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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88082 résultats)
Il y a 3 ans et 51 jours

REDÉCOUVRIR LA VILLE ROSE - Livre

Attribuée à la Toulouse School of Economics, conçue par le duo irlandais pritzkerisé Grafton avec Vigneu & Zilio, l'Equerre d'argent 2020 aura notamment contribué à donner un coup de projecteur sur une ville dont on connaît trop peu la richesse architecturale. Pour le pire et le meilleur, Toulouse est en effet enfermée dans son […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 51 jours

L'Académie d'Architecture renoue avec ses prises de positions publiques

Le 8 mars dernier, l’Académie d’Architecture a rendu un rapport sur le Logement. Fruit du travail collectif effectué par les membres titulaires et associés de l’Académie d’Architecture : Patrick Céleste, Cloud de Grandpré, Catherine Jacquot, Pascale Joffroy, Roland Peylet et Bertrand Mathieu, il fait écho au plaidoyer du CNOA « Habitats, Villes, Territoires, l’architecture comme solution » mis en ligne en mars. Ces travaux s’adressent aux ministères, dans le but de faire...
Il y a 3 ans et 51 jours

Neuf morts dans un glissement de terrain à Bukavu en République démocratique du Congo

"A ce bilan s'ajoutent neuf blessés graves, cinq maisons complètement détruites et quatre véhicules endommagés", a précisé Bienfait Ngolombe, chargé de communication à la mairie de la ville.Selon lui, parmi les neuf morts figurent un bébé de huit mois, un jeune de 19 ans et une femme enceinte, dont "les maisons se sont effondrées et ont été englouties par la terre".Le bilan en fin de nuit était de deux morts, mais d'autres corps ont été retirés des décombres dans la journée de mardi.L'accident a eu lieu sur l'avenue Kadurhu, dans la commune de Kadutu de Bukavu, une ville dont les constructions s'étagent sur des collines, à la pointe sud du lac Kivu. Le lieu du sinistre, situé sur une forte pente exposée à l'érosion, est jugé impropre à la construction."Le danger est permanent, presque toutes les maisons proches du lieu du sinistre ont des fissures et les risques de glissement sont perceptibles dans presque toutes les parcelles", a déploré le chef de quartier, Faustin Buroko.M. Buroko."La population doit prendre conscience des risques auxquels elle s'expose en construisant sur de tels sites et le gouvernement devrait prendre des mesures", a-t-il ajouté, estimant à plus de 60 le nombre de ménages nécessitant une "relocalisation".Le gouverneur de province, Théo Ngwabidje Kasi, qui s'est rendu sur les lieux du sinistre, a dit avoir demandé au bourgmestre de Kadutu "d'identifier toutes les personnes qui ont construit à cet endroit". "Un délai leur sera accordé" avant que les autorités provinciales ne fassent procéder à la démolition des maisons, a-t-il déclaré.
Il y a 3 ans et 51 jours

A Rennes, accueillir plus d'habitants est un exercice d'équilibriste

"C'est pas New York ici!", "Non à la tour infernale !". A l'entrée de Rennes, une dizaine de banderoles accrochées aux façades de petites maisons expriment l'exaspération d'habitants face à l'arrivée d'une tour de 17 étages."Accueillir des gens, on n'a rien contre, ce qui nous dérange c'est la hauteur, on n'est plus dans le raisonnable", s'inquiète Benjamin Hubert, membre du collectif "L'Enchanteur désenchanté".Plus à l'est, un autre collectif, "Voir le ciel à Rennes", tente lui de "faire descendre" un projet d'immeuble de 15 étages. "On construit ce qu'on veut où on veut sans concertation, comme dans les années 1960. Les gens sont effarés par tant de béton, avec des maisons qui tombent comme des petits pains", s'emporte Philippe, riverain.Certains se plaignent aussi des embouteillages. "Je ne reconnais plus la ville à taille humaine où je suis née. Il n'y a plus de fluidité dans les transports, et les tensions montent entre les habitants", juge Françoise, 44 ans, membre du collectif Coudurr (collectif uni pour une densification urbaine rennaise raisonnée). Il réclame une pause des projets "défigurant les quartiers" et un débat public sur la "croissance folle de la métropole".Selon l'Insee, la métropole rennaise connaît une "forte croissance démographique" depuis 30 ans, et devrait compter 100.000 habitants supplémentaires en 2040. Face à ces prévisions et aux 22.000 demandes de logement social en attente, la métropole envisage 30.000 nouveaux logements d'ici 2028."La vraie question n'est pas de dire +il nous faut 30.000 logements+ mais de savoir jusqu'où on peut densifier une ville sans la rendre impossible à vivre", interroge Jean-Pierre Renault, président de l'association "Les amis du patrimoine rennais".Traumatisme"Rennes c'est aussi la vie de ses quartiers au tissu pavillonnaire important, où règne une certaine nonchalance. Or quand la ville se construit sur elle-même à toute vitesse, on peut faire des erreurs et ne pas toujours respecter l'harmonie avec l'environnement", poursuit cet architecte, qui craint une "monotonie des gabarits d'immeubles" et une "perte de repères" des habitants.Selon Alain Bénesteau, directeur de l'Audiar, l'agence d'urbanisme de Rennes, l'agglomération rennaise reste deux fois moins dense que sa cousine nantaise. "Le phénomène de décohabitation, avec les séparations et le départ d'étudiants du domicile parental, mais aussi le vieillissement de la population, font qu'on a besoin de davantage de logements à population égale", explique-t-il.A cela s'ajoutent une démographie dynamique et un solde migratoire positif dû à l'attractivité de la ville, qui conjugue faible taux de chômage et proximité avec le littoral et Paris grâce au TGV."Sur 5.000 nouveaux habitants annuels, 2.800 sont issus du solde naturel", martèle Marc Hervé, premier adjoint PS à l'urbanisme, rappelant que la densification concerne "une surface marginale, mais très visible car sur les grands axes"."Ce sont d'abord les Rennais qu'il faut loger, car les Franciliens ne représentent que 10% des transactions immobilières", assure l'élu. Il reconnaît que le développement à la verticale de la ville "peut constituer un traumatisme".Afin d'améliorer la concertation, une charte incite désormais les promoteurs à informer la population avant le dépôt du permis de construire."On essaye de satisfaire une partie des revendications", assure Marc Hervé.Face à la hausse des prix de l'immobilier à Rennes - +11% en un an dans l'ancien - pas question toutefois d'arrêter de construire. "Il faut que tout le monde puisse trouver un logement, notamment les bas revenus, car on a besoin de tous les métiers", prévient Jean-Yves Chapuis, ancien adjoint à l'urbanisme.Pour Ana Sohier, ex-élue UDB (Union démocratique bretonne, autonomistes) au patrimoine, "il faut réinterroger le concept des métropoles". "On concentre, puis on se plaint de la densification. Aujourd'hui la question se pose de mieux répartir l'activité économique pour mieux répartir les habitants", argumente-t-elle.
Il y a 3 ans et 51 jours

