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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Batinfo

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Il y a 5 ans et 11 jours

Covid-19 : appel à faire grâce de trois mois de loyer aux petites entreprises

Cette demande s'inscrivait dans un contexte de fortes tensions entre les fédérations de commerçants, qui demandaient une annulation généralisée des loyers, et leurs principaux propriétaires, notamment les centres commerciaux, qui privilégiaient un simple report.L'Association française de la gestion financière (AFG), l'Association française des sociétés de placements immobiliers (Aspim), CDC Habitat (groupe Caisse des dépôts), le Conseil national des centres commerciaux (CNCC), la Fédération des sociétés immobilières et foncières (FSIF), ainsi que la Fédération française de l'assurance (FFA), expliquent dans un communiqué commun que ces "mesures seront appliquées de façon automatique et sans considérer la situation particulière des entreprises en question".Jeudi soir, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire avait demandé aux propriétaires de parcs immobiliers de ne pas percevoir pendant trois mois les loyers dus par les TPE obligées de cesser leur activité pour endiguer l'épidémie de Covid-19 qui sévit en France depuis plusieurs semaines.De nombreux petits commerces, jugés non essentiels, ont été contraints de fermer par le gouvernement depuis la mi-mars.Dans un communiqué séparé vendredi, Bruno Le Maire a salué "un geste de solidarité très important qui va permettre de soulager la trésorerie des petites entreprises"."code de bonne conduite"Pour les TPE forcées de fermer, "nous appelons tous nos adhérents à accorder une annulation de trois mois de loyers, à l'exclusion des charges qui resteront dues puisqu'elles correspondent à des coûts réels encourus par les propriétaires même en période de fermeture des commerces", précisent les signataires.Compte tenu de "la prolongation de la durée de fermeture des commerces imposée par la crise sanitaire, et de la reprise économique que nous pouvons envisager comme progressive", les bailleurs estiment que cette décision s'impose pour leurs "plus petits locataires, très fortement fragilisés par la crise économique"."Par ailleurs, nous demandons à nos adhérents d'engager des discussions avec leurs autres locataires connaissant des tensions de trésorerie, sur la base des différentes situations individuelles", précisent-ils.Pour ces locataires, "diverses options sont envisageables selon les propriétaires et selon les locataires, notamment en fonction de leur taille et des difficultés de trésorerie qu'ils rencontrent et des capacités financières propres des bailleurs et locataires", selon la même source.Vendredi matin, le groupe immobilier français Icade, présent dans le secteur des bureaux, avait pris les devants en annonçant qu'il renonçait pour un trimestre aux loyers des petites entreprises à l'arrêt à cause du coronavirus.D'autres acteurs - la foncière d'Auchan, la SNCF et la plus petite Compagnie de Phalsbourg - ont également décidé d'annuler des loyers.Outre ces mesures, les fédérations de bailleurs, la FFA et la Caisse des dépôts se sont engagées à rédiger, avec les Fédérations de commerçants et sous l'égide de M. Le Maire, "un code de bonne conduite des relations entre les propriétaires et les locataires commerciaux dans le cadre de la situation de crise économique".Un médiateur sera nommé par Bercy pour veiller à sa bonne application et au règlement amiable des différends qui pourront naître entre propriétaires et locataires de commerces.
Il y a 5 ans et 11 jours

Le Covid-19 sera-t-il reconnu comme une maladie professionnelle ?

Qui veut que le Covid 19 soit reconnu comme maladie professionnelle ?Après le ministre de la Santé Olivier Veran qui l'a évoqué pour les soignants, Christophe Castaner, le ministre de l'Intérieur, veut qu'il soit reconnu comme maladie professionnelle pour les personnels du ministère.L'Académie de médecine s'est dite aussi favorable à ce que cette reconnaissance ne bénéficie pas qu'aux seuls personnels de santé mais aussi à ceux qui travaillent pour "le fonctionnement indispensable du pays", dans les secteurs de l'alimentation, des transports et de la sécurité.Plusieurs syndicats le demandent également depuis le début de la crise pour les salariés et les agents publics.La CFDT préconise que "toutes les situations de travail en présentiel puissent, en cas d'atteinte à la santé due au Covid 19, relever d'une imputabilité d'office à titre professionnel". Elle plaide pour la création d'un "fonds" dédié pour prendre en charge les personnes atteintes.Dans l'attente, les syndicats conseillent aux salariés qui auraient contracté le virus au travail ou sur le trajet pour s'y rendre de le déclarer en accident du travail.Qu'est-ce qu'une maladie professionnelle ?L'Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS) rappelle qu'une maladie est considérée "comme "professionnelle" si elle est la conséquence directe de l'exposition plus ou moins prolongée d'un travailleur à un risque physique, chimique ou biologique, ou résulte des conditions dans lesquelles il exerce son activité professionnelle".Le concept remonte à une loi de 1919 reconnaissant le saturnisme, et récemment le débat sur la reconnaissance du burn out comme maladie professionnelle avait été relancé, sans succès.Une liste des maladies reconnues est établie dans des tableaux annexés au code de la sécurité sociale et au code rural. Si le salarié entre dans les critères (avec des durées d'exposition au risque), il n'a pas besoin de prouver le lien entre sa pathologie et son travail. Si tous les critères ne sont pas remplis, il faut apporter la preuve du lien entre son travail et la maladie et c'est donc bien plus compliqué.Faire entrer une nouvelle maladie professionnelle dans ces fameux tableaux suppose un décret, pris après discussion au sein du Conseil d'orientation des conditions de travail (Coct) où siègent aussi syndicats et patronat."Cela peut aller très vite si le gouvernement veut aller vite mais cela peut aussi s'enliser", explique Jérome Vivenza (CGT), membre du Coct. Certains syndicats veulent mettre cette question à l'agenda du Coct rapidement, a-t-il indiqué à l'AFP. Une réunion se tiendra le 24 avril.Quelles sont les conséquences de la reconnaissance en maladie professionnelle ?La reconnaissance d'une maladie professionnelle permet une prise en charge à 100% des frais médicaux mais permet aussi de recevoir une indemnité en cas d'incapacité temporaire ou permanente. En cas de décès, les ayants droits peuvent également percevoir une rente.Tout cela est financé par la branche dite "ATMP" (accident du travail et maladie professionnelle) de la sécurité sociale, financée par les cotisations des entreprises dont le taux varie en fonction de la sinistralité.A noter qu'il est difficile pour l'instant, alors que la connaissance de ce virus est parcellaire, d'en identifier les séquelles, notamment pour ceux atteints par une forme grave du Covid 19 ayant entraîné plusieurs jours en réanimation. Séquelles respiratoires? Séquelles neurologiques et cognitives? Des médecins esquissent des pistes, à tâtons.C'est pour cette raison que la CFDT réclame un "droit de suite à l'épidémie, permettant de prendre en considération des séquelles et pathologies éventuelles liées au Covid 19, non encore connues à ce jour".
Il y a 5 ans et 11 jours

Covid-19 : près des trois-quarts des artisans fermés

"Seulement 27% des entreprises artisanales sont actuellement en activité en France", selon une enquête en ligne menée par l'organisation, présentée dans un communiqué."Les entreprises autorisées ne sont pas épargnées: 26% d'entre elles ont aussi fermé. Enfin, 58% des entreprises artisanales ont mis en place l'activité partielle pour leurs salariés ou apprentis", détaille CMA."Nous avons tous en ligne de mire la reprise de l'activité, nous nous y préparons", a souligné Christian Vabret, le président par intérim de CMA France. "Nos entreprises ont d'ores et déjà besoin d'un plan de relance et du soutien d'un État stratège et interventionniste pour garantir leur survie et le rebond".Les chambres souhaitent l'application d'une "nouvelle fiscalité verte et durable" avec une taxation des produits extérieures à l'UE et un "soutien massif de l'État en faveur des entreprises engagées dans l'économie circulaire".Elles demandent également l'effacement ou la neutralisation des charges sociales et fiscales pour les entreprises les plus en difficulté, la défiscalisation des heures supplémentaires, un "dispositif exceptionnel d'amortissement des prêts de trésorerie", et des mesures incitatives au recrutement de salariés et d'apprentis.
Il y a 5 ans et 11 jours

Les chantiers dans le BTP commencent à reprendre progressivement

A Antony (Hauts-de-Seine), des coups de marteau piqueur résonnent dans une rue tranquille du centre-ville. A l'arrière d'une petite maison, deux maçons s'affairent pour réaliser les fondations d'une extension."Les travaux devaient commencer le 21 mars, ils ont été repoussés à cause du confinement", explique Typhaine, la propriétaire.Guillaume Guillauby et Jean-Marc Adélaïde, la cinquantaine, travaillent ensemble sur ce chantier censé durer au moins un mois. Les deux auto-entrepreneurs viennent de se remettre au travail, après un mois de confinement."Financièrement, je pouvais tenir encore longtemps, mais je tournais en rond chez moi", raconte Guillaume, masque FFP3 sur le visage et gants de travaux sur les mains. La condition pour reprendre? "Je n'accepte que les chantiers en extérieur" et ceux pour lesquels "un ou deux" artisans suffisent, dit-il."Certains ne font pas attention"Dans la petite cour, chacun utilise ses propres outils, comme avant l'épidémie de Covid-19 et les deux hommes disent veiller à garder une distance d'un mètre entre eux. Ils ignorent l'existence d'un guide sanitaire récemment publié pour le BTP.Plusieurs de leurs confrères ont également redémarré leur activité mais "certains ne font pas attention, travaillent à 6 ou 7 dans un espace réduit et ne respectent pas les distances de sécurité", regrette Guillaume.D'autres chantiers restent à l'arrêt, faute de matériaux ou "parce que les clients refusent la présence des artisans", témoigne Jean-Marc.Sur ce chantier, les maçons "prennent leurs précautions, ne rentrent pas dans la maison, et tout ce temps ils étaient eux aussi confinés chez eux, donc on est plutôt rassurés", affirme Typhaine, enceinte de son troisième enfant.Matthieu (prénom modifié), courtier en travaux en Ile-de-France, a vu tous les chantiers qu'il accompagne arrêtés net au début du confinement. Depuis, "tous ceux sur lesquels les clients ne sont pas présents ont repris, mais de façon partielle, soit parce qu'il y a un manque de matériaux de construction, soit parce qu'il y a moins de salariés sur place en même temps"."Sur les petits chantiers, il est plus facile de reprendre et de respecter les règles sanitaires", observe-t-il.Pressions"Les chantiers n'ont pas repris ou de manière épisodique, essentiellement sur de petits chantiers", confirme la FFB, la fédération du secteur, interrogée par l'AFP."Le bâtiment est passé de 15 à 25% (d'activité, NDLR), c'est encore très modeste", indiquait mardi la ministre du Travail Muriel Pénicaud.Face au risque pour les salariés de s'exposer au Covid-19 pour des travaux jugés non essentiels, la majorité des syndicats du bâtiment s'opposent au redémarrage des chantiers et rejettent le guide de préconisations sanitaires du secteur validé par le gouvernement et les fédérations patronales."C'est très, très difficile de faire respecter les consignes du guide", alors qu'il n'y a, par exemple, pas toujours suffisamment de points d'eau sur les chantiers pour le lavage régulier des mains, relève Christian Renard, de la CGT Vinci.Son syndicat s'inquiète du redémarrage de gros chantiers et appelle les salariés à se mettre en grève s'ils jugent leur santé en danger. M. Renard dénonce des "pressions sur certains salariés" qui viennent "parfois travailler la peur au ventre".Interrogé, le groupe Vinci assure "placer la santé et la sécurité des personnels de chantiers et des parties prenantes comme priorité" et affirme que "la reprise s'effectuera en concertation avec les représentants du personnel et en dialogue constant avec les maîtres d'ouvrages". En France, "l'activité pourra reprendre progressivement au travers de chantiers-tests", précise l'entreprise.Dans les travaux publics, la reprise risque de se faire attendre, estime Eric (prénom modifié), conducteur de camion aspirateur pour une PME dans le Nord. Actuellement au chômage partiel, il est d'habitude envoyé sur de gros chantiers. "Il y a des pressions des donneurs d'ordre, tout le monde veut reprendre au plus vite", confie-t-il, "les grands groupes sont en train de s'équiper en masques mais ça arrive au compte-goutte".
Il y a 5 ans et 11 jours

