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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88061 résultats)
Il y a 3 ans et 78 jours

Le loueur de matériel Kiloutou réalise sa plus grosse acquisition en rachetant GSV

La société de location de matériel Kiloutou a annoncé mardi le rachat de GSV, leader du marché au Danemark, soit sa "plus grosse acquisition" et une nouvelle étape de son développement à l'international.
Il y a 3 ans et 78 jours

FO ProBTP dénonce le minutage des pauses pipi d'employés de la caisse de retraite

Le syndicat a déploré la limitation à dix minutes par jour des "pauses physiologiques" des employés de ProBTP, temps au-delà duquel les pauses sont décomptées du temps de travail.
Il y a 3 ans et 78 jours

Mesures de soutien aux travaux publics : un geste salué par le secteur, bien qu'imparfait

HAUSSE DES COÛTS. Le Gouvernement a annoncé, le 29 mars 2022, 5 mesures exceptionnelles pour permettre au BTP de mieux faire face aux conséquences de la guerre en Ukraine sur leur activité. Les travaux publics se satisfont de la prise en compte directe de certaines de leurs spécificités, reconnaissant la difficulté de l'exercice dans le contexte électoral actuel. Mais cela peut toujours être mieux...
Il y a 3 ans et 78 jours

Aco Showerdrain S+ : la solution idéale pour une douche à l’italienne raffinée en toute simplicité

Purement élégant« ACO Showerdrain S+, c’est une autre façon de concevoir le caniveau de douche. En effet, c’est son profilé haute qualité en inox AISI 304 et finition brossée, qui sublime la salle de bains avec élégance » précise Joëlle TSHIBANGU, Chef de Marché Marketing Building Drainage.En effet, ACO Showerdrain S+ se distingue par son design novateur et discret. La finesse du profilé et son esthétique pure séduisent dès le premier regard. Sa surface en acier inoxydable ultra moderne et intemporelle, se marie à merveille avec les salles de bains épurées.L’élégance de ce caniveau impressionne aussi grâce sa finition brossée et électropolie qui lui donne un éclat particulier et une grande durabilité.Deux design de grilles, aux lignes épurées, viennent subtilement habiller le profilé de caniveau et lui confèrent encore plus de raffinement.La couverture Stripe se distingue par ses fentes galbées qui vont charmer tous ceux qui recherchent un côté cosy et chaleureux, son débit d’écoulement s’élève à 36 l/min.Avec son design minimaliste, la couverture Plate s’invite dans les salles de bains à la décoration plus classique et insuffle une ambiance toute en sobriété. Une fente de 7 mm de largeur et de 13 mm de longueur favorise le ruissellement de l’eau en toute fluidité (débit d’écoulement : 30 l/min).Étonnamment simple à installerPlus facile à installer et à nettoyer, ACO Showerdrain S+ se révèle l’allié confort pour les poseurs.Un emballage pratique pour une pose en deux tempsL’emballage est composé de deux colis avec tous les éléments nécessaires pour installer le caniveau en deux temps. La boîte avec le profilé de caniveau contient également la grille, le filtre à cheveux et la rehausse ajustable. Une seconde boîte comprend le boîtier siphon, la cloche siphoïde et la protection de chantier.Le plombier installe le corps de l’avaloir, puis le carreleur réalise les finitions de la douche et positionne le profilé du caniveau avec la couverture pour une parfaite intégration avec le design du carrelage.Des pieds ajustables pour un réglage aisé de la hauteurUn kit de fixation est prévu il comprend notamment 3 pieds sécables qui facilitent la mise à niveau et l’ancrage dans le sol du boitier siphon et assurent un gain de temps pour l’installateur. ACO Showerdrain S+ s’accorde à tous les types de carrelage notamment la pierre naturelle. En effet pour les sols d’une hauteur supérieure à 10 mm, une rehausse ajustable sur chantier est fournie avec le profilé de caniveau (hauteur ajustable de 12 à 35 mm).Une natte d’étanchéité fiable collée en usineAvec une douche à l’italienne, l’écoulement de l’eau et l’étanchéité doivent être parfaites sous peine d’inonder toute la salle de bain. ACO Showerdrain S+ est proposé avec une natte d’étanchéité pré-montée en usine sur le boîtier siphon en PVC DN 50. Elle garantit un raccordement parfaitement étanche du caniveau à la douche italienne et offre plus de flexibilité à l’installateur.Protection de chantier astucieuseLe boîtier siphon est livré avec une protection sur laquelle apparait des points de centrage, cette même protection de chantier fait office de gabarit de positionnement afin d’aligner et installer aisément le caniveau de façon centrale ou directement contre la cloison du mur.Une solution modulaire pour un nettoyage aisé et une hygiène parfaiteACO ShowerDrain+ se révèle très facile d’entretien. Les différents composants sont démontables pour un nettoyage tout en confort.La cuve à triple pente intégrée en acier inoxydable et en pleine matière favorise un drainage optimal de l’eau vers la grille, sa finition électropolie donne un effet perlant élégant et réduit l’apparition de tâches d’eau séchées.Plus besoin d’outillages supplémentaires, grâce à l’ingénieux système « Tip & Flip », une simple pression du doigt suffit pour retirer la grille et accéder au filtre à cheveux pour une bonne évacuation après chaque utilisation.Pratique, la cloche siphoïde située à l’intérieur du boîtier siphon, est extractible en un tour de main et démontable en deux parties grâce à deux poignées.ACO Showerdrain S+, c’est l’assurance d’une hygiène irréprochable.Autres points forts du caniveau ACO Showerdrain S+4 longueurs sont proposées - 800 mm, 900 mm, 1 000 mm et 1 200 mm.Les longueurs 1 000 mm et 1 200 mm sont particulièrement recommandées dans le cadre d’installation pour les personnes à mobilité réduite.Afin de bloquer la remontée d’odeurs indésirables, deux tailles de gardes d’eau sont disponibles : 50 mm pour les douches normées (conformément à la norme EN 1253) et 30 mm pour la rénovation basse hauteur.La surface extra-plate et anti-dérapante du profilé de caniveau permet de marcher pieds nus en toute sécurité (classe de charge K3).« Une attention particulière fut accordée à la conception du caniveau. ACO Showerdrain S+ est une solution intelligente qui offre une grande flexibilité lors de l’installation, il permet de répondre à toutes les configurations et s’adapte à tous les types de carrelage grâce à la rehausse ajustable. Il a été conçu en tenant compte de toutes les phases de mise en oeuvre, de sorte que le processus est sûr et simple du début à la fin ». Stéphane Savary, Coordinateur Technique ACO France.
Il y a 3 ans et 78 jours

Tensions sur les prix : la théorie de l'imprévision au secours du Bâtiment

SOLUTION. Dans un contexte chaotique d'inflation des coûts, le secteur du Bâtiment compte notamment s'appuyer sur la prise de position "historique" du gouvernement en faveur de la renégociation des marchés publics déjà contractualisés, et pourquoi pas privés.
Il y a 3 ans et 78 jours

La préfabrication à la mode du bas carbone

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine La gamme RSoft Bas Carbone de Rector s’adapte bien à l’éco-construction. [©Rector] Mini Sommaire : Dossier : Bétons et éco-construction #1 Capter, stocker ou utiliser le carbone Remettre le béton dans le béton Les bétons se mettent au vert Des liants nouvelles générations La transition écologique rapportée à tous les domaines demande une vision globale. Le monde du béton ne déroge pas à la règle et s’active sur tous les fronts. Le captage, le stockage et l’utilisation du carbone font partie de la feuille de route de décarbonation de l’industrie du ciment. Et de façon générale, ces technologies sont considérées comme un levier majeur dans l’objectif de neutralité carbone. Le recyclage ne date pas d’hier dans le domaine du béton. Mais aujourd’hui, de nouveaux acteurs et de nouvelles pratiques font évoluer les choses. Qu’il s’agisse d’incorporer des granulats recyclés dans la formulation des matériaux ou de valoriser des bétons de démolition. Les bétons “organiques” ont le vent en poupe. Que ce soit chez les majors du béton ou à travers de nouveaux acteurs. Chanvre, bois, manioc ou riz, les bétons se mettent au vert… Industriels et start-up se mettent en ordre de marche pour proposer des solutions disruptives dans le domaine des liants. L’objectif ? Réduire l’impact carbone des ciments. Dans les pays d’Europe du Nord, en Asie ou en Amérique du Nord, la construction hors site peut connaître une croissance à deux chiffres. Pourtant, c’est bien en France, en 1919, à l’occasion de la Foire de Paris, que Charles-Henri Besnard de Quelen a monté en 11 j la première habitation préfabriquée au monde : une maison en ciment armé. Depuis, plusieurs entreprises se sont lancées dans le domaine, à l’image des start-up Muance [Voir encadré ci-dessous] ou encore Vestack. Côté préfabrication d’éléments en béton, les industriels sont nombreux et ils innovent. En effet, la technique offre de nombreux avantages. Tels, la réduction de la durée de chantier, le côté sur mesure, la libération des contraintes météorologiques, tout comme l’économie de matière (30 à 70 % en fonction des projets) et de déchets. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 78 jours

Les adjuvants pour bétons

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Plus que jamais, la réduction de l’empreinte carbone est la tendance lourde dans le secteur de la construction. Premier visé : le béton, qui recourt de plus en plus aux ciments à plus faible teneur en clinker et aux substitutions de matières. Une démarche qui peut conduire à des pertes de performances. Mais les adjuvantiers veillent au grain. Entre services d’accompagnement, aide à la formulation et lancement de nouvelles chimies, la réponse est complète pour continuer de garantir aux bétons durabilité et résistance attendues. Cemex : Une pour le BPE et l’autre pour la préfa Cemex met sur le marché deux nouvelles familles de superplastifiants. [©Cemex] BPE, d’un côté. Préfabrication, de l’autre. Et au centre, la réduction de l’empreinte carbone du béton. Cemex vient de mettre sur le marché deux nouvelles gammes de superplastifants développées de manière spécifique pour cet usage. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 78 jours

GSE engage la construction d'une usine de 2.875m² pour Biotech Dental

Avec 300 salariés, elle produira des gouttières orthodontiques SMILERS pour le leader français dans le domaine des implants dentaires, des prothèses dentaires et des dispositifs médicaux dédiés à l'orthodontie.Un bâtiment mixte au design soignéD’une surface totale de 2.875 m², sur un terrain de 10.000 m², ce nouvel ensemble immobilier de trois étages intégrera un atelier de 1.000 m², dédié à la production, ainsi que 1.875 m² d’espaces de bureaux.Bénéficiant d’un design soigné signé par le cabinet EMH ARCHITECTES, le bâtiment verra son atelier et une partie des bureaux équipés de bardages translucides pour permettre un apport lumineux optimal. Une verrière de 60 m² assurera également un apport de lumière naturelle au centre de l’atelier, créant un espace ouvert et lumineux, propice au bien-être. Pour compléter l’ensemble, cette usine sera dotée d’une vaste terrasse en bois de 300 m², d’un aménagement paysager au niveau de l’accueil, deux cafétérias dédiées aux salariés et une salle de formation. L’atelier devra maintenir une température constante afin de conserver le calibrage des imprimantes 3D, avec une distribution uniforme par gaines textiles.« C’est une grande fierté pour GSE d’accompagner dans son développement une pépite provençale qui rayonne à l’international » déclare Patrice Tachouaft, directeur de région PACA chez GSE.La plus grande usine d’aligneurs d’Europe Le nouveau site de BIOTECH DENTAL accueillera 4 lignes de production composées d’imprimantes 3D et d’outils de thermoformage et de finitions : il s’agira de la plus grande usine de production d’aligneurs en Europe, par une entreprise européenne. Cet investissement, de l’ordre de 15 millions d’euros, permettra de produire sur ce site jusqu’à 10.000 aligneurs de dents transparents par jour et de multiplier par 7 la production d’aligneurs de la marque SMILERS, pour répondre au développement national et international du groupe, désormais présent aux Etats-Unis. Cette implantation permettra de créer 300 emplois à terme et fera preuve de la plus grande exigence en matière de respect des enjeux environnementaux. Ainsi, la consommation d’encre, de packaging et de plastique sera scrutée et le système d’impression utilisé permettra de récupérer une grande partie de la résine qui aurait été jetée, permettant un gain de consommation de l’ordre de 10 à 20%. Un système d’auto-régulation thermique et un usage d’imprimantes 3D dix fois plus économiques en énergie complètent le volet écologique.Pour Philippe Véran, Président Fondateur de BIOTECH DENTAL : « Nous sommes très heureux de compter une troisième usine de production pour Biotech Dental. La construction de ce nouvel outil de production s’inscrit dans la stratégie de notre groupe de continuer à servir l’excellence française ; ce nouveau site vient par ailleurs renforcer le développement de notre filiale Smilers qui existe depuis 2014 et réaffirme notre position de leader chez les dentistes omnipraticiens en France ». Il ajoute « Biotech Dental est le seul fabricant proposant une offre globale dans le dentaire à bénéficier d’une certification officielle pour l’ensemble de ses produits : le label Origine France Garantie. »
Il y a 3 ans et 78 jours

Nouveau plateau TV Bati-Journal au Forum Bois Construction de Nancy !

