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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie CSTB

(1053 résultats)
Il y a 7 ans et 45 jours

Projet R&D européen : des serres pour lutter contre l'effet de serre

Pour lutter contre le réchauffement climatique et réduire les émissions de gaz à effet de serre, notamment le CO2, le projet de recherche européen GROOF (Greenhouses to Reduce CO2 on rooFs) s'intéresse au potentiel des toitures pour y installer des serres. Lancé en 2017 pour 4 ans, il associe 5 partenaires européens (allemands, luxembourgeois, belges, espagnols et français) issus du monde de la construction et de l'agriculture avec le soutien du programme INTERREG NWE. Le CSTB est responsable d'un des 3 volets techniques de ce projet. Le projet de recherche GROOF privilégie une approche pluridisciplinaire en associant les compétences des partenaires du projet. Il propose de créer une boucle d'énergie solidaire entre la serre et le bâtiment qui l'accueille sur son toit, pour soutenir la production locale de fruits, fleurs et de légumes et réduire les émissions de CO2. Le concept du projet vise 3 bénéfices : récupérer la chaleur produite et non consommée par le bâtiment-support dans la perspective de production de fruits, fleurs et légumes en ville (en moyenne, 30% de l'énergie produite par le bâtiment est perdue à travers les toits) ; recueillir le CO2 produit par les activités du bâtiment et des individus afin d'alimenter les plantes ; éviter les émissions de CO2 issues des transports, en rapprochant les consommateurs des lieux de production. Pour cela, le projet GROOF consiste à faciliter l'implantation de serres en toiture en démontrant et en partageant les bonnes pratiques avec les acteurs de la construction et de l'agriculture. Les travaux doivent permettre de : identifier et réduire les obstacles d'accès au marché (règles d'urbanisme, règlements techniques, assurances...) ; expérimenter et démontrer l'efficacité des technologies développées pour un nombre représentatif de modèles d'affaire ; accompagner la réalisation de projets pilotes et fournir à terme un guide de bonnes pratiques. Le CSTB est pilote de la competence team building and construction du projet et d'un des volets techniques. Sa mission est de faire un état des lieux des solutions dédiées à l'implantation et à l'exploitation de serres en toiture, dans les pays du Nord-Ouest européen, sur les plans scientifique, technique et réglementaire. Le CSTB organisera également le partage de ces connaissances avec la filière. À terme, un guide des bonnes pratiques sera rédigé pour faciliter l'installation de serres en toiture sur le marché. Le projet GROOF s'attachera à mettre en "uvre quatre serres pilotes pour démontrer la pérennité des modèles proposés en fonction des typologies de bâtiments et de serres, et pour soutenir le lancement de solutions sur le marché européen. En France, le CSTB accompagnera Les Fermes de Gally dans leur projet de serre en toiture dans la région Ile-de-France, avec la collaboration de l'ASTREDHOR (Association nationale des STructures d'Expérimentation et de Démonstration en HORticulture). En savoir plus : Le site web du projet GROOF Suivre l'actualité du projet grâce au groupe LinkedIn Suivre l'actualité du projet sur Twitter Suivre l'actualité du projet sur Facebook Contact CSTB : maeva.sabre@cstb.fr
Il y a 7 ans et 46 jours

Les enjeux du BIM et le rôle du CSTB dans la transformation numérique du bâtiment

Alors que certains traduisent BIM par Building Information Modelling, le CSTB a choisi d'utiliser la définition plus large de Building Information Management, afin de faire référence à une nouvelle façon de gérer l'information grâce aux technologies de nouvelle génération. Celle-ci permet d'améliorer la qualité et la performance du bâtiment : de sa conception à sa maintenance. Si le BIM n'est pas nouveau, la rapidité de son expansion fait évoluer les marchés et leurs pratiques. Entretien avec Souheil Soubra, directeur des Technologies de l'information au CSTB. Lire l'article Paru dans le magazine Informations entreprise, Avril-mai-juin 2018, n°168 Découvrez l'offre de services du CSTB autour du BIM multi-échelles Le CSTB vous accompagne dans la transition numérique pour mettre le BIM au service de votre activité. Nos atouts : Le CSTB, tiers de confiance Plus de 20 ans d'expérience dans le numérique et le BIM Approche BIM multi-échelles : composant, bâtiment, territoire Prise en compte du BIM à toutes les phases d'un projet jusqu'à l'exploitation Connaissance multi-physique du bâtiment Interopérabilité des solutions aux formats standards BIM (France et international) Application de la réglementation construction (France et Europe) L'offre de services du CSTB autour du BIM multi-échelles Contact : eric.lebegue@cstb.fr Un espace de simulation virtuelle et interactive pour vos projets Dans la Salle Oscar Niemeyer du CSTB, partagez une expérience BIM inédite. Offrez un nouveau regard sur vos projets Disposez d'un environnement de travail collaboratif Faites la promotion de vos réalisations en 3D et BIM Bénéficiez de formations concrètes en BIM La salle Oscar Niemeyer du CSTB, à Paris Contact : pierre.mascloux@cstb.fr Salle Oscar Niemeyer du CSTB, Paris 16ème. Photo : Florence Joubert
Il y a 7 ans et 46 jours

5 villes chinoises primées Eco-cités pilotes franco-chinoises, et engagées dans la certification HQE Aménagement? avec l'appui du Groupe CSTB

Lors de la 14ème édition de la Conférence Internationale sur le Bâtiment Durable (International Conférence on Green and Energy-Efficient Building) à Zhuhai en Chine, les 2 et 3 avril dernier, le prix Eco-cité pilote franco-chinoise a été remis à 5 villes du pays en présence de Qiu Baoxing, président de la Chinese Society for Urban Studies (CSUS), ancien Vice-Ministre de la construction, d'Etienne Crépon, président du CSTB, et de Patrick Nossent, président de Cerway. Ce prix valorise la coopération entre les collectivités pilotes et les experts français et chinois autour du développement de la ville durable. Il vise à inciter de nouvelles collectivités à s'engager dans cette démarche. Par ailleurs, le travail des 5 villes été examiné et récompensé par le jury national, réuni le 29 mars dernier à Pékin. Les 5 villes pilotes ont également reçu une attestation HQE AménagementTM par Cerway pour la conception de leur aménagement urbain. Ces distinctions marquent une première étape dans la mise en "uvre du partenariat entre le CSUS et le CSTB, signé en mars 2017 au service d'une dizaine d'Eco-cités bas carbone. 5 villes ont reçu le prix Eco-cité pilote franco-chinois. Du Nord au Sud : Jilin, Panshi, Qinqyun, Jinqzhou, Foshan. Le 30 mars 2018, une 6ème ville s'est engagée dans la démarche. Cette récompense distingue la conception du projet urbain élaboré avec les 5 collectivités par l'équipe d'experts du développement durable du CSTB, associée à l'architecte urbaniste David Mangin - grand prix de l'Urbanisme 2008 - et à Florence Bougnoux, son associée, spécialiste en ville durable (agence SEURA). > Partenariats et organisation du projet Les trois principes clefs de la démarche proposée par le CSTB, sous la coordination de Cristina Garcez, directrice de la stratégie urbaine, sont : l'approche spatiale multi-échelles associant étroitement solutions urbaines et solutions techniques, la co-construction avec les acteurs locaux et le respect des identités locales, dont les écosystèmes. Les propositions concrètes répondent aux principes majeurs d'une Eco-cité sur les aspects impactant le plus la qualité de vie des habitants et la préservation de l'environnement : la mobilité, et l'importance majeure donnée au développement des transports collectifs et des modes doux ; les écosystèmes et notamment la gestion écologique de l'eau ; l'intégration des quartiers et populations existantes, avec la réhabilitation/préservation du patrimoine et des identités locales ; les stratégies énergétiques et bas carbone, et l'économie circulaire (déchets, tri, recyclage, circuits courts?). La diversité des villes a été prise en compte dans le projet urbain. L'approche française proposée est fondée sur un urbanisme intégré (systémique) et durable. Elle est conçue à partir d'une lecture attentive des villes chinoises, dans le souci d'intégrer les écosystèmes et les populations existantes, et de prendre en compte l'histoire, la culture et les atouts des territoires à plusieurs échelles. Elle a abouti à des propositions concrètes et adaptées à chaque ville-pilote. Cette approche partenariale du projet urbain a été complétée par un audit pilote HQE AménagementTM, mené par Cerway (groupe CSTB). Cet audit marque l'engagement de ces villes dans une démarche de certification, complémentaire de la conception de l'éco-cité. Il s'agit de soutenir la qualité de leur projet sur le long-terme, en accompagnant son organisation et son management. L'objectif pour ces villes est d'atteindre la certification HQE AménagementTM pour valoriser leur démarche globale en faveur de la qualité de vie, du respect de l'environnement et du développement économique. Focus : les cinq projets primés Qingyun : la ville aux deux rivières Présentation du projet Jingzhou : vivre au bord de l'eau Présentation du projet Panshi : L'éco-vallée de la montagne du Lotus Présentation du projet Jilin/Chaluhe : l'agro-cité Présentation du projet Foshan : la biodiversité en milieu urbain dense Présentation du projet
Il y a 7 ans et 46 jours

5 villes chinoises primées Eco-cités : revue de projets

5 villes chinoises ont reçu le prix Eco-cité pilote franco-chinois lors de la Conférence Internationale sur le Bâtiment Durable 2018, à Zhuhai en Chine. Du Nord au Sud, il s'agit de Jilin, Panshi, Qinqyun, Jinqzhou et Foshan. Cette récompense distingue la conception du projet urbain, élaboré avec les 5 collectivités par l'équipe d'experts du développement durable du CSTB associée à l'architecte urbaniste David Mangin et Florence Bougnoux, son associée, spécialiste en ville durable (agence SEURA). L'approche française, intégrée et durable, est conçue à partir d'une lecture attentive de l'urbanisme et de l'architecture chinoises. Elle est soucieuse de l'intégration des écosystèmes et des populations existantes, et prend en compte la culture et les atouts des territoires à plusieurs échelles. Elle se traduit par des propositions concrètes et adaptées à chaque ville. La mission du CSTB, avec chacune des 5 collectivités engagées dans la démarche Eco-cité, a consisté à proposer un aménagement urbain renouvelé sur le périmètre global de la ville et sur un secteur d'études plus restreint. Qingyun : la ville aux deux rivières Qingyun, 80 000 habitants, est située au Sud-Est de Pékin, à 40km de la mer, sur un territoire agricole de qualité, organisé autour d'une trame de villages ruraux et de canaux d'irrigation. Une ligne de bus longue-distance relie Qingyun à la gare TGV de Dezhou, ville principale de la province, située à 1h30 de la capitale. Une ligne de bus à haut niveau de service est proposée à l'échelle de la ville pour desservir les principaux centres d'activité, existants et prévus. A l'intérieur de Qingyun, au sud-est, la trame agricole est préservée. Les villages peuvent évoluer en clusters agricoles, combinant une agriculture innovante et biologique et une densification des villages existants, ce qui privilégie les circuits courts et l'offre d'emplois pour les villageois. En milieu urbain, la nouvelle trame intègre les villages existants. Le projet prévoit une densité et une compacité des bâtiments maîtrisées. Cela permet une gestion écologique et naturelle des eaux grises et pluviales à l'échelle de la parcelle. Les villages au Nord du centre urbain sont également préservés et réhabilités. Une "route des villages" est créée pour relier le temple à la rivière. Elle traverse les bourgs et offre de découvrir le patrimoine local. Une vélo-route est également tracée le long de la rivière, permettant de rallier la mer en 4h environ. A propos : d'après les prévisions, la population de Qingyun va atteindre 300 000 habitants dans les prochaines années. Le secteur d'études du CSTB, situé au sud de la ville, en concentrera la moitié : 154 000 habitants, avec 5 000 logements, 2 200 000 m² de commerces et services et 1 211 000 m² de bureaux. Projet d'aménagement de la ville avec des programmes par quartier et un système de bus (ligne rouge). Les villages existants (en gris) sont intégrés. La flèche désigne le secteur d'études. Jingzhou : vivre au bord de l'eau La ville de Jingzhou, au climat chaud et humide, est située dans la province de Hubei au bord du fleuve Yangzi. Elle compte 1,2 millions d'habitants sur un territoire de 1 515 km². Jingzhou possède un patrimoine historique conséquent, conservé à l'intérieur de murs d'enceinte en pierre en très bon état. Sur l'ensemble du territoire, la présence de l'eau est importante sous forme de rivière, canaux, lacs, pisciculture. La problématique de pollution de cette eau est très présente. Le projet prévoit un développement au nord de la ville historique existante et au bord sud du lac Changhu. Il inclue les trames existantes, tels que les villages et les bassins, dans la nouvelle organisation de l'espace public. Il est proposé de construire une ligne de transport en commun pour connecter le quartier à la gare TGV et au pont-canal. Cela crée plusieurs pôles multimodaux et des centralités, comportant commerces et services. Le tout vise à créer la "ville passante" pour faciliter les trajets quotidiens et limiter l'usage de la voiture. Le projet prévoit une densité et une compacité des bâtiments maitrisées, en gardant 50% d'espace libre de toute construction dans chaque îlot. Cela permet une gestion écologique et naturelle des eaux grises et pluviales à l'échelle de la parcelle. Pour la dépollution du lac, il est proposé des solutions naturelles, à base de lagunage et de plantes dépuratrices. Le cadre spectaculaire du pont-canal, au centre du lac, est mis à profit pour développer le tourisme par le biais de bâtiments phares, symboles de l'écocité attractive (hôtels, restaurants flottants, départ des promenades vélos). A propos : la population du secteur d'études est estimée à 85 000 habitants, avec 2 650 000 m² de surface résidentielle (28 300 logements de 94 m²), 1 330 000 m² de commerces et services et 440 000 m² de bureaux. Cette zone accueillera en 2030, d'après les prévisions, 180 000 habitants supplémentaires. Projet de transport sur l'ensemble de la ville. Îlot démonstrateur en bordure du lac, avec le lagunage pour la dépollution de l'eau du lac Panshi : l'éco-vallée de la montagne du Lotus L'Eco-vallée se situe à 50 km au nord de Panshi dans la province de Jilin. Son climat est froid et sec. Elle présente des pôles touristiques comme la station de ski de la montagne du Lotus, une grotte ancienne et un temple au bord du lac-réservoir. Le projet propose de diversifier le tourisme toutes saisons, en valorisant les villages existants, dont le bourg de Niuxin, et l'agriculture très présente dans la vallée, notamment pour les cultures de riz et maïs. La construction d'une gare au niveau de l'actuel village de Niuxin (coeur du projet) permet de relier directement la vallée à Jilin et Changchun. Avec la nouvelle gare, un "quartier de gare" peut se développer. Au Nord, des logements s'étendent jusqu'au centre de tri des déchets proposé ; à l'Ouest et au Sud, logements et hôtels effectuent la jonction avec le bourg existant réhabilité. Une "maison de l'environnement" est également prévue. Le village de vacances, à l'Est, est directement accessible depuis la gare. La gare, nouveau pôle multimodal, permet de connecter plusieurs itinéraires : les chemins piétons, cyclistes (voie verte), les circuits de randonnée, la navette électrique, la voie ferrée reliant le site aux grandes villes, les voiries destinées aux voitures. A l'entrée de la montagne du Lotus, les bâtiments militaires désaffectés peuvent être reconvertis en station thermale. La liaison locale entre la gare et la station de ski sera élargie afin de créer un site propre pour la navette électrique et des pistes cyclables. Le "village de vacances du Lotus" de 78ha propose des hébergements atypiques en bois et une piscine naturelle écologique. La forêt peut accueillir une grande variété d'activités touristiques, type accrobranche, en préservant le cadre naturel. Le développement de la filière bois est proposé dans cette vallée afin de développer l'emploi, et la gestion écologique et durable de la forêt. A propos : la population du secteur d'études est estimée à 3 000 habitants, avec 75 600 m² de surface résidentielle, 10 543 m² de commerces et 20 346 m² dédiés aux hôtels. Projet de transport dans la vallée (navette verte) desservant depuis la gare existante, les sites touristiques de la vallée et les grandes villes à proximité (Changchun et Panshi). Jilin/Chaluhe : l'agro-cité Il s'agit d'une zone d'urbanisation nouvelle autour du bourg de Chaluhe, situé entre Jilin et Changchun dans la province de Jilin. Son climat est rude et sec l'hiver, et pluvieux l'été, causant d'importantes inondations. Le territoire est caractérisé par la présence de rizières. Le projet initial, en partenariat avec Singapour, crée une ville de 300 000 habitants et des activités autour du thème "food zone". En effet, dans ce secteur fertile, le riz de l'éco-cité sera de haute qualité et biologique. La construction d'une gare ferroviaire à Chaluhe et l'établissement d'une ligne de bus à haut niveau de service (BHNS), accordent au bourg une position centrale avantageuse, à égale distance des deux villes importantes de la province. Le secteur d'études comporte plusieurs équipements, tels que le centre d'exposition, couplé au centre de tri pour un effet "vitrine", une école et un hôpital. La ligne de bus effectue une liaison entre ces différents équipements et se poursuit ensuite vers le bourg existant (intégré à la trame), les nouveaux quartiers au Sud, la "zone d'activités alimentaire" avant de fermer la boucle en revenant jusqu'au pôle multimodal (gare ferroviaire). Ce dernier se situe à proximité du centre d'exposition, permettant ainsi de gérer les flux provenant de la rocade et du trafic ferroviaire en provenance de Jilin (et Changchun). Les bassins d'eau, en c"ur d'îlots, permettent la rétention et le traitement des eaux, tout en offrant des usages ludiques et sportifs. Le bord de la rivière est valorisé par des espaces de promenade. Il joue également le rôle de zones de surverse pour la rivière en cas de crues (massives en été). Le central park, au milieu de la ville nouvelle, allie agriculture et tourisme. A propos : la population du secteur d'études est estimée à 134 000 habitants, avec 3 400 000 m² de surface résidentielle et 151 000 m² de commerces et services. Projet de transport (bus à haut niveau de service) dans la nouvelle ville, la reliant aux principaux pôles (Jilin et Changchun) grâce à la gare ferroviaire, au centre des expositions. Projet sur l'ensemble de la ville montrant la boucle de transport, le maillage urbain et les liaisons vertes avec le territoire agricole environnant. Foshan : la biodiversité en milieu urbain dense L'éco-cité est située dans la ville de Nanzhuang sur une surface de 9,6 km², et en périphérie Est de Foshan, ville de 8 millions d'habitants dans la province de Canton. Son climat est chaud et humide. Cette éco-cité prévoit d'accueillir une population de 60 000 habitants dans les 5 prochaines années. Depuis une dizaine d'années, la collectivité met en place une politique de développement durable qui a permis de restaurer les milieux naturels et la biodiversité, de généraliser le système de desserte par bus électrique et modes de transport doux, de dépolluer les réseaux hydrauliques et de préserver les villages anciens dans le projet d'urbanisme. Le périmètre de l'éco-cité, bordé d'un fleuve et de canaux, se situe à proximité du centre de production de céramique, l'un des plus importants de Chine, et activité ancestrale sur ce territoire. Seules les entreprises non polluantes y sont acceptées. Les centres de tri des déchets sont installés dans les quartiers pour faciliter le ramassage. Ce qui est recyclable est vendu et le resté compacté et enfoui. Les prochaines étapes de cette éco-cité, en collaboration avec le CSTB, consistent à améliorer le projet urbain en développant certains îlots de façon exemplaire, en termes de morphologie urbaine et d'économie d'énergies. Il s'agit également de pousser plus loin les efforts pour la dépollution du réseau hydraulique et le traitement des déchets. L'éco-cité devra augmenter sa production d'énergies renouvelables. En savoir plus : 5 villes chinoises primées Eco-cités pilotes franco-chinoises Le CSTB s'investit dans la création de villes durables en Chine Contact : Cristina Garcez
Il y a 7 ans et 51 jours

