Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88062 résultats)
Il y a 3 ans et 72 jours

Expo Protection 2022

Expo Protection est un salon qui regroupe tous les marchés de la gestion des risques. Protéger les hommes et les organisations est la mission des offreurs et des donneurs d’ordres qui se donnent rendez-vous sur ce salon. Grâce aux Trophées de l'innovation, aux Villages Start-up et aux Villages experts, Expo Protection propose un tour d'horizon des tendances et innovations du marché.
Il y a 3 ans et 72 jours

CONSTRUTEC 2022

Construtec est un évènement européen dédié au secteur des matériaux, techniques et solutions de construction. Lors de cette édition, il y aura deux nouveaux secteurs : ConstruTIC et Construtec Zero. Axé sur les technologies numériques, l'informatique, l'automatisation et le contrôle, la 3D et la réalité virtuelle, ConstruTic est un point de référence pour la transformation numérique du secteur de la construction. Quant à Construtec Zero, l'efficacité énergétique et la construction durable sont mis à l'honneur.
Il y a 3 ans et 72 jours

IBS

IBS est le salon de la performance énergétique des bâtiments. Dans un contexte de transition énergétique et écologique, le salon prend en compte l'ensemble des problématique d'aujourd'hui. Cette édition sera orientée sur ces promesses d’un monde du bâtiment décarboné.
Il y a 3 ans et 72 jours

Mesures Solutions Expo 2022

Mesures Solutions Expo est un salon qui présente l'ensemble de l'offre du marché de la métrologie. Les produits innovants seront présents au même titre que les savoir-faire les plus pointus, tant sur les stands qu'au cours des ateliers exposants. Un espace “Start-up“ et un autre “Emploi-formation” ont aussi été créés au sein du salon.
Il y a 3 ans et 72 jours

Nouveau DPE : les radiateurs et chauffe-eau électriques solutions optimales pour un logement bas carbone selon le Gifam

Solutions bas carbone par excellence, les radiateurs électriques de dernière génération connectés et dotés de dispositifs de pilotage intelligent constituent l’une des meilleures options de chauffage disponibles sur le marché, tant en termes de contribution carbone, de coûts d’installation, de fonctionnement, que de confort.Le Gifam, le groupement des marques d’appareils pour la maison et de solutions de thermique électrique, salue cette évolution qui permet aux consommateurs de disposer d’un classement plus représentatif de son logement en matière d’efficacité énergétique et qui lui donne les moyens d’agir concrètement sur celui-ci. En outre, les nouveaux critères pris en compte dans le calcul du DPE mettent en lumière les avantages des radiateurs et chauffe-eau électriques dans le cadre des rénovations thermiques pour des logements bas carbone.L’estimation donnée par la nouvelle étiquette du DPE, allant de A à G, apporte une information très concrète sur les performances environnementales du logement. Deux critères concomitants sont maintenant évalués : le critère énergétique, pour connaître la consommation d’énergie, qui prend en compte l’isolation, le chauffage, la production d'eau chaude sanitaire, le refroidissement, l’éclairage et la ventilation, et le critère climat pour connaître la quantité de gaz à effet de serre émise par le logement.« Le nouveau DPE permet de mieux tenir compte des enjeux climatiques. Il incite désormais les Français à rénover leur logement au profit de solutions peu émettrices de CO2, comme les radiateurs électriques. » explique Éric Baudry, Président de la Commission Thermique du Gifam.Obligatoire lors d’une vente ou d’une mise en location du logement, le nouveau DPE encourage les propriétaires à engager des travaux de rénovation afin d’afficher une meilleure classe et de rendre leur bien plus attractif. En l’absence de travaux après le calcul de leur DPE, les propriétaires des logements classés F et G auront l’obligation de réaliser un audit énergétique visant à identifier le coût de la rénovation énergétique et les postes de rénovations pour faire passer le logement d’une catégorie F ou G à B. Changer ses radiateurs électriques pour des modèles de nouvelle génération s’avère être une bonne option pour améliorer le confort et la performance du logement. En outre, les logements classés G ne pourront plus être mis à la location d’ici 2025, ceux classés F en 2028 et ceux classés E en 2034.Le Diagnostic de Performance Energétique est aussi un formidable outil pour les propriétaires occupants. Il fournit les consommations d’énergie annuelles ainsi que des recommandations pour mieux les maitriser.L’allié bas carboneL’introduction de l’incidence des émissions de CO2 dans la définition des classes du DPE, conforte le radiateur électrique comme une solution efficace pour contribuer à réduire les consommations d’énergie et les émissions de CO2, puisque, pour rappel, les appareils de chauffage électrique utilisent une énergie décarbonée à plus de 93% en France. Les chauffe-eau thermodynamiques permettent quant à eux de réduire de 80% la consommation d’électricité pour la production d’eau chaude sanitaire.Aujourd’hui, 1/3 des logements sont équipés de radiateurs électriques, représentant un total de 70 millions d’appareils dont 14 millions à rénover. Dans ce cadre, les solutions de chauffage électrique sont économiques, écologiques et durables. De plus, elles sont faciles à installer, ne nécessitent pas de maintenance contraignante à l’usage pour le consommateur, sont réparables et recyclables.L’allié du confortCouplé à des travaux d’isolation thermique, le recours aux appareils de chauffage électrique permet une nette amélioration de la sensation de confort thermique au sein des foyers grâce aux innovations apportées ces dernières années. Faciles d’utilisation, les appareils de chauffage électriques s’adaptent aux besoins réels des occupants avec une régulation de la température pièce par pièce, la détection de présence ou de fenêtre ouverte… Selon l’étude Gifam Insights menée en 2021, 6 propriétaires de logements chauffés à l’électricité sur 10 souhaitent s’équiper d’un système de chauffage connecté.Les chauffe-eau programmables appliquent également les consignes qui leur ont été données tout au long de la journée, et en fonction des jours de la semaine. Ainsi, ils ne chauffent que la quantité d’eau nécessaire au moment opportun pour maximiser le confort de tous.L’allié de la maitrise du budgetEn matière de chauffage, l’intégration de nouvelles technologies permet des économies d’énergie conséquentes : lors du remplacement d’un appareil de première génération par un appareil de dernière génération, les économies d’énergie sont de l’ordre de 30%, en fonction de l’usage et des caractéristiques de l’appareil ainsi que du comportement du consommateur.Les bénéfices sont d’autant plus grands avec les appareils programmables et intelligents qui permettent de chauffer uniquement au bon endroit et au bon moment et ainsi de réduire sa facture d’électricité.[1]Après la refonte des coefficients en novembre dernier, les propriétaires de logements construits avant 1975 ont jusqu’au 30 avril pour demander la réédition de leur DPE réalisé entre le 1er juillet et le 31 octobre 2021.
Il y a 3 ans et 72 jours

A Belfort, Métal déployé conducteur pour General Electric selon RR&A

Depuis 2009, sur le Territoire de Belfort, la restructuration du bâtiment industriel N° 66 et la création de bureaux pour le centre d’études de G.E.E.P.E. (General Electric Energy Products Europe) réalisées par Reichen et Robert & Associés (RR&A) certifie d’une intervention réussie sur le patrimoine industriel, fut-il « mineur ». Métal déployé en fil conducteur ? […] L’article A Belfort, Métal déployé conducteur pour General Electric selon RR&A est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 72 jours

Des tuiles en terre cuite résistantes à la pluie pour des toits durables

Trois experts pour les toits à très faible pente Neufahrn, avril 2022 — Les tuiles en terre cuite résistent aux intempéries, aux rayons UV, au gel et à la grêle. Elles améliorent également le bilan énergétique d’une maison. Erlus propose des tuiles en terre cuite robustes et résistantes à la pénétration des eaux pluviales, même […]
Il y a 3 ans et 72 jours

Le groupe Hettich en pleine croissance – 1,35 milliard d’euros de chiffre d’affaires en 2021

