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Il y a 5 ans et 66 jours

Covid-19 : l'Assemblée s'attelle au nouveau budget

Après celui de la fin mars, ce deuxième projet de loi de finances rectificative (PLFR) intègre les 110 milliards d'euros annoncés par le gouvernement face à "l'urgence économique". Il prévoit un recul de 8% du PIB en 2020, un déficit public d'environ 9% du PIB et une dette à 115%.Face à une Assemblée réunie en format restreint pour raisons sanitaires, M. Le Maire a reconnu que le recul de 8% du PIB était "un chiffre sévère" mais "pas définitif"."Nous avons pris 20 points de dette en trois mois", a relevé le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin.Défendant sans succès une motion de rejet, le chef de file des députés insoumis Jean-Luc Mélenchon a demandé "l'annulation de la dette ou du moins la conversion en dette perpétuelle".Examiné en première lecture, le texte est attendu au Sénat mardi.Face à la crise, "aucun citoyen, aucune entreprise, aucun emploi, aucun territoire de la République ne sera laissé de côté", a insisté le rapporteur général Laurent Saint-Martin (LREM).Cette révision budgétaire version 2 porte notamment à 24 milliards d'euros les crédits destinés à financer le chômage partiel, dont un tiers pris en charge par l'Unedic. "Près de 9 millions de salariés aujourd'hui sont au chômage partiel", ce qui doit éviter des "licenciements de masse", a estimé M. Le Maire."Sentiment d'injustice"Le texte hisse aussi à 7 milliards d'euros le fonds de solidarité en faveur des très petites entreprises et des indépendants.Le gouvernement met également à disposition 20 milliards d'euros pour recapitaliser des entreprises stratégiques en difficulté dans les secteurs de l'aéronautique, de l'automobile et de la santé, a listé M. Le Maire.Les oppositions ont réclamé des éclaircissements et des ONG dénoncé "un chèque aux grands pollueurs sans conditions"."Ce ne sera pas un chèque en blanc", leur a rétorqué le ministre en séance, conditionnant les montées au capital ou éventuelles nationalisations temporaires à "un effort de redressement et de compétitivité" ainsi qu'à "une politique environnementale ambitieuse".Ce projet de loi comprend en outre une "avance remboursable" pour les PME qui n'obtiennent pas de prêt, ainsi qu'un fonds de soutien aux entreprises de taille intermédiaire d'un milliard d'euros.La droite a réclamé d'aller plus loin, Eric Woerth (LR) réclamant des annulations de charges pour hôtels, restaurants ou commerces. M. Darmanin a indiqué étudier "une exonération de charges (patronales) à la reprise". Enfin, le texte de loi tient compte de la prime exceptionnelle de 500 à 1.500 euros destinée aux soignants. Et intègre l'aide aux ménages les plus modestes de 150 euros, plus 100 euros par enfant, annoncée par l'exécutif mercredi.Evaluée à 880 millions d'euros au total, cette aide est jugée insuffisante par plusieurs députés de gauche. "Elle touche les familles en grande précarité, mais il reste toute une catégorie de travailleurs pauvres" avec "un sentiment d'injustice, peut-être même de colère", selon Jean-Louis Bricout (PS).Le vote global dans la soirée sur ce budget rectifié devrait cependant être large, socialistes comme Républicains y étant favorables, malgré des "trous dans la raquette". Et même le RN: dans l'hémicycle, Marine Le Pen a apporté son soutien à ce texte, "même lacunaire".Qui va payer ?Au-delà, la question du "qui va payer" commence à se poser. Insoumis, communistes et socialistes réclament le rétablissement de l'impôt sur la fortune (ISF). "Vous faites payer le travail, comme avant. Nous voulons faire participer le capital", a lancé le numéro un du PCF Fabien Roussel.Le "marcheur" Laurent Saint-Martin leur a déclaré jeudi que "l'ISF pour vous est un symbole" mais "on ne répond pas à la tempête par des dispositifs fiscaux".Quelques rares voix dissonantes se font entendre chez LREM, dont la députée Fiona Lazaar ou le sénateur Xavier Iacovelli favorable "à une contribution exceptionnelle des plus grandes fortunes pendant cette crise", dit-il à l'AFP.A ce stade, l'exécutif refuse toute augmentation d'impôt.
Il y a 5 ans et 66 jours

Des syndicats s’inquiètent pour la santé des salariés qui vont reprendre le travail le 11 mai

La CGT a regretté dans un communiqué que "rien n'ait été dit" par le président de la République "pour renforcer les maigres outils de contrôle pour la santé et la sécurité sur les lieux de travail"."Après quatre semaines de confinement social, les nouveaux malades ont, en majorité, contracté le virus directement au travail ou au domicile, contaminé par un membre de la famille qui travaille à l'extérieur", affirme la CGT.Elle souhaite ainsi "des décisions immédiates pour obliger les entreprises à adapter l'organisation du travail pour minimiser les risques là où il est vraiment essentiel d'aller au travail".Au dernier pointage, la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, a fait état de 9 millions de personnes en activité partielle, contre 8,7 millions la veille, sur les quelques 20 millions de salariés du privé.De son côté, FO a aussi fait part de plusieurs inquiétudes.D'abord sur les secteurs qui vont redémarrer. FO estime qu'une "reprise ne pourra être que progressive et répondant à des impératifs qui ne peuvent plus être ceux des profits à tout prix, et surtout pas au risque de la santé"."Cela pose, à nouveau la question des masques, gants, blouses, procédés de désinfection réguliers, des tests et de leurs usages, qui, n'étant pas résolue aujourd'hui, sera plus grande encore le moment venu d'une reprise", ajoute-t-il.Le syndicat relève d'ailleurs qu'il a des remontées départementales attestant de "pressions", "tant de la part d'employeurs que des pouvoirs publics", pour une reprise rapide d'activités non indispensables.Il a "soulevé lors d'une réunion avec la ministre du Travail, les questions que poseront les moyens de transports en commun et de restauration collective".De son côté, la CFDT plaide pour "des protocoles de déconfinement et de reprise d'activité", "négociés" et "discutés" avec les salariés et leurs représentants."On ne pourra pas repartir comme avant le 11 mai", a récemment dit Laurent Berger, secrétaire général de la CDFT, indiquant que "la principale des conditions c'est que tout soit fait pour protéger les travailleurs".
Il y a 5 ans et 66 jours

