Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Muuuz

A Montpellier dans le quartier du Parc Marianne, les architectes Jean-Paul Viguier et Associés viennent de livrer l'immeuble de logements "Version Rubis", un ensemble de 81 logements avec commerces au rez-de-chaussée. Juché sur un socle de béton architectonique comme les autres immeubles de cet écoquartier, la bâtiment s'exprime et se démarque par un choix de matériaux contemporain et sa dominante de rouge. 4 types de rouges se mêlent aux grés de panneaux de fibre de verre brillant ou de volets coulissants. Ce volume complexe est fait d'une succession de retraits et de saillies sur ses façades, des balcons suspendus côté ouest, des balcons filants à l'est, de grandes terrasses au sud. Le bâtiment en L entoure un jardin central, dans ce volume homogène habillé de couleur rouge. Au sommet, les trois derniers étages adoptent des lignes plus classiques et disposent de grandes terrasses sur les toits.   Photographies : Takuji Shimmura Pour en savoir plus, visitez le site de Jean-Paul Viguier et Associés. 

Les designers Alexandra Kehayoglu et Maxi Ciovich ont imaginé leur version du transat de plage, une réinterprétation hivernale, la "Winter Passing Chair". Reprenant la forme et l'inclinaison à 30 degrés d'un transat classique, les designers ont remplacé la traditionnelle toile par un épais tapis qui s'étend au-delà de la structure. Confortable et accueillant, ce tapis de 3 cm d'épaisseur est ajusté sur une structure de cerisier tourné. "Winter Passing Chair" est un projet relevant autant de l'art que du design, une invitation à la détente et au bien-être. Sur ce projet, les designers précisent : "In an attempt to mock that line that sometimes lies between art and design we found ourselves with the possibility of creating a new way. We discovered that design can act as a tool for art. In this case: a frame in which a textile piece lies along. Working on it, we discoverd that that line could be crossed back and forward without risking the real value of the piece. This is a chair that can be used. It oferrs an experience. Almost like a performance, the spectator can situate himself either inside or outside. One has the possibility of submerging into the chair's landscape, or that of remaining outside. The chair is made of strips of cherry wood turning. Three arc-shaped parts intersect to yield 2 triangles that provide lateral rigidity. The details were resolved with simple lines that complement the general austerity of the object. The angle offered by the interaction of the strips was chosen to provide a rest position, similar than that of a traditional beach chair. It uses woven wool carpet in flexible foil character. 30mm thickness provided by this system was intended to gently absorb the body weight and create a comfortable feeling to the touch. A zipper closure system offers the possibility of removing the back for replacement or cleaning. Taken together the interaction of these two materials provides a warm image resulting from the use of materials and a color palette balanced." Pour en savoir plus, visitez le site d'Alexandra Kehayoglu et celui de Maxi Ciocich.  

Fruit de la collaboration entre l'architecte Jules Barrès et le designer Pierre Guillou, la table basse "4x4" est fabriqué à partir d'un matériau haute performance bien connu des architectes, le Dibond. Fine et robuste, la table basse "4x4" adopte des lignes sobres et élégantes. Sa fabrication en Dibond lui offre une grande résistance aux intempéries ce qui en fait un élément de mobilier utilisable aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur. Fruit du mélange de compétence en conception d'espace de l'architecte et du savoir faire du designer, cette pièce résonne dans l'espace, épurée et graphique.   La table "4x4" sera présentée pour la première fois du 6 au 10 septembre au salon Maison & Objet. Dimensions (L x l x h) : 70 x 70 x 32,5 cm Pour en savoir plus, visitez le site de Pierre Guillou et celui du salon Maison & Objet.  

A Natchitoches, en Louisiane, l'agence d'architecture américaine Trahan Architects, fondée par l'architecte Victor Trahan, vient de livrer le nouveau "Louisiana State Museum & Sport Hall of Fame". Ces deux lieux d'exposition sont désormais réunis au sein d'un même espace, interconnexion entre l'histoire de l'Etat et le monde du sport. Le revêtement extérieur composé panneaux de cuivre plissé souligne l'environnement naturel voisin, contrôle la lumière et la ventilation. Ce monolithe "simple" contraste avec l'entrée sinueuse et entame un dialogue entre la ville et l'intérieur du lieu. Le visiteur est invité à pénétrer dans un hall d'accueil dynamique, sculpté et organique qui s'habille de panneaux en pierre usinés numériquement. Baigné par la lumière naturelle, l'espace semble prendre vie et s'animer tel un cours d'eau.   Sur ce projet, les architectes précisent : "The Louisiana State Museum and Sports Hall of Fame in historic Natchitoches merges two contrasting collections formerly housed in a university coliseum and a nineteenth century courthouse, elevating the visitor experience for both. Set in the oldest settlement in the Louisiana Purchase on the banks of the Cane River Lake, the design mediates the dialogue between sports and history, past and future, container and contained. The museum is configured to interpret athletics as a component of cultural history. While sports and regional history may appeal to different audiences, the exhibits and configuration explore interconnections between the two. The spaces flow visually and physically together, arranged to accommodate state-of-the-art exhibits, education, and assembly and support functions. The internal organization is an extension of the existing meandering urban circulation. The pathway branches throughout the first level galleries and classrooms, and winds its way upward, concluding at a veranda overlooking and reconnecting to the historic town square. Historical pastiche is set aside in favor of a design language inspired by the riverfront setting and the 17th century bousillage found in the region. The exterior cladding of pleated copper panels alludes to the nearby plantations, controlling light, views and ventilation, and employing surface articulation rather than architectural ornamentation. The "simple" urban container contrasts with the sinuous entry and foyer within, highlighting the dialogue between the city and the natural environment. The flowing interior emerges at the entry, contrasting with the patinated exterior shell, inviting the visitor within. The dynamic foyer reflects the carving of the ancient river's fluvial geomorphology. Sculpted out of 1,100 digitally milled cast stone panels, the shaped surfaces seamlessly integrate all building systems. Washed during the day by natural light from above, they also serve as screens for films and exhibits, further merging content and context." Pour en savoir plus, visitez le site de Trahan Architects. 

