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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Chantiers - TP

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Il y a 5 ans et 5 jours

Guillaume Gillet : L’architecte des Trente Glorieuses

Guillaume Gillet porté par ses condisciples après l’obtention du Prix de Rome, le 10 juillet 1946. [©Fonds Gillet. SIAF/Cité de l’architecture et du patrimoine/Archives d’architecture du XXe siècle] Guillaume Gillet (1912-1987) s’est formé au métier d’architecte à l’Ecole des beaux-arts de Paris. La guerre de 1939-1945 interrompt ces débuts modestes. Il est fait prisonnier et passe toute la période de l’Occupation en captivité en Allemagne. A la Libération, il s’inscrit au concours pour le Grand Prix de Rome qu’il remporte en 1946. Architecte en chef des Bâtiments civils et Palais nationaux en 1952, il monte un cabinet, en partenariat avec plusieurs ingénieurs, dont Bernard Laffaille et René Sarger. Il acquiert sa renommé dans la réalisation de bâtiments religieux et pénitentiaires. Il collabore avec le ministère de la Justice et l’administration pénitentiaire pour laquelle il réalise une dizaine de prisons en France au cours des années 1960. Architecte du ministère de l’Education nationale, Guillaume Gillet construit aussi plusieurs collèges (Meaux, Montrouge, Bagneux…). Le sacre de Royan L’église de Royan est devenue une “icône”, un symbole du renouveau de l’architecture religieuse, et donc de l’architecture nouvelle, qu’inauguraient les Trente Glorieuses. [©Mairie de Royan – Philippe Souchard.] « La mode, et plus tard l’obligation, des concours n’était pas encore advenue : il fallait donc du talent voire de l’entregent pour se faire une place et une notoriété. » Et c’est sur un coup de téléphone que tout allait se déclencher. Celui, en 1954, de Max Brusset, député-maire de Royan, lui demandant de faire des plans pour l’église de la ville. « Ce n’est pas un concours, ce n’est pas non plus une commande, c’est une consultation à vos risques et périls. Je vous donne 15 jours pour répondre. » Et Gillet accepta. Elevé à l’ombre de l’abbaye cistercienne de Chaalis et de la cathédrale de Chartes, et imprégné de culture classique, il a su tirer la quintessence gothique pour produire une œuvre moderne. Il fit appel à l’ingénieur Bernard Laffaille qui élabora un procédé de construction rapide, fondé sur l’emploi d’un pylône préfabriqué en béton de section en V. Il s’agit d’un voile mince de béton de 8 cm d’épaisseur, en forme de selle de cheval, qui, plié en deux dans le sens de la longueur, peut-être dressé à la verticale sur son champ. A la suite de Notre-Dame-de Royan, Guillaume Gillet construira plusieurs églises et chapelles. Celles-ci témoignent des recherches menées avec les ingénieurs pour exploiter les possibilités nouvelles offertes par les voiles de béton et les charpentes en bois lamellé-collé : Saint-Crépin, à Soissons (1959-1965), Saint-Michel des Galoubies, à Chamalières (1959-1961), Notre-Dame-de-la-Solitude, à Vieux-Condé (1961-1966), Saint-Joseph-Travailleur, en Avignon (1967-1969)… Il utilisera aussi cette technique dans des édifices utilitaires comme les châteaux d’eau (La Guérinière, à Caen, et Belmont, à Royan). Le monde pénitentiaire Vu aérienne de la prison de Fleury-Mérogis réalisée entre 1965 et 1969. [©Fonds Gillet. SIAF/Cité de l’architecture et du patrimoine/Archives d’architecture du XXe siècle] Son titre d’architecte des Bâtiments civils et Palais nationaux destina Guillaume Gillet à recevoir la commande de grands édifices de l’Etat. L’après Seconde Guerre mondiale fut une période propice à un renouveau architectural. Celui de l’Art sacré est connu. Le programme de la prison n’y échappa pas non plus, face à des établissements anciens, inadaptés, vétustes et surpeuplés. Les modèles datant du XIXe siècle, le ministère de la Justice chargea Guillaume Gillet de repenser le programme des maisons d’arrêt (Valenciennes en 1964, Muret en 1956, Fleury-Mérogis en 1969…). En 1962, il fut chargé de concevoir l’Ecole nationale de la magistrature, à Bordeaux. Etudiée par l’ingénieur Robert Lourdin, la charpente de la salle des pas perdus est constituée d’arcs en bois lamellé-collé portés par des piliers en béton armé. La construction du Palais des Congrès et de l’hôtel Concorde Lafayette en 1973. [©Gérard Guillat] Enfin, en 1975, Guillaume Gillet réalisa une des pierres angulaires du nouveau Paris : le Palais des Congrès de la Porte Maillot et l’hôtel Concorde Lafayette, un de plus grands gratte-ciel de la capitale.  Muriel Carbonnet
Il y a 5 ans et 5 jours

SPIE innove et déploie l'intelligence artificielle pour répondre aux besoins de Thésée DataCenter

SPIE ICS est spécialisée dans les services liés aux infrastructures ICT1, depuis l'environnement utilisateurs jusqu'au data center. La filiale a été sélectionnée pour assurer la mise en œuvre technique de ce data center de colocation2 particulièrement novateur. SPIE ICS se voit ainsi confier les prestations de conseil et ingénierie avant intégration ainsi que l'installation des différents équipements techniques et de sûreté. Ce contrat ambitieux vient couronner une relation privilégiée initiée en 2016.« Nous sommes fiers de voir ce projet se concrétiser et d'en être l'un des principaux opérateurs. Nous avons très tôt fait confiance aux fondateurs de Thésée DataCenter dont l'audace et la compréhension des enjeux techniques ont été déterminantes », a déclaré Fabrice Raison, Directeur de Département chez SPIE ICS. « Nous en sommes d'autant plus heureux que nous partageons un ADN commun : la volonté d'allier innovations technologiques et efficacité énergétique ». Dès septembre 2020, plus de 40 collaborateurs de SPIE ICS seront mobilisés sur ce chantier préalablement modélisé en BIM3. La livraison du projet est prévue pour le 28 février 2021.Les équipes de SPIE ICS déploieront dans le cadre de cette mission l'ensemble de leurs compétences techniques en matière de data center. Elles s'attacheront tout particulièrement à mettre en œuvre des technologies de pointe permettant de garantir les objectifs de performance énergétique du projet. Il s'agira notamment d'atteindre une consommation électrique inférieure de 25% à celle des data centers de colocation les plus récents avec une empreinte carbone également réduite de 25%. « Au-delà de la solution de free-cooling4, nous avons eu recours à des techniques d'intelligence artificielle. La gestion et la régulation de la température en salle seront assurées par des capteurs dont les données seront analysées en temps réel par des algorithmes. 90% du temps, les salles informatiques seront ainsi refroidies sans aucune consommation d'énergie », indique Fabrice Raison.Autre expertise majeure apportée par SPIE ICS : la sécurisation du site avec une infrastructure de sûreté à 7 niveaux d'accès entre l'entrée sur le site et l'accès aux baies informatiques privatives et des points de passage obligés disposant des dernières technologies en termes de biométrie et de vidéosurveillance. Celles-ci seront couplées au dispositif de gestion technique du bâtiment ainsi qu'à un portail de services ouvert aux clients de Thésée DataCenter.1 Information and Communication Technology2 Un centre de colocation ou « hôtel porteur » est un type de centre de données où l'équipement, l'espace et la bande passante sont disponibles à la location pour les clients de détail.3 Le BIM ou Building Information Modeling est un processus intelligent basé sur un modèle 3D qui offre aux professionnels de l'architecture, de l'ingénierie et de la construction (AEC) les informations et les outils nécessaires pour planifier, concevoir, construire et gérer plus efficacement des bâtiments et des infrastructures.4 Technique qui consiste à limiter l'usage de la climatisation en refroidissant un bâtiment grâce à l'air extérieur
Il y a 5 ans et 6 jours

Les revenus de Nexity et Hexaom baissent au 1er trimestre face au coronavirus

"C'est (...) une crise économique hors normes, qui impacte fortement l'offre et la demande et qui laissera des traces profondes", a résumé dans un communiqué Alain Dinin, PDG de Nexity.Le groupe, dont le directeur général Jean-Philippe Ruggieri est décédé fin avril du Covid-19, a enregistré au premier trimestre un chiffre d'affaires de 786,8 millions d'euros, soit une baisse de 10,7% par rapport à un an plus tôt.Sur les deux dernières semaines de mars, période où le confinement a commencé en France, Nexity estime que la crise lui a coûté 130 millions d'euros, sans quoi ses revenus trimestriels auraient progressé.Le groupe a surtout pâti de l'impossibilité de livrer des logements dans les temps prévus, de nombreux chantiers étant arrêtés, même s'il a aussi souffert dans d'autres domaines: la fermeture des commerces non essentiels a ainsi largement contraint à l'inactivité Century 21, sa filiale d'agences immobilières.Pour autant, "il convient de garder la tête froide", a relativisé M. Dinin. "La demande de logements, tirée par la démographie et le déficit d'offre structurel, ne disparaît pas: elle se reporte."Le groupe, qui ne donne pas encore de prévision pour 2020, signale pour l'heure que la moitié de ses chantiers étaient repartis fin avril et que l'ensemble devrait avoir repris début juin.Un autre grand acteur de l'immobilier, le constructeur de maisons Hexaom, premier de son secteur, a aussi fait état d'un recul de ses revenus trimestriels, de 2,6% à 195,8 millions d'euros."Pendant le confinement, une majorité de clients a été dans l'impossibilité de signer l'acquisition de leur terrain (...) et l'instruction des permis de construire par les administrations a été fortement ralentie voire arrêtée", regrette Hexaom, qui a toutefois limité les dégâts grâce à une bonne performance dans son activité minoritaire de rénovation."Les enjeux pour le groupe seront d'une part de combler une partie de cet allongement du délai administratif qui pourrait impacter les futures ouvertures de chantiers et, d'autre part, de rattraper une partie du retard de la production subi en avril et mai, pendant la période estivale", a conclu Hexaom, qui ne donne pas non plus encore de prévisions.
Il y a 5 ans et 6 jours

Edycem : Fonctionner malgré tout

Philippe Queneau, directeur général d’Edycem, et Estelle Breillat, directrice qualité et développement. [©Edycem] En concomitance avec les annonces gouvernementales, Edycem, comme beaucoup d’industriels, décide de stopper son activité le 17 mars dernier. Ce jour-là, à midi, ses sites de production de béton, implantés du Finistère Sud au Bassin d’Arcachon, s’arrêtent. Tandis que les services supports (comptabilité, commercial, ressources humaines…) sont mis en télétravail. Edycem BPE, la branche béton prêt à l’emploi, compte 33 centrales et l’activité préfabrication – Edycem PPL –, une usine à Saint-Georges de Montaigu (85). « L’arrêt de l’activité est compliqué, explique Philippe Queneau, directeur général d’Edycem. Le télétravail était pratiqué très ponctuellement jusqu’alors dans l’entreprise et nous venions aussi d’acquérir 6 nouvelles centrales. » Dès la fin de la semaine, l’équipe dirigeante s’interroge sur une reprise partielle des unités de production, afin d’assurer les commandes et répondre aux demandes des chantiers encore ouverts. « Avant toutes décisions, nous avons voulu demander qui était capable de revenir ? » Une question évidente pour l’industriel qui place les valeurs familiales au cœur de son fonctionnement. Et Estelle Breillat, directrice qualité et développement, de poursuivre : « Nous avons mis en place une enquête et contacté près de 317 collaborateurs. » Résultat : 79 % des répondants souhaitaient retrouver leur travail. A contrario, 15 % étaient des personnes à risques ou avec des enfants à la maison et 6 % ont signifié leurs craintes par rapport à la reprise. Ainsi, les sites se sont ouverts en fonction des demandes. Une reprise progressive En mars, 14 centrales à béton étaient actives et engrangeaient 15 % de l’activité, par rapport à un mois de mars “traditionnel”. En avril, Edycem a pu assurer 42 % de son activité. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 5 ans et 6 jours

