Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Muuuz

Créée par l'agence d'architecture Diseño Espacial, la "Casa Murray" se trouve en plein c"ur de Mexico. La particularité de ce projet réside dans la quantité disponible pour la construction, le travail des architectes s'apparentant ici à la construction d'un bateau dans une bouteille. Entourée par des constructions irrégulières, des parcelles imprécises, la Casa Murray se découvre uniquement via un petit couloir enclavé. Sans façade, sans accès à la rue, sans espace de stationnement, cette maison sert de studio à son propriétaire. Sur 2 étages, la Casa Murray cherche à maximiser l'apport lumineux pour compenser sa situation. De grands espaces vitrés captent la lumière pour la coupler aux surfaces de bois, au béton et aux profils métalliques.   Photographies : Ana Eunice Ortíz Pámanes Pour en savoir plus, visitez le site de Diseño Espacial. 

Lors des Designer's Days 2013, Boffi Paris organisait l'exposition "Utensili Culinari di Domani"(retrouvez notre article ici), l'occasion de découvrir les expérimentations de six designer prometteur, l'occasion aussi de découvrir "Captieuse P.L.V.", une corbeille à fruits et à légumes imaginée par François Mangeol. "P.L.V." est un cylindre de verre borosilicate qui offre la possibilité de conserver, présenter et magnifier les produits de la terre. Couverts, les fruits et légumes récupèrent la condensation de l'eau, et les deux côtés ouverts favorisent la circulation de l'air pour une conservation optimale des aliments. Graphique, "P.L.V." est strié de lignes colorées, un travail d'ornement graphique qui sublime les teintes des aliments (plusieurs coloris sont prévus pour s'adapter aux coloris des fruits et légumes).   Pour en savoir plus, visitez le site de François Mangeol. 

Lors des Designer's Days 2013, Boffi Paris organisait l'exposition "Utensili Culinari di Domani"(retrouvez notre article ici), l'occasion de découvrir les expérimentations de six designers prometteurs, l'occasion aussi de découvrir "Captieuse P.L.V.", une corbeille à fruits et à légumes imaginée par François Mangeol. "P.L.V." est un cylindre de verre borosilicate qui offre la possibilité de conserver, présenter et magnifier les produits de la terre. Couverts, les fruits et légumes récupèrent la condensation de l'eau, et les deux côtés ouverts favorisent la circulation de l'air pour une conservation optimale des aliments. Graphique, "P.L.V." est strié de lignes colorées, un travail d'ornement graphique qui sublime les teintes des aliments (plusieurs coloris sont prévus pour s'adapter aux coloris des fruits et légumes).   Pour en savoir plus, visitez le site de François Mangeol. 

Aux Etats-Unis, dans le Nord de l'Idaho, les architectes du Studio Uptic ont créé une cabane sur les rives du lac C"ur D'Alene. Cette habitation n'a de cabane que le nom, tant son architecture est pointue et son aménagement confortable et luxueux. En relation constante avec son environnement, cette maison brouille les frontières entre les espaces intérieurs et extérieurs. Le toit soutenu par un système de poutres d'acier permet son prolongement en porte à faux, créant une grande terrasse ombragée. La butte sur laquelle repose la maison et le lac sont au centre de la réflexion architecturale, les délimitations sont douces avec leurs grandes portes coulissantes et les comptoirs de cuisine en intérieur-extérieur qui créent une relation unique entre la terrasse et les zones communes intérieures. L'habitation est séparée en deux blocs, un souhait des habitants mais aussi dicté par la source naturelle qui coule sous la colline. La zone séparant les deux espaces comble le fossé et créé un passage menant vers le lac. L'intérieur de la maison est organisé pour favoriser les relations intergénérationnelles entre les membres de la famille, tandis que les espaces annexes s'articulent en fonction des centres d'intérêts de chacun.   Pour en savoir plus, visitez le site d'Uptic Studio. 

Aux Etats-Unis, dans le Nord de l'Idaho, les architectes du Studio Uptic ont créé une cabane sur les rives du lac C"ur D'Alene. Cette habitation n'a de cabane que le nom, tant son architecture est pointue et son aménagement confortable et luxueux. En relation constante avec son environnement, cette maison brouille les frontières entre les espaces intérieurs et extérieurs. Le toit soutenu par un système de poutres d'acier permet son prolongement en porte à faux, créant une grande terrasse ombragée. La butte sur laquelle repose la maison et le lac sont au centre de la réflexion architecturale, les délimitations sont douces avec leurs grandes portes coulissantes et les comptoirs de cuisine en intérieur-extérieur qui créent une relation unique entre la terrasse et les zones communes intérieures. L'habitation est séparée en deux blocs, un souhait des habitants mais aussi dicté par la source naturelle qui coule sous la colline. La zone séparant les deux espaces comble le fossé et créé un passage menant vers le lac. L'intérieur de la maison est organisé pour favoriser les relations intergénérationnelles entre les membres de la famille, tandis que les espaces annexes s'articulent en fonction des centres d'intérêts de chacun.   Pour en savoir plus, visitez le site d'Uptic Studio. 

