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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie CSTB

(1053 résultats)
Il y a 5 ans et 285 jours

Retour sur la Journée technique Fenêtres 2019 au CSTB Marne-la-Vallée

Photo : Florence JoubertLe CSTB a réuni sur son site de Marne-la-Vallée 70 professionnels de la filière pour la Journée technique Fenêtres. Ce rendez-vous annuel est destiné à présenter les nouveautés et principales évolutions dans le domaine de la certification des fenêtres, qui constitue un repère de qualité, de performance et de fiabilité des produits. Retardement à l'effraction, certification du processus de recyclage, validation des croquis de principes de mise en œuvre étaient notamment au cœur des échanges. Méthodes d'essais et performances de retard à l'effraction Plusieurs centaines de milliers de cambriolages de logements sont constatés chaque année et, pour un quart d'entre eux, les cambrioleurs sont passés par une fenêtre. La capacité d'un produit à résister à des tentatives d'entrée en force dans un local ou un espace protégé, en utilisant la force physique ou des outils prédéterminés, appelée « retardement à l'effraction », peut désormais être évaluée par les laboratoires du CSTB et intégrée à la certification des fenêtres : NF Fenêtres. Ces performances sont déterminées selon les normes européennes. Ce critère a pour objet d'assurer que la conception et la fabrication des fenêtres permet un retard de plusieurs minutes lors d'une tentative de pénétration par un cambrioleur. Pour se voir délivrer cette certification, les produits doivent répondre positivement à différents essais statiques, dynamiques et manuels dans les halles d'essais du CSTB. Par ailleurs, la vérification de la configuration testée est effectuée lors des audits de suivi dans le cadre de la certification NF Fenêtres, et les performances certifiées de retardement à l'effraction sont vérifiées à nouveau tous les 5 ans. En savoir plus : Certification Fenêtres et blocs-baies aluminium à rupture de pont thermique Certification Fenêtres et blocs-baies PVC Le recyclage des matières PVC dans les fenêtres désormais valorisé par une certification Les fenêtres PVC peuvent être recyclées et, depuis 2018, deux référentiels certifient la prise en compte du recyclage de matières PVC dans la conception des fenêtres : « QB 34 composition vinylique et sa fabrication pour profilés de fenêtres en PVC », qui a pour objet de vérifier la durabilité des matières PVC vierges, la qualité de la matière recyclée – utilisée au cœur du profilé – et le processus de fabrication de celle-ci. « NF 126 profilés de fenêtres en PVC », qui vise à garantir la qualité de conception et de fabrication, des profilés PVC. Ces certifications sont validées par des essais spécifiques menés en laboratoire, dans l'usine de fabrication, sur les caractéristiques mécaniques et la soudabilité, et permettent aux recycleurs de valoriser le retraitement de la matière PVC et de rassurer la filière sur la constance des caractéristiques techniques. Il est à noter qu'il n'est pas possible d'évaluer la durabilité de la matière retraitée. Elle est en effet issue d'un mélange de formulations, différent selon les lots réceptionnés. C'est pourquoi elle doit nécessairement être recouverte de matière vierge, élaborée à partir d'une composition certifiée qui en assure la durabilité. La certification du processus d'élaboration des matières PVC recyclées constitue une réelle avancée dans la mise en œuvre de l'économie circulaire concernant le marché des fenêtres PVC. Le CSTB lance une offre de validation des croquis de principes de mise en œuvre des fenêtres Les concepteurs, fabricants et installateurs sont fréquemment confrontés à des cas de figures spécifiques concernant la mise en œuvre des fenêtres, car ils ne peuvent pas toujours justifier certains aspects techniques absents des DTA (Document Technique d'Application) sur les chantiers. En effet, les plans de mises en œuvre conformes au DTU 36.5 (Document Technique Unifié relatif à la mise en œuvre des fenêtres) ne sont pas publiés dans le DTA et, si les plans de mises en œuvre spécifiques au système le sont, ils ne le sont pas de manière exhaustive, ce qui peut entraîner de la part des bureaux de contrôle un refus d'accepter la configuration de mise en œuvre. La solution pour remédier à cette situation et répondre au besoin des demandeurs réside dans la validation des plans types de mise en œuvre, développés et proposés par le CSTB dans un document spécifique, gage de conformité auprès des professionnels du bâtiment. C'est le moyen pour le professionnel de disposer d'un catalogue complet des différentes mises en œuvre qu'il sera amené à rencontrer sur les chantiers, lui permettant ainsi d'éviter les rejets et retards. Cette solution suppose bien évidemment de répondre à certaines exigences. Ainsi, le demandeur doit lui-même réaliser ses plans de mise en œuvre, qu'il soumet ensuite à l'instructeur du CSTB qui vérifie le respect des exigences. La mise en œuvre proposée doit faire partie du domaine d'emploi de la fenêtre prévu dans le DTA, tout comme les profilés principaux et la configuration annoncée (fenêtre seule ou sur allège, nombre de ventaux, etc.). Contact : Pour plus d'informations, contacter Yann Faisant : yann.faisant@cstb.fr / 01 64 68 83 72
Il y a 5 ans et 330 jours

Appel à manifestation d'intérêt Programme CEE PROFEEL RénoStandard

Recherche de terrains d'expérimentations et modèles de maisons individuelles standardisées Le CSTB, en partenariat avec l'Agence Nationale de l'Habitat (ANAH) et URBANIS, sont porteurs du projet RénoStandard, développé dans le cadre du programme PROFEEL, qui vise à développer l'innovation au service de la rénovation énergétique des bâtiments. PROFEEL est le fruit d'une mobilisation de 16 organisations professionnelles du bâtiment, qui se sont rassemblées pour contribuer collectivement à la réussite du Plan de Rénovation Énergétique des bâtiments, lancé par le gouvernement. Le projet RénoStandard : Démultiplier les prises de décisions sur la typologie des maisons individuelles standardisées Le projet RénoStandard vise à développer, concevoir et engager le déploiement de solutions « types » de réhabilitation, optimisées pour quelques gammes de maisons standardisées, notamment au sein du parc résidentiel privé. Ces solutions seront adaptées aux spécificités des logements à rénover. Par l'adjectif “standardisé”, il s'agit de logements pour lesquels il existe une forme de réplicabilité de la construction, du potentiel de transformation et des solutions de réhabilitation. L'amélioration de la performance énergétique et environnementale est clairement ciblée. Ces composantes sont cependant et évidemment à intégrer dans le cadre d'une approche globale, transverse de la réhabilitation et possiblement du développement d'une forme de préfabrication, d'où l'intérêt aussi pour la réplicabilité. Les acteurs concernés RénoStandard s'adresse à l'ensemble des professionnels au contact des particuliers dans le cadre du marché de la rénovation énergétique : aux opérateurs qui portent des offres de rénovation ou d'accompagnement à la rénovation, aux collectivités et aux acteurs des services publics qui œuvrent pour la rénovation des maisons individuelles, mais aussi, aux prescripteurs, aux assistants à maitrise d'ouvrage et aux maitres d'œuvre. Les résultats attendus Concevoir et déployer – pour quelques gammes de maisons individuelles standardisées – des solutions types de réhabilitation optimisées, possiblement dans une perspective de préfabrication. Construire l'adaptation des solutions types aux enjeux spécifiques des logements à réhabiliter et des attentes des occupants et des projets portés par les particuliers : offrir une « certaine gamme de sur-mesure » à partir de solutions « prêt-à-porter », à l'aide d'un diagnostic transverse du logement et d'outils d'aide à la décision (notamment numériques) ; Développer une approche transversale/multicritère du diagnostic et de la définition de solutions de réhabilitation énergétique. Évaluer les performances effectives des ouvrages. Initier le déploiement territorial de cette offre de réhabilitation énergétique, à partir de solutions types optimisées, sur le résidentiel diffus. Les conditions de l'AMI Le projet s'appuie sur deux Appels à Manifestation d'Intérêts (AMI) successifs : Juillet 2019 / AMI n°1 : Identification de maisons individuelles “standardisées” Attentes Nous recherchons des terrains d'expérimentations, chacun proposant un modèle type de maisons individuelles standardisées. Ces maisons d'un même modèle peuvent être regroupées à l'échelle d'un même quartier ou distribuées à une plus grande échelle territoriale. Les résultats du présent AMI n°1 constitueront la base de l'AMI n°2 : pour chacun des modèles de maisons individuelles standardisées qui aura été sélectionné, au moins une solution globale de réhabilitation énergétique sera conçue par un groupement, possiblement dans une perspective d'industrialisation, de préfabrication. Septembre 2019 / AMI n°2 : Solutions de réhabilitation globale et perspectives de pré-industrialisation, préfabrication Attentes Ce second AMI visera ainsi à identifier et accompagner plusieurs groupements, incluant potentiellement les types d'acteurs suivants : entreprises de pose, bureaux d'études, architectes, industriels, maîtrise d'œuvre, centres de R&D, conseiller territoriaux, entreprises de coordination d'acteurs, CMistes impliqués fortement dans la rénovation, etc. Ces groupements pourront bénéficier d'un accompagnement technique et financier de la part des équipes compétentes du CSTB et de ses partenaires. @CMIstes, industriels, architectes, bureaux d'études, entreprises spécialisées, conseillers territoriaux, cette démarche vous permet de proposer des maisons existantes « standardisées » pour lesquelles vous cherchez déjà à définir ou expérimenter des solutions de rénovation. Pour déposer votre candidature : Consulter le cadrage complet de l'AMI > Cadrage de l'AMI Compléter le formulaire > Formulaire de candidature Envoyer votre dossier complet avant le 31/08/2019 > à l'adresse suivante : renostandard_AMI1@cstb.fr Pour en savoir plus : Le projet RÉNOvation globale et amélioration énergétique de maisons individuelles STANDARDisées - Fiche Le programme Profeel – site Internet
Il y a 5 ans et 341 jours

Le Rapport d'activité 2018 du CSTB paraît aujourd'hui

Photo : Florence JoubertLe Rapport d'activité digital du CSTB présente les travaux et avancées notables de l'année 2018 à travers le prisme des enjeux stratégiques du secteur de la construction : valeur ajoutée de la pluridisciplinarité et de l'approche globale, prise en compte renforcée de la santé et du confort, accélération des transitions numérique et environnementale, approche évolutive de la maîtrise des risques et croissance de l'activité certification répondant aux nouvelles exigences de qualité des usagers. Les prises de parole de la direction générale, la présentation de projets et de partenariats, les interviews et témoignages vidéos de clients et d'experts du CSTB donnent une vision d'ensemble des travaux et de l'approche systémique développée par le CSTB. Découvrir le Rapport d'activité 2018 du CSTB
Il y a 6 ans et 6 jours

François Jallot nommé directeur Sécurité - Structures - Feu au CSTB

Photo : Nicolas RichezÉtienne Crépon, président du CSTB, confie à François Jallot la direction Sécurité - Structures - Feu. Fort d'une solide expérience dans les domaines de l'ingénierie de la construction et de la prévention des risques, François Jallot dirige la direction Sécurité - Structures - Feu, dont les activités s'appuient sur l'ensemble des métiers du CSTB : la Recherche et l'Expertise, l'Évaluation, les Essais, la Certification, la Diffusion des connaissances et la Formation. Il aura au cœur de ses missions le développement d'une approche globale de la sécurité du parc bâti, vis-à-vis des risques liés à la solidité des structures et à l'incendie. En savoir plus : Communiqué de presse, juin 2019
Il y a 6 ans et 7 jours

Maîtrisez les risques liés à l'humidité dans les bâtiments avec le CSTB

Les fabricants, prescripteurs, maîtres d'ouvrage, bailleurs sociaux recourent au CSTB pour étudier les phénomènes physiques induits par l'humidité dans les bâtiments et trouver une réponse adaptée à leur besoin. Grâce à son approche globale et pluridisciplinaire des enjeux et des phénomènes physiques, le CSTB définit avec vous la meilleure réponse à apporter à votre problématique : études, essais, formation, etc. Découvrez ou redécouvrez tous les domaines traités par le CSTB, au niveau du produit, de la paroi ou de l'ouvrage, en neuf ou en réhabilitation. L'accumulation d'eau peut entraîner des pathologies qui compromettent à la fois la durabilité des bâtiments neufs, existants et réhabilités, ainsi que la santé et le confort des occupants. Évaluer le potentiel de séchage ou le risque de condensation des constituants d'une enveloppe, vérifier l'absence de développement fongique dans les parois, modéliser les comportements thermo-aérauliques d'environnements fermés ou semi-fermés, sont quelques exemples qui illustrent les domaines dans lesquels le CSTB peut vous accompagner, au travers de ses prestations d'essais, d'expertise ou de formation. Le CSTB traite de nombreux sujets dans une logique d'intégration pluridisciplinaire à l'échelle des produits et procédés, des bâtiments dans leur environnement, les quartiers et les villes : confort, qualité de l'air intérieur, infestations biologiques, durabilité, transferts hygrothermiques, thermique, aéraulique. En savoir plus : L'expertise du CSTB sur la gestion des transferts d'humidité dans les bâtiments : transferts hygrothermiques, qualité d'air intérieur, infestations biologiques, aéraulique et confort Le MOOC sur le « Bâti existant et humidité : diagnostic avant réhabilitation » Le guide technique « Transferts d'humidité à travers les parois » publié par CSTB Éditions La formation « Identifier et traiter les pathologies de l'humidité dans les bâtiments » proposée par CSTB Formations La formation « Humidité et transferts hygrothermiques dans l'enveloppe des bâtiments » proposée par CSTB Formations
Il y a 6 ans et 18 jours