À l’occasion du Forum Bois Construction qui se tiendra à Nancy, les 7 & 8 avril prochain, les équipes de Bati-Journal seront présentes avec une nouvelle édition de son plateau TV. Cet événement est organisé par Wood Surfer et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’Interprofession national France Bois Forêt. Plateau TV Bati-Journal Pendant les deux jours de l’événement, vous pourrez retrouver des émissions dédiées aux grands thèmes abordés pendant le Forum. Une occasion unique de porter un regard original sur la filière forêt-bois-construction. Les thématiques du plateau pour la journée du 7 avril : • les métiers du bois : attractivité, formation, emploi et mise en action avec Pascal Triboulot (Fibois Grand-Est) et Mélanie Collin (Maison de l’emploi Grand Nancy) • la neutralité carbone avec David Bruchon (Icade Promotion) et Thomas Martal (Stock Co2) • mise en œuvre de la RE 2020 avec Rodrigue Leclech (Pouget Consultants) et Yves Hustache (Karibati) • Densification biosourcée avec Adrien Henocq (Belus et Henocq) • Construire en feuillus avec Johann Maître (Timbatec) et Simon Himpens (Simon&Capucine Architectes) • Réhabilitation avec Sébastien Eymard (Encore Heureux) et Axel Schoenert (Axel Schoenert Architectes) • Cadre de vie avec Eva Cojean (FNB) et Marie-Cécile Pinson • Intégrer le réemploi avec Sandrine Voranger (ICS Bois) et Benoît Legouge (Ebb) Les thématiques du plateau pour la journée du 8 avril : • Le biosourcé vecteur d’identité visuelle et sociétale avec Alexandre Maneval (Arte Charpentier) • Logistique et transport avec Nicolas Nectoux (REI Habitat) et Victor Fraboulet (Poulingue) • Logement social et neutralité carbone avec Antoine Pagnoux (ASP Architecture) et Jacques Felix-Faure (Atelier 17c Architecture) • Scolaire haute performance avec Christian Hackel (Agence M’Cub) et Damien Gallet (Damien Architectes) • Préfabrication biosourcée avec Arthur Cordelier (Wall Up Prefa) et Benjamin Nass (Briques Technic Concept) • Architecture avec Vincent Lavergne (Vincent Lavergne Architecture) > Le programme peut être modifié jusqu’au 8 avril Toutes les vidéos seront à retrouver dès le 7 avril sur bati-journal, woodsurfer.com et sur le site de franceboisforet.fr Cet article Nouveau plateau TV Bati-Journal au Forum Bois Construction de Nancy ! est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 78 jours

Remettre le béton dans le béton

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine SBM Mineral Processing a monté une centrale à béton stationnaire à haute performance pour Béton Granulats Ouest Lausannois (BGO). L’outil industriel s’ancre dans une démarche d’économie circulaire, notamment avec l’utilisation de granulats recyclés. [©SBM] Mini Sommaire : Dossier : Bétons et éco-construction #1 Capter, stocker ou utiliser le carbone La préfabrication à la mode du bas carbone Les bétons se mettent au vert Des liants nouvelles générations La transition écologique rapportée à tous les domaines demande une vision globale. Le monde du béton ne déroge pas à la règle et s’active sur tous les fronts. Le captage, le stockage et l’utilisation du carbone font partie de la feuille de route de décarbonation de l’industrie du ciment. Et de façon générale, ces technologies sont considérées comme un levier majeur dans l’objectif de neutralité carbone. De manière générale, l’industrialisation du bâtiment via la construction et la production hors site est vue comme une réponse crédible face à la transition environnementale du secteur. Les bétons “organiques” ont le vent en poupe. Que ce soit chez les majors du béton ou à travers de nouveaux acteurs. Chanvre, bois, manioc ou riz, les bétons se mettent au vert… Industriels et start-up se mettent en ordre de marche pour proposer des solutions disruptives dans le domaine des liants. L’objectif ? Réduire l’impact carbone des ciments. Les thématiques du recyclage et de la valorisation des matériaux sont intimement liées à l’économie circulaire. Ainsi, de 2012 à 2018, le Projet national Recybéton a rassemblé quelque 47 partenaires autour du sujet “Recycler le béton dans le béton”. Car, la très grande majorité des granulats issus des bétons de démolition est utilisée dans le secteur de la route. « Recybéton a permis d’évaluer à 38 Mt le gisement potentiel de granulats valorisés dans la fabrication des bétons, détaille Florent Dubois, responsable construction durable chez Lafarge France. Soit environ le tiers des besoins actuels. » Si le gain carbone n’est pas probant, leur utilisation répond à la préservation des ressources naturelles, mais aussi à la limitation des transports. Les bétons de démolition étant pour l’essentiel urbains et proches des chantiers de construction. Dans ses recherches, Recybéton a mis en exergue les possibilités, les conditions, mais aussi les limites de l’utilisation des bétons de démolition pour la fabrication des granulats recyclés. Ces derniers matériaux présenteraient une plus grande porosité, une absorption d’eau et une petite baisse des performances mécaniques. Partant de cette observation, un nouveau projet est né pour corriger cette problématique et augmenter l’utilisation de recyclés dans la formulation des bétons. Baptisé FastCarb, le projet s’intéresse au stockage du carbone dans ces granulats de manière accélérée. Comme expliqué plus tôt, la capture, la séquestration (CCS) et l’utilisation (CCU) de carbone font partie de la feuille de route bas carbone de l’industrie du ciment… Hydrostop : Une gestion performante des eaux « Nous ne pouvons pas puiser l’eau et les ressources naturelles de façon indéfinie ! », déclare Thomas Gaborieau, directeur général d’Hydrostop. Spécialisé dans la mesure et dans la gestion des eaux, Hydrostop conçoit des solutions complètes pour les industriels du béton. « Nous proposons un système global de traitements des eaux adapté à tous les outils. Le but ? Réinjecter un maximum d’éléments vertueux dans la production. » Hydrostop propose des solutions permettant la gestion des eaux en centrales à béton. [©Hydrostop] Hydrostop veut garantir un rejet conforme. « Avant, il y avait beaucoup de solutions hétérogènes qui ne réglaient qu’un problème. Aujourd’hui, nous regardons du début à la fin du process. Nous nous positionnons comme des apporteurs de solutions. L’objectif est de qualifier l’eau pour la production, tout en simplifiant l’exploitation. » Pour Thomas Gaborieau, il y a une vraie prise de conscience autour de cette thématique. Et il n’y a plus d’usines de préfabrication ou de centrales à béton qui n’utilisent pas de système de traitement des eaux. « Il y a eu une nette évolution autour de l’économie circulaire et du recyclage. C’est devenu une évidence avant tout. Pour y répondre, nous avons conçu des machines plus simples, favorisant l’autonomisation et la maintenance. » Les granulats recyclés comme condition Par ailleurs, de plus en plus de maîtres d’ouvrage prennent part au débat. « Nous voyons bien l’évolution dans les CCTP, explique Guillaume Chauche, responsable secteur Eqiom Granulats Ile-de-France. Nous sommes aux prémices de la demande, avec l’impulsion des maîtres d’ouvrage, d’œuvre et des collectivités. » Aujourd’hui, la norme béton limite l’utilisation des matériaux recyclés en fonction des classes d’exposition. « La NF EN 206/CN concède un maximum de 30 % de gravillons et 0 % de sable, souligne Stéphane Poullard, gérant de l’entreprise Granudem. L’évolution pourrait aller jusqu’à 60 % de gravillons et 20 % de sable. Nous sommes déjà capables de faire beaucoup mieux ! » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? 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Il y a 3 ans et 78 jours

Prévention : EPI et EPC, l’innovation aide à réduire le risque

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine L’évolution constante des EPC et des EPI contribue à la réduction régulière des chutes de hauteur, première cause d’accidents et de décès dans le BTP. [©ACPresse] Il suffit de regarder des photos de chantiers prises il y a 30 ou 40 ans pour constater le fossé qui sépare ces périodes de l’époque actuelle, en termes de sécurité et de protection des personnes. Qu’il s’agisse d’équipements de protection individuelle (EPI) ou de protection collective (EPC), on est peu à peu passé du “bricolage” à un environnement très réglementé et sécurisé. Une évolution est liée à l’acceptabilité du port régulier des équipements de sécurité. Tous les corps de métiers en ont bénéficié. Et, dans une concurrence accrue, les entreprises de toutes tailles ont intégré l’intérêt de moyens de prévention optimisés et définis dès l’amont des travaux. Le temps où l’achat d’EPC/EPI était perçu comme une dépense s’éloigne. Ces équipements participent même à la rentabilité d’une opération : réduction des risques et aussi de la fatigue pour le personnel. Soit, au final, de meilleures conditions de travail et, avantage côté entreprises, plus de productivité. EPC : Lutter contre les chutes de hauteur Pour les petits chantiers sont proposés des “kits” d’échafaudages sur remorque, permettant d’assurer de façon simple la sécurité des interventions. [©Beta Diffusion] Une règle fondamentale : les EPC doivent toujours être privilégiés lorsque la situation le permet. Les EPI les remplacent, lorsqu’une solution collective s’avère impossible à mette en œuvre. Ils sont aussi des compléments indispensables, quels que soient les cas de figure. Face au risque majeur que sont les chutes de hauteur – première cause d’accidents graves et de décès dans le BTP -, les échafaudages de pied se sont progressivement imposés. Et ont beaucoup évolué avec les années. La mise en œuvre d’échafaudages à montage/démontage en sécurité s’est banalisée, rendant impossible les situations à risques. Pour les petits chantiers, les fabricants proposent des kits transportables sur une remorque, qui permettent d’échafauder la façade d’une maison courante. Par ailleurs, des avancées sont constatées pour assurer la continuité du maintien des protections collectives tout au long de la réalisation d’un chantier. Autre exemple allant dans le même sens, un coffrage développé par Hussor supprime l’usage d’une échelle ou d’une passerelle d’accès. Malgré toutes les initiatives et innovations concernant les EPC, les préventeurs estiment qu’il est possible d’aller plus loin. Ceci, via une réflexion globale associant conception des matériels, organisation des chantiers, modes opératoires et formation du personnel. Ils poussent à mieux développer des solutions de bon sens, toutes basées sur le principe de limitation du temps de travail en hauteur. La préfabrication répond à cette démarche, le développement spectaculaire des murs à coffrage intégré (MCI) aussi. Tout comme l’intégration de potelets de garde-corps dans les prédalles, les assemblages au sol, l’usage de drones en phase d’études… EPI : Une réponse pour tous les cas de figure La réalité augmentée s’immisce au niveau des lunettes de sécurité, intégrées au casque de chantier ou non. [©Daqri] Le confort et l’ergonomie sont les points sur lesquels les EPI ont le plus progressé. Les systèmes d’arrêt des chutes sont plus simples d’usage. Ils ont gagné en légèreté comme en performances. Les casques combinés avec des lunettes ou des masques rétractables sont devenus la norme. Et la plupart d’entre eux intègrent des “logements”, permettant de fixer des équipements, tels qu’écran facial, masque de soudeur ou coquilles anti-bruits. Dans le BTP, les blessures aux mains représentent 25 % des accidents avec arrêt et 25 % des accidents graves. Le port de gants adaptés est donc prioritaire. Les fabricants s’évertuent à proposer des gammes destinées à chaque métier, même si les modèles les plus spécifiques ne sont pas toujours disponibles chez les fournisseurs et négociants spécialisés… Sans nul doute, la chaussure de sécurité est l’EPI le plus universelle. Depuis une dizaine d’années, des progrès importants sont constatés en matière de confort et d’esthétique, tout en conservant les qualités de base qu’on doit en attendre : protection contre l’écrasement, la perforation, les brûlures et les contusions. En 2022, les verres des lunettes de sécurité sont devenus transparents, indéformables, ininflammables, résistants aux chocs et à l’abrasion. Ils ne forment pas d’éclats coupants en cas de rupture. Ils sont insensibles à la buée et ne déforment plus la vision. Mieux encore, un concept innovant de réalité augmentée intègre sur les lunettes une technologie holographique, permettant de projeter sur l’écran de protection des informations pertinentes, sans interférer avec le champ visuel du porteur. Et les EPI passent au 2.0 Plusieurs fabricants commercialisent des semelles connectées, visant surtout à prévenir les risques de chutes. [©Traxxs] Les objets connectés s’imposent aussi dans le monde du BTP. Très loin de l’image de “gadget” à laquelle ils sont parfois rattachés, ils ouvrent au contraire de nouvelles perspectives pour la prévention des risques. Ils présentent l’atout d’être assez peu onéreux et donc économiquement gérables sur des chantiers courants. Quelques exemples parmi plusieurs applications… La start-up française Rcup propose une solution de semelles connectées. Installées dans les chaussures, les semelles vibrent pour prévenir leur propriétaire en cas de port de charges trop lourdes ou d’approche d’un danger, tel qu’un engin de chantier. Les semelles sont aussi géolocalisées. Elles permettent de mieux identifier les zones de sécurité. Enfin, elles sont capables de détecter les chutes de plain-pied, en envoyant une alerte pour une intervention rapide. Autre approche, la société Parade a développé une gamme de chaussures équipées d’une fonction Dati (dispositif d’aide au travailleur isolé). Un capteur installé dans le talon permet une détection du risque de chute. Cad 42 commercialise des gilets intelligents et des capteurs, liés à une application, pour sécuriser les chantiers, définir des zones de danger ou détecter la présence d’un travailleur sous un cône de grue…  Le Japonais Biodata teste, à l’heure actuelle, une montre thermique, qui calcule la température corporelle et anticipe les “coups de chaleur”. Enfin, T2S intègre dans un EPI un système d’alerte pour travailleur isolé. En cas d’accident, l’EPI se connecte au réseau GSM et envoie une alerte à un service dédié. Le produit est en phase de test. Les grands espoirs de l’assistance physique Plusieurs fabricants travaillent à la mise au point d’exosquelettes, qui peuvent se décliner pour des applications diverses. [©Foc Innovation] On a beaucoup écrit sur les exosquelettes, développés à l’origine pour des raisons médicales, mais qui ont vite suscité l’intérêt du BTP. Le principe est simple : assister la contrainte physique lors du port de charges lourdes. Cette aide concernant les bras, les jambes, le bassin… Un moyen supplémentaire de réduire la fatigue et, à terme, les risques de troubles musculo-squelettiques (TMS). Un exosquelette peut se décliner sous plusieurs formes. La plus sophistiquée est souvent constituée d’une structure en carbone (donc assez légère), portée par un opérateur appelé à soulever des charges lourdes. L’appareil est équipé d’une batterie et de servo-moteurs. On trouve ensuite des modèles conçus pour les travaux “bras en hauteur”. C’est un système mécanique passif qui ne nécessite pas de batterie et de servo-moteurs. Porté par l’opérateur, il est adapté à toutes les interventions qui nécessitent de travailler mains et bras en hauteur. Dernière forme de l’exosquelette, le bras “zéro gravité”. Dans ce cas, l’appareil n’est plus porté par le compagnon, il compense le poids de l’outil, par exemple, un marteau perforateur, utilisé par l’opérateur. Néanmoins, les préventeurs estiment que les exosquelettes présentent certaines limites, du moins dans leur définition actuelle. Ils ont l’inconvénient de reporter la contrainte physique sur d’autres parties du corps. Ces solutions restent pour l’instant assez coûteuses et doivent encore être considérées comme des prototypes avancés. Leur banalisation sur les chantiers devrait encore prendre quelques années. Gérard Guérit Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 78 jours

