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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88081 résultats)
Il y a 3 ans et 56 jours

En Auvergne-Rhône-Alpes, les artisans font part de leur inquiétude

CONJONCTURE. Vers la mi-avril, les remontées des entreprises artisanales de la deuxième région française en termes de contribution au Produit intérieur brut étaient loin d'être rassurantes. L'antenne locale de la Capeb propose une dizaine de mesures pour leur apporter une bouffée d'oxygène.
Il y a 3 ans et 56 jours

NOUVEAUX TUBES CALOPORTEURS WAVIN FLEXIUS BAO UNE BARRIÈRE ANTI-OXYGÈNE PROTECTRICE AU CŒUR DE LA STRUCTURE

Fiable et durable, la nouvelle génération de tubes en Polybutylène Wavin Flexius BAO intègre désormais une Barrière Anti-Oxygène. Elle permet d’éviter le développement de boues dans les circuits fermés de plancher chauffant garantissant ainsi un bon fonctionnement sur le long terme. Ordinairement placée en périphérie extérieure des tubes, la BAO est ici intégrée au cœur de la structure du tube, la protégeant de tout endommagement lié aux aléas de chantier et garantissant sa performance. Ainsi, il n’y a aucun risque de dégradation de la BAO lors de la mise en œuvre, lui garantissant une durée de vie optimale. Disponibles en plusieurs longueurs, les couronnes de nouveaux tubes Wavin Flexius BAO répondent aux besoins de toutes les tailles de chantiers de plancher chauffant et rafraîchissant. Leur grande flexibilité a inspiré le nom de cette nouvelle génération de tubes Wavin Flexius BAO qui facilite la réalisation des boucles au sol, quelles que soient les conditions de pose : froid, espaces restreints, pas de pose serrée etc. Très résistants à l’épreuve du temps, ces tubes caloporteurs sont naturellement inertes à la corrosion, aux impacts et à l’écrasement. Ils bénéficient d’un Avis Technique et de la certification Qualité pour le Bâtiment (QB) du CSTB. Par ailleurs, dans une logique de développement durable, Wavin travaille sur un programme pour réutiliser les chutes de mise en œuvre des tubes Flexius BAO afin de les réintégrer dans la production d’autres produits de son catalogue.
Il y a 3 ans et 56 jours

Rencontre de l'aluminium Technal, du bois et du béton pour une maison familiale à Fontcouverte (17)

L’agence FÉLIX BIRON ARCHITECTE a travaillé avec l’ALUMINIER AGRÉÉ TECHNAL BIRON SAS afin de faire pénétrer généreusement la lumière naturelle et profiter des différentes vues dans toutes les pièces de l’habitation. Une collaboration père/fils en toute confiance, qui a permis de réaliser des ouvertures en aluminium TECHNAL à la fois architecturales, épurées et aux détails complexes : baies coulissantes XXL ou à galandage double, fenêtres et portes sur pivot désaxé...Ce projet minimaliste, qui fait l’éloge du minéral et du végétal, a reçu le Prix HABITER LOGEMENTS INDIVIDUELS lors du dernier PALMARÈS ARCHITECTURE ALUMINIUM TECHNAL organisé en décembre 2021. La couleur gris métal givré TECHNAL des menuiseries aluminium rappelle celle du bois de l’enveloppe.Ouvertures architecturales du rez-de-chausséeLes occupants entrent sous un volume en bois, porté par deux murs monolithiques en béton. Cette séquence est mise en valeur par une porte d’entrée SOLEAL sur pivot désaxé (L. 1,4 x H. 2,6 m), qui offre une emprise visuelle minimale sur ces deux murs. Les occupants semblent glisser dans la maison à travers cette ouverture !Dans toute sa largeur, le salon s'ouvre sur le jardin au travers d’une baie coulissante LUMEAL qui s’étire sur 15 m (6 vantaux). Son orientation plein Sud maximise les apports de lumière. À ouvrant caché, elle est naturellement anti-effraction. Un gage de sécurité optimal ! Des brise-soleil en bois créent de l’ombre et participent au contrôle de la chaleur.Ouvertures architecturales à l'étageEn empruntant l'escalier, une diagonale visuelle se dessine au travers d'une grande fenêtre carrée SOLEAL 65 (L. 1,9 x H. 1,9 m). Une fois à l'étage, cette ouverture originale sur pivot offre un cadrage intimiste sur la falaise.Une large circulation, baignée d'une lumière zénithale, accueille bureaux et rangements. Elle dessert les trois chambres des enfants, ouvertes sur l’extérieur grâce à des coulissants à galandage double SOLEAL. Ces baies spécifiques permettent de créer à la fois une ouverture et un système d’occultation à l’intérieur. Leur retrait d’un mètre, par rapport à la façade, protège des rayons du soleil et facilite l’intégration de rangements dans l’épaisseur du mur.
Il y a 3 ans et 56 jours

Fundo Ligno et Fundo RioLigno, deux receveurs Wedi pour intégration en plancher bois

Comme tous les produits wedi, le Fundo Ligno et le Fundo RioLigno sont 100% étanches, fiables, testés et certifiés. En tant qu’expert de l’étanchéité, wedi ne fait aucune différence technique entre l’installation d’un receveur sur béton ou sur un plancher bois et propose deux produits dédiés zéro ressaut !La construction bois est actuellement favorisée par un cadre réglementaire, la RE2020, qui vise à diminuer l’impact carbone des bâtiments tout en poursuivant l’amélioration de leur performance énergétique. Pourtant, il est complexe de faire viser auprès du CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) et des assureurs, des systèmes de douches sur supports bois, alors que dans le même temps, les majors de la construction intègrent de plus en plus le bois dans leurs projets.Pour répondre à ces évolutions réglementaires et à ce besoin, les industriels doivent à la fois bien sûr, développer des solutions adaptées mais aussi tenter d’apporter des garanties. C’est le cas de wedi dont tous les produits sont compatibles sur supports béton ou bois.En développant deux solutions spéciales bois, le constructeur a la volonté de contrer les idées reçues sur ce matériau, de valoriser l’installation de douches en et sur structures en bois et d’accompagner les professionnels du secteur en apportant son expertise et ses garanties propres.Le contexte règlementaireLe bois est fortement plébiscité sur le marché de la construction. Au-delà de ses vertus esthétiques qui rappellent la nature, le bois est un matériau biosourcé reconnu pour son empreinte carbone extrêmement performante.L’utilisation du bois est en pleine croissance dans la construction de bâtiments publics et de logements individuels puisqu’il confère un excellent bilan carbone. D’ailleurs, des majors du bâtiment prennent en compte la pertinence de ce matériau, comme Bouygues notamment avec sa filiale WeWood qui annonce la construction de 30% de logements en bois pour 2024 dans leurs opérations.Aujourd’hui, la problématique des ouvrages en bois réside dans leur assurabilité. Le CSTB, les contrôleurs techniques et les assureurs sont assez méfiants face à l’étanchéité des salles d’eau sur support bois. Ils craignent qu’en cas de dégâts des eaux, la fuite touche la structure en bois de l’ouvrage et que les dommages deviennent alors plus graves que sur support béton.A cela s’ajoute un autre frein : la question du zéro ressaut. Depuis le 1er juillet 2021, les logements neufs doivent obligatoirement être équipés d’une douche zéro ressaut, mesure qui renforce la crainte d’une salle de bain sinistrée.Pour wedi, le zéro ressaut n’a jamais posé de problème étant donné la maitrise acquise depuis de très nombreuses années sur ces procédés, partout en Europe et en Amérique du nord. De plus, l’expertise wedi réside dans la maitrise de l’étanchéité et la fiabilité de ses systèmes garantie au minimum 10 ans.Le spécialiste de la salle de bain souhaite rassurer les profes-sionnels et installateurs de douches en proposant des systèmes complets parfaitement compatibles entre eux qui permettent de réaliser intégralement des salles de bains zéro ressaut, 100% étanches.Les majors font confiance à wedi dans le cadre de constructions bois. Ils s’appuient sur le savoir-faire de l’entreprise, l’accompagnement du responsable technique wedi et sur leurs bureaux de contrôle qui échangent avec le service technique avant de réaliser chaque projet. C’est notamment le cas du groupe Leco, spécialiste de la conception et de la construction modulaire en bois.Xavier Jaffray, Président du groupe Leco, revient sur son partenariat avec wedi : « Avoir wedi comme partenaire est essentiel pour la recherche et le développement. Avec l’accord des bureaux de contrôle, nous avons pu réaliser avec wedi plusieurs opérations sur des planchers en bois. Cela n’a été possible que parce qu’on avait pu définir ensemble un cadre de validation réglementaire des processus. La solution wedi est plus qualitative que des douches normales. En règle générale on la met en oeuvre quand on veut monter en gamme tout en répondant à des contraintes réglementaires. »Christophe Gay, Kasteliades, témoigne également de son choix des solutions wedi dans son activité, la rénovation de châteaux pour en faire des résidences de vacances haut de gamme. « Les solutions wedi sont parfaitement adaptées à nos besoins, que ce soit pour la mise en oeuvre facile ou pour la garantie d’étanchéité ! » « …dans les châteaux on retrouve souvent du parquet dans l’intégralité des pièces. On ne peut donc pas se permettre d’utiliser un joint qui ne serait pas fiable dans le temps et se retrouver face à une inondation des parquets et des étages inférieurs où se trouvent des fresques de plus de 200 ans. »Des produits wedi adaptés aux constructions en boisLes receveurs Fundo Ligno et RioLigno ont été développés pour faciliter l’intégration de receveurs dans les planchers bois, en affleurement, supprimant ainsi les travaux de réajustement.L’installateur gagne ainsi un temps considérable et doit simplement découper la zone de plancher nécessaire pour mettre en oeuvre le receveur. Par ailleurs, les deux produits sont 100% étanches ce qui leur permet de s’adapter aux planchers en bois, supports sensibles à l’humidité. Tous les receveurs wedi sont soumis à des tests d’étanchéité en usine ce qui leur confère une haute fiabilité. Ils sont également entièrement compatibles avec les produits de la gamme wedi ce qui leur confère un réel avantage.Le Fundo LignoLa gamme de receveurs de douche de plain-pied Fundo Ligno, avec écoulement classique en un point, est dédiée au montage sur plancher bois, qu’il s’agisse d’un chantier neuf ou en rénovation.Avec 20 mm d’épaisseur, il s’intègre parfaitement au plancher bois, évitant ainsi les travaux de ragréage.Garanti 100% étanche, il assure une fiabilité digne de l‘expertise wedi.Disponible en version carré et rectangulaire, il s’adapte à tous les designs.Le Fundo RioLignoComme le Fundo Ligno, le Fundo RioLigno rectangulaire avec écoulement linéaire a été conçu pour être installé sur plancher bois.Proposé sous plusieurs dimensions, le receveur mesure 25 mm de hauteur ce qui lui permet de s’intégrer facilement au plancher existant.Par ailleurs, le Fundo RioLigno est compatible avec les barrettes de finition ainsi qu’avec les profilés de pente de la gamme wedi.Filière bois : un marché complexe en FranceD’une manière générale, la construction bois est traversée par des enjeux contradictoires. D’un côté, elle est fortement encouragée par la stratégie de décarbonation engagée en réponse à la situation climatique. De l’autre, elle engendre des craintes sur le plan assurantiel.Aujourd’hui, de nouveaux acteurs sont appelés à intervenir sur le marché de la construction bois, tant au niveau du gros oeuvre que des corps d’état secondaires. Habitués aux structures en béton ou maçonnées, ils doivent acquérir une nouvelle expérience et se former à la manipulation du bois.En effet, le bois est évidemment plus sensible à l’humidité que le béton. Pour autant, les acteurs de la filière rappellent qu’en Amérique du Nord, dans les pays nordiques, le bois est depuis longtemps admis dans les constructions. Les assureurs et contrôleurs français quant à eux restent préoccupés par les coûts d’assurabilité, les pratiques de constructions bois et les questions d’étanchéité.Autant d’interrogations qui amènent à l’élaboration, la révision ou la simple adaptation des règles et référentiels susceptibles à la fois de conforter et sécuriser la construction bois.
Il y a 3 ans et 57 jours

