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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88062 résultats)
Il y a 3 ans et 73 jours

KP1 dévoile son plancher Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant

Nouveau plancher Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant de KP1, un système “3-en-1”. [©KP1] KP1 poursuit le développement de son offre préfabriquée Milliwatt, en lançant son plancher Milliwatt Chauffant/Rafraîchissant. Cette nouvelle génération de solutions planchers en toute saison s’inscrit en adéquation avec les exigences de la RE 2020. Ce plancher peut être installé sur tous les niveaux (bas sur vide sanitaire, intermédiaire et haut de garage ou haut de sous-sol). Ceci, en logements individuels comme collectifs. La rapidité comme maître-mot Son atout premier ? Traiter trois fonctions en un unique système : la structure avec la dalle de compression la plus fine du marché (56 mm),l’isolation performante du plancher assurée par la large gamme d’entrevous et de rupteurs thermiques,le chauffage et le rafraîchissement des pièces à vivre, grâce à un kit composé de trames de tubes hydrauliques préformés, d’un grillage, d’accessoires et d’un plan d’installation spécifique au chantier. Ce système préfabriqué complet offre une mise en œuvre rapide. En une demi-journée, une équipe de deux professionnels réalise en moyenne la pose de 120 m2 de planchers. Pas d’étape de séchage de chape ! Un gain de temps entre 5 à 8 semaines pour les constructeurs de maisons individuelles et les particuliers. Ceci, en comparaison d’un système sans chape ou d’un plancher chauffant/rafraîchissant basse température traditionnel.
Il y a 3 ans et 73 jours

Parella Technical – Un atout supplémentaire, présent de la conception à la réalisation des travaux, qui garantit sécurité, confort et cadre de vie optimal des collaborateurs

Parella Technical … est le bureau d’études techniques intégré de Parella. Il propose des expertises techniques, évalue, conseille et conçoit les installations techniques des bâtiments. Parella Technical accompagne ses clients afin d’optimiser la performance énergétique des bâtiments, dans le respect des réglementations thermiques, environnementales et du décret tertiaire. Réelle valeur ajoutée et véritable chaînon du […]
Il y a 3 ans et 73 jours

Nouvelle plate-forme “Bâtiment & Prescription” de l’Untec Services

Logo de l’Untec Services qui vient de lancer sa plate-forme “Bâtiment & Prescription”, à destination des maîtres d’œuvre. [©Untec Services] L’Untec Services a conçu et pensé la plate-forme “Bâtiment & Prescription”, afin de créer plus de proximité entre la maîtrise d’œuvre et les entreprises du BTP. Cette plate-forme propose aux premiers, sous format interactif, la mise en lumière technique des matériaux. Et, pour les secondes, des solutions constructives. Elle diffuse de l’information qualifiée à forte valeur ajoutée à travers des “Capsules techniques” en libre accès. Ces capsules qui comptent jusqu’à 6 modules donnent toutes les clefs et les bonnes pratiques sur les solutions et produits des marques référencées sur la plate-forme. Un module intègre aussi une vidéo d’une durée de 2 à 6 mn, un quiz et des fiches techniques et des documents complémentaires.
Il y a 3 ans et 73 jours

SO ACOUSTIC de CLIPSO relève le défi écologique à Nanterre ! « Origine » – Immeuble tertiaire bioclimatique

Situé à Nanterre, à deux pas de la Défense, Origine est l’ensemble tertiaire d’un projet mixte à l’architecture innovante, un immeuble connecté et écoresponsable qui s’inspire de la nature et de ses bienfaits. Né du concours porté par l’Icade, cet îlot urbain qui couvre près de 70.000 m2 a été remporté par les agences d’architecture Maud […]
Il y a 3 ans et 73 jours

Début 2022, l’activité tient bon… mais de nouvelles incertitudes menacent

 L’ESSENTIEL   En 2021, si le rebond de l’activité a quasiment permis d’effacer les pertes de volumes subies par les entreprises de matériaux pendant les confinements, les stigmates de la pandémie du COVID19 n’ont pas disparu pour autant. La crise sanitaire à l’échelle mondiale a occasionné de nombreuses tensions productives (pénuries d’approvisionnement, difficultés de recrutement, hausse […]
Il y a 3 ans et 73 jours

KE au service de l’école avec la création d’un réfectoire en lumière naturelle à Nice

Un nouveau réfectoire de plein air A Nice, l’Institution Stanislas, école primaire et secondaire accueille de nombreux élèves entre huit et dix-huit ans. Ses bâtiments sont situés au coeur d’une villa historique et son espace extérieur méritait d’être mieux exploité. C’est la société KE, spécialiste des stores et pergolas sur mesure qui a été choisie pour apporter son expertise à ce projet de réfectoire “plein jour” utilisable toute l’année.ISOLA 3 ET KEDRY PRIME, le choix de la complémentarité et de la qualité d’accueilLe bureau de création KE en charge de cette réalisation a porté son choix sur deux pergolas : ISOLA 3 (pergola toile par empaquètement) et KEDRY PRIME (pergola bioclimatique à lames orientables) qui se complètent parfaitement (même structure de base).Leurs propriétés respectives se révèlent essentielles car elles marient confort et bien-être et fournissent aux élèves et aux enseignants une très large zone ombrée avec une protection solaire maximale, une régulation naturelle de la température pendant la saison chaude et un abri en période hivernale ou face à la pluie.Légèreté des lignes et des profilsLes profils de l’ISOLA 3 et de la KEDRY PRIME, ici en couleur Carbon, s’intègrent parfaitement avec l’architecture du bâtiment scolaire et valorisent le parc séculaire qui ceint l’établissement.Le système de vitrage panoramique LINE GLASS protège de la pluie et du vent. Posé également en intérieur, il sépare les élèves de la zone enseignants. Et pour répondre aux exigences d’accessibilité et de sécurité, trois portes avec poignée anti panique équipent également les pergolas.Avec ses solutions et concepts de protections solaire, KE offre de véritables espaces polyvalents et multifonctionnels, des espaces extérieurs inédits et confortables, intelligemment agencés et utilisables en toute saison.Fiche réalisation Nom du projet : Institution Stanislas Lieu : Nice – France Date de réalisation : décembre 2021 Projet par : bureau PMO de KE Donneur d’ordre : Institution Stanislas Surface couverte : 140 m² Produits installés : ISOLA 3 et KEDRY PRIME
Il y a 3 ans et 73 jours

La construction métallique en France : une activité soutenue et des besoins en recrutement XXL

 Pour sa prise de parole de bilan annuel, Roger Briand, Président du SMFC, (Syndicat de la Construction Métallique de France) confirme un dynamisme des activités sectorielles qui concluent l’année 2021 par une progression de + 8 %. Avec un chiffre d’affaires de l’ordre de 4 milliards d’euros (780 000 tonnes mises en œuvre), les 800 […]
Il y a 3 ans et 73 jours

Polycor reçoit la 1ere certification ANSI/NSI 373 en Europe pour sa carrière de Massangis

Une norme durable pour garantir une production responsable Paris, le 8 mars 2022 – Polycor Inc., le plus grand exploitant de carrières de pierres naturelles au monde, annonce aujourd’hui l’obtention de la certification ANSI/NSI 373 (NSI 373) pour son site de Massangis en Bourgogne. Gérée par la Natural Stone Institute (NSI) et accréditée par l’American […]
Il y a 3 ans et 73 jours

Journée internationale des forêts du 21 Mars

LA FILIÈRE FORÊT-BOIS AGIT POUR SENSIBILISER LES CANDIDATS À LA PRÉSIDENTIELLE À SON IMPORTANCE POUR LA DÉCARBONATION ET LA SOUVERAINETÉ ÉCONOMIQUE DE LA FRANCE   La Journée Internationale des Forêts a lieu chaque année le 21 mars. Cette année, la filière Forêt-Bois le rappelle de façon originale aux candidats à la présidentielle, en leur remettant un […]
Il y a 3 ans et 73 jours

Xylorix Inspector, nouvelle application FCBA pour vérifier facilement et rapidement les essences de bois

Pour aider les acteurs de la construction sur un chantier, en négoces ou lors de litiges judiciaires par exemple, à s’assurer de la conformité des essences de bois par rapport aux informations dont ils disposent, l’Institut technologique FCBA a développé une application dédiée : Xylorix Inspector.Le principe est simple : il suffit de positionner un objectif macroscopique grossissant 24x sur son produit bois et l’application, installée sur son smartphone, indique si l’essence recherchée est la bonne.Retenue comme nouveauté 2021 sur le Salon de la Construction et des Travaux Publics Artibat, cette application saura très vite se rendre indispensable pour contrôler les approvisionnements, réaliser des expertises sur site, etc.Xylorix Inspector : une application innovante pour tous les acteurs du boisL’Institut technologique FCBA, en partenariat avec la société spécialisée dans l’intelligence artificielle Agritix et avec le soutien du CODIFAB, a développé Xylorix Inspector, une application, téléchargeable sur son smartphone, destinée à identifier rapidement et facilement les essences de bois. Utilisant l’intelligence artificielle, ce système d’identification des essences de bois innovant est aujourd’hui unique en France et a d’ailleurs été distingué sur le Salon de la Construction et des Travaux Publics Artibat 2021 parmi les nouveautés de l’année.Xylorix Inspector permettra ainsi à tous les acteurs du bois, mais aussi d’une façon plus générale, à l’ensemble des professionnels amenés à travailler autour du matériau (fabricants, importateurs, architectes, professionnels de la régulation des flux de marchandises bois, négoces, experts, etc.) de contrôler les approvisionnements, réaliser des expertises en direct sur le terrain ou simplement s’assurer que les livraisons de panneaux/produits bois sont les bonnes.9 essences de bois, les plus couramment utilisées en France en menuiserie et pour le gros œuvre, sont aujourd’hui identifiables via l’application : Bossé, Chêne, Sapelli, Sipo, Douglas, Epicéa, Mélèze, Pins et Sapin. D’ici 2025, 50 autres essences de bois seront intégrées dans l’application.Comment ça marche ?Xylorix Inspector est simple d’utilisation. Après avoir téléchargé l’application disponible depuis toutes les plateformes mobiles et s’être procuré l’objectif associé, il suffit de :Faire une coupe à l’aide d’une lame de rasoir sur l’échantillon bois ; Placer l’objectif macroscopique grossissant 24X sur le téléphone ;Indiquer l’essence du bois censée être celle du produit concerné ;Prendre une photo de l’essence de bois à l’endroit de la coupe ;En quelques secondes, l’application confirme ou infirme l’information indiquée.
Il y a 3 ans et 73 jours

QUANTRON : la conversion d’utilitaires aux entraînements zéro émission connaît un net succès

Quantron AG a réalisé en 2021 un chiffre d’affaires de 10 millions d’euros. Cela représente une hausse d’environ 500 % par rapport aux chiffres de 2020 Seuil de rentabilité atteint en 2022 par l’unité commerciale « Rétrofit » Volume des commandes 2022 estimé à 400 véhicules zéro émission Volume de chiffre d’affaires potentiel réalisable estimé à 60 millions […]
Il y a 3 ans et 73 jours

Doka, gamme ErgonomiX pour alléger votre charge de travail

Doka Ergonomix Pour préserver la santé et le bien-être des compagnons sur le long terme, les conditions de travail sur les chantiers doivent être améliorées. Afin d’alléger votre charge de travail et réduire les TMS, Doka France vous propose la gamme ErgonomiX, une offre de solutions de coffrage et d’étaiement pour contribuer à la réussite de votre projet. Ergonomix – gamme de 6 produits Associant légèreté, robustesse et ergonomie, cette gamme vous permet d’améliorer la productivité ainsi que la sécurité sur vos chantiers ! La gamme ErgonomiX comprend déjà 6 produits :  Le nouveau coffrage manuportable DokaXlight – Ultra-léger : 22,6 kg par panneau 0,75 x 1,50 m ;La tour d’étaiement intuitive Tour Excellence – Niveau sécurité MDS1 et moins de 15 kg/pièce ;L’étai poids plume Eurex 20 LW – 20% de poids en moins qu’un étai standard ;La poutrelle Alu 20 – seulement 6,4 kg/ml ;L’étai Eurex 60 – Tirant poussant en aluminium avec 8.55 kg/m pour 5.50 m ;Et le bracon de stabilisation DokaRex – Jusqu’à 30% plus léger qu’un bracon concurrent. Doka – spécialiste du coffrage et de l’étaiement s’investit chaque jour dans le secteur de la construction pour apporter conseils, solutions et expertises en terme de coffrage et d’étaiement. Avec plus de 160 sites de vente et de logistique dans plus de 60 pays, Doka dispose d’un réseau de distribution performant pour apporter conseils avec un service client et une assistance technique sur place. Doka emploie 7 300 personnes dans le monde et est une société du groupe Umdasch, qui est synonyme de fiabilité et d’expérience depuis plus de 150 ans.  En France, c’est plus de 140 collaborateurs répartis dans 4 agences avec chacune un entrepôt à Paris, Nantes, Lyon et Marseille. Plus d’infos sur Doka.fr
Il y a 3 ans et 73 jours

Un éco-organisme dédié à la responsabilité élargie des producteurs pour les produits et matériaux de construction

Ecominéro : l’éco-organisme de la filière minérale dévoile l’identité de ses 30 premiers actionnaires   Ce 17 mars, Michel André, président d’Ecominéro et directeur général de CEMEX Matériaux Europe de l’Ouest, a annoncé la création officielle de l’entreprise Ecominéro : l’éco-organisme de la filière minérale. Il est créé par et pour les fabricants de produits ou […]
Il y a 3 ans et 73 jours

Modern Movement – La nouvelle collection moderne et graphique de Milliken

Milliken annonce le lancement de sa nouvelle collection Modern Movement. Les lignes simples et épurées de ces lames textiles forment des motifs contemporains graphiques qui apportent texture, relief et raffinement à l’espace. La nouvelle collection Modern Movement s’inspire de formes géométriques, de compositions asymétriques, de structures simples et angulaires et d’une esthétique minimaliste. Elle se décline […]
Il y a 3 ans et 73 jours

A Grenoble, pour Schneider Electric, IntenCity selon Groupe-6

Groupe-6 a livré en 2020 dans le quartier de la Presqu’Ile Scientifique, à Grenoble (Isère), IntenCity, un ouvrage de 26 000 m² devant accueillir 1 350 personnes. Conçu pour Schneider Electric, maître d’ouvrage, le bâtiment se veut un emblème durable aux performances exceptionnelles. Communiqué. Désignée lauréate du concours initié par Schneider Electric, GROUPE-6 Architectes a conçu […] L’article A Grenoble, pour Schneider Electric, IntenCity selon Groupe-6 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 73 jours

Valdelia mobilise les acteurs du bâtiment en lançant une série d’expérimentations sur le terrain en vue de la mise en œuvre de la REP Bâtiment.

Toulouse, le 21 mars 2022 – Après avoir regroupé près de 600 metteurs sur le marché et professionnels du bâtiment lors de ses deux Tournées nationales, Valdelia lance à présent 4 thématiques d’expérimentations pour préparer la mise en œuvre de la REP Bâtiment. L’éco-organisme compte ainsi mobiliser les parties prenantes pour valider des schémas décollecte et traitement des déchets du bâtiment envisagés. Ce projet pilote pour l’organisation opérationnelle de la future filière, doit durer 4 mois mais pourrait être prolongé sur une plus longue période. Il a pour objectif de construirecollectivement des réponses opérationnelles, pérennes et à coûts maîtrisés pour la mise en œuvre d’une filière des déchetsde produits et matériaux de construction du bâtiment (PMCB) vertueuse et résolument tournée vers l’économie circulaire.Les inscriptions à l’événement de lancement des expérimentations sur le terrain sont ouvertes, ici :https://bit.ly/experimentationsterrain Si tous les textes officiels encadrant la filière REP Bâtiment n’ont pas encore été publiés, la machine est lancée. Après un cycle de rencontres individuelles et collectives avec l’ensemble des acteurs du bâtiment,l’heure est à l’expérimentation. « Après une première phase de sensibilisation des acteurs du bâtiment sur la nouvelle réglementation liée aux produits et matériaux de la construction du bâtiment découlant de la loi AGEC, puis une seconde phase d’information qui consistait à présenter les savoir-faire de notre éco-organisme et à suggérer des solutions concrètes pour répondre aux obligations réglementaires, l’heure est à l’essai et à la préparation de toute une filière qui va devoir en quelque sorte se réinventer… C’est pourquoi nous lançons aujourd’hui une série d’expérimentations qui seront conduites jusqu’en juillet prochain, voire au-delà, pour tester et valider les dispositifs qui seront déployés au lancement de la filière », précise Arnaud Humbert-Droz, Président Exécutif Valdelia. Une prospective de la future REP PMCB Les groupes de travail ont été constitués dès le début de l’année […]
Il y a 3 ans et 73 jours

La référence en ligne des volets roulants et de leurs accessoires

Édito Lorsque j’ai créé Clic-volet.fr, j’avais comme objectif de sélectionner le meilleur du volet roulant et de ses accessoires, et de permettre aux internautes de passer commande en quelques clics. J’ai constamment fait évoluer notre site, ce qui lui a permis de se faire une belle place dans un secteur très concurrentiel, qui voit régulièrement […]
Il y a 3 ans et 73 jours

Velux quitte définitivement la Russie

Le groupe a annoncé vendredi 1er avril son départ de Russie et de Biélorussie.
Il y a 3 ans et 73 jours

Podeliha dévoile son concept innovant d’habitat déplaçable, « Habiflex® ».

Premier projet sur la commune de Chanverrie (85). Ce mardi 22 mars, Gonzague Noyelle, Directeur général de Podeliha, annonce le lancement de sa toute nouvelle marque Habiflex® en présence de Jean-François FRUCHET, Maire de Chanverrie (85), commune sur laquelle un premier projet de 20 maisons modulaires va être déployé. Habiflex® est un concept inédit d’habitat […]
Il y a 3 ans et 73 jours

Mercredi 30 mars 2022 – Webinaire SNPB sur le pompage du béton.

Le pompage du béton pour des chantiers propres et facilités Le SNPB (Syndicat national du pompage du béton) organise à destination des professionnels du secteur un webinaire revenant sur les avantages du pompage du béton. En effet, cette technique apparue au début des années 1960, permet une livraison souple et maîtrisée. Elle a su évoluer […]
Il y a 3 ans et 74 jours

"Construire plus, plus vite, plus facilement et mieux", Valérie Pécresse

PRÉSIDENTIELLE 2022. Dans une interview à Batiactu, Valérie Pécresse détaille les mesures de son programme relatives aux secteurs de la construction, du cadre de vie et de l'énergie. Relance de la construction de logements, plus grande implication des collectivités locales, vision de la cohésion des territoires, plan pour les infrastructures, nucléaire et mix énergétique, font partie des nombreux sujets abordés.
Il y a 3 ans et 74 jours

L'île grecque de Chalki se met au vert avec un objectif de zéro émission carbone

"Dès aujourd'hui, Chalki et les îles du Dodécanèse ne seront pas seulement des destinations attirantes mais aussi des lieux d'investissements dynamiques dans le secteur de l'énergie propre", a déclaré Kyriakos Mitsotakis, il y a quelques jours pour l'inauguration du projet sur cette île de 26 km2.Le projet s'inscrit dans l'initiative gouvernementale qui vise à transformer les îles grecques en modèle d'économie verte, d'autonomie énergétique et d'éco-mobilité. Dans la première phase, priorité est donnée aux îles les plus petites, non connectées et éloignées, comme Chalki."La transition énergétique de nos îles a pour but de se désengager du lignite en respectant l'objectif européen de réduire les émissions de gaz à effet de serre à 55% d'ici 2030", a rappelé le Premier ministre grec.Une centrale photovoltaïque, en cours d'installation sur l'île touristique bordée de maisons aux couleurs de l'arc-en-ciel, "couvrira les besoins électriques" de ses 470 habitants, selon M. Mitsotakis, et permettra de réduire les factures d'électricité.A l'instar d'Astypalea avec Volkswagen il y a quelques mois, Citroën a livré vendredi une flotte de six véhicules électriques à la police, aux garde-côtes et à la municipalité de Chalki. A terme, l'objectif est de remplacer tous les véhicules thermiques de l'île par des véhicules électriques, selon un communiqué de Citroën.Le directeur général du constructeur français, Vincent Cobée, s'est engagé "à rendre l'électrification accessible à tous" et à "contribuer à la transformation de Chalki en une île qui sera autonome, connectée et durable", selon ce communiqué.Volkswagen comme Citroën cherchent à tourner la page du scandale des moteurs diesel truqués.Outre Citroën, le gouvernement grec avait signé en juillet ce partenariat avec le français Vinci Energie, et les grecs Syngelidis et Akuo Energy,Il a récemment élaboré un projet de loi sur "la transition" énergétique dans le cadre des engagements de la Grèce pour la réduction de la production de lignite et la fermeture de la majorité des usines le produisant d'ici à 2023.WWF et Greenpeace ont toutefois critiqué l'absence de date butoir pour mettre fin à l'exploitation minière de la société d'électricité (PPC), permettant de prolonger le fonctionnement des usines de lignite au-delà de 2023, au regard de la crise énergétique.
Il y a 3 ans et 74 jours

Bureaux et serre agricole à Paris-Bercy, par Hardel Le Bihan

L’agence Hardel Le Bihan architectes a livré en 2021 la transformation des bureaux d’Andrault & Parat dans l’ensemble immobilier de l’AccorHotels Arena, rue de Bercy à Paris (XIIe). Surfaces : 15 250 m² dont une serre agricole verticale sur huit niveaux. Coût : 31,6 M€. Communiqué. Ce chantier de réhabilitation de grande envergure, mené avec […] L’article Bureaux et serre agricole à Paris-Bercy, par Hardel Le Bihan est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 76 jours

URW va miser sur la publicité ciblée dans ses centres commerciaux

Le groupe va créer une division dédiée à l'analyse des données de fréquentation de ses plus de 50 centres commerciaux en Europe et à la commercialisation, auprès des enseignes qu'ils hébergent, de campagnes publicitaires ciblées, donc plus lucratives."Au travers de différents capteurs, que ce soit des beacons, le wi-fi, des caméras qui peuvent être dans nos écrans (...) on a développé une capacité à mieux comprendre qui visite nos centres et comment", a expliqué à l'AFP le président du directoire d'URW, Jean-Marie Tritant."Ce sont des données anonymisées mais qui permettent de mieux décomposer notre clientèle et son comportement. Ce qui permet d'avoir une communication beaucoup plus ciblée pour les enseignes (...) On va pouvoir dire combien de gens ont été exposés à une communication et combien cela a généré, par exemple, de trafic dans les boutiques", a-t-il ajouté.Le groupe prévoit de dégager 75 millions d'euros de chiffre d'affaires de cette activité d'ici 2024 et 200 millions en 2030.Il envisage par ailleurs de développer davantage de projets immobiliers mixtes, incluant également des logements, alors que son coeur de métier reste les centres commerciaux et les bureaux."C'est principalement de la densification, c'est-à-dire qu'on va densifier les sites, on va récupérer des zones de parking, des extensions sur les toits... ce sont des parcelles déjà artificialisées dont on peut mieux gérer la finalité et permettre cette mixité d'usage qui va devenir de plus en plus nécessaire et importante", a détaillé Jean-Marie Tritant.URW réitère son objectif de se séparer d'ici fin 2023 de la plupart de ses actifs aux États-Unis, une vingtaine de centres commerciaux valorisés à 12 milliards d'euros fin 2021. Mais le calendrier de ces cessions n'a pas été dévoilé.Ces actifs, issus de l'absorption en 2018 du groupe Westfield, ont lourdement endetté URW et causé un changement houleux de direction en 2020, quand les opposants à cette acquisition ont pris le pouvoir.En Europe, URW doit encore céder 1,5 milliard d'actifs d'ici à la fin 2022 pour poursuivre son désendettement. Il vise pour 2024 un ratio d'endettement de 40%, contre 43,3% fin 2021.
Il y a 3 ans et 76 jours

Craintes d'expulsions record avec la fin de la trêve hivernale

Le 1er avril, il sera à nouveau possible d'expulser des locataires de leur logement, à l'issue des cinq mois légaux de trêve hivernale où c'est impossible sauf exceptions.C'est la première fois depuis que le Covid-19 circule en France qu'elle n'est pas prolongée. En 2020, elle l'avait été jusqu'en juillet et en 2021 jusqu'à fin mai.Le nombre d'expulsions, après un record en 2019, avait ainsi nettement diminué. Faute de temps pour les pratiquer, mais aussi parce que la ministre Emmanuelle Wargon avait donné consigne aux préfets d'éviter les expulsions sans solution, l'État indemnisant les bailleurs.Mais cette année, fait-on savoir au ministère, "il n'y a pas de circonstances qui obligeraient à prolonger la trêve hivernale. (...) La consigne reste quand même d'une application avec beaucoup de discernement, notamment concernant des familles ou des gens de bonne foi", ajoute-t-on."Retour à la normale"La consigne aux préfets sera "dans la continuité de l'année dernière", promet-on au ministère.Pas de quoi éteindre les préoccupations des associations de lutte contre le mal-logement."Ce qu'il a été possible de faire pendant la crise, ce serait des choses qu'il faudrait absolument maintenir en 2022, pour faire en sorte qu'on ne se retrouve pas avec plein de familles expulsées derrière", souhaite Nathalie Latour, directrice générale de la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS) qui regroupe des centaines d'associations contre l'exclusion.Selon une étude de la fondation Abbé-Pierre sur 66 ménages expulsés, publiée mercredi, 32% d'entre eux n'ont pas retrouvé de logement fixe un à trois ans après. L'expulsion, note la fondation, a un impact sur la santé physique et psychologique, 71% des ménages faisant état de problèmes de santé ou de difficultés psychologiques. Les enfants en souffrent aussi : quatre familles sur cinq constatent une dégradation de leur bien-être et deux sur cinq un impact sur leur parcours scolaire."Notre crainte, c'est qu'en 2022, où il y a une sorte de retour à la normale dans les politiques et dans l'attitude générale, on reprenne le rythme habituel de 18.000 expulsions, plus tous ceux qui étaient en sursis", dit également Manuel Domergue, directeur des études de la Fondation Abbé-Pierre.Il redoute également qu'un éventuel changement de ministre, après les élections présidentielle et législatives, ne laisse davantage les mains libres aux préfets pour expulser."Nous estimons que le nombre de situations conduisant à des expulsions va en se réduisant grâce à une politique active de prévention", a réagi la ministre du Logement Emmanuelle Wargon, s'attendant à "entre 10.000 et 15.000 expulsions sur l'année".CoupuresD'autant que le contexte social est défavorable : la flambée des prix de l'énergie pourrait grever le budget de ménages précaires et augmenter le nombre d'impayés de factures et de loyer.Car la fin de la trêve hivernale permet aussi aux fournisseurs de couper l'électricité et le gaz aux mauvais payeurs.Si l'opérateur historique EDF a promis de ne pas procéder à de telles coupures, leur préférant une réduction de puissance pour assurer un "service minimum" (lumière, réfrigérateur, recharge de téléphone), il n'a pas été suivi par ses concurrents.L'autre source d'inquiétude pour les associations concerne l'hébergement d'urgence, qui permet aux personnes sans domicile d'éviter de se retrouver à la rue.Cette année, les places créées pour l'hiver ne sont pas supprimées, comme c'était le cas auparavant. Mais malgré la fin de cette "gestion au thermomètre", réclamée de longue date par les associations, le nombre de places, d'environ 200.000 actuellement, doit passer à 190.000 d'ici à la fin de l'année. Cette réduction se fera une fois que les besoins par département auront été évalués par les préfectures avec les associations, promet-on au ministère. Un travail encore en cours.
Il y a 3 ans et 76 jours

Face à la hausse des prix du carburant, près de 50% des français sont prêts à passer à un véhicule électrique

Ce passage à l’électrique dans les années à venir pourrait bouleverser de manière très palpable le marché automobile. Aujourd’hui encore, la majorité des Français possède un véhicule à essence ou diesel (85%, 53% essence et 46% diesel). Imaginer que 43% d’entre eux puissent envisager de franchir le cap de l’électrique revient à dire que 37% de l’ensemble des Français pourraient s’initier à l’électrique dans les prochaines années.Le constat est plus flagrant en zone urbaine.50% parmi les habitants d’agglomérations de 20 000 à 100 000 habitants et 45% des habitants des agglomérations d’au moins 100 000 habitants se disent prêts à passer le cap (versus 35% en zone rurale); et même 51% des répondants résidant en Ile-de-France.L’attrait pour l’électrique est important et se veut imminentPlus concrètement, près d’un possesseur de véhicules thermiques sur cinq déclare avoir pour objectif de le remplacer d’ici 2025 (18%). Dans le détail, parmi ceux disposant d’un véhicule diesel ou essence, 5% seraient prêts à changer d’ici la fin de l’année, 8% d’ici deux ans et 5% à partir de 2025. Un quart des conducteurs de véhicules thermiques exprime le souhait de le faire mais ne se prononce pas sur la date exacte de changement de véhicule (25%).Les moins de 50 ans sont plus enclins à passer vers des énergies plus vertes concernant leur véhicule d’ici 2025 (21% contre 14% des 50 ans et plus). Plus particulièrement, près d’un quart des moins de 35 ans souhaite le faire d’ici trois ans (24%). Les catégories socio-professionnelles aisées, ayant un pouvoir d’achat certainement plus important, sont, elles aussi plus réceptives au changement (24% contre 15% des catégories populaires).Certains freins persistent toutefois sur plus de la moitié des propriétaires de véhicules à essence ou à dieselLes craintes qui pouvaient être présentes à l’arrivée sur le marché des véhicules électriques ne sont désormais plus d’actualité. Seule une minorité discrédite le manque de choix dans les gammes pour l’électrique (9%) et redoute que les batteries ne prennent feu (5%).Les raisons pratiques et économiques sont les premiers freins évoqués. Le coût d’achat d’un véhicule électrique peut aller de 20 000 € à 90 000 € environ. Ce coût freine encore une majorité des répondants (69%). Les foyers ayant de faibles revenus (moins de 2000 euros par mois) craignent davantage d’investir dans des voitures électriques (78% contre 66% de foyers aux revenus supérieurs).La batterie est perçue comme un des inconvénients principaux de la voiture électrique. La moitié des possesseurs de véhicules thermiques ne souhaitant pas passer à l’électrique remet en cause son manque d’autonomie (51%).Le manque de points de charge est également un point de frustration pour plus d’un tiers des répondants (40%) et même 46% des sondés vivant en agglomération parisienne.Enfin, le temps de charge de la batterie apparaît également comme un frein pour un tiers des répondants également. Si le temps de charge est perçu comme une difficulté par un tiers des détenteurs de véhicules diesel ou essence ne souhaitant pas investir dans l’électrique, il apparaît néanmoins comme un futur levier pour adhérer à l’électrique. Les habitants de l’agglomération parisienne sont également les plus susceptibles d’être intéressés par un temps de charge accéléré (50% pointent la longueur de temps de charge contre 33% des ruraux). Pour Aurélien de Meaux, Fondateur d’Electra : “Le véhicule électrique va trouver sa place dans les foyers français, certainement plus rapidement que prévu. Nous avons conscience que pour accompagner cette transition énergétique, il est essentiel de multiplier les points de recharge et surtout les points de recharge rapides et fiables. Ce sondage vient également conforter notre volonté d’axer notre développement de stations de recharge rapide en priorité dans les zones urbaines.”
Il y a 3 ans et 76 jours

Logement : Des prix toujours en hausse en Île-de-France, selon les notaires du Grand Paris

IMMOBILIER. La conjoncture immobilière francilienne entre novembre 2021 et janvier 2022 des notaires du Grand Paris montre des ventes de logements en baisse dans la région. A contrario, les prix augmentent en dehors de la capitale.
Il y a 3 ans et 76 jours

Inflation : les travaux publics confrontés à un véritable "changement de cycle"

ADAPTATION. La hausse des prix sur les prix des matériaux et sur ceux de l'énergie oblige les entreprises de travaux publics à revoir leurs stratégies et leurs façons de faire. Et parfois à revenir à des méthodes laissées de côté depuis plusieurs années par le secteur.
Il y a 3 ans et 76 jours

Porté par les gros travaux, le marché du bricolage est toujours aussi dynamique

CONJONCTURE ET TENDANCES. Le marché du bricolage ne faiblit pas. En 2021, le chiffre d'affaires du secteur est encore en croissance, porté notamment par le secteur du Bâtiment. Décryptage des tendances en chiffres.
Il y a 3 ans et 76 jours

Les artisans attendent des aides "ciblées" pour surmonter le choc de la guerre en Ukraine

CONJONCTURE. Quasiment les deux tiers des chefs d'entreprises artisanales affirment être directement impactés par le conflit russo-ukrainien, selon un récent sondage du réseau des Chambres de métiers et de l'artisanat. Un tiers des dirigeants explique avoir besoin d'une aide pour passer le cap, tandis qu'un quart demande un dispositif spécifique au carburant.
Il y a 3 ans et 76 jours

Certification et gestion forestière durable au cœur des enjeux de la construction bois

Dans le cadre de la Journée internationale des forêts, Fibois Île-de-France, l’ONF et PEFC France ont organisé une matinée en forêt de Villefermoy (77), dédiée à la gestion durable des forêts et à la certification forestière. Architectes, aménageurs, maîtres d’ouvrage et prescripteurs de la construction ont été conviés pour cette visite inédite. Ils ont ainsi pu être sensibilisés à la certification forestière PEFC, avec, en ligne de mire, le développement du secteur bois-construction en France. Les invités ont pu découvrir la réalité de la gestion durable grâce à une visite commentée par Benoît Bocquet, responsable du service commercial bois pour l’Île de France à l’ONF et Grégory Coué, chargé des activités forêts au sein de PEFC Ouest. La visite a notamment fait une étape sur une parcelle dont sont issus des bois sélectionnés pour la reconstruction de la Cathédrale Notre-Dame de Paris. Certifiée PEFC pour sa gestion durable, la forêt de Villefermoy, en Seine-et-Marne, produit principalement du chêne mais également du charme et du hêtre.
Il y a 3 ans et 76 jours

Conflit russo-ukrainien : quel impact sur les entreprises artisanales ?

A la suite d’une enquête réalisée auprès des chefs d’entreprise artisanale cette semaine, le réseau des CMA, partenaire de premier plan des artisans dans tous les territoires, se mobilise pour les 1,8 million d’entreprises artisanales qu’il accompagne et travaille à la mise en place rapide des aides prioritaires afin de préserver l’activité économique du secteur.Les artisans rencontrent des difficultés économiques en lien direct avec le conflitDans une précédente étude menée par le réseau des CMA en janvier 2022, 28,2% des chefs d’entreprise artisanale disaient ne pas avoir ménagé leurs efforts pour développer et gérer autrement leur activité sur les 6 derniers mois. Face à l’urgence de la situation, l’optimisme des artisans et la bonne dynamique du secteur se retrouvent impactés. Le réseau des CMA constate une inquiétude généralisée.Une nouvelle enquête, menée du 25 au 30 mars 2022 auprès des chefs d’entreprise artisanale, permet aux CMA de mesurer l’ampleur de l’impact. Le réseau des CMA relève ainsi que 3 difficultés représentatives de la tendance nationale se distinguent :La hausse du coût de l’énergieLes difficultés d’approvisionnementUne baisse du chiffre d’affaires11% des chefs d’entreprise interrogés estiment que leur activité est déjà fortement impactée par le conflit. Pour la moitié d’entre eux, ils estiment que leur activité est impactée à moins de 25%. Ces remontées du terrain ont alerté le réseau des CMA sur la nécessité de mettre en place des mesures rapides de soutien.Le réseau des CMA a également interrogé les artisans sur les aides prioritaires à mettre en place :30% ont répondu avoir besoin d’une aide pour maintenir leur chiffre d’affaires26% ont répondu avoir besoin d’une aide pour le carburantEn réponse à ces inquiétudes, le réseau des CMA redouble d’efforts pour maintenir le soutien à la filière artisanale et redonner confiance aux artisans. L’enquête confirme bien la nécessité de renforcer les mesures d’aides aux entreprises artisanales.Les priorités des CMA : rassurer et accompagner les entreprisesSi le plan de résilience économique et sociale, présenté par le Gouvernement le 16 mars 2022, affiche des ambitions importantes, il ne cible pas encore suffisamment les artisans qui sont au cœur de l’économie de proximité. Pour faire face à l’envolée des prix, à l’augmentation des charges, à la baisse des marges, aux tensions de trésorerie, et surtout au manque de visibilité, le réseau des CMA a fait remonter des propositions concrètes telles que :la mise en place à titre temporaire d’un chèque énergie (permettant de limiter la hausse des factures de gaz ou d’électricité)la réduction à la pompe de 35 centimes par litre de gazolela non-dégradation par les assureurs crédits de la cotation des entreprisesl’obligation faite aux fournisseurs de garantir leur prix pendant au moins 3 moisLe réseau des CMA répond présent pour accompagner les artisans dans ce contexte. Il se mobilise pour informer les 3,1 millions d’actifs et préserver l’activité de notre économie de proximité.Les artisans sont solidaires de leurs collègues ukrainiens et aspirent à un retour à la paix le plus rapidement possible. Les CMA se tiennent prêtes à accompagner les travailleurs ukrainiens qui seront en recherche d’emplois dès que le Gouvernement aura déterminé les conditions administratives de leur recrutement.Pour Joël Fourny, président de CMA France : « Le sentiment qui prédomine chez les artisans est celui de la solidarité à l’égard du peuple ukrainien. A ce sentiment de solidarité s’ajoute ensuite le sentiment d’inquiétude lié aux conséquences économiques de cette guerre. 59% des chefs d’entreprise artisanale estiment leur activité impactée à moins de 25%. Il est de notre devoir de les rassurer et de leur apporter notre soutien pour maintenir la bonne dynamique économique du secteur. »Pour informer et accompagner les artisans, des cellules de crise ont été réactivées dans les CMA dont les coordonnées sont accessibles en ligne sur www.artisanat.fr.* Enquête en ligne réalisée du 25 au 30 mars 2022 auprès des artisans.
Il y a 3 ans et 76 jours

Massification de façades isolantes en bois

Plurial Novilia, filiale d’Action Logement, expérimente actuellement l’industrialisation et la massification des façades isolantes en bois dans le cadre de la réhabilitation de 127 logements à Reims. Le procédé s’appuie sur la pose en extérieur de la solution Panobloc© de la société Techniwood, une solution de façade en bois de 200mm d’épaisseur isolée avec de la laine de roche, préfabriquée en usine puis assemblée sur site. Outre son excellente performance énergétique, ce treillis structurel en bois composé d’un empilage de plis croisés à 90%, décalés et collés entre eux, permet de réduire de manière drastique le temps de travaux, les délais et les nuisances pour les locataires lors de la mise en œuvre. Cette solution bas carbone s’appuie sur un matériau bois biosourcé de fabrication française, sa mise en œuvre ne nécessite que peu d’intervenants et peu d’équipements, limitant ainsi les nuisances et les déchets. Elle offrira un gain de 20 à 30% sur la performance thermique, tout en supprimant les ponts thermiques et améliorant l’acoustique et l’étanchéité aux éléments naturels (air, eau, vent). Au total, les logements qui présentent actuellement une étiquette énergétique de E ou F selon les lots passeront en moyenne à une étiquette C, pour une réduction des consommations estimée à environ 40% en moyenne. Visuel : Equateur Architecte
Il y a 3 ans et 76 jours

Massification de façades isolantes en bois

Plurial Novilia, filiale d’Action Logement, expérimente actuellement l’industrialisation et la massification des façades isolantes en bois dans le cadre de la réhabilitation de 127 logements à Reims. Le procédé s’appuie sur la pose en extérieur de la solution Panobloc© de la société Techniwood, une solution de façade en bois de 200mm d’épaisseur isolée avec de la laine de roche, préfabriquée en usine puis assemblée sur site. Outre son excellente performance énergétique, ce treillis structurel en bois composé d’un empilage de plis croisés à 90%, décalés et collés entre eux, permet de réduire de manière drastique le temps de travaux, les délais et les nuisances pour les locataires lors de la mise en œuvre. Cette solution bas carbone s’appuie sur un matériau bois biosourcé de fabrication française, sa mise en œuvre ne nécessite que peu d’intervenants et peu d’équipements, limitant ainsi les nuisances et les déchets. Elle offrira un gain de 20 à 30% sur la performance thermique, tout en supprimant les ponts thermiques et améliorant l’acoustique et l’étanchéité aux éléments naturels (air, eau, vent). Au total, les logements qui présentent actuellement une étiquette énergétique de E ou F selon les lots passeront en moyenne à une étiquette C, pour une réduction des consommations estimée à environ 40% en moyenne. Visuel : Equateur Architecte Cet article Massification de façades isolantes en bois est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 76 jours

Alkern met en place sa stratégie de développement

Xavier Janin, président d’Alkern, dévoile sa stratégie de développement pour les années à venir. [©Alkern] Alkern voit l’avenir avec ambition. Le spécialiste de la préfabrication en béton souhaite mettre en place sa stratégie de développement pour les années à venir. Et son objectif est de renforcer son expertise sur le béton préfabriqué, « un matériau d’avenir ! », affirme Xavier Janin, président d’Alkern. En effet, le matériau offre des performances acoustiques et thermiques qui permettent de bénéficier d’un bon confort de vie. Il demeure aussi peu consommateur en énergie et 100 % recyclable. Enfin, de nouveaux liants bas carbone seront utilisés pour apporter des réponses aux enjeux liés à la baisse de l’utilisation de ciment de clinker et à la préservation des ressources naturelles. A l’horizon 2024, Alkern investira 10 M€ pour développer des solutions responsables sur ses trois secteurs d’activité. A savoir, le bâtiment, l’aménagement extérieur et les travaux publics. Le but étant de décarboner ses systèmes constructifs et ses produits pour limiter leur impact à moins de 10 kgeqCO2/m2. De plus, l’industriel souhaite aussi diversifier ses matières premières. Cela, en favorisant l’utilisation de matériaux issus de la biomasse ou recyclés. Il est d’ailleurs un des membres fondateurs d’Ecominéro, l’éco-organisme de la filière minérale créé pour répondre à la mise en place de la Responsabilité élargie des producteurs (Rep). Cette dernière vise à valoriser les déchets inertes du secteur du bâtiment. Et sur ce point-là, le groupe poursuit son engagement avec un objectif de 90 % de déchets recyclés en 2028. Les affaires d’Alkern se portent bien Les ambitions d’Alkern se caractérisent en majeure partie grâce à ses bons résultats. L’entreprise a dévoilé son bilan de 2021 et les perspectives pour 2022. En ce qui concerne les chiffres pour le bâtiment, plus particulièrement la maison individuelle et les aménagements extérieurs, les conséquences de la crise Covid semblent s’être dissipées. En effet, ces segments enregistrent une hausse de + 7 % en 2021, en comparaison à l’année 2020 et de + 2 % par rapport à 2019. Du côté des travaux publics, le secteur connaît aussi une nette augmentation avec + 10 %. Lire aussi : Alkern : Entre performance et durabilité Cependant, « nous n’avons parcouru que la moitié du chemin », explique Xavier Janin. Le groupe reste à – 10 % d’activité en comparaison à 2019, qui reste « l’année de référence ». Malgré des résultats encourageants, le groupe doit faire face aux conséquences de la crise en Ukraine et à la reprise du Covid en Chine. « Nos secteurs seront forcément touchés, surtout sur le plan des coûts de construction », souligne Xavier Janin. Néanmoins, Alkern ne redoute pas le risque des pénuries de matériaux. Le groupe étant peu gourmand en énergies fossiles. « La seule matière première qui pourrait nous poser problème est le métal pour nos matériels, explique Xavier Jenin. Sinon, nous sommes prêts à surmonter  cette crise. » « Pas dans une RSE de bobo » Par ailleurs, Alkern renforce sa démarche RSE. « Nous ne nous sommes pas lancés dans une RSE de bobo qui consiste à placer deux ou trois ruches pour rappeler la question de la biodiversité », ajoute Xavier Janin. En effet, le travail de l’industriel porte sur des produits éco-conçus bas carbone et sur une consommation réglementée des ressources comme l’eau ou le bois. En témoigne la mise en place, il y a 10 ans, d’un système de consignation pour ses palettes bois qui atteint déjà 77 % de retour palettes. Représentant environ près de 40 000 m3 de bois préservés chaque année. A cela s’ajoute son implication pour la ville durable, afin d’apporter des réponses aux enjeux de la perméabilité des sols et des îlots de chaleur. Notamment, avec ses pavés coquillages composés de coquilles Saint-Jacques broyées pour remplacer le granulat. Enfin, Alkern a signé, en février dernier, un partenariat avec Engie Green pour l’intégration de centrales solaires en ombrières. Ces dernières serviront d’abris pour les zones de stockage dans une sélection des sites français du groupe. Ce projet permettrait la production de 35 000 MWh/an, soit l’équivalent de la consommation annuelle d’une ville de 15 000 habitants.
Il y a 3 ans et 76 jours

Construction bois : une douzaine d’organisations demandent une sortie rapide de la nouvelle réglementation incendie

La filière espère une clarification des règles, après la publication par la Préfecture de Police de Paris d’une doctrine très contraignante pour les immeubles en matériaux biosourcés.
Il y a 3 ans et 76 jours

La construction hors site poursuit sa montée en puissance sur le salon Batimat

Avec son partenaire, le Groupe Hors Site, BATIMAT est le seul salon à donner une telle visibilité à ce mode constructif à travers un espace dédié, un baromètre exclusif et des contenus riches (ateliers, colloque, rencontres...).Sujet aujourd’hui incontournable dans le domaine de la construction, la construction Hors- Site poursuit son développement en France mais reste encore loin des performances enregistrées dans les principaux pays européens. L’ACIM (Association des Construction Industrialisées et Modulaires) estime ainsi que le marché français représentait en 2019 un chiffre d’affaires de 854 M€ et un effectif de 3 688 salariés pour un volume de 439.000 m2 d’unités implantées. Du 3 au 6 octobre BATIMAT met, une nouvelle fois, en lumière ce mode constructif avec des acteurs incontournables du secteur, un espace de 3 000 m2 et des événements dédiés.Les exposantsDes start-ups : Clovis Technologies, Vestack... ;Des sociétés de conseil et de lean management : Delta Partners... ;Une offre multi-matériaux : Sybois, Rector Lesage, Containex...Parmi ces exposants, certains, déjà présents en 2019, font leur retour sur cet espace : Cougnaud, Technologies&Habitat, Avelis, Normétal.De nouveaux venus font leur apparition, et parmi eux, de grands noms tels que : Araymond (un leader de grands marchés industriels automobile), Eiffage ou ARCELOR avec Steligence®, mais aussi E-Loft, GSCM ou encore GoBo House. La participation d'ultra spécialiste comme Wieland Electric ou Ipelec ou de leaders industriels comme Araymond, valident l’accélération de l'industrialisation du secteur de la construction.Liste des exposants du secteur HORS SITE au 21 mars 2022 :Araymond, France (nouveau)Arcelormittal Europe SA, Luxembourg (nouveau)Avelis, FranceClovis Technologies, France (nouveau)Containex, Autriche (nouveau)Cougnaud, FranceCubeco, France (nouveau)Delta Partners, France (nouveau)Eiffage Construction, France (nouveau)E Loft, France (nouveau)Gobo.House, France (nouveau)Groupe Briand, France (nouveau)GSCM, France (nouveau)Ipelec, France (nouveau)Mitek Industries SAS, France (nouveau)Normetal Construction Modulaire, FrancePagin SRL / Gold Infissi SRL, Italie (nouveau)Pinnacle LGS DMCC, Émirats Arabes Unis (nouveau)Sybois, France (nouveau)Technologies et Habitats, France (nouveau)Techno Pieux, France (nouveau)Tecnostrutture, Allemagne (nouveau)Vestack, France (nouveau)Wieland electric, France (nouveau)Les événementsLes visiteurs pourront assister, chaque jour à des ateliers pratiques de 30 minutes chacun, animés par les exposants du secteur Hors site. Au total, ce sont 35 ateliers qui auront lieu durant les 4 jours du Salon. Un Colloque international du hors site sur le thème « Retrouver de la productivité et améliorer le bilan carbone » se tiendra aussi pendant le salon.Une étude inéditeAfin d’accompagner la filière de la construction Hors-Site et accélérer la reprise du bâtiment en France, BATIMAT, Campus Hors-Site et TBC créent un baromètre prospectif pour le secteur de la construction Hors-Site en France.Les premiers résultats de l’étude, dévoilés en novembre 2021, révèlent que 82 % des non- utilisateurs de cette méthode pensent y avoir recours dans le futur et 71 % que la part de la construction Hors-Site va augmenter dans les 12 prochains mois. Toutefois, le manque de connaissance sur les procédés (65 %) et sur l’écosystème des acteurs présents sur le marché (51 %) restent des freins pour un passage à l’acte. « Ce premier baromètre nous démontre bien que le Hors-Site est largement connu des professionnels, qu’ils soient utilisateurs ou non, et qu’ils éprouvent finalement beaucoup d’intérêt pour cette méthode constructive » indique de son côté Guillaume Loizeaud, Directeur de Batimat.Il ajoute : « S’il existe des attentes qui n’ont pas encore été comblées, il ne fait aucun doute que les avantages identifiés feront largement pencher la balance en faveur du Hors-Site.Un nouveau baromètre sera édité et les résultats dévoilés à l’occasion du salon BATIMAT.Une série de podcastsPour diffuser les savoirs et aider les professionnels à se former et s’informer, Pascal Chazal (CEO de Campus hors-site) anime une série de podcasts sur Batiradio, 9 épisodes sont déjà disponibles.
Il y a 3 ans et 76 jours

EcoVadis décerne une médaille d’or à la politique RSE de Rockwool

Alors que les attentes des clients, fournisseurs, collaborateurs, partenaires et actionnaires dans les domaines économiques, sociaux et environnementaux sont plus fortes que jamais, ROCKWOOL milite pour une économie décarbonée afin de protéger efficacement la planète tout en assurant le confort et la sécurité des usagers des bâtiments. Dans ce contexte ROCKWOOL s’est notamment engagé à atteindre 10 des ODD (Objectifs de Développement Durable) définis par l’ONU (Organisation des Nations Unies).Le certificateur indépendant EcoVadis valide une nouvelle fois les engagements de ROCKWOOL en matière de protection de l’environnement, d’éthique et de respect du travail des équipes, de loyauté dans les affaires et d’achats responsables. Particulièrement mis en valeur, le service d'économie circulaire, ROCKCYCLE et la politique sociale de l’entreprise.Depuis 2012, ROCKWOOL propose à ses clients son service ROCKCYCLE qui permet le recyclage des chutes de laine de roche, des palettes ainsi que des emballages plastiques dans lesquels sont conditionnés les produits. Ces éléments sont conduits dans des centres de tri avant d’être valorisés par les filières adéquates. Les palettes sont réparées si nécessaire et réutilisées. Les emballages plastiques sont recyclés. Les chutes de laine de roche sont réintégrées dans le process de fabrication de la laine de roche, à Saint-Éloy-les-Mines et bientôt à Soissons. Grâce à ROCKCYCLE, ROCKWOOL soutient le développement de l’économie circulaire.Également validés, les engagements sociaux de ROCKWOOL : conditions de travail, protection des salariés, développement des compétences, prévention des risques sont autant de bons points soulignés par EcoVadis France. La démarche exigeante de certification poursuivie par ROCKWOOL est aussi mise en avant. En effet, pour anticiper l’avenir et confirmer l’engagement de ROCKWOOL à déployer une dynamique de progrès continu dans le cadre de sa politique de développement durable, l’usine de Saint-Éloy-les-Mines de ROCKWOOL France a obtenu quatre certifications internationales pour l’environnement, l’énergie, la santé et la qualité : ISO 9001 (management de la qualité) ISO 14 001 (management environnemental) ISO 50 001 (management de l’énergie) OHSAS 18 001 (management de la santé et de la sécurité du travail). Des certifications qui seront mises en œuvre pour la future usine de Soissons. Dans une logique d’amélioration continue de son action, ROCKWOOL va poursuivre ses efforts sur plusieurs axes de travail identifiés par EcoVadis France.
Il y a 3 ans et 76 jours

Référence Chantier : Le Porzo

Un peu d’histoire… Le canal de Nantes à Brest est un canal à petit gabarit qui relie les villes de Nantes et de Brest et emprunte les vallées de l'Erdre, de l’Isac, de l’Oust, du Blavet, du Doré, du Kergoat, de l’Hyères et de l’Aulne ; ces rivières sont reliées par trois canaux de jonction franchissant des lignes de partage des eaux. Sa construction remonte à la première moitié du XIXe siècle et sa longueur totale est de 364 km. D’abord construit pour désenclaver le Centre-Bretagne et faciliter l’activité économique et industrielle, il a laissé aujourd’hui place aux pêcheurs, promeneurs et sportifs. Gabares et chalands disparus, le canal n’ouvre plus ses écluses qu’aux amateurs de canoës ou kayaks, aux plaisanciers sur voiliers, vedettes et autres bateaux motorisés, l'outil industriel et commercial s'étant mué en axe touristique. A partir de Pontivy pour se rendre à Nantes, les plaisanciers doivent utiliser un canal devenu artificiel. Le bief de partage n’étant plus alimenté par l’étang, en 1995 la Région Bretagne a dû construire une station de pompage au bord du blavet de la ville de Porzo pour récupérer l’eau du blavet et alimenter le bief de partage.Focus Cycle de l’eau – Approche « Preferred SOLUTION Partner »Être porteur de solution pour ses clients permet à Wilo France de se différencier, d’apporter une valeur ajoutée et une approche globale en tant que partenaire de transfert des fluides. Ainsi, l’approche globale « Preferred SOLUTION Partner » a permis aux équipes de Wilo France, avec le concours de leurs collègues de la Division Services pour toutes les prestations de services, de remporter un appel d’offre public pour le transfert d’eau du canal de Nantes à Brest avec une application de surpression dans un ouvrage en position horizontale et d’installer deux pompes de forage Wilo-EMU 24’’. La première pompe a été installée en 2020, la seconde en fin d’année 2021.Pour Ludovic Audic, Chargé de missions Génie Mécanique et Automatique Région Bretagne : « Les fournisseurs de pompes avec un tel débit aujourd’hui sont rares. Les pompes qui ont été fournies par la société Wilo, sont des pompes capables de pompés jusqu’à 750m3/h. »
Il y a 3 ans et 76 jours

BIM : un dictionnaire de données pour l’industrie du béton

Le Cerib (Centre d’Études et de Recherches de l’Industrie du Béton) et la FIB (Fédération de l’Industrie du Béton) viennent de publier un dictionnaire de données et un rapport portant sur la description des systèmes constructifs proposés par les industriels des produits préfabriqués en béton. Objectif : partager des définitions communes et accélérer la transition vers le numérique.
Il y a 3 ans et 76 jours

A Neuilly, 168 avenue Charles-de-Gaulle, nouveau rythme de vie selon LBB

L’agence boulonnaise Lobjoy-Bouvier-Boisseau architecture (LBB) a livré en juin 2021 à Neuilly (Hauts-de-Seine) la restructuration et extension d’un bâtiment tertiaire (9 000 m² sdp) au 168 avenue Charles-de-Gaulle. Avec vue sur La Défense. Communiqué. Une nouvelle construction réalisée sur l’axe historique de l’avenue Charles-de-Gaulle à Neuilly-sur-Seine est toujours l’occasion, pour l’agence LBB, de remises en […] L’article A Neuilly, 168 avenue Charles-de-Gaulle, nouveau rythme de vie selon LBB est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 76 jours

Knauf Insulation ouvre son usine de recyclage de laine de verre

Le fabricant vient d'inaugurer une usine belge dédiée à l'économie circulaire.
Il y a 3 ans et 76 jours

Coviflex, l'application pour aider les entreprises à optimiser leur empreinte immobilière

Dans le cadre du recours massif au télétravail ces 2 dernières années, la Banque de France a profité de ce contexte pour analyser l’impact de la charge immobilière sur les entreprises.Voici ce que l'on peut retenir de l'analyse de la Banque de France :les dépenses immobilières expliquent une part importante et croissante des coûts de fonctionnement des entreprises.Les salariés accordent de la valeur au télétravail au moment de l’embauche et sont prêts, en moyenne, à renoncer à 8% de leur salaire pour pouvoir travailler à domicile.L’étude conclut que le développement massif du télétravail et d’autres types d’organisation flexible du travail pourraient atténuer ces contraintes, la complémentarité entre immobilier et travailleurs se réduisant considérablement.Ce constat de nombreuses entreprises l’ont déjà fait et se tournent de plus en plus vers la mise en place d’un mode de travail hybrides ou du flex office et cela de manière pérenne. En effet, ce modèle de flex office et de rotation des utilisateurs est amené à s’étendre dans un contexte de recherche de réduction des coûts immobiliers et de réduction du temps passé dans les transports par les collaborateurs. Pour ce faire, elles sont de plus en plus nombreuses à employer de nouvelles solutions pour les accompagner dans la mise en place de ces nouveaux modes de travail.Coviflex est une solution digitale clef en main qui rassure les employés tout en facilitant la vie des employeurs qui peuvent ainsi gérer leurs obligations sereinement.Elle permet aux collaborateurs de continuer leur activité dans les meilleures conditions possibles en signalant au quotidien leurs besoins et leurs contraintes de lieu de travail. Elle permet aux Ressources Humaines de communiquer facilement et d’assurer du lien social.Coviflex est une application accessible par mobile ou sur ordinateur. Simple d’utilisation et ergonomique, elle est gage d’un gain d’efficacité. L'application Coviflex, éditée par Polyconseil, entreprise française experte de la transition digitale, permet donc aux responsables immobiliers des entreprises de contrôler et mesurer l’utilisation des locaux pour optimiser l’empreinte immobilière et gérer les services annexes (cantines, parkings). Elle est utilisée aujourd'hui par plus 140.000 utilisateurs dans 11 pays du monde.
Il y a 3 ans et 77 jours

Dossier détails : filtres minéraux

    La généralisation de l'isolation par l'extérieur, le besoin de protection solaire, la recherche d'une plus grande durabilité des matériaux, associés à la volonté fréquente d'afficher en façade une image signifiante, concourent à faire du travail sur l'enveloppe du bâtiment un sujet […] Lire l'article