3B Bétons se positionne sur le bas carbone, sans surcoût

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Emmanuel Garcia, directeur technique de 3B Bétons. [©ACPresse] L’Isère. La Savoie. La Haute-Savoie. Trois départements couvrant ce que l’on peut définir comme l’arc alpin. Le béton prêt à l’emploi comme spécialité. Le décor est planté, expliquant le nom de la start-up industrielle 3B Bétons. On peut y voir aussi un clin d’œil aux trois fondateurs : Eric Garcia, Laurent Morniroli et Patrick Sallemand. Des hommes du sérail, car, respectivement des ex-Lafarge, ex-Vicat et Ex-Cemex. Le premier est directeur technique, le second, directeur administratif et financier, et le dernier, directeur commercial et président aussi. Ses deux associés occupant aussi les fonctions de directeurs généraux. L’aventure a commencé mi-2020 et la première unité inaugurée moins d’un an plus tard. Depuis, elles sont au nombre de quatre, pour un total de dix visées. « Dix, c’est le bon nombre, car nous pouvons encore les gérer en direct », explique Laurent Morniroli. Et puis dix, ça répond bien au besoin local, dans un esprit de service et de proximité. « Nous sommes sur un modèle de start-up, poursuit Emmanuel Garcia. Nous n’avons ni la volonté ni la vocation à devenir une grosse compagnie industrielle. Ce qui nous motive est de bien faire notre travail sur notre zone de chalandise. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 78 jours

Capter, stocker ou utiliser le carbone

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Démonstrateur FastCarb installé sur le site de Vicat de Créchy (03). [©Vicat] Mini Sommaire : Dossier : Bétons et éco-construction #1 Remettre le béton dans le béton La préfabrication à la mode du bas carbone Les bétons se mettent au vert Des liants nouvelles générations La transition écologique rapportée à tous les domaines demande une vision globale. Le monde du béton ne déroge pas à la règle et s’active sur tous les fronts. Le recyclage ne date pas d’hier dans le domaine du béton. Mais aujourd’hui, de nouveaux acteurs et de nouvelles pratiques font évoluer les choses. Qu’il s’agisse d’incorporer des granulats recyclés dans la formulation des matériaux ou de valoriser des bétons de démolition. De manière générale, l’industrialisation du bâtiment via la construction et la production hors site est vue comme une réponse crédible face à la transition environnementale du secteur. Les bétons “organiques” ont le vent en poupe. Que ce soit chez les majors du béton ou à travers de nouveaux acteurs. Chanvre, bois, manioc ou riz, les bétons se mettent au vert… Industriels et start-up se mettent en ordre de marche pour proposer des solutions disruptives dans le domaine des liants. L’objectif ? Réduire l’impact carbone des ciments. Plusieurs entreprises et projets se sont emparés de la problématique du captage, du stockage et du réemploi du carbone pour l’appliquer au monde du ciment et du béton. « Le stockage de CO2 est un volet sur lequel le monde de la construction se penche », explique Jonathan Mai-Nhu, responsable du département durabilité des ouvrages au Cérib. D’autant plus, qu’économiquement parlant, il n’est pas bon d’être soumis aux quotas d’émissions de nos jours, le prix du carbone ne faisant qu’augmenter. En comparaison, le 4 février 2022 dernier, il a frôlé les 100 €/t (96,43 €/t), alors qu’il était à 23,75 €/t le 5 février 2020. Dans le cadre du Projet national FastCarb, le CO2 est piégé dans les granulats issus des bétons de démolition par des procédés de carbonatation accélérée. Le Cérib a co-piloté la modélisation de la carbonatation et contribué aux travaux visant à évaluer les performances des bétons formulés avec ces granulats, dont la porosité est réduite (réalisations d’éléments à échelle 1). Plusieurs démonstrateurs ont été mis en place. Au sein des cimenteries Lafarge France de Val d’Azergues (69) et Vicat de Créchy (03), des systèmes semi-industriels captent les fumées dégagées par les cheminées. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 78 jours

Des liants nouvelles générations

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Hoffmann Green Cement a obtenu un Avis technique de type A pour son liant H-UKR. La start-up industrielle poursuit son développement avec plusieurs usines à venir… [©ACPresse] Mini Sommaire : Dossier : Bétons et éco-construction #1 Capter, stocker ou utiliser le carbone Remettre le béton dans le béton La préfabrication à la mode du bas carbone Les bétons se mettent au vert La transition écologique rapportée à tous les domaines demande une vision globale. Le monde du béton ne déroge pas à la règle et s’active sur tous les fronts. Le captage, le stockage et l’utilisation du carbone font partie de la feuille de route de décarbonation de l’industrie du ciment. Et de façon générale, ces technologies sont considérées comme un levier majeur dans l’objectif de neutralité carbone. Le recyclage ne date pas d’hier dans le domaine du béton. Mais aujourd’hui, de nouveaux acteurs et de nouvelles pratiques font évoluer les choses. Qu’il s’agisse d’incorporer des granulats recyclés dans la formulation des matériaux ou de valoriser des bétons de démolition. De manière générale, l’industrialisation du bâtiment via la construction et la production hors site est vue comme une réponse crédible face à la transition environnementale du secteur. Les bétons “organiques” ont le vent en poupe. Que ce soit chez les majors du béton ou à travers de nouveaux acteurs. Chanvre, bois, manioc ou riz, les bétons se mettent au vert… Depuis plusieurs années, des start-up industrielles ou des acteurs spécialisés explorent les alternatives aux ciments intégrant du clinker. Sans s’opposer aux cimentiers “classiques” qui, eux aussi, développent des liants sans ou avec moins de clinker, ils proposent une nouvelle vision. Ecocem France est né en 2007. Si à l’origine l’industriel se consacrait aux laitiers moulus de hauts fourneaux, aujourd’hui, il ne se considère plus comme spécialiste du mono-matériau, mais plutôt comme un apporteur de solutions. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 78 jours

Matthieu Degioannini, nouveau président de l’Unicem La Réunion

Portrait de Matthieu Degioannini, nouveau président de l’Unicem La Réunion [©Unicem] Le 4 mars dernier, le conseil d’administration de l’Unicem La Réunion a élu son nouveau président. Succédant à Xavier Legrand, Matthieu Degioannini s’est vu nommé ce titre. Sa fonction première sera de continuer les missions mises en place par son prédécesseur. « Je souhaite promouvoir la filière béton et ses engagements, en termes de sécurité et d’environnement. Ceci, dans le cadre, notamment, de la gestion de l’eau et des déchets, et de la mise en œuvre des réglementations Rep et RE 2020. Je m’attacherais aussi à fédérer les acteurs régionaux sur les sujets du pompage et de la production de béton sur chantier », témoigne Matthieu Degioannini. Son parcours Matthieu Degioannini est titulaire d’un diplôme d’ingénieur en physique-chimie obtenue à l’ENSCBP Bordeaux INP. Il entrera ensuite Suivi d’une formation en management des achats internationaux à Kedge Business School. Il débute sa carrière, en intégrant Lafarge en tant qu’acheteur industriel de la branche plâtres au Royaume-Uni. Evoluant au sein du groupe, il se voit vu confier, en 2008, la fonction d’acheteur France. En 2012, il déménage à La Réunion et prend le poste de chef de projet de la Nouvelle route du littoral pour Lafarge, et en 2014, il devient directeur performance, achats et chaîne d’approvisionnement, toujours sur l’île. En 2015, Matthieu Degioannini intègre le groupe CRH et devient rapidement directeur des activités BPE. Depuis 2018, il est directeur des activités BPE chez Teralta, aujourd’hui filière de Audemard.
Il y a 3 ans et 78 jours

Benoît Bazzocchi nommé Président de Fundimmo

Pour Benoît Bazzocchi, Président de Fundimmo : « Je suis très heureux de rejoindre Fundimmo, et de succéder à Jérémie Benmoussa qui a souhaité s’engager dans une aventure entrepreneuriale différente. Fundimmo est devenue, en quelques années, une référence en matière de crowdfunding immobilier sur le marché national. Nous allons, avec le soutien du Groupe ATLAND, capitaliser sur les forces de la plateforme et renforcer encore davantage l’expérience client notamment au travers de l’élargissement et de la structuration de l’offre proposée. Nous enclenchons une nouvelle phase de développement avec l’ensemble de l’équipe et c’est une perspective particulièrement exaltante. »Pour Georges Rocchietta, Président et fondateur d’ATLAND : « Nous sommes ravis d’accueillir Benoît en tant que Président de Fundimmo, nos équipes vont bénéficier de son expertise en matière d’investissement et de son excellente connaissance de l’écosystème Fintech. Son arrivée, qui s’inscrit dans un contexte de croissance et d’élargissement des activités de Fundimmo, témoigne de nos fortes ambitions de développement. »Diplômé de l'EM Lyon en 2006 et du CEFA (Certified European Financial Analyst) en 2008, Benoît Bazzocchi, 41 ans, débute sa carrière comme chargé d’affaires au sein du Groupe Natixis Private Equity. En 2009, il fonde Y Capital, société de conseil spécialisée en ingénierie financière et levées de fonds, puis lance en 2012 SmartAngels, acteur pionnier du crowdfunding spécialisé dans le financement de startups et PME de croissance. Benoît Bazzocchi est également co-fondateur d’un Family Office, et Board Advisor de France FinTech.
Il y a 3 ans et 78 jours