Le designer basé à Pékin Min Chen nous livre sa vision du tabouret avec le projet "Hangzhou", une assise composée d'un assemblage de lames de bambou. Epaisses de moins d'un millimètre, les différentes couches de bambou sont collées sur leurs extrémités. Une tige de bambou brut vient transpercer l'ensemble, donnant à la structure une courbure naturelle et souple. Chaque couche successive adopte ainsi un arc qui lui est propre créé une assise qui se courbera plus ou moins en fonction de la morphologie de l'utilisateur. En suivant les fibres du bois, le designer a créé un tabouret solide et vivant, naturel et minimal.   Sur ce projet, Min Chen précise : "The Hangzhou Stool consists of many layers of bamboo veneer of the thickness of 0.9mm. Each veneer again is made of several ultra thin bamboo layers that is aligned vertical to each other according to its natural direction of the bamboo fibres. In such way, each veneer becomes not only very flexible but also robust in all directions. Each bamboo veneer is different in length. They are bent in an arc shape and glued together at the last 25cm of each end. There is one piece of raw bamboo stick that penetrates in the veneers and combines the two ends of the stool. The layers of bamboo veneer give a very special "arc" of the stool, just like the ripples on the water surface. When sit, the more weight the stool receives, the deeper the arc will be bent in the center, and therefore the more elasticity the user will feel." Pour en savoir plus, visitez le site du designer Min Chen. 

En 1999 le designer finlandais Harri Koskinen créait pour l'éditeur iittala le photophore de verre soufflé "Lantern". Cette pièce désormais célèbre revient dans une nouvelle version électrique. Pour cette réedition, on retrouve les lignes claires et nettes de ce bougeoir sculpté, qui laisse toujours cette impression que la lumière flotte dans son écrin de verre. Trois versions de "Lantern" sont disponibles dans trois coloris différents, le cuivre, le blanc et un modèle incolore. Les nouvelles éditions de la lampe Lantern seront présentées du 6 au 10 septembre à l'occasion du salon Maison & Objet. Dimensions (h) : 25 cm (pour Lantern Lampe, disponible en blanc et cuivre) , 60 cm ( pour Lantern Lampe en blanc) , 25 cm (pour Lantern bougeoir, disponible en cuivre et incolore). Pour en savoir plus, visitez le site du designer Harri Koskinen, celui de l'éditeur iittala et celui du salon Maison&Objet.  

Pour concevoir sa première boutique parisienne, la marque de cosmétiques française Caudalie a fait appel à l'agence BETC Design. Situé rue des Francs-Bourgeois, au c"ur du 4ème arrondissement de Paris, cet espace relate toute l'histoire de la marque par le biais de matériaux naturels et authentiques et d'un aménagement élégant. Ingrédient emblématique des produits Caudalie, le raisin s'octroye une place de choix dans la vitrine plantée de pieds de vignes, tandis que l'intérieur se dessine autour de rangement inspiré des anciennes pharmacies. Le blanc, la prune et le bois brut se répondent dans cet espace dédié au bien être dans un entrelacs de tradition et de modernité.   Pour en savoir plus, visitez le site de BETC Design.

Le designer espagnol Alberto Sanchez nous présente son projet "Keidos", des carreaux de ciment graphiques et colorés directement inspirés par les formes de kaléidoscopes. Rompant avec les codes traditionnels des carrelages, les 4 modèles de la collection permettent à l'utilisateur d'imaginer une infinité de compositions. Editée par la fabricant valencien Entic Design, la série "Keidos" est fabriquée en Espagne.   Sur ce projet, Alberto Sanchez précise : "Multi-coloured pieces flood Keidos, a new emotive and playful design collection. Keidos, as with it's predecessor Drops, breaks with the formal tradition distancing itself from a rigid, modular system that characterised the hydraulic floors at the end of the 19th Century. Thanks to simple geometry the four pieces that make up Keidos represent the pieces of indescribable beauty captured by kaleidoscopes. Little delicately coloured and irregular segments have become the common denominator in this new project. Conceptualised to allow for thousands of combinations, the new design for enticdesigns offers as many unique solutions as there are spaces. With the versatile colour palette, Keidos floors allow for elegant and inspirational designs for hidden corners and places of reflection. This collection offers customisation without limits with its different pieces." Pour en savoir plus, visitez le site d'Alberto Sanchez et celui d'Entic Design.  

Imaginée par le designer anglais Gareth Batowski, la commode "Parity" est un petit meuble en chêne composé de deux tablettes et de 4 tiroirs colorés. Ce petit meuble hybride, console et commode, est fabriqué à partir de bois de chêne de Manchester. Sa surface supérieure est noircie tandis que ses tiroirs sont teintés de couleurs vives. Ce mélange additionné au reste de la structure en bois brut donne à l'ensemble une personnalité authentique et riche.   "Parity" sera présentée au London Design Festival du 19 au 22septembre 2013. Pour en savoir plus, visitez le site de Gareth Batowski. 

Dans le Kent, au Sud Est de l'Angleterre, l'agence Simon Conder Associates a réhabilité "El Ray", une petite maison de plage délabrée et faite d'un ancien wagon. Trop petit pour accueillir la famille grandissante des clients, les architectes ont du augmenter sa surface de moitié, tout en améliorant les performances énergétiques de l'ensemble. La plage de Dungeness est parsemée de constructions hétéroclites et sans liens commun, la maison de plage "El Ray" était elle-même composée d'un unique wagon ferroviaire désormais intégré à la construction. Elément central du projet, il accueille désormais la cuisine tandis que l'habitation se compose de deux chambres, d'un salon, d'une salle de bains, de deux cours et d'une terrasse. Bardée de bois d' Itauba, l'habitation développe ses formes tout en courbes dans le paysage, offrant de meilleurs performances énergétiques et protégeant les habitants du vent. Sur la face sud, l'espace s'ouvre via de grandes baies vitrées qui offrent le panorama au regard des occupants.   Sur ce projet, les architects précisent : "Dungeness beach is a classic example of ?Non-Plan' and the houses that populate the beach have developed through improvisation and bodge. This scheme develops this tradition in a way that responds to the drama and harshness of the landscape. El Ray is part of a group of five beach houses located immediately to the east of the huge Dungeness A power station. The original house consisted of a 19th century railway carriage with flimsy lean tos to the north and south. It was in extremely poor condition and too small to accommodate our clients and their growing family. We were asked by our clients to increase the accommodation area by approximately 50%, and dramatically improve the environmental performance of the house. The new house incorporates the old railway carriage inside a highly insulated timber structure. The carriage forms the centre point of the main living area and accommodates the kitchen. A fully glazed southern elevation gives views out over the channel and a series of smaller slot windows on the other elevations give focused views of the adjacent lighthouse, coastguard station and nuclear power station. The sloping roof deck acts as an observation platform with extraordinary 360 degree views of the beach and the sea. The plan incorporates two courtyards to provide shelter from the constant wind. Environmental Performance Environmental control is achieved through a combination of super insulation, passive solar gain, cross ventilation and a wind turbine. The high levels of insulation in the walls, roof and floor ensure that heat loss from the building is minimal and very little energy is required for heating, lighting and ventilation. External glazing consists of a combination of double-glazed, low ?E', argon- filled frameless fixed lights and thermally-broken, aluminium sliding doors. The structural timber frame is constructed from lightweight engineered timber I-Joists, braced inside and out with a sheathing material manufactured entirely from wood waste. The insulation between the I-joists and studs is made from recycled newspaper. The external cladding and decking is made from an FSC certified hardwood called Itauba and the internal wall linings, floors and all joinery are constructed from FSC certified birch plywood. A canopy projects out over the south deck to shade the living areas from the high summer sun, but allows the low winter sun to warm the house. When necessary a wood-burning stove, using drift wood from the beach, is used to supplement the passive solar gain in the winter months and in extremely cold conditions electric under floor heating, powered by the wind turbine, will heat the two bedrooms and the bathroom. It is anticipated that the during the year the wind turbine will generate more electricity than the house will consume, meaning that the house can be run at carbon negative. The client intends to sell any surplus electricity generated by the wind turbine back to the National Grid." Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Simon Conder Associates. 

