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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Batinfo

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Il y a 4 ans et 357 jours

R+MuR d'Alkern : la solution pour l'optimisation de la performance thermique des parois, validée par le CSTB

Le CSTB, à l'issue de la réunion de la Commission Chargée de Formuler les Avis Techniques, vient de valider cette solution en rendant son Avis Technique n°16/20-779-v1.Pour rappel, pour vos projets de bâtiments à étages, alkern propose la solution la plus économique du marché, permettant de combiner tous les avantages des blocs béton de granulats courants, en pose collée à la réponse aux exigences de la RT2012 et E+C-, grâce à l'optimisation du traitement des ponts thermiques. Ces produits innovants, sous marque de qualité NF pour les blocs et QB pour les planelles, s'assemblent pour vous proposer une réelle innovation système, conçue pour toutes les familles de bâtiments, et tous types de planchers. Cette solution est disponible en zone sismique et non sismique, ainsi qu'avec des blocs de hauteur 20 et 25 cm pour faciliter le calepinage. La continuité de la descente de charge est assurée grâce à l'alignement des parois des blocs. La résistance au feu est à minima de 30 minutes, sous 18.7T/m avec doublage PSE et jusqu'à 90 minutes avec doublage laine de roche.La solution est packagée pour optimiser sa bonne mise en œuvre sur le chantier :Mise en œuvre traditionnellePose colléeSolution « clef en main »Identification facile des éléments composant le kit ElipsiSur demande, démonstrateur présent au démarrage du chantierEnvie d'en savoir plus sur le R+MuR ? RDV sur le site internet www.alkern.fr pour télécharger la fiche technique et la documentation commerciale. De plus, les experts d'Alkern seront ravis de vous présenter ces solutions et produits en RDV ou en visio conférence.Premier fabricant indépendant de produits préfabriqués en béton en France, Alkern emploie plus de 1.200 collaborateurs et réalise un chiffre d'affaires d'environ 200 millions d'euros. Le Groupe s'appuie sur une cinquantaine de sites de production de produits béton avec une présence sur les secteurs du bâtiment, de l'aménagement extérieur et des travaux publics.
Il y a 4 ans et 357 jours

Covid-19 : Un mini-site de l'Urssaf pour informer les entreprises sur les nouvelles mesures d'exonération

Pour donner davantage de visibilité aux entreprises en difficulté, l’Urssaf met en place un mini-site dédié. Ce site a pour objectif d’accompagner les publics concernés en leur apportant un premier niveau d’information sur ces mesures, qui feront l’objet d’un débat au Parlement et seront précisées par la troisième loi de finances rectificative pour 2020 et par décrets.Les entreprises concernées :Entreprises de moins de 250 salariés des secteurs de l’hôtellerie, de la restauration, du tourisme, de l’événementiel, du sport, de la culture, du transport aérien et des secteurs dont l’activité est étroitement liée à celle des secteurs précités (pêche, blanchisserie, etc.) Entreprises de moins de 50 salariés des secteurs d’activité qui ont bénéficié d’un report de paiement des cotisations et qui justifient d’une baisse d’au moins 50% de leur chiffre d’affaires par rapport à la même période en 2019.Entreprises de moins de 10 salariés des autres secteurs d’activité qui ont fait l’objet d’une fermeture administrativeTravailleurs indépendants hors auto-entrepreneurs : des secteurs de l’hôtellerie, de la restauration, du tourisme, de l’événementiel, du sport, de la culture, du transport aérien des secteurs dont l’activité est étroitement liée à celle des secteurs précités (viticulture, pêche, blanchisserie, etc.)Auto-entrepreneurs : des secteurs de l’hôtellerie, de la restauration, du tourisme, de l’événementiel, du sport, de la culture, du transport aérien ou des secteurs dont l’activité est étroitement liée à celle des secteurs précités (viticulture, pêche, blanchisserie, etc.)Artistes-auteurs en BNC et ou traitement et salairesCe site internet sera accessible à l’adresse suivante : sur www.mesures-covid19.urssaf.fr et sera enrichi et mis à jour dans les prochaines semaines.
Il y a 4 ans et 358 jours

MND remporte la construction de la 2ème ligne du téléphérique urbain de Saint-Denis à La Réunion

D'une longueur de 1,3 km, ce téléphérique urbain reliera le quartier de La Montagne à celui de Bellepierre dans le centre de Saint-Denis. Il permettra de sécuriser et de désengorger la route de La Montagne empruntée quotidiennement par un flux de plus de 12.000 véhicules. En dehors de ses qualités d'écomobilité et de franchissement d'obstacles, ce mode de déplacement sûr, rapide, silencieux et accessible à tous, réduira les temps de parcours grâce à une alternative pérenne et performante à la route départementale 41. Il facilitera la mobilité des 13.000 habitants du quartier de La Montagne, tout en offrant au secteur de nouvelles opportunités de développement urbain, économique et touristique. Le téléphérique sera interconnecté aux réseaux de transports publics. Le montant de l'investissement pour sa construction s'élève à 39,8 millions d'euros, dont 13,9 millions d'euros pour MND.Un téléphérique urbain moderne, silencieux et novateurLe téléphérique urbain de La Montagne intègre les technologies les plus récentes et les plus avancées, alliées à un design des cabines aux formes fluides et arrondies. Le système retenu est un va-et-vient bi-câble avec une voie élargie à 16 mètres pour une forte résistance au vent (jusqu'à 120 km/h). Grâce à cette technologie, la vitesse des cabines est élevée et peut atteindre 45 km/h. Les deux cabines de 50 places au design unique seront composées de structures entièrement vitrées à protection anti-UV haute performance. Elles offriront ainsi un grand confort aux usagers et un panorama époustouflant à 360° sur Saint-Denis et son fabuleux environnement. Un téléphérique urbain qui produit 92% de ses besoins énergétiques annuels grâce au soleilInstallés sur le bâtiment de la station Vigie, les 600 m² de panneaux photovoltaïques produiront l'équivalent de 92% de la consommation électrique annuelle de l'installation.Un téléphérique urbain conçu pour s'intégrer parfaitement dans son environnement naturel et réduire l'impact environnemental et les émissions de CO²Le téléphérique urbain de La Montagne a été pensé pour respecter la biodiversité de la faune et de la flore de la zone protégée qu'il survole. Outre les gares de départ et d'arrivée, un seul pylône sera installé à proximité de la station Hôpital, réduisant ainsi au minimum l'impact du projet sur l'environnement. La hauteur du câble a été spécifiquement étudiée pour ne pas gêner le vol des oiseaux. Ce nouveau mode de transport contribuera à réduire considérablement les émissions de CO².« La CINOR, avec un premier chantier en cours à l'est de Saint-Denis, adopte une deuxième ligne du réseau de téléphériques pour améliorer la mobilité de ses habitants et aménager son territoire. Nous sommes en effet persuadés que le transport par câble est une solution d'avenir qui répond aux besoins des usagers du réseau de transport public CITALIS et correspond à la configuration de notre agglomération pour en assurer son développement urbain pérenne et durable. Pour le téléphérique de La Montagne, nous voulons sécuriser et fluidifier la route de La Montagne qui est un point dur de la circulation à Saint-Denis. La ligne aura également une orientation touristique marquée et les usagers pourront profiter d'une vue incomparable sur la baie de Saint-Denis. Le groupement Payenke[1] s'est démarqué avantageusement de la concurrence dans le cadre de la consultation pour ce marché de performance en valorisant les atouts du territoire. » - Mikaël Nacivet, Directeur des Projets de téléphérique à la CINOR.« En raison de l'urbanisation du secteur de La Montagne et de la nécessité de mieux raccorder ses habitants avec le reste de la ville, la CINOR a jugé primordial d'installer un moyen de transport collectif urbain sûr, innovant et adapté aux contraintes environnementales. Le transport par câble, avec un coût d'infrastructure nettement inférieur à celui des autres modes de transports collectifs, présente également l'avantage de consommer peu d'énergie. Notre groupement d'entreprises a su concevoir un téléphérique avec des technologies novatrices qui respecte et valorise ce territoire et son environnement » - Nicolas Chapuis, Directeur du pôle transport par câble du groupe MND. Caractéristiques techniques :Longueur : 1,3 kmDénivellation : 305 mètresVitesse initiale : 27 km/hVitesse maximale : 45 km/hDurée du parcours : moins de 4 minutesNombre de cabines : 2Capacité d'une cabine : 50 personnesCapacité initiale maximale annuelle de transport : 7,5 millions de passagersMontant total des travaux : 39,8 millions d'euros[1] Le groupement Payenke rassemble six entreprises complémentaires dont quatre d'entre elles sont basées à La Réunion : MND-LST, BARTHOLET, SOGEA Océan Indien-VINCI, SBTPC-VINCI, T&T, et Suez Consulting. Ce groupement aura pour mission la conception, la construction, et les opérations de maintenance du téléphérique de La Montagne. L'entreprise réunionnaise TTS interviendra quant à elle sur la partie maintenance en qualité de sous-traitant du groupement. Le Payenke (Paille-En-Queue) est un oiseau marin à la couleur blanche et aux longues lignes noires, c'est une espèce protégée qui se niche principalement dans les falaises notamment sur la route du littoral entre Saint-Denis et la Possession, dans le sud sauvage. Par son allure élancée, il est le symbole choisi pour ce nouveau téléphérique au tracé élégant et aérien.
Il y a 4 ans et 358 jours

Le pape met de l'ordre dans "la Fabrique de Saint-Pierre"

Cette décision survient après un signalement interne qui a conduit la justice vaticane à saisir des documents et des ordinateurs dans les bureaux de la Fabrique de Saint-Pierre, précise un communiqué du Saint-Siège publié mardi.Le 1er juin, le Saint-Siège s'était doté d'une nouvelle loi encadrant les appels d'offres pour ses dépenses internes, du jamais vu destiné à prévenir la corruption et faire des économies en pleine crise financière liée à la pandémie.C'est dans ce cadre que le pape François a nommé un nonce apostolique (ambassadeur du Saint-Siège), Mgr Mario Giordana, au poste de commissaire extraordinaire.Il sera chargé de "mettre à jour les statuts, clarifier l'administration et réorganiser les bureaux administratifs et techniques de la Fabrique", précise le texte du Saint-Siège. Il sera en outre assisté par un comité pour mener à bien cette "tâche délicate".La discrète Fabrique de Saint-Pierre, composée aujourd'hui d'une petite armée d'ouvriers spécialisés, a été créée au XVIème siècle, après la construction de la nouvelle basilique Saint-Pierre, pour laquelle ont été sollicités Bramante, Michel-Ange ou encore Raphaël.
Il y a 4 ans et 358 jours

La Cour des comptes appelle à un effort "dans la durée" mais sans "austérité" pour maîtriser la dette publique

"La soutenabilité de la dette constitue plus que jamais un enjeu, sinon l'enjeu essentiel pour les finances publiques", a affirmé son nouveau premier président Pierre Moscovici, lors d'une conférence de presse pour présenter le rapport annuel de l'instance sur la situation et les perspectives des finances publiques.Tandis que le gouvernement compte sur le rebond de la croissance l'an prochain pour réduire la dette et exclut toute hausse d'impôts, la Cour juge que "sans action de redressement, le déficit risque d'être durablement très élevé (...). La trajectoire de la dette ne serait alors pas maîtrisée".Le gouvernement s'attend cette année à une récession historique de -11%, avec un gonflement de la dette publique à près de 121% du produit intérieur brut (PIB), avant un rebond de l'économie l'an prochain.Mais pour la Cour, "il ne faut pas tout attendre" de la croissance, car même le scénario le plus optimiste d'une reprise rapide ne permettra pas à la France de retrouver son niveau d'endettement d'avant crise d'ici à 2030.Et celui-ci, avoisinant les 100% du PIB était déjà jugé préoccupant avant la crise par la Cour, qui enfonce le clou dans ce rapport."La France n'a pas abordé cette crise avec des finances publiques restaurées", note-t-elle pointant une "fatigue budgétaire" récurrente des différents gouvernements qui ont peu réduit la dépense publique et le déficit.Toutefois pour la Cour, l'effort "ne doit pas être trop brutal pour ne pas casser la reprise mais il doit être poursuivi avec constance pour obtenir des résultats tangibles"."La Cour préconise le sérieux (...), la prévisibilité, en aucun cas l'austérité", a insisté Pierre Moscovici.L'institution appelle ainsi le gouvernement à définir une trajectoire de désendettement dans la future loi de programmation des finances publiques "au plus tard" au printemps prochain. "Il n'y a pas besoin d'attendre", a estimé M. Moscovici.Cela permettrait aussi à la France de montrer à Bruxelles sa bonne volonté, dans la perspective d'une levée de la dérogation aux règles budgétaires européennes.Séparer la "dette Covid"Cette trajectoire devra notamment prévoir un "examen en profondeur" des dépenses publiques, pour privilégier les dépenses d'investissement, notamment dans la transition écologique et la santé, en parallèle d'un "effort accru de maîtrise des autres dépenses", juge la Cour.Par ailleurs, elle conditionne de nouvelles baisses d'impôts à des "hausses d'autres prélèvements ou de suppressions de niches" ou encore à "un effort encore accru de maîtrise de la dépense".Le gouvernement prévoit de diminuer les impôts de production qui pèsent sur les entreprises dans le cadre de son plan de relance attendu à la rentrée.Pour la Cour, les mesures de ce plan devront être "temporaires" et ciblées, sans financement par un surcroît d'endettement.Les conditions de taux d'intérêt bas sont "favorables" à de telles décisions, plaide-t-elle, alors qu'il y a un risque sur la "soutenabilité" de la dette en cas de remontée des taux, ainsi que d'aggravation de l'écart avec les autres pays de la zone euro.Dans cette hypothèse, "si elle n'avait pas entre-temps diminué son endettement public rapporté au PIB, la France se retrouverait dans une situation très difficile", avec le risque d'une envolée encore plus massive de sa dette et de difficultés pour la financer, alerte la Cour.Lundi, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a annoncé que le gouvernement allait traiter à part la dette publique issue de la crise. Cette dette, "nous la rembourserons en la cantonnant et en la séparant des 100 points de dette initiale", a-t-il affirmé devant les députés.A l'image de ce qu'il a fait pour la dette sociale, cantonnée dans la CADES (caisse d'amortissement de la dette sociale), avec un échéancier jusqu'à 2033, M. le Maire a ainsi évoqué la date de 2042 pour le remboursement de la dette Covid.Le premier président de la Cour des comptes a refusé de commenter cette proposition que l'instance "n'(a) pas expertisée".
Il y a 4 ans et 358 jours