Impulse Partners et Sinteo lancent un accélérateur de start-up pour des Villes & Territoires circulaires, avec le soutien du CSTB

Impulse Partners et Sinteo, avec le soutien du CSTB, ont lancé le 1er accélérateur de start-up visant à soutenir le développement de l'économie circulaire dans les Villes et les Territoires dans le secteur Construction/Immobilier. Ce nouvel outil s'inscrit dans une démarche d'ouverture et d'échanges, au service des entreprises et des acteurs de la ville. Il permettra de faire émerger, expérimenter et déployer des solutions innovantes, imaginées par des start-up évoluant dans les domaines de la construction, l'aménagement, l'environnement, etc. En savoir plus : Communiqué de presse, mai 2019 Présentation de l'accélérateur de start-up Villes et Territoires circulaires L'accélérateur de start-up CSTB'Lab
Il y a 6 ans et 21 jours

Construction Bois et Sécurité Incendie

Soutenir les acteurs dans la conception et la réalisation de projets de construction bois. C'est tout l'intérêt du guide pratique élaboré par FCBA, CSTB et Ingénierie Bois Construction, avec la collaboration des professionnels. Financé par l'État, le Codifab et France Bois Forêt, ce guide facilite l'appropriation par chacun des textes techniques et réglementaires de la filière bois. Depuis une dizaine d'années en effet, les solutions progressent et de nombreux outils ont été mis au point. Il s'agit d'aider les acteurs à les identifier facilement selon leur besoin. Suite à la présentation, en octobre-novembre 2018, du « Guide des référentiels techniques » de la filière, baptisé depuis « BoisREF », le CSTB vous invite à deux nouvelles demi-journées techniques : « Sécurité Incendie », à partir du 21 mai 2019 (liste des sessions à Paris et en régions ci-dessous) et « DTU 31.2 et Enveloppes bois » (dates programmées ultérieurement en octobre-novembre 2019). Rdv pour découvrir l'outil BoisREF, la sécurité incendie dans la construction bois et échanger avec les participants de 14h à 17h 21 mai à Bordeaux 4 juin à Paris 11 juin à Nantes 19 juin à Epinal 4 juillet à Rumilly Inscrivez-vous en ligne Programme et invitation Pour toute question : pauline.anestbavoux@cstb.fr Le nouveau guide des référentiels techniques aide les acteurs à naviguer parmi les textes techniques et réglementaires existants, concernant les techniques courantes de la construction bois. Il s'adresse aux bureaux de contrôle, experts en assurance, ingénieurs en bureaux d'étude comme à tous les acteurs du bâtiment. Élaboré dans le cadre du Plan Bois III, ce guide contribue à lever les freins techniques et réglementaires à l'usage du bois dans la construction. Il s'inscrit dans la continuité des outils développés depuis 2010 dans le cadre des Plans Bois, sous l'égide de l'État, avec le pilotage du CSTB et FCBA et la collaboration de la filière professionnelle. Projet financé dans le cadre du Plan Bois III :
Il y a 6 ans et 41 jours

PROFEEL, programme d'innovation technique réunissant la filière Bâtiment pour la rénovation énergétique

François de Rugy, ministre d'État, ministre de la Transition écologique et solidaire, et Emmanuelle Wargon, secrétaire d'État auprès du ministre d'État, ministre de la Transition écologique et solidaire ont validé ce vendredi 26 avril 2019 la convention de mise en œuvre du programme PROFEEL, visant à développer l'innovation au service de la rénovation énergétique des bâtiments. Cette convention associe également Julien Denormandie, le ministre en charge de la Ville et du Logement, l'ADEME, les porteurs de projets (CSTB et AQC) et les financeurs. PROFEEL, programme de la Filière pour l'innovation en faveur des Economies d'Energies dans le bâtiment et le Logement, est le fruit d'une mobilisation de 16 organisations professionnelles du Bâtiment, qui se sont rassemblées pour contribuer collectivement à la réussite du Plan de Rénovation Énergétique des bâtiments, lancé il y a tout juste un an par le gouvernement. PROFEEL est lauréat de l'appel à programmes CEE lancé au printemps 2018 par le ministère de la Transition Ecologique et Solidaire. Il se compose de 9 projets concrets, portés par l'Agence Qualité Construction (AQC) et le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB). Les neufs actions thématiques et opérationnelles prévues vont notamment permettre de développer des protocoles de mesures de la performance réelle des rénovations, plus efficaces et moins couteux, ainsi que divers outils pratiques innovants à destination des professionnels du bâtiment : des applications numériques d'aide au diagnostic initial et à la décision dans la rénovation ou encore d'aide à la mise en place de procédures d'autocontrôle seront produites. Ces actions seront finalisées d'ici le mois de juin 2021. Le budget du programme est de 24,5 millions d'euros. Il est financé dans le cadre du dispositif des certificats d'économie d'énergie grâce à des contributions financières d'EDF (40%), TOTAL (30%), ENGIE (20%), ENI (5%) et CPCU Paris (5%). La présidence du programme PROFEEL a été confiée à Nadia Bouyer, investie depuis de nombreuses années sur les enjeux de la filière bâtiment et du logement. Quatre grandes ambitions sont à l'origine de cette démarche collective des organisations professionnelles, toutes membres du Conseil Supérieur de la Construction et de l'Efficacité Énergétique (CSCEE) : Promouvoir des usages intelligents pour des comportements responsables ; Renforcer la culture du résultat pour donner confiance aux citoyens et aux propriétaires d'immeubles en leur fournissant des éléments de résultats, techniques et économiques, liés aux performances à l'issue de travaux de rénovation ; Innover dans les process en s'appuyant sur le développement du numérique au service de la performance énergétique des bâtiments, de la qualité des ouvrages et des usages ; Développer des solutions pour la massification. Pour consulter les projets retenus, retrouvez le communiqué de presse en ligne. En savoir plus : Communiqué de presse du Ministère de la Transition écologique et solidaire Site dédié au programme Profeel pour suivre l'avancée des travaux
Il y a 6 ans et 53 jours

Six nouvelles start-up intègrent le CSTB’Lab

Le CSTB’Lab, l’accélérateur de start-up du CSTB, accueille six nouvelles sociétés sélectionnées par le jury réuni le 20 mars 2019 au CSTB, à Paris. Le thème de cette édition : la rénovation, sous tous ses aspects et toutes ses formes. Après instruction des dossiers par le CSTB’Lab et des experts du CSTB, neuf start-up ont été invitées à venir promouvoir leurs démarches et solutions devant le jury, tandis qu’une vingtaine avait fait acte de candidature. Les neuf start-up sélectionnées ont pu présenter leurs offres respectives et répondre aux questions du jury. Après délibération, six start-up ont finalement été retenues pour intégrer l’incubateur CSTB’Lab : Blokiwood, Data Soluce, e-cassini, Marianka, Up Factor et Ynergie. Elles seront ainsi accompagnées au plan scientifique et technique par le CSTB, à minima durant un an, pour consolider leurs projets, développer de nouvelles fonctionnalités et services et augmenter la valeur ajoutée de leur offre. Ces start-up s’ajoutent aux 15 entreprises innovantes bénéficiant déjà de l’appui du CSTB’Lab. Le jury, composé de membres de la direction et d’experts du CSTB, ainsi que de partenaires, se réunit une fois par trimestre. Les prochaines sessions programmées : « Qualité de l’air intérieur », le 4 juillet 2019 ; « Économie circulaire », le 22 octobre 2019 ; « Résilience des bâtiments face aux changements climatiques », le 13 décembre 2019. Découvrir la nouvelle promotion de start-up du CSTB’Lab : http://www.cstb-lab.fr/#actualites.
Il y a 6 ans et 67 jours

Le CSTB Paris accueille le forum Think Nature les 4 et 5 avril 2019

Le CSTB accueillera les 4 et 5 avril à Paris le forum du projet de recherche européen (H2020) Think Nature, dont il est partenaire aux côtés de : Avon Wildlife Trust, BiodivERsA, Book on a Tree, CNR ISAC, E2ARC, ECTP, European Dredging Association, Foundation for Research and Technology Hellas (FORTH), Global Infrastructure Basel Foundation (GIB), ISOCARP, KRITI, OPPLA, Technical University of Crete, University of Helsinki, University of Leeds. L'objectif du forum est de développer la connaissance, la diffusion et la mise en œuvre de solutions basées sur la nature (Nature-Based Solutions - NBS) favorisant l'adaptation au changement climatique et la résilience des villes. Les enjeux : comprendre les multiples bénéfices des solutions basées sur la nature, pour déployer des politiques intégrées de « renaturation urbaine », favorisant la résilience et l'adaptation au changement climatique des villes (inondations, îlots de chaleur, pollution, ambiances, etc.). Ce forum permettra d'identifier et d'analyser les leviers et les freins à leur mise en œuvre, à travers l'étude et la participation à la définition de la stratégie de résilience de la ville de Paris, en lien avec le réseau « 100 villes résilientes ». Il accompagnera aussi la mise en place d'un réseau d'acteurs œuvrant à la connaissance et au déploiement des NBS dans les politiques publiques. Le forum sera introduit par Nikolaos Nikolaidis, coordinateur du projet H2020 Think Nature et Julie Delcroix, membre de la Commission européenne. Le jeudi 4 avril au matin, la session plénière est centrée sur le thème « Approche holistique de gestion des risques et résilience » et trois sessions parallèles autour de la problématique : « Introduire la gestion des risques et la résilience grâce aux NBS ». L'après-midi, les échanges seront organisés autour des : « Solutions basées sur la nature : financement et modèle économique », tandis que les différentes sessions parallèles seront déclinées autour du thème : « Solutions basées sur la nature : financement, modèle économique et prise de décision ». Vendredi 5 avril au matin, les débats seront articulés autour de la problématique « La nature pour l'adaptation et l'atténuation du changement climatique » et les sessions parallèles porteront sur la thématique : « La nature peut-elle améliorer la résilience urbaine ? ». Les sessions parallèles se poursuivront dans l'après-midi avec des échanges axés sur : « La renaturation peut-elle contribuer à l'adaptation et au changement climatique et à son atténuation ? ». Enfin, la session plénière verra les échanges se focaliser sur la thématique « Adaptation au changement climatique, questions écologiques, qualité urbaine et bien-être ». Des experts du CSTB interviendront lors de certaines conférences sur des questions scientifiques et techniques clés. La conclusion sera portée par Pénélope Komitès, ajointe à la Maire de Paris. Le CSTB, partenaire du projet, a contribué à la mise en œuvre de la plateforme web www.think-nature.eu. Pluridisciplinaire et collaborative, elle porte la connaissance et la promotion des solutions de nature pour relever les défis environnementaux, sociaux, économiques des villes durables. Think Nature Les 4 & 5 avril 2019 au CSTB Paris 4, avenue du Recteur Poincaré 75016 Paris En savoir plus : www.think-nature.eu
Il y a 6 ans et 67 jours

Le CSTB accueille le forum Think Nature à Paris les 4 et 5 avril 2019

Le CSTB accueillera les 4 et 5 avril à Paris le forum du projet de recherche européen (H2020) Think Nature, dont il est partenaire aux côtés de : Avon Wildlife Trust, BiodivERsA, Book on a Tree, CNR ISAC, E2ARC, ECTP, European Dredging Association, Foundation for Research and Technology Hellas (FORTH), Global Infrastructure Basel Foundation (GIB), ISOCARP, KRITI, OPPLA, Technical University of Crete, University of Helsinki, University of Leeds. L'objectif du forum est de développer la connaissance, la diffusion et la mise en œuvre de solutions basées sur la nature (Nature-Based Solutions - NBS) favorisant l'adaptation au changement climatique et la résilience des villes. Les enjeux : comprendre les multiples bénéfices des solutions basées sur la nature, pour déployer des politiques intégrées de « renaturation urbaine », favorisant la résilience et l'adaptation au changement climatique des villes (inondations, îlots de chaleur, pollution, ambiances, etc.). Ce forum permettra d'identifier et d'analyser les leviers et les freins à leur mise en œuvre, à travers l'étude et la participation à la définition de la stratégie de résilience de la ville de Paris, en lien avec le réseau « 100 villes résilientes ». Il accompagnera aussi la mise en place d'un réseau d'acteurs œuvrant à la connaissance et au déploiement des NBS dans les politiques publiques. Le forum sera introduit par Nikolaos Nikolaidis, coordinateur du projet H2020 Think Nature et Julie Delcroix, membre de la Commission européenne. Le jeudi 4 avril au matin, la session plénière est centrée sur le thème « Approche holistique de gestion des risques et résilience » et trois sessions parallèles autour de la problématique : « Introduire la gestion des risques et la résilience grâce aux NBS ». L'après-midi, les échanges seront organisés autour des : « Solutions basées sur la nature : financement et modèle économique », tandis que les différentes sessions parallèles seront déclinées autour du thème : « Solutions basées sur la nature : financement, modèle économique et prise de décision ». Vendredi 5 avril au matin, les débats seront articulés autour de la problématique « La nature pour l'adaptation et l'atténuation du changement climatique » et les sessions parallèles porteront sur la thématique : « La nature peut-elle améliorer la résilience urbaine ? ». Les sessions parallèles se poursuivront dans l'après-midi avec des échanges axés sur : « La renaturation peut-elle contribuer à l'adaptation et au changement climatique et à son atténuation ? ». Enfin, la session plénière verra les échanges se focaliser sur la thématique « Adaptation au changement climatique, questions écologiques, qualité urbaine et bien-être ». Des experts du CSTB interviendront lors de certaines conférences sur des questions scientifiques et techniques clés. La conclusion sera portée par Pénélope Komitès, ajointe à la Maire de Paris. Le CSTB, partenaire du projet, a contribué à la mise en œuvre de la plateforme web www.think-nature.eu. Pluridisciplinaire et collaborative, elle porte la connaissance et la promotion des solutions de nature pour relever les défis environnementaux, sociaux, économiques des villes durables. Think Nature Les 4 & 5 avril 2019 au CSTB Paris 4, avenue du Recteur Poincaré 75016 Paris En savoir plus : www.think-nature.eu
Il y a 6 ans et 88 jours