Créée par le designer allemand Andreas Janson, Jo est une collection de mobiliers divers tous basés sur un principe identique, un enchevêtrement de couches de bois pour structurer tables, étagères, bibliothèques? Au design surprenant, cette série de mobilier s'élève sur ses pieds de bois désordonnés et hétéroclites. Ce parti pris créatif permet à la série Jo de grandir sans cesse, au point qu'il est possible de personnaliser les pièces, tant dans la forme qu'au travers de l'essence de bois utilisée.   Pour en savoir plus, visitez le site d'Andreas Janson. 

Créée par le designer allemand Andreas Janson, Jo est une collection de mobiliers divers tous basés sur un principe identique, un enchevêtrement de couches de bois pour structurer tables, étagères, bibliothèques? Au design surprenant, cette série de mobilier s'élève sur ses pieds de bois désordonnés et hétéroclites. Ce parti pris créatif permet à la série Jo de grandir sans cesse, au point qu'il est possible de personnaliser les pièces, tant dans la forme qu'au travers de l'essence de bois utilisée.   Pour en savoir plus, visitez le site d'Andreas Janson. 

Dans le site remarquable de Matarraña, à deux heures au sud de Barcelone, les architectes de l'agence chilienne Pezo Von Ellrichshausen viennent de livrer la Casa Pezo, la première réalisation du programme immobilier Solo House, un projet unique en europe qui comptera une douzaine de réalisations signées par des architectes talentueux. La première construction de ce programme est donc la Casa Pezo, un belvédère sur le parc naturel de Los puertos de Beceite. Cette résidence secondaire se libère des règles préconçues de l'habitation, au profit d'une expérience architecturale inédite. Donnant l'illusion de flotter dans les airs, ce monolithe de béton accueille une piscine creusée dans son patio central qui est entièrement recouvert de céramiques. Un anneau périphérique déploie les modules d'habitation tout autour, dans une organisation géométrique et rigoureuse. Les 4 blocs abritent un salon, une salle à manger et deux chambres, aménagés par du mobilier essentiellement créé par les architectes. De larges baies vitrées ouvrent l'habitation sur l'extérieur et peuvent s'escamoter intégralement pour transformer les espaces en terrasses à part entière, de uoi profiter des quelques hectares de terrain de la parcelle.   Sur ce projet, les architectes Mauricio Pezo et Sofia Von Ellrichshausen précisent : "C'est une pièce qui occupe une position dominante sur le paysage. Une figure horizontale séparée de la terre. Une structure sculpturale, unitaire et monolithique, qui s'appuie sur un podium caché. Une partie est en hauteur, visible de loin et l'autre disparaît dans le feuillage. Le monde aérien de la plateforme établit ses propres directions cardinales. Un anneau, une rotonde panoramique tenue par seize colonnes espacées d'intervalles réguliers, est occupée par une séquence de lieux de vie aux fonctions plus ou moins définies. Des enceintes transparentes et symétriquement articulées par des angles ouverts. Dans le monde aerien de la plateforme se trouve une unique pièce intérieure. Cette piece n'a pas de toit. Elle est à peine perforée sur les quatre côtés et l'on trouve sur sa base un point d'eau aussi profond que la hauteur du podium qui relie la maison à la terre. Cette source, qui assoupli le sol, attire le ciel vers la terre." Photographies : Cristobal Palma Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Pezo Von Ellrichshausen, celui d'architecture de collection et celui de Solo Houses.   