Partenariat R&D construction bois entre Eiffage Construction, PIVETEAUBOIS et le CSTB : Analyse et conception multicritères de systèmes de planchers bois

Le jeudi 12 avril à Dijon, au Forum International Bois Construction, Eiffage Construction, PIVETEAUBOIS et le CSTB ont engagé un partenariat de Recherche & Développement dédié à la construction bois. À l'issue de la conférence « Construction bois : plan climat et politique d'urbanisme », les trois acteurs ont ainsi présenté les grandes étapes de ce partenariat portant sur l'analyse et la conception multicritères de systèmes de planchers bois. Le développement des projets de construction bois appelle à la fois la résolution de diverses questions technologiques et des optimisations en termes de dimensionnement. Ceci suppose des analyses multicritères intégrant notamment les phénomènes acoustiques et vibratoires et prenant en compte le poids environnemental des choix opérés. C'est par exemple le cas pour les planchers bois, pour lesquels certaines exigences techniques ont un impact conséquent, en termes d'épaisseur et de surcoût associé notamment. Ce qui pose une question centrale : est-il possible de concevoir et de dimensionner des systèmes de planchers bois donnés, tout en minimisant leur épaisseur et en garantissant le respect des exigences de confort acoustique, dynamique et thermique, ainsi que les exigences de tenue structurelle ? C'est autour de cette question spécifique qu'Eiffage Construction, filiale du groupe Eiffage, PIVETEAUBOIS, fabricant de solutions bois et le CSTB, au service de l'innovation dans le bâtiment, ont décidé d'associer leurs expertises. En savoir plus : Communiqué de presse, avril 2018
Il y a 7 ans et 51 jours

Partenariat R&D construction bois entre Eiffage Construction, PIVETEAUBOIS et le CSTB : Analyse et conception multicritères de systèmes de planchers bois

Le jeudi 12 avril à Dijon, au Forum International Bois Construction, Eiffage Construction, PIVETEAUBOIS et le CSTB ont engagé un partenariat de Recherche & Développement dédié à la construction bois. À l'issue de la conférence « Construction bois : plan climat et politique d'urbanisme », les trois acteurs ont ainsi présenté les grandes étapes de ce partenariat portant sur l'analyse et la conception multicritères de systèmes de planchers bois. Le développement des projets de construction bois appelle à la fois la résolution de diverses questions technologiques et des optimisations en termes de dimensionnement. Ceci suppose des analyses multicritères intégrant notamment les phénomènes acoustiques et vibratoires et prenant en compte le poids environnemental des choix opérés. C'est par exemple le cas pour les planchers bois, pour lesquels certaines exigences techniques ont un impact conséquent, en termes d'épaisseur et de surcoût associé notamment. Ce qui pose une question centrale : est-il possible de concevoir et de dimensionner des systèmes de planchers bois donnés, tout en minimisant leur épaisseur et en garantissant le respect des exigences de confort acoustique, dynamique et thermique, ainsi que les exigences de tenue structurelle ? C'est autour de cette question spécifique qu'Eiffage Construction, filiale du groupe Eiffage, PIVETEAUBOIS, fabricant de solutions bois et le CSTB, au service de l'innovation dans le bâtiment, ont décidé d'associer leurs expertises. En savoir plus : Communiqué de presse, avril 2018
Il y a 7 ans et 61 jours

Lancement de KROQI, la Plateforme numérique Bâtiment au service des TPE/PME de la construction, à BIM World 2018

Jeudi 29 mars, à BIM World, Julien Denormandie, secrétaire d'État auprès du ministre de la Cohésion des territoires, a lancé KROQI, la Plateforme numérique Bâtiment, intégrant de nouveaux services adaptés aux besoins des professionnels. KROQI, la plateforme publique, gratuite et pérenne, développée par les pouvoirs publics, s'inscrit à présent dans un écosystème fiable de services complémentaires et interconnectés, accessibles dès aujourd'hui à l'ensemble de la filière construction. Plateforme numérique Bâtiment : enjeux & étapes-clés Pour réussir la transition numérique du bâtiment, il est essentiel d'y impliquer tous les acteurs du secteur, en facilitant leur accès au BIM, sans créer de fracture. Comprendre, utiliser et s'approprier le BIM est en effet devenu incontournable pour l'ensemble de la filière. Pour les TPE/PME notamment, les atouts sont multiples : économiques (gain de temps sur les chantiers, rationalisation des coûts), pratiques (optimisation des échanges avec les autres intervenants) et techniques (amélioration globale de la qualité, réduction des sinistres). Afin d'apporter une réponse concrète et opérationnelle à cette priorité, les pouvoirs publics ont souhaité doter la filière d'un outil innovant, accessible à tous gratuitement. C'est dans ce contexte qu'a été initié en mars 2016, à travers le PTNB, le projet d'une plateforme publique destinée à faciliter l'accès des TPE/PME de la construction aux outils collaboratifs et au BIM. Confié au CSTB, le développement de la Plateforme numérique Bâtiment a été mené en concertation avec les organisations professionnelles et les acteurs de la construction. Il s'articule autour de plusieurs étapes-clés. En novembre 2017, l'ensemble de la filière était invité à expérimenter l'outil en version béta-publique, et un premier Appel à Manifestation d'Intérêt était lancé, visant à faire émerger des solutions techniques à forte valeur ajoutée pour les TPE/PME. Dans le même temps, dans le cadre de Batimat 2017, Jacques Mézard, ministre de la Cohésion des territoires, annonçait l'accès gratuit pour tous les acteurs, jusqu'en 2022, de la Plateforme numérique Bâtiment. KROQI : la plateforme publique adaptée aux besoins des TPE/PME de la construction Déjà expérimentée par plus de 3 000 utilisateurs, TPE/PME, artisans, architectes, bureaux d'étude, aménageurs, la Plateforme numérique Bâtiment, nommée KROQI, a été lancée à BIM World 2018 par Julien Denormandie, secrétaire d'État auprès du ministre de la Cohésion des territoires. Visant à faciliter le travail collaboratif pour tous les acteurs avec la maquette numérique, pour tous types de projets, sur l'ensemble du cycle de vie, KROQI réunit diverses fonctionnalités : Partager en temps réel, dans un langage commun, des informations et des documents autour d'un projet ; Générer une maquette 3D à partir d'un plan 2D ; Visualiser et annoter les maquettes numériques, vérifier leur compatibilité en vue d'usages spécifiques (respect des standards, contrôle technique, assurance, étude d'impact acoustique, thermique, etc.) ; Accéder rapidement à des informations de la maquette (nombres de portes, surfaces plancher, surfaces vitrées, surfaces à carreler, linéaires de cloisons, longueurs de câbles, de tuyaux, etc.) ; Aider au chiffrage des travaux et créer rapidement des devis ; Etc. Un écosystème de services complémentaires et interconnectés, enrichi en continu La filière bâtiment regroupe autour de mêmes projets, une large diversité d'acteurs et d'usages. Tous se rassemblent autour d'un même besoin de collaboration, chacun avec des attentes particulières, liées aux différentes spécificités métiers. Opérationnelle et accessible gratuitement à tous dès aujourd'hui, KROQI a vocation à répondre à tous ces besoins. Pour cela, le socle fonctionnel de KROQI est associé à un écosystème de services complémentaires et interconnectés, identifiés dans le cadre du 1er Appel à Manifestation d'Intérêt, lancé en novembre 2017. Ouvert aux start-up et éditeurs de logiciels, cet AMI a permis de sélectionner 8 premiers lauréats, parmi lesquels 4 services sont accessibles dès aujourd'hui via KROQI. 10 autres lauréats, présentés à BIM World, ont par ailleurs été sélectionnés dans le cadre de la seconde vague de l'Appel à Manifestation d'Intérêt. Tous ont proposé des services et fonctionnalités adaptés aux diverses attentes de la filière construction, en cohérence avec l'objectif clé de KROQI. Dans la continuité de cette démarche, un second Appel à Manifestation d'Intérêt sera lancé auprès des éditeurs de logiciels et start-up durant le 1er semestre 2018. En savoir plus : Fiche de présentation de KROQI Site web www.kroqi.fr Communiqué de presse du ministère de la Cohésion des territoires, mars 2018 Communiqué de presse sur la Plateforme numérique Bâtiment, Batimat 2017
Il y a 7 ans et 61 jours

Lancement de KROQI, la Plateforme numérique Bâtiment au service des TPE/PME de la construction, à BIM World 2018

Jeudi 29 mars, à BIM World, Julien Denormandie, secrétaire d'État auprès du ministre de la Cohésion des territoires, a lancé KROQI, la Plateforme numérique Bâtiment, intégrant de nouveaux services adaptés aux besoins des professionnels. KROQI, la plateforme publique, gratuite et pérenne, développée par les pouvoirs publics, s'inscrit à présent dans un écosystème fiable de services complémentaires et interconnectés, accessibles dès aujourd'hui à l'ensemble de la filière construction. Plateforme numérique Bâtiment : enjeux & étapes-clés Pour réussir la transition numérique du bâtiment, il est essentiel d'y impliquer tous les acteurs du secteur, en facilitant leur accès au BIM, sans créer de fracture. Comprendre, utiliser et s'approprier le BIM est en effet devenu incontournable pour l'ensemble de la filière. Pour les TPE/PME notamment, les atouts sont multiples : économiques (gain de temps sur les chantiers, rationalisation des coûts), pratiques (optimisation des échanges avec les autres intervenants) et techniques (amélioration globale de la qualité, réduction des sinistres). Afin d'apporter une réponse concrète et opérationnelle à cette priorité, les pouvoirs publics ont souhaité doter la filière d'un outil innovant, accessible à tous gratuitement. C'est dans ce contexte qu'a été initié en mars 2016, à travers le PTNB, le projet d'une plateforme publique destinée à faciliter l'accès des TPE/PME de la construction aux outils collaboratifs et au BIM. Confié au CSTB, le développement de la Plateforme numérique Bâtiment a été mené en concertation avec les organisations professionnelles et les acteurs de la construction. Il s'articule autour de plusieurs étapes-clés. En novembre 2017, l'ensemble de la filière était invité à expérimenter l'outil en version béta-publique, et un premier Appel à Manifestation d'Intérêt était lancé, visant à faire émerger des solutions techniques à forte valeur ajoutée pour les TPE/PME. Dans le même temps, dans le cadre de Batimat 2017, Jacques Mézard, ministre de la Cohésion des territoires, annonçait l'accès gratuit pour tous les acteurs, jusqu'en 2022, de la Plateforme numérique Bâtiment. KROQI : la plateforme publique adaptée aux besoins des TPE/PME de la construction Déjà expérimentée par plus de 3 000 utilisateurs, TPE/PME, artisans, architectes, bureaux d'étude, aménageurs, la Plateforme numérique Bâtiment, nommée KROQI, a été lancée à BIM World 2018 par Julien Denormandie, secrétaire d'État auprès du ministre de la Cohésion des territoires. Visant à faciliter le travail collaboratif pour tous les acteurs avec la maquette numérique, pour tous types de projets, sur l'ensemble du cycle de vie, KROQI réunit diverses fonctionnalités : Partager en temps réel, dans un langage commun, des informations et des documents autour d'un projet ; Générer une maquette 3D à partir d'un plan 2D ; Visualiser et annoter les maquettes numériques, vérifier leur compatibilité en vue d'usages spécifiques (respect des standards, contrôle technique, assurance, étude d'impact acoustique, thermique, etc.) ; Accéder rapidement à des informations de la maquette (nombres de portes, surfaces plancher, surfaces vitrées, surfaces à carreler, linéaires de cloisons, longueurs de câbles, de tuyaux, etc.) ; Aider au chiffrage des travaux et créer rapidement des devis ; Etc. Un écosystème de services complémentaires et interconnectés, enrichi en continu La filière bâtiment regroupe autour de mêmes projets, une large diversité d'acteurs et d'usages. Tous se rassemblent autour d'un même besoin de collaboration, chacun avec des attentes particulières, liées aux différentes spécificités métiers. Opérationnelle et accessible gratuitement à tous dès aujourd'hui, KROQI a vocation à répondre à tous ces besoins. Pour cela, le socle fonctionnel de KROQI est associé à un écosystème de services complémentaires et interconnectés, identifiés dans le cadre du 1er Appel à Manifestation d'Intérêt, lancé en novembre 2017. Ouvert aux start-up et éditeurs de logiciels, cet AMI a permis de sélectionner 8 premiers lauréats, parmi lesquels 4 services sont accessibles dès aujourd'hui via KROQI. 10 autres lauréats, présentés à BIM World, ont par ailleurs été sélectionnés dans le cadre de la seconde vague de l'Appel à Manifestation d'Intérêt. Tous ont proposé des services et fonctionnalités adaptés aux diverses attentes de la filière construction, en cohérence avec l'objectif clé de KROQI. Dans la continuité de cette démarche, un second Appel à Manifestation d'Intérêt sera lancé auprès des éditeurs de logiciels et start-up durant le 1er semestre 2018. En savoir plus : Fiche de présentation de KROQI Site web www.kroqi.fr Communiqué de presse du ministère de la Cohésion des territoires, mars 2018 Communiqué de presse sur la Plateforme numérique Bâtiment, Batimat 2017
Il y a 7 ans et 74 jours

