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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88060 résultats)
Il y a 3 ans et 78 jours

Vendée : La matrice prend son envol

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Building Partner Coffrages produit désormais des matrices sur mesure. [©Building Partner Coffrages] Derrière Building Partner Coffrages se cachent plusieurs spécialistes du coffrage. Des entités telles qu’Arles Coffrages, Coffrages Gaillard ou SFMB Coffrages. De quoi couvrir l’ensemble du territoire, tout en assurant une proximité régionale. Aujourd’hui, ce groupe s’enrichit d’une activité inédite : la création, la fabrication et la pose de matrices. « Nous concevons et fabriquons des moules en silicone et des matrices polyuréthane, explique Corentin Boissinot, responsable développement commercial. Les clients nous communiquent les contraintes liées au calepinage. A nous d’y adapter notre produit. De même, sur une banche qui a des rehausses et des sous-hausses, notre solution ne compte aucun joint horizontal. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Pays-de-la-Loire Ainsi, l’originalité de Building Partner Coffrages est de créer des matrices à la demande du client. « Nous pouvons partir d’un simple dessin ou d’une forme. Ainsi, pour le collège de Luçon, en Vendée, nous avons récupéré des pierres sur chantier que nous avons posées en fond de moule et que nous avons retaillées pour créer nos négatifs. » Enfin et surtout, la marque assure la pose de ses propres matrices. « Nous nous déplaçons sur site pour préparer les banches et y appliquer nos matrices, dans le respect du cahier des charges fourni par l’entreprise, reprend Corentin Boissinot. Ce service permet un gain de temps pour les clients, avec l’assurance d’une excellente qualité de mise en œuvre. » Comme pour le coffrage, la solution de matriçage est, dès aujourd’hui, disponible sur l’ensemble du territoire national. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 78 jours

"DES LOGEMENTS-SERVICES POUR UNE POPULATION NOMADE", Augustin Rousseau, directeur du coliving chez Bouygues Immobilier

Dans le cadre de l'enquête "Le coliving, modèle résidentiel d'avenir?", Christine Desmoulins s'est entretenue avec Augustin Rousseau, directeur du coliving chez Bouygues Immobilier. Selon lui en France, ce marché devrait être multiplié par 5 ou 7 sur les cinq prochaines années.  Quelle place le coliving prend-il […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 78 jours

Nouveau laser rotatif connecté GRL 650 CHVG Professional Bosch

Bosch lance sur le marché un nouveau laser rotatif à laser vert longue portée : le GRL 650 CHVG Professional. Précis et facile à utiliser, il offre aux professionnels du bâtiment, du génie civil, des travaux publics, aux façadiers ou encore aux paysagistes une portée de travail jusqu'à 650 m de diamètre. Particulièrement robuste, il supporte les conditions et les environnements de chantier les plus rudes. Son boîtier, y compris le compartiment à piles/batterie, résiste aux chocs et aux poussières, et est étanche aux projections d'eau (IP 68), ce qui permet une utilisation même par mauvais temps. Les poignées latérales protègent efficacement le laser rotatif en cas de chutes ou de renversement du trépied, jusqu'à 2 m.
Il y a 3 ans et 78 jours

Aldes x Meersens – Pour une solution de monitoring de la qualité de l’air complète

Le groupe Aldes, spécialiste de la conception et la fabrication de systèmes aérauliques pour le bâtiment, s’associe à l’expert de la donnée environnementale Meersens. Cette collaboration offre aux professionnels comme au grand public une solution de monitoring de la qualité de l’air complète. Si la qualité d’air intérieur dépend majoritairement de la pollution générée à […]
Il y a 3 ans et 78 jours

A Tokyo, les appartements-capsules de la tour Nakagin vivent leurs dernières heures

Les propriétaires des modules de ce bâtiment dessiné par l'architecte Kisho Kurokawa et inauguré en 1972 veulent cependant tenter d'en sauver quelques-uns avant la démolition qui doit commencer le 12 avril, a déclaré à l'AFP l'un d'entre eux, Tatsuyuki Maeda.L'ouvrage, fait de deux tours mitoyennes de 11 et 13 étages, est composé de 140 "capsules", de petites chambres à large hublot de 10 mètres carrés à peine, réparties autour d'un pilier central.A l'origine, ces modules avaient été conçus pour être enlevés indépendamment les uns des autres et remplacés tous les 25 ans, mais cela n'a jamais été fait et ces éléments sont peu à peu tombés dans la décrépitude. "Nous ne savons pas encore combien de capsules nous allons pouvoir sauver, mais nous prévoyons de réparer certaines parties détériorées pour les rénover et les envoyer dans des musées, par exemple", a précisé M. Maeda qui a acheté sa première capsule en 2010."Ce n'est pas complètement fini pour ce bâtiment et j'ai hâte de voir les capsules dans leur nouvelle vie", a-t-il ajouté, précisant que l'agence fondée par Kisho Kurokawa, décédé en 2007, participait au projet.M. Maeda et d'autres propriétaires ont fait campagne pendant des années pour sauver la tour, emblème du mouvement architectural métaboliste né au Japon dans l'après-guerre, qui imaginait la "ville du futur".Ces dernières années, à mesure que les dégâts des eaux endommageaient la Nakagin Capsule Tower, de plus en plus de propriétaires se montraient en faveur de la démolition de l'ouvrage, plutôt que d'en payer le coûteux entretien.Les amoureux de ce pan de patrimoine se désolaient sur les réseaux sociaux de sa démolition annoncée, tout en se montrant résignés."Elle est précieuse, mais la démolir était la bonne décision, car elle était très abîmée", a écrit l'un d'eux sur Twitter.
Il y a 3 ans et 78 jours

Le Réseau de pré-fabricants Solutions Pro Sapa met à l’honneur son partenaire FERMETURES 113 (30), entreprise portée par sa dirigeante Aurélie COSTE

Entreprise implantée dans le Gard, à Bernis, FERMETURES 113, est spécialisée dans la fabrication de menuiseries aluminium et volets roulants prêts à la pose. Elle a rejoint le Réseau Solutions Pro Sapa fin 2021, portant à 18 le nombre de partenaires. L’âme de cette société à taille humaine, qui compte neuf collaborateurs, est sa présidente […]
Il y a 3 ans et 78 jours

JO-2024 : une dizaine de travailleurs sans-papiers sur le chantier du village des athlètes

Sur ce gigantesque chantier, situé dans la ville de Saint-Denis, travaillent plusieurs entreprises sous l'égide de la Solideo (Société de livraison des ouvrages olympiques, 4 milliards d'euros de budget dont 1,5 d'argent public), pour pouvoir livrer le village des athlètes censé abriter plus de 10.000 sportifs dans deux ans.Ce contrôle a été opéré dans la cadre d'une enquête de l'inspection du travail déclenchée suite à un signalement de la CGT, qui a prévenu également Bernard Thibault, ex-secrétaire général de ce syndicat, qui siège au conseil d'administration de la Solideo."Dès que nous avons appris qu'une entreprise sous-traitante employait possiblement des sans-papiers, nous avons saisi la Dijop (délégation interministérielle des JO de Paris), et les services de l’État ont pris le dossier en main", a assuré Bernard Thibault à l'AFP.Ces travailleurs sans-papiers, "près d'une douzaine", étaient employés par une société sous-traitante, "dont les ramifications et l'implication vont au-delà des chantiers des JO", a précisé une des sources à l'AFP."Nous n'avons pas un retour formel de l'inspection du travail, mais si les faits étaient avérés, la Solideo les condamnera fermement, de telles pratiques étant contraires au droit du travail", a réagi mercredi auprès de l'AFP la Solideo au lendemain d'un conseil d'administration où la situation a été évoquée."C'est également aussi contraire à l'esprit des JO. Nous allons saisir l'ensemble des maîtres d'ouvrage pour leur rappeler leurs obligations", a ajouté la société olympique."Il n'y avait aucune raison que les chantiers des JO échappent à la pression classique qui existe dans la construction et les travaux", a expliqué Bernard Thibault. "On sait que l'ensemble de la filière est en sous-effectif, et qu'inévitablement certains vont tenter d'employer de la main d’œuvre immigrée dans l'illégalité", a-t-il ajouté."Mais sur les chantiers des JO, le niveau de contrôle est assez exemplaire, et j'oserais dire sans équivalent", a assuré l'ex-secrétaire général de la CGT, à l'origine d'une charte sociale promue par le comité d'organisation des JO (Cojo) et la Solideo en vue de JO exemplaires socialement.Près d'une centaine de contrôles ont été opérés depuis le lancement des chantiers des JO, selon une des sources.La Solideo est chargée de construire ou de rénover des ouvrages pour les JO, qui vont du village des athlètes, en passant par la rénovation de gymnases ou des échangeurs ou ponts routiers, ce qui représente une soixantaine d'ouvrages.
Il y a 3 ans et 78 jours

Bond des permis de construire de logements en février

Pour le seul mois de février, selon les données corrigées des variations saisonnières, quelque 49.200 permis de construire ont été délivrés, un record depuis mai 2007.Ces autorisations, note le ministère, ont été octroyées "à la suite de demandes de permis déposées en décembre 2021, probablement en lien avec l'entrée en vigueur de la réglementation environnementale 2020 au 1er janvier 2022."La "RE2020", qui vise à décarboner la construction de logements, impose des normes plus strictes pour l'isolation thermique des bâtiments, l'impact environnemental de leur construction et de leur cycle de vie.Elle encourage notamment l'utilisation de matériaux "biosourcés", comme le bois.Déjà en février 2013, l'entrée en vigueur d'une nouvelle norme environnementale avait provoqué un afflux de demandes de permis dans les mois précédents, relève le ministère.Le bond des permis de construire, déjà entamé en janvier, est presque exclusivement le fait des maisons individuelles. Le phénomène ne semble pas toucher le logement collectif, où le nombre d'autorisations varie très peu par rapport aux derniers mois de 2021.Sur les 12 derniers mois, 484.000 permis de construire ont été délivrés. C'est 24% de plus qu'un an auparavant, mais les chiffres étaient alors au plus bas, souffrant de l'impact des confinements successifs.Le nombre de mises en chantier sur 12 mois atteint 390.700, soit 12,8% de plus qu'un an auparavant. Le rebond observé dans les permis de construire ne s'y traduit pas encore.
Il y a 3 ans et 78 jours