Dans le site remarquable de Matarraña, à deux heures au sud de Barcelone, les architectes de l'agence chilienne Pezo Von Ellrichshausen viennent de livrer la Casa Pezo, la première réalisation du programme immobilier Solo House, un projet unique en europe qui comptera une douzaine de réalisations signées par des architectes talentueux. La première construction de ce programme est donc la Casa Pezo, un belvédère sur le parc naturel de Los puertos de Beceite. Cette résidence secondaire se libère des règles préconçues de l'habitation, au profit d'une expérience architecturale inédite. Donnant l'illusion de flotter dans les airs, ce monolithe de béton accueille une piscine creusée dans son patio central qui est entièrement recouvert de céramiques. Un anneau périphérique déploie les modules d'habitation tout autour, dans une organisation géométrique et rigoureuse. Les 4 blocs abritent un salon, une salle à manger et deux chambres, aménagés par du mobilier essentiellement créé par les architectes. De larges baies vitrées ouvrent l'habitation sur l'extérieur et peuvent s'escamoter intégralement pour transformer les espaces en terrasses à part entière, de uoi profiter des quelques hectares de terrain de la parcelle.   Sur ce projet, les architectes Mauricio Pezo et Sofia Von Ellrichshausen précisent : "C'est une pièce qui occupe une position dominante sur le paysage. Une figure horizontale séparée de la terre. Une structure sculpturale, unitaire et monolithique, qui s'appuie sur un podium caché. Une partie est en hauteur, visible de loin et l'autre disparaît dans le feuillage. Le monde aérien de la plateforme établit ses propres directions cardinales. Un anneau, une rotonde panoramique tenue par seize colonnes espacées d'intervalles réguliers, est occupée par une séquence de lieux de vie aux fonctions plus ou moins définies. Des enceintes transparentes et symétriquement articulées par des angles ouverts. Dans le monde aerien de la plateforme se trouve une unique pièce intérieure. Cette piece n'a pas de toit. Elle est à peine perforée sur les quatre côtés et l'on trouve sur sa base un point d'eau aussi profond que la hauteur du podium qui relie la maison à la terre. Cette source, qui assoupli le sol, attire le ciel vers la terre." Photographies : Cristobal Palma Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Pezo Von Ellrichshausen, celui d'architecture de collection et celui de Solo Houses.   

Après 4 années de travaux, le château Borely ouvre de nouveau ses portes et devient Musée des Arts décoratifs, de la Faïence et de la Mode à Marseille. Lors de ce grand chantier de rénovation, le designer Matthieu Lehanneur a imaginé le lustre "Les Cordes" qui orne désormais le vestibule de l'édifice. Monumental et étonnant, ce lustre à Leds est fait de tubes de verre borosilicate et semble prendre vie dans le plafond, n'être visible que par intermittence et ne dévoiler qu'une infime partie de sa structure. Tranchant avec les habituels codes des lustres traditionnels qui s'invitent dans monuments classés, cette création s'intègre à la structure même du bâtiment, rendant les deux éléments indissociables. Le lustre "Les Cordes" a été réalisé par l'agence Eva Albarran & Co et est visible au Château Borély, 134 avenue Clôt Bey à Marseille.   Sur ce projet, Matthieu Lehanneur précise : "Ce lustre est pensé comme un cordage de lumière traversant le plafond, il laisse seulement paraître des traits de lumière et de verre. Ce n'est pas un objet. Ce n'est pas un luminaire. C'est la lumière elle même qui semble vivre et circuler dans l'espace du vestibule, comme cousue sur le bâtiment lui-même." Photographies : Vincent Duault Pour en savoir plus, visitez le site de Matthieu Lehanneur et celui du Château Borély.  

Après 4 années de travaux, le château Borely ouvre de nouveau ses portes et devient Musée des Arts décoratifs, de la Faïence et de la Mode à Marseille. Lors de ce grand chantier de rénovation, le designer Matthieu Lehanneur a imaginé le lustre "Les Cordes" qui orne désormais le vestibule de l'édifice. Monumental et étonnant, ce lustre à Leds est fait de tubes de verre borosilicate et semble prendre vie dans le plafond, n'être visible que par intermittence et ne dévoiler qu'une infime partie de sa structure. Tranchant avec les habituels codes des lustres traditionnels qui s'invitent dans monuments classés, cette création s'intègre à la structure même du bâtiment, rendant les deux éléments indissociables. Le lustre "Les Cordes" a été réalisé par l'agence Eva Albarran & Co et est visible au Château Borély, 134 avenue Clôt Bey à Marseille.   Sur ce projet, Matthieu Lehanneur précise : "Ce lustre est pensé comme un cordage de lumière traversant le plafond, il laisse seulement paraître des traits de lumière et de verre. Ce n'est pas un objet. Ce n'est pas un luminaire. C'est la lumière elle même qui semble vivre et circuler dans l'espace du vestibule, comme cousue sur le bâtiment lui-même." Photographies : Vincent Duault Pour en savoir plus, visitez le site de Matthieu Lehanneur et celui du Château Borély.  

Le Sageret, spécialiste de la communication BTP avec une base de données de plus de 450.000 entreprises qualifiées a organisé une grande consultation pour décerner le label "Elu produit du BTP par les professionnels". Le 20 juin s'est déroulée la grande soirée de remise des prix du label : "Elu produit du BTP par les professionnels" au Grand Hôtel Intercontinental Opéra à Paris. Cette récompense résulte d'une vaste consultation en ligne : plus de 250.000 entreprises ont été sollicitées pour se prononcer sur différents produits et élire les meilleurs produits dans 7 grandes familles pour un total de 42 produits lauréats. Cette soirée était aussi l'occasion pour les participants d'exposer leurs créations et leurs nouveautés. Pour cet évènement, la grande salle classée "Opéra Balroom " s'est transformée en salle d'exposition dans laquelle 30 fabricants ont présenté leurs produits dans ce lieu d'exception. A l'issue de ce cocktail " showroom en présence de nombreux architectes et designers, la cérémonie de remise des prix a été présidée par Nicolas DELECOURT, directeur de la rédaction du magazine La Chronique du BTP. Une fois les lauréats récompensés, la soirée s'est poursuivie au cours d'un cocktail dînatoire.   Pour en savoir plus et découvrir les lauréats, téléchargez le communiqué de presse et visitez le site de l'évènement.  