Le groupe d’entreprises Hettich, l’un des plus grands fabricants de ferrures pour meubles dans le monde entier, dont le siège principal est à Kirchlengern en Allemagne, a réalisé en 2021 un chiffre d’affaires d’environ 1,35 milliard d’euros. Cela représente une progression de plus de 26 % du chiffre d’affaires par rapport à l’année précédente. La […]
Il y a 3 ans et 72 jours

Salon BIM World : dormakaba présente deux nouvelles applications dans le cadre d’un workshop dédié à la digitalisation dans le secteur de la construction

À l’occasion du salon BIM World le 5 et 6 avril prochain au Paris Expo – Porte de Versailles, dormakaba organise son premier workshop et présente ses nouvelles solutions digitales EntriWorX et sa démarche BIM qui permettent d’optimiser la planification et la gestion des accès d’un bâtiment. Participant activement au développement des technologies et services […]
Il y a 3 ans et 72 jours

Présidentielle : retour sur la matinale TWITCH #ENERGIE & amp , #CLIMAT en présence des porte-paroles

Dans la perspective d’un quinquennat décisif pour relever les défis majeurs de la souveraineté et de la transition énergétique, le Syndicat des énergies renouvelables (SER) a convié les candidats à présenter et débattre de leurs projets en matière d’énergies renouvelables. Cinq porte-paroles en charge des volets Énergie et Climat de leurs programmes respectifs ont ainsi […]
Il y a 3 ans et 72 jours

Bilan 2021 – Perspectives 2022 – Panasonic solutions chauffage & refroidissement affiche une croissance à deux chiffres pour la 9ème année consécutive

Gennevilliers, le 24 mars 2022 – Panasonic solutions chauffage et refroidissement annonce des résultats positifs avec une augmentation de 22% de son chiffre d’affaires. Avec un effectif en hausse et près d’une centaine de collaborateurs, la division chauffage et refroidissement a vendu 360 000 groupes extérieurs depuis sa création et affiche pour la 9me année […]
Il y a 3 ans et 72 jours

L’éclairage LED intelligent d’EAS solutions encore plus rentables face à la flambée des prix de l’électricité

Avec la flambée des prix de l’électricité, il est crucial pour les entreprises de baisser drastiquement leur consommation d’énergie. La rénovation d’un ancien éclairage énergivore par de nouvelles solutions d’éclairage LED intelligent est un moyen sûr, rapide et efficace d’y parvenir. Instantanément, l’éclairage LED connecté permet d’économiser entre 75 et 95 % sur les dépenses […]
Il y a 3 ans et 72 jours

Cercle Promodul / INEF4 publie son rapport d’activité 2021

 Retour sur une année importante.  Cercle Promodul / INEF4 présente son rapport d’activité 2021. Année riche pour le Fonds de dotation, permettant d’atteindre ses objectifs de développement fixés : notoriété, visibilité et reconnaissance.   Des travaux importants et structurants  Tout au long de l’année 2021, Cercle Promodul / INEF4 s’est fortement impliqué sur des sujets importants […]
Il y a 3 ans et 72 jours

Hoffmann Green lance la construction de sa centrale à béton R & amp D sur le site de Bournezeau

Chaillé-sous-les-Ormeaux, le 24 mars 2022 – 18h00 CET : Hoffmann Green Cement Technologies (ISIN : FR0013451044, Mnémo : ALHGR) (« Hoffmann Green Cement » ou la « Société »), acteur industriel engagé dans la décarbonation du secteur de la construction qui conçoit et commercialise des ciments innovants sans clinker, annonce le lancement de la construction […]
Il y a 3 ans et 72 jours

WoodTechno, le granulé de bois en circuit court

La société WoodTechno, créée fin 2021 dans le Cantal, a été présentée jeudi 24 mars par l'incubateur Pulsalys, qui accompagne son projet, sur le campus universitaire de la Doua à Villeurbanne.Elle est née de la rencontre entre un professionnel de la filière et un chercheur du laboratoire Ingénierie des Matériaux Polymères (universités de Saint-Étienne et Lyon, Insa et CNRS).L'idée ? Utiliser pour le bois la technologie de l'extrusion, employée ordinairement en plasturgie. Ce procédé thermomécanique consiste à faire avancer un matériau dans un tube, boyau ou profilé, aux dimensions du produit à obtenir, en jouant sur la pression et la température pour le transformer durant sa progression.Un défi "car l'extrusion est faite pour des matériaux qui réagissent à la chaleur, alors que le bois n'aime pas ça", souligne José Brunet, président de WoodTechno, basée près de Saint-Flour où il possède une scierie. Dix-huit mois de recherche "ont permis de démontrer que nous étions en capacité d'extruder du bois pour produire des granulés à destination du marché du chauffage", grâce à des innovations qui ont été brevetées.Cette technologie peut être utilisée pour les feuillus comme les résineux, alors que les granulés viennent pour l'heure des seuls résineux, les feuillus - au bois plus dur - s'adaptant mal aux presses à galets traditionnelles.Autres atouts : le granulé obtenu a un pouvoir calorifique renforcé, il est moins cher à produire et le procédé mis au point est "accessible à toutes tailles de scieries", alors que de gros investissements sont actuellement nécessaires."Beaucoup de petites et moyennes scieries doivent vendre leurs résidus à de gros acteurs économiques, sans valeur ajoutée", explique José Brunet. L'objectif de WoodTechno est de permettre à ces PME de produire leurs propres granulés pour les vendre localement, "au plus près des forêts et des consommateurs".Le marché est en pleine croissance, les ventes de chaudières à granulés ayant doublé l'an dernier en France selon la filière. La consommation en Europe s'élève à 30 millions de tonnes par an, dont 23 produites sur le continent.WoodTechno, soutenue par la Région et la BPI, cherche à lever 700.000 euros pour installer un pilote semi-industriel à Saint-Étienne et produire 300 kilos de granulés à l'heure début 2023 - avant un démonstrateur dans le Cantal, d'une capacité de 4 tonnes par heure, à l'horizon 2024.
Il y a 3 ans et 72 jours

Climatiseurs réversibles nouvelle génération, Thermor dévoile ses nouveautés 2022

Avec ses nouveaux climatiseurs réversibles , Thermor s’invite dans tous les foyers pour permettre à chacun d’améliorer le confort thermique de son habitation et ce en toutes saisons. Point sur ces nouveautés avec Angèle Leydier, cheffe de produit climatisation chez Thermor. La gamme de climatisation réversible Nagano s’étoffe avec le modèle Nagano murale Pure, pouvez-vous en parler ? […]
Il y a 3 ans et 72 jours

« Je veux responsabiliser les élus locaux en matière de logement », Emmanuel Macron (LREM)

Logement, énergie, urbanisme... Le candidat de La République en marche à l'élection présidentielle a répondu aux questions du Moniteur.
Il y a 3 ans et 72 jours

Membranes RUBBERGARDTM EPDM pour les toits en épi du bâtiment des OKAPIS au parc animalier et botanique de Branféré (56)

Le Parc animalier et botanique de Branféré est un domaine dédié à la nature où les visiteurs peuvent découvrir les animaux en semi-liberté. Au cœur d’une forêt de 45 hectares, différentes espèces cohabitent dont deux okapis qui rejoindront leur futur enclos en mai prochain. Cet animal menacé, originaire du Congo, partagera son habitat avec des […]
Il y a 3 ans et 72 jours