Holcim va engager un processus de sortie du marché russe

INTERNATIONAL. Le cimentier suisse Holcim annonce qu'il va sortir du marché russe. Une décision qui fait suite au conflit entre l'Ukraine et la Russie engagé depuis près d'un mois.
Il y a 3 ans et 78 jours

GNR : une aide, oui, un report de la fin de l'avantage fiscal, non

Dans un communiqué publié mardi 29 mars, le gouvernement fait le point sur les mesures en passe d'être adoptées pour soutenir les entreprises du BTP impactées par les conséquences du conflit russo-ukrainien. Pour le gazole non routier, pour lequel les professionnels demandait le prolongement de l'avantage fiscal au-delà du 1er janvier 2023, seule une baisse de tarif a été consentie.
Il y a 3 ans et 78 jours

Nouveau laser rotatif connecté GRL 650 CHVG Professional Bosch : Une résistance extrême aux conditions les plus rudes

Une conception robuste pour une utilisation dans des conditions difficiles et par mauvais temps Bosch lance sur le marché un nouveau laser rotatif à laser vert longue portée : le GRL 650 CHVG Professional. Précis et facile à utiliser, il offre aux professionnels du bâtiment, du génie civil, des travaux publics, aux façadiers ou encore aux paysagistes une portée de travail jusqu’à 650 m de diamètre. Particulièrement robuste, il supporte les conditions et les environnements de chantier les plus rudes. Son boîtier, y compris le compartiment à piles/batterie, résiste aux chocs et aux poussières, et est étanche aux projections d’eau (IP 68), ce qui permet une utilisation même par mauvais temps. Les poignées latérales protègent efficacement le laser rotatif en cas de chutes  ou de renversement du trépied, jusqu’à 2 m. Un laser vert pour une meilleure visibilité Polyvalent, le laser rotatif GRL 650 CHVG Professional Bosch est idéal pour les travaux de mise à niveau en extérieur – terrassement, pose de coffrage pour béton, aménagement paysager, ravalement de façades… – mais aussi en intérieur : pose de plafonds et de murs, installation de systèmes de chauffage et climatisation… La technologie de laser vert lui assure une excellente visibilité quelles que soient les conditions d’éclairage sur le chantier. Une connectivité pour un travail plus rapide Le GRL 650 CHVG Professional Bosch peut être connecté par Bluetooth à un Smartphone pour être piloté, contrôlé et personnalisé via l’application Levelling Remote. L’écran intégré à commande intuitive permet d’avoir une vue d’ensemble des paramètres et de piloter le laser rotatif à distance pour gagner du temps. Grâce à la fonction «uCal», l’assistant de calibrage, le calibrage est facile, rapide et précis (± 1,5 mm par 30 m). Il suffit de suivre les instructions pas à pas de l’application. L’application Levelling Remote permet de garder en mémoire des valeurs d’inclinaison et d’utiliser la fonction de double pente, en ajustant les valeurs de pente sur les axes X et Y de ± 8,5 %. Pour les inclinaisons supérieures à 8,5 %, le professionnel peut passer en mode manuel. D’autres fonctionnalités sont également disponibles : l’angle de balayage, la vitesse de rotation et le système d’avertissement de chocs automatique (ADS). Ce dernier limite la sensibilité de l’appareil, empêchant qu’il ne se déclenche à cause des vibrations engendrées par des véhicules de chantier par exemple. Enfin, très pratique, le « mode masquage » de l’application évite les interférences avec les autres appareils connectés présents sur le chantier. Une détection rapide du faisceau de laser vert grâce à la cellule de réception LR65G Le laser rotatif GRL 650 CHVG Professional Bosch fonctionne avec une cellule de réception de grande qualité, la LR 65 G Professional. Cette dernière est équipée d’une longue fenêtre de réception (125 mm) et ses deux écrans LED rétro-éclairés – un à l’avant et l’autre à l’arrière – facilitent la lecture de la position du faisceau laser. Lorsque la fonction « CenterFind » est activée, le laser rotatif trouve automatiquement le centre du récepteur, il est alors aligné sur celui-ci et l’inclinaison est affichée en pourcentage. Par ailleurs, grâce à la nouvelle fonction « CenterLock », le laser rotatif peut conserver sa position exacte d’alignement au centre du récepteur tout au long de la journée. De conception robuste, cette cellule est idéale pour les chantiers les plus rudes. Elle est dotée de touches en caoutchouc très résistantes, d’une très bonne protection contre l’eau et la poussière (IP67) et d’un revêtement softgrip protecteur. Elle peut être tenue en main, suspendue par un crochet ou fixée à des surfaces métalliques. Une alimentation Dual Power Grâce à une double alimentation, le GRL 650 CHVG Professional est toujours prêt à fonctionner. Il offre une grande autonomie (50 à 60 h selon la batterie) et permet une utilisation prolongée avec une batterie 18 V ou des piles alcalines. Il est compatible avec toutes les batteries du système Bosch Professional 18 V jusqu’à 8,0 Ah.
Il y a 3 ans et 78 jours

En France, Loxam retrouve ses niveaux de 2019

RÉSULTATS. Le loueur de matériels, Loxam, annonce des résultats 2021 records, dépassant les 2 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Il s'agit de "la meilleure année de son histoire".
Il y a 3 ans et 78 jours

Présidentielle : L’Institut Montaigne analyse les propositions des candidats pour le logement

À quelques semaines de l'élection présidentielle, la question du logement abordable, digne, et respectueux de l'environnement, figure dans les programmes des candidats à l'élection présidentielle. Dans le cadre de son opération Présidentielle 2022, l'Institut Montaigne a chiffré quelques mesures saillantes en la matière : construction de nouveaux logements sociaux, encadrement des loyers à l'ensemble du territoire, massification de la rénovation énergétique des bâtiments...Les propositions des candidats pour la constructionRendez-vous sur le site Présidentielle 2022 pour comparer les propositions des candidats, plonger au cœur des programmes et comprendre leur impact budgétaire.Pour aller plus loin, consultez à ce lien le décryptage de Iona Lefebvre, chargée d'études sur les dynamiques territoriales, ainsi que la note Logement : rebâtir nos ambitions publiée en février dernier.Candidat : Yannick JadotMesure : Construction de 700.000 logements sociaux et rénovation de 800.000, sous réserve que ces derniers restent dans le parc social au moins 20 ans.Chiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montaigne : Coût de 1 milliard d'euros par anFaisabilité : Faible faisabilité avec les seuls dispositifs en vigueur, faisable avec un soutien supplémentaire de l'État à définirCandidat : Marine Le PenMesure : Construire 100.000 logements sociaux par an, dont 20.000 en faveur des étudiants et jeunes travailleursChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Coût de 500 millions d'euros par anFaisabilité : Faible faisabilité avec les seuls dispositifs en vigueur, faisable avec un soutien supplémentaire de l'État à définirCandidat : Marine Le PenMesure : Proposer un prêt de l'État de 100.000€ à taux zéro pour l'accès à la propriété des jeunes couplesChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Coût de 12,6 milliards d'euros par anFaisabilité : La proposition passera par adoption d'une loi, voire une modification des statuts de la Banque de FranceCandidat : Emmanuel MacronMesure : Rénovation de 700.000 logements par anChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Coût de 2,24 milliards d'euros par anFaisabilité : La proposition passera par décret réglementaire du gouvernementCandidat : Jean-Luc MélenchonMesure : Construction de 200.000 logements par an pendant cinq ans soumis aux normes écologiques les plus ambitieusesChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Coût de 2,1 milliards d'euros par anFaisabilité : Immédiate, sous réserve de disposer des capacités de construction et de financement nécessairesCandidat : Jean-Luc MélenchonMesure : Construire 15.000 logements étudiants chaque annéeChiffrage candidat : Coût de 470 millions d'euros par anChiffrage Institut Montagne : Coût de 80 millions d'euros par an (le chiffrage du candidat pourrait inclure de nouveaux dispositifs de subvention non pris en compte ici)Faisabilité : Faible faisabilité avec les seuls dispositifs en vigueur, faisable avec un soutien supplémentaire de l'État à définirCandidat : Valérie PécresseMesure : Abaisser de 10 % à 5,5 % la TVA sur la construction de logements sociauxChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Coût entre 400 et 600 millions d'euros par anFaisabilité : Requiert l'adoption d'une loi de finances pour modifier le code général des impôts sur la TVACandidat : Valérie PécresseMesure : Construire 500.000 logements par an dont 125.000 logements sociaux et 375.000 logements dans le parc privéChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Coût de 1,1 milliard d'euros par anFaisabilité : La faisabilité de la proposition est limitée par l'absence de levier direct de l'État et sous réserve de disposer des capacités de constructionCandidat : Valérie PécresseMesure : Pérennisation et généralisation du prêt à taux zéro à l'ensemble du territoireChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Coût de 224 millions d'euros par anFaisabilité : La faisabilité de la proposition est immédiate si appliquée par une loi de financesLes propositions des candidats pour la réglementationCandidat : Anne HidalgoMesure : Généraliser l'encadrement des loyers à l'ensemble du territoireChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Cette mesure vise à réguler le marché de la location privée et n'implique aucune mesure fiscaleFaisabilité : Mise en œuvre conditionnée par le vote d'une loi afin de modifier la législation existante. Une fois la loi votée, l'application par les collectivités et le représentant de l'État dans le département peut être immédiateCandidat : Yannick JadotMesure : Renforcement des sanctions contre les communes qui ne respectent pas les quotas de logements sociaux prévus par la loi SRUChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Économie de 50 millions d'euros par anFaisabilité : Immédiate, pas de difficulté technique de mise en œuvreCandidat : Yannick JadotMesure : Instauration d'une garantie universelle des loyers destinée à fournir une garantie contre les loyers impayés (prise en charge du financement par l'État et les propriétaires)Chiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Coût de 1,1 milliard d'euros par anFaisabilité : Cette mesure peut être mise en œuvre par voie législativeCandidat : Jean-Luc MélenchonMesure : Encadrer les loyers partout sur le territoire et à la baisse dans les grandes villesChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Cette mesure vise à réguler le marché de la location privée et n'implique aucune mesure fiscaleFaisabilité : Mise en œuvre conditionnée par le vote d'une loi afin de modifier la législation existante. Une fois la loi votée, l'application par les collectivités et le représentant de l'État dans le département peut être immédiateCandidat : Jean-Luc MélenchonMesure : Instauration d'une garantie universelle des loyers destinée à fournir une garantie contre les loyers impayésChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Coût de 2,3 milliards d'euros par anFaisabilité : Cette mesure peut être mise en œuvre par voie législativeCandidat : Éric ZemmourMesure : Abroger la loi Solidarité et renouvellement urbain (SRU) qui impose aux villes un quart de logements sociauxChiffrage candidat : /Chiffrage Institut Montagne : Économie de 1,1 milliard d'euros par anFaisabilité : L'abrogation de la loi SRU ou, a minima, de ses articles relatifs aux quotas de logements sociaux nécessite l'adoption d'une nouvelle loiL'opération d'analyse et de chiffrage Présidentielle 2022 Europe, compétitivité et économie, pouvoir d'achat, santé, territoires, Europe et international... L'Institut Montaigne reconduit son opération de chiffrage et d'analyse des programmes des principaux candidats à l'élection présidentielle 2022, opération menée avec succès en 2012 et 2017. Avec l'appui d'une équipe de plus de 25 experts, près de 250 mesures seront progressivement passées au crible par l'Institut Montaigne. Elles seront sélectionnées selon l'importance de leur impact budgétaire, leur incidence environnementale mais aussi leur pertinence au regard du débat public. Un dialogue contradictoire avec les équipes de campagne est organisé pour chaque mesure chiffrée afin que celles-ci puissent faire valoir leur point de vue. En cas de désaccord sur l'analyse d'une mesure, celui-ci sera expliqué dans l'analyse et l'estimation du candidat affichée à côté de celle de l'Institut Montaigne.Pour Victor Poirier, directeur des publications de l'Institut Montaigne : « Avec ce travail, l'Institut Montaigne se propose d'apporter un éclairage étendu et approfondi sur les programmes et les propositions des candidats, dans le cadre de la présidentielle 2022. Nous souhaitons contribuer à la crédibilité de la parole et de l'action politique, nourrir le débat démocratique d'éléments objectifs ainsi que sensibiliser les citoyens comme les responsables politiques aux enjeux économiques, environnementaux et budgétaires induits par les propositions des candidats. »
Il y a 3 ans et 78 jours

