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Il y a 5 ans et 55 jours

Covid-19 : le plan de déconfinement enfin dévoilé

L'enjeu: faire repartir l'économie sans déclencher une deuxième flambée de l'épidémie dont la page n'est pas tournée. Lundi soir, le bilan du coronavirus en France atteignait 23.293 décès, dont 437 de plus en 24 heures. En revanche le nombre de patients en réanimation continue de décroître.C'est à 15H00 que le Premier ministre, Édouard Philippe, a présenté devant l'Assemblée nationale les grandes règles à appliquer dans six domaines-clés: écoles, commerces, entreprises, tests et isolement des malades, masques et rassemblements.Quinze jours ont passé depuis le discours du président Emmanuel Macron: le délai demandé est tenu.Le projet de loi prorogeant l'état d'urgence sanitaire de deux mois, jusqu'au 24 juillet, sera par ailleurs présenté samedi en Conseil des ministres et examiné la semaine prochaine au Parlement. Cette loi permet de prendre par décret des mesures -et des sanctions- organisant le confinement, restreindre la circulation et limiter les rassemblements...A moins de deux semaines du Jour J, les arbitrages de cette stratégie tant attendue ont fait l'objet de six heures de réunion non stop à l'Élysée lundi avec autour du président, le Premier ministre, le pilote du plan Jean Castex, les ministres Olivier Véran (Santé) et Jean-Michel Blanquer (Éducation)."Réversibilité, adaptabilité"Parmi les annonces, on retiendra le retour des élèves à l'école sur la base du volontariat, l'adaptation locale sous la houlette des maires, la réouverture des commerces sauf les cafés-restaurants et le masque obligatoire dans les transports en commun.Le plan portera d'abord sur les trois prochaines semaines de mai, avec une clause de revoyure début juin, dans un esprit "ultra-pragmatique", précise un proche de l'exécutif. Avec trois grands principes: "progressivité, réversibilité et adaptabilité". L'objectif est de "protéger les Français dans un contexte où nous devons vivre avec le virus. D'où (...) des règles allant du 11 mai à la fin du mois, suivies d'une nouvelle période à partir de début juin", détaille cette source.Après le discours d'Édouard Philippe, le plan fera l'objet d'un débat de 2 heures 30 avec les députés, dont 75 pourront être physiquement présents, puis sera soumis au vote.Un vote qui sera "probablement l'une des décisions les plus lourdes qu'un parlementaire aura eues à prendre depuis la Seconde guerre mondiale", selon le dirigeant PS, Olivier Faure. Mardi il a exhorté le gouvernement à ne pas "jouer à la roulette russe le déconfinement". "Si on n'est pas prêt, on décale", a-t-il dit.La majorité présidentielle risque d'être seule à voter le plan, fustigé d'avance par les oppositions de droite comme de gauche qui découvrent les mesures prévues en même temps que le reste des Français et dénoncent un vote sous pression après avoir réclamé en vain 24 heures de réflexion supplémentaires.A cet égard, répondant aux éditoriaux faisant état de dissensions au sommet de l'Etat entre Matignon et l'Élysée, Emmanuel Macron a fustigé mardi ceux qui "tentent de diviser" le binôme: "L'ensemble de l'exécutif est pleinement aligné dans cette crise" a-t-il assuré lors du Conseil des ministres, selon des sources concordantes.Sur le fond, LR, LFI et le PS critiquent notamment le retour des élèves à l'école sur la base du volontariat. Et s'interrogent sur la logistique: y aura-t-il assez de masques le 11 mai? De tests ? Comment seront isolés les malades ?Pour répondre rapidement aux besoins en masques, dont la pénurie et surtout la gestion constituera le grand raté de l'exécutif dans cette crise, la secrétaire d'Etat à l'Economie, Agnès Pannier-Runacher, a annoncé mardi jusqu'à 40 millions d'euros dédiés à la fabrication de nouveaux matériaux: ils permettront, selon elle, "d'accroître et sécuriser" la production nationale.Dès fin avril, la France devrait disposer de plus de 26 millions de masques grand public par semaine, dont près la moitié produits localement, a promis Bercy. Pharmacies et buralistes seront autorisés à les vendre.Maintenir le télétravail partout ou c'est possibleLe Premier ministre a demandé "avec insistance" aux entreprises de maintenir le télétravail "partout où c'est possible, au moins dans les trois prochaines semaines", afin de limiter l'affluence dans les transports et sur les lieux de travail. "Personne n'en ignore les contraintes mais celui-ci doit se poursuivre pour limiter le recours aux transports publics et pour limiter plus globalement les contacts", a plaidé Edouard Philippe en présentant son plan de déconfinement à l'Assemblée nationale. Sur le télétravail, il n'y a pas "un avant et un après 11 mai", a-t-il affirmé.Dans les cas où le télétravail n'est pas possible, le Premier ministre a encouragé "la pratique des horaires décalés dans l'entreprise". "Elle étalera les flux de salariés dans les transports et diminuera la présence simultanée des salariés dans un même espace de travail", a-t-il souligné.Edouard Philippe a également indiqué que les 60 guides métiers élaborés par les fédérations professionnelles et le ministère du Travail pour accompagner les réorganisations nécessaires au sein des entreprises devront être "prêts pour le 11 mai", 33 de ces guides étant déjà disponibles.Il a appelé les entreprises à porter "une attention particulière aux emplois du temps, aux gestes barrières, à l'aménagement des espaces de travail" et à recourir au port du masque "dès lors que les règles de distanciation ne pourront être garanties".Ces sujets liés à la santé et à la sécurité des salariés doivent faire l'objet d'une réunion avec les organisations syndicales et patronales jeudi.Enfin, "le dispositif d'activité partielle, qui est un des plus généreux d'Europe, restera en place jusqu'au 1er juin", a annoncé le Premier ministre."Il nous faudra ensuite l'adapter progressivement, afin d'accompagner la reprise d'activité si l'épidémie est maîtrisée", a-t-il poursuivi, assurant vouloir continuer "à protéger les personnes vulnérables et les secteurs professionnels qui demeureraient fermés".Le chômage partiel, qui permet aux salariés de toucher 84% de leur rémunération nette, concerne actuellement 10,8 millions de salariés, soit plus d'un salarié du secteur privé sur deux.Défiance persistanteDes syndicats d'enseignants et des maires jugent le délai trop court pour appliquer aux écoles les règles très contraignantes préconisées par le Conseil scientifique.Des psychologues alertent également sur l'impact de la situation sur les petits. "Les enfants sont les grands oubliés, très souvent leur souffrance psychique est banalisée", a affirmé mardi la psychothérapeute Hélène Romano sur France inter.D'une manière générale, les médecins et les psychologues s'inquiètent des troubles anxieux, dépression et décompressions liés au confinement, même après sa levée partielle.Autre point litigieux, le projet d'application de traçage des contacts des porteurs du virus, "StopCovid": contestée jusque dans les rangs de la majorité, cette application risque surtout de ne jamais être prête à temps, selon des parlementaires LREM.Grâce à sa confortable majorité, le vote ne devrait être pour le gouvernement qu'une formalité. Aussi, dès mercredi, le Premier ministre a prévu de présenter son plan aux élus locaux et aux préfets, puis aux partenaires sociaux probablement jeudi.Cependant, le climat de défiance persiste chez les Français, dont une majorité ne fait pas confiance à l'exécutif pour piloter le déconfinement. L'indice de confiance des ménages a par ailleurs subi en avril une chute historique, selon l'Insee.Rare lueur d'espoir dans la crise: un médicament, l'immuno-modulateur tocilizumab, a montré son efficacité pour prévenir les formes graves de pneumonies du Covid-19, selon une étude française encore non publiée révélée mercredi par l'AP-HP.
Il y a 5 ans et 55 jours

Covid-19 : L'OPPBTP aux côtés des professionnels du bâtiment

Ces outils ont pour objectif d'encourager la sécurité et la prévention sur les chantiers et sont disponibles en ligne et mis à jour régulièrement. Ils sont rassemblés dans un dossier spécial COVID-19 consultable sur le site Internet PréventionBTP de l'OPPBTP et sont accompagnés d'une « boîte à outils » regroupant de nombreuses fiches conseils, affiches, fiches pratiques…Guide de préconisation de sécurité sanitairePublié le 2 avril puis mis à jour le 10, ce guide liste les mesures urgentes et spécifiques à mettre en œuvre pour assurer les conditions sanitaires nécessaires aux personnels appelés à travailler en bureaux, ateliers, dépôts ou chantiers, en complément de toute mesure sanitaire édictée par les pouvoirs publics. La mise à jour porte plus spécifiquement sur les conditions d'utilisation des masques alternatifs en tissu. Un autre point concerne la mise en place et l'application du questionnaire de santé effectué en autodiagnostic pour évaluer l'état de santé des collaborateurs. Ce Guide sera mis à jour régulièrement en fonction des évolutions de la pandémie et des mesures à prendre. Le Guide est disponible ici.Plateforme d'entraide COVID-19Cette plateforme est destinée aux entreprises, artisans, préventeurs, maîtres d'ouvrage, partenaires, afin de converser et partager des bonnes pratiques et des conseils entre professionnels du BTP. Il s'agit d'un espace d'échanges afin de faire remonter les expériences terrain de chacun. Elle est disponible à cette adresse. Solutions chantiersL'OPPBTP, en partenariat avec des entreprises et des fabricants, mène une veille terrain qui a pour objectif d'identifier et de faire remonter les initiatives et les innovations qui peuvent avoir un impact sur la gestion du risque de pandémie. Ces observations et recueils d'informations sont actuellement en cours et les résultats seront mis en ligne sur la plateforme d'entraide, sous la forme de « solutions chantiers » afin d'être le plus pédagogiques possible et d'être immédiatement adoptées par le plus grand nombre.Référent COVID-19Les entreprises sont amenées à nommer un référent COVID-19 dont la mission sera d'adapter les recommandations et obligations sanitaires à la réalité de l'entreprise. Afin de bien comprendre son rôle, et ses objectifs, l'OPPBTP met à disposition des entreprises des outils pratiques pour les aider à appliquer cette directive. Préconisation par métierA la suite de la parution du Guide de préconisation de sécurité sanitaire, plusieurs professions ont souhaité publier leurs propres préconisations adaptées aux problématiques particulières de leurs métiers. L'OPPBTP et ses experts collaborent activement à la rédaction de ces préconisations qui seront relayées par l'Organisme au fur et à mesure de leurs parutions.
Il y a 5 ans et 55 jours

Le site internet dédié à l'ITE met en vente des masques de protection pour les entreprises du bâtiment

« Chers confrères, le coronavirus aiguise les appétits de certains profiteurs.Sur Internet, le nom du virus fait vendre les EPI, des gants, des masques, des lotions…Nous avons également dans le groupe une entreprise de bâtiment de 30 compagnons spécialisé dans l'ITE, la mise à jour du GUIDE DE PRÉCONISATIONS de l'OPPBTP nous exige à juste titre le port de masques sur les chantiers. Pour remettre nos compagnons au travail, il nous faut suivre un protocole, dans lequel le port du masque nous est obligatoire.Nous nous sommes retrouvés confrontés à une pléthore de « profiteurs » qui nous proposent, si toutefois ce ne sont pas des sociétés fantômes, des tarifs abusifs de 1,30€ à 3€ pour des masques de Type 1.En attendant que le marché se régule, en toute transparence avec vous, l'équipe ITE-SHOP a actionné ces filières Chinoises pour se fournir en masques afin de pouvoir envisager une reprise partielle de nos chantiers et de pouvoir aussi vous en faire bénéficier. »Nous affichons clairement l’intention de vouloir casser les tarifs des MASQUES JETABLES en vous les proposant à 0,72 € l’unité par conditionnement de 3000.Les masques sont mis en vente à cette adresse.
Il y a 5 ans et 55 jours

Covid-19 : le Pôle Fenêtre FFB et l'OPPBTP diffusent un complément d'information pour les menuisiers

Réalisée avec le concours de toutes les organisation du Pôle Fenêtre FFB et validée par l'OPPBTP, elle s'appuie sur les fiches déjà existantes, sur le site de l'OPPBTP, et comporte une fiche récapitulative des actions à mener pour chaque chantier.Elle doit permettre la reprise des chantiers chez le particulier dans les conditions de sécurité sanitaire optimisées pour les salariés des entreprises et pour les particuliers.Pour la télécharger, cliquez ici.
Il y a 5 ans et 55 jours

Celloz lève 1 million d'euros pour devenir la marque de référence de la construction durable

Comment réduire l'impact environnemental dans le secteur de la constructionRéduire notre empreinte carbone est devenu une priorité. Pourtant, le secteur du bâtiment et de la construction représente encore aujourd'hui 40% des émissions de CO² des pays développés. Appartenant à ce secteur, le marché de la toiture représente 22 millions de m² posés chaque jour dans le monde, avec des matériaux peu respectueux de l'environnement : tuile, plastique, produits bitumineux, métal etc.En effet, ces matériaux sont produits à base de matières premières non renouvelables, les procédés de fabrication sont énergivores, et lorsqu'ils arrivent en fin de vie ces matériaux ne sont pas ou peu recyclables.Pour répondre à ce besoin, la startup Celloz a développé le premier matériau de toiture écologique et alternatif produit à base de fibres de cellulose, issues de papiers et cartons recyclés, associés à des résines végétales. Flexibles, étanches, résistants et aux designs personnalisables, ces panneaux de toitures visent à remplacer progressivement les matériaux non durables.En plus de leur caractère écologique, les panneaux Celloz ont été pensés pour être simples à installer, et ainsi être accessibles au plus grand nombre.Sa position de pionnier est confortée par une technologie doublement brevetée, à la fois sur la composition et le processus de fabrication du matériau, et sur le dispositif d'installation.Une levée de fonds de près d'un million pour poursuivre son développementValidée par 2 brevets en 2017, lauréates de plusieurs concours dont I-Lab et Domolandes en 2018 et plus récemment le Concours SEKOYA organisé par Eiffage, Celloz souhaite désormais passer à la vitesse supérieure. Celloz est soutenue par Leroy Merlin, leader des enseignes de bricolage, qui deviendra à partir de Mai 2020 le premier grand distributeur des produits de la marque destinés à la toiture secondaire (abris de jardin, véranda etc..),Celloz démarre l'année sur les chapeaux de roues. En effet, la startup vient de boucler un premier tour de table de près d'un million d'euros auprès de plusieurs acteurs du financement, notamment le fonds Nouvelle Aquitaine Co-Investissement (NACO), des investisseurs particuliers sur la plateforme de financement participatif Sowefund, ainsi qu'une opération de financement non dilutif de 500K€ auprès de la BPI dans le cadre de sa labellisation FrenchTechSeed par la SATT Erganeo.Une opération qui lui permettra notamment d'organiser sa production et son lancement commercial, mais également de se focaliser sur le développement de son équipe en recrutant des profils ingénieurs, commerciaux et financiers.Celloz souhaite à terme, proposer au secteur de la construction son matériau innovant pour d'autres applications dont la toiture primaire pour bâtiments résidentiels ou industriels, et ambitionne de devenir la marque de référence dans la construction durable, auprès des particuliers comme des professionnels du secteur.« Depuis plusieurs années, nous donnons la possibilité à notre communauté d'investisseurs particuliers de soutenir des projets à la fois innovants et à impact positif. Le succès de cette première levée de fonds pour Celloz, aux côtés d'un fonds reconnu tel que NACO et soutenu par la BPI renforce le positionnement de l'investissement à impact dans l'écosystème. » - Georges Viglietti, Président de Sowefund.« Nous remercions les investisseurs qui nous ont fait confiance et mobilisons nos énergies et nos équipes pour faire du projet Celloz un succès commercial et promouvoir l'utilisation de nouveaux matériaux, à faible impact environnemental dans le secteur de la construction. » - Jean-Michel Gillibert, co-fondateur de Celloz
Il y a 5 ans et 55 jours