Le CSTB participe à SiMSEO, le programme national d'accompagnement des TPE/PME à l'usage de la simulation numérique

Le CSTB a été retenu parmi les premiers éditeurs de solutions logicielles de simulation pour l'énergétique, l'environnemental, l'acoustique et le calcul de structures du bâtiment, dans le cadre du programme national français SiMSEO. Dans le cadre de l'Appel à Manifestation d'Intérêt « Diffusion de la simulation numérique dans l'industrie » du Programme Investissements d'Avenir, le Commissariat Général aux Investissements a confié à Teratec et GENCI la mise en œuvre du programme national SiMSEO permettant de diffuser l'usage de la simulation numérique au sein des petites et moyennes entreprises de l'industrie et du bâtiment. Un des objectifs du programme SiMSEO consiste à la mise à disposition d'offres de service sectorielles pour l'accès à la simulation numérique dans la filière BTP : conseil, aide à l'usage et expertise technique ; accès aux logiciels métiers et aux moyens de calcul en mode paiement à l'usage ; réalisation d'études spécifiques. Dès aujourd'hui, les TPE et PME bénéficient d'une subvention pouvant atteindre 50 % du tarif d'acquisition des offres de services du CSTB subventionnables par SiMSEO : logiciels de simulation, formations spécifiques à leur utilisation et prestations de services en R&D (la subvention est plafonnée à 10 K€ par entreprise). Cette offre est disponible jusqu'à épuisement de la dotation. Pour en savoir plus : Informations sur les conditions d'éligibilité et le détail des offres
Il y a 6 ans et 108 jours

Le CSTB lance CONTACT, sa lettre de communication externe

Photo : André Morin/Hérault ArnodDestinée aux acteurs de la filière construction et aménagement, CONTACT a vocation à valoriser l'excellence scientifique et technique du CSTB, soutenir le développement de ses activités et contribuer à son attractivité. Avec trois parutions numériques en 2019, chaque numéro de CONTACT sera structuré autour d'une thématique liée à un enjeu d'actualité, illustré par une sélection d'offres et de références du CSTB. Les différentes rubriques permettent de donner la parole aux experts du CSTB, à ses clients et partenaires, et de valoriser son expertise pluridisciplinaire autour de ses cinq activités clés : recherche et expertise, évaluation, certification, essais, et diffusion des connaissances. C'est le thème de la santé dans le bâtiment, qui est traité dans la première édition, présentant les enjeux, l'expertise et les offres du CSTB, comme l'amélioration de la qualité de l'air intérieur, la protection contre les contaminants fongiques, ou encore la gestion d'une crise socio-environnementale. Pour le second numéro de CONTACT, le BIM sera à l'honneur en prévision de BIM WORLD 2019, rendez-vous de tous les acteurs du BIM et de la maquette numérique, programmé à Paris, début avril. Découvrez CONTACT
Il y a 6 ans et 147 jours

Le CSTB vous souhaite une très belle année 2019 !

En 2019, les équipes du CSTB se mobilisent pour vous accompagner dans vos projets innovants et anticiper les bâtiments et la ville de demain. Bonne année 2019 !
Il y a 6 ans et 194 jours

Ondes dans les écoles, résultats du rapport émis par le CSTB

Le CSTB a été missionné par le ministère en charge de l'Environnement pour mener une campagne de mesure des ondes dans les écoles en France. Cette enquête s'inscrit dans le cadre du dispositif national de surveillance et de mesure de l'exposition des populations aux ondes électromagnétiques dans des lieux publics. Cette campagne spécifique avait pour objectifs de : contrôler la conformité de l'exposition des écoles aux valeurs limites réglementaires ; réaliser un état descriptif des niveaux d'exposition aux radiofréquences dans les écoles maternelles et élémentaires en France ; rechercher les déterminants de ces niveaux à partir des caractéristiques des bâtiments scolaires, de leur environnement et des émetteurs de radiofréquences situés autour des écoles. En savoir plus : Contexte, objectifs de la campagne Un échantillon de 298 écoles représentatif du parc d'écoles en France métropolitaine a été constitué grâce à la campagne nationale " écoles " (CNE) de l'Observatoire de la qualité de l'air intérieur (OQAI). Les mesures de radiofréquences ont été réalisées de septembre 2014 à novembre 2017. Les principales conclusions sont les suivantes : les niveaux de radiofréquences dans les écoles maternelles et élémentaires en France métropolitaine sont faibles et en-deçà des valeurs limites réglementaires ; les niveaux extérieurs moyens sont significativement plus élevés (0,40 V/m) que les niveaux moyens intérieurs (0,23 V/m) ; l'analyse détaillée des principaux contributeurs des niveaux intérieurs montre une différence entre les écoles en milieu rural et celles en milieu urbain : la téléphonie mobile est le contributeur principal de l'exposition détectée en milieu urbain, tandis que le Wifi et les services " hautes fréquences " sont les contributeurs principaux des radiofréquences détectées en milieu rural ; en milieu rural, une école sur deux ne présente pas de signal radiofréquence dans les bâtiments. En milieu urbain, une école sur trois ne présente pas de signal radiofréquence dans les bâtiments ; les niveaux intérieurs élevés de radiofréquences sont corrélés à la présence et au nombre d'émetteurs dans un rayon de 500 mètres autour de l'école. Le type de vitrage du bâtiment, simple ou double, influe également sur les niveaux intérieurs ; les niveaux sont plus faibles dans les bâtiments présentant un double vitrage. Les résultats ont été publiés sur le Portail interministériel Radiofréquences santé-environnement. En savoir plus : Campagne nationale de mesure des radiofréquences dans les écoles, rapport CSTB, 2018 Expertise Éclairage et électromagnétisme du CSTB Observatoire de la qualité de l'air intérieur (OQAI)
Il y a 6 ans et 216 jours

Rendez-vous avec le CSTB à Equipbaie 2018

Photo : Florence JoubertLe CSTB accompagne les acteurs dans leur mobilisation pour la qualité, la durabilité et le confort des bâtiments. Les équipes Baies et Vitrages et Sécurité, Structures, Feu du CSTB seront présentes du 20 au 23 novembre 2018 au salon international Equipbaie, à Paris Porte de Versailles. Elles vous accueilleront sur le stand du CSTB et vous feront découvrir les prestations et services en matière d'essais, d'évaluation, de certification, d'expertise et de formation. Rencontrez les équipes du CSTB au salon Equipbaie du 20 au 23 novembre 2018 à Paris, Porte de Versailles Rendez-vous : Hall 1, stand E66 Inscrivez-vous gratuitement avec le code EXH144216 sur le site Equipbaie Préparez votre visite et prenez rendez-vous avec les experts du CSTB : Contact : catherine.chiocarello@cstb.fr Contact pour les essais feu : eric.gallet@cstb.fr L'offre globale Baies et Vitrages Les équipes Baies et Vitrages exposeront leurs prestations d'évaluation, de certification, d'essais et de formation à la mise en "uvre. Dans le domaine des fenêtres, les nouveautés sont nombreuses : nouvelles certifications pour les renforts acier (QB), les profilés PVC de couleur (QB), généralisation du marquage global pour les fenêtres. Pour les fabricants de fenêtres, le CSTB propose de tester la résistance à l'effraction de leurs produits. En accompagnement de la maîtrise d'"uvre et des équipes de mise en "uvre, le CSTB propose des formations avec ses partenaires en région, TIPEE à La Rochelle et en Île-de-France avec les Compagnons du Devoir, à Champs-sur-Marne. L'offre globale en Sécurité incendie Les équipes Sécurité, Structures, Feu, seront présentes pour la première fois au salon Equipbaie pour présenter leurs prestations destinées aux fabricants mais aussi aux acteurs de la construction (bailleurs, MOA, MOE, bureaux d'études, etc.) : expertise et accompagnement sur chantier, prestations réglementaires, essais de développement et d'évaluation, reconduction de validité d'un Procès-Verbal, nouveau marquage CE des blocs-portes, formation. Découvrez aussi la gamme des " solutions logicielles métiers " innovantes, pour vous aider à répondre aux nouveaux enjeux énergétiques et environnementaux : ULYS Paroi vitrée, ULYS Ponts thermiques, Transol, Elodie, TRNSYS, eveBIM-TRNSYS, CYPETherm Cometh et SEDexpress ainsi que les ouvrages Sécurité Incendie. Rendez-vous sur Batipedia.com
Il y a 6 ans et 243 jours

CDC Habitat et le CSTB associent leurs expertises autour du logement

De gauche à droite : Sophie Moreau, directrice déléguée Recherche partenariale, CSTB ; Étienne Crépon, président du CSTB ; Sylvie Ravalet, directrice générale déléguée, CSTB ; Alain Cauchy, directeur du Patrimoine, CDC Habitat ; André Yché, président de CDC Habitat A l'occasion du 79ème Congrès HLM de l'Union Sociale pour l'Habitat, mardi 9 octobre à Marseille, CDC Habitat, filiale immobilière de la Caisse des Dépôts, et le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment, CSTB, ont engagé un partenariat de Recherche et Développement dédié au logement. Plusieurs thématiques clés pour le résidentiel, et au c"ur des enjeux de la construction, vont structurer ce partage d'expertise et de compétences. 3 sujets seront explorés dans un premier temps : le BIM pour la conception, la réalisation, la rénovation et l'exploitation des bâtiments, l'identification et l'analyse des coûts et gains associés au BIM, et la stratégie de gestion de patrimoine. D'autres thématiques viendront par la suite compléter ce programme de recherche, visant à faire progresser les connaissances en matière de construction, de rénovation et de gestion du parc résidentiel. En savoir plus : Communiqué de presse, CDC habitat-CSTB, octobre 2018
Il y a 6 ans et 248 jours

En coulisse du BIM d'Argent 2018 : la tour des Jardins de l'Arche à La Défense avec le CSTB

Primée BIM d'Argent 2018, la tour des Jardins de l'Arche à La Défense accueillera d'ici 2022 trois hôtels, des bureaux et un belvédère au sommet. Avec ses 54 étages sur 200 m de haut, ce projet est lauréat dans la catégorie des projets supérieurs à 40 000 m² en neuf. Sa principale originalité réside dans la réalisation, pilotée par le CSTB, d'une maquette physique imprimée en 3D, élaborée à partir de la maquette numérique du projet. Le CSTB a ensuite équipé ce modèle à échelle réduite (1/250ème) de 500 capteurs, puis a mené les tests de dimensionnement au vent des façades et de la structure, dans sa soufflerie atmosphérique à Nantes. Ces essais ont été essentiels pour optimiser la conception de la tour, et notamment sa partie haute (espace hôteliers), afin de la rendre agréable à vivre même en cas de grand vent. La Tour des Jardins de l'Arche sera construite à côté du stade U-Arena, à Nanterre, pour lequel le CSTB a également réalisé des essais au vent (dimensionnement et confort). Les Tours Hekla et Alto, projets nominés au BIM d'Or 2018, ont également été soumises à des tests aérodynamiques dans la soufflerie atmosphérique du CSTB. En savoir plus : Le Palmarès du BIM d'Or 2018, sur le site du Moniteur La soufflerie atmosphérique du CSTB L'offre Grands Ouvrages du CSTB
Il y a 6 ans et 248 jours

En coulisse du BIM d'Argent 2018 : la tour des Jardins de l'Arche à La Défense avec le CSTB

Primée BIM d'Argent 2018, la tour des Jardins de l'Arche à La Défense accueillera d'ici 2022 trois hôtels, des bureaux et un belvédère au sommet. Avec ses 54 étages sur 200 m de haut, ce projet est lauréat dans la catégorie des projets supérieurs à 40 000 m² en neuf. Sa principale originalité réside dans la réalisation, pilotée par le CSTB, d'une maquette physique imprimée en 3D, élaborée à partir de la maquette numérique du projet. Le CSTB a ensuite équipé ce modèle à échelle réduite (1/250ème) de 500 capteurs, puis a mené les tests de dimensionnement au vent des façades et de la structure, dans sa soufflerie atmosphérique à Nantes. Ces essais ont été essentiels pour optimiser la conception de la tour, et notamment sa partie haute (espace hôteliers), afin de la rendre agréable à vivre même en cas de grand vent. La Tour des Jardins de l'Arche sera construite à côté du stade U-Arena, à Nanterre, pour lequel le CSTB a également réalisé des essais au vent (dimensionnement et confort). Les Tours Hekla et Alto, projets nominés au BIM d'Or 2018, ont également été soumises à des tests aérodynamiques dans la soufflerie atmosphérique du CSTB. En savoir plus : Le Palmarès du BIM d'Or 2018, sur le site du Moniteur La soufflerie atmosphérique du CSTB L'offre Grands Ouvrages du CSTB
Il y a 6 ans et 248 jours