Dossier : 5 restaurants atypiques parisiens

Déconfinement, jour 1 ! Pourtant, si l'on peut doucement commencer à sortir de chez soi, reprendre le court de sa vie semble encore être une illusion. Pour se préparer au lendemain ou s'échapper le temps d'un fantasme, Muuuz vous propose cette semaine un florilège de restaurants parisiens tous plus fous les uns que les autres, au sein desquels il fera bon de retrouver ses amis une fois le temps venu. Simon Porte Jacquemus : Restaurant OursinEn passe de prendre la capitale d'assaut, Simon Porte Jacquemus récidive après le succès de son premier établissement le Café Citron et ouvre une nouvelle adresse, toujours en association avec Caviar Kaspia : le Restaurant Oursin. Tout comme sa première enseigne, déjà auréolée de succès, Oursin prend place au sein des très chics Galeries Lafayettes Champs Elysée et invite les gourmets du 8ème arrondissement à voyager sous le soleil. . Delphine Sauvaget : Grand BeauPrenant place au 3ème étage des Galeries Lafayette Beaugrenelle (15ème arrondissement), le restaurant Grand Beau propose un retour aux sources des plus agréables dans un décor aux inspirations naturelles. Focus sur un havre de paix en pleine capitale signé Delphine Sauvaget. . Friedmann & Versace : RivieraLe studio français Friedmann & Versace, formé par les décoratrices Virginie Friedmann et Delphine Versace, imagine un décor aux accents méditerranéens pour le restaurant Riviera. Pour la nouvelle adresse parisienne des restaurateurs David et Lionel, le tandem féminin signe un intérieur estival aux allures de maison de vacances. De quoi prolonger l’été toute l’année. . Atelier Tsuyoshi Tane Architects : Restaurant MaisonManger au restaurant comme on dine à la maison ? Pari tenu pour les équipes de l’Atelier Tsuyoshi Tane Architects – ATTA – qui transforment un ancien entrepôt à vin du 11ème arrondissement de la capitale en une auberge conviviale où les clients se rassemblent autour d’une grande table dans un cadre champêtre et confortable. . Studio Parisien : Grand Café d’AthènesNouvelle adresse de Filakia, enseigne grecque située dans les 2ème et 5ème arrondissements, le Grand Café d'Athènes est une véritable invitation au voyage. Troquet aux murs olive et à la vaisselle typique dépareillée, ce nouveau temple de la gastronomie méditerranéenne est signé du Studio Parisien, à qui l'on doit également le restaurant Yoko (2ème arrondissement). . La Rédaction
Il y a 5 ans et 6 jours

Comment se former à l’éco-construction ?

Passer à l’éco-construction ou l’éco-rénovation est un voeu pieux de plus en plus de nos concitoyens. Mais avant de se lancer en auto-construction ou via un prestataire (architecte, maître d’oeuvre, constructeur) beaucoup d’entre vous passent par la formation ou tout simplement l’information. Quelles sont justement les solutions pour s’informer ou se former dans le domaine […]
Il y a 5 ans et 7 jours

Séméio architecture en terrain conquis à Saint-Martin-Le-Vinoux ?

Après avoir livré en 2018 à Saint-Martin-Le-Vinoux, petite ville iséroise située à quelques kilomètres de Grenoble, un programme mixte de logements et bureaux, Séméio architecture (Ivan Le Garrec, Carine Deschamps, Paul Jubert, Silvère Weiss et Andreina Risi) a inauguré en février 2020, juste à côté et pour le même promoteur, une résidence étudiante de 4 […] L’article Séméio architecture en terrain conquis à Saint-Martin-Le-Vinoux ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 8 jours

Etudiants d’architecture : concours ouvert pour les ouvrants

GYPASS, spécialiste des ouvrants, a lancé un concours pour les étudiants en écoles d’architecture. Inscriptions jusqu’au 15 juin 2020. La porte de garage et le portail sont des éléments-clés de valorisation de l’espace extérieur d’un habitat. Au-delà de leur aspect purement fonctionnel, ils contribuent à personnaliser un lieu et donner style et caractère à une […] L’article Etudiants d’architecture : concours ouvert pour les ouvrants est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 5 ans et 8 jours

PPE : Équilibre des Énergies invite à maintenir le cap sur la réduction des énergies fossiles

Pour Brice Lalonde, ancien ministre de l'Environnement, Président de l'association Équilibre des Énergies : « Il faut lancer un programme de renaissance de l'activité économique de la France, fondé sur l'électricité et sur les autres énergies décarbonées, pour lutter contre le dérèglement climatique, conforter l'indépendance nationale, assurer la santé publique et promouvoir la justice sociale ».Baisser la consommation des énergies fossiles et développer les énergies décarbonées Le décret de la PPE impose une réduction significative de la consommation des énergies fossiles les plus présentes en France : d'ici à 2028, la consommation du pétrole devra avoir chuté de 34% par rapport à 2012 et celle de gaz naturel de 22%. Les pouvoirs publics confirment ainsi leur volonté de construire une politique énergétique fondée sur l'efficacité énergétique et sur des formes d'énergies décarbonées, électricité et énergies thermiques renouvelables essentiellement.Équilibre des Énergies salue ces dispositions et invite les pouvoirs publics à résister aux appels à la procrastination de ceux qui ne s'y retrouvent pas. L'urgence sanitaire ne doit faire oublier l'urgence climatique.Intégrer la transition énergétique dans un programme de renaissance économiqueLe défi du Gouvernement est à présent de parvenir à intégrer ces mesures, conçues avant la crise du Covid-19, dans une stratégie globale de renaissance économique visant à reconstruire l'économie française sur des bases décarbonées. Le problème est celui de l'urgence : la crise du COVID-19 fait obligation de définir rapidement des priorités et de sélectionner les actions les plus efficaces sur le plan énergétique, économique, environnemental et sociétal. Sans négliger les autres formes d'énergies décarbonées, réseaux de chaleur décarbonés et solaire thermique notamment, Équilibre des Énergies constate que l'électricité « coche toutes les cases » exigées par une relance économique vertueuse.C'est aujourd'hui qu'il faut engager la deuxième révolution électrique, celle qui permettra de faire passer, dans les meilleurs délais possibles, de 25 à 50% la part de l'électricité dans la couverture des besoins finaux. C'est la meilleure façon pour la France de se recentrer sur ses propres ressources énergétiques, de reconstruire son activité industrielle, de faire face aux défis climatiques, économiques et sociétaux et d'apporter de l'emploi et du confort à nos concitoyens.Relancer la constructionL'adoption de la PPE doit être l'occasion de jeter les bases d'une relance massive de la construction. L'administration doit finaliser sans attendre les grands chantiers réglementaires engagés avant la crise : RE 2020, nouveau DPE, traitement des logements à consommation excessive, remplacement des chaudières à fioul, etc.Les solutions sont là : construction bas carbone, solutions électriques (pompes à chaleur notamment), énergies thermiques renouvelables… L'industrie française et les installateurs sont prêts à se mobiliser pour répondre aux besoins.Une ambition forte pour le véhicule électriqueLe rôle de la mobilité électrique se trouve renforcée par le décret du 23 avril qui prévoit, d'ici à 2028, 5,2 millions de véhicules électriques ou hybrides rechargeables en circulation en France et 100 000 points de recharge ouverts au public seront disponibles.Équilibre des Énergies s'en réjouit mais alerte les pouvoirs publics sur les difficultés pratiques qui subsistent, notamment quant au développement des infrastructures de recharge accessibles au public ou en copropriété. Le marché est encore très fragile et la demande a besoin d'être davantage soutenue pour permettre le déploiement de la mobilité électrique à grande échelle.Retrouver une vision industrielleComme après toutes les grandes crises, l'énergie et l'électricité en particulier joueront un rôle essentiel. Développer les usages de l'électricité, c'est donner du confort et du mieux-être aux citoyens mais c'est aussi permettre à l'industrie française de se moderniser et à tout un ensemble d'industriels français de retrouver le chemin de la croissance et de participer au redressement national.C'est avec cette vision qu'il faut maintenant aborder l'Acte II de la PPE.
Il y a 5 ans et 9 jours

Covid-19 : la trêve hivernale des expulsions prolongée jusqu'en juillet

"On va décaler la trêve hivernale jusqu'en juillet", a déclaré Julien Denormandie sur Franceinfo, ajoutant que la date précise serait annoncée dans la journée après consultation des parlementaires. La trêve avait jusqu'à présent été prolongée jusqu'au 31 mai pour aider les ménages, dont les revenus ont été amputés à cause du confinement.Mi-mars, le président de la République Emmanuel Macron avait annoncé, dans le cadre de la lutte contre la pandémie de Covid-19, un premier report inédit de deux mois de la fin de la trêve hivernale."Dès le début de l'épidémie, on a tout de suite décalé cette trêve hivernale et comme cette épidémie continue, on décale à nouveau cette trêve hivernale (...). Il est important de ne pas ajouter à cette période sanitaire des drames familiaux, des drames humains", a expliqué M. Denormandie jeudi.Interrogé sur une possible prolongation de la trêve jusqu'au début de l'hiver, le ministre n'a pas tranché mais a répondu vouloir, sur le principe, que les expulsions soient interdites tant que la crise continue.Les associations s'attendent, avec la baisse des revenus causée par le confinement et la crise économique engendrée, à une explosion des impayés de loyers et à une hausse des procédures d'expulsion intentées par les propriétaires.Ouvertes au début de la crise, les 20.000 places supplémentaires d'hébergement d'urgence devraient par ailleurs être maintenues au-delà du 11 mai, date du début du déconfinement, laisse entendre Julien Denormandie."Quand vous êtes dans un décalage de la trêve hivernale, ça veut bien dire que l'intention est de ne jamais avoir de mise à la rue pendant cette période que nous traversons", selon lui.Près de 180.000 personnes ont pu être mises à l'abri par les associations et les services de l'État depuis le début de la crise, notamment dans des chambres d'hôtel réquisitionnées.
Il y a 5 ans et 9 jours

Covid-19 : les fabricants de produits de construction proposent un plan tourné vers l'investissement durable et responsable

Nous savons d'ores et déjà que l'impact négatif de la situation actuelle entraînera une crise économique française et européenne importante, et qu'un grand nombre d'entreprises françaises se retrouveront dans des situations extrêmement périlleuses. Une reprise rapide de l'activité économique est donc aussi urgente qu'indispensable.Alors que les premières positions du Haut conseil au climat et la Convention Citoyenne appellent les pouvoirs publics à une relance tournée vers la transition énergétique et environnementale, le plan de reprise et de relance élaboré par l'AIMCC, en tant qu'animatrice du CSF IPC, se base sur une conviction forte : l'écologie et l'économie doivent converger, pour sortir au plus vite de la crise.La contribution de la Filière Industries pour la Construction animée par l'AIMCC insiste premièrement sur l'accélération de la reprise car elle sera une condition sine qua non de succès de la relance : plus la reprise sera lente, plus les capacités d'action seront obérées dans un contexte concurrentiel toujours aussi vif malgré la crise.Hervé de Maistre, Président du Comité Stratégique de Filière des Industries Pour la Construction, appelle de ses vœux un plan de relance rapide, massif, environnemental et social : « Nos propositions conjuguent trois priorités : soutenir les plus fragiles, redonner rapidement de l'activité aux entreprises françaises, accélérer la transformation environnementale. Pour réussir le Plan de Relance, il nous faut des décisions audacieuses, un état d'esprit collectif, une gouvernance efficace. Les industriels sont conscients de la gravité de la situation, prêts à assumer leurs responsabilités aux côtés des pouvoirs publics et de tous les acteurs de la construction ».Les propositions du CSF Industries pour la ConstructionLe CSF Industries pour la Construction a émis une série de propositions dans le cadre du plan de relance auprès du Conseil National de l'Industrie et parmi celles-ci des thèmes essentiels ont rapidement émergé :Une relance de la construction durable et résiliente par la mobilisation de l'épargne privéePour José Mickael Chenu, Directeur Marketing du groupe Vinci et Vice-Président d'EGF BTP : « La mobilisation de l'épargne privée est une voie possible de la relance rapide, notamment dans le logement neuf mais aussi par exemple pour le plan Campus Universités et autres ».La massification de la rénovation énergétique performante des maisons individuelles et quartiers pavillonnairesPour Eric Mestrallet, qui anime le pilote industriel en Ile de France en lien avec la Métropole du Grand Paris du projet Parcours Rénovation Énergétique Performante » (PREP) : « il est indispensable de créer une nouvelle dynamique en matière de rénovation énergétique des maisons individuelles, bien souvent assimilé à un angle mort des politiques publiques depuis une dizaine d'années. C'est un enjeu pour générer de la valeur ajoutée locale, valoriser le patrimoine des propriétaires occupants et apporter dans certains cas une réponse à la dégradation des quartiers pour éviter le sentiment de « relégation » de nos concitoyens. Le soutien de l'Association des Maires de France met en évidence l'attente maintenant déterminante des Maires, pour initier une dynamique qui a fait ses preuves sur l'habitat vertical et les centres-villes ».La promotion du « Made in France »Pour Nicolas Vuillier, Président de l'UNICEM et Didier Petetin, Directeur Général de Vicat, il est indispensable de « faire de la commande publique un levier pour encourager la production locale et la mieux-disance et ainsi promouvoir la création de la valeur ajoutée locale par nos industries et l'ensemble de nos partenaires au sein de la filière, synonyme de résilience et d'indépendance ».La prise en compte prioritaire des ménages démunis pour une rénovation BBC aidée et financée à 100%Pour Jacques Pestre, administrateur de la FNBM, pilote des actions relatives à la rénovation de l'habitat, « il faut penser aussi et surtout aux ménages les plus démunis qui sortiront de la crise encore plus fragilisés, et le projet -100% aidé et financé- sera réservé aux ménages des 3 premiers déciles ».Chèque « rénovation travaux » à destination de tous les ménages Pour Hugues Vérité, délégué permanent du CSF IPC et délégué général de l'AIMCC : « il faut relancer la machine rapidement et tenir compte des leçons de la dernière relance post crise 2008 en redémarrant encore plus vite. La création éventuelle d'une « monnaie verte » constituerait une des pistes les plus efficaces ».L'industrialisation des solutions de rénovation performante pour les Universités et les pools de bâtiments publicsPour Patrice Barbel, enseignant chercheur, conseiller patrimoine au sein de la Conférence des Présidents d'Universités, « il est possible en moins de 6 mois de lancer un programme ambitieux de rénovation globale à l'échelle de 10 universités inscrites dans leur territoire (représentant 500 000 m2) qui seront les étalons d'un déploiement généralisé (15 000 000 m2) sur 3 ans dans le cadre d'une industrialisation des solutions d'efficacité énergétique performantes et volontaristes, et de financements innovants de type « fonds d'amorçage » associé à des fonds de garantie. L'objectif cible sera de stabiliser un modèle économique soutenable et vertueux pour l'ensemble des acteurs des territoires (bilan carbone, mobilité, emplois, innovations formation recherche...) ».Le respect dans les relations commerciales, un gage de confiance réciproque essentiel pour une reprise accéléréePour Philippe Gruat, administrateur de l'AIMCC, référent PME-TPE-ETI au sein du Conseil National de l'Industrie pour la filière, « il faut que la loyauté dans les relations commerciales, notamment sur le respect des délais de paiement et des créances entre acteurs de la chaîne, soit la pierre angulaire d'une reprise et d'une relance fondées sur la confiance de toute la filière ».
Il y a 5 ans et 9 jours