Station d’épuration de Gazeran-Rambouillet : Face aux agressions, rien ne vaut un bon béton

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine La nouvelle station d’épuration de Gazeran-Rambouillet va permettre de traiter les eaux usées de 45 000 habitants. [©ACPresse] La “petite” station d’épuration de Gazeran-Rambouillet fait aujourd’hui peau neuve, dans le cadre d’un projet de reconstruction. La qualification de “petite” n’a rien de péjoratif, ici, mais si on la compare aux installations d’Achères, il est vrai qu’elle présente une taille bien modeste. En effet, la station traite les eaux usées produites par les 45 000 habitants des communes de Gazeran, Rambouillet et Vieille-Eglise, dans les Yvelines. A quoi s’ajoutent les eaux de pluie du secteur. « Sa capacité est de 750 m3/h, précise Julien Girard, conducteur de travaux pour Eiffage. Au-delà, les eaux usées et eaux de pluie peuvent être stockées dans un vaste bassin d’orage d’un volume de 7 500 m3, enterré sous les installations techniques de la station. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 78 jours

Pompes à béton : Pour que le béton coule à flots

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine [©ACPresse] Malgré les nombreuses complications induites par la pénurie des matières premières, le marché des pompes à béton se porte plutôt bien en France. Grâce en particulier aux constructeurs qui rivalisent d’innovations. Détails marque après marque… Quoi de neuf ? Liebherr propose sa 36 XXT, alimentée par un bloc pompage développé en interne. Mecbo s’appuie désormais sur les Aut 25-RZ et Aut Z-22. Putzmeister a fait évoluer ses modèles M24 et M28. Connexe au monde du pompage, SoPump propose de digitaliser la profession. Cifa : Une 36 m polyvalente La K 36L-5 fait partie des fers de lance de la marque Cifa. [©Cifa] Pour l’Italien Cifa, les modèles de pompes à béton les plus vendus sont les K42L, K47H et K36L-5. Ce dernier modèle, aussi appelé K36 Agility, est le plus récent au niveau technologique. « Cette nouvelle pompe a remplacé dans notre gamme la pompe à béton de 35 m, précise Xavier Jean, Dg de Cifa France. Il s’agit d’une machine à cinq bras, avec rotation totale sur la dernière section. La première de ses qualités est sa construction compacte. Rien ne dépasse devant et derrière lors de la phase de déploiement. Surtout, avec l’ultime section en rotation totale, nous pouvons venir délivrer le béton à travers une fenêtre classique ou même une fenêtre de toit. Ce qui offre à nos clients un gain de temps et une facilité de mise en œuvre. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 78 jours

Chantiers à l’international – Côte d’Ivoire : Sept ponts contre l’isolement

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine NGE doit réaliser sept ponts mixtes routiers sur le territoire ivoirien, dans le cadre d’un contrat de sous-traitance (illustration issue d’un projet précédent). [©NGE] Ce n’est pas un, ni deux, mais bien la construction de sept ponts qui vient d’être lancée en Côte d’Ivoire. En soi, les ouvrages ne sont pas spectaculaires, ni d’une technicité exceptionnelle. Ils sont juste indispensables aux populations locales. « Le but est de relier des villages entre eux, d’en désenclaver d’autres, isolés durant la saison des pluies. Ou simplement d’assurer un franchissement de rivière en toute sécurité », explique Ranime El Nabouch, référente technique béton pour NGE en Côte d’Ivoire. Rien d’anormal dans la démarche. La zone de travaux reste vaste, car, pour ainsi dire, s’étalant entre Abidjan, principal centre économique du pays, et Korhogo, dans le Nord. Il faut compter entre 8 et 9 h de voiture pour relier les deux points, distants de 560 km ! Même si les ouvrages présentent des lignes similaires – piles en béton et tablier mixte -, ils s’inscrivent à chaque fois dans un contexte qui leur est propre. « On peut considérer chaque projet comme individuel et unique, d’autant qu’ils vont être réalisés les uns à la suite des autres. » Même si, à l’heure actuelle, deux ouvrages sont construits en parallèle. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 78 jours

Ecocem travaille déjà sur les liants bas carbone de demain

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Rory McNeill est le directeur commercial et développement de marché d’Ecocem France. [©Ecocem] Ecocem France est né en 2007. Mais qui se cache derrière cette filiale ? Rory McNeill : Ecocem France est une filiale d’Ecocem Materials, qui détient 51 % des parts et d’ArcelorMittal. Ceci, dans le cadre d’un joint-venture. L’entité produit chaque année 1,5 Mt de liants à destination du marché français, à partir de ses deux usines de Dunkerque et de Fos-sur-Mer. En tant que tel, outre la France, le groupe est présent en Irlande, avec son usine historique de Dublin, et aux Pays-Bas où il a inauguré un site de production dès 2002. Enfin, en 2013, ce sont deux silos de stockage qui ont vu le jour au Royaume-Uni, un premier sur la côte Ouest près de Manchester et un second sur la côte Est, à proximité de Londres. A l’origine, Ecocem était seulement fournisseur de laitiers moulus de hauts fourneaux. Mais l’offre s’est bien étoffée depuis… Dès le départ, Ecocem proposait des laitiers de classe A, caractérisés par une finesse Blaine de 4 500. Depuis l’offre s’est élargie, en particulier vers les ciments bas carbone, car s’inscrivant dans le sens de notre stratégie. En 2018, nous avons mis sur le marché un CEM III/C, marqué NF et CE. Ce produit est le fruit des travaux de notre R&D centrale, mise en service à partir de 2013, et caractérisé par l’ouverture, en 2021, de notre laboratoire à Champlan, en Essonne. Aujourd’hui, cette cellule travaille sur les liants bas carbone de demain… Des offres qui devraient arriver peu à peu sur le marché à partir de 2022/23. A ce propos, Breakthrough Energy Venture, un fonds d’investissement fondé par Bill Gates, est entré au capital d’Ecocem Materials, à hauteur de 10 %. Son objectif est de lutter contre le réchauffement climatique et d’apporter un aide à la recherche de solutions bas carbone. En effet, il est temps d’aller au-delà des techniques du clinker. Mais aussi de faire bouger les ciments vis-à-vis de la normalisation et aussi de faire évoluer les normes… Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? var gform;gform||(document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",function(){gform.scriptsLoaded=!0}),window.addEventListener("DOMContentLoaded",function(){gform.domLoaded=!0}),gform={domLoaded:!1,scriptsLoaded:!1,initializeOnLoaded:function(o){gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?o():!gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?window.addEventListener("DOMContentLoaded",o):document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",o)},hooks:{action:{},filter:{}},addAction:function(o,n,r,t){gform.addHook("action",o,n,r,t)},addFilter:function(o,n,r,t){gform.addHook("filter",o,n,r,t)},doAction:function(o){gform.doHook("action",o,arguments)},applyFilters:function(o){return gform.doHook("filter",o,arguments)},removeAction:function(o,n){gform.removeHook("action",o,n)},removeFilter:function(o,n,r){gform.removeHook("filter",o,n,r)},addHook:function(o,n,r,t,i){null==gform.hooks[o][n]&&(gform.hooks[o][n]=[]);var e=gform.hooks[o][n];null==i&&(i=n+"_"+e.length),gform.hooks[o][n].push({tag:i,callable:r,priority:t=null==t?10:t})},doHook:function(n,o,r){var t;if(r=Array.prototype.slice.call(r,1),null!=gform.hooks[n][o]&&((o=gform.hooks[n][o]).sort(function(o,n){return o.priority-n.priority}),o.forEach(function(o){"function"!=typeof(t=o.callable)&&(t=window[t]),"action"==n?t.apply(null,r):r[0]=t.apply(null,r)})),"filter"==n)return r[0]},removeHook:function(o,n,t,i){var r;null!=gform.hooks[o][n]&&(r=(r=gform.hooks[o][n]).filter(function(o,n,r){return!!(null!=i&&i!=o.tag||null!=t&&t!=o.priority)}),gform.hooks[o][n]=r)}}); M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 3 ans et 78 jours

Morgan Malecotte, directeur “Construction & Grand Public” de Bostik France

Portrait de Morgan Malecotte, nouveau directeur de l’unité “Construction & Grand Public” de Bostik. [©Bostik] Spécialiste dans les solutions adhésives, Bostik France annonce la nomination de Morgan Malecotte au poste de directeur de l’unité “Construction & Grand Public”. Grâce à 20 ans d’expérience à l’international dans le secteur des adhésifs, Morgan Malecotte saura répondre aux demandes des clients. Dans le cadre de cette nouvelle fonction, il souhaite développer la position de Bostik sur le marché. « Je suis très heureux de relever ce nouveau challenge au service de nos clients. Ceux-ci pourront compter sur des solutions et des services. Répondant aux enjeux de performance environnementale et de formation », souligne Morgane Malecotte. Le parcours de Morgan Malecotte Après l’obtention d’un MBA à l’Insead, Morgan Malecotte intègre, en 2002, la division “Adhésive Technologies” de l’Allemand Henkel (détergents et produits d’entretien domestique). Il y réalisera une grande partie de sa carrière, dans des fonctions commerciales et marketing, en France et en Afrique. En 2014, il rejoint Den Braven, spécialisé dans la production de mastics d’étanchéité, d’adhésifs, de mousses expansives et d’aérosols. Et y occupe le poste de directeur pour le Moyen-Orient et l’Afrique. En 2016, Den Braven est racheté par Arkema, dont Bostik deviendra, en 2017, une filiale. Ainsi, Morgan Malecotte prend la direction de l’activité Moyen-Orient et Afrique de Bostik.
Il y a 3 ans et 78 jours

Big 5 Construct Western Cape

Big 5 Construct Western Cape est un salon consacré exclusivement à l'industrie du bâtiment et de la construction d'Afrique du Sud. Cet évènement offre une occasion aux fabricants et distributeurs de produits, ainsi qu'aux prestataires de service de nouer des contacts avec les principaux acheteurs du secteur.
Il y a 3 ans et 78 jours

Les bétons se mettent au vert

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine La start-up Materrup a conçu un process de valorisation des ciments et des bétons à base d’argile crue non calcinée. [©Materrup] Mini Sommaire : Dossier : Bétons et éco-construction #1 Capter, stocker ou utiliser le carbone Remettre le béton dans le béton La préfabrication à la mode du bas carbone Des liants nouvelles générations La transition écologique rapportée à tous les domaines demande une vision globale. Le monde du béton ne déroge pas à la règle et s’active sur tous les fronts. Le captage, le stockage et l’utilisation du carbone font partie de la feuille de route de décarbonation de l’industrie du ciment. Et de façon générale, ces technologies sont considérées comme un levier majeur dans l’objectif de neutralité carbone. Le recyclage ne date pas d’hier dans le domaine du béton. Mais aujourd’hui, de nouveaux acteurs et de nouvelles pratiques font évoluer les choses. Qu’il s’agisse d’incorporer des granulats recyclés dans la formulation des matériaux ou de valoriser des bétons de démolition. De manière générale, l’industrialisation du bâtiment via la construction et la production hors site est vue comme une réponse crédible face à la transition environnementale du secteur. Industriels et start-up se mettent en ordre de marche pour proposer des solutions disruptives dans le domaine des liants. L’objectif ? Réduire l’impact carbone des ciments. De bois, de terre, de coquillage ou encore de chanvre, le béton se décline de mille manières. Ces matières utilisant des bases issues du végétal et/ou du recyclage intéressent de plus en plus, surtout au regard des nouvelles réglementations dans la construction. Une tendance qui s’observe jusque chez les majors du béton comme Vicat qui a annoncé, il y a deux ans, l’arrivée de son premier BPE biosourcé à base de granulats de bois. « L’inclusion du bois comme une charge minérale donne naissance à un nouveau matériau qu’il est possible de produire sur tout le territoire, disait alors Guy Sidos, Pdg du groupe Vicat. Ce béton complète notre offre de matériaux biosourcés initialement destinés à la préfabrication. Ce développement est une réponse aux exigences de la RE 2020. Et accompagne les filières de la construction vers la neutralité carbone. » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 78 jours

Puy-de-Dôme : l’ancienne caserne Vercingétorix, à Riom, poursuit sa transformation

Six millions d’euros seront nécessaires au projet de transformation de la caserne Vercingétorix en logements.
Il y a 3 ans et 78 jours