Le chantier de Notre-Dame, en sommeil depuis la mi-mars, reprend progressivement

L'architecte en chef, Philippe Villeneuve, et une dizaine de responsables de la maîtrise d'ouvrage, se sont réunis lundi matin dans les bureaux de la base-vie au chevet de la cathédrale pour examiner des options complexes: après le plomb, le coronavirus exige de nouvelles mesures drastiques de distanciation et d'hygiène.Sur le chantier mis en sommeil mi-mars rien ne bougeait encore: le démontage de l'immense échafaudage ne devrait pas démarrer avant une semaine ou deux, le temps d'optimiser les mesures anti-contamination et de retenir les meilleurs options pour le travail des cordistes dans les airs.Le général Jean-Louis Georgelin, qui pilote "la task-force Notre-Dame", a répété sur Europe 1 l'objectif des cinq ans fixé par Emmanuel Macron: "nous ferons tout pour que les délais soient respectés. Cela veut dire être en mesure de rendre la cathédrale au culte". "Cela ne veut pas dire que tout sera terminé", a-t-il remarqué.Retardé par l'alerte au plomb et les intempéries, le démontage -- véritable chantier dans le chantier -- de 10.000 tubes de métal tordus et soudés de l'ancien échafaudage, devait enfin reprendre le 23 mars. Las, le coronavirus en a décidé autrement. "Il y a un vrai ras-le bol, ils veulent tous se débarrasser de cet énorme machin", soulignait lundi à l'AFP un familier du chantier.Un documentaire diffusé sur France 2, "Sauver Notre-Dame", a montré la grande cohésion des équipes pour ce "chantier du siècle" d'une complexité inouïe et aussi l'exaspération de nombreux intervenants quant aux retards provoqués par les mesures sanitaires imposées avant le coronavirus.Lente montée en puissanceLa reprise a été décidée après consultation des entreprises et conformément aux "préconisations de sécurité sanitaire".L'ancien chef d'État-major des armées a prévu "trois étapes" au fil de la montée en puissance des effectifs en mai: 1/remise en fonctionnement de la base-vie, 2/achèvement des travaux qui étaient en cours mi-mars, concernant notamment les nouvelles installations de décontamination, 3/ lancement de la dépose de l'échafaudage sinistré (qui devrait prendre quatre mois)."Pour les cordistes, la distanciation sociale est évidente", avait expliqué en avril le général Georgelin à l'AFP, en plaidant déjà pour la reprise partielle.Une réunion du collège interentreprises de sécurité, de santé et des conditions de travail (CISSCT) devait se tenir lundi après-midi en présence de l'Inspection du travail."Il est extrêmement important d'assurer à chacun en amont des conditions sûres face à la pandémie", a encore insisté lundi Jean-Louis Georgelin.Le découpage pourra se faire à partir de nacelles, ou de la poutre métallique montée au-dessus de l'échafaudage. La grue géante déposera ensuite au sol chaque pièce découpée.Les compagnons disposeront de masques et de gel hydroalcoolique.Une extension de la base-vie doit être ouverte d'ici 3 semaines dans des baraquements sur le bord de la Seine. Il s'agit surtout d'installer de nouvelles douches à distance les unes des autres, préservant mieux de la décontamination, alors que le nombre d'ouvriers sera accru.Avant mi-mars, le chantier mobilisait entre 60 et 70 ouvriers chaque jour.Sodexo et Accor, partenaires de la Fondation du patrimoine (FdP), ont apporté leurs soutiens logistiques.Alors que la chaîne d'hôtels logera à prix coûtant des compagnons venant souvent de province, une convention signée avec la FdP prévoit que Sodexo livrera, à titre gracieux, des repas chauds pour le déjeuner et des repas à emporter pour le dîner."Il faut faire en sorte que l'activité économique puisse redémarrer", a martelé lundi le général Georgelin, rejoignant la préoccupation de la Fondation de faciliter en France des chantiers du patrimoine pourvoyeurs de nombreux emplois pour les PME.Le chef de l'Établissement public a reconnu qu'il y aurait un coût supplémentaire dû à tous les retards, coût que "nous n'avons pas encore complètement chiffré". L'achèvement de la phase actuelle de sécurisation est toujours prévu avant la fin 2020.
Il y a 5 ans et 56 jours

Bouygues décroche un contrat de 100 millions d'euros en Allemagne

Ce contrat sera honoré par sa filiale allemande Kraftanlagen.La modernisation de la centrale existante d'InfraLeuna, près de Leipzig (est) permettra de fournir une centrale à cycle combiné (gaz et vapeur) avec un rendement énergétique et une flexibilité améliorés.Le contrat comprend, outre la construction d'une nouvelle centrale à cycle combiné, le raccordement de la turbine à combustion existante sur la nouvelle chaudière de récupération.
Il y a 5 ans et 56 jours

Airwell dévoile son nouveau catalogue

Airwell a toujours eu à cœur de répondre avec exigence à l'attente de ses clients. Aujourd'hui, la marque donne une nouvelle dimension à son offre, en adéquation avec la problématique environnementale. Un engagement incontournable pour Airwell, en tant que marque leader de génie climatique, qui a une réelle volonté de proposer des solutions économiques, favorables à l'environnement et avec le moins de contraintes possibles pour ses clients.Le crédo qu'Airwell défend dans ce catalogue : « La nature pour source d'inspiration » évoque les nouveaux concepts basés sur le résidentiel et le tertiaire, deux segments de clientèles aux attentes similaires en termes d'efficacité énergétique, de bien-être et de maitrise des dépenses. Ce catalogue a pour ambition d'associer le bien-être ressenti en pleine nature à celui des locaux chauffés et climatisés par Airwell.La grande nouveauté à découvrir se trouve au sein de la gamme résidentielle, avec l'apparition d'un onglet dédié au tout nouveau concept d'Airwell « ma maison hybride ».Cette toute nouvelle offre répond à la globalité des besoins du client particulier: fourniture des produits de chauffage, ventilation et climatisation, panneaux photovoltaïques pour l'autoconsommation. Ces solutions sont intégralement guidées par la Box Airwell “AirHome”, fonctionnant en protocole ouvert afin de maitriser les objets connectés de la maison.La gamme tertiaire a également évoluée avec la solution de leasing énergétique. Solution permettant au client de bénéficier d'un équipement dernière génération à faible consommation énergétique, intégrant l'installation, la maintenance préventive et une facilité de paiement mensuel. Par ailleurs, le catalogue présente l'intégralité des nouvelles gammes de produits, au design repensé et dotée de nouvelles fonctionnalités.Airwell propose une offre globale, permettant de rentrer dans le cercle vertueux de l'énergie, pour trouver la solution qui satisfera les besoins les plus exigeants.
Il y a 5 ans et 56 jours

Covid-19 : une médiatrice nommée pour trouver des solutions aux loyers des commerces en difficulté

Le ministre a "chargé Jeanne-Marie Prost d'une mission de médiation sur les loyers des commerçants", écrit le ministère dans un communiqué.Mme Prost, "qui a été médiatrice nationale du crédit, est actuellement présidente de l'observatoire des délais de paiement", précise Bercy.M. Le Maire a indiqué sur France Info que la médiatrice "devra nous apporter des solutions d'ici quelques semaines pour qu'effectivement, on allège la charge des loyers pour les commerçants de taille moyenne ou plus importante qui vont avoir un mal fou à faire face à ces échéances".Seize fédérations de commerce, dont le Syndicat National de la Restauration Thématique et Commerciale, l'Union de la Bijouterie Horlogerie ou l'Union Sport & Cycle ont réagi dans un communiqué en souhaitant "que cette médiation permette de travailler dans un état d'esprit constructif pour trouver des solutions collectives à la hauteur des enjeux et applicables à l'ensemble de la profession".Elles demandent "l'annulation des loyers durant la période de fermeture des commerces" pour l'ensemble des points de vente accueillant du public, ainsi que "l'adaptation du montant du loyer à la réalité de l'activité dans les mois à venir, compte tenu d'une reprise qui sera très progressive et donc risquée économiquement et socialement".Trois présidents de région (Nouvelle-Aquitaine, Bretagne et Hauts-de-France) ont également demandé mercredi dans une lettre à M. Le Maire un "système de progressivité" des loyers des commerçants "à partir de la reprise de l'activité".Le ministre a jugé que leur courrier était "tout à fait bienvenu et parfaitement légitime"."Nous avons déjà obtenu des grandes foncières qu'elles annulent trois mois de loyers pour les très petites entreprises de moins de dix salariés qui ont été obligées de fermer", a rappelé M. Le Maire."Est-ce qu'il faut aller plus loin ? Oui. Est-ce qu'il faut ouvrir une négociation entre les grandes foncières, les grands bailleurs et les autres commerçants, ceux qui par exemple ont des chaînes et des franchises ? Ma réponse est oui", a encore dit le ministre de l’Économie.Selon lui "les discussions vont être difficiles" car il y a "des enjeux financiers qui sont extrêmement élevés".Le ministre a en outre fait part de son souhait que tous les commerces puissent rouvrir après le 11 mai, en dehors des cafés et restaurants.
Il y a 5 ans et 56 jours

Demandeurs d'emplois en France, les derniers chiffres d'avant crise

L'année 2019 s'était achevée avec une baisse nette du nombre de demandeurs d'emplois sans activité (-3,3%), incitant le gouvernement à poursuivre son objectif ambitieux d'un taux de chômage à 7% à la fin du quinquennat.Janvier et février semblaient continuer sur cette même lancée, laissant entrevoir une nouvelle baisse sur les trois premiers mois de l'année, incluant les quinze premiers jours de confinement.Mais la crise sanitaire a fait dérailler l'économie française et mondiale en seulement quelques semaines.Dans son projet de budget rectificatif, le gouvernement table sur une contraction du Produit intérieur brut de 8% cette année, un déficit de 9% du PIB, une dette publique de 115%.Afin d'éviter des licenciements brutaux, le gouvernement a mis en place, et a élargi, le dispositif d'activité partielle dont bénéficient à l'heure actuelle plus de dix millions de Français, soit un salarié du privé sur deux.Ce dispositif a permis pour l'instant d'éviter des inscriptions à Pôle emploi même si certains, en CDD, en mission d'intérim, comme dans le secteur très touché de l'hôtellerie-restauration, se sont retrouvés sans emploi, et sans filet. Ils ont dû aller s'inscrire.D'après les derniers chiffres provisoires publiés chaque semaine par la Dares, le service de statistiques du ministère du Travail, les inscriptions ont augmenté de 12,6% entre le 15 mars et le 11 avril par rapport à la même période de l'année précédente.Après un pic (+31%) lors de la troisième semaine de mars, la hausse a ralenti, avec même une stabilité lors de la dernière semaine mesurée (4 au 11 avril). Dans de récentes prévisions, l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) prévoyait une hausse du nombre de chômeurs de 460.000 pendant les deux mois de confinement."Année difficile""Cela va être une année difficile en terme d'emplois", a reconnu la ministre du Travail Muriel Pénicaud."Il va y avoir des licenciements économiques qui vont tomber, on ne pourra pas faire autrement", pronostique auprès de l'AFP une source syndicale.En mars, le nombre de déclarations d'embauche de plus d'un mois (hors intérim) a reculé de 22,6% par rapport au mois de février, selon les Urssaf. Pôle emploi avait bien précisé que le contrôle de la recherche d'emploi était "suspendu" et "qu'aucun demandeur d'emploi ne serait radié ou sanctionné" pendant la période de confinement.Par ailleurs, pour ceux des inscrits qui étaient indemnisés et arrivaient en fin de droits, la période a été prolongée. Les salariés ayant démissionné juste avant le confinement parce qu'ils avaient une promesse d'emploi peuvent bénéficier de l'assurance chômage.Au début de la crise, l'exécutif a suspendu, jusqu'en septembre, le second volet de la réforme de l'assurance chômage qui durcit le calcul de l'allocation pour les travailleurs précaires, alternant contrats courts et périodes de chômage, et qui devait entrer en vigueur au 1er avril.Il a également suspendu la mesure sur la dégressivité des allocations au bout de six mois pour les demandeurs d'emploi ayant eu de hauts salaires, qui pouvait en théorie commencer à s'appliquer au 1er mai.Les syndicats, tous vent debout contre cette réforme demandent son retrait, en particulier le durcissement des conditions d'accès (avoir travaillé six mois sur les 24 derniers mois au lieu de 4 mois sur les 28 derniers mois) entré en vigueur en novembre. La ministre du Travail a assuré en outre que "les plans de relance" par secteurs prendraient en compte les jeunes, qui sont déjà particulièrement touchés par le chômage et voient leur entrée sur le marché du travail entravée."On ne peut pas avoir une jeunesse qui a une dette sur les épaules, les problèmes écologiques, et en plus pas d'avenir en matière d'emploi et de formation, cela ne serait pas responsable de notre part", a assuré Mme Pénicaud devant quelques journalistes.
Il y a 5 ans et 56 jours

Covid-19 : comment profiter de la crise pour optimiser les compétences numériques dans le BTP ?