Le chômage partiel sera pris en compte pour la retraite de base

"Je présenterai demain au Conseil des ministres une disposition législative qui permettra l'acquisition des droits à la retraite de base pendant les périodes d'activité partielle", a déclaré Mme Pénicaud au Sénat.Actuellement, cette indemnité (84% du salaire net, 100% au niveau du Smic) n'est pas prise en compte par l'Assurance vieillesse, ni pour la durée d'activité (trimestres cotisés), ni pour le montant de la pension (salaires des 25 meilleures années)."Jusqu'ici, cela avait peu d'importance puisque l'activité partielle était peu utilisée, pour des périodes courtes, donc ça ne pénalisait pas les personnes concernées", a expliqué la ministre.Mais le coronavirus et le confinement ont créé "une situation tout à fait exceptionnelle, avec un chômage partiel massif", qui touche plus de 12 millions de salariés et "qui va durer de façon assez prolongée dans un certain nombre de secteurs qui ne peuvent pas rouvrir tout de suite", a-t-elle ajouté.Le problème avait été soulevé la semaine dernière par une note du cabinet de conseil Groupe Alpha, qui affirmait que "de nombreux salariés pourraient perdre des trimestres", en particulier dans l'hôtellerie, la restauration et le tourisme.Des syndicats s'en étaient émus, Dominique Corona (Unsa) craignant que cela "joue sur la décote en fin de carrière" tandis que Frédéric Sève (CFDT) s'inquiétait pour "ceux qui font des petits volumes horaires, comme les aides à domicile".
Il y a 5 ans et 9 jours

Covid-19 : Le patronat satisfait par les exonérations de charges mais demande encore un effort

Le Premier ministre Édouard Philippe a indiqué lundi au Sénat que le gouvernement était prêt à convertir les reports déjà accordés "en exonérations définitives de charges, non seulement pour les entreprises du secteur de la restauration et du tourisme, mais aussi pour toutes les TPE ayant fait l'objet de mesures de fermeture"."Le Medef portait une demande de dégrèvement, d'annulation de charges", car "une entreprise, un commerce qui a totalement fermé ne sera pas dans la capacité de rembourser, parce que le chiffre d'affaires perdu s'est envolé à jamais", a réagi sur LCI son vice-président et porte-parole Fabrice Le Saché.L'Union des entreprises de proximité (U2P), qui représente des commerçants, artisans et professions libérales, s'est elle félicitée dans un communiqué "que le gouvernement donne ainsi une suite favorable à sa demande".L'exonération annoncée par le Premier ministre Edouard Philippe permettra selon l'U2P "d'aborder la relance de l'activité dans de meilleures conditions".La mesure gouvernementale "répond à la logique +zéro recette, zéro dépense+ défendue par l'U2P depuis le début de la crise", explique cette organisation."C'est une bonne mesure, mais nous considérons que c'est une première étape" et "il nous semble que de toute façon il faudra l'élargir", a estimé de son côté le président de la CPME François Asselin, dans un entretien à l'AFP."Au-delà des secteurs qui ont subi une fermeture administrative, il y en a d'autres qui s'en trouvent directement victimes", a-t-il expliqué en citant en exemple les distributeurs de boissons, car "leurs clients étant fermés, ils ne vendent plus".Pour le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises, "il faut y aller avec une épuisette un peu plus large en n'oubliant personne, parce qu'il y en a qui, s'ils n'ont pas cette mesure d'exonération de charges, ne pourront jamais redémarrer".Du côté du réseau des Chambres de métiers et de l'artisanat (CMA France), on salue cette décision tout en demandant aussi une "équité de traitement en direction de l'ensemble des entreprises artisanales" avec la "nécessité d'annuler ces charges y compris pour les entreprises qui ont pu ouvrir pendant cette période et dont la perte de chiffre d'affaires est conséquente".Dans la même ligne, la Fédération du commerce coopératif et associé (FCA), qui couvre une trentaine de secteurs d'activité (alimentation, bricolage, sport, pharmacie, optique...), estime qu'"un très grand nombre de commerces ne sont pas concernés par la fermeture administrative mais ont subi une fermeture de fait, en raison du confinement".Elle réclame donc aussi pour eux un "effort", par "exigence d'égalité et de justice".
Il y a 5 ans et 9 jours

Gamme pour toitures en zinc mates

GRANUM de Rheinzink a été conçue pour réunir les zincs mats permettant de magnifier les bâtiments haussmanniens ou les toitures à l’impériale, tout comme les architectures contemporaines. Les aspects de surface Skygrey et Basalte évoluent et donnent naissance à GRANUM, une ligne dédiée à ces finitions. Les propriétés des zincs Skygrey et Basalte ont évolué et ont été optimisés pour une plus grande stabilité de l’aspect et de meilleures aptitudes au profilage. La surface mate, obtenue par un traitement de haute technicité, laisse transparaitre, de façon pérenne, la veinure typique du zinc. Un atout esthétique et technique adapté aussi bien en rénovation qu’en constructions neuves. La gamme ne nécessite aucun entretien et constitue une solution durable pour tous les domaines d’application. RHEINZINK, premier fabricant mondial de zinc-titane pour le bâtiment, complète son offre d’aspects de surface de zinc, avec GRANUM, une gamme dédiée aux zincs mats.
Il y a 5 ans et 9 jours

LafargeHolcim limite les conséquences du Covid-19

Jan Jenisch est le CEO de LafargeHolcim. [©LafargeHolcim] LafargeHolcim affiche un recul de ses ventes de 3,3 % au premier trimestre de cette année. Un résultat impacté par la crise de Covid-19 qui secoue l’Europe, et, avant elle, la Chine. « Nous faisons face à une crise sanitaire sans précédent avec le Covid-19. Qui change la manièr, dont nous vivons et dont nous travaillons, de bien des façons, a expliqué Jan Jenisch, CEO du groupe LafargeHolcim. Garder nos employés en bonne santé et en sécurité est notre préoccupation n° 1. Mais les résultats du premier trimestre montrent combien nous sommes résilients en tant qu’acteurs économiques. Grâce au renforcement de nos bases économiques, nous sommes tout à fait aptes à traverser cette tempête. Je suis confiant dans le fait que LafargeHolcim émerge de cette pandémie comme un acteur important du retour à la normale de la construction ». Encore trop tôt… Dans le détail des résultats région par région, l’Europe a montré une activité solide. Notamment grâce aux performances de la Suisse et de l’Allemagne. Alors que les marchés britannique, espagnol et français étaient fortement impactés par la crise. En revanche, l’Amérique du Nord a obtenu d’excellents résultats. Avec une demande constante en ciment et en granulats. Le volume total a progressé de 12 %, par rapport à l’année précédente. C’est surtout grâce aux très importants travaux engagés le long du fleuve Mississippi. En Amériques centrale et latine, le Mexique a fait figure de locomotive. Alors que l’Argentine, le Brésil la Colombie et l’Equateur, ont été fortement impactés à la mi-mars. L’Afrique et le Moyen-Orient ont obtenu de bons résultats, malgré des confinements en Afrique du Sud et au Liban. Et c’est sans surprise que l’Asie, qui a subi le plus fort impact de la pandémie, avec un marché chinois quasiment à l’arrêt depuis début janvier… Les conséquences les plus fortes sur l’économie sont attendues pour le 2e trimestre de l’année par le groupe cimentier. Notamment en Europe. Mais les résultats d’avril ont été encourageants dans de nombreux pays, notamment en Chine. Cependant, il est encore trop tôt pour que LafargeHolcim annonce des objectifs révisés pour cette année 2020.
Il y a 5 ans et 9 jours