Le designer polonais Pawel Grobelny nous présente son projet "Sur le fil", une petite table d'appoint de bois et de métal qu'il dévoilera lors de la Paris Design Week 2013. Cette construction minimaliste se compose d'une structure d'acier sur laquelle se niche un plateau de noyer. Rainuré, le plateau vient se glisser au sommet de la structure de métal, donnant l'impression de ne tenir qu'à un fil. Impression seulement car après un travail méticuleux sur les matériaux, le designer est parvenu à rendre l'ensemble parfaitement stable et équilibré. Les différentes encoches creusées dans le plateau permettent de le déplacer selon les usages, et le mélange de bois brut et d'acier laqué créé un contraste étonnant et sobre.   Le projet sur le fil de Pawel Grobelny sera présenté du 9 au 15 septembre durant la Paris Design Week au Docks de la cité de la mode et du design. Pour en savoir plus, visitez le site de la Paris Design Week. 

Le studio de design Carsten Astheimer vient de dévoiler sa dernière création pour l'éditeur de mobilier d'extérieur Gloster. La collection "Bella", composée d'une chaise et d'un banc surprend par son élégance, aux structures d'aluminium laqué sont associées des lattes de teck laminé. L'ensemble propose des formes organiques soulignées par le mélange des matériaux, l'esthétique joue sur les contrastes entre l'aluminium laqué lisse et les lattes de teck vivantes, les surfaces planes et les lignes courbes.   Pour en savoir plus, visitez le site de Carsten Astheimer et celui de l'éditeur Gloster.  

A proximité de Stockholm, les architectes Tham & Videgård ont dessiné la Maison "Lagnö", une résidence secondaire inspirée par les hangars à bateaux. Un volume de béton répété qui s'ouvre sur le paysage par le biais de grandes baies vitrées qui bercent l'espace intérieur de lumière. Nichée entre la forêt et la mer Baltique, la maison en béton coulé accueille des espaces intérieurs de différentes tailles, petits pour la salle de bains, les chambres, l'entrée et la cuisine, vastes et lumineux le salon et la salle à manger. Rythmée par ses toits à pignons transversaux, l'habitation se connecte à un plus petit espace qui loge le sauna. Sur ce projet, les architects Tham & Videgård précisent : "Completion of Summerhouse at Lagnö in the Stockholm archipelago. The building sits on the border between a forest and the coast line. A sequence of interconnected pitched roofs made of natural cast concrete create interior spaces of varying size and heights. Small rooms for entrance, bath, kitchen and sleeping constitute a thick wall towards the north, while a continuous open space for living and dining opens up to the south with vast views over the neighboring islands, the Baltic sea and the horizon." Photographies : Lindman Photography  Pour en savoir plus, visitez le site des architectes Tham & Videgård. 

Pour sa 3ème édition, la Paris Design Week réserve aux amateurs de design et de création une semaine riche en expositions, rencontres et parcours dans la ville. Du 9 au 15 septembre, ce sont 236 participants réunis sur 150 lieux qui ouvrent leurs portes aux visiteurs. Pour faciliter les découvertes au sein des galeries, magasins, marchés, hôtels et restaurants, 7 parcours thématiques sont organisés pour profiter au mieux de l'évènement. "Design en France" , "Art & Design", " Food & Design", "Design & Architecture", "Design Iconique", "Design Digital" et "Design & Mobilité" permettront de partir à la découverte de la ville selon ses centres d'intérêt tout en soulignant l'implication du design dans notre quotidien. Partenaire média de l'évènement, l'ArchiDesignClub vous transportera au c"ur du design parisien durant toute la semaine. La Paris Design Week se déroulera du 9 au 15 septembre 2013. Pour en savoir plus, visitez le site de la Paris Design Week. 

Du 12 septembre au 1er novembre 2013, la Carpenters Workshop Gallery de Londres Accueillera le créateur de mode californien Rick Owens qui y présentera sa collection de mobilier "Prehistoric". Dans un univers sombre et brut, le créateur dévoilera son approche du design au travers d'une série de pièces comprenant un siège, un lit, une chaise, un canapé, une table et un paravent. Des créations primales qui semblent venues d'un temps ancestral et faites de matériaux nobles et hors du temps tel que le marbre, l'albâtre ou le bois fossilisé. Une exposition où Rick Owens interroge sur le temps et les usages.   L'exposition "Prehistoric" de Rick Owens se déroulera du 12 septembre au 1er novembre à la Carpenters Workshop Gallery de Londres. Photographies: Carpenters Workshop Gallery Source : La Belle Société 