Ille-et-Vilaine : le collège Le Chêne-Vert, à Bain-de-Bretagne, poursuit sa métamorphose

Plus de 6,5 millions d’euros sont mobilisés dans le projet de rénovation du collège Le Chêne-Vert, à Bain-de-Bretagne.
Il y a 3 ans et 78 jours

Dossier : Bétons et éco-construction #1

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Tour de production de l’unité H2, en cours de construction à l’aide du ciment H-UKR, sur le site Hoffmann Green Cement de Bournezeau, en Vendée. [©HGCT] Mini Sommaire : Capter, stocker ou utiliser le carbone Remettre le béton dans le béton La préfabrication à la mode du bas carbone Les bétons se mettent au vert Des liants nouvelles générations Le captage, le stockage et l’utilisation du carbone font partie de la feuille de route de décarbonation de l’industrie du ciment. Et de façon générale, ces technologies sont considérées comme un levier majeur dans l’objectif de neutralité carbone.   Le recyclage ne date pas d’hier dans le domaine du béton. Mais aujourd’hui, de nouveaux acteurs et de nouvelles pratiques font évoluer les choses. Qu’il s’agisse d’incorporer des granulats recyclés dans la formulation des matériaux ou de valoriser des bétons de démolition. De manière générale, l’industrialisation du bâtiment via la construction et la production hors site est vue comme une réponse crédible face à la transition environnementale du secteur. Les bétons “organiques” ont le vent en poupe. Que ce soit chez les majors du béton ou à travers de nouveaux acteurs. Chanvre, bois, manioc ou riz, les bétons se mettent au vert… Industriels et start-up se mettent en ordre de marche pour proposer des solutions disruptives dans le domaine des liants. L’objectif ? Réduire l’impact carbone des ciments. N’en déplaise aux climato-septiques, les dégâts du réchauffement climatique sont déjà visibles. Dans son dernier rapport diffusé le 28 février dernier, le Giec1 estime qu’il y aurait déjà entre 3,3 et 3,6 Md d’humains impactés par ce dérèglement. Près de la moitié de la population mondiale… Si les différentes COP et politiques d’Etats s’activent sur le sujet, l’objectif est surtout de sauver les meubles (et, par la même occasion, les humains, la faune et la flore…). Et ainsi, de rester en dessous des + 4 °C en 2100. Parmi les secteurs les plus émetteurs, la construction (bâtiment et industrie) figure parmi les mauvais élèves. Dans la quête de la neutralité carbone et de la ville frugale, l’éco-construction prend donc tout son sens. Dans ce contexte, comment l’industrie du béton s’adapte-t-elle ? Quelles sont les nouvelles technologies ? Les nouvelles pratiques sur le chantier ? Et les acteurs moteurs ? Dans ce dossier, traité en deux parties, nous avons essayé de cartographier des éléments de réponses, en interrogeant un secteur engagé dans une mutation plus que nécessaire. Vers des technologies d’avenir Depuis quelques années, un bon nombre de Français consomment davantage, voire même de manière exclusive, des produits issus de l’agriculture biologique. Un mode de vie qui répond à des revendications environnementales et sanitaires. Cependant, dans les enseignes spécialisées, nous pouvons trouver des produits estampillés avec la fameuse certification “bio”, mais cultivés à plus de 7 000 km du consommateur. Ou encore des fruits ou légumes “bio” d’été vendus en plein hiver… D’un point de vue environnemental, on peut se poser la question, de manière légitime, de la pertinence de cette situation. L’appellation “bio” efface-t-elle les émissions de gaz à effet de serre des kilomètres parcourus ? En décembre dernier, l’Ademe a diffusé quatre scenarii pour atteindre la neutralité carbone. Si chacun aborde le sujet de façon plus ou moins ambitieuse, ces trajectoires démontrent bien l’interconnexion des problématiques et des activités : l’agro-alimentaire, la mobilité, l’industrie ou encore le bâtiment… La transition écologique rapportée à tous les domaines demande une vision globale. Dans le bâtiment, est-ce qu’il serait vraiment réaliste de dire que seule, la suppression du béton dans l’acte de construire résoudrait la transition écologique du secteur ? Une vision globale de la transition écologique Eqiom a fourni les bétons du chantier de l’îlot Fertile, à Paris. L’utilisation de CEM III/A 42,5 N (en lieu et place d’un CEM II/A 42,5) a permis d’économiser 40 % de CO2, soit près de 1 300 t. [©Eqiom] En discutant avec les professionnels du domaine, il devient assez évident que de nombreux paramètres entrent en jeu. La façon de concevoir, l’interprétation de la ville et la place des citoyens ont leur importance. Il ne faut pas oublier que l’acceptabilité de la transition par la société doit être prise en compte. Les changements de paradigme opérés par la réglementation, mais aussi par les maîtres d’ouvrage, les constructeurs et les industriels poussent à repenser le bâtiment. De plus, la notion de circularité de l’économie commence à se greffer à la réflexion collective. Où et comment est extraite et exploitée la matière première ? Quel type de process de production est utilisé ? Quel moyen constructif est mis en œuvre ? Pour quelle performance et pour combien de temps ? Quel est le taux de recyclabilité ou de réutilisation d’un produit ? L’ensemble de ces questions est cruciale dans l’éco-construction. Mettant ainsi en place une logique plus responsable et économe en émissions de CO2. Car il est bon de rappeler que le carbone a tout de même une durée de vie bien supérieure aux 100 ans réglementaires dans l’atmosphère. Et que les conséquences du réchauffement climatique sont déjà visibles et vouées à s’intensifier. Au-delà de l’addition d’indicateurs carbone. Mais tout ne devrait pas se résumer à une simple addition d’indicateurs carbone. D’autant plus qu’ils peuvent être différents d’un fabricant de matériaux à un autre, selon le calcul, la temporalité, l’interprétation, comme nous avons pu le constater, par exemple, pour les laitiers de hauts fourneaux [Lire BLM 96 p.34]. On peut même trouver des matériaux émetteurs dotés d’un impact carbone négatif après une compensation d’impact environnemental. A l’image de certaines enseignes BtoC vous proposant de planter un arbre pour contrebalancer l’achat d’un T-shirt venu d’Asie. Lire aussi : Enquête : Entreprises et industriels face à leurs ambitions environnementales D’autres notions d’économie circulaire, mais aussi de durabilité, de confort, de réglementation feu, d’acoustique ou encore de thermique, ne sauraient être lésées. L’heure devrait être à la recherche de sens. Dans cette quête, l’innovation constitue un levier majeur. Chacun explore, teste, met en œuvre dans la limite imposée par la réglementation, ou en prévision de l’évolution des normes, de nouvelles techniques et solutions. Le monde du béton n’est pas en reste. Et ce, à toutes les étapes de sa vie. Dossier réalisé par Sivagami Casimir 1Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 78 jours

Groupe Lhotellier : « Notre objectif est de nous adapter aux besoins de nos clients. »

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Depuis 2003, Paul Lhotellier est à la tête du groupe éponyme. [©Lhotellier] Lhotellier est un groupe familial centenaire aujourd’hui. Quels sont les métiers sur lesquels vous êtes présent et comment se répartit le chiffre d’affaires ? Paul Lhotellier : En effet, le groupe Lhotellier est un opérateur global en construction, patrimonial et très implanté sur ses territoires, avec 55 sites locaux. Nous sommes présents en Normandie, dans les Hauts-de-France et sur le Nord de l’Ile-de-France. Mais aussi au Canada, depuis quelques années… Lhotellier réalise un chiffre d’affaires de 300 M€, dont 50 % sont issus de son activité de travaux publics. Quelque 50 M€ proviennent du bâtiment, 15 M€, de l’activité “eau” et 10 M€ sont issus des métiers de la démolition et du désamiantage. A cela s’ajoutent 50 M€ générés par la vente de matériaux, tels les bétons, les granulats de carrière ou valorisés ou encore les produits de préfabrication. Chaque année, Lhotellier annonce intégrer de nouveaux métiers et de nouvelles prestations de service. Le BPE est le dernier en date ? Tout à fait, le BPE constitue l’une de nos dernières cartouches, mais ce n’est pas la seule. Nous avons aussi choisi de revaloriser des métiers-supports, comme ceux du commerce, du marketing, du contrôle de gestion, de l’administration ou de l’informatique. Des services utilisés en interne, tout en étant proposés en direction de l’externe. Pourquoi avoir voulu créer une activité BPE ? La seconde unité de production de BPE Révobéton vient d’être inaugurée à à Saint-Etienne-du-Rouvray (76). [©Lhotellier] A travers notre activité des travaux publics, nous sommes des utilisateurs de liants hydrauliques de longue date. Ceux-ci interviennent dans les opérations de stabilisation et de traitement de sols à la chaux ou au ciment. Nous avions donc une certaine expertise en ce qui concerne la formulation. Nos clients étaient aussi très demandeurs de solutions alternatives en matière de bétons. Des produits à base de granulats locaux, issus de recyclage, de la valorisation de terres polluées, à base de composants biosourcés. Des produits moins disponibles dans les centrales de réseau. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 78 jours

EDA Annual Convention

EDA Annual Convention est un évènement de référence pour le secteur de la démolition, de la décontamination et du recyclage, où se rencontreront à la fois les fournisseurs et les entrepreneurs. La convention est organisée en collaboration avec le Syndicat français de la démolition (SEDDRe), et l'Institut européen de la décontamination (EDI).
Il y a 3 ans et 78 jours

Quelles sont les aides disponibles pour les pompes à chaleur en 2022 ?

