service des maladies infectieuses de la Pitié-Salpêtrière, espère de son côté que le port de masques, qui "apparaît comme la mesure barrière la plus efficace" "s'imposera par le simple bon sens". "Le masque pourrait devenir un accessoire de mode, espérons-le", a-t-il déclaré.Test virologiqueLes masques, et leur pénurie, restent un sujet de crispation majeur, alors que le plus gros avion-cargo du monde, l'Antonov An-225 Mriya, s'est posé dimanche à l'aéroport de Paris-Vatry (Marne) avec à son bord huit millions de masques médicaux en provenance de Chine.Les masques "grand public", qui seront produits en France à 17 millions d'exemplaires par semaine d'ici le 11 mai, seront eux probablement rendus "obligatoires" dans les transports publics.En ce qui concerne le dépistage, l'objectif du gouvernement est de pouvoir réaliser à partir du déconfinement 500.000 tests par semaine pour les personnes présentant des symptômes et celles ayant été en contact avec un malade du Covid-19, a indiqué M. Véran.Après le 11 mai, "si vous êtes porteur de symptômes (...) et que vous voulez savoir si vous êtes malade, ou si vous avez été en contact rapproché d'une personne dont on sait qu'elle est malade, vous pouvez, vous devrez bénéficier de ce test virologique", a assuré M. Véran.Le nombre de patients hospitalisés pour une infection au Covid-19 s'élevait dimanche à 30.610 dont 5.744 patients dans un état grave en réanimation. Il s'agit du onzième jour consécutif de baisse du nombre de patients en réanimation et du 5e de baisse consécutif des hospitalisés.Sur les 395 morts annoncés dimanche soir, 227 sont décédés à l'hôpital, soit le nombre le plus bas de décès à l'hôpital depuis quatre semaines (23 mars avec 186 morts).Ces statistiques traduisent la poursuite d'une "très lente décrue épidémique, mais le nombre de personnes hospitalisées reste très élevé", a-t-il souligné en appelant à ne pas relâcher les efforts alors que l'épidémie a désormais causé le décès de près de 20.000 personnes en France (dont un peu plus de 12.000 dans les hôpitaux).Le quotidien des 67 millions de Français continuera donc d'être bouleversé: "il n'est pas raisonnable d'imaginer voyager loin à l'étranger très vite", a indiqué M. Philippe, alors que le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, avait averti que "les mariages, les anniversaires, les grandes réunions familiales devront être évités dans les mois qui viennent".Sur la réouverture des école, un autre sujet polémique, M. Philippe est resté prudent, indiquant que plusieurs hypothèses étaient à l'étude, "par territoire" ou "par moitié de classe".
Il y a 5 ans et 11 jours

Delta Dore lance un plan d'aide à la reprise destiné aux professionnels du bâtiment

Plaçant l'humain au cœur de la stratégie d'entreprise, le groupe technologique s'engage auprès des artisans installateurs et des distributeurs pour les prochains mois. Ce dispositif, qui débute dès mi-avril avec des formations à distance gratuites se compose de plusieurs actions qui s'échelonneront jusqu'à la fin de l'année et seront communiquées prochainement.« Chez Delta Dore, nous avons agi très tôt contre le COVID-19 en mettant en place des mesures pour les collaborateurs et assurer leur sécurité sanitaire. Il nous semblait également important d'apporter notre soutien aux professionnels avec qui nous collaborons toute l'année, et plus particulièrement pendant les prochains mois. Grandir de cette situation difficile et totalement inédite impose que nous puissions tout mettre en œuvre pour s'aider les uns les autres » explique Pascal Portelli, président du directoire de Delta Dore.Phase 1. Préparer l'après-crise dès aujourd'hui avec des formations gratuites à distancePour répondre aux besoins des professionnels, Delta Dore a mis gratuitement à disposition, depuis le 14 avril, 5 modules de formation couvrant tous les domaines de la maison connectée :Comment préconiser un écosystème domotique ?Comment préconiser un système d'alarmeComment naviguer dans l'univers de l'IP et des réseaux domestiques ?Ainsi que des 2 formations sur les nouveautés Delta Dore : les caméras Tycam, la solution de comptage Tywatt ou encore les moteurs tubulaires pour volets roulants TymoovSous forme de classes virtuelles de 2 heures et accessibles jusqu'à 8 personnes, les participants ont ainsi la possibilité d'échanger avec les formateurs et experts Delta Dore qui leur permettront d'optimiser leur montée en compétences.Les premières sessions ayant été fortement plébiscitées avec 90% d'inscriptions en l'espace d'un jour et demi et un taux de satisfaction de 97%, de nouveaux créneaux sont disponibles jusqu'au mois de mai et pourront être ajoutés suivant les sollicitations des professionnels.Les formations qui ont remporté une forte adhésion : « Caméras Tycam », « Comment naviguer dans l'univers IP » et « Comment préconiser un écosystème domotique »Les thématiques et le planning des sessions de formationComment y participer ?
Il y a 5 ans et 11 jours