Covid-19 : l'épargne issue du confinement pourrait réduire de moitié les pertes de l'économie française

"La grande différence par rapport à la crise de 2008, c'est que les ménages ont accumulé pendant le confinement beaucoup d'épargne, avec une diminution plus forte de leur consommation que de leurs revenus", a expliqué le directeur de l'OFCE Xavier Timbeau, lors de la présentation d'une évaluation de l'impact économique du coronavirus.Selon les chiffres de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), les ménages ont accumulé 55 milliards d'euros d'épargne forcée pendant le confinement et 20 milliards supplémentaires pendant la période de déconfinement qui a suivi pour atteindre un total de "75 milliards en l'espace de seize semaines".Pour M. Timbeau, ces 75 milliards d'euros représentent trois points de Produit intérieur brut (PIB), soit près de la moitié des 6,6 points perdus par l'économie française (175 milliards) pendant le confinement et le déconfinement, une dégringolade qu'il a qualifiée de "phénoménale"."L'utilisation de cette épargne va être déterminante pour la suite", a affirmé le directeur de l'OFCE, soulignant qu'elle constitue "un élément clef de la reprise de l'activité au cours du second semestre 2020 et de l'année 2021".Mais des incertitudes persistent sur le recours à cette épargne dans les prochains mois par le consommateur français, d'autant qu'une partie de la population a subi des pertes de revenus, notamment chez les indépendants ou ceux dont le chômage partiel n'a pas entièrement couvert leurs revenus."La répartition des 75 milliards (d'euros) d'épargne est inégale", a expliqué M. Timbeau, qui a rappelé que la crise pourrait s'aggraver en cas de deuxième vague de l'épidémie."Dans un scénario macroéconomique catastrophique avec beaucoup de destruction d'emplois (...) et des faillites d'entreprises, il est probable que les ménages conservent au maximum une épargne de précaution", a-t-il expliqué."La précaution face à une situation très incertaine peut conduire à thésauriser", a-t-il ajouté.
Il y a 4 ans et 358 jours

Le bâtiment prévoit une chute de 18% de son activité cette année et réclame un plan de relance immédiat

En 2020, "le bâtiment devrait chuter de 18% (et) ça serait 120.000 emplois en danger", a résumé Olivier Salleron, président de la Fédération française du bâtiment (FFB), lors d'une conférence de presse.C'est la première fois que la fédération évalue aussi précisément les conséquences de la crise du coronavirus et du strict confinement décrété en France entre mars et mai pour éviter la propagation de la maladie.Contrairement à d'autres secteurs, comme la restauration, les chantiers n'ont pas été officiellement contraints de fermer. Mais ils y ont, dans les faits, été largement obligés pendant des semaines, le temps d'instaurer des mesures sanitaires.Ces mesures restent au cœur des inquiétudes du secteur, malgré la reprise quasi complète des chantiers, car elles coûtent cher.Elles "sont aujourd'hui (...) très largement supportées simplement par les entreprises" plutôt que leurs clients privés ou publics, a prévenu M. Salleron. "Aujourd'hui, les entreprises travaillent à perte, elles perdent du pognon", a-t-il insisté.Le gouvernement a pourtant pris des mesures présentées comme des aides au secteur, à l'occasion du nouveau budget de crise examiné cette semaine à l'Assemblée. Il a annulé plusieurs mois de charges pour les petites entreprises ayant subi une chute de leurs revenus - une mesure qui va d'ailleurs au-delà du seul bâtiment - mais le secteur en veut plus et exige une suppression générale cette année.Plus largement, le secteur et le gouvernement sont en désaccord sur le calendrier de mesures dédiées au bâtiment. Celui-ci les veut dès maintenant, mais l'exécutif les réserve pour un grand plan de relance à l'automne.A ce titre, la fédération a présenté mardi son propre plan, évalué à cinq milliards d'euros par an. Il prévoit surtout d'élargir les aides destinées aux particuliers en matière de rénovation et de construction.Il s'agit en premier lieu de MaPrimeRénov', qui concerne les travaux d'isolation et que la fédération veut rouvrir aux ménages les plus aisés, actuellement exclus, ainsi qu'élargir aux résidences secondaires.En matière de construction de logements, l'organisation veut notamment relever les montants du prêt à taux zéro (PTZ), une aide à l'achat dont l'État a réduit l'ampleur ces dernières années.Téléchargez la note conjoncturelle de la FFB en cliquant ici.Le plan de relance proposé par la FFBRénovation énergétiqueLa mesure phare : dynamiser très fortement les travaux de performance énergétique globale en portant CITE/MaPrimeRénov’ à 400 €/ m² pour tous les ménages.En complément dans CITE/MaPrimeRénov’ : diminution du reste à charge pour les ménages modestes (400 €) et très modestes (200 €) ;réintégration des déciles 9 et 10 ;réintégration des chaudières au gaz THPE ;ouverture aux résidences secondaires en Zone de revitalisation rurale (ZRR).Surcoût budgétaire : 1,9 Md€ par an.Rénovation énergétiqueCEE : « coup de pouce » pour la rénovation globale des maisons individuelles ⇒ aide relevée d'environ 50 €/m² à 200 €/m² ;financement d'un nouveau Contrat d'accompagnement énergétique (CAE), permettant de suivre et conseiller un client après rénovation énergétique.TVA à 5,5% pour tous les travaux (1,4 Md€ par an).Accession à la propriétéRétablir un PTZ à 40 % du montant d'opération : pour les zones B2 et C dans le neuf ;pour les zones A et B1 dans l'ancien avec travaux.Porter la quotité à 60 % toutes zones si atteinte d'une performance énergétique « supérieure » : pour les constructions : « label RE 2020 » à définir ;pour les rénovations : saut de 2 classes du Diagnostic de performance énergétique (DPE) après travaux.Surcoût budgétaire : 0,6 Md€ par an.Investissement locatif privéRemplacer fiscalité confiscatoire + dispositifs fiscaux dérogatoires par un système de droit commun général, durable, simple et lisible : amortissement du prix d'acquisition du bâti sur 50 ans (2% l'an) dans le neuf et l'existant, pour le stock et le flux + amortissement accéléré sur 20 ans (5% l'an) si atteinte du « label RE 2020 » en neuf ;amortissement des travaux sur 15 ans + amortissement accéléré sur 10 ans si saut de deux classes DPE ;déductibilité du revenu locatif brut des intérêts d'emprunt (sans limite), des petits travaux et des charges locatives ;déficit foncier imputable sans limite sur le revenu global positif.Économie budgétaire : 0,5 Md€ par an.Non résidentielSuramortissement pour la construction de bâtiments non résidentiels privés.Majoration de 1 milliard d'euros de la Dotation d'équipement des territoires ruraux (DETR), notamment pour accompagner le déploiement de centres de collecte des déchets professionnels.Lancement d'un grand plan EHPAD.Mesures d'accompagnementObtenir l'assouplissement des deux recommandations du Haut Conseil de stabilité financière (taux d'effort < 33% et prêts immobiliers < 25 ans).Définir clairement ce qui est visé dans la lutte contre l'artificialisation.Choc de simplification administrative : division par deux des délais d'instruction des permis bloqués;accélération de la dématérialisation des permis ;création d'un permis déclaratif dans un périmètre sous permis d'aménager ou en zone d'aménagement concerté ;relèvement à 100.000 euros du seuil des appels d'offre.
Il y a 4 ans et 358 jours

Covid-19 : nouvelles aides pour les commerçants et artisans

La Banque des territoires va ainsi déployer avec les collectivités jusqu'à 100 foncières pour acquérir et rénover au moins 6.000 commerces sur cinq ans pour dynamiser les centres-villes délaissés, selon un document du ministère de l'Économie."Ces opérations contribueront à la lutte contre la vacance commerciale qui a doublé en France durant les dix dernières années, et à proposer des locaux à loyer modéré aux commerçants et artisans", d'après ce texte.La Banque des territoires apportera 300 millions d'euros de fonds propres et distribuera 500 millions d'euros de prêts pour cette opération, "et l'État travaillera avec les territoires pour financer une solution d'équilibre", a déclaré à des journalistes la secrétaire d'État à l'Économie Agnès Pannier-Runacher.Le but est aussi de proposer des locaux qui répondent mieux aux besoins des commerçants, a-t-elle précisé.En partie, ces projets s'appuieront "sur des sociétés existantes. Nous en créerons là où il n'y en a pas", a encore indiqué Mme Pannier-Runacher avant la présentation du troisième projet de loi de finances rectificative (PLFR 3) à l'Assemblée par le ministre de l'Économie Bruno Le Maire.Pour les petits commerçants ou artisans, le gouvernement prévoit aussi une prolongation en juin du fonds de solidarité hors du secteur du tourisme, pour lequel cette mesure était déjà prévue.Cette prolongation coûtera 500 millions d'euros et fera l'objet d'un amendement au PLFR 3, a indiqué Mme Pannier-Runacher. Elle vient s'ajouter à 400 millions d'euros d'allègements de charges déjà inclus dans le projet de loi.En outre, pour bénéficier du second volet destiné du fonds de solidarité, aux entreprises en grande difficulté, la condition de refus d'un prêt garanti par l'État sera supprimée.Enfin, le gouvernement veut accompagner les très petites entreprises pour faciliter leur transition numérique, partant du constat que les entreprises ayant une présence sur internet sont plus résilientes que les autres.
Il y a 4 ans et 358 jours

Le gouvernement souhaite boucler les dossiers liés à l'emploi rapidement pour limiter la casse à l'automne

"Nous avons encore beaucoup de travail dans les deux ou trois semaines", a résumé Muriel Pénicaud cette semaine.Alors que les annonces de suppressions d'emplois se multiplient, comme à Sanofi et Daher vendredi, la ministre du Travail doit déjà convaincre les entreprises de s'emparer dès le 1er juillet de la nouvelle "activité partielle de longue durée", "une alternative aux PSE" (plan de sauvegarde de l'empoi) pour les secteurs durablement touchés par la crise.Sur la base d'une "prévision d'activité partagée", le but est de négocier un accord d'entreprise (ou de branche) d'une durée de six à 24 mois qui définira un maximum de 40% d'heures chômées, compensées par l'Etat plus fortement que le chômage partiel de base, avec des engagements sur l'emploi."On va pousser les entreprises, notamment les petites et celles qui ne sont pas dans l'industrie", a assuré Geoffroy Roux de Bézieux (Medef). "Cela réclame du dialogue social, la CFDT est prête à s'engager", a affirmé Laurent Berger. Syndicats et patronat veulent rapidement "un accord type" rédigé pour les PME.Autre dossier urgent, le plan pour l'emploi des jeunes doit être finalisé d'ici à la fin de semaine prochaine après de premières aides déjà annoncées pour l'embauche d'apprentis et de contrats de professionnalisation.Alors que 700.000 jeunes sont attendus sur le marché du travail à la rentrée, "l'idée est d'aider tout le monde, du diplômé au sans diplôme" car "celui qui rate son entrée sur le marché du travail en paye le prix longtemps", explique-t-on à l'Elysée.Aide à l'embaucheLa mesure phare sera une aide à l'embauche, sous la forme soit d'une prime, soit d'un allégement de cotisations sociales.L'hypothèse d'une prime pour une embauche en CDI ou CDD de plus de six mois, avancée par le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, a la préférence du Medef, au motif que "l'effet de levier est plus fort pour les non diplômés que les allégements de cotisations patronales", déjà faibles pour les bas salaires.Mais une autre option, révélée par Les Echos, est sur la table: une exonération pendant trois ans, et jusqu'à 2,5 Smic, des cotisations non pas patronales mais salariales qui resteraient ainsi dans les caisses des entreprises. "On travaille sur plusieurs pistes qui feront l'objet d'une concertation avec les partenaires sociaux", indique-t-on au ministère du Travail. La CGT est contre cet allègement "car cela reviendrait à déshabiller une nouvelle fois la Sécu avec 10 milliards de pertes supplémentaires". Si la CFDT préfère une prime, elle met en garde "contre les effets d'aubaine ou de substitution".D'autres mesures sont en discussion, comme l'extension de la Garantie jeunes - un dispositif d'insertion avec un accompagnement renforcé - pour les jeunes peu qualifiés.Mais le dossier le plus épineux à trancher "d'ici fin juillet" reste celui de la réforme de l'assurance chômage, qui "fait partie des sujets sur lesquels nous ne sommes pas d'accord" entre exécutif et syndicats, a reconnu Mme Pénicaud.Les syndicats demandent l'abandon complet de la réforme de 2019, qu'ils ont toujours contestée, alors que la ministre parle de "bouger des curseurs".Si l'exécutif a fait comprendre qu'il reviendrait sur le durcissement de l'ouverture de droits (six mois de travail sur les 24 derniers depuis le 1er novembre contre quatre sur 28 avant), il reste flou sur deux mesures prévues au 1er septembre: le nouveau calcul de l'allocation pour ceux, souvent précaires, qui alternent contrats courts et chômage d'une part et la dégressivité après six mois pour les haut salaires d'autre part. Les dispositions pour lutter contre les abus de contrats courts (bonus-malus dans certains secteurs et taxe de 10 euros sur certains CDD) ont du plomb dans l'aile, Mme Pénicaud ayant fait remarquer que cela concernait surtout l'hôtellerie-restauration qui "essaye déjà de ressortir la tête de l'eau".Enfin, d'autres discussions sont aussi prévues sur la régulation du travail détaché et les sujets de formation et de compétences en prévision du plan de relance.
Il y a 4 ans et 358 jours