Altarea se mobilise pour les réfugiés ukrainiens

Les collaborateurs du groupe Altarea sont mobilisé pour venir en aide aux réfugiés ukrainiens, en menant deux types d’actions avec des associations à vocation humanitaire :Un partenariat a été initié avec le Secours Populaire français afin de récolter des dons financiers des collaborateurs, chaque euro versé étant doublé par l’entreprise. Des collectes de produits de première nécessité et de vêtements ont également été initiés par des collaborateurs, au sein du siège parisien du Groupe et dans les filiales régionales, afin d’être envoyés en Ukraine.Par ailleurs, dans le cadre du partenariat avec Habitat & Humanisme, nous proposons d’accueillir environ 30 familles de réfugiés ukrainiens dans certaines de nos résidences seniors Cogedim Club, où nous avons des disponibilités. Des appartements « prêts à vivre » sont mis à disposition des familles arrivant en Ile-de-France ainsi qu’en régions. Les premières familles sont attendues dans nos résidences de Lyon, Marseille et Thonon-les-Bains.Pour Jacques Ehrmann, Directeur Général Groupe, Altarea : « Un véritable élan de solidarité est né au sein du Groupe avec la volonté de soutenir les populations civiles ukrainiennes. Je remercie les collaborateurs qui se sont spontanément manifestés pour participer à cette mobilisation citoyenne, notamment les équipes de Cogedim Club qui sont en train de mettre en œuvre les conditions d’accueil de familles de réfugiés ukrainiens au sein de certaines de leurs résidences. Je remercie également le Secours Populaire français et Habitat & Humanisme qui, à travers leurs cellules d’urgence, rendent ces aides possibles et accompagnent celles et ceux que la guerre a fait fuir. Nous sommes à leurs côtés pour trouver des solutions en conjuguant mobilisation et action. »
Il y a 3 ans et 57 jours

La robe en ZINC QUARTZ-ZINC DE VMZINC enveloppe les bureaux de la maison RÉMY MARTIN à Merpins 16

La Maison Rémy Martin, reconnue à travers le monde pour ses Cognacs, est implantée en Charente depuis sa création en 1724. Afin de regrouper toutes les entités sur un unique site, elle a entrepris la construction de nouveaux bureaux et espaces collectifs à Merpins. Ce bâtiment de 5 000 m² connecte les chais de vieillissement […]
Il y a 3 ans et 57 jours

L'international tire les résultats de Vinci au 1er trimestre

L'international représente plus de la moitié (51%) des 12,8 Mds € de chiffre d'affaires de la major au premier trimestre 2022.
Il y a 3 ans et 57 jours

Le Mur Manteau appelle le gouvernement à soutenir la filière de l'ITE

Malgré l'augmentation des aides MaPrimesRénov' pour favoriser l'installation de nouveaux systèmes de chauffage, l'indépendance énergétique et la lutte contre le changement climatique doivent passer par une réduction importante et surtout structurelle de la consommation électrique en France.Un soutien à l'isolation globale et performante permettrait de diminuer les besoins énergétiques des bâtiments et d'éliminer sur la durée la dépendance énergétique de la France vis-à-vis des hydrocarbures russes.Le Groupement du Mur Manteau attend donc du gouvernement, en complément des mesures encourageant à l'installation d'un système de chauffage, un soutien aux Travaux d'Isolation Thermique par l'Extérieur (ITE). Les aides pour tous les ménages et plus particulièrement les plus modestes ont en effet fortement baissé.Barbara Pompili mettait récemment en avant que "la solution [à la crise actuelle] n'est pas de ralentir la transition écologique mais de l'accélerer". Dans cette optique, le Mur Manteau encourage le gouvernement à soutenir la filière de l'isolation thermique par l'extérieur, une filière stratégique et créatrice d'emplois locaux et impossibles à délocaliser.
Il y a 3 ans et 57 jours

L'Eco-Campus, une arme stratégique pour la formation aux métiers du génie climatique

En construction depuis quatre ans, le bâtiment de l'Eco-Campus est prêt pour la rentrée 2022.
Il y a 3 ans et 57 jours

Trois experts pour les toits à très faible pente

Les tuiles en terre cuite résistent aux intempéries, aux rayons UV, au gel et à la grêle. Elles améliorent également le bilan énergétique d'une maison. Erlus propose des tuiles en terre cuite robustes et résistantes à la pénétration des eaux pluviales, même pour les toits à très faible pente. Les modèles Karat®, E58 RS® ainsi que la nouvelle tuile Level RS® sont les trois experts pour concevoir une toiture fonctionnelle et durable. Ces tuiles sont fabriquées à partir d'argile naturelle, absorbent l'humidité et la restituent rapidement.
Il y a 3 ans et 57 jours

Paré pour l'été : des chemises, des polos et des pantalons de travail pour les chaleurs estivales

L'été approche à grands pas ! Dans l'artisanat, à l'atelier, sur les chantiers ou dans l'industrie, l'exigence envers ses vêtements de travail évolue soudainement dès les premières chaleurs printanières. La demande des clients s'oriente alors vers des vêtements de travail plus légers et plus respirants.
Il y a 3 ans et 57 jours

Nouvelle poignée lève-dalle JOUPLAST

Acteur majeur sur le marché des aménagements extérieurs, JOUPLAST® propose un nouvel outil très pratique et peu encombrant : la poignée lève-dalle pour terrasse sur plots. Cet accessoire léger et facile à manier permet de soulever les dalles, sans les endommager, aussi bien pendant la pose du dallage que lors d'une intervention sous une terrasse.
Il y a 3 ans et 57 jours

Nouveau saturateur Pur-T® Wood

Depuis quelques années, la volonté de limiter l'impact sur l'environnement et de répondre aux enjeux du développement durable a favorisé l'émergence des matériaux biosourcés. La RE2020, dont l'un des objectifs est de décarboner le secteur de la construction, encourage l'utilisation de ces produits biosourcés, issus de matières organiques renouvelables (d'origine végétale ou animale). En effet, ils permettent de stocker, durant leur cycle de vie, le CO2 présent dans l'atmosphère, émettent peu de polluants et contribuent à limiter l'empreinte environnementale de la construction.
Il y a 3 ans et 57 jours

L'année 2022 marquera les 10 ans de WnD (Windows and Doors) sur le territoire français.