Bibliothèques d’objets BIM, pour des projets collaboratifs de qualité!

Il arrive encore souvent que les projeteurs BIM réalisent leurs maquettes et gèrent leurs contenus de leur côté, sans échanger avec les autres intervenants dans un même projet. On constate alors un réel problème de diffusion des bonnes pratiques dans les projets BIM de l’entreprise. Chaque projet est également unique dans le monde du bâtiment et complique alors la capitalisation d’un projet à un autre, engendrant de la même manière une baisse de productivité des équipes. Et si les chargés de projets BIM avaient accès à un espace par projet dans leurs bibliothèques d’objets, pour répondre à ces enjeux ? Cet article vous dit tout sur les espaces projets et surtout, quels en sont les avantages.
Il y a 3 ans et 78 jours

Présidentielle : les architectes veulent placer l’intérêt public au cœur de la fabrication du cadre de vie des français

Face à la triple crise structurelle qui menace notre société - crise environnementale, crise sociale et crise des ressources -, l’Ordre des architectes plaide pour des stratégies publiques fortes et révèle le rôle de l’architecture comme levier d’une transition socio-environnementale de notre pays.Dès 2050, la hausse du niveau de la mer sur le littoral impactera au moins 1,4 million de Français ; en 2100, nous compterons a minima 20 jours de canicule mortelle par an ; 2 communes françaises sur 3 sont concernées par un risque naturel : autant de réalités qui montrent la vulnérabilité de nos territoires. Sans attendre jusqu’à 2050, le mal-logement mine déjà notre société : 12 millions de personnes en souffrent, alors même que les logements collectifs produits ces 20 dernières années ont grandement perdu en qualité (-15% de surface en moyenne). Nos cadres de vie sont fragilisés comme jamais par les effets combinés d’une double crise environnementale et sociale à laquelle vient s’ajouter une crise profonde des ressources, accélérée par le conflit russo-ukrainien.Nous sommes tous concernés.Face à ces urgences, l’Ordre des architectes entend défendre un nouveau modèle, et avance des réponses concrètes permettant de garantir une meilleure qualité de vie à nos concitoyens.Pour Christine Leconte, présidente du Conseil national de l’Ordre des architectes : « la création architecturale apporte des solutions au service des habitants et de la planète, qui ont été jusqu’ici trop peu exploitées par les décideurs publics. En concevant des bâtiments qui répondent aux nouvelles contraintes climatiques, en renaturant les sols, en rénovant dans le respect du patrimoine, en pensant systématiquement l’aménagement en lien avec la société, l’architecture devient un levier économique majeur et territorialisé. Ces solutions doivent désormais être entendues et appliquées car l’heure est à l’action. »Un plaidoyer structuré autour de 5 enjeux forts et 16 mesuresEn dévoilant le plaidoyer « Habitats, Villes, Territoires. L’architecture comme solution » à quelques semaines des échéances présidentielle et législatives, l’Ordre des architectes propose un programme structuré autour de 5 grands axes et 16 mesures :Renforcer les territoires, pour permettre un développement mieux équilibré, notamment par le renforcement du service public de l’architecture et le dispositif « 1 maire, 1 architecte », et via la sanctuarisation des terres agricoles et espaces naturels ;Passer d’une politique du logement à une politique de l’habitat, en relevant notamment les critères de qualité minimale des habitations et en créant un Ministère d’État chargé de l’Habitat, du Cadre de vie et de l’Aménagement du territoire ;Réparer la ville en donnant la priorité à la réhabilitation, via par exemple une intensification des aides publiques à la rénovation, notamment pour les études ;Changer nos pratiques face au changement climatique, en arrêtant notamment l’urbanisation des zones à risques majeurs et en visant la sobriété énergétique pour atténuer notre impact sur ce changement ;Décarboner la construction en développant de nouvelles filières de matériaux et le réemploi, pour mettre en place une architecture en circuits courts et encourager une agro-industrie locale au service d’un cadre de vie plus sain et plus écologique.Ce plaidoyer est pensé comme un outil au service des élus pour leur révéler les savoir-faire des 30 000 architectes qui exercent sur l’ensemble du territoire, et pour leur montrer la richesse des ressources disponibles pour agir dès maintenant : 3 millions de logements vacants, des friches à convertir, des gisements de matières premières renouvelables, moins énergivores et peu polluantes à exploiter, etc. L’Ordre des architectes, via notamment ses conseils régionaux, présentera aux décideurs locaux ce plaidoyer dans lequel ils pourront puiser des solutions pratiques à l’appui de stratégies locales ambitieuses.
Il y a 3 ans et 78 jours

Inflation des coûts : l'Insee réduit les délais de publication des index BTP

SOUTIEN. L'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) vient d'annoncer que les délais de publication des index du bâtiment et des travaux publics (BT-TP) allaient être réduits dans les mois à venir afin de mieux prendre en compte les évolutions des coûts des matériaux.
Il y a 3 ans et 78 jours

Découvrez le programme de Jean-Luc Mélenchon pour le BTP en infographie

INFOGRAPHIE PRÉSIDENTIELLE. Le programme de L'avenir en commun est un programme de rupture, avec le marché, le système productiviste, et les énergies fossiles.
Il y a 3 ans et 78 jours

Modalités de mise en œuvre de la remise de 15 centimes d'euro par litre pour l'acquisition de carburants