Reconvertir les friches polluées

Il y a 4 ans et 358 jours

Élisabeth Charrier, nouvelle déléguée générale de Cochebat

« Pour Cochebat, je souhaite développer des services autour de l'enjeu majeur que constitue l'économie circulaire. Et aussi, m'appuyer sur ma connaissance des organisations professionnelles pour créer des synergies avec d'autres organisations françaises et européennes en élargissant notre réseau ». - Élisabeth Charrier, nouvelle déléguée générale de CochebatÉlisabeth Charrier a débuté sa carrière en agence de communication, aux études marketing, avant de rejoindre un incubateur de start-ups, puis une start-up. Elle évolue ensuite dans des organisations professionnelles, comme la Fédération nationale du transport routier (FNTR), et c'est en 2020 qu'elle rejoint le regroupement des syndicats de la plasturgie SYPLAST auquel appartient Cochebat. Elle succède ainsi à Éric Châtelain.
Il y a 4 ans et 358 jours

La Caisse des Dépôts récompense 12 projets « pour la recherche en architecture et paysage »

Ouvert aux doctorants, aux enseignants-chercheurs et aux professionnels, cet appel à candidatures vise à distinguer pour la cinquième année consécutive des projets de recherche qui s’inscrivent dans l’une des thématiques suivantes : Agir pour préserver les équilibres climatiques et écologiques ; Accompagner la transformation territoriale ; Renforcer la cohésion sociale. Les chercheurs lauréats poursuivront leurs travaux grâce à une dotation annuelle de 15 000 € accordée par la Caisse des Dépôts. Par cet accompagnement, la Caisse des Dépôts entend valoriser les pratiques de recherche et d'innovation portées par les diplômés au sein des écoles, par les enseignants et par les agences, collectifs ou autres structures professionnelles. Les résultats de ces recherches constitueront un foyer de réflexion pour mieux anticiper les évolutions futures en matière d'architecture et de paysage. Les 12 projets lauréats ont été distingués par un jury composé d’universitaires, de professionnels et de représentants des pouvoirs publics. Les 12 lauréats poursuivront leurs travaux de recherche à partir de septembre 2020. Ceux-ci peuvent prendre la forme d’une thèse académique, d’un rapport d’étude sur des projets expérimentaux ou de livrables à destination du grand public. Les lauréats s’engagent à présenter chaque année un état d’avancement de leur projet de recherche qui conditionne le renouvellement de ce soutien. Les 12 lauréats de l’appel à candidatures 2020Nom(s) du/des lauréat(s)Titre du projet de rechercheÉtablissement de rattachementType de candidatureBARRAULT ThibautMELONI GiaimePRESSACCO CyrilL'épaisseur de l’architecture, Études sur les formes contemporaines de l’isolation.ENSA Paris-EstProfessionnelsBENABDELJELIL MeryamLa « Smart City », une transition du concept à la pratique. Quel(s) avenir(s) pour la mobilité ?ENSA Paris La VilletteThèse de doctoratCAMPEDEL SimonLe patrimoine des maisons de ville en midi toulousain face à la transition écologique. Manuel rétroactif de construction durable.ENSA ToulouseThèse de doctoratEMERY MarionLa contestation des projets d’autoroutes urbaines - 1956-1973. Paris en regard des grandes villes étasuniennes et européennes, San Francisco et Londres.ENSA Paris MalaquaisThèse de doctoratFONTAINE AmélieAgriculture en territoires habités : matrice et conflits – Construire des outils de cohabitationENSAP LilleThèse de doctoratKERAVEL SoniaLes enjeux de la représentation photographique dans la pratique des paysagistes concepteursENSP Versailles MarseilleHDRLENOIR AstridConstructions de l'urgence, architectures du provisoire face au temps longENSA Paris Val-de-SeineThèse de doctoratMIHAYLOVA Katerina FIORI SandraFermes U+ : faire architecture pour l’agriculture paysanneENSA LyonProfessionnelsPERRON AntoineLa machine contre le métier. Les architectes et la critique de l'industrialisation du bâtiment (France, 1940-1980).ENSA Paris BellevilleThèse de doctoratPETKOVA NataliaForm follows material. Le cas de l'architecture contemporaine en pierre massive.ENSA Paris MalaquaisThèse de doctoratSERRE MarionSALVIA GabrieleLe tiers foncier, une ressource pour les centres anciensENSA MarseilleProfessionnelsRUE Mathilde L’agroforesterie comme processus d’élaboration paysagère. Des agriculteurs-habitants engagés dans la transition écologique ?ENSP Versailles MarseilleThèse de doctorat
Il y a 4 ans et 358 jours

GBH (distribution) et NGE (BTP) obtiennent des prêts garantis par l'État

Ces deux prêts sont garantis à hauteur de 80% par l'État et correspondent au volet de mesures annoncées par le gouvernement pour soutenir les entreprises frappées par la crise du coronavirus.Les six prêts accordés à GBH et qui atteignent un total de 115 millions concernent ses six sociétés, Automobiles Réunion SN, Cotrans Automobile SAS, Cama, Société guadeloupéenne de distribution moderne, Martinique Automobiles SN et Guyane Automobile SAS.Face au confinement et à l'arrêt brutal de l'économie, le gouvernement a annoncé le 23 mars la mise en place de prêts garantis par l'État (PGE) aux entreprises, pour un montant total pouvant atteindre 300 milliards d'euros.Ces prêts sont garantis à 90% pour la plupart des entreprises et à 70% ou 80% pour les grands groupes.Début juin, le directeur général de la banque publique d'investissement (Bpifrance) Nicolas Dufourcq indiquait que près de 500.000 entreprises avaient déjà bénéficié d'un PGE pour un total de 85 milliards d'euros.
Il y a 4 ans et 359 jours

Le store latéral Ely de Bat adapté pour toute solution d'intimité

L'offre BAT reflète cette double âme avec des produits qui d'une part vous permettent de créer des environnements dédiés à la détente, d'autre part ils offrent de nouveaux espaces à utiliser pour étendre leur potentiel commercial.ELY est un nouveau store latéral capable de répondre aux besoins contemporains des restaurants, hôtels, hôtels de charme et autres environnements contractuels pour augmenter les espaces pouvant être utilisés par les clients en toute sécurité ou pour moderniser l'espace extérieur de leurs locaux.Il s'agit en fait d'un store à ouverture latéral qui peut être combiné en couleur et en tissu, qui est utilisé comme "séparateur" pour créer des zones distinctes. Parfait à la fois lorsque vous voulez plus d'intimité et pour les grands espaces extérieurs publics où vous souhaitez délimiter des zones spécifiques.Grâce à sa structure linéaire, sa facilité de montage et sa conception minimale, ELY est la solution idéale qui combine les besoins de protection solaire avec ceux de mobilier d'extérieur. Extrêmement simple à installer, ELY est un système d'obscurcissement modulaire caractérisé par une conception linéaire et compacte, également grâce au nouveau coffre symétrique et au nouveau profil de support.La poignée est très pratique et peut être installée frontalement ou latéralement, tandis que la roue de guidage rend la manipulation simple et sûre. Jusqu'à quatre rideaux peuvent être connectés au poteau central pour diviser l'espace en autant de secteurs.De cette façon, les espaces extérieurs peuvent être optimisés et redistribués : en s'appuyant sur la fiabilité de BAT, les restaurateurs et les hôteliers peuvent être assurés et les clients vivent une expérience d'accueil de haut niveau, en toute sécurité.Une fois de plus, le Groupe BAT est confirmé comme le partenaire idéal pour ceux qui privilégient le design et le bien-être des clients. De cette façon, les opérateurs du secteur CHR sont garantis de pouvoir travailler avec plus de continuité et un double avantage : en termes de prestige de l'emplacement et avec plus de places disponibles.Caractéristiques techniques :Facilité d'installationPoignée frontal ou latérale, simple ou doubleRoue de guidage sous le terminal pour un meilleur glissementCoffre symétrique
Il y a 4 ans et 359 jours

Une entreprise du BTP de la Marne condamnée pour homicide involontaire

Le parquet avait requis 20.000 euros d'amende contre l'entreprise Pieux Ouest, experte en fondations spéciales, qui, interrogée par l'AFP vendredi, ne savait pas encore si elle ferait appel ou non de ce jugement rendu mercredi."Les poursuites devant le tribunal avaient été engagées par le parquet estimant que l'employeur avait commis une faute caractérisée en ne mettant pas à la disposition des ouvriers un équipement de travail conforme aux règles de sécurité, en n'établissant pas de mode opératoire adapté (...) alors que les risques professionnels au démontage d'une foreuse étaient importants et connus de l'entreprise, et en omettant de dispenser à ses travailleurs des formations adaptées", a expliqué à l'AFP la procureure de Châlons, Ombeline Mahuzier.La victime, âgée de 53 ans, avait eu la tête broyée entre un bras dépliant et un engin de chantier alors que, malgré le protocole établi, l'homme ne se trouvait pas du bon côté d'une foreuse pendant son démontage. L'ouvrier ne portait pas de casque au moment de l'accident.C'est pourquoi, durant l'audience du 27 mai, la défense de la société, filiale du groupe Spie-Batignoles depuis 2019, avait rejeté une partie de la responsabilité de l'accident sur le chef de chantier et le salarié lui-même."La victime avait en effet commis une faute qui n'était pas toutefois la seule cause de l'accident", précise Mme Mahuzier.
Il y a 4 ans et 359 jours

Un ouvrier du BTP meurt dans une carrière de calcaire

La victime était en arrêt cardio-respiratoire à l'arrivée des pompiers, alertés vers 7h10, qui n'ont pas pu la sauver malgré les soins prodigués.Selon les gendarmes, le pneu d'un engin de chantier, de 10 mètres de long, servant à l'excavation, a explosé et a mortellement atteint la victime."Le salarié menait une opération de maintenance classique sur un pneumatique de support d'installation. Une violente et brutale perte de pression due à une raison encore inconnue a projeté le salarié", a expliqué dans un communiqué l'entreprise, qui a mis en place une cellule psychologique "pour accompagner ses collègues".Les carrières du Boulonnais appartiennent au groupe CB, qui produit des matériaux destinés à l'industrie (sidérurgie, chaux, sucre, verre, alimentation animale...), au bâtiment (béton prêt-à-l'emploi, préfabrication) et aux travaux publics.Une enquête a été ouverte par la gendarmerie de Marquise.
Il y a 4 ans et 359 jours

Dépenses accrues, recettes en berne et prévisions révisées : les chiffres du nouveau budget