Connaître les référentiels pour construire en bois ? Le nouveau guide

Soutenir les acteurs dans la conception et la réalisation de projets de construction bois. C'est tout l'intérêt du guide pratique élaboré par FCBA, CSTB et Ingénierie Bois Construction, avec la collaboration des professionnels. Financé par l'Etat, le Codifab et France Bois Forêt, ce guide facilite l'appropriation par chacun des textes techniques et réglementaires de la filière bois. Depuis une dizaine d'années en effet, les solutions progressent et de nombreux outils ont été mis au point. Il s'agit d'aider les acteurs à les identifier facilement selon leur besoin. Le CSTB les invite à découvrir ce guide lors de Demi-journées Découverte. Elles se déroulent à partir du 15 octobre 2018 à Paris et en Province. Rdv pour découvrir l'outil et échanger avec les participants de 14h à 17h 15 octobre à Bordeaux 24 octobre à Paris 31 octobre à Epinal 6 Novembre à Rumilly 22 Novembre à Nantes Inscrivez-vous en ligne Programme et invitation Pour toute question : yahia.msaad@cstb.fr Le nouveau guide des référentiels techniques aide les acteurs à naviguer parmi les textes techniques et réglementaires existants, concernant les techniques courantes de la construction bois. Il s'adresse aux bureaux de contrôle, experts en assurance, ingénieurs en bureaux d'étude comme à tous les acteurs du bâtiment. Élaboré dans le cadre du Plan Bois III, ce guide contribue à lever les freins techniques et réglementaires à l'usage du bois dans la construction. Il s'inscrit dans la continuité des outils développés depuis 2010 dans le cadre des Plans Bois, sous l'égide de l'État, avec le pilotage du CSTB et FCBA et la collaboration de la filière professionnelle. Parmi ces outils, citons le Catalogue Construction Bois. Il réunit les recommandations professionnelles pour accompagner les acteurs dans la conception et la réalisation de constructions bois (neuf et rénovation). Projet financé dans le cadre du Plan Bois III
Il y a 6 ans et 252 jours

Le CSTB'Lab avec Impulse Partners et les start-up de l'innovation au Congrès USH

Rapprocher le monde de la Recherche et du Développement, les start-up des entreprises, les idées du marché. C'est la mission du CSTB'Lab qui accompagne les jeunes entrepreneurs dans l'innovation au service de la construction durable. Avec des start-up, qu'il soutient dans le développement de leur projet, le CSTB'Lab sera présent au Congrès USH 2018, dès le 9 octobre à Marseille. Ensemble, ils s'ouvrent aux acteurs du marché pour concevoir et construire le logement de demain. Venez partager une expérience, découvrir des talents, puiser dans la science de nouvelles idées. Rendez-vous au stand n° M09. Votre contact au CSTB'Lab : Pierre Mascloux pierre.mascloux@cstb.fr En savoir plus : Le CSTB'Lab Stand du CSTB'Lab, aux côtés d'Impulse Partner : N°M09 Congrès USH, du 9 au 11 octobre 2018 Parc Chanot, Marseille Village start-up Hall : 2 - Allée : M - Stand n° : M09 En savoir plus : Congrès USH 2018 Sur le stand M09, des start-up partenaires vous accueillent aux côtés du CSTB'Lab : Attestis : La preuve numérique Attestis protège les maîtres d'ouvrage des recours tardifs grâce à son système breveté. Celui-ci prouve en continu l'affichage du panneau de permis de construire. Nexelec : Les solutions de Nexelec analysent et comparent en temps réel, les mesures de température, humidité, fumée, CO ou CO2 au service des écosystèmes Smart Home et Smart Building. Cette approche novatrice permet aux opérateurs immobiliers de disposer de données fiables et à moindre coût pour améliorer l'efficacité énergétique des bâtiments tout en garantissant la sécurité et le confort des usagers. Seve-up : Seve Up développe une solution logicielle pour lier le BIM et ses données à la gestion de patrimoine. Celle-ci est fondée sur le développement de maquettes de références structurées, permettant de recevoir les données patrimoniales dans le système d'information client, et d'extracteurs de données permettant de réaliser la migration depuis les maquettes numériques dans le système d'information du Maître d'Ouvrage. Syscobat : Syscobat développe le projet B²R+ : système constructif hybride bois/béton, bio sourcé et bas carbone. Ce système léger est fabriqué sur mesure selon les contraintes du Maître d'Ouvrage ou du Maître d'"uvre (structurelles, thermiques, environnementales, Etc..). B²R+ est hautement performant, utilisable pour des maisons individuelles comme pour des immeubles de grande hauteur.
Il y a 6 ans et 262 jours

Si votre installateur ne vous conseille pas une fenêtre NF...

Campagne à découvrir 3ème semaine de septembre sur France 2, France 5 et BFM TV et sur une sélection de titres de la presse magazine professionnelle et décoration Le CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment), l'Institut technologique FCBA (Forêt, Cellulose, Bois-construction, Ameublement) et l'UFME (Union des Fabricants de Menuiseries), présentent la nouvelle campagne de communication dédiée aux fenêtres certifiées NF. Elle s'inscrit dans la continuité des précédentes campagnes développées depuis 2012 pour promouvoir les " Fenêtres NF ". La campagne TV et presse prend le parti de l'humour, en mettant en scène un vendeur et son client dans une scène décalée, illustrant les enjeux et bénéfices de l'isolation thermique et phonique pour les personnes qui achètent des fenêtres. Ce spot de 20 secondes permet de mettre en évidence les critères attendus pour obtenir la certification NF, gage de qualité pour des fenêtres sûres et performantes, qui isolent parfaitement du bruit, des courants d'air et du froid pour longtemps. Cette campagne 2018 s'appuie sur un plan media combinant la diffusion d'un spot sur les chaînes de France Télévisions " France 2 et France 5 " et BFM TV à des heures de grande audience, et une campagne en presse magazine parmi les principaux titres de la presse décoration/aménagement (Maison & Travaux, Maison créative, Système D). Disponible sur fenetres-nf.fr et sur les sites de l'UFME, de FCBA et du CSTB, le film publicitaire peut également être vu sur YouTube et partagé sur les réseaux sociaux. Pour plus d'information sur les fenêtres certifiées NF, nous vous invitons à consulter le site dédié www.fenetres-nf.fr. Contact CSTB : laurent.doffin@cstb.fr
Il y a 6 ans et 269 jours

AITF - CSTB : un partenariat au service de la construction, de l'aménagement et du développement des territoires

Le 14 septembre, à l'occasion d'un séminaire avec ses groupes de travail, l'Association des Ingénieurs Territoriaux de France - AITF, a engagé un partenariat avec le CSTB. Les deux acteurs associent ainsi leurs expertises et compétences pluridisciplinaires autour de divers enjeux de la construction, à l'échelle du bâtiment et des territoires. À travers ce partenariat, fondé sur le partage de connaissances techniques et les retours d'expériences, l'AITF et le CSTB souhaitent contribuer à faire progresser la sécurité et la qualité des bâtiments dans une logique d'économie raisonnée. En savoir plus : Communiqué de presse, septembre 2018
Il y a 6 ans et 276 jours

Citoyens, faites progresser la recherche scientifique sur la santé dans les logements

Tout équipement électrique peut créer dans son voisinage un champ électrique et un champ magnétique. Les champs magnétiques basses fréquences sont notamment émis par les installations du réseau de distribution électrique. Dans le cadre de sa mission d'évaluation et de prévention des risques, l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) renforce ses études sur l'impact de l'exposition des personnes à ces champs. Une condition est essentielle à leur qualité scientifique : s'appuyer sur des données indépendantes, fiables et précises. Pour cela, le CSTB a été mandaté par l'Anses pour réaliser des mesures de champs magnétiques basses fréquences dans des logements, situés dans des immeubles comportant un poste de transformation électrique. Aujourd'hui, le CSTB invite les particuliers volontaires à répondre à cet appel pour que des mesures puissent être réalisées de manière anonyme et gratuite dans leur logement. Le succès de cette campagne de mesures dépend de vous. Votre participation est cruciale pour garantir la qualité des conclusions scientifiques qui seront émises, et pour prévenir les risques sanitaires à long-terme. Améliorer votre cadre de vie représente un enjeu clé que nous partageons et soutenons par cette étude, dans l'intérêt de tous, aujourd'hui et demain. Vous ne savez pas si votre logement répond aux critères de l'étude ? Vous souhaitez participer, mais vous avez des questions ou des craintes ? Vous voulez réagir à cet appel ? Contactez magnet@cstb.fr Tél : 01 64 68 82 66 - 06 27 00 58 26 Brochure explicative : informations pour les volontaires Les mesures en bref Elles concernent les champs magnétiques basses fréquences (50Hz) Elles sont faites dans les appartements d'immeubles collectifs Elles sont gratuites Les résultats sont anonymes et exclusivement utilisés à des fins scientifiques Aucun résultat individuel ne sera publié En savoir plus : L'étude scientifique sur le site de l'Anses Les champs électromagnétiques et leur impact
Il y a 6 ans et 280 jours

PULSE à Eurosense 2018 : goûtez l'innovation !

Apprécier finement les caractéristiques sensorielles d'un aliment, d'un textile ou d'un espace public ? C'est mieux connaître la perception des utilisateurs vis-à-vis d'un produit ou d'une ambiance, pour améliorer la qualité de l'offre et proposer une expérience unique. Pour les acteurs du marché, le laboratoire PULSE du CSTB réalise un diagnostic scientifique innovant des sensations perçues par les usagers. Venez découvrir PULSE jusqu'au 5 septembre, sur le stand n° 5 du CSTB au salon Eurosense 2018 à Vérone (Italie). Cette 8è conférence internationale valorise la recherche et l'innovation dédiées à la perception sensorielle et à la relation consommateur, appliquées à des secteurs industriels variés " santé, cosmétique, agroalimentaire, automobile, bâtiment, etc. Lundi 3 à mercredi 5 septembre : Rencontrez les experts du CSTB et découvrez le laboratoire PULSE sur le stand n°5 au salon Eurosense, Centre des Congrès, Vérone (Italie). Infos pratiques PULSE en un clin d'"il A new pionneering human lab for Sensory Evaluation PULSE, for physiological and sensory measurements of products characteristics, G. Haese, A. Couzinet, CSTB, France. Lundi 3 et mardi 4 septembre, de 16h à 18h30 : Assistez à la présentation scientifique de la méthode PULSE conçue par le CSTB, avec Gwenaëlle Haese, ingénieur R&D. Poster scientifique An original approach for selecting a specific sensitive panel based on physiological measurements - Application to thermal perception, G. Haese, F. De Oliveira, A. Couzinet, CSTB, France. En savoir plus : Le Laboratoire PULSE du CSTB Contact : pulse@cstb.fr
Il y a 6 ans et 313 jours

" La modernisation de la soufflerie Jules Verne en 7 mois "

Elle est la seule au monde à soumettre composants de bâtiment et ouvrages de génie civil, véhicules automobiles et ferroviaires, éoliennes, ou engins et équipements industriels aux rigueurs climatiques les plus extrêmes. Température, pluie, vent, givre, neige, sable, chaleur, poussière, etc. La soufflerie Jules Verne du CSTB, infrastructure de recherche internationale dans la simulation climatique à échelle réelle, s'adapte aux enjeux émergents pour mieux accompagner les acteurs dans leurs projets scientifiques et industriels. Les travaux initiés dans la soufflerie en juin 2018, représentent un investissement ambitieux porté par le CSTB avec le soutien de la région Pays de la Loire et le fonds européen FEDER. La soufflerie s'agrandit, de nouveaux équipements sont installés, la convergence des approches numérique et expérimentale se déploie, les espaces dédiés aux clients et partenaires se renouvèlent. Renforcée par ce chantier d'envergure, la soufflerie Jules Verne réouvrira toutes ses portes début 2019. La modernisation de Jules Verne mobilise des fonds régionaux, nationaux et internationaux pour offrir aux acteurs de l'innovation et de la recherche une infrastructure de pointe, apte à relever les défis techniques et scientifiques liés aux transitions écologique, énergétique et numérique. Aux côtés de la région Pays de la Loire et des acteurs régionaux, le CSTB participe à la mise en place et au développement des filières économiques, scientifiques et productives locales. En lien avec les pouvoirs publics français, les chercheurs européens H2020, et au-delà avec plusieurs laboratoires internationaux exceptionnels, au Canada, au Japon ou en Russie par exemple, le CSTB renforce son engagement dans l'anticipation des nouveaux enjeux. Construction, énergies nouvelles, transports intelligents, innovations numériques pour le bâtiment et la ville, végétalisation des espaces, sécurité et qualité des ambiances exposées aux aléas climatiques. La soufflerie Jules Verne se modernise pour mieux accueillir acteurs locaux et étrangers, publics et privés, au service des solutions de demain. L'adaptation de la soufflerie climatique Jules Verne, c'est aussi le ressourcement scientifique du CSTB dans la prévention et la gestion des risques majeurs, dans la santé et le confort des lieux de vie, dans la performance globale des projets, et " c'est stratégique " dans l'intégration des approches numérique et expérimentale. L'approche combinée constitue aujourd'hui un levier essentiel pour obtenir des résultats fins et didactiques. L'expérience client s'enrichit par exemple, grâce à la visualisation en temps réel et en 3D, des phénomènes aérodynamiques, des mesures et de leurs impacts. Le programme, au nom de code JV.2.0, développe spécifiquement la convergence des démarches physiques et numériques... Rendez-vous à l'automne prochain pour découvrir et suivre cette transformation ! Contact : cape@cstb.fr
Il y a 6 ans et 313 jours