L'année 2022 marquera les 10 ans de WnD (Windows and Doors) sur le territoire français. Spécialisée dans la production de fenêtres, baies coulissantes, volets roulants et portes PVC, l'entreprise du groupe OKNOPLAST est devenue au fil des années un acteur majeur en France. Pour son 10ème anniversaire, WnD intensifie son rayonnement dans l'Hexagone avec une nouvelle équipe commerciale qui place la qualité des produits, les économies et le confort clients au coeur de la réflexion stratégique.
Il y a 3 ans et 57 jours

GREE optimise l'expérience de ses clients avec un nouveau site Internet

Afin de s'adapter aux évolutions numériques, GREE, le plus grand fabricant de climatiseurs au monde, présente son nouveau site internet, conçu pour mieux répondre aux besoins du marché et de ses clients.
Il y a 3 ans et 57 jours

Dynaco D-313 Cleanroom, optimisée pour conserver l'air propre

La porte D-313 Cleanroom se démarque parmi la nouvelle génération de portes rapides Dynaco. L'étanchéité parfaite de cette solution intérieure permet de contrôler la température et protège toutes les installations des courants d'air, de l'humidité, de la poussière et des impuretés. Ses lignes modernes font d'elle la porte rapide la moins encombrante du marché. Sa technologie « friction réduite » brevetée ainsi que son moteur à variateur de fréquence assurent un fonctionnement extrêmement fluide. En résumé, Dynaco D-313 Cleanroom est idéale pour conserver l'air propre.
Il y a 3 ans et 57 jours

Biden rétablit des études d'impact environnemental restreintes par Trump

L'annonce concerne une loi, le National Environmental Policy Act (NEPA), selon laquelle tout projet de construction majeur aux Etats-Unis – autoroutes, oléoducs... -- doit être précédé d'une étude d'impact environnemental, menée par l'agence fédérale compétente.En 2020, le gouvernement du président républicain Donald Trump avait limité son application, notamment la nécessité de prendre en compte les impacts "cumulatifs" d'un projet (comme la contribution au changement climatique), arguant que ces études étaient trop complexes et prenaient trop de temps.L'administration Biden, qui depuis qu'elle est au pouvoir est revenue sur de nombreuses décisions environnementales prises par M. Trump, a ainsi choisi de rétablir les règles antérieures.Les agences fédérales devront à nouveau évaluer les conséquences "directes, indirectes et cumulatives d'une action", a écrit le Council on Environmental Quality (CEQ) de la Maison Blanche dans un communiqué. Cela inclut d'évaluer "de façon complète les impacts sur le changement climatique", ainsi que "la pollution supplémentaire relâchée pour des quartiers déjà accablés par un air pollué ou une eau sale", précise-t-il.Les agences fédérales pourront également de nouveau étudier des "approches alternatives susceptibles de minimiser le coût environnemental et de santé publique", en concertation avec les populations locales.La Maison Blanche promet que cela n'entraînera pas de délais supplémentaires pour les projets de construction à l'étude. Cette mesure va "aider à ce que les projets soient construits de la bonne manière dès le départ", a déclaré Brenda Mallory, à la tête du CEQ, citée dans le communiqué.Le gouvernement démocrate a également indiqué qu'il proposerait "dans les prochains mois" des changements supplémentaires pour cette loi. Ces derniers devront intervenir "le plus vite possible" et être "les plus forts possibles", a commenté Leslie Fields de l'ONG environnementale Sierra Club, tout en se félicitant que cette "protection environnementale de base" soit désormais rétablie.L'annonce du gouvernement est "un pas en avant essentiel", a abondé Abigail Dillen, de l'association Earthjustice, mais "l'administration Biden ne peut pas s'arrêter là."Le gouvernement de Joe Biden, qui a fait de la lutte contre le changement climatique une de ses priorités, s'est notamment attiré ces derniers jours les vives critiques des associations environnementales, après l'annonce de la reprise des ventes de concessions pour l'exploitation d'hydrocarbures sur les terres fédérales.
Il y a 3 ans et 57 jours

"Biens mal acquis" au Gabon : premières mises en examen en France d'enfants d'Omar Bongo

Entre le 25 mars et le 5 avril, le juge financier Dominique Blanc a successivement mis en examen Grâce (58 ans), Betty (55), Arthur (51) puis Hermine Bongo (53), pour recel de détournement de fonds publics, de corruption active et passive et d'abus de biens sociaux, selon des éléments obtenus par l'AFP.La justice française soupçonne en effet plusieurs membres de la famille Bongo, d'Omar le défunt père à Ali, le fils et actuel président, en passant par la fille Pascaline, d'avoir "sciemment" bénéficié d'un important patrimoine immobilier "frauduleusement" acquis par le patriarche et dont la valeur a récemment été évaluée par la justice "à au moins 85 millions d'euros".Les quatre enfants mis en examen de celui qui fut président du Gabon de 1967 à sa mort en 2009 ont tous contesté devant le juge avoir conscience de cette origine frauduleuse.Après la mise en examen de la BNP en mai 2021, ces mises en cause marquent une nouvelle accélération dans cette enquête difficile et au long cours, déclenchée après une plainte en mars 2007.D'autres enfants, parmi les 54 de l'ex-allié historique de la France, pourraient suivre.Contacté par l'AFP, Jessye Ella Ekogha, porte-parole de la présidence gabonaise, n'a pas fait de commentaire.Dans ce dossier des biens mal acquis, outre les enfants Bongo et la BNP Paribas, sont poursuivies quatorze autres personnes physiques dont des membres de la famille du président congolais Denis Sassou Nguesso et plusieurs Français parmi lesquels un avocat, un notaire, une gérante de société civile immobilière (SCI), etc.Avocate de Grâce Bongo, Me Elise Arfi a dénoncé une mise en examen "scandaleuse" qui crée "de l'insécurité juridique", "25 ans" après l'acquisition des biens. "Le chapitre famille Bongo qui s'est ouvert va se poursuivre", a commenté Me William Bourdon, avocat de l'association Transparency International France, partie civile dans ce dossier. "La procédure enseigne maintenant à quel point les biens français n'ont pu être mal acquis que grâce au concours des ingénieurs du chiffre et du droit", a-t-il ajouté.
Il y a 3 ans et 57 jours

Le Département de la Seine-Saint-Denis renforce sa politique de l'arbre

À cette occasion, un coup d'accélérateur de ce plan a été donné, avec la poursuite de la signature de la charte d'engagement pour les arbres du territoire et le lancement de l'appel à projets « Forêt Urbaine ».En 2020, le Département de la Seine-Saint-Denis a voté un plan d'investissement de 60 millions d'euros, le « plan Canopée », avec pour objectif principal de faire passer la couverture arborée du territoire de 16% à 20% d'ici 2030, et de planter 30.000 arbres. Ce plan vise également à protéger le patrimoine arboré existant tout en mobilisant et en sensibilisant la population aux enjeux environnementaux.Un premier bilan depuis le lancement du plan CanopéeDepuis 2020, 16.000 arbres ont été plantés par le Département, le long des routes départementales, dans les crèches ou encore dans les collèges, avec notamment la création de trois cours oasis, mais aussi dans les parcs, comme celui de la Fosse Maussoin à Clichy-sous-Bois, où poussent 10.000 nouveaux plants. De premières forêts urbaines ont également été créées, comme à Sevran ou Epinay-sur-Seine.Aujourd'hui, le Département compte 96 essences différentes – contre 55 en 2019 – davantage adaptées aux changements climatiques. 45% sont des espèces indigènes, contre 33% en 2019. Les plantations réalisées ont permis de créer 14 ha de couverture arborée moyenne supplémentaire (arbres à l'âge adulte) et de désimperméabiliser 7.632 m².Une charte d'engagement pour les arbres de la Seine-Saint-DenisAfin d'associer et de sensibiliser les partenaires du territoire, du public comme du privé, aux enjeux environnementaux et sociaux que représente la place de l'arbre en ville, le Département a décliné les objectifs de son plan Canopée au travers d'une charte. En la signant, les collectivités territoriales, les bailleurs, les grands propriétaires fonciers, les aménageurs ou encore les associations, s'engagent à poursuivre les 3 principales ambitions du plan Canopée : Développer le patrimoine arboré du Département, le protéger et mobiliser pour sa préservation et son accroissement.Le mardi 19 avril à la Maison du Parc Jean-Moulin Les-Guilands, 11 actrices et acteurs ont signé cette charte : L'EPT Plaine Commune ; les villes de Montreuil, Ile-Saint-Denis et Bagnolet ; l'Union nationale des entreprises du paysage ; les associations Nature and Us, Sens de l'humus, Ferme du Sausset, Environnement 93, Fruits défendus et ANIMA. Elles et ils rejoignent les six précédent·e·s signataires : les villes de La Courneuve, Saint-Denis et Noisy-le-Sec, Seine-Saint-Denis Habitat, Séquano Aménagement et l'association Halage.Un appel à projets pour la création de forêts urbainesAfin d'aider les collectivités territoriales de Seine-Saint-Denis à valoriser leur foncier en développant leur patrimoine arboré, le Département lance cette année son appel à projets « Forêt Urbaine ».Les lauréat·e·s pourront bénéficier :d'un soutien financier de 35.000 € maximum par projet de forêt urbained'un appui technique pour la conduite de leur opération : mise à disposition du Guide Technique Canopée ; accompagnement méthodologique pour le lancement des études préalables, la conception et la mise en place du projetd'un appui à la valorisation de leur projetPour cette première édition, deux à trois projets de forêts urbaines seront soutenus. Les candidatures peuvent être déposées dès à présent et jusqu'au 3 juin 2022. Les projets lauréats seront révélés au mois de juillet.Pour Stéphane Troussel, Président du Département de la Seine-Saint-Denis: "Alors que la crise sanitaire a mis en lumière le besoin pressant de redonner plus de place à la nature en ville, le Département s'est engagé dans un effort exceptionnel et durable de développement et de préservation de son patrimoine arboré, mais également de plantation d'essences nouvelles, adaptées aux bouleversement climatiques annoncés. Nous ne pourrons atteindre ces ambitieux objectifs seul·e·s. Avec Belaïde Bedreddine, Vice-président chargé de l'écologie urbaine, nous tenons donc à remercier l'ensemble des partenaires, du public comme du privé, de plus en plus nombreux·ses à s'engager à nos côtés pour créer une véritable politique départementale de l'arbre en Seine-Saint-Denis et améliorer le cadre de vie des habitant·e·s."
Il y a 3 ans et 57 jours