Les entreprises en campagne... pour recruter des apprentis

Au forum annuel de l'alternance mercredi 20 et jeudi 21 avril à la Cité des sciences àParis, une centaine d'exposants proposaient en vue de la rentrée prochaine quelque 6.600 offres en alternance, du CAP au Master."On a plus d'entreprises présentes qu'en 2019 - dernière édition en présentiel -, on a davantage d'offres de petites entreprises et dans plus de secteurs", témoigne Karine Leprat, conseillère emploi à la CCI Paris Île-de-France, organisatrice du salon.Ce constat local confirme l'engouement national pour l'apprentissage, avec 718.000 contrats signés en 2021, soit une hausse de 37% après déjà 42% en 2020.Pour Mme Leprat, si la réforme de 2018 a facilité l'accès des jeunes, l'apprentissage a été "clairement boosté" par les aides décidées pendant la crise du Covid, une prime de 5.000 euros pour un mineur et de 8.000 pour un majeur.Prolongées jusqu'à fin juin 2022, elles ont rendu le coût de la première année quasi nul pour l'employeur et évité un effondrement de l'embauche des jeunes."C'est flagrant, beaucoup d'entreprises se sont mises à l'alternance, notamment dans le supérieur", juge-t-elle. Avant la crise, l'aide était réservée aux entreprises de moins de 250 salariés recrutant des apprentis préparant un diplôme de niveau inférieur ou égal au bac, là où l'effet sur l'insertion professionnelle est le plus fort.Sur le salon, la plupart des entreprises l'admettent sans ambages. "Nos managers sont en demande d'alternants, ce sont des salariés performants qui ne coûtent pas cher. Et ils sont là pour une durée assez longue, souvent deux ans", souligne Chloé Drapier, elle même alternante en recrutement chez Center Parcs."Avec les aides, nous sommes passés de 100 alternants en 2019 à 200 cette année sur 1.000 recrutements", reconnaît Florence Hipolite, responsable recrutement chez Id Logistics."Crouler sous les demandes"Mais les employeurs y voient surtout un moyen de former de nouveaux salariés pour les fidéliser dans des secteurs sous tension."Nous avons de gros besoins de ressources avec une croissance à deux chiffres et nous voulons passer d'un taux de rétention (embauche à l'issue de l'alternance) de 40 à 50%", indique Mme Hipolite. "C'est pour tous nos métiers (RH, services administratifs, maintenance, logistique, transport...)", ajoute-t-elle.Sans les aides, "on aurait les mêmes objectifs d'alternants car on en a un a priori très positif", assure Caroline Monmarson, responsable RH Castorama en Île-de-France.Elle "croule sous les demandes" car "c'est un moyen très intéressant pour les jeunes de financer leurs études et d'avoir une expérience du monde du travail", explique-t-elle.Mais elle avoue avoir "de plus en plus de mal à recruter des jeunes plus exigeants sur les horaires, l'équilibre vie pro-vie privée, ce qui peut être compliqué dans le commerce".Présent pour la première fois, Fnac-Darty veut former en alternance, "300 techniciens électroménager" qui seront quasiment "tous ensuite embauchés", selon Pascal Rovaris, qui en coordonne les recrutements.Mais, en dépit des vidéos de témoignages qu'il a amenées sur son stand, il déplore que les jeunes recherchent davantage une alternance en informatique ou marketing que pour "un métier manuel encore dévalorisé".Si Aurélien Cadiou, président de l'Association nationale des apprentis de France, se réjouit que ces aides exceptionnelles aient permis "à des petites entreprises de découvrir l'apprentissage", il craint que les employeurs "qui en recruteraient parce que cela leur coûte moins cher qu'un stagiaire ne délaissent l'accompagnement".Selon une enquête de l'Observatoire de l'alternance menée fin 2021 auprès de 500 alternants, plus d'un quart d'entre eux indiquent ainsi ne pas avoir de tuteur en entreprise, pourtant obligatoire.
Il y a 3 ans et 51 jours

Santé-sécurité : plusieurs organisations du bâtiment renouvellent leur partenariat

RISQUES PROFESSIONNELS. La Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb), la Chambre nationale des artisans des travaux publics et du paysage (CNATP), l'Institut de recherche et d'innovation sur la santé et la sécurité au travail (Iris-ST) et l'Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics (OPPBTP) viennent de signer le renouvellement de leur convention de partenariat pour une durée de quatre ans. Détails.
Il y a 3 ans et 51 jours

Schneider Electric va vendre ses activités en Russie

CESSION. Le spécialiste des équipements et solutions pour l'énergie, Schneider Electric, a annoncé ce mercredi 27 avril vouloir se séparer de ses activités en Russie. Il prévoit de les vendre à l'équipe dirigeante locale.
Il y a 3 ans et 51 jours

Révision des prix : passe d'armes entre les bailleurs sociaux et les entreprises générales

SOLIDARITÉ. Dans un contexte économique difficile pour de nombreux acteurs, l'épineuse question de la révision généralisée des prix dans la filière construction a provoqué des étincelles entre l'Union sociale pour l'habitat (USH) et EGF-BTP (représentant les entreprises générales). Les deux parties s'expliquent auprès de Batiactu et appellent chacune à l'union du secteur face aux enjeux du logement.
Il y a 3 ans et 51 jours

Knauf Ceiling Solutions : 13 millions d'euros pour améliorer sa capacité de production

STRATÉGIE. Né en 2019 de plusieurs rachats dont celui d'Armstrong Ceiling Solutions, le fabricant de plafonds Knauf Ceiling Solutions a rapatrié des productions dans ses unités françaises et débloquer une enveloppe de plus de 10 millions d'euros pour améliorer ses process. Des initiatives révélatrices de ses ambitions.
Il y a 3 ans et 51 jours

Amélioration des moyens de lutte contre l’incendie à la cathédrale d’Amiens

Les travaux d’amélioration des moyens de défense et de lutte contre l’incendie à la cathédrale Notre-Dame d’Amiens, financés dans le cadre du « plan cathédrales » du plan de relance de l’État, débuté à l’automne 2021 se poursuivent sur un rythme soutenu. Le projet est divisé en deux tranches. La première, la tranche ferme, a débuté mi-octobre 2021 pour une durée de quatre mois avec un montant des opérations qui s’élève à environ 220 000 € et s’est achevée à la fin du mois de février 2022. La deuxième, la tranche optionnelle (TO1), qui a commencé début février, s’achèvera fin octobre 2022. Elle comprend l’installation d’une quatrième colonne sèche en tour Nord depuis le sol jusqu’en haut de la tour à 57 mètres, la création d’une échelle à crinoline à l’arrière de la tour Nord pour permettre un accès plus rapide des secours au chemin de ronde de la nef, un aménagement d’un accès direct aux combles du chœur depuis le chemin de ronde, la mise en place de deux murs coupe-feu supplémentaires dans le grand comble du vaisseau principal de la nef… Suivi des travaux – CRMH Hauts-de-France, site d’Amiens – ACMH : M. R. DUPLAT – Contrôle Scientifique et Technique (CST) : UDAP de la Somme – Bureau d’études techniques : AXIOME – Bureau de contrôle : BUREAU VÉRITAS CONSTRUCTION – Coordinateur Système de sécurité incendie (SSI) : HEXA INGÉNIERIE – Coordonnateur Sécurité et protection de la Santé (SPS): BUREAU VÉRITAS CONSTRUCTION – Entreprises : CHARPENTIER PM ; TEMPERE et SATELEC Drac des Hauts de France
Il y a 3 ans et 51 jours

Lames sur Tribord

Implanté port des Minimes, à La Rochelle, le centre Tribord Sailing Lab a été équipé de 18 modules (12 droits livrés montés ; 6 d’angle non montés) de brise-soleil à lames fixes en aile d’avion, posés en casquette contre les façades. Les lames en aluminium extrudé et usiné (57 longueurs et découpes ; 198 lames en coupe droite ; 54 en coupe d’angle) sont reprises sur structure porteuse métallique par visseries inox entre plats usinés (36 dimensions) en aluminium. Cette solution d’ombrage passive contribue à l’obtention de la certification Breeam du bâtiment dédié à l’univers nautique. Maîtrise d’ouvrage : Décathlon Maîtrise d’œuvre : groupe Essor Architecte : PVA Architecture Fabricant : Tellier Brise-Soleil Entreprise : CSI Réseau Miroiterie Mélusine
Il y a 3 ans et 51 jours

La crue de la Roya a mis au jour d’anciens moulins

À Saorge, dans la vallée de la Roya, les pluies diluviennes de la tempête Alex ont emporté végétation, chaussée, terrains bordiers et de nombreux aménagements, mais également mis au jour des vestiges : un ancien pont traversé de part en part un bâtiment voûté qui dateraient de la fin du XVIIIe. La crue a également nettoyé la façade d’un second bâtiment, enfouie sous les remblais, par les ouvertures duquel on distingue des espaces voûtés partiellement effondrés. La présence d’ouvertures à la base des murs ouvrant sur des chambres des eaux ne laisse aucun doute sur l’identification de ces bâtiments comme d’anciens moulins accolés et installés sous le pont. Deux moulins à grain, presque alignés, étaient charpentés et couverts de schistes ardoisiers rouges. Ils sont dotés de chambres des eaux, à l’aplomb des meules, où se trouvent les turbines. Le premier en possède trois qui sont couvertes de voûtes et dont les ouvertures donnent sur le mur gouttereau ; le second n’en a que deux qui se partagent un exutoire commun. Ces deux moulins étaient alimentés par un canal qui captait l’eau en amont de la rivière et à partir duquel la distribution était assurée par des déversoirs dotés de martelières. Les conduites forcées qui les reliaient aux chambres des eaux, situées quatre mètres plus bas, étaient probablement en bois. Ultérieurement, un troisième moulin a été édifié en contrebas, alimenté par un canal adjacent au premier moulin qui s’est retrouvé intégré dans son extension. La crue de la Roya, après avoir détruit ses murs pignons, en a lessivé l’intérieur. Une meule, bien que déplacée, a résisté au charriage et permet d’attester qu’il s’agit d’un moulin à huile. L’étude du sol, également irréguliers, et des voûtes sur lesquels il reposait, permet d’exclure la présence de chambre des eaux. Contrairement au moulin à grain, la transmission se fait par le dessus, le lien entre la turbine et la meule se faisant par le biais d’une série de grands engrenages en bois qui occupent tout l’espace au-dessus des cuves. Plusieurs petits bassins, destinés certainement à la décantation de l’huile, sont situés à l’extérieur, au-dessous du lit actuel de la rivière dont le niveau de l’eau était certainement plus bas à l’époque. Photo : Le couvrement du moulin bas, en partie une arche du pont. Au premier plan, la nappe phréatique dans la fosse creusée par la crue. © Bernard Sillano, Inrap Fouille de sauvetage prise en charge par le Conseil départemental des Alpes-Maritimes et la Drac PACA Responsable scientifique : Bernard Sillano, Inrap Équipe : Françoise Paone et Gerlinde Frommherz, Inrap Contrôle scientifique : Franck Sumera, Service régional de l’archéologie, Drac Provence-Alpes-Côte d’Azur
Il y a 3 ans et 52 jours