Chute de 11% du PIBCe nouveau projet de loi de finances rectificative table sur un recul de 11% du PIB en 2020, au lieu de 8% auparavant, soit la plus forte récession de la France depuis 1945.Cette prévision tient compte d'un redémarrage de l'économie seulement "progressif", explique-t-on à Bercy.Il s'agit d'une estimation "prudente", selon le Haut Conseil des finances publiques (HCFP).Dette au plus hautAvec les dépenses supplémentaires pour soutenir l'économie et la récession record, le déficit public va se creuser à 11,4% du PIB, contre 3% l'an dernier, anticipe le gouvernement.La dette publique devrait s'envoler à 120,9% du PIB, alors qu'elle avait atteint 98,1% l'an dernier. La France figure ainsi parmi les pays européens les plus endettés.460 milliards de soutienLe gouvernement a désormais prévu près de 136 milliards d'euros de mesures de soutien à l'économie, contre 110 milliards prévus à la fin avril. Cela fait 57 milliards d'euros de dépenses budgétaires exceptionnelles depuis le début de la crise, le reste étant notamment des reports de charges.À cela s'ajoutent près de 327 milliards de garanties (crédits, export, etc.) accordées par l'État.Au total, le gouvernement a mobilisé 460 milliards d'euros, soit "21% de la richesse nationale", selon le ministre de l'Économie Bruno Le Maire.45 milliards pour les secteurs sinistrésDans le détail, le gouvernement va débloquer 45 milliards d'euros pour soutenir les secteurs les plus touchés par la crise, a indiqué M. Le Maire. Ce montant recouvre des mesures budgétaires et un soutien à la trésorerie des entreprises.Le tourisme bénéficiera de 18 milliards d'euros. Cette somme englobe lesmesures de chômage partiel, les prêts garantis par l'État, près de 3 milliards d'euros d'exonérations sociales ou encore les reports d'impôts.L'industrie automobile profitera de 8 milliards. Outre l'aide au chômage partiel et les emprunts garantis, ce montant inclut un milliard d'euros pour soutenir la demande de véhicules et un milliard pour encourager les investissements pour produire les voitures hybrides et électriques en France.L'État consacrera 15 milliards d'euros à l'industrie aéronautique et au transport aérien, dont 7 milliards de prêts accordés à Air France-KLM.Le gouvernement va aussi dédier 600 millions d'euros supplémentaires aux start-up technologiques, en créant notamment un fonds d'investissement. Des mesures sont aussi prévues pour les secteurs de la culture et du BTP. Chômage partiel: 5 milliards supplémentairesAu total, ce projet de budget comprendra environ 13 milliards d'euros de crédits budgétaires supplémentaires.Le dispositif de chômage partiel, dont une partie est prise en charge par l'Unédic, sera doté de 5 milliards d'euros de plus par rapport aux 25 milliards déjà prévus. Ce sou t rectifié.L'impôt sur les sociétés devrait notamment rapporter 13 milliards de moins que ce qui était prévu dans le précédent budget rectifié, et désormais plus de 32 milliards de moins que ce qui était anticipé dans le budget initial adopté fin 2019. Les recettes de TVA devraient encore plonger de 8,5 milliards par rapport au précédent budget rectifié, soit un manque à gagner d'un peu moins de 20 milliards par rapport à ce qui était anticipé dans le budget initial. En revanche, le gouvernement n'anticipe aucun impact à ce stade sur l'impôt sur le revenu.La dépense publique va s'élever à 63,6% du PIB à la fin de l'année du fait des mesures de soutien.Tendance baissière de l'inflationDans ses prévisions, le gouvernement a également pris en compte une "tendance à la baisse des perspectives d'inflation", avec une estimation "de l'ordre de 0,4%" pour l'année 2020 en France.
Il y a 4 ans et 359 jours

Convention climat : Macron retient 146 propositions et annonce 15 milliards d'euros pour la conversion écologique

Pour Emmanuel Macron, "le temps est venu d'agir", sur les 149 propositions formulées, 146 sont retenues et seront transmises soit au Gouvernement, soit au Parlement, soit au peuple français. Il annonce également débloquer 15 milliards d'euros sur deux ans et promet une mise en œuvre rapide.15 milliards pour la conversion écologiqueDevant les citoyens de la Convention pour le climat, Emmanuel Macron a déclaré que « L'État prendra toute sa part: 15 milliards d'euros supplémentaires sur deux ans seront injectés pour la conversion écologique de notre économie », promettant la mise en place d'un « fonds de transformation écologique de notre économie dans le plan de relance » pour notamment « investir dans les transports propres, rénover nos bâtiments » et « inventer les industries de demain ».Une mise en œuvre rapideLes premières mesures qui relèvent du champ réglementaire, seront étudiées lors d'un prochain conseil des ministres restreint, baptisé pour l'occasion conseil de défense écologique.D'autres mesures seront intégrées au plan de relance économique écologique et sociale, soumis au parlement dès la fin de l'été.Pour finir un projet de loi spécifique sera présenté à la fin de l'été, il intégrera l'ensemble des mesures qui relèvent du champs législatif.Pour arriver à une mise en œuvre rapide, des groupes de travail seront formés pour une collaboration étroite avec le gouvernement et le parlement.Le gouvernement réunira également les associations d'élus pour discuter de l'ensemble des propositions qui concernent les collectivités locales.Les 3 propositions rejetéesEmmanuel Macron a retenu presque toutes les propositions formulées par la Convention climat à l’exception de trois :Non à une taxe de 4% sur les dividendes, qui découragerait l'investissement selon le PrésidentRefus de la limitation de la vitesse à 110 km/h sur les autoroutes, car pour Emmanuel Macron « La transition écologique ne doit pas se faire au détriment des communes, des régions les plus enclavées »La proposition de récrire le préambule de la Constitution en plaçant l'environnement au-dessus des autres valeurs fondamentales a également été rejetée par le chef de l’État
Il y a 4 ans et 359 jours

Les architectes appuient les propositions des citoyens de la Convention climat

Les propositions sont "dans la ligne de celles que le Conseil a porté auprès du gouvernement, lors du grand débat national, ou plus récemment auprès des maires", souligne-t-il dans un communiqué."Construire et rénover avec le meilleur bilan écologique est possible, que cela soit lors du chantier et pendant la vie du bâtiment, en utilisant des matériaux sains, biosourcés, et en circuit court", estime le conseil de la profession, alors que les besoins de logements restent toujours très importants en France.Les architectes se prononcent pour l'arrêt de "l'artificialisation des sols". La convention citoyenne, estiment-ils, "insiste à juste titre sur la nécessité de réinvestir les friches et les zones commerciales obsolètes des entrées de ville", soit "des centaines de milliers d'hectares artificialisés et mono-fonctionnels".Parmi ses propositions, remises au gouvernement, les 150 membres de la Convention citoyenne plaident notamment pour une rénovation énergétique obligatoire des bâtiments d'ici à 2040, avec un système progressif de prêts et subventions, remboursés par les économies réalisées. Le secteur du logement et du bâtiment représente de l'ordre de 20% des émissions de gaz à effet de serre en France.Aborder la question de la rénovation des bâtiments "uniquement par le volet énergétique est un frein", juge pour sa part le Conseil de l'Ordre des architectes, pour qui "la conception, en neuf comme en rénovation, doit prendre en compte tous les paramètres de la qualité d'usage, le fonctionnement, la valeur patrimoniale, l'adaptabilité de l'habitat aux transformations de la structure familiale et au choc climatique, et évidemment les volets santé et énergie".
Il y a 4 ans et 359 jours

FGH-V Galeria, la fenêtre balcon qui allie esthétisme, simplicité et sécurité

La fenêtre FGH-V Galeria se transforme en balcon lorsque les deux vantaux sont ouverts. La partie supérieure s’ouvre par projection vers le haut, alors que la partie inférieure s’ouvre par projection vers l’avant, créant ainsi un balcon. Le châssis supérieur peut basculer jusqu’à 45° et peut être maintenu à l’aide d’un mécanisme innovant permettant de le laisser dans la position souhaitée.Lors de l’ouverture, les barrières de sécurité latérales coulissent et s’intègrent dans le châssis inférieur et lors de la fermeture, les rails du balcon se cachent à l'intérieur de la fenêtre et ne sont visibles qu’au-dessus de la surface du toit. Ceux-ci ne collectent ainsi pas la saleté et ne gâchent pas l'esthétique de la toiture. Une fois le balcon ouvert, les rails sont toujours secs et propres, ce qui contribue à un fonctionnement fluide.La fenêtre-balcon Galeria assure le plus haut niveau de sécurité. Le système TopSafe offre une sécurité de fonctionnement et permet de résister aux effractions. Le format standard de la fenêtre est équipé d’un triple vitrage isolant avec un verre intérieur laminé et anti-effraction classé P2A. En cas de dommage, les morceaux de verre restent collés au film pour éliminer toute risque d’accident. Le vitrage est équipé d'un verre externe trempé offrant une garantie à vie contre la grêle.Un autre élément important de la fenêtre Galeria est son entrée d'air automatique V40P. Grâce à une zone de conduit réglable, elle fournit la quantité d'air optimale qui garantit un microclimat sain la pièce et assure des économies d'énergie.Référence chantier :Richmond, Êtats-UnisUn nouvel immeuble au centre-ville de Richmond, en Virginie aux États-Unis, propose des appartements luxueux dans les combles. L'excellent confort de vie a été garanti par installation des fenêtres de toit FAKRO Galeria. Les grandes tailles de fenêtres offrent une large vue de l'extérieur, ce qui donne une sensation d'espace et de contact avec l'environnement.
Il y a 4 ans et 359 jours

L'État "indifférent" à la reconversion de Fessenheim selon un député LR

"L'enjeu politique pour le gouvernement, ce fut la fermeture de Fessenheim. Pour ce qui est de la suite, l'État est indifférent", a déploré le député devant la presse à Colmar, à l'issue d'une visite de la centrale par une délégation de cinq députés de la mission d'information qu'il préside.M. Schellenberger a pointé les "contradictions criantes" de l'État. Le préfet du Haut-Rhin, avec lequel la délégation s'est entretenue lundi, "trouve que pas assez de projets innovants viennent du territoire", or des élus rencontrés le même jour ont rappelé les "projets innovants" autour de l'hydrogène "dix fois présentés, et dix fois écartés", a fait valoir le député."Les collectivités locales, elles, ont fait ce qu'elles avaient à faire", a-t-il assuré.La mission d'information s'est rendue à Fessenheim à une semaine de l'arrêt définitif du second réacteur de la centrale, prévu le 30 juin, étape décisive avant une longue phase de démantèlement.Sa délégation n'a toutefois pas pu visiter les installations nucléaires proprement dites, la direction du site ayant fait valoir la "tension sociale et humaine" à l'approche de cette échéance, a rapporté M. Schellenberger. "Je le comprends", a-t-il réagi.Constituée en février dernier, la mission d'information de l'Assemblée nationale relative au suivi de la fermeture de la centrale est chargée pendant un an de mener des visites de terrain et des auditions de représentants d'EDF, de l'État, des syndicats ou encore des associations anti-nucléaires.Les auditions déjà conduites ont mis en évidence "un manque d'engagement et d'intérêt de l'État", a insisté M. Schellenberger dans un texte remis à la presse lundi.Le député a cité "le projet de technocentre (site-pilote pour le démantèlement de centrales nucléaires) désapprouvé puis finalement soutenu avec prudence par la ministre (de la Transition écologique) Elisabeth Borne", les questions fiscales longtemps en suspens, ou "le peu, 10 millions d'euros, dont bénéficie le territoire" au regard des 400 millions d'euros minimum d'indemnités versées à EDF.
Il y a 4 ans et 359 jours

Le chantier du Tram T13 Express

Il y a 4 ans et 359 jours

Retour d'expérience sur l'utilisation de Rockfleece B Energy de Rockwool

Une alternative mêlant qualité et durabilité « Notre choix de passer sur un système soudable est basé sur la qualité et la durabilité dans le temps »Rockfleece B Energy est constitué d’un parement en voile de verre et permet de faire du soudé en plein. Utilisé en épaisseur de 140 mm sur ce chantier bâtiment neuf de 950 m2 à destination d’une enseigne de distribution de matériaux, le panneau isolant apporte, selon Hervé Soubeyrand, « une meilleure adhérence sur le complexe d’étanchéité final tout en limitant le nombre de fixations sur la toiture ». C’est justement pour ces raisons que Sleico, qui oriente son offre vers des solutions techniques durables et soudées en plein, a été curieuse d’essayer ce nouvel isolant.Conséquence : une diminution des poinçonnements avec l’usage ultérieur – tels que ceux résultant de la circulation sur les toitures – qui assure ainsi la pérennité de l’installation au fil du temps. Le produit est d’ailleurs assujetti à une garantie de 25 ans. « C'est un très bon rapport qualité prix et un bon système d'étanchéité »L’utilisation du soudé en plein permet également de se passer du recours à des systèmes renforcés généralement bien plus onéreux. Le produit présente donc un double avantage pour les étancheurs : tout en présentant un « retour dans le temps bien meilleur qu’un système bicouche basique » et donc une très bonne qualité du système d’étanchéité, ce panneau isolant garde le coût abordable d’un soudable. Des conditions de travail améliorées pour une meilleures productivitéBasé sur un voile de verre et non plus sur un bitume, Rockfleece B Energy facilite le travail des poseurs. En effet, cette nouvelle solution de soudé en plein rend la découpe du produit plus simple, d’autant qu’elle ne pollue pas les outils lors de la manipulation. Il en résulte une amélioration des conditions de travail sur les chantiers et, par extension, une amélioration notable de la productivité pour la société d’étanchéité. Elle apporte en plus une solution en lambda 0,036 pour les technologies soudées en plein ce qui réduit l’épaisseur et le poids des panneaux vis-à-vis des panneaux revêtus bitumes classiques.Découvrez le reportage sur le chantier et les explications de Michel Soria, chef de produit supports d'étanchéité et isolants bardage Rockwool en vidéo
Il y a 4 ans et 359 jours

Covid-19 : Cemex accompagne au mieux les acteurs du BTP grâce à son offre « Construire autrement »