A Sesto au nord est de l'Italie, les architectes de Plasma Studio viennent de finaliser la rénovation de la résidence Alma, un complexe datant des années 60 et comprenant 6 appartements de vacances, dans lequel un nouvel espace de vie vient se greffer dans une étonnante structure à claire-voie. L'extension réalisée vient s'appuyer sur l'existant, une double peau organique de bois de mélèze s'étend à travers le site, pour jouer avec la topographie de chaque extrémité du bâtiment pour finalement l'escalader et s'achever au niveau du troisième étage. Cette peau de bois s'étire à l'arrière de l'édifice pour accueillir la nouvelle habitation. Les grands interstices laissés entre le bois et les murs extérieurs offrent ainsi des espaces de vie à l'abri des regards tout en restant lumineux.   Sur ce projet, les architectes de Plasma Studio précisent : "This project was conceived to fulfill a two-part problematic: Residence Alma--a Tyrolean guest house with 6 holiday apartments from the 1960s adorned with a pitched roof--was due for a common circulation and service core, and the project architect, Ulla Hell, was looking for a new home for her young family of five in the mountain community of Sesto, Alto Adige. The result: an under-utilized roof space gave way to an angular crown, connected to a ground floor reception space and architectural office by the host's renovated spine. Having already made their mark on nearby Residence Königswarte with the addition of the Strata Hotel in 2007, Plasma Studio sought to follow a similar skin organization. A timber strip section in larch wood was borrowed from the neighbouring Strata and extruded along two paths. The first stretches across the site, picking up the topography on either end of the building and climbing to enclose a third storey balcony. Here, the edge skirts around the existing footprint, leaving corners exposed to acknowledge its presence. A second path draws the timber skin up from behind, folding around the chimney to return to the ground. Interstitial spaces between the exterior walls and wooden bands swell at ground level to offer sheltered outdoor living spaces. The design team employed parametric modelling software to optimize the density of these timber strips and their metal substrustructure, balancing budget, aesthetics, privacy and views. This approach allowed for flexibility throughout the design phase and output shop drawings for pre-fabricated elements at an efficient pace. The Alma addition departs, however, from the Strata in its approach to volume. The practical constraints of a multiroom hotel structure called for a regular distribution of modules along a connecting spine. The perceived volume was achieved through horizontal sections around free-flowing terrace spaces. With the Alma, we took advantage of a more flexible program to create unique spatial conditions. These interior volumes are rendered legible from the exterior by the timber strips an honest depiction of the playful activity within. The interior of this family home is characterized by 360-degree views. Perhaps the most spectacular of these being a view of the sky through an incision over the central stair. This opening delivers an immediate reading of exterior weather conditions, collecting precipitation and receiving direct sunlight. The main living spaces are split over two floors with first floor bedrooms off a skylit corridor, and an open plan kitchen, dining and family room encircling a fireplace on the second floor. By grouping functional elements in orthogonal cores, the surrounding space is liberated. The exterior walls of the main living spaces collapse inwards to catch light, views and varying degrees of enclosure. All living spaces in the private residence have direct access to the outside through a series terraces or gardens. Its multiple access points include: a main entrance through an internal connection to the neighbouring house, a series of openings that follow the natural topography, and an external stair connecting the third floor terrace to the garden. Each inhabitant has come to find their own favourite route. Limited material and colour palettes give strength to the space, with splashes of colour in the children's washroom. The otherwise white walls provide a backdrop for an ever-changing display of shadows from the pleated roof above. As the extension sits within the steep topography, substructural elements were developed in reinforced concrete, while the superstructure was built from prefabricated cross laminated timber (CLT) insulated with wood fiber and sealed with black bitumen. The outer skin in larch wood strips on a galvanized steel structure was determined according to cost and aesthetics by the aforementioned parametric model. A consistently limited colour code was applied to the exterior, allowing the volume to dissolve into the surrounding hillside when viewed from afar. Through its use of form, materials and views, this newly completed addition flirts with its context at three scales. The first, and most immediate, with its host: as an addition to the Alma residence, it shares a newly renovated core, carrying the fractal geometry from the roof down to Plasma's Italian office through the Alma's cartesian skeleton. The second, with its neighbour: together the Strata and the Alma define the next generation of the family-owned hotel complex. And finally, with its terrain: the sculptural addition acts, not as a parasite, but as a mediator between the existing house and surrounding topography, extending from the landscape like a lichen." Pour en savoir plus, visitez le site de Studio Plasma. 

Le designer norvégien Andreas Engesvik nous présente "Shelf Lamp", une petite lampe à poser sur une étagère. Simple et enfantine, elle se compose d'un petit socle en bois de pin et d'une petite plaque ajustable de métal laqué en guise d'abat-jour. Sa conception permet de gérer la luminosité et de créer ses propres jeux d'ombre et de lumière. Fabriqué par l'éditeur suèdois David Design, la "Shelf Lamp" est disponible en métal laqué bleu et blanc. Dimensions (h) : 20 cm Sur ce projet, Andreas Engesvik précise : "Shelf Lamp - is a small lamp meant for shelves. The lamp gives light to the surrounding planes and defines the volume/space in the shelf itself. The lamp brings light into a shelf structure and allows a change in modus in comparison with the rest of the shelves containing books etc. Low tech diffusion of the light, along with archetypical shapes and elements, creates a mystical apperance. It was launched by swedish David Design in Stockholm in February 2012." Pour en savoir plus, visitez le site d'Andreas Engesvik et celui de l'éditeur David Design.  

Pour l'éditeur Normann Copenhagen, le designer Simon Legald a dessiné "Sko", un petit meuble de rangement destiné aux chaussures. Minimale, cette petite étagère se compose d'une structure de frêne qui accueille deux plaques d'acier perforé. Un souci du détail a été apporté dans la conception de cette pièce, avec notamment les vis volontairement imposantes et perforations des plateaux qui créent un subtil jeu d'ombres sur le sol. L'utilisation de matériaux robustes et l'absence de fioritures font de "Sko" une pièce sobre et élégante qui trouvera sa place tant dans une entrée que dans la chambre à coucher ou le dressing.   Dimensions (L x h x p) : 76 x 42 x 34 cm Sur ce projet, le designer Simon Legald précise : "I like to design things that are not typical design products. A Shoe Rack is for me overlooked in the design world, and therefore it has been a fun process." Pour en savoir plus, visitez le site de Simon Legald et celui de l'éditeur Normann Copenhagen.  