Le CSTB à BIM WORLD 2018

Les experts du CSTB vous accueillent les 28 et 29 mars au salon BIM WORLD, Espace Grande Arche - Paris La Défense, sur le stand n° 131. Partagez vos besoins autour du BIM, assistez aux conférences et démonstrations live, et découvrez l'offre de services du CSTB. Le CSTB'Lab, incubateur du CSTB, qui s'adresse aux jeunes entreprises porteuses de projets innovants dans la construction, vous accueille également sur son stand n° 141. Rendez-vous sur le stand du CSTB : Stand CSTB n° 131 Où et quand ? Espace Grande Arche de la Défense à Paris, les 28 et 29 mars 2018 Pour vous inscrire, saisir le code invitation : EXHCST2939 Contacts : Offre Recherche et Expertise : Eric Lebègue / eric.lebegue@cstb.fr Éditions et Formations : Bernard Clément / bernard.clement@cstb.fr Venez rencontrer les experts du CSTB sur son stand. Partagez vos besoins et bénéficiez de conseils sur mesure pour accélérer votre transition numérique. Vous êtes une start-up ? Rendez-vous au CSTB'Lab, stand n° 141 L'incubateur du CSTB vous soutient dans le développement de produits et services innovants à forte valeur ajoutée pour la construction, notamment dans le numérique et le BIM. Il favorise le transfert de technologies et s'appuie sur les résultats de recherche du CSTB. Le CSTB'Lab est lancé en partenariat avec IMPULSE LAB. www.cstb-lab.fr Assistez aux conférences sur le BIM " Enjeux économiques, grandes politiques et gouvernance du BIM en Europe " Intervention de Souheil Soubra, directeur Technologies de l'information, CSTB > Conférence mercredi 28 mars, 17h15/18h15, Espace Le Corbusier " La simulation énergétique et le BIM " Intervenants : Ewen Raballand, chargé d'affaires, bureau d'études Etamines Paul Sette, ingénieur Études et Recherche, direction Technologies de l'information, CSTB > Atelier CSTB mercredi 28 mars, 11h/11h25, salle Da Vinci Découvrez l'offre de services BIM multi-échelles En fonction de votre métier, de votre stratégie, le CSTB vous accompagne dans votre démarche numérique et met le BIM au service de vos besoins. Il est votre partenaire pour améliorer la productivité et la performance de vos projets, et pour développer des nouveaux services logiciels en s'appuyant sur les technologies numériques. Embarquez le BIM dans vos projets L'environnement logiciel eveBIM Entrez dans la salle Oscar Niemeyer... Partagez une expérience BIM inédite ! Dans la salle Oscar Niemeyer du CSTB, à Paris, offrez un nouveau regard sur vos projets et bénéficiez d'un environnement de travail collaboratif. Valorisez vos réalisations dans cet espace de simulation virtuelle et interactive, en utilisant les dernières technologies numériques. La salle Oscar Niemeyer du CSTB : le film La salle Oscar Niemeyer du CSTB : la brochure Bénéficiez de formations BIM Le CSTB propose des formations BIM, en présentiel ou à distance, adaptées à chacun des acteurs de la construction pour une meilleure compréhension des fondamentaux et de leur application. Nouveau : 4 formations sont proposées en salle Oscar Niemeyer. Formations BIM et maquette numérique Plus d'info sur l'offre technico-réglementaire du CSTB sur Batipedia.com
Il y a 7 ans et 74 jours

Le CSTB à BIM WORLD 2018

Les experts du CSTB vous accueillent les 28 et 29 mars au salon BIM WORLD, Espace Grande Arche - Paris La Défense, sur le stand n° 131. Partagez vos besoins autour du BIM, assistez aux conférences et démonstrations live, et découvrez l'offre de services du CSTB. Le CSTB'Lab, incubateur du CSTB, qui s'adresse aux jeunes entreprises porteuses de projets innovants dans la construction, vous accueille également sur son stand n° 141. Rendez-vous sur le stand du CSTB : Stand CSTB n° 131 Où et quand ? Espace Grande Arche de la Défense à Paris, les 28 et 29 mars 2018 Pour vous inscrire, saisir le code invitation : EXHCST2939 Contacts : Offre Recherche et Expertise : Eric Lebègue / eric.lebegue@cstb.fr Éditions et Formations : Bernard Clément / bernard.clement@cstb.fr Venez rencontrer les experts du CSTB sur son stand. Partagez vos besoins et bénéficiez de conseils sur mesure pour accélérer votre transition numérique. Vous êtes une start-up ? Rendez-vous au CSTB'Lab, stand n° 141 L'incubateur du CSTB vous soutient dans le développement de produits et services innovants à forte valeur ajoutée pour la construction, notamment dans le numérique et le BIM. Il favorise le transfert de technologies et s'appuie sur les résultats de recherche du CSTB. Le CSTB'Lab est lancé en partenariat avec IMPULSE LAB. www.cstb-lab.fr Assistez aux conférences sur le BIM " Enjeux économiques, grandes politiques et gouvernance du BIM en Europe " Intervention de Souheil Soubra, directeur Technologies de l'information, CSTB > Conférence mercredi 28 mars, 17h15/18h15, Espace Le Corbusier " La simulation énergétique et le BIM " Intervenants : Ewen Raballand, chargé d'affaires, bureau d'études Etamines Paul Sette, ingénieur Études et Recherche, direction Technologies de l'information, CSTB > Atelier CSTB mercredi 28 mars, 11h/11h25, salle Da Vinci Découvrez l'offre de services BIM multi-échelles En fonction de votre métier, de votre stratégie, le CSTB vous accompagne dans votre démarche numérique et met le BIM au service de vos besoins. Il est votre partenaire pour améliorer la productivité et la performance de vos projets, et pour développer des nouveaux services logiciels en s'appuyant sur les technologies numériques. Embarquez le BIM dans vos projets L'environnement logiciel eveBIM Entrez dans la salle Oscar Niemeyer... Partagez une expérience BIM inédite ! Dans la salle Oscar Niemeyer du CSTB, à Paris, offrez un nouveau regard sur vos projets et bénéficiez d'un environnement de travail collaboratif. Valorisez vos réalisations dans cet espace de simulation virtuelle et interactive, en utilisant les dernières technologies numériques. La salle Oscar Niemeyer du CSTB : le film La salle Oscar Niemeyer du CSTB : la brochure Bénéficiez de formations BIM Le CSTB propose des formations BIM, en présentiel ou à distance, adaptées à chacun des acteurs de la construction pour une meilleure compréhension des fondamentaux et de leur application. Nouveau : 4 formations sont proposées en salle Oscar Niemeyer. Formations BIM et maquette numérique Plus d'info sur l'offre technico-réglementaire du CSTB sur Batipedia.com
Il y a 7 ans et 79 jours

Journée technique auprès des acteurs du négoce de la construction

En partenariat avec la Fédération du Négoce de bois et des Matériaux de construction (FNBM), le CSTB a accueilli une trentaine d'acteurs du négoce mercredi 21 mars dernier sur son site à Champs-sur-Marne. Cette Journée s'est ouverte par une prise de parole du délégué général de cette fédération, Laurent Martin Saint-Léon, et de Charles Baloche, directeur général adjoint en charge des Activités technologiques du CSTB. Cette rencontre a permis d'échanger autour des enjeux et atouts de la certification, et de partager une visite des plateformes d'essais du CSTB. Un déjeuner networking a clôturé cette Journée. Une deuxième édition sera proposée aux acteurs de la distribution en septembre 2018. Les professionnels du négoce ont besoin d'apporter une information claire, crédible, fiable et reconnue qui répond aux besoins des clients - entreprises de construction. Le CSTB leur a présenté son offre pour accompagner l'innovation et la qualité des produits et services : les prestations d'évaluation - ATEx, Avis Technique, etc. " et de Certification sous les marques NF, ACERMI et QB avec les classements associés. > Retrouvez la présentation en vidéo La visite de 6 plateformes d'essais du CSTB a par ailleurs permis aux acteurs d'apprécier la qualité des prestations proposées dans le domaine des Baies et vitrages, Revêtements de sol, Hygrothermique des ouvrages, Acoustique " LABE, Résistance et réaction au feu - VULCAIN, Réseaux et équipements sanitaires. > Toutes les plateformes d'essais Cette Journée Technique, clôturée par un déjeuner networking, a réuni les professionnels du marché et les équipes du CSTB. En savoir plus : Le site de la Fédération du Négoce de bois et des Matériaux de construction (FNBM) La certification du CSTB par marque Les prestations d'évaluation du CSTB
Il y a 7 ans et 79 jours

Journée technique auprès des acteurs du négoce de la construction

En partenariat avec la Fédération du Négoce de bois et des Matériaux de construction (FNBM), le CSTB a accueilli une trentaine d'acteurs du négoce mercredi 21 mars dernier sur son site à Champs-sur-Marne. Cette Journée s'est ouverte par une prise de parole du délégué général de cette fédération, Laurent Martin Saint-Léon, et de Charles Baloche, directeur général adjoint en charge des Activités technologiques du CSTB. Cette rencontre a permis d'échanger autour des enjeux et atouts de la certification, et de partager une visite des plateformes d'essais du CSTB. Un déjeuner networking a clôturé cette Journée. Une deuxième édition sera proposée aux acteurs de la distribution en septembre 2018. Les professionnels du négoce ont besoin d'apporter une information claire, crédible, fiable et reconnue qui répond aux besoins des clients - entreprises de construction. Le CSTB leur a présenté son offre pour accompagner l'innovation et la qualité des produits et services : les prestations d'évaluation - ATEx, Avis Technique, etc. " et de Certification sous les marques NF, ACERMI et QB avec les classements associés. > Retrouvez la présentation en vidéo La visite de 6 plateformes d'essais du CSTB a par ailleurs permis aux acteurs d'apprécier la qualité des prestations proposées dans le domaine des Baies et vitrages, Revêtements de sol, Hygrothermique des ouvrages, Acoustique " LABE, Résistance et réaction au feu - VULCAIN, Réseaux et équipements sanitaires. > Toutes les plateformes d'essais Cette Journée Technique, clôturée par un déjeuner networking, a réuni les professionnels du marché et les équipes du CSTB. En savoir plus : Le site de la Fédération du Négoce de bois et des Matériaux de construction (FNBM) La certification du CSTB par marque Les prestations d'évaluation du CSTB
Il y a 7 ans et 85 jours

Partenariat R&D entre la Régie Immobilière de la Ville de Paris et le CSTB autour de 4 fondamentaux : Numérique, Énergie & Environnement, Santé et Confort

La Régie Immobilière de la Ville de Paris (RIVP) et le CSTB ont associé leurs expertises autour de 4 thématiques : numérique, énergie & carbone, amiante et sécurité incendie. Dans le cadre du partenariat signé le 9 mars 2018, des premiers travaux sont d'ores et déjà programmés autour du BIM. Un sujet majeur pour la RIVP qui souhaite s'approprier pleinement cette démarche pour toutes ses actions de suivi de conception, construction, rénovation puis exploitation de ses immeubles de logements. Cette convention constitue ainsi un partenariat clé liant le CSTB à un bailleur social sur le sujet spécifique du BIM. Au-delà, elle s'inscrit pleinement dans la stratégie de gestion de patrimoine de la RIVP et fournira au CSTB un terrain d'expérimentation pertinent pour tester, développer et déployer de nouvelles solutions au service du bâtiment et de la ville durable. En savoir plus : Lire le communiqué de presse, RIVP-CSTB, mars 2018
Il y a 7 ans et 85 jours

Partenariat R&D entre la Régie Immobilière de la Ville de Paris et le CSTB autour de 4 fondamentaux : Numérique, Énergie & Environnement, Santé et Confort

La Régie Immobilière de la Ville de Paris (RIVP) et le CSTB ont associé leurs expertises autour de 4 thématiques : numérique, énergie & carbone, amiante et sécurité incendie. Dans le cadre du partenariat signé le 9 mars 2018, des premiers travaux sont d'ores et déjà programmés autour du BIM. Un sujet majeur pour la RIVP qui souhaite s'approprier pleinement cette démarche pour toutes ses actions de suivi de conception, construction, rénovation puis exploitation de ses immeubles de logements. Cette convention constitue ainsi un partenariat clé liant le CSTB à un bailleur social sur le sujet spécifique du BIM. Au-delà, elle s'inscrit pleinement dans la stratégie de gestion de patrimoine de la RIVP et fournira au CSTB un terrain d'expérimentation pertinent pour tester, développer et déployer de nouvelles solutions au service du bâtiment et de la ville durable. En savoir plus : Lire le communiqué de presse, RIVP-CSTB, mars 2018
Il y a 7 ans et 93 jours

Le nouveau Tribunal de Grande Instance de Paris deux fois primé

Le Tribunal de Grande Instance de Paris, qui ouvrira ses portes au printemps 2018, a été récompensé par le Grand prix national de l'Ingénierie et l'Équerre d'argent 2017. Il est également certifié HQE Bâtiment Tertiaire par Certivéa. La conception de ce bâtiment moderne exemplaire a mobilisé l'expertise du CSTB en aérodynamique et éclairage, et son intervention dans l'évaluation de procédés innovants. La stabilité au vent de l'édifice 160 mètres de haut, 38 étages construits sur 3 blocs au-dessus d'un socle : le Tribunal de Grande Instance (TGI) est le deuxième plus haut bâtiment à Paris. Son architecture atypique, très large dans un sens et étroite dans l'autre, a été dessinée par l'agence d'architecture Renzo Piano Building Workshop pour optimiser l'espace au sol. Cette forme effilée expose fortement la structure aux vents. Le rôle du CSTB a consisté à mesurer la résistance au vent de l'édifice, au travers d'essais en soufflerie sur une maquette du projet à l'échelle 1/250e. Son étude aérodynamique a contribué à orienter la conception de l'ouvrage autour de 3 noyaux de béton, qui forment sa colonne vertébrale (structure principale). Par ailleurs, sur les plus hauts étages de ses 3 blocs, l'édifice intègre des panneaux photovoltaïques destinés à couvrir une partie de ses besoins en énergie. Mesurer les efforts de ces panneaux photovoltaïques en façade, soumis au vent, est important pour garantir leur stabilité. Dans cet objectif, des tests en soufflerie atmosphérique ont été réalisés par le CSTB sur une maquette au 1/75e des panneaux. Le confort des usagers Autre enjeu de conception : le confort des 9 000 personnes qui vont chaque jour fréquenter le Tribunal de Grande Instance de Paris. Paré de verre en façade, le TGI ouvre ses portes, à l'intérieur, sur un atrium haut et lumineux : la salle des pas perdus. Les experts du CSTB ont été sollicités pour l'étude et l'optimisation de l'éclairage naturel de cet espace de plus de 5 000 m². Façade vitrée, verrière ou puits de lumière ? Avec quels vitrages ? Et quelle forme pour les puits de lumière ? C'est à ces questions que le CSTB s'est attelé, en s'appuyant sur un modèle 3D complet du TGI et son logiciel de photo-simulation Phanie. Le CSTB a comparé l'apport de chaque type d'ouverture pour différentes configurations d'aménagement et diverses conditions lumineuses extérieures (ciel couvert, ciel serein?). Ses simulations d'éclairage ont guidé les choix architecturaux de l'atrium. Celui-ci se pare ainsi aujourd'hui d'une façade vitrée et de nombreux puits de lumière, orientés sud pour un rendement optimisé. Par ailleurs, le CSTB a accompagné la conception des trois grandes terrasses végétalisées du TGI. Situées à plus de 30 mètres au-dessus du sol, dans un environnement de faible hauteur, celles-ci sont très exposées au vent. Afin de les rendre confortables aux usagers, le projet a intégré des garde-corps de protection. Le CSTB, sollicité pour évaluer et optimiser cette installation, a montré l'intérêt d'adapter localement la taille et la porosité de ces écrans. C'est le cas par exemple sur certaines zones proches des tours, exposées aux vents d'ouest dominants. Le CSTB a appuyé ses recommandations sur les résultats d'essais menés en soufflerie atmosphérique. Après avoir reproduit sur maquette au 1/250ème l'aménagement des terrasses végétalisées, il a testé et analysé différentes configurations pour améliorer leur confort au vent. Enfin, le bien-être des occupants du TGI a été renforcé par le choix d'une façade double peau. Concrètement, une lame d'air sépare la peau extérieure et la peau intérieure, toutes deux en verre. La seconde est dotée d'ouvrants, ce qui contribue à la bonne ventilation des lieux. Le CSTB est intervenu dans l'évaluation (ATEx de type b) du procédé de collage (mastic VEC) qui maintient la peau extérieure sur l'ossature du bâtiment. Dans ce cadre, il a réalisé des essais à échelle 1 pour le façadier Permasteelisa. Le procédé a été testé en chambre climatique pour vérifier qu'en toutes circonstances, il n'y avait pas d'embuage. En savoir plus : L'expertise du CSTB au service des Grands Ouvrages Évaluation (ATEx) par le CSTB des procédés innovants Film sur l'ingénierie du Tribunal de Grande Instance de Paris (Setec TPi) Grand Prix national de l'Ingénierie 2017 : lauréats Équerre d'Argent 2017 : palmarès des lauréats
Il y a 7 ans et 93 jours