Étude annuelle sur les placements immobiliers : "40 ans de performances comparées – 1981-2021"

En couvrant 4 décennies complètes, marquées par quatre crises économiques majeures (krach obligataire et boursier d’octobre 1987, éclatement de la bulle internet au début des années 2000, crise des subprimes en 2008 entraînant la crise financière globale, choc brutal sur l’économie mondiale à partir de 2020 avec l’irruption de la crise sanitaire), l’étude de l’IEIF aboutit à des conclusions robustes sur l’évolution longue des principaux placements.Cette édition 2022, avec les caractéristiques des placements à fin 2021, couvre la période de rebond économique et mesure les impacts majeurs laissés par la crise pandémique sur l’univers des placements quant à la hiérarchie des actifs.Au préalable, l’étude 40 ans de performances fait le point sur les caractéristiques des patrimoines des ménages pour appréhender leurs attentes en matière de placements mais également l’évolution de leurs comportements d’épargne.Un surplus d’épargne financière toujours très élevé en FranceSelon la Banque de France, le surplus d’épargne financière des ménages, constitué sur deux ans (entre le premier trimestre 2020 et le quatrième trimestre 2021) calculé comme la différence entre les flux d’épargne financière observés et les flux qu’on aurait obtenus en prolongeant la tendance pré-Covid, est estimé à 175 milliards d’euros, après 113 milliards à fin 2020.En moyenne sur l’année, le taux d’épargne des ménages en France s’établit à 19,5% en 2021 selon l’Insee après 21,4% en 2020. Le taux d’épargne financière a également reculé : il s’établit à 8,7% en 2021 après 12,2% en 2020.En 2021, l’épargne financière s’est principalement portée sur les dépôts bancaires qui ont progressé de plus de 104 milliards d’euros : dépôts à vue et dépôts rémunérés dont les encours s’établissent respectivement à 672 milliards d’euros et 1.161 milliards d’euros à fin 2021. L’assurance-vie a progressé de 39 milliards d’euros et représente désormais un encours de 2.178 milliards d’euros.En lien avec les performances de 2021, la Bourse continue d’attirer un nombre croissant d’investisseurs : 1,6 million de particuliers ont passé un ordre d’achat ou de vente en 2021, dont 217.000 nouveaux entrants.Des classements de performances différents selon les périodesSur 5 ans (2016-2021) : les performances des locaux Industriels (couvrant la logistique et les locaux d’activité) sont particulièrement élevées, en raison de la forte appréciation des valeurs vénales de la Logistique sur la période. Alors que les Actions présentent un TRI 5 ans de plus de 10%, l’immobilier coté est en territoire négatif, en lien notamment avec le comportement en bourse des Foncières Commerces.Sur 10 ans (2011-2021) : les Actions sont en tête du classement des performances avec un TRI 10 ans de 12,4% devant l’immobilier direct : les locaux Industriels sont en deuxième place avec un TRI 10 ans de 11,4% suivis par les Bureaux (7,8 %) et les Commerces (7,2%).Sur 20 ans (2001-2021) : comme sur 15 ans, les Commerces sont nettement en haut du classement avec un TRI 20 ans de 17,6%, suivi par les Foncières (TRI 20 ans : 12,3%). Les autres actifs immobiliers direct se positionnent ensuite : les locaux Industriels (TRI 20 ans : 10,4%) puis les Bureaux (TRI 20 ans : 10,3%) et le Logement (TRI 20 ans : 10,1% pour le Logement France et 9,4% pour le Logement à Paris).Sur longue période : Sur 30 ans (1991-2021), les Actions et l’Immobilier coté délivrent des niveaux de performances comparables. Le Logement est particulièrement performant sur 30 ans et distance les autres classes d’actifs immobiliers. Les TRI des SCPI et des Bureaux sont très proches, en lien avec la forte exposition historique des SCPI aux Bureaux. Sur 40 ans (1981-2021), les placements en bourse sont les plus performants : les Actions devancent l’Immobilier coté de 2 points. Le Logement à Paris présente un TRI supérieur à 10% sur 40 ans. L’immobilier non coté présente des performances supérieures à celles des obligations.Un couple rendement/risque toujours attractif pour l’immobilier vis-à-vis des autres classes d’actifsDe part ces caractéristiques, l’immobilier se positionne à mi-chemin entre les actions d’une part et les obligations d’autre part et présente un couple rendement -risque attractif par rapport à ces 2 références. Les couples rendement-risque permettent de positionner les différents placements les uns par rapport aux autres selon les durées observées, en distinguant pour un niveau de risque comparable, les niveaux de performances obtenus des différents placements ou à niveau de performance comparable, les placements qui se révèlent plus volatils, donc plus risqués.Les Bureaux et le Logement présentent des performances et des niveaux de volatilité proches sur 5 ans et sur 10 ans. Sur 10 ans, les Actions distancent les Foncières avec une performance plus élevée et une volatilité nettement plus contenue. Sur 15 ans, Le Logement, les Bureaux et les SCPI présentent des performances supérieures à celles des Actions. Comparés au Logement et aux Bureaux, les Commerces sont sur des niveaux de volatilité proches mais délivrent des performances plus faibles que ce soit sur 5, 10 ou 15 ans. Sur 30 ans, le Logement France présente une performance légèrement supérieure à celles des actifs côtés, mais avec deux fois moins de volatilité.Sur 40 ans, les Actions présentent des niveaux de performances et de volatilités plus élevés que ceux des autres actifs.ConclusionPour Stéphanie Galiègue, Directrice Générale déléguée de l’IEIF : « les résultats de l’édition 2022 confirment ceux de 2021 avec une dichotomie plus forte entre les classes d’actifs immobiliers dont les performances sont les plus robustes à l’image de l’Industriel, (en particulier la Logistique) et du Logement (faible volatilité) et celles dont le modèle a été fragilisé par la crise sanitaire malgré le rebond économique qui a suivi : Bureaux, Commerces. Seulement, les performances des actifs sur les 40 dernières années ont été portées par un environnement économique mondial particulier : les prochaines décennies risquent d’être marquées par la déglobalisation, les échéances climatiques et le vieillissement de la population, dans un contexte de faible croissance économique et d’inflation élevée. Cela modifiera nécessairement la structure de l’économie, de l’épargne et donc le comportement des différents placements. »
Il y a 3 ans et 52 jours

Stratégie'Réno, un outil numérique gratuit pour mieux conseiller ses clients lors de travaux de rénovation

Gratuit, ergonomique, ce service permet en quelques clics de déterminer et prioriser les impacts de travaux de rénovation énergétique sur d’autres lots de travaux. Accessible sur www.strategiereno.fr, cet outil se transforme en application en créant un bouton d’accès directement sur l’écran d’accueil de votre smartphone.Des recommandations de travaux générées en quelques clicsLors d’une première visite chez un client, cet outil permet à un artisan ou une entreprise d’évaluer en quelques minutes, l’état et la performance de chaque composant du logement : isolation des murs, du plancher bas, de la toiture, menuiseries, système de chauffage, ECS ou de la ventilation, etc. Des questionnaires simples et rapides, le guide pas à pas dans ce process.A l’issue de cette évaluation, l’outil identifie et priorise automatiquement les impacts des travaux envisagés sur les autres lots du logement.Il dispose alors d’un rapport d’évaluation, incluant des recommandations de travaux argumentées qui pourront être partagées à son client.Une prise en compte de la typologie du bâtimentLe professionnel est également accompagné dans l’identification de la typologie du bâtiment. Une sélection de typologies lui est proposée en fonction de la localisation du chantier et de la période constructive. L’outil s’appuie sur une base de données qualifiant 67 typologies de maisons individuelles et de logements collectifs. Cette étape permet de prendre en compte les spécificités du bâti dans l’établissement des recommandations de travaux.Un accès rapide à une bibliothèque techniqueUne bibliothèque technique permet d’accéder rapidement à des éléments clés sur les solutions de rénovation possibles, ainsi que sur les typologies de bâtiment rencontrés. Pour chaque solution technique possible, le professionnel retrouvera notamment les avantages de la solution, les diagnostics préalables à anticiper, les performances minimales recommandées, les points de vigilance à connaitre, etc.Pour chacune des 67 typologies de maisons individuelles ou de logement collectif, le professionnel retrouvera une présentation de leur représentativité et poids énergétique, de leur caractéristiques urbaines, architecturales et constructives, des risques à évaluer, ainsi que des stratégies de rénovation possibles.Cet outil a été élaboré de manière concertée avec les organisations professionnelles du bâtiment (CAPEB et FFB) et les pouvoirs publics (ADEME et DHUP), sous le pilotage de l’Agence Qualité Construction (AQC).
Il y a 3 ans et 52 jours