Cette offre s'articule autour de trois volets : la protection des hommes, la relation clients et l'apport de solutions concrètes pour faire face aux nouvelles contraintes rencontrées par les entreprises de construction sur les chantiers, comme par exemple, limiter les manipulations, faciliter la distanciation physique ou encore rattraper les retards accumulés durant la période de confinement. « Maintenir l'activité de l'industrie de la construction est crucial, aussi bien pour l'économie française que pour la lutte sanitaire », indique Jean-Marie Modica, directeur matériaux France Sud. « Le secteur crée des infrastructures et des aménagements essentiels comme des établissements de santé ; CEMEX souhaite contribuer à cet effort en proposant des solutions facilitatrices à ses clients », ajoute-t-il.Protéger les hommesGrâce à l'élaboration de protocoles stricts de santé et sécurité spécifiques et à la sensibilisation de ses collaborateurs, CEMEX garantit la fourniture de matériaux de construction en toute sécurité, que ce soit lors de l'enlèvement des matériaux sur les sites CEMEX ou lors de la livraison et mise en œuvre des matériaux sur chantier. Par ailleurs, fort de son savoir-faire et de son dispositif industriel dédié à la fabrication d'adjuvants, CEMEX Admixtures a, dès le début de la crise sanitaire, adapté ses chaînes de production pour produire une solution hydroalcoolique que CEMEX commercialise à prix coûtant auprès de ses clients.Maintenir le lien à distance« Les équipes CEMEX se sont mobilisées pour analyser quelles solutions digitales pouvaient être mises en œuvre afin de faciliter les activités de nos clients en télétravail ou sur les chantiers sur lesquels la distanciation doit être assurée », indique Stéphanie Godicheau, responsable commerce digital. La plateforme digitale CEMEX Go est un outil pratique, rapide et sûr. Grâce à cette plateforme, les clients commandent leurs matériaux, suivent les livraisons, accèdent aux bons de livraison et factures depuis leur ordinateur ou téléphone, le tout à distance. Le contact physique est ainsi réduit au maximum.Améliorer la productivité des chantiersAvec son offre produits, CEMEX apporte un soutien précieux quant à la gestion des chantiers. La gamme evolution® des bétons autoplaçants diminue le nombre d'interventions humaines lors du coulage, les chapes fluides optimisent le temps de travail et les bétons fibrés suppriment la manipulation d'armatures. Hydratium® remplace les opérations habituelles de cure du béton tandis que les granulats en big bags limitent les manipulations et optimisent l'espace sur les chantiers. Les bétons Promptis®, CXB® Rapide et CXB® Accéléré permettent quant à eux de gagner en temps et en efficacité.Par ailleurs, la flotte des matériels de livraison CEMEX est adaptée aux contraintes inhérentes aux chantiers : accessibilité en hauteur, éloignement du point de coulage... En plus de la productivité, les pompes, malaxeurs-pompes et malaxeurs-tapis améliorent également la sécurité des équipes sur site et facilitent la mise en œuvre du béton.
Il y a 4 ans et 359 jours

Projet de PSE pour les 70 salariés d'une usine de mâts d'éoliennes en Picardie

Basée en Picardie depuis 2012, l'entreprise "a le regret d'annoncer qu'elle ne dispose pas de nouvelles commandes et de projets en vue pour le second semestre 2020", a-t-elle affirmé dans un communiqué."La demande de mâts en béton connait une baisse générale. En effet, la production de mâts en béton est essentiellement destinée aux éoliennes de grande hauteur dont le rythme de croissance escompté est en deçà des prévisions en France", a-t-elle ajouté.Wec Mâts Béton "se mobilise activement pour étudier les conditions de poursuite de ses activités, notamment par la recherche d'un repreneur, et trouver des solutions socialement responsables pour ses 70 employés".Le plan de sauvegarde de l'emploi, qui doit encore être homologué par la Direccte (Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi), a été ouvert le 18 juin, a précisé l'entreprise qui continue "d'honorer les commandes engagées".
Il y a 4 ans et 360 jours

Les panneaux Rexolatte d'Unilin Insulation coiffent l'écosystème Darwin à Bordeaux

Partiellement réhabilitée sous l'impulsion d'un maître d'œuvre privé, cette zone de près de 20.000 m² est composée de bâtiments datant du XIXème siècle qui accueillent une multitude d'activités.Pour la rénovation complexe de la toiture d'un des bâtiments devant recevoir des bureaux en open-space à l'étage, les panneaux Rexolatte avec une sous-face acoustique noire perforée d'UNILIN Insulation ont été retenus pour leurs qualités thermiques, acoustiques et leur rapidité de pose.DARWIN, un écosystème où il fait bon travailler ou se détendreA la fois espace de travail et de détente, DARWIN est né sous l'impulsion d'un entrepreneur visionnaire, sur la friche de la caserne militaire Niel et des Magasins Généraux située sur les berges de la rive droite de Bordeaux. Cet écosystème unique, tourné vers l'entrepreneuriat responsable et la transition écologique, accueille des entreprises, des restaurants, une épicerie bio, des associations et un skatepark mais aussi des espaces dédiés au street-art.Rexolatte, des panneaux de toiture aux multiples avantages adaptés aux contraintes du chantierAfin de rénover la toiture de 2700 m² d'un des bâtiments de DARWIN déjà en exploitation au rez-de-chaussée et destiné à recevoir des bureaux en open-space à l'étage, l'entreprise de charpente MCE Perchalec a recommandé l'utilisation des panneaux Rexolatte. Composés de laine de roche à forte densité, ils bénéficient de qualités thermiques et acoustiques et leur mise en œuvre est simple et rapide.« Les murs étant en pierre de 60 cm d'épaisseur, les panneaux de toiture devaient bénéficier d'une résistance thermique élevée pour compenser l'absence d'isolation. Nous avons ainsi proposé Rexolatte avec une sous-face acoustique perforée en finition noire (Fibralux FR Black) teintée dans la masse, développée en partenariat avec UNILIN Panels pour ce chantier. Cette version décorative de la sous-face a tout de suite plu au client. Conformes aux exigences en matière d'incendie pour les ERP (classification B-s2-d0), les panneaux Rexolatte sont tout à fait adaptés à cette réhabilitation de bâtiment qui doit recevoir du public », explique Alexandre KATSELIS, conducteur de travaux de l'entreprise MCE Perchalec.Compte tenu des contraintes techniques du chantier, les panneaux Rexolatte de 4,60 m de long sont posés perpendiculairement au sens de la pente de la charpente métallique que souhaitait conserver le propriétaire.Permettant d'atteindre des portées importantes entre appui, ils reposent sur les fermes métalliques de la charpente. Au total, ce sont plus de 700 panneaux de 80 cm de large qui ont été mis en œuvre par 4 personnes sur le chantier.Entreprise de Charpente : MCE PERCHALEC, Blanquefort (33)
Il y a 4 ans et 360 jours

Santé au travail : l'Assemblée vote une résolution symbolique, en attendant une loi

"Cette résolution est un préalable à une proposition de loi que nous souhaitons présenter d'ici la fin d'année", a redit la députée LREM Charlotte Lecocq, qui s'était déjà exprimée sur le sujet mi-juin.La ministre du Travail Muriel Pénicaud a souligné le lien avec l'épidémie du coronavirus, qui a donné une "acuité" et une "omniprésence inédite" à cet "enjeu de société"."Il faut améliorer la santé au travail significativement et installer au quotidien une culture de la prévention", a-t-elle insisté.Dans la résolution votée lundi, les marcheurs déplorent que "la santé au travail, tout comme la santé scolaire, soit encore l'un des parents pauvres des politiques de santé publique".Ils s'engagent à une réforme pour "doter la France d'un système d'acteurs de santé au travail plus efficace et tourné vers la prévention des risques professionnels".La députée du Nord Charlotte Lecocq (LREM) a assuré que la proposition de loi serait construite "en articulation étroite avec les négociations rouvertes" lundi dernier par "les partenaires sociaux". Les discussions sur ce sujet avaient échoué jusqu'ici.L'opposition a globalement jugé inutile la résolution, "des intentions, sans propositions concrètes", selon le LR Stéphane Viry, et une résolution "bavarde" et qui n'a "pas de plus-value", aux yeux du socialiste Alain David.La députée LFI Mathilde Panot a reproché à la majorité le rejet d'une proposition de loi LFI sur le burn-out en février 2018.Les partenaires sociaux ont repris lundi dernier les discussions. En février dernier, la reprise des négociations, six mois après un constat de désaccord, avait été interrompue par le confinement.La santé au travail a fait l'objet de deux rapports en 2018 et 2019 de Charlotte Lecocq.Sa proposition de confier la gestion des financements à l'Urssaf avait provoqué une levée de bouclier du Medef. Les partenaires sociaux craignaient une "étatisation" du système, avec la création préconisée d'une structure unique "France Santé Travail" sous tutelle des ministères du Travail et de la Santé.
Il y a 4 ans et 361 jours

Une mère et ses deux enfants tués dans l'effondrement d'un bâtiment en Italie

La corniche, longue de près de 70 mètres, d'un ancien bâtiment industriel s'est effondrée soudainement sur la chaussée, ont indiqué ces agences.Une mère âgée de 38 ans se trouvait là avec deux de ses enfants de 15 mois et 5 ans, tous les trois ont été écrasés. La femme, d'origine marocaine, et son garçon de cinq ans sont morts sur le coup, tandis que le bébé, une petite fille, est morte peu après son évacuation à l'hôpital, a précisé l'agence Ansa.La scène s'est déroulée sous les yeux du frère aîné, âgé de neuf ans, qui se trouvait de l'autre côté de la route et a échappé à la chute de l'amas de briques et de pierres. Une passante de 42 ans a également été blessée.L'extraction des corps des victimes a pris plusieurs heures.L'incident a eu lieu dans la petite localité d'Albizzate, en périphérie nord-ouest de Milan en Lombardie. Le ministère public a ouvert une enquête pour meurtre et homicide involontaire.L'édifice concerné, sans étage, abritait autrefois une entreprise textile et accueille actuellement plusieurs commerces. Toute la zone a été bouclée et un bâtiment "jumeau", où se trouve un supermarché, a été fermé.
Il y a 4 ans et 362 jours

Les "Extatiques", exposition d'art contemporain à l'air libre

C'est "une autre manière de voir la vie, l'architecture, les espaces", avec "un prisme différent", celui des artistes, résume Fabrice Bousteau, le commissaire de l'exposition.Intitulée Rien à Voir, l'exposition dévoile une vingtaine d'œuvres en plein air, en accès libre. Elles ont pour la plupart été conçues spécialement pour l'événement dans le but de "créer un dialogue inédit avec l'environnement"."Moi je milite (...) pour mettre les œuvres d'art dans l'espace public parce que c'est gratuit, donc c'est le meilleur accès démocratique et ça crée une surprise du quotidien", a expliqué à l'AFP M.Bousteau.Parmi les œuvres présentées à la Seine Musicale, "Méandre", d'Elsa Sahal, perchée au cœur de l'île Seguin et dont les courbes et les formes font écho à celles du fleuve qu'elle domine."C'est une sorte de monstre sorti de l'eau accompagné d'une flore sous-marine qui est représentée par ces éléments en céramique, sur lesquels on peut s'assoir et méditer sur le lien entre l'homme et la nature, le lien qu'on a avec l'eau et le monde sous-marin" raconte l'artiste.D'autres œuvres, comme "Le jour où les fleurs ont gelé", de Julie C. Fortier, ou "Screwd Harmonies" de Matteo Nasini, offrent une expérience sensorielle au visiteur, mettant respectivement l'accent sur l'odorat et l'écoute.A La Défense, le visiteur peut déambuler et découvrir les œuvres une à une sur l'Esplanade. Au bout du circuit, l'obélisque d'Iván Argote forme une arche dont la pointe s'étale lourdement sur le sol."L'obélisque, pour moi, est un symbole de force et de pouvoir. Je voulais lui enlever toute cette masculinité et la laisser à terre", explique l'artiste colombien dont l'œuvre est située, non sans symbole, au cœur du quartier d'affaire et dans le même axe que celle qui trône sur la place de la Concorde.
Il y a 4 ans et 362 jours

Un homme condamné à 2 ans de prison ferme dans l'affaire de l'attribution du marché du "Pentagone français"

Au centre du procès qui a eu lieu fin janvier: l'attribution en février 2011 de ce marché de plus de 3,5 milliards d'euros - un partenariat public-privé - à un consortium mené par Bouygues. L'enquête avait démarré en 2010 après un signalement anonyme.L'homme d'affaires Karim Aïssa a été condamné par le tribunal correctionnel de Paris à quatre ans de prison dont deux ans avec sursis, ainsi qu'à une amende de 50.000 euros. Le tribunal l'a de plus interdit de gérer une entreprise.Le parquet avait requis contre cet homme qualifié par le procureur de "professionnel de la corruption" une peine de quatre années d'emprisonnement et de 200.000 euros d'amende."C'est une rare photographie de la corruption", avait estimé le procureur. Karim Aïssa offrait notamment des places de spectacles, invitait à Roland-Garros, promettait rémunération, reconversion de carrière afin d'obtenir des informations sur des procédures d'appel d'offre, avait-il décrit. Son objectif était de négocier ces informations avec les candidats aux appels d'offre.Aux côtés de Karim Aïssa était jugé un ancien militaire, Fabrice Couderc, qui avait dérobé des documents confidentiels. Comparaissant pour "favoritisme" et "corruption passive", il a été condamné à trois ans de prison avec sursis et une interdiction d'exercer un emploi public pour cinq ans. Le parquet avait requis contre lui une peine de deux années d'emprisonnement dont un an avec sursis et 50.000 euros d'amende.Karim Aïssa était entré en contact avec Fabrice Couderc, capitaine de l'armée de terre, qui travaillait alors à la Direction mémoire patrimoine archives (DMPA), qui traitait de l'ensemble de l'immobilier de la Défense. Karim Aïssa lui aurait promis en échange de documents une somme d'environ 80.000 euros, mais aucune contrepartie financière n'a été versée.L'ancien militaire affirme de son côté avoir transmis seulement des informations et des documents d'ordre général, comme des brochures explicatives sur la finalité du projet.Le parquet national financier (PNF) avait demandé un procès pour un haut responsable de Bouygues, mais celui-ci avait bénéficié d'un non-lieu du juge d'instruction. Selon ce magistrat, "il n'a pas été possible d'établir un lien entre les informations contenues dans les documents détenus par Karim Aïssa et les améliorations apportées à Bouygues dans son offre finale".
Il y a 4 ans et 362 jours