Le Livret A a engrangé 3 milliards d'euros nets en mars

C'est peu ou prou le résultat de février dernier (2,94 milliards) ou de mars 2021 (2,8 milliards).Le Livret de développement durable et solidaire a pour sa part engrangé 650 millions d'euros nets, soit un peu plus que les 540 millions de février, mais moins que les 870 millions de mars 2021.Au total, le surplus de dépôts du Livret A et du LDDS a totalisé 3,67 milliards d'euros sur le mois, exactement comme en mars 2021, soit un encours total sur les deux produits de 483,6 milliards d'euros à fin mars.Et sur le trimestre, les deux livrets ont engrangé près de 14 milliards d'euros nets, contre 14,6 milliards à la même période l'année dernière et un peu moins de 10 milliards les années précédentes, signe que les Français n'ont pas relâché leurs efforts d'épargne.L'une des explications de la persistance de l'attrait du Livret A pourrait être le doublement du taux d'intérêt, passé de 0,5% à 1% au 1er février. Cette hausse, la première en plus de dix ans, a également concerné le LDDS.Géré conjointement par la Caisse des dépôts et les réseaux bancaires, le Livret A sert essentiellement à financer le logement social, tandis que le LDDS est dédié à l'économie sociale et solidaire ainsi qu'aux économies d'énergie dans les logements.Ils sont souvent considérés comme des placements refuge. L'année dernière, les Français ont déposé 15,17 milliards d'euros de plus qu'ils n'en ont retiré sur leurs Livrets A, et 3,94 milliards d'euros sur leurs LDDS.
Il y a 3 ans et 57 jours

Lyon-Turin : Systra s'impose sur la maîtrise d'oeuvre des gares

CONTRAT. Telt, le maître d'ouvrage de la section transfrontalière du Lyon-Turin ferroviaire, a attribué les marchés de maîtrise d'oeuvre pour la construction des gares internationales, à Saint-Jean-de-Maurienne côté français, et à Suse côté italien, pour un montant total de 23 millions d'euros. Ce sont des sociétés d'ingénierie bien connues de part et d'autre des Alpes qui ont été choisies.
Il y a 3 ans et 57 jours

Roch Office, le petit frère de Higher Roch avec des bureaux

TERTIAIRE. Le cabinet d'architectes Brenac & Gonzalez & Associés signe l'immeuble Roch Office, au coeur de la préfecture de l'Hérault. Il accompagne la tour de logements Higher Roch et la transformation de cette zone de la ville.
Il y a 3 ans et 57 jours

Inflation : industriels et négoces s'engagent à la "solidarité" avec les artisans

SURCOÛTS. Plusieurs acteurs de la filière bâtiment s'engagent à adopter des mesures de solidarité pour maintenir le dynamisme du marché, confronté à des hausses de coûts de l'énergie et de matières premières. Plusieurs corps de métiers sont représentés.
Il y a 3 ans et 57 jours

Plus de défaillances d’entreprises que l'année dernière, mais moins qu'en 2020 et 2019

Bien que le nombre de défaillance d’entreprises sur un an ait augmenté de 6,3% depuis l'an passé, la Banque de France indique que le chiffre a baissé de 36,6% par rapport à 2020, et de 45% par rapport à 2019. Il s'agit d'un peu moins de 30 000 entreprises, entre avril 2021 et mars 2022 en France.
Il y a 3 ans et 57 jours

Débat de l'entre deux-tours 2022 : les mesures de Marine Le Pen et Emmanuel Macron qui concernent le BTP

Écologie et rénovation énergétiqueLe premier point sur lequel le ton est monté lors du débat est la question des énergies renouvelables. Emmanuel Macron souhaite continuer à miser sur le développement des panneaux photovoltaïques et des éoliennes, tout particulièrement offshore, en maintenant et améliorant le nucléaire le temps que les énergies renouvelables prennent plus d'ampleur dans la consommation énergétique française.Le candidat-président compte également réduire les besoins du pays en accélérant la rénovation énergétique avec le dispositif MaPrimeRénov'. Il veut ainsi doubler le nombre de logements rénovés en passant à 700.000 logements rénovés chaque année s'il est réélu.Il a également confirmé vouloir créer une prime pour aider les seniors à aménager leur logement basée sur MaPrimeRénov' afin de leur permettre d'éviter les EHPAD et intitulée MaPrimeAdapt'.Emmanuel Macron souhaite maintenir le bouclier tarifaire sur le prix des énergies le temps de la crise, après laquelle il ne subventionnera plus le pétrole et les énergies fossiles pour à la place reverser ces subventions sous forme d'aides à la rénovation énergétique des logements français.Marine Le Pen, accusée par son concurrent d'être « climato-sceptique », souhaite diminuer la TVA sur les produits énergétiques fossiles pour soulager les ménages et favoriser le pouvoir d'achat. Elle veut également sortir du marché européen de l'électricité qu'elle considère comme source de l'augmentation du prix de l'énergie et à la place laissé l'État réguler les prix.Elle est aussi contre le blocage des importations de gaz russe en raison des retombées néfastes que cela engendre sur les particuliers et les entreprises.Elle affirme également sa volonté de s'opposer aux éoliennes terrestres car, selon elle, cette source d'énergie s'avère trop incertaine puisque basée sur la présence ou non de vent pour alimenter les turbines, trop dérangeante pour ceux habitant à proximité en évoquant des « troubles anormaux du voisinage » et que quand les éoliennes ne tournent pas « il faut avoir recours au charbon », ce qui contrecarre l'intérêt écologique des éoliennes. Elle souhaite donc démonter les éoliennes incriminées et organiser des référendums pour décider du sort des autres projets éoliens.La candidate du Rassemblement National juge aussi que le modèle économique de libre-échange est grandement responsable des émissions de gaz à effet de serre car « les importations en représentent 50% ». Elle privilégierait un modèle basé sur la production locale autant que possible en passant par une réindustrialisation afin de permettre une plus grande indépendance française et une forme de « patriotisme économique ».Le rythme de la transition écologique dicté par Emmanuel Macron est également remis en question par Marine Le Pen. Elle dénonce une « politique écologique punitive » pour les ménages n'allant pas assez vite dans leur transition écologique avec notamment les restes à charge importants lors de travaux de rénovation énergétique d'un logement ou encore la décision d'interdire l'installation de nouvelles chaudières au fioul malgré le fait que certains ménages n'auraient « pas les moyens de faire autrement ». Les Zones à Faibles Émissions ont également été critiquées par Marine Le Pen, dénonçant une inégalité pour les ménages ne pouvant pas investir dans un véhicule électrique ou peu polluant mais qui habitent dans une ZFE.Travail et retraiteMarine Le Pen a annoncé vouloir s'assurer que les charges sociales de travailleurs détachés en France soient payées en France. Le fait que ces charges soient reversées dans le pays d'origine du travailleur est selon elle « une perte nette pour notre pays et crée une préférence étrangère à l'emploi dans un certain nombre de secteur ». Pour elle ce mécanisme provoque une asymétrie pour les entreprises n'ayant pas recours à des travailleurs détachés par rapport à celles y faisant appel.Pour Emmanuel Macron en revanche, sa politique menée jusqu'à présent à permis de réduire les fraudes et il s'estime satisfait d'avoir « changé les règles pour que soit respecté le principe « à travail égal salaire égal » concernant les travailleurs détachés. L'actuel président a également pointé du doigt le fait que faire payer en France les charges sociales des travailleurs détachés étrangers mais que ne pas appliquer ce même principe aux travailleurs français à l'étranger, c'est-à-dire « la préférence nationale à l'emploi », représenterait « la fin du marché commun du travail européen ».Le sujet des retraites a lui aussi montré le clivage entre les deux candidats. Marine Le Pen souhaite faire revenir la retraite à 60 ans ou 62 ans (40 à 42 annuités) afin que les français puissent profiter de celle-ci.Emmanuel Macron quant à lui maintient son intention de faire passer la retraire à 65 ans mais également de conserver les critères de pénibilité, qu'ils jugent fondamentaux dans le système des retraites, pour continuer de permettre à ceux qui ont exercé une profession difficile de partir plus tôt à la retraite.
Il y a 3 ans et 57 jours