L’installation d’une pompe à chaleur (PAC) s’inscrit généralement dans le cadre de la rénovation énergétique d’un logement. L’objectif, c’est de vous permettre de réduire votre consommation énergétique et donc, votre facture de chauffage. Le bémol, c’est le coût souvent onéreux d’une telle installation. Il faut en effet, prévoir un budget assez important pour installer une pompe à chaleur à domicile. Rien que pour l’achat, il faut disposer d’un montant minimum variant entre 6 000 et 20 000 euros selon le modèle. Heureusement que les aides de l’État sont disponibles pour vous aider à alléger ce coût. Il faudra cependant chercher à connaître ces aides et les conditions qui vous permettent d’en profiter. Voici donc pour vous aider, une présentation des aides disponibles pour les pompes à chaleur en 2022. MaPrimeRenov’ En 2022, les aides disponibles pour l’achat et l’installation d’une pompe à chaleur ne sont pas très faciles à comprendre. Notez toutefois qu’au nombre des aides pompe a chaleur 2022, il y a en bonne place, MaPrimeRenov’. Cette subvention est particulièrement recommandée pour l’achat du dispositif de chauffage. C’est un forfait que met à disposition l’État par le biais de l’ANAH (Agence Nationale de l’Habitat). MaPrimeRenov’ prend en compte aussi bien l’aide « Habiter Mieux Agilité » que le crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE). Pour 2022, quelques modifications ont été apportées à cette aide de l’État. Entre autres, notez que la subvention sert à financer des travaux de rénovation globale et/ou énergétique. C’est dans ce lot que l’on inscrit l’installation de pompe à chaleur. Aussi, le logement sur lequel portent les travaux doit idéalement être vieux d’au moins 15 ans, être situé en France et servir de résidence principale. Tous les ménages peuvent profiter de cette subvention, mais vous devez d’abord créer un compte sur le site dédié : maprimerenov.gouv.fr. Idéalement, il faudra le faire avant d’entamer les travaux. En suivant tout le processus à la lettre, vous pourrez obtenir une subvention dont le montant dépendra de vos revenus, de la pompe à chaleur que vous avez installée et de la situation géographique du logement. La Prime Energie Monexpert Pour une installation PAC en 2022, vous pouvez aussi compter sur la Prime Energie Monexpert. C’est le nouveau nom de la Prime CEE (Certificats d’Economies d’Energie).  La couverture de cette aide varie généralement entre 2500 euros et 4000 euros. Cette variation est fonction des travaux engagés et du niveau de vie du ménage, c’est-à-dire de vos revenus. Avec un tel montant, vous pourrez financer une partie des travaux d’installation de votre pompe à chaleur. Pour bénéficier d’un tel accompagnement, vous pouvez choisir soit d’installer une pompe à chaleur air/air ou une pompe à chaleur air/eau ou encore un modèle eau/eau. Choisir d’installer une pompe à chaleur géothermique vous donne aussi droit à cette aide. L’un des plus gros avantages de la Prime Énergie Monexpert, c’est qu’elle peut être offerte pour des travaux de rénovation sur une résidence principale ou secondaire. La seule exigence, c’est qu’elle soit localisée en France et construite depuis plus de deux ans. L’Eco prêt taux à zéro Pour les rénovations énergétiques, Eco-PTZ est une aide que l’on ne présente plus. Vous pouvez aussi vous en servir pour financer votre installation de pompe à chaleur. Contrairement aux autres aides, il ne s’agit pas ici d’une subvention. L’Eco-PTZ est en effet, un emprunt bancaire. Son avantage est lié au taux d’intérêt. Il est totalement pris en charge par l’État. Ainsi, le taux d’intérêt revient à 0% pour l’emprunteur. Pour bénéficier de l’Eco-PTZ, il faut que le logement sur lequel portent les travaux ait été construit avant le 1er janvier 1990. Vous devez également l’utiliser comme résidence principale. Toutefois, pour cet emprunt bancaire, vous ne pourrez pas excéder le montant de 30 000 euros. De même, le remboursement ne peut pas s’étendre sur une période allant au-delà de 15 ans.  Vous pourrez toutefois obtenir un montant plus élevé, soit 50 000 euros et rembourser sur 20 ans au maximum. L’Eco Prêt à taux zéro peut aussi être renouvelé pour l’achèvement de vos travaux de rénovation. Par ailleurs, il importe de préciser que le montant à obtenir pour votre Eco Prêt à taux zéro est généralement fonction des travaux à effectuer. S’il s’agit simplement d’une installation de PAC, la banque prêteuse peut vous accompagner à hauteur de 7 000 euros. Pour le choix de l’institution de prêt, assurez-vous toutefois qu’elle est bien partenaire de cette aide de l’État. Cela vous évitera les mauvaises surprises. La Prime Coup de Pouce Chauffage La Prime Coup de Pouce Chauffage est encore appelée prime à la conversion des chaudières. Pour 2022, vous pouvez compter sur cette aide pour compléter la Prime Energie Monexpert. Bien entendu, ce financement s’inscrit aussi dans la dynamique d’accompagnement des travaux de rénovation énergétique. De façon spécifique, la Prime Coup de Pouce Chauffage est utile pour le remplacement de chaudière. Si vous avez pour objectif de remplacer votre vieille chaudière par un équipement écologique, cette aide est recommandée. Pour ce qui est des conditions, notez que n’importe quel ménage peut bénéficier de la Prime Coup de Pouce Chauffage. Mieux, si vous êtes dans un foyer aux revenus modestes (ou même très modestes), vous avez plus de chances de bénéficier de cette aide. Comme pour les autres aides de l’Etat, la Prime Coup de Pouce Chauffage est d’un montant variable. Il sera donc fixé en fonction du niveau de revenu du ménage. Pour illustrer, un ménage modeste bénéficiera de 4 000 euros pour l’installation d’une pompe à chaleur air/eau. Dans le même temps, les autres ménages n’auront droit qu’à 2 500 euros pour le même projet. Il en est de même pour l’installation d’une pompe à chaleur air/air ou d’une pompe à chaleur hybride. En définitive, retenez que les aides de l’État disponibles en 2022 pour accompagner votre projet d’installation de pompe à chaleur sont nombreuses. D’ailleurs, la liste présentée ici n’est pas complète. Il vous revient simplement de choisir l’aide qui vous convient en vous référant aux conditions qui y sont rattachées. Ensuite, suivez simplement le processus établi par l’État.
Il y a 3 ans et 78 jours

Partie I – Cyber-malveillance : Les clefs de la sécurité numérique pour les TPE et PME

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine [©cybermalveillance.gouv.fr] A l’heure du tout numérique, smartphones, ordinateurs et autres tablettes font partie de notre quotidien. De plus, conséquence du Covid, le travail s’est transformé, en s’installant à domicile. Un changement de culture qui semble vouloir s’inscrire dans la durée, mais qui oblige les entreprises à adapter leurs outils de travail. Si les avantages en sont nombreux, les attaques de TPE et PME par ce que le gouvernement nomme la “cyber-malveillance” se sont multipliées. Pour se protéger, les entrepreneurs doivent prendre conscience de la menace et connaître les bonnes pratiques pour éviter une mauvaise expérience. La cyber-malveillance désigne l’ensemble des infractions liées au numérique. On y retrouve l’usage de moyens de paiements frauduleux, le piratage de compte, l’escroquerie, l’extorsion de fonds, l’usurpation d’identité ou la collecte illégale de données personnelles. Le site cybermalveillance.gouv.fr relève trois principales techniques utilisées par les cyber-criminels. La première est l’hameçonnage, qui consiste à récupérer des données personnelles et bancaires, en prenant l’apparence d’un tiers de confiance. Pour cela, faux mails bancaires, de réseaux sociaux, d’opérateurs de téléphonie, d’administration… Mais aussi SMS et appels téléphoniques. Et l’époque des logos douteux, des fautes d’orthographe et des traductions aléatoires est passée. Les mails sont de mieux en mieux élaborés et de plus en plus précis. Offrir un accès aux hackers Autre technique, le rançongiciel qui bloque l’accès à l’ordinateur ou à des fichiers, en les chiffrant. La victime se voit ensuite réclamer une somme d’argent, en général en monnaie numérique, afin d’avoir à nouveau accès à ses données. Une navigation sur des sites compromis ou un simple clic sur une pièce jointe malveillante peut offrir un accès aux hackers. Enfin, l’arnaque aux faux supports techniques est une solution en plein boom. Elle consiste à effrayer la future victime par SMS, téléphone, courriel ou par un message apparaissant sur un ordinateur prétextant un problème technique. La victime est incitée à se rendre sur un support technique qui paraît officiel, sur lequel le pseudo-dépannage est payant. Ces trois techniques peuvent être utilisées indépendamment ou l’une renforçant l’autre. Les données d’une personne sont récupérées par un premier criminel, puis revendues sur le marché noir (darknet), avant d’être utilisées pour construire une attaque plus complexe. Choyer ses mots de passe Dès lors, comment les TPE et PME peuvent-elles lutter ? Avec quelques bonnes pratiques, il est possible de réduire les risques… Premier élément de vigilance, les mots de passe (login). Le conseil principal est d’utiliser un mot de passe différent pour chaque service. Ainsi, si l’un d’eux est corrompu (piraté), il ne rendra vulnérable qu’un seul service. Le choix du mot de passe est aussi important. Il doit comprendre au moins douze signes, avec des majuscules, des minuscules, des chiffres et des caractères spéciaux. Il ne doit pas non plus être devinable : il faut oublier les prénoms des enfants, des animaux de compagnie, de l’équipe de sport préférée… Bien entendu, il n’est pas possible à une personne normalement constituée de retenir tous ses mots de passe. C’est pourquoi le site cybermalveillance.gouv.fr propose le gestionnaire de mots de passe Keepass. En parallèle, il ne faut pas communiquer les mots de passe à une tierce personne ni les écrire. Il faut éviter aussi de les utiliser sur des ordinateurs partagés. Et, au moindre doute, il faut les changer. Enfin, le mot de passe de la messagerie, logiciel le plus fertile en données, doit être particulièrement choyé ! Retrouvez la partie II de cet article dans notre prochain numéro. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 78 jours

Gironde : Un projet bordelais en EcoPact de Lafarge

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine A Bordeaux, le projet Combo est signé du cabinet Leibar Segneurin Architectes. [©Lafarge] Le projet Combo, une résidence de 35 appartements sur cinq niveaux, a démarré en mai 2021 à Bordeaux. Le cabinet Leibar Segneurin Architectes souhaitait réaliser des voiles architecturaux légèrement colorés et surtout à faible impact carbone. « Dans un souci de responsabilité sociétale et par rapport au regard que nous portons vis-à-vis des enjeux environnementaux, le béton nous est apparu comme un matériau en cohérence avec le territoire dans lequel s’inscrit la résidence Combo, quai de Brazza, à Bordeaux, souligne le cabinet Leibar Segneurin Architectes. Sa production locale, dans les carrières aux alentours de Bordeaux, diminue son empreinte environnementale et permet à ce matériau de relever les enjeux de demain. La rencontre du béton avec la géométrie singulière du projet en fait une véritable réussite. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Nouvelle-Aquitaine C’est ainsi que l’Agence Lafarge Bétons Aquitaine entre en jeu avec son offre de bétons bas carbone EcoPact. « Pour nous, ce chantier a été l’opportunité de tester cette gamme, en une application verticale, précise Charles Descatoire, chargé de développements de produits spéciaux de Lafarge France. Cela nous a permis, entre autres, de mesurer la qualité de notre béton, ainsi que les éventuelles différences sur sa mise en œuvre. » C’est ainsi que 1 600 m3 de bétons, dont 1000 m3 de bas carbone EcoPact ont été coulés pour le chantier Combo, permettant de réduire l’impact CO2 d’environ 100 t. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 78 jours

Procédure de travaux d’office pour l’ancien château du duc d’Epernon

L’ancien château du duc d’Epernon (Seine-et-Marne), joyau du XVIe siècle en péril depuis plusieurs années, va bénéficier prochainement d’une restauration complète, avec l’accompagnement de la Drac Île-de-France. Après avoir été converti en local agricole dans les années 1970, il a été progressivement laissé à l’abandon. En 1986, la Drac a fait poser des étaiements pour assurer la conservation du château. Au fil des années, les dégradations se sont accentuées : bâchage aléatoire des charpentes, fenêtres brisées, prolifération de la végétation. En 2014, le château a été partiellement incendié et occupé par des squatteurs. En 2008, comme en 2019, la Drac accompagne les propriétaires successifs dans des projets de restauration et des programmes de reconversion abandonnés en dépit des autorisations délivrées. Face à cette situation qui met en péril la conservation de l’édifice, la Drac active une procédure de travaux d’office en 2019, avec plusieurs objectifs : mettre l’édifice hors d’eau, en sécuriser la structure et empêcher les intrusions. Le code du patrimoine prévoit que, pour les édifices classés dont la conservation est menacée, l’État peut faire procéder d’office aux travaux indispensables et faire supporter au propriétaire négligent ou défaillant une part du financement. Le propriétaire est auparavant mis en demeure de réaliser les travaux lui-même, puis en cas d’inaction de sa part, un rapport sur l’état du monument accompagné d’un programme de travaux est réalisé par l’architecte en chef des monuments historiques territorialement compétent et présenté devant la Commission nationale du patrimoine et de l’architecture (CNPA). La procédure est lancée en 2019 et le projet de l’architecte en chef recueille un avis favorable de la CNPA le 24 septembre 2020. En l’absence de réponse de la part des propriétaires, l’architecte en chef est désigné comme maître d’œuvre de l’opération en février 2021. À la suite des alertes conjointes de la Drac, de la ville de Fontenay-Trésigny, d’Histoire & Patrimoine et d’associations de défense du patrimoine, un nouveau propriétaire potentiel s’est manifesté au cours de l’année 2021 et s’est finalement porté acquéreur du château. Histoire & Patrimoine a d’ores et déjà obtenu l’autorisation de travaux relative à la restauration de l’édifice et a déposé un permis de construire pour l’aménagement de quinze logements à l’intérieur. Aucune nouvelle construction de bâtiment contemporain ne viendra modifier son architecture. Le parti de restauration qui a été défini va rendre toutes ses qualités patrimoniales au monument : mis hors d’eau, consolidé, l’édifice sera restauré avec des matériaux traditionnels (grès, enduits à la chaux, ardoises), redonnant au château une esthétique conforme à son architecture du XVIe siècle et offrant la perspective d’une conservation durable. Photo : Projet de restauration du château, façade nord. © Image de synthèse Agence Captiv – Histoire & Patrimoine – Atelier Monchecourt & Co, 2021  
Il y a 3 ans et 78 jours

Savoie : Soframat, nouveau représentant de Sipe

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Soframat assure la représentation de Sipe sur trois régions… pour le moment. [©Sipe] La société Soframat, loueur depuis 1979, a été reprise, il y a un an, par le groupe Tam. « Nous louons les centrales à béton de la marque italienne Sipe depuis plus de 20 ans sur la Savoie et la Haute-Savoie, explique Adrien Fernandez, gérant. Nous sommes désormais les représentants exclusifs pour l’Auvergne – Rhône-Alpes, la Bourgogne – Franche-Comté et le Grand Est. » Le choix a été fait par Soframat de se limiter, pour le moment, à trois régions, afin de rester à porter rapide d’intervention, si besoin. « Nous allons devenir le représentant de Sipe pour l’ensemble du territoire français dans les douze mois qui viennent. Mais nous avons décidé de temporiser pour installer notre structure, valider nos process et prendre le temps de trouver des partenaires. Nous cherchons aujourd’hui des représentants locaux, pour développer notre réseau. Dans l’idéal, un autre loueur de grues comme nous, les passerelles étant très nombreuses avec les centrales à béton… » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Auvergne-Rhône-Alpes Sipe réalise la conception et la fabrication des centrales, Soframat gère la distribution, l’installation, le SAV et l’éventuel démontage des unités. « Le modèle qui est le plus sollicité reste la centrale à béton Torre 1700 Fast, qui possède un pré-chargement des granulats, et ne demande qu’une implantation au sol de 4 m x 4 m, hors rayon raclant. Elle offre une capacité de production de 35 m3/h. Et surtout, un malaxeur planétaire qui permet de garantir la qualité du béton.  Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 78 jours