C’est une mesure pour tous les particuliers. C’est également une mesure de soutien pour les agriculteurs, les pêcheurs, les transporteurs routiers, les taxis et les acteurs des travaux publics. Son coût est estimé à 3 milliards d’euros.Le Gouvernement a publié ce 26 mars le décret relatif à l’aide exceptionnelle à l’acquisition de carburants, qui précise les modalités de mise en œuvre, arrêtées en concertation avec l’ensemble des acteurs de la filière (fournisseurs, distributeurs et représentants des stations-services). Le décret précise en premier lieu la liste des carburants éligibles. Ainsi, sont notamment concernés le gazole, le gazole pêche, le gazole non routier (GNR), les essences (SP95, SP98-E5, SP-95-E10), le gaz pétrole liquéfié carburant (GPL-c), le gaz naturel véhicule (GNV) sous forme comprimée (GNC) ou liquéfiée (GNL), le super-éthanol (E85) et l’éthanol diesel (ED95). La remise sera de 15 centimes d’euros hors taxe par litre pour les essences et gazoles, de 15 euros par MWh pour les gaz naturels carburant et de 29,13 € pour 100 kg net pour le GPL-c. Pour mettre en œuvre cette remise, une subvention de 15 centimes d’euros hors taxe (ou du montant susmentionné pour le GNC et GPL-c) sera versée aux « metteurs à la consommation » de carburants pour les volumes de carburants vendus. L'aide est ensuite rétrocédée aux stations-service ou aux professionnels, et répercutée jusqu'au consommateur final. En arrivant dans une station-service, le consommateur verra affiché le prix du carburant déjà remisé de 15 centimes hors taxe tant sur les totems que sur les prix à la pompe. Il payera donc directement le prix remisé du carburant. Si la très forte concurrence existant sur le marché invite déjà la majorité des acteurs à rétrocéder la totalité de la remise pour ne pas perdre de parts de marché, une charte, signée très largement dans la profession, comprend un engagement des fournisseurs et des distributeurs à assurer la pleine répercussion de la remise au consommateur final. Cette charte, et des obligations spécifiques prévues dans le décret, permettront un suivi renforcé des prix pour assurer l’effectivité de cette répercussion, y compris la détection automatique d’anomalies dans les prix déclarés par les distributeurs, ainsi que des contrôles sur site par la DGCCRF. Afin que les stations-services disposent de carburant remisé en cuve au 31 mars 2022 et appliquent la remise dès le 1er avril, le décret prévoit deux modalités :Les metteurs à la consommation pourront vendre dès le 27 mars 2022 aux stations-services ou aux professionnels du carburant remisé. Cette anticipation de quelques jours, au niveau des metteurs à la consommation, permet de prendre en compte les contraintes de renouvellement des cuves des stations-service, ou de stocks des professionnels, sans générer de pénurie à la pompe.Les petites stations-services indépendantes (qui vendent moins de 50 m3 par mois de carburants et qui sont propriétaires de leur fonds de commerces), souvent situées en zone rurale, peuvent ne renouveler leur cuve que tous les 10 voire 20 jours. Certaines sont donc susceptibles de ne pas avoir en cuve du carburant remisé au 1er avril en dépit de l’anticipation au 27 mars. Pour les petites stations-services indépendantes qui le souhaitent, afin d’être en mesure de pouvoir appliquer la remise dès le 1er avril comme les autres acteurs, et sans que cela ne pèse sur leur trésorerie, une avance forfaitaire de 3000€, à rembourser au plus tard le 16 septembre, leur sera versée par l’Agence de services et de paiement (ASP).Pour assurer une meilleure lisibilité des prix des carburants pendant les 4 prochains mois, les distributeurs et les stations-service feront mentions systématiquement de la remise de l’Etat. La charte d’engagement signée largement par la profession comprend des engagements en ce sens. Il est rappelé que ce dispositif sera mis en œuvre pour les 4 prochains mois et n’est pas limité en volume de carburant vendu : il n’est donc pas nécessaire de se rendre en station dès le 1er avril pour en bénéficier.
Il y a 3 ans et 78 jours

Les livrets A se remplissent en février, à la faveur de la hausse du taux

L'encours du Livret A a continué de progresser en février, à un niveau record pour ce mois grâce à la hausse de son taux d'intérêt, selon des données publiées mardi par la Caisse des dépôts.
Il y a 3 ans et 78 jours

Manitou sur BIM&CO

Afin de poursuivre le développement de son offre de services et notamment celui des solutions digitales, le groupe Manitou a modélisé ses produits Manitou dédiés au marché de la construction. Disponibles dans le monde entier (français et anglais) dans la bibliothèque BIM via le site manitou.com et sur la plateforme BIM&CO, les utilisateurs architectes, BIM modeleurs, ou encore projeteurs, peuvent facilement introduire les machines Manitou dans leurs environnements de travail lors d’un projet de chantier. Le choix de Manitou s’est orienté vers BIM&CO en raison notamment d’une intégration simplifiée des données dans la plateforme, d’une approche simple et ergonomique pour l’utilisateur, et de la possibilité de se doter d’une solution en constante évolution, pour une gestion plus efficace et collaborative. Manitou présentera en détails cette solution lors du salon BIM WORLD, le 5 et 6 avril 2022 à Paris. Cet article Manitou sur BIM&CO est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 78 jours

La chaussure poids plume signée Würth Modyf

La Carbon 290, la chaussure de sécurité la plus légère au monde, par Wurth Modyf. [©Wurth Modyf] Würth Modyf dévoile Carbon 290, sa nouvelle chaussure de sécurité. Un modèle innovant, puisqu’il affiche un poids inférieur à 350 g. Ainsi, la Carbon 290 est aujourd’hui la chaussure de sécurité la plus légère au monde. A l’heure actuelle, les chaussures équivalentes présente sur le marché pèsent environ 400 g. Pour Würth Modyf, il était important d’améliorer le confort des usagers, sans perdre de vue son rôle d’EPI. En effet, cette chaussure a été conçue avec une coque de protection en fibre de carbone et une semelle à la fois anti-perforation et anti-dérapante. Ce modèle a été réalisé avec un textile respirant qui permet d’évacuer l’humidité vers l’extérieur de la chaussure. En plus des qualités techniques, l’équipe de conception n’a pas oublié le design de la chaussure, qui reprend les codes de la basket moderne. Ains, le compagnon peut porter cette chaussure tout au long de la journée. Disponible pour les hommes et les femmes, Würth Modyf vient révolutionner le monde de la chaussure de sécurité, pour un prix de moins de 100€ TTC. Attendons les réactions des différents utilisateurs…
Il y a 3 ans et 78 jours

Panneau photovoltaïque certifié bas-carbone

SOLARWATT a lancé un nouveau panneau photovoltaïque « SOLARWATT Panel classic » labellisé bas-carbone. Pour être labellisé, le panneau respecte les critères de notation définis par la CRE : une sélection de matières premières recyclées (33% de silicium recyclé) ; une fabrication à faible émission avec moins de 500 kg de CO2 rejeté par kWc ; des panneaux certifiés Certisolis, seul organisme français de certification des produits photovoltaïques à réaliser « l’Évaluation Carbone Simplifiée » exigée sur les centrales solaires et une fabrication raisonnée qui ne diminue pas la qualité du panneau d’une puissance de 375 Wp. Cet article Panneau photovoltaïque certifié bas-carbone est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 78 jours

La société Rairies Montrieux habille Le Delta : nouveau siège social de Podeliha

Livré fin 2021, Le Delta, nouveau siège social de Podeliha est situé au cœur du quartier résidentiel de la gare d’Angers.Podeliha est un bailleur social et gestionnaire de 26.000 logements implantés sur 250 communes dans la région des Pays de la Loire. Son siège social accueille l’ensemble des activités de Podeliha dans ces nouveaux locaux à usage mixte (tertiaire et collectif).L’édifice a été conçu par le cabinet d’architecture Angevin Rolland & Associés.Le cabinet Rolland & Associés a travaillé en étroite collaboration avec Rairies Montrieux, afin qu’ils répondent au mieux à leurs attentes en leur proposant des formes et des couleurs en accord avec leur projet.Ils ont fait le choix de la plaquette en terre cuite Engobe, la brique Moucharabieh ainsi que la plaquette Hirondelle de sorte à mettre en valeur la façade. En effet, elle a, de façon tout à fait originale, été posée sous les allèges des fenêtres. La surface de ces plaquettes, légèrement ondulées, apporte une vibration à la façade.Nous retrouvons sur la majorité du bâtiment les coloris « Montblanc 17 » (notamment pour les plaquettes en briques Moucharabieh), mais aussi « Montgris 4 » et « Montgris 5 » de la gamme Engobe.C’est un aspect « tout en lumière » qui a été recherché par les architectes, à l’exemple des grandes baies vitrées en façade. Le siège Podeliha présente des notes blanches, majoritairement et grises.Ce projet est le fruit de deux ans et demi de collaboration entre le cabinet d’architecture Rolland et Associés et Rairies Montrieux. Le Delta devient un projet emblématique pour la société car il s’agit de leur plus grand chantier de plaquettes de parements à Angers.
Il y a 3 ans et 78 jours

Würth lance le support Os’App pour plate-forme de travail amovible

L’Os’App est la dernière innovation matériels signée Würth. [©Würth] Dernière innovation chez Würth : l’Os’App. Ce dispositif breveté permet de créer un point d’appui démontable pour la pose de plates-formes de travail, de podiums, de caissons et de platelages. Ceci, lors de la construction de cages d’escaliers, d’ascenseurs ou de gaines techniques. Il a été conçu pour des voiles en béton armé de 15 cm d’épaisseur au minimum. La résistance requise doit être d’au moins 13 MPa à 28 j, pour un béton de classe C25/30. Léger avec ses 3,7 kg, l’Os’App est rapide à mettre en œuvre, sans outil supplémentaire. Il permet de faire une installation sans perçage, ce qui diminue les TMS, en utilisant les trous de passage des entretoises des coffrages. Mais les perçages sont aussi possibles, avec un diamètre de 40 mm. Ici, pas de tiges ou de chevilles à recéper, il suffit juste de reboucher les trous après extraction des Os’App. Enfin, côté pratique, chaque élément Os’App est livré avec une douille de centrage. Cette dernière s’adapte à la plupart des empreintes laissées par les cônes du coffrage.
Il y a 3 ans et 78 jours

Holcim quitte la Russie

Holcim vient de lancer un processus de sortie du marché russe. [©Holcim] Après avoir annoncé, le 11 mars dernier, suspendre ses investissements en Russie, le groupe Holcim informe, ce 29 mars, s’engager dans un processus de sortie du marché russe. Cette décision constitue la réponse à l’invasion de l’Ukraine par le pouvoir russe. Mais aussi, elle est conforme aux valeurs défendues par le groupe cimentier d’opérer de la manière la plus responsable. Ceci, quel que soient les marchés sur lesquels il est présent.  Le Conseil d’administration du groupe exprime sa profonde préoccupation face aux souffrances humaines tragiques qui se déroulent dans la région. Et s’engage à soutenir les personnes, les familles et les communautés touchées. Il remercie tous les collègues d’Holcim qui se mobilisent dans le monde entier aux côtés des ONG locales pour fournir un abri, des biens essentiels et des fournitures médicales. Pour Holcim, la Russie est loin d’être un marché stratégique. Ces activités locales génèrent un très faible pourcentage de ses ventes globales. Côté ukrainien, le groupe déclare ne pas y posséder d’activités… 
Il y a 3 ans et 78 jours