Inflation et déficit : comment présider la France dans une économie menacée

"Incontestablement, nous allons devoir traverser des temps économiques plus difficiles. L'économie française avance sur une route devenue plus glissante", a prévenu dans l'entre-deux tours le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau.Alors que la croissance française a atteint 7% en 2021, une des plus importantes de la zone euro après la récession record de 8% de 2020, le paysage s'est assombri ces dernières semaines."On avait assez bien réussi en France la sortie de la crise du Covid-19, et même de manière surprenante", souligne Patrick Artus, chef économiste de Natixis, évoquant le faible nombre de faillites, un endettement des entreprises maîtrisé et la baisse du chômage.Mais la guerre en Ukraine a aggravé les perturbations des chaînes d'approvisionnement des entreprises, freinant l'activité dans l'industrie, et a renforcé une inflation (4,5% en mars) déjà importante du fait de la flambée des prix de l'énergie et des matières premières. "Le conflit vient encore affaiblir la croissance qui était en train de se tasser, avec une inflation qui grignote le pouvoir d'achat des ménages et érode les marges des entreprises", estime Emmanuel Jessua, économiste chez Rexecode, tablant sur une inflation autour de 4% cette année.Avec sans doute en perspective une "répercussion progressive" sur les salaires et les prix de vente, amenés à augmenter pour suivre le mouvement de hausse, ce qui va "encore alimenter l'inflation" dans les prochains mois, comme on l'observe déjà aux États-Unis, ajoute-t-il.Pour l'instant, l'économie française semble encore résister, avec une progression du PIB attendue à 0,25% au premier trimestre selon la Banque de France, et 0,3% selon l'Insee, mais les deux institutions se montrent beaucoup plus prudentes pour la suite.La guerre provoque "un choc de prix, d'incertitude et de confiance", a résumé mi-mars Julien Pouget, chef du département de la conjoncture à l'Insee. Ménages et entreprises montrent déjà des signes de pessimisme qui pourraient peser sur la consommation et sur l'investissement."Énorme problème" de finances publiques"Je pense qu'on va perdre 2 points de croissance cette année par rapport aux 4% qu'on pouvait escompter", estime Patrick Artus. Une moindre croissance à laquelle va s'ajouter une perte de pouvoir d'achat, qui frappera davantage les ménages les plus modestes, plus sensibles aux hausses des prix de l'énergie et des produits alimentaires.Le FMI a d'ailleurs abaissé mardi de 0,6 point à 2,9%, sa prévision pour la France.Comment, dans ce contexte, financer les investissements nécessaires pour la transition écologique, l'éducation, les compétences et la santé ? Et comment soutenir la réindustrialisation de la France alors que le déficit commercial a atteint des records ? C'est tout le défi du prochain quinquennat.Le ou la futur(e) président(e) de la République, devra sans doute muscler son action contre les effets du conflit, et en premier lieu l'inflation.Marine Le Pen propose notamment une baisse de la TVA, quand Emmanuel Macron promet par exemple une aide ciblée et une réévaluation des pensions de retraite à l'été prochain.Le tout dans un contexte budgétaire tendu, avec un déficit (6,5% fin 2021) et une dette gigantesques (112,9%) en sortie de crise sanitaire. "On a des programmes assez coûteux - même si celui d'Emmanuel Macron l'est beaucoup moins que celui de Marine Le Pen - et dont le financement n'est pas toujours explicite", pointe Emmanuel Jessua.Le président-candidat a chiffré le sien à environ 50 milliards d'euros, financé en partie par la réforme des retraites et l'atteinte du plein emploi, tandis que Marine Le Pen prévoit 68 milliards d'euros de dépenses, dont le financement prévu est mis en doute par la plupart des économistes."Quel que soit le candidat élu, de toute façon il aura un énorme problème de finances publiques et il ne faut pas croire qu'on pourra passer ça à la trappe", prévient Patrick Artus.Une situation d'autant plus inquiétante que pour faire face à l'inflation la Banque centrale européenne a ouvert la voie à un relèvement de ses taux d'intérêts, ce qui pourrait gripper encore davantage la croissance.
Il y a 3 ans et 57 jours

Eiffage prévoit plus de 8.000 recrutements en Europe en 2022

EMPLOI. Lors de l'assemblée générale d'Eiffage, le P-dg Benoît de Ruffray a consacré une partie de son discours aux enjeux RH et sociaux au sein du groupe. Vivant une « accélération du développement » de son activité, les besoins en main d'oeuvre sont grands. La major compte sur un certain nombre d'arguments pour dénicher et convaincre de nouveaux talents.
Il y a 3 ans et 57 jours

Les experts-comptables se mobilisent pour le pouvoir d’achat et font 100 propositions concrètes pour une France plus forte, juste et compétitive

Les experts-comptables sont au cœur de l’économie et au cœur de la société, ils sont des chefs d’entreprise au service des chefs d’entreprise : ils sont légitimes pour proposer et orienter les dirigeants.Aussi, les experts-comptables proposent donc de :Supprimer les cotisations sociales (hors retraite) des salaires et transférer le financement de la protection sociale par une hausse de la TVA et une micro-taxe sur les mouvements financiersAugmenter le pouvoir d’achat en exonérant de cotisations sociales (salariales et patronales) et d’impôts les heures supplémentaires et complémentaires. Cette mesure favoriserait à la fois le pouvoir d’achat des salariés et la capacité des entrepreneurs à assurer leur production malgré les difficultés de recrutementPérenniser la prime PEPA version 2021 exonérée de cotisations sociales et d’IR (intéressement simplifié pour les petites entreprises jusqu’à 50 salariés)Autoriser les déblocages exceptionnels de l’épargne salariale, sans conditions d’utilisationExonérer les dons d'argent pour l’acquisition d’un bien immobilier (achat, construction, investissement locatif...)Augmenter le montant des donations exonérées et réduire la durée des abattements. Par exemple : 150.000 euros tous les 12 ans (donation en nue-propriété) ou 300.000 euros tous les 6 ans (donation en pleine propriété).Le communiqué se conclut sur le fait que les experts-comptables souhaitent « Être acteurs plutôt que spectateurs, proposer plutôt que protester, construire plutôt que dénigrer... Fiers d’être experts-comptables ! ».Téléchargez les 100 propositions des experts-comptables.
Il y a 3 ans et 57 jours

Stratégie et innovations bas carbone chez Lafarge

Lafarge France va commercialiser dès cet été deux nouveaux ciments ternaires bas carbone, un CEM II (produit à Sète) et le premier CEM VI disponible en France (fabriqué au Teil). Ces nouveaux ciments offrent une réduction carbone de -30% à -50% et viennent enrichir les offres bas carbone ECOPlanet (ciment) et ECOPact (béton). Dans le cadre d’une démarche volontariste pour accélérer la transition écologique de la construction, Lafarge France accompagne ses clients vers le remplacement progressif des ciments les plus émissifs. Pour le secteur de la préfabrication, il s’agit dans un premier temps d’augmenter l’utilisation du CEM II, puis des ciments ECOPlanet, en lieu et place du CEM I tout en garantissant le même niveau de performance et l’absence d’impact sur les process de fabrication. Le groupe a également mis au point et testé avec succès un liant bas carbone nouvelle génération, bas clinker et sans laitier. Ce liant breveté permet la production de béton à -50% de CO2 sans utiliser le laitier. Il ne modifie pas les modes constructifs et les gestes chantiers. Cet article Stratégie et innovations bas carbone chez Lafarge est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 57 jours

Blanchon accélère sa croissance internationale

Le groupe Blanchon annonce l’acquisition de Rigo Verffabriek et Rigo Verfcentrum, une entreprise familiale, spécialisée dans la conception et la fabrication de produits de finition pour le bois et de peintures pour les bâtiments patrimoniaux, dédiés à une clientèle professionnelle. Cette acquisition s’inscrit dans la stratégie du Groupe Blanchon d’accélérer sa croissance internationale et de devenir un leader européen de la protection, de l’entretien, de la rénovation et de la décoration des surfaces bois intérieures et extérieures et des sols vinyles. Grâce à des marques très fortes, dont les produits « Skylt », « Step », « Royl », « Toplin » et « Skyn », combinées à une croissance significative des ventes au cours de la dernière décennie, RIGO est devenu le leader du marché sur le segment des sols en bois aux Pays- Bas. La société est installée à Ijmuiden, Pays-Bas, et ce site viendra s’ajouter aux autres filiales européennes de Blanchon, afin d’accélérer la croissance des activités internationales du groupe. S’appuyant sur la complémentarité des gammes de produits Blanchon et RIGO, sur la forte notoriété de leurs marques, et sur leur large portefeuille de clients, cette acquisition permet au groupe Blanchon de devenir le leader du marché de la protection et de la décoration des sols parquets pour les professionnels aux Pays-Bas. Suite à l’acquisition de Ciranova en juin 2021, le Groupe Blanchon est à présent pleinement établi comme le leader du marché en Belgique, aux Pays-Bas et au Luxembourg, deuxième plus importante région du groupe par son chiffre d’affaires, après la France.
Il y a 3 ans et 57 jours