Comment le futur de la construction s'appuiera sur les compétences numériques ?En cette période particulière d’épidémie sanitaire liée au COVID-19, lors de laquelle de nombreux chantiers tournent au ralenti voire même sont fermés, il est important de repenser les modes d’organisation du travail dans le secteur de la construction et de réfléchir à l’optimisation des compétences numériques pour permettre au secteur d’être toujours plus performant.En effet, le COVID-19, phénomène totalement imprévisible a placé l’industrie du BTP face à une courbe d'apprentissage numérique abrupte. Tout le secteur s’en trouve impacté. Cependant, pour les nombreux travailleurs, dans l'impossibilité de se rendre sur leur chantier ou au bureau, perfectionner leurs compétences numériques pendant cette période de confinement peut constituer une véritable opportunité. Agir immédiatement pour accélérer le parcours de transformation numérique aidera l'industrie à combler ses lacunes et se préparer aux tendances qui marqueront les prochaines années, parmi lesquelles la construction durable et le développement des villes intelligentes.Une pénurie de compétences avérée en France et en EuropeÀ l'instar de nombreux autres pays, le secteur de la construction française fait face à une pénurie de compétences. Le taux de vacance européen de la construction a augmenté depuis 2009 et le manque de compétences disponibles a une réelle incidence sur les développeurs et les entreprises du bâtiment. Une pénurie de main-d'œuvre peut nuire grandement à la livraison de projets en allongeant les délais nécessaires à leur achèvement et en pesant sur les marges. De surcroît, dans la plupart des pays, la construction n'a pas fondamentalement évolué depuis plus d'un siècle, et ce secteur présente des décennies de retard en termes de transformation numérique. C'est pourquoi, il devient de plus en plus difficile d'attirer et de former une nouvelle génération d'employés.Les causes de la pénurie de compétencesComme pour la plupart des pénuries de compétences, il s'agit d'une combinaison de différents facteurs. Dans le secteur de la construction, on compte trois éléments clés :Fidélisation du personnel : Le turnover dans ce secteur est important. Les salariés changent régulièrement d’emploi et d’entreprise. C'est pourquoi les sociétés de construction doivent constamment recruter de nouveaux collaborateurs pour les remplacer. Oui, attirer de nouveaux employés dans ce secteur constitue un défi, car il est souvent perçu comme à la traîne sur le plan technologique.Personnel vieillissant : En Europe, le nombre d'employés de 25 à 49 ans travaillant dans la construction a diminué de près de 4% entre 2008 et 2015, tandis que les 50 à 64 ans ont augmenté de 6%. En raison de la grande proportion de travailleurs de plus de 50 ans sur la plupart des chantiers, on peut s'attendre à de nombreux départs en retraite à brève échéance.Évolution des compétences : Alors que nous dirigeons vers un avenir de construction durable et de villes intelligentes, de nombreuses nouvelles compétences deviennent vitales. Les personnes possédant des connaissances numériques et techniques sont de plus en plus demandées, car les villes intelligentes nécessitent la création d'une « empreinte » numérique ainsi que la capacité à mieux gérer les données.Préparons-nous à l'avenirEn devenant un secteur axé sur le numérique, la construction peut constituer une proposition de carrière attrayante pour des effectifs jeunes parfaitement préparés à pallier la pénurie de compétences. Tandis que la construction évolue en s'orientant vers les villes intelligentes et les méthodes durables, la prochaine génération d'employés dotés de compétences numériques sera cruciale pour développer des bâtiments intégrés plus efficaces. Les compétences de gestion de l'information seront également essentielles : on estime que 80.000 travailleurs devront être formés en France au bâti immobilier modélisé (BIM) rien qu'en 2020.Prouver que ce secteur est innovant, collaboratif et tourné vers l'avenir le rendra plus attrayant pour les nouveaux entrants, et aidera à pallier la pénurie de compétences avant que la situation ne devienne plus grave à l'avenir. Les « natifs » numériques souhaitent travailler dans un domaine dynamique, visionnaire et passionnant. C'est pourquoi l'adoption d'outils et de technologies numériques est un moyen de démontrer que ce domaine avance dans la bonne direction.L’exemple à suivre : la construction numérique dans la région APACBien que la construction ait pris du retard par rapport à d'autres secteurs tels que la finance et la distribution en termes de transformation numérique, une région enregistre une tendance inverse : la région Asie-Pacifique (APAC). Grâce aux investissements de grande ampleur dans la 5G et la numérisation de manière générale, l'infrastructure de la région favorise une approche de la construction davantage axée sur le numérique. Dans des pays tels que le Japon et Singapour, ce secteur est déjà hautement numérisé. À titre d'exemple, l'ITM (Industry Transformation Map) de Singapour étudie l'utilisation des technologies numériques pour « intégrer les procédures de travail et connecter les acteurs travaillant sur projet ». Toutes les équipes sont équipés d'appareils mobiles, qui sont devenus une seconde nature pour communiquer via une plateforme numérique, effectuer un contrôle des anomalies à l'aide d'un outil numérique, ou transmettre les données d'un incident de sécurité à leurs collègues. Il s'agit là d'un parfait exemple de ce que le secteur de la construction européenne devra numériser pour parer à la détérioration de sa pénurie de compétences.Comme dans le reste du monde, elle devra suivre les traces de la région APAC en adoptant un modèle numérique axé sur les données. Dans le cas contraire, elle risquera une aggravation de sa pénurie de compétences et la perte de ses clients au profit des entreprises de la région APAC ayant déjà achevé leur transition numérique. Pour attirer et conserver les effectifs, pallier une main-d'œuvre vieillissante et garantir la disponibilité des compétences nécessaire à l'avenir de la construction, la numérisation constitue la meilleure réponse.
Il y a 5 ans et 56 jours

Covid-19 : La France dans la dernière ligne droite pour présenter son plan de déconfinement

Ce plan sera présenté mardi après-midi à l'Assemblée nationale par le Premier ministre Édouard Philippe, avec un vote dans la foulée malgré les protestations de partis d'opposition. Ils réclamaient un report du vote à mercredi, alors que seuls 75 des 577 députés peuvent se rendre dans l'hémicycle.C'est "une brutalité de plus", a dénoncé sur Twitter Jean-Luc Mélenchon (LFI), tandis que le patron des députés LR Damien Abad demande "24 heures de plus pour un travail de fond en commission et la consultation de nos collègues qui ne pourront siéger".C'est un véritable exercice d'équilibriste auquel le gouvernement doit se livrer: relancer l'économie sans relancer l'épidémie.La crise s'est traduite très concrètement dans les chiffres du chômage en mars, avec une hausse record de 7,1% sur un mois (+246.100 personnes).Résultat, le ministère du Travail dit vouloir engager "une réflexion avec les partenaires sociaux" pour "adapter rapidement" les règles d'assurance chômage. Les syndicats réclamaient unanimement, dès avant la crise sanitaire, que le gouvernement abandonne entièrement sa réforme de l'assurance chômage.Il a suspendu jusqu'en septembre un volet qui durcit le calcul de l'allocation pour les travailleurs précaires, alternant contrats courts et périodes de chômage, et qui devait entrer en vigueur au 1er avril. Ce sont eux qui se sont inscrits à Pôle emploi en mars.1er bilan après six semaines de confinementCela fait presque six semaines que le pays est confiné pour freiner la propagation du nouveau coronavirus qui a fait depuis le 1er mars 22.856 morts dans le pays, dont 242 nouveaux décès en 24 heures.Parmi les morts : l'ancien sénateur Henri Weber, cofondateur de la Ligue communiste révolutionnaire, figure de la gauche et de mai 68, décédé à 75 ans.La situation dans les hôpitaux s'améliore encore un peu avec 152 décès en 24 heures, le bilan quotidien le plus faible en cinq semaines, et une baisse continue depuis dix-huit jours des patients en réanimation pour Covid-19 (4.682 personnes).Mais les services de réanimation/soins intensifs, qui comptaient 5.000 lits avant la crise, restent sous pression avec encore 7.553 hospitalisés, toutes causes confondues.Le groupe Korian, pointé du doigt pour sa gestion dans ses maisons de retraite en France, a comptabilisé 606 décès liés au Covid-19 sur 23.000 résidents.A deux semaines du début du déconfinement, les questions sont nombreuses: où rendre les masques obligatoires ? Quels tests et pour qui ? Réouverture des commerces partout ou par régions ? Quid des entreprises ? Et les vacances d'été ?Le Conseil scientifique chargé d'éclairer le gouvernement a livré samedi soir ses recommandations pour une "levée progressive et contrôlée du confinement".Casse-tête des écolesDivergence notable avec les choix gouvernementaux, il préconise que crèches et établissements scolaires restent fermés jusqu'en septembre mais a pris "acte de la décision politique" de les rouvrir progressivement dès mai, en "prenant en compte les enjeux sanitaires mais aussi sociétaux et économiques"."Le conseil scientifique est là pour donner un certain nombre d'informations mais c'est le pouvoir politique qui décide", a expliqué à l'AFP son président, Jean-François Delfraissy."Sur le plan sanitaire, si vous demandez à des gens qui gèrent une épidémie, ils aimeraient que tout le monde reste à domicile jusqu'à ce qu'il n'y ait plus un cas. Bien évidemment ce n'est pas possible", a souligné Franck Chauvin, président du Haut conseil de la santé publique.Pour la rentrée scolaire, qui doit être progressive, le conseil préconise notamment le port obligatoire d'un masque antiprojections dans les collèges et lycées, pour le personnel et les élèves.Les experts suggèrent aussi le déjeuner en classe, la prise de température à la maison chaque matin avant l'école et des stratégies pour éviter les brassages d'élèves. Mais ils écartent la faisabilité et l'intérêt d'un dépistage massif.Cette note devrait servir de "base", a jugé Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Education nationale.Au-delà des questions scolaires, le Conseil scientifique préconise d'autoriser les déplacements entre régions par transports en commun si les mesures de précaution sont respectées. Il déconseille cependant "fortement" les déplacements internationaux pendant encore quelques mois.Les principaux syndicats de la SNCF et de la RATP s'inquiètent des conditions du déconfinement dans les trains, RER et métro. "On veut des masques, des protections, un certain nombre de dispositions, pour être sûr qu'on ne se contaminera pas", qu'"on ne contaminera pas les usagers, les familles", a réclamé Laurent Brun, secrétaire général de la CGT-Cheminots, premier syndicat du groupe ferroviaire sur BFMTV.Pourra-t-on alors partir en vacances cet été ? "Les deux mois qui viennent sont cruciaux", a expliqué Franck Chauvin. "Si le nombre de nouveaux cas par jour commence à ré-augmenter, c'est que l'épidémie va repartir, et donc il va falloir reprendre des mesures".Vote mardi ou mercredi, selon Braun-PivetLe vote sur le plan de déconfinement qui sera présenté mardi à l'Assemblée nationale par Edouard Philippe aura lieu mardi ou mercredi, selon ce que décidera la conférence des présidents, a annoncé lundi La présidente de la commission des lois Yaël Braun-Pivet (LREM)."Nous allons pouvoir voter soit le jour même, soit le lendemain, la conférence des présidents se réunit tout à l'heure à 9 heures 30 et elle va pouvoir en décider après avoir écouté tous les groupes politiques et le ministre en charge des relations avec le Parlement" Marc Fesneau, a expliqué sur Sud Radio la députée LREM.Selon elle, un vote mardi ou mercredi, "c'est un peu l'écume des choses", "c'est un faux débat", alors que les oppositions se sont insurgées contre le manque de temps entre la discussion à l'Assemblée et le vote."Je n'ai aucune préférence sur le moment du vote, ce qui est important, c'est que le débat ait lieu, qu'il y ait un vote et que le Premier ministre présente le plan de déconfinement, c'est ça l'essentiel", a-t-elle ajouté.Édouard Philippe présentera mardi à 15H00 devant l'Assemblée nationale "la stratégie nationale du plan de déconfinement" qui doit débuter le 11 mai.Depuis cette annonce samedi, les oppositions réclament davantage de temps pour la juger. Mais même au sein de La République en marche, des députés, comme Martine Wonner, avaient contesté le délai trop court pour se prononcer.Yaël Braun-Pivet a également confirmé qu'il n'y aurait finalement pas de vote spécifique sur l'application de traçage des données mobiles "StopCovid"."Demain, ça fera partie du débat global, c'est ce que moi j'appelais de mes vœux et c'est ce que un certain nombre d'interlocuteurs, la CNIL, le conseil national du numérique appelait, parce que ce tracking ne peut être pris en compte que dans le cadre d'une stratégie globale", a-t-elle expliqué."Une Appli toute seule n'est pas magique n'est pas miraculeuse et ne fera pas le job, il faut que ça s'insère dans un plan global et le Premier ministre demain va pouvoir nous dire si il entend l'utiliser, comment il va l'utiliser et comment cette brique va s'insérer dans le mur de la stratégie globale", a-t-elle précisé.
Il y a 5 ans et 56 jours

Covid-19 : L'OPPBTP alerte sur les masques contrefaits et les fausses certifications

L'OPPBTP alerte sur l'usage de ces masques qui ne sont pas conformes aux normes de protection. L'Organisme donne ses conseils pour éviter d'être victime de toute pratique commerciale trompeuse.L'OPPBTP a constaté une recrudescence du nombre de rapports d'essais et de certificats de masques falsifiés. Cette situation concerne les masques marqués CE mais aussi les masques barrières dont la mise sur le marché est directement gérée par les industriels.Il est évident que l'utilisation de masques contrefaits ou dont les certifications sont fausses peut mettre en danger la santé de ceux qui les portent. Voici les points essentiels à connaître pour ne pas utiliser de tels masques et assurer la sécurité des utilisateurs :Acheter les masques chez un fabricant ou un distributeur connu et professionnel,Ne commander que des masques pour lesquels une notice d'information ou une fiche technique est disponible auprès du vendeur. Ce document doit indiquer la référence du produit, les performances vérifiées et l'usage précis du masque. Si possible, demander auprès du vendeur l'identité du laboratoire qui a testé la référence du masque.Privilégier les masques alternatifs référencés par le site de la DGE (Direction Générale des Entreprises) : https://www.entreprises.gouv.fr/covid-19/liste-des-tests-masques-de-protection.Par ailleurs, l'OPPBTP met à disposition en téléchargement sur son site internet une fiche d'aide au choix des masques. Les conseillers de l'OPPBTP restent aussi à l'écoute des professionnels et sont joignables par chat, e-mail ou téléphone pour aider les entreprises durant cette période de pandémie.
Il y a 5 ans et 56 jours