Covid-19 : L'activité en France a perdu 120 milliards d'euros sur huit semaines à cause du confinement

"Pendant la période de confinement, le produit intérieur brut (PIB) est réduit de 32%", correspondant à cinq points de PIB sur l'ensemble l'année 2020, précise l'Observatoire français des conjonctures économiques."Près de 60% de la baisse de revenu national est absorbée par les administrations publiques" à travers la hausse du déficit, tandis que "35% est au compte des entreprises, ce qui pose la question du rebond après l'épisode de confinement", selon cette étude.La reprise de l'activité dépendra beaucoup de la reprise de la consommation, à savoir dans quelle mesure les Français dépenseront ce qu'ils ont épargné durant le confinement ou se constitueront une épargne de précaution.Pour l'OFCE, "la contribution de huit semaines de confinement à l'évolution du déficit public serait de 2,8 points de PIB, soit 65 milliards d'euros", mais si l'intégralité de cette épargne était consommée, ce ne serait que 20 milliards d'euros, soit 0,9 point de PIB.Dans ce cas, la perte annuelle d'activité serait ramenée à 2 points de revenu national au lieu de 5.Mais face aux incertitudes sur la sortie de crise, "l'épargne accumulée pourrait ne pas être consommée complètement et rapidement", relève l'étude.D'autant que "les ménages verraient leur revenu se réduire de 9 milliards d'euros" pendant le confinement.Aussi, "les restrictions qui persisteraient, notamment sur les mouvements de personnes, pourraient avoir des impacts sectoriels massifs" et il pourrait y avoir des "ajustements coûteux en chômage", estime encore l'OFCE.Enfin, "les huit semaines de confinement conduiraient à réduire le taux de marge des entreprises de 2,9 points de valeur ajoutée sur l'année, soit l'équivalent d'une perte de 35 milliards d'euros".Le gouvernement estime de son côté que le PIB de la France reculera sur l'ensemble de l'année 2020 de 8% sous l'effet du choc économique provoqué par le coronavirus, qui ne sera pas limité aux huit semaines de confinement. Il prévoit également une envolée du déficit public à 9% du PIB pour cette année.
Il y a 5 ans et 11 jours

Les diplômes d'apprentissage aussi en contrôle continu

"Les diplômes délivrés en juillet le seront principalement selon les modalités du contrôle continu", expliquent-ils dans un communiqué. Bac général, bac pro, CAP, BTS, seront donc tous évalués de cette manière.Le jury, qui se réunira début juillet, tiendra compte "du cahier de notes ou livret de formation de l'apprenti", de "son assiduité" à distance - s'il en avait les moyens - "pendant le confinement" et "de tout moyen permettant d'attester de la progression pédagogique" dont "l'appréciation du maître d'apprentissage et/ou du chef d'entreprise"."Chaque ministère certificateur précisera dans les prochains jours les modalités de passage des examens pour les certifications qui s'acquièrent par unité capitalisable ou pour lesquelles un examen pratique s'avèrerait indispensable", précisent-ils.Et si "le contrat d'apprentissage a été rompu ou est arrivé à son terme avant la délivrance du diplôme, le jeune bénéficiera néanmoins du statut d'apprenti en tant que candidat à ce diplôme".
Il y a 5 ans et 12 jours

Grohe présente 3 mitigeurs emblématiques alliant design et technologie

GROHE, marque mondiale de solutions complètes pour la salle de bain et la cuisine, développe des gammes de mitigeurs aux design minimalistes et aux technologies de pointe pour améliorer la qualité de vie de ses utilisateurs.GROHE Plus : L'élégance alliée au numériqueLa nouvelle gamme GROHE Plus présente un design élégant et audacieux. Ce mitigeur répond à toutes les envies en s'adaptant aux différents équipements de la salle de bain aux formes arrondies et carrés. Ses lignes géométriques et son écran LED placé sur le bec s'intègrent à merveille aux salles de bain sobres et modernes. L'acrylique blanc qui recouvre le mitigeur lui donne un aspect brillant tout en restant discret. Pour une indication précise et intuitive, la couleur du chiffre affiché sur l'écran LED passe du bleu au rouge en fonction de la température choisie par l'utilisateur. Ce robinet se combine parfaitement aux modèles MoonWhite de la gamme de produits GROHE SmartControl ou aux douches GROHE Rainshower SmartActive.GROHE Icon 3D : l'impression 3D métal, pour un design uniqueL'impression 3D est considérée comme étant la technologie de fabrication du futur dans de nombreux secteurs de l'industrie. Dans le secteur des produits sanitaires, GROHE est la première marque à relever l'impossible en présentant deux robinets créés par impression 3D en métal : GROHE Atrio Icon 3D et GROHE Allure Brilliant Icon 3D.Avec cette innovation, GROHE réinvente les gammes Atrio et Allure Brilliant en cassant les codes des mitigeurs basiques. Cette nouvelle technologie de conception permet de manier le métal à sa guise et de créer quasiment toutes les formes de robinet possible. Le client peut donc imaginer les designs de son choix en adéquation avec son projet de décoration.“Chaque innovation commence toujours par une vision audacieuse. Repenser ce qui est possible n'est pour nous qu'une question de perspective. Avec GROHE Icon 3D, nous entrons dans l'avenir de la conception de produits, car nous sommes maintenant en mesure de créer ce qui semble à l'origine impossible. En adoptant la technologie encore émergente de l'impression 3D des métaux, nous repoussons les limites du design et façonnons véritablement l'avenir de l'eau.” – Paul Flowers, Directeur Design LIXILL'impression 3D est une véritable prouesse esthétique qui magnifie les deux gammes de robinets. La matière première utilisée pour l'impression est un acier résistant à la corrosion. Les parois ultra-fines de GROHE Atrio Icon 3D et l'intérieur creux de GROHE Allure Brilliant 3D créent une illusion d'optique lorsque l'eau s'écoule du robinet.GROHE Atrio : des lignes géométriques pour un équilibre parfaitLe mitigeur Atrio associe, tel un cercle parfait, un style minimaliste, des proportions équilibrées et des formes cylindriques. Son bec, mesure exactement le même diamètre de la base au sommet : un modèle unique dans l'industrie. Deux types de commandes sont disponibles : à levier ou à croisillons. Pour encore plus d'élégance, elles peuvent être marquées d'un C (cold, eau froide) et d'un H (hot, eau chaude).Composée de plus de 35 produits coordonnés, du XS au XL, la ligne Atrio propose différentes options en fonction de l'agencement souhaité. Des mélangeurs à montage mural pour un style minimaliste, un mélangeur XL en version réhaussée pour les vasques élégantes, des mélangeurs Bain/Douche, des becs de bain, ou encore un mélangeur sur colonnette autoportant pour les baignoires îlots.
Il y a 5 ans et 12 jours

Autodesk s'associe à 24 entreprises de la Tech pour lever ensemble 22 millions de dollars

La Fondation Autodesk joint ses forces à 24 autres entreprises de la région de la baie de San Francisco pour lever 22 millions de dollars dans un fond commun destinés aux entreprises mobilisées en première ligne face à la pandémie actuelle, dont la Fondation CDC, la Fondation des Nations Unies et la Silicon Valley Community Foundation. De plus, Autodesk met également à disposition temporairement un accès gratuit à plusieurs de ses solutions collaboratives Cloud et lance un Datacenter en Europe afin d'aider ses clients et partenaires à mieux s'adapter à des conditions de travail inédites.Autodesk se mobilise aux cotés de 24 entreprises pour lever 22 millions de dollarsPour la Fondation Autodesk, il est essentiel de participer aux efforts de secours en cours pour soutenir la santé et la résilience des collaborateurs et de leurs communautés pendant la pandémie. Avec 24 autres entreprises de la Tech, un fond de 22 millions de dollars va être débloqué afin de soutenir : le Fonds d'intervention solidaire COVID-19 de la Fondation des Nations Unies, le Fonds d'intervention d'urgence de la Fondation pour le contrôle des maladies,et le Fonds régional d'intervention COVID-19 de la Silicon Valley Community Foundation,De son coté, Autodesk fait un don de 600 000 dollars. La Fondation augmentera son programme de dons jumelés pour tous les employés en reversant le double du montant donné et en augmentant le plafond annuel des dons par employé.Parmi les 25 entreprises, on retrouve : Autodesk, Box, DocuSign, Cisco, Dropbox, GitHub, Intuit, LinkedIn, NetApp, Okta, PagerDuty, Palo Alto Networks, Pledge 1%, Postmates, Pure Storage, Salesforce, SAP, ServiceNow, Silicon Valley Bank, Slack, SurveyMonkey, Twilio, Workday, Zoom Video Communications et Zuora.#COVID19TechCollaborativePlus d'infos ici : https://adsknews.autodesk.com/views/covid-19Autodesk offre un accès gratuit à ses plateformes collaborativesAlors que le confinement touche plus d'un milliard de personnes dans le monde, et afin de mieux accompagner les clients confrontés à cette nouvelle réalité, Autodesk annonce un programme d'accès étendu temporaire pour plusieurs produits de collaboration cloud. Autodesk ouvre l'accès à ses plateformes de travail collaboratif jusqu'au 31 mai. « Et cette période pourra être étendue au-delà si besoin », selon Andrew Anagnost, PDG d'Autodesk.Les clients pourront bénéficier d'un accès gratuit à une sélection de produits et services d'Autodesk (notamment BIM 360 Docs, BIM 360 Design, Fusion 360, Fusion Team, AutoCAD Web et Mobile, et Shotgun, tous pour un usage commercial). Andrew Anagnost ajoute à ce sujet : « Soyons clairs : nous n'introduisons pas ce programme pour convertir les clients en utilisateurs payants. Notre objectif est plutôt de mettre en place un programme le plus rapidement possible afin d'offrir aux clients une souplesse accrue dans ce qui est devenu un environnement de travail difficile »De plus, Autodesk propose d'autres dispositifs : la mise en place du COVID-19 Autodesk Resource Center, qui recense les ressources qu'Autodesk fournit à ses clients. Ils peuvent également accéder à des informations nécessaires face à la nouvelle organisation de télétravail Ces temps extraordinaires peuvent créer des contraintes de trésorerie pour les utilisateurs des produits Autodesk. Pour offrir un certain soulagement, il a été décidé d'étendre les conditions de paiement des contrats à 60 jours pour tous les clients et partenaires, pour les nouvelles commandes et les renouvellements passés directement auprès d'Autodesk jusqu'au 7 août 2020. L'extension de la possibilité d'acheter de nouveaux abonnements multi-utilisateurs jusqu'au 7 août 2020 et le report de l'arrêt de la vente au 7 août 2021. Autodesk BIM 360 Design ouvre un Datacenter en EuropeUtilisé dans plus de 150 pays et accompagnant environ 40 000 projets, BIM 360 Design permet aux architectes, ingénieurs et professionnels du secteur de la construction et du BTP de collaborer en temps réel depuis n'importe quel endroit et à tout moment. Un datacenter a été ouvert en Europe pour accompagner la popularité croissante de BIM 360 Design et répondre au besoin de souplesse de l'hébergement des données liées aux projets des clients Autodesk en cette période difficile, notamment pour les projets liés aux évolutions des lois souveraines en matière de data.« En cette période sans précédent, les équipes ont plus que jamais besoin de continuer leurs projets en cours et de bénéficier d'une grande souplesse pour pouvoir travailler n'importe où » déclare Nicolas Mangon, Vice-Président Marketing et Stratégie AEC d'Autodesk.Depuis février 2020, le nombre d'abonnés à BIM 360 Design a doublé en Europe et depuis que les conditions de travail ont évolué avec le télétravail, le nombre de création de nouveaux projets dans BIM 360 Design a augmenté de près de 350 % dans le monde entier. Afin d'accompagner les entreprises en cette période, BIM 360 Design est disponible gratuitement jusqu'au 31 mai 2020 sur le programme d'accès étendu.Laetitia Laquais, Dirigeante de Cebatec (Bureau d'études BIM Fluides - France) : « Au vue de la situation actuelle liée à la pandémie et au confinement, l'utilisation d'Autodesk BIM 360 a facilité la mise en télétravail de nos collaborateurs. Nous avons désormais plus de 77% de nos effectifs en télétravail. Grâce à cet outil que nous utilisons pour la quasi-intégralité de nos projets, la collaboration avec nos clients et nos collaborateurs en interne est simplifiée. Elle permet à tous de rester connectés et productifs. »En plus de l'ouverture d'un datacenter en Europe, BIM 360 Design inclut de nouvelles fonctionnalités dont une connexion avec AutoCAD Plant 3D toolset. Cet outil permet aux designers et ingénieurs de mieux gérer les droits d'accès, d'aider les équipes à partager des fichiers de façon plus sécurisée et de collaborer plus efficacement à travers les différents fuseaux horaires, domaines et différentes organisations.Cliquez ici pour savoir comment BIM 360 Design peut aider les équipes à rester connectées sur le cloud et aider à maintenir la productivité.
Il y a 5 ans et 12 jours