Le nouveau Tribunal de Grande Instance de Paris deux fois primé

Le Tribunal de Grande Instance de Paris, qui ouvrira ses portes au printemps 2018, a été récompensé par le Grand prix national de l'Ingénierie et l'Équerre d'argent 2017. Il est également certifié HQE Bâtiment Tertiaire par Certivéa. La conception de ce bâtiment moderne exemplaire a mobilisé l'expertise du CSTB en aérodynamique et éclairage, et son intervention dans l'évaluation de procédés innovants. La stabilité au vent de l'édifice 160 mètres de haut, 38 étages construits sur 3 blocs au-dessus d'un socle : le Tribunal de Grande Instance (TGI) est le deuxième plus haut bâtiment à Paris. Son architecture atypique, très large dans un sens et étroite dans l'autre, a été dessinée par l'agence d'architecture Renzo Piano Building Workshop pour optimiser l'espace au sol. Cette forme effilée expose fortement la structure aux vents. Le rôle du CSTB a consisté à mesurer la résistance au vent de l'édifice, au travers d'essais en soufflerie sur une maquette du projet à l'échelle 1/250e. Son étude aérodynamique a contribué à orienter la conception de l'ouvrage autour de 3 noyaux de béton, qui forment sa colonne vertébrale (structure principale). Par ailleurs, sur les plus hauts étages de ses 3 blocs, l'édifice intègre des panneaux photovoltaïques destinés à couvrir une partie de ses besoins en énergie. Mesurer les efforts de ces panneaux photovoltaïques en façade, soumis au vent, est important pour garantir leur stabilité. Dans cet objectif, des tests en soufflerie atmosphérique ont été réalisés par le CSTB sur une maquette au 1/75e des panneaux. Le confort des usagers Autre enjeu de conception : le confort des 9 000 personnes qui vont chaque jour fréquenter le Tribunal de Grande Instance de Paris. Paré de verre en façade, le TGI ouvre ses portes, à l'intérieur, sur un atrium haut et lumineux : la salle des pas perdus. Les experts du CSTB ont été sollicités pour l'étude et l'optimisation de l'éclairage naturel de cet espace de plus de 5 000 m². Façade vitrée, verrière ou puits de lumière ? Avec quels vitrages ? Et quelle forme pour les puits de lumière ? C'est à ces questions que le CSTB s'est attelé, en s'appuyant sur un modèle 3D complet du TGI et son logiciel de photo-simulation Phanie. Le CSTB a comparé l'apport de chaque type d'ouverture pour différentes configurations d'aménagement et diverses conditions lumineuses extérieures (ciel couvert, ciel serein?). Ses simulations d'éclairage ont guidé les choix architecturaux de l'atrium. Celui-ci se pare ainsi aujourd'hui d'une façade vitrée et de nombreux puits de lumière, orientés sud pour un rendement optimisé. Par ailleurs, le CSTB a accompagné la conception des trois grandes terrasses végétalisées du TGI. Situées à plus de 30 mètres au-dessus du sol, dans un environnement de faible hauteur, celles-ci sont très exposées au vent. Afin de les rendre confortables aux usagers, le projet a intégré des garde-corps de protection. Le CSTB, sollicité pour évaluer et optimiser cette installation, a montré l'intérêt d'adapter localement la taille et la porosité de ces écrans. C'est le cas par exemple sur certaines zones proches des tours, exposées aux vents d'ouest dominants. Le CSTB a appuyé ses recommandations sur les résultats d'essais menés en soufflerie atmosphérique. Après avoir reproduit sur maquette au 1/250ème l'aménagement des terrasses végétalisées, il a testé et analysé différentes configurations pour améliorer leur confort au vent. Enfin, le bien-être des occupants du TGI a été renforcé par le choix d'une façade double peau. Concrètement, une lame d'air sépare la peau extérieure et la peau intérieure, toutes deux en verre. La seconde est dotée d'ouvrants, ce qui contribue à la bonne ventilation des lieux. Le CSTB est intervenu dans l'évaluation (ATEx de type b) du procédé de collage (mastic VEC) qui maintient la peau extérieure sur l'ossature du bâtiment. Dans ce cadre, il a réalisé des essais à échelle 1 pour le façadier Permasteelisa. Le procédé a été testé en chambre climatique pour vérifier qu'en toutes circonstances, il n'y avait pas d'embuage. En savoir plus : L'expertise du CSTB au service des Grands Ouvrages Évaluation (ATEx) par le CSTB des procédés innovants Film sur l'ingénierie du Tribunal de Grande Instance de Paris (Setec TPi) Grand Prix national de l'Ingénierie 2017 : lauréats Équerre d'Argent 2017 : palmarès des lauréats
Il y a 7 ans et 94 jours

Le CSTB s'investit dans la création de villes durables en Chine

Avec deux organismes chinois partenaires, le CSTB est engagé dans le développement de la ville durable en Chine. À terme, une dizaine d'éco-cités devrait sortir de terre et devenir des villes référentes. Le gouvernement chinois met en "uvre une politique ambitieuse pour rééquilibrer la répartition de sa population sur son territoire. Tandis que le littoral du pays est urbanisé et saturé, il s'agit d'attirer de nouvelles populations dans des villes existantes de l'arrière-pays rural en créant les conditions d'un développement économique et social respectueux de l'environnement. Pour cela, deux partenariats ont été noués entre des organismes de gestion urbaine chinois et le CSTB. Un premier partenariat réunit la Chinese Society for Urban Studies (CSUS) et le CSTB. Il a été signé en mars 2017 à Pékin, et porte sur le conseil et la coopération pour la ville durable. Un second partenariat a été signé entre la China Eco-City Academy (CECA), chargée de la mise en "uvre de la politique urbaine nationale, et le CSTB en juin 2017, pour l'élaboration concrète d'une dizaine d'éco-cités sur des sites pilotes. Pour accompagner le développement urbain durable des villes chinoises, le CSTB a réuni des experts de différents domaines (énergie, environnement, gestion de l'eau, maîtrise des risques) et s'est associé à des urbanistes. L'équipe d'urbanistes est composée de David Mangin, grand prix de l'Urbanisme 2008 et Florence Bougnoux, son associée, spécialiste en ville durable, éco-quartiers et éco-cités, de l'agence SEURA. Sous l'impulsion du CSTB, la réflexion s'organise avec la CECA et les collectivités concernées au travers d'ateliers locaux, chacun étant dédié au développement de deux ou trois éco-cités. À ce jour, quatre villes ont déjà bénéficié de l'accompagnement du CSTB : Jingzhou à l'ouest de Shanghai, dans la province de Hubei ; Jilin et Panshi situées au nord de Pékin, dans la province de Jilin ; Qingyun dans la province de Shandong au nord-ouest du pays. Ce travail commun autour du développement urbain bas-carbone s'intègre dans un projet de labellisation " éco-cité ", en lien avec les 9 critères du label chinois " éco-cité ", porté par le ministère chinois du Logement et du Développement urbain et rural. En complément, ces quatre villes se sont engagées dans la certification HQE Aménagement. Une cinquième ville rejoint la démarche : Foshan, dans la province de Guangdong. Objectif Ville durable La conception des projets urbains, pilotée par le CSTB, intègre plusieurs thématiques afin de faire des villes actuelles des éco-cités. Il s'agit principalement de : Développement durable : application du facteur 4 pour la baisse des émissions de CO2 ; préservation des ressources naturelles et de la biodiversité ; recours aux ressources locales. Qualité de vie et santé : dépollution de l'eau des rivières et lacs à proximité, anticipation des risques d'inondation. La qualité de l'air est également un point clé. Mobilité : réduction de la place de la voiture, en augmentant l'offre des transports collectifs et en favorisant les déplacements à pied et à vélo. Traitement des déchets : diminution des déchets par le tri sélectif et la valorisation économique. Économies d'énergies, mesurées à l'échelle du bâtiment, de la ville et du territoire, avec des critères liés au développement de la stratégie bas carbone ou à l'utilisation d'énergies renouvelables. Autre enjeu majeur : le développement d'une identité attractive qui favorise l'économie, le patrimoine culturel et les ressources locales pour développer le tourisme et l'attrait des populations vers ces éco-cités.
Il y a 7 ans et 94 jours

Le CSTB s'investit dans la création de villes durables en Chine

Avec deux organismes chinois partenaires, le CSTB est engagé dans le développement de la ville durable en Chine. À terme, une dizaine d'éco-cités devrait sortir de terre et devenir des villes référentes. Le gouvernement chinois met en "uvre une politique ambitieuse pour rééquilibrer la répartition de sa population sur son territoire. Tandis que le littoral du pays est urbanisé et saturé, il s'agit d'attirer de nouvelles populations dans des villes existantes de l'arrière-pays rural en créant les conditions d'un développement économique et social respectueux de l'environnement. Pour cela, deux partenariats ont été noués entre des organismes de gestion urbaine chinois et le CSTB. Un premier partenariat réunit la Chinese Society for Urban Studies (CSUS) et le CSTB. Il a été signé en mars 2017 à Pékin, et porte sur le conseil et la coopération pour la ville durable. Un second partenariat a été signé entre la China Eco-City Academy (CECA), chargée de la mise en "uvre de la politique urbaine nationale, et le CSTB en juin 2017, pour l'élaboration concrète d'une dizaine d'éco-cités sur des sites pilotes. Pour accompagner le développement urbain durable des villes chinoises, le CSTB a réuni des experts de différents domaines (énergie, environnement, gestion de l'eau, maîtrise des risques) et s'est associé à des urbanistes. L'équipe d'urbanistes est composée de David Mangin, grand prix de l'Urbanisme 2008 et Florence Bougnoux, son associée, spécialiste en ville durable, éco-quartiers et éco-cités, de l'agence SEURA. Sous l'impulsion du CSTB, la réflexion s'organise avec la CECA et les collectivités concernées au travers d'ateliers locaux, chacun étant dédié au développement de deux ou trois éco-cités. À ce jour, quatre villes ont déjà bénéficié de l'accompagnement du CSTB : Jingzhou à l'ouest de Shanghai, dans la province de Hubei ; Jilin et Panshi situées au nord de Pékin, dans la province de Jilin ; Qingyun dans la province de Shandong au nord-ouest du pays. Ce travail commun autour du développement urbain bas-carbone s'intègre dans un projet de labellisation " éco-cité ", en lien avec les 9 critères du label chinois " éco-cité ", porté par le ministère chinois du Logement et du Développement urbain et rural. En complément, ces quatre villes se sont engagées dans la certification HQE Aménagement. Une cinquième ville rejoint la démarche : Foshan, dans la province de Guangdong. Objectif Ville durable La conception des projets urbains, pilotée par le CSTB, intègre plusieurs thématiques afin de faire des villes actuelles des éco-cités. Il s'agit principalement de : Développement durable : application du facteur 4 pour la baisse des émissions de CO2 ; préservation des ressources naturelles et de la biodiversité ; recours aux ressources locales. Qualité de vie et santé : dépollution de l'eau des rivières et lacs à proximité, anticipation des risques d'inondation. La qualité de l'air est également un point clé. Mobilité : réduction de la place de la voiture, en augmentant l'offre des transports collectifs et en favorisant les déplacements à pied et à vélo. Traitement des déchets : diminution des déchets par le tri sélectif et la valorisation économique. Économies d'énergies, mesurées à l'échelle du bâtiment, de la ville et du territoire, avec des critères liés au développement de la stratégie bas carbone ou à l'utilisation d'énergies renouvelables. Autre enjeu majeur : le développement d'une identité attractive qui favorise l'économie, le patrimoine culturel et les ressources locales pour développer le tourisme et l'attrait des populations vers ces éco-cités.
Il y a 7 ans et 94 jours

Bâtiment E+C- : des formations pour tous

Pour contribuer à la lutte contre le changement climatique, les acteurs de la construction sont engagés dans le développement du bâtiment à énergie positive et faible empreinte carbone, au travers d'une démarche collective et pragmatique : l'expérimentation E+C-. Par l'expérience et l'évaluation de projets concrets, cette démarche prépare le bâtiment performant aux standards de demain et sert de moteur à l'innovation. Le CSTB apporte son soutien à ce test grandeur réelle par le partage des connaissances et la montée en compétence des acteurs. Ce 6 mars 2018, il lance notamment un MOOC dédié à l'expérimentation E+C-, accessible à tous gratuitement en ligne. En collaboration avec des experts reconnus dans les domaines énergétique et environnementale, et avec ses équipes pédagogiques, le CSTB propose une gamme de formations qui répond aux besoins de chacun. Il s'agit dès aujourd'hui de permettre à tous les acteurs de s'appuyer sur un niveau de compétence élevé pour préparer le bâtiment de demain. Vous souhaitez vous informer sur l'expérimentation E+C- ? Inscrivez-vous au MOOC " Tout savoir sur l'expérimentation E+C- " Lancé le 6 mars 2018, ce MOOC (Massive Open Online Course) permet de comprendre le contexte et les enjeux de cette expérimentation, ainsi que les grandes lignes du référentiel. En 4 semaines, au travers de 4 séances d'une heure, vous apprenez l'essentiel ! Formation en ligne accessible à tous gratuitement sur la plateforme : mooc-batiment-durable Proposée par le CSTB Formations avec le soutien de l'ADEME et du programme PACTE Vous souhaitez aller plus loin et bénéficier d'une formation opérationnelle ? Optez pour le parcours PREMIUM Énergie Carbone, avec remise d'un Certificat CSTB de réussite Vous abordez l'ensemble des exigences spécifiques au bâtiment E+C- : les évolutions sur le plan énergétique et surtout le volet Carbone, véritable nouveauté. Vous réalisez une Analyse du Cycle de Vie avec un outil dédié et pouvez poser vos questions aux experts. Parcours Premium : Bâtiments à énergie positive et bas carbone Vous souhaitez accompagner les maîtres d'ouvrages dans leur processus de certification ? Devenez Référent Énergie Carbone reconnu par Certivéa Tout maître d'ouvrage qui souhaite faire labelliser son bâtiment E+C- peut faire appel à un professionnel : le Référent Énergie & Carbone. Celui-ci l'accompagne tout au long du projet de labellisation et réalise une évaluation du respect des exigences du référentiel. La formation du CSTB prépare à l'examen qui, une fois réussi, permet d'accéder au statut de Référent Énergie & Carbone reconnu par Certivéa. Devenir Référent Énergie & Carbone En complément, le CSTB Formations propose des dispositifs sur-mesure associant formation distancielle et présentielle. > Toute l'offre Formations du CSTB En savoir plus : 5 vidéos pédagogiques sur l'expérimentation E+C- L'offre d'accompagnement Énergie Carbone du CSTB
Il y a 7 ans et 95 jours