Covid-19 : Les mandats des syndics de copropriétés prolongés plus longtemps que prévu

L'exécutif a amendé ses précédentes mesures, "compte tenu du délai nécessaire à l'organisation d'une assemblée générale des copropriétaires et du nombre d'assemblées générales à organiser", a-t-il expliqué dans un communiqué à l'occasion de la présentation d'une ordonnance en conseil des ministres.A cause du strict confinement imposé depuis mi-mars contre la propagation du Covid-19, les copropriétaires ne peuvent plus tenir d'assemblées générales. Or, c'est à cette occasion qu'ils décident s'ils renouvellent ou non le mandat de leur syndic, c'est-à-dire l'organisme généralement professionnel qui gère pour eux le fonctionnement de la copropriété, par exemple en matière de travaux.Dans un premier temps, fin mars, le gouvernement avait automatiquement prolongé les mandats des syndics qui devaient expirer entre le 12 mars et le 24 juin, soit un mois après la fin prévue de l'état d'urgence sanitaire. Ils étaient prolongés jusqu'à la tenue d'une assemblée générale, au maximum six mois après l'état d'urgence.Finalement, la nouvelle ordonnance prolonge les délais sur ces deux plans. Les mandats concernés sont désormais ceux qui arrivent à expiration jusqu'à deux mois après l'état d'urgence, soit le 24 juillet.Ils pourront être prolongés jusqu'à huit mois, et non plus six mois, ce qui porte à fin janvier 2021 la potentielle prolongation de certains mandats.A ce titre, l'ordonnance précise aussi que la rémunération des syndics se fera au prorata du tarif prévu par le contrat existant, en fonction du temps de prolongation.Enfin, elle applique les mêmes règles de prolongation aux copropriétaires élus au conseil syndical. Au sein d'une copropriété, il s'agit de l'organisme chargé de contrôler son bon fonctionnement au nom de tous les propriétaires.
Il y a 5 ans et 56 jours

Le catalogue Atlantem « Portails, clôtures et claustras 2020-2021 » est disponible

Les clôtures et claustras prennent une place importante pour créer un ensemble complet et un cocon harmonieux. Également au cœur des évolutions : la connectivité avec l'intégration d'un visiophone consultable à distance.Les coordonnés : tout en délicatesse et éléganceParmi les rares industriels à concevoir et fabriquer les trois familles de produits portes d'entrée, de garage et de portails, ATLANTEM favorise l'harmonie. Sa gamme TENDANCE s'élargit avec six nouveaux modèles (Abott, Bridge, Clayton, Gill, Lamb ou Patton) dont le design est coordonné à celui des autres fermetures. Les effets d'optique sont diversifiés : spirales en mouvement, lignes sans fin, ombres de bambous…Tôles découpe laser : le style végétal a le vent en poupeATLANTEM pousse la qualité de précision à son paroxysme avec sa gamme de portails en tôles découpe laser. De nombreux motifs sont disponibles et se voient enrichis avec les modèles Jungle et Papyrus. Leur finition met en lumière le détail des lignes et des motifs au style résolument végétal.Toujours plus loin dans la connectivité utileLe portail connecté peut aujourd'hui disposer d'un visiophone fonctionnant en wifi. Grâce à une application sur smartphone, il permet de savoir qui se présente sans être contraint par exemple de descendre de l'étage. Si l'utilisateur est au travail ou au marché, il peut ouvrir le portail à un livreur afin qu'il dépose un colis.La part belle aux clôtures et claustrasLa préservation de l'intimité constitue un critère de choix de plus en plus plébiscité. En complément du portail, les clôtures et claustras figurent parmi les équipements incontournables. Dans sa logique d'harmonie des extérieurs, ATLANTEM étoffe sa gamme avec des designs résolument tendance. Les tôles découpe laser apportent de la finesse avec les motifs jungle, bambou, papyrus, bienvenue, cubes, alvéoles et chevrons. Le claustra Nigelle se pare d'une lame en polycarbonate transparente ou effet dépoli, pour une touche de clarté.À l'écoute du terrain, ATLANTEM propose des claustras intégrant une plaque ciment. Une solution pratique pour ne plus abîmer la lame du bas lorsqu'on passe la tondeuse. Disponible en gris brut, anthracite, ton pierre et vert étuvé, elle se fond dans le décor environnant.
Il y a 5 ans et 56 jours

Covid-19 : reprise partielle des activités du Cerib

Ces reprises, même partielles, sont encourageantes et permettent d’anticiper la future sortie de crise et la reprise progressive de toutes les activités du Centre, dans des conditions optimales de sécurité.Les équipes de trois des pôles majeurs du Cerib, le service Métrologie, le Centre d’Essais au Feu et le laboratoire Thermique ont adapté leur dispositif de production dans certains laboratoires, avec la mise en place de protocoles stricts de respect des distances physiques et de prévention des risques pour toutes les personnes en activité.Elles ont notamment établi, sous l’autorité de leurs directeurs, les Plans de Continuité d’Activité adaptés, les Modes Opératoires spécifiques Covid-19 nécessaires à l’organisation du travail et à la gestion des équipements.Le service Métrologie a recommencé son activité d’étalonnage des moyens de mesure avec une équipe réduite. Le Centre d’Essais au Feu a repris la réalisation de tests de résistance au feu sur le four Prométhée. Pour cela, l’équipe, également réduite, a réceptionné de nombreux corps d’épreuve et prépare, dans un second temps, les prochains essais de résistance au feu sur le four Atlas et sur la plateforme d’essai au feu des façades. Le laboratoire Thermique a renoué quant à lui avec les essais de conductivité thermique, notamment sur les blocs en béton. Enfin, des essais mécaniques à froid sont en préparation dans le grand hall abritant la dalle de test des structures d’ouvrages.Cette reprise progressive des activités du Centre a été possible grâce à la mobilisation des salariés et à la mise en place d’un environnement de travail sécurisé.Elle permet d’assurer la continuité de l’accompagnement des industriels et des acteurs de la construction dans leurs besoins et projets, et d’atténuer les effets de cette crise sans précédent.Le Centre d’Études et de Recherches de l’Industrie du Béton (Cerib) est un Centre Technique Industriel, reconnu d’utilité publique et institué en 1967 conjointement par le ministre chargé de l’Industrie et par le ministre chargé de l’Économie et des Finances, à la demande de la Fédération de l’Industrie du Béton (FIB). Avec près de 170 collaborateurs et un haut niveau d’expertise, ses équipements d’essais des produits et matériaux du BTP se déploient sur 15 000 m2 de laboratoires. Le Centre exerce son activité entre essais et évaluations, études et recherches, normalisation et certification, appui technique et transfert de connaissances, et dispose d’un centre de formation. Opérateur de recherche du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, ses travaux de R&D éligibles peuvent bénéficier du Crédit d’Impôt Recherche. www.cerib.comLe service Métrologie réalise l’étalonnage et la vérification de matériels de production et d’équipements de laboratoire dans différents domaines. Cette expertise au service de la qualité des mesures permet aux industriels de garantir la maîtrise de leurs procédés de fabrication et la qualité de leurs produits.Le Centre d’Essais au Feu du Cerib est un laboratoire de résistance au feu agréé par le ministère de l’Intérieur. Il réalise différents types d’essais, en fonction des besoins des concepteurs, sur tous types de matériaux, produits, éléments de structure ou ouvrages. Découvrez le Centre d’Essais au Feu sur www.labo-promethee.fr/Le laboratoire Thermique évalue la résistance thermique des éléments de construction en réalisant des essais de conductivité thermique sur des parois et parties d’ouvrages. Ces vérifications et essais sont accrédités COFRAC selon la norme NF EN ISO 17025 (portée disponible sur www.cofrac.fr).
Il y a 5 ans et 57 jours

Covid-19 : Vinci sauve son trimestre face au virus, grâce à l'international

Entre janvier et mars, le groupe a engrangé 9,69 milliards d'euros de revenus, soit environ le même niveau qu'un an plus tôt."Après un début d'année tonique dans la continuité de l'exercice précédent, l'activité de Vinci a fortement reculé après les mesures mises en place à l'échelle mondiale pour tenter d'enrayer le développement du Covid-19, et particulièrement en France à partir du 17 mars, date d'entrée en confinement", a résumé dans un communiqué Xavier Huillard, PDG du groupe.Vinci est affecté à plusieurs titres par la crise. Ses chantiers ont été largement contraints à l'arrêt, en particulier en France, et ses aéroports, un secteur dans lequel il s'est beaucoup développé ces dernières années, sont paralysés par les réductions drastiques imposées sur les voyages dans de nombreux pays.Ses chiffres ne donnent pour le moment pas toute la mesure des effets de la crise, les principales mesures n'ayant été imposées en Europe et aux États-Unis que depuis la fin du premier trimestre.Ainsi, si les revenus du groupe sont déjà en nette baisse en France (-6,3%), ils sont en hausse à l'étranger (+8,5%), en partie grâce à des chantiers moins affectés."A la différence de la France, où de très nombreux chantiers ont dû être interrompus, la situation à l'international est plus contrastée, l'activité ayant pu se poursuivre dans de nombreux pays à des degrés divers selon les métiers", a expliqué M. Huillard.Pour autant, cette résistance ne durera pas. Comme il l'avait déjà annoncé voici quelques semaines, Vinci ne se considère plus en mesure de faire progresser ses revenus et ses bénéfices cette année, ce qu'il escomptait avant la crise."Toutefois, à ce stade, les incertitudes sur le rythme et l'ampleur du redémarrage de l'activité ne permettent pas de quantifier les impacts financiers de la crise sanitaire sur les comptes 2020", a conclu le groupe.
Il y a 5 ans et 57 jours

Covid-19 : la construction des stades pour le Mondial-2022 au Qatar se poursuit malgré la pandémie

Des dizaines d'ouvriers en bleu de travail et aux visages recouverts de bandes de tissus plus ou moins improvisées s'affairaient sur l'ossature du stade Lusail qui accueillera la finale de la Coupe du monde de football, selon les journalistes de l'AFP.Tous gardaient une certaine distance entre eux sur le chantier de ce stade qui doit devenir le plus grand du pays, avec au total 80.000 places, d'après la même source.Le comité en charge de l'organisation du tournoi a affirmé dans un communiqué "réexaminer la situation en continu et prêt à prendre les mesures nécessaires pour protéger la santé et la sécurité de tous les ouvriers et du personnel"."Ces mesures peuvent inclure la suspension temporaire du travail (sur les chantiers) si nécessaire", ont-ils ajouté.Jusqu'à présent, les organisateurs du Mondial-2022 ont affirmé avoir enregistré huit cas de contamination au nouveau coronavirus sur les chantiers de trois stades. Aucun bilan n'a été donné par les organisateurs depuis six jours.Les autorités qataries ont déclaré officiellement pour leur part 7.764 cas de personnes infectées par la maladie Covid-19, dont dix décès.A partir de dimanche, le port de masque sera obligatoire pour toute personne travaillant dans le secteur de la construction, ont annoncé les autorités du pays.Et les bus acheminant les employés depuis leur lieu de travail jusqu'à leur domicile doivent aussi veiller à ce que leurs passagers s'assoient de manière suffisamment espacée pour limiter les risques de propagation du virus.Selon des ONG, les conditions de vie et de travail des travailleurs immigrés dans le Golfe les exposent davantage au risque d'infection au nouveau coronavirus.
Il y a 5 ans et 59 jours

Les transports lyonnais esquissent leur scénario de déconfinement

"Le 11 mai, on ne reprendra pas la vie qu'on avait avant, mais l'enjeu c'est de pouvoir reprendre le chemin du travail et de l'école" et "d'éviter un report sur la voiture", a déclaré lors d'une conférence de presse Fouziya Bouzerda, présidente du Sytral.Objectif : reprise à 80% de l'offre à partir du 11 mai, puis à 100% " la rentrée de septembre, voire au courant de l'été". L'offre se situait à 50% pendant le confinement, avec 10% de fréquentation.Avant le confinement, le réseau enregistrait 1,9 million de voyages par jour.Pour sécuriser le déconfinement, Sytral juge le port du masque "indispensable" dans les transports en commun et envisage l'installation de distributeurs automatiques dans les principales stations de métro.Sytral va aussi tester "dans les prochains jours" des bornes automatiques sans contact qui désinfectent les mains "en quelques secondes".Pendant le confinement, les rames des transports sont nettoyées une fois par jour. Mais avec l'augmentation de l'offre et de la fréquentation, Sytral "cherche des solutions" de nettoyage rapide "en cours de journée", a indiqué Mme Bouzerda.Deux expérimentations sont prévues: la désinfection "en cinq minutes" de l'air ambiant et des surfaces grâce à des lampes UV, et le nettoyage à vapeur sèche intégrant du virucide.Un prototype de vitres en plexiglas pour protéger les chauffeurs de bus est aussi à l'étude.Et pour éviter des regroupements de personnes aux arrêts de bus ou sur les quais, le réseau s'appuiera sur de la signalétique au sol, des annonces sonores et de la "présence humaine pour faire de la pédagogie".La semaine dernière, la métropole de Lyon a également annoncé travailler à l'aménagement provisoire d'axes de circulation au profit du vélo et de la marche, afin d'éviter une surfréquentation des transports en commun après la fin du confinement.
Il y a 5 ans et 59 jours

Covid-19 : un député LREM fait des propositions pour éviter les expulsions locatives