Le Sageret, spécialiste de la communication BTP avec une base de données de plus de 450.000 entreprises qualifiées a organisé une grande consultation pour décerner le label "Elu produit du BTP par les professionnels". Le 20 juin s'est déroulée la grande soirée de remise des prix du label : "Elu produit du BTP par les professionnels" au Grand Hôtel Intercontinental Opéra à Paris. Cette récompense résulte d'une vaste consultation en ligne : plus de 250.000 entreprises ont été sollicitées pour se prononcer sur différents produits et élire les meilleurs produits dans 7 grandes familles pour un total de 42 produits lauréats. Cette soirée était aussi l'occasion pour les participants d'exposer leurs créations et leurs nouveautés. Pour cet évènement, la grande salle classée "Opéra Balroom " s'est transformée en salle d'exposition dans laquelle 30 fabricants ont présenté leurs produits dans ce lieu d'exception. A l'issue de ce cocktail " showroom en présence de nombreux architectes et designers, la cérémonie de remise des prix a été présidée par Nicolas DELECOURT, directeur de la rédaction du magazine La Chronique du BTP. Une fois les lauréats récompensés, la soirée s'est poursuivie au cours d'un cocktail dînatoire.   Pour en savoir plus et découvrir les lauréats, téléchargez le communiqué de presse et visitez le site de l'évènement.  

L'agence d'architecture d'intérieur Mim Design a réalisé l'aménagement du restaurant japonais Gochi à Melbourne en Australie. Inspiré des intérieurs traditionnels nippons, ce restaurant modernise les codes tout en conservant l'atmosphère globale. Détournant les codes habituels, les architectes ont utilisé les baguettes pour les transformer en luminaires, tressé le plafond de cordages et grillagé la façade pour intriguer les passants. Le choix des couleurs s'est porté sur des teintes sombres et chaudes, le noir et le rouge, qui contraste avec l'utilisation du bois brut. Sur ce projet, les architectes de Mim Design précisent : "Gochi is a modern take on a traditional Japanese style restaurant. Items such as the chopstick were transformed into feature custom-designed lighting which scale the walls. The ceiling structure, made up of interwoven rope, creates a textural element throughout. The screened façade provides transparency and a sense of mystery and intrigue to passers-by. The colour palette of black, red and warm timbers resonate an ambience which is a nod to traditional Japanese interiors, adding warmth and comfort to the overall space." Photographies : Shannon McGrath Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Mim Design. 

L'agence d'architecture d'intérieur Mim Design a réalisé l'aménagement du restaurant japonais Gochi à Melbourne en Australie. Inspiré des intérieurs traditionnels nippons, ce restaurant modernise les codes tout en conservant l'atmosphère globale. Détournant les codes habituels, les architectes ont utilisé les baguettes pour les transformer en luminaires, tressé le plafond de cordages et grillagé la façade pour intriguer les passants. Le choix des couleurs s'est porté sur des teintes sombres et chaudes, le noir et le rouge, qui contraste avec l'utilisation du bois brut. Sur ce projet, les architectes de Mim Design précisent : "Gochi is a modern take on a traditional Japanese style restaurant. Items such as the chopstick were transformed into feature custom-designed lighting which scale the walls. The ceiling structure, made up of interwoven rope, creates a textural element throughout. The screened façade provides transparency and a sense of mystery and intrigue to passers-by. The colour palette of black, red and warm timbers resonate an ambience which is a nod to traditional Japanese interiors, adding warmth and comfort to the overall space." Photographies : Shannon McGrath Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Mim Design. 

Pour Core Deco, le graphiste et designer Matt W. Moore a dessiné une ligne de carreaux de céramique aux motifs géométriques et hypnotiques. Utilisables seuls ou en composition, ces carreaux graphiques sont proposés par lot de quatre, quatre pièces différentes qui permettent à l'utilisateur d'imaginer ses propres créations. Sur un fond noir mat, les motifs blancs se répètent dans des diagonales irrégulières, sortes de partitions pour pictogrammes esthétiques et désordonnés.   Pour en savoir plus, visitez le site de Matt W. Moore et celui de Core Deco.