" La modernisation de la soufflerie Jules Verne en 7 mois "

Elle est la seule au monde à soumettre composants de bâtiment et ouvrages de génie civil, véhicules automobiles et ferroviaires, éoliennes, ou engins et équipements industriels aux rigueurs climatiques les plus extrêmes. Température, pluie, vent, givre, neige, sable, chaleur, poussière, etc. La soufflerie Jules Verne du CSTB, infrastructure de recherche internationale dans la simulation climatique à échelle réelle, s'adapte aux enjeux émergents pour mieux accompagner les acteurs dans leurs projets scientifiques et industriels. Les travaux initiés dans la soufflerie en juin 2018, représentent un investissement ambitieux porté par le CSTB avec le soutien de la région Pays de la Loire et le fonds européen FEDER. La soufflerie s'agrandit, de nouveaux équipements sont installés, la convergence des approches numérique et expérimentale se déploie, les espaces dédiés aux clients et partenaires se renouvèlent. Renforcée par ce chantier d'envergure, la soufflerie Jules Verne réouvrira toutes ses portes début 2019. La modernisation de Jules Verne mobilise des fonds régionaux, nationaux et internationaux pour offrir aux acteurs de l'innovation et de la recherche une infrastructure de pointe, apte à relever les défis techniques et scientifiques liés aux transitions écologique, énergétique et numérique. Aux côtés de la région Pays de la Loire et des acteurs régionaux, le CSTB participe à la mise en place et au développement des filières économiques, scientifiques et productives locales. En lien avec les pouvoirs publics français, les chercheurs européens H2020, et au-delà avec plusieurs laboratoires internationaux exceptionnels, au Canada, au Japon ou en Russie par exemple, le CSTB renforce son engagement dans l'anticipation des nouveaux enjeux. Construction, énergies nouvelles, transports intelligents, innovations numériques pour le bâtiment et la ville, végétalisation des espaces, sécurité et qualité des ambiances exposées aux aléas climatiques. La soufflerie Jules Verne se modernise pour mieux accueillir acteurs locaux et étrangers, publics et privés, au service des solutions de demain. L'adaptation de la soufflerie climatique Jules Verne, c'est aussi le ressourcement scientifique du CSTB dans la prévention et la gestion des risques majeurs, dans la santé et le confort des lieux de vie, dans la performance globale des projets, et " c'est stratégique " dans l'intégration des approches numérique et expérimentale. L'approche combinée constitue aujourd'hui un levier essentiel pour obtenir des résultats fins et didactiques. L'expérience client s'enrichit par exemple, grâce à la visualisation en temps réel et en 3D, des phénomènes aérodynamiques, des mesures et de leurs impacts. Le programme, au nom de code JV.2.0, développe spécifiquement la convergence des démarches physiques et numériques... Rendez-vous à l'automne prochain pour découvrir et suivre cette transformation ! Contact : cape@cstb.fr
Il y a 6 ans et 314 jours

Construire haut face à la Méditerranée : quelles exigences de stabilité et de confort ?

Les conditions climatiques du littoral méditerranéen, caractérisées notamment par des vents de mer et de terre, doivent être prises en compte lors d'une opération de construction. Le CSTB a accompagné la conception de tours de 100 mètres de haut, ou plus, pour accueillir logements, bureaux et services sur un littoral très prisé mais contraint par la rareté du foncier. Il a mis son expertise aérodynamique au service de constructions sur la Côte d'Azur pour assurer leur stabilité et leur confort au vent. Une obligation pour assurer la pérennité du bâti et la sécurité des personnes. Une exigence également pour offrir des balcons et terrasses agréables à vivre, et éviter les couloirs de vent au pied de la tour notamment. Contexte climatique local Les espaces côtiers sur le littoral méditerranéen sont caractérisés par leur ouverture sur la mer et par leur relief " jusqu'à 1000 mètres de haut. À certains endroits, celui-ci plonge directement dans la mer, comme à Monaco. Le vent, qu'il vienne de la mer ou du nord (mistral, tramontane) est conditionné par ces montagnes, et le bâtiment, selon son emplacement, est protégé ou non par son environnement. Avec ce relief escarpé de la Côte d'Azur, chacun peut en quelques dizaines de mètres se sentir tout à fait abrité ou, au contraire, très exposé au vent. Le CSTB étudie précisément le double impact du vent et de la topographie sur les bâtiments, et notamment sur les tours qui par leur hauteur sont particulièrement exposées aux aléas climatiques. Par son expertise dans le domaine aérodynamique, il accompagne les bureaux d'étude et les constructeurs dans le dimensionnement optimisé des Immeubles de Grande Hauteur, au niveau des structures et des façades. Tout l'enjeu réside dans la justesse des données d'entrée et leur analyse pour soutenir une conception sur-mesure. Premier immeuble de grande hauteur à voir le jour sur les quais d'Arenc, dans la cité phocéenne, la tour La Marseillaise recevra ses premiers occupants à la fin de l'été 2018. Le CSTB a accompagné la conception de cette nouvelle tour de bureaux, ainsi que celle de projets résidentiels monégasques comme la tour Testimonio II dont l'ouverture est prévue en 2020. Stabilité et confort au vent Stabilité au vent de la tour. C'est le premier objet des études aérodynamiques du CSTB pour assurer la sécurité et la pérennité d'un immeuble de grande hauteur. Pour la tour la Marseillaise par exemple, le travail d'optimisation de la structure s'est concentré sur le noyau de la tour, réalisé en béton, pour éviter l'inconfort des occupants en cas de grand vent. L'impression de " mal de mer " peut notamment intervenir dans les étages les plus élevés à cause des déplacements en tête de tour, si le vent est fort. Pour la tour Testimonio II, la présence de balcons face à la mer à tous les étages (25), a nécessité de vérifier le confort au vent des occupants tout au long de l'année. De même, lorsque le CSTB a travaillé pour la tour Odéon, à Monaco, il a contribué au dimensionnement optimisé des voiles acrotères* en verre, bordant la terrasse du dernier étage (170 m), afin de garantir le confort de ses utilisateurs. Enfin, c'est au pied de la tour que l'attention se porte. Plus la tour est haute, plus elle va aller " chercher " du vent en hauteur pour le rabattre en pied de tour. Les piétons sont alors soumis à un vent ayant la force de celui qui souffle à la cime de l?édifice. Cet effet peut être accentué par la promiscuité d'autres immeubles de grandes hauteurs. Des aménagements végétalisés protègent les piétons de ces couloirs de vent. Expertise aérodynamique Pour mener son étude aérodynamique, l'approche spécifique du CSTB consiste, en première étape, à réaliser une rose des vents typique de chaque site, où se situe le futur bâtiment. À partir des données recueillies dans la station météo la plus proche, et d'un relevé topographique de la région, le CSTB met au point une cartographie climatique précise. Ainsi il tient compte du relief, des zones densément bâties et des forêts pour estimer le niveau de vent, qui impacte la façade et la structure du bâtiment. L'approche par simulation numérique et expérimentale combinée, permet ensuite aux équipes du CSTB de caractériser finement les pressions exercées sur l'ouvrage. Le CSTB met en "uvre un essai en soufflerie atmosphérique, qui permet de mesurer les efforts de pointe que subit un ouvrage pendant une tempête. Concrètement, le futur ouvrage, reproduit sur maquette réduite, est testé dans son environnement proche (rayon de 400 à 500 mètres). La simulation numérique est complémentaire. Elle permet en amont de préparer l'essai (pré-dimensionner les sollicitations aérodynamiques, définir la métrologie, etc.). En aval, elle offre une représentation très didactique des écoulements du vent, et facilite l'analyse des données recueillies en soufflerie. Cette méthode est appliquée par le CSTB de manière spécifique à chaque projet. Dès la phase conception et jusqu'à la pose de la dernière pierre, le CSTB accompagne les acteurs dans l'optimisation du projet. En savoir plus : L'expertise Grands Ouvrages du CSTB L'expertise Aérodynamique du CSTB * acrotère désigne ici un muret masquant un toit plat ou une terrasse.
Il y a 6 ans et 314 jours

Construire haut face à la Méditerranée : quelles exigences de stabilité et de confort ?

Les conditions climatiques du littoral méditerranéen, caractérisées notamment par des vents de mer et de terre, doivent être prises en compte lors d'une opération de construction. Le CSTB a accompagné la conception de tours de 100 mètres de haut, ou plus, pour accueillir logements, bureaux et services sur un littoral très prisé mais contraint par la rareté du foncier. Il a mis son expertise aérodynamique au service de constructions sur la Côte d'Azur pour assurer leur stabilité et leur confort au vent. Une obligation pour assurer la pérennité du bâti et la sécurité des personnes. Une exigence également pour offrir des balcons et terrasses agréables à vivre, et éviter les couloirs de vent au pied de la tour notamment. Contexte climatique local Les espaces côtiers sur le littoral méditerranéen sont caractérisés par leur ouverture sur la mer et par leur relief " jusqu'à 1000 mètres de haut. À certains endroits, celui-ci plonge directement dans la mer, comme à Monaco. Le vent, qu'il vienne de la mer ou du nord (mistral, tramontane) est conditionné par ces montagnes, et le bâtiment, selon son emplacement, est protégé ou non par son environnement. Avec ce relief escarpé de la Côte d'Azur, chacun peut en quelques dizaines de mètres se sentir tout à fait abrité ou, au contraire, très exposé au vent. Le CSTB étudie précisément le double impact du vent et de la topographie sur les bâtiments, et notamment sur les tours qui par leur hauteur sont particulièrement exposées aux aléas climatiques. Par son expertise dans le domaine aérodynamique, il accompagne les bureaux d'étude et les constructeurs dans le dimensionnement optimisé des Immeubles de Grande Hauteur, au niveau des structures et des façades. Tout l'enjeu réside dans la justesse des données d'entrée et leur analyse pour soutenir une conception sur-mesure. Premier immeuble de grande hauteur à voir le jour sur les quais d'Arenc, dans la cité phocéenne, la tour La Marseillaise recevra ses premiers occupants à la fin de l'été 2018. Le CSTB a accompagné la conception de cette nouvelle tour de bureaux, ainsi que celle de projets résidentiels monégasques comme la tour Testimonio II dont l'ouverture est prévue en 2020. Stabilité et confort au vent Stabilité au vent de la tour. C'est le premier objet des études aérodynamiques du CSTB pour assurer la sécurité et la pérennité d'un immeuble de grande hauteur. Pour la tour la Marseillaise par exemple, le travail d'optimisation de la structure s'est concentré sur le noyau de la tour, réalisé en béton, pour éviter l'inconfort des occupants en cas de grand vent. L'impression de " mal de mer " peut notamment intervenir dans les étages les plus élevés à cause des déplacements en tête de tour, si le vent est fort. Pour la tour Testimonio II, la présence de balcons face à la mer à tous les étages (25), a nécessité de vérifier le confort au vent des occupants tout au long de l'année. De même, lorsque le CSTB a travaillé pour la tour Odéon, à Monaco, il a contribué au dimensionnement optimisé des voiles acrotères* en verre, bordant la terrasse du dernier étage (170 m), afin de garantir le confort de ses utilisateurs. Enfin, c'est au pied de la tour que l'attention se porte. Plus la tour est haute, plus elle va aller " chercher " du vent en hauteur pour le rabattre en pied de tour. Les piétons sont alors soumis à un vent ayant la force de celui qui souffle à la cime de l?édifice. Cet effet peut être accentué par la promiscuité d'autres immeubles de grandes hauteurs. Des aménagements végétalisés protègent les piétons de ces couloirs de vent. Expertise aérodynamique Pour mener son étude aérodynamique, l'approche spécifique du CSTB consiste, en première étape, à réaliser une rose des vents typique de chaque site, où se situe le futur bâtiment. À partir des données recueillies dans la station météo la plus proche, et d'un relevé topographique de la région, le CSTB met au point une cartographie climatique précise. Ainsi il tient compte du relief, des zones densément bâties et des forêts pour estimer le niveau de vent, qui impacte la façade et la structure du bâtiment. L'approche par simulation numérique et expérimentale combinée, permet ensuite aux équipes du CSTB de caractériser finement les pressions exercées sur l'ouvrage. Le CSTB met en "uvre un essai en soufflerie atmosphérique, qui permet de mesurer les efforts de pointe que subit un ouvrage pendant une tempête. Concrètement, le futur ouvrage, reproduit sur maquette réduite, est testé dans son environnement proche (rayon de 400 à 500 mètres). La simulation numérique est complémentaire. Elle permet en amont de préparer l'essai (pré-dimensionner les sollicitations aérodynamiques, définir la métrologie, etc.). En aval, elle offre une représentation très didactique des écoulements du vent, et facilite l'analyse des données recueillies en soufflerie. Cette méthode est appliquée par le CSTB de manière spécifique à chaque projet. Dès la phase conception et jusqu'à la pose de la dernière pierre, le CSTB accompagne les acteurs dans l'optimisation du projet. En savoir plus : L'expertise Grands Ouvrages du CSTB L'expertise Aérodynamique du CSTB * acrotère désigne ici un muret masquant un toit plat ou une terrasse.
Il y a 6 ans et 314 jours

Construire haut face à la Méditerranée : quelles exigences de stabilité et de confort ?