Le secteur de la rénovation énergétique s'engage

Les partenaires s'engagent ainsi à :Poursuivre le développement de la plateforme Pass'Réno HabitatCréée en 2015 par l'ALEC-MVE elle met en relation les particuliers et le réseau de professionnels RGE locaux pour la réalisation de travaux énergétiques.Promouvoir et défendre le marché métropolitain de la rénovation énergétiqueUne coopération qui s'exprimera par des actions de communication communes (interventions conjointes lors d'événements, collaborations techniques ou partages d'expériences).« Le marché de la rénovation énergétique est une opportunité exceptionnelle de développement qui offre de véritables perspectives pour les nombreux métiers de la construction » souligne Jean-Luc Tuffier, Président de la FFB Grand Paris.« Le partenariat avec l'ALEC-MVE est une opportunité pour massifier les opérations de rénovation énergétique sur le territoire métropolitain. » ajoute Bertrand Demenois, Président de Rénovactif.« S'appuyer sur le partenariat de la FFB Grand Paris, permettra à Pass'Réno Habitat de mobiliser davantage de professionnels du bâtiment autour de la rénovation énergétique et favoriser ainsi une réelle dynamique locale entre les propriétaires prêts à s'engager et les entreprises » indique Mireille Alphonse, Présidente de l'ALEC-MVE.
Il y a 4 ans et 362 jours

Le Sénat présente 170 mesures pour relancer l'économie française

Le plan présenté par la commission des affaires économiques du Sénat se veut une « boîte à outils » concrète qui vise, au-delà de la préservation de l'activité, à renouer avec une croissance plus résiliente, plus compétitive et plus sobre en carbone.Ce plan de relance est décliné en sept volets sectoriels consacrés à l'agriculture, aux PME, au commerce et à l'artisanat, à l'industrie, au numérique, au tourisme et au logement, volets issus des sept cellules sectorielles de veille de contrôle et d'anticipation de la commission.« La France passe dans le vert pour ce qui est de la crise sanitaire, mais l'économie entre dans le rouge ; il faut réagir et changer de braquet, la France est plus impactée que les autres économies européennes. En Allemagne, la récession est beaucoup moins forte. Elle a mieux géré la crise et dispose d'une capacité de relance budgétaire plus importante » a souligné Sophie Primas, présidente de la commission des affaires économiques.Convaincue « que c'est en gagnant des marchés que les entreprises françaises créeront de l'emploi, que c'est en investissant dans la transition énergétique et numérique que nous préparerons l'avenir », elle a indiqué que l'objectif de ce plan est « non seulement d'éviter la catastrophe économique et sociale qui se profile, mais de moderniser l'économie française, de faire de cette sortie de crise une opportunité ».Ce plan se fixe quatre objectifs : approfondir la construction européenne pour peser dans la mondialisation, améliorer la compétitivité des entreprises françaises, diversifier les chaînes d'approvisionnement et relocaliser certains centres de production stratégiques, et faire de la transition énergétique le levier de la reprise.Ce plan de relance se distingue par sa méthode, aussi bien en ce qui concerne son élaboration, qui est issue des nombreux retours de terrain et d'une approche pluraliste associant toutes les sensibilités du Sénat, que par sa mise en œuvre, qui suppose une rupture avec le centralisme administratif et politique français et un approfondissement de la décentralisation.Sophie Primas a déclaré : « La période du confinement a été un moment d'hypercentralisation, nous appelons de nos vœux une relance partenariale avec l'Europe d'un côté et les collectivités territoriales de l'autre ; la relance, c'est aussi la relance de la construction européenne et de la décentralisation ».Les 170 mesures issues des plans sectoriels sont regroupées autour de dix orientations concrètes qui comportent aussi bien des mesures de relance de l'investissement que de la consommation ciblées sur les secteurs en difficulté, des propositions portant notamment sur la réforme des impôts de production, la participation, l'insertion des jeunes, la réforme de l'État et la simplification administrative.Ce plan de relance propose également des réformes ambitieuses des politiques de l'Union européenne, aussi bien en matière de politique commerciale que de politique industrielle, d'harmonisation fiscale et sociale avec notamment la promotion d'un mécanisme d'ajustement carbone aux frontières extérieures.Le rapport de la commission des affaires économiques du Sénat, qui comporte plus de 720 pages, se veut une contribution ambitieuse et lucide aux débats sur la relance de l'économie française dans le monde de l'après-crise. Pour aller plus loin : Voir les 170 mesures du plan de relance
Il y a 4 ans et 362 jours

Élection de 7 nouveaux administrateurs nationaux pour la CAPEB et départ de Patrick Liébus

Outre l'examen et l'adoption des questions statutaires, les délégations ont procédé aux votes des 9 postes d'administrateurs venant à échéance. Ainsi le Conseil d'administration national accueille 7 nouveaux administrateurs. Ce Conseil renouvelé se réunira les 2 et 3 juillet pour élire le président national. Patrick Liébus ne se représentant pas au poste d'administrateur national, il tenait ce jour sa dernière Assemblée générale, clôturant ainsi dix années à la présidence nationale. Jusqu'à la réunion du prochain Conseil d'administration de juillet, la présidence nationale sera assurée par intérim par le Premier Vice-Président Jean-Christophe Repon.Les 7 nouveaux élus au sein du Conseil d'administration de la CAPEB nationale :Thierry TOFFOLI :Élu administrateur national au titre de la présidence de l'Union Nationale Artisanale Maçonnerie-Carrelage pour un mandat de trois ans, il succède à Dominique Métayer. Son entreprise de carrelage située en Haute Garonne emploie 2 salariés. A l'assemblée générale de la CAPEB d'avril 2015, il avait été élu administrateur confédéral. Conseiller professionnel de l'UNA MC depuis 2000, il est membre de commissions de normalisation DTU et groupes spécialisés au CSTB, relatifs à la pose de revêtement céramique.Sylvain FORNES :Élu administrateur national au titre de la présidence de l'Union Nationale Artisanale Peinture Vitrerie Revêtement, il succède à Jean-Jacques Chatelain. A la tête de son EURL de trois personnes dans le Rhône, ce Maître Artisan propose en activité principale des travaux de peinture, plâtrerie, faux plafonds, ITE et ITI sont ses activités secondaires. Très investi, il a présidé la CAPEB Rhône et Grand Lyon pendant 9 ans et a été conseiller professionnel de l'UNA qu'il préside aujourd'hui.Jean Pierre RICHARD :Élu administrateur national au titre de la 7ème circonscription élective, il est artisan électricien depuis 2006 dans l'Yonne à Moneteau. Il a adhéré à la CAPEB de son département en 2007 dont il est élu président en 2013. Également administrateur de l'U2P de l'Yonne depuis 2013, il est élu à la Chambre de Métiers et de l'Artisanat de l'Yonne et de la région depuis 2010.Nathalie BERGERE :Élue administratrice nationale, elle est co-gérante d'une entreprise de plomberie-chauffage-électricité créée en 2010, employant 5 salariés. Adhérente de la CAPEB de la Mayenne, elle s'est rapidement engagée au bénéfice de la commission départementale puis nationale des femmes d'artisans, en qualité de conseillère de la présidente. Laure VIAL :Élue administratrice nationale, elle est gestionnaire d'une entreprise artisanale de plomberie-chauffage créée en 2003 et employant 2 salariés. Adhérente à la CAPEB des Alpes de Haute-Provence depuis cette date, elle est élue à la présidence de la CAPEB Alpes-Durance, regroupant les deux départements avec les Hautes Alpes. Membre de la Chambre de métiers de son département, elle est élue présidente de la CMA des Alpes de Haute Provence.Vincent DEJOIE :Élu administrateur national, il dirige une entreprise artisanale de peinture, créée en 1985, employant 31 salariés dans les côtes d'Armor. Adhérant à la CAPEB de son département en 1985, il est élu administrateur puis la préside de 2013 à 2019 avant d'être porté, tout récemment, à la présidence de la CAPEB Bretagne.Laurent MARMONIER :Élu administrateur national, il dirige une entreprise artisanale de maçonnerie tournée vers la restauration du bâti ancien et vers l'amélioration thermique, qui emploie 2 salariés. A la création de son entreprise, il adhère à la CAPEB de l'Isère en 1999. Engagé en faveur de la politique professionnelle, il est nommé conseiller professionnel de l'UNA MC en 2014Liste alphabétique complète du Conseil d'Administration :(Nom, prénom, département, commune d'implantation de l'entreprise, métier)En rouge : nouvellement élu / En bleu : rééluBASILI Sabine > Ain (01120 Thil)Conjointe associée : Plomberie-Chauffage-ClimatisationVice-Présidente confédéraleBEAUDONNAT Cécile > Puy-de-Dôme (63210 Vernines)Conjoint collaborateur : Charpente CouverturePrésidente de la CNFABELLANGER Christophe > Maine et Loire (49000 Angers)ÉlectricienPdt de l’UNA Équipement Électrique et ÉlectrodomotiqueBERGERE Nathalie > Mayenne (53320 Loiron Ruille)Co-gérante entreprise de plomberie-chauffage-électricitéBOUNHOL Patrick > Aveyron (12120 Arvieu)Couvreur-ZingueurBROCHU Michel > Loire-Atlantique (44810 Heric)Charpentier-MenuisierCHATRAS Gilles > Puy-de-Dôme (63830 Nohanent)Plâtrier Peintre DécorateurSecrétaire confédéral adjointDEJOIE Vincent > Côte d’Armor (22490 Pleslin Trigavou)PeintreDESMEDT Jean-Marc > Côte-d'Or (21200 Ste Marie la Blanche)MenuisierPrésident de l'UNA Charpente-Menuiserie-AgencementDUMON Michel > Gironde (33330 St Etienne de Lisse)Menuisier CharpentierTrésorier confédéral adjointFORNES Sylvain > Rhône (69250 Montanay)PeintrePdt de l’UNA Peinture-Vitrerie-RevêtementsGASPAR Dominique > Meuse (55800 Revigny-sur-Ornain)MenuisierHADJIPANAYOTOU Antony > Hauts-de-Seine (92140 Clamart)Plombier ChauffagisteLABAT Jean-Yves > Landes (40180 Saugnac et Cambran)Plâtrier Pdt de l'UNA Métiers et Techniques du Plâtre et de l'IsolationLE DEVEHAT Éric > Ille-et-Vilaine (35600 Redon)Tailleur de pierrePdt de l’UNA Métiers de la PierreMARMONIER Laurent > Isère (38140 Poliénas)MaçonMATHIEU Francis > Creuse (23300 St Agnant de Versillat)Couvreur Charpentier ZingueurMORALES David > Haute-Garonne (31160 Encausse les Thermes)Plaquiste PlâtrierOLIVET Gilbert > Hérault (34000 Montpellier)Serrurier MétallierPdt de l’UNA Serrurerie-MétalleriePOSTEL Corine > Yvelines (78270 Chaufour les Bonnières)Conjointe collaboratrice (Couvreur)Trésorière confédéraleQUÉNET Albert > Finistère (29710 Ploneis)PeintreRANCUREL Jean-Claude > Vaucluse (84150 Violes)Plombier-ChauffagistePrésident de l’UNA Couverture-Plomberie-ChauffageRAVON Thierry > Charente (16430 Balzac)CarreleurREPON Jean-Christophe > Var (83000 Toulon)Électricien1er Vice-Président confédéralRICHARD Jean-Pierre > Yonne (89470 Moneteau)ÉlectricienTOFFOLI Thierry > Haute-Garonne (31840 Aussonne)CarreleurPdt de l’UNA Maçonnerie-CarrelageVIAL Laure > Alpes de Haute-Provence (04870 Saint-Michel l’Observatoire)Gestionnaire entreprise de plomberie-chauffageVIALATTE Tony > Eure (27930 Brosville)Couvreur
Il y a 4 ans et 362 jours