Ouvert depuis 1962 à Kiev, en Ukraine, le restaurant "Odessa" a fait l'objet d'un réaménagement par les architectes de YOD Design Lab. Pour reproduire l'esprit de cette ville unique du bord de la mer Noire, un travail sur l'atmosphère a été réalisé par les architectes qui ont su jouer avec les matériaux et la lumière. 30 Km de cordes ont été utilisés pour transformer l'espace central de la pièce principale en îlot. L'approche esthétique s'appuie sur le jeu de lumière et les différentes longueurs de cordes, qui marquent une séparation douce et vivante des différents emplacements. Le choix des matériaux replace aussi le visiteur au c"ur de cette mini Odessa, le cuivre, un mur de grès, les plaques d'acier, ce mélange reflète l'ambiance colorée et cosmopolite de la ville pour se créer un univers propre et cohérent.   Photographies : Andrey Avdeenko Pour en savoir plus, visitez le site de YOD Design Lab. 

Basé à Londres, le jeune studio Brose~Fogale nous livre son interprétation du valet de nuit avec "Camerino", une pièce qui réhabilite le valet de nuit, une pièce de mobilier tombée peu à peu en désuétude alors que son concept s'adapte parfaitement avec les modes de vie actuels. Les designers Joshah Brose et Matteo Fogale repensent ce classique sous un nouveau jour, coloré et multifonctions. Composé de deux rails de suspension, de deux tablettes de rangement et d'un miroir, le valet de nuit "Camerino" est conçu en chêne. Les nombreux coloris disponibles lui permettent de trouver sa place dans de nombreuses pièces de la maison et d'être déplacé puisqu'il ne requiert aucune fixation au mur.   En attente d'édition, le projet fait actuellement l'objet d'un financement via la plate-forme Kickstarter. Pour en savoir plus, visitez le site du studio Brose~Fogale. 

Les londoniens du studio de design Vitamin ont conçu les suspensions "Tied-Up", légères, les structures se composent de 26 attache-câbles industriels qui forment l'abat-jour du luminaire. La différence de diamètre entre la base et le haut de cette création donne aux câbles une courbure naturelle, en résulte un projet astucieux et étonnant.   Pour en savoir plus, visitez le site de Vitamin. 

A Daejeon, en Corée du Sud, l'agence d'architecture Moon Hoon a imaginé la Conan House, une maison commandé par un couple avec enfant. Ce volume blanc sculptural et curieux, présente de nombreuses représentations géométriques sur sa façade, une architecture ludique et audacieuse qui se retrouve dans les espaces intérieurs. La caractéristique principale de la maison est son escalier, protégé par une structure ouverte et irrégulière qui présente une conception inattendue. Cet espace commun transparent et puits de lumière, transperce le volume qui accueille une petite bibliothèque et bureau, une salle à manger, la cuisine et une salle de jeu dernier étage. Aussi torturé que l'enveloppe extérieur, l'intérieur est un espace qui offre une multitude recoins, marches et rampes, un véritable terrain de jeux pour enfants qui reste malgré fonctionnel et humain.   Photographies : Moon Hoon Pour en savoir plus, visitez le site du cabinet d'architecture Moon Hoon. 

Fondé début 2013, le Studio Fabien Barrero+Carsenat nous présente la table basse "Vuoristo", une table graphique et asymétrique inspirée des paysages finlandais. A l'image des panoramas qu'offrent les pays du nord, la table basse "Vuoristo" (qui signifie Montagne en finlandais) dessine une composition délicate et épurée. Des montagnes stylisées percent le plateau d'acier laqué, elles composent le piètement ainsi que les cônes tournés dans de la roche volcanique qui émergent de la table, désordonnés et poétiques.   Dévoilée à l'occasion de la Paris Design Week, la table basse "Vuoristo" est en lice dans le cadre du concours Rado Star Prize. Pour en savoir plus, visitez le site du Studio Fabien Barrero+Carsenat, celui de la Paris Design Week et celui du Rado Star Prize.   

A l'aide de son imprimante 3d, le designer Bulgare Aleksandar Dimitrov a créé "Clip on Vase ", une extension ingénieuse qui permet de transformer le verre Pokal d'IKEA en véritable vase. Cette extension offre au verre une seconde fonction, le transformant d'un simple clip en vase. Fabriquée en polyamide à la texture lisse, cette création ciselée et aérienne propose une nouvelle approche pour cet objet essentiel du quotidien.   Pour en savoir plus, visitez le site d'Aleksandar Domitrov. 

C'est dans le quartier Glebe à Sidney que l'agence d'architecture australienne Carterwilliamson Architects a effectué la transformation de cette ancienne étable en habitation familiale, la "Cowshed House". Située sur une petite parcelle cernée par trois routes, ce volume simple et rustique a fait l'objet de nombreuses transformations pour s'adapter aux besoins de la famille qui l'occupe désormais. Les architectes ont conservé l'essence même de la structure existante, les espaces sont ouverts, les chambres communiquent entre elles et sont baignées de lumière, tandis que la cour paysagée apparait comme une pièce à part entière. Durant cette rénovation, les architectes se sont appuyés sur une palette de matériaux robustes et simples, dalles de béton poli au sol, briques recyclées laissées apparentes sur les murs, et structures de bois massives. Les caractéristiques même de l'étable ont été conservées, tout en ajoutant la dose de réhabilitation nécessaire et les aménagements destinées à transformer cette ancienne étable en lieu de vie confortable et authentique.   Sur ce projet, les architectes de Cartewilliamson précisent : "The old cowshed in Glebe was a surprising find; a rare opportunity to preserve some of the character and charm of this eclectic neighbourhood and one we encouraged our clients to seize when they sought our advice on purchasing the property. The cowshed sat on a small parcel of land bounded on three sides by roads. The building was simple, essentially a long brick wall that held the urban edge of corner and street and returned to house a few bedrooms in the place of the former stalls. It was the most basic of accommodation but the shed had a worn patina of stories and was well situated, hugging the southern boundary with provision for a private, north facing courtyard. Our clients share a vision for gregarious family life which is reflected in their home. The spaces are truly ?open plan', each room connected to the others and to the sunny, green courtyard that acts as a natural extension of the living spaces. The plan of the house was kept largely as it was with the kitchen to the street corner, hidden behind the strong brick envelope and spilling over into the dining and living rooms. The kids' bedrooms, replete with requisite hammocks, were tucked into the return of the L-shaped plan with a vivid red bathroom at the pivot, a nod to our client's proud Venezuelan heritage. By expanding the width of the building from three to four metres and locating the bedroom mezzanine above the kitchen, the urban edge of the street was held by a tall forward element much like the bald face shop fronts at the end of a row of terraces; a good urban response which marks corner buildings as distinctive landmarks in an urban streetscape. The cowshed sits under a big jacaranda tree whose leaves and blooms blocked the valley gutters and flooded the existing house when it rained. In response, a long steep roof plane was pulled up and over the second storey bedroom and tucked down at the rear of the site, designed to prevent accumulating organic matter and giving the building it's distinctive profile. A ribbon of high clerestory windows that capture light and breeze, wrap the building and climb upwards with the roofline allowing the home to feel bright but private, despite it's dense urban context. Wherever possible the existing building fabric of the original cowshed was preserved, but sadly much was structurally unsound. What was rebuilt carries the spirit of the cowshed, composed from a palette of simple, robust materials that simultaneously address the restraints of the tight budget; concrete slabs were polished as flooring, recycled bricks left as face for the internal walls and the timber structure exposed. Oiled timber doors and windows and corrugated cladding hint at the Australian pastural vernacular now all but forgotten in this rapidly gentrifying neighbourhood." Photographies : Brett Boardman Pour en savoir plus, visitez le site de Carterwilliamson Architects. 