Fouille préventive : 17 bracelets en bronze découvert

A Muzillac, une fouille préventive, prescrite par la Drac de Bretagne a été décidée en prévision de la création d’un lotissement privé et motivée par un diagnostic archéologique réalisé par Dominique Pouille, ingénieur de recherches à l’INRAP. La fouille menée par Éveha, bureau d’études archéologique privé, a été dirigée par Marine Gourmelon. Anne-Marie Fourteau et Anne Villard-Le Tiec en ont assuré le contrôle scientifique pour la DRAC-SRA. Elle a permis la découverte inédite d’un enclos fossoyé curviligne occupé au début de l’âge du Fer. Ce périmètre abrite contre le bord interne ouest un petit enclos quadrangulaire au centre duquel se trouvait une sépulture. Elle ne s’inscrit pas dans un tumulus, comme beaucoup d’entre elles dans une partie du Morbihan et du Finistère entre la fin du VIIe siècle et le Ve siècle av. J.-C., elle a pu être protégée et valorisée par une superstructure, probablement en bois, dont la tranchée quadrangulaire périphérique suggère la présence. Du dépôt funéraire, est conservé un exceptionnel ensemble de 17 bracelets en bronze retrouvés empilés contre le bord du coffrage. En revanche, le squelette et les autres éléments organiques ont été totalement dissous par l’acidité du sol. Ces bracelets à bossettes appartiennent à un type de parures bien connu des sépultures du Morbihan, où elles apparaissent en grand nombre sur les avant-bras et parfois sur les chevilles à la fin du VIIe siècle et au VIe siècle av. J.-C. Cette sépulture s’intègre dans une série de tombes de femmes richement parées de bracelets et d’anneaux de jambes déclinés en de multiples variantes. La quantité importante de métal mobilisée et la qualité de ces bijoux traduisent la richesse et le rang social éminent de leurs détentrices. Photo : Vue de l’ensemble funéraire © Éveha, 2022  
Il y a 3 ans et 78 jours

Edilteco Group partenaire et distributeur exclusif de Carbon Cure pour la France, l’Italie, la Belgique, le Luxembourg et la Hollande

S’inscrivant dans sa stratégie de progrès, ce partenariat est fidèle à la politique de développement de la marque, fondée sur des objectifs d’innovation, apportant un gain de performances aux solutions, tout en contribuant de manière significative et durable à la réduction des émissions de CO2.Pour Franck Pied, Directeur Marketing et Technique chez Edilteco France : « Chez Edilteco, nous avons toujours été impliqués dans les économies d’énergie et la durabilité, c’est notre mission depuis la création de l’entreprise. L’introduction récente sur le marché du Politerm R et maintenant le lancement de CarbonCure donnent l’impulsion à l’émergence de notre future gamme Green, dédiée aux produits contenant jusqu’à 90 % de PSE recyclé - qui sera lancée lors du prochain salon BATIMAT. Aujourd’hui, avec CarbonCure, nous avons l’opportunité d’offrir encore plus aux centrales à béton avec lesquelles nous collaborons depuis des années, leur permettant de produire du béton avec la qualité habituelle, mais avec une empreinte carbone réduite. »La technologie CarbonCureLa technologie CarbonCure contribue fortement au développement durable. Cette technologie permet aux producteurs de béton (centrales à béton et préfabricateurs) de proposer le même béton de haute qualité mais avec une empreinte carbone réduite. CarbonCure injecte du dioxyde de carbone (CO2) capturé dans le béton frais lorsqu’il est malaxé. Une fois injecté, le CO2 se transforme instantanément au contact du ciment en CaCO3 (carbonate de calcium) ; ces nanomatériaux sont incrustés en permanence et ne seront jamais rejetés dans l’atmosphère. Cette minéralisation du CO2 améliore également significativement la résistance à la compression du béton et permet de réduire en toute sécurité la teneur en ciment de chaque mélange.CarbonCure est détentrice d’un agrément technique délivré par le DIBT (Institut Allemand des Techniques du Bâtiment). La technologie CarbonCure est en totale conformité avec la norme NF EN 206. Ainsi, tout en respectant les dosages, avec l’ajout de CO2, il est possible de réduire de 4 à 6 % la quantité de ciment et en outre de conserver les mêmes performances techniques et mécaniques. En considérant que 6 % de ciment peuvent être économisés, cela équivaut à environ 15 kg/m3. Si l’on prend l’exemple d’une centrale à béton moyenne en France, consommant 40 000 m3 de béton par an, l’économie annuelle de ciment pour cette centrale est de 60 tonnes. En pratiqueChaque installation CarbonCure comprend 2 boîtiers. Le premier (unité de contrôle) calcule précisément la quantité de CO2 à injecter selon la formulation de béton. Il est en relation avec le logiciel de la centrale (s’adapte à tous les logiciels des centrales) et en lien direct avec CarbonCure à qui il communique, en temps réel, toutes les données collectées pour le calcul de la consommation de CO2 injecté dans le béton. CarbonCure collecte les consommations exactes de CO2 de chaque centrale à béton. La méthodologie de CarbonCure a été vérifiée par l’organisme VERRA (Verra.org) pour l’obtention de certificats blancs mutualisés entre chaque acteur. L’autre boîtier (le bloc vanne) est installé sur la cuve de CO2 et gère l’ajout de la dose. La cuve sous pression (20 bars) envoie le CO2 à l’état liquide dans le béton en cours de malaxage. C’est cette pression qui injecte et transforme le CO2 sous forme de neige dans le malaxeur, où le CO2 se transforme immédiatement en CaCO3 au contact du mélange. La centrale à béton est libre de choisir son fournisseur de CO2. Edilteco France s’occupe de l’installation des boitiers et leur programmation se fait automatiquement à distance. Une équipe de techniciens Edilteco a été spécialement formée pour assurer l’installation, la maintenance et le SAV des boitiers.
Il y a 3 ans et 78 jours

Show-room : Cemex hisse son Pavillon

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Le Pavillon by Cemex n’est pas une matériauthèque, mais un véritable lieu d’échanges. [©Philippe Castano] Au 26 quai d’Issy-les-Moulineaux, dans le XVe arrondissement de Paris, en bord de Seine, s’élèvent plusieurs unités de production de bétons, dont celle de Cemex France. La plus importante de France. Avec son ballet incessant de camions-toupies, d’hommes munis d’EPI, de silos qui pointent vers le ciel, de marquages au sol, de barges qui acheminent leur chargement, de zones sécurisées… Et, dans les bureaux administratifs, Le Pavillon by Cemex, un tout nouvel espace dédié au matériau béton et à ses solutions constructives. Qu’est-ce qui se cache derrière cette appellation ? « Dans cet espace de découverte, d’échange et de créativité autour de la construction, installé au cœur de notre dispositif industriel et logistique francilien, nous proposons un parcours initiatique sur nos solutions et notre expertise », explique Dominique Sestillange, responsable produits spéciaux et réseaux partenaires de Cemex France. Un cadre propice à la discussion Le Pavillon by Cemex est un lieu moderne et convivial, situé à proximité immédiate de la Seine, axe stratégique et emblématique des activités franciliennes du groupe et de son origine en France. Son nom fait référence à un lieu d’accueil, au monde du bâtiment et à celui de la navigation. « Le Pavillon by Cemex a pour vocation d’accueillir décideurs, prescripteurs, maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre, afin de les soutenir dans leurs projets de construction et de rénovation. Mais aussi, les écoles qui veulent se documenter », indique Michel André, directeur général Cemex Matériaux Europe de l’Ouest. Et de préciser : « Nous avons créé un cadre propice à la discussion, à la réflexion et à la créativité. Les équipes prescription et promotion y conseilleront les acteurs de la construction et de l’aménagement du territoire sur les solutions les plus adaptées à leurs ambitions ». « Dans cet espace de découverte, d’échange et de créativité autour de la construction, installé au cœur de notre dispositif industriel et logistique francilien, nous proposons un parcours initiatique sur nos solutions et notre expertise », explique Dominique Sestillange, responsable produits spéciaux et réseaux partenaires de Cemex France. [©Philippe Castano]Le Pavillon by Cemex n’est pas une matériauthèque, mais un véritable lieu d’échanges. [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Une fois identifiés les besoins, on passe dans un autre espace, celui-ci est dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… [©Philippe Castano]Le Pavillon by Cemex est un show-room divisé en trois zones. Tout d’abord, l’espace “réflexion”. [©Philippe CastanoUn autre secteur reprend les chantiers marquants de la marque. [©Philippe Castano] Plusieurs espaces Le Pavillon by Cemex est un show-room divisé en trois zones. Tout d’abord, l’espace “réflexion”. « C’est ici que l’on identifie les besoins des acteurs du bâtiment. A l’aide d’un tableau digital, d’un tableau noir et d’un écran-vidéos qui abordent toutes les problématiques que l’on veut soulever. Nous les aidons de la conception à la réalisation d’un projet. Une fois les besoins identifiés, on passe dans un autre espace, celui-ci dédié aux palettes de technologies et aux références de chantiers innovants. Il y a 9 totems de couleurs avec des thèmes comme la fluidité, le temps de prise, le confort, la perméabilité, l’économie circulaire, le développement durable… Le tout, avec des échantillons de matériaux et des QR-codes qui permettent d’accéder à des documents, à des fiches de produits et à des vidéos. Tous ces éléments sont transmis aux participants à la fin de la visite. Enfin, la dernière partie du show-room est plus conviviale et permet un débriefing. Les visiteurs font le point sur ce que l’on leur a proposé », explique Dominique Sestillange. Et de poursuivre : « Ce pavillon n’est pas une matériauthèque, mais un véritable lieu d’échanges, qui apporte une vraie réflexion sur les matériaux et les services, et répond à un besoin précis ». Le Pavillon by Cemex a aussi vocation à évoluer. Au fur et à mesure de l’avancée de l’année, vont y être proposés des événements ponctuels autour de l’économie circulaire, de la RE 2020 ou encore du bas carbone. Et Dominique Sestillange, de conclure : « Nous avons de plus créé Le Pavillon Virtual Tour, permettant aux porteurs de projets de s’immerger à distance à 360° dans Le Pavillon by Cemex ». Pour prendre rendez-vous pour une visite en présentiel et pour accéder à une visite virtuelle Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 78 jours

Maine-et-Loire : Tracer sa route bas carbone

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Application du Ligexia de Ciments Calcia près de Monts-sur-Guesnes. [©Ciments Calcia] Courant mai 2021, Ciments Calcia lançait deux liants hydrauliques routiers bas carbone – les Ligexia M4 et M4+ -, pour le traitement des chaussées en place. De son côté, Travaux Publics des Pays de la Loire (TPPL) entend, dès 2022, « sortir des liants routiers traditionnels » pour favoriser les solutions décarbonés. Tout naturellement, Ciments Calcia et TPPL se sont unis pour développer de manière optimale l’usage des liants Ligexia sur les chantiers. « Au sein de notre agence de Saumur, nous avons réalisé un bilan carbone de nos activités et celui des liants routiers se place dans le top 5, indique Thomas Maudet, directeur chez TPPL. Mais nous avons, d’une part, demandé à nos fournisseurs d’optimiser le bilan carbone de leurs produits dédiés aux opérations de voirie et terrassement. Et, d’autre part, sensibilisé nos clients à cette démarche de substituer les liants routiers classiques par des solutions alternatives. » Retrouvez l’actualité des entreprises en région Pays-de-la-Loire D’où le rapprochement avec Ciments Calcia. « A partir du moment où Ciments Calcia a mis sur le marché ses deux liants Ligexia M4 et Ligexia M4+ – qui affichent respectivement une réduction de 20 à 30 % et de 10 à 20 % des émissions de CO2, par rapport au produit référant Ligex -, nous les avons préconisés sur nos chantiers. Deux réalisations intègrent déjà ces références, l’une à Monts-sur-Guesnes, dans la Vienne, l’autre à Saumur, dans le Maine-et-Loire. » Au total, ces deux chantiers ont requis l’utilisation d’environ 1 000 t de liants Ligexia. En effet, en septembre 2021, ce ne sont pas moins de 5 000 m2 de couches de forme traitées au Ligexia, qui ont été mises en œuvre sur le chantier de liaison des départementales RD 46, RD 24 et RD 14 et de la déviation de Monts-sur-Guesnes. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 78 jours