Bâtiment E+C- : des formations pour tous

Pour contribuer à la lutte contre le changement climatique, les acteurs de la construction sont engagés dans le développement du bâtiment à énergie positive et faible empreinte carbone, au travers d'une démarche collective et pragmatique : l'expérimentation E+C-. Par l'expérience et l'évaluation de projets concrets, cette démarche prépare le bâtiment performant aux standards de demain et sert de moteur à l'innovation. Le CSTB apporte son soutien à ce test grandeur réelle par le partage des connaissances et la montée en compétence des acteurs. Ce 6 mars 2018, il lance notamment un MOOC dédié à l'expérimentation E+C-, accessible à tous gratuitement en ligne. En collaboration avec des experts reconnus dans les domaines énergétique et environnementale, et avec ses équipes pédagogiques, le CSTB propose une gamme de formations qui répond aux besoins de chacun. Il s'agit dès aujourd'hui de permettre à tous les acteurs de s'appuyer sur un niveau de compétence élevé pour préparer le bâtiment de demain. Vous souhaitez vous informer sur l'expérimentation E+C- ? Inscrivez-vous au MOOC " Tout savoir sur l'expérimentation E+C- " Lancé le 6 mars 2018, ce MOOC (Massive Open Online Course) permet de comprendre le contexte et les enjeux de cette expérimentation, ainsi que les grandes lignes du référentiel. En 4 semaines, au travers de 4 séances d'une heure, vous apprenez l'essentiel ! Formation en ligne accessible à tous gratuitement sur la plateforme : mooc-batiment-durable Proposée par le CSTB Formations avec le soutien de l'ADEME et du programme PACTE Vous souhaitez aller plus loin et bénéficier d'une formation opérationnelle ? Optez pour le parcours PREMIUM Énergie Carbone, avec remise d'un Certificat CSTB de réussite Vous abordez l'ensemble des exigences spécifiques au bâtiment E+C- : les évolutions sur le plan énergétique et surtout le volet Carbone, véritable nouveauté. Vous réalisez une Analyse du Cycle de Vie avec un outil dédié et pouvez poser vos questions aux experts. Parcours Premium : Bâtiments à énergie positive et bas carbone Vous souhaitez accompagner les maîtres d'ouvrages dans leur processus de certification ? Devenez Référent Énergie Carbone reconnu par Certivéa Tout maître d'ouvrage qui souhaite faire labelliser son bâtiment E+C- peut faire appel à un professionnel : le Référent Énergie & Carbone. Celui-ci l'accompagne tout au long du projet de labellisation et réalise une évaluation du respect des exigences du référentiel. La formation du CSTB prépare à l'examen qui, une fois réussi, permet d'accéder au statut de Référent Énergie & Carbone reconnu par Certivéa. Devenir Référent Énergie & Carbone En complément, le CSTB Formations propose des dispositifs sur-mesure associant formation distancielle et présentielle. > Toute l'offre Formations du CSTB En savoir plus : 5 vidéos pédagogiques sur l'expérimentation E+C- L'offre d'accompagnement Énergie Carbone du CSTB
Il y a 7 ans et 96 jours

Le CSTB au salon MCE 2018 à Milan

Du 13 au 16 mars à Milan, en Italie, le CSTB participe au salon MCE (Mostra Convegno Expocomfort), salon international dédié au chauffage, climatisation, ventilation, assainissement et énergies renouvelables. Les équipes du CSTB animent un stand (hall 14, stand L93) autour des certifications NF et QB et de l'offre d'essais sur les canalisations et les équipements sanitaires. Le CSTB accompagne les industriels dans la validation des performances de leurs produits et délivre les marques de certification NF et QB pour les équipements hydrauliques et sanitaires. Il s'appuie sur son laboratoire hydraulique et équipements sanitaires, spécialisé dans le domaine des réseaux de fluides intérieurs et extérieurs. Dans ce laboratoire d'essais de 5 000 m² situé sur le site de Marne-la-Vallée, sont testées les canalisations qui assurent le transport de l'eau depuis le site de collecte, sa distribution dans les bâtiments jusqu'à son évacuation à l'égout. Y sont également testés la robinetterie, les appareils sanitaires et les équipements raccordés aux réseaux intérieurs. Par ailleurs, ce laboratoire procède à des essais sur la robinetterie gaz. En savoir plus : Site web du salon MCE Laboratoire CSTB dédié au réseau hydraulique et aux appareils sanitaires Certifications délivrées par le CSTB dans le domaine de l'hydraulique et des équipements sanitaires
Il y a 7 ans et 96 jours

Le CSTB au salon MCE 2018 à Milan

Du 13 au 16 mars à Milan, en Italie, le CSTB participe au salon MCE (Mostra Convegno Expocomfort), salon international dédié au chauffage, climatisation, ventilation, assainissement et énergies renouvelables. Les équipes du CSTB animent un stand (hall 14, stand L93) autour des certifications NF et QB et de l'offre d'essais sur les canalisations et les équipements sanitaires. Le CSTB accompagne les industriels dans la validation des performances de leurs produits et délivre les marques de certification NF et QB pour les équipements hydrauliques et sanitaires. Il s'appuie sur son laboratoire hydraulique et équipements sanitaires, spécialisé dans le domaine des réseaux de fluides intérieurs et extérieurs. Dans ce laboratoire d'essais de 5 000 m² situé sur le site de Marne-la-Vallée, sont testées les canalisations qui assurent le transport de l'eau depuis le site de collecte, sa distribution dans les bâtiments jusqu'à son évacuation à l'égout. Y sont également testés la robinetterie, les appareils sanitaires et les équipements raccordés aux réseaux intérieurs. Par ailleurs, ce laboratoire procède à des essais sur la robinetterie gaz. En savoir plus : Site web du salon MCE Laboratoire CSTB dédié au réseau hydraulique et aux appareils sanitaires Certifications délivrées par le CSTB dans le domaine de l'hydraulique et des équipements sanitaires
Il y a 7 ans et 107 jours

Cendra Motin, députée de la 6ème circonscription de l'Isère, visite les laboratoires du CSTB

De g. à d. Charles Baloche, directeur général adjoint en charge des Activités technologiques et directeur Technique du CSTB ; Étienne Crépon, président du CSTB ; Cendra Motin, députée de la 6ème circonscription de l'Isère ; Martial Bonhomme, responsable des études et essais Réaction au feu au CSTB Lors d'une visite des plateformes d'essais du CSTB, mercredi 14 février à Marne-la-Vallée, Cendra Motin, députée de la 6ème circonscription de l'Isère, a été accueillie par Étienne Crépon, président du CSTB, et Charles Baloche, directeur général adjoint en charge des Activités technologiques et directeur Technique. L'accompagnement du CSTB pour soutenir les projets des acteurs, a été illustré par des démonstrations d'essais dans différents domaines d'expertise : santé-confort, énergie, sécurité incendie. Ces échanges ont permis de partager les enjeux de service, de performance et d'innovation qui guident le travail des équipes au quotidien. En savoir plus : Les plateformes d'essais du CSTB Laboratoires ARIA dédiés à la qualité sanitaire des environnements intérieurs Laboratoire de réaction au feu dans la plateforme d'essais au feu VULCAIN Laboratoire hygrothermique des produits et procédés d'isolation La boîte chaude gardée
Il y a 7 ans et 107 jours

Cendra Motin, députée de la 6ème circonscription de l'Isère, visite les laboratoires du CSTB

De g. à d. Charles Baloche, directeur général adjoint en charge des Activités technologiques et directeur Technique du CSTB ; Étienne Crépon, président du CSTB ; Cendra Motin, députée de la 6ème circonscription de l'Isère ; Martial Bonhomme, responsable des études et essais Réaction au feu au CSTB Lors d'une visite des plateformes d'essais du CSTB, mercredi 14 février à Marne-la-Vallée, Cendra Motin, députée de la 6ème circonscription de l'Isère, a été accueillie par Étienne Crépon, président du CSTB, et Charles Baloche, directeur général adjoint en charge des Activités technologiques et directeur Technique. L'accompagnement du CSTB pour soutenir les projets des acteurs, a été illustré par des démonstrations d'essais dans différents domaines d'expertise : santé-confort, énergie, sécurité incendie. Ces échanges ont permis de partager les enjeux de service, de performance et d'innovation qui guident le travail des équipes au quotidien. En savoir plus : Les plateformes d'essais du CSTB Laboratoires ARIA dédiés à la qualité sanitaire des environnements intérieurs Laboratoire de réaction au feu dans la plateforme d'essais au feu VULCAIN Laboratoire hygrothermique des produits et procédés d'isolation La boîte chaude gardée
Il y a 7 ans et 130 jours

Membres de GS des Avis Techniques : plus de transparence au service des acteurs de la construction

Pour répondre aux exigences et attentes nouvelles des acteurs de la construction, la CCFAT a engagé depuis 2012 un plan de modernisation de l'Avis Technique (ATec) et des Documents Techniques d'Application (DTA). Elle renforce aujourd'hui la transparence attendue par les acteurs en publiant sur son site Internet le nom des employeurs des membres des Groupes Spécialisés (GS), qui formulent les Avis Techniques. La CCFAT lance également une nouvelle campagne de renouvellement de ses membres, un tiers des postes étant à renouveler. Vous pouvez désormais trouver sur le site de la CCFAT, la liste des membres des Groupes Spécialisés, triés par GS. L'information sur l'organisme employeur du membre de GS est à présent disponible pour tous les GS, en complément des informations déjà existantes : nom, prénom et date de début de mandat de l'expert. Cette publication, accessible à tous, marque la reconnaissance de l'impartialité des membres et renforce la crédibilité des travaux menés au sein des GS. Cette mesure complète les avancées qui ont été réalisées depuis cinq ans au service des industriels et de leurs clients, artisans, entreprises, maîtres d'ouvrage et maîtres d'"uvre : Réduction du délai d'instruction des demandes d'Avis Technique (délai moyen de 7 mois en 2017) ; Accompagnement spécifique des TPE/PME (avec des conditions tarifaires étudiées) ; Déclinaison de cette démarche d'accompagnement en région par des partenaires locaux, membres du Réseau National d'Accompagnement ; Recentrage des Avis Techniques vers les techniques plus innovantes. Lancement de la nouvelle campagne de renouvellement des membres de Groupes Spécialisés L'expertise des GS est portée par 418 membres répartis dans 22 Groupes Spécialisés, pour délivrer plus de 700 Avis Techniques et Documents Techniques d'Application chaque année, sous l'égide de la CCFAT. Environ un tiers des membres est à renouveler au cours du premier trimestre 2018 et ceci dans tous les GS. Les anciens membres de GS peuvent demander un renouvellement de leur mandat en déposant leur candidature et d'autres professionnels peuvent se porter candidats sur l'espace public prévu à cet effet, en déposant leur candidature le 10 février 2018 au plus tard. La prochaine Commission de la CCFAT, qui se tiendra le 16 mars 2018, validera les candidatures proposées. À propos L'Avis Technique (ATec) désigne l'avis formulé par un groupe d'experts représentatifs des professions, appelé Groupe Spécialisé (GS), sur l'aptitude à l'emploi des procédés innovants de construction. Les membres des GS représentent toutes les catégories professionnelles : maîtres d'ouvrage, maîtres d'"uvre (architectes, ingénieurs conseils, bureaux d'études, etc.), contrôleurs techniques, entrepreneurs, fabricants de matériaux ou d'équipements (grands groupes et TPE/PME représentatifs du marché), transformateurs, administrations de l'État, organismes de normalisation, organismes de recherche et laboratoires, organisations professionnelles représentatives de l'une des catégories précédentes. L'activité de membre de GS, comme celle de président de GS, est encadrée par le règlement intérieur de la Commission Chargée de Formuler les Avis Techniques (CCFAT). Chaque membre est nommé par la Commission pour une durée de six ans, renouvelable (les membres de Groupe Spécialisé sont nommés intuitu personae et ne peuvent pas être suppléés). Le statut de membre et son éventuelle reconduction sont assujettis au maintien de l'expertise personnelle, à l'assiduité aux travaux de sa compétence et à l'objectivité du comportement. En savoir plus : Accéder à la liste des membres des GS Voir tous les postes de membres de GS ouverts Déposer sa candidature sur le site de la CCFAT Statut et missions du président de Groupe Spécialisé Statut et missions de membre d'un Groupe Spécialisé
Il y a 7 ans et 144 jours

Transitions énergétique, environnementale et numérique des territoires

La Métropole de Grenoble et le CSTB engagent un partenariat de Recherche et Développement. Étienne Crépon, président du CSTB, et Christophe Ferrari, président de la Métropole, ont signé mardi 16 janvier 2018, à Grenoble, une convention de partenariat pour une durée de 3 ans. Avec une programmation couvrant des sujets stratégiques pour le territoire, tels que la rénovation thermique du parc résidentiel, l'éclairage urbain, la qualité de l'air ou l'économie circulaire, ce partenariat s'inscrit pleinement dans la stratégie de transformation et d'évolution énergétique de Grenoble-Alpes Métropole. En lien avec les objectifs de Recherche du CSTB, il contribuera également à faire progresser les connaissances permettant d'accompagner les territoires métropolitains dans leurs transitions énergétique et numérique. En savoir plus : Communiqué de presse, janvier 2018
Il y a 7 ans et 145 jours

Le CSTB participe à Prominent MED, pour la promotion de l'achat public d'innovation au service de la croissance verte

Le CSTB est impliqué dans le projet Prominent MED co-financé par le Fonds européen de développement régional (FEDER) avec des partenaires italiens, croates, espagnols et portugais. Prominent MED vise à promouvoir l'achat public d'innovation (Public Procurement of Innovation - PPI) pour les petites collectivités en région méditerranéenne, qui souhaitent investir dans des solutions d'efficacité énergétique et de rénovation de leur parc de bâtiments. Le CSTB pilote la rédaction d'un guide à destination des petites collectivités méditerranéennes afin de faciliter le recours à l'achat public d'innovation, pratique pour l'instant peu répandue. Il a également pour mission la constitution d'un réseau de parties prenantes intéressées par cette question : autorités publiques, entreprises, réseau de recherche et société civile en zone Méditerranée ; réseau qui sera sollicité pour intervenir lors des différents événements organisés jusqu'à la fin du projet prévue en 2019. Les partenaires du projet : Sviluppumbria (Italie), Consorci de la Ribera (Espagne), communauté de communes de Baixo Alentejo (Portugal), IrRADIARE (Portugal), ville de Narni (Italie), Université Polytechnique de Valence (Espagne), Agence régionale du nord pour l'énergie (Croatie), ville de Koprivnica (Croatie) et le CSTB. Une conférence internationale en anglais aura lieu à ce sujet à Paris le 18 janvier 2018 en présence de représentants de la Commission européenne (DG Grow) et de la direction des Achats de l'État français. En savoir plus : Site de Prominent MED
Il y a 7 ans et 148 jours

2e édition du LabArchitecture en cours : bailleurs sociaux, candidatez !

Le Lab cdc et l'Union Sociale pour l'Habitat ont lancé la 2e édition de leur appel à projets pour la transformation architecturale dans le logement social, intermédiaire et très social. Après le succès de la première saison, c'est la problématique de l'ancrage territorial du logement social qui est cette fois adressée. L'objectif ? Faire émerger, à partir de projets concrets de bailleurs, de nouvelles réponses architecturales, notamment sur les questions suivantes : La production locale et le stockage d'énergie ; La réutilisation des matériaux de construction, l'utilisation et l'expérimentation de matériaux bio-sourcés, et la structuration de filières de construction locales ; L'agriculture urbaine et la biodiversité ; La mise à disposition temporaire d'espaces non exploités (ex : zones à risques, foncier pour infrastructures gelé, etc.) ; Le développement du numérique dans l'aménagement, la construction, l'exploitation, et pour le développement de nouveaux services aux usagers. Cinq projets, sélectionnés par un jury, seront incubés pour une durée de 8 mois maximum, afin d'expérimenter et d'intégrer des innovations à la conception des projets. Le Labcdc leur apportera de la méthodologie de pilotage de projets innovants, un cofinancement à hauteur de 70K¤, de la facilitation et de l'expertise avec les partenaires de l'appel à projets. Les bailleurs sociaux ont jusqu'au 26 janvier 2018 pour déposer leur dossier. Cet appel à projet est mené en partenariat avec le Ministère de la Culture, le Ministère de la Cohésion des Territoires, le Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire et le PUCA, la Fédération des OPH, la Fédération des ESH, la Fédération Coop'HLM, la Fédération des EPL, la Fondation Excellence SMA, ainsi que l'ADEME, le CSTB et l'AFD. En savoir plus : L'appel à projets
Il y a 7 ans et 179 jours