LCA Construction Bois en plein essor

Un résultat qui témoigne de la croissance du marché avec une demande forte en matériaux bois et une augmentation des chantiers de rénovations énergétiques auxquels LCA a su répondre. Un bilan engageant pour l’entreprise vendéenne qui amorce 2022 avec de nombreux projets. La montée en puissance de la construction bois En 2021, le spécialiste de la construction gros œuvre bois et de l’enveloppe extérieur comptabilise une hausse de presque 6 millions d’euros, passant ainsi de 9,6 à 15 millions d’euros de chiffre d’affaires. Une progression conséquente, accompagnée d’une demande très forte du matériau bois en structure sur des chantiers très techniques. Cette croissance, l’entreprise a su y répondre en faisant preuve d’avant-gardisme notamment sur la rénovation énergétique hors-site. En effet, le premier chantier LCA sur le sujet remonte en 2014, l’entreprise entame aujourd’hui sa 5ème opération d’envergure aux côtés d’ALTEREA, qui vise le déploiement à grande échelle de rénovations énergétiques de logements sociaux à énergie zéro (Energie Sprong). Une belle année qui se clôture avec une distinction confirmant son potentiel, celle du Prix National de la Construction (catégorie clos-couvert) décernée par Le Moniteur.Un secteur bousculéEntre difficultés à s’approvisionner, hausse des prix, problématiques de recrutement, ralentissement des prises de décision de la commande publique lié à la COVID-19 et activité extrêmement forte, 2021 a été une année paradoxale pour le secteur bois. Cependant, LCA, approvisionnée en bois français à 75%, a su maintenir le rythme, s’adapter et anticiper pour éviter la pénurie.Une organisation interne renforcéeDébuté il y a 2 ans avec la Bpifrance, l’accélérateur de croissance a permis la création d’un management intermédiaire de pilotage des équipes.Un projet nécessaire puisque malgré un recrutement ralenti pour les acteurs de la filière bois, LCA a recruté 21 personnes dont 6 apprentis et termine l’année avec 74 salariés au total, soit 48% de plus qu’en 2020. Cette nouvelle organisation s’articule en quatre grandes activités : Grands travaux, travaux de proximité, production et fonctions supports.Pour Christophe Bonnin, co-dirigeant de LCA Bois Construction : « les perspectives de marché sont bonnes, malgré la pénurie d'emplois sur le secteur, nous recrutons de bons profils. Il nous faut être vigilant en 2022 à nouveau afin d'absorber les potentiels coups durs comme l'augmentation des prix des matériaux que nous avons vécu cette année. » Des chantiers engagés En 2022, LCA poursuit la digitalisation de ses services et des méthodes de travail afin de simplifier la communication interne et réduire la pénibilité de certaines tâches. Dans le cadre de la création de cette structure de management intermédiaire, la direction organise un transfert de savoir-faire afin de poursuivre la montée en compétences des collaborateurs. Côté recrutements, l’entreprise en attend 20 cette année et pour accueillir ces effectifs, des travaux d’agrandissement des locaux sociaux (bureaux, réfectoire et vestiaires) sont en cours. Côté innovation, LCA déploiera son atelier de fabrication d’ossature bois hors-site « WALL-E » (fabrication de mur wall.0). L’entreprise termine de livrer son 4ème chantier de rénovation énergétique d’un collège, un R+8 en région parisienne et un Lycée à Aizenay. Côté développement, LCA se positionne sur les conceptions-réalisations en renforçant l’activité entreprise générale. Un secteur bois solide, un avenir prometteur Le bois s’impose dans un milieu où il faut décarboner et va devenir un vrai choix de conception et de structure. De nombreux projets émergent, notamment grâce à la RE2020 qui met en avant les matériaux bio-sourcés dont le bois. Cette réglementation accélère le nombre de chantiers en rénovation énergétique. LCA, qui a vu son chiffre d’affaires augmenter de 50 %, en est témoin, un changement de mode de vie et de consommation s’opère. Selon la direction de LCA Construction Bois, l’avenir est à la construction intelligente qui met en avant la mixité des matériaux et qui intègre une réelle réflexion sur la mise en œuvre du chantier.Pour Edouard Bonnin, co-dirigeant de LCA Bois Construction : « Il est primordial de concevoir des projets en tenant compte de la durabilité des matériaux et en respectant les normes associées à la structure et à l’enveloppe du bâtiment. »Pour Karine Bouhier, co-dirigeante LCA : « La filière bois Pays de Loire se porte bien en termes d’activité ; les projets fleurissent sur le territoire et l’attrait du bois en tant que matériau biosourcé est favorisé par la RE2020 ; l’approvisionnement s’est détendu, mais la récente fluctuation des prix peut engendrer des inquiétudes des maitres d’ouvrage. Plusieurs projets d’extension de capacité sont en cours. Reste le nerf de la guerre : le recrutement, toujours extrêmement tendu. »
Il y a 3 ans et 78 jours

Sothoferm sur les chapeaux de roues

Le numéro un du volet battant en France a clôturé son exercice 2021 avec une hausse de son chiffre d’affaires de +25%.
Il y a 3 ans et 78 jours

Silence, Izy Silence, Silencio et Compactéo Silence : La ventilation ultra-silencieuse Autogyre

Dans tout logement, il est indispensable de créer une aération permanente pour bénéficier d’une bonne qualité de l’air intérieur et assurer un confort optimal aux habitants. Les fumées, les gaz de combustion, les odeurs, les produits ménagers, les moisissures, les bactéries… polluent l’air au quotidien, détériorent le bâti et nuisent à la santé des occupants. Pour assainir l’air des pièces humides ou polluées, telles que la cuisine, la salle de bains, la buanderie, les WC…, la ventilation mécanique contrôlée (VMC) est essentielle. Elle va renouveler en permanence l’air intérieur, en introduisant de l’air neuf et en évacuant l’air vicié, et limiter la condensation qui peut endommager le bâti. Toutefois, si la VMC est indispensable pour assurer la bonne santé des occupants, elle peut parfois être une véritable source d’inconfort par sa nuisance sonore si l’habitat est mal insonorisé et que la VMC est mal située. Autogyre, spécialiste de la ventilation et du traitement de l’air depuis plus de 70 ans, propose dans sa large gamme d’extracteurs et de VMC Simple Flux, des solutions qui comptent parmi les plus silencieuses du marché et qui répondent aux problématiques des habitats neufs ou en rénovation. EXTRACTEUR Série SILENCE : Discrétion et basse consommation L’extracteur Silence d’Autogyre assure une extraction ponctuelle de l’air vicié et provoque une dépression qui favorise l’arrivée de l’air sec et sain dans l’habitat. Econome en énergie, il se caractérise par sa faible consommation électrique (8 W pour Silence 100 et 13,5 W pour SILENCE 125). Il est doté d’une turbine hélicoïdale équipée d’aubes à profils silencieux. Résultat, l’appareil est plus silencieux qu’un extracteur classique, avec un faible niveau sonore (de 26 à 35 dB(A) selon le modèle). Puissant, l’extracteur SILENCE assure une ventilation continue avec des débits de 102 à 175 m3/h (selon le modèle) dans la cuisine ou les sanitaires, pour garantir une qualité de l’air intérieur optimale, tout en consommant très peu d’énergie. Facile à installer, au mur ou au plafond, il ne nécessite pas de gros travaux et est idéal en rénovation. Il permet un rejet direct ou en conduit court jusqu’à 3 m. Discrète, sa façade en ABS blanc est extra plate. Amovible, elle facilite l’entretien de l’appareil. Options de fonctionnement disponibles : Standard, Timer, Hygrostat, Cordelette. La VMC Simple Flux : Comment ça fonctionne ? La VMC Simple flux permet de renouveler l’air du logement en permanence. L’air extérieur est amené par les entrées d’air, situées dans les pièces à vivre (séjour, salon, chambres,…), vers les pièces humides où sont placées les bouches d’extraction. Ces dernières sont raccordées, à l’aide de gaines, à un caisson qui va expulser en permanence l’air vicié vers l’extérieur du logement. L’air humide ne stagne pas et les polluants sont éliminés. VMC Simple Flux – IZY SILENCE : Renouveler l’air en silence D’un design compact et ergonomique, le caisson de VMC SF autoréglable Izy Silence d’Autogyre est très silencieux. Grâce à une mousse isolante fixée à l’intérieur du caisson, l’isolation phonique est renforcée. L’Izy Silence présente ainsi d’excellentes performances sonores avec un niveau de pression acoustique à la bouche de la cuisine de seulement 18 dB(A). Certifié NF électricité, qui garantit la sécurité électrique et la qualité de fabrication, l’Izy Silence est doté d’un moteur basse consommation. Peu gourmand en énergie, il consomme en moyenne 15 W-Th-C (T2 jusqu’à T7). L’Izy Silence dispose de 2 vitesses et est idéal en rénovation pour un logement de 2 à 7 pièces principales, avec 1 cuisine et jusqu’à 4 sanitaires. VMC Simple Flux – SILENCIO : A détection d’humidité Le caisson Silencio d’Autogyre est conçu pour s’intégrer dans une installation de VMC Simple Flux autoréglable centralisée. Il est particulièrement recommandé pour les combles non isolés. Très solide, en acier galvanisé, il dispose d’une isolation intérieure renforcée (polystyrène expansé et mousse de mélamine). Résultat : le Silencio réalise de belles performances sonores avec un niveau de pression acoustique à la bouche de la cuisine inférieure à 14,4 dB(A) en petite vitesse. Autre avantage, il prévient efficacement l’humidité et maintient un air sain dans toutes les pièces de la maison. Pour gérer l’humidité, le Silencio est doté de 2 sondes hygrométriques 2HR Control (1 sur le piquage cuisine et 1 sur le piquage de la salle de bains principale) qui permettent de détecter l’humidité et de déclencher automatiquement la grande vitesse (GV). Dès que le taux d’humidité dépasse 75 % en cuisine ou en salle de bains, la VMC passe en grande vitesse (GV), et dès que l’humidité a été évacuée, elle revient en petite vitesse (PV). La grande vitesse peut être également activée manuellement via un commutateur installé en cuisine. Après 30 minutes, la VMC repasse en petite vitesse. Certifié NF électricité, le caisson Silencio est peu énergivore, il consomme en moyenne de 13,8W-Th-C (T1 à T4) à 20,8W-Th-C (T5 et +). Idéal en neuf comme en rénovation pour un logement de 2 à 7 pièces principales, avec 1 cuisine et jusqu’à 4 sanitaires, il est facile à installer avec ses piquages amovibles. VMC Simple Flux Compactéo SILENCE : Peu encombrante et parfaite en rénovation Compact et discret, le caisson de la VMC Simple Flux autoréglable Compactéo Silence d’Autogyre répond parfaitement aux contraintes d’encombrement grâce à sa faible hauteur de 15 cm. Idéal lors des travaux de rénovation, pour un logement de 2 à 7 pièces principales avec 1 cuisine et jusqu’à 3 sanitaires, il peut être facilement installé en faux plafond, dans un placard, en soupente… et utilisé dans toutes les positions. Le Compactéo Silence offre un grand confort acoustique. En acier galvanisé avec isolation intérieure renforcée en mousse de mélamine et un moteur monté sur roulement à bille lui permettent d’obtenir une pression sonore à la bouche de la cuisine inférieure à 16 dB(A) en petite vitesse. Par ailleurs, il est équipé de 4 plots anti-vibratiles pour une fixation silencieuse. Son piquage de cuisine avec système Venturi lui assure une meilleure aéraulique et contribue également à réduire le bruit. Certifié NF électricité, il est économe en énergie avec une faible consommation électrique à partir de 7,5 W en petite vitesse. Sa turbine à réaction à haut rendement garantit un faible encrassement. Enfin, pour évacuer l’humidité détectée, il dispose de 2 sondes hygrométriques 2HR Control (1 sur le piquage cuisine et 1 sur le piquage de la salle de bains principale) qui déclenchent automatiquement la grande vitesse (GV) dès que le taux d’humidité dépasse 75 %. Une fois l’humidité évacuée, il revient en petite vitesse (PV).  La grande vitesse peut être activée manuellement via un commutateur installé en cuisine. Après 30 minutes, la VMC repasse en petite vitesse.
Il y a 3 ans et 78 jours

Le suivi et la maintenance sont indispensables pour tirer le meilleur parti du solaire thermique

Au moment où s’impose la relance du solaire thermique pour remplacer une part du gaz russe, il ne faut pas oublier les fondamentaux : bonne conception, suivi et maintenance des installations.
Il y a 3 ans et 79 jours

Le réseau de menuiserie GAP Référencement célèbre son 30ème adhérent pendant sa convention

Une convention pleine de musclesCommencer l’année comme elle s'était terminée c’est à dire pied au plancher.Voici l’objectif de toute l’équipe du réseau GAP Référencement pour 2022 en continuant son développement et l’accompagnement de tous les adhérents de plus en plus nombreux comme le constate Éric Beyne, Directeur commercial du réseau.Pour Éric Beyne, Directeur commercial du réseau GAP : « Aucun doute, nous venons de changer de division en cette année 2022 avec la signature du 30ème adhérent. C’est une immense satisfaction lorsque l’on regarde le travail accompli en deux années. Le réseau continue naturellement son développement et le terme « adhérent » n’a jamais aussi bien porté son nom lorsque l’on voit l’adhésion et l’enthousiasme des entrepreneurs membres du réseau. Cette convention est un succès autant sur le plan professionnel qu’amical. »En effet, la quasi-totalité des adhérents se sont réunis sous le soleil Montpelliérain fin janvier pour 2 jours de découverte mais surtout d’échanges entre professionnels de la menuiserie. Au programme de la « feuille de match », objectifs 2022, rencontres fournisseurs, ateliers pratiques et présentation des nouveaux outils pour un objectif simple : Accompagner les adhérents à développer leur entreprise en termes de chiffre d’affaires et notoriété.« ON GARDE NOTRE SYSTÈME DE JEU » rappelle souriant Éric Beyne faisant référence à l’identité Rugby du Réseau à savoir valoriser leur entreprise sous leur propre enseigne en leur apportant notre savoir-faire en matière de vente, logistique, communication en complément de produits de qualité à des tarifs négociés et compétitifs. « A les écouter, tout porte à croire que notre vision du jeu est gagnante. Dans tous les cas, ils sont tous fiers de porter le maillot GAP. » conclut Éric Beyne.10 adhérents de plus en 3 mois pour 30 adhérentsAprès ATC Menuiserie, CHUTEL, GT HABITAT, J&V34, Carrelage Menuiserie du Haut Vivarais, Mode & Fenêtres les derniers adhérents de 2021, c’est au tour des sociétés Tendance Menuiseries, Alu Vaison, Cap Travo, La Nouvelle Miroiterie Landaise, Taravello, Nomu et Partner Sdim de rejoindre la TEAM GAP Référencement.Ils ont tous été séduits par la même approche qui fait le succès du réseau comme l’explique Nicolas Taravello, PDG de la société TARAVELLO implantée dans la Drôme et titulaire du maillot numéro 25 du réseau.Pour Nicolas Taravello, PDG de la société TARAVELLO : « L’entreprise TARAVELLO, c’est 4 générations de menuisiers et 35 personnes réparties dans 4 sociétés différentes et 10 M€ de chiffre d’affaires. Autant dire que notre choix de rejoindre un Réseau a été mûrement réfléchi. En premier lieu, Nous avons été séduits par le fait de garder notre propre image, la volonté de pouvoir communiquer en groupe, mais sous notre nom. Ensuite, les gammes de produits sont très qualitatives à partir de fabricants reconnus sur le marché avec des BFA très valorisantes. Enfin, la vision de se développer facilement sur d’autres segments que je ne connais pas est un vrai challenge. Pour ce faire, nous sommes très bien accompagnés par les outils et les hommes GAP avec une simplicité et un naturel qui nous vont très bien. »Le réseau compte actuellement 30 adhérents et plus de 45 points de vente répartis plus particulièrement sur le Sud-est et Sud-ouest de la France. La volonté du réseau GAP Référencement est de rester sur cette dynamique de croissance en remontant vers le Nord comme le résume Jordan Khalifa, le fondateur du réseau.Pour Jordan Khalifa, le fondateur du réseau : « Au même titre que nos adhérents , notre notoriété est grandissante. Si notre ADN sudiste nous a naturellement positionné sur le sud, les frontières évoluent. De nombreux contacts un peu plus haut sont en cours et les portes du nord devraient bientôt s'ouvrir. »
Il y a 3 ans et 79 jours

Les nouveautés du référentiel de certification NF Habitat depuis le 1er octobre 2021

La nouvelle version du référentiel de certification NF Habitat, NF Habitat HQE, a pour objectif d'accompagner et de faciliter la mise en oeuvre de la RE2020.
Il y a 3 ans et 79 jours

La sobriété n'est pas synonyme de décroissance, souligne l'Ademe

La transition écologique engendrera une hausse de l'activité économique dans tous les scénarios de neutralité carbone à 2050, souligne un rapport de l'Ademe, Agence de la transition écologique, le 22 mars.
Il y a 3 ans et 79 jours

La guerre d’Ukraine fait craindre une reprise haussière des sciages

Il y a exactement un an, le marché des sciages a connu une envolée des prix et des délais. La guerre d’Ukraine va-t-elle produire un effet analogue ?
Il y a 3 ans et 79 jours

Raphaël Gabrion - Portrait

Raphaël Gabrion est diplômé de l'Ensa Normandie en 2001. Depuis la création et la nomination aux Ajap de son agence en 2008, il privilégie le travail en petit comité. L'équipe, installée à Paris, travaille sur des projets choisis, pour davantage de maîtrise des processus de création et de construction.  […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 79 jours

La justice déboute neuf associations contre le permis de construire de la gare du Triangle de Gonesse

"Les associations requérantes ne sont pas fondées à demander l'annulation de l'arrêté du préfet du Val-d'Oise du 14 septembre 2018" délivrant le permis de construire de cette gare du Grand Paris Express, a estimé le tribunal dans un jugement rendu mardi.Cette "infrastructure en plein champ que le gouvernement s'obstine à vouloir construire" en dépit de l'urgence écologique pâtit d'un manque de concertation et d'informations sur son impact environnemental, dénoncent les opposants.Le tribunal s'est opposé à leurs arguments, considérant que le permis n'était entaché d'aucune irrégularité et "n'avait pas à prévoir de mesures de compensation"."Cette décision montre que les terres agricoles sont secondaires", a regretté Bernard Loup, le président du Collectif pour le Triangle de Gonesse (CPTG), parmi les requérants. Les associations vont faire appel, a-t-il ajouté. Elles avaient rapidement saisi la justice après le feu vert du préfet, il y a plus de trois ans.Entre-temps Europacity, le mégacomplexe de loisirs censé s'y implanter initialement, a été abandonné par l'État en 2019. Mais pas la gare. Une ribambelle de projets sont égrainées depuis pour s'implanter autour, jusqu'à une extension du marché de Rungis.Par des pétitions, manifestations et actions en justice dont ils sont sortis défaits à ce stade, les opposants demandent de favoriser des projets agricoles à taille humaine et de flécher les investissements sur les transports en commun existants. Des travaux préparatoires de la ligne 17 nord ont démarré sur le site. Cette nouvelle ligne de métro entre Bonneuil-en-France et Le Mesnil-Amelot (Seine-et-Marne) doit passer par le parc des exposions de Villepinte et surtout l'aéroport de Roissy.Sa mise en service est prévue pour 2030.
Il y a 3 ans et 79 jours