La start-up Deepki lève 150 millions d'euros

Deepki, qui n'avait levé que 10,5 millions d'euros jusqu'à maintenant, s'adresse aux grands propriétaires de parcs immobiliers tertiaires, investisseurs, banques, compagnies d'assurances ou grandes entreprises comme le groupement des Mousquetaires (Intermarché) en France.Son logiciel va chercher automatiquement de nombreuses données sur les bâtiments - factures d'énergie ou d'eau, informations de construction, en passant par l'exposition solaire, ou la proximité des transports en commun... - puis les utilise pour évaluer la performance environnementale des bâtiments, et proposer des améliorations.La jeune pousse de 150 salariés, déjà installée en France, au Royaume-Uni, en Espagne et en Italie, table sur 200 recrutements en 2022, avant 400 en 2023, selon son cofondateur et directeur général Vincent Bryant."Nous voulons nous renforcer en Europe", "nous implanter aux États-Unis" et "réaliser des acquisitions d'acteurs concurrents qui sont de qualité mais plus petits que nous", a indiqué à l'AFP M. Bryant.L'entreprise est suffisamment sûre d'elle-même pour publier son chiffre d'affaires, une décision rarissime chez les start-up toujours très pudiques sur ce chapitre : 15 millions d'euros en 2021, et un doublement prévu à 30 millions d'euros en 2022.Les ventes sont portées par les contraintes réglementaires "de plus en plus nombreuses" en France et en Europe sur la qualité environnementale des bâtiments, a expliqué M. Bryant.Tous les grands acteurs immobiliers "savent que s'ils n'ont pas des bâtiments qui sont performants d'un point de vue environnemental, il va y avoir des décotes (de valeur) sur leurs bâtiments", a-t-il ajouté.En France, le "décret tertiaire" paru en 2019 oblige notamment tous les bâtiments tertiaires de plus de 1.000 m2 à prendre les mesures nécessaires pour réduire leur consommation d'énergie de 40% d'ici à 2030, 50% d'ici à 2040, et 60% d'ici à 2060.La levée de fonds de Deepki annoncée mercredi est menée par les fonds d'investissement européens One Peak et Highland Europe, basés à Londres, avec d'autres investisseurs comme Bpifrance ou ses investisseurs historiques Hi Inov et Statkraft Ventures.
Il y a 3 ans et 72 jours

BIM World 2022 : Thinkproject et Kairnial Group présentent leurs engagements en faveur de la construction intelligente

Désormais rattaché à Thinkproject, leader européen de solutions SaaS pour la construction intelligente, Kairnial Group combine ses offres à celles de Thinkproject pour proposer ensemble, des solutions digitales d’environnement de données commun (EDC) de pointe, de gestion documentaire (GED), de BIM en mobilité et de suivi de chantier dédiées au marché de la construction intelligente […]
Il y a 3 ans et 72 jours

YUKAI, la nouvelle pompe à chaleur air-air réversible Toshiba : le confort à portée de tous !

Toshiba Solutions de Chauffage & Climatisation lance YUKAI : une pompe à chaleur air-air réversible, de conception japonaise, qui se démarque par un excellent rapport qualité-prix pour un confort optimal, été comme hiver.  En associant les termes Yu (en japonais, plaisant) et Kai (signifiant confort), ce produit constitue LA solution économique idéale pour les constructions […]
Il y a 3 ans et 72 jours

Renouvellement du partenariat entre l’UMGCCP et l’OPPBTP pour la prévention des risques liés aux métiers du génie climatique, de la plomberie et de la couverture

Dans le cadre d’une première convention de partenariat signée en 2018, les deux organisations ont mené des actions permettant de développer la culture prévention des entreprises, d’accroître la connaissance des risques propres à leurs métiers et d’acquérir une vision positive de la prévention. Forts de leurs premières réussites, les deux partenaires ont décidé de poursuivre le travail engagé en renouvelant leur convention nationale de partenariat. En capitalisant sur les résultats déjà obtenus, l’UMGCCP et l’OPPBTP ambitionnent désormais d’inscrire leur action commune en prévention des risques professionnels dans les priorités et enjeux stratégiques actuels des métiers du génie climatique, de la couverture et de la plomberie.Une coopération efficace pour mener des actions coconstruites en faveur de la prévention Dès 2018, l’UMGCCP et l’OPPBTP se sont engagés dans une démarche commune visant à accompagner plus efficacement les professionnels du génie climatique, de la couverture et de la plomberie dans le déploiement de démarches de prévention pérennes et opérationnelles. Le bilan des actions menées au cours des dernières années met en lumière de belles réussites :40% des entreprises de couverture adhérentes diagnostiquées « travaux en hauteur »1700 actions de conseil « travaux en hauteur120 contrats d’accompagnementun dossier prévention dans chaque numéro de la revue mensuelle « Eau et confort » - tirage 14 500 exemplaires42 réunions d’information auprès des sections départementales de l’UMGCCP sur les thèmes de l’évaluation des risques, des chutes de hauteur, de l’amiante ou encore des troubles musculosquelettiques18 réunions d’informations et 2 fiches métiers (adaptations du Guide de préconisations sanitaires) pendant la crise sanitaire COVID-19.Cette dynamique de travail a notamment permis la réalisation en co-construction d’outils et contenus adaptés pour les professionnels, tel que le guide des EPI du métier de la couverture, ainsi que l’engagement d’études métiers pour mieux identifier les risques du métier et les solutions adaptées.Une communication plus régulière et variée autour des thèmes de prévention a également été mise en place : un article prévention dans chaque numéro de la revue « Eau et confort », les outils et informations prévention, accessibles sur l’application mobile de l’UMGCCP, des courriers communs régulièrement adressés aux sections départementales de l’union pour soutenir la mobilisation des entreprises et inciter à l’action. Enfin, des relations fortes se sont créées entre l’OPPBTP, les membres de l’UMGCCP ainsi que ses élus, notamment au travers de la Commission prévention de l’UMGCCP, permettant de porter un message de prévention intégré par l’ensemble des parties prenantes du secteur.Pour Paul Duphil, Secrétaire Général de l’OPPBTP : « La réussite du partenariat entre l’UMGCCP et l’OPPBTP est basée sur une relation gagnant-gagnant qui vise à mutualiser en permanence les savoir-faire de chacun afin d’en tirer le meilleur parti. La co- construction de nos actions de prévention et de nouveaux outils ainsi que les relations étroites que nous entretenons font la force de notre collaboration. »Faire de la prévention l’une des clés pour répondre aux enjeux stratégiques du secteurL’UMGCCP et OPPBTP souhaitent désormais aller plus loin, en intégrant la prévention des risques professionnels et les questions de santé et sécurité au travail dans une démarche plus globale, permettant de répondre aux enjeux stratégiques auxquels les métiers du génie climatique, de la couverture et de la plomberie sont aujourd’hui confrontés. Les partenaires se sont ainsi fixé les objectifs suivants :Fidéliser les personnels et accompagner les entreprises dans la mise en sécurité de leurs équipesPour cela, l’évaluation des risques demeure un axe fort du partenariat, point de départ de toute démarche construite et durable. La promotion des outils et solutions dédiés à l’évaluation des risques professionnels conçus par l’OPPBTP auprès des adhérents et des élus de l’UMGCCP est renforcée : mise à disposition des outils sur l’application mobile UMGCCP, articles dans la newsletter et article dans la revue mensuelle « Eau et Confort ».De plus, de nouveaux travaux seront conduits afin de proposer des solutions mieux adaptées aux besoins des professionnels, pour renforcer les compétences des entreprises de génie climatique, de couverture et de plomberie. Outre la poursuite de l’étude métier couvreur déjà initiée, les partenaires souhaitent notamment dédier une étude relative aux métiers du génie climatique et de la plomberie, et mener une action spécifique sur le thème des TMS : sensibilisation des entreprises (newsletter, webinaires), aide à l’évaluation du risque TMS et recueil de bonnes pratiques.Promouvoir la prévention comme vecteur de modernité, d’innovation et d’attractivité des métiersLa prévention est un vecteur de performance globale pour les entreprises, et un atout considérable en matière d’image et d’attractivité des métiers. Le partenariat contribue à faire de la prévention l’un des outils au service du changement dans les entreprises de génie climatique, de couverture et de plomberie.Dans la continuité des 2 études de cas Prévention et Performance réalisées au sein d’entreprises adhérentes de l’UMGCCP (utilisation d’un drone, formation des personnels au management de la prévention), les partenaires souhaitent promouvoir l’approche positive de la prévention auprès de tous les adhérents de l’UMGCCP, par la diffusion d’outils de communication, de vidéos de cas Prévention et Performance, et en soutenant l’innovation, notamment par le biais de l’accélérateur Santé Prévention dans le BTP.Répondre aux enjeux sociaux et humains des métiers de l’UMGCCP en développant la prévention de tous les acteursAfin d’impliquer l’ensemble des adhérents et des élus de l’UMGCCP dans la mise en œuvre d’actions pour une prévention intégrée à tous les niveaux, les partenaires proposent de renforcer encore les liens entre les deux organisations. Les outils et solutions de l’OPPBTP continueront d’être valorisés à l’occasion de chaque congrès annuel de l’UMGCCP notamment lors d’intervention en ateliers. L’Organisme sera également invité à intervenir lors des commissions prévention de l’UMGCCP, organisées deux fois par an.Pour Pascal Housset, Président de l’UMGCCP : « Fidéliser les personnels, protéger et transmettre les savoir-faire, former et recruter les jeunes, sont autant d’enjeux majeurs pour l’UMGCCP, qui doivent aujourd’hui être regardés sous le prisme essentiel de la santé et de la sécurité au travail. En renforçant notre partenariat ambitieux avec l’OPPBTP pour mener une action conjointe et durable en faveur de la prévention, nous nous donnons les moyens d’atteindre nos objectifs. »
Il y a 3 ans et 72 jours