Dans un communiqué, l'élu du Val-d'Oise de l'aile gauche de LREM met en avant des "difficultés nouvelles d'impayés de loyers dans les semaines qui viennent" pour une partie de la population.Rappelant notamment qu'une étude de l'Insee a montré mardi que 5 millions de Français vivent dans un logement surpeuplé, M. Taché estime qu'"à la fin du confinement, l'accès ou le maintien dans un logement décent sera sans doute la première des priorités"."Cette dernière doit donc être l'occasion de réinterroger en profondeur les mécanismes qui peuvent les faciliter", fait valoir le député qui préside le Conseil national de l'Habitat (CNH), instance consultative.Parmi ses 15 propositions, il suggère notamment d'"augmenter le fonds d'indemnisation des propriétaires pour éviter au maximum les expulsions locatives et transférer ce budget au ministère du Logement afin d'élargir son périmètre d'intervention en vue de créer un fonds +zéro-expulsion+".Il évoque également la création d'un "fonds national d'aide à la quittance, doté au minimum de 200 millions d'euros", suggère de "renforcer l'information auprès des ménages sur les aides au logement disponibles" ou encore de "mettre en place un dispositif de mutualisation des risques face aux impayés de loyers dans le parc privé".Il propose aussi d'"intégrer les structures de logements collectifs (résidences sociales, pensions de famille, habitat inclusifs) et les aires d'accueil des Gens du Voyage dans les programmes prioritaires de dépistage et de surveillance du Covid-19" ou de "mettre à l'abri toute personnes habitant en campements".L'élu se prononce également pour la mise en oeuvre d'"un plan national de lutte contre l'habitat indigne afin d'éradiquer ce fléau en dix ans" et pour "prolonger le moratoire sur les procédures d'expulsion des locataires de bonne foi jusqu'au 31 octobre 2020". Le gouvernement a prolongé jusqu'à la fin mai la trêve hivernale qui exclut toute expulsion.
Il y a 5 ans et 59 jours

Covid-19 : le ministère du Travail veut renforcer les contrôles dans les entreprises

"Le redémarrage progressif d'un certain nombre d'activités justifie une présence plus soutenue de l'inspection du travail sur les lieux de travail", affirme la Direction générale du travail dans un communiqué.Ces contrôles sont nécessaires afin "d'apprécier la réalité des situations de travail et de procéder aux constats indispensables à l'ouverture de procédures juridiques"."Depuis le début de l'état d'urgence sanitaire", les agents du ministère ont déjà adressé "de nombreuses lettres d'observations" aux entreprises où "les gestes barrières et consignes sanitaires n'étaient pas respectés", ou en raison de "carences graves quant à l'évaluation des risques".L'administration a même "adressé 42 mises en demeure" et engagé "plusieurs procédures de référés devant les tribunaux".L'inspection du travail participera prochainement à des "opérations ciblées dans les commerces de détail alimentaires et les établissements accueillant du public ou sur les chantiers", avec l'appui d'agents de "la force publique et (des) services de la répression des fraudes".
Il y a 5 ans et 59 jours

Covid-19 : décès de Jean-Philippe Ruggieri directeur général de Nexity

"C'est avec une grande émotion et une profonde tristesse que Nexity a appris le décès de son directeur général, Jean-Philippe Ruggieri, cette nuit dans un hôpital parisien où il était soigné après avoir contracté le Covid-19", a précisé l'entreprise.Jean-Philippe Ruggieri, 51 ans, avait commencé sa carrière dans le groupe immobilier familial à Toulouse avant de rejoindre Nexity en 2001.Très grande tristesse suite au décès de Jean-Philippe Ruggieri, @Nexity. Bâtisseur et innovateur perpétuel. Engagé sur les défis sociaux et environnementaux. Homme de convictions et de valeurs. Il va bcp nous manquer. Toutes mes pensées à sa famille et à ses collaborateurs.— Julien Denormandie (@J_Denormandie) April 24, 2020
Il y a 5 ans et 59 jours

Travaux dans l'habitat individuel : la demande de devis des particuliers repart à la hausse

Le printemps, une saison faste pour les travauxLe printemps, et particulièrement le mois de mars, est habituellement, pour ForumConstruire.com, une période de forte affluence. Le trafic du site, quelque peu émoussé au sortir des fêtes de fin d'année, progresse ainsi de façon constante pour arriver à un pic, généralement rencontré au mois d'avril. L'annonce du début du confinement est donc arrivée dans une période où les particuliers débordent, traditionnellement, de nouveaux projets pour leur habitation.« C'est la raison pour laquelle cette annonce a eu un impact majeur sur la fréquentation de notre plateforme : nous avons ainsi perdu, quasiment du jour au lendemain, près de la moitié de notre trafic internet habituel. Plus précisément, le 17 mars dernier, premier jour de confinement, nous accusions une baisse de 45% de notre fréquentation, comparé à la même époque les années précédentes », commente Jean-Christophe Gigniac, Fondateur de ForumConstruire.com.Pourtant, une fois l'onde de choc des premières annonces passée, les statistiques des semaines 2 et 3 de confinement ont montré une lente remontée de l'audience générale du site, pour aboutir, en semaine 4, au niveau de fréquentation qui était celui d'avant la crise sanitaire liée au Covid-19. Aujourd'hui, en termes de fréquentation, ForumConstruire.com est ainsi revenu à son plus haut niveau, battant même, le 13 avril dernier, son record de visiteurs uniques sur les 365 derniers jours. « Pour nous, le constat est clair : les particuliers, confinés à leur domicile, recommencent à faire des projets d'amélioration de leur habitat », complète Jean-Christophe Gigniac.Comment cela se concrétise-t-il pour les entreprises du bâtiment ?Si les particuliers semblent actuellement fourmiller de nouveaux projets pour leur logement, nous pouvons légitimement nous demander comment ces « envies » de travaux se concrétisent et se répercutent du côté des professionnels du secteur. Se pencher sur l'évolution d'un autre site du groupe, en l'occurrence ViteUnDevis.com, permet d'en avoir un premier aperçu. ViteUnDevis.com est un site de « devis travaux », qui centralise les demandes de devis des particuliers en provenance de 1 097 sites Internet, dont ForumConstruire.com, pour les proposer à des artisans partenaires.En termes de fréquentation, là aussi, les statistiques montrent que les sept jours suivant les différentes annonces gouvernementales ont été marquées par une baisse importante du nombre de prospects, atteignant jusqu'à – 60% !Puis, sur ce site également, un rebond, certes lent mais constant, a été observé, jusqu'au week-end de Pâques où une véritable explosion du nombre de prospects traités a été constatée (+36,4% par rapport au premier week-end de confinement, celui des 21 et 22 mars). Une évolution qui permet d'ailleurs, aujourd'hui, au nombre de prospects traités via ce site d'atteindre son taux le plus haut sur les 365 derniers jours…« Déjà, de nombreux artisans, lorsque le respect des gestes barrières et des règles sanitaires est possible, reprennent progressivement leurs chantiers. Attention, il ne s'agit pas, pour nous, de prôner une reprise massive de ces derniers ! La santé de tous demeure évidemment la priorité. Néanmoins, cette période de confinement ne doit pas signifier, pour les entreprises du bâtiment, la suspension de toute démarche commerciale. Cela devrait même plutôt être le contraire ! En effet, face à cette hausse des demandes de la part des particuliers, il nous semble primordial que les acteurs du secteur agissent, dès maintenant, pour préparer l'après… Ainsi, les entreprises qui sauront répondre commercialement à ces demandes d'informations et/ou de devis, celles qui auront réussi à anticiper au mieux la reprise de leur activité, seront très probablement aussi celles qui parviendront à tirer leur épingle du jeu, en captant ces nouveaux chantiers. La concurrence étant moindre, les efforts pourraient être doublement payants ! », conclut JeanChristophe Gigniac.
Il y a 5 ans et 59 jours

Covid-19 : L'OPPBTP lance une plateforme d'entraide pour les entreprises du BTP

Cet outil leur permet d'échanger des conversations et de partager librement leurs idées, bonnes pratiques et expériences terrain concernant différents sujets. Consultable par tous, les professionnels devront cependant créer un compte en ligne afin de pouvoir contribuer à leur tour en mettant en ligne des éléments visibles par tous les visiteurs du site.Cet espace s'adresse à tous les professionnels du BTP, qu'ils soient artisans, préventeurs, maîtres d'ouvrage, chefs d'entreprises, partenaires… Mise en place pour leur offrir un moyen supplémentaire de communication et d'entraide en cette période particulièrement difficile, la plateforme doit leur permettre de partager toutes leurs idées et bonnes pratiques à mettre en œuvre. Cela peut concerner tous les sujets utiles pour assurer la sécurité des professionnels en activité : des équipements à l'organisation des chantiers, en passant par la gestion des préconisations sanitaires ou la mise en œuvre opérationnelle.Ainsi, les professionnels sont invités à partager des photos, des vidéos, des liens ou des documents aux formats pdf, ppt ou word. Il peut s'agir de retours d'expérience, de conseils illustrés, d'exemples de plan de continuité d'activité, d'aide aux mises à jour du Document Unique, ou encore de modes opératoires. Pour faciliter la consultation, le visiteur peut effectuer une recherche de sujet par catégorie ou bien par mot clé, grâce à la barre de recherche.Par ailleurs, l'équipe de conseillers de PréventionBTP En Direct se tient à disposition pour répondre à toutes les questions des visiteurs par mail, à l'adresse endirect@preventionbtp.fr.La plateforme d'entraide est consultable à l'adresse :www.Entraide-COVID19.preventionBTP.fr
Il y a 5 ans et 59 jours

Covid-19 : La crise sanitaire stoppe net la flambée des prêts immobiliers

"Le début de l'année 2020 a été très bon jusqu'au 15 mars", a résumé jeudi dans une vidéo Jean-Marc Vilon, directeur général de l'organisme Crédit Logement, qui réunit les principales banques françaises."Et puis est arrivé le moment du confinement, et à partir de là évidemment l'activité a baissé de manière extrêmement importante", a-t-il poursuivi, à l'occasion d'un bilan mensuel qui fait référence, établi par Crédit Logement avec l'institut CSA.Depuis la mi-mars, les Français sont contraints de rester chez eux et de nombreux commerces ont dû fermer, afin de lutter contre la propagation du coronavirus. Cette situation a logiquement plombé le marché immobilier, même s'il est encore trop tôt pour mesurer précisément l'ampleur de la chute des transactions.Le marché des prêts en donne toutefois une idée. Selon l'observatoire, leur nombre a reculé de presque 14% en mars, par rapport à un an plus tôt. Comme le confinement n'a été instauré qu'au milieu du mois dernier et est prévu jusqu'au 11 mai, la chute va probablement s'accentuer.Le coronavirus a donc fait ce qui semblait impossible depuis plusieurs années: bloquer un marché du crédit immobilier dont l'essor était tel qu'il commençait à inquiéter les autorités financières.Celles-ci demandaient depuis plusieurs mois aux banques de durcir un peu leurs conditions, alors que les prêts atteignaient en France un montant total historique. Les ménages profitent de taux qui n'ont jamais été aussi bas à la suite de la politique de crédit facile menée par la Banque centrale européenne (BCE).Les demandes des autorités ont, certes, eu des effets. Les banques ont prêté sur des durées un peu moins longues en moyenne - 229 mois en mars, soit légèrement plus que 19 ans - et surtout ont eu tendance à accroître la part d'emprunteurs jugés plus sûrs au détriment des ménages les plus jeunes et moins fortunés."Nombreuses inconnues"Mais, pris dans son ensemble, le marché avait peu changé: les prêts restaient historiquement nombreux et, en moyenne, les taux ne remontaient pas.Le coronavirus a-t-il vraiment changé la donne ou n'aura-t-il interrompu qu'un moment l'essor du marché ? C'est, pour le moment, impossible à dire et les acteurs évitent de s'y aventurer."On est face à une crise totalement inédite à la fois par son ampleur mais également par le type de crise", a souligné M. Vilon. "Elle a été choisie, finalement, par nos gouvernements. On a décidé d'arrêter l'économie"."L'impact sur l'immobilier résidentiel, c'est bien sûr moins de transactions en particulier en 2020", a-t-il avancé. "C'est sans doute encore un impact en 2021 mais on peut avoir des effets qui restent limités".Surtout, que feront les taux? Pour le moment, ils n'ont que très faiblement augmenté en mars - à 1,14% en moyenne -, mais ce chiffre mesure mal la réaction éventuelle des banques à la crise.Les données d'avril en donneront une meilleure idée, le temps que soient adaptés les barèmes. Or, plusieurs courtiers ont déjà évoqué une tendance à la hausse, même s'ils la jugent limitée."A ce stade, nous anticipons une hausse de taux pour la sortie de crise, mais celle-ci dépendra notamment de la longueur du confinement qui déterminera la durée où le marché est resté à l'arrêt", a jugé dans un communiqué le courtier Meilleurtaux.Mais "il convient d'être extrêmement prudent, car l'évolution dépend d'une équation dont nous ne maîtrisons pas les nombreuses inconnues", conclut-il.
Il y a 5 ans et 59 jours

Schneider Electric annonce des ventes en repli au 1er trimestre mais reste confiant dans son modèle

Le chiffre d'affaires du spécialiste des équipements pour l'énergie et des automatismes industriels se monte sur ces trois premiers mois à 5,8 milliards d'euros, en baisse organique de 6,4% et à -7,6% en croissance publiée.Sur l'Asie-Pacifique (environ un quart de l'activité du groupe), les ventes sont en repli de 19,1%.Au deuxième trimestre, Schneider, qui avait connu en 2019 une année record, prévoit "un impact significatif" au vu des mesures de confinement instaurées dans le monde, tout en se disant "confiant quant à son profil de croissance".Le groupe, très présent en Europe et en Amérique du nord, "souhaite à ce stade s'abstenir de toute hypothèse quant à la forme et au calendrier de la reprise au second semestre 2020 ou au-delà".Mais "nous entrons dans cette crise avec des fondamentaux solides", a déclaré le PDG Jean-Pascal Tricoire, dans un communiqué, citant l'"approche multi-locale" de l'entreprise, l'essor de ses "services digitaux qui permettent de réaliser des opérations à distance" et "la solidité de la situation de trésorerie"."Nous sommes face à l'inconnu", a commenté jeudi le directeur général des finances Emmanuel Babeau, lors d'un point téléphonique avec la presse."Nous savons qu'avril sera impacté significativement dans de nombreuses géographies, en Europe et aux États-Unis. La Chine est en voie de récupération mais nous ne savons pas, pour le reste, ce que sera le rythme et la magnitude du rebond. Nous avons de nombreux scénarios sur la table, il est trop tôt pour dire lequel s'imposera", a-t-il dit, alors que Schneider a suspendu fin mars ses prévisions annuelles.Par exemple, la chute d'activité sur les marchés du bâtiment varie selon les pays: des projets de construction reprendront à la mise en place de mesures de sécurité, tandis que plusieurs gouvernements ont décidé la suspension de projets non essentiels."Dans ces temps incertains, nous avons une boussole, qui commence par la sécurité de nos personnels, puis la continuité de nos services, essentielle quand il s'agit d'hôpitaux, d'industries alimentaires, de centres de données... Et puis nous travaillons sur nos coûts", a énuméré M. Babeau.Le groupe affiche un montant de liquidités (incluant trésorerie et équivalents et lignes de crédits accordées) d'environ 9 milliards d'euros, "suffisantes pour lui permettre de mener à bien ses activités et rembourser ses dettes, tout en versant le dividende et en finançant les acquisitions déjà annoncées", note le communiqué.Au sortir de la crise, Schneider Electric "devrait être en mesure de tirer profit de l'essor des mégatendances portées par des initiatives gouvernementales" (tout électrique, tout digital, énergies renouvelables), estime le groupe. Il compte aussi sur "la montée en puissance des investissements" sur certains de ses principaux marchés (centres de données, infrastructures, bâtiments intelligents).
Il y a 5 ans et 59 jours