La chimie parie sur les chaudières biomasse pour se décarboner et se détacher du gaz

Le plan de Relance a permis d'accélérer les projets de décarbonation de l'industrie chimique qui compte notamment sur les chaudières biomasse pour se passer des combustibles fossiles, a indiqué France Chimie le 20 avril.
Il y a 3 ans et 52 jours

Wienerberger France mobilise ses salariés à l'occasion de la journée de la terre

Le 22 avril, journée internationale de la terre, sera l'occasion pour Wienerberger France de mobiliser ses salariés sur des actions liés à la décarbonation, l'économie circulaire et la biodiversité.
Il y a 3 ans et 52 jours

La section aérienne de la ligne 17 du Grand Paris Express confiée à NGE Génie Civil

La Société du Grand Paris a attribué à un groupement dont le mandataire est NGE Génie Civil le marché de génie-civil et d’aménagement de la section aérienne de la ligne 17 du Grand Paris Express.
Il y a 3 ans et 52 jours

Crise de l'énergie : "100% de nos fours fonctionnent", J-B. Fayet, (Terreal)

INTERVIEW. Jean-Baptiste Fayet, directeur général de Terreal, fabricant de solutions en terre cuite, nous a accordé un entretien pour faire le point sur l'entreprise, après l'annonce de la fermeture de quelques fours en mars dernier. Comme d'autres sociétés de cette filière, Terreal est confrontée à une hausse de la demande et à une explosion des prix de l'énergie.
Il y a 3 ans et 52 jours

A l'approche des législatives, le bâtiment adresse 85 propositions aux candidats pour une « France, terre de bâtisseurs »

Ce document couvre tous les champs législatifs qui impactent le quotidien des entreprises : urbanisme, fiscalité, droit du travail, développement des compétences, marchés, etc…Ces propositions s’articulent autour de 16 priorités : Soutenir l’accession à la propriétéConcilier le « zéro artificialisation nette » (ZAN) des sols et les besoins de développement des territoiresTenir compte des contrats d’apprentissage déjà en cours dans l’entreprise au titre de l’insertionInstaurer le permis déclaratif en lotissement et en zone d’aménagement concertéGénéraliser la dématérialisation de l’instruction des demandes d’autorisation d’urbanismeAutoriser la publicité sur les bâches de chantier pour financer la rénovationLimiter la durée de l’activité en microentrepriseLutter contre le dumping social et le travail illégalLever les freins au recrutementDécourager la permittence des intérimairesInstaurer un moratoire sur les « zones à faibles émissions mobilité » et accompagner les entreprisesAlléger la charge fiscale pour les TPELimiter la sous-traitance dans les marchés de travauxModifier les règles sur les variations de prixCompenser les surcoûts liés à la RE2020Encourager davantage la rénovation globalePour Olivier Salleron, président de la FFB : « Toutes les mesures fléchées vers le bâtiment depuis 5 ans, ont connu une traduction positive en termes d'emploi, de relance de la croissance, d'innovation et de hausse du pouvoir d'achat pour des centaines de milliers de français. Ces nouvelles propositions ont toutes un seul et même objectif : rappeler que la France est d'abord et avant tout une terre de bâtisseurs. C'est ce qui lui donne sa puissance, son identité, son équilibre territorial ! »Téléchargez les 85 propositions de la FFB en cliquant ici (PDF 6,3 MB).
Il y a 3 ans et 52 jours

Le Groupe HPG accroît ses capacités de production de menuiseries aluminium

Alu PréférenceMarque du Groupe dédiée à la fabrication de menuiseries aluminium, Alu Préférence s’adresse aux négoces spécialistes et généralistes. Aujourd’hui, Alu Préférence augmente de nouveau ses capacités de production. Après avoir mis en oeuvre en 2019 un investissement lui ayant permis d’accroître ses capacités de production de 30%, Alu Préférence va intégrer en son giron Espace Aluminium. Cette filiale d’HPG située à St André de Cubzac, à proximité du site historique d’Alu Préférence, permettra d’étendre les capacités de cette dernière de 30% à partir de l’été 2022. La marque Alu Préférence se dotera ainsi des moyens lui permettant de répondre au mieux à la demande de ses clients.BieberUn nouvel atelier de production de menuiseries aluminium, opérationnel dès l’été 2022, va être créé sur le site historique de la marque basé à Waldhambach, en Alsace. À cette occasion, Bieber prévoit de recruter une trentaine de personnes. En regroupant l’ensemble des productions de la marque sur un seul site, Bieber se dotera des moyens lui permettant d’accompagner au plus près ses clients.Le Groupe HPG en quelques chiffresLe Groupe HPG est un industriel français de référence dans le secteur de la menuiserie extérieure. C'est au travers de ses quatre marques commerciales, Préfal, Préfalu, Alu Préférence et Bieber qu'il évolue sur ce marché depuis 1989. Avec près de 10 usines de production réparties sur tout le territoire français, le Groupe HPG réalise un chiffre d'affaires de 140 millions d'euros et regroupe plus de 600 collaborateurs.
Il y a 3 ans et 52 jours

Antoine Renaux nommé directeur des opérations WICONA France

Cinq ans après avoir rejoint le groupe Hydro Building Systems, en tant que Responsable Technique en charge des services support : méthodes / projets / amélioration continue, maintenance, HSE et Qualité des sites industriels et logistiques WICONA France, implantés à Courmelles, dans l’Aisne (02), au sud de Soissons, et à Bonneuil-sur-Marne (94), Antoine Renaux prend la Direction des Opérations des deux sites et succède ainsi à Michel Bafoil. Précédemment, cet ingénieur diplômé de l’ENSIAME et d’un master en administration des entreprises, obtenu à l’IAE de Valenciennes, a travaillé durant six ans, de 2011 à 2017, pour Le Creuset. Il a notamment piloté l’installation des nouvelles lignes de production du leader mondial des cocottes en fonte émaillée en tant que chef de projet. Antoine Renaux a commencé sa carrière dans le secteur automobile, où il a successivement occupé les postes de chargé de projet, chef de projet et responsable manufacturing pour différents constructeurs et fournisseurs de rang 1 de 2005 à 2011. La nomination d’Antoine Renaux s’inscrit dans une réorganisation interne plus large visant à développer les « Opérations » du concepteur-gammiste pour préparer l’avenir, anticiper l’augmentation des volumes sur le site industriel et logistique de Courmelles et mieux répondre aux besoins des clients. Un Master Plan pour préparer l’avenir Cette réorganisation se traduit par la mise en place d’une feuille de route, synthétisée dans un Master Plan qui se déploiera jusqu’en 2026, et dont Antoine Renaux est le chef d’orchestre pour les sites de production WICONA de France. Cette démarche d’amélioration continue se traduit par le renforcement de l’équipe de direction du site de Courmelles avec la nomination de quatre responsables : un responsable Technique, un responsable Production, un responsable Chaine logistique et un responsable HSE pour un pilotage optimisé, plus réactif, et au plus près du terrain. Les postes sont actuellement ouverts. Cette organisation RH fait écho à une réorganisation au sein du groupe Hydro Building Systems, selon laquelle toutes les usines du groupe en Europe sont appelées à fonctionner de manière plus autonome, à gérer leurs propres approvisionnements et sourcing pour gagner en réactivité. Elles sont désormais toutes rattachées à Gøte Nordh, Vice-Président des opérations Europe. Cette nouvelle organisation a pour objectif de favoriser une meilleure coopération entre les usines du groupe, renforcer les synergies, et partager les bonnes pratiques. Pour faire face au développement du volume de ses activités, WICONA France a par ailleurs validé la modernisation et l’agrandissement de son site de Courmelles.  La construction d’un bâtiment de 2 500 m2 jouxtant le grand hall portera à 21 700 m2 l’ensemble. L’extension permettra de : Redéployer et automatiser certaines activités pour faciliter le travail des techniciens. Améliorer la sécurité des équipes et la qualité de service offerte, notamment en répondant aux besoins exprimés par les clients. Les travaux d’agrandissement doivent commencer cette année et le projet devrait s’étaler sur 4 ans.
Il y a 3 ans et 52 jours