Entreprises de TP... Vos textes officiels du mercredi 6 avril 2022

La rédaction du "Moniteur" vous propose une sélection quotidienne des textes officiels intéressant le secteur. Au menu : droit de la construction, urbanisme, commande publique et privée, réglementation technique, logement, social…
Il y a 3 ans et 72 jours

Exposition Aqua Mater : l’eau, source de vie

L’exposition Aqua Mater prend place au milieu de l’esplanade de La Défense, près de Paris et s’y tient jusqu’au 22 septembre 2022. [©ACPresse] « On a l’impression que l’accès à l’eau est quelque chose de naturel. » Directeur de la division des Sciences de l’eau et secrétaire du programme hydrologique intergouvernemental de l’Unesco, Abou Amani plante le décor. Et de préciser : « Chaque jour, il faut éduquer les gens pour qu’ils respectent l’eau… » Installée pour une durée de six mois sur l’esplanade de La Défense, près de Paris, l’exposition Aqua Mater est un manifeste dédié à l’eau, par définition source de vie. « L’eau est un bien essentiel, pour toute espèce vivante. Le plus essentiel après l’oxygène », rappelle le photographe brésilien Sebastião Salgado. L’eau est ainsi un fil conducteur. Elle est omniprésente dans chacune des 50 images exposées. Elle y apparaît sous toutes ses formes. Dans sa pureté et son intensité. Dans son abondance et sa rareté. Elle est saisie dans sa solitude ou dans les interactions variées avec l’humain, la faune, la flore. « Représenter en images le besoin, la beauté, la force et les mystères de l’eau est une tâche difficile, au risque de tomber dans le lieu commun », rappelle Sebastião Salgado. Le photographe évite cet écueil. Toutes noir et blanc, ses images sont limpides, magnétiques, sans superflu. Elles vont à l’essentiel. Un léopard en train de boire. Des enfants qui sautent dans l’eau. Un orage au-dessus de l’Amazone. Une cascade au milieu de la jungle. Une fleur posée au milieu du béton « Ce que je souhaite, c’est que les gens viennent à cette exposition. Qu’ils y découvrent que l’eau est source de vie. Qu’il est nécessaire de la préserver », insiste Sebastião Salgado. Et de poursuivre : « Les Français ne vivent plus en France, ils vivent en ville ! L’eau leur arrive par un tube. Elle est d’excellente qualité. Elle est perçue comme un cadeau du ciel, mais elle n’est pas un cadeau du ciel ». Les photographies de l’exposition Aqua Mater prennent place au cœur d’un pavillon de 1 000 m2. « Il est comme une fleur posée au milieu du béton », souligne encore le photographe. Lançant même une pique à l’architecture contemporaine, occidentale : « On utilise beaucoup trop de matériaux d’origine minérale. Il faudrait prévoir une part végétale plus importante dans la construction… » Mais là est un autre débat. Le Pavillon Aqua Mater s’inspire des malocas amérindiennes. A savoir, de grandes structures réalisées autour de piliers en bois et recouvertes d’une toiture en feuilles de palmiers. A l’intérieur prennent place uniquement des hamacs, qui constituent le seul mobilier des populations autochtones. Un matériau aussi humble que le bambou Guadua Les architectes colombiens Simón Vélez et Stefana Simic en ont donc repris le principe, en utilisant le bambou Guadua d’Amazonie comme matériau de base. Il s’agit là de la ressource forestière renouvelable la plus abondante en Colombie. Le Guadua est plus résistant que l’acier et peut générer plus de biomasse que toute autre culture. « C’est réellement la première fois que nous concevons une telle installation, explique Simón Vélez. Cette approche nous a ouvert de nouvelles possibilités de construction et d’architecture. Pouvoir réaliser un tel projet grâce à un matériau aussi humble que le bambou Guadua, avec une telle rapidité de production et d’assemblage et pour un coût faible, est un exemple qui illustre à quel point il est extraordinaire de travailler avec la nature. » Les architectes rendent ainsi hommage aux constructions ancestrales au sein desquelles toute la communauté vit en harmonie avec son environnement. Sebastião Salgado : « Ce que je souhaite, c’est que les gens viennent à cette exposition. Qu’ils y découvrent que l’eau est source de vie ». [©Renato Amoroso]L’erg Ubari est une immensité de dunes de sable de 80 000 km2, où se trouvent des lacs salés dans une zone appelée en arabe Ramla d’El Daouda, signifiant la “dune des mangeurs de vers”. Libye 2009. [©Sebastião Salgado]Long de 30 km et épais de 700 m, le glacier Perito Moreno est l’un des quarante-huit alimentés par le champ de glace du Sud de Patagonie et troisième réserve mondiale d’eau douce. Argentine 2007. [©Sebastião Salgado]Un déambulatoire extérieur permet d’en savoir plus sur l’eau, avant de la découvrir en images. [©ACPresse]Toutes noir et blanc, les photographies de Sebastião Salgado sont limpides, magnétiques, sans superflu. [©ACPresse]Cinquante photographies de Sebastião Salgado composent l’exposition Aqua Mater. [©ACPresse] Assimiler de nouveaux savoirs S’il reprend les principes constructifs éprouvés, le Pavillon intègre aussi quelques technologies contemporaines. Des éléments nécessaires pour le rendre démontage, transportable et remontable, de manière simple et facile. En l’espèce, il s’agit de tubes en acier qui, une fois reliés les uns aux autres, forment comme des couronnes sur lesquelles s’appuient les bambous. Vinci Construction France n’est autre que le mécène d’honneur de l’exposition. En fait, le groupe de BTP apporte toute sa compétence technique et humaine au projet. « Pour l’entreprise, cette réalisation permet d’assimiler des nouveaux savoirs et d’élargir son expertise autour de techniques inédites et d’un matériau nouveau pour elle, résume Xavier Defaux, directeur de la communication de Vinci Construction France. La dimension humaine de ce mécénat de compétences a permis à nos collaborateurs de participer à la magie du lieu et à une autre forme de perfection architecturale. » Le lieu imposait beaucoup de contraintes L’aventure a débuté en 2018, avec un voyage en Colombie pour voir le montage d’un prototype grandeur réelle du pavillon. Et pour s’approprier le savoir-faire colombien aux côtés des architectes Simón Vélez et Stefana Simic. Puis, est venu du temps des études, afin d’adapter la construction à sa future itinérance. A savoir, l’intégration des méthodes de préfabrication et de montage/démontage rapides, optimisées par les équipes de Vinci Construction France. Après une première installation en Arles, dans le cadre des Rencontres de la Photographie, le Pavillon vient d’ouvrir ses portes sur l’esplanade de la Défense, à côté de Paris. Un peu plus de deux mois de travaux auront été nécessaires à sa construction. « Le lieu imposait beaucoup de contraintes », explique Grégory Nakache, responsable des travaux pour Vinci Construction France. Tout d’abord, le chantier se situait au cœur d’un environnement piéton, autorisant les livraisons à des horaires bien précis. Ensuite, la dalle en béton qui constitue l’esplanade, surmontée de petites dalles sur plots, ne permet qu’une surcharge de 450 kg/m2. « Nous ne pouvions utiliser que des petits moyens de transport et de levage », reprend Lucie Docimo, ingénieure travaux pour Vinci Construction France. Le Pavillon Aqua Mater s’inspire des malocas amérindiennes. [©Vinci]Pavillon Aqua Mater en cours de montage par les équipes de Vinci Construction France. [©Vinci]Les 184 poteaux en bambou sont posés sur autant de dalles-supports en béton. [©Vinci]Le Pavillon Aqua Mater est comme une fleur posée au milieu du béton. [©ACPresse]Le Pavillon Aqua Mater est implanté au cœur de l’esplanade de La Défense. [©Fonds de dotation Contemplation] Des dalles en béton comme autant de points d’appui Ainsi, l’entreprise a installé sa base logistique de 3 000 m2, à Nanterre, à 4 km de l’esplanade. De quoi accueillir les dix conteneurs de 40 pieds nécessaires au transport du Pavillon en kit… Chaque jour, un petit camion assurait la navette en direction de La Défense. Le Pavillon s’inscrit sur un “remblai” de 30 cm d’épaisseur, destiné à répartir les charges sur l’ensemble de la plate-forme. Pour éviter toute surcharge inutile, ce “remblai” est constitué de blocs de polystyrène expansé. Dessus sont posées des dalles préfabriquées en béton de 1,90 m x 1,90 m pour une épaisseur de 10 cm. C’est la seule concession faite au béton sur ce projet… « Au« Ces éléments servent de points d’appuis aux 184 socles du Pavillon. Mais aussi de points d’ancrage pour lester le bâtiment et ainsi maintenir la structure vis-à-vis des efforts du vent », conclut Lucie Docimo. A l’issue de l’exposition, qui doit s’achever le 22 septembre 2022, les dalles seront concassées pour être valorisées comme granulats. Quant au Pavillon, il repartira vers une nouvelle destination. Sans doute vers Milan ou Genève. En attendant l’aller encore plus loin… Lieu : Esplanade de La Défense (Hauts-de-Seine)Dates : 1er avril – 22 septembre 2022Horaires : Du mardi au dimanche, de 10 h 00 à 19 h 00Durée de visite : 1 h 00 environEntrée adulte : 16 € En savoir plus. Aqua Mater, en pratique Photographies : Sebastião Salgado Scénographie : Lélia Wanick Salgado Création musicale : François-Bernard Mâche Architectes du Pavillon : Simon Vélez et Stefana Simic Bureau d’études architecte : Jean-Marc Weil (C&E Ingénierie) Patronage : Unesco Producteur : Fonds de dotation Contemplation Mécène d’honneur : Vinci Construction France Frédéric Gluzicki
Il y a 3 ans et 72 jours