Blocs, parements et chaperons Bradstone - Carré D'arc animent l'ambiance

Marques du Groupe Fabemi, BRADSTONE et CARRÉ D'ARC mettent à leur disposition un riche assortiment de modèles dans la ligne Béton Design.Les blocs Hadrien et Schistone BRADSTONE permettent de monter des séparations sur mesure, en parfaite harmonie avec l'environnement, les parements CARRÉ D'ARC animent un lieu, y compris à l'intérieur. Et, pour couvrir murs et piliers, les nouveaux chaperons de mur et chapeaux de pilier CARRÉ D'ARC ajoutent leur touche élégante à l'ouvrage.Apporter du rythme, jouer avec les matières, insérer de l'inattendu dans un décor… tout cela est possible avec les créations Béton Design issues du savoir-faire BRADSTONE et CARRÉ D'ARC. Une belle palette de textures et de coloris pour structurer l'espace avec goût.Blocs Hadrien BRADSTONE : un relief de pierre tailléeFaciles à poser, les blocs Hadrien BRADSTONE imitent parfaitement la pierre taillée à la main. Ils peuvent servir à construire un mur de séparation entre deux jardins, un muret courant le long d'une allée bordée de massifs, ou encore des jardinières. Leur tracé irrégulier accroche la lumière et apporte une ambiance chaleureuse.Les éléments Hadrien sont proposés en nuance Gironde. Ceux de forme incurvée permettent de réaliser des ouvrages en demi-cercle. Il existe également des blocs linteau droit, about, angle droit et angle gauche, sans oublier le bloc de chaînage et le couronnement.Les solutions apportées par les blocs Hadrien BRADSTONE se déclinent en muret, délimitation d'allée, coin terrasse et haut mur de séparation mitoyen. Ce dernier est décoré en son milieu d'une lame d'eau s'écoulant dans un bassin. Chaque structure est habillée de couronnements Hadrien BRADSTONE.Blocs Hadrien BRADSTONEBlocs : 60 x 15 x 7,5 cm Prix public indicatif : 11 euros TTC la pièceBloc chaînage : 45 x 15 x 7,5 cm Prix public indicatif : 17 euros TTC la pièceBloc linteau droit : 45 x 15 x 14 cm Prix public indicatif : 33 euros TTC la pièceBloc linteau about : 45 x 15 x 14 cm Prix public indicatif : 33 euros TTC la pièceBlocs linteau angle droite ou gauche : 45 x 15 x 14 cm Prix public indicatif : 33 euros TTC la pièceBloc courbe : 53 x 15 x 7,5 cm Prix public indicatif : 11 euros TTC la pièceCouronnement : 48,5 x 19,5 x 4 cm Prix public indicatif : 14 euros TTC la pièceColoris : GirondeMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxBloc Schistone BRADSTONE : charme celteLe bloc Schistone BRADSTONE présente un feuilletage qui rappelle les murets en roche schisteuse ponctuant les paysages de la Bretagne traditionnelle. Cet aspect pierre sèche est parfaitement rendu et convient à des ambiances authentiques ou régionales.Le bloc Schistone BRADSTONE pourra également mettre en valeur un décor contemporain. Cette belle lame d'eau semble percer le mur, telle une source jaillissante. Les blocs Schistone BRADSTONE ont cédé le passage sous la pression de l'eau, c'est du moins l'astucieuse mise en scène du paysagiste, inspiré par la rusticité armoricaine du matériau.Bloc Schistone BRADSTONEBloc : 58,5 x 14 x 10 cm (15 blocs au m² - longueur utile 47,5 cm) Prix public indicatif : 17 euros TTC la pièceColoris : GirondeMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxParement de mur Eygalières CARRÉ D'ARC : temps jadis au goût du jourDécoratif à l'extérieur comme à l'intérieur, le parement de mur Eygalière CARRÉ D'ARC a l'apparence des revêtements anciens aux pierres jointées. Il comprend deux types de modules de dimensions variables ainsi que des angles droits multiformats.Le parement de mur Eygalière est proposé en nuance Aquitaine et Luberon.Ces murs revêtus de parements Eygalières CARRÉ D'ARC teinte Aquitaine structurent l'espace par de douces lignes courbes délimitées par des piliers aux justes proportions.Parement Eygalières CARRÉ D'ARCDimension parement plat ép. 1,5 cm : 2 types de modules de dimensions variables Prix public indicatif : 56 euros TTC le m²Dimensions angles droits ép. 1,5 cm : multiformats 3 grands + 3 petits Prix public indicatif : 72 euros TTC le mlColoris : Aquitaine et LuberonMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxParement de mur Vaugelas CARRÉ D'ARC : esprit moderneInspiré de la pierre de schiste, le parement Vaugelas CARRÉ D'ARC se distingue par sa simplicité et le relief graphique qui convient aussi bien dans un espace partagé avec la nature que pour habiller le mur d'une pièce. Il est proposé en trois modules plats de tailles différentes et un angle droit. Le choix du coloris - Aquitaine, Ardèche ou Basalte - déterminera l'ambiance finale de la réalisation.Les terrasses du jardin, délimitées par des murets revêtus de parements Vaugelas CARRÉ D'ARC nuance Basalte, offrent des plages de gazon reposantes, décoratives, entre ombre et lumière.Le parement Vaugelas CARRÉ D'ARC donne un relief agréable et chaleureux à ce mur de salle de bains moderne aux lignes épurées. Sa teinte Aquitaine s'harmonise avec le plancher d'un élégant coloris châtaigne.Parement Vaugelas CARRÉ D'ARCDimensions parement plat : 3 modules différents 50 x 10 x 1,5 cm30 x 10 x 1,5 cm20 x 10 x 1,5 cm Prix public indicatif : 72 euros TTC le m²Dimensions angle droit : 20/10 x 10 x 1,5 cmPrix public indicatif : 89 euros TTC le mlColoris : Aquitaine, Ardèche et BasalteMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxParement de mur Avallon CARRÉ D'ARC : allure nordiqueLa régularité singulière des briques de construction évoque immanquablement les maisons du Nord. Le parement plat Avallon CARRÉ D'ARC revisite la briquette avec succès, pour habiller les murs intérieurs ou extérieurs. Les teintes, blanc uniforme, doré et feu avec nuances de rouge, apporteront l'effet surprise désiré.Le gris et le blanc sont faits pour aller ensemble. Démonstration avec le parement de mur Avallon CARRÉ D'ARC de cette chambre à coucher, dont la blanche fraîcheur facilite un réveil en douceur.Parement Avallon CARRÉ D'ARCDimensions parement plat : 24 x 5,5 x 2,5 cm Prix public indicatif : 72 euros TTC le m²Dimensions angle droit : 12 x 24,5 x 5,5 cm – ép. 2,5 cm Prix public indicatif : 77 euros TTC le mlColoris : Blanc, Doré et FeuMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxLa ligne Béton Design CARRÉ D'ARC ajoute cette année à sa riche gamme de produits un choix de chaperons de mur et de chapeaux de pilier, composés de ciment blanc et d'agrégats clairs, proposés en deux modèles, deux formats et trois couleurs. Des accessoires indispensables pour protéger un ouvrage et lui donner une belle finition.Chaperons de mur CARRÉ D'ARC : élégance au sommetProposés en trois teintes lumineuses, Beige, Blanc et Gris, les chaperons de mur Lisses CARRÉ D'ARC assurent une couverture solide et protègent de l'humidité. Les deux modèles, plat ou à deux pentes, sont dotés de « gouttes d'eau », c'est-à-dire 2 rainures parallèles sciées dans la masse et courant sur toute la longueur afin de gérer l'écoulement de l'eau de pluie.Les chaperons plats portent également en surface une légère arête centrale de 1 mm, qui sert à évacuer l'eau de pluie.Les chaperons de mur Lisses CARRÉ D'ARC sont proposés en 2 dimensions (50 x 30 cm et 100 x 30 cm) et 2 épaisseurs distinctes (4 cm pour les plats et 5,7 cm pour les 2 pentes).Le chaperon de mur 2 pentes CARRÉ D'ARC fait serpenter sa luminosité sur un beau mur ocre rouge. Son rôle à la fois couvrant et décoratif éclate au grand jour.Chaperons de mur Lisses CARRÉ D'ARCChaperon de mur plat : 50 x 30 x 4 cm Prix public indicatif : 15,50 euros TTC la pièceChaperon de mur plat : 100 x 30 x 4 cm Prix public indicatif : 30 euros TTC la pièceChaperon de mur 2 pentes : 50 x 30 x 5,7 cm Prix public indicatif : 16 euros TTC la pièceChaperon de mur 2 pentes : 100 x 30 cm x 5,7 cm Prix public indicatif : 31 euros TTC la pièceColoris : Beige, Blanc et GrisMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxChapeaux de pilier Lisses CARRÉ D'ARC : finition indispensableTout pilier encadrant un mur de clôture porte son chapeau. Les modèles de chapeaux Lisses CARRÉ D'ARC suivent le même procédé de fabrication que les chaperons afin de créer une couverture harmonieuse et uniforme.Deux modèles sont proposés en deux formats au choix : le plat, carrés de 40 cm ou 50 cm de côté, sur 4,5 cm d'épaisseur, et le pointe de diamant de mêmes dimensions, sur 7,7 cm d'épaisseur. Les trois coloris - Beige, Blanc et Gris - peuvent être assortis aux chaperons.Plat ou en pointe de diamant, le chapeau de pilier Lisse CARRÉ D'ARC protège tout en s'inscrivant dans un cadre esthétique lumineux.Chapeaux de pilier Lisses CARRÉ D'ARCChapeau de pilier plat : 40 x 40 x 4,5 cm Prix public indicatif : 23 euros TTC la pièceChapeau de pilier plat : 50 x 50 x 4,5 cm Prix public indicatif : 29 euros TTC la pièceChapeau de pilier pointe diamant : 40 x 40 x 7 cm Prix public indicatif : 24 euros TTC la pièce Chapeau de pilier pointe diamant : 50 x 50 x 7,7 cm Prix public indicatif : 30 euros TTC la pièceColoris : Beige, Blanc et GrisMatériau : Béton DesignPoints de vente : Négoces en matériauxBlocs pilier à enduire CARRÉ D'ARC : Superposables, ils portent bien le chapeauLe bloc pilier en béton CARRÉ D'ARC, creux et de section carrée, est disponible en cinq dimensions : 20, 26, 35, 40 et 50 cm de côté, pour une hauteur commune de 25 cm. Faciles et rapides à poser, ils peuvent être habillés d'un enduit de façade, de parements de mur ou de bardages.Un chapeau de pilier Lisse plat CARRÉ D'ARC ton Blanc coiffe ce pilier ton Béton gris à enduire. Le mur, à enduire également, est couvert d'un chaperon deux pentes ton Blanc CARRÉ D'ARC.Blocs pilier CARRÉ D'ARCDimensions : 5 modules différents 20 x 20 x 25 cm Prix public indicatif : 4,50 euros TTC la pièce26 x 26 x 25 cm Prix public indicatif : 5 euros TTC la pièce35 x 35 x 25 cm Prix public indicatif : 6 euros TTC la pièce40 x 40 x 25 cm Prix public indicatif : 15 euros TTC la pièce50 x 50 x 25 cm Prix public indicatif : 25 euros TTC la pièceColoris : Béton grisMatériau : Béton DécoratifPoints de vente : Négoces en matériaux
Il y a 5 ans et 60 jours

Baisse des revenus de Covivio au 1er trimestre, les hôtels plombés par la crise sanitaire

Entre janvier et mars, Covivio a engrangé 158 millions d'euros de revenus, soit une baisse de 4,8% par rapport à un an plus tôt. Néanmoins, ce recul est dû à des cessions, qui l'ont privé de loyers, et sans les prendre en compte, les revenus stagnent.Le groupe, qui détient dans plusieurs pays européens des bâtiments variés comme des bureaux et des logements, a surtout vu ses revenus s'effondrer dans ses hôtels, à la suite de la crise du coronavirus: ils y chutent de 10% à périmètre constant.La crise sanitaire est catastrophique pour le secteur du tourisme: de multiples pays ont fermé leurs frontières et des mesures de strict confinement ont été mises en place à travers l'Europe depuis mars.Le groupe sauve, pour l'heure, la situation dans ses bureaux et logements, où il observe une petite hausse de ses revenus à périmètre constant (+2,3%).En ce qui concerne l'avenir, il confirme qu'il devra revoir ses objectifs, ce qu'il avait déjà annoncé mi-mars, mais attend ses résultats semestriels, en juillet, pour donner des détails.Il confirme aussi qu'il compte toujours acquérir l'ensemble de Godewind, un spécialiste des bureaux allemands, dont il détient pour l'heure environ 60% après avoir lancé cette opération en début d'année.
Il y a 5 ans et 60 jours