Le vélo progresse fortement en centre-ville mais baisse presque partout ailleurs

Ces derniers mois, les contraintes liées au coronavirus ont amené beaucoup de citadins à enfourcher une bicyclette pour aller au boulot.Et nombre de candidats aux municipales ont vanté les vertus environnementales de ce mode de transport. Sans "plan vélo", mâtiné d'"urbanisme tactique" depuis le déconfinement, impossible de faire campagne dans les grandes villes...Rejoindre son lieu de travail à coups de pédale reste un phénomène "très urbain": en 2015, à l'échelle nationale, il ne concernait que 1,9% des actifs ayant un emploi, selon l'Insee. Contre 6% à Lyon et de 12% à 16% à Bordeaux, Grenoble ou Strasbourg - agglomération la plus cyclable de France.La forte progression de la pratique en centre-ville est "un trompe-l'œil qui cache une baisse presque partout ailleurs ces dix dernières années", nuance une vaste étude sur les usages du vélo en France, publiée en avril sous l'égide de l'Ademe et de la Direction générale des entreprises.Cette "fracture territoriale majeure" en recoupe une autre, d'ordre social: "ceux qui refont du vélo, ce sont surtout les cadres et professions intermédiaires, alors qu'avant c'étaient les ouvriers et les employés", souligne Francis Papon, chercheur à l'Institut français des sciences et technologies des transports (Ifsttar).Des années 30 à l'après-guerre, on pouvait voir en effet des flots de cyclistes sortir chaque jour des usines, en région parisienne comme dans les grandes cités de province. Puis vint l'ère de la "bagnole".En 1958, le constructeur de camions Berliet, qui employait 12.000 personnes à Vénissieux, aux portes de Lyon, avait déjà réduit "des trois-quarts" ses abris à bicyclettes et son patron anticipait "une extension rapide et considérable des quatre roues". Il ne croyait pas si bien dire."Essaimer"Soixante ans plus tard, à quelques hectomètres de là, la Société d'équipement et d'aménagement du Rhône et de Lyon (SERL) réindustrialise une friche de 11 hectares, voisine de gros axes routiers mais très bien reliée aux transports en commun. L'occasion rêvée d'un site sans parking ?L'idée a séduit... tant que les entreprises accueillies fonctionnaient en mode start-up: leurs dirigeants venaient à vélo ou en trottinette électrique. "Mais il a fallu se rendre à l'évidence: en phase de production, leurs opérateurs viendraient de plus loin en voiture", raconte Audrey Delaloy, qui pilote le projet.Au-delà des périphériques, les aménagements cyclables font souvent défaut, surtout de banlieue à banlieue. Le nombre des adeptes s'en ressent: plus de 5.500 Lyonnais (soit 1,1% de la population) ont participé en 2019 au "Baromètre des villes cyclables", contre seulement une soixantaine de personnes à Vaulx-en-Velin (0,1%) par exemple.Dans cette commune, "des axes importants restent dépourvus de tout aménagement", constate Pierre Crepel, un militant du vélo qui y habite depuis 30 ans. "Des gens disent qu'ils s'y mettraient bien mais que c'est trop dangereux et qu'il y a trop de vols. Et que la voiture reste plus commode."Joseph d'Halluin, secrétaire général de la Fédération française des usagers de la bicyclette (FUB), veut croire que "ce n'est pas une fatalité: en faisant du vélo un sujet des municipales, on espère que ça va essaimer au-delà des coeurs de ville".L'assistance électrique permettant d'allonger les distances, "les marges de progression sont fabuleuses en première et deuxième couronnes", abonde Nicolas Frasie, administrateur de "La Ville à Vélo".Pour augmenter la part modale du cycle dans l'agglomération à 20% en 2030 - contre 3% en 2015 - cette association lyonnaise réclame notamment un "réseau express" reliant 30 communes de la Métropole et ses points névralgiques.Des structures proposent des séances de vélo-école en périphérie pour inciter à s'y mettre en selle. Comme Janus France, dont le local d'Oullins est installé dans un quartier enclavé par une voie rapide et le Rhône.De là, seul un pont surchargé de voitures, doté récemment d'un couloir malaisé pour les cyclistes, permet de rejoindre le centre de Lyon. "Alors qu'une passerelle dédiée donnerait beaucoup plus envie d'y aller à vélo", estime le fondateur de l'association, Rodrigue Yao Ogoubi.
Il y a 4 ans et 362 jours

Les valeurs sûres d'Alkern pour un aménagement extérieur assurément réussi

Outre la carte de l'esthétique, rappelons de plus que la pierre reconstituée s'avère le matériau le plus adapté à la réalisation de bassins aux formes compliquées notamment arrondies (à l'opposé des rectangles actuels), qu'elle ne gèle pas et se veut très facile d'entretien. Un segment rénovation de bassin qui se développe d'ailleurs très fortement actuellement et qu'ALKERN accompagne en proposant des références aux différentes formes, accompagnées de margelles coordonnées.Ghisa et Volcanik, la sélection ALKERN pour apporter à la maison un caractère exceptionnelGhisa, l'effet martelé d’inspiration industrielle : Très appréciée depuis son lancement, la gamme Ghisa s’inspire ouvertement de l’esprit industriel pour revêtir un effet martelé des plus modernes et raffinés. Disponible en dimensions 75 x 45 cm et épaisseurs de 2,5 ou 3,5 cm, la dalle en pierre reconstituée Ghisa s’avère ingélive, comme l’ensemble des références ALKERN et se veut aussi facile d’entretien. Elle est proposée en différentes finitions : le très chic et urbain métal, en traditionnel ton pierre ou encore en élégant gris nuancé. Précisons aussi que l'offre Ghisa se complète de solutions de margelles coordonnées aux dalles, pour pousser l’esprit urbain jusqu’au moindre détail au bord de la piscine et revendiquer une belle unité de style. Prix public indicatif à partir de 46 € HT du m² pour les dalles ton pierre.Volcanik, la dalle aspect pierre de lave polie grand format : Devant le succès de références régionales, ALKERN a décidé de proposer sur l'ensemble du territoire ses dalles Volcanik. D'un aspect pierre de lave polie, la dalle Volcanik complète judicieusement son offre de solutions grands formats ALKERN à l’aspect structuré et naturel. S'inscrivant parfaitement dans la tendance actuelle des grandes dimensions accentuant la sensation d'espace, Volcanik joue pourtant la carte du minimalisme et de la naturalité pour réussir assurément la création d'espaces aux ambiances pures et ressourçantes. Volcanik est déclinée en dimensions de 75 cm de long x 45 cm de large x 3,5 cm d'épaisseur et en deux coloris : Gris ou Sable. Prix public indicatif à partir de 44 € HT du m².Premier fabricant indépendant de produits préfabriqués en béton en France, ALKERN emploie environ 1.200 collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires d’environ 200 millions d’euros. Le Groupe s’appuie sur une cinquantaine de sites de production de produits béton avec une présence sur les secteurs du bâtiment, de l’aménagement extérieur et des travaux publics.
Il y a 4 ans et 362 jours

Des techniques de pointe mises en œuvre pour la nouvelle centrale électrique de Landivisiau

En l'absence d'implantation de centrales nucléaires, la Bretagne est fortement dépendante des régions voisines pour couvrir sa consommation en électricité. Ainsi, la Bretagne importe plus de 80% de l'électricité qu'elle consomme.Rendre la Bretagne énergétiquement plus indépendanteUne centrale à cycle combiné au gaz naturel est une installation thermique produisant de l'électricité par la combinaison d'une turbine alimentée en gaz naturel et d'une turbine à vapeur. Cette technologie permet de répondre aux besoins de soutien du réseau électrique et correspond en matière de puissance nécessaire (422 MW) et de critères de disponibilité tels qu'identifiés par le Pacte électrique breton et la PPI (Programmation Pluriannuelle des Investissements de production d'électricité).Sous le contrôle de la Compagnie Electrique de Bretagne, propriétaire de la centrale, Siemens a la responsabilité de l'ingénierie, la fourniture et la construction de cette centrale électrique à cycle combiné ainsi que de son exploitation pendant 20 ans à compter de sa mise en service prévue pendant l'hiver 2021-2022.3 entités engagées avec des savoir-faire pluriels3 entités du groupe Spie batignolles réalisent cette opération divisée en deux projets distincts baptisés « Main Civil Work package » et « Design & Construct buildings package ».« Main Civil Work package », réalisé par Spie batignolles génie civil et Spie batignolles valérian, concerne tous les travaux de génie civil, de fondations, de terrassement, de VRD, de voiries, ainsi que la création d'un radier particulièrement technique.Spie batignolles valérian a notamment réalisé les terrassements pour les fondations d'ouvrages, les substitutions sous-fondations, les tranchées pour l'enfouissement des réseaux techniques, les assainissements et les chaussées.Les équipes de Spie batignolles disposent d'un délai court de 21 mois pour la réalisation de ce marché « Main Civil Work Package » portant sur un montant de 25 millions d'euros TTC.« Design & construct buildings package », confié aux équipes de Spie batignolles grand-ouest, correspond à un marché de conception/construction d'un bâtiment constitué de 3 parties.La livraison de ce bâtiment est prévue pour mars 2021 mais les équipes devront mettre à disposition de Siemens d'ici là des premiers espaces dans le cadre de livraisons intermédiaires.1.000 m3 de radier réalisés en moins de 24h avec des tests préalables sur le béton employéQuelques jours avant le début du confinement, les équipes de Spie batignolles génie civil et de Spie batignolles valérian ont réalisé un radier de près de 1.000 m3, correspondant au bétonnage de la partie inférieure du massif turbine.Le cahier des charges de Siemens imposait que le cœur de cet ouvrage ne dépasse pas la température de 65°C et conserve une température homogène dans son ensemble, avec un écart maximum de 20°C entre le cœur de l'ouvrage et sa surface. La température du béton frais devait être comprise entre 5 et 30°C.En effet, à sa mise en œuvre, un radier va naturellement réagir en se réchauffant. Les équipes avaient donc pour consigne de limiter cette prise de chauffe le plus possible, étant exempt de toute reprise de bétonnage.Spie batignolles génie civil a fait le choix d'un béton standard constitué de ciment de haut-fourneau (CEM III) affichant de lentes réactions. Avant d'être appliqué, les équipes ont procédé à un test sur un autre massif situé à proximité, pour s'assurer de la maîtrise d'élévation de la température du béton.Pour ce faire, le béton, provenant de la centrale à béton, a été coulé en une fois sur une seule journée dans un délai conforme aux mesures de rhéologie du béton. Les équipes disposaient d'un délai de 90 minutes pour la mise en place du béton et son compactage, incluant le temps de trajet. Il a été appliqué à l'aide de deux pompes à béton d'une capacité minimale de 60m3/h avec un coulage par couches de 40 cm d'épaisseur.La technique de coffrage de ce radier a également fait l'objet d'un essai préalable. Il s'agit de la solution FRAMAX de Doka. Tous les coffrages ont été habillés avec deux types d'isolants : avec des panneaux de 10 cm de polystyrène en périphérie et avec, simplement de la paille pour la partie supérieure. L'isolation permet d'éviter la déperdition de chaleur, la fuite de laitance et le maintien des températures lors des phases de réaction du béton.Cette technique, régulièrement usitée par Siemens sur d'autres centrales, était imposée dans le cahier des charges ; Spie batignolles restant décisionnaire du choix d'isolants à privilégier.La pose des coffrages a été réalisée avec une grue à tour encore jamais utilisée en France.Composée de câble en fibre, en lieu et place de l'acier, elle offre de vrais atouts comme celui de maximiser la sécurité des équipes sur place, de permettre une plus grande productivité, d'être peu énergivore et de nécessiter peu d'entretien.3 sondes de température ont été mises en place à différents niveaux de l'ouvrage, comportant respectivement 3 capteurs placés à 30 cm du haut, 30 cm du bas et au milieu.Un relevé de température a été effectué juste avant le confinement, dès que le radier a été coulé, puis jusqu'à 3 semaines après le coulage, signifiant une température maximale de 50 à 52°C.Les coffrages ont été laissés en place tout au long du confinement, avec un massif complètement isolé. Une surveillance a été nécessaire pendant toute la période du confinement pour s'assurer que la partie supérieure soit toujours humidifiée. Pour ce faire, les équipes ont installé 1 couche de géotextile entre chaque isolant puis ont réalisé une cure à l'eau de façon régulière pour y déposer une fine pellicule d'eau.Ces travaux ont nécessité l'intervention d'un chef de chantier, d'un géomètre, de conducteurs d'engins qualifiés, de coffreurs et manœuvres qualifiés.La géologie du site et les délais de réalisation mentionnés au cahier des charges du client ont constitué les autres enjeux de cette opération.Le terrain étant constitué de granits, les équipes ont employé des engins particuliers pour les travaux de terrassement.Réalisation du triptyque« Le triptyque » est le nom qui a été attribué par Siemens au bâtiment à réaliser dans le cadre du marché de conception/construction confié à Spie batignolles grand-ouest, pour un montant de près de 9 millions d'euros TTC. Spie batignolles, intervient sur les travaux de gros œuvre et de corps d'état.Le bâtiment accueille 3 espaces distincts : le bureau usine intégrant une salle de contrôle, un atelier ainsi qu'une zone technique avec notamment un laboratoire et une salle de traitement des eaux.Spie batignolles grand-ouest a dépêché une organisation spécifique sur ce projet, avec un responsable design et un responsable production, intégrés au sein d'une équipe dédiée de Siemens. Le principal enjeu de cette réalisation concerne la bonne intégration de la règlementation en vigueur en France dans la conception et la réalisation des bâtiments, ceux-ci ayant été initialement conçus selon des standards anglo-saxons internationaux.
Il y a 4 ans et 362 jours

Le CSTB lance sa nouvelle newsletters d'information gratuite : « Solutions &amp; Performances »