Essonne : cure de jouvence pour la halle de Milly-la-Forêt

La Direction régionale des affaires culturelles, la région Ile-de-France et le département de l’Essonne soutiennent le projet de restauration de la halle de Milly-la-Forêt.
Il y a 3 ans et 72 jours

Powtech

Powtech est le salon pour les experts du traitement et de l'analyse des poudres et des solides en vrac. Cet évènement offre une plate-forme de présentation des innovations et des avancées dans les processus de fabrication de produits fabriqués et traités à partir de poudres, de granulés, de solides en vrac et de liquides - également des processus du secteur de l'environnement et du recyclage.
Il y a 3 ans et 72 jours

Préventica Lyon 2022

Préventica est un rendez-vous incontournable de l'innovation pour la qualité de vie au travail et la performance globale de l'entreprise. C'est un événement professionnel de référence en matière de santé, sécurité…
Il y a 3 ans et 72 jours

Journées professionnelles de la Construction 2022

Les Journées professionnelles de la construction rassemblent, pendant 2 jours, les professionnels du secteur de la construction. Cet évènement, organisé par la Capeb, réunit quelque 5 000 visiteurs. Un salon professionnel ouvert aux artisans et entreprises du bâtiment.
Il y a 3 ans et 72 jours

Les travaux du tunnel de Tende dans la vallée de la Roya devraient reprendre en avril côté français

La réunion de la Conférence Intergouvernementale (CIG) des Alpes du Sud a validé le 1er avril une solution technique qui "permet la relance des travaux et notamment la reprise du percement du tunnel sur le front d'attaque français avant la fin du mois d'avril 2022, les travaux du tunnel côté italien étant en cours depuis novembre 2021", a indiqué le ministère dans un communiqué.La délégation française souhaiterait autoriser la circulation des usagers locaux avant la mise en service au trafic général. L'organisme de gestion des routes italiennes, l'Anas, s'est engagée à chercher à apporter une réponse favorable à cette demande, tout en soulignant les difficultés d'une telle solution, selon le ministère."Cette liaison est vitale pour relancer l'activité de la Roya", a souligné Charles-Ange Ginesy, président du Conseil départemental des Alpes-Maritimes, sur Twitter. "Or la Commission intergouvernementale prévoit l'achèvement du nouveau tube du tunnel pour l'automne 2023 et le rétablissement d'une pleine circulation mi-2025".Le doublement du vieux tunnel de Tende, datant de 1882, avait déjà dû être stoppé en 2017 par un scandale de vol de matériaux et de fraude. Le percement de la deuxième galerie venait de reprendre quand la catastrophe météorologique a eu lieu.Côté rail, la conférence a approuvé le lancement d'études sur la mise en sécurité et la pérennisation de la ligne Coni-Tende-Vintimille, qui a repris partiellement fin décembre 2021. Financées à parts égales par la France et l'Italie, elles seront menées pendant deux ans par SNCF Réseau.En octobre 2020, la tempête Alex a provoqué des crues exceptionnelles dans les Alpes-Maritimes, causant au total dix morts, huit disparus et deux milliards d'euros de dégâts, en particulier dans les vallées dévastées de la Vésubie et de la Roya.
Il y a 3 ans et 72 jours