L'expertise du CSTB au service de la gare de Montpellier Sud-de-France

Composée d'une couverture en béton fibré à ultra-hautes performances (BFUP), ajourée de plus de 10 000 vitrages, la nouvelle gare de Montpellier marque une première technique et architecturale, signée Marc Mimram. C'est la première fois que le BFUP est utilisé à la fois pour la couverture et la structure d'un ouvrage. À la demande du groupe François Fondeville, missionné pour la mise en "uvre du projet dans le cadre d'un contrat de conception et réalisation, le CSTB a mené une étude aérodynamique pour évaluer les charges de vent exercées sur la gare, mais aussi une expertise pour évaluer la sécurité et la faisabilité de la mise en "uvre des vitrages de la toiture. Quelle résistance au vent ? L'ouvrage, reproduit en maquette physique à échelle 150ème, a été testé en soufflerie à couche limite atmosphérique au CSTB de Nantes avec une attention particulière portée sur la couverture. Sa forme ondulée, structurée d'un assemblage de 115 " palmes " en BFUP plissées et galbées, réparties en 5 coupoles, apporte de la résistance, à la manière des nervures d'une feuille, tandis que le galbe permet de canaliser le vent qui traverse le bâtiment et en évacue la chaleur. Afin de simuler correctement les profils de vitesse et d'intensité de turbulence, des rugosités sont introduites en amont des maquettes. En effet, au moment de l'étude en 2015, l'environnement de la gare était très dégagé (aucun bâtiment à signaler au lancement du projet). Point de vigilance porté à l'attention des aménageurs par le CSTB : vérifier l'impact des aménagements futurs sur la gare, si des bâtiments de grandes dimensions étaient construits à proximité immédiate. La résistance au vent des palmes, tenues par leur propre poids (12 à 15 tonnes), a nécessité le développement de traitements spécifiques pour exploiter les données expérimentales, avant de faire l'objet d'essais physiques sur site. Une étude sur la mise en "uvre des vitrages avec un collage VEC Les vitrages, collés un à un sur des cadres en inox, collés à leur tour sur les palmes en BFUP a donné lieu à une étude menée par le CSTB et l'Apave, contrôleur technique du projet. L'avis portait sur la sécurité, la faisabilité de l'opération et les risques de désordres. La technique de collage structurel examinée dans le cadre de cette étude représentait environ 939 m² de remplissages vitrés, soit 10 516 cadres exactement, avec des vitrages isolants et des vitrages feuilletés collés VEC dans un atelier sous PASS VEC, sur la toiture en BFUP. Le CSTB a émis quelques recommandations, les conclusions de l'étude ont été favorables sur l'ensemble des critères évalués. Témoignage de Georges Chammas, directeur Grands Projets chez François Fondeville " La gare de Montpellier Sud-de-France présentait des spécificités structurelles nécessitant un appui du CSTB. L'équipe du CSTB est intervenue sur des essais sur l'action du vent sur la toiture, réalisés au laboratoire de Nantes ; elle nous a accompagnés pour le dépôt d'une ATEx pour la toiture en BFUP, complétée par des essais in situ de solidité d'un élément de toiture. La collaboration s'est très bien déroulée, les échanges techniques tant en amont qu'à la suite des essais ont été très clairs et nous ont confortés dans nos choix. Le sérieux et le professionnalisme du CSTB nous ont convaincus. " En savoir plus : L'expertise Aérodynamique du CSTB L'offre Grands ouvrages du CSTB La soufflerie atmosphérique à couche limite Attestation de conformité PASS VEC : Collage - vitrages extérieurs collés
Il y a 7 ans et 179 jours

CSTB'Lab : 6 premières entreprises intègrent l'accélérateur de start-up dans la construction

Julien Denormandie, secrétaire d'État auprès du ministre de la Cohésion des territoires, entouré d'Etienne Crépon, président du CSTB, de Sophie Moreau, directrice du CSTB'Lab, de Pierre Mascloux, responsable du CSTB'Lab, et de start-up innovantes. Photo : Nicolas Richez Le jeudi 9 novembre, à BATIMAT, en présence de Julien Denormandie, secrétaire d'État auprès du ministre de la Cohésion des territoires, le CSTB a présenté les 6 premières entreprises sélectionnées pour intégrer l'accélérateur de start-up CSTB'Lab, lancé en octobre dernier. Porteuses de projets à forte valeur ajoutée pour la construction, dans le domaine Bâtiment & Numérique, ces start-up vont ainsi pouvoir bénéficier d'un environnement scientifique et technique dédié. Le 11 octobre dernier, renforçant sa mission d'accompagnement des acteurs dans leur processus d'innovation, le CSTB a lancé le CSTB'Lab, accélérateur d'entreprises innovantes dans le domaine Bâtiment & Numérique. Le CSTB s'appuie sur Impulse Partners (Impulse Lab), spécialiste des écosystèmes start-up/grands donneurs d'ordres dans le bâtiment, l'énergie et l'immobilier, dans cette nouvelle initiative dédiée aux start-up. Le CSTB'Lab vise à permettre à des start-up d'accéder à un environnement scientifique dédié, pour les aider à développer des produits ou services à forte valeur ajoutée, tout en accélérant leur croissance. Pour ce faire, il associe deux types d'accompagnements sur-mesure, un accompagnement scientifique et technique, et un accompagnement business mis en place avec Impulse Lab. Une vingtaine d'entreprises a candidaté pour intégrer cet écosystème d'accompagnement unique dans le secteur du bâtiment. 6 d'entre elles ont été sélectionnées ce 9 novembre, sur la base de 4 critères : le caractère innovant de leur proposition, en lien avec la thématique " Bâtiment & Numérique " ; l'équipe (les compétences et expertises mobilisées, la capacité à porter le projet) ; la pertinence de l'accompagnement scientifique que peut délivrer le CSTB au projet ; le business modèle du projet. Première sélection de start-up au CSTB'Lab Seve Up, pour son projet d'intégration simple du BIM dans la gestion de patrimoine Snapkin, pour son projet de réalisation automatique de modèles 2D/3D Levels3D, pour son projet de capture automatique de l'intérieur d'un bâtiment via un smartphone Lutecium, pour son projet de sécurisation et fiabilisation des échanges BIM avec BIMChain XtreeE, pour son projet d'implémentation de l'impression 3D grande dimension Syscobat, pour son projet B²R+, système constructif hybride bois/béton, bio sourcé et bas carbone Fort de cette première promotion, le CSTB'Lab sélectionnera, au 1er trimestre 2018, de nouvelles start-up innovantes, porteuses de projets-clés pour la construction. En savoir plus : Communiqué de presse Le site web du CSTB'Lab
Il y a 7 ans et 187 jours

CSTB'Lab : 6 premières entreprises intègrent l'accélérateur de start-up dans la construction

Julien Denormandie, secrétaire d'État auprès du ministre de la Cohésion des territoires, entouré d'Etienne Crépon, président du CSTB, de Sophie Moreau, directrice du CSTB'Lab, de Pierre Mascloux, responsable du CSTB'Lab, et de start-up innovantes. Photo : Nicolas Richez Le jeudi 9 novembre, à BATIMAT, en présence de Julien Denormandie, secrétaire d'État auprès du ministre de la Cohésion des territoires, le CSTB a présenté les 6 premières entreprises sélectionnées pour intégrer l'accélérateur de start-up CSTB'Lab, lancé en octobre dernier. Porteuses de projets à forte valeur ajoutée pour la construction, dans le domaine Bâtiment & Numérique, ces start-up vont ainsi pouvoir bénéficier d'un environnement scientifique et technique dédié. Le 11 octobre dernier, renforçant sa mission d'accompagnement des acteurs dans leur processus d'innovation, le CSTB a lancé le CSTB'Lab, accélérateur d'entreprises innovantes dans le domaine Bâtiment & Numérique. Le CSTB s'appuie sur Impulse Partners (Impulse Lab), spécialiste des écosystèmes start-up/grands donneurs d'ordres dans le bâtiment, l'énergie et l'immobilier, dans cette nouvelle initiative dédiée aux start-up. Le CSTB'Lab vise à permettre à des start-up d'accéder à un environnement scientifique dédié, pour les aider à développer des produits ou services à forte valeur ajoutée, tout en accélérant leur croissance. Pour ce faire, il associe deux types d'accompagnements sur-mesure, un accompagnement scientifique et technique, et un accompagnement business mis en place avec Impulse Lab. Une vingtaine d'entreprises a candidaté pour intégrer cet écosystème d'accompagnement unique dans le secteur du bâtiment. 6 d'entre elles ont été sélectionnées ce 9 novembre, sur la base de 4 critères : le caractère innovant de leur proposition, en lien avec la thématique " Bâtiment & Numérique " ; l'équipe (les compétences et expertises mobilisées, la capacité à porter le projet) ; la pertinence de l'accompagnement scientifique que peut délivrer le CSTB au projet ; le business modèle du projet. Première sélection de start-up au CSTB'Lab Seve Up, pour son projet d'intégration simple du BIM dans la gestion de patrimoine Snapkin, pour son projet de réalisation automatique de modèles 2D/3D Levels3D, pour son projet de capture automatique de l'intérieur d'un bâtiment via un smartphone Lutecium, pour son projet de sécurisation et fiabilisation des échanges BIM avec BIMChain XtreeE, pour son projet d'implémentation de l'impression 3D grande dimension Syscobat, pour son projet B²R+, système constructif hybride bois/béton, bio sourcé et bas carbone Fort de cette première promotion, le CSTB'Lab sélectionnera, au 1er trimestre 2018, de nouvelles start-up innovantes, porteuses de projets-clés pour la construction. En savoir plus : Communiqué de presse Le site web du CSTB'Lab
Il y a 7 ans et 201 jours

Une démonstration sur la perception du goût de l'eau, présentée par le CSTB

L'eau est-elle à votre goût ? C'est la question qu'ont posée les experts du CSTB en charge des mesures sensorielles et physiologiques, à Batimat. En utilisant des capteurs relatifs à l'odorat et au goût, le public a pu découvrir comment le système nerveux perçoit les qualités organoleptiques de l'eau. À l'aide de capteurs posés sur le doigt permettant de mesurer la fréquence cardiaque, la sudation et la microcirculation cutanée, les participants ont pu découvrir une nouvelle manière de goûter l'eau. " Si ce dispositif rappelle le détecteur de mensonges et génère beaucoup de curiosité et de questions, il faut surtout retenir qu'il permet de mesurer des différences de qualité d'eau que les analyses sensorielles classiques ne permettent pas de déceler. " explique Aurélie Tricoire, division Eau au CSTB. L'appareillage permet d'enregistrer les variations de la perception organoleptique de l'eau, c'est-à-dire des substances capables d'activer les récepteurs olfactifs et gustatifs dans le corps humain. " On peut distinguer des gens plus ou moins sensibles, certains vont réagir très fortement et d'autres avoir des réponses non interprétables " précise Aurélie Tricoire. Le test est une réaction spontanée et instrumentée qui en plus de dépasser le seuil de mesure des instruments classiques, permet de détecter des différences entre deux eaux, qu'une personne n'est pas capable de déceler consciemment avec son seul odorat ou son goût. Une méthode brevetée Innovante, cette méthode objective de mesure sensorielle multicritères a fait l'objet d'un brevet en 2015 dans le cadre de la thèse de Gwénaëlle Haese, ingénieure Recherche et Expertise au CSTB. Cette méthode s'appuie sur le fait que le système sensoriel humain est le plus sensible et le plus adapté à l'évaluation des caractéristiques organoleptiques d'un produit. L'originalité de cette méthode repose sur l'utilisation d'indicateurs physiologiques ad hoc permettant de caractériser objectivement et rapidement les qualités d'un produit, sur le plan gustatif et olfactif. Cette méthode permet ainsi de mesurer le confort et le bien-être des usagers en matière de qualité de l'eau au moment du puisage dans le bâtiment. Elle offre aussi la possibilité de lier cette qualité à la production d'eau et à ses paramètres, pour éventuellement intervenir à la source ou sur les réseaux de distribution. En effet, les mesures sensorielles peuvent permettre de diagnostiquer des anomalies ayant des répercussions sur le goût et l'odeur de l'eau aussi bien au niveau de la production (traitement) que de la distribution (réseaux et matériaux de robinetterie). Ces anomalies seraient difficilement détectables par les tests classiques alors qu'en exploitant les réactions physiologiques, on obtient des réponses plus fines et on peut mesurer concrètement la satisfaction de l'usager. Des développements sont prévus pour élargir l'approche aux autres stimuli sensoriels (vision, toucher, audition, etc.) dans le but de proposer cette nouvelle méthode pour d'autres applications et secteurs industriels intéressés par la prise en compte du confort et du bien-être (bâtiment mais aussi agro-alimentaire, pharmacie et cosmétique, réalité virtuelle, services à la personne, etc.). En savoir plus : L'expertise Perception sensorielle du CSTB
Il y a 7 ans et 225 jours

Le CSTB vous accueille à BATIMAT du 6 au 10 novembre 2017

Le CSTB vous accueille à BATIMAT pour une semaine jalonnée de rendez-vous, de prises de paroles et de démonstrations. Les experts du CSTB seront mobilisés, chaque jour de la semaine, pour informer et orienter l'ensemble des acteurs de la filière. Les grands enjeux de la construction seront ainsi au c"ur des rendez-vous et des thématiques du CSTB : numérique, performance énergétique et environnementale, innovation, santé et confort dans le bâtiment, matériaux et équipements, etc. Rendez-vous sur le stand du CSTB : Hall 6 " Stand G40 Où et quand ? Paris-Nord Villepinte, du 6 au 10 novembre 2017 Commandez gratuitement votre badge en ligne, avec le code invitation : BEE144216 Rendez-vous Les conférences La diffusion et le partage des connaissances sont au c"ur des missions du CSTB. Dans ce contexte, il participera à plusieurs conférences sur BATIMAT, parmi lesquelles : Les grands enjeux de la construction au Maroc : mardi 7 novembre " 12h/12h45 Label E+C- : préparer la future réglementation environnementale : mercredi 8 novembre " 17h/17h45 Impression 3D dans la construction : les nouvelles initiatives : jeudi 9 novembre " 14h/14h45 De la performance énergétique calculée à la performance réelle : vendredi 10 novembre "11h/11h45 Le speed meeting Le jeudi 9 novembre à 14h30, le CSTB organisera sur son stand un speed meeting destiné aux TPE/PME et start-up, en présence de partenaires du Réseau National d'Accompagnement : CoDEM, Fibres-Energivie, KARIBATI, TIPEE... En deux heures, les participants pourront rencontrer une quinzaine d'experts qui répondront à toutes leurs questions pour faciliter l'émergence de leurs innovations, de l'idée au marché. Recherche, évaluation technique, identification des aides financières mobilisables, etc. : toutes les étapes du processus d'innovation pourront être abordées. Inscrivez-vous au speed meeting Les démonstrations Des ateliers thématiques et expériences sensorielles (les mardi 7, mercredi 8 et jeudi 9 novembre) autour de : La qualité acoustique : expériences en immersion autour des différents bruits susceptibles d'impacter l'acoustique des lieux de vie, avec des outils innovants développés par le CSTB tels que AcouBAT ou AcouSYS. La qualité de l'eau : un atelier de dégustation permettant de déguster des échantillons d'eau et d'en juger la qualité, via des capteurs reliés à un boîtier d'analyse et à un ordinateur sur lequel on percevra les évolutions des stimuli. Des démonstrations autour de la plateforme numérique développée par le CSTB pour le PTNB (Plan Transition Numérique dans le Bâtiment), les 9 et 10 novembre : lancé en expérimentation publique sur BATIMAT, ce nouvel outil facilitera la collaboration des TPE/PME de la construction et leur accès au BIM. Thématiques Améliorer la productivité, la qualité et la performance avec le BIM multi-échelles Le CSTB accompagne les acteurs de la construction et de l'aménagement urbain dans la transition numérique. Venez découvrir la présentation de la salle Oscar Niemeyer au CSTB à Paris, le nouvel espace de simulation virtuelle interactive, inauguré en septembre 2017. Un équipement à la disposition de l'ensemble des acteurs du bâtiment pour une expérience BIM inédite. Le CSTB vous propose également une gamme de logiciels métier compatibles avec le BIM, et une offre de formations pour maîtriser l'usage de la maquette numérique. Accélérer la croissance des start-up innovantes dans le domaine Bâtiment & Numérique Venez partager vos idées innovantes avec les responsables du CSTB'Lab, l'accélérateur de start-up du CSTB. Inauguré en octobre 2017, le CSTB'Lab propose un accès à un environnement scientifique dédié au monde de la construction, et à un accompagnement business afin de vous aider à développer produits et services à très forte valeur ajoutée pour le secteur du bâtiment. Découvrez le CSTB'Lab Améliorer la santé dans les bâtiments Le biodétecteur fongique développé par Bioguess, filiale du CSTB, sera exposé à BATIMAT. Il permet de détecter la présence de champignons et de mérule avant même qu'ils ne soient visibles, grâce à des analyses de l'air intérieur, en temps réel. En appui à la rénovation des logements, le CSTB développe des produits innovants dans le cadre du Plan Recherche et Développement Amiante. Venez découvrir deux des prototypes conçus par le CSTB et exposés sur le stand à BATIMAT. Aller vers le bâtiment à faible empreinte carbone Une animation inédite expose l'expérience du CSTB dans le développement de méthodes d'analyse du cycle de vie du bâtiment. Outils, logiciels, bases de données, services : le CSTB propose des réponses aux besoins des professionnels. Libérer la conception tout en fiabilisant les ouvrages Comment, face aux défis de la conception, mêlant créativité, innovations techniques et objectifs de performance, le cadre de la sécurité incendie s'adapte-t-il ? Découvrez l'expertise du CSTB en Ingénierie de Sécurité Incendie grâce à un film inédit, et illustrée par l'accompagnement d'un projet en superstructure bois. Actualités de l'Évaluation et de la Certification Évaluation Afin de répondre aux attentes des professionnels, l'offre d'évaluation du CSTB évolue : Pour faire reconnaître les solutions innovantes bénéficiant d'ouvertures réglementaires en construction : l'Appréciation Technique d'Expérimentation (ATEx) s'étend aujourd'hui aux nouvelles solutions proposées en ayant recours à ces ouvertures réglementaires. Pour disposer d'une évaluation technique tierce partie des procédés qui ne sont plus éligibles à la procédure d'Avis Technique : une nouvelle procédure d'évaluation technique, l'Appréciation Technique de Transition (ATT) a été créée. Certification Le lancement de la marque QB, effectué fin 2015, a été réalisé afin de simplifier le paysage de la certification dans le domaine de la construction. Cette certification de produits associe, depuis la rentrée 2017, son premier classement : UPEC, dédié aux revêtements de sol. Tout sur QB Les services d'accompagnement du CSTB sont à votre disposition sur le stand pour vous orienter dans vos démarches d'évaluation et de certification. Éditions, formations, logiciels et outils numériques au service des professionnels CSTB Editions, CSTB Formations et CSTB Logiciels vous proposent une gamme de logiciels et de services en ligne, ainsi qu'un large panel de formations afin de : > vous permettre de mieux comprendre la réglementation ; > vous former pour répondre aux enjeux des transitions environnementale et numérique ; > optimiser la performance globale de vos projets de construction. Découvrez ces outils à BATIMAT : chaque jour, les experts réalisent des démonstrations sur le stand du CSTB. Une sélection d'ouvrages de CSTB Éditions est disponible sur le stand du CSTB. Pour découvrir et consulter l'ensemble de l'offre Éditions du CSTB, rendez-vous sur le stand Eyrolles : Hall 5 - Stand 5GAL2.
Il y a 7 ans et 241 jours