A Bernay, dans l'Eure, l'agence Prinvault Architectes a reconstruit l'école Jean Moulin, détruite suite à un incendie. La commune a vu ce sinistre comme une opportunité d'agrandir l'établissement et de redynamiser le quartier avec un bâtiment contemporain et ludique. Composé de 5 salles de classe, le nouveau programme de plain-pied, se démarque tout en se connectant au centre de loisirs proche. La longue silhouette de l'école se développe avec quelques sinuosités et sa peau est bardée de 1000 lattes teintées aléatoirement de rouge carmin, de rouge orangé, de bordeaux, de rouge brun, de jaune d'or, de jaune zinc et de noir, un champs chromatique qui rappelle le sort du précédent établissement, tout en animant visuellement le quartier. Sur ce projet, Prinvault Architectes précise : "Réceptionnée en 2012, l'opération de reconstruction du groupe scolaire Jean Moulin est située à Bernay (27) dans le quartier du stade. Ce territoire issu d'une urbanisation tardive du plateau est excentré par rapport à la ville historique implantée en contrebas et souffre aujourd'hui d'un manque d'attractivité. La reconstruction fait suite à un incendie du précédent groupe scolaire : elle présente pour la commune une opportunité pour réajuster la taille de l'équipement à l'effectif actuel, réorganiser son fonctionnement et redynamiser le quartier avec un bâtiment à l'image contemporaine. Face à l'éclectisme de l'environnement bâti (barres modernes des années 70, pavillons des années 80 et équipements publics hétéroclites) le nouveau groupe scolaire choisit l'autonomie aussi bien en termes de gabarit qu'en termes de forme. Le bâtiment se développe de plain-pied. Une circulation centrale connectée au centre de loisirs existant distribue le nouveau programme. Elle se tortille pour dégager une plus grande superficie de cour, s'enfle afin de loger un nouveau hall et se creuse pour former une série de niches constituant autant d'espaces à s'approprier par les enfants. Ces niches sont équipées de bancs à piétement tubulaire métallique et assise en lattes de bois, à la fois archétype du mobilier de collectivité et icône de l'école publique. Les baies sont de trois tailles (grandes, moyennes et petites) et sont implantées suivant un rythme a priori aléatoire qui offre aux élèves différents cadrages vers la cour, vers le ciel ou encore vers le sommet des arbres. Cette reconstruction est particulière puisqu'elle fait suite à la destruction de l'ancien groupe scolaire par un incendie criminel en 2009 : 2 départs de feux, l'un dans le bureau de la direction, l'autre dans la salle informatique et une facture de 2 millions d'euros pour l'Etat, les collectivités et les assurances. Nous avons souhaité inscrire cette histoire en mythe fondateur du projet de reconstruction : il nous a semblé important de conserver une trace de cette disparition, sans le pathos du mémorial, mais par un travail d'archéologue révélant la strate de cendre au milieu des couches de sédiments. Le scan d'une photo d'incendie constitue un premier départ en donnant la polychromie des bardages : 40% de rouge carmin, 25% de rouge orangé, 25% de bordeaux, 2,5% de rouge brun, 2,5% de jaune d'or, 2,5% de jaune zinc et 2,5% de noir. Une formule aléatoire sur Excel sert ensuite à générer la répartition des 1000 lattes de bardage composant la façade." Photographies : David Cousin-Marsy Pour en savoir plus visitez le site de Prinvault Architectes.

Diplômées de l'Ecole d'Art et de Design de Saint-Etienne, Emilie Aubry et Laurène Bordes ont créé Sept, une marque d'accessoires haut de gamme, qui a dévoilé la collection "Secrétaire", une nouvelle collection présente à la Cité de la Mode et du Design. Chaque objet imaginé par les designers répond à de multiples questions, tant sur le fond que la forme, ainsi, du design au packaging, du nom à l'univers, tout dans cette collection est pensé et raisonné. Les lignes pures et le choix de matériaux nobles soulignent l'attachement artistique de Sept au monde du design. Editées en quantité très limitée (7 exemplaire par pièce), cette collection est à découvrir au magasin M1 à Paris, dans l'enceinte de la Cité de la Mode et du Design.   Source : La Belle Société

A Bernay, dans l'Eure, l'agence Prinvault Architectes a reconstruit l'école Jean Moulin, détruite suite à un incendie. La commune a vu ce sinistre comme une opportunité d'agrandir l'établissement et de redynamiser le quartier avec un bâtiment contemporain et ludique.

Diplômées de l'Ecole d'Art et de Design de Saint-Etienne, Emilie Aubry et Laurène Bordes ont créé Sept, une marque d'accessoires haut de gamme, qui a dévoilé la collection "Secrétaire", une nouvelle collection présente à la Cité de la Mode et du Design.