Comme Paris, Lyon va privilégier le vélo après la fin du déconfinement

Emboîtant le pas à Paris, la métropole de Lyon a annoncé travailler à l'aménagement provisoire d'axes de circulation au profit du vélo et de la marche, afin d'éviter une surfréquentation des transports en commun après la fin du confinement.
Il y a 5 ans et 12 jours

Comme Paris, Lyon va privilégier le vélo après la fin du confinement

"La Métropole de Lyon travaillera en lien avec l'ensemble des acteurs du territoire - maires, associations - afin de proposer dès le 11 mai des aménagements en faveur de l'usage du vélo ou des trottinettes, mais également des piétons", annonce-t-elle dans un communiqué."Ces aménagements auront pour objectif d'offrir des usages alternatifs, sur des axes directs, plus confortables et sécurisés, tout en préservant la distanciation sociale suffisante pour contrer une éventuelle contagion", explique la métropole, sans entrer dans le détail des aménagements projetés."Repenser nos villes, nos vies de demain, commence aujourd'hui", souligne le président de la métropole David Kimelfeld, en se prévalant d'un "urbanisme tactique" qui pourrait esquisser la ville de demain.La mairie de Paris avait également évoqué mardi la possibilité de transformer temporairement des boulevards de la capitale en pistes cyclables lors du déconfinement.Le maire écologiste de Grenoble Eric Piolle a aussi annoncé réfléchir à des "adaptations" pour compléter le déjà ample réseau de voies cyclables de sa ville.
Il y a 5 ans et 12 jours

Le Golf Saint Urbanus passe à l'énergie verte grâce à des panneaux photovoltaïques Sharp

Sharp Energy Solutions a fourni 216 modules photovoltaïques NU-SC360 au complexe de Golf Saint Urbanus, célèbre parcours de golf de 18 trous, basé près de Cologne, qui accueille joueurs amateurs et professionnels, tout au long de l'année. Haut lieu d'hospitalité, le golf dispose également d'un clubhouse, qui organise régulièrement, de grands événements privés tels que des mariages, conférences, et autres séminaires d'entreprises.Les solutions Sharp produisent désormais 43% de la consommation énergétique annuelle du site sportifDepuis des années, le développement durable est une priorité absolue pour la direction du Golf St Urbanus. Déjà récompensé à plusieurs reprises, le complexe est presque totalement autosuffisant, produisant près de 95% de l'énergie nécessaire au site, grâce à ses panneaux voltaïques. Le golf investi régulièrement dans des technologies respectueuses de l'environnement et dispose de zones naturelles protégées, ou vivent crapauds et oiseaux qui viennent nidifier. Cet engagement a été reconnu par la Fédération Allemande de Golf, qui lui a récemment décerné le prix d'or dans la catégorie "Golf & Nature".Aujourd'hui, les 216 modules Sharp 72 cellules produisent suffisamment d'énergie pour répondre à plus de 43% de la demande énergétique du site.L'électricité produite est utilisée pour alimenter le bâtiment principal, le practice, l'école de golf, le restaurant, la station de recharge électrique Tesla et les voiturettes.Chaque module génère une production de 800kWh/kWp pour une production annuelle globale de plus de 62 000 kWh/kWp.Les solutions photovoltaïque Sharp combinent bénéfices écologiques et économiques« Sharp et FLiXenergy sont de solides partenaires depuis des années. Avec Sharp, nous mettons en œuvre des systèmes de production d'énergie inédits, conçus pour garantir à nos clients une autonomie énergétique maximale. Nous utilisons très régulièrement les modules photovoltaïque Sharp, leurs systèmes de stockage énergétique et même de petites éoliennes. » Commente Wolfgang John, installateur de panneaux photovoltaïques chez FLiXenergy.« Au sein du terrain de golf St. Urbanus, nous sommes très satisfaits de l'installation. La centrale photovoltaïque fonctionne très bien et nous sommes heureux de continuer à améliorer notre empreinte écologique grâce aux panneaux Sharp. » Conclut Michael Velte, Propriétaire du complexe de golf St Urbanus.
Il y a 5 ans et 14 jours

Il y a 60 ans, Brasilia devint la capitale du Brésil

Voici le récit de sa fondation, à partir des dépêches de l'AFP de l'époque.Ce projet pharaonique a émergé en moins de quatre ans, sur la savane rouge des hauts plateaux semi-désertiques dans le centre-ouest du pays, à un millier de kilomètres de Rio de Janeiro (capitale depuis 1763), explique l'AFP, avant le début de plusieurs jours de festivités. Un lac artificiel, Paranoa, de plus de 40 km carrés, a même été aménagé.Aux commandes de l'œuvre - classée en 1987 au patrimoine de l'humanité - l'urbaniste Lucio Costa, le paysagiste Roberto Burle Marx et l'architecte Oscar Niemeyer, récompensé en 1988 par le prix Pritzker, équivalent du Nobel pour l'architecture.Vaste circonférenceL'inauguration de la "capitale de l'espoir", suivant la formule popularisée par le ministre français de la Culture André Malraux, coïncide avec l'anniversaire de la mort du premier martyr de l'indépendance du Brésil, surnommé "Tiradentes" (arracheur de dents), qui appelait à établir la capitale au centre du pays.A l'approche de l'événement, 24 heures sur 24, "cent mille ouvriers ingénieurs et techniciens mettent la dernière main au plus grand chantier du monde"."Pour abriter les bâtisseurs de Brasilia, une ville de fortune est née" au "milieu de la savane", avec "cent cinquante mille habitants, soixante hôtels, quarante bars et sept banques", appelée à être rasée une fois Brasilia achevée.Le projet a été impulsé par le président brésilien Juscelino Kubitschek, pour qui "c'est une révolution géopolitique. Après avoir campé pendant presque deux cents ans au bord de l'eau, le Brésil va prendre possession de son territoire".Brasilia "a la forme d'une circonférence - tellement vaste que du sommet du gratte-ciel de 28 étages où seront logés les services administratifs relevant du Parlement, les limites n'en seront pas visibles", décrit l'AFP."A l'intérieur de cette circonférence", dont deux diamètres dessinent le signe de la croix, "les avenues (...) décrivent des cercles concentriques" ou "sont tracées suivant les rayons du cercle, mais ne débouchent jamais les unes sur les autres, des ponts et des tunnels ayant été aménagés à tous les croisements".Chefs-d'oeuvre d'architectureLe Parlement aux deux demi-sphères, le palais présidentiel du Planalto et la Cour suprême fédérale sont situés sur la Place des Trois Pouvoirs, "centre de la circonférence" et "cœur de la cité".Parmi les "plus beaux monuments", une cathédrale futuriste, avec une énorme gerbe liant les tiges de béton symbolisant l'amitié entre le Brésil et le Portugal, ou le palais d'Itamaraty (ministère des Affaires étrangères).Dans un premier temps, le transfert du pouvoir est surtout symbolique: "l'aménagement intérieur de nombreux édifices publics n'est pas achevé, les bureaux ne sont pas complètement installés, et surtout, le fonctionnement des ascenseurs est souvent précaire", explique l'AFP le 20 avril.Le réseau téléphonique intérieur n'est pas au point. Des difficultés de dernière minute surgissent dans les liaisons radio avec les autres villes.Difficile également de se déplacer dans une agglomération pratiquement dépourvue de transports publics, avec de longues distances.L'heure est néanmoins à la fête. Le 20 avril, "les Brésiliens qui, depuis 24 heures affluent dans la nouvelle capitale laissent libre cours à leur enthousiasme devant des chefs-d'œuvre de l'architecture". Pour bénir la cité, le cardinal Manuel Cerejeira, légat pontifical, apporte une croix au pied de laquelle fut dite en 1500 la première messe au Brésil.Le président reçoit les clés de la ville devant "une foule d'environ 3.000 personnes", composée d'ouvriers en blue jean, paysans de hauts plateaux au visage brûlé de soleil, touristes de Rio ou de Sao Paulo vêtus de blanc ainsi que de hauts fonctionnaires et parlementaires en costume sombre.Cérémonies religieuses, fêtes populaires kermesse, parade militaire, défilé des ouvriers ayant participé à la construction, rythment l'événement pendant plusieurs jours.Le 21, les pouvoirs sont installés à Brasilia."Les façades des édifices publics" et des immeubles d'habitation "sont toutes en baies vitrées. Ainsi, le peuple pourra +contrôler+ constamment le travail des serviteurs de l'État", explique l'AFP le 23 avril.Quatre années après l'inauguration de sa nouvelle capitale, qui a plombé ses finances pour plusieurs années, le Brésil connaît un coup d'État,instaurant une dictature militaire jusqu'en 1985.
Il y a 5 ans et 14 jours

Covid-19 : "près de 9 millions de salariés en chômage partiel"

Le coût du chômage partiel, qui s'élève à quelque 24 milliards d'euros, est "un investissement", a estimé le ministre à l'ouverture des débats devant l'Assemblée sur le deuxième projet de budget rectificatif de l’État. "Nous avons refusé politiquement, économiquement, les licenciements de masse", a-t-il appuyé.Après celui de la fin mars, le deuxième projet de loi de finances rectificative (PLFR) prend en compte l'enveloppe globale de 110 milliards d'euros annoncée par le gouvernement face à "l'urgence économique". Il prévoit un recul de 8% du Produit intérieur brut (PIB) en 2020, un déficit public d'environ 9% du PIB et une dette à 115%."Nous avons pris 20 points de dette en trois mois", a aussi relevé le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin.Défendant une motion de rejet préalable, le chef de file des députés insoumis Jean-Luc Mélenchon a demandé "l'annulation de la dette, ou du moins la conversion en dette perpétuelle". C'est "la seule solution pacifique, raisonnable", et qui pourrait être étendue au plan européen, a soutenu l'ancien candidat à la présidentielle."La France peut, la France doit sortir autrement qu'en se résignant aux règles de la comptabilité étroite que le gouvernement allemand inflige à tout le reste de l'Europe", a martelé M. Mélenchon.M. Le Maire a souligné que le recul de 8% du PIB était "un chiffre sévère, ce n'est pas un chiffre définitif", face à "un contexte économique qui n'a aucun précédent dans notre histoire contemporaine"."Nous n'avons compté ni les moyens, ni le soutien public", a assuré le ministre, égrenant les autres mesures de ce projet de budget, du soutien à la trésorerie des entreprises au fonds de solidarité en faveur des très petites entreprises et des indépendants, en passant par l'enveloppe de 20 milliards pour recapitaliser des entreprises stratégiques en difficulté.En parallèle, "les banques font le travail" mais il a indiqué vouloir faire baisser le taux de refus des prêts, actuellement "autour de 4-5%".Enfin, le texte tient compte de la prime exceptionnelle de 500 à 1.500 euros destinée aux soignants. Et intègre l'aide aux ménages les plus modestes (bénéficiaires des minimas sociaux) de 150 euros, plus 100 euros par enfant, annoncée par l'exécutif mercredi.
Il y a 5 ans et 14 jours

Covid-19 : chute de 58% du trafic des aéroports parisiens en mars

En tout, 3,6 millions de passagers ont été accueillis, dont 2,5 millions à Paris-Charles-de-Gaulle (-58,5%) et 1,1 million à Paris-Orly (-58,7%) qui a temporairement fermé ses portes le 1er avril.À Paris-Charles-de-Gaulle, depuis le 30 mars 2020, seuls les terminaux A, C, 2E Hall K et 2F sont ouverts afin d'assurer l'ensemble des vols commerciaux, essentiellement des vols sanitaires et de rapatriements.Le trafic total du Groupe ADP est en baisse en mars de 28,2%, avec 12,7 millions de passagers accueillis dans l'ensemble du réseau de 26 aéroports gérés par le groupe.S'agissant de l'activité à l'international, seulement trois aéroports du groupe turc TAV Airports sont ouverts aux vols commerciaux, et cela partiellement (Ankara, Antalya et Izmir), précise le groupe.Les autres aéroports du groupe, à l'exception de l'aéroport de Liège, qui assure beaucoup de fret, sont soit fermés soit soumis à des fortes contraintes opérationnelles, ajoute-t-il.Depuis le début de l'année, le trafic de Groupe ADP est en baisse de 10,1% avec un total de 44,5 millions de passagers accueillis, selon la société.Vinci Airports, l'autre géant français de la gestion aéroportuaire qui assure le développement et l'exploitation de 45 aéroports dans le monde, a annoncé de son côté mercredi son trafic trimestriel, avec une baisse de 20,9% par rapport à celui du 1er trimestre 2019, pour un total de 45,3 millions de passagers accueillis dans les 45 aéroports de son réseau."Les plateformes du Japon et du Cambodge ont été touchées dès janvier par la baisse des échanges avec la Chine et la Corée du Sud" et la baisse s'est étendue aux autres aéroports en mars à la suite de la généralisation des mesures restrictives dans de nombreux pays, selon un communiqué précisant que l'activité se limite désormais essentiellement aux services publics, sanitaires et logistiques.
Il y a 5 ans et 14 jours

Covid-19 : Bercy demande aux grands propriétaires d'annuler 3 mois de loyers pour les petits commerces fermés

"J'ai réuni aujourd'hui l'ensemble des grandes foncières (...) et je leur demande une chose: pour les très petites entreprises qui ont été obligées de fermer, celles qui ont moins de 10 salariés, je ne leur demande pas de reporter le loyer: je demande d'annuler trois mois de loyer", a expliqué le ministre sur BFMTV. De nombreux commerces jugés non essentiels ont été contraints de fermer par le gouvernement depuis la mi-mars pour éviter la propagation de l'épidémie de Covid-19.Alors qu'ils réclament l'abandon de leurs loyers par leurs propriétaires, en particulier les centres commerciaux, la fédération de ces derniers, le Conseil national des centres commerciaux (CNCC), a refusé toute mesure généralisée.Il a en revanche recommandé à ses adhérents un étalement des loyers sur deux ans pour les petits commerces, un paiement normal pour les grandes enseignes et une étude au cas par cas pour les entreprises moyennes.Cette politique a déjà été critiquée par Bruno Le Maire qui a demandé en début de semaine aux foncières de "faire des efforts".Outre cette proposition d'annulation pour les TPE, le ministre a demandé aux foncières "d'entrer en négociation avec les grandes chaînes (...) pour voir comment on peut avoir un étalement qui soit plus supportable", a-t-il dit jeudi soir.Pour les commerces indépendants, "si (le loyer) est une charge sur laquelle ils sont totalement liés et qu'ils ne peuvent pas être soulagés par un grand groupe ou une holding à laquelle ils appartiendraient, alors là, une annulation de gré à gré, avec les bailleurs, doit pouvoir être envisagée", a-t-il ajouté.La branche immobilière du groupe Auchan, Ceetrus, a déjà annoncé jeudi matin renoncer à percevoir deux mois de loyer des enseignes françaises contraintes à la fermeture par le confinement.La SNCF et un plus petit groupe immobilier, la Compagnie de Phalsbourg, ont pris des décisions semblables.
Il y a 5 ans et 14 jours

L'État adapte le calendrier des principales échéances fiscales pour soutenir les entreprises en difficulté

Le mois de mai compte plusieurs échéances fiscales : dépôt des « liasses fiscales », solde d'impôt sur les sociétés, solde de CVAE.Afin de donner de la visibilité, dès à présent, aux entreprises et aux experts-comptables, en tenant compte de leurs difficultés à rassembler l'ensemble des éléments leur permettant de déclarer correctement leurs impôts dans cette période de crise sanitaire, Gérald Darmanin présente un calendrier adapté de ces échéances.Toutes les échéances de dépôt des liasses fiscales et autres déclarations assimilées du mois de mai sont ainsi décalées au 30 juin. Le calendrier en annexe présente le détail de ces reports. Ces délais supplémentaires doivent permettre aux entreprises et aux experts-comptables d'accomplir leurs obligations fiscales annuelles.Par ailleurs, les entreprises qui connaissent des difficultés pourront demander le report du paiement des échéances fiscales du mois de mai.Les entreprises qui le peuvent sont toutefois invitées à s’acquitter de leurs obligations déclaratives et de paiement dans le calendrier initial.Enfin, comme déjà annoncé[1], pour les grandes entreprises et les grands groupes (plus de 5 000 salariés ou d’1,5 Md€ de chiffre d'affaires), les reports d'échéances de paiements ne seront accordés qu'en l'absence de versement de dividendes ou de rachats d'actions jusqu'à la fin de l'année.Calendrier détaillé des nouvelles échéances fiscales des entreprises [1] https://www.economie.gouv.fr/files/files/PDF/2020/covid-faq-termes-references-dividendes.pdf
Il y a 5 ans et 14 jours

Covid-19 : comment gérer les retards des chantiers de construction ?

Dans ce contexte exceptionnel, comment gérer les retards de chantier ? ForumConstruire.com, plateforme d'échanges entre particuliers sur la construction de maison et l'amélioration de l'habitat, fait le point sur la situation.Gérer au mieux la crise en tant que particulierLorsque l'on fait construire sa maison, quel bonheur de se rendre sur son chantier pour en suivre l'avancée, de penser à la livraison et aux travaux que l'on souhaite mener à bien après la remise des clés ! Mais, compte tenu de la situation actuelle, les futurs propriétaires vont devoir faire preuve de patience…Ils ont d'ailleurs sans doute déjà été contactés par leur constructeur pour un point dédié. Ainsi, interrogés par ForumConstruire.com quant à la situation de leur chantier en cette période de crise sanitaire1, plus d'un sondé sur deux (55% précisément) voit son chantier entièrement arrêté. 11 % des membres interrogés doivent faire des travaux sur leur chantier mais ne peuvent s'y rendre ou n'ont pas le matériel nécessaire. 7% des répondants indiquent que quelques artisans vont tout de même pouvoir y passer. Enfin, 5% parviennent encore à y faire quelques travaux.« Nous conseillons à tous les particuliers ayant déjà donné leur préavis à leur propriétaire, de négocier à l'amiable avec lui une autre date de départ de leur logement. Cela leur permettra de conserver celui-ci au moins jusqu'à la fin du confinement. Peu de risques que leur propriétaire le leur refuse, sachant qu'actuellement, seuls les déménagements « relevant d'urgences sanitaires, sociales ou de péril » sont autorisés… Rappelons également que le recours au service de déménageurs professionnels, comme à l'aide de proches, est interdit ! », commente Thomas Modolo, Responsable Communication de ForumConstruire.com.Qu'en est-il du côté des constructeurs ?Les constructeurs, eux aussi, doivent se réorganiser pour faire face, au mieux, à la crise sanitaire. Si la plupart des chantiers sont à l'arrêt, notamment du fait d'un manque de matériaux, les équipes commerciales, quant à elles, sont toujours sur le front et continuent à travailler, comme le souligne un constructeur : « Les chantiers sont stoppés jusqu'à nouvel ordre, mais nos équipes commerciales peuvent, au moyen d'outils numériques (notamment de plan et de chiffrage), continuer d'étudier les projets de nos clients et convenir avec eux de rendez-vous, téléphoniques ou en visioconférence ».La responsable d'une marque régionale témoigne elle aussi : « S'agissant des chantiers, nos conducteurs sont toujours en activité. Mais les prochains jours seront décisifs, car le manque de matériaux va bientôt se faire sentir, et certains de nos artisans ferment. On s'adapte donc au jour le jour ». Il est vrai que la fermeture de nombreux fournisseurs entraîne une pénurie de matériaux qui, même pour les artisans souhaitant continuer de travailler, contraint finalement à stopper l'activité.Par ailleurs, pour ne pas risquer de se retrouver hors délai si la crise devait durer plusieurs mois, les constructeurs ont tout intérêt à déclarer leurs chantiers suspendus pour cas de force majeure… Et cela, alors même que certains artisans, travaillant seuls ou parfaitement équipés (masques, etc.) pourraient encore venir y travailler. Or si un constructeur accepte que ses artisans viennent sur le chantier, il s'expose à voir son argument de force majeure voler en éclats… et donc de devoir payer des pénalités s'il n'arrive pas à terminer le chantier dans les délais impartis. Par conséquent, des raisons strictement juridiques pourraient pousser les constructeurs à fermer des chantiers qui pourraient pourtant avancer, même plus lentement, et ce, uniquement pour se protéger.La position de l'AAMOI (Association d'Aide aux Maîtres d'Ouvrage Individuels)ForumConstruire.com a contacté l'AAMOI afin d'en savoir plus quant à leur position sur le sujet. Et celle-ci est claire : « Restez chez vous ! ». L'association rappelle par ailleurs très clairement que « le cas de force majeure ne peut être automatique. En effet, rien n'interdit au secteur du BTP de travailler. Les entreprises devront alors prouver le cas de force majeure, en montrant notamment que les fournisseurs étaient à l'arrêt, leurs employés au chômage technique, etc. ». Il conviendra ensuite à chaque maître d'ouvrage de voir comment il souhaite gérer cette situation, en fonction des réactions de son constructeur.L'AAMOI alerte aussi quant à d'éventuelles tentations que pourraient avoir des constructeurs de mauvaise foi : « Certains constructeurs avaient du retard déjà acté avant le confinement, mais ont fait valoir des arrêts de chantiers pour éviter d'avoir à payer des indemnités de retard… ». D'autres ont envoyé des courriers notifiant la suspension du chantier, tandis que les travaux continuaient sur place. Le maître d'ouvrage ne pouvant aller vérifier, ces derniers espéraient ainsi pouvoir s'octroyer des délais supplémentaires et payer le moins possible de pénalités de retard… Malheureusement pour eux, des voisins ont alerté les maîtres d'ouvrage. Rappelons que ces constructeurs, pour le moins indélicats, sont dans l'illégalité la plus totale !Pour plus de précisions, retrouvez le communiqué dédié de l'AAMOI en cliquant-ici.L'avis de ForumConstruire.com« D'un côté, le gouvernement encourage les Français à rester à chez eux (allant jusqu'à promettre des peines de prison à ceux qui ne respecteraient pas, à plusieurs reprises, les règles du confinement), et, de l'autre, il indique que rien ne s'oppose au retour au travail des artisans du BTP. Cette complexité se retrouve aussi sur le terrain. Trouver des matériaux est à présent quasi impossible et travailler en groupe est peu recommandé, rendant compliquée la reprise des chantiers. Sans parler de la peur de la maladie, bien présente chez bon nombre d'artisans et employés qui préfèrent, par sécurité, ne pas reprendre le travail.Le gouvernement n'indique pas que cette crise sanitaire liée au Covid-19 est un cas de force majeure et, du coup, place les constructeurs en porte-à-faux, les obligeant à prouver par eux-mêmes que les chantiers sont arrêtés de façon tout à fait légale. Ce flou constitue une brèche, dans laquelle certains ne vont pas hésiter à s'engouffrer… Certains constructeurs vont par exemple essayer de se cacher derrière le confinement pour combler leur retard et éviter de payer des pénalités. Des particuliers vont quant à eux essayer de faire payer des pénalités de retard à leurs constructeurs, même si ceux-ci sont honnêtes. Après tout, on ne sait absolument pas quand ce confinement prendra fin ! Entre les deux, toute une panoplie de conflits en tout genre qu'il faudra résoudre.Chez ForumConstruire.com, nous trouvons que le BTP, à l'inverse de l'alimentation ou de la santé, ne fait pas partie des activités essentielles à la vie de notre pays. De ce fait, nous trouvons qu'il est de notre devoir de protéger nos artisans en les incitant à rester chez eux s'ils en ont la possibilité. Nous recommandons donc aux particuliers de faire preuve de bienveillance. Rappeler aux constructeurs le risque de devoir payer des pénalités de retard, c'est les pousser à remettre les artisans sur les chantiers. Nous sommes défavorables à cet état d'esprit.L'avenir nous dira comment la situation va évoluer mais, pour le moment, il est impossible de savoir quand et comment nous sortirons de cette crise. Néanmoins, notre priorité doit rester celle de l'intérêt commun et de la santé, à savoir de protéger le plus de monde possible. Nos chantiers peuvent attendre…», conclut Jean-Christophe Gigniac, Fondateur de ForumConstruire.com.1Méthodologie : étude portant sur les réponses apportées par 550 membres de ForumConstruire.com, interrogés le 19 mars 2020 (plusieurs réponses possibles).
Il y a 5 ans et 14 jours

Covid-19 : l'Assemblée s'attelle au nouveau budget

Après celui de la fin mars, ce deuxième projet de loi de finances rectificative (PLFR) intègre les 110 milliards d'euros annoncés par le gouvernement face à "l'urgence économique". Il prévoit un recul de 8% du PIB en 2020, un déficit public d'environ 9% du PIB et une dette à 115%.Face à une Assemblée réunie en format restreint pour raisons sanitaires, M. Le Maire a reconnu que le recul de 8% du PIB était "un chiffre sévère" mais "pas définitif"."Nous avons pris 20 points de dette en trois mois", a relevé le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin.Défendant sans succès une motion de rejet, le chef de file des députés insoumis Jean-Luc Mélenchon a demandé "l'annulation de la dette ou du moins la conversion en dette perpétuelle".Examiné en première lecture, le texte est attendu au Sénat mardi.Face à la crise, "aucun citoyen, aucune entreprise, aucun emploi, aucun territoire de la République ne sera laissé de côté", a insisté le rapporteur général Laurent Saint-Martin (LREM).Cette révision budgétaire version 2 porte notamment à 24 milliards d'euros les crédits destinés à financer le chômage partiel, dont un tiers pris en charge par l'Unedic. "Près de 9 millions de salariés aujourd'hui sont au chômage partiel", ce qui doit éviter des "licenciements de masse", a estimé M. Le Maire."Sentiment d'injustice"Le texte hisse aussi à 7 milliards d'euros le fonds de solidarité en faveur des très petites entreprises et des indépendants.Le gouvernement met également à disposition 20 milliards d'euros pour recapitaliser des entreprises stratégiques en difficulté dans les secteurs de l'aéronautique, de l'automobile et de la santé, a listé M. Le Maire.Les oppositions ont réclamé des éclaircissements et des ONG dénoncé "un chèque aux grands pollueurs sans conditions"."Ce ne sera pas un chèque en blanc", leur a rétorqué le ministre en séance, conditionnant les montées au capital ou éventuelles nationalisations temporaires à "un effort de redressement et de compétitivité" ainsi qu'à "une politique environnementale ambitieuse".Ce projet de loi comprend en outre une "avance remboursable" pour les PME qui n'obtiennent pas de prêt, ainsi qu'un fonds de soutien aux entreprises de taille intermédiaire d'un milliard d'euros.La droite a réclamé d'aller plus loin, Eric Woerth (LR) réclamant des annulations de charges pour hôtels, restaurants ou commerces. M. Darmanin a indiqué étudier "une exonération de charges (patronales) à la reprise". Enfin, le texte de loi tient compte de la prime exceptionnelle de 500 à 1.500 euros destinée aux soignants. Et intègre l'aide aux ménages les plus modestes de 150 euros, plus 100 euros par enfant, annoncée par l'exécutif mercredi.Evaluée à 880 millions d'euros au total, cette aide est jugée insuffisante par plusieurs députés de gauche. "Elle touche les familles en grande précarité, mais il reste toute une catégorie de travailleurs pauvres" avec "un sentiment d'injustice, peut-être même de colère", selon Jean-Louis Bricout (PS).Le vote global dans la soirée sur ce budget rectifié devrait cependant être large, socialistes comme Républicains y étant favorables, malgré des "trous dans la raquette". Et même le RN: dans l'hémicycle, Marine Le Pen a apporté son soutien à ce texte, "même lacunaire".Qui va payer ?Au-delà, la question du "qui va payer" commence à se poser. Insoumis, communistes et socialistes réclament le rétablissement de l'impôt sur la fortune (ISF). "Vous faites payer le travail, comme avant. Nous voulons faire participer le capital", a lancé le numéro un du PCF Fabien Roussel.Le "marcheur" Laurent Saint-Martin leur a déclaré jeudi que "l'ISF pour vous est un symbole" mais "on ne répond pas à la tempête par des dispositifs fiscaux".Quelques rares voix dissonantes se font entendre chez LREM, dont la députée Fiona Lazaar ou le sénateur Xavier Iacovelli favorable "à une contribution exceptionnelle des plus grandes fortunes pendant cette crise", dit-il à l'AFP.A ce stade, l'exécutif refuse toute augmentation d'impôt.
Il y a 5 ans et 15 jours

Des syndicats s’inquiètent pour la santé des salariés qui vont reprendre le travail le 11 mai

La CGT a regretté dans un communiqué que "rien n'ait été dit" par le président de la République "pour renforcer les maigres outils de contrôle pour la santé et la sécurité sur les lieux de travail"."Après quatre semaines de confinement social, les nouveaux malades ont, en majorité, contracté le virus directement au travail ou au domicile, contaminé par un membre de la famille qui travaille à l'extérieur", affirme la CGT.Elle souhaite ainsi "des décisions immédiates pour obliger les entreprises à adapter l'organisation du travail pour minimiser les risques là où il est vraiment essentiel d'aller au travail".Au dernier pointage, la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, a fait état de 9 millions de personnes en activité partielle, contre 8,7 millions la veille, sur les quelques 20 millions de salariés du privé.De son côté, FO a aussi fait part de plusieurs inquiétudes.D'abord sur les secteurs qui vont redémarrer. FO estime qu'une "reprise ne pourra être que progressive et répondant à des impératifs qui ne peuvent plus être ceux des profits à tout prix, et surtout pas au risque de la santé"."Cela pose, à nouveau la question des masques, gants, blouses, procédés de désinfection réguliers, des tests et de leurs usages, qui, n'étant pas résolue aujourd'hui, sera plus grande encore le moment venu d'une reprise", ajoute-t-il.Le syndicat relève d'ailleurs qu'il a des remontées départementales attestant de "pressions", "tant de la part d'employeurs que des pouvoirs publics", pour une reprise rapide d'activités non indispensables.Il a "soulevé lors d'une réunion avec la ministre du Travail, les questions que poseront les moyens de transports en commun et de restauration collective".De son côté, la CFDT plaide pour "des protocoles de déconfinement et de reprise d'activité", "négociés" et "discutés" avec les salariés et leurs représentants."On ne pourra pas repartir comme avant le 11 mai", a récemment dit Laurent Berger, secrétaire général de la CDFT, indiquant que "la principale des conditions c'est que tout soit fait pour protéger les travailleurs".
Il y a 5 ans et 15 jours

Christophe Pivel nommé Directeur commercial de Sto France

Son diplôme de l'ESCP (école supérieure de commerce) en poche, Christophe Pivel débute sa carrière en 1994 au service culturel de l'ambassade de France à New York, lui permettant ainsi de devenir complètement bilingue. Une fois rentré en France en 1995, Christophe Pivel occupe successivement plusieurs postes de Directeur commercial et marketing au sein d'entreprises du secteur de l'industrie automobile et de la construction : Allied Signal, Rehau, Imerys, Structure, James Hardie, Virax, Rain Bird, Norma Group, Tradilux. Relever les défis ne lui fait pas peur puisqu'à chaque fois, il est de développer l'activité dans plusieurs pays d'Europe. Après les 10 dernières années passées dans des avions à parcourir l'Europe, Christophe Pivel pose ses bagages chez Sto France en novembre 2019. En tant que Directeur commercial, la mission de Christophe Pivel est triple :optimiser la performance commerciale afin de conforter la part de marché ITE (isolation thermique par l'extérieur) de Sto ;poursuivre le développement de Sto sur les activités de ravalement et de bardage pour asseoir sa position de spécialiste de la façade (dans l'activité de chantier classique mais également dans les solutions de façade sur ossature bois et métallique qui font appel à une production hors site) ;et enfin, adapter l'organisation commerciale afin d'augmenter la satisfaction client.Son équipe se compose de 5 Directeurs de régions, du Responsable du service développement et du Responsable du service clients.« Ce qui m'a plu chez Sto, c'est le fort potentiel de croissance de cette société grâce à sa capacité à adresser des nouveaux marchés et à développer des nouveaux produits. J'ai aussi rapidement ressenti les valeurs de transparence et de respect sur lesquelles repose cette société familiale ». Agé de 51 ans, Christophe Pivel est marié et père d'un enfant. Il pratique assidûment le football et a gardé de ses différentes missions à l'étranger le goût pour les voyages.
Il y a 5 ans et 15 jours

Legoupil Industrie rénove de A à Z un entrepôt en concept original d'Entrepôt-Village de 6.300 m²

Le client a déjà travaillé avec Legoupil Industrie a plusieurs reprises : construction d'un auvent de 1200m², construction d'un bâtiment de 1200m² avec plusieurs cellules locatives, et en juillet 2018, un bâtiment de 1400m² pour Loxam. Cette fois l'entreprise normande va y livrer un Entrepôt-Village de plus de 6 300m2 comprenant une quinzaine de cellules modulaires de 120 à 220 m², destinées à des artisans et à une franchise de basketball en salle. L'ensemble du Parc d'Activités des Vallées compte désormais une cinquantaine de locataires et a multiplié par deux son activité tout en opérant une importante montée en gamme.Legoupil Industrie, constructeur agile, a développé une véritable expertise de gestion de projets pour accompagner les industriels au plus près de leur besoin. Ce savoir-faire lui a permis de concevoir avec Entrepologic, gestionnaire du Parc d'activités des Vallées à Saran, un projet ambitieux de rénovation, mobilisant de nombreux artisans locaux. La livraison de cet Entrepôt-Village est prévue pour mai/juin, après seulement 8 mois de travaux. La partie basket sera même inaugurée en début avril, une véritable prouesse compte tenu de la complexité du projet.Un projet de rénovation géré de A à Z en Tous Corps d'État : un bâtiment de 6300 m² désamianté et transformé en un véritable village d'entreprisesD'une surface totale de 6 300 m², l'Entrepôt-Village du Parc d'Activités des Vallées à Saran est la suite logique d'un projet de développement sur plusieurs années. Entrepologic a choisi Legoupil Industrie pour l'accompagner dans la rénovation de ce bâtiment de 1972, très endommagé par 12 ans d'occupation d'une société de traitement de déchets et ravagé en partie par un incendie en 2018, pour le transformer en village d'entreprises sur la région Nord-Orléanaises. Le choix a été fait de réhabiliter ce bâtiment au lieu de le raser, dans un esprit de développement durable, pour reconstruire bien que cela ait nécessité le désamiantage du toit. Legoupil Industrie a assuré la gestion du dossier en coordination avec les assurances, d'une part et le projet dans son ensemble d'autre part. Un village d'entreprises a été créé à l'intérieur, avec les rues, une zone logistique de proximité, un espace détente avec terrain de pétanque, bordée de cellules modulaires de 120 à 220m², dont certaines conçues pour accueillir un second étage.Par ailleurs, un complexe sportif de basket en salle (Hoops Factory) a été implanté sur 2300m². Legoupil Industrie a réalisé avec ses partenaires l'ensemble de l'infrastructure pour accueillir cette franchise et s'est coordonné avec le spécialiste d'aménagement d'espaces HB Rénov, qui a pris en charge les volumes intérieurs.« Le travail en mode projet de Legoupil Industrie est un atout considérable, il faut un véritable savoir-faire pour coordonner le travail d'autant d'artisans dans une logique d'économie circulaire avec des entreprises locales », affirme Didier Lesueur, associé-gérant du Parc des Vallées de Saran.Legoupil Industrie a spécialement créé la gamme et la cellule Intégral + pour accompagner les industriels y compris dans la globalisation de leurs projets. L'entreprise normande gère ainsi les projets de construction de A à Z, des autorisations administratives à la remise des clés, en Tous Corps d'État. Ses bâtiments industriels et tertiaires possèdent tous les avantages de la construction traditionnelle (étanchéité, pérennité et optimisation de l'espace) alliés à la rapidité d'exécution, et sont disponibles à la vente ou à la location pour offrir encore plus de flexibilité.
Il y a 5 ans et 15 jours

La foncière d'Auchan renonce aux loyers des magasins fermés pendant le confinement

Ceetrus, l'entité par laquelle Auchan Holdings détient les murs de multiples centres commerciaux, a décidé "l'annulation pure et simple des loyers dus pour la période du 15 mars au 15 mai 2020 pour tous ses locataires en France, à l'exception des commerces ouverts".Cette période correspond globalement au strict confinement décrété par le gouvernement depuis la mi-mars pour éviter la propagation du nouveau coronavirus.Il doit durer au moins jusqu'au 11 mai et, même après cette date, le calendrier de la réouverture des commerces reste incertain, en particulier pour les restaurants et les lieux culturels comme les cinémas.Avec cette décision, qui ne dispense toutefois pas les commerces de payer leurs charges, Ceetrus rejoint des annonces semblables de la SNCF et d'un plus petit groupe immobilier, la Compagnie de Phalsbourg.Néanmoins, peu de propriétaires de centres commerciaux ont décidé de telles annulations. La fédération du secteur, le CNCC, n'encourage ses adhérents qu'à généraliser un report, et encore seulement pour les plus petites enseignes.Cette position a suscité la colère des commerçants, qui réclament des annulations, et l'insatisfaction du gouvernement. Le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, a demandé cette semaine aux grandes foncières d'en "faire plus".En plus d'annuler les loyers sur deux mois, Ceetrus va, par ailleurs, permettre d'étaler jusqu'à la fin de l'année ceux qui seront dus du 15 au 31 mai.
Il y a 5 ans et 15 jours

Milliken dévoile sa dernière collection de moquettes et dalles LVT « Change Agent »

L'alliance de ces deux supports, combinés aux nombreuses options de couleurs, laisse libre court au mix and match afin de créer un sol unique et dans une dynamique répondant aux exigences de chaque intérieur, que ce soit pour leur fonctionnalité ou pour le confort des personnes qui y vivent.Source d'inspiration artistique, la métamorphose habite cette collection. Entre alchimie et chimie, cette allégorie reflète la façon dont les métaux de base peuvent être transformés en métaux précieux. Les gammes « Compound Magic » et « Pure Alchemy » sont influencées par le processus où le métal rencontre un catalyseur atteignant ainsi un changement radical.La gamme de moquettes « Change Agent » est fabriqué à partir de fil ECONYL® haute performance composée à 100% de nylon régénéré. Les dossiers en mousse de ces dernières offrent une isolation acoustique réalisée à partir de 90% de contenu recyclé. La nuance des motifs et une palette chromatique subtile des moquettes, sont rendues possibles grâce à la technologie d'impression unique Millitron® brevetée par Milliken.La gamme LVT « Earth Science » quant à elle, a l'apparence du bois pétrifié mais prend désormais l'aspect de la pierre. Les motifs organiques des dalles sont larges et variés, permettant ainsi de créer des associations de couleurs et de tons différents. Le mélange de ces couleurs naturelles crée une sorte de kaléidoscope apportant aux différentes teintes une dynamique de mouvement à travers toute la surface. Cette palette de couleurs « bien-être » a été créée dans un esprit de sérénité. Des tons neutres et verts, en harmonie avec notre environnement, font entrer la nature dans notre intérieur. On y trouve également, les verts et les gris métalliques argentés ainsi que les roses chauds et les bruns terreux.La collection LVT « Earth Science » est aussi identifiable par son côté « Loose Lay », c'est-à-dire sans adhésif. Créée pour une installation et une maintenance facile, cette particularité est bénéfique lorsqu'il est nécessaire de pouvoir accéder régulièrement aux surfaces installées, comme c'est le cas pour les espaces commerciaux. Par ailleurs, Le LVT de Milliken possède des caractéristiques supplémentaires pour un bien-être supérieur. En réduisant le bruit d'impact avec son système FlexForm SoundTM, ses performances acoustiques sont améliorées grâce à une couche de coussin compacte. Cette invention permet de réduire le bruit des impacts jusqu'à 13 dB.
Il y a 5 ans et 15 jours

La reprise effective des TP ne pourra se faire sans les collectivités locales et le Préfet de département

En parallèle de la publication du guide de préconisations sanitaires pour la reprise de l'activité dans le BTP validé par les Ministères de la Santé et du Travail jeudi 2 avril (voir le site de l'OPPBTP ICI), une circulaire ministérielle diffusée aux préfets de région et de département définit le rôle central qu'ils vont jouer dans les semaines à venir pour la reprise de l'activité des travaux publics.Des comités de conciliation seront installés pour répondre aux besoins vitaux de la nation et relancer les chantiersLes préfets seront plus particulièrement chargés de coordonner la relance des travaux publics dans chaque département en mobilisant l'ensemble de la filière : les maîtres d'ouvrage dont les collectivités locales de toutes tailles, les industriels et les acteurs de la distribution. Un comité de conciliation sera installé, afin d'apporter des solutions au cas par cas. Ce comité permettra à l'ensemble des acteurs de la filière de poser leurs questions et de faire part de leurs difficultés : mise en œuvre des recommandations sanitaires, hébergement et restauration des professionnels, application du droit du travail.Leur priorité sera d'assurer dans un premier temps la réponse aux besoins vitaux de la nation : bon fonctionnement des services publics, infrastructures de transport nécessaires pour garantir les flux relatifs à l'alimentation des populations, distribution d'énergie... Dans un deuxième temps, ils contribueront à la relance des chantiers dont la réalisation a été interrompue.Le lancement de nouveaux appels d'offres est indispensable pour assurer la survie des entreprisesLa Fédération Régionale des Travaux Publics Auvergne-Rhône-Alpes alerte, par ailleurs, l'ensemble des collectivités locales sur l'urgence à réactiver la chaîne de la commande publique locale fortement ralentie : à cette heure, de nombreux services sont perturbés, alors même que les décisions de reprise des chantiers sont très attendues. Le lancement de nouveaux appels d'offre est de surcroit indispensable pour assurer la survie des entreprises, en particulier des TPE/ PME, dans les semaines et les mois à venir.Dans ce contexte, le décalage du second tour des élections municipales dans un certain nombre de communes ou l'impossibilité d'installer les conseils municipaux élus au premier tour constitue un facteur aggravant. « Tout doit être fait pour assurer la continuité de l'activité des collectivités locales » souligne Pierre BERGER, Président de la FRTP Auvergne-Rhône-Alpes (photo)Entretien avec Pierre Berger, président de la FRTP Auvergne-Rhône ...Pierre BERGER, Président de la FRTP AURA : « Suite à la publication du guide, les entreprises sont en train de traduire concrètement les préconisations dans leur entreprise à la fois en termes de conduites à adopter, de nouvelle organisation du travail et du matériel complémentaire à acquérir. L'action des préfets va être déterminante dans les semaines à venir pour nous accompagner vers la reprise progressive de nos activités dans la mesure où nous sommes dépendants de nombreux autres acteurs. Nous attendons, par ailleurs, des collectivités locales un soutien sans faille dans cette période, sans quoi beaucoup de nos entreprises ne survivront pas à la crise. »
Il y a 5 ans et 15 jours

Covid-19 : une commission du Sénat interpelle le Gouvernement sur le volet économique du plan d'urgence

Elles sont notamment le fruit des nombreuses alertes et remontées d'informations recueillies au fil de plus de 50 auditions d'acteurs économiques, l'audition de trois ministres et deux secrétaires d'État en trois semaines. Pour autant, elle relève encore plusieurs failles dans les mesures d'application. Pour la présidente de la commission, Mme Sophie Primas, « il faut d'urgence clarifier et affiner certains dispositifs, en amplifier les efforts sectoriels, si on veut limiter l'ampleur de la récession ».À la suite de la mise en œuvre du confinement, la commission des affaires économiques a mis en place un ensemble de sept cellules de veille, de contrôle et d'anticipation sectorielles. Leur objectif est triple : établir un lien direct avec les acteurs de terrain afin de proposer des améliorations aux mesures de soutien déployées dans les territoires, aider à préparer une reprise rapide de l'activité et déterminer les contours d'un modèle économique d'après‑crise, dynamique et souverain. Pour la présidente de la commission, Mme Sophie Primas, « l'ensemble des remontées d'informations témoigne de l'impérieuse nécessité de la continuité démocratique et institutionnelle en temps de crise ».Toutes ces informations, alertes et points de vigilance ont fait l'objet de nombreux échanges permanents avec les ministères compétents, avant et après les auditions des ministres, et plus formellement lorsque ces auditions n'ont pas permis de lever les incertitudes ou d'apporter de réponse concrète. L'ensemble des documents transmis est accessible ici.La vigilance exercée par la commission des affaires économiques a contribué à l'évolution de plusieurs dispositifs de soutien. Elle a notamment préconisé dès le début de la crise que la période de référence pour le calcul de la baisse d'activité pour le Fonds de solidarité ne soit plus le mois de mars 2019 mais une moyenne mensuelle du chiffre d'affaires sur les douze derniers mois ; elle avait également demandé à diminuer le seuil de 70% de baisse du chiffre d'affaires et à y rendre éligibles les entreprises en sauvegarde. Toutes ces suggestions devraient être appliquées très prochainement.Toutefois, des lacunes et incertitudes anxiogènes et préjudiciables à la pérennité de nos entreprises persistent. Premièrement, la commission rappelle au Gouvernement qu'il est impératif de clarifier précisément, par secteur et le plus tôt possible, les consignes sanitaires à respecter par les employeurs lors de la reprise d'activité afin que la responsabilité pénale de ces derniers ne soit pas susceptible d'être engagée. À ce titre, il convient de rappeler que le manque d'équipements sanitaires représente un frein insurmontable, dès aujourd'hui, à la poursuite de certaines activités. Deuxièmement, les spécificités sectorielles (activité saisonnière, professions libérales, bâtiment, etc.) devraient être mieux prises en compte et les aides affinées afin de s'y adapter et de gagner en efficacité. Quinze propositions concrètes pour le secteur agricole ont ainsi été transmises au ministre.Troisièmement, les exigences des établissements bancaires pour accorder des prêts, pourtant garantis à 90% par l'État, demeurent hétérogènes et parfois excessives (demande de visite médicale à l'emprunteur, de caution personnelle, de documents impossibles à élaborer, etc.). Un contrôle vigilant et réactif de l'État doit être mis en place ; autrement, la portée de cette mesure en serait amoindrie. La mise en place d'un Médiateur National du Crédit comme lors de la crise de 2008 apparaît comme étant essentielle.Quatrièmement, la commission juge primordial un sursaut européen. La Commission européenne dispose en effet d'outils non encore actionnés (par exemple, afin de soutenir les filières agricoles face au risque de surproduction) et certains correctifs devraient être apportés aux politiques européennes comme la PAC afin de mieux prendre en compte les ravages de cette crise sur la résilience de notre secteur agricole. Or ces décisions tardent à être prises retardant, de fait, leur efficacité.Ainsi que le note la présidente Primas, « nous devons poursuivre deux objectifs : sauver le tissu économique de nos territoires dès aujourd'hui, et préparer le monde d'après. Cette crise révèle que des transformations de notre façon de produire ou de consommer sont nécessaires. Pour ne citer qu'un exemple, le confinement met en lumière combien il est important et urgent pour nos PME de se numériser et de se moderniser afin de diversifier les canaux de vente. Il s'agit d'un constat maintes fois mis en avant, mais qui n'a jamais paru aussi vital qu'aujourd'hui ».
Il y a 5 ans et 15 jours

Covid-19 : Le gouvernement revoit la suspension des délais pour les permis de construire qui menaçait le logement

La nouvelle ordonnance, présentée mercredi en conseil des ministres, supprime notamment le mois "tampon" prévu initialement dans une ordonnance du 25 mars, qui rajoutait une période d'un mois lorsque les délais en matière d'urbanisme reprendraient à la fin de l'urgence sanitaire, fixée actuellement au 24 mai. Les délais prévus par la loi en matière d'urbanisme, comme le délai d'instruction pour un permis de construire, sont en effet suspendus depuis le 12 mars à cause de l'épidémie de Covid-19. Du côté du cabinet du ministre du Logement Julien Denormandie, on indique que puisque les conditions d'instruction des permis de construire ne présenteront plus de difficultés à la fin de l'urgence sanitaire, il n'y avait pas lieu de rajouter ce mois supplémentaire.Un mois tampon a cependant été conservé pour ce qui est des clauses contractuelles de pénalités. Outre les conditions d'instruction, ce sont les dispositions sur les droits de recours qui sont modifiées avec la nouvelle ordonnance.Alors que l'ordonnance du 25 mars prévoyait une remise à zéro des délais de recours au moment de la fin de l'urgence sanitaire, la nouvelle ordonnance indique que les délais reprendront tels qu'ils étaient au moment de leur suspension le 12 mars -avec un minimum toutefois fixé à sept jours.Cette disposition de remise à zéro des délais avait fortement inquiété les acteurs du secteur de la construction, du bâtiment et de l'immobilier qui craignaient notamment une paralysie durable des permis de construire au moment de la reprise de l'activité.
Il y a 5 ans et 15 jours

Covid-19 : comment éviter une année blanche pour le logement ?

Après avoir rendu hommage aux « héros du quotidien » du monde du logement et de l'hébergement d'urgence grâce auxquels la vie continue dans les immeubles et les personnes en grande précarité sont accueillies, Sophie Primas, présidente de la commission des affaires économiques, a appelé le ministre à « dégripper la chaîne du logement pour éviter une année blanche dans le secteur du logement et de la construction qui aurait des conséquences graves pour les Français ». Les chantiers de logement et de déploiement du numérique sont arrêtés, les opérations de vente et de location largement bloquées tandis que les déménagements ont été interdits.Les sénateurs ont interpellé le ministre sur le manque de masques et la confusion dans les préconisations entre les secteurs de l'hébergement d'urgence et le BTP, masques lavables pour les uns et chirurgicaux pour les autres. Ils ont déploré que localement de nombreuses entreprises ou associations soient livrées à elles-mêmes sans coordination ou information suffisante. La question cruciale de la responsabilité des entreprises reste bien le principal frein à la reprise des chantiers.Malgré les ajustements faits par les ordonnances prises ce jour même en conseil des ministres concernant les recours, les délais restent allongés et parfois inadaptés, freins auxquels s'ajoutent l'incertitude sur la tenue des élections municipales, les surcoûts sur les chantiers et l'affaiblissement des capacités financières d'investissement des bailleurs sociaux... Face à ces difficultés, la commission a proposé d'établir une « chaîne de loyauté économique » entre les différents acteurs du secteur.En matière d'hébergement d'urgence, les sénateurs ont estimé que les personnels des associations étaient insuffisamment considérés, alors qu'ils sont en première ligne de l'épidémie et que les décisions prises nationalement ont du mal à percoler dans les territoires, nécessitant donc une meilleure coordination locale. Par ailleurs, les structures d'accueil font face à d'importants surcoûts, qu'elles avancent à l'heure actuelle sur leurs fonds propres. Ces surcoûts devront être pris en charge, ont-ils demandé.Enfin, abordant la situation dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville, les sénateurs ont demandé le retour des travailleurs sociaux et la réouverture prioritaire des écoles à partir du 11 mai.
Il y a 5 ans et 15 jours

Hydrofuges et peinture toitures

La fonction première d'un toit c'est de protéger l'intérieur de la maison en l'isolant des intempéries, et donc de garantir la solidité de l'édifice. Une toiture saine est donc essentielle pour assurer l'étanchéité du toit mais c'est aussi elle qui subit en première ligne l'érosion climatique (vent, pluie, gel, …) et le dépôt de matières organiques qui peuvent même s'y installer et y proliférer en présence d'humidité.Afin de garantir la bonne santé des tuiles et ardoises d'un toit, il faut donc régulièrement les nettoyer de leurs dépôts et incrustations diverses de matières organiques avec un anti verdissures (cf dernier dossier de presse sur l'anti verdissures ‘‘Le Glouton''). Une fois le toit nettoyé il est important d'assurer son étanchéité afin de ralentir les effets néfastes de l'eau (usure des tuiles, gel/dégel,…). Aujourd'hui des protections hydrofuges conçues spécialement pour les toits remplissent ce rôle.Dans cette optique, Oxi a développé une gamme de produits dédiée aux toitures. HYDROFUGE COLORÉ et HYDROFUGE INCOLORE sont deux solutions très techniques pour garantir la longévité des toits en les protégeant de l'attaque de l'eau. Parallèlement PEINTURE TOITURE ABSOLUE protège les toits tout en leur donnant de la couleur.Oxi : pas d'eau sur le toit !Une fois nettoyé de tous ses résidus, verdissures et autres dépôts, le toit est prêt à recevoir une protection contre l'eau. Pourquoi ?Parce que sinon l'eau risque de s'infiltrer dans les matériaux poreux qui composent les tuiles et les ardoises pour ensuite fragiliser la toiture. En effet, lorsque les tuiles sont imbibées d'eau, celle-ci a tendance à stagner favorisant la prolifération et l'accroche des matières organiques qui sont très disgracieuses et entretiennent une humidité permanente. De plus en période d'hiver l'eau gèle puis dégèle sur les tuiles ou les ardoises en accélérant leur fragilisation.Hydrofuge Coloré, Hydrofuge transparent : comment ça marche ?Chasser l'eau et remettre de la couleur sur le toit : HYDROFUGE COLORÉSur une toiture préalablement nettoyée HYDROFUGE COLORÉ, avec ses 3 teintes, offre une protection semi transparente qui uniformise l'aspect du toit en masquant les taches et imperfections pour redonner un éclat immédiat aux tuiles ou aux ardoises tout en les protégeant des effets néfastes de l'eau. Sa composition très technique lui permet d'imprégner les matériaux composant la toiture pour garantir la fonction hydrofuge qui littéralement chasse l'eau de pluie. Les tuiles ne sont pas fragilisées par les problèmes de gel, et les taches et phénomènes de verdissures sont largement limités : la toiture dure plus longtemps !À noter : Les taches incrustées type spectres de verdissures ne seront pas cachées et il vaut mieux dans ce cas opter pour une peinture spéciale toiture type PEINTURE TOITURE ABSOLUE d'Oxi.Chasser l'eau et garder l'aspect originel de la toiture : HYDROFUGE INVISIBLEEn présence de belles tuiles ou d'ardoises anciennes, il peut être intéressant de garder leur aspect d'origine tout en les protégeant contre l'eau et dans ce cas HYDROFUGE INVISIBLE est la bonne solution. Avec ses excellentes qualités d'imprégnation il va offrir une protection hydrofuge très forte à la toiture et limiter l'arrivée de verdissures (sans eau stagnante pas de possibilité de s'accrocher), les taches de pollution courante et les réactions au gel/dégel. Cette fois encore, la toiture dure plus longtemps !Oxi : de la peinture sur le toit !On peut aussi choisir de protéger les matériaux poreux de la toiture avec une peinture technique. Une fois le toit nettoyé, on peut ainsi choisir de lui appliquer PEINTURE TOITURE ABSOLUE.En intégrant la Technologie Rustol dans sa formule, PEINTURE TOITURE ABSOLUE est un véritable concentré de technologie et bénéficie de qualités supplémentaires pour pénétrer, adhérer et donc durer.Imprégner : La finition emmène tous les agents protecteurs de la formule dans le support pour assurer une protection optimale de l'intérieur en offrant en parallèle une excellente isolation.Adhérer : grâce au Rustol, PEINTURE TOITURE ABSOLUE épouse parfaitement chaque toiture et donc résiste durablement aux impacts et à l'usure des intempéries et offre une excellente isolation.Résister : Le film obtenu est souple, résistant aux variations hygrométriques et thermiques. Il est microporeux permettant aux tuiles ou aux ardoises de respirer et de ne pas garder l'humidité ou la condensation. La qualité des pigments sélectionnés garantit la tenue des couleurs tout en protégeant aussi la toiture des effets des UV.Pour en savoir plus : https://oxi-peintures.com/
Il y a 5 ans et 15 jours

L'Unafo publie les « Chiffres du Logement Accompagné »

Alors que la crise sanitaire met en exergue la nécessité d'accélérer la politique du Logement d'Abord, les résultats de cette enquête démontrent pourquoi cela ne pourra pas se faire sans un renforcement du logement accompagné.10.000 personnes qui entrent en logement accompagné viennent de la rue30% des personnes entrant dans un dispositif de logement accompagné proviennent d'un centre d'hébergement ou de la rue. Dans le détail, ce pourcentage monte même à près de 40% pour les seules résidences sociales.Si l'on rapporte ce pourcentage de 30% à la totalité des logements gérés par les adhérents de l'Unafo, cela représente près de 10.000 personnes.Ce chiffre, mis en relation avec celui de 70.000 personnes à la rue ou hébergées que la politique du Logement d'Abord a - selon les annonces du Gouvernement - permis de reloger en 2018, démontre l'apport du logement accompagné à cette politique du Logement d'Abord.L'enquête de l'Unafo dévoile donc la part méconnue et sous-estimée du logement accompagné dans la politique du Logement d'Abord, mais aussi dans bien d'autres politiques (migrants, jeunes, femmes victimes de violence conjugale).Le rôle des résidences sociales est majeur dans l'accès au logement pour les plus précairesLe logement accompagné renforce l'accès au logement pour les travailleurs précaires, les personnes sans ressources ou les bénéficiaires de minima sociaux, mais aussi des jeunes qui ne trouvent pas ailleurs de solution de logement.Le lien avec l'emploi reste important, en particulier dans les zones tendues, où le logement accompagné permet d'offrir un logement à des jeunes travailleurs, des travailleurs migrants, des travailleurs précaires et même des travailleurs en CDI (pour 16% des entrants), mais dont les revenus du travail, le statut ou les discriminations ne permettent pas d'accéder à un logement dans le parc social ou privé.L'enquête montre également :une hausse constante de la mixité, avec désormais 25% de femmes parmi les entrants, une part croissante de jeunes, de travailleurs précaires ou de familles monoparentales ;un âge médian à l'entrée en baisse à 30 ans contre 35 ans en 2013 ;un taux de sortie vers un logement social ou privé stable à 60% ;un taux de rotation moyen de 20% (soit deux fois plus que dans le parc locatif social).La crise sanitaire et l'après-criseAlors que tous les adhérents de l'Unafo sont mobilisés pour maintenir et renforcer les dispositifs d'accompagnement, cette enquête montre que le logement accompagné devra être pleinement reconnu dans le monde d'après-crise. Au-regard du rôle central du logement accompagné dans ces différentes publiques, l'Unafo alerte le Gouvernement sur la nécessité de prévoir un plan dédié permettant de prendre en compte les répercussions économiques de cette crise.Le secteur participe pleinement à de nombreuses politiques publiques et permet vraiment un accès à un logement. C'est donc à la définition d'une stratégie de production et de développement de l'offre de logement en résidence sociale, assortie des moyens à la hauteur des besoins, que cette crise devra aboutir. Il est temps d'accorder toute sa place au logement accompagné à la politique du Logement d'Abord.Pour retrouver l'ensemble des données de l'étude : www.unafo.org
Il y a 5 ans et 16 jours

Vinci va construire avec Balfour Beatty une partie de la nouvelle LGV britannique

Ce gigantesque projet doit donner naissance à la première ligne au nord de Londres en 150 ans et sera la deuxième ligne à grande vitesse du pays après HS1, celle empruntée dans le sud de l'Angleterre par l'Eurostar. Elle doit relier la capitale britannique aux grandes villes du centre et du nord de l'Angleterre.S'étendant sur environ 90 km, les travaux du groupement entre Vinci et Balfour Beatty "comprennent un nombre important d'ouvrages d'art, de tunnels et de chantiers de terrassement", a précisé Vinci dans un communiqué.Le chantier sera implanté près de Birmingham (centre de l'Angleterre) "entre le tunnel Long Itchington Wood Green et Delta Junction/Birmingham Spur d'une part, et entre Delta Junction et la West Coast Main Line d'autre part", a détaillé le groupe français de BTP.Il débutera "à l'été 2020 dans le strict respect des mesures sanitaires requises en raison de l'épidémie de Covid-19", et devrait s'étaler sur 74 mois, a-t-il souligné, tandis que les travaux devraient employer quelque 10.000 personnes "au plus fort de l'activité".L'annonce de ce contrat intervient le jour même où le gouvernement britannique annonce lancer formellement les travaux de construction, après le feu vert donné en février à ce projet par le Premier ministre Boris Johnson, malgré son coût exorbitant qui pourrait dépasser les 100 milliards de livres (environ 115 milliards d'euros).Le premier tronçon vers Birmingham pourrait ne pas voir le jour avant 2031 et il faudra peut-être attendre 2040 pour que la deuxième phase vers le nord de l'Angleterre soit opérationnelle."Même si la première priorité du gouvernement est de combattre l'épidémie de coronavirus (...) nous ne pouvons pas retarder les travaux de long terme qui doivent permettre au pays de passer à la vitesse supérieure", a souligné mercredi Andrew Stephenson, secrétaire d'Etat responsable du projet HS2.
Il y a 5 ans et 16 jours

Panasonic présente un nouveau chauffe-eau thermodynamique

Une solution simple et adaptable Avec trois options d'installation (non encastrée (air ambiant), encastrée (2 tubes) et semi-encastrée (1 tube pour la sortie d'air)) et quatre modes de fonctionnement selon les besoins de l'utilisateur (auto, manuel, booster et absence), ces chauffe-eau s'adaptent à n'importe quel logement et sont idéals pour toutes les installations, y compris dans de petites surfaces, sous des plafonds bas et dans les angles. Ils sont également respectueux de l'environnement car exemptes de CFC. Une solution de haute qualité Pour une utilisation encore plus efficace, la version 270 L est disponible avec une bobine supplémentaire et deux modes d'appoint : chaudière et installation solaire. La qualité est inégalable grâce au revêtement émail qualité diamant du réservoir intérieur et l'installation de raccords diélectriques dans la tuyauterie pour éviter la corrosion.Des avantages indéniables pour l'utilisateur L'unité intègre un tableau de commande numérique incluant le contrôle de la consommation d'énergie, ce qui simplifie l'utilisation. Elle comporte également une vanne de surpression assurant la sécurité en cas de dysfonctionnement ou de hausses de pression.Les caractéristiques techniques des nouveaux chauffe-eau thermodynamiques au sol sont détaillées dans le nouveau catalogue produits résidentiels de Panasonic solutions chauffage & refroidissement.
Il y a 5 ans et 16 jours

"Il n'y a pas d'arrêt du chantier de la Nouvelle Route du Littoral" assure la Région Réunion

Le projet de NRL est destiné à remplacer les actuelles quatre voies entre Saint-Denis (nord) et la côte ouest, un axe de circulation vital pour l'économie de l'île, régulièrement saturé par le flot grandissant des véhicules, mais aussi dangereux, car il longe une falaise instable où les éboulis sont fréquents.Dans une décision rendue publique mardi, le conseil d'État a rejeté les pourvois du ministère de l'Agriculture, de la Région et d'une société de travaux publics, qui demandaient l'annulation d'une ordonnance du juge des référés du tribunal administratif de La Réunion.Cette ordonnance avait suspendu en avril 2019 un arrêté préfectoral autorisant à exploiter une carrière dite "Bois-blanc" à Saint-Leu (ouest), dont les roches massives devaient servir à la construction de la Nouvelle route du Littoral."Le Conseil d'État considère que cette action ne relève pas de ses compétences et laisse ainsi au tribunal administratif le soin d'examiner le dossier sur le fond, à savoir si la carrière de Bois Blanc peut commencer à être exploitée ou non", explique le conseil régional de la Réunion dans un communiqué.Le Conseil d'État "ne se prononce aucunement sur la poursuite du chantier", ajoute la région, soulignant au contraire qu'il "appartiendra au tribunal administratif de se prononcer dans les prochaines semaines, voire les prochains mois, sur la provenance des matériaux nécessaires pour terminer les deux kilomètres restants du chantier de la NRL".La NRL se décline en deux parties: une partie viaduc, longue de 5,4 km entre Saint-Denis et la Grande Chaloupe, terminée depuis mars 2019. Et une partie digue, entre la Grande Chaloupe et la Possession (ouest), pas encore terminée. Le coût du chantier est estimé à 2 milliards d'euros.Le chantier sera poursuivi "entre la Grande Chaloupe et la Possession à partir de matériaux locaux en privilégiant la récupération d'andains" (pierres dans les champs agricoles), rappelle la Région, car "plus que jamais, ce chantier fait partie des grandes priorités d'investissement pour notre collectivité".La NRL, comme tous les chantiers de BTP dans l'île sont pour l'instant "à l'arrêt" depuis le début du confinement, mais "les acteurs publics et privés travaillent ensemble (...) sur la reprise de ces chantiers le moment venu", ajoute la Région.Plusieurs recours ont été déposés devant toutes les juridictions compétentes contre la quasi totalité des arrêtés préfectoraux autorisant l'exploitation des carrières. En juillet 2019, le Conseil d'État avait définitivement annulé le schéma départemental des carrières.
Il y a 5 ans et 16 jours

Un nouveau module de formation « les pathologies du bâtiment » sur la plateforme d'e-learning Toupret

Cette formation entièrement gratuite est destinée à tous les professionnels de la filière peinture, qu'ils soient peintres, plaquistes, artisans du bâtiment, enseignants ou distributeurs. Cette étape préalable, indispensable avant toute formation en présentiel, permet d'acquérir les bases théoriques. Cela permet aux participants de se concentrer sur les gestes techniques d'application enseignés dans le centre de formation de Corbeil-Essonnes. Ce nouveau déploiement de la formation grâce aux outils du numérique s'inscrit dans une logique globale d'accompagnement menée par le fabricant depuis toujours. Il complète les nombreux services essentiels comme l'assistance technique, le site internet Toupret.com ou le service d'aide au démarrage chantier. Un dispositif de formation unique La plateforme d'e-learning TOUPRET compte désormais 3 modules de formation en ligne : « Qu'est-ce qu'un enduit ?» ; « Les règles professionnelles » ; et ce nouveau module relatif aux « Pathologies du bâtiment » , plus spécifiquement tourné vers les façades. Sous forme d'un tutoriel de 15 minutes gratuit, interactif et flexible, ce nouveau module offre un bref rappel du DTU (Document Technique Unifié) et des règles techniques à respecter dans le cadre de travaux de construction, rénovation ou réhabilitation. Il répertorie également le vocabulaire professionnel incontournable à connaître, passe en revue les différents supports concernés et fait un état complet des désordres possibles en façade ainsi que des solutions existantes. Ce dispositif d'e-learning TOUPRET propose un parcours d'apprentissage unique dans la profession qui associe des mots croisés, des quiz et des illustrations pour faciliter la compréhension. Il est proposé sous une forme ludique pour permettre de mieux mémoriser les contenus. Chaque participant peut également refaire autant de fois que nécessaire les modules de formation pour tester ou parfaire ses connaissances. Pour tous les intervenants de la filière peinture Le groupe TOUPRET a toujours eu à cœur de s'investir dans le développement des expertises de tous les professionnels du bâtiment, qu'ils soient peintres, plaquistes, artisans du bâtiment, applicateurs ou distributeurs qui souhaitent se perfectionner et se tenir informés des évolutions métier. Cet outil concerne également les enseignants des filières peinture de l'Éducation nationale dans le cadre de leur formation continue, les organismes professionnels et de formation des futurs applicateurs, mais aussi le réseau d'apprentissage du BTP (CCCA-BTP) pour accompagner l'alternance. L'accès est simple et rapide. Une fois connectés sur http://elearning.toupret.fr/ , les participants remplissent une fiche d'inscription en ligne. En retour, un mail fournit immédiatement les identifiants nécessaires pour accéder à la formation à distance. Un outil complémentaire aux formations en présentiel... Proposée dans le cadre d'une démarche globale, cette formation en e-learning est une étape indispensable avant d'entamer l'apprentissage des gestes techniques dispensés au sein du centre de formation. Sur son site de Corbeil-Essonnes, TOUPRET permet aux peintres-applicateurs et décorateurs d'acquérir toutes les connaissances essentielles à leur activité : la préparation des fonds, les enduits pulvérisés ou projetés, les enduits de façades, les matières décoratives, mais aussi les dernières normes à maitriser. ... qui s'intègre dans la démarche globale de formation TOUPRET #AccompagnementQuotidien Fidèle à ses valeurs, TOUPRET s'inscrit dans une logique globale d'accompagnement des professionnels. Au-delà des formations en ligne et en présentiel, TOUPRET propose d'ores et déjà de nombreux outils dans le cadre de l'amélioration des compétences professionnelles et des services aux utilisateurs : Grâce à l'aide au démarrage chantier, une équipe de techniciens couvre toute la France pour participer à la mise en route des chantiers notamment sur le plan des évolutions techniques, de la mise en œuvre et de la réglementation ; L'assistance technique en ligne (01 69 47 20 66 ou alex@toupret.fr ) répond à toutes les demandes du lundi au vendredi de 8h à 17h ; Un site internet avec de nombreux services en ligne est accessible sur www.toupret.com . Des conseils d'experts et des informations détaillées sur les produits, l'aide au choix, et des vidéos de mise en œuvre sont disponibles pour toutes consultations 24H/24 et 7J/7; Les partenariats avec des fabricants de matériels (machines Airless, à projeter, ponçage...) permettent une meilleure connaissance des évolutions des nouveaux équipements, et donc une parfaite adéquation produits/solutions. Par ailleurs, il est à noter que TOUPRET attache une très grande importance à la formation de ses propres salariés, qu'il s'agisse de la formation initiale des nouveaux arrivants ou de la formation continue des équipes techniques et commerciales (veille normative, connaissance de nouvelles techniques d'application, mise en œuvre de nouveaux produits). « Grâce à sa souplesse, cet outil est utilisable à n'importe quel moment, lorsque l'on a du temps. Devant le succès des premiers modules, et pour répondre à la demande des applicateurs et professionnels du bâtiment, nous avons décidé de compléter rapidement notre dispositif d'e-learning. Nous pouvons d'ores et déjà annoncer la disponibilité du module « l'application mécanisée » pour le 4ème trimestre de cette année » conclut Laurent Mohr, Directeur Technique TOUPRET.
Il y a 5 ans et 16 jours

Covid-19 : le chômage partiel concerne désormais 8,7 millions de salariés

Le chômage partiel concerne désormais 8,7 millions de salariés français, a indiqué mercredi la ministre du Travail Muriel Pénicaud sur Radio Classique et par ailleurs les demandes d'inscriptions à Pôle emploi sont en hausse depuis le début du confinement.
Il y a 5 ans et 16 jours

Covid-19 : plâtrier de profession, il est venu travailler en clinique "pour se rendre utile"

D'habitude François Gérard monte des cloisons et pose des plafonds, mais depuis bientôt un mois il nettoie les chambres de malades du coronavirus et leur apporte les repas, une reconversion express et temporaire "pour se rendre utile".
Il y a 5 ans et 16 jours

Covid-19 : ce qui change pour les copropriétés

La pandémie de coronavirus paralyse la France. Entreprises à l'arrêt, déplacements limités : le confinement décrété par le gouvernement vise à endiguer la propagation du Covid-19 en limitant les contacts entre personnes. Un seul mot d'ordre : restez chez vous !
Il y a 5 ans et 16 jours

Brink Flair 325 : Remplacement du Bypass

Dans cette vidéo tutoriel, Brink vous montre comment remplacer le Bypass de la centrale de ventilation double flux Brink Flair 325.
Il y a 5 ans et 16 jours

Covid-19 : Quel est l'impact de la crise sanitaire sur l'emploi du secteur du BTP ?

HelloWork, acteur de l'emploi, du recrutement et de la formation en France - a analysé le volume et les évolutions des diffusions d'offres d'emploi sur l'ensemble de ses plateformes RegionsJob & ParisJob au premier trimestre 2020. Objectif : proposer une première lecture de l'impact de la crise sanitaire sur l'emploi semaine par semaine, avec un focus sectoriel.
Il y a 5 ans et 16 jours

Covid-19 : les impacts de la crise sanitaire sur la qualité de l'air

Une foire aux questions liste les interrogations dont la Fédération Atmo France et les Associations agréées de surveillance de la qualité de l'air (AASQA) sont destinataires depuis le début de la mise en œuvre des mesures de confinement.
Il y a 5 ans et 17 jours

Covid-19 : repenser la gestion de l'habitat en cette période de crise sanitaire

La crise sanitaire que nous traversons est indiscutablement un réel défi pour l'ensemble de l'humanité. Une chose est sûre, il y aura un avant et un après Covid-19. Dans ce contexte, il est vraisemblable que de nombreuses choses vont changer au sortir de cette pandémie et que des décisions multiplies seront prises : sanitaires, environnementales, économiques, sociales, etc.