Rencontre avec : Eva Nielsen

Diplômée des Beaux-Arts de Paris en 2009, l’artiste franco-danoise Eva Nielsen crée des œuvres protéiformes énigmatiques. Avec ses toiles peintes, parfois imprimées ou sérigraphiées, elle bouscule les codes de la peinture, mixe les médiums et sollicite l’imagination du regardeur. Rencontre avec une peintre inspirée et inspirante. Muuuz : Pouvez-vous nous raconter votre parcours ?Eva Nielsen : Quand j’étais jeune, je ne voulais pas être artiste. Après un DEUG de Lettres Modernes et une maîtrise d’Histoire Européennes à la Sorbonne, j’ai finalement tenté les Beaux-Arts de Paris et j’ai été acceptée. Mon entrée aux Beaux-Arts a été une étape décisive dans mon parcours. J’ai adoré mes années là-bas. J’ai rencontré mes amis, des artistes très intéressants qui m’ont appris autant que mes professeurs. Grâce à la bourse Socrate, j’ai étudié à la Central Saint Martins en 2008. Ce séjour à Londres a été très enrichissant. Ensuite, j’ai rapidement commencé à travailler avec des galeries. Plusieurs résidences artistiques en France et à l’étranger ont ponctué ma carrière. J’ai eu la chance d’aller en Norvège avec l’artiste Mireille Blanc pour travailler à LKV en 2012, puis à Los Angeles avec le peintre Raphaël Barontini pour profiter de tous les ateliers techniques de The Cabin en 2017. Les expositions collectives ont également jalonné mon parcours. J’aime que mes œuvres soient confrontées aux créations d’autres artistes. Quelle est votre approche de la peinture ?Dans ma peinture, il est d’abord question de promouvoir l’hybridité, le collage et la pluridisciplinarité. La toile permet de saisir une partie d’un tout. Je suis très intéressée par l’image photographique, et son aspect tronqué. En photographie comme en peinture, l’artiste capture une vision, qui est forcément parcellaire. Le hors-champs est tout aussi intéressant que la toile. Techniquement, ma peinture se définit par superposition. J’aime, par exemple, faire coïncider un fond diffus avec une ligne franche obtenue par sérigraphie. La technique va aussi de pair avec l’intellect. Quand j’ai en tête une image, je choisis une technique spécifique pour la poser sur la toile. La technique découle ainsi de l’idée. J’aime cette rencontre du geste avec l’esprit. Vous êtes peintre, mais aussi photographe et sérigraphe. De la peinture à la sérigraphie, quel est votre processus de création ? Mon processus de création n’est pas défini. Il y a toujours une prise de risque, qui est d’ailleurs très excitante. En ce moment, je mixe toutes les techniques. Je peins ma toile, je l’introduis dans une imprimante et je la sérigraphie. Je me perds aussi dans les étapes, du collage à la surimpression. L’expérimentation de l’atelier au quotidien apporte son lot d’aléas. C’est important de voir l’accident et de le conserver. Quand j’étais étudiante, je m’opposais à l’accident. Aujourd’hui, au contraire, je chéris les imprévus. L’art le plus complet est sans doute celui où l’artiste parvient à réguler les improvisations pour les incorporer complétement au processus de création. Ainsi, la séance à l’atelier est complexe et intéressante. Parfois, je jette mes toiles. J’aime ce geste confiant, qui révèle une mise à distance de l’acte de création. Je reste persuadée que l’égo pour l’égo est assez nuisible, car l’envie de créer doit prévaloir. Mon œuvre rassemble des références multiples. L’art est une rencontre entre différents domaines. Je suis fascinée par le Black Mountain College, une université américaine humaniste qui fut marquée par les préceptes de Josef et Anni Albers. Avec l’arrivée du couple aux États-Unis au début des années 1930, le Black Mountain College devient une école avant-gardiste, où toutes les disciplines artistiques sont enseignées. J’aime toutes les créations. Je ne pourrais pas me cantonner à un seul médium. Beaucoup de vos œuvres sont issues d’une réflexion sur l’espace urbain. D’où vous vient cette fascination pour les paysages ? Je vis et travaille en banlieue depuis dix ans. La banlieue m’inspire beaucoup. Les paysages périurbains sont toujours pluriels. Ils évoluent constamment. En banlieue, j’aime l’alternance entre des paysages très construits et des lieux abandonnés comme les carrières en friche. À Villeneuve-Saint-Georges, par exemple, toutes les étapes de l’urbanisation sont visibles. Dès que je voyage, je prends les transports en commun et je visite les banlieues, que ce soit à Berlin ou à New York. J’aime découvrir comment une ville évolue. Les banlieues sont des lieux qui sont eux-mêmes des collages, des oxymores. J’aime que l’espace ne soit jamais défini. Je peins des lieux possibles, qui ne sont jamais figés. Je ne suis pas documentaliste ni géographe. Les lieux que je peins ne sont donc pas vraiment réels.Quel rapport entretenez-vous avec l’architecture ?Mon rapport avec l’architecture est empirique. Je la vis, je la vois, je la documente, je la peins. Je suis fascinée par la maison, mais aussi par l’abris tel que Louise Bourgeois le défini. Juste après la crise des subprimes, j’ai fait un road trip à Détroit et j’ai découvert tous les logements abandonnés, toutes ces habitations qui perdent leur valeur première d’espace vécu. L’architecture est à fois fabuleuse et fragile, car elle porte en elle-même sa propre fin. Lorsque je peins des architectures, ce n’est pas le bâtiment en soi qui m’intéresse, mais le rapport que l’homme entretient avec lui. Je suis aussi passionnée par la réalisation de maquettes. Quand j’avais dix ans, je me suis cassée la jambe. Après l’incident, j’ai dû rester sans bouger pendant un an. Un jour, mon père m’a offert une maquette. J’ai alors occupé ma convalescence en fabriquant des tonnes de maquettes. Quels artistes vous inspirent ? Pourquoi ?Je suis influencée par de nombreuses personnalités. J’aime beaucoup les peintres romantiques comme Caspar David Friedrich, qui laisse une grande place au regardeur dans ses peintures. Je cherche moi-même à substituer mes yeux à ceux du regardeur. Je souhaite que le regardeur puisse laisser libre cours à son imagination. On retrouve cela chez les artistes surréalistes. Man Ray me plaît beaucoup car il incarne parfaitement la modernité. Je m’inspire également de plusieurs artistes modernes et contemporains. J’adore Paul Cézanne, Paul Klee, Ed Ruscha, Georgia O'Keeffe, Lee Lozano ou encore Helen Frankenthaler. Mais je suis aussi fascinée par la photographie et l’architecture. Je suis fan des clichés poétiques pris par Luigi Ghirri et des architectures complexes imaginées par Zaha Hadid. Sur quoi travaillez-vous en ce moment ? Actuellement, je travaille sur trois séries. Dans une série, je peins des architectures anthropomorphiques, c’est-à-dire des architectures qui prennent une morphologie humaine. C’est lors d’un séjour à Sibiu en Roumanie que j’ai découvert ces bâtiments surprenants. Je réfléchis également sur l’idée d’image troublée, qui est d’ailleurs parfaitement illustrée par la photographie Portrait de l’espace de Lee Miller. Dans une autre série, j’envisage les architectures comme des percées dans l’horizon, des orbites à travers lesquels on tente de deviner une partie du paysage. J’aime travailler sur plusieurs séries simultanément pour pouvoir aller de l’une à l’autre sans me lasser. Pour en savoir plus, visitez le site de l’artiste Eva Nielsen et le site de la Galerie Jousse Entreprise. Visuels : Portrait © Vincent Ferrane, Œuvres © Eva NielsenLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 9 jours

Rénovation d’une toiture amiantée sans dépose

Déposer une toiture amiantée peut vite devenir lourd d’un point de vue financier car il convient de faire appel à une société spécialisée et certifée sous section 3 du Code du travail. Celle-ci doit sécuriser l’ensemble du chantier, dans un cadre législatif très strict. Pour rénover la toiture de leur concession automobile et éviter toute perte d’exploitation durant le chantier, les dirigeants de cette entreprise, située à Caudan dans le Morbihan, ont choisi une rénovation en sur-toiture avec le système ONDUCLAIR RENOV FC proposé par ONDULINE. Le bâtiment est composé de 3 halls, chacun recouvert d’une toiture ondulée en fibrociment amianté de 1 400 m2, soit une surface totale de 4 200 m2. Compte tenu de l‘importance de la surface à rénover et des contraintes économiques, il a été choisi de conserver l’ancienne toiture et de la recouvrir sans perçage avec un matériau adapté. Il a fallu opter pour une solution légère, qui puisse être supportée par la charpente existante.
Il y a 5 ans et 9 jours

Eiffage décroche un nouveau marché dans le milieu hospitalier

CONTRAT. Le groupe Eiffage a signé un contrat pour la conception, la réalisation, l'entretien et la maintenance (CREM) pour un nouvel équipement d'une surface de 45.000 m2, en région parisienne.
Il y a 5 ans et 9 jours

Hoffman Green Cement Technologies poursuit son développement

Unité de production Hoffmann Green Cement Technologie à Bournezeau, en Vendée. [©ACPresse] Spécialiste du ciment décarboné pour la construction, Hoffman Green Cement Technologies (HGCT) a présenté, le 24 avril dernier, les résultats de l’année 2019. « Nous avons clôturé 2019 sur une dynamique positive. Qui a été marquée par le franchissement d’étapes clefs de notre plan de développement, ont expliqué Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de la société. Tout d’abord, nos différents succès commerciaux ont confirmé la pertinence et l’attractivité de notre positionnement. Et de sa valeur ajoutée dans un marché qui doit s’engager et accélérer sa transition énergétique. Nous avons ainsi commercialisé nos premières 1 000 t de ciments décarbonés, soit un niveau en ligne avec nos objectifs. » Réussite de l’introduction en bourse Fort du succès du démarrage de la commercialisation de ses ciments décarbonés, Hoffmann Green Cement Technologies a généré un chiffre d’affaires de 600 000 €. L’Ebitda 2019 s’élève à – 1,8 M€, contre – 800 000 € en 2018. Ceci, compte tenu de la montée en charge industrielle et commerciale de la société. Ainsi que du renforcement des équipes permettant de soutenir le développement prévu. De leur côté, les charges opérationnelles liées aux achats de matières pour la réalisation d’essais progressent de 700 000 €. Et les charges de personnel de 400 000 €. Fin décembre 2019, HGCT comptait 16 collaborateurs, contre 7 à fin 2018. A la même époque, les capitaux propres de la société s’élevaient à 70,5 M€. A la suite de l’introduction en bourse réalisée en octobre 2019, qui a permis à l’industriel de lever près de 75 M€ pour financer son plan de développement. HGCT compte sur l’extension de son site de production H1, situé à Bournezeau, en Vendée, initié fin 2019. L’unité de production va permettre à l’industriel de disposer d’une superficie supplémentaire de 1 000 m2 destinés au stockage et à l’expédition de ses ciments. Sur le plan logistique, la ligne d’ensachage automatisée a été mise en service avec une capacité de 250 sacs/h. Le robot pour la mise en palette de ces sacs a, lui aussi, été installé. Et peut gérer jusqu’à 500 sacs/h. Un plan à 2024 inchangé Concernant les futurs sites de production H2 et H3, les démarches administratives ont été effectuées, en respectant le plan de développement. Ces sites seront situés en Vendée et en Ile-de-France. Mais leur déploiement est pour l’heure freiné en raison de la pandémie de Covid-19. Cette dernière  impacte en particulier l’étude des demandes de permis de construire pour H2. Malgré la crise sanitaire actuelle, le cimentier ne dispose pas d’informations assez précises à ce stade pour remettre en question les objectifs prévus pour 2024. A savoir, atteindre une capacité de production totale de 550 000 t/an de ciments décarbonés. Et générer un chiffre d’affaires d’environ 120 M€. Soit près de 3 % des parts de marché du ciment en France à cette date, avec une marge d’Ebitda d’environ 40 %…
Il y a 5 ans et 9 jours

Avec la gamme Granum, Rheinzink met à l'honneur les zinc mats

Le résultat d’une technologie sophistiquéeLes propriétés des zincs Skygrey et Basalte ont évolué et ont été optimisés pour une plus grande stabilité de l’aspect et de meilleures aptitudes au profilage. La surface mate, obtenue par un traitement de haute technicité, laisse transparaitre, de façon pérenne, la veinure typique du zinc. Un atout esthétique et technique adapté aussi bien en rénovation qu’en constructions neuves. La gamme ne nécessite aucun entretien et constitue une solution durable pour tous les domaines d’application. RHEINZINK, premier fabricant mondial de zinc-titane pour le bâtiment, complète son offre d’aspects de surface de zinc, avec GRANUM, une gamme dédiée aux zincs mats.Des domaines d’application largesLes applications des zincs de GRANUM sont multiples : en couverture, en bardage, en détails architecturaux ou en évacuation des eaux pluviales. Les petites surfaces sont renforcées par ces nouvelles teintes et se démarquent clairement. Combinées avec d’autres matériaux comme la pierre naturelle, le bois ou le verre, elles produisent ainsi un net contraste artistique et architectural harmonisant design et tradition.Deux nuances subtilesNouvelle gamme d’aspect de surface proposée par RHEINZINK, GRANUM réunit les deux teintes subtiles répondant aux tendances architecturales actuelles :La teinte Skygrey présente un aspect gris mat traditionnel semblable à la patine formée par le temps dans la nature par le zinc naturel.La teinte Basalte, gris-foncé à la limite du noir, quant à elle, suit la tendance actuelle de l’architecture de surfaces.GRANUM complète l’offre d’aspects de surface proposée par RHEINZINK :CLASSIC : la forme la plus originelle des variantes du matériau. Sous l'influence des conditions climatiques, une patine typique gris-bleu se forme au fil du temps sur sa surface métallique brillante.prePATINA : les seules surfaces réellement prépatinées au monde. Seul RHEINZINK dispose du procédé de « prépatinage » qui permet d'obtenir, dès la sortie d'usine, la teinte gris-bleu ou gris-ardoise d'une patine naturelle sans recourir à une phosphatation, à un revêtement ou à un laquage.
Il y a 5 ans et 10 jours

En Seine-Saint-Denis, les travaux du centre aquatique de Coursaille reprennent

Après deux mois de fermeture, le chantier de reconstruction du centre aquatique de Coursaille à Aulnay-sous-Bois a repris depuis le 27 avril, avec un effectif réduit.
Il y a 5 ans et 10 jours

Altarea a résisté au 1er trimestre et anticipe des perspectives post-coronavirus "élevées"