A Singapour, le cabinet d'architectes Farm a réuni deux maisons indépendantes pour les transformer en un tout cohérent, "the Wall House". un projet où les lignes se chevauchent, où la nature et les matériaux organiques se mêlent dans un écrin luxueux. Les deux maisons sont séparées à la demande des habitants, l'une s'élève sur deux étages et comporte les pièces à vivre ainsi qu'une chambre de maître, tandis que le second volume accueille les espaces de divertissement. Une immense cour centrale de granit percée d'un oculus et arborée relie les deux sections de la maison. Paysagés à la manière des jardins chinois traditionnels, les toits végétalisés sont minimalistes et offrent de la verdure au regard.   Sur ce projet, l'agence Farm précise : "This is a tale of two houses - similar looking, yet independent and coming together to form a coherent whole. The two blocks sit on a sprawling piece of land, belonging respectively to the retired parents and one of their children. This separation of the house into two blocks, in part a response to the sheer scale of the land, is also a requirement brief given by the clients. Programmatically, it consists of a two-storey block with the main living and master bedroom area, and a single-storey block housing the entertainment areas of the house. What links these two volumes together is the huge central courtyard at the entrance expressed in an austere geometry of granite floor and wall, an organically shaped oculus and a minimalist planting of six willowy trees. Like a sparse yet artful Chinese landscape painting, this sets the tone for the rest of the spaces. The landscape design, similar to the house, is also experienced in multiple correlated layers. It takes its inspiration from the philosophy of classical Chinese Garden where views are borrowed through cutouts and vistas, and where sight lines and spaces begin to overlap." Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence d'architecture Farm. 

Le designer Frédéric Saulou nous dévoile son dernier projet, le plumier "Monticule". Fabriqué en aluminium brossé, cet objet simple et élégant permet grâce à son rainurage d'adopter plusieurs combinaisons en fonction des usages. "Monticule" remplit de nombreuses fonctions liées aux accessoires de bureaux, porte carte, plumier, pense-bête?   Dimensions (L x l): 300 x 100 mm Sur ce projet, le designer Frédéric Saulou précise : "Le plumier Monticule fait référence au nom donné aux toutes petites montagnes situé entre la vallée et la bute. Au regard d'une bute l'objet prend tout son sens. Il est identitaire, comme anodin, le plumier trouve sa place sur un coin de bureau et ce permet même de s'offrir de nouvelles perspectives. J'ai crée cette objet comme une sculpture à part entière, à la fois simple par sa forme, légère, il est tout à la fois complexe. Le dessin en dent permet d'assembler deux formes par superposition pour les glisser l'une contre l'autre afin de compartimenter et moduler le plumier par un simple geste. C'est un objet complet qui combine diverses fonctions liés aux accessoires de bureau : d'un côté il permet de pouvoir compartimenter l'espace du plumier par un mouvement de va et vient, et ainsi recevoir crayons et autres plumes, et d'un autre côté, recevoir fournitures, feuilles et cartes. Ces deux éléments fonctionnent ensemble et s'adaptent l'un par rapport à l'autre entre deux monticules. Il offre aussi la fonction de presse papier par desolidarisation de l'objet de sa base, ou par déplacement de l'objet par crans, ne formant qu'un seul et meme objet. Monticule est reduit a sa plus simple utilité." Le plumier Monticule est exposé du 5 juin au 31 juillet à la Galerie AAA Reinold à Paris. Pour en savoir plus, visitez le site de Frédéric Saulou. 

A Singapour, le cabinet d'architectes Farm a réuni deux maisons indépendantes pour les transformer en un tout cohérent, "the Wall House". un projet où les lignes se chevauchent, ou la nature et les matériaux organiques se mêlent dans un écrin luxueux.

Le designer Frédéric Saulou nous dévoile son dernier projet, le plumier "Monticule". Fabriqué en aluminium brossé, cet objet simple et élégant permet grâce à son rainurage d'adopter plusieurs combinaisons en fonction des usages.

Randja, l'agence d'architecture dirigée par Farid Azib, vient de livrer une médiathèque à Étampes dans l'Essonne. Ce nouvel équipement a pour vocation d'accompagner la rénovation urbaine du quartier Emmaüs-Saint-Michel qui est inscrit en quartier prioritaire au contrat urbain de cohésion sociale. Ce nouvel espace dans la ville accueille une salle de réunion, une zone d'accueil, une salle d'activités, des bureaux et une bibliothèque. Cette dernière brise les codes habituels des collectivités, son rayonnage est irrégulier, évolutif et coloré. Elément central du projet, l'imposant globe terrestre situé à l'entrée du bâtiment et qui dessine les continents via une multitude de petits miroirs utilisés pour créer cette mosaïque étonnante et inversée. Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence d'architecture Randja. 