"Light Bean" est une création de la designer Russe Katerina Kopytina. Petites suspensions de bois, elles placent l'ampoule au centre de l'objet, faisant d'elle un élément à part entière dans la forme du luminaire. Usinées grâce à des machines de précision, les "Light Bean" sont ensuite finalisées à la main. La structure de chêne est disponible en deux finitions, l'une naturelle, l'autre laquée noire. Les câbles d'alimentation très colorés apportent une touche fantaisiste, 12 couleurs que l'utilisateur mette au point ses propres compositions et les adapte à son intérieur.   Pour en savoir plus, visitez le site de Katerina Kopytina. 

Les designers italiens Paolo Ulian et Moreno Ratti ont créé "Onda Bench", un banc sculptural aux courbes organiques fait de marbre blanc Arabescato, pour UpGroup. Pour concevoir ce banc, les designers se sont interrogés sur la manière de limiter au maximum les chutes et les différentes pertes. D'un seul bloc de marbre nait le banc "Onda", découpé en quatre parties onduleuses et identiques, les designers ont ensuite superposé les différentes couches, en alternant les sens de poses pour créer cette forme étonnante et massive.   Pour en savoir plus, visitez les sites de Paolo Ulian, celui de Moreno Ratti et celui d'UpGroup.   

Les designers italiens Paolo Ulian et Moreno Ratti ont créé "Onda Bench", un banc sculptural aux courbes organiques fait de marbre blanc Arabescato, pour UpGroup. Pour concevoir ce banc, les designers se sont interrogés sur la manière de limiter au maximum les chutes et les différentes pertes. D'un seul bloc de marbre nait le banc "Onda", découpé en quatre parties onduleuses et identiques, les designers ont ensuite superposé les différentes couches, en alternant les sens de poses pour créer cette forme étonnante et massive.   Pour en savoir plus, visitez les sites de Paolo Ulian, celui de Moreno Ratti et celui d'UpGroup.   

Livré il y a quelques semaines, le Musée des Civilisations d'Europe et de la Méditerranée est le projet phare de la renaissance architecturale et culturelle de Marseille, un monolithe de verre et de béton armé par l'architecte français d'origine algérienne Rudy Ricciotti. Ce volume est un carré parfait de 72 mètres de côté pour une surface totale de 45 000 m² qui enserre le c"ur du musée, un autre carré de 52 m de côté qui accueille salles d'expositions et de conférences. Composé d'une structure interne de verre et d'acier et recouverte d'une résille complexe en béton fibré à ultra-haute performance, le bâtiment joue avec la transparence et s'ouvre à la lumière naturelle et sur la mer. Le voile de béton dentelé laisse filtrer les reflets de la mer qui animent l'espace. La nuit, la structure s'illumine d'un camaïeu de bleu et de turquoise conçu par Yann Kersalé. Sur trois niveaux, le Mucem revient sur l'histoire de la méditerranée via des évènements historiques marquant, un espace dédié aux expositions temporaires, des espaces dédiés aux ateliers pédagogiques pour les enfants, un auditorium de 325 sièges, une librairie et un restaurant géré par le chef local Gérald Passédat. Pour faciliter l'installation des scénographies, les architectes ont développé des planchers en parquet de chêne spécialement mis au point pour le Mucem. Au dernier étage, la toiture terrasse se pare de frêne d'Amérique chauffé à haute température. Ce plancher à grande portée (24 mètres) couvre une superficie de 1600m² et laisse le visiteur profiter de la vue sur la méditerranée, l'essence même du Mucem.   Photographies : Lisa Ricciotti et Charles Plumey Faye Pour en savoir plus, visitez le site de Rudy Ricciotti, celui du Mucem et celui de l'American Hardwood Export Council.   

Basé à Strasbourg, le studio BSG Bikes a été créé par le duo de designers Thierry Boltz et Claude Saos. Leur passion commune du vélo a poussé les deux associés à créer la collection Wood.b une série de vélos au look singuliers, fabriqués à la main en France et utilisant des matériaux nobles comme le bois, l'acier, l'aluminium et le cuir. Ces vélos urbains aux cadres de bois et d'acier sont disponibles en deux versions, l'une fixie et l'autre disposant d'un système de freinage traditionnel. Entièrement personnalisables et disponibles uniquement sur commande, les Wood.b offrent un design et une conception originale, tout en restant de vélos classiques dans leur utilisation, robuste et passe-partout.   Sur ce projet, les designers Thierry Boltz et Claude Saos précisent :  "BSG BIKES a été créé par le duo de designers Thierry Boltz et Claude Saos, basés à Strasbourg. WOOD.b est né d'une passion commune pour le vélo, de l'utilisation quotidienne de ce moyen de transport par les deux designers et du constat de la présence croissante du vélo dans le paysage urbain. WOOD.b est un vélo de type urbain. Le choix du bois et de l'acier pour la conception du cadre nous a été déterminant. Nous avons utilisé des matériaux nobles afin de créer un vélo exclusif dans son dessin et sa conception, mais non dans son utilisation. Une partie du cadre est réalisée en multiplis de hêtre contrecollé et joue le rôle de la structure architecturale sur laquelle viennent s'ajouter les parties en acier de haute qualité de la marque Columbus (haubans, bases et fourche) accueillant les éléments mécaniques inhérents à tout vélo. L'intérêt du bois est d'être un matériau recyclable. L'utilisation du multiplis de hêtre permet une meilleure solidité, une sensibilité hygrométrique quasi nulle en terme de déformation par rapport au bois massif, tout en gardant une souplesse liée au matériau. Le hêtre est également une essence de bois très courante dans nos régions, ce qui est un avantage en terme de production et d'impact environnemental. L'acier Crmo est enrichi de 1% de chrome et un peu moins de 1% de molybdène, ce qui permet d'améliorer grandement la résistance des tubes. Le Crmo est reconnu pour sa capacité à amortir les aspérités de la route ou du terrain. La marque Columbus dans laquelle nous avons choisi les différents tubes de construction du cadre acier est réputée pour sa grande qualité de fabrication ainsi que la légèreté de ses aciers. L'alliance du bois et de l'acier permet au vélo WOOD.b d'être à la fois solide, confortable, mais également dynamique ! Les éléments mobiles sont des éléments standards provenant de l'industrie du vélo, ils sont de qualité et aux normes européennes. Ceci permet l'entretien et la réparation chez tout type de vélociste. WOOD.b est, pour le moment, prévu en deux versions distinctes, cependant le principe de construction du vélo reste le même dans les deux cas de figures. Les différences se situent dans le choix du groupe de vitesses et de freinage. Ceci permet au WOOD.b d'être entièrement personnalisable. L'exclusivité de WOOD.b est d'être conçu avec des matériaux de grande qualité, avec une éco conception marquée et un partenariat artisanal fort. WOOD.b fait l'objet d'un dépôt de brevet international." Pour en savoir plus, visitez le site de BSG Bikes. 