La pollution de l'air diminue en Ile-de-France, mais pas assez, indique Airparif

La pollution de l'air est à l'origine de "pathologies chroniques graves, en particulier des pathologies cardiovasculaires, respiratoires et des cancers", rappelle Airparif dans son bilan 2021. Si la qualité de l'air s'est améliorée en Ile-de-France l'an dernier, "dans la poursuite des tendances observées ces dernières années", "60.000 Franciliens sont toujours exposés à des concentrations dépassant la valeur limite réglementaire française et européenne pour le dioxyde d'azote (NO2), le long des grands axes de circulation" comme le périphérique et l'autoroute A1, selon un communiqué."Pour les particules PM10, un dépassement de la valeur limite est encore relevé pour moins d'un millier d'habitants", selon le communiqué.Les concentrations en dioxyde d'azote et en particules (PM10 et PM2.5) sont en recul comparé à 2019 et aux années précédentes, précise l'observatoire de la qualité de l'air en Ile-de-France. Cette tendance à la baisse est notamment liée au reflux des émissions causées par le chauffage résidentiel et le trafic routier, explique Airparif.Comparé à 2020 en revanche, année particulière marquée par le Covid-19, "les niveaux en NO2, PM10 et PM2.5 ont légèrement augmenté".En 2021, il y a eu 11 épisodes de pollution, dont 10 "pour les particules PM10 et un à cause de l'ozone (...) soit le nombre de journées de dépassement le plus bas depuis dix ans".Les recommandations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), plus strictes que la réglementation UE et durcies en 2021 pour prendre en compte les connaissances les plus récentes sur l'impact sanitaire de la pollution de l'air, sont "toujours largement dépassées pour l'ensemble des 12 millions d'habitants d'Île-de-France", avertit toutefois Airparif.C'est le cas "sur l'ensemble de la région pour les particules fines PM2,5 et pour l'ozone, pour 95% des habitants pour le dioxyde d'azote et pour 80% des habitants pour les particules PM10". Respecter ces recommandations permettrait d'éviter 7.900 décès prématurés chaque année, estime Airparif, qui se base sur une étude qu'il a publiée début 2022 avec l'Observatoire régional de santé Île-de-France (ORS).
Il y a 3 ans et 72 jours

Découvrez le programme d'Éric Zemmour pour le BTP en infographie

INFOGRAPHIE PRÉSIDENTIELLE. Le candidat du parti Reconquête veut faire de la préférence nationale le socle de son programme présidentiel. À ses yeux, ce principe doit s'appliquer aussi bien pour l'attribution de logements sociaux qu'en termes de choix industriels pour le mix énergétique, avec un fort soutien à la filière nucléaire tricolore, sans oublier la compétitivité des entreprises. Décryptage en 3 points et une infographie du programme d'Éric Zemmour.
Il y a 3 ans et 72 jours

Eau et changement climatique : entre urgence et résilience

Décliné simultanément dans 16 régions de France par les délégations territoriales de l’organisation professionnelle, cet évènement national était placé sur le thème « Eau et changement climatique : entre urgence et résilience ».Interviewée en duplex par le Président des Canalisateurs Alain GRIZAUD, la célèbre hydrologue Emma HAZIZA a rappelé les impacts du changement climatique sur les ressources en eau douce française qui ont vu apparaitre en 2020 les premiers conflits d’usages. Dans cet inquiétant contexte, syndicats et régies des eaux, représentants locaux de la maitrise d’œuvre et de la maitrise d’ouvrage ont témoigné de leur engagement, pour préserver une ressource en eau de plus en plus rare, et pour maintenir impérativement la qualité des infrastructures de réseaux d’eau potable et leur pérennité.« Avec le changement climatique, l’équilibre du cycle de l’eau douce est en danger dans notre département ! Les nappes phréatiques sont fragiles, elles accusent une diminution de 20% en moyenne chaque année » alerte Régis RIQUE délégué départemental Allier des Canalisateurs Auvergne. Ce constat a été illustré par l'hydrologue Emma HAZIZA.Un Européen consomme en moyenne 5.000 litres d’eau par jour ! « Il y a toujours eu des épisodes climatiques extrêmes dans l'histoire » rappelle en préambule la scientifique. Mais au-delà de la variabilité naturelle, Emma HAZIZA note des phénomènes nouveaux : « On est maintenant face à des paramètres qui sont de l'impensable, de l'impossible. » Des signes sont apparus à partir de 2014 jusqu'à la « cassure » de 2017 où la sécheresse a duré jusqu'à fin décembre avant de basculer en 2018, sur trois semaines de pluies provoquant une crue de la Seine, pour se prolonger en 2019 par des chaleurs historiques de 42 ºC à Paris et 46ºC dans le Gard puis par des feux de champs en Picardie en 2020 avec des premiers conflits… d’usage de l’eau ! Et 2021, marquée par des dômes de chaleur ayant provoqué épisodes pluvieux et crues dévastatrices en Allemagne et en Belgique ! Pourquoi de telles variations ? « Parce que l'eau est instable. Plus les sécheresses sont intenses, plus l'eau s'accumule dans l'atmosphère alors qu'elle n'est pas capable d'y rester », répond la scientifique. Or un Européen consomme en moyenne 5.000 litres d’eau par jour (nourriture, hygiène, déplacements, etc.) : les besoins sont colossaux. « Derrière tout ce qu’on achète se cache de l’eau, de l’eau « indirecte ». Et quand l’eau « indirecte » commence à manquer, cela influe sur les prix ». Blé, énergie… tout dépend de l’eau. Car une calorie nécessite un litre d’eau pour être produite ! Sécuriser et renouveler les réseaux d’eauAvec les Assises de l’eau sur le petit et le grand cycle de l’eau d’août 2019, une véritable prise de conscience a été actée. Depuis la crise sanitaire, le plan de relance national de 2021 a réactivé la nécessité de la sécurisation des réseaux. Au niveau régional, c’est entre 20% et 25% de l’eau traitée qui repart dans la nature faute de renouvellement des réseaux ! » s’alarme Stéphane GRAUPNER, délégué régional Rhône-Alpes Canalisateurs du Sud-Est, en soulignant avec Jean-Luc GARCIA, président de Canalisateurs Auvergne le besoin de sécuriser la ressource en eau et ses financements.Gestion de l’eau sur les territoiresSavoir se réorganiserAvec la loi NOTRe, la gestion de l’eau est devenue compétence communautaire au 1er janvier 2020. Loire Forez Agglomération (87 communes) par exemple hérite ainsi de 1 890 km de réseau, 140 réservoirs, 22 sites de forage et 40 stations de pompage sur un territoire où cohabitaient 47 gestionnaires de l’eau, avant le transfert de compétence… « Nous avons travaillé sur les dynamiques locales, ce qui a permis de réorganiser un modèle plus collaboratif entre les territoires » souligne Patrice COUCHAUD, Vice-Président de Loire-Forez Agglomération. Avec cette nouvelle organisation, la collectivité va harmoniser le prix de l’eau d’ici 2026. « Dans cinq ans, tous les abonnés paieront légèrement plus cher leur mètre cube d’eau. Cette légère hausse financera un plan d'investissement pluriannuel pour mettre à niveau nos infrastructures ! » souligne l’élu qui prévoit d'investir 5,7 millions € pour refaire ses canalisations les plus âgées.Jouer collectif et investir« Il y a urgence ! » alerte Denis DELHOMME, administrateur de CINOV Ingénierie. « Il est nécessaire d’investir dans le renouvellement des réseaux ! Seulement 0,6%* des réseaux sont renouvelés par an en France ! Ce n’est pas suffisant. A ce rythme, il faut 150 ans pour renouveler la totalité des réseaux ! » (*sources SISPEA 2019) ajoute le représentant des maitres d’œuvre qui encourage les collectivités à signer des accords-cadres, à faire appel aux cabinets d’ingénierie pour continuer à innover, trouver de nouveaux outils, rechercher les fuites… et investir dans le renouvellement des infrastructures en eau en encourageant les élus à faire de l’eau un pilier de leur politique.Avec un taux de rendement du réseau d'eau de 84%, le département de l’Allier est au-dessus de la moyenne nationale (80%). Selon François LIPONNE, Directeur général délégué au Cycle de l'Eau à Vichy Communauté, ce « bon résultat » s’explique par la structuration très ancienne de la maîtrise d'ouvrage, surtout en secteur rural. Dès les années 50-60, les communes rurales se sont regroupées en syndicats de plusieurs dizaines de communes, ce qui leur a permis d’avoir la capacité technique de pouvoir gérer ses équipements et les maintenir en bon état.« Grâce à cette force de frappe collective, une dynamique forte de renouvellement des réseaux s’est engagée et le mouvement est bien en marche ! Le département a un rôle majeur dans l’aménagement technique » ajoute-il. Le Conseil Départemental de l’Allier prévoit en effet d’investir entre 200 à 250 millions d'€ pour les réseaux d’eau sur les 25 ans à venir : sécurisation, capacités de production supplémentaires, création de nouveaux réseaux avec gros diamètres pour amener l'eau à tout point du département avec groupes de pompage et réservoirs de secours. Du Val de Loire au Val d'Allier, du Val d'Allier au Val de Cher, le département sera interconnecté… en eau.Vichy Communauté fera des investissements marqués sur le cycle de l’eau avec 6 millions € au total pour la rive gauche de l’Allier, le Sichon et l’aménagement des bases de loisirs/tourisme de Saint-Yorre, Abrest et Saint-Germain-Billy, soit près de 15% de son budget d’investissement 2022.Plusieurs autres organisations ont lancé leur schéma directeur d'alimentation en eau potable qui a permis de bâtir un programme pluriannuel d'investissement, suite à l’étude patrimoniale de leur réseau, comme le témoigne Guillaume DAUPHANT, Vice-Président du Syndicat Intercommunal d’Adduction d’Eau Potable Basse Limagne, dans le Puy de Dôme.Innover et formerAméliorer la performance des réseaux et mieux gérer la ressource en eau est possible grâce à l’apport de l’innovation. « La généralisation des détecteurs de fuite avec puces RFID et l’utilisation accentuée de logiciels de gestion prédictive viennent renforcer efficacement les outils actuels de surveillance (télégestion) et de comptages sectoriels » souligne François LIPONNE qui met l’accent sur la formation des agents qui permet de les impliquer sur des « métiers passion » en les faisant monter en compétence. L’agglomération de Vichy travaille également sur des nouveaux aménagements pour réduire la pollution des sols d’origine agricole, qui passe par des procédés innovants de filtration d’eau.Faire de la pédagogie pour « rendre visible l’invisible » et agir sur les territoiresPrix de l’eau et communicationSelon le Vice-Président du SIAEP Basse Limagne, le prix de l’eau et la communication qui en découle sont au cœur des problématiques : le prix de l’eau est un indicateur important pour les collectivités locales et son impact psychologique est fort. « Mais parler de prix de gestion de l’eau plutôt que du prix de l’eau serait plus juste ! Car cela permettrait de mettre de la valeur sur l’ensemble des acteurs de l’eau, entreprises, maitrise d’œuvre, maitrise d’ouvrage, élus locaux, régies et syndicats dont le travail de qualité demeure capital et encore trop inconnu, voire… invisible ! ».Les territoires Eau-Responsables en Auvergne-Rhône-AlpesEchanger, communiquer et partager. C’est l’enjeu des nécessaires échanges d’expériences à encourager entre collectivités au niveau national qui permettent de mutualiser les pratiques. C’est aussi l’enjeu de stratégies « Eau » récemment mises en place au niveau régional par plusieurs collectivités d’Auvergne-Rhône-Alpes engagées pour des territoires "Eau-Responsables" dossier téléchargeable ICI coordonnés par le Groupe de Recherche, Animation technique et Information sur l'Eau (GRAIE) et l’Association scientifique et technique pour l'eau et l'environnement (ASTEE).La maitrise d’œuvre et l’action pédagogique constituent des fondamentaux dans la connaissance du réseau d’eau par les collectivités. « La généralisation de territoires "Eau-Responsables" à l’échelle régionale permettrait par exemple de retrouver une eau durable et saine, de recharger les nappes souterraines, d’améliorer la qualité de vie en zone urbaine et de mieux gérer le risque inondation, comme c’est le cas dans la vingtaine de territoires Eau Responsables actuels » souligne Patrice COUCHAUD. Ce sont des bonnes réponses à l’urgence climatique !En cette Journée Mondiale de l’Eau et pour clôturer ces échanges, Pierre BERGER, Président de la FRTP Auvergne Rhône-Alpes rappelle que la profession est particulièrement engagée dans la décarbonation et travaille, au niveau national, sur les projets de réutilisation des eaux usées (re-use) afin de faciliter leur mise en œuvre.En remerciant l’ensemble des intervenants pour la qualité des échanges, Michel REGUILLON , président des Canalisateurs du Sud-Est, souligne l’importance de préserver ces rendez-vous professionnels qui permettent « de dialoguer, de rester solidaire face aux problématiques que nous rencontrons, et aussi de renforcer le partenariat entre nos entreprises, les maitres d’ouvrage et les maitres d’œuvre pour une gestion de l’eau à la hauteur des enjeux climatique actuels. »
Il y a 3 ans et 72 jours