Reprise progressive du chantier de Notre-Dame à partir de lundi

"Dans le cadre de la reprise progressive de l'activité à partir de lundi, j'ai veillé à ce que les mesures et procédures adaptées soient mises en œuvre, afin de garantir le respect des gestes barrières et le maintien de la distanciation sociale", souligne dans un communiqué Jean-Louis Georgelin, chargé de piloter la restauration de l'édifice."Trois étapes" sont prévues à partir de lundi, "avec une montée en puissance des effectifs tout au long du mois de mai", précise l'Établissement public.Il s'agira d'abord de la "remise en fonctionnement de la base vie du chantier", puis d'une "reprise et achèvement des travaux" en cours à la mi-mars, et qui concernent notamment les "nouvelles installations de décontamination". Enfin, d'une "reprise des travaux complexes de sécurisation", dont la dépose de l'échafaudage sinistré et le montage d'un "échafaudage pour la dépose du grand orgue".La décision de relancer l'activité sur le chantier, suspendue depuis la mi-mars, "a été prise après instruction approfondie des conditions de reprise" avec notamment la maîtrise d'œuvre, les entreprises concernées et sur la base des "préconisations de sécurité sanitaire" élaborées par le gouvernement.Les compagnons travaillant sur le site auront des masques, l'accès à des distributeurs de gel hydroalcoolique et bénéficieront de "solutions d'hébergement" et de livraison de repas, précise l'Établissement public."Une réunion du collège interentreprises de sécurité, de santé et des conditions de travail (CISSCT) se tiendra lundi après-midi en présence des organismes de contrôle (Inspection du travail et Caisse régionale d'assurance maladie d'Ile-de-France)", précise l'organisme dans son communiqué.A l'occasion du premier anniversaire de l'incendie, le 15 avril, le président Emmanuel Macron a confirmé son objectif de reconstruire la cathédrale en cinq ans.Avant d'être suspendu en raison de la pandémie de coronavirus, le chantier avait déjà été brièvement arrêté l'été dernier, pour améliorer la protection des ouvriers vis-à-vis du plomb.
Il y a 5 ans et 60 jours

Covid-19 : reprise progressive du chantier de Notre-Dame à partir de lundi

"Dans le cadre de la reprise progressive de l'activité à partir de lundi, j'ai veillé à ce que les mesures et procédures adaptées soient mises en œuvre, afin de garantir le respect des gestes barrières et le maintien de la distanciation sociale", souligne dans un communiqué Jean-Louis Georgelin, chargé de piloter la restauration de l'édifice."Trois étapes" sont prévues à partir de lundi, "avec une montée en puissance des effectifs tout au long du mois de mai", précise l'Établissement public.Il s'agira d'abord de la "remise en fonctionnement de la base vie du chantier", puis d'une "reprise et achèvement des travaux" en cours à la mi-mars, et qui concernent notamment les "nouvelles installations de décontamination". Enfin, d'une "reprise des travaux complexes de sécurisation", dont la dépose de l'échafaudage sinistré et le montage d'un "échafaudage pour la dépose du grand orgue".La décision de relancer l'activité sur le chantier, suspendue depuis la mi-mars, "a été prise après instruction approfondie des conditions de reprise" avec notamment la maîtrise d'œuvre, les entreprises concernées et sur la base des "préconisations de sécurité sanitaire" élaborées par le gouvernement.Les compagnons travaillant sur le site auront des masques, l'accès à des distributeurs de gel hydroalcoolique et bénéficieront de "solutions d'hébergement" et de livraison de repas, précise l'Établissement public."Une réunion du collège interentreprises de sécurité, de santé et des conditions de travail (CISSCT) se tiendra lundi après-midi en présence des organismes de contrôle (Inspection du travail et Caisse régionale d'assurance maladie d'Ile-de-France)", précise l'organisme dans son communiqué.A l'occasion du premier anniversaire de l'incendie, le 15 avril, le président Emmanuel Macron a confirmé son objectif de reconstruire la cathédrale en cinq ans.Avant d'être suspendu en raison de la pandémie de coronavirus, le chantier avait déjà été brièvement arrêté l'été dernier, pour améliorer la protection des ouvriers vis-à-vis du plomb.
Il y a 5 ans et 60 jours

3 présidents de région demandent au gouvernement d'aller plus loin pour les loyers des commerces

Face au confinement lié au Covid-19, les premières annonces du gouvernement, "qui se sont suivies d'annulation de la part de certains bailleurs, vont dans le bon sens, mais ne seront malheureusement pas suffisantes", écrivent Alain Rousset (PS), Loïg Chesnais-Girard (PS) et Xavier Bertrand (ex-LR) dans une lettre au ministre de l'Économie Bruno Le Maire, dont l'AFP a obtenu copie.Selon eux, il est "important que le médiateur national" annoncé la semaine dernière par le ministre soit "nommé avant la fin de la semaine et qu'il puisse y avoir également un représentant régional"."Ce médiateur devra pouvoir analyser les dossiers au cas par cas car nous sommes bien conscients que certains bailleurs n'ont pas la solidité financière pour pouvoir supporter des annulations de loyers en cascade, notamment du fait du poids de la dette qu'ils peuvent avoir à rembourser", soulignent-ils.A leurs yeux, la question de l'annulation de certains loyers ne peut par ailleurs "pas se concevoir sur la seule période du confinement du 14 mars jusqu'au 11 mai" car "la reprise ne se fera que très progressivement"."Il est donc nécessaire de réfléchir dès maintenant à la mise en place d'un système de progressivité des loyers à partir de la reprise de l'activité. Sans cette progressivité, les entreprises ne pourront malheureusement pas faire face sereinement à la crise économique liée au Covid-19", jugent les trois présidents de région en demandant à Bercy de "réunir rapidement les représentants des commerçants, des bailleurs et des banques".
Il y a 5 ans et 60 jours

L'indemnisation du Covid-19 comme maladie professionnelle jugée "très insuffisante"

Le Covid-19 sera reconnu de façon "automatique" comme maladie professionnelle pour le personnel soignant, mais pas pour les autres catégories de travailleurs, qui devront se soumettre aux procédures classiques, avait indiqué mardi le ministre de la Santé Olivier Véran devant l'Assemblée nationale."Nous sommes loin du compte", dénoncent la Fnath (association des accidentés de la vie) et l'Association nationale des victimes de l'amiante. "Le personnel soignant bénéficiera d'une reconnaissance automatique en maladie professionnelle et les autres devront engager des procédures longues, coûteuses, et vraisemblablement vouées à l'échec".La Fnath et l'Andeva "dénoncent le mépris affiché par le gouvernement avec une indemnisation au rabais pour ceux qui ont risqué jusqu'à leur vie pour assurer à une population confinée une garantie de soin, d'alimentation et de livraison"."Après les éloges et les engagements du président de la République à propos de ces +soldats de 1ère et 2e ligne+, c'est une bien piètre reconnaissance que la Nation leur réserve", concluent les deux associations qui "souhaitent rencontrer au plus tôt le ministre de la Santé et la ministre du Travail pour trouver une solution plus satisfaisante pour les victimes".L'Unsa Fonction publique demande mercredi que "le dispositif de maladie professionnelle soit étendu à tous les agents engagés sur le terrain, dans les hôpitaux, auprès des Français, dans le cadre de leur mission".Pour le syndicat, "il parait normal qu'un enseignant accueillant des élèves, qu'un policier procédant à un contrôle, qu'un hospitalier exerçant à l'hôpital puissent bénéficier des dispositifs liés aux maladies professionnelles dans la fonction publique". Le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner avait d'ailleurs plaidé en faveur d'une telle reconnaissance pour certains de ses agents.Au-delà de la seule fonction publique, Force ouvrière "revendique l'élargissement, au-delà des soignants, du dispositif de reconnaissance automatique en maladie professionnelle du Covid-19 pour tous les salariés exposés dans le cadre de leur activité", et pense notamment "aux secteurs de la distribution, de la logistique, aux éboueurs, aux travailleurs sociaux, aux postiers, aux personnels de sécurité..."Interrogée mercredi sur le sujet à l'Assemblée lors de la mission d'information sur le coronavirus, la ministre du Travail Muriel Pénicaud a expliqué "qu'il y avait des maladies professionnelles qui n'existent que dans le monde professionnel, ça c'est facile, mais il y a beaucoup de maladies, c'est le cas du Covid-19, où la contamination peut avoir lieu partout, c'est le droit commun a priori qui s'appliquera"."Toute personne peut faire un recours", a-t-elle dit, "si elle a des séquelles", et ce "sera évalué par les commissions spécialisées".
Il y a 5 ans et 60 jours

La France adopte finalement sa feuille de route énergétique

La programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) pour 2019-2028 "est adoptée", selon un décret paru au Journal officiel.Son adoption était initialement attendue fin 2018, mais ce texte aux multiples implications aura pris beaucoup de retard.Un second décret, visant l'adoption de la stratégie nationale bas-carbone (SNBC), a également été publié jeudi. Celle-ci fixe comme objectif la neutralité carbone de la France à l'horizon 2050."Nous publions aujourd'hui des textes écologiques structurants, qui impliquent la décarbonation de tous les secteurs d'activités et qui incarnent notre volonté intacte de poursuivre la transition écologique de notre pays", a souligné Elisabeth Borne, la ministre de la Transition écologique et solidaire, dans un communiqué.Les arbitrages dans le secteur de l'énergie avaient été esquissés dès la fin 2018 par le président Emmanuel Macron et le projet de PPE avait ensuite connu plusieurs versions avant d'être soumis à consultation en début d'année.Sur le nucléaire, le gouvernement confirme l'objectif de fermer 14 réacteurs d'ici 2035, dont les deux de la centrale de Fessenheim (Haut-Rhin) qui doivent s'arrêter cette année. Le premier a déjà été arrêté en février, le second doit l'être le 30 juin.La France cherche ainsi à réduire sa dépendance au nucléaire en ramenant sa part dans sa production d'électricité à 50% en 2035, contre plus de 70% aujourd'hui.Sur le fond, la PPE publiée jeudi reprend pour l'essentiel le texte qui avait déjà été rendu public et mis en consultation. Il ne diverge que sur quelques mesures techniques portant sur les réseaux de chaleur (avec une sortie accélérée du charbon) et le photovoltaïque, selon le ministère de la Transition écologique et solidaire."Nous nous réjouissons de la publication de la PPE, qui donne, dans ce moment particulier de notre histoire, de la visibilité à nos différentes filières et confirme l'engagement de la France dans la transition énergétique", a salué Jean-Louis Bal, le président du Syndicat des énergies renouvelables (SER)."Mais, nous devrons tous être très attentifs aux moyens mis en oeuvre pour atteindre, dans les délais, les objectifs fixés", a-t-il ajouté, dans un communiqué.Des ONG de défense de l'environnement ont en revanche critiqué le texte, estimant qu'il manquait d'ambition."Le gouvernement s'est refusé à intégrer les mesures complémentaires nécessaires à l'atteinte des objectifs climatiques - pourtant insuffisants - et de baisse de la consommation d'énergie de la France", ont jugé dans un communiqué commun plusieurs associations (Réseau Action Climat, Amis de la Terre, Greenpeace, France Nature Environnement...)."Il acte ainsi l'écart entre les discours et les actes et se prive de leviers clés pour une reprise économique compatible avec l'Accord de Paris", ont-elles estimé.
Il y a 5 ans et 60 jours

Covid-19 : comment accompagner les entreprises lors de la sortie de la crise sanitaire ?

Le Covid-19 bouleverse durablement le rapport au travail des Français et il est source d'enseignements pour les entreprises. Elles ont fait un certain nombre de constats dans ce moment si particulier. Renforcer l'usage du télétravail45% des actifs ne travaillent plus du tout, seulement 1 sur 4 se rend encore au travail, les autres exercent en télétravail. Si sa pratique explose, une fracture territoriale demeure : 41% des actifs télétravaillent en Ile-de-France contre seulement 11% en Normandie, par exemple. Plus généralement, le télétravail a maintenu l'activité des cadres, alors que les employés et salariés l'ont soit perdu, soit se trouvent contraints à exercer en « présentiel ». La crise met donc en lumière les capacités, mais aussi les disparités technologiques de nos entreprises à s'adapter à leur environnement. En sortie de crise, une réflexion de fond devra être engagée pour aider les différents secteurs à s'équiper, donc à pousser plus loin, les dispositions de la Loi PACTE qui a donné un cadre légal au télétravail. En effet, il est probable qu'il s'imposera comme une pratique beaucoup plus généralisée ; les trois-quarts des Français souhaitant qu'il se développe davantage à l'avenir (76%).La solidarité entre les acteurs économiques Dans une économie intégrée où les entreprises sont pour la majorité, exposées au contexte international tant sur le plan de l'approvisionnement, de la circulation des biens, des personnes et des flux monétaires, la solidarité doit s'exercer. C'est-à-dire, qu'elles devront partager et développer l'effet réseau entre elles. Des solutions par secteur ?Si le 11 mai pourrait être une date de redémarrage des activités en France, toutes les entreprises ne vont pas répondre immédiatement et de concert. Leur activité sont de nature complémentaire d'un point de vue macroéconomique. Pour autant, chacune à ses spécificités propres. Par ailleurs, la mise en place de la distanciation sociale et des gestes barrières vont générer des adaptations et des nouvelles charges. Notamment dans le secteur du BTP, déjà touché par le blocage des matières premières aux frontières et l'arrêt des chantiers. Près de 90 % des chantiers seraient ainsi à l'arrêt en France, selon la Fédération Nationale des Travaux Publics (8.000 entreprises et 300.000 salariés). Leur logistique va être également perturbée, comme pour toutes les PME et ETI en général, encore plus spécifiquement dans le commerce et l'automobile. Enfin, s'agissant, du e-commerce, les négociants ou commerçants qui s'étaient déjà digitalisés ou qui ont opté pour ce processus durant la crise, bénéficieront d'une nette avance dans la poursuite de l'activité. Les avantages du e-commerce, de la dématérialisation, des flux et des outils collaboratifs ne seront alors plus à prouver. Dans le secteur de l'hôtellerie et de la restauration, dont la date de reprise est inconnue à ce jour, les précautions sanitaires devraient être très lourdes là aussi, alors que les coûts fixes resteront inchangés, voire massifs. Par conséquent, l'économie peut se réactiver mais son fonctionnement habituel ne pourra être restauré en partie que par une souplesse propre à chaque secteur d'appartenance. Enfin, le COVID-19, source de risques psycho-sociologiques ne disparaîtra pas des consciences du jour au lendemain. 7 actifs sur 10 disent avoir peur d'attraper le virus en retournant au travail (71%). Cette tendance pèsera sur la reprise.Quel plan de trésorerie ?Au delà des aspects sanitaires qui priment sur tout, la sortie de crise imposera de nouveaux plan de gestion pour les entreprises. En plus des aides de l'Etat, du prêt sans garanties et des dispositifs de soutien, il sera indispensable de mettre en place un plan prévisionnel de trésorerie dans chaque structure économique. Il visera indéniablement à la survie de l'entité et à son redressement en sortie de crise. Ce plan de trésorerie risque toutefois d'être complexe à élaborer, dans la mesure où l'augmentation de l'endettement de chacun, se traduira probablement, dans certains secteurs, par une augmentation des primes de risque. Les imprévus vont se multiplier. Il convient donc de réaliser 3 scénarios : pessimiste, réaliste et optimiste. De plus, de bonnes pratiques, comme le report à l'amiable ou la négociation d'un échéancier, donnera une vision claire des fluctuations possibles. Une seule certitude pour l'heure : cette crise bouleverse la manière dont les entreprises s'organisent, travaillent, interagissent. Mais une chose est certaine : le digital, la dématérialisation et les outils de gestion en ligne seront en mesure d'apporter des réponses à ces immenses défis, en rapprochant les individus et en créant de nouveaux services entre les acteurs économiques. Le programme de stabilité pour 2020 (PSTAB) sur lequel travaillera la Commission européenne fin avril, devrait être de nature à éclairer le dirigeants et les pouvoirs publics. Du moins, espérons-le.
Il y a 5 ans et 60 jours