"Il est trop tôt pour évaluer les conséquences de cette crise sur nos résultats 2020, lesquels seront significativement impactés par le confinement d'une part et la reprise probablement lente d'autre part", indique dans un communiqué le président fondateur Alain Taravella. "Une reprise forte est néanmoins possible"."Les perspectives de nos marchés restent élevées, notamment en logement avec des attentes renforcées en matière de mixité urbaine, proximité, confort d'usage, modularité, sobriété énergétique", précise-t-il.Au premier trimestre, Altarea Cogedim a réalisé un chiffre d'affaires de 566,2 millions d'euros. Le recul est mesuré "malgré 15 jours de confinement", précise le promoteur.La branche Commerce, qui centralise notamment les revenus locatifs, a ainsi progressé (+10,6% à 61,6 millions d'euros), tout comme l'Immobilier d'entreprises (+15,4% à 117,8 millions d'euros), qui a pu s'appuyer sur la contribution en début d'années de grosses opérations réalisées au préalable.En revanche, le Logement (-11% à 368,9 millions d'euros) a connu un sérieux contrecoup et pâti de l'arrêt des chantiers imposés par le confinement.Altarea indique toutefois que sa situation avant la crise sanitaire était "saine" et assure que "la sortie de crise se précise" avec la réouverture de la majorité des centres commerciaux après le 11 mai et la reprise de 95% de ses chantiers à la mi-mai.Au 5 mai, le groupe bénéficie également de 2,67 milliards d'euros de liquidités.
Il y a 5 ans et 10 jours

TENDANCE BÉTON : PBM dévoile une nouvelle gamme d’escaliers dédiée à la maison individuelle

Catalogue TENDANCE BETON Gamme escaliers A la fois élégant et intemporel, l’escalier en béton donne une allure moderne à chaque intérieur. Il s’impose comme une solution design et confortable pour toute rénovation ou construction immobilière. Dans le catalogue “Tendance Béton”, PBM met en valeur son savoir-unique, en proposant une large gamme d’escaliers en béton. Le catalogue décline ainsi des formes variées d’escaliers : droit, quart tournant ou hélicoïdal, des escaliers mixtes béton / métal et des escaliers en kit. Ce catalogue regroupe 3 gammes d’escaliers :1- Gamme SoLoftDes escaliers mixtes en métal et en béton. Ce mariage équilibré confère à la fois confort et solidité extrême aux escaliers SoLoft.2- Gamme bétonDes escaliers monoblocs en béton. Cette gamme s’adapte à tous les intérieurs grâce à la variété des formes proposées et à l’élégance du béton.3- Gamme modulaireDes escaliers en béton, livrés en kit. Facile à assembler, cette gamme se monte marche par marche et s’intègre partout avec élégance.
Il y a 5 ans et 10 jours

Covid-19 : VM fait le point sur son dispositif de reprise

Un groupe de travail* dédié s'est penché sur la mise en place d'un nouveau parcours client. Expérimenté en interne sur le point de vente de VM La Roche-sur-Yon (85), il sera généralisé sur l'ensemble des 82 points de vente et salles d'exposition dès la phase de déconfinement. En complément de ce dispositif, l'enseigne a aussi misé sur ses outils digitaux tels que « Facil'VM » et le « Rendez-vous en ligne » pour simplifier le quotidien de ses clients.Une implantation réadaptée et approuvéeLe site de VM La Roche-sur-Yon a servi de support d'expérimentation pour déterminer un parcours client adapté et sécurisé. Les nouvelles règles de circulation ont été testées grandeur nature en point de vente et sur le parc, pour fluidifier les transactions. Ces règles sont en cours de déploiement sur tous les sites VM et LNTP.Les actions mises en œuvre s'organisent autour du circuit client, de la PLV et des accès au site :une bâche générique, positionnée sur le portail d'entrée, rappelle les gestes barrières et informe du nouveau plan de circulation,des barrières gèrent les flux d'entrée et de sortie des clients professionnels,des distributeurs de gel en accès libre et un panneau des gestes barrières sont installés à l'accueil,des vitres en plexiglas sont disposées sur l'ensemble des comptoirs qui sont entièrement rangés pour simplifier l'entretien régulier. Les bons sont signés par le client avec son propre stylo pour garantir la distanciation et l'absence de contact,un marquage au sol, respectant 1 m de distance de sécurité, dirige le client sur deux pôles différents, vers le drive ou pour passer une commande. Les comptoirs sont ainsi déplacés,les espaces Libre-Service peuvent, soit être fermés au client (les produits seront mis dans un carton en vente afin que le client ne les touche pas), soit être en accès ouvert avec un circuit type déterminé par des bandes de distanciation pour éviter les allers-retours dans les allées,le retrait des marchandises se réalise dans la cour avec une zone d'attente où le client doit patienter dans son véhicule. Processus identique pour les fournisseurs.Quand les outils en ligne prennent tout leur sensVM s'est appuyé sur ses outils digitaux développés ces dernières années pour faciliter le quotidien du client professionnel. En témoigne l'efficacité de Facil'VM. Durant le confinement, l'artisan pouvait se fournir pour ses chantiers en passant commande en amont via son espace privé. Disponible 7j/7 et 24h/24, cet outil permet de demander un devis, chiffrer ses travaux à partir de son tarif personnalisé, géolocaliser plus de 10 000 produits et commander. Pratique en cette période de crise sanitaire pour gérer son temps. Une fois la commande validée, le point de vente lui communiquait un horaire de retrait de la marchandise, sans accès à l'intérieur du point de vente. La livraison était également opérationnelle, pour les professionnels ainsi que les particuliers possédant un compte VM, qui avaient passé commande en amont (par téléphone ou par mail).Le drive restera privilégié à partir du 11 mai. Le système de « Rendez-vous en ligne » sera généralisé. Accessible sur le site www.vm-materiaux.fr, il optimisera le flux de clients en point de vente pour les choix de carrelage, menuiserie… Pour les commandes par téléphone, un message d'attente téléphonique rappelant les gestes barrières a été réalisé.Engagement et solidarité« Les valeurs qui animent VM ont, plus que jamais, été au cœur de notre démarche. Nos collaborateurs ont fait preuve d'une immense implication sur le terrain. Leur esprit d'équipe s'est doublé d'un dévouement remarquable. Alors que la distanciation sociale est une obligation, le sens de la proximité et de l'entraide de chacun(e) s'est révélé. Pour ne citer que quelques exemples, des magasiniers n'ont pas hésité à se déplacer sur d'autres sites pour prêter mains fortes à leurs collègues ou encore des directeurs de points de vente ont assuré le rôle de magasinier. Je tiens à nouveau à les remercier et à les féliciter pour leur implication. Je suis fier de mes équipes. », explique Éric ROUET, Directeur Général de VM.* Composé du Directeur Général, de deux Directeurs Commerciaux Réseaux VM et LNTP, de la Directrice Projets, du Directeur de point de vente de VM La Roche-sur-Yon, du service marketing clients, du service prévention sécurité et d'un membre du CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail).
Il y a 5 ans et 10 jours

Covid-19 : l'Italien Boeri prédit "une nouvelle ère" pour l'urbanisme

Dans un entretien sur Facebook avec des journalistes étrangers, le président de la Triennale de Milan, grande institution d'architecture, de design et d'art, affirme que la capitale de la Lombardie, région italienne la plus touchée avec près de la moitié des morts enregistrées dans la péninsule, devra changer."Revenir à la normalité serait très grave", met-il en garde. "La normalité est une des causes de ce désastre", insiste l'urbaniste, connu pour ses projets innovants de gratte-ciel recouverts de végétation où se combinent écologie et développement durable."C'est le moment de prendre des décisions courageuses et pragmatiques", estime l'architecte, dont l'architecture plus sociale et plus verte a inspiré nombre de ses confrères dans le monde, de la Chine au Mexique.Avec un groupe de sociologues, d'anthropologues, d'urbanistes et d'artistes, il réfléchit aux modalités d'instauration du "mur biologique" que le coronavirus impose désormais entre les personnes, ainsi qu'à l'introduction d'un nouveau mode de vie."Dans le cas contraire, les villes se transformeront en bombes de contamination", estime Stefano Boeri, professeur à l'école polytechnique de Milan.Alors que les autorités italiennes s'apprêtent à assouplir les mesures de confinement et à relancer la machine économique le 4 mai, Stefano Boeri lance une série de propositions qui pourraient changer l'avenir de la péninsule et servir de modèle à de nombreux pays."Retour aux villages""Il s'agit d'un projet national. L'Italie compte 5.800 villages de moins de 5.000 habitants, dont 2.300 quasiment à l'abandon. Si les 14 métropoles du pays +adoptent+ ces petits centres historiques inhabités, en leur donnant des avantages fiscaux, des moyens de transport, etc... ce serait une porte de sortie. C'est ça l'avenir", s'est enthousiasmé l'urbaniste dans les colonnes du quotidien La Repubblica.Cette proposition semble répondre aux problèmes posés par la situation actuelle, où la pandémie oblige la population à respecter une distanciation d'au moins un mètre entre les individus, ce qui est difficile dans des villes surpeuplées, notamment dans les transports publics bondés et les bureaux aux surfaces réduites."Nous avons compris qu'on peut faire du télétravail et que nous passerons plus de temps à la maison. Il faut maîtriser cette évolution. La campagne facilite cela, parce qu'il faut libérer de l'espace dans les zones urbaines", explique-t-il.Selon les sociologues, à cause du virus, beaucoup de gens souhaitent abandonner les grandes villes pour passer davantage de temps à la campagne.Et l'homme qui a converti des immeubles en forêts, qui a conçu une ville-forêt en Chine avec des maisons, écoles et bureaux recouverts d'un million de végétaux sur 140 hectares, est convaincu que Rome est la ville idéale pour accueillir ce projet."Rome est la ville du futur, elle a tout: des monuments uniques et beaucoup d'espaces verts grâce à ses parcs, et en plus une série de villages dans ses alentours".L'idée de Boeri coïncide avec le thème de la prochaine Biennale d'architecture de Venise, qui a reporté à fin août son ouverture, prévue initialement en mai : "Comment vivrons-nous ensemble?"La question posée par le commissaire de la Biennale, Hashim Sarkis, architecte libanais qui enseigne au Massachusetts Institute of Technology (MIT), oblige paradoxalement le monde de l'architecture à désinvestir l'espace public et à en retirer les activités collectives."Il faudra modifier les horaires des administrations publiques pour qu'ils ne coïncident pas avec ceux des écoles, que les grands flux dans les transports (...) Nous devrons reprendre de l'espace aux voitures et nous concentrer sur le vert"."C'est ce qui est arrivé à New York au milieu du XIXème siècle: la population avait quadruplé, et il n'y avait plus d'espace, la densité était énorme. L'architecte paysagiste Olmsted a ainsi créé Central Park, un parc gigantesque qui est né d'une préoccupation d'hygiène", rappelle-t-il.
Il y a 5 ans et 10 jours

Hôpital Paris-Saclay, le CREM pour Eiffage

Eiffage Construction vient de signer en groupement le contrat pour la conception, la réalisation et l’entretien-maintenance de l’hôpital Paris-Saclay pour le compte du Groupe Hospitalier Nord-Essonne, pour un montant de 141 millions d’euros.
Il y a 5 ans et 10 jours

Ingérop choisi pour concevoir le futur tramway de Coventry

L'ingénieriste a décroché la conception d’un tramway dont les voies sont préfabriquées. Ce nouveau concept permettra de réduire le coût des travaux.
Il y a 5 ans et 10 jours

Les entreprises du BTP qui tardent à passer au numérique sont-elles moins rentables ?