Depuis la démolition du centre sportif de "La Latina", se trouve une grande esplanade laissée vacante en plein de c"ur de Madrid. Rapidement, les habitants du quartier ont créé le collectif "El Campo de la Cebada", qui vise à protéger cet espace de rencontre et de partage, d'expression artistique et de liberté. Voué à se transformer en centre commercial luxueux, le lieu a récemment accueillit une performance des designers et artistes contestataires de Luzinterruptus. En hommage aux personnes, aux activités, au lieu, le collectif a réalisé une installation faite de préservatifs remplis d'eau colorée, une pluie qui ne mouille rien, comme pour souligner la rupture entre la vie d'un quartier et les enjeux politiques.   Sur cette installation, Luzinterruptus précise: In the month of May we returned to Campo de la Cebada a to carry out an installation. We were reminded of our experience with the pool made from recycled packaging of the previous year and we arrived with the same spirit of sharing a day of work and fun with the inhabitants of the space. Water has brought us to this space once again, formerly occupied by a public swimming pool and which since two years ago serves as a public square for neighbors and artists who work in an unselfish way to bring it to life. Unfortunately, political will it will soon turn it into a luxury and leisure market for tourists with lots of purchasing power, removing it from the sports use that the neighborhood needs so much, which has been reduced to a minimum and is certainly far above the economic means of the residents of the area. In this context, we wanted to carry out our interactive installation Prophylactic rain that doesn't wet anything, with which we intended to leave a little lighted water in memory of former uses, this time we wanted to do it with drops of water falling on the deteriorated remnants of cement. To give them shape we used condoms, yes, condoms, extra large and extra strength, to which we added blue colored water, to turn them into big drops, with feel and form of silicone breasts, very pleasant to touch and squeeze. With them we created a square space, delimited by suspended droplets in which one could immerse themselvesand touch them, listening to the gentle sound of the moving water. Thanks to the magic of light and water, we were able to convert 800 common condoms, into a sensory and relaxing refuge, suitable for all audiences. For a day we worked on the installation, aided by both children and the not so young, who approached attracted by the tempting "balloons" and who ended up happily integrating themselves into a production line in which each was responsible for a part of the process. The youngest of our helpers thought they were making water balloons that would then serve to throw at each other, the slightly older kids were wondering about the strange shape and were excited about touching them and playing with them trying to make sure they did not slip out of their hands, the adults were laughing mischievously and could not stop themselves from pinching the surface and touching them with pure delight. After the first few minutes of jokes and laughter had passed, everyone ended up accepting that manipulating condoms was like any other activity of daily life, and that, ultimately, was what we wanted to achieve through all of this. We left the installation throughout the night of Saturday, without knowing exactly what would happen the next day when there was a celebration in La Cebada. When we returned on Sunday afternoon, we discovered that the children had not been able to resist the temptation of having fun, playing with the installation as if it were a piñata with shiny surprises in its interior. They had had a delirious celebration, in which a child with long stick broke open the drops, surely a rather complicated task, as the condoms were truly resistant, while others, smaller ones scurried in search of the lights that fell out with the rush of blue colored water." Pour en savoir plus, visitez le site de Luzinterruptus. 

Randja, l'agence d'architecture dirigée par Farid Azib, vient de livrer une médiathèque à Étampes dans l'Essonne. Ce nouvel équipement à pour vocation d'accompagner la rénovation urbaine du quartier Emmaüs-Saint-Michel qui est inscrit en quartier prioritaire au contrat urbain de cohésion sociale.

Depuis la démolition du centre sportif de "La Latina", se trouve une grande esplanade laissée vacante en plein de c"ur de Madrid. Rapidement, les habitants du quartier ont créé le collectif "El Campo de la Cebada", qui vise à protéger cet espace de rencontre et de partage, d'expression artistique et de liberté. Voué à se transformer en centre commercial luxueux, le lieu a récemment accueillit une performance des designers et artistes contestataires de Luzinterruptus.

A Sollentuna en Suède, l'agence d'architecture Claesson Koivisto Rune a réalisé la maison "Fagerström", une étonnante habitation individuelle en forme de L courbe. Pensée pour accueillir une famille grandissante, cette maison tient sa forme du chêne centenaire qui occupe le centre de la parcelle : pas question pour les habitants de se séparer de ce voisin, les architectes ont donc du composer avec cet impératif. En résulte une habitation qui s'élève sur deux étages et à la façade bardée de planches verticales et colorées par des teintes allant de l'ocre au rouge. Renforcée par la présence de cette courbe, l'habitation devient une composition graphique et sculpturale. A l'intérieur un escalier incurvé accueille une grande bibliothèque intégrée et elle aussi arquée. Le sommet de l'escalier débouche sur une ouverture donnant sur le salon en contrebas, augmentant la hauteur sous plafond ainsi que la luminosité de la pièce. De grandes surfaces vitrées s'invitent sur ce volume, laissant les occupants invisibles du voisinage tout en découvrant la vue sur le vieux chêne.   Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence d'architecture Claesson Koivisto Rune. 

Pour l'éditeur Bernhardt Design, le designer Noé Duchaufour-Lawrance a dessiné la chaise "Chiara", une assise accueillante et colorée. Avec ses lignes simples et douces, la chaise "Chiara" s'intégrera dans de nombreuses configurations, adaptée à l'univers professionnel comme à un usage quotidien, cette création au design pur se veut discrète et fonctionnelle.   Sur ce projet, Noé Duchaufour-Lawrance précise : "Chiara's chair is born after a talk with Jerry Helling, who was searching for a comfortable seat as much discreet as possible, a piece of furniture without any effects, with a line fading away. This was not calling for austerity nor from the dryness of a poor talk. A need for simplicity which explains itself in an environment where a sign often prevails on the content. Chiara has for goal to be integrated in various environments. I was seeking to design a chair, which its lines will flow right under your eyes, without any disturbance. A shape thanks to its proportions and its design fits as much as possible its duty / position. Chiara also calls to mind a deep comfort, and on a second thought offers a dreamlike dimension, a vision of a feather or a petal from which it got its inspiration. Chiara's discretion is finally making it necessary." Pour en savoir plus, visitez le site de Noé Duchaufour-Lawrance et celui de l'éditeur Bernhardt Design.  

A Sollentuna en Suède, l'agence d'architecture Claesson Koivisto Rune a réalisé la maison "Fagerström", une étonnante habitation individuelle en forme de L courbe.

Pour l'éditeur Bernhardt Design, le designer Noé Duchaufour-Lawrance a dessiné la chaise "Chiara", une assise accueillante et colorée.

Au 3 rue de Prague dans le douzième arrondissement de Paris, N e M Architectes, l'agence de Lucie Niney et Thibault Marca, vient de réaliser l'aménagement intérieur de Table, le restaurant du gastronome et écrivain Bruno Verjus. Faisant écho au nom de l'établissement, l'élément central du lieu est une table monumentale et sinueuse qui partitionne et sculpte l'espace.

Découverte durant l'édition 2013 de Jardins, Jardin, la jeune maison d'édition française hub.DESIGNEDITIONS créée par les designers Thomas Goux et Nicolas Tourette nous a présenté sa collection de mobilier "Rhône-Alpes". Cette collection se compose d'un fauteuil, d'un banc, d'une table basse, d'un tabouret de bar, d'un guéridon, de tablettes murales et de luminaires.

Confiée à l'agence Néérlandaise Claus en Kaan Architecten, la réhabilitation de la Faculté de Médecine de l'Université Erasme de Rotterdam vient d'être livrée. Le nouveau centre de formation s'habille d'un large assemblage de parquets, d'agencements et de mobilier en noyer américain dans un espace lumineux et chaleureux.

La designer basée à Berlin Joanita Herrenknecht nous présente ses suspensions "Kogi", petites structures de Tyvek, un textile non-tissé de fibres de polyéthylène haute densité, pliées et colorées.

Présentée durant les Designer's Days 2013 à la Galllery S. Bensimon, cette version revisitée de la "Twist Chair" par le designer argentin Cristian Mohaded s'inspire de la chaise du même nom créée à la fin des années 90 par Ricardo Blanco.

Les Architectes de l'Atelier Zündel Cristea ont réalisé l'installation architecturale "Peace Pavilion" dans le cadre du concours d'ArchTriumph "Triumph Pavilion " Summer Pavilion 2013". Lauréat, le projet est actuellement présenté au Museum Gardens dans le quartier de Bethnal Green à Londres.

Le designer Paul Menand a dessiné la série de petits luminaires "Sans fil" fonctionnant à la bougie. Au nombre de trois, ces petits objets colorés en aluminium reposent sur le principe élémentaire de la réflexion de la lumière.

A Ivry sur Seine dans le quartier du Petit Ivry, l'agence Ellenamehl vient de livrer l'extension provisoire de l'école Makarenko. Ce projet vise à créer un espace éphémère sur un terrain vague pour répondre au besoin d'accueil de la commune dans l'attente de la finalisation de la construction d'une autre école de la ville.

Le designer Néo-Zélandais Matt Smith nous livre son interprétation hybride de la chaise avec la "Sacrificial Chair". Une chaise sans assise qui assume pleinement sa fonction de porte-vêtement.

En 2010, l'architecte Patrice Bideau s'est vu confier le projet de rénovation d'une maison. Trop endommagée, c'est finalement une démolition qui a servi de point de départ à la construction de cette habitation Bio-climatique à Auray dans le Morbihan.

Présentée lors des Designer's Days 2013 et éditée par Confidence and Light, la suspension "Vagabond" est le fruit de l'imagination du designer et scénographe Fred Lambert.

La jeune designer lituanienne installée à Bolzano vient d'imaginer le mobilier urbain "Benchina", une assise graphique faite de bois et de marbre.