L'Anses recommande de classer les fumées de soudage cancérigènes

SANTÉ AU TRAVAIL. L'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) recommande, dans un avis, de classer les travaux exposant aux fumées de soudage et aux fumées métalliques parmi la liste des substances, mélanges et procédés cancérogènes au sens du Code du travail.
Il y a 3 ans et 57 jours

Morbihan : la distinction « Inn Situ, concevoir pour prévenir » pour l’entreprise JPK Composites

La Caisse d'assurance retraite et de la santé au travail (Carsat) Bretagne a décerné le prix « Inn Situ, concevoir pour prévenir » à JPK Composites.
Il y a 3 ans et 57 jours

WOLF lance la chaudière à gaz à condensation CGB-2-68/75/100

Se destinant particulièrement au secteur tertiaire, elle permet de répondre à des besoins intensifs d'utilisations, notamment grâce à son grand pouvoir thermique, une plage d'utilisation étendue et de meilleurs rendements…Dotée des dernières innovations technologiques, d'une capacité de contrôle de la régulation et de composants de qualité, le tout sans soupape de décharge… la chaudière CGB-2-68/75/100 se distingue sur son secteur !Efficace, elle allie robustesse et performanceLe contrôle intégré de la modulation maximise le rendement de la condensation en mode chauffage et minimise l'énergie électrique nécessaire. De plus, la plage de modulation extrêmement élevée à 1:6, peut être modulée jusqu'à 16% de la puissance nominale, ce qui est idéal pour les variations du besoin de puissance.Les matériaux utilisés assurent quant à eux une robustesse longue durée : le corps de chauffe en Alu-silicium extrudé, dont le revêtement est ajusté à sa puissance, comporte un grand nombre d'ailettes pour un échange de chaleur optimal.La chaudière est optimisée jusqu'à sa conception, avec des capteurs de température, des gaz de combustion, un couvercle de chambre de combustion avec isolation en vermiculite, un purgeur d'air automatique… Fiabilité et durabilité maximales sont garanties !Performante, la chaudière gaz à condensation CGB-2-68/75/100 permet d'atteindre un coefficient saisonnier de chauffage des locaux N.s (ETAS) de 95%.Flexible, elle s'adapte à toutes les structuresLes modèles de chaudières gaz à condensation CGB-2-75/100 sont cascadables jusqu'à 5 unités, ce qui lui assure une large gamme d'applications et une puissance pouvant aller jusqu'à 500 kW.L'intégration aisée dans les systèmes de gestion des bâtiments (GTB) renforce cette flexibilité et permet un large éventail d'applications : des logements collectifs aux hôtels, en passant par les piscines…Idéale pour les mini chaufferies en puissance 68, elle permet d'être installée sans avoir à réaliser l'ensemble des tests et ni à installer les équipements requis pour l'installation de chaufferie.Pilotable à distance et silencieuseGrâce au WOLF Control System 2, le module de commande WOLF permet un réglage des programmes quotidiens, en plus des autres fonctions intelligentes [mode vacances, verrouillage clavier] et de l'affichage numérique ergonomique [heure, températures, mode de fonctionnement, messages d'erreur et indicateur pour le changement du filtre]. Au quotidien, la chaudière saura se faire oublier grâce à son aspect compact, mais aussi à son isolation optimisée, ce qui en fait une des chaudières les plus silencieuses du marché avec seulement 47 dB(A).Le + produitUn entretien et une installation facilités, pour le plus grand bonheur des installateurs WOLF !Grâce à son installation murale, aucun dégagement latéral minimal n'est requis, les connexions sont entièrement compatibles avec le modèle précédent et une conversion simple au LL/GPL facilitent le travail de l'installateur WOLF.L'assistant de mise en service dans le module de programmation BM-2 reconnaît également les composants WOLF et conduit directement à une configuration réussie.L'accessibilité aux différentes connexions et composants électroniques a aussi été perfectionnée : tous les circuits électroniques, le module optionnel WOLF Link ou le module EA sont ainsi réunis dans un seul boîtier. Les conduits de câbles intégrés et le passage central des câbles garantissent un accès pratique pour l'installation et l'entretien.
Il y a 3 ans et 57 jours

Bouches-du-Rhône : CVE Biogaz a repris Ecovalim

La filiale du groupe CVE, CVE Biogaz, a racheté Ecovalim.
Il y a 3 ans et 57 jours

Osons faire de la rénovation énergétique une priorité industrielle d’une France plus résiliente face aux crises

A l'aune du récent rapport du Giec et dans le contexte géopolitique européen qui démontre notre dépendance aux importations énergétiques, GreenFlex/EnergieSprong et une vingtaine d'acteurs du secteur de la construction et de la transition énergétique plaident pour faire de la rénovation énergétique une priorité industrielle en France.
Il y a 3 ans et 57 jours

Adeline Mourlevat prend la tête du Service Référencement Industriels d’Elcia

Adeline, vous venez d’être nommée Responsable du Service Référencement, mais vous êtes chez ELCIA depuis plus de cinq ans maintenant. Pouvez-vous revenir sur votre parcours ?« J’ai rejoint ELCIA en 2017, à la sortie de mes études à l’INSA de Lyon où j’ai été diplômée en Génie des matériaux. J’ai intégré le Service Référencement dans lequel j’ai occupé le poste d’Ingénieur Projets pendant deux ans. En 2019, j’ai sauté sur l’opportunité de devenir Ingénieure Commerciale afin d’accompagner nos commerciaux Industrie sur la partie technique. J’ai appris l’avant-vente, le commerce et le suivi clients. J’ai ensuite rejoint le Service Clients Industrie qui a été créé en 2021, en tant que Chef de projets clients : j’accompagnais nos partenaires industriels dans la mise en production de leurs projets EDI ou encore MyPricer. J’ai pu y développer mes compétences sur l’accompagnement, le suivi des projets, le conseil clients. J’ouvre aujourd’hui une nouvelle page de mon aventure chez ELCIA en devenant Responsable du Service Référencement. »Vous prenez la Direction du Service Référencement, qui est l’un des Services historiques d’ELCIA. Pouvez-vous nous le présenter ?« Le Service Référencement est l’un des piliers d’ELCIA ! C’est lui qui a référencé et qui est en charge du maintien à jour des 1 750 Bibliothèques de tarifs de nos 600 Industriels partenaires dans le Configurateur ELCIA. Ce Service est le garant de la fiabilité de nos Bibliothèques référencées ! C’est son travail qui fait que nos clients artisans, installateurs et revendeurs peuvent réaliser des devis justes, avec des prix à jour et qu’au final le produit chiffré soit fabricable. Pour cela, le Service Référencement travaille en toute confiance avec les équipes de nos partenaires industriels. Il faut comprendre leurs produits, leurs options et leurs règles métier, pour ensuite les paramétrer dans nos outils.Nous mettons donc un point d’honneur à ce que chaque membre du Service soit un véritable expert métier, qui parle le même langage que les industriels. Chaque nouvel arrivant suit une formation de plusieurs mois, sur nos outils internes, mais aussi sur le métier de nos partenaires, le secteur de la Menuiserie, son vocabulaire.Le Service Référencement est aujourd’hui composé de 19 Ingénieurs et 3 Techniciens, dont une partie sur notre site de Tarbes, notamment pour la gestion des projets transversaux avec ISIA. Depuis quelques années, nous avons organisé le Service en nous inspirant des étapes qui existent dans l’Industrie : études et estimations, planification, qualité et production. »Quelles seront vos missions sur ce nouveau poste ?Je prends la tête du Service Référencement avec deux grands objectifs ! Face aux variations de prix actuelles, nous devons garantir au marché que les mises à jour de nos 1 750 Bibliothèques de prix référencées soient livrées à la bonne date. C’est un vrai challenge ! Deuxième objectif : accompagner les industriels pour que la configuration de leurs produits soit plus riche et permette à leurs clients de passer commande en EDI. La dématérialisation des commandes facilite leur quotidien et évite à leurs équipes de perdre du temps à rappeler l’installateur parce qu’il manque des informations.Cela passe par le management du Service, le suivi de son activité et du respect de ses objectifs. Je veille au bon déroulement des projets de Référencement, j’accompagne les membres de l’équipe, les aide, les conseille. J’ai été Ingénieur Projets pendant deux ans, c’est indispensable pour comprendre le fonctionnement du Service. Je m’assure aussi de leur bienêtre dans le Service et de leur montée en compétences, que ce soit techniquement ou en gestion de projets. Je vais être épaulée par Jonathan Farge, qui fait partie du Service Référencement depuis 17 années. Nous allons former un véritable binôme.La stratégie d’amélioration continue du Service sera également au coeur de mes missions. Les besoins de nos partenaires industriels évoluent, les solutions ELCIA aussi. Il doit en être de même pour nos outils internes !Enfin, mon rôle est aussi d’échanger avec les autres services d’ELCIA. Par exemple, avec le Service Produit pour leur faire part des besoins techniques qui nous sont remontés par les industriels ou encore avec le Service Clients Industrie pour répondre de manière efficace aux problématiques de nos partenaires.Pour terminer, quel plus souhaitez-vous apporter ?Mes différentes missions chez ELCIA me permettent d’avoir aujourd’hui une vision à 360° de l’Industrie : technique, commerce, accompagnement. Cette vision globale, je l’ai aussi en interne. J’ai côtoyé plusieurs Services, je connais les besoins de chaque équipe. Je souhaite m’appuyer sur cette expérience pour fluidifier les relations entre les différents Services ELCIA : ce sont nos partenaires qui en sortiront gagnants !J’ai aussi à coeur d’apporter un regard neuf sur l’organisation du Service Référencement. Pouvoir réorganiser certains aspects de la vie de l’équipe, toujours dans ce souci d’amélioration continue, pour toujours plus d’efficacité et de qualité.Chez ELCIA, des femmes manageuses et heureuses !Girl Power ! Avec la nomination d’Adeline MOURLEVAT sur un poste de management, une barre symbolique vient d’être franchie : 58% des collaborateurs d’ELCIA sont désormais managés par des femmes !Alors que le ratio hommes/femmes chez ELCIA est de 68% contre 32%, la majorité des collaborateurs sont managés par des femmes en totale réussite sur leur poste d’encadrement. Pour Stéphanie ROBIN, DRH du Groupe : « Même si le monde de l’édition logicielle reste un secteur encore difficile à féminiser, chez ELCIA, nous travaillons à plus de parité. C’est un chiffre clé pour l’entreprise, il souligne le fait que les femmes accèdent à des postes d’encadrement et de direction autant que leurs collègues masculins »Manageuses et heureuses ! Pour célébrer la Journée des droits des femmes, ChooseMyCompany (à l’origine notamment du Label HappyAtWork), a publié le WomenTop40, son classement des 40 meilleures entreprises de 100 à 500 salariés où les femmes sont les plus heureuses et engagées. ELCIA se classe à la 23ème place, sur plus de 678 entreprises dans la catégorie. Une vraie fierté !
Il y a 3 ans et 58 jours