Finalcad, éditeur de logiciels dans le secteur de la construction, a publié les résultats d'une étude menée auprès de 400 dirigeants de la construction en France, en Espagne, à Singapour et au Japon afin d'étudier la transformation numérique dans ce secteur.L'étude a déterminé que la marge bénéficiaire moyenne d'un projet de construction est d'à peine 2% dans ces quatre pays. Elle révèle également que l'absence de transformation numérique rend dépendant le travail de nombreuses entreprises au papier, à une époque où le ralentissement dû à la pandémie mondiale de COVID-19 montre l'importance de numériser les activités et de recourir au télétravail.De surcroît, l'absence de numérisation entrave grandement la capacité des sociétés à collaborer et a une incidence directe sur leur chiffre d'affaires. En effet, 62% des personnes interrogées citent le manque de collaboration comme cause principale des retards des projets de construction.L'étude a également analysé la façon dont certaines missions sont réalisées comme la gestion des défauts et les inspections de santé et sécurité. Ses conclusions montrent que les entreprises ont mis en place une variété de méthodes et de processus : plus de la moitié d'entre elles (51%) utilisent plusieurs moyens de communication face à face, téléphone, e-mail et/ou papier pour informer la personne chargée des réparations dans le cadre de la démarche qualité.Fait inquiétant, 53% des sociétés utilisent un outil non fiable tel que les messages texte, les SMS ou la messagerie instantanée de type WhatsApp pour renseigner un incident ou un danger. Ce manque de cohérence en matière de saisie et de partage d'informations importantes présente une marge d'erreur et d'incompréhension considérable, qui peut entraîner un accroissement des risques de sécurité, des retards et des dépassements de budget.« La dépendance du secteur de la construction à des processus obsolètes, dans les bureaux ou sur site, constitue une source d'inefficacité importante. Ces pratiques ne sont pas durables dans un secteur où les faibles marges représentent un problème persistant », explique Frank Le Tendre, PDG de Finalcad. « Le BTP a pris du retard face à d'autres secteurs tels que la finance et la distribution en termes de numérisation, mais cette étude nous montre que de nombreux processus quotidiens présents dans tous les projets sont des cibles importantes en termes de transformation. Du contrôle des défauts à la sécurité, aucun domaine ne peut échapper à une amélioration grâce à l'optimisation des opérations. Par ailleurs, lorsque les pays sortiront de la récession causée par la pandémie de COVID-19, celles qui auront effectué leur transition numérique pourront agir rapidement pour reprendre le cours normal de leurs activités. »La non-numérisation entraîne d'autres conséquences pour les entreprises, notamment des difficultés pour obtenir des informations et récupérer les données permettant d'établir des factures non réglées lorsqu'un entrepreneur ne peut pas prouver qu'il a réalisé une mission : une majorité de répondants (90%) affirment que le « travail gratuit » est un problème habituel.De plus, les sociétés de construction souffrent de devoir « réinventer la roue » à chaque nouveau projet : 59% des personnes interrogées affirment créer parfois, souvent ou la plupart du temps de nouveaux modèles de documents pourtant déjà existants : un réel gaspillage de temps et de ressources.Ces deux résultats devraient représenter un facteur majeur de transformation numérique pour les responsables, les dirigeants et les promoteurs des entreprises de construction : un process numérique centralisé permet de s'améliorer continuellement et facilite considérablement la saisie des travaux supplémentaires ainsi que la création de modèles duplicables.« À l'instar d'autres domaines, la construction devra affronter une période difficile à court terme en raison de l'impact du COVID-19 sur les économies mondiales », poursuit Franck Le Tendre. « Cependant, sur le long terme, la construction présente un énorme potentiel de croissance. Les Nations Unies prévoient que les deux tiers de la population mondiale vivront dans les villes d'ici 2050, avec une accélération de la tendance des villes intelligentes. [1] Les entreprises de construction désirant saisir ces occasions doivent passer au numérique dès maintenant. La transformation numérique supprime les silos existants et simplifie la difficulté qu'elles rencontrent, à savoir jongler avec le personnel, les plans, les compétences et les matériaux pour répondre à un calendrier changeant, tout en améliorant leur rentabilité et la satisfaction des clients finaux. » L'étude Finalcad 2020 : La transformation digitale globale dans la construction est la première des deux parties d'une série visant à analyser la numérisation de la construction. Le second rapport sera publié à l'automne 2020.Consultez les résultats complets et téléchargez l'étude, ici.*L'étude a été menée en février et mars 2020, commandée par Finalcad et réalisée par Coleman Parks, une société indépendante d'études de marché. L'échantillon total englobe 400 personnes, dont 200 responsables de site/directeurs gérant en moyenne 10 sites, et 200 responsables/directeurs de siège. Les personnes interrogées ont été les chefs de projet sur sites et les directeurs d'unité opérationnelle chargés de la construction aux sièges qui travaillent dans des entreprises de construction commerciale et résidentielle au chiffre d'affaires supérieur à 51 millions de dollars par an en France, en Espagne, à Singapour et au Japon.Pour plus de détails, consultez la section Informations démographiques.[1]Les Nations Unies : Les prévisions indiquent que 68% de la population mondiale vivra dans les zones urbaines d'ici 2050, selon l'ONU, 16 mai 2018
Il y a 5 ans et 10 jours

Estelle Reveillard rejoint l’Alliance HQE – GBC

Estelle Reveillard est la nouvelle directrice de l’Alliance HQE – GBC. [©ACPresse] Estelle Reveillard vient de prendre les fonctions de directrice de l’Alliance HQE – GBC. Jusqu’à peu, elle était directrice de la communication et des relations publiques du Syndicat français de l’industrie cimentière (Sfic).  A la tête de l’équipe permanente, Estelle Reveillard est épaulée par Nadège Oury et Nathalie Sement, toutes deux chargées de mission. Et par Malik Belhocine, chargé d’études.  L’Alliance HQE – GBC est l’union des professionnels pour un cadre de vie durable. Elle réunit syndicats, fédérations professionnels, entreprises, collectivités et professionnels à titre individuel. Par les démarches volontaires qu’elle suscite, l’Alliance HQE – GBC agit dans l’intérêt général. Ceci, pour innover, améliorer les connaissances, diffuser les bonnes pratiques et représenter le secteur du cadre de vie durable. A ce titre, elle est le membre français du World Green Building Council (World GBC). Cette association mondiale regroupe des professionnels engagés dans la construction durable dans plus de 74 pays.
Il y a 5 ans et 10 jours

Covid-19 : entre combativité et inquiétude, les agents immobiliers préparent la reprise

Depuis mi-mars les réactions sont contrastées, certains agents ont opté pour une fermeture jusqu'à nouvel ordre, d'autres tentent d'assurer une continuité d'activité et de rester au contact des clients notamment grâce aux outils numériques.Alors que la profession prépare la reprise complète de son activité à compter du 11 mai prochain, Opinion System, fort de son positionnement unique sur le marché avec plus de 6.000 agences adhérentes, a souhaité les interroger pour prendre le pouls de la situation économique et avoir une vision au plus proche des réalités terrain tant sur l'impact de la crise sanitaire sur leur quotidien que sur leur perception de l'avenir.Impact du Covid-19 : assurer le maintien de l'activité... dans le brouillardLa fermeture des agences immobilières et l'interdiction de l'accueil du public dans les structures ont poussé les professionnels du secteur à s'adapter et revoir leur façon de travailler. Si la digitalisation est un moyen d'assurer une certaine continuité dans la gestion des dossiers en cours, entre la dématérialisation des actes authentiques, les visites virtuelles et les signatures électroniques, dans les faits, seules 2 agences sur 10 ont pu mettre en place le télétravail. 61% ont ainsi été contraintes de réduire la voilure en ayant recours au chômage partiel pour tout ou partie de leurs collaborateurs, 19% ayant décidé de suspendre temporairement leur activité.Si plus d'1 agent immobilier sur 2 (53%) fait part de ses craintes concernant sa capacité à rebondir, force est de constater que l'appartenance à un réseau est perçue comme un facteur de soutien et de protection supplémentaire face aux aléas de marché : 61% des agences indépendantes se déclarent inquiètes quant à leurs perspectives de développement et au maintien des emplois au sein de leur structure, contre 46% pour les franchisées. Une situation qui s'explique par la capacité des grandes têtes de réseaux à se mobiliser pour pérenniser les intérêts de leurs adhérents à l'image d'ORPI, par exemple, qui vient d'annoncer la création d'un fonds de solidarité de 10 millions d'euros.En manque de visibilité sur l'évolution de la situation économique, les agents immobiliers se montrent prudents et relativement attentistes face aux évènements : également optimistes et pessimistes (42%) sur les perspectives économiques d'une façon générale et le marché immobilier en particulier, ils sont par ailleurs 16% à ne pouvoir se prononcer sur la question. Là encore, les franchisés se distinguent par leur lecture plus positive de la situation (47%), quand les indépendants se montrent eux davantage alarmistes (48%).A l'écoute des signaux du marché, la profession prépare la repriseSelon de récentes études, plus de la moitié des acheteurs comptent reprendre leurs recherches dès la fin du confinement*, pourtant les agents immobiliers semblent divisés concernant l'impact de la crise sur la confiance des acheteurs/vendeurs, 46% d'entre-eux anticipant un durcissement du marché. De même, alors qu'1 futur acheteur sur 2 table sur une baisse progressive des prix*, la profession s'inquiète de leur stabilité à 45%.Parmi les grandes préoccupations soulevées par les professionnels, la réaction du marché bancaire occupe une place prépondérante : 70% des agents immobiliers sont inquiets de l'impact de la crise sur les conditions d'accès des Français au crédit immobilier et la remontée des taux immobiliers questionne plus d'1 agent immobilier sur 3 (39%).Malgré les difficultés occasionnées par la crise actuelle, les agents immobiliers restent mobilisés et préparent « l’après » : 96% rappellent leurs clients pour assurer le suivi des dossiers, 83% rattrapent leur retard sur des dossiers administratifs, 78% réactualisent leur base de données, 61% rappellent d’anciens clients pour prendre des nouvelles et 48% se penchent sur l’analyse des canaux ayant généré le plus de ventes au sein de leur agence.« Le marché de l'immobilier vit une situation sans précédent et il est encore impossible de mesurer avec précision l'impact de la crise sanitaire. De nombreuses incertitudes pèsent sur le moral des agents immobiliers qui s'inquiètent pour la survie de leurs agences et le maintien des emplois », observe Jean-David Lépineux, fondateur d'Opinion System. « Pour autant, dans ce contexte exceptionnel, assurer la continuité de l'activité est l'une de leurs priorités et ils sont une grande majorité à s'être organisés pour poursuivre une partie de leur mission auprès de leurs clients, grâce aux outils numériques notamment. Très attentive à l'impact psychologique du Coronavirus sur le comportement des vendeurs et des acheteurs, et au-delà sur celui des établissements bancaires, la profession reste mobilisée pour s'assurer les meilleures conditions de la reprise ».*Source : SeLoger
Il y a 5 ans et 10 jours

Pourquoi certains chantiers restent-ils suspendus en France ?

Le redémarrage de plusieurs chantiers de travaux publics et de bâtiments sous maîtrise d'ouvrage publique est reporté. Différentes raisons expliquent cette situation, qui inquiète les professionnels du BTP.
Il y a 5 ans et 10 jours

La revue “Routes”, en version électronique aussi

D’une revue trimestrielle en papier regroupant plusieurs reportages techniques, “Routes” se transforme à la fois en un flux continue de reportages digitalisés et en best-of papier. [©Cimbéton] Pour accompagner les évolutions technologiques et sociétales, la revue “Routes”, publiée par Cimbéton, a évolué en 2020. Comment ? « Plutôt que de tout basculer vers la digitalisation, il nous a paru judicieux de combiner le papier et le digital dans une nouvelle stratégie de communication »,peut-on lire dans l’édito de décembre 2019. Rappelons que les articles de “Routes” présentent des analyses ou des synthèses, des recommandations. Ou encore l’état de la pratique dans un pays, sur des thèmes d’actualité intéressant la route et le transport routier. Pleins feux sur “Routes Info # 01” Plus en détail ? « D’une revue trimestrielle en papier regroupant plusieurs reportages techniques, elle se transforme en un flux continu de reportages digitalisés. Sous la forme de : “Routes Info # xx”. Ceux-ci diffusés par e-mailing, au rythme d’un ou deux articles par mois en fonction des actualités. Et aussi en un best-of sous format papier, rassemblant les meilleurs articles ou reportages des mois écoulés. Et qui sera adressé par voie postale, en fin d’année, à tous les abonnés », explique Joseph Abdo, directeur de la rédaction. C’est ainsi que le premier reportage “Routes Info # 01” a été envoyé par mail. Et est disponible sur le site d’Infociments. Il décrit le retraitement au liant hydraulique routier (LHR) . La “solution idéale” pour la rénovation de la RD7, à Orvilliers-Saint-Julien (10). En effet, pour redonner une nouvelle jeunesse à cette route, le conseil départemental de l’Aube a choisi le retraitement en place à froid au LHR. Le chantier est très bien détaillé avec des photos, des schémas et de nombreuses explications techniques.
Il y a 5 ans et 10 jours