Lancement de CSTB'Lab, accélérateur de start-up de la construction

Le CSTB a inauguré ce mercredi 11 octobre, en présence de nombreuses start-up et acteurs de la construction, le CSTB'Lab dans ses locaux à Paris. Il s'agit d'un incubateur d'entreprises innovantes dans les domaines Bâtiment & Numérique, unique pour le secteur. Le CSTB'Lab permet aux start-up d'accéder à un environnement scientifique dédié, pour les aider à développer des produits ou des services à forte valeur ajoutée pour le secteur de la construction. Le CSTB'Lab valorise les résultats de recherches développées par le CSTB et favorise ainsi le transfert de technologies en accélérant et pérennisant de jeunes entreprises innovantes, auxquelles il apporte une maturité scientifique suffisante pour être compétitives sur un marché concurrentiel. Il met en place un écosystème d'accompagnement des entreprises innovantes du secteur du bâtiment, répondant aux besoins des start-up qui éprouvent actuellement des difficultés à cartographier les acteurs, à approfondir ou valider leur solution technologique et à identifier leur marché cible. Concrètement le CSTB'Lab, installé dans les locaux du CSTB à Paris, propose différents types d'accompagnement sur mesure, scientifique et technique, business, et services adaptés, pour accélérer la croissance des start-up. Une programmation autour du partage de connaissances et de la mise en réseau installera dès 2017 une dynamique au service des start-up sélectionnées. Le CSTB s'appuie sur son partenaire Impulse Partners, spécialiste des écosystèmes start-up dans les secteurs construction, énergie, BTP et immobilier, pour mettre en place son offre business. Le CSTB'Lab a été cofinancé par le Fonds européen de développement régional (FEDER). En savoir plus : Dossier de presse Le site web CSTB Lab
Il y a 7 ans et 251 jours

Le CSTB a accueilli le Symposium IVIS 2017, qui met les super-isolants à l'honneur

Les 20 et 21 septembre 2017 a eu lieu la 13ème édition du Symposium IVIS (International Vacuum Insulation Symposium), dédié aux " super-isolants " comme les panneaux isolants sous vides (VIP : Vacuum Insulation Panel) ou les matériaux nano-poreux de type aérogel. Ce colloque, organisé à Paris par le CSTB, a permis aux experts du monde entier de partager les dernières avancées sur ces composants innovants pour le bâtiment et d'autres secteurs industriels. Organisé depuis 2005 dans différents pays (Suisse, Allemagne, Canada, Royaume-Uni, Chine), le Symposium IVIS 2017 a eu lieu en France, à la Cité Universitaire de Paris, les 20 et 21 septembre dernier. Ce colloque, qui regroupe près de 200 inscrits de 24 nationalités différentes, a permis de dresser un état des lieux de la recherche sur les super-isolants, d'un point de vue scientifique et industriel. Les nouvelles solutions de mise en "uvre sur chantier ont notamment été évoquées. Si les participants sont majoritairement des experts de ces isolants, le symposium a également attiré des professionnels du monde de l'automobile et de l'électroménager. Ceux-ci sont intéressés par des solutions efficaces, avec un faible encombrement, pour isoler des éléments tels que les réfrigérateurs ou les batteries de voiture. À propos des " super-isolants " : ils se répartissent en deux catégories, les isolants nano-poreux comme les aérogels, et les Panneaux Isolants sous Vide (PIV). L'isolant à base d'aérogel est constitué d'air à hauteur de 98 % et de microparticules de silice. Il est doté d'une structure nano-poreuse qui réduit la mobilité de l'air emprisonné. En plus d'être très léger, sa conductivité thermique est très faible. Le PIV contient un matériau poreux, vidé de l'air qu'il contient. Pour le protéger, le panneau est emballé dans un film d'aluminium. Grâce à sa faible épaisseur, le panneau d'isolant sous vide permet un gain de place considérable. La recherche pilotée par le CSTB a permis d'aboutir à une méthode d'évaluation de ces isolants innovants. Les premiers Avis Techniques ont été publiés, et le CSTB continue d'accompagner le développement industriel de ces produits par son offre d'Évaluation. Retrouvez présentations et posters du Symposium, sélectionnés par le Comité scientifique En savoir plus : Panneaux sous vide : de premiers Avis Techniques délivrés pour ces "super-isolants" L'offre d'Évaluation du CSTB Résultats d'Avis Techniques sur le site de la CCFAT Le site du symposium IVIS 2017 La boîte chaude gardée au service des procédés d'isolation
Il y a 7 ans et 256 jours

La marque QB continue son développement et associe un premier classement : UPEC

Le CSTB a lancé la certification QB fin 2015 pour faciliter la lisibilité des repères de qualité et de performance des produits, services et acteurs de la construction. Deux ans après, la marque continue son essor et intègre le classement UPEC, dédié aux revêtements de sol. Avec plus de 3 400 certificats délivrés à 935 entreprises, QB couvre aujourd'hui toutes les familles de matériaux, produits ou équipements : revêtements de sols ; enduits, mortiers, colles ; traitement de l'eau, canalisations, assainissement, flexibles de raccordement ; profilés de fenêtres, fenêtres de toit ; bardage, couverture et produits connexes ; éléments structuraux préfabriqués en béton ; produits ou ouvrages spécifiques d'isolation thermique ; etc. En lien avec les enjeux du secteur, elle contribue à renforcer le rayonnement du savoir-faire, des outils et des solutions développés par les fabricants qui, de plus en plus nombreux, s'engagent volontairement dans la certification. QB poursuit aujourd'hui ce déploiement au service de la qualité en s'associant au classement UPEC, dédié aux revêtements des sols. Il permet d'apprécier l'adéquation d'un produit à un usage ciblé, en fonction du type de local où il est installé. QB UPEC : une aide au choix Le classement UPEC, associé à la certification QB, donne les informations-clés aux prescripteurs pour les aider à choisir un revêtement de qualité, dont les performances répondent aux exigences spécifiques du local où ils souhaitent le mettre en "uvre. Il se décline autour de 8 catégories de locaux : Habitation Bureaux Gares et Aéroports Commerce Hôtellerie Enseignement Hôpitaux Maisons d'accueil pour personnes âgées Ce classement s'articule autour de 4 lettres repères, chacune correspondant à un domaine de performances certifiées : U (Usure) P (Poinçonnement) E (Eau) C (Chimie) Chaque lettre est associée à un chiffre augmentant avec la sévérité d'usage ou avec le niveau de performance. Ainsi par exemple, dans une salle d'activités de crèche, un produit classé au moins U3P3E2C1 conviendra pour répondre aux sollicitations spécifiques de ce type de local. La certification QB, associée au classement UPEC, peut être complétée par la lettre A+, A++ (acoustique) ou D+ (critères dimensionnels pour une pose à joints minces). Un dispositif de communication soutenu Une forte visibilité sera donnée à la marque QB durant tout le second semestre 2017, notamment avec 3 grands rendez-vous professionnels : le Congrès HLM (24-28 sept.), Batimat (6-10 nov.) et le Salon des Maires (21-23 nov.). Deux campagnes seront déclinéq dans une vingtaine de médias, presse écrite et web : Autour de QB : « QB, une marque, toutes les qualités » « One mark, a thousand qualities » Autour de QB-UPEC : « Une marque, un classement, 4 performances » « One mark, one classification, 4 characteristics » En savoir plus : Le classement UPEC Notice sur le classement UPEC des locaux (Cahiers du CSTB n° 3509) Site QB
Il y a 7 ans et 264 jours

Le CSTB signe l'Alliance WoodRise

Signataires de l'Alliance WoodRise, de gauche à droite : Fulvio Vittorino et Ligia Ferrari Torella di Romagnano, chercheur et directrice de la recherche à l'institut IPT du Brésil ; Etienne Crépon, président du CSTB ; Anne-Christine Ritschkoff, vice-présidente exécutive de la recherche stratégique de l'institut VTT de Finlande ; Pierre Lapointe, président de FP Innovation au Canada ; Claude Haegi, président de Lignum en Suisse et Philippe Gaudron, président du FCBA. Photo : Fred Blanpain Le premier congrès dédié au bâtiment en bois de moyenne et grande hauteur s'est tenu à Bordeaux, du 12 au 15 septembre. Nommé WoodRise, l'objectif était de réunir l'ensemble des acteurs internationaux de la filière bois autour d'une idée essentielle : le bois, incontournable de la ville durable. Une alliance internationale Jeudi 14 septembre s'est tenue la signature de l'Alliance WoodRise, dont l'objectif est la formation d'une communauté engagée autour du bois. Le CSTB pilotera cette alliance, en collaboration avec 6 autres organismes internationaux : le FCBA pour la France, le Lignum pour la Suisse, le Technical Research center de Finlande, l'organisme FP Innovation pour le Canada et l'Instituto de Pesquisas Tecnologicas do Estado de Sao Paulo pour le Brésil. Le CSTB était représenté par son président, Étienne Crépon, pour la signature de cette Alliance, qui a réuni plus d'une vingtaine d'organismes différents : États, politiques, organisations non gouvernementales, entreprises, acteurs de la construction ou du bois. Les premières actions de l'Alliance WoodRise ont été la signature d'un Mémorandum d'entente entre les 6 organismes co-fondateurs et la publication de WoodRise Paper, un livre blanc de bonnes pratiques internationales pour le développement économique, architectural, industriel et urbanistique de la filière bois, dans une démarche écoresponsable, préservant la biodiversité. Un rôle d'expert prédominant L'expertise technique du CSTB est cruciale pour mieux faire connaître les atouts de la construction bois (résistance au feu, au vent, aux aléas sismiques, aux variations climatiques et hygrothermiques). Le Congrès WoodRise a été l'occasion de mettre cette expertise en valeur avec deux conférences : " La propagation des feux de façade ", avec une conférence de Stéphane Hameury, membre du comité scientifique de WoodRise et spécialiste Bois et Feu au sein de la direction Sécurité, Structures, Feu du CSTB ; et " Les méthodes de calcul en vibration et acoustique du bâtiment ", présentée conjointement par Delphine Bard de l'université de Lund (Suède) et Catherine Guigou-Carter, direction Santé-Confort du CSTB. La partie Salon de WoodRise a réuni plus de 1 500 visiteurs et une centaine d'exposants : collectivités, aménageurs, promoteurs. Le congrès, quant à lui, a rassemblé une cinquantaine de conférenciers, dont les deux tiers de l'étranger. Ce rendez-vous est le premier d'une série qui s'exportera au Canada en 2019 et au Japon en 2021, afin que les professionnels du secteur puissent continuer à échanger bonnes pratiques et engagement d'éco-responsabilité. En savoir plus : Site du Congrès WoodRise WoodRise Paper
Il y a 7 ans et 267 jours

Observ'CPE : premiers résultats

Capitaliser les enseignements des premiers projets, favoriser le développement d'une culture de la performance énergétique et le déploiement des CPE (Contrat de Performance Énergétique) en tant qu'outil de la Transition Énergétique : tels sont les objectifs de l'Observatoire des Contrats de Performance Énergétique, piloté par l'Ademe, le Cerema et le CSTB. La matinale du 20 juin dernier, organisée au CSTB Paris, a réuni plus de 90 participants de la filière bâtiment et fut l'occasion de restituer les premiers résultats de l'Observatoire, qui recense aujourd'hui près de 250 CPE. Enjeux et actualités du CPE et de l'Observatoire Un an après le lancement du projet, la matinée d'échanges a été l'occasion de présenter les dernières évolutions juridiques et techniques encadrant le CPE (Contrat de Performance Énergétique)*, de dresser une première cartographie des projets publics et privés, et de mettre en avant quelques approches innovantes observées sur le marché des CPE. « Aujourd'hui, l'objectif est la massification de la rénovation des parcs de bâtiments publics et privés, et le CPE est l'un des outils permettant cette intensification avec un engagement de résultats sur la performance énergétique. Les évolutions réglementaires sur l'obligation de rénovation du parc tertiaire devraient accélérer leur déploiement », précise Nicolas Dore, adjoint au chef de service Bâtiment de l'Ademe dans son allocution d'ouverture de la matinale. Et Jean-Christophe Visier, directeur Énergie-Environnement du CSTB, d'ajouter sur ce sujet, lors de la conclusion de cette matinale : « Nous sommes passés d'objectifs de moyens à des objectifs de résultats, du mythe à la réalité. Le CPE est une association intelligente basée sur trois piliers : juridiques, économiques et techniques, dont l'Observatoire est un miroir et un lieu d'échanges sur les retours d'expériences, bonnes et mauvaises ». ««« Garantir la performance est porteur de sens au niveau juridique et impose une obligation de résultats. Les différentes formes de CPE offrent aux maîtres d'ouvrage des outils adaptés, avec une diversité de solutions pour la rénovation de leur patrimoine " de la fourniture de services aux CPE globaux », a déclaré Olivier Ortega, avocat associé du cabinet LPA CGR lors de la première table ronde. L'importance de la mesure de la performance effective et la nécessité de la standardisation des outils et des méthodes, a été rappelée par Patrick Julian de l'IFSEE. Il a présenté les évolutions du protocole IPMVP (International Performance Measurement and Verification Protocol), dont l'usage est aujourd'hui largement déployé au niveau international et dont les formations seront prises en charge par l'AFNOR au niveau français. Les premiers résultats de l'Observatoire présentés par le Cerema et le CSTB, permettent d'établir « une carte d'identité des CPE ». En voici les cinq principaux enseignements : Une tendance à la hausse du recours au CPE depuis 2007. Une forte localisation en Rhône-Alpes (30 %), et à un degré moindre en Île-de-France (19 %). L'implication de Rhône-Alpes Énergie, de l'Ademe et la création de la SPL Oser peuvent expliquer cette situation. La maîtrise d'ouvrage publique est fortement représentée dans le panel d'acteurs du CPE. Trois secteurs dominent : les bâtiments municipaux, les logements collectifs et les bâtiments d'enseignement. Sur le plan contractuel, les marchés publics globaux (CREM/REM) sont largement majoritaires, avec une durée d'engagement fréquemment comprise entre 6 et 10 ans, et un recours massif au dialogue compétitif. Concernant les solutions techniques, les travaux sur les systèmes sont majoritaires avec un objectif moyen d'économie de 20 %, suivi par les travaux sur le bâti avec un objectif d'économie de 40 %. › Les premiers enseignements de l'Observatoire sont diffusés largement et de manière détaillée sur les sites des partenaires du projet (CSTB, Cerema, Ademe). Approches innovantes du CPE Engie Axima a proposé sa vision du développement des CPE dans le secteur privé. « Ce secteur n'a pas de culture contractuelle forte, il utilise d'autres vecteurs commerciaux et la confiance est déterminante pour la mise en place du partenariat », témoigne Marc Daura, directeur de Marché Offres Globales. Il y a une méconnaissance des CPE et une volonté d'avoir des temps de retour courts, ce qui nécessite de développer des outils contractuels faciles à comprendre et clé en main, qui couvrent l'ensemble des domaines " des solutions techniques aux possibilités de financement. Le bailleur social Habitat 76 a choisi d'établir des CPE pour l'ensemble de son parc de logements collectifs et de lancer la numérisation de son patrimoine avec un objectif de baisse des consommations de 40 % à l'horizon 2020. Pour Philippe Souchal, sous-directeur Patrimoine et Environnement d'Habitat 76, le CPE implique de nouvelles méthodes de travail, et notamment la mise en place d'une équipe projet dédiée à l'organisation et la gestion du CPE. La Direction de l'Investissement et du Développement Local de la Caisse des Dépôts a présenté l'Intracting, un dispositif de financement de la rénovation énergétique au service des patrimoines publics, déjà déployé dans six universités françaises. Perspectives Les acteurs du bâtiment des secteurs public et privé, qu'ils soient maîtres d'ouvrages, aménageurs, collectivités, opérateurs de CPE sont invités à co-construire l'Observatoire du CPE en partageant leurs expériences et en l'alimentant de données. Partagez votre expérience du CPE * Le CPE : L'article 2 (27) de la Directive 2012/27/UE du Parlement Européen et du Conseil du 25 octobre 2012 relative à l'efficacité énergétique, définit le contrat de performance énergétique (CPE) comme un « accord contractuel entre le bénéficiaire et le fournisseur d'une mesure visant à améliorer l'efficacité énergétique, vérifiée et surveillée pendant toute la durée du contrat, aux termes duquel les investissements (travaux, fournitures ou services) dans cette mesure sont rémunérés en fonction d'un niveau d'amélioration de l'efficacité énergétique, qui est contractuellement défini ou d'un autre critère de performance énergétique convenu, telles que des économies financières. »
Il y a 7 ans et 269 jours