Covid-19 : continuité des processus de qualification et aménagements exceptionnel

L'occasion de rappeler pourquoi la qualification est un atout pour les entreprises, et le restera lors de la reprise de l'activité, et comment Qualifelec accompagne et continuera d'accompagner le développement de l'ensemble de la filière, notamment sur de nouveaux marchés. Continuité et fiabilité du processus de qualificationDurant le confinement, les équipes de Qualifelec se sont organisées pour être opérationnelles, en télétravail, et restent joignables au 01 53 06 65 20, du lundi au vendredi de 9h30 à 12h, et par mail (contact@qualifelec.fr). Tous les dossiers de qualification (initiaux, renouvellements, modifications et annuels) reçus par Qualifelec avant le 17 mars sont en cours de traitement. Les comités de qualification poursuivent également leur travail à distance, et cela, toujours dans un strict respect de la collégialité. Qualifelec peut, ainsi, continuer à étudier l'intégralité des dossiers reçus, en garantissant l'objectivité et l'équité des décisions prises par ses comités.Pour rappel, les comités de qualification sont constitués de qualificateurs issus des trois collèges composant les instances de Qualifelec. Le vote des représentants des organisations professionnelles de la filière (collège A) a le même poids que celui des représentants des clients et prescripteurs d'entreprises qualifiées (collège B) et celui des Institutionnels (collège C). Ce sont donc l'ensemble des acteurs du marché qui décident de l'attribution des qualifications aux entreprises. Cette organisation collégiale garantit la force et la fiabilité de la qualification Qualifelec.Aménagements exceptionnelsToutes les entreprises qui le peuvent sont donc invitées à compléter et renvoyer leur dossier ou les pièces manquantes de leur dossier, soit par mail, soit, pour les dossiers "annuels", en passant par leur espace client, en respectant l'échéance de leur cycle de qualification. Pour les entreprises qui n'auraient pas cette possibilité ou qui rencontrent des difficultés dans leurs démarches, Qualifelec adapte ses règles : un nouveau certificat de qualification sera automatiquement transmis (peu avant la date d'échéance). Sa date de validité pourra être prolongée jusqu'au 30 juin, voire jusqu'au 30 septembre 2020 en fonction des cas. La prolongation des dates de validité des certificats est un aménagement exceptionnel qui permettra à toutes les entreprises de rester qualifiées lors de la reprise de l'activité.Les audits programmés, ou à réaliser, sont logiquement reportés. Les entreprises concernées seront tenues informées des nouvelles dates d'audit, lorsqu'il sera possible de les reprogrammer. Leurs qualifications ne seront pas suspendues.Enfin, si cela s'avère nécessaire, les équipes de Qualifelec feront tout leur possible pour porter une attention particulière aux spécificités des "cas particuliers". Une garantie de qualité pour accompagner "la relance"Depuis sa naissance en 1955, Qualifelec est déterminé à agir pour l'amélioration continue de la filière électrique et énergétique. Nous apportons aux clients la meilleure garantie de satisfaction, de sécurité et de performance des installations. Dans la période qui s'annonce, cette mission s'avère d'autant plus nécessaire.En 2019, le gouvernement a témoigné de sa volonté d'accélérer les travaux de rénovation énergétique via des dispositifs financiers fortement incitatifs. Les pompes à chaleur ont ainsi fait l'objet d'une aide renforcée. Dans ce contexte, Qualifelec a un rôle à jouer pour lutter contre les travaux de mauvaise qualité et la fraude. L'année dernière, notre organisme de qualification a mené différentes actions dans ce sens : signature de la charte de qualité de l'AFPAC (Association française pour la pompe à chaleur), lutte contre le démarchage abusif de certaines plateformes téléphoniques, partenariat avec EDF pour favoriser des travaux de rénovation énergétique de qualité, etc.).Par ailleurs, Qualifelec s'engage à ce que ses entreprises qualifiées proposent systématiquement des contrats de maintenance des installations de Pompe à Chaleur à leurs clients. C'est le seul organisme de qualification à avoir créé un indice Maintenance dans sa qualification relative aux pompes à chaleur.A la reprise de l'activité, Qualifelec poursuivra sa mission pour protéger le consommateur en lui garantissant des travaux de rénovation énergétique de qualité, et ce, avec le souci de la performance dans la durée.En 2019, un travail de concertation avec les acteurs du marché nous a conduit à créer la mention Colonnes Montantes, désormais prescrite par Enedis (suite à une disposition de la loi Elan qui prévoit le transfert au réseau public de distribution d'électricité de l'ensemble des colonnes montantes, au plus tard le 23 novembre 2020). Au-delà de l'adaptation aux évolutions réglementaires, Qualifelec sait aussi accompagner les entreprises vers de nouveaux marchés, comme celui de la mobilité électrique (avec la mention Infrastructures de Recharge de Véhicules Electriques).A la reprise de l'activité, Qualifelec continuera de répondre aux enjeux liés aux nouveaux modèles de production et de consommation de l'électricité, à la transition énergétique, à l'intégration des technologies du numérique (pilotage des énergies, smart city, smart building...), en accompagnant la montée en compétence des professionnels sur des marchés à fort potentiel de développement, tout en maintenant l'exigence de qualité.« D'une ampleur inédite, la crise que nous traversons sera suivie d'une reprise de l'activité que nous espérons la plus dynamique possible, et ce, le plus rapidement possible. Qualifelec a été créé après-guerre, en pleine période de reconstruction du pays. Pour cette nouvelle période de relance, les professionnels du génie électrique et énergétique et leurs partie-prenantes doivent pouvoir s'appuyer sur une garantie fiable de qualité, de performance et de sécurité. Qualifelec accompagnera l'évolution de l'ensemble de la filière, notamment sur de nouveaux marchés. » - Yves Jalageas, Président de Qualifelec
Il y a 5 ans et 60 jours

Covid-19 : Le Groupe Enr'Cert plaide pour le maintien du Green Deal

Cette décision serait un non-sens sur le plan sanitaire, économique et environnemental. Santé et climat étant étroitement liés, le Green Deal doit rester au premier plan. Il est l'une des solutions à la sortie de crise.L'Union Européenne doit profiter de cette occasion unique pour établir une barrière carbone aux frontières de l'Europe, qui rendra tangible le coût environnemental de nos consommations.Ce changement de doctrine doit s'accompagner d'un soutien clair aux relocalisations et aux circuits courts. L'efficacité énergétique est l'un des meilleurs outils pour ce faire : elle rendra notre société plus économe, moins sensible aux fluctuations des prix de l'énergie et donc plus résiliente.L'efficacité énergétique est également un levier puissant pour nos entreprises qui, affaiblies par la crise actuelle, y verront un moyen de réduire leurs coûts tout en diminuant leur empreinte environnementale.Pour les ménages, c'est un gain de pouvoir d'achat qui pourra être réinvesti utilement au sein d'une économie davantage tournée vers le long-terme.La rénovation énergétique est également créatrice d'emplois non-délocalisables, impliquant des compétences et des niveaux de qualifications variés, et qui seront l'un des ingrédients de la relance.“La crise sanitaire doit être un catalyseur et non un frein en matière d'efficacité énergétique.” déclare Gaëtan THORAVAL, directeur général d'Enr'Cert.
Il y a 5 ans et 60 jours

Covid-19 : Grohe revoit sa production en Europe

Pour ses trois sites de fabrication allemands, les calendriers de production et les différentes installations ont été adaptés pour respecter les recommandations et directives officielles en matière d'hygiène et de sécurité du personnel.La production à Albergaria, au Portugal, est suspendue depuis le 30 mars 2020, en raison des dernières réglementations gouvernementales et de l'intensification de la situation dans cette région. Une reprise de l'activité est prévue pour le 12 avril 2020.Outre les usines européennes, le site de fabrication de Klaeng en Thaïlande suit également des procédures strictes, telles que des contrôles de température des employés, afin de garantir des normes d'hygiène et de sécurité.Avec ses nouvelles mesures, la marque GROHE veut préserver la sécurité et la santé de son personnel ainsi que soutenir les efforts mis en place pour contenir la pandémie. Sur tous les sites, les différentes mesures et réglementations sont constamment révisées et font l'objet d'ajustements si nécessaire.GROHE travaille en étroite collaboration avec ses partenaires commerciaux pour gérer les niveaux de stock dans toute la région EMENA, en tenant compte des circonstances et des exigences des différents marchés.« Avec la propagation du nouveau coronavirus à travers le monde, nous assistons à une situation sans précédent. Au cours des dernières semaines, l'impact s'est accru tant sur la société que sur l'économie. Compte tenu de la dynamique générale, nous avons dès le début évalué la conjoncture afin de déterminer les actions nécessaires. C'est maintenant que nous renforçons les mesures existantes pour mieux protéger nos employés », déclare Thomas Fuhr, directeur général de LIXIL International et de Grohe AG.
Il y a 5 ans et 60 jours

Quatre nouveaux revêtements de sol haut de gamme s'ajoutent à la collection MOSO® Bamboo Elite

MOSO® a également amélioré les fonctions techniques du revêtement de sol : une stabilité accrue avec une lame nettement plus large et un système de clic pour une installation facile en pose flottante. La gamme Bamboo Elite affirme ainsi son originalité, tout en conjuguant durabilité et esthétisme contemporain.Extra large pour créer un aspect luxueuxLe format XXL donne non seulement l'impression que les espaces sont plus spacieux, mais il apporte aussi une touche d'élégance supplémentaire. Les lames MOSO® Bamboo Elite Premium se démarquent aussi par ses grandes dimensions ; elles présentent une largeur de 190 mm, soit 31 mm de plus que les lames Bamboo Elite originales, qui sont déjà plus larges que la plupart des lames bambou disponibles sur le marché. Ce nouveau format de lame est rendu possible par la stabilité améliorée des couches intermédiaires de bambou lamellé croisé. MOSO® comprime les lamelles de bambou selon un processus de fabrication optimisé.Des couleurs et finitions tendances Les quatre nouvelles versions sont disponibles dans deux styles différents : Vertical et Density®. L'aspect naturel du revêtement de sol en bambou durable est accentué par un verni extra mate avec une légère pigmentation blanche. Bamboo Elite Premium est disponible dans les versions suivantes :À l'instar de tous les revêtements de sol MOSO®, une attention particulière a été accordée aux aspects environnementaux lors du développement des quatre nouveaux produits ; ces derniers sont déjà conformes à la nouvelle réglementation sur les émissions qui entrera en vigueur en Allemagne en 2020. Aux versions vernies Caramel et Naturel White, s'ajoute une finition huilée pour le style vertical Caramel. La collection Bamboo Elite est désormais disponible dans toutes les structures et couleurs de bambou : vertical, horizontal et Density®, Caramel et Naturel.Un sol en bambou massif répondant aux plus hautes exigences Bamboo Elite Premium Density® est très stable grâce à la structure symétrique d'une couche supérieure et inférieure de bambou Density®. La dureté Brinell élevée, allant jusqu'à 9,5 kg/mm² (EN 1534), lui confère une résistance à l'usure impressionnante : il est plus robuste que tout autre parquet en bois. Ainsi, a longue durée de vie des sols Bamboo Elite Premium est garantie 30 ans. Ces propriétés techniques sont complétées par la classe de feu particulièrement élevée allant jusqu'à Bfl-s1 (versions Density®, selon la norme EN 13501-1), ce qui rend le parquet Bamboo Elite Premium Density® spécialement adapté aux applications résidentielles, mais aussi aux applications commerciales telles que les bureaux, les restaurants et les magasins de détail. Grâce au système de clic, la pose flottante du revêtement de sol permet de gagner du temps. Lors de la pose sur un sol chauffant ou dans le secteur commercial, MOSO® recommande de coller entièrement le revêtement de sol sur le support.Écologique - plus qu'une simple déclaration L'écologie fait partie intégrante des valeurs de la société MOSO®. Le bambou Moso est une graminée qui atteint les caractéristiques du bois dur après une période de croissance d'environ 5 ans. Il peut être récolté pour être transformé. Pendant cette période, le bambou Moso croît six fois jusqu'à la maturité de la récolte. La plante ne meurt pas après la récolte ; sa culture ne provoque donc pas de déforestation. Le rapport ACV (Analyse du Cycle de Vie) réalisé par la TU Delft (ISO 14040/44) montre que Bamboo Elite Premium, évalué sur l'ensemble de son cycle de vie, est certifié CO2 neutre. Grâce à des résultats de tests supplémentaires et à sa disponibilité optionnelle en tant que revêtement de sol certifié FSC®, le sol en bambou massif contribue à l'évaluation des certifications de bâtiments durables telles que LEED et BREEAM.Prix public : 78 -98€/m² (sans TVA)