Loire-Atlantique : Valobat accueille Cigo

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Une des carrières du réseau Cigo… [©Cigo] L’éco-organisme Valobat poursuit son renforcement et accueille un nouveau partenaire, le syndicat des Carrières indépendantes du Grand Ouest (Cigo). Ce dernier représente près d’une cinquantaine d’adhérents, soit un tiers de la production de granulats du Grand Ouest. Ainsi, il intègrera le capital de Valobat, le 23 février prochain et rejoindra le Comité de secteur “inertes”. En effet, les matériaux inertes, soumis à la Responsabilité élargie des producteurs (Rep), représentent aujourd’hui le plus important flux de déchets : environ 33,5 Mt/an. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Pays-de-la-Loire Pour l’éco-organisme, ce rapprochement permettra de mieux soutenir cette filière mature. Mais aussi, d’apporter des solutions innovantes pour monter en compétence, en termes de valorisation. Et pour développer de nouvelles opportunités de réemploi. « Nous avons fait le choix d’intégrer Valobat pour sa volonté et sa force à réunir et à traiter toutes les catégories de matériaux, dont les inertes », déclare Dominique Barbier, déléguée générale de Cigo. Créé il y a 20 ans, Cigo se développe dans plusieurs autres régions. « Notre syndicat a un rôle essentiel à jouer pour faciliter la mise en application de la Rep aux professionnels de notre filière déjà tournés vers le traitement et le recyclage des granulats », conclut Dominique Barbier. Le syndicat accompagne ainsi les entreprises de l’industrie extractive pour gérer au mieux l’exploitation des ressources naturelles et leur recyclage. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 78 jours

Maine-et-Loire : Néolithe crée son site industriel

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Néolithe transforme les déchets en granulats normés. [©Néolithe] Néolithe, qui a développé un procédé de fossilisation des déchets non recyclables, va créer son site industriel, à Beaulieu-sur-Layon, sur un premier terrain de 11 ha. Accompagnée par Alter Eco, l’entreprise va voir sortir de terre un atelier d’assemblage de 4 800 m2, à partir de septembre 2022. Suivront 1 700 m2 de laboratoire et 3 000 m2 de siège social. L’ensemble sera livré en juillet 2023. Sur un second terrain adjacent de 1 ha, une unité de production de liants de 1 000 m2 verra le jour. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Pays-de-la-Loire Le procédé de Néolithe consiste à transformer les déchets non recyclables, non inertes et non dangereux, en granulats minéraux normés pour la construction. Outre la fabrication d’un liant bas carbone, élément indispensable permettant la transformation des déchets en minéral, l’entreprise conçoit et fabrique des fossilisateurs. Des unités de traitement des déchets, destinées aux opérateurs de traitement des déchets, aux industriels et aux collectivités territoriales. La vente de quatre fossilisateurs est déjà prévue, dès cette année.« Début 2022, nous avons passé le cap des 40 salariés et avons déjà de nouvelles perspectives de recrutement pour les mois à venir, explique Clément Bénassy, Dg de Néolithe. Nous espérons recruter 60 nouveaux collaborateurs cette année. Et dès 2023, nous allons avoir besoin d’améliorer nos capacités de production pour répondre à l’objectif que nous nous sommes fixés de produire quatre fossilisateurs par mois en 2024… » Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 78 jours

Loiret : Un duo pour l’économie circulaire

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Le projet de La Fontaine, à Saran. [©Agyre] Agyre est un hub d’accélération national sur l’ensemble de piliers de l’économie circulaire dans la construction. Valor Promotion est un spécialiste de la vente en bloc d’immeubles entiers à bailleurs sociaux et investisseurs. Ces deux entités se sont rapprochées pour inscrire la démarche d’économie circulaire plus en amont dans les projets de construction de logements. La première opération commune se nomme La Fontaine et a démarré à Saran, dans la banlieue Nord d’Orléans, en début d’année 2022. Dans l’idée d’en faire un démonstrateur transposable à d’autres initiatives, dans d’autres communes, après exploitation des retours d’expérience. Pour cela, le duo vise la certification Prestaterre mention Label BEE+ (Bâtiment Energie Environnement+). Avec l’option “Economie de charges et démarche de chantier propre”. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Centre-Val de Loire Pour pallier diverses contraintes du site, en particulier en termes de logistique, de délais, de budget et de pollution, Agyre réalise un accompagnement méthodologique du chantier, depuis son démarrage en janvier dernier, avec le désamiantage et la déconstruction des pavillons résidentiels du site datant des années 1970… Au quotidien, une attention particulière sera apportée à la logistique, au stockage, au tri et à la traçabilité des ressources du site, dans l’objectif de réduire la production des déchets. Mais aussi d’optimiser la consommation des ressources et d’éviter les externalités carbone. Enfin, Agyre assurera la sensibilisation et la formation des différents acteurs du projet pour favoriser leur montée en compétences sur les questions d’économie circulaire. Et veillera au respect du planning des travaux et du budget pour une meilleure viabilité économique de l’offre. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 78 jours

Calvados : L’Esitc de Caen annonce la réalisation d’un chantier éco-responsable

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Elément de bordure en béton bas carbone prêt à être posé. [©Esitc Caen/JCoiffey] L’Esitc de Caen annonce la réalisation d’un chantier pilote éco-responsable. Mené par Cléo Guis, Thomas Latini et Aude Bourgeois, élèves en 5e année, le projet vise à développer des bordures de trottoirs réfléchissantes conçues à partir d’un béton bas carbone incorporant des débris de verre recyclés. Réalisé du 7 au 18 février dernier sur un chantier avenue André Morice à Caen, le test avait pour objectif de valider en conditions réelles la pertinence de cette solution. C’est d’ailleurs Eurovia, filiale de Vinci, qui a réalisé ces travaux. Tandis que François Moreno, ingénieur diplômé en 2000 à l’ESTIC de Caen, pilotait le chantier. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Normandie Ainsi, le projet s’inscrit dans des thématiques importantes dans les recherches de l’Esitc : le développement durable et la sécurité routière. En effet, le ciment CEM III, retenu pour le chantier, est composé majoritairement de matières premières issues de l’économie circulaire. Il se complète alors avec les résidus de verre, eux-aussi utilisés de manière éco-responsable. La production des bordures est d’ailleurs confiée en partie à TEP Construction, une micro-entreprise gérée par des élèves de l’école. Pour les réaliser, les trois étudiants ont pu accéder aux ressources de l’école. Dans un premier temps en utilisant le laboratoire mis à disposition pour les recherches. Puis, dans un second temps, avec les partenariats de l’Esitc de Caen avec des acteurs institutionnels régionaux et industriels pour concrétiser le projet. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 78 jours

Ain : Lafarge Granulats acquiert les carrières du groupe Famy

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Six carrières du groupe Famy viennent d’intégrer Lafarge France. [©Groupe Famy] Lafarge Granulats a annoncé l’acquisition de 6 carrières de granulats du groupe indépendant Famy. Fondé dans l’Ain en 1860, ce dernier dispose de réserves importantes de matières premières dans la région Auvergne-Rhône-Alpes. Ainsi, cette opération coïncide avec celle réalisée en mars 2021. En effet, Lafarge France avait fait l’acquisition de 24 centrales de BPE et d’une carrière dans la même zone géographique. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Auvergne-Rhône-Alpes De ce fait, le groupe Lafarge renforce sa présence en Auvergne – Rhône-Alpes, cette région limitrophe de la Suisse, où la demande en matériaux est très forte. « Cette opération avec un acteur historique de l’Ain nous permet de développer notre capacité à accompagner nos clients dans ce secteur très dynamique. Elle conforte notre stratégie de renforcement de l’activité au sein de Lafarge France. Et à accompagner le secteur de la construction pour faire face aux pénuries d’approvisionnement et d’accès aux ressources minérales », déclare Pablo Libreros, directeur de Lafarge Granulats. Et François Petry, Dg de Lafarge France, de conclure : « Nous allons ainsi pouvoir étendre la disponibilité de nos solutions bas carbone et d’économie circulaire auprès de nos partenaires régionaux ». Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 78 jours

Centre–Val de Loire : Impacts sur la hausse des prix des matériaux

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine La plupart des matériaux de construction sont touchés par des hausses de prix. [©ACPresse] Le Cerc a publié une étude sur l’évolution des prix des matériaux pour le Centre–Val de Loire, sur la période du 3e trimestre 2021. Une consultation locale qui permet d’avoir des données extrapolables au niveau national… Ainsi, l’évolution des prix concernant les matériaux et les matières premières a eu un impact significatif sur les entreprises du bâtiment dans cette région. En effet, près de 2 entreprises sur 3 qui ont répondu à cette consultation, déclarent avoir connu ce trimestre une hausse des matériaux utilisés supérieure à 10 %. Sur les derniers 3 mois, on observe une hausse moyenne de + 23 % (tous matériaux confondus) au niveau régional. Selon les entreprises interrogées, le Cher et l’Indre seraient les départements où cette hausse a été la plus forte, avec respectivement une progression de + 35 % et + 27 % , enregistrée en moyenne au cours du 3e trimestre. Et pas moins de 18 % des entreprises se trouveraient en difficulté de trésorerie. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Centre-Val de Loire Même si elle touche de manière globale l’ensemble des activités du bâtiment, cette augmentation du coût des matériaux impacte en particulier les secteurs de la charpente (+ 78 % des prix en moyenne), de la plâtrerie (+ 52 %) et de la métallerie (+ 51 %). Dans le détail des matériaux, la flambée des prix concerne, en premier lieu, le bois avec + 48 % enregistré sur le 3e trimestre 2021. On trouve ensuite les métaux avec + 34 % pour l’acier (dont celui pour armatures), + 33 % pour le cuivre et + 24 % pour l’aluminium, un peu plus loin derrière, la plaque de plâtre (+ 29 %). Les matériaux comme le béton et le ciment semblent moins impactés, pour le moment… Pour l’ensemble de ces entreprises, la crainte est le retard que pourraient accumuler certains chantiers, face aux difficultés d’approvisionnement. D’autant que 54 % d’entre elles déclarent en plus avoir des difficultés de recrutement. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 78 jours

Seine-Maritime : Deuxième centrale pour RévoBéton

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine RévoBéton a ouvert une deuxième centrale à BPE à Saint-Etienne-du-Rouvray. [©Lhotellier] Un an après le lancement de sa première centrale à béton, à Alizay, dans l’Eure, RévoBéton poursuit son essor dans le bassin rouennais, en choisissant d’installer son deuxième unité de production à Saint-Etienne-du-Rouvray. En 2021, la centrale d’Alizay a produit 13 500 m3 de bétonn qui ont généré un chiffre d’affaires de 1,5 M€. En parallèle, la filiale du groupe Lhotellier, créée en 2020 [Lire article p. 20], a investi 100 000€ dans un laboratoire, qui permet aujourd’hui de bénéficier d’un panel de 160 formules différentes. Avec ces infrastructures, RévoBéton peut répondre à tous types d’ouvrages : travaux routiers, béton décoratifs, chapes fluides… Retrouvez l’actualité des entreprises en région Normandie « Pour cette seconde centrale, le choix de la localisation a été mûrement réfléchi, indique Guillaume David, directeur de RévoBeton. Nous avons de réels besoins sur la métropole rouennaise. Afin de poursuivre notre engagement de respect de l’environnement, il est évident pour nous d’installer nos centrales au plus proche de la demande et de poursuivre le recyclage des matériaux provenant des chantiers et des plates-formes de recyclage des filiales du groupe Lhotellier. » RévoBéton bénéficie ainsi de la synergie des autres métiers du groupe. L’entreprise intègre dans ses formulations des granulats valorisés issus de RDE, une autre filiale de Lhotellier, spécialisée dans le recyclage des matériaux de la déconstruction de chantiers, située à Oissel, toujours en Seine-Maritime. RévoBéton réutilise aussi des matériaux alternatifs provenant de Lhotellier Dépollution, encore une autre filiale qui traite des terres polluées grâce à une station de lavage spécialisée. En 2021, ce sont quelque 432 t de CO2 que RévoBéton a économisé grâce à l’utilisation de ces liants recomposés, sur la centrale d’Alizay. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine