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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 3 ans et 84 jours

"Contreparties" au RSA : un programme pour revenir vers le monde du travail, selon Borne

"Il y a bien des contreparties, mais ce dont nous parlons, c'est d'un programme composé de différentes activités comme des formations ou des immersions en entreprise qui permettent de reprendre contact avec le monde professionnel, de préciser son projet et de le réaliser. Ce n'est pas du travail d'intérêt général", a précisé Elisabeth Borne dans un entretien paru en ligne mardi 22 mars à l'hebdomadaire L'Obs."Il ne s'agit pas d'imposer aux allocataires du RSA de faire des travaux d'intérêt général sans être payés, comme le propose Madame (Valérie) Pécresse", a-t-elle dit. La candidate du parti Les Républicains à l'élection présidentielle propose que les bénéficiaires donnent "quinze heures d'activité à la société".Dans le projet du candidat Macron, indique Mme Borne, il s'agit "de participer à des ateliers dans lesquels on peut faire un bilan personnalisé. Cela peut permettre d'identifier les freins à l'emploi, comme des problèmes de santé, et de proposer une prestation. Ou bien aider à faire un CV et apprendre à se présenter devant un employeur. Ou encore découvrir des métiers grâce à des immersions en entreprise, puis, financer une formation professionnelle".Alors que le président-candidat Emmanuel Macron avait évoqué jeudi une "obligation" de consacrer 15 à 20 heures par semaine à ce type de mission, Mme Borne a assuré que cela "ne concerne pas les personnes qui font face à de graves problèmes de santé ou d'addiction, à des problèmes psychiques, à des difficultés de garde d'enfants"."La logique que nous avons mise en place dans le contrat d'engagement jeune, c'est celle de sanctions progressives. Si vous signez un contrat, mais que vous ne le respectez pas, alors on peut suspendre votre allocation pendant une semaine pour commencer. (...) Mais cela suppose de tenir compte de la situation de la personne. Ça ne peut pas être la même chose pour un jeune et pour une personne qui a charge de famille", selon Mme Borne.Le revenu de solidarité active (RSA), perçu en 2020 par 2,1 millions d'allocataires, assure aux personnes sans ressources un niveau minimum de revenu qui varie selon la composition du foyer.Dans un rapport en janvier, la Cour des comptes a mis en cause un accompagnement "nettement insuffisant" des allocataires. Sept ans après l'entrée dans le dispositif RSA, seuls 34% des allocataires en moyenne ont un emploi.
Il y a 3 ans et 85 jours

Émoi à Strasbourg après la disparition du "rayon vert" de la cathédrale

L'information était passée inaperçue, mais figure sur le site internet de la cathédrale à la rubrique "Le saviez-vous ?", au paragraphe consacré au rayon vert : "Avertissement : ce qui suit, a pris fin le mercredi 16 mars 2022. Le +verre brut+, laissant entrevoir jusqu'à cette date un +rayon de couleur verte+, a définitivement été obstrué".Sollicitée par l'AFP, la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) du Grand Est, qui doit diffuser dans l'après-midi un communiqué de presse à ce sujet, a indiqué que le verre en question avait effectivement été remplacé lors d'une "restauration", confirmant une information du quotidien régional Les Dernières nouvelles d'Alsace (DNA).Ce "rayon vert", qui attirait des centaines de touristes et de curieux, apparaissait lors des équinoxes de printemps (le 20 ou 21 Mars à 11H38) et d'automne (le 22 ou 23 Septembre à 12H24) et "illuminait le Christ crucifié de la chaire" de la cathédrale, rappelle le site de l'édifice religieux.Le vitrail en question y avait été installé en 1876. Le soleil y traversait le pied gauche de Juda, ancêtre du Christ et fils de Jacob, pour produire le fameux rayon.Mais "la projection du soleil en un rayon de couleur verte était apparue très vraisemblablement à la suite d'une restauration datant de 1972 au cours de laquelle le pied de Juda aurait été remplacé par un verre brut et, de ce fait, très transparent", explique encore le site internet.C'est en effet cette année-là que le phénomène a été découvert par Maurice Rosart, un ingénieur-géomètre.Ce dernier a aussitôt crié au "scandale" lorsqu'il a appris que le rayon n'était pas au rendez-vous ce week-end : il "a été purement et simplement supprimé", s'est-il offusqué dans un courriel transmis à l'AFP."Cet acte est un mauvais coup porté aux Strasbourgeois, à la Culture, à la Laïcité, aux Lumières", a-t-il encore déploré, rappelant qu'un cache avait déjà été brièvement apposé au printemps 1990 sur le vitrail, empêchant le rayon de se former.Ce phénomène a longtemps alimenté les polémiques, entre partisans d'explications ésotériques et autorités ecclésiastiques qui n'ont longtemps vu derrière lui qu'un simple "hasard".
Il y a 3 ans et 85 jours

Crues des Alpes-Maritimes : la concertation a rassemblé 10% des habitants

"Ca montre qu'il y a une envie de la part des gens de rebondir après la crise qu'ils ont vécue", a insisté M. Fesneau samedi dans un entretien à l'AFP. Au total, 1.421 des quelque 15.000 habitants des vallées de la Roya, de la Vésubie et de la Tinée, où les crues d'octobre 2020 ont fait 10 morts et huit disparus, ont participé à cette concertation. Un chiffre "très au-dessus de la moyenne pour des exercices similaires", selon la synthèse consultée par l'AFP.A partir de ces propositions, déjà partagées avec les maires, des discussions vont maintenant s'engager avec les collectivités territoriales, appelées à les financer. "Car l'idée est bien que ce soit l'Etat et les collectivités locales qui décident des projets à financer", a expliqué M. Fesneau.Sur les 572 millions d'euros consacrés à la reconstruction, l'Etat a réservé 50 millions d'euros à ces projets participatifs, financement qui pourra plus que doubler grâce aux collectivités et à l'Union européenne.Les projets retenus seront présentés à l'automne. "L'important c'est d'assumer nos choix et de les assumer publiquement", a plaidé M. Fesneau, selon qui le coût ne sera pas le seul critère : "La panoplie des projets choisis doit correspondre à l'envie du territoire, au-delà de la reconstruction stricte".Quatre axes principaux se sont dégagés, avec le souci de "vallées vivantes", notamment en redonnant vie aux centres historiques des villages par la réhabilitation des logements et l'accueil de nouveaux habitants.Deuxième axe, le besoin de "connexions adaptées" entre vallées. Ainsi faut-il "désenclaver le territoire, numériquement et physiquement", avec le développement d'un réseau haut débit ou la modernisation des lignes ferroviaires.Pour désenclaver Casterino, toujours isolé depuis les crues, à 1.550 m d'altitude dans la Roya, c'est un téléphérique qui a été suggéré, pour rejoindre les hôtels et le site de ski de fond du hameau.Dans le cadre d'un "autre équilibre avec la nature", les habitants appellent à une transition énergétique, notamment en développant les énergies renouvelables et en soutenant de nouveau la filière bois.Enfin, pour encourager une "nouvelle attractivité", une diversification de l'offre d'hébergement touristique semble nécessaire, toute comme la création de zones d'activités commerciales, d'une zone franche, ou la mise en valeur du patrimoine culturel.
Il y a 3 ans et 85 jours

Kingfisher : Castorama et Brico Dépôt confirment leur bonne santé en 2021

RÉSULTATS. Le groupe britannique de bricolage, Kingfisher, annonce des résultats en hausse, dans un contexte conjoncturel et géopolitique compliqué. Après quelques années difficiles, ses marques françaises, Castorama et Brico Dépôt affichent de nouveau des chiffres d'affaires en hausse.
Il y a 3 ans et 85 jours

Paris : restauration au sommet pour la coupole du lycée Henri IV

PATRIMOINE. Voisin du Panthéon, le lycée Henri IV fait l'objet depuis 2018 d'un chantier de réhabilitation de sa coupole, située à la croisée de la bibliothèque des Génovéfains, au coeur de l'ancienne abbaye. C'est à un véritable travail d'orfèvre que se livrent les artisans et spécialistes présents dans les murs de ce monument classé qui accueille néanmoins 2.700 élèves. Visite.
Il y a 3 ans et 85 jours

Pour Sotralentz Construction, la guerre propulse l’acier à son pic

Fabricante de treillis soudés et d’éléments de voussoirs, l’entreprise voit le prix d’achat de son acier tripler, par rapport à son niveau d’il y a un an, du fait du déclenchement du conflit ukrainien.
Il y a 3 ans et 85 jours

Flambée des prix : "Du jamais vu depuis 20 ou 30 ans", Bernard Sala, Président de Routes de France

Le représentant des entreprises de travaux routiers décrypte la hausse brutale et globale des prix du bitume, du gaz et des carburants. Un phénomène brutal lié à la guerre en Ukraine et qui pourrait déstabiliser la filière.
Il y a 3 ans et 85 jours

MaPrimeRénov’ pour PAC et biomasse : une mesure en trompe l’œil pour la Capeb

Dans le cadre du plan de Résilience annoncé par le Premier Ministre le 16 mars 2022, plusieurs mesures impactant le remplacement des systèmes de chauffage dans l’habitat ont été annoncées par le Gouvernement afin d’accélérer la politique de réduction de la dépendance aux énergies fossiles. Si l’augmentation de 1000 €, à partir du 15 avril prochain et jusqu’à la fin de l’année 2022, de l’aide MaPrimeRénov’ pour l’installation d’un système de chauffage renouvelable de type pompes à chaleur (y compris hybrides) ou chaudières biomasse est une mesure qui facialement est positive, la CAPEB considère, sauf évolution, que cette aide supplémentaire est en trompe-l’œil vis-à-vis du reste à charge pour les ménages les plus modestes. En effet, cette mesure, intervient dans un contexte où les CEE sont impactés par un effet déflationniste, à ce jour, aucun des grands obligés, à l’exception d’EDF, n’a décidé de porter l’offre Coup de Pouce Chauffage. Si l’aide Coup de Pouce Chauffage n’est pas mobilisable pour l’installation d’une pompe à chaleur à 12 000 €, le reste à charge pour les ménages les plus modestes s’élèvera, à compter du 1er avril prochain, à 7 000 € en intégrant l’augmentation de 1 000 €, et non 4 000 € comme aujourd’hui, ce qui inévitablement conduira les particuliers à se détourner de ce type de travaux. La CAPEB considère que des mesures urgentes doivent être prises pour que les offres Coup de Pouce CEE restent attractives au vu du cours actuel des CEE sur le marché, pour pouvoir être portées par les acteurs du dispositif des CEE. Sans quoi, le secteur sera confronté à un arrêt brutal des travaux d’amélioration de la performance énergétique des logements. Avec à la clef un désintérêt des entreprises artisanales du bâtiment des dispositifs d’incitation. Cet article MaPrimeRénov’ pour PAC et biomasse : une mesure en trompe l’œil pour la Capeb est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 85 jours

Certifications RSE chez EQIOM

Les agences EQIOM Bétons d’Alsace, de Dijon, d’Île-de-France et du Nord Pas de Calais reçoivent la certification « Exemplarité », le niveau le plus élevé du label RSE décerné par l’UNICEM, tandis que les sites de Franche-Comté et de Lorraine conservent le même niveau d’excellence obtenu précédemment. Suite à une série d’audits externes, réalisée sur certains sites et dirigée par le CERIB sur chaque thématique de la charte (gouvernance, environnement, capital humain, ancrage territorial, relations avec les fournisseurs, clients et parties prenantes), EQIOM Bétons se distingue en tant que contributeur majeur de la transition environnementale du secteur. L’engagement RSE de l’agence Normandie vient d’être également salué par le niveau « Maturité ».
Il y a 3 ans et 85 jours

Certifications RSE chez EQIOM

Les agences EQIOM Bétons d’Alsace, de Dijon, d’Île-de-France et du Nord Pas de Calais reçoivent la certification « Exemplarité », le niveau le plus élevé du label RSE décerné par l’UNICEM, tandis que les sites de Franche-Comté et de Lorraine conservent le même niveau d’excellence obtenu précédemment. Suite à une série d’audits externes, réalisée sur certains sites et dirigée par le CERIB sur chaque thématique de la charte (gouvernance, environnement, capital humain, ancrage territorial, relations avec les fournisseurs, clients et parties prenantes), EQIOM Bétons se distingue en tant que contributeur majeur de la transition environnementale du secteur. L’engagement RSE de l’agence Normandie vient d’être également salué par le niveau « Maturité ». Cet article Certifications RSE chez EQIOM est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 85 jours

Configurateur de FDES pour les isolants URSA

URSA lance son configurateur de FDES : BANKIZ. Cette nouvelle plateforme en ligne, disponible sur www.bankiz-fdes.fr, permet d’établir en quelques clics le profil environnemental, personnalisé et adapté, de chacun des produits de l’indusriel. En matière d’isolation, les FDES, disponibles sur la base INIES, sont établies à partir de données collectives ou liées à un produit en particulier. Elles n’apportent donc pas toujours les réponses attendues par le maître d’œuvre, dans le cadre de sa problématique spécifique. Ce nouvel outil permet d’associer la disponibilité des données environnementales des gammes d’isolants de la marque et l’adaptabilité de ces dernières à chaque projet. La plateforme web en accès libre, -permet de calculer et délivrer les profils environnementaux personnalisés des produits isolants en laine de verre ou polystyrène extrudé de toutes les gammes URSA, en 3 étapes : sélection du type de bâtiment et d’ouvrage à isoler, choix des paramètres pour trouver le meilleur produit répondant à sa demande en termes de résistance thermique, épaisseur, conductivité thermique, nature de l’isolant… Et, calcul du profil environnemental. Une fois ce calcul effectué, BANKIZ fournit le profil environnemental du ou des produit(s) utilisé(s), et la FDES et son attestation de vérification. Les profils environnementaux ainsi établis peuvent être directement exportés dans les logiciels ACV via la plateforme EDEC.   Cet article Configurateur de FDES pour les isolants URSA est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 85 jours

Configurateur de FDES pour les isolants

URSA lance son configurateur de FDES : BANKIZ. Cette nouvelle plateforme en ligne, disponible sur www.bankiz-fdes.fr, permet d’établir en quelques clics le profil environnemental, personnalisé et adapté, de chacun des produits de l’indusriel. En matière d’isolation, les FDES, disponibles sur la base INIES, sont établies à partir de données collectives ou liées à un produit en particulier. Elles n’apportent donc pas toujours les réponses attendues par le maître d’œuvre, dans le cadre de sa problématique spécifique. Ce nouvel outil permet d’associer la disponibilité des données environnementales des gammes d’isolants de la marque et l’adaptabilité de ces dernières à chaque projet. La plateforme web en accès libre, -permet de calculer et délivrer les profils environnementaux personnalisés des produits isolants en laine de verre ou polystyrène extrudé de toutes les gammes URSA, en 3 étapes : sélection du type de bâtiment et d’ouvrage à isoler, choix des paramètres pour trouver le meilleur produit répondant à sa demande en termes de résistance thermique, épaisseur, conductivité thermique, nature de l’isolant… Et, calcul du profil environnemental. Une fois ce calcul effectué, BANKIZ fournit le profil environnemental du ou des produit(s) utilisé(s), et la FDES et son attestation de vérification. Les profils environnementaux ainsi établis peuvent être directement exportés dans les logiciels ACV via la plateforme EDEC.  
Il y a 3 ans et 85 jours

La filière de l'énergie solaire réclame "un plan d'urgence solaire"

"Nous sommes entrés dans un état d'urgence énergétique qui concerne l'ensemble des énergies décarbonées, dont le solaire en particulier, compte tenu de sa capacité à croître rapidement", souligne le syndicat Enerplan.Pour l'association du solaire (électrique et thermique), "il est désormais nécessaire de prendre des mesures radicales et immédiates, y compris dérogatoires, pour participer à cet effort national et européen de transformation et de restructuration du système énergétique".Mais la France est déjà en retard par rapport à ses objectifs fixés depuis 2020. Une situation dont les raisons "se résument à un cadre beaucoup trop rigide et à un manque de mobilisation des différents acteurs", déplore Enerplan.La filière réclame désormais "une franche accélération", avec un objectif de mise en service en 2025 de 10 gigawatts (GW) de centrales solaires, soit près de 4 fois plus qu'en 2021.Si 25 GW pouvaient être raccordés de 2022 à 2025, cela représenterait près de 30 TWh de production électrique supplémentaire, soit l'équivalent de 30% des importations de gaz russe (100 TWh), fait valoir le secteur. Soit aussi plus que la production annuelle de deux réacteurs EPR.Au total, le solaire générerait alors 10% de la production électrique française fin 2025, au lieu de 2028 comme le pays l'avait jusqu'ici prévu.Parallèlement, la chaleur solaire pourrait atteindre rapidement 1,5GW annuels à partir de 2025.Il faut pour ce faire établir "un plan, le plus vite possible, en concertation avec l'État", plaide Enerplan, qui relève que des pays européens (Allemagne, Italie, Espagne) ont déjà atteint ce niveau de 10 GW sur un an."Dans la conjoncture actuelle, le retard de la France dans son développement de l'énergie solaire coûte cher", souligne le président d'Enerplan, Daniel Bour.Le parc solaire français avait fin 2021 une capacité de 13 GW, loin de la trajectoire qu'imposent les derniers objectifs fixés en 2020 (20 GW à fin 2023 et 35-44 GW en 2028).
Il y a 3 ans et 85 jours

CEE : « 2022 sera quasiment une année blanche pour les acteurs du marché secondaire », Florence Lievyn (Sonergia)

Alors même que le prix des certificats d'économies d'énergie atteint un point bas, les énergéticiens n'en achètent pas... Ce qui met en difficulté les entreprises qui gravitent dans le secteur de la rénovation énergétique et de son financement. Le point avec Florence Lievyn, responsable des affaires publiques chez Sonergia.
Il y a 3 ans et 85 jours

Les étrangers investissent de moins en moins dans l'immobilier en France

En France métropolitaine, la part des acquéreurs étrangers non-résidents continue de diminuer pour tomber à son niveau le plus bas depuis ces dix dernières années : 1,3% en 2020 (contre 1,7% en 2010). À titre d’exemple, 3,1% des achats en Provence/Côte-d’Azur/Corse étaient réalisés par des étrangers non-résidents en 2020, contre 3,8% en 2019.Dans les Alpes et en Île-de-France, les baisses annuelles sont équivalentes à celle enregistrée sur l’ensemble de la France, à -0,2 point, avec respectivement 1,6% et 0,7% des achats en 2020. Parmi les étrangers non-résidents acquéreurs de logements en France métropolitaine, les Britanniques restent les plus représentés en 2020 et totalisent 22% des achats. Cependant, une forte baisse a été enregistrée depuis le référendum sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’Union européenne en 2016.En 2020, les Belges n’ont jamais été aussi proches avec 20% des achats. Les Allemands, troisième nationalité la plus représentée, rassemblent quant à eux 9% des transactions intervenues en 2020, soit +1 point par rapport à 2019.La surface médiane des biens achetés par des étrangers non-résidents en province a très fortement augmenté sur dix ans : elle est passée de 77 à 95 m², soit près de 20 m² supplémentaires.Mais cette hausse est à rapprocher de l’évolution de la localisation des biens achetés. En effet, si en province, 48% des achats des étrangers non-résidents étaient effectués dans les « pôles urbains » en 2010, la proportion est descendue à 38% en 2019 et 36% en 2020.Entre 2019 et 2020, les prix médians des logements anciens achetés en France par des Français qui résident sur le territoire métropolitain ont connu des hausses plutôt homogènes : de +3% dans le Sud-Ouest à +7% sur le Littoral-Ouest. À l’inverse, celle des biens achetés par des étrangers non-résidents est très hétérogène : de +2% en Île-de-France et dans le Massif central à +30% dans le Centre-Ouest.Le profil des acquéreurs étrangers non-résidents en France métropolitaine est resté quasiment stable entre 2019 et 2020 : ils sont majoritairement âgés de 50 à 59 ans (32%), « cadres supérieurs » (33%) et conservent leurs biens au moins 15 ans (44%).
Il y a 3 ans et 85 jours

Huit nouvelles start-up intègrent le CSTB'Lab

Le CSTB'Lab annonce l'accueil de huit nouvelles start-up développant des solutions innovantes au service du bâtiment et de la ville, autant de réponses en devenir aux défis que sont notamment la massification de la rénovation et le bas carbone, la transition numérique et le bim ou encore, le recyclage de déchets de chantier.
Il y a 3 ans et 85 jours

De Kiev à Montpellier, un recrutement un peu particulier

A+ Architecture est une agence installée à Montpellier, Toulouse, Paris et Nîmes. Dès le mercredi 23 mars 2022, Viktoria, architecte ukrainienne de 22 ans, a rejoint l’effectif, l’agence démontrant que l’accueil d’une réfugiée est peut-être moins compliqué qu’il n’y paraît. Clément Rabourdin, architecte et associé de l’agence, s’est occupé de ce recrutement pas tout à […] L’article De Kiev à Montpellier, un recrutement un peu particulier est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 85 jours

Réfugiés : Emmanuelle Wargon mobilise les acteurs du logement

Alors que plus de trois millions de personnes ont désormais quitté l’Ukraine, Emmanuelle Wargon, ministre du Logement, a réuni le 11 mars 2022 les acteurs de l’hébergement et du logement pour coordonner et accueillir les réfugiés et déplacés. Le point. En coordination avec le ministère de l’Intérieur, qui s’occupe notamment de l’arrivée et de prévoir […] L’article Réfugiés : Emmanuelle Wargon mobilise les acteurs du logement est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 85 jours

Le Sénat prône une réduction de la dépendance de l'Europe aux énergies fossiles

Par cette résolution, le Sénat tient à faire valoir sa position sur ce dossier essentiel pour la transition écologique et la souveraineté énergétique de l’Union européenne, à un moment opportun pour qu’elle puisse être prise en compte par le gouvernement dans le cadre des négociations en cours au Conseil, mais aussi par le Parlement européen, dans un contexte où la guerre en Ukraine renforce l’urgence de diminuer la dépendance européenne aux énergies fossiles. Fruit d’un travail de concertation inédit et transpartisan, conduit par de nombreux rapporteurs, la position du Sénat est une voie d’équilibre par rapport aux propositions de la Commission européenne qui met l’accent sur l’acceptabilité sociale, économique et territoriale du « paquet 55 ». Pour Jean-François Rapin, président de la commission des affaires européennes : « c’est une démarche ambitieuse, mais réaliste, qui fait clairement ressortir l’enjeu de l’acceptabilité sociale de la transition climatique et du besoin d’accompagnement de celle-ci ».Il s’agit aussi de rappeler certaines exigences qui conditionnent la mise en œuvre et l’atteinte des objectifs climatiques de l’Union européenne. Sophie Primas, présidente de la commission des affaires économiques, a indiqué que l’Europe devait relever trois défis : l’indépendance énergétique, l’autonomie minière et la relocalisation industrielle, trois conditions indispensables pour que « la transition énergétique puisse être considérée non comme une contrainte juridique, mais comme une opportunité économique, à même de placer l’Europe aux avant-postes de la décarbonation, ce qui suppose une complète neutralité technologique, accordant toute sa place à l’énergie nucléaire et demandant davantage aux États membres dont le mix électrique est le moins décarboné ».La résolution marque aussi l’appui du Sénat à l’ambition européenne dans la lutte contre les effets du changement climatique, dans la continuité de l’Accord de Paris. Jean-François Longeot, président de la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable, a souhaité que « cette résolution soit à la hauteur de nos engagements climatiques. Nos rapporteurs ont donc été particulièrement vigilants au maintien de la cohérence climatique de la résolution : l’ambition de réduction des émissions de gaz à effet de serre d’au moins 55 % en 2030 par rapport à 1990 devait être maintenue en pratique – et non seulement en théorie – sur l’ensemble du texte ».Dans ce souci d’équilibre, le Sénat préconise de concilier ambition climatique et pragmatisme et, à ce titre, souligne dans sa résolution :le caractère particulièrement ambitieux des différents objectifs, en termes de trajectoire de décarbonation assignée à chaque État membre et de neutralité climatique des terres ;les risques liés à l’inclusion des secteurs du bâtiment et des transports routiers au mécanisme du marché carbone, d’où la proposition de garde-fous minimaux, tels un prix plafond sur ce nouveau marché, la limitation du dispositif aux professionnels et des moyens accrus pour accompagner les ménages les plus précaires ;l’importance du financement du Fonds social pour le climat pour atténuer les effets sociaux de la transition écologique, malgré des doutes sur sa capacité à répondre aux besoins d’accompagnement faute d’étude d’impact suffisante par la Commission européenne ;la contribution du mécanisme d’ajustement carbone aux frontières à l’effort de décarbonation malgré ses failles, le mécanisme risquant en l’état de provoquer une perte de compétitivité des entreprises exportatrices européennes ;les enjeux financiers et technologiques de cette transition, laquelle nécessite des investissements considérables à organiser dans une stratégie globale impliquant la création de nouvelles ressources propres ;la nécessité de garantir la compétence des États membres dans la définition de leur bouquet énergétique et dans leurs choix technologiques, le principe de neutralité technologique devant notamment bénéficier à l’énergie nucléaire, à l’hydrogène, nucléaire comme renouvelable, à l’ensemble des solutions décarbonées et au développement des biocarburants, du biogaz et du bois-énergie ;la nécessité de maîtriser les coûts induits par le paquet pour les ménages, les entreprises et les collectivités territoriales, dans l’approvisionnement en combustibles ou en carburants et l’application des normes de performance énergétique aux bâtiments ;la nécessité d’entreprendre une réforme d’ensemble du marché européen de l’électricité dans un contexte de flambée sans précédent des prix des énergies.Enfin, le Sénat estime que le paquet « Ajustement à l’objectif 55 » doit constituer le pilier de la diplomatie climatique de l’Union européenne : l’exemplarité du continent européen doit lui permettre de jouer un rôle d’entraînement à l’échelle mondiale.
Il y a 3 ans et 85 jours

L’alliance des pompes à chaleur géothermiques et de la géothermie de surface contre le gaz russe

Dans le bâtiment, le gaz assure surtout le chauffage et la production d’ECS. Deux usages que l’association géothermie et pompes à chaleur peut parfaitement couvrir, avec le rafraîchissement en plus.
Il y a 3 ans et 85 jours

A Petra, savoir-faire Nabatéen, enjeu mondial de l’humanité ?