Etudiant à l'école de design de Rhode Island, le jeune designer Josh Shiau nous présente "The Single Cord Lounge", une chaise longue composée d'une structure bois et d'une assise de corde tressée. Minimale et tout en transparence, cette chaise longe aux lignes sobres étonne dans sa conception. Une seule corde en guise d'assise, enchevêtrée dans la structure, elle répartit le poids de l'utilisateur dans chacune de ses sections pour s'assurer une grande portance.   Pour en savoir plus, visitez le portfolio de Josh Shiau. 

Conçue et fabriquée en Allemagne par Stephen Nickel, cette maison préfabriquée a été expédiée et assemblée à Majorque. Sur 400 m², cette villa de plein pied en forme de H s'organise autour d'une cour intérieur avec piscine. Ce volume ciselé accueille un hall, une cuisine, 4 chambres, 3 salles de bains, une chambre de maître avec dressing, un spa avec sauna, douche et jacuzzi, un bureau et une buanderie. Construite sur un terrain de 17.000 m² et perdue dans la nature, cette villa préfabriquée étonne par le luxe des matériaux et des équipements qui la compose, bien loin de l'image courante des maisons préfabriquées.   Pour en savoir plus, visitez le site de Stephen Nickel.  Source : Contemporist 

Fondé par les Sud-Coréen Jun Hwang et Justin Joo, le studio 220+ design nous livre sa vision de la lampe de table, "Light 0" qui est une petite structure de béton perchée et ajustable sur un socle de bouleau, un système astucieux et fonctionnel. Mêlant matériaux chauds et froids, "Light zero" se compose d'un abat-jour en béton avec câble exposé et soutenu par une base en contreplaqué de bouleau. Deux éléments autonomes qui permettent d'adapter l'intensité lumineuse, de la lumière réfléchie à la lumière directe en passant pas la lumière d'ambiance. La lampe Light 0 est diponible en deux tailles différentes.   Dimensions (L x l x h) : 12 x 12 x 25 cm (grande) " 7.5 x 7.5 x 15 cm (petite) Pour en savoir plus, visitez le site de 220+ design. 

Pour l'éditeur Massproductions, le designer Chris Martin a dessiné la collection de sofas "Mega". Des canapés aux formes généreuses et confortables, tout en rondeurs. Perché sur de fins tubes d'acier, le canapé est décliné en 2 et 3 places, ainsi que dans une version méridienne. "Mega" est disponible dans une large gamme de coloris et se compose d'une fine structure d'acier qui enserre d'opulentes assises.   Sur ce projet, Chris Martin précise : "I saw a rack of freshly baked loaves in the bakery close to our office. There was something about the risen bread against the metal wires that was instantly appealing and I wanted to transfer that sculptural idea to a sofa. Bread represents comfort, life and stability " perfect sentiments to include in a sofa!" Pour ne savoir plus, visitez le site de Chris Martin et celui de Massproductions.  

Les architectes Bordelais de Zébra3 ont réalisé "Le Nuage", un projet de micro-architecture, refuge périurbain. "Le Nuage" est actuellement installé sur le toit du Point Éphémère, le centre de dynamiques artistiques situé dans le 10e arrondissement de Paris. Inspiré par la forme d'un cumulus, cet abri insolite aux lignes arrondies s'envisage au c"ur de la nature ou de la ville. Avec son architecture utopique, il réinvente le mythe de la cabane. Ce refuge poétique est le premier d'une série en cours dans différents sites remarquables de la Communauté urbaine de Bordeaux.   Pour en savoir plus, visitez le site de Zebra3 / Buy-Sellf. 

Cube est une petite assise imaginée par les designers polonaises du studio Monomoka. Elle se compose de 18 cubes réalisés au crochet empilés sur deux couches et perchés sur une petite structure de bois ciselé.   Sur ce projet les designers précisent : "We are twin sisters, who practically from the time of our birth were of one mind in the development of our creativity and in our perception of the world. We grew up in Poland during the bleak era of a decadent socialism, which made us determined to find different aesthetic values from the ones that surrounded us. Limited access to a "colourful" western world, and the desire to develop our own style, forced us into creative thinking. As teenagers we acquired the skills to hand sew, crochet and knit. This helped us to create our own unique identity. Gradually our interest in fashion brought us closer to the different forms of art related to graphics, painting and design. Ultimately, we found our natural direction in architectural studies, and both of us completed our Masters Degrees in Architecture in 1999 at the Wroclaw Polytechnic. Our architectural studies taught us about the relationship between form and function, and this was what interested us the most and defined us. Searching for our own style eventually led us through projects in graphic arts, furniture design, set and interior design, which is what we do to this day. It is essential that our projects are individual and unique in character, merging a beautiful form with clean function. Our experiences over the years have brought us to..." Dimensions (L x l x h) : 60 x 60 x 53 cm Pour en savoir plus, visitez le site de Monomoka. 