Réglementation : COCHEBAT participe à l’élaboration des règles professionnelles de conception et mise en œuvre des canalisations hydrauliques des installations de chauffage en matériau de synthèse

Cochebat annonce le lancement d’une publication destinée aux professionnels de l’installation des réseaux de distribution de chauffage et de conditionnement d’air. Elle définit les règles acceptées par la C2P de la conception et mise en œuvre des canalisations hydrauliques des installations de chauffage et de conditionnement d’air.   Donner un cadre aux professionnels   Dans cette publication, […]
Il y a 3 ans et 72 jours

Plurial Novilia expérimente l'industrialisation de façades isolantes en bois à Reims

INNOVATION. L'acteur de l'habitat social réhabilite une partie de son parc immobilier dans cette ville de Champagne-Ardenne. Il espère faire une économie d'énergie de 40%.
Il y a 3 ans et 72 jours

Velux va stopper définitivement ses activités en Russie

INTERNATIONAL. Le groupe Velux a décidé de mettre fin définitivement à ses activités en Russie et en Biélorussie. Au début du mois de mars, le spécialiste de la fenêtre de toit avait annoncé la suspension de ses opérations en raison de la guerre en Ukraine.
Il y a 3 ans et 72 jours

Les préoccupations des artisans se cristallisent sur les prix de l'énergie et du carburant

CONJONCTURE. Quasiment un chef d'entreprise artisanale sur deux considère dorénavant la hausse des prix de l'énergie et du carburant comme sa préoccupation majeure, d'après un sondage réalisé par la Confédération des petites et moyennes entreprises. À raison de 80% d'entre elles, les très petites structures ayant souscrit des contrats d'électricité au prix du marché sont massivement concernées.
Il y a 3 ans et 72 jours

A Montpellier, un « beau » bâtiment pour les voisins

Pour l’architecte, l’enjeu est la culture. Pour Momo, de Allo Saveurs, l’enjeu est la qualité de vie dans le quartier. Pour le maître d’ouvrage, les enjeux sont sans doute multiples. Visite de la nouvelle Cité des arts de Montpellier (Hérault). Nombreux sont les architectes à se plaindre que l’architecture soit devenue une addition de normes […] L’article A Montpellier, un « beau » bâtiment pour les voisins est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 72 jours

Action Logement a déjà engagé 15.200 logements dans Action coeur de ville

VILLES MOYENNES. L'organisme paritaire finance, sous forme de prêts et subvention, la réhabilitation et la construction de logements dans les centres-villes du programme national à destination des villes moyennes dévitalisées.
Il y a 3 ans et 72 jours

Le Cevisama reporté en raison de la crise énergétique

SALON. Le salon dédié à la céramique et aux équipements de salle de bain organisé par Feria Valencia, Cevisama, annonce reporter son édition 2022 en raison de la conjoncture actuelle.
Il y a 3 ans et 72 jours

Le gouvernement détaille les nouvelles mesures de soutien en faveur des entreprises du BTP