La ville de Rochefort en Charente-Maritime met un prix sur ses arbres

"Dernièrement, un riverain a estimé que trois frênes le gênaient devant chez lui, alors il les a coupés", raconte à un correspondant de l'AFP Christèle Morin, adjointe au maire LR de Rochefort Hervé Blanché, en charge des Espaces verts."Dans un parc, des jeunes se sont amusés à arracher l'écorce. Parfois ce sont des travaux de terrassement qui détruisent le système racinaire. Mais les arbres c'est la vie, ça nous fait respirer ! Les gens ont oublié ce phénomène et les traitent comme du mobilier urbain", déplore-t-elle.Pour lutter contre ces dégradations, le service municipal qu'elle dirige calcule en ce moment leur valeur financière. Ainsi le majestueux hêtre qui surplombe le port de plaisance de la ville berceau du navire L'Hermione vient d'être estimé à 26.000 euros. La trentaine de platanes qui bordent le boulevard de la Résistance valent désormais entre 6 et 10.000 euros chacun. Les 11.000 arbres que compte la ville vont tous être estimés."Nous appliquons le 'barème de l'arbre' élaboré par le Centre technique national sur les espaces verts et la nature en ville Plante et Cité, le Conseil d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement (CAUE) de Seine-et-Marne et Copalme" (association d'arboristes élagueurs grimpeurs), explique Christèle Morin."La loi ignore l'arbre"Ce barème s'articule autour de deux notions. La "Valeur intégrale évaluée" de l'arbre, exprimée en euros, intègre l'âge, les dimensions, l'espèce, le caractère remarquable ou non de l'arbre et son environnement paysager.Ensuite un second calcul est effectué pour définir le "Barème d'évaluation des dégâts" causés à l'arbre, qui permet d'estimer le préjudice en cas de dommages. Un montant auquel s'additionnent "le coût des heures d'intervention des agents et la location du matériel", souligne Eric Bourdajaud, directeur des Espaces verts rochefortais.Ce double barème de l'arbre est disponible sur le site internet éponyme depuis deux ans mais de tels modes de calcul existaient bien avant. "Les premiers sont le fait d'associations ou de collectivités. Ils remontent aux années 1960, détaille François Freytet, membre de Copalme et co-créateur de cet "outil modernisé, plus accessible et qui entre dans un ensemble de dispositions de protection de l'arbre déjà existantes".Outre Rochefort, port de quelque 25.000 habitants, plus de 640 villes ont adopté le barème de l'arbre pour protéger une végétation urbaine régulièrement malmenée. Le site baremedelarbre.fr recense des utilisateurs comme les municipalités de Lyon, Grenoble, Nancy, Orléans ou encore l'Office national des forêts (ONF).Les compagnies d'assurances ne le reconnaissent pas officiellement mais "on n'a pas de retour d'une assurance qui le refuse", indique François Freytet. "En revanche, ajoute-t-il, la loi ignore l'arbre, notamment au profit de la propriété privée. Des réflexions sont en cours pour une prise en compte".
Il y a 3 ans et 79 jours

Une nouvelle directrice pour le collectif Effinergie

CARNET-NOMINATION. Yann Dervyn quitte le poste de directeur général d'Effinergie, qui regroupe de nombreuses structures de la filière du bâtiment.
Il y a 3 ans et 79 jours

Permis de construire : Emmanuel Macron envisage d'égratigner le pouvoir des maires

PRÉSIDENTIELLE 2022. En l'absence du "choc de l'offre" tant espéré dans le secteur du logement, le président-candidat Emmanuel Macron cherche des solutions visant à libérer la délivrance des permis de construire.
Il y a 3 ans et 79 jours

La FFB annonce du nouveau dans les certifications professionnelles du BTP

Pour répondre aux besoins des entreprises du secteur sur les fonctions d’encadrement et afin que les compétences liées au CQP Assistant Technicien de Chantier soient reconnues au niveau 4 du Cadre Européen des Certifications, la FFB souhaite inscrire ce CQP au Répertoire National des Certifications Professionnelles.A cette occasion, la FFB a mis à jour le référentiel d’activités, de compétences et d’évaluation du CQP et a procédé à son découpage, en blocs de compétences. Lorsque le CQP sera inscrit au RNCP, les entreprises et les salariés pourront bénéficier d’une prise en charge :De la formation permettant d’accéder à la certification, via le Compte Personnel de Formation.De l’accompagnement à la Validation des Acquis de l’Expérience, si le candidat possède les prérequis nécessaires. Les prises en charge dans le cadre du plan de développement des compétences et du contrat de professionnalisation restent, quant à elles, inchangées. Le dossier sera déposé dans les prochains jours.
Il y a 3 ans et 79 jours

BHS-Sonthofen : Une centrale à béton, 1 000 m sous terre

BHS-Sonthofen a installé une centrale à béton au fond de la mine de Schachtbau Nordhausen, en Allemagne. [©BHS-Sonthofen] Que faire lorsqu’il n’existe pas de données empiriques pour des conditions de production spécifiques ? Que faire encore lorsque le chantier n’est pas simple d’accès pour un malaxeur ? Tels étaient les postulats de départ pour BHS-Sonthofen dans le cadre du projet du groupe ETS Schachtanlage Konrad, à Salzgitter-Bleckenstedt, en Allemagne. Celui-ci prévoyait la conception d’un malaxeur discontinu à doubles arbres horizontaux et la livraison d’une centrale à béton spéciale… Cette dernière devait permettre d’obtenir un produit final optimal. A savoir, un béton projeté par voie mouillée, d’une granulométrie 0/4 mm, obtenu à partir d’un prémix sec. Le tout, au fond d’une mine, à 1 000 m sous terre ! « Lorsque nous ne disposons pas d’exemples concrets pour certaines exigences, nous commençons par utiliser notre malaxeur de laboratoire de type DKX 0,06 S », explique Eckhard Rössner, responsable du service extérieur “Machines pour matériaux de construction” de BHS-Sonthofen. 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Il y a 3 ans et 79 jours

L'industrie de la chimie face à une hausse des prix sans précédent et à des tensions d’approvisionnement sur les matières premières

Pour rappel, déjà depuis fin 2020, et tout au long de l’année 2021, les principaux industriels de l’aval de la chimie regroupés au sein de la FIPEC et représentant les syndicats SIPEV, AFICAM, AFEI, AFCALE et SPB (fabricants de peintures, enduits, vernis, colles, mastics, encres d’imprimerie, couleurs, protection du bois etc.) ont subi une pression sans précédent sur les matières premières qui s’est manifestée par :l’augmentation forte du coût de revient des produits qui comprime drastiquement les marges ;l’accès limité à certaines matières premières nécessitant des arbitrages là où des alternatives techniques n’étaient pas disponibles ;l’activation de plan d’urgence pour continuer à livrer tous les clients au mieux en temps et en heure ;la nécessité de transférer vers l’aval des hausses de prix lorsque certains seuils sont franchis.La guerre en Ukraine provoque une généralisation brutale des hausses tarifaires sur les coûts de productionAvec la guerre en Ukraine et ses conséquences sur les coûts de l’énergie (gaz et pétrole) dont les prix explosent, les industriels représentés par la Fipec subissent depuis mi-février une inflation sans précédent des coûts de l’ensemble des postes de production.Les matières premières utilisées dans la fabrication des mélanges chimiques sont toutes en augmentation tarifaire forte : les substances issues de la chimie minérale, servant principalement de pigments, et les substances issues de la chimie organique, pétro-sourcée ou biosourcée, produites à partir d’industries fortement électro-intensives, subissent des hausses de prix considérables. La situation du dioxyde de titane est particulièrement sensible. Les résines alkydes, les isocyanates, les époxy, certaines résines acryliques, certains solvants (MEK, MIBK) sont particulièrement sous tension. La quasi-totalité des entreprises adhérentes de la FIPEC constatent des difficultés d’approvisionnement pour le dioxyde de titane, la nitrocellulose, l’éthanol, l’acétate d’éthyle, le polyphosphate d'ammonium, les émulsions acryliques, les éthers cellulosiques, les résines alkydes, l’uréthane, les durcisseurs PU, la silice pyrogénée, le talc, la baryte, etc.Les emballages nécessaires au conditionnement des produits sont en situation de hausse excessivement forte : pour les emballages plastiques, comme pour les emballages métalliques. Le coût des palettes en bois atteint des montants historiques.Le coût de l’énergie augmente : comme tous les acteurs économiques, les adhérents de la FIPEC consomment de l’énergie dans leur process de fabrication et sont directement touchés par l’explosion des prix de l’énergie.Le transport des marchandises devient critique : le coût des carburants et la disponibilité des transporteurs est en forte tension.Aucune perspective positive envisagée à court et moyen terme : la Fipec appelle à une solidarité de filières et à une responsabilité de tous les acteursLa Fipec, auditionnée début 2022 par le médiateur des entreprises dans le cadre de la concertation de la filière BTP, ou impliquée au sein des comités stratégiques de filière chimie et industries pour la construction, appelle l’ensemble des acteurs à une solidarité de filières.Jusqu’à présent, les fabricants ont pris sur eux le choc en proposant, parfois avec difficulté, des hausses de prix contrôlées et mesurées par rapport à la capacité de l’aval à les absorber, sans commune mesure avec l’effondrement des marges provoquées par la flambée des hausses de prix des matières premières.L’allongement de la durée de la crise des matières premières et la forte augmentation de leur prix, accompagnés de la compression historique des marges va rendre indispensable la répercussion des hausses des prix sur toute la chaîne de valeur, amenant des réactualisations beaucoup plus fréquentes.Pour préserver le même niveau de qualité et de richesse du tissu industriel de la filière française, il est désormais crucial que l’ensemble des acteurs, des plus modestes aux plus importants, de l’amont vers l’aval, neutralise les rapports de force structurels au profit d’une approche pragmatique et responsable, à l’opposé des approches spéculatives ou opportunistes encore trop fréquentes.Des effets directs sont à prévoir sur les nombreux marchés aval de cette industrie : les marchés d’emballages imprimés de toutes les filières, dont la filière agro-alimentaire, le secteur de la construction et de la rénovation, les marchés anti-corrosion marine et industrielle, le secteur automobile, etc.La capacité des acteurs des filières à réagir positivement à l’appel à la responsabilité de la Fipec sera décisive pour assurer la survie d’une grande partie des PME et ETI de la Fipec, et par conséquent, contribuer aux objectifs de réindustrialisation du pays.
Il y a 3 ans et 79 jours

Quelles solutions pour sauver la filière française de la rénovation énergétique du naufrage ?