La collaboration entre le designer Japonais Oki Sato de Nendo et l'éditeur français Spécimen Editions nous livre un nouveau projet, les rangements et bouts de canapé "Square Baskets". D'une blancheur immaculée, ces petits contenants d'acier laqué semblent sur le point de vaciller. Deux versions sont disponibles et leurs formes géométriques et élégantes semblent tout indiquées pour servir de porte revue ou range vinyles dans un intérieur minimaliste.   Dimensions (L x l x h) : 50 x 50 x 60 cm (version large), 40 x 40 x 80 cm (version haute) Photographies : Vincent Barral Pour en savoir plus, visitez le site de Nendo et celui de l'éditeur Spécimen Editions.  

L'architecte d'Osaka Naoko Horibe vient de concevoir la "Curved House", une maison individuelle à la façade courbe située à Naruto-Shi, une ville de la province de Tokishima au Japon. Située dans une zone soumise à de régulières inondations, les architectes ont du composer avec es souhaits de leur client qui désirait préserver son intimité, avoir de l'espace pour que ses enfants puissent jouer à l'intérieur et jouir d'une grande luminosité. Pour répondre à ces demandes, Naoko Horibe a imaginé une habitation à la façade extérieure courbée avec deux allées menant à la porte d'entrée. Pour contourner le risque d'inondation, les fondations et le sol ont été surélevés. La maison s'organise autour d'une cour centrale arborée, véritable puit de lumière, cet espace fait office de terrain de jeu aux enfants. Dans un style japonais traditionnel, l'aménagement intérieur est minimaliste avec ses murs blancs et des sols et du mobilier de bois brut.   Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence d'architecture de Naoko Horibe. 

Le studio de design Milanais Skrivo a conçu pour l'éditeur Contempo Italia la chaise "Stack", qui se compose d'une structure de bois et de métal sur laquelle viennent s'empiler de nombreux coussins multicolores. Les minces coussins se superposent en couches successives, un amoncellement coloré qui dégage une impression de confort et de douceur. Au piétement de bois sont associés deux tubes métalliques verticaux qui viennent maintenir le dossier et servent de support aux coussins de l'assise. La grande variété de coloris permet à l'utilisateur de modeler ses propres compositions et de les adapter à son intérieur.   Sur ce projet, le studio Skrivo précise : "The concept behind the Stack easy chair comes from the idea of having cushions in constant motion that look like they have been stacked randomly on top of each other. The cheerful effect of the overlapping upholstered cushions that sit on a metal frame conveys the idea of stability, comfort and aesthetic delightfulness reminiscent of childhood memories" Pour en savoir plus, visitez le site de Skrivo et celui de Contempo.  

Designer française, Violaine d'Harcourt nous présente la coiffeuse "Fanfan", un petit meuble mobile et multi-usage qui s'adaptera aux petits espaces. Placé contre un mur, une table ou dans un angle, son grand miroir associé à une tablette de hêtre s'utilisera en position assise. Au sommet de la structure d'acier et de hêtre, le petit miroir inspiré des rétroviseurs trouvera sa fonction lorsque l'utilisateur sera debout. Astucieuse, la coiffeuse "Fanfan" s'adaptera à de nombreux usages avec ses lignes élégantes et élancées.   Pour en savoir plus, visitez le site de Violaine d'Harcourt et celui de son collectif les cadets.  

Rue Godefroy de Cavaignac, dans le 11ème arrondissement de Paris, les architectes de l'agence H2O viennent de livrer un programme de 20 logements sociaux et de 3 locaux d'activité. Ce projet vise a réhabiliter un bâtiment insalubre tout en répondant aux exigences de la certification " patrimoine habitat environnement ". Pour cette réalisation, les architectes se sont appuyés sur l'extension du bâtiment, tout en ajoutant leur vision du bow-window et en travaillant sur une alternance de pleins et de vides. La façade tranchée en biais par endroit offre de nouvelles perspectives sur la rue de Charonne et permet à la lumière de s'engouffrer plus aisément dans les appartements. A l'intérieur, la cour réaménagée se transforme en patio végétal, tandis que les appartements retrouvent confort et espace et pour certains d'entre eux, de larges jardinières à cultiver, loggias ou balcons.   Photographies : Stéphane Chalmeau  Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence h2o architectes. 

Pour l'éditeur Spécimen Editions, le designer Japonais Oki Sato a imaginé les "Dancing Squares Lamps", des luminaires à poser ou à suspendre composés de carrés d'aluminium ou d'acier laqué assemblés en sphères. Le jeu de vides et de pleins diffuse la lumière d'une manière douce et étonnante, créant un jeu d'ombre qui se projette alentours. Avec ce concept, le designer nos offre une série de luminaires étonnante et poétique. Les "Dancing Squares Lamps" sont disponibles en trois diamètres différents.   Dimensions (Ø): 34 cm (petite), 54 cm (moyenne), 74 cm (grande). Photographies : Hiroshi Iwasaki Pour en savoir plus, visitez le site de Nendo et celui de l'éditeur Spécimen Editions.  

Les designers allemands Jehs+Laub nous présentent les commodes "Fields", créées pour l'éditeur Schoenbuch. Massives et colorées, la perception de ces pièces est adouçie par d'étroites lignes verticales et horizontales qui partitionnent la face principale du mobilier. Perchés sur 4 petits pieds, ces monolithes aux teintes vives dissimulent tiroirs et placards.   Pour en savoir plus, visitez le site de Jehs+Laub et celui de Schoenbuch.  

Les architectes de l'agence Tetrarc ont réaménagé et repensé le parvis de la Gare TGV de Saint-Nazaire pour le transformer en Pôle d'Echanges Multimodal, une nouvelle zone qui permet le passage à pied d'un mode de transport à l'autre. Ce nouveau visage de la gare et des équipements à proximité, offre aux usagers un espace de transport complet qui comprend lignes de bus, de cars, de TER, de TGV, de vélos et de taxis. Pour faire cohabiter ces différents moyens de transport, les architectes ont créé deux longs auvents parallèles qui protègent les usagers des transports collectifs. Se signalant dans la ville par leur ample couverture protectrice fluide et colorée, remparts nécessaires contre les vents du littoral atlantique. A proximité, le pont de béton franchissant les voies ferrées s'est vu remplacer par un édifice de métal, moderne et graphique. Ce projet marque la volonté de la ville de Saint-Nazaire de créer le lien entre ses différents quartiers, la ville port et le TGV, la ville centre et les zones commerciales périphériques? Pour en savoir plus, visitez le site de Tetrarc.