Les conditions climatiques du littoral méditerranéen, caractérisées notamment par des vents de mer et de terre, doivent être prises en compte lors d'une opération de construction. Le CSTB a accompagné la conception de tours de 100 mètres de haut, ou plus, pour accueillir logements, bureaux et services sur un littoral très prisé mais contraint par la rareté du foncier. Il a mis son expertise aérodynamique au service de constructions sur la Côte d'Azur pour assurer leur stabilité et leur confort au vent. Une obligation pour assurer la pérennité du bâti et la sécurité des personnes. Une exigence également pour offrir des balcons et terrasses agréables à vivre, et éviter les couloirs de vent au pied de la tour notamment. Contexte climatique local Les espaces côtiers sur le littoral méditerranéen sont caractérisés par leur ouverture sur la mer et par leur relief " jusqu'à 1000 mètres de haut. À certains endroits, celui-ci plonge directement dans la mer, comme à Monaco. Le vent, qu'il vienne de la mer ou du nord (mistral, tramontane) est conditionné par ces montagnes, et le bâtiment, selon son emplacement, est protégé ou non par son environnement. Avec ce relief escarpé de la Côte d'Azur, chacun peut en quelques dizaines de mètres se sentir tout à fait abrité ou, au contraire, très exposé au vent. Le CSTB étudie précisément le double impact du vent et de la topographie sur les bâtiments, et notamment sur les tours qui par leur hauteur sont particulièrement exposées aux aléas climatiques. Par son expertise dans le domaine aérodynamique, il accompagne les bureaux d'étude et les constructeurs dans le dimensionnement optimisé des Immeubles de Grande Hauteur, au niveau des structures et des façades. Tout l'enjeu réside dans la justesse des données d'entrée et leur analyse pour soutenir une conception sur-mesure. Premier immeuble de grande hauteur à voir le jour sur les quais d'Arenc, dans la cité phocéenne, la tour La Marseillaise recevra ses premiers occupants à la fin de l'été 2018. Le CSTB a accompagné la conception de cette nouvelle tour de bureaux, ainsi que celle de projets résidentiels monégasques comme la tour Testimonio II dont l'ouverture est prévue en 2020. Stabilité et confort au vent Stabilité au vent de la tour. C'est le premier objet des études aérodynamiques du CSTB pour assurer la sécurité et la pérennité d'un immeuble de grande hauteur. Pour la tour la Marseillaise par exemple, le travail d'optimisation de la structure s'est concentré sur le noyau de la tour, réalisé en béton, pour éviter l'inconfort des occupants en cas de grand vent. L'impression de " mal de mer " peut notamment intervenir dans les étages les plus élevés à cause des déplacements en tête de tour, si le vent est fort. Pour la tour Testimonio II, la présence de balcons face à la mer à tous les étages (25), a nécessité de vérifier le confort au vent des occupants tout au long de l'année. De même, lorsque le CSTB a travaillé pour la tour Odéon, à Monaco, il a contribué au dimensionnement optimisé des voiles acrotères* en verre, bordant la terrasse du dernier étage (170 m), afin de garantir le confort de ses utilisateurs. Enfin, c'est au pied de la tour que l'attention se porte. Plus la tour est haute, plus elle va aller " chercher " du vent en hauteur pour le rabattre en pied de tour. Les piétons sont alors soumis à un vent ayant la force de celui qui souffle à la cime de l?édifice. Cet effet peut être accentué par la promiscuité d'autres immeubles de grandes hauteurs. Des aménagements végétalisés protègent les piétons de ces couloirs de vent. Expertise aérodynamique Pour mener son étude aérodynamique, l'approche spécifique du CSTB consiste, en première étape, à réaliser une rose des vents typique de chaque site, où se situe le futur bâtiment. À partir des données recueillies dans la station météo la plus proche, et d'un relevé topographique de la région, le CSTB met au point une cartographie climatique précise. Ainsi il tient compte du relief, des zones densément bâties et des forêts pour estimer le niveau de vent, qui impacte la façade et la structure du bâtiment. L'approche par simulation numérique et expérimentale combinée, permet ensuite aux équipes du CSTB de caractériser finement les pressions exercées sur l'ouvrage. Le CSTB met en "uvre un essai en soufflerie atmosphérique, qui permet de mesurer les efforts de pointe que subit un ouvrage pendant une tempête. Concrètement, le futur ouvrage, reproduit sur maquette réduite, est testé dans son environnement proche (rayon de 400 à 500 mètres). La simulation numérique est complémentaire. Elle permet en amont de préparer l'essai (pré-dimensionner les sollicitations aérodynamiques, définir la métrologie, etc.). En aval, elle offre une représentation très didactique des écoulements du vent, et facilite l'analyse des données recueillies en soufflerie. Cette méthode est appliquée par le CSTB de manière spécifique à chaque projet. Dès la phase conception et jusqu'à la pose de la dernière pierre, le CSTB accompagne les acteurs dans l'optimisation du projet. En savoir plus : L'expertise Grands Ouvrages du CSTB L'expertise Aérodynamique du CSTB * acrotère désigne ici un muret masquant un toit plat ou une terrasse.
Il y a 6 ans et 329 jours

Le CSTB publie son Rapport d'activité 2017

Dans son Rapport d'activité, le CSTB brosse l'année 2017 et ses perspectives au travers d'interviews stratégiques, de faits marquants et d'enjeux thématiques. Ils illustrent la transformation numérique du bâtiment et de la ville, le dynamisme des acteurs engagés dans l'innovation et l'exigence de résultats, les avancées concrètes pour améliorer le cadre de vie des citoyens. Découvrez cette mise en perspective du secteur de la construction directement en ligne.  
Il y a 6 ans et 329 jours

Le CSTB publie son Rapport d'activité 2017

Dans son Rapport d'activité, le CSTB brosse l'année 2017 et ses perspectives au travers d'interviews stratégiques, de faits marquants et d'enjeux thématiques. Ils illustrent la transformation numérique du bâtiment et de la ville, le dynamisme des acteurs engagés dans l'innovation et l'exigence de résultats, les avancées concrètes pour améliorer le cadre de vie des citoyens. Découvrez cette mise en perspective du secteur de la construction directement en ligne.  
Il y a 6 ans et 340 jours

Partenariat de recherche entre le SID et le CSTB : premiers retours d'expérience, enseignements & perspectives de l'expérimentation BIM

Le 4 juillet 2018, le ministère des Armées, représenté par le Service d'Infrastructure de la Défense (SID), et le CSTB ont présenté les premières avancées des travaux qu'ils mènent ensemble autour de l'expérimentation du BIM, dans le cadre d'un partenariat de Recherche engagé depuis 2016. Ces premiers résultats ont permis au SID d'approfondir des réflexions fondamentales à différents niveaux de sa stratégie de gestion du patrimoine : construction, exploitation et maintenance des infrastructures, organisation des compétences métiers et ressources internes, etc. Des avancées qui le confortent également dans sa vision du BIM : un outil au service des pratiques, plaçant l'Humain au c"ur des projets. Au-delà, cette collaboration s'inscrit pleinement dans les programmes de Recherche du CSTB, dédiés au numérique. Les différentes actions engagées contribuent à améliorer les compétences, process et savoir-faire au service du bâtiment, de l'aménagement urbain et de la ville intelligente. Deux vastes projets, conduits pendant cette première phase de partenariat, illustrent plus spécifiquement ces avancées : l'adaptation des outils BIM aux différents métiers et usages, avec le laboratoire d'analyses de surveillance et d'expertise de la Marine (LASEM) ; et l'expérimentation des outils numériques pour l'existant, avec le Camp des Matelots à Versailles. En savoir plus : Communiqué de presse, juillet 2018 L'expertise Numérique du CSTB
Il y a 6 ans et 340 jours

Partenariat de recherche entre le SID et le CSTB : premiers retours d'expérience, enseignements & perspectives de l'expérimentation BIM

Le 4 juillet 2018, le ministère des Armées, représenté par le Service d'Infrastructure de la Défense (SID), et le CSTB ont présenté les premières avancées des travaux qu'ils mènent ensemble autour de l'expérimentation du BIM, dans le cadre d'un partenariat de Recherche engagé depuis 2016. Ces premiers résultats ont permis au SID d'approfondir des réflexions fondamentales à différents niveaux de sa stratégie de gestion du patrimoine : construction, exploitation et maintenance des infrastructures, organisation des compétences métiers et ressources internes, etc. Des avancées qui le confortent également dans sa vision du BIM : un outil au service des pratiques, plaçant l'Humain au c"ur des projets. Au-delà, cette collaboration s'inscrit pleinement dans les programmes de Recherche du CSTB, dédiés au numérique. Les différentes actions engagées contribuent à améliorer les compétences, process et savoir-faire au service du bâtiment, de l'aménagement urbain et de la ville intelligente. Deux vastes projets, conduits pendant cette première phase de partenariat, illustrent plus spécifiquement ces avancées : l'adaptation des outils BIM aux différents métiers et usages, avec le laboratoire d'analyses de surveillance et d'expertise de la Marine (LASEM) ; et l'expérimentation des outils numériques pour l'existant, avec le Camp des Matelots à Versailles. En savoir plus : Communiqué de presse, juillet 2018 L'expertise Numérique du CSTB
Il y a 6 ans et 341 jours

L'enjeu énergétique et environnemental des bâtiments, par Thierry Repentin, président du CSCEE

Thierry Repentin, président du Conseil Supérieur de la Construction et de l'Efficacité Energétique (CSCEE), s'exprime sur des leviers clés pour améliorer la performance énergétique et environnementale des bâtiments et atteindre les objectifs fixés par la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte. Le Rapport d'activité 2017 du CSTB partage son témoignage dans le dossier dédié à la garantie de performance énergétique effective des bâtiments. " Concernant le bâtiment neuf, le CSCEE suit de près l'expérimentation E+C- et l'exploitation de la base de données des projets pour que le référentiel fixe des niveaux de performance ambitieux et accessibles à des coûts maîtrisés. Pour atteindre les objectifs 2050, l'enjeu porte aussi sur la rénovation du parc actuel. Le CSCEE recommande, comme le propose le plan rénovation énergétique des bâtiments du gouvernement, de promouvoir les rénovations par étapes pour échelonner les travaux en lissant les coûts. Il faut aider les propriétaires, copropriétaires et gestionnaires à se projeter dans un programme sur plusieurs années voire décennies, en définissant les travaux pertinents et en renforçant leur accompagnement tout au long du projet. Le CPE (Contrat de Performance Energétique) est un des outils qui permet de structurer la démarche des acteurs et de les convaincre à s'engager dans les travaux. L'usage du CPE a vocation à être étendu. En ce sens, le rôle de l'Observatoire du CPE, porté par l'Ademe, le CSTB et le Cerema, est essentiel. Cela suppose plus globalement d'améliorer l'information dans les territoires et de proposer des solutions d'ingénierie technique et financière pour accompagner les particuliers et les copropriétés, repérer celles qui ont des besoins et faciliter la prise de décision. Le CSCEE souligne également l'importance d'accompagner la qualité des rénovations. Il soutient le développement et la démocratisation d'outils pour mesurer la performance énergétique effective du bâtiment. Les membres du conseil ont pu mesurer le travail prometteur accompli par le CSTB dans cette direction, à travers le projet MERLiN, et sont convaincus de la nécessité de poursuivre le soutien à ces outils et tests en situation réelle. L'ensemble des acteurs, notamment les PME et artisans, doivent pouvoir s'en saisir à terme dans une logique d'auto-contrôle, pour favoriser leur montée en compétence. La maîtrise d'ouvrage a également besoin de cette information pour valider le résultat de ses travaux. Plus encore, pour soutenir ce cercle vertueux, le CSCEE préconise de donner de la visibilité à la performance énergétique du bâtiment, en vue d'accroître sa valeur verte dans les transactions du marché. C'est l'objet du DPE (Diagnostic Performance Energétique) dont il faut améliorer la fiabilité. Si à court terme, la méthode de calcul doit être révisée, à moyen-long terme, ce diagnostic s'appuiera sur la mesure in situ de la performance énergétique intrinsèque du bâtiment ". En savoir plus : Expérimenter la construction du bâtiment performant de demain Projet de plan de rénovation énergétique : lancement de la concertation et de la mobilisation Garantir la performance énergétique effective des bâtiments, Rapport d'Activité 2017, CSTB
Il y a 6 ans et 341 jours

L'enjeu énergétique et environnemental des bâtiments, par Thierry Repentin, président du CSCEE