Rénovation d'une bâtisse à Glatens

Niché dans les hauteurs d'un petit village du Tarn-et-Garonne, le Château de Glatens, comme son adresse l'indique, a amorcé sa mue en vue d'accueillir de nouveaux hôtes. Erigé dans un parc de plusieurs hectares, il est devenu la propriété de la famille anglo-saxonne Parfitt, tombant sous le charme de cette grande demeure historique en 2017.S'en sont suivis de longs mois de chantier pour réhabiliter l'ensemble du bâtiment, en 2 phases de travaux réparties sur 2 ans. Dans ce cadre, le choix de la solution de chauffage et de rafraîchissement pour assurer un confort de vie intérieur optimal a constitué un enjeu majeur de cette réfection. Totale invisibilité Pour l'accompagner dans sa décision d'équipement, Justin Parfitt s'est appuyé sur le savoir-faire de Jérémy Bozoyan, gérant de l'entreprise EURL BOZOYAN basée à Saint-Aignan (82) et spécialisée dans les travaux de génie climatique/chauffage. www.bozoyan.fr« Ma société n'était encore jamais intervenue pour un projet d'une telle envergure » se souvient Jérémy Bozoyan. Dans leur cahier des charges, les propriétaires exigent une installation parfaitement intégrée au bâti, soit complètement dissimulée derrière des cloisons, grilles de soufflage et autres aménagements afin de limiter l'impact sur la décoration intérieure. Pour la phase 1 du chantier correspondant à la moitié du bâti, Jérémy Bozoyan préconise l'installation d'une unité de soufflage puissante de marque Daikin pour alimenter les 4 chambres du 1er étage par un réseau de gaine Airzone dissimulé en faux-plafond. L'unité de soufflage d'une puissance de 14 kW (référence FBA140A) et la pompe à chaleur éco-énergétique (référence RZASG140MV1) à laquelle elle est raccordée fonctionnent grâce à l'énergie renouvelable, l'air, permettant des économies d'énergie substantielles. Habituellement, la pompe à chaleur est installée à l'extérieur du logement, en façade du pignon, pour permettre au ventilateur de capter les calories présentes dans l'air et les restituer sous forme d'air chauffé l'hiver ou d'air rafraîchi pendant l'été. Au Château de Glatens, la famille Parfitt ne souhaitait aucun équipement apparent. De fait, Jérémy Bozoyon a eu l'idée de se servir de vastes combles pour abriter les installations, additionnées à un système de ventilation pour favoriser l'apport d'air neuf. Il a rajouté une pompe à chaleur de petite puissance (référence RXM35K) pour permettre le chauffage et le rafraîchissement de l'unique chambre du rez-de-chaussée. Dans cet espace immense, Jérémy Bozoyan a installé une unité console non carrossée de 3.5 kW (référence FNA35A) encastrée dans le mur, ne laissant apparaître qu'une grille de soufflage. L'ensemble de ces solutions Daikin fonctionnent au réfrigérant R-32, au faible potentiel de réchauffement planétaire. Bien que chaque chambre dispose de son propre thermostat, depuis sa chambre Justin Parfitt a la main sur les températures de toutes les chambres. Les unités disposent du WiFi pour permettre leur pilotage et la programmation de plages horaires de fonctionnement à distance, depuis un smartphone, un ordinateur ou une tablette via l'application Daikin Online Controller. « Le confort acoustique a constitué l'autre enjeu de cette opération. Monsieur Parfitt souhaitait l'équipement le moins sonore du marché. Daikin sait parfaitement répondre à ce besoin, proposant les solutions les plus discrètes du marché», raconte Jérémy Bozoyan. Ces travaux liés à la phase 1 ont démarré en mars 2018 pour prendre fin au printemps 2019, juste à temps pour accueillir de nouveaux locataires puisque la famille Parfitt a le projet de louer à la semaine sa propriété pendant 6 mois, chaque année.
Il y a 5 ans et 11 jours

Inquiétude à Marseille pour les personnes confinées dans des milliers de logements indignes