Votez pour des courts métrages sur les métiers et formations du patrimoine

Les métiers et les formations de la restauration du patrimoine sont mis à l’honneur dans le FESTIVAL PARCOURSMÉTIERS AWARDS – 2020, qui bat son plein sur la toile pendant huit semaines, jour et nuit, avec 841 films de 3mn en compétition. Filmées par les jeunes et pour les jeunes, les réalisations présentent des professionnels et des apprentis qui oeuvrent au quotidien à la préservation du patrimoine français. 18 films sont en compétition dans cette thématique, pendant 3 jours. Des films réalisés entre le 1er septembre 2019 et le 30 mars 2020 par des jeunes, avec leur propre regard, et enseignants de l’enseignement supérieur, du lycée, du collège, d’associations… mais aussi d’adultes en centre de formation, permettront de découvrir plus d’une dizaine de métiers. Jusqu’au 8 mai, les internautes peuvent visionner et voter pour les meilleurs films de cette thématique. https://www.parcoursmetiers.tv/page/45-en-ce-moment
Il y a 5 ans et 10 jours

L'hôtel 25hours Terminus Nord se dote d'une installation de génie climatique Daikin

Compte-tenu de la vétusté des précédents locaux, lesquels ne répondaient plus aux normes de sécurité les plus actuels notamment en termes de PMR, et des mauvaises performances énergétiques générées par des équipements obsolètes, le groupe 25hours a entrepris une opération de réhabilitation de grande envergure.Dans cette perspective, un volet important de ces travaux a concerné l'installation de VRV 3 tubes à récupération d'énergie pour fournir à la fois le chauffage et le rafraîchissement des chambres et espaces de vie de l'hôtel. L'installation a été confiée à l'entreprise Derichebourg.Installation de 25 VRV IV connectés à 262 unités intérieures Des solutions Daikin équipaient l'hôtel de l'enseigne initiale au moyen de solutions VRV d'une précédente génération. Celles-ci proposaient uniquement la fonction rafraîchissement, le chauffage étant assuré dans les chambres par des radiateurs à eau alimentés par une chaudière.Le nouveau propriétaire de l'hôtel s'est donc tourné vers les préconisations du bureau d'études et de Daikin, qui a ont su prendre en compte ses exigences, pour l'installation d'un système capable de fournir simultanément chauffage et rafraîchissement, au design contemporain et discret et aux performances énergétiques significatives.Au terme de 26 mois de rénovation pour une opération menée en TCE (tout corps d'état), le groupe hôtelier parvient à créer un établissement refait à neuf et parfaitement isolé sur une surface totale de 10 800 m² offrant 236 chambres. Une phase importante de gros œuvre a été nécessaire pour créer notamment le grand patio de 5 m de hauteur dans l'entrée de l'immeuble, positionné exactement en face de l'entrée de la Gare du Nord.L'installation Daikin mise en œuvre pour l'équipement des chambres et des pièces de vie collective telles que l'espace bar, le restaurant et les salles de réunion a concerné la pose de :22 VRV IV 3 tubes REYQ-T : 3 de taille 10, 5 de taille 12 et 14 de taille 8.3 VRV IV RXYQ-T sans chauffage continu : 2 de taille 12 et 1 de taille 8237 gainables à faible pression,24 gainables à moyenne pression8 cassettes extraplates FXSQ239 boîtiers de sélection (permettant la simultanéité de chauffage et de rafraîchissement)Les groupes VRV sont positionnés en toiture, à l'abri des immeubles voisins.Un équipement qui s'intègre parfaitement dans le design cosmopolite de l'hôtel Sous l'influence du célèbre architecte et designer Axel Shoenert, le décor de l'hôtel Terminus Nord a trouvé son inspiration dans les cultures africaines et indiennes. Les lieux de vie aménagés façon melting-pot mêlent différents courants artistiques et font la part belle au vintage, au cinéma d'antan et à l'économie circulaire avec l'intégration d'objets créés sur la base de produits recyclés, tels que des porte-valises réalisés à l'aide d'anciens pneus. Le design des solutions Daikin et le travail de pose de la société Derichebourg ont permis la parfaite adéquation de l'équipement à l'environnement hôtelier si particulier.Quelle que soit la température extérieure, le confort intérieur est assuré dans toutes les pièces, malgré des superficies variables. Pour répondre aux besoins des clients venus de tous horizons, les VRV 3 tubes à récupération d'énergie permettent de fournir simultanément chauffage et rafraîchissement.L'ensemble des unités intérieures équipant les chambres d'hôtel a été dissimulé en faux-plafonds, pour une discrétion totale du système de chauffage et climatisation, laissant uniquement apparaître une simple grille de soufflage.L'installation est régulée par le système I-Touch Manager. Celui-ci offre à la direction une gestion simple de la température ambiante de l'hôtel.Une réduction de la consommation notable : un premier constat plus que concluant 25 hours s'est fixé un programme d'économies d'énergie pour toutes ses références hôtelières, conduisant la direction technique à adopter un système Daikin. Au terme d'une pleine année d'exploitation du nouvel hôtel 25hours, le constat est sans appel : les économies d'énergie sont bien réelles. On note une nette réduction de la consommation de CPCU, laquelle a été divisée par 2, entre l'ancienne installation de chaudière et les pompes à chaleur, ainsi que d'électricité du fait de l'amélioration de l'isolation, et ce malgré le fonctionnement des PAC et l'augmentation du nombre de points lumineux.La direction technique prévoit de réaliser un bilan énergétique plus précis afin d'optimiser encore davantage ses consommations.
Il y a 5 ans et 11 jours

Les revenus de Gecina progressent au 1er trimestre, pas de prévisions sur le coronavirus

Entre janvier et mars, Gecina a enregistré 168,1 millions d'euros de revenus, soit une hausse de 2,6% par rapport à la même époque de l'an dernier, selon un communiqué.Le groupe, qui explique cette hausse par des choix avisés d'implantation concentrés sur Paris et ses abords immédiats, s'abstient pour autant de toute prévision annuelle, en pleine crise économique du coronavirus."Les incertitudes actuelles ne permettent pas à ce stade d'appréhender avec précision les conséquences de cette crise", reconnaît Gecina, qui avait suspendu fin mars ses précédentes prévisions.Le groupe a, par ailleurs, annulé trois mois de loyers auprès de ses plus petites entreprises locataires, comme l'a demandé le gouvernement aux principales entreprises immobilières.Il précise que ces locataires représentent moins de 2% des loyers qu'il tire des bureaux, son activité essentielle à côté d'un petit parc de logements.
Il y a 5 ans et 11 jours

Altarea Cogedim confiant malgré une "baisse limitée" au premier trimestre

RÉSULTATS. Impacté par le confinement, le promoteur immobilier enregistre un recul de son chiffre d'affaires au premier trimestre 2020. Il affiche néanmoins des perspectives "élevées", sans pouvoir chiffrer l'impact de la crise du coronavirus.
Il y a 5 ans et 11 jours

Un guide précise les missions du référent Covid-19 du maître d’ouvrage

Les représentants des coordonnateurs sécurité et protection de la santé (SPS) ont publié, le 5 mai, un guide de préconisations sur le référent Covid-19 que peut désigner le maître d’ouvrage. Objectif : éclairer les acteurs de la construction sur le périmètre et le contenu de ses missions.
Il y a 5 ans et 11 jours

La digitalisation pour améliorer la collaboration des équipes

L’éditeur de logiciels Finalcad a publié les résultats d’une étude menée auprès de 400 dirigeants de la construction en France, en Espagne, à Singapour et au Japon afin d’étudier la…Cet article La digitalisation pour améliorer la collaboration des équipes est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 5 ans et 11 jours

Constructions itinérantes en bois pour urgence sanitaire

La sévérité de la crise sanitaire que traverse le monde, le temps qui nous est imparti en raison du confinement aussi, font naître beaucoup de réflexions et de propositions innovantes. Avec la pandémie du Covid-19 le désir de tirer les leçons des manques actuels s’est fait jour, comme en témoigne le système de constructions modulaires en bois itinérantes COMBI, porté par un groupement réunissant promoteur, les architectes Djuric Tardio, et entreprises et invitant à réfléchir à...
Il y a 5 ans et 11 jours

Covid-19 : Le chômage partiel maintenu "à taux plein" après le 1er juin dans certains secteurs

Plus d'un salarié du privé (11,7 millions à ce jour) bénéficie de cette garantie de 84% du salaire net (100% au niveau du Smic), que l'État et l'assurance-chômage remboursent intégralement aux employeurs dans la limite de 4,5 Smic.Mais le gouvernement entend réduire sa participation à compter de juin, afin d'inciter à la reprise d'activité dans le cadre du plan de déconfinement.A quelques exceptions près: "Tout ce qui est hôtellerie, restauration, bars, événementiel, une bonne partie du secteur culturel... Tous les secteurs qui ne peuvent pas opérer par décision administrative continueront à pouvoir bénéficier du chômage partiel pour leurs salariés à taux plein", a déclaré Mme Pénicaud sur BFMTV.Le taux sera en revanche bien réduit pour les autres entreprises, qui devront assumer "une petite partie" des salaires de leurs employés qui resteront en chômage partiel."On est en train de discuter de proportions, mais qui seront raisonnables", a-t-elle assuré.
Il y a 5 ans et 11 jours