Le CSTB contribue aux moyens d'urgence à Saint-Martin et Saint-Barthélémy

Dans le cadre des moyens mis en "uvre par le gouvernement français suite à l'ouragan Irma, le CSTB participe au déplacement du Président de la République aux Antilles. Le CSTB apporte son expertise dans la phase d'urgence pour évaluer les dégâts. Il pourrait intervenir dans la phase de reconstruction dans les domaines de la planification urbaine, de l'énergie, de l'eau, de la gestion des déchets et des aspects sanitaires en lien avec les inondations.
Il y a 7 ans et 271 jours

Vers un format standard pour décrire les objets de la maquette numérique

Le déploiement du BIM passe par son appropriation en confiance par chacun des métiers de la construction et de l'urbain. Concrètement, cette nouvelle méthode de travail permet aux différents acteurs d'un projet de renseigner et échanger au sein de la maquette numérique, toutes les informations relatives aux « objets » du bâtiment et de la ville, au-delà de leur représentation visuelle. Condition : partager le même langage BIM pour décrire et lire les propriétés de chaque objet. Le CSTB travaille à définir de façon complète un « objet mur » en BIM. Cette mission participe à expérimenter la norme dite PPBIM (Propriétés Produits pour le BIM). Dans une maquette numérique, les objets BIM sont des avatars virtuels des produits industriels qui composent le bâtiment et son environnement. Différentes caractéristiques (géométrique et dimensions, performances thermiques, acoustiques, etc.) leur sont rattachées, et sont ainsi partagées avec l'ensemble des acteurs d'un projet, de la conception à la mise en "uvre jusqu'à l'exploitation. Le CSTB a été sollicité par le cabinet de Conseil Protea pour travailler à la définition d'un objet générique « mur » et de ses caractéristiques en format BIM. Objectif de la mission : identifier l'ensemble des propriétés nécessaires aux acteurs pour bien l'utiliser dans le projet. À chaque métier son besoin de propriétés Chacun des acteurs doit recueillir dans la maquette numérique, les informations dont il a besoin. Par exemple, le bureau d'étude  »structure » prête attention aux propriétés relatives à la résistance mécanique d'un mur, l'architecte à celles relatives à son aspect quand l'économiste s'intéresse aux dimensions et à la composition d'un mur ainsi qu'à son emprise sur les surfaces? La liste est longue pour spécifier le type de propriétés dont chaque métier à besoin. Dans le cadre de son étude, le CSTB a identifié plusieurs dizaines de propriétés nécessaires à la description d'un objet mur. Citons pour exemple : aspect de parement, isolation acoustique, résistance thermique, résistance en compression ou encore classement de réaction au feu. Définition et application de la norme PPBIM L'expertise du CSTB en lien avec Protea Conseil participe à une expérimentation plus large, soutenue par le Plan de transition numérique du bâtiment (PTNB) dans le cadre du développement de la stratégie française de normalisation en lien avec le BIM. Ces travaux visent à développer des formats « open » qui optimisent le partage d'informations et l'interopérabilité des logiciels BIM. Ici il s'agit de valider la norme XP P07-150, plus connue sous le nom de PPBIM. Cette norme expérimentale a pour but de standardiser le classement et la production des caractéristiques des objets BIM pour les produits de la construction. À très court terme, l'étude doit permettre la création de bibliothèques d'objets génériques. Celles-ci aideront les concepteurs à définir les propriétés attendues des produits en amont de la consultation des entreprises (phase DCE avant exécution) avant que ne soit établi le choix d'un produit spécifique à un industriel. L'enjeu est bien sûr de conserver la possibilité de créer des variantes et de laisser jouer la concurrence. En savoir plus : L'expertise Numérique du CSTB
Il y a 7 ans et 278 jours

Avec Dimosim, élaborer un schéma directeur énergie pour le Pays SUD

La commune de Barcelonnette, l'association du Pays Serre-Ponçon-Ubaye-Durance (Pays SUD) et le CSTB sont associés dans un projet de recherche collaborative. Objectif : étudier la stratégie énergétique de ces territoires des Alpes-de-Haute-Provence, en utilisant Dimosim. Ce logiciel d'étude prospective du CSTB permet de simuler et comparer différents scénarios à l'horizon 2030 et 2050, pour mieux planifier l'évolution du système énergétique local. Enjeux de l'expérimentation Le projet est né de la rencontre de deux volontés. D'une part, les collectivités territoriales du Pays SUD souhaitent trouver une nouvelle dynamique économique passant par la transition énergétique. Leur économie repose aujourd'hui essentiellement sur le tourisme d'hiver des stations de ski. Les infrastructures de production et de distribution d'énergie sont dimensionnées pour répondre aux demandes lors des pics saisonniers, et le potentiel de production d'énergies renouvelables est élevé par rapport aux besoins de la population. Il s'agit donc d'identifier de nouveaux scénarios énergétiques pour les décennies à venir, qui optimisent les ressources locales. D'autre part, le CSTB a développé Dimosim. Ce logiciel propose une vision prospective de l'organisation d'un système énergétique (production, réseaux, consommation) en accord avec les ressources et contraintes d'un territoire. Fruit de 3 années de recherche et d'une thèse, cet outil peut simuler différents scénarios, en prenant en compte les interactions entre bâtiments et réseaux. Pour le CSTB, mettre en "uvre Dimosim au service du Pays Sud, constitue un terrain d'expérimentation privilégié. Ce retour d'expérience va permettre de poursuivre l'amélioration de l'outil, en lien avec les attentes concrètes des acteurs du territoire. Mise en "uvre et perspectives Pour le CSTB, la première étape de l'étude consiste à renseigner un certain nombre d'informations sur le territoire actuel dans Dimosim. Parmi elles, les caractéristiques thermiques et géométriques des bâtiments, la topologie des réseaux de distribution, les données techniques des moyens de production. En 2016, le CSTB a réalisé la collecte de ces données. Puis il a établi et calibré le scénario de référence, qui décrit la situation actuelle de deux territoires pilotes : Les Orres et Barcelonnette. Pour chacun de ces deux territoires, les collectivités et le CSTB ont engagé la définition de deux scénarios de transition énergétique : un scénario moyen terme (horizon 2030) qui envisage le déploiement des technologies les plus matures et rentables aujourd'hui, et un scénario long terme (horizon 2050) qui vise l'autonomie énergétique du territoire. Grâce à sa modularité et à ses performances de calcul, Dimosim peut explorer rapidement et à faible coût, ces différentes alternatives énergétiques offertes aux collectivités. Dès 2017, le CSTB mènera cette étude sur les deux territoires étudiés. En savoir plus : Scénarios pour améliorer la performance énergétique d'un quartier à Nice
Il y a 7 ans et 309 jours

Récupération de chaleur sur eaux grises : du concept à l'évaluation

La TPE WisElement a sollicité Ariane, le service d'accueil et d'accompagnement à l'innovation du CSTB, en octobre 2015. Il suit depuis lors un parcours, par étapes, pour fiabiliser son projet innovant dédié à la récupération instantanée de calories sur les eaux grises de douche. Le CSTB a initié en 2016 une étude sur les aspects technico-réglementaires de l'innovation en phase concept. Ces résultats pourront appuyer une demande d'Avis Technique, envisagée en 2017. Le chemin de l'innovation Récupérer la chaleur de l'eau en sortie de douche, c'est l'objectif du dispositif Ekô développé par WisElement. Sa particularité : il s'installe sous le bac de douche grâce à sa fine épaisseur, et présente une très grande surface d'échange de chaleur grâce à un circuit en spirale. Pour finaliser sa conception et envisager un Avis Technique à moyen terme, la TPE WisElement a sollicité le CSTB en octobre 2015, en s'adressant à son service Ariane. Le CSTB s'est vu confier deux missions : analyser l'aptitude à l'emploi du dispositif Ekô et mesurer sa performance de récupération de chaleur. Cette approche globale permet de vérifier différents volets du projet en lien avec la mise en "uvre d'une douche de plain-pied, la conformité sanitaire des équipements, la compatibilité des matériaux en contact avec l'eau destinée à la consommation humaine (EDCH), la mesure des performances énergétiques. Les exigences visées Dans son analyse du procédé menée en 2016, le CSTB a identifié les choix de conception qui pouvaient invalider son aptitude à l'emploi, dans l'optique d'une démarche d'évaluation. C'est ensuite à l'entreprise conceptrice de proposer des modifications. WisElement a choisi de concentrer son innovation sur le seul système de récupération de chaleur ? sans l'intégrer au bac de douche comme envisagé initialement. Par ailleurs, sur la base des remarques des experts du CSTB, l'entreprise travaille actuellement à renforcer la séparation entre les canaux de l'échangeur : l'un pour l'eau usée chaude, l'autre pour l'eau saine froide qui est réchauffée. Cette séparation doit en effet permettre un échange thermique instantané tout en assurant l'étanchéité aux différents fluides eux-mêmes. Seconde mission, prévue en 2017 : mesurer la performance énergétique. Le CSTB va tester Ekô dans son laboratoire Recado dédié aux systèmes de récupération de la chaleur fatale ? cette énergie perdue, via les eaux grises par exemple, si on ne la récupère pas. Le CSTB déterminera ainsi le rendement de l'innovation. Objectif visé par WisElement : 40 %. Les essais auront lieu au premier semestre 2017. À l'aune des résultats, WisElement envisagera une demande d'Avis Technique à l'automne 2017. En savoir plus : Le site de la société WisElement Laboratoire Recado du CSTB : mesurer la performance d'un système de récupération de chaleur sur les eaux de douches
Il y a 7 ans et 311 jours

Laine de laitier projetée sur paroi métallique de forme complexe

Dans le cadre de la construction de la fondation LUMA, à Arles, l'entreprise Eiffage a fait appel à l'expertise du CSTB. Sa mission : étudier et optimiser une solution innovante pour isoler la façade architecturée, composée de près de 350 coques en acier. À Arles (Bouches-du-Rhône), sur le site d'anciens ateliers d'entretien de la SNCF, la fondation LUMA sera consacrée à l'art contemporain. Une tour de 56 m de haut, dessinée par l'architecte américain Frank Gehry, domine le projet. Sa façade, constituée de cassettes Inox, forme une enveloppe d'acier de 8300 m2, qui assure l'étanchéité à l'eau et à l'air de la tour. L'isolation est assurée par la projection de laine de laitier sur sa face intérieure. Cette solution a été proposée par l'entreprise Eiffage Construction Métallique pour assurer une isolation thermique uniforme épousant les formes complexes de la paroi métallique. Solution d'isolation innovante Cette technique, traditionnelle quand il s'agit d'isoler des planchers béton en sous-face, n'est pas habituelle sur des tôles métalliques et appliquée du côté intérieur. L'entreprise a consulté le CSTB pour accompagner le développement de cette solution au service de la fondation LUMA. Le CSTB a identifié un risque principal : la condensation, qui réduirait l'adhérence de l'isolant au support et augmenterait sa masse. Il s'est donc assuré que l'humidité n'est pas piégée entre la tôle étanche et l'isolant. Par ailleurs, le CSTB a évalué la tenue mécanique de l'isolant dans le cas où il serait chargé d'humidité. Étude, essai et simulation Pour cela, le CSTB a couplé une démarche numérique et expérimentale. Première étape : estimation du comportement hygroscopique de l'isolant en "uvre par simulation, à partir des propriétés théoriques de matériaux similaires, issues des bases de données à disposition. Cette étape a permis de juger de la faisabilité technique de la solution et d'estimer la quantité d'eau condensée. Puis, le CSTB a réalisé des essais d'absorption et désorption d'eau et de résistance à la diffusion de vapeur, dans la plateforme dédiée aux composants innovants d'enveloppe, à Grenoble. Les mesures issues de ces essais ont permis de simuler et vérifier finement le comportement hygrothermique du produit réellement envisagé. Enfin, pour prouver l'adhérence de la laine de laitier, soumise à des variations d'humidité importantes, le CSTB a défini un essai d'arrachement et conçu, avec Eiffage, une maquette permettant de reproduire le comportement réel du système. Les tests réalisés ont prouvé que la laine de laitier ne subirait pas de perte d'adhérence sur les tôles d'Inox, malgré les fortes sollicitations hygrothermiques. Perspectives Cette technique d'isolation par laine de laitier, dont la durabilité a été prouvée, est mise en "uvre cette année (2017) dans le cadre de l'exécution du projet Ouverture de la Fondation LUMA prévue en 2018. En savoir plus : Mesure en laboratoire et mesure in-situ : rapprochement en cours Comportement à haute température des bétons mis en "uvre sur le Grand Paris Express testé par le CSTB
Il y a 7 ans et 311 jours

Boîte chaude gardée

Le CSTB a installé la boîte chaude gardée en 2016 sur son site de Marne-La-Vallée, dans un espace de 290 m². Ce dispositif vise à évaluer la performance thermique des parois opaques et vitrées à échelle réelle. Il permet de les tester dans des configurations représentatives de leur mise en "uvre réelle dans les bâtiments. Le couplage avec la simulation numérique, permet de formuler des recommandations de mise en "uvre à l'usage des professionnels. La boîte chaude gardée permet des mesures fines pour accompagner le développement des nouveaux produits et techniques d'isolation, dans un contexte d'exigences énergétiques accrues, avec une garantie pérenne des performances in situ. Pourquoi parler de boîte chaude gardée ? Concrètement, la paroi à tester est positionnée entre deux ambiances, l'une chaude, l'autre froide. L'expert recueille la mesure de la puissance de chauffe dissipée permettant de garder un gradient de température constant à travers la paroi éprouvette. Grâce à ces données, puissance dissipée et différence de température entre les deux ambiances, les experts déduisent la performance thermique de la paroi. Ils analysent également la performance thermique du produit installé, ou l'impact de sa mise en "uvre. En savoir plus : Plateforme d'essais dédiée aux produits et procédés d'isolation Boîte chaude gardée - Nouvel équipement au service de la transition énergétique Valoriser les performances thermiques et accompagner le développement des composants d'enveloppe innovants