Dans une ville où l'effondrement le 5 novembre 2018 de deux immeubles vétustes de la rue d'Aubagne a fait huit morts et révélé l'ampleur du problème de l'habitat indigne, les signataires dénoncent un "homicide par négligence qui se prépare", dans une tribune publiée par le quotidien Libération. Depuis l'effondrement de ces bâtiments, 420 immeubles en péril et plus de 3.700 personnes ont été évacuées à Marseille.Les signataires de la tribune relaient notamment les inquiétudes d'architectes et d'ingénieurs du service de la ville de Marseille spécialisé dans ces problématiques, qui dénonçaient début avril dysfonctionnements et manques de moyens et le fait que, selon eux, 2.600 signalements d'immeubles soupçonnés d'être en péril n'auraient pas été traités.Selon un courrier qu'ils ont adressé à leur hiérarchie, dévoilé par le mensuel Le Ravi et consulté par l'AFP, 230 immeubles en péril grave et imminent et 180 immeubles en péril ordinaire ne sont pas suivis.Interrogée jeudi par l'AFP, la mairie n'a pas donné suite dans l'immédiat.A Marseille, "quelque 100.000 personnes parmi les plus pauvres se retrouvent aujourd'hui confinés" dans des logements indignes, s'alarment les signataires de la tribune, dont le Collectif du 5 novembre, la Ligue des Droits de l'Homme, la Fondation Abbé Pierre, ou encore des syndicats."De nouveaux drames se rapprochent irrémédiablement et se vivent chaque jour dans le confinement des 40.000 logements potentiellement indignes que compte la ville" et "nous refusons d'attendre de nouveaux morts", poursuivent-ils.Les signataires appellent le maire LR Jean-Claude Gaudin à suspendre "immédiatement" son adjoint chargé de ces questions et demandent à l'Etat de prendre la main "au titre de son pouvoir de police subsidiaire", "face aux carences structurelles et durables du management des services municipaux".
Il y a 5 ans et 11 jours

Meljac met la couleur à l'honneur

En matériaux nobles, tous les produits MELJAC sont fabriqués en France et labellisés Origine France Garantie.Une palette de choix pour voir la vie en couleursMELJAC propose des modèles pétillants et colorés pour une esthétique rayonnante, adaptée aux envies de chacun.Les matériaux nobles utilisés comme le laiton, le verre et la porcelaine de Limoges peuvent revêtir la teinte recherchée qui s'accordera avec la décoration d'un intérieur. Chaque modèle est personnalisable avec de la gravure.Les collections en laiton et en verre trempé peuvent revêtir les nombreuses teintes du nuancier RAL. Les produits en porcelaine (émaillée ou biscuit) existent en une trentaine de couleurs à sélectionner dans une palette spécifique. Des motifs personnalisés peuvent y être peints à la main. MELJAC propose également une gamme en plexiglass et sait rendre ses produits discrets pour mettre en valeur les couleurs d'un revêtement mural :
Il y a 5 ans et 11 jours

Covid-19 : 9,6 millions de salariés au chômage partiel en France

"Ce matin, ce sont 9,6 millions de salariés qui gardent leur contrat de travail, sont au chômage partiel mais dont le salaire est payé par l'État", a indiqué la ministre sur RTL, évoquant une "situation tout à fait hors du commun, qu'on n'a jamais connue en France"."On est quasiment à un salarié sur deux dans le secteur privé dans le pays", a-t-elle souligné.Lors de la sortie du confinement, "le 11 mai, on ne ferme pas le chômage partiel, sinon il y aurait des catastrophes", a déclaré la ministre. "Mais ça va être dégressif, au fur et à mesure que l'activité reprend, on a besoin de moins de chômage partiel", a-t-elle précisé."Par exemple, si un chef d'entreprise qui a 100 salariés demain retrouve de l'activité, du marché, qui lui permet de rappeler 20 de ses salariés(...), à ce moment-là on continuera le chômage partiel sur 80 (salariés, NDLR), ça pourra être dégressif en proportion de la remontée de l'activité. C'est important car ça permet de ne pas être dans le tout ou rien", a affirmé la ministre.Muriel Pénicaud a également incité les chefs d'entreprise à relancer leur activité, "s'ils le peuvent, c'est-à-dire s'ils retrouvent des marchés, s'ils mettent en place les guides de bonne pratique en terme de santé et de sécurité qu'on a fait secteur par secteur".En respectant ces guides, au nombre de 31 pour l'instant, "vous respectez vos obligations de sécurité des salariés, donc vous êtes dans les clous" et cela permet "aux salariés de se dire +je peux aller en sérénité travailler+", a-t-elle estimé.