Rencontre avec : Pascale Risbourg

Styliste de formation, Pascale Risbourg délaisse rapidement la mode pour devenir créatrice de papiers peints, puis céramiste. Elle explore depuis plus de vingt ans la création et ne cesse de se renouveller. Aujourd’hui, elle vit et travaille en Belgique. Au détour d'une visite dans son pays d'adoption, la rédaction de Muuuz a eu l'occasion de s'entretenir avec cette artiste dans l'âme. Retour sur une rencontre audacieuse. Vous venez de la mode, pourquoi avez-vous finalement choisi l’artisanat ?La mode est ma première formation. J’étais certaine de faire quelque chose d’artistique. Je me suis inscrite à ESMOD, mais je me suis vite rendue compte que ce secteur était trop restreint pour moi. Je m’en suis donc éloignée. Je faisais des vêtements très ludiques, spectaculaires. Après mon diplôme, j’ai gagné plusieurs concours mais toujours en prenant le plus de distances possibles avec le vêtement. Mes créations les plus remarquées sont les plus artistiques, notamment celles de la transformation de l’objet en vêtement, ou du vêtement en objet, comme un sac convertible en robe ou une jupe qui se transforme en parasol. J’ai réalisé que, ce qui m'intéressait réellement, c'était surtout à la dimension performative de l'habit. J’ai créé des costumes pour des évènements, des publicités, des shoots. Dans chaque projet, j’aime l’idée de susciter des émotions. Quand je crée, je me demande toujours ce que je peux apporter. Je préfère provoquer une réaction. Je réalise des créations décalées, qui surprennent. Je suis inclassable. On peut me trouver là où on ne s’y attend pas. Quel est l’intérêt de faire ce que l’on a déjà fait ? C’est plus stimulant de trouver de nouvelles idées. Par exemple, avec mes robes-sacs, j’ai audacieusement bouleversé les codes de la mode. De même, avec ma Toile de Jouy érotique. C’est d’ailleurs grâce à celle-ci que j’ai commencé à m’éloigner du vêtement pour me diriger vers la création de papiers peints, d’œuvres murales. Quelles histoires se cachent derrière vos créations de papiers peints et de céramiques ?Quand je crée des papiers peints, je pense à la céramique, et inversement. J’attache toujours beaucoup d’importance à l'équilibre des formes et des couleurs. Je cherche à apporter un regard nouveau. Quand je suis allée au musée de la Toile de Jouy à Jouy-en-Josas dans les Yvelines, j’ai tout de suite été interpellée par les dessins et j’ai pensé à les revisiter avec humour. L’idée de ma première collection de papiers peints est née ainsi. J’essaie surtout de me renouveler et de ne pas suivre les tendances. Quand je crée un nouveau papier peint, je fais un travail d’assemblage. J’envisage l’ensemble comme une scénographie, puis je réfléchis aux choix des formes et des couleurs. Plus j’avance dans la réalisation d’une œuvre murale, plus je me concentre sur les détails. Lorsque je réalise des céramiques, c’est différent. Je réfléchis à la décoration sans m’imposer de cahier des charges. Contrairement à mes papiers peints, je ne suis pas dans une démarche de commercialisation. Toutes mes céramiques se situent entre art et design. Ce sont des objets qui se contemplent. L’aspect esthétique prend le dessus sur le fonctionnel. Où puisez-vous votre inspiration ?Je suis inspirée par mon environnement car il met en éveil mes sens. De la gastronomie aux nouvelles technologies, en passant par l’architecture, je puise mon inspiration partout. J’analyse constamment ce qui m’entoure, et j’essaie ensuite de donner un sens à mes observations pour les traduire dans un langage artistique qui m’est propre. « Je réalise des créations décalées, qui surprennent. Je suis inclassable. » Dans vos céramiques, quel est votre processus de création ?C’est un travail d’improvisation. J’utilise des moules en plâtre. Je compose avec ces formes prédéfinies jusqu’à me surprendre. Si je ne suis pas surprise, je retravaille ma pièce encore et encore pour obtenir une création surprenante. Je souhaite que mes pièces soient sincères. En ce moment, je surélève mes céramiques. Elles semblent être en équilibre. Ce rapport entre masse et fragilité m’intéresse, car je m’y retrouve. Comment construisez-vous votre univers ?Je suis un électron libre, mais je mène mes projets avec beaucoup de rigueur. Je suis obligée de me canaliser pour trouver une cohérence. Je cherche toujours à m’éloigner de ce que l’on peut attendre de moi. Vous utilisez la réalité augmentée pour animer les motifs de vos papiers peints et assiettes en porcelaine Erotic Toile de Jouy. Pourquoi souhaitez-vous intégrer les nouvelles technologies aux arts décoratifs ?C’est une recette de la créativité d’associer deux univers qui n’ont rien à voir. En exploitant la réalité augmentée pour donner vie aux saynètes suggestives de mes Toiles de Joy érotiques, je surprends le public. J’étais d’ailleurs très contente de voir sourire les visiteurs quand ils observaient mes papiers peints s’animer à l’édition 2019 de la COLLECTIBLE à Bruxelles, puis à l’occasion du parcours design « La Promenade du Collectionneur II » organisé par les galeries Gosserez et Maison Parisienne au Meurice en parallèle du PAD. Depuis mars 2019, vous travaillez aux Ateliers Zaventem, le foyer créatif conçu par Lionel Jadot, et participez donc à la vie des ateliers. Qu’apporte cette résidence à votre création ?C’est très stimulant de travailler là-bas. Il y a une effervescence créative. L’année dernière, j’ai eu la chance d’exposer mes créations à COLLECTIBLE aux côtés de tous les résidents volontaires des Ateliers Zaventem. Bruxelles est une véritable pépinière de talents. C’est une ville qui me convient très bien, car je peux m’exprimer avec intégrité sans être mise dans une case. Quelles sont vos prochains projets ?J’ai envie de raconter de nouvelles histoires. Je souhaiterais collaborer avec des galeries, des maisons d’éditions, et éventuellement partir en résidence à l’étranger. Avez-vous envie d’apprendre un nouvel art décoratif ?Cela ne serait pas sage [rires]. Je souhaiterais plutôt associer ma céramique avec le savoir-faire d’un autre artisan. Puis, j’aimerais aussi me perfectionner, notamment maîtriser les techniques de l’émail. Comment imaginez-vous le design de demain ?Avant d’être un objet, le design de demain est une réflexion. Selon moi, le design de demain sera un design écologique, un design de la récupération. On commence à voir des nouvelles formes, des formes marshmallow, et des nouveaux matériaux. L'upcycling se développe et séduit les jeunes créateurs. Je pense que la nouvelle génération de designers travaille sur des projets très intéressants. Je suis très contente que les jeunes talents, les étudiants, les jeunes pousses bouleversent les codes et envisagent un futur différent. La nouvelle génération de designers ne se donne pas de limite, et n’a pas peur de la critique. Les créations des jeunes designers ne sont pas forcément au point techniquement, mais au niveau artistique elles le sont. Et c’est l’essentiel. J’appellerai donc le design de demain le design marshmallow, un design hyper ludique aux frontières du surréalisme. Pour en savoir plus, visitez le site de Pascale Risbourg. Photographies : Portrait © Laetizia Bazzoni, Céramiques et papiers peints © Kaatje VerschorenLéa Pagnier
Il y a 5 ans et 11 jours

Alliance "inédite" entre notaires, architectes, promoteurs et agents immobiliers

GRAND PARIS. C'est pour proposer les "modalités de relance de la dynamique du Grand Paris, en matière de logement, d'aménagement et de transition écologique" que différents acteurs du monde de l'immobilier et de l'architecture lancent l'Alliance des professionnels de l'urbanisme et de l'immobilier du Grand Paris (Apui-GP). Ils réclament notamment, dans l'immédiat, la dématérialisation accélérée de l'instruction des demandes d'urbanisme par les collectivités.
Il y a 5 ans et 11 jours

Rénovation énergétique : et si la crise du Covid-19 relançait l'ambition ?

LOGEMENT. L'Initiative Rénovons !, soutenue par de nombreux acteurs publics et privés du logement, de l'environnement et de l'efficacité énergétique, a dévoilé les grandes lignes de ses scénarios visant à mettre les bouchées doubles par rapport au rythme de rénovation actuel. Les gains seraient non seulement financiers mais aussi sanitaires.
Il y a 5 ans et 11 jours

Les meilleures sources d’information dans le domaine du BTP et du bâtiment

Chaque jour qui passe, les entreprises font face à une concurrence de plus en plus féroce. C’est notamment le cas dans le secteur du bâtiment et des travaux publics. Si vous êtes le dirigeant d’une société œuvrant dans ce domaine, vous devez en permanence vous montrer performant et bien informé des évolutions de votre secteur d’activité. Dans ce cadre, il est utile de chercher des sources fiables qui vous permettent de recueillir un maximum d’informations de qualité. Nous vous présentons donc quelques sites que nous estimons fiables et qui constituent des sources de qualité. Il s’agit de Batirama, de Batiweb et de Batiactu. Les médias préférés des acteurs du BTP, Obat en tête ! Si vous gérez une entreprise dans le secteur du bâtiment et du BTP, vous avez certainement besoin de disposer d’outils et de matériels performants afin de mieux satisfaire vos clients. Oui, mais que choisir ? Il faut alors vous tourner vers des sources d’informations fiables pour faire les meilleurs choix, telles que le blog d’Obat, visible sur https://www.obat.fr/blog/, expert en conseils BTP. On y trouve notamment des articles sur le choix du meilleur logiciel de facturation et de devis, sur la valeur juridique d’un devis, etc. Vous cherchez des infos intéressantes sur l’affacturage ? Obat pourra vous renseigner ! Les débutants pourront également trouver des infos intéressantes pour se lancer dans le milieu du bâtiment. Faire connaître son entreprise en ligne est par exemple essentiel à ce jour pour percer dans le milieu du bâtiment. Ce blog BTP vous aiguillonnera pour trouver des informations sur la marche à suivre afin d’être visible sur internet. Des informations variées dans le domaine du BTP Bref, en plus de proposer un logiciel de devis et de facturation, le site Obat propose ainsi un blog aussi complet qu’intéressant, permettant aux artisans du BTP de trouver des réponses rapides à leurs interrogations. Les informations y sont aussi diverses que variées, allant du flocage d’un camion utilitaire pour professionnel à des questions juridiques, en passant par des infos sur la TVA des entreprises. Des informations sur la Fédération Française du Bâtiment vous seront également communiquées, afin que vous possédiez vraiment toutes les informations dont vous avez besoin avant de vous lancer dans le BTP, ou pour vous aider à solutionner des soucis durant l’exercice de vos travaux. Secteur du BTP : Batirama, un site web pour en apprendre davantage Batirama fait partie des sites web de référence pour s’informer sur le secteur BTP. Vous y trouverez de nombreuses informations utiles afin de défier la concurrence et améliorer votre entreprise. Produits et innovations Le site https://www.batirama.com/ présente, par exemple, le calendrier des manifestations susceptibles d’intéresser une entreprise du BTP. Vous pouvez encore y découvrir une rubrique présentant différents produits comme la protection des planches à rives, le plancher léger thermo-acoustique, le micro-béton pour revêtement de bassins ou encore le relais de contrôle de niveaux. Si vous êtes à la recherche de matériel de transport pour votre entreprise, vous pouvez découvrir dans une rubrique spécifique des articles qui traitent les différents véhicules adaptés pour votre métier. Batirama vous donne également la possibilité d’en apprendre davantage sur les indices et les index du bâtiment. Comme vous avez besoin d’être à l’affût des innovations et des nouveautés techniques dans votre secteur d’activité, vous pouvez y lire un article parlant, par exemple, du gant bionique. Celui-ci est conçu pour prévenir les troubles musculo-squelettiques des travailleurs et améliore leur endurance. Vous y trouverez d’autres publications comme celle qui vous donne de plus amples renseignements sur les outils pratiques censés aider les entreprises du secteur BTP à gérer les crises. Vous y trouverez également d’autres articles intéressants pour en savoir plus sur la plateforme d’entraide mise en place par l’OPPBTP, par exemple. Normes et techniques dans le secteur du bâtiment Dans le domaine du BTP plus que dans les autres secteurs d’activité, les normes ont une importance capitale. Grâce à Batirama, vous avez désormais la possibilité d’en savoir plus sur les normes à appliquer dans certains domaines. Par ailleurs, vous serez certainement intéressé de connaître ce qui change en matière de baux privés et commerciaux avec les mesures d’urgence. Ou encore, à propos de la responsabilité engagée quand la solidité de l’ouvrage que vous construisez est compromise. Il est également possible de recueillir des informations sur différentes techniques qui peuvent vous être utiles. Cela concerne, par exemple, les solutions pour isoler l’extérieur des logements et qui peuvent être utilisés sur les toitures, ou comment choisir les produits adaptés pour isoler les combles perdus. Batiweb, un site de référence pour se renseigner Nous vous invitons également à vous connecter sur le site de Batiweb si vous souhaitez obtenir des renseignements qui vous permettent d’avoir une longueur d’avance sur vos concurrents. Vous trouverez sur https://www.batiweb.com/ un grand nombre d’articles classés dans différentes catégories et qui sont susceptibles de vous intéresser. Actualités et produits Batiweb est un site intéressant qui vous informe sur toutes les actualités concernant le secteur BTP. Cela peut être la législation et la réglementation qui touchent votre métier, les événements du bâtiment, les nouveaux produits du BTP, la RT2012, l’éco-construction, le droit social, la vie des sociétés, les collectivités territoriales, etc. Il est également possible d’y découvrir des articles intéressants qui présentent les produits utilisés dans votre métier. Il peut s’agir d’électricité et de génie climatique, de construction industrialisée, de gros-œuvre, de matériel, d’aménagement extérieur, de second œuvre, de logiciel, d’éco-construction ou de menuiserie-fermeture. Architecture et divers Véritable mine d’informations pour les entreprises du BTP, Batiweb présente dans sa rubrique « Autres » les différentes formations, des dossiers spéciaux, des vidéos ainsi que diverses thématiques. Le portail de Batiweb propose encore une large palette d’articles axés sur de nombreux sujets. La rubrique « Architecture » présente également un certain intérêt pour les acteurs du bâtiment et des travaux publics, notamment les architectes. En effet, les différentes innovations dans ce domaine y sont affichées. Batiactu, le meilleur site pour s’informer sur votre secteur d’activité En tant que chef d’entreprise, vous devez rester informé en permanence sur votre secteur d’activité. Batiactu vous donne l’opportunité de le faire. Il est vrai que le site https://www.batiactu.com/ est agencé de manière à permettre aux internautes de découvrir facilement les renseignements dont ils ont besoin dans le domaine du BTP. Il présente 8 rubriques différentes afin de vous permettre de trouver l’article qui vous intéresse. Il s’agit de l’immobilier, de l’énergie, de BTP Chantiers, de négoce industriel, de stratégie, d’architecture conception, d’État et collectivités, et d’une Tribune d’experts. Vous pouvez également découvrir sur cette plateforme spécialisée des articles concernant le chiffrage, les marchés, la formation, l’emploi BTP, les événements du secteur, le réseau, etc. Il est encore possible de trouver sur Batiactu une liste de fabricants et de prestataires œuvrant dans le domaine du bâtiment. Pour mieux vous informer sur le secteur BTP, le blog Obat reste également un site web de référence. Il s’agit d’une source fiable qui s’adresse aux professionnels du bâtiment. Ces derniers peuvent donc y découvrir des articles pertinents qui les aident à mieux gérer leur entreprise et à se développer par la suite.