La transition écologique nécessite une action politique forte, immédiate et pérenne puisque les enjeux sont de long terme. Les instruments de planification nationale ne sont malheureusement que de simples vœux, or, ils devraient constituer le cadre pour toutes actions des décideurs politiques. Les décisions prises au niveau national comme au niveau concernant les politiques et leurs mesures ou l’orientation des investissements ont donc l’obligation d’être ambitieuses à court terme au regard des objectifs de moyen et long terme.Pour rappel, au niveau international (Accord de Paris) l’objectif est de contenir le réchauffement climatique nettement au-dessous de + 2°C, si possible à 1,5°C. En Europe, cet objectif international se traduit par -55% de gaz à effet de serre d’ici 2030, et une augmentation sensible de l’usage des énergies renouvelables.Ces objectifs imposent donc de diminuer la quantité d’énergie nécessaire à la satisfaction d’un même besoin grâce à l’efficacité énergétique. L’isolation des bâtiments (notamment du secteur résidentiel qui représente plus de 57% des consommations du secteur) est la priorité car c’est l’action la plus efficace sur le court et le long terme. Le recours aux énergies renouvelables pour leur faible impact sur l’environnement et leur caractère inépuisable doit être favorisé car ce sont des énergies de flux, contrairement aux énergies de stock qui sont des réserves finies (charbon, pétrole, gaz fossile et uranium).En France, la neutralité carbone détermine l’objectif de zéro émission nette de gaz à effet de serre et la division par deux de la consommation d’énergie finale d’ici 2050 en réduisant la part du nucléaire et augmentant significativement le recours aux énergies renouvelables.La formation des professionnels du bâtiment est indispensable et le financement pérenne d’un grand programme de rénovation complète et performante des logements est un chantier prioritaire.Générateur de centaines de milliers d’emplois. Les mesures actuelles comme les CEE, MaPrime Rénov, … ne sont pas à la mesure des enjeux et leur instabilité permanente ont pour effet une grande déstabilisation de la filière qui se solde par plusieurs milliers d’emplois supprimés en quelques mois et des particuliers qui sont extrêmement inquiets ne pouvant pas financer les travaux tout en subissant une perte de pouvoir d’achat et de leur qualité de vie du fait de l’augmentation du coût des énergies.2022 doit être l’année de la remise à plat de ce système pour orienter une politique financière et une ambition pour la rénovation. En agissant ainsi l’Etat garantira à tous les Français un habitat sain, confortable, et peu coûteux en énergie. Il permettra enfin d’éradiquer la précarité énergétique.Pour arriver à une rénovation énergétique performante de la quasi-totalité du parc immobilier existant d’ici 2050, les logements classés F ou G sont rénovés en priorité, il faut selon le SYMBIOTE (SYndicat Multi Branches des Industries et des Opérateurs de la Transition Energétique) :Réorienter l’ensemble des financements dédiés à la rénovation vers le niveau BBC avec des dispositifs stables de financement permettant à chaque ménage quel que soit son revenu de financer ses travaux, notamment grâce aux économies d’énergie réalisées. L’isolation étant prioritaire pour toute rénovation. Les aides doivent impérativement être stables pour permettre aux filières et aux particuliers de s’engager ;Revoir le dispositif des CEE et Ma Prim Rénov pour que le reste à charge soit supportable pour les ménages aux revenus moyens et faibles et que le signal soit positif pour un engagement fort des professions et des particuliers ;Augmenter l’objectif de la 5° période des Certificats d’Économies d’Énergie pour le rendre compatible avec les objectifs nationaux et européens en portant à 3500 TWh le montant de la période dont 450 TWh chez les ménages aux revenus moyens et modestes ;Rendre progressivement obligatoire et systématique la rénovation des maisons individuelles à l’occasion du changement de propriétaire ou de locataire et la rénovation énergétiques des copropriétés lors des ravalements ;Assujettir à un contrôle tous les travaux du fait qu’ils font l’objet d’aide de l’État ;Renforcer la formation de l’ensemble des acteurs du bâtiment à la rénovation complète et performante, en promouvant une filière de formation initiale ou continue dédiée à la rénovation ( BTS,…). Cette formation regrouperait trois volets (les financements, la gestion administrative des dossiers de financement, la technique) ;Lancer un plan d’implantation des énergies renouvelables pendant 10 ans (20 Milliards d’euros) afin de permettre l’autonomie et l’autoconsommation de plus de 3 millions de maisons individuelles. La filière avale de la rénovation a lourdement investi pendant 5 ans pour satisfaire les objectifs fixés dans le cadre des CEE. Cette filière s’effondre car les objectifs et le dispositif ne cessent d’être modifiés dégradant tout le système.Pour plus d'information sur la situation chaotique de la filière vous trouverez la dernière tribune rédigé par symbiote sur ce sujet ICI.
Il y a 3 ans et 79 jours

Quelles solutions pour sauver la filière de la rénovation énergétique du naufrage en France ?

La transition écologique nécessite une action politique forte, immédiate et pérenne puisque les enjeux sont de long terme. Les instruments de planification nationale ne sont malheureusement que de simples vœux, or, ils devraient constituer le cadre pour toutes actions des décideurs politiques. Les décisions prises au niveau national comme au niveau concernant les politiques et leurs mesures ou l’orientation des investissements ont donc l’obligation d’être ambitieuses à court terme au regard des objectifs de moyen et long terme.Pour rappel, au niveau international (Accord de Paris) l’objectif est de contenir le réchauffement climatique nettement au-dessous de + 2°C, si possible à 1,5°C. En Europe, cet objectif international se traduit par -55% de gaz à effet de serre d’ici 2030, et une augmentation sensible de l’usage des énergies renouvelables.Ces objectifs imposent donc de diminuer la quantité d’énergie nécessaire à la satisfaction d’un même besoin grâce à l’efficacité énergétique. L’isolation des bâtiments (notamment du secteur résidentiel qui représente plus de 57% des consommations du secteur) est la priorité car c’est l’action la plus efficace sur le court et le long terme. Le recours aux énergies renouvelables pour leur faible impact sur l’environnement et leur caractère inépuisable doit être favorisé car ce sont des énergies de flux, contrairement aux énergies de stock qui sont des réserves finies (charbon, pétrole, gaz fossile et uranium).En France, la neutralité carbone détermine l’objectif de zéro émission nette de gaz à effet de serre et la division par deux de la consommation d’énergie finale d’ici 2050 en réduisant la part du nucléaire et augmentant significativement le recours aux énergies renouvelables.La formation des professionnels du bâtiment est indispensable et le financement pérenne d’un grand programme de rénovation complète et performante des logements est un chantier prioritaire.Générateur de centaines de milliers d’emplois. Les mesures actuelles comme les CEE, MaPrime Rénov, … ne sont pas à la mesure des enjeux et leur instabilité permanente ont pour effet une grande déstabilisation de la filière qui se solde par plusieurs milliers d’emplois supprimés en quelques mois et des particuliers qui sont extrêmement inquiets ne pouvant pas financer les travaux tout en subissant une perte de pouvoir d’achat et de leur qualité de vie du fait de l’augmentation du coût des énergies.2022 doit être l’année de la remise à plat de ce système pour orienter une politique financière et une ambition pour la rénovation. En agissant ainsi l’Etat garantira à tous les Français un habitat sain, confortable, et peu coûteux en énergie. Il permettra enfin d’éradiquer la précarité énergétique.Pour arriver à une rénovation énergétique performante de la quasi-totalité du parc immobilier existant d’ici 2050, les logements classés F ou G sont rénovés en priorité, il faut selon le SYMBIOTE (SYndicat Multi Branches des Industries et des Opérateurs de la Transition Energétique) :Réorienter l’ensemble des financements dédiés à la rénovation vers le niveau BBC avec des dispositifs stables de financement permettant à chaque ménage quel que soit son revenu de financer ses travaux, notamment grâce aux économies d’énergie réalisées. L’isolation étant prioritaire pour toute rénovation. Les aides doivent impérativement être stables pour permettre aux filières et aux particuliers de s’engager ;Revoir le dispositif des CEE et Ma Prim Rénov pour que le reste à charge soit supportable pour les ménages aux revenus moyens et faibles et que le signal soit positif pour un engagement fort des professions et des particuliers ;Augmenter l’objectif de la 5° période des Certificats d’Économies d’Énergie pour le rendre compatible avec les objectifs nationaux et européens en portant à 3500 TWh le montant de la période dont 450 TWh chez les ménages aux revenus moyens et modestes ;Rendre progressivement obligatoire et systématique la rénovation des maisons individuelles à l’occasion du changement de propriétaire ou de locataire et la rénovation énergétiques des copropriétés lors des ravalements ;Assujettir à un contrôle tous les travaux du fait qu’ils font l’objet d’aide de l’État ;Renforcer la formation de l’ensemble des acteurs du bâtiment à la rénovation complète et performante, en promouvant une filière de formation initiale ou continue dédiée à la rénovation ( BTS,…). Cette formation regrouperait trois volets (les financements, la gestion administrative des dossiers de financement, la technique) ;Lancer un plan d’implantation des énergies renouvelables pendant 10 ans (20 Milliards d’euros) afin de permettre l’autonomie et l’autoconsommation de plus de 3 millions de maisons individuelles. La filière avale de la rénovation a lourdement investi pendant 5 ans pour satisfaire les objectifs fixés dans le cadre des CEE. Cette filière s’effondre car les objectifs et le dispositif ne cessent d’être modifiés dégradant tout le système.Pour plus d'information sur la situation chaotique de la filière vous trouverez la dernière tribune rédigé par symbiote sur ce sujet ICI.
Il y a 3 ans et 79 jours

Amazon abandonne son projet d'entrepôt près de Rouen

LOGISTIQUE. Après des recours contre le projet de construction d'un bâtiment de stockage, le géant américain renonce à son entrepôt. La municipalité qui devait accueillir l'édifice regrette cette décision.