Thierry Repentin, président du Conseil Supérieur de la Construction et de l'Efficacité Energétique (CSCEE), s'exprime sur des leviers clés pour améliorer la performance énergétique et environnementale des bâtiments et atteindre les objectifs fixés par la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte. Le Rapport d'activité 2017 du CSTB partage son témoignage dans le dossier dédié à la garantie de performance énergétique effective des bâtiments. " Concernant le bâtiment neuf, le CSCEE suit de près l'expérimentation E+C- et l'exploitation de la base de données des projets pour que le référentiel fixe des niveaux de performance ambitieux et accessibles à des coûts maîtrisés. Pour atteindre les objectifs 2050, l'enjeu porte aussi sur la rénovation du parc actuel. Le CSCEE recommande, comme le propose le plan rénovation énergétique des bâtiments du gouvernement, de promouvoir les rénovations par étapes pour échelonner les travaux en lissant les coûts. Il faut aider les propriétaires, copropriétaires et gestionnaires à se projeter dans un programme sur plusieurs années voire décennies, en définissant les travaux pertinents et en renforçant leur accompagnement tout au long du projet. Le CPE (Contrat de Performance Energétique) est un des outils qui permet de structurer la démarche des acteurs et de les convaincre à s'engager dans les travaux. L'usage du CPE a vocation à être étendu. En ce sens, le rôle de l'Observatoire du CPE, porté par l'Ademe, le CSTB et le Cerema, est essentiel. Cela suppose plus globalement d'améliorer l'information dans les territoires et de proposer des solutions d'ingénierie technique et financière pour accompagner les particuliers et les copropriétés, repérer celles qui ont des besoins et faciliter la prise de décision. Le CSCEE souligne également l'importance d'accompagner la qualité des rénovations. Il soutient le développement et la démocratisation d'outils pour mesurer la performance énergétique effective du bâtiment. Les membres du conseil ont pu mesurer le travail prometteur accompli par le CSTB dans cette direction, à travers le projet MERLiN, et sont convaincus de la nécessité de poursuivre le soutien à ces outils et tests en situation réelle. L'ensemble des acteurs, notamment les PME et artisans, doivent pouvoir s'en saisir à terme dans une logique d'auto-contrôle, pour favoriser leur montée en compétence. La maîtrise d'ouvrage a également besoin de cette information pour valider le résultat de ses travaux. Plus encore, pour soutenir ce cercle vertueux, le CSCEE préconise de donner de la visibilité à la performance énergétique du bâtiment, en vue d'accroître sa valeur verte dans les transactions du marché. C'est l'objet du DPE (Diagnostic Performance Energétique) dont il faut améliorer la fiabilité. Si à court terme, la méthode de calcul doit être révisée, à moyen-long terme, ce diagnostic s'appuiera sur la mesure in situ de la performance énergétique intrinsèque du bâtiment ". En savoir plus : Expérimenter la construction du bâtiment performant de demain Projet de plan de rénovation énergétique : lancement de la concertation et de la mobilisation Garantir la performance énergétique effective des bâtiments, Rapport d'Activité 2017, CSTB
Il y a 6 ans et 349 jours

Qualité de l'air et confort dans les écoles en France: premiers résultats de la campagne nationale

À l'occasion d'un atelier public organisé à Paris, le 25 juin dernier, l'Observatoire de la Qualité de l'Air Intérieur (OQAI) a présenté les premiers résultats de la campagne nationale. Celle-ci a été menée entre 2013 et 2017, dans 301 écoles maternelles et élémentaires de France métropolitaine. Prenant en compte la qualité de l'air, ainsi que la contamination des poussières au sol et la présence de plomb dans les peintures, les premières données apportent de précieuses connaissances sur l'environnement intérieur de l'école, lieu de vie le plus fréquenté par les enfants après le logement. Constat est établi que la qualité de l'air respirée par les écoliers français dans leurs salles de classe, est globalement satisfaisante. Elle est meilleure que celles des logements ou équivalente, même si des points de vigilance sont identifiés. En savoir plus : Communiqué de presse, OQAI, 25 juin 2018 Bulletin n°11 " juin 2018 : Qualité de l'air et confort dans les écoles en France : premiers résultats de la campagne nationale Présentation des résultats détaillés
Il y a 6 ans et 349 jours

Qualité de l'air et confort dans les écoles en France: premiers résultats de la campagne nationale

À l'occasion d'un atelier public organisé à Paris, le 25 juin dernier, l'Observatoire de la Qualité de l'Air Intérieur (OQAI) a présenté les premiers résultats de la campagne nationale. Celle-ci a été menée entre 2013 et 2017, dans 301 écoles maternelles et élémentaires de France métropolitaine. Prenant en compte la qualité de l'air, ainsi que la contamination des poussières au sol et la présence de plomb dans les peintures, les premières données apportent de précieuses connaissances sur l'environnement intérieur de l'école, lieu de vie le plus fréquenté par les enfants après le logement. Constat est établi que la qualité de l'air respirée par les écoliers français dans leurs salles de classe, est globalement satisfaisante. Elle est meilleure que celles des logements ou équivalente, même si des points de vigilance sont identifiés. En savoir plus : Communiqué de presse, OQAI, 25 juin 2018 Bulletin n°11 " juin 2018 : Qualité de l'air et confort dans les écoles en France : premiers résultats de la campagne nationale Présentation des résultats détaillés
Il y a 7 ans et 9 jours

Projet R&D européen : des serres pour lutter contre l'effet de serre

Pour lutter contre le réchauffement climatique et réduire les émissions de gaz à effet de serre, notamment le CO2, le projet de recherche européen GROOF (Greenhouses to Reduce CO2 on rooFs) s'intéresse au potentiel des toitures pour y installer des serres. Lancé en 2017 pour 4 ans, il associe 5 partenaires européens (allemands, luxembourgeois, belges, espagnols et français) issus du monde de la construction et de l'agriculture avec le soutien du programme INTERREG NWE. Le CSTB est responsable d'un des 3 volets techniques de ce projet. Le projet de recherche GROOF privilégie une approche pluridisciplinaire en associant les compétences des partenaires du projet. Il propose de créer une boucle d'énergie solidaire entre la serre et le bâtiment qui l'accueille sur son toit, pour soutenir la production locale de fruits, fleurs et de légumes et réduire les émissions de CO2. Le concept du projet vise 3 bénéfices : récupérer la chaleur produite et non consommée par le bâtiment-support dans la perspective de production de fruits, fleurs et légumes en ville (en moyenne, 30% de l'énergie produite par le bâtiment est perdue à travers les toits) ; recueillir le CO2 produit par les activités du bâtiment et des individus afin d'alimenter les plantes ; éviter les émissions de CO2 issues des transports, en rapprochant les consommateurs des lieux de production. Pour cela, le projet GROOF consiste à faciliter l'implantation de serres en toiture en démontrant et en partageant les bonnes pratiques avec les acteurs de la construction et de l'agriculture. Les travaux doivent permettre de : identifier et réduire les obstacles d'accès au marché (règles d'urbanisme, règlements techniques, assurances...) ; expérimenter et démontrer l'efficacité des technologies développées pour un nombre représentatif de modèles d'affaire ; accompagner la réalisation de projets pilotes et fournir à terme un guide de bonnes pratiques. Le CSTB est pilote de la competence team building and construction du projet et d'un des volets techniques. Sa mission est de faire un état des lieux des solutions dédiées à l'implantation et à l'exploitation de serres en toiture, dans les pays du Nord-Ouest européen, sur les plans scientifique, technique et réglementaire. Le CSTB organisera également le partage de ces connaissances avec la filière. À terme, un guide des bonnes pratiques sera rédigé pour faciliter l'installation de serres en toiture sur le marché. Le projet GROOF s'attachera à mettre en "uvre quatre serres pilotes pour démontrer la pérennité des modèles proposés en fonction des typologies de bâtiments et de serres, et pour soutenir le lancement de solutions sur le marché européen. En France, le CSTB accompagnera Les Fermes de Gally dans leur projet de serre en toiture dans la région Ile-de-France, avec la collaboration de l'ASTREDHOR (Association nationale des STructures d'Expérimentation et de Démonstration en HORticulture). En savoir plus : Le site web du projet GROOF Suivre l'actualité du projet grâce au groupe LinkedIn Suivre l'actualité du projet sur Twitter Suivre l'actualité du projet sur Facebook Contact CSTB : maeva.sabre@cstb.fr
Il y a 7 ans et 10 jours

Nantes Métropole et le CSTB associent leurs expertises pour créer l'Observatoire du Goût de l'Eau

Au croisement de l'innovation et de l'expérience, l'événement " Complètement Nantes " invite les citoyens à découvrir et partager collectivement la manière de faire la ville. Parmi les ateliers proposés : le 30 mai 2018, l'expérimentation d'une démarche innovante pour qualifier le goût de l'eau potable. Cette méthode développée par le CSTB est dédiée à l'évaluation multicritères du goût et de l'odeur de l'eau, en tenant compte des perceptions sensorielles individuelles. Elle est déployée dans le cadre de l'Observatoire du Goût de l'Eau, créé par Nantes Métropole et le CSTB, qui ont signé un accord de Recherche & Développement. Cet Observatoire permettra d'optimiser l'exploitation de l'eau sur l'agglomération nantaise. Objectif : mieux associer les usagers à la politique publique de l'eau, enjeu clé durant les travaux de modernisation de l'usine de production d'eau potable de La Roche, prévus jusqu'en 2020. En savoir plus : Communiqué de presse, Nantes Métropole-CSTB, mai 2018 L'événement " Complètement Nantes ", atelier du CSTB
Il y a 7 ans et 10 jours

Nantes Métropole et le CSTB associent leurs expertises pour créer l'Observatoire du Goût de l'Eau

Au croisement de l'innovation et de l'expérience, l'événement " Complètement Nantes " invite les citoyens à découvrir et partager collectivement la manière de faire la ville. Parmi les ateliers proposés : le 30 mai 2018, l'expérimentation d'une démarche innovante pour qualifier le goût de l'eau potable. Cette méthode développée par le CSTB est dédiée à l'évaluation multicritères du goût et de l'odeur de l'eau, en tenant compte des perceptions sensorielles individuelles. Elle est déployée dans le cadre de l'Observatoire du Goût de l'Eau, créé par Nantes Métropole et le CSTB, qui ont signé un accord de Recherche & Développement. Cet Observatoire permettra d'optimiser l'exploitation de l'eau sur l'agglomération nantaise. Objectif : mieux associer les usagers à la politique publique de l'eau, enjeu clé durant les travaux de modernisation de l'usine de production d'eau potable de La Roche, prévus jusqu'en 2020. En savoir plus : Communiqué de presse, Nantes Métropole-CSTB, mai 2018 L'événement " Complètement Nantes ", atelier du CSTB
Il y a 7 ans et 41 jours

5 villes chinoises primées Eco-cités pilotes franco-chinoises, et engagées dans la certification HQE Aménagement? avec l'appui du Groupe CSTB

Lors de la 14ème édition de la Conférence Internationale sur le Bâtiment Durable (International Conférence on Green and Energy-Efficient Building) à Zhuhai en Chine, les 2 et 3 avril dernier, le prix Eco-cité pilote franco-chinoise a été remis à 5 villes du pays en présence de Qiu Baoxing, président de la Chinese Society for Urban Studies (CSUS), ancien Vice-Ministre de la construction, d'Etienne Crépon, président du CSTB, et de Patrick Nossent, président de Cerway. Ce prix valorise la coopération entre les collectivités pilotes et les experts français et chinois autour du développement de la ville durable. Il vise à inciter de nouvelles collectivités à s'engager dans cette démarche. Par ailleurs, le travail des 5 villes été examiné et récompensé par le jury national, réuni le 29 mars dernier à Pékin. Les 5 villes pilotes ont également reçu une attestation HQE AménagementTM par Cerway pour la conception de leur aménagement urbain. Ces distinctions marquent une première étape dans la mise en "uvre du partenariat entre le CSUS et le CSTB, signé en mars 2017 au service d'une dizaine d'Eco-cités bas carbone. 5 villes ont reçu le prix Eco-cité pilote franco-chinois. Du Nord au Sud : Jilin, Panshi, Qinqyun, Jinqzhou, Foshan. Le 30 mars 2018, une 6ème ville s'est engagée dans la démarche. Cette récompense distingue la conception du projet urbain élaboré avec les 5 collectivités par l'équipe d'experts du développement durable du CSTB, associée à l'architecte urbaniste David Mangin - grand prix de l'Urbanisme 2008 - et à Florence Bougnoux, son associée, spécialiste en ville durable (agence SEURA). > Partenariats et organisation du projet Les trois principes clefs de la démarche proposée par le CSTB, sous la coordination de Cristina Garcez, directrice de la stratégie urbaine, sont : l'approche spatiale multi-échelles associant étroitement solutions urbaines et solutions techniques, la co-construction avec les acteurs locaux et le respect des identités locales, dont les écosystèmes. Les propositions concrètes répondent aux principes majeurs d'une Eco-cité sur les aspects impactant le plus la qualité de vie des habitants et la préservation de l'environnement : la mobilité, et l'importance majeure donnée au développement des transports collectifs et des modes doux ; les écosystèmes et notamment la gestion écologique de l'eau ; l'intégration des quartiers et populations existantes, avec la réhabilitation/préservation du patrimoine et des identités locales ; les stratégies énergétiques et bas carbone, et l'économie circulaire (déchets, tri, recyclage, circuits courts?). La diversité des villes a été prise en compte dans le projet urbain. L'approche française proposée est fondée sur un urbanisme intégré (systémique) et durable. Elle est conçue à partir d'une lecture attentive des villes chinoises, dans le souci d'intégrer les écosystèmes et les populations existantes, et de prendre en compte l'histoire, la culture et les atouts des territoires à plusieurs échelles. Elle a abouti à des propositions concrètes et adaptées à chaque ville-pilote. Cette approche partenariale du projet urbain a été complétée par un audit pilote HQE AménagementTM, mené par Cerway (groupe CSTB). Cet audit marque l'engagement de ces villes dans une démarche de certification, complémentaire de la conception de l'éco-cité. Il s'agit de soutenir la qualité de leur projet sur le long-terme, en accompagnant son organisation et son management. L'objectif pour ces villes est d'atteindre la certification HQE AménagementTM pour valoriser leur démarche globale en faveur de la qualité de vie, du respect de l'environnement et du développement économique. Focus : les cinq projets primés Qingyun : la ville aux deux rivières Présentation du projet Jingzhou : vivre au bord de l'eau Présentation du projet Panshi : L'éco-vallée de la montagne du Lotus Présentation du projet Jilin/Chaluhe : l'agro-cité Présentation du projet Foshan : la biodiversité en milieu urbain dense Présentation du projet
Il y a 7 ans et 44 jours