Christophe Pivel nommé Directeur commercial de Sto France

Son diplôme de l'ESCP (école supérieure de commerce) en poche, Christophe Pivel débute sa carrière en 1994 au service culturel de l'ambassade de France à New York, lui permettant ainsi de devenir complètement bilingue. Une fois rentré en France en 1995, Christophe Pivel occupe successivement plusieurs postes de Directeur commercial et marketing au sein d'entreprises du secteur de l'industrie automobile et de la construction : Allied Signal, Rehau, Imerys, Structure, James Hardie, Virax, Rain Bird, Norma Group, Tradilux. Relever les défis ne lui fait pas peur puisqu'à chaque fois, il est de développer l'activité dans plusieurs pays d'Europe. Après les 10 dernières années passées dans des avions à parcourir l'Europe, Christophe Pivel pose ses bagages chez Sto France en novembre 2019. En tant que Directeur commercial, la mission de Christophe Pivel est triple :optimiser la performance commerciale afin de conforter la part de marché ITE (isolation thermique par l'extérieur) de Sto ;poursuivre le développement de Sto sur les activités de ravalement et de bardage pour asseoir sa position de spécialiste de la façade (dans l'activité de chantier classique mais également dans les solutions de façade sur ossature bois et métallique qui font appel à une production hors site) ;et enfin, adapter l'organisation commerciale afin d'augmenter la satisfaction client.Son équipe se compose de 5 Directeurs de régions, du Responsable du service développement et du Responsable du service clients.« Ce qui m'a plu chez Sto, c'est le fort potentiel de croissance de cette société grâce à sa capacité à adresser des nouveaux marchés et à développer des nouveaux produits. J'ai aussi rapidement ressenti les valeurs de transparence et de respect sur lesquelles repose cette société familiale ». Agé de 51 ans, Christophe Pivel est marié et père d'un enfant. Il pratique assidûment le football et a gardé de ses différentes missions à l'étranger le goût pour les voyages.
Il y a 5 ans et 66 jours

Legoupil Industrie rénove de A à Z un entrepôt en concept original d'Entrepôt-Village de 6.300 m²

Le client a déjà travaillé avec Legoupil Industrie a plusieurs reprises : construction d'un auvent de 1200m², construction d'un bâtiment de 1200m² avec plusieurs cellules locatives, et en juillet 2018, un bâtiment de 1400m² pour Loxam. Cette fois l'entreprise normande va y livrer un Entrepôt-Village de plus de 6 300m2 comprenant une quinzaine de cellules modulaires de 120 à 220 m², destinées à des artisans et à une franchise de basketball en salle. L'ensemble du Parc d'Activités des Vallées compte désormais une cinquantaine de locataires et a multiplié par deux son activité tout en opérant une importante montée en gamme.Legoupil Industrie, constructeur agile, a développé une véritable expertise de gestion de projets pour accompagner les industriels au plus près de leur besoin. Ce savoir-faire lui a permis de concevoir avec Entrepologic, gestionnaire du Parc d'activités des Vallées à Saran, un projet ambitieux de rénovation, mobilisant de nombreux artisans locaux. La livraison de cet Entrepôt-Village est prévue pour mai/juin, après seulement 8 mois de travaux. La partie basket sera même inaugurée en début avril, une véritable prouesse compte tenu de la complexité du projet.Un projet de rénovation géré de A à Z en Tous Corps d'État : un bâtiment de 6300 m² désamianté et transformé en un véritable village d'entreprisesD'une surface totale de 6 300 m², l'Entrepôt-Village du Parc d'Activités des Vallées à Saran est la suite logique d'un projet de développement sur plusieurs années. Entrepologic a choisi Legoupil Industrie pour l'accompagner dans la rénovation de ce bâtiment de 1972, très endommagé par 12 ans d'occupation d'une société de traitement de déchets et ravagé en partie par un incendie en 2018, pour le transformer en village d'entreprises sur la région Nord-Orléanaises. Le choix a été fait de réhabiliter ce bâtiment au lieu de le raser, dans un esprit de développement durable, pour reconstruire bien que cela ait nécessité le désamiantage du toit. Legoupil Industrie a assuré la gestion du dossier en coordination avec les assurances, d'une part et le projet dans son ensemble d'autre part. Un village d'entreprises a été créé à l'intérieur, avec les rues, une zone logistique de proximité, un espace détente avec terrain de pétanque, bordée de cellules modulaires de 120 à 220m², dont certaines conçues pour accueillir un second étage.Par ailleurs, un complexe sportif de basket en salle (Hoops Factory) a été implanté sur 2300m². Legoupil Industrie a réalisé avec ses partenaires l'ensemble de l'infrastructure pour accueillir cette franchise et s'est coordonné avec le spécialiste d'aménagement d'espaces HB Rénov, qui a pris en charge les volumes intérieurs.« Le travail en mode projet de Legoupil Industrie est un atout considérable, il faut un véritable savoir-faire pour coordonner le travail d'autant d'artisans dans une logique d'économie circulaire avec des entreprises locales », affirme Didier Lesueur, associé-gérant du Parc des Vallées de Saran.Legoupil Industrie a spécialement créé la gamme et la cellule Intégral + pour accompagner les industriels y compris dans la globalisation de leurs projets. L'entreprise normande gère ainsi les projets de construction de A à Z, des autorisations administratives à la remise des clés, en Tous Corps d'État. Ses bâtiments industriels et tertiaires possèdent tous les avantages de la construction traditionnelle (étanchéité, pérennité et optimisation de l'espace) alliés à la rapidité d'exécution, et sont disponibles à la vente ou à la location pour offrir encore plus de flexibilité.
Il y a 5 ans et 66 jours

La foncière d'Auchan renonce aux loyers des magasins fermés pendant le confinement

Ceetrus, l'entité par laquelle Auchan Holdings détient les murs de multiples centres commerciaux, a décidé "l'annulation pure et simple des loyers dus pour la période du 15 mars au 15 mai 2020 pour tous ses locataires en France, à l'exception des commerces ouverts".Cette période correspond globalement au strict confinement décrété par le gouvernement depuis la mi-mars pour éviter la propagation du nouveau coronavirus.Il doit durer au moins jusqu'au 11 mai et, même après cette date, le calendrier de la réouverture des commerces reste incertain, en particulier pour les restaurants et les lieux culturels comme les cinémas.Avec cette décision, qui ne dispense toutefois pas les commerces de payer leurs charges, Ceetrus rejoint des annonces semblables de la SNCF et d'un plus petit groupe immobilier, la Compagnie de Phalsbourg.Néanmoins, peu de propriétaires de centres commerciaux ont décidé de telles annulations. La fédération du secteur, le CNCC, n'encourage ses adhérents qu'à généraliser un report, et encore seulement pour les plus petites enseignes.Cette position a suscité la colère des commerçants, qui réclament des annulations, et l'insatisfaction du gouvernement. Le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, a demandé cette semaine aux grandes foncières d'en "faire plus".En plus d'annuler les loyers sur deux mois, Ceetrus va, par ailleurs, permettre d'étaler jusqu'à la fin de l'année ceux qui seront dus du 15 au 31 mai.
Il y a 5 ans et 66 jours

Milliken dévoile sa dernière collection de moquettes et dalles LVT « Change Agent »

L'alliance de ces deux supports, combinés aux nombreuses options de couleurs, laisse libre court au mix and match afin de créer un sol unique et dans une dynamique répondant aux exigences de chaque intérieur, que ce soit pour leur fonctionnalité ou pour le confort des personnes qui y vivent.Source d'inspiration artistique, la métamorphose habite cette collection. Entre alchimie et chimie, cette allégorie reflète la façon dont les métaux de base peuvent être transformés en métaux précieux. Les gammes « Compound Magic » et « Pure Alchemy » sont influencées par le processus où le métal rencontre un catalyseur atteignant ainsi un changement radical.La gamme de moquettes « Change Agent » est fabriqué à partir de fil ECONYL® haute performance composée à 100% de nylon régénéré. Les dossiers en mousse de ces dernières offrent une isolation acoustique réalisée à partir de 90% de contenu recyclé. La nuance des motifs et une palette chromatique subtile des moquettes, sont rendues possibles grâce à la technologie d'impression unique Millitron® brevetée par Milliken.La gamme LVT « Earth Science » quant à elle, a l'apparence du bois pétrifié mais prend désormais l'aspect de la pierre. Les motifs organiques des dalles sont larges et variés, permettant ainsi de créer des associations de couleurs et de tons différents. Le mélange de ces couleurs naturelles crée une sorte de kaléidoscope apportant aux différentes teintes une dynamique de mouvement à travers toute la surface. Cette palette de couleurs « bien-être » a été créée dans un esprit de sérénité. Des tons neutres et verts, en harmonie avec notre environnement, font entrer la nature dans notre intérieur. On y trouve également, les verts et les gris métalliques argentés ainsi que les roses chauds et les bruns terreux.La collection LVT « Earth Science » est aussi identifiable par son côté « Loose Lay », c'est-à-dire sans adhésif. Créée pour une installation et une maintenance facile, cette particularité est bénéfique lorsqu'il est nécessaire de pouvoir accéder régulièrement aux surfaces installées, comme c'est le cas pour les espaces commerciaux. Par ailleurs, Le LVT de Milliken possède des caractéristiques supplémentaires pour un bien-être supérieur. En réduisant le bruit d'impact avec son système FlexForm SoundTM, ses performances acoustiques sont améliorées grâce à une couche de coussin compacte. Cette invention permet de réduire le bruit des impacts jusqu'à 13 dB.
Il y a 5 ans et 67 jours

La reprise effective des TP ne pourra se faire sans les collectivités locales et le Préfet de département

En parallèle de la publication du guide de préconisations sanitaires pour la reprise de l'activité dans le BTP validé par les Ministères de la Santé et du Travail jeudi 2 avril (voir le site de l'OPPBTP ICI), une circulaire ministérielle diffusée aux préfets de région et de département définit le rôle central qu'ils vont jouer dans les semaines à venir pour la reprise de l'activité des travaux publics.Des comités de conciliation seront installés pour répondre aux besoins vitaux de la nation et relancer les chantiersLes préfets seront plus particulièrement chargés de coordonner la relance des travaux publics dans chaque département en mobilisant l'ensemble de la filière : les maîtres d'ouvrage dont les collectivités locales de toutes tailles, les industriels et les acteurs de la distribution. Un comité de conciliation sera installé, afin d'apporter des solutions au cas par cas. Ce comité permettra à l'ensemble des acteurs de la filière de poser leurs questions et de faire part de leurs difficultés : mise en œuvre des recommandations sanitaires, hébergement et restauration des professionnels, application du droit du travail.Leur priorité sera d'assurer dans un premier temps la réponse aux besoins vitaux de la nation : bon fonctionnement des services publics, infrastructures de transport nécessaires pour garantir les flux relatifs à l'alimentation des populations, distribution d'énergie... Dans un deuxième temps, ils contribueront à la relance des chantiers dont la réalisation a été interrompue.Le lancement de nouveaux appels d'offres est indispensable pour assurer la survie des entreprisesLa Fédération Régionale des Travaux Publics Auvergne-Rhône-Alpes alerte, par ailleurs, l'ensemble des collectivités locales sur l'urgence à réactiver la chaîne de la commande publique locale fortement ralentie : à cette heure, de nombreux services sont perturbés, alors même que les décisions de reprise des chantiers sont très attendues. Le lancement de nouveaux appels d'offre est de surcroit indispensable pour assurer la survie des entreprises, en particulier des TPE/ PME, dans les semaines et les mois à venir.Dans ce contexte, le décalage du second tour des élections municipales dans un certain nombre de communes ou l'impossibilité d'installer les conseils municipaux élus au premier tour constitue un facteur aggravant. « Tout doit être fait pour assurer la continuité de l'activité des collectivités locales » souligne Pierre BERGER, Président de la FRTP Auvergne-Rhône-Alpes (photo)Entretien avec Pierre Berger, président de la FRTP Auvergne-Rhône ...Pierre BERGER, Président de la FRTP AURA : « Suite à la publication du guide, les entreprises sont en train de traduire concrètement les préconisations dans leur entreprise à la fois en termes de conduites à adopter, de nouvelle organisation du travail et du matériel complémentaire à acquérir. L'action des préfets va être déterminante dans les semaines à venir pour nous accompagner vers la reprise progressive de nos activités dans la mesure où nous sommes dépendants de nombreux autres acteurs. Nous attendons, par ailleurs, des collectivités locales un soutien sans faille dans cette période, sans quoi beaucoup de nos entreprises ne survivront pas à la crise. »
Il y a 5 ans et 67 jours

Covid-19 : une commission du Sénat interpelle le Gouvernement sur le volet économique du plan d'urgence