L’OPPBTP intègre le think tank Cinov’action pour une meilleure prise en compte de la prévention par les acteurs du BTP

Pour ce faire, l’OPPBTP s’associe pour la première fois à la Fédération Cinov, représentative de la branche BETIC qui regroupe les métiers du conseil, de l’ingénierie et du numérique. Ce partenariat permettra à l’Organisme d’intégrer le think tank Cinov’action et ainsi contribuer aux réflexions et travaux collectifs menés avec tous les acteurs de la chaîne de valeur pour améliorer les conditions de travail des personnes intervenant dans le processus de construction.La prévention des risques, un enjeu de taille pour la maîtrise d’œuvre et la maîtrise d’ouvrageDans le cadre de ses missions, l’OPPBTP s’engage à accompagner l’ensemble des acteurs de la filière BTP, les entreprises de construction bien sûr, mais aussi les maîtres d’ouvrage, les maîtres d’œuvre et les coordonnateurs SPS.La crise sanitaire a mis la santé et la sécurité au travail au cœur des enjeux et des préoccupations de tous les acteurs de la construction. D’une part, la maîtrise d’œuvre a identifié des besoins de connaissance et de solutions opérationnelles en la matière. La crise a montré également l’intérêt de mieux intégrer les besoins de toute la chaîne de construction, jusqu’aux opérateurs et le fonctionnement du chantier. D’autre part, le rôle clé que doivent jouer les maîtres d’ouvrage (MOA) en santé et sécurité au travail a été mis en valeur fortement. Maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre, deux acteurs essentiels de la chaîne de valeur de la construction, doivent être pleinement en mesure d’appliquer les principes généraux de prévention et fournir les moyens nécessaires aux entreprises et salariés du BTP pour travailler en sécurité.Des métiers en pleine mutationEn parallèle, ces métiers sont sujets à d’importantes transformations en cours et à venir, d’un point de vue environnemental, technologique, sociétal et économique. Le climat, le numérique, les évolutions sociales peuvent être tout autant des opportunités que des freins. Conscient de ces profondes mutations, la Fédération Cinov, qui compte parmi ses adhérents 98 % des maîtres d’œuvre du BTP, a créé en 2016 le think tank Cinov’action. Celui-ci propose un cadre pérenne de travaux collectifs entre différents acteurs de la branche (industriels, entreprises, institutionnels, ingénieurs), afin d’anticiper les évolutions nécessaires de leurs métiers, de construire des collaborations porteuses d’innovation et de concevoir des solutions qui les fassent progresser. Une démarche qui fait écho à la troisième priorité stratégique du plan @Horizon 2025 de l’OPPBTP : réaliser l’ingénierie prévention des métiers de demain, avec l’objectif d’une prévention intégrée dès la conception, portée par l’innovation.Un partenariat inédit avec la Fédération CinovDans ce contexte, l’OPPBTP et la Fédération Cinov ont souhaité se rapprocher pour la première fois, en permettant à l’Organisme d’intégrer le think tank Cinov’action. L’adhésion de l’OPPBTP à Cinov’action a ainsi pour objectif d’agir auprès de la maîtrise d’œuvre et de la maîtrise d’ouvrage pour une meilleure prise en compte de la prévention dans le montage des opérations et une plus forte implication sur ces questions, en lien avec les Coordonnateurs Sécurité et Protection de la Santé (CSPS) et les entreprises.Dans le cadre de leur collaboration, l’OPPBTP participera à différents travaux, notamment :la contribution à un outil d’autodiagnostic des compétences à destination de la maîtrise d’œuvre, en intégrant un volet dédié à la santé-sécurité au travail ;le lancement de travaux pour élaborer une étude dédiée à l’évolution des métiers de la construction (nouveaux matériaux, contrainte environnementale, utilisation du digital...)L’implication de l’OPPBTP permettra de faire valoir la prévention des risques professionnels comme un point essentiel de la réflexion. L’objectif est de formuler des propositions qui seront portées auprès des instances nationales pour mieux accompagner les mutations du secteur. Pour Fréderic Lafage, Président de la fédération CINOV : « Convaincus que de nombreux métiers vont muter, que les méthodes de collaboration vont profondément évoluer, nous pensons qu’une des solutions passe par le décloisonnement des métiers et la mise en œuvre de réflexions avec l’ensemble des acteurs économiques de la chaîne de valeur. Seule cette approche élargie peut permettre d’anticiper et de répondre aux complexités auxquelles les professionnels et plus largement la société sont confrontées. Les sujets sur lesquels travaille Cinov’action sont liés à la nécessité de répondre aux enjeux qui découlent des transitions en cours et de s’adapter à l’incertitude de notre monde. L’arrivée de l’OPPBTP au sein de Cinov’action marque la volonté de prendre en compte la prévention comme un levier majeur d’efficacité et une nécessité à rechercher dans tout processus innovant. »Pour Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP : « Notre adhésion à Cinov’action va permettre à l’OPPBTP d’élargir le champ de ses actions en faveur de la prévention des risques au-delà de notre champ habituel d’entreprises adhérentes. Cinov’action et l’OPPBTP partagent une même analyse sur les enjeux auxquels la construction est confrontée, et sur les réponses pertinentes à y apporter, basées sur l’innovation, la coopération, l’amélioration des processus opérationnels. La maitrise d’œuvre doit jouer un rôle plus important dans le futur pour assurer un haut niveau de performance des opérations de construction, dont en santé et sécurité au travail. Car un chantier bien mené en prévention est un chantier bien mené en production ! » commente Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP. »
Il y a 3 ans et 58 jours

Une ferme hors-sol investit un parking en plein quartier défavorisé

La ferme Champerché a choisi ce parking de 1.300 mètres carrés au cœur du quartier défavorisé des Indes, à Sartrouville (Yvelines), pour installer ses cultures hors-sol, disposées sur quatre niveaux dans neuf vastes salles.Safia Zalagh, 54 ans, courts cheveux noirs plaqués par le gel, connaît bien ce parking. Dans sa jeunesse, elle y retrouvait ses copains "pour sortir, danser, s'occuper de ceux qui avaient trop bu. On avait aménagé l'espace, c'était confortable", se souvient en riant cette habitante du quartier.Champerché a pour ambition de développer la culture hors-sol pour montrer que cette solution, déjà testée à Paris dans une ferme de 42 m2, est viable à plus grande échelle. "On souhaite industrialiser la production donc la taille de l'endroit était déterminante", explique Guillaume Fuyet, un des trois frères fondateurs de l'entreprise, responsable de la recherche et du développement.Comment ce parking est-il passé d'un squat de jeunes à une ferme de culture hors-sol à la pointe de la technologie ?"On souhaitait s'installer dans les Yvelines car on y a vécu longtemps enfants, avec mes frères", présente Antoine Fuyet, directeur de Champerché. La fratrie a rencontré le maire de Sartrouville, Pierre Fond (LR), qui les a dirigés vers le quartier des Indes et le bailleur social 1001 vies habitat. Parking condamné"Avec le projet de démolition et de reconstruction" des immeubles, "il y a de l'espace disponible dans la cité", présente Nicolas Brunet, directeur régional du bailleur social. "Le parking était condamné depuis une quinzaine d'années car il y avait des dégradations."Avec l'installation de Champerché, "tout le monde est gagnant" estime le représentant du bailleur HLM. "C'est un projet qui a un sens social, qui n'est pas rejeté par les habitants."Durant les travaux, qui ont duré presqu'un an (réhabilitation, installation des étagères...), les riverains de la cité, intrigués, ont défilé devant la porte du parking pour en savoir plus."Avant même qu'on ouvre, on a reçu au moins 30 demandes d'embauche", se rappelle Grégoire Silva, trésorier de l'entreprise. A l'issue d'entretiens, six personnes sont embauchées, dont quatre vivent dans le quartier ou aux alentours.Safia a été recrutée en août, en tant qu'"agricultrice urbaine". "J'étais paysagère, planter des arbres je sais faire mais je n'avais jamais fait de semis", mime la dynamique quinquagénaire. Maintenant, lorsqu'elle fait des semis d'aneth, ses gestes sont assurés. "Ils m'ont tout appris, c'est une super équipe.""Dès le départ c'était notre volonté d'embaucher des personnes venues de la cité des Indes", explique Guillaume Fuyet, un des trois frères fondateurs de Champerché. Les nouvelles recrues ont mis la main à la pâte pour installer les cultures. "Les bacs, les robinets, c'est nous qui avons monté tout ça", raconte Safia en désignant les étagères où poussent ses précieuses salades.Des équipements nécessaires pour mettre en place une culture en bioponie : les racines des plantes baignent dans une solution d'eau et d'engrais "organique", sans pesticides."On y trouve des champignons, des bactéries... c'est ce qui donne du goût à nos produits, contrairement à la majorité des cultures hors-sol qui utilisent des solutions minérales et auxquelles on reproche de manquer de saveur", détaille Guillaume Fuyet.Le parking insalubre est devenu une fourmilière. Chaque jour basilic thaï, coriandre ou menthe sont récoltés puis livrés aux clients, des grandes surfaces ou des restaurateurs."J'ai présenté une certaine variété de menthe du Pérou, les restaurateurs sont demandeurs", présente passionnément Guillaume Ripoche, incollable sur les 60.000 plantes cultivées à Champerché. "Maintenant il faut que je produise !"
Il y a 3 ans et 58 jours

Résultats annuels 2021 amélioration de L’EBITDA

SUCCÈS DES PREMIERS RÉSULTATS DES CAMPAGNES DE PERFORMANCE ET PLAN DE MARCHE ENGAGÉ POUR UN RETOUR SUR LE MARCHÉ POUR L’HIVER 2023-2024  BOOSTHEAT (FR0011814938 / ALBOO), acteur industriel français de l’efficacité énergétique, publie ses résultats annuels 2021. Le Conseil d’administration de BOOSTHEAT, réuni le 14 avril 2022, a arrêté les comptes 2021. Le rapport relatif […]
Il y a 3 ans et 58 jours

Myral se fixe un objectif de 63 % de réduction d’impact carbone à l’horizon 2024

Une démarche environnementale entre actions et engagements Myral s’apprête à déployer une décarbonation massive, après plus de 10 ans de travail et de réflexion en faveur de la transition écologique et de la réduction des émissions de CO2 dans le bâtiment. Depuis sa création en 1987, Myral place les préoccupations environnementales au cœur de ses […]
Il y a 3 ans et 58 jours

Hörmann et Tubauto : un engagement environnement exemplaire pour des portes neutres en carbone

 Le Groupe Hörmann, leader européen dans la fabrication des portes, blocs-portes, huisseries et motorisations pour l’industrie, le tertiaire et l’habitat, s’est engagé depuis des années dans la sauvegarde du climat et de l’environnement. À l’heure de la RE2020 et de la réduction des émissions de carbone, Hörmann est déjà opérationnel avec des solutions neutres sur […]
Il y a 3 ans et 58 jours

Le Danemark présente son plan pour se passer de gaz russe

La Première ministre Mette Frederiksen avait fixé début mars un objectif de sortie du gaz russe "le plus vite possible", alors que l'UE réfléchit à un arrêt des achats à la Russie pour sanctionner Moscou.Le plan présenté mardi par l'exécutif danois prévoit notamment que la moitié des 400.000 foyers du pays qui se chauffent actuellement au gaz basculeront vers un raccordement au chauffage urbain ou vers les pompes à chaleur fonctionnant à l'électricité d'ici à 2028.Pour les foyers restants et l'industrie, le plan prévoit aussi un développement du biogaz d'origine renouvelable, "qui assurera que nous soyons libres de Poutine", a déclaré le ministre du Climat et de l'Energie Dan Jørgensen lors d'une conférence de presse.Le Danemark va également "étudier la possibilité d'anticiper et d'augmenter temporairement la production de gaz de mer du Nord sur les gisements déjà exploités", en "dialogue avec les acteurs du marché", a expliqué le gouvernement dans un communiqué.Le gouvernement danois a également dopé son plan de développement des énergies renouvelables, et prévoit désormais un quadruplement des centrales solaires et surtout de l'éolien terrestre, à horizon 2030.Le royaume scandinave est déjà un des grands champions européens de l'éolien, qui lui fournit actuellement environ la moitié de son électricité - le reste étant dominé par la biomasse et le charbon."Nous voulons développer les énergies renouvelables autant qu'il est possible de le faire de façon intelligente", a assuré Mme Frederiksen.Le gaz fournit environ 18% de l'énergie consommée au Danemark chaque année, selon les statistiques officielles. Une grande partie est longtemps venue des gisements du pays en mer du Nord, mais ceux-ci sont en rapide déclin.En 2019, la production nationale n'a permis que de couvrir 72% du gaz consommé dans le pays, selon l'Agence danoise de l'énergie.La Russie figure parmi les principaux fournisseurs des importations danoises et fournit environ 40 à 45% du gaz importé dans l'Union européenne.Les 27 mettent les bouchées doubles pour sortir du gaz russe, mais cet effort prendra plusieurs années selon les analystes.Le Danemark avait voté en 2020 l'arrêt complet de sa production de gaz en mer du Nord d'ici à 2050, devenant le premier producteur significatif d'hydrocarbures à fixer une date de fin d'exploitation.L'exécutif ne prévoit pas de renoncer à cette mesure, a-t-il indiqué mardi.
Il y a 3 ans et 58 jours

Malgré des carnets de commandes bien garnis, le bâtiment reste dans l'incertitude

CONJONCTURE. S'ils peuvent s'appuyer sur des carnets de commandes bien fournis, les professionnels du bâtiment ne semblent pas pour autant optimistes sur leurs prévisions d'activité. Le second-oeuvre s'avère mieux logé que le gros-oeuvre, quand les activités d'architecture et d'ingénierie demeurent très bien orientées.
Il y a 3 ans et 58 jours

70.000 bénéficiaires du contrat d'engagement jeune depuis son lancement en mars

D'une durée de six mois à un an et ciblé sur les 16-25 ans (29 pour ceux en situation de handicap), le CEJ a pris le relais de la Garantie jeunes avec la même rémunération mensuelle de 500 euros mais un accompagnement plus intensif de 15 à 20 heures par semaine.Parmi les jeunes entrés en CEJ mi-avril (45.000 à Pôle emploi et 25.000 en mission locale), 87% sont de niveau bac ou infra-bac. Plus de la moitié de ceux en mission locale sont sans diplôme, ce qui correspondent à la cible visée des jeunes peu ou pas qualifiés.Ils ont majoritairement moins de 21 ans et 30% résident en Quartier de la politique de la ville (QPV) ou en Zone de revitalisation rurale (ZRR). Au sein de Pôle emploi, 30% des jeunes en CEJ touchent plus de 500 euros d'allocation chômage par mois, ce qui semble indiquer que leur entrée n'était pas motivée par des raisons financières mais par la perspective d'un accompagnement plus personnalisé.Alors que la Garantie jeunes était uniquement opérée par les missions locales, le CEJ peut être aussi assumé par Pôle emploi, qui y a dédié 1.660 conseillers pouvant accompagner chacun 30 jeunes maximum.Le contrat conclu entre le jeune et son conseiller référent doit prévoir "une mise en activité soutenue et régulière" (notamment par des ateliers, des immersions en entreprise, des formations, des actions sociales) visant à orienter le jeune vers l'emploi ou l'alternance. Selon Pôle emploi, ce suivi monte en puissance et tourne autour de 15 heures par semaine.Le CEJ se veut "un droit ouvert" sans limites, mais le gouvernement estime qu'il pourrait concerner 400.000 jeunes par an.Selon l'Insee, le taux des 15-29 ans "ni en emploi, ni en études, ni en formation" était de 12,2% au 4e trimestre 2021, soit près de 1,5 million.Si Emmanuel Macron est réélu, il a indiqué son intention de refonder le RSA en s'inspirant du CEJ.