Les enjeux du BIM et le rôle du CSTB dans la transformation numérique du bâtiment

Alors que certains traduisent BIM par Building Information Modelling, le CSTB a choisi d'utiliser la définition plus large de Building Information Management, afin de faire référence à une nouvelle façon de gérer l'information grâce aux technologies de nouvelle génération. Celle-ci permet d'améliorer la qualité et la performance du bâtiment : de sa conception à sa maintenance. Si le BIM n'est pas nouveau, la rapidité de son expansion fait évoluer les marchés et leurs pratiques. Entretien avec Souheil Soubra, directeur des Technologies de l'information au CSTB. Lire l'article Paru dans le magazine Informations entreprise, Avril-mai-juin 2018, n°168 Découvrez l'offre de services du CSTB autour du BIM multi-échelles Le CSTB vous accompagne dans la transition numérique pour mettre le BIM au service de votre activité. Nos atouts : Le CSTB, tiers de confiance Plus de 20 ans d'expérience dans le numérique et le BIM Approche BIM multi-échelles : composant, bâtiment, territoire Prise en compte du BIM à toutes les phases d'un projet jusqu'à l'exploitation Connaissance multi-physique du bâtiment Interopérabilité des solutions aux formats standards BIM (France et international) Application de la réglementation construction (France et Europe) L'offre de services du CSTB autour du BIM multi-échelles Contact : eric.lebegue@cstb.fr Un espace de simulation virtuelle et interactive pour vos projets Dans la Salle Oscar Niemeyer du CSTB, partagez une expérience BIM inédite. Offrez un nouveau regard sur vos projets Disposez d'un environnement de travail collaboratif Faites la promotion de vos réalisations en 3D et BIM Bénéficiez de formations concrètes en BIM La salle Oscar Niemeyer du CSTB, à Paris Contact : pierre.mascloux@cstb.fr Salle Oscar Niemeyer du CSTB, Paris 16ème. Photo : Florence Joubert
Il y a 7 ans et 45 jours

5 villes chinoises primées Eco-cités : revue de projets

5 villes chinoises ont reçu le prix Eco-cité pilote franco-chinois lors de la Conférence Internationale sur le Bâtiment Durable 2018, à Zhuhai en Chine. Du Nord au Sud, il s'agit de Jilin, Panshi, Qinqyun, Jinqzhou et Foshan. Cette récompense distingue la conception du projet urbain, élaboré avec les 5 collectivités par l'équipe d'experts du développement durable du CSTB associée à l'architecte urbaniste David Mangin et Florence Bougnoux, son associée, spécialiste en ville durable (agence SEURA). L'approche française, intégrée et durable, est conçue à partir d'une lecture attentive de l'urbanisme et de l'architecture chinoises. Elle est soucieuse de l'intégration des écosystèmes et des populations existantes, et prend en compte la culture et les atouts des territoires à plusieurs échelles. Elle se traduit par des propositions concrètes et adaptées à chaque ville. La mission du CSTB, avec chacune des 5 collectivités engagées dans la démarche Eco-cité, a consisté à proposer un aménagement urbain renouvelé sur le périmètre global de la ville et sur un secteur d'études plus restreint. Qingyun : la ville aux deux rivières Qingyun, 80 000 habitants, est située au Sud-Est de Pékin, à 40km de la mer, sur un territoire agricole de qualité, organisé autour d'une trame de villages ruraux et de canaux d'irrigation. Une ligne de bus longue-distance relie Qingyun à la gare TGV de Dezhou, ville principale de la province, située à 1h30 de la capitale. Une ligne de bus à haut niveau de service est proposée à l'échelle de la ville pour desservir les principaux centres d'activité, existants et prévus. A l'intérieur de Qingyun, au sud-est, la trame agricole est préservée. Les villages peuvent évoluer en clusters agricoles, combinant une agriculture innovante et biologique et une densification des villages existants, ce qui privilégie les circuits courts et l'offre d'emplois pour les villageois. En milieu urbain, la nouvelle trame intègre les villages existants. Le projet prévoit une densité et une compacité des bâtiments maîtrisées. Cela permet une gestion écologique et naturelle des eaux grises et pluviales à l'échelle de la parcelle. Les villages au Nord du centre urbain sont également préservés et réhabilités. Une "route des villages" est créée pour relier le temple à la rivière. Elle traverse les bourgs et offre de découvrir le patrimoine local. Une vélo-route est également tracée le long de la rivière, permettant de rallier la mer en 4h environ. A propos : d'après les prévisions, la population de Qingyun va atteindre 300 000 habitants dans les prochaines années. Le secteur d'études du CSTB, situé au sud de la ville, en concentrera la moitié : 154 000 habitants, avec 5 000 logements, 2 200 000 m² de commerces et services et 1 211 000 m² de bureaux. Projet d'aménagement de la ville avec des programmes par quartier et un système de bus (ligne rouge). Les villages existants (en gris) sont intégrés. La flèche désigne le secteur d'études. Jingzhou : vivre au bord de l'eau La ville de Jingzhou, au climat chaud et humide, est située dans la province de Hubei au bord du fleuve Yangzi. Elle compte 1,2 millions d'habitants sur un territoire de 1 515 km². Jingzhou possède un patrimoine historique conséquent, conservé à l'intérieur de murs d'enceinte en pierre en très bon état. Sur l'ensemble du territoire, la présence de l'eau est importante sous forme de rivière, canaux, lacs, pisciculture. La problématique de pollution de cette eau est très présente. Le projet prévoit un développement au nord de la ville historique existante et au bord sud du lac Changhu. Il inclue les trames existantes, tels que les villages et les bassins, dans la nouvelle organisation de l'espace public. Il est proposé de construire une ligne de transport en commun pour connecter le quartier à la gare TGV et au pont-canal. Cela crée plusieurs pôles multimodaux et des centralités, comportant commerces et services. Le tout vise à créer la "ville passante" pour faciliter les trajets quotidiens et limiter l'usage de la voiture. Le projet prévoit une densité et une compacité des bâtiments maitrisées, en gardant 50% d'espace libre de toute construction dans chaque îlot. Cela permet une gestion écologique et naturelle des eaux grises et pluviales à l'échelle de la parcelle. Pour la dépollution du lac, il est proposé des solutions naturelles, à base de lagunage et de plantes dépuratrices. Le cadre spectaculaire du pont-canal, au centre du lac, est mis à profit pour développer le tourisme par le biais de bâtiments phares, symboles de l'écocité attractive (hôtels, restaurants flottants, départ des promenades vélos). A propos : la population du secteur d'études est estimée à 85 000 habitants, avec 2 650 000 m² de surface résidentielle (28 300 logements de 94 m²), 1 330 000 m² de commerces et services et 440 000 m² de bureaux. Cette zone accueillera en 2030, d'après les prévisions, 180 000 habitants supplémentaires. Projet de transport sur l'ensemble de la ville. Îlot démonstrateur en bordure du lac, avec le lagunage pour la dépollution de l'eau du lac Panshi : l'éco-vallée de la montagne du Lotus L'Eco-vallée se situe à 50 km au nord de Panshi dans la province de Jilin. Son climat est froid et sec. Elle présente des pôles touristiques comme la station de ski de la montagne du Lotus, une grotte ancienne et un temple au bord du lac-réservoir. Le projet propose de diversifier le tourisme toutes saisons, en valorisant les villages existants, dont le bourg de Niuxin, et l'agriculture très présente dans la vallée, notamment pour les cultures de riz et maïs. La construction d'une gare au niveau de l'actuel village de Niuxin (coeur du projet) permet de relier directement la vallée à Jilin et Changchun. Avec la nouvelle gare, un "quartier de gare" peut se développer. Au Nord, des logements s'étendent jusqu'au centre de tri des déchets proposé ; à l'Ouest et au Sud, logements et hôtels effectuent la jonction avec le bourg existant réhabilité. Une "maison de l'environnement" est également prévue. Le village de vacances, à l'Est, est directement accessible depuis la gare. La gare, nouveau pôle multimodal, permet de connecter plusieurs itinéraires : les chemins piétons, cyclistes (voie verte), les circuits de randonnée, la navette électrique, la voie ferrée reliant le site aux grandes villes, les voiries destinées aux voitures. A l'entrée de la montagne du Lotus, les bâtiments militaires désaffectés peuvent être reconvertis en station thermale. La liaison locale entre la gare et la station de ski sera élargie afin de créer un site propre pour la navette électrique et des pistes cyclables. Le "village de vacances du Lotus" de 78ha propose des hébergements atypiques en bois et une piscine naturelle écologique. La forêt peut accueillir une grande variété d'activités touristiques, type accrobranche, en préservant le cadre naturel. Le développement de la filière bois est proposé dans cette vallée afin de développer l'emploi, et la gestion écologique et durable de la forêt. A propos : la population du secteur d'études est estimée à 3 000 habitants, avec 75 600 m² de surface résidentielle, 10 543 m² de commerces et 20 346 m² dédiés aux hôtels. Projet de transport dans la vallée (navette verte) desservant depuis la gare existante, les sites touristiques de la vallée et les grandes villes à proximité (Changchun et Panshi). Jilin/Chaluhe : l'agro-cité Il s'agit d'une zone d'urbanisation nouvelle autour du bourg de Chaluhe, situé entre Jilin et Changchun dans la province de Jilin. Son climat est rude et sec l'hiver, et pluvieux l'été, causant d'importantes inondations. Le territoire est caractérisé par la présence de rizières. Le projet initial, en partenariat avec Singapour, crée une ville de 300 000 habitants et des activités autour du thème "food zone". En effet, dans ce secteur fertile, le riz de l'éco-cité sera de haute qualité et biologique. La construction d'une gare ferroviaire à Chaluhe et l'établissement d'une ligne de bus à haut niveau de service (BHNS), accordent au bourg une position centrale avantageuse, à égale distance des deux villes importantes de la province. Le secteur d'études comporte plusieurs équipements, tels que le centre d'exposition, couplé au centre de tri pour un effet "vitrine", une école et un hôpital. La ligne de bus effectue une liaison entre ces différents équipements et se poursuit ensuite vers le bourg existant (intégré à la trame), les nouveaux quartiers au Sud, la "zone d'activités alimentaire" avant de fermer la boucle en revenant jusqu'au pôle multimodal (gare ferroviaire). Ce dernier se situe à proximité du centre d'exposition, permettant ainsi de gérer les flux provenant de la rocade et du trafic ferroviaire en provenance de Jilin (et Changchun). Les bassins d'eau, en c"ur d'îlots, permettent la rétention et le traitement des eaux, tout en offrant des usages ludiques et sportifs. Le bord de la rivière est valorisé par des espaces de promenade. Il joue également le rôle de zones de surverse pour la rivière en cas de crues (massives en été). Le central park, au milieu de la ville nouvelle, allie agriculture et tourisme. A propos : la population du secteur d'études est estimée à 134 000 habitants, avec 3 400 000 m² de surface résidentielle et 151 000 m² de commerces et services. Projet de transport (bus à haut niveau de service) dans la nouvelle ville, la reliant aux principaux pôles (Jilin et Changchun) grâce à la gare ferroviaire, au centre des expositions. Projet sur l'ensemble de la ville montrant la boucle de transport, le maillage urbain et les liaisons vertes avec le territoire agricole environnant. Foshan : la biodiversité en milieu urbain dense L'éco-cité est située dans la ville de Nanzhuang sur une surface de 9,6 km², et en périphérie Est de Foshan, ville de 8 millions d'habitants dans la province de Canton. Son climat est chaud et humide. Cette éco-cité prévoit d'accueillir une population de 60 000 habitants dans les 5 prochaines années. Depuis une dizaine d'années, la collectivité met en place une politique de développement durable qui a permis de restaurer les milieux naturels et la biodiversité, de généraliser le système de desserte par bus électrique et modes de transport doux, de dépolluer les réseaux hydrauliques et de préserver les villages anciens dans le projet d'urbanisme. Le périmètre de l'éco-cité, bordé d'un fleuve et de canaux, se situe à proximité du centre de production de céramique, l'un des plus importants de Chine, et activité ancestrale sur ce territoire. Seules les entreprises non polluantes y sont acceptées. Les centres de tri des déchets sont installés dans les quartiers pour faciliter le ramassage. Ce qui est recyclable est vendu et le resté compacté et enfoui. Les prochaines étapes de cette éco-cité, en collaboration avec le CSTB, consistent à améliorer le projet urbain en développant certains îlots de façon exemplaire, en termes de morphologie urbaine et d'économie d'énergies. Il s'agit également de pousser plus loin les efforts pour la dépollution du réseau hydraulique et le traitement des déchets. L'éco-cité devra augmenter sa production d'énergies renouvelables. En savoir plus : 5 villes chinoises primées Eco-cités pilotes franco-chinoises Le CSTB s'investit dans la création de villes durables en Chine Contact : Cristina Garcez