Lilian Daurie devient directeur du développement du groupe Vega

Lilian Daurie, nouveau directeur du développement du groupe Vega. [©Groupe Vega] Spécialiste de la fabrication de mortiers et d’enduits, le groupe Vega annonce la nomination de Lilian Daurie au poste de directeur du développement. L’ancien directeur général opérationnel de l’industriel Saint-Astier sera chargé de stimuler la croissance de Vega autour de la thématique de la rénovation. Fort de 13 années d’expérience dans le secteur du bâtiment, Lilian Daurie participera à l’essor du groupe au travers d’actions et d’investissements organiques et externes. « C’est avec un grand plaisir que j’intègre le groupe Vega qui, en plus de son expérience prouvée dans le secteur du bâtiment, incarne des valeurs familiales et humaines dans lesquelles je me retrouve », témoigne Lilian Daurie.
Il y a 3 ans et 52 jours

Crédits immobiliers : les taux s'envolent, les refus de prêts aussi

FINANCEMENT DE PROJETS. Depuis le début de l'année, les conditions d'accès au crédit se sont fortement durcies. L'étau se resserre sur les emprunteurs, entre des taux d'emprunts qui augmentent et un taux d'usure légal qui, lui, évolue beaucoup plus lentement. Les banques sont plus regardantes sur la localisation et la qualité des biens achetés.
Il y a 3 ans et 52 jours

Zehnder ComfoTube Therm, nouvelle gaines de ventilation double-flux isolées

Adaptées au chauffage en hiver et au rafraîchissement sur l’air en été, les nouvelles gaines de ventilation isolées Zehnder ComfoTube Therm 90 et Zehnder ComfoTube Therm flat 51 offrent non seulement aux bâtiments performants une solution limitant les pertes de charge et les déperditions thermiques, mais évitent également la condensation générée par de trop grands écarts de température.Performances thermiques élevéesLes solutions de ventilation double-flux Zehnder récupèrent la fraîcheur en été et la chaleur en hiver. S’adaptant automatiquement, elles constituent un moyen durable pour créer un climat intérieur sain et confortable dans une habitation en toute saison. Dotées d’une couche extérieure d’isolation d’une épaisseur de 9 mm en caoutchouc cellulaire, les nouvelles gammes de gaines semi-rigides en PEHD Zehnder Comfotube Therm 90 et Zehnder Comfotube Therm flat 51(de forme oblongue et extra plate) participent aux performances thermiques du système de ventilation.Isolées, ces nouvelles gaines permettent de limiter les pertes de charge, d’éviter la condensation, mais également de réduire les déperditions thermiques liées au réseau, entre la batterie et le soufflage à la bouche. Elles sont particulièrement adaptées aux longueurs de gaines réduites (inférieures à 10 mètres) grâce à leur bonne conductivité thermique : λ=0,035 W/m*K à 20°C.FlexiblesLa couche d’isolation n’étant pas collée, les gaines de ventilation conservent tout leur rayon de courbure afin de s’intégrer facilement à l’architecture du bâtiment (en faux- plafond, au sol ou derrière des cloisons).DurablesLes nouvelles gaines isolées sont constituées d’une paroi extérieure ondulée et d’une paroi intérieure lisse, Clinside, favorisant le nettoyage à plus de 98% et garantissant la durabilité de l’ensemble. Sans couture, la couche d’isolation ne risque pas de se détacher dans le temps.Montage simple et rapideLivrées isolées, les gaines Zehnder Comfotube Therm et Zehnder Comfotube Therm flat 51 sont prêtes à installer et ne nécessitent ainsi pas de temps de main d’œuvre supplémentaire.Les manchons de raccordement isolés Zehnder ComfoFit Therm en polypropylène expansé complètent cette offre réseau afin de réaliser des connections sans pont thermique.Avec cette nouvelle offre complète de réseaux isolés, Zehnder pense à la fois au confort des habitants en toute saison mais aussi à celui des installateurs lors de la pose du système de ventilation double-flux.
Il y a 3 ans et 52 jours

L'architecte britannique Norman Foster propose de reconstruire la ville de Kharkiv en Ukraine

La Fondation de l'architecte de 86 ans a indiqué que Norman Foster s'était entretenu lundi 18 avril par visioconférence avec Igor Terekhov, le maire de la deuxième ville d'Ukraine située dans l'Est.M. Foster lui a présenté un plan pour reconstruire sa ville, connue pour son architecture dans le style Art nouveau et dont le quart des bâtiments ont été détruits depuis que la Russie a envahi l'Ukraine le 24 février.Située près de la frontière avec la Russie, la ville de Kharkiv a été le théâtre d'âpres combats au début de l'offensive russe mais est restée sous contrôle ukrainien.M. Foster a assuré vouloir "rassembler les meilleurs esprits avec les meilleurs talents du monde en termes de planification, d'architecture, de design et d'ingénierie", afin de commencer à travailler "immédiatement" pour permettre "la renaissance de la ville de Kharkiv".Il a affirmé que la première étape constituerait à dessiner un plan pour une "ville du futur", qui "combinerait l'héritage du passé le plus apprécié et vénéré avec des infrastructures et des bâtiments les plus désirables et écologiques".Dans des extraits vidéo de l'entretien publiés par les autorités de la ville mercredi, Igor Terekhov a affirmé à Norman Foster, en russe, "avoir vu (son) travail et vouloir vraiment voir ce style nouveau, progressif, dans notre ville"."J'aimerais que nous ayons un centre-ville qui devienne un des points forts de l'Europe", a encore dit le maire.Selon lui, quelque 25% des bâtiments de la ville ont été détruits et Kharkiv a besoin de nouveaux hôpitaux, de nouvelles écoles et crèches ainsi que de bureaux pour son secteur de la tech en plein essor.Tous ces bâtiments doivent être équipés d'abris antibombes, a-t-il précisé, soulignant que les immeubles résidentiels devraient aussi avoir des parkings souterrains ayant une "double fonction" et pouvant être convertis en abri en cas d'urgence.
Il y a 3 ans et 52 jours

Oise : la restauration de la tour N à Beauvais prendra fin en juin 2022

Près de 4 millions d’euros sont alloués au projet de rénovation de la tour N dans le quartier Saint-Lucien à Beauvais.
Il y a 3 ans et 52 jours

Pyrénées-Atlantiques : un nouveau quartier de 120 logements à l’îlot des Quatre Cantons à Anglet en 2025

À Anglet (Pyrénées-Atlantiques), un habitat éco-exemplaire comprenant 120 logements sera construit sur un foncier de 2,2 hectares au cœur d’un quartier pavillonnaire des Quatre Cantons.
Il y a 3 ans et 52 jours

POLYTER, pour l’agriculture et la reforestation , un antidote au dérèglement climatique

Alors que les scientifiques du GIEC ont alerté sur l’accélération du réchauffement climatique (source), l’Union africaine et 11 pays du continent se sont lancés dans un projet titanesque : la Grande Muraille Verte de Dakar à Djibouti. L’objectif est de stopper la désertification du Sahel en restaurant 100 millions d’hectares de terres dégradées. Lancée en […]
Il y a 3 ans et 52 jours

Sur la future ligne 18 du Grand Paris Express, le tunnelier Caroline entre en gare

Employés du groupement Vinci-Spie, responsables de la Société du Grand Paris (SGP) ou élus, les 120 invités, installés à 30 m de la paroi à démolir, ont vu le bout du tunnel au bout d'une heure.Progressivement, la roue de coupe de Caroline, un monstre de 9 m de diamètre pour 110 tonnes fabriqué en Allemagne, a montré ses dents et mollettes derrière la paroi de béton prévue pour être facilement détruite, et méthodiquement laminée.Placés sous la protection de Sainte-Barbe, dont la statue est présente sur le chantier, les compagnons, qui ont le statut de mineurs, baptisent toujours les tunneliers d'un prénom féminin.Les débris ont commencé à tomber dans un bruit sourd. Progressivement déshabillée, l'ossature en fibre de verre a perdu pièce par pièce avant un final prévisible, l'écroulement de la paroi en deux temps.Depuis l'aurore, Caroline avait parcouru les deux derniers mètres pour entrer dans la "boîte-gare" de 23 m de profondeur et 65 m de long, future gare d'Antonypole qui doit accueillir à terme 12.000 voyageurs par jour.Des ouvriers ont hissé le drapeau de leurs entreprises entre les pales du tunnelier, mis au repos forcé pendant 36 heures, le temps de nettoyer la scène. "C'est un aboutissement, surtout que ça part de rien", savoure Christophe Orain, un ingénieur qui salue "une aventure humaine avec des machines révolutionnaires".15 m par jourL'arrivée de Caroline est un "gros événement: c'est le premier percement d'un tunnel dans une gare sur la ligne" 18, souligne Vianney Elzière, directeur de projet de la ligne. Mais il faudra patienter jusqu'à 2027 pour voir les trains circuler sur ce tronçon du Grand Paris express, constitué de quatre nouvelles lignes de métro (15, 16, 17 et 18) desservant la proche et la grande couronne.Lancé en décembre 2021, Caroline a creusé environ 800 m depuis sa base de départ de Massy (Essonne), à un rythme de 15 m par jour, pauses comprises. Le creusement d'une terre argileuse, et donc peu capricieuse, s'étant déroulé sans encombre, la première étape a été bouclée avec deux semaines d'avance. Mais devant les 5,2 km restant à parcourir jusqu'à Orly, M. Elzière veut "rester humble et modeste face à la nature".Au départ du tunnel, les chiffres donnent le tournis: 150 camions par jour pour évacuer les 9 fosses de déblai de 1.000 m2 chacune, deux silos d'accès de 36 mètres de profondeur pour 27 m de diamètre...Dans le tunnel, environ 2.500 voussoirs, ces morceaux de voûte pesant 7 tonnes chacun, ont été posés à un rythme d'une demi-heure par anneau de deux mètres. A l'intérieur de la jupe du tunnelier, situé à l'arrière de la roue et du bouclier qui garantit l'étanchéité, ils sont amenés par l'érecteur et fixés par deux ouvriers.Horizon 2030Dans le même mouvement, la terre forée, fluidifiée par une mousse, est évacuée via la vis d'extraction sur un tapis qui s'étire avec le tunnelier, long de 100 m dans sa version allongée. Quand Caroline atteindra Orly, le tapis convoyeur fera donc 6 km de long...Dans sa cabine, Giuseppe Sanchez fait avancer Caroline à l'aide de vérins hydrauliques de 6 m de long qui se propulsent sur les anneaux déjà posés. "Si je mets plus de pression vers la gauche, la direction bouge", explique le pilote qui s'oriente avec une cible millimétrée dont il doit dévier le moins possible.Les sept voussoirs d'un même anneau posés à l'intérieur de la jupe, la machine redémarre. Le vide créé par l'avancée du train est comblé par du mortier injecté entre le béton et la terre afin de consolider l'ouvrage. Entamée en 2020, la ligne 18 doit relier à l'horizon 2030 l'aéroport d'Orly à Versailles, à travers dix gares de la grande couronne pour un budget de 4,4 milliards d'euros, selon M. Elzière.A Massy, les travaux suscitent "plus une gêne qu'un enthousiasme" chez les habitants, reconnaît le maire (UDI) Nicolas Samsoen. "Mais ils savent que ça va changer leur vie."
Il y a 3 ans et 52 jours

La BnF Richelieu annonce sa réouverture en septembre

Cette réouverture "coïncide avec le tricentenaire de sa première installation dans l'ancien palais Mazarin, en 1721-1722", a-t-elle ajouté.La date choisie est le week-end des Journées européennes du patrimoine, les 17 et 18 septembre.Les visiteurs découvriront alors un nouveau jardin, rue Vivienne, qui "valorisera un ensemble de plantes papyrifères" dans un quartier peu pourvu en espaces verts, mais également un musée flambant neuf offrant quelques trésors des collections de la Bibliothèque comme des vases grecs ou le trône du roi Dagobert."Ces salles, dont certaines étaient accessibles au public, n'étaient pas pensées comme un musée. Cette fois, c'est exposé et ouvert à tous, des endroits exceptionnels comme l'ancienne salle de lecture du Cabinet des médailles, le Cabinet Louis XV", a expliqué à l'AFP la présidente de la BnF, Laurence Engel.Cet immense ensemble architectural, qui nécessitait une vaste remise aux normes, a été entièrement repensé pour le rendre plus ouvert, fonctionnel et aéré.Après l'ouverture en 1998 d'un autre site pour la BnF, la Bibliothèque François-Mitterand dans le 13e arrondissement, Richelieu a été réservé à des départements spécialisés : Manuscrits, Estampes et photographie, Monnaies, médailles et antiques, Arts du spectacle et musique, Cartes et plans.Si les chercheurs sont les utilisateurs historiques de cette bibliothèque, le grand public sera appelé à fréquenter sa majestueuse salle de lecture, la salle Ovale, pour y feuilleter entre autres 9.000 bandes dessinées en accès libre.Les travaux ont coûté 248 millions d'euros, indique le site internet de la BnF.
Il y a 3 ans et 52 jours

Un cadre hospitalier à Marseille jugé pour favoritisme

"Un système à la marseillaise marqué par une proximité inadaptée et illégale entre un agent public et un entrepreneur ami" : c'est ce qu'a dénoncé lundi le procureur du tribunal correctionnel de Marseille.Le prévenu, poursuivi pour prise illégale d'intérêts, favoritisme et recel d'abus de biens sociaux, était responsable des services techniques de l'hôpital psychiatrique Edouard-Toulouse à Marseille.De 2007 à 2011, le prévenu avait signé pour 1,2 million d'euros de contrats au profit d'une société, D2G Construction, dans laquelle il détenait un quart des parts. Parmi eux, ce sont trois marchés publics d'un montant global de 547.000 euros que le tribunal a disséqués. Le gérant de la société attributaire de ces contrats avec l'hôpital ne disposait d'aucun salarié ni même de matériel. Il faisait travailler un sous-traitant qui a reconnu n'employer que des salariés non déclarés, recrutés à la journée devant des distributeurs de matériaux et payés cent euros la journée pour un maçon, soixante euros pour un manœuvre.Contre le gérant de D2G Construction, le procureur a également réclamé deux ans de prison avec sursis, une amende de 20.000 euros et une exclusion durant cinq ans des marchés publics. Une amende de 50.000 euros a été requise contre la société D2G Construction, aujourd'hui en sommeil.A la barre, le cadre hospitalier recruté en 2003 par l'hôpital a reconnu avoir été "négligent".Selon le procureur, le responsable des services techniques faisait bénéficier son ami entrepreneur d'informations privilégiées permettant à D2G Construction de déposer des offres très offensives. Pour le chantier de rénovation des sanitaires d'un pavillon estimé à 250.000 euros, la société avait par exemple remporté le marché avec une offre inférieure de 100.000 euros.Dénonçant des "petits arrangements entre amis", l'avocate du centre hospitalier a évoqué "une trahison" et réclamé 100.000 euros de dommages et intérêts.Me Bernard Hini a plaidé "l'absence d'intention délictuelle" de son client, "un homme d'une parfaite honnêteté, bardé de diplômes", qui aurait fait l'objet d'une vengeance après avoir conduit une enquête sur des malversations commises par deux cadres de l'hôpital.Le tribunal rendra sa décision le 23 mai.
Il y a 3 ans et 52 jours

Le Syndicat national du béton prêt à l’emploi (SNBPE) poursuit ses actions de découverte des métiers de la filière béton

Une vingtaine de futur(e)s ingénieur(e)s (3ème année en Génie Civil et 1ère année en prépa) a pu ainsi découvrir sur le terrain le fonctionnement d’une chaîne de production de béton dans sa globalité : de l’activité d’extraction à celle de production du béton préfabriqué et prêt à l’emploi, en passant par l’observation du front de taille, la manœuvre des engins et une visite du laboratoire où se poursuivent des travaux sur la résistance des matériaux, les bétons bas carbone, les bétons à hautes performances, le recyclage et la valorisation des granulats… Polytech Marseille propose à ses élèves un projet pédagogique vertueux. Pour aider les étudiants de première année de classe préparatoire intégrée de l'école dans le choix de leurs futures spécialisations, chaque département met en place des actions pour les présenter. Le département génie civil propose des visites de sites industriels de l'univers de la construction et s'associe au SNBPE pour faire découvrir, aux futurs ingénieurs, les acteurs du premier maillon de l'acte de construire. Des étudiants de 3ème année génie civil accompagnent, dans cette démarche, des élèves de 1ère année de classe préparatoire, en leur faisant profiter de leur expérience récemment acquise.Le SNBPE : un engagement permanent auprès des étudiants et des établissements d’enseignement pour la valorisation des métiers de la filière bétonCe type de journée pédagogique s’inscrit dans la volonté du SNBPE de mieux faire découvrir l’ensemble des métiers liés à la production du béton avec une approche terrain de partage des compétences et d’expérience des professionnels du secteur. C’est aussi l’occasion de sensibiliser les étudiants quant aux démarches éco-responsables pratiquées par des industriels toujours plus vertueux.
Il y a 3 ans et 52 jours

En vue des législatives, le bâtiment demande à améliorer le quotidien de ses entreprises

ÉLECTIONS. L'échéance de la présidentielle passée, le secteur de la construction a décidé de maintenir sa mobilisation en vue du scrutin des législatives, prévu les 12 et 19 juin. Ce sont pas moins de 85 propositions que la Fédération française du bâtiment a ainsi publié à destination des candidats, avec comme ligne directrice la volonté de simplifier le quotidien des entreprises.
Il y a 3 ans et 52 jours

Découvrez les lauréats du prestigieux prix Mies van der Rohe 2022

CONCOURS. Deux agences d'architecture européennes ont remporté les prix du concours Mies van der Rohe cette année. Un établissement universitaire et un bâtiment de logements collectifs ont été récompensés.
Il y a 3 ans et 52 jours

Comment valoriser la frugalité des projets immobiliers ?

PROFESSIONS IMMOBILIÈRES. L'Ecole supérieure des professions immobilières s'est penchée sur la question de la frugalité dans l'immobilier, avec une première conférence sur le financement des opération frugales qui s'est tenue à Bordeaux, où le label Bâtiment frugal bordelais fait désormais référence.
Il y a 3 ans et 52 jours

Que prévoit le projet de cahier des charges des éco-organismes de la filière REP bâtiment?

RECYCLAGE. Attendu depuis plusieurs mois, le projet d'arrêté ministériel concernant le cahier des charges des éco-organismes de la filière REP bâtiment a été publié. Il est soumis à consultation jusqu'au 16 mai 2022.
Il y a 3 ans et 52 jours

REP Bâtiment : l'arrêté sur les obligations des éco-organismes enfin en consultation publique

Le ministère de la Transition écologique a mis en consultation, du 25 avril au 16 mai, un projet d'arrêté relatif au cahier des charges des éco-organismes qui seront agréés dans le cadre de la responsabilité élargie des producteurs (REP) pour la filière du bâtiment, créée par la loi Agec.
Il y a 3 ans et 52 jours

Le bâtiment salue la réélection d'Emmanuel Macron mais attend plus de mesures pour le secteur lors de ce second quinquennat

Alors que la crainte de voir passer l'extrême-droite au pouvoir s'intensifiait chez de nombreux français, Emmanuel Macron a finalement été réélu le 24 avril. Lors de son discours de victoire, il déclarait « Votre vote m'oblige » en déclarant avoir conscience qu'une partie des votes en sa faveur étaient des votes contre le parti de Marine Le Pen.Le président pourrait potentiellement modifier sa ligne politique par rapport à son précédent mandat. Il avait notamment annoncé la possibilité de nommer un Premier Ministre chargé de la planification écologique, une mesure tirée du programme du candidat de l'Union Populaire, Jean-Luc Mélenchon. Cette décision, si elle vient à être appliquée, peut signifier de nombreux changements pour le secteur du BTP mais aussi de l'énergie ou de l'immobilier.Lors du débat du second tour, Emmanuel Macron avait déjà annoncé vouloir accéler le rythme de la transition écologique en France et il a réitéré cette intention devant ses partisans au soir des résultats de l'élection en déclarant « Faire de la France une grande nation écologique, c'est notre projet », affichant une volonté de « baisser de 40% notre consommation d'ici 2050 ».Le président souhaite s'appuyer sur le création de 6 à 14 nouveaux réacteurs EPR2, sur l'éolien offshore et sur une multiplication par 10 des capacités solaires installées.Concernant le bâtiment, comme déclaré lors du débat du second-tour, Emmanuel Macron compte accélérer les rénovations énergétiques des logements et vise un objectif de 700.000 rénovations par an.Les organisations du BTP félicitent Emmanuel Macron mais maintiennent leurs attentesPlusieurs acteurs du BTP et de l'artisanat saluent la victoire du candidat LREM et la continuité politique qu'elle apporte, mais ils rappellent également que du chemin reste à parcourir.La CPME désire notamment que « ce quinquennat permette la poursuite des réformes annoncées, en particulier celle des retraites » et que des sujets importants tels que « la réforme de la fonction publique et la remise à l'équilibre des finances publiques, quasiment absents de la campagne électorale, soient remis sur la pile des dossiers prioritaires ».La CMA de son coté salue les « mesures massives et décisives qui ont été décidées par l'État afin de sauvegarder les entreprises affectées par la crise sanitaire ».Pour Joël Fourny, président de CMA France : « J’adresse toutes mes félicitations à Emmanuel Macron pour sa réélection et souhaite que l’artisanat, première entreprise de France, soit au cœur de la politique économique menée par notre pays. »La Chambre des Métiers de l'Artisanat demande néanmoins des changements pour le nouveau mandat présidentiel et notamment la nomination dans le prochain gouvernement d'un « ministre en charge des 1,8 millions d'entreprises relevant du secteur de l'artisanat ».Pour Joël Fourny, président de CMA France: « Les artisans ont pu bénéficier de politiques publiques adaptées, ciblées sur leurs besoins spécifiques. Ce dialogue continu et cette collaboration efficace avec le gouvernement doit se poursuivre et s’amplifier pour maintenir la dynamique de l’apprentissage, garantir l’avenir d’un secteur en tension et permettre la croissance durable des entreprises artisanales. »L'UNAM, avec l'appui des Intercommunalités de France, rappelle « l'urgence d'agir face à la crise du logement et notamment la nécessité de réhabiliter une pensée aménagiste et de sortir d’une vision comptable pour adopter une vision fonctionnelle qui s’applique aux modes de vie ». Elle appelle de ses vœux une révision des modalités de mise en œuvre de la loi Climat & Résilience en matière de lutte contre l’artificialisation pour mieux optimiser le foncier disponible et éviter de pénaliser près de 10.000 communes déjà carencées en foncier.Pour François Rieussec, Président de l’Union Nationale des Aménageurs (UNAM): « La comptabilité urbaine ne doit pas remplacer la pensée urbaine. Et imaginer que des mesures compensatoires sont une solution, c’est délivrer un droit à la détérioration à l’environnement. Il faut que les opérations soient vertueuses en elles-mêmes, intégrer les solutions environnementales et ne pas externaliser les problèmes. »
Il y a 3 ans et 53 jours

Potentiel des gaz renouvelables : l'Association française du gaz présente sa vision à horizon 2050

Ces rendez-vous ont mis l’accent sur les technologies gazières d’aujourd’hui et de demain, leur potentiel et les mesures prises pour accélérer leur développement.Voici une synthèse de ces échanges qui ont rappelé le rôle primordial des gaz renouvelables et bas carbone pour favoriser la transition énergétique et ce pour plusieurs raisons : une production en continu, une facilité de stockage, des installations existantes, un réseau de transport et de distribution disponible, la contribution à la gestion des déchets, un enjeu des territoires... L’industrie gazière dispose actuellement de 5 briques technologiques et d’innovation : la méthanisation, le méthane par fermentation ;la pyrogazéification, le méthane par traitement de déchets carbonés ;la gazéification hydrothermale, le méthane par traitement aqueux à haute température ;la méthanation, le méthane issu du CO2 et de l'hydrogène ;l’utilisation des gaz fossiles couplés à la capture et stockage de carbone.Ces technologies se situent à différents stades de maturité être présentent un potentiel total significatif supérieur à 335 TWh à l'horizon 2050. Une vision d’ensemble montre que ce potentiel identifié s’inscrit dans une complémentarité des différents usages et couvre largement l’ensemble de ces usages.La méthanisation : le méthane obtenu par fermentation > un potentiel de 190 TWh en 2050 pour une production à cette même date de 135 TWh ;La pyrogazéification : le méthane par traitement thermique de déchets carbonés > un potentiel de 180 TWh pour une production à cette même date de 90 TWh ;La gazéification hydrothermale : le méthane par traitement aqueux à haute température > un potentiel de 100 TWh pour une production à cette même date de 50 TWh ;La méthanation : le méthane issu du CO2 et de l’hydrogène > un potentiel de 120 TWh pour une production à cette même date de 60 TWh. La troisième révolution gazière repose sur le développement de ces nouvelles technologies conditionné par un cadre réglementaire et financier stable. L’avis des experts participants* : Pour Jean-Marc Leroy, Président de l’Association française du gaz : « Les gaz renouvelables et bas carbone vont permettent d’assurer l’autonomie énergétique du pays et sa compétitivité. Nous souhaitons que ces nouveaux gaz soient complémentaires aux autres énergies pour tirer le meilleur parti de chacune d’entre elles. » Pour David MARCHAL, Directeur exécutif adjoint à l’expertise et aux programmes de l’Ademe : “Le gaz reste présent dans nos 4 scénarios prospectifs de neutralité carbone pour la France à horizon 2050 à des niveaux assez significatifs allant de 150 TWh à plus de 350 TWh. Dans 3 scénarios sur 4 le gaz est à plus de 80% renouvelable."Pour Alexis Masse, Délégué Stratégie chez GRDF : « Les 5 briques technologiques et d’innovation peuvent couvrir plus que les usages de la France à 2050. » Pour Élodie Le Cadre Loret, Lead Science Advisor chez Engie : « À ces chiffres sur le potentiel des technologies actuelles s’ajoutent différentes options pouvant apporter plus de souplesse, comme des solutions de capture de stockage de carbone, un potentiel de développement de bio-propane ; la France pourrait représenter une plaque tournante du e-méthane en transit ou importé ou encore la présence d’hydrogène renouvelable et bas carbone sur laquelle s’appuyer. » Pour Frédéric Martin, Directeur général adjoint chez GRDF : « La méthanisation a été deux fois plus vite que prévu nous avons 383 méthaniseurs opérationnels et 1000 autres sont en projet. » Pour Thierry Trouvé, Directeur général de GRTgaz : « Nous traversons une crise énergétique durable en Europe c’est pourquoi il faut aller à fond sur le solaire, l’éolien et le biométhane, nous n’avons plus le luxe de nous passer de quoi que ce soit. » Trois autres ateliers thématiques auront lieu prochainement, ils aborderont : la mobilité, l’industrie et le bâtiment.*Les intervenants ayant participé à ces ateliers : Élodie Le Cadre, Lead Science Advisor chez ENGIE - Laurent FULCHERI, Directeur de recherche au centre Persée de Mines-ParisTech - Frédéric Martin, Directeur général adjoint de GRDF - Thierry Caquet, Directeur scientifique Environnement à l’INRAE, Isabelle Moretti de l'Académie des technologies, pôles énergie et culture - Alexis Masse, Délégué Stratégie de GRDF, Président de la commission « Gaz renouvelables » de l’AFG - Jean-François DELAITRE, Président de l’AAMF, Thierry TROUVE, Directeur général de GRTgaz - David MARCHAL, Directeur exécutif adjoint à l’expertise et aux programmes de l’Ademe - Olivier GUERRINI, Senior Vice President Biogas Business Unit, TotalEnergies - Charles-Antoine GAUTIER, Directeur Adjoint pour l’énergie de la FNCCR - Frédéric MARTIN, Directeur Général Adjoint, GRDF - Philippe BOUCLY, président de France Hydrogène, Monique AXELOS - Directrice scientifique pour l’alimentation et la bioéconomie, à l’INRAE.
Il y a 3 ans et 53 jours

Une solution unique pour protéger le bois en couleur

Bois ColorParce que le bois habille de plus en plus de bardages ou de decks, parce que la couleur n’est plus le seul apanage des volets ou des portes, il fallait mettre au point une protection technique qui permette cette révolution en couleur garantissant à la fois décoration et durabilité.Comprendre la protection des bois : au moment du choix du produit se pose souvent la question de savoir combien de temps la protection durera. En effet, ne pas revenir trop rapidement à la maintenance est forcément un argument important. Parmi les différentes options de protection qui s’offrent aux bois : huiles, lasures ou saturateurs, Durieu recommande souvent les saturateurs qui ont comme qualité principale leur excellente imprégnation qui permet de nourrir le bois dans la masse sans laisser de film en surface. Les lasures peuvent durer plus longtemps mais la maintenance sera plus compliquée et le risque d’écaillage omniprésent du fait du film. Une finition non filmogène telle un saturateur limite les risques d’écaillement et permet un entretien simple. Durieu recommande aussi de choisir des saturateurs plutôt teintés quand il s’agit de protéger les bois dans des zones à fort ensoleillement car la présence de pigments renforce la protection dans le temps.Une solution pas comme les autres : à partir de ces constats, les équipes de recherche Owatrol ont su créer un produit hybride mi saturateur mi lasure qui associe le meilleur des deux solutions. BOIS COLOR imprègne le bois en profondeur pour le nourrir de l’intérieur et laisser en surface un film souple opaque de couleur avec une longévité incomparable.Bois Color : imprégner, protéger et durer dans toutes les situationsImprégner : bénéficiant de l’expertise d’Owatrol, BOIS COLOR abrite dans sa composition des résines alkydes de très haute qualité qui lui donnent d’excellentes qualités de pénétration indispensables pour assurer une vraie protection au support. En effet comme pour un saturateur, la capacité d’imprégnation du produit est l’assurance de protéger le bois dans la masse : il est nourri de l’intérieur et peut alors durer longtemps à l’extérieur.Protéger : BOIS COLOR laisse un film de couleur souple en surface qui protège et décore. La finition fait corps avec le support et le film épouse les déformations du bois dues aux variations hygrométriques, assurant ainsi la longévité de l’ouvrage.Durer : Prouesse technique - un produit filmogène qui participe à la longévité du support.Effet seconde peau : toute la réussite technique tient dans la souplesse du film. En épousant parfaitement la surface du bois, BOIS COLOR suit les variations dimensionnelles du matériau, en évitant ainsi que le film craque. Les risques d’écaillage sont donc limités et le support bénéficie d’une longévité vraiment durable. Il est nourri et protégé de l’intérieur et assuré de résister aux agressions climatiques grâce à la souplesse de son film.Pour tous les climats : BOIS COLOR est une vraie solution pour les zones de montagne ou très ensoleillées et ou en bord de mer où les températures varient beaucoup dans la journée.Résistance UV : la grande stabilité des pigments du BOIS COLOR offre une excellente résistance aux UV, et la garantie que les couleurs ne vont pas se délaver au bout de quelques mois aux intempéries.Dans toutes les situations : du sol au toit ! La qualité du film permet aussi aux terrasses de résister à l'abrasion grâce à sa technologie alliant souplesse et solidité.Également :Universel : BOIS COLOR est compatible avec toutes les essences des plus tendres aux plus dures grâce à son pouvoir de pénétration exceptionnel.Longévité garantie : l’excellence de sa tenue n’est pas une légende et BOIS COLOR est garanti 15 ans en application verticale et 5 ans en application horizontale contre les risques d’écaillage, ce qui en fait un produit désigné lorsque l’on souhaite protéger un support bois sans y revenir trop vite.Une palette dynamique aux 13 teintes pour rendre unique chaque ouvrage.Fiche technique Bois ColorDescription produit : Protection colorée mate destinée à protéger et à décorer les bardages et les terrasses en bois.Propriétés : Excellente durabilité sans écaillage :15 ans en bardage vertical et 5 ans en terrasse horizontale.Grande facilité d’application.Aspect décoratif mat tendance qui conserve l’aspect naturel du bois.S’applique sur tous les bois neufs ou anciens préparés.Produit microporeux, il laisse le bois respirer.Très haute tenue des couleurs.DestinationsUsage extérieur :Tous bois : résineux, feuillus, exotiques, thermochauffés ou transformés (Accoya et Kebony).Bois bruts neufs ou anciens préparés.S’applique aussi sur béton, PVC,...Retrouvez Bois Color sur la boutique Owatrol.
Il y a 3 ans et 53 jours

"Nous attendons l'organisation des Assises du Bâtiment", J.-C. Repon (Capeb)

Le président de la Capeb, Jean-Christophe Repon, a accueilli Bruno Le Maire, alors représentant du candidat Emmanuel Macron, le 22 avril dernier lors de l'assemblée générale de la Confédération. Il a eu la primeur d'une annonce : l'organisation, prévue dans les mois prochains, des Assises du Bâtiment.
Il y a 3 ans et 53 jours

Architecture Contemporaine Remarquable selon Clément Guillaume

Les photos de Clément Guillaume se passent de texte et d’explications. Tout est là, tout est dit, le mystère demeure. Un travail qui rassure et réconcilie avec l’architecture contemporaine : non, nous ne sommes pas voués à la médiocrité. Patrimoine ? Le ministère de la Culture a lancé en juillet 2020 une grande campagne photographique pour […] L’article Architecture Contemporaine Remarquable selon Clément Guillaume est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 53 jours

L'emblématique BnF Richelieu va rouvrir ses portes, après douze années de travaux

PATRIMOINE. Le site historique logé dans le IIe arrondissement de Paris a annoncé sa réouverture en septembre prochain. De nouveaux espaces ont été imaginés, dont un jardin qui fait la part belle aux plantes utilisées pour le support d'écriture.
Il y a 3 ans et 53 jours

Charles Marinakis nommé président de Century 21 France

Après le décès soudain de Laurent Vimont, Charles Marinakis a été nommé à la tête du réseau d'agences immobilières Century 21 France , a annoncé le groupe le 14 avril.