Enjeux du marché, actualité sectorielle, tendances et innovations, éclairage technico-règlementaire, témoignages d'acteurs, etc., chaque mois, cette lettre proposera une information pédagogique sur un secteur en particulier. Pour le 1er numéro, à paraître le 2 juillet, c'est le très dynamique secteur des Menuiseries extérieures, et plus particulièrement des fenêtres, qui sera à l'honneur.La lettre « Solutions & Performances », nouvelle lettre d'information du CSTBRépondant toujours plus aux enjeux des transitions environnementale, énergétique et aux exigences en hausse des usagers, les produits et systèmes constructifs sont de plus en plus complexes et innovants. De nouvelles et nombreuses solutions sont ainsi développées et proposées sur le marché.Avec la lettre mensuelle « Solutions & Performances », pensée pour permettre à tous les corps de métiers de trouver le niveau d'information qui correspond à leurs attentes, le CSTB mettra en lumière ces tendances et nouveautés.Établissement public au service de l'innovation dans le bâtiment, fort de son expertise transversale et pluridisciplinaire, le CSTB souhaite, avec cette nouvelle lettre d'information, partager ses connaissances du marché, de la règlementation et valoriser la reconnaissance de la qualité des produits et des systèmes constructifs.Chaque mois, une partie d'ouvrage mise à l'honneurPour une lecture facilitée, chaque édition de la lettre « Solutions & Performances » sera dédiée à une partie d'ouvrage - avec un code couleur associé -, explorée à travers différentes rubriques :« Enjeux » dresse un état des lieux du marché pour les professionnels, mais aussi en termes d'attentes et de besoins des usagers ;« Actualités » fait un focus sur les nouveautés technico-règlementaires ;« Tendances » met en lumière une performance spécifique, avec une mise en avant des acteurs engagés sur ce sujet ;« Malfaçons », les malfaçons et écueils les plus souvent rencontrés et les solutions et méthodes pour les éviter ;À découvrir également, les rubriques « Parole d'expert », « Innovations », « Certificats », « Formations », etc.,Maîtrise d'ouvrage, maîtrise d'œuvre (entreprises, artisans, installateurs...), économistes, négoce, GSB, etc. : tous les acteurs de la construction pourront ainsi s'immerger dans l'univers de la partie d'ouvrage traitée, s'informer sur les tendances et nouveautés de ces marchés et approfondir leurs connaissances du secteur sur les plans technique, règlementaire et prospectif.Un 1er numéro dédié aux Menuiseries extérieuresDe plus en plus techniques, performantes et innovantes, maillon essentiel des performances demandées au bâtiment, notamment dans le domaine de la rénovation, les Menuiseries extérieures seront à l'honneur dans le 1er numéro de la lettre « Solutions & Performances », à paraître le 2 juillet.Au sommaire notamment :« Enjeux » : le marché des Fenêtres, les tendances, les innovations et les attentes des usagers ;« Actualités » : que va changer la règlementation environnementale pour le secteur des menuiseries extérieures ? ;« Malfaçons » : défauts de mise en œuvre des fenêtres ;« Tendances » : focus sur le recyclage des fenêtres PVC et témoignages d'acteurs du recyclage ;- Etc.Programmation à venir :Septembre : PlomberieOctobre : Revêtements de surfacesAvec « Solutions & Performances », newsletter mensuelle, le CSTB enrichit les informations qu'il partage avec les acteurs sur les tendances et les innovations des produits et systèmes constructifs, et complète ainsi sa communication éditoriale. Le CSTB diffuse également CONTACT, newsletter trimestrielle dédiée aux grands enjeux du secteur de la construction et de l'aménagement, dans une approche globale et pluridisciplinaire. Pour vous abonner à « Solutions & Performances », cliquez ici
Il y a 4 ans et 363 jours

Le cimentier Vicat va transférer son siège social pour réduire ses coûts

Les équipes "corporate" seront installées au mois de septembre à L'Isle-d'Abeau, berceau de l'entreprise où se trouvait déjà son centre opérationnel, a précisé Vicat dans un communiqué.Selon la région Auvergne-Rhône-Alpes, qui soutient le projet, 35 personnes sont concernées.Cette mesure s'inscrit dans le cadre d'un plan "d'adaptation des structures de coûts du groupe", mis en place en fonction de la crise liée au Covid-19, et qui comprend une réduction des coûts opérationnels et le report d'investissements industriels non stratégiques.Le président de la région Laurent Wauquiez (LR), qui a dégagé une enveloppe de 10 millions d'euros pour faciliter la relocalisation d'entreprises en Auvergne-Rhône-Alpes, s'est félicité de la décision du groupe cimentier."Nous sommes le premier territoire industriel de France mais les sièges de grands groupes se concentrent essentiellement à Paris. C'est un paradoxe alors que nous habitons une région attractive et dotée d'une réelle qualité de vie", a noté M. Wauquiez dans un communiqué, en qualifiant de "fondatrice" la volonté de relocalisation de Vicat.Vicat présente également un point de situation dans le contexte de l'épidémie de Covid-19, qui indique que "l'activité du mois de mai 2020 est en très nette amélioration par rapport aux mois de mars et d'avril 2020" et que "l'ensemble des cimenteries du groupe sont ouvertes".Parmi les douze pays où opère le groupe, la France enregistre une activité "dynamique, avec une progression constante depuis le point bas de la mi-mars".Aux États-Unis, "depuis le début de la crise sanitaire, l'activité est restée bien orientée tant en terme de volumes que de prix de vente".Au Brésil, l'activité est aussi jugée "dynamique, tant en volumes qu'en prix de vente".
Il y a 4 ans et 363 jours

Covid-19 : environ 2 milliards d'euros de manque à gagner pour les sociétés autoroutières

"L'impact pour le groupe Sanef, c'est environ 400 millions d'euros", à comparer à un chiffre d'affaires de 1,8 milliard l'an dernier, a indiqué M. Quemard devant la commission d'enquête du Sénat sur les concessions autoroutières."Si on fait (un calcul) homothétique vis-à-vis du secteur, c'est de l'ordre de 2 milliards de chiffre d'affaires qui ne se réalisera pas au niveau du secteur sur l'année 2020", a-t-il ajouté.Les 18 sociétés d'autoroutes avaient réalisé en 2018 un chiffre d'affaires de 10,4 milliards d'euros, selon les derniers chiffres de l'Autorité de régulation des transports (ART).S'ajoute pour la crise actuelle "le risque de surcoût des travaux, qu'on ne sait encore chiffrer", a noté M. Quemard."Ca fait partie aussi du risque du concessionnaire", a noté le responsable, rappelant que le trafic poids lourds avait mis dix ans à se remettre de la crise financière de 2008.A la fin mai, le trafic des véhicules légers sur les autoroutes Sanef (de Paris vers le Nord, l'Est et la Normandie) était en recul de 36,5% sur les cinq premiers mois de l'année, a-t-il observé."Je suis extrêmement surpris par la lenteur de la reprise du trafic", a remarqué M. Quemard, avec par exemple un trafic de 16% inférieur à la normale le week-end dernier, alors qu'on aurait pu penser que les Français profiteraient du déconfinement."Le télétravail s'installe et a l'air de s'installer durablement", le trafic domicile-travail restant à 60% de la moyenne. "Nos prévisions c'est peut-être qu'on arrivera à 90% en fin d'année", a-t-il dit, tenant toutefois à rester prudent."Les étrangers ne vont probablement pas revenir massivement en France cet été pour les vacances", mais on devrait voir "un peu plus de Français sur les routes", a-t-il dit."On prévoit encore -5% l'an prochain de trafic par rapport à 2019", a ajouté M. Quemard, rappelant que le trafic poids lourds suivait de son côté les courbes de l'économie."Est-ce qu'en 2022 on retrouvera les trafics de 2019? Peut-être", a-t-il conclu.
Il y a 4 ans et 363 jours

Appel à candidature pour la 8ème édition du concours international des Intermat Innovation Awards

Cette 8ème édition s'inscrit pleinement dans la vision prospective du millésime 2021 d'INTERMAT, qui ambitionne de révéler, d'accélérer l'innovation et d'en combiner toutes les composantes qui feront l'efficience et le succès des projets de demain.Pour la première fois, l'annonce des nominés aura lieu lors des INTERMAT Press Day le 21 janvier 2021 pour mettre en lumière les innovations sélectionnées lors de la première réunion du jury. Et les lauréats seront annoncés le 19 avril 2021 sur le salon lors de la cérémonie de remise des trophées qui sera suivie d'une soirée de networking.L'appel à candidatures est aujourd'hui lancé pour tous les exposants d'INTERMAT 2021 qui développent un produit, un service, un équipement, un matériel, une technique ou une solution répondant aux thématiques en termes d'innovation de l'un des 5 pôles d'expertise du salon :Terrassement, Démolition & TransportRoutes, Industries des Matériaux & FondationsLevage & ManutentionBâtiment & Filière du BétonNouvelles TechnologiesChacune de ces 5 catégories récompensera deux innovations : Équipements & Matériels et Composants & Accessoires, soit 10 lauréats pour cette édition, revisitée en fonction de la nouvelle sectorisation du salon et enrichie par la catégorie Nouvelles Technologies.4 prix spéciaux récompenseront également les initiatives des entreprises proposant une innovation spécifique dans ces secteurs et domaines :Prix World of Concrete EuropePrix « Transition Énergétique »Prix Start-UpPrix SécuritéAu total, 14 lauréats seront récompensés.Le jury et les critères de sélectionSous la présidence de Bruno Cavagné, président de la FNTP, un jury, rassemblant des experts issus d'entreprises européennes de la recherche et de l'industrie de la construction, étudiera les dossiers de candidatures pour sélectionner les nominés, qui seront pour la première fois mis en lumière, puis les 14 lauréats.5 critères de sélection sont à prendre en compte par chacun des jurés pour choisir les dossiers parmi les domaines de progrès suivants :Économie : diminution des coûts d'investissement et d'entretien, simplification de la maintenance, amélioration du système de production et valorisation des produits ou techniques,…Conception technique et technologies utilisées : amélioration de la performance et de la productivité, facilité d'entretien,…Fonctionnement : qualité du travail, gain de productivité, facilité d'entretien et efficacité énergétique,…Utilisation : facilité d'emploi, ergonomie, confort, sécurité, amélioration des conditions de travail et prévention des risques,…Respect de l'environnement : préservation du climat et de la biodiversité, économie circulaire,…Le calendrier du concours5 octobre 2020 : clôture des inscriptions16 octobre : clôture des dépôts de dossiers.25 novembre : 1ère réunion du jury pour évaluer chaque dossier puis sélectionner les nominés.21 janvier 2021 : annonce des nominés lors des INTERMAT Press Days.10 février : 2ème réunion du jury pour la sélection finale des lauréats.19 avril : annonce des lauréats lors de la cérémonie de remise des Awards sur le salon.
Il y a 4 ans et 363 jours

CEE : fournisseurs d'énergies et de carburants vont devoir mettre les bouchées doubles

Dans leur dernière publication, les consultants des Échos Études dressent un tour d'horizon complet des enjeux économiques, réglementaires et financiers des CEE et des conséquences que peuvent avoir la crise actuelle sur le marché. Ils comparent les stratégies de production de CEE des obligés et des délégataires et leurs possibles ajustements face à la situation.Bilan incertain Le mécanisme des certificats d'économie d'énergie (CEE) n'est pas nouveau. Mais sur cette 4e période, qui s'achèvera au 31 décembre 2021, EDF, Total, Engie et tous les autres doivent collecter en tout 2 133 TWh cumac en 4 ans, soit 40 fois plus que leurs obligations de la 1ère période. Pour l'instant, le bilan ressort mitigé. Du côté des CEE précarité, nouveauté réglementaire introduite au 1er janvier 2016, les obligés et délégataires sont nettement en avance et leurs efforts devraient sans doute être moins intenses dans les mois à venir. En revanche, pour les CEE classiques, le compte n'y est pas et l'écart sera dur à rattraper. Le retard pourra, toutefois, être comblé par les surplus de CEE précarité. Mais cela suffira t-il ? D'autant que le confinement a porté un coup d'arrêt brutal aux travaux de rénovation énergétique, et donc un effondrement de la capacité à produire des CEE. Dans le résidentiel diffus et le petit tertiaire, la production de CEE a été famélique sur cette période. De plus, la crise a fragilisé nombre d'entreprises artisanales avec un risque de cessation d'activité pesant sur la capacité à produire des CEE à l'avenir.Coup de pouce de l'ÉtatÀ l'approche de la fin de la P4, les obligés et les délégataires n'auront d'autres choix que d'accélérer leurs efforts de production de certificats. Ce phénomène observé à chaque fin de période ne manquera pas de se reproduire. Pour remplir leurs objectifs, ils pourront aussi compter sur un soutien de l'État qui souhaitera probablement s'éviter le risque de voir l'objectif non atteint. Plusieurs mesures ont d'ores et déjà été adoptées pendant le confinement, comme la prolongation des deux opérations Coups de pouce (chauffage et isolation) jusqu'au 31 décembre 2021, alors qu'elles devaient initialement s'arrêter le 31 décembre 2020, ou l'allongement de 6 mois du délai de dépôt des demandes de CEE pour les opérations d'économies d'énergie achevées entre le 1er mars 2019 et le 31 août 2019.Opportunités en vueEntre production en propre (via des versements de primes aux consommateurs ou le financement de programmes par exemple), recours à des délégataires, appui sur des réseaux d'installateurs, appel à des mandataires, ou encore, intégration de la chaîne de valeur de l'efficacité énergétique pour développer une offre globale, les options qui s'offrent aux obligés sont nombreuses. Le mix est largement orienté par la taille de l'obligation. Mais la crise sanitaire, et maintenant économique, a aussi rebattu les cartes et nécessite des ajustements. Avec un seul enjeu en tête : contenir l'inflation des coûts du mécanisme.D'autant que la course à la collecte de CEE ne se fera pas sans heurts. Il y aura obligatoirement des perdants. A l'inverse, des opportunités se dessinent pour d'autres. Chez les délégataires, les tours de tables pourraient évoluer, face aux pressions sur la trésorerie, le nerf de la guerre. 2019 a déjà été une année riche en mouvements, avec 3 d'entre eux qui ont changé de main, un score inégalé jusqu'à présent. L'arrivée de Bureau Veritas qui a repris Capital Energy ou du groupe La Poste qui a accéléré sa diversification en reprenant Économie d'Énergie est un signal clair que le marché est attractif…