Publication d’une circulaire précisant les modalités de prise en compte des conséquences de la crise dans le cadre des marchés publicsLa pénurie des matières premières et la hausse des prix des approvisionnements sont susceptibles d’avoir des conséquences sur les conditions techniques d’exécution des contrats.Une circulaire viendra préciser les modalités de modifications des contrats de la commande publique lorsqu’elle est nécessaire à la poursuite de l’exécution des prestations. Cette circulaire précisera par ailleurs les modalités de l’application de la théorie de l’imprévision aux contrats publics. Enfin, cette circulaire encouragera les acteurs publics à suspendre les pénalités contractuelles et à insérer une clause de révision des prix dans tous les contrats de la commande publique à venir.Accélération de la publication des index du BTPLes index du BTP sont actuellement publiés 80 jours après la fin du mois. Ces index seront désormais publiés 45 jours après la fin du mois afin d’actualiser plus rapidement les prix des matières premières dans l’exécution des contrats.La nouvelle méthodologie s’appliquera début mai par la mise à jour des index du mois de février ; les index du mois de mars seront publiés mi-mai au lieu de mi-juin.Réactivation des cellules de criseDans chaque département, les cellules de crise BTP (prévues par la circulaire D20016941 du 27 novembre 2020) seront réactivées, réunissant, sous l’égide des Préfets, les fédérations professionnelles de la filière, les distributeurs et industriels locaux et les donneurs d’ordre publics et privés pour offrir un espace de concertation sur les sujets de tension pour le secteur.Par ailleurs, dans chaque région un « référent résilience » sera nommé pour animer les réseaux d’acteurs dont la mobilisation est indispensable, et pour assurer un suivi régulier et lever les éventuelles difficultés susceptibles de freiner l’activité.Mise en place d’une aide temporaire pour les entreprises des travaux publicsLes petites et moyennes entreprises[1] des travaux publics, particulièrement impactées par la hausse du prix du gasoil non routier, qui a connu une hausse plus sensible que le gasoil routier, bénéficieront d’une aide spécifique. Cette aide, d’une enveloppe globale de 80 M€, sera versée en une fois et sera au prorata du chiffre d’affaires des entreprises éligibles. Elle permettra de compenser en partie la hausse des prix du GNR avec l’estimation que les coûts du GNR représentent en moyenne 2,5% du chiffre d’affaire des entreprises du secteur.Il est à noter que les entrepreneurs du BTP bénéficient également de la remise de 15cts/litre qui s’applique au GNR.Réforme sur le GNRLe Gouvernement prend acte de la demande des professionnels de reporter la réforme supprimant l’avantage fiscal sur le GNR, qui doit en principe entrer en vigueur au 1er janvier 2023. A ce stade, les conditions ne sont pas réunies pour ouvrir ce sujet, qui nécessite une loi de finance. Compte-tenu de l’augmentation des prix, le Gouvernement reconnaît toutefois que les conditions de mise en oeuvre de cette réforme ne sont plus réunies et qu’il appartiendra au Parlement d’établir un calendrier lors de la prochaine loi de finances.[1] Entreprise qui emploie moins de 250 salariés et dont le chiffre d’affaires annuel n'excède pas 50 millions d'euros ou dont le total de bilan n'excède pas 43 millions d'euros.
Il y a 3 ans et 72 jours

Les experts de l'ONU remettent leur nouveau rapport sur l'évolution du climat

La croissance des émissions ralentit...Si l'on continue de rejeter trop de CO2 dans l'atmosphère, le rythme a ralenti ces dernières années. Les émissions ont même baissé en 2020, d'environ 5,8% sur un an selon les estimations, avec les confinements et le ralentissement de l'économie liés à la pandémie de Covid-19.La demande en énergie a été réduite quasiment dans tous les domaines, sauf pour les bâtiments résidentiels. Les émissions issues du secteur de l'aviation ont chuté de 45%.Par ailleurs, au moins 24 pays ont réussi à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et la pollution au CO2 depuis une décennie ou plus. Presque tous sont en Europe, mais la liste compte également les Etats-Unis et la Jamaïque. ... mais elles doivent chuter. Et vite.Les émissions ont déjà rebondi à leur niveau d'avant pandémie. Les pays en développement, qui partent d'une base inférieure, connaissent de fortes augmentations.Les émissions par habitant des pays riches restent obstinément élevées, avec une empreinte carbone individuelle en Australie, au Canada et aux Etats-Unis deux fois plus marquée que dans les autres nations occidentales.Nous avons les moyens...Installations photovoltaïques (solaires), éoliennes sur terre et en mer, batteries.... ces technologies bas carbone ont vu leur coût beaucoup baisser."Dans de nombreuses situations, le photovoltaïque et l'éolien terrestre sont désormais compétitifs par rapport aux énergies fossiles", note le rapport.... mais les mauvaises habitudes persistentToute l'électricité devra provenir de technologies bas carbone d'ici 2050 pour se conformer à l'accord de Paris. Une aspiration "mise au défi" par la demande grandissante en électricité.Actuellement, le photovoltaïque et l'éolien représentent moins de 10% du marché. Certains pays et même des banques internationales de développement continuent de subventionner et développer des centrales au charbon.Le transport, la construction et l'industrie peuvent être transformés...L'électrification est une option "faisable, extensible et abordable" pour décarboner les transports.Les véhicules électriques sont en forte croissance. Rechargés avec de l'électricité bas carbone, ils peuvent réduire considérablement les émissions.Il est possible de rendre tout immeuble existant ou neuf quasiment neutre en énergie ou à basse émission.D'une manière générale, la plupart des procédés industriels peuvent être décarbonés via diverses technologies ayant recours à l'électricité ou l'hydrogène, le captage de carbone et l'économie circulaire (recyclage et réutilisation).... mais le changement est lentLes émissions liées au transport ont progressé en moyenne de 2% par an entre 2010 et 2019, à cause d'une "forte demande pour voyager, de véhicules plus lourds, de faibles efficiences, et d'un développement organisé autour de la voiture".Mais le transport maritime et aérien doit aussi être décarboné. Dans le bâtiment, le peu d'ambition politique inquiète. Et la demande en matériaux de base doit être fortement réduite, en même temps que les innovations bas carbone changent d'échelle.L'action pour le climat s'amplifie...Un nombre croissant de pays, et d'entreprises, ont annoncé un objectif de neutralité carbone d'ici le mitan du siècle.Les politiques contraignantes telles que la tarification du carbone se sont développées.Le militantisme climatique se développe, les syndicats commencent à s'impliquer, tandis que la couverture médiatique du changement climatique reflète mieux la réalité scientifique.... mais doit survenir plus rapidementLes engagements actuels des Etats ne permettront pas de limiter le réchauffement à 1,5°C.De nombreux objectifs de neutralité carbone sont "définis de manière ambiguë" et les lois nécessaires ne sont pas encore votées.Les alternatives à faible émission nécessitent beaucoup plus d'investissements, tandis que les partisans du "statu quo" bloquent les progrès.Enfin, rappelle le Giec, les informations erronées en ligne et dans les médias ont "miné de manière significative" la compréhension de la science du climat.
Il y a 3 ans et 72 jours

Nouveau laser rotatif connecté GRL 650 CHVG Une résistance extrême aux conditions les plus rudes

UNE CONCEPTION ROBUSTE POUR UNE UTILISATION DANS DES CONDITIONS DIFFICILES ET PAR MAUVAIS TEMPS Bosch lance sur le marché un nouveau laser rotatif à laser vert longue portée : le GRL 650 CHVG Professional. Précis et facile à utiliser, il offre aux professionnels du bâtiment, du génie civil, des travaux publics, aux façadiers ou encore aux paysagistes […]
Il y a 3 ans et 72 jours

Eqiom se lance dans la valorisation des déchets de béton

Le cimentier a ouvert en Ile-de-France une plateforme pilote de recyclage et de valorisation de déchets de béton issus de chantiers de démolition qui s’inscrit dans sa politique d’économie circulaire.
Il y a 3 ans et 73 jours

Lutte contre le réchauffement climatique : le rapport du Giec distribue les bons et les mauvais points

Comment le monde répond-il au défi de la réduction des émissions de gaz à effet de serre, et de la transition énergétique? Voici un résumé du tableau de bord du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) de l'ONU, dans leur dernier rapport publié lundi 4 avril.