Elles sont notamment le fruit des nombreuses alertes et remontées d'informations recueillies au fil de plus de 50 auditions d'acteurs économiques, l'audition de trois ministres et deux secrétaires d'État en trois semaines. Pour autant, elle relève encore plusieurs failles dans les mesures d'application. Pour la présidente de la commission, Mme Sophie Primas, « il faut d'urgence clarifier et affiner certains dispositifs, en amplifier les efforts sectoriels, si on veut limiter l'ampleur de la récession ».À la suite de la mise en œuvre du confinement, la commission des affaires économiques a mis en place un ensemble de sept cellules de veille, de contrôle et d'anticipation sectorielles. Leur objectif est triple : établir un lien direct avec les acteurs de terrain afin de proposer des améliorations aux mesures de soutien déployées dans les territoires, aider à préparer une reprise rapide de l'activité et déterminer les contours d'un modèle économique d'après‑crise, dynamique et souverain. Pour la présidente de la commission, Mme Sophie Primas, « l'ensemble des remontées d'informations témoigne de l'impérieuse nécessité de la continuité démocratique et institutionnelle en temps de crise ».Toutes ces informations, alertes et points de vigilance ont fait l'objet de nombreux échanges permanents avec les ministères compétents, avant et après les auditions des ministres, et plus formellement lorsque ces auditions n'ont pas permis de lever les incertitudes ou d'apporter de réponse concrète. L'ensemble des documents transmis est accessible ici.La vigilance exercée par la commission des affaires économiques a contribué à l'évolution de plusieurs dispositifs de soutien. Elle a notamment préconisé dès le début de la crise que la période de référence pour le calcul de la baisse d'activité pour le Fonds de solidarité ne soit plus le mois de mars 2019 mais une moyenne mensuelle du chiffre d'affaires sur les douze derniers mois ; elle avait également demandé à diminuer le seuil de 70% de baisse du chiffre d'affaires et à y rendre éligibles les entreprises en sauvegarde. Toutes ces suggestions devraient être appliquées très prochainement.Toutefois, des lacunes et incertitudes anxiogènes et préjudiciables à la pérennité de nos entreprises persistent. Premièrement, la commission rappelle au Gouvernement qu'il est impératif de clarifier précisément, par secteur et le plus tôt possible, les consignes sanitaires à respecter par les employeurs lors de la reprise d'activité afin que la responsabilité pénale de ces derniers ne soit pas susceptible d'être engagée. À ce titre, il convient de rappeler que le manque d'équipements sanitaires représente un frein insurmontable, dès aujourd'hui, à la poursuite de certaines activités. Deuxièmement, les spécificités sectorielles (activité saisonnière, professions libérales, bâtiment, etc.) devraient être mieux prises en compte et les aides affinées afin de s'y adapter et de gagner en efficacité. Quinze propositions concrètes pour le secteur agricole ont ainsi été transmises au ministre.Troisièmement, les exigences des établissements bancaires pour accorder des prêts, pourtant garantis à 90% par l'État, demeurent hétérogènes et parfois excessives (demande de visite médicale à l'emprunteur, de caution personnelle, de documents impossibles à élaborer, etc.). Un contrôle vigilant et réactif de l'État doit être mis en place ; autrement, la portée de cette mesure en serait amoindrie. La mise en place d'un Médiateur National du Crédit comme lors de la crise de 2008 apparaît comme étant essentielle.Quatrièmement, la commission juge primordial un sursaut européen. La Commission européenne dispose en effet d'outils non encore actionnés (par exemple, afin de soutenir les filières agricoles face au risque de surproduction) et certains correctifs devraient être apportés aux politiques européennes comme la PAC afin de mieux prendre en compte les ravages de cette crise sur la résilience de notre secteur agricole. Or ces décisions tardent à être prises retardant, de fait, leur efficacité.Ainsi que le note la présidente Primas, « nous devons poursuivre deux objectifs : sauver le tissu économique de nos territoires dès aujourd'hui, et préparer le monde d'après. Cette crise révèle que des transformations de notre façon de produire ou de consommer sont nécessaires. Pour ne citer qu'un exemple, le confinement met en lumière combien il est important et urgent pour nos PME de se numériser et de se moderniser afin de diversifier les canaux de vente. Il s'agit d'un constat maintes fois mis en avant, mais qui n'a jamais paru aussi vital qu'aujourd'hui ».
Il y a 5 ans et 67 jours

Covid-19 : Le gouvernement revoit la suspension des délais pour les permis de construire qui menaçait le logement

La nouvelle ordonnance, présentée mercredi en conseil des ministres, supprime notamment le mois "tampon" prévu initialement dans une ordonnance du 25 mars, qui rajoutait une période d'un mois lorsque les délais en matière d'urbanisme reprendraient à la fin de l'urgence sanitaire, fixée actuellement au 24 mai. Les délais prévus par la loi en matière d'urbanisme, comme le délai d'instruction pour un permis de construire, sont en effet suspendus depuis le 12 mars à cause de l'épidémie de Covid-19. Du côté du cabinet du ministre du Logement Julien Denormandie, on indique que puisque les conditions d'instruction des permis de construire ne présenteront plus de difficultés à la fin de l'urgence sanitaire, il n'y avait pas lieu de rajouter ce mois supplémentaire.Un mois tampon a cependant été conservé pour ce qui est des clauses contractuelles de pénalités. Outre les conditions d'instruction, ce sont les dispositions sur les droits de recours qui sont modifiées avec la nouvelle ordonnance.Alors que l'ordonnance du 25 mars prévoyait une remise à zéro des délais de recours au moment de la fin de l'urgence sanitaire, la nouvelle ordonnance indique que les délais reprendront tels qu'ils étaient au moment de leur suspension le 12 mars -avec un minimum toutefois fixé à sept jours.Cette disposition de remise à zéro des délais avait fortement inquiété les acteurs du secteur de la construction, du bâtiment et de l'immobilier qui craignaient notamment une paralysie durable des permis de construire au moment de la reprise de l'activité.
Il y a 5 ans et 67 jours

Covid-19 : comment éviter une année blanche pour le logement ?

Après avoir rendu hommage aux « héros du quotidien » du monde du logement et de l'hébergement d'urgence grâce auxquels la vie continue dans les immeubles et les personnes en grande précarité sont accueillies, Sophie Primas, présidente de la commission des affaires économiques, a appelé le ministre à « dégripper la chaîne du logement pour éviter une année blanche dans le secteur du logement et de la construction qui aurait des conséquences graves pour les Français ». Les chantiers de logement et de déploiement du numérique sont arrêtés, les opérations de vente et de location largement bloquées tandis que les déménagements ont été interdits.Les sénateurs ont interpellé le ministre sur le manque de masques et la confusion dans les préconisations entre les secteurs de l'hébergement d'urgence et le BTP, masques lavables pour les uns et chirurgicaux pour les autres. Ils ont déploré que localement de nombreuses entreprises ou associations soient livrées à elles-mêmes sans coordination ou information suffisante. La question cruciale de la responsabilité des entreprises reste bien le principal frein à la reprise des chantiers.Malgré les ajustements faits par les ordonnances prises ce jour même en conseil des ministres concernant les recours, les délais restent allongés et parfois inadaptés, freins auxquels s'ajoutent l'incertitude sur la tenue des élections municipales, les surcoûts sur les chantiers et l'affaiblissement des capacités financières d'investissement des bailleurs sociaux... Face à ces difficultés, la commission a proposé d'établir une « chaîne de loyauté économique » entre les différents acteurs du secteur.En matière d'hébergement d'urgence, les sénateurs ont estimé que les personnels des associations étaient insuffisamment considérés, alors qu'ils sont en première ligne de l'épidémie et que les décisions prises nationalement ont du mal à percoler dans les territoires, nécessitant donc une meilleure coordination locale. Par ailleurs, les structures d'accueil font face à d'importants surcoûts, qu'elles avancent à l'heure actuelle sur leurs fonds propres. Ces surcoûts devront être pris en charge, ont-ils demandé.Enfin, abordant la situation dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville, les sénateurs ont demandé le retour des travailleurs sociaux et la réouverture prioritaire des écoles à partir du 11 mai.
Il y a 5 ans et 67 jours

Hydrofuges et peinture toitures

La fonction première d'un toit c'est de protéger l'intérieur de la maison en l'isolant des intempéries, et donc de garantir la solidité de l'édifice. Une toiture saine est donc essentielle pour assurer l'étanchéité du toit mais c'est aussi elle qui subit en première ligne l'érosion climatique (vent, pluie, gel, …) et le dépôt de matières organiques qui peuvent même s'y installer et y proliférer en présence d'humidité.Afin de garantir la bonne santé des tuiles et ardoises d'un toit, il faut donc régulièrement les nettoyer de leurs dépôts et incrustations diverses de matières organiques avec un anti verdissures (cf dernier dossier de presse sur l'anti verdissures ‘‘Le Glouton''). Une fois le toit nettoyé il est important d'assurer son étanchéité afin de ralentir les effets néfastes de l'eau (usure des tuiles, gel/dégel,…). Aujourd'hui des protections hydrofuges conçues spécialement pour les toits remplissent ce rôle.Dans cette optique, Oxi a développé une gamme de produits dédiée aux toitures. HYDROFUGE COLORÉ et HYDROFUGE INCOLORE sont deux solutions très techniques pour garantir la longévité des toits en les protégeant de l'attaque de l'eau. Parallèlement PEINTURE TOITURE ABSOLUE protège les toits tout en leur donnant de la couleur.Oxi : pas d'eau sur le toit !Une fois nettoyé de tous ses résidus, verdissures et autres dépôts, le toit est prêt à recevoir une protection contre l'eau. Pourquoi ?Parce que sinon l'eau risque de s'infiltrer dans les matériaux poreux qui composent les tuiles et les ardoises pour ensuite fragiliser la toiture. En effet, lorsque les tuiles sont imbibées d'eau, celle-ci a tendance à stagner favorisant la prolifération et l'accroche des matières organiques qui sont très disgracieuses et entretiennent une humidité permanente. De plus en période d'hiver l'eau gèle puis dégèle sur les tuiles ou les ardoises en accélérant leur fragilisation.Hydrofuge Coloré, Hydrofuge transparent : comment ça marche ?Chasser l'eau et remettre de la couleur sur le toit : HYDROFUGE COLORÉSur une toiture préalablement nettoyée HYDROFUGE COLORÉ, avec ses 3 teintes, offre une protection semi transparente qui uniformise l'aspect du toit en masquant les taches et imperfections pour redonner un éclat immédiat aux tuiles ou aux ardoises tout en les protégeant des effets néfastes de l'eau. Sa composition très technique lui permet d'imprégner les matériaux composant la toiture pour garantir la fonction hydrofuge qui littéralement chasse l'eau de pluie. Les tuiles ne sont pas fragilisées par les problèmes de gel, et les taches et phénomènes de verdissures sont largement limités : la toiture dure plus longtemps !À noter : Les taches incrustées type spectres de verdissures ne seront pas cachées et il vaut mieux dans ce cas opter pour une peinture spéciale toiture type PEINTURE TOITURE ABSOLUE d'Oxi.Chasser l'eau et garder l'aspect originel de la toiture : HYDROFUGE INVISIBLEEn présence de belles tuiles ou d'ardoises anciennes, il peut être intéressant de garder leur aspect d'origine tout en les protégeant contre l'eau et dans ce cas HYDROFUGE INVISIBLE est la bonne solution. Avec ses excellentes qualités d'imprégnation il va offrir une protection hydrofuge très forte à la toiture et limiter l'arrivée de verdissures (sans eau stagnante pas de possibilité de s'accrocher), les taches de pollution courante et les réactions au gel/dégel. Cette fois encore, la toiture dure plus longtemps !Oxi : de la peinture sur le toit !On peut aussi choisir de protéger les matériaux poreux de la toiture avec une peinture technique. Une fois le toit nettoyé, on peut ainsi choisir de lui appliquer PEINTURE TOITURE ABSOLUE.En intégrant la Technologie Rustol dans sa formule, PEINTURE TOITURE ABSOLUE est un véritable concentré de technologie et bénéficie de qualités supplémentaires pour pénétrer, adhérer et donc durer.Imprégner : La finition emmène tous les agents protecteurs de la formule dans le support pour assurer une protection optimale de l'intérieur en offrant en parallèle une excellente isolation.Adhérer : grâce au Rustol, PEINTURE TOITURE ABSOLUE épouse parfaitement chaque toiture et donc résiste durablement aux impacts et à l'usure des intempéries et offre une excellente isolation.Résister : Le film obtenu est souple, résistant aux variations hygrométriques et thermiques. Il est microporeux permettant aux tuiles ou aux ardoises de respirer et de ne pas garder l'humidité ou la condensation. La qualité des pigments sélectionnés garantit la tenue des couleurs tout en protégeant aussi la toiture des effets des UV.Pour en savoir plus : https://oxi-peintures.com/
Il y a 5 ans et 67 jours

L'Unafo publie les « Chiffres du Logement Accompagné »

Alors que la crise sanitaire met en exergue la nécessité d'accélérer la politique du Logement d'Abord, les résultats de cette enquête démontrent pourquoi cela ne pourra pas se faire sans un renforcement du logement accompagné.10.000 personnes qui entrent en logement accompagné viennent de la rue30% des personnes entrant dans un dispositif de logement accompagné proviennent d'un centre d'hébergement ou de la rue. Dans le détail, ce pourcentage monte même à près de 40% pour les seules résidences sociales.Si l'on rapporte ce pourcentage de 30% à la totalité des logements gérés par les adhérents de l'Unafo, cela représente près de 10.000 personnes.Ce chiffre, mis en relation avec celui de 70.000 personnes à la rue ou hébergées que la politique du Logement d'Abord a - selon les annonces du Gouvernement - permis de reloger en 2018, démontre l'apport du logement accompagné à cette politique du Logement d'Abord.L'enquête de l'Unafo dévoile donc la part méconnue et sous-estimée du logement accompagné dans la politique du Logement d'Abord, mais aussi dans bien d'autres politiques (migrants, jeunes, femmes victimes de violence conjugale).Le rôle des résidences sociales est majeur dans l'accès au logement pour les plus précairesLe logement accompagné renforce l'accès au logement pour les travailleurs précaires, les personnes sans ressources ou les bénéficiaires de minima sociaux, mais aussi des jeunes qui ne trouvent pas ailleurs de solution de logement.Le lien avec l'emploi reste important, en particulier dans les zones tendues, où le logement accompagné permet d'offrir un logement à des jeunes travailleurs, des travailleurs migrants, des travailleurs précaires et même des travailleurs en CDI (pour 16% des entrants), mais dont les revenus du travail, le statut ou les discriminations ne permettent pas d'accéder à un logement dans le parc social ou privé.L'enquête montre également :une hausse constante de la mixité, avec désormais 25% de femmes parmi les entrants, une part croissante de jeunes, de travailleurs précaires ou de familles monoparentales ;un âge médian à l'entrée en baisse à 30 ans contre 35 ans en 2013 ;un taux de sortie vers un logement social ou privé stable à 60% ;un taux de rotation moyen de 20% (soit deux fois plus que dans le parc locatif social).La crise sanitaire et l'après-criseAlors que tous les adhérents de l'Unafo sont mobilisés pour maintenir et renforcer les dispositifs d'accompagnement, cette enquête montre que le logement accompagné devra être pleinement reconnu dans le monde d'après-crise. Au-regard du rôle central du logement accompagné dans ces différentes publiques, l'Unafo alerte le Gouvernement sur la nécessité de prévoir un plan dédié permettant de prendre en compte les répercussions économiques de cette crise.Le secteur participe pleinement à de nombreuses politiques publiques et permet vraiment un accès à un logement. C'est donc à la définition d'une stratégie de production et de développement de l'offre de logement en résidence sociale, assortie des moyens à la hauteur des besoins, que cette crise devra aboutir. Il est temps d'accorder toute sa place au logement accompagné à la politique du Logement d'Abord.Pour retrouver l'ensemble des données de l'étude : www.unafo.org
Il y a 5 ans et 67 jours

Vinci va construire avec Balfour Beatty une partie de la nouvelle LGV britannique

Ce gigantesque projet doit donner naissance à la première ligne au nord de Londres en 150 ans et sera la deuxième ligne à grande vitesse du pays après HS1, celle empruntée dans le sud de l'Angleterre par l'Eurostar. Elle doit relier la capitale britannique aux grandes villes du centre et du nord de l'Angleterre.S'étendant sur environ 90 km, les travaux du groupement entre Vinci et Balfour Beatty "comprennent un nombre important d'ouvrages d'art, de tunnels et de chantiers de terrassement", a précisé Vinci dans un communiqué.Le chantier sera implanté près de Birmingham (centre de l'Angleterre) "entre le tunnel Long Itchington Wood Green et Delta Junction/Birmingham Spur d'une part, et entre Delta Junction et la West Coast Main Line d'autre part", a détaillé le groupe français de BTP.Il débutera "à l'été 2020 dans le strict respect des mesures sanitaires requises en raison de l'épidémie de Covid-19", et devrait s'étaler sur 74 mois, a-t-il souligné, tandis que les travaux devraient employer quelque 10.000 personnes "au plus fort de l'activité".L'annonce de ce contrat intervient le jour même où le gouvernement britannique annonce lancer formellement les travaux de construction, après le feu vert donné en février à ce projet par le Premier ministre Boris Johnson, malgré son coût exorbitant qui pourrait dépasser les 100 milliards de livres (environ 115 milliards d'euros).Le premier tronçon vers Birmingham pourrait ne pas voir le jour avant 2031 et il faudra peut-être attendre 2040 pour que la deuxième phase vers le nord de l'Angleterre soit opérationnelle."Même si la première priorité du gouvernement est de combattre l'épidémie de coronavirus (...) nous ne pouvons pas retarder les travaux de long terme qui doivent permettre au pays de passer à la vitesse supérieure", a souligné mercredi Andrew Stephenson, secrétaire d'Etat responsable du projet HS2.
Il y a 5 ans et 67 jours

Panasonic présente un nouveau chauffe-eau thermodynamique

Une solution simple et adaptable Avec trois options d'installation (non encastrée (air ambiant), encastrée (2 tubes) et semi-encastrée (1 tube pour la sortie d'air)) et quatre modes de fonctionnement selon les besoins de l'utilisateur (auto, manuel, booster et absence), ces chauffe-eau s'adaptent à n'importe quel logement et sont idéals pour toutes les installations, y compris dans de petites surfaces, sous des plafonds bas et dans les angles. Ils sont également respectueux de l'environnement car exemptes de CFC. Une solution de haute qualité Pour une utilisation encore plus efficace, la version 270 L est disponible avec une bobine supplémentaire et deux modes d'appoint : chaudière et installation solaire. La qualité est inégalable grâce au revêtement émail qualité diamant du réservoir intérieur et l'installation de raccords diélectriques dans la tuyauterie pour éviter la corrosion.Des avantages indéniables pour l'utilisateur L'unité intègre un tableau de commande numérique incluant le contrôle de la consommation d'énergie, ce qui simplifie l'utilisation. Elle comporte également une vanne de surpression assurant la sécurité en cas de dysfonctionnement ou de hausses de pression.Les caractéristiques techniques des nouveaux chauffe-eau thermodynamiques au sol sont détaillées dans le nouveau catalogue produits résidentiels de Panasonic solutions chauffage & refroidissement.
Il y a 5 ans et 67 jours

"Il n'y a pas d'arrêt du chantier de la Nouvelle Route du Littoral" assure la Région Réunion

Le projet de NRL est destiné à remplacer les actuelles quatre voies entre Saint-Denis (nord) et la côte ouest, un axe de circulation vital pour l'économie de l'île, régulièrement saturé par le flot grandissant des véhicules, mais aussi dangereux, car il longe une falaise instable où les éboulis sont fréquents.Dans une décision rendue publique mardi, le conseil d'État a rejeté les pourvois du ministère de l'Agriculture, de la Région et d'une société de travaux publics, qui demandaient l'annulation d'une ordonnance du juge des référés du tribunal administratif de La Réunion.Cette ordonnance avait suspendu en avril 2019 un arrêté préfectoral autorisant à exploiter une carrière dite "Bois-blanc" à Saint-Leu (ouest), dont les roches massives devaient servir à la construction de la Nouvelle route du Littoral."Le Conseil d'État considère que cette action ne relève pas de ses compétences et laisse ainsi au tribunal administratif le soin d'examiner le dossier sur le fond, à savoir si la carrière de Bois Blanc peut commencer à être exploitée ou non", explique le conseil régional de la Réunion dans un communiqué.Le Conseil d'État "ne se prononce aucunement sur la poursuite du chantier", ajoute la région, soulignant au contraire qu'il "appartiendra au tribunal administratif de se prononcer dans les prochaines semaines, voire les prochains mois, sur la provenance des matériaux nécessaires pour terminer les deux kilomètres restants du chantier de la NRL".La NRL se décline en deux parties: une partie viaduc, longue de 5,4 km entre Saint-Denis et la Grande Chaloupe, terminée depuis mars 2019. Et une partie digue, entre la Grande Chaloupe et la Possession (ouest), pas encore terminée. Le coût du chantier est estimé à 2 milliards d'euros.Le chantier sera poursuivi "entre la Grande Chaloupe et la Possession à partir de matériaux locaux en privilégiant la récupération d'andains" (pierres dans les champs agricoles), rappelle la Région, car "plus que jamais, ce chantier fait partie des grandes priorités d'investissement pour notre collectivité".La NRL, comme tous les chantiers de BTP dans l'île sont pour l'instant "à l'arrêt" depuis le début du confinement, mais "les acteurs publics et privés travaillent ensemble (...) sur la reprise de ces chantiers le moment venu", ajoute la Région.Plusieurs recours ont été déposés devant toutes les juridictions compétentes contre la quasi totalité des arrêtés préfectoraux autorisant l'exploitation des carrières. En juillet 2019, le Conseil d'État avait définitivement annulé le schéma départemental des carrières.
Il y a 5 ans et 67 jours

Un nouveau module de formation « les pathologies du bâtiment » sur la plateforme d'e-learning Toupret

Cette formation entièrement gratuite est destinée à tous les professionnels de la filière peinture, qu'ils soient peintres, plaquistes, artisans du bâtiment, enseignants ou distributeurs. Cette étape préalable, indispensable avant toute formation en présentiel, permet d'acquérir les bases théoriques. Cela permet aux participants de se concentrer sur les gestes techniques d'application enseignés dans le centre de formation de Corbeil-Essonnes. Ce nouveau déploiement de la formation grâce aux outils du numérique s'inscrit dans une logique globale d'accompagnement menée par le fabricant depuis toujours. Il complète les nombreux services essentiels comme l'assistance technique, le site internet Toupret.com ou le service d'aide au démarrage chantier. Un dispositif de formation unique La plateforme d'e-learning TOUPRET compte désormais 3 modules de formation en ligne : « Qu'est-ce qu'un enduit ?» ; « Les règles professionnelles » ; et ce nouveau module relatif aux « Pathologies du bâtiment » , plus spécifiquement tourné vers les façades. Sous forme d'un tutoriel de 15 minutes gratuit, interactif et flexible, ce nouveau module offre un bref rappel du DTU (Document Technique Unifié) et des règles techniques à respecter dans le cadre de travaux de construction, rénovation ou réhabilitation. Il répertorie également le vocabulaire professionnel incontournable à connaître, passe en revue les différents supports concernés et fait un état complet des désordres possibles en façade ainsi que des solutions existantes. Ce dispositif d'e-learning TOUPRET propose un parcours d'apprentissage unique dans la profession qui associe des mots croisés, des quiz et des illustrations pour faciliter la compréhension. Il est proposé sous une forme ludique pour permettre de mieux mémoriser les contenus. Chaque participant peut également refaire autant de fois que nécessaire les modules de formation pour tester ou parfaire ses connaissances. Pour tous les intervenants de la filière peinture Le groupe TOUPRET a toujours eu à cœur de s'investir dans le développement des expertises de tous les professionnels du bâtiment, qu'ils soient peintres, plaquistes, artisans du bâtiment, applicateurs ou distributeurs qui souhaitent se perfectionner et se tenir informés des évolutions métier. Cet outil concerne également les enseignants des filières peinture de l'Éducation nationale dans le cadre de leur formation continue, les organismes professionnels et de formation des futurs applicateurs, mais aussi le réseau d'apprentissage du BTP (CCCA-BTP) pour accompagner l'alternance. L'accès est simple et rapide. Une fois connectés sur http://elearning.toupret.fr/ , les participants remplissent une fiche d'inscription en ligne. En retour, un mail fournit immédiatement les identifiants nécessaires pour accéder à la formation à distance. Un outil complémentaire aux formations en présentiel... Proposée dans le cadre d'une démarche globale, cette formation en e-learning est une étape indispensable avant d'entamer l'apprentissage des gestes techniques dispensés au sein du centre de formation. Sur son site de Corbeil-Essonnes, TOUPRET permet aux peintres-applicateurs et décorateurs d'acquérir toutes les connaissances essentielles à leur activité : la préparation des fonds, les enduits pulvérisés ou projetés, les enduits de façades, les matières décoratives, mais aussi les dernières normes à maitriser. ... qui s'intègre dans la démarche globale de formation TOUPRET #AccompagnementQuotidien Fidèle à ses valeurs, TOUPRET s'inscrit dans une logique globale d'accompagnement des professionnels. Au-delà des formations en ligne et en présentiel, TOUPRET propose d'ores et déjà de nombreux outils dans le cadre de l'amélioration des compétences professionnelles et des services aux utilisateurs : Grâce à l'aide au démarrage chantier, une équipe de techniciens couvre toute la France pour participer à la mise en route des chantiers notamment sur le plan des évolutions techniques, de la mise en œuvre et de la réglementation ; L'assistance technique en ligne (01 69 47 20 66 ou alex@toupret.fr ) répond à toutes les demandes du lundi au vendredi de 8h à 17h ; Un site internet avec de nombreux services en ligne est accessible sur www.toupret.com . Des conseils d'experts et des informations détaillées sur les produits, l'aide au choix, et des vidéos de mise en œuvre sont disponibles pour toutes consultations 24H/24 et 7J/7; Les partenariats avec des fabricants de matériels (machines Airless, à projeter, ponçage...) permettent une meilleure connaissance des évolutions des nouveaux équipements, et donc une parfaite adéquation produits/solutions. Par ailleurs, il est à noter que TOUPRET attache une très grande importance à la formation de ses propres salariés, qu'il s'agisse de la formation initiale des nouveaux arrivants ou de la formation continue des équipes techniques et commerciales (veille normative, connaissance de nouvelles techniques d'application, mise en œuvre de nouveaux produits). « Grâce à sa souplesse, cet outil est utilisable à n'importe quel moment, lorsque l'on a du temps. Devant le succès des premiers modules, et pour répondre à la demande des applicateurs et professionnels du bâtiment, nous avons décidé de compléter rapidement notre dispositif d'e-learning. Nous pouvons d'ores et déjà annoncer la disponibilité du module « l'application mécanisée » pour le 4ème trimestre de cette année » conclut Laurent Mohr, Directeur Technique TOUPRET.
Il y a 5 ans et 68 jours

Covid-19 : le chômage partiel concerne désormais 8,7 millions de salariés

Le chômage partiel concerne désormais 8,7 millions de salariés français, a indiqué mercredi la ministre du Travail Muriel Pénicaud sur Radio Classique et par ailleurs les demandes d'inscriptions à Pôle emploi sont en hausse depuis le début du confinement.
Il y a 5 ans et 68 jours

Covid-19 : plâtrier de profession, il est venu travailler en clinique "pour se rendre utile"

D'habitude François Gérard monte des cloisons et pose des plafonds, mais depuis bientôt un mois il nettoie les chambres de malades du coronavirus et leur apporte les repas, une reconversion express et temporaire "pour se rendre utile".
Il y a 5 ans et 68 jours

Covid-19 : ce qui change pour les copropriétés

La pandémie de coronavirus paralyse la France. Entreprises à l'arrêt, déplacements limités : le confinement décrété par le gouvernement vise à endiguer la propagation du Covid-19 en limitant les contacts entre personnes. Un seul mot d'ordre : restez chez vous !
Il y a 5 ans et 68 jours

Brink Flair 325 : Remplacement du Bypass

Dans cette vidéo tutoriel, Brink vous montre comment remplacer le Bypass de la centrale de ventilation double flux Brink Flair 325.
Il y a 5 ans et 68 jours

Covid-19 : Quel est l'impact de la crise sanitaire sur l'emploi du secteur du BTP ?

HelloWork, acteur de l'emploi, du recrutement et de la formation en France - a analysé le volume et les évolutions des diffusions d'offres d'emploi sur l'ensemble de ses plateformes RegionsJob & ParisJob au premier trimestre 2020. Objectif : proposer une première lecture de l'impact de la crise sanitaire sur l'emploi semaine par semaine, avec un focus sectoriel.
Il y a 5 ans et 68 jours

Covid-19 : les impacts de la crise sanitaire sur la qualité de l'air

Une foire aux questions liste les interrogations dont la Fédération Atmo France et les Associations agréées de surveillance de la qualité de l'air (AASQA) sont destinataires depuis le début de la mise en œuvre des mesures de confinement.
Il y a 5 ans et 68 jours

Covid-19 : repenser la gestion de l'habitat en cette période de crise sanitaire

La crise sanitaire que nous traversons est indiscutablement un réel défi pour l'ensemble de l'humanité. Une chose est sûre, il y aura un avant et un après Covid-19. Dans ce contexte, il est vraisemblable que de nombreuses choses vont changer au sortir de cette pandémie et que des décisions multiplies seront prises : sanitaires, environnementales, économiques, sociales, etc.
Il y a 5 ans et 68 jours

BIM TP : les apports opérationnels du BIM pour les Travaux Publics

Cette vidéos présente Comment la maquette numérique permet d'optimiser les chantiers, de mieux maitriser les chaines de valeurs et donc de travailler plus sereinement.
Il y a 5 ans et 68 jours

Viega remporte l'iF Design Award d'Or

Viega a récolté une véritable pluie de médailles à l'iF Design Award 2020. Cinq plaques de déclenchement pour WC et une rigole de douche ont été récompensées dans la catégorie « Salle de bains ».
Il y a 5 ans et 68 jours

Restaurons Notre-Dame, un an après

Un an après le terrible incendie, l'Association Restaurons Notre-Dame tient à revenir sur cette première année de sauvegarde et de consolidation.
Il y a 5 ans et 68 jours

62% des Français voudront faire plus de télétravail après le confinement

Deskeo, opérateur de bureaux flexibles en France, a voulu savoir comment les Français réagiront après le confinement et s'ils étaient disposés à faire plus ou moins de télétravail. Une enquête menée auprès de 2.915 professionnels qui dévoile des transformations importantes des mentalités et une volonté accrue de mettre en place une nouvelle organisation du travail à l'avenir.
Il y a 5 ans et 68 jours

Maugin lance sa nouvelle gamme PVC Fibré

Le groupe industriel MAUGIN est présent sur le marché de la fenêtre PVC depuis près de 55 ans. Pionnier sur ce segment dès sa création, il compte désormais parmi les acteurs historiques qui composent le marché de la fenêtre PVC fabriquée en France.
Il y a 5 ans et 69 jours

Covid-19 : disparition du père de l'architecture irakienne moderne

Le père de l'architecture irakienne moderne Rifat Chadirji est mort tard vendredi du nouveau coronavirus en Grande-Bretagne où il résidait, déplorent samedi responsables et professionnels.
Il y a 5 ans et 69 jours

Covid-19 : décès du président des Chambres de métiers de France, Bernard Stalter

Le président du réseau de Chambres de métiers et de l'artisanat (CMA) français, Bernard Stalter, un entrepreneur très populaire en Alsace et bien au-delà, est décédé du coronavirus à l'âge de 63 ans, a annoncé lundi sa femme sur les réseaux sociaux.
Il y a 5 ans et 69 jours

Le gouvernement demande aux grands propriétaires d'aider les commerçants durant la crise du covid-19

Les grands propriétaires doivent en faire plus pour aider les entreprises à surmonter la crise. C'est désormais la ligne du gouvernement, au moment où les commerçants accusent de mépris leurs principaux bailleurs qui refusent un report général des loyers.
Il y a 5 ans et 69 jours

Le prolongement du confinement aggrave encore les prévisions économiques du gouvernement pour 2020

La récession historique que devrait connaître la France sera encore plus grave qu'anticipée, avec 8% de chute du PIB en 2020, a prévenu le gouvernement après l'annonce d'une prolongation du confinement jusqu'au 11 mai.
Il y a 5 ans et 69 jours

La fabrication des isolants PU Knauf Thane

Knauf vous ouvre les portes de son usine de fabrication Knauf Isba, située en France à Auxerre. Découvrez les étapes d'une fabrication délicate et maîtrisée de l'arrivée des matières premières au départ des panneaux Knauf Thane vers les chantiers de construction.
Il y a 5 ans et 69 jours

Les Français incités à travailler plus après le confinement

Plusieurs responsables économiques ont incité samedi les travailleurs français à mettre "les bouchées doubles" pour permettre un sursaut économique une fois que l'activité reprendra à la sortie du confinement imposé par l'épidémie de coronavirus.
Il y a 5 ans et 69 jours

Les artisans et TPE globalement "satisfaits" des annonces d'Emmanuel Macron

A l’issue de l’intervention du Président de la République, l'Union des entreprises de proximité (U2P) a pris acte du prolongement d’un mois des mesures de confinement. L'U2P reconnait que ces mesures semblent nécessaires pour mener au mieux la bataille contre le coronavirus.
Il y a 5 ans et 69 jours

Covid-19 : Les Canalisateurs publient un Guide de prévention spécifique aux métiers des réseaux

Dans le contexte d'épidémie du Covid-19, l'organisation professionnelle Les Canalisateurs s'est mobilisée pour adapter la mise en œuvre des mesures de précaution aux spécificités des métiers de constructeur de réseaux humides, secs et de thermie.
Il y a 5 ans et 69 jours

SPIE déploie son programme d'employee advocacy

SPIE, acteur européen indépendant des services multi-techniques dans les domaines de l'énergie et des communications, déploie son nouveau programme d'employee advocacy. Une initiative visant à démultiplier l'engagement de ses collaborateurs comme ambassadeurs du Groupe sur Twitter et Linkedin. Entretien avec Pascal Omnès, directeur de la communication du groupe SPIE.
Il y a 5 ans et 69 jours

Tuto : comment utiliser le chèque énergie ?

ENGIE vous guide pas à pas sur les démarches à suivre afin d'utiliser votre chèque énergie en ligne ou par voie postale.
Il y a 5 ans et 69 jours

La Wilo-Foundation fait un don de 30.000 euros pour la recherche sur le coronavirus

En ces temps, la solidarité au sein de la société est plus importante que jamais. Les fondations assument la responsabilité de pratiquement tous les domaines de la société. Et leurs efforts sont devenus encore plus importants pendant la crise du coronavirus - dans toutes les disciplines.
Il y a 5 ans et 69 jours

Covid-19 : Montreuil (93) prolonge la suspension de tous les chantiers relevant de sa responsabilité

En cette période d'épidémie et de confinement généralisé, la Ville de Montreuil a pris la décision de prolonger la suspension de tous les chantiers dont elle est maître d'ouvrage pour protéger la santé des ouvriers du BTP.
Il y a 5 ans et 69 jours

Les taux des crédits immobiliers ont augmenté, mais pas au profit des banques, selon le Crédit Agricole

Les taux de crédit immobilier ont augmenté en moyenne de 0,25 point de pourcentage mais les banques ne réalisent "aucune marge supplémentaire", a assuré vendredi Philippe Brassac, directeur général de Crédit Agricole SA, lors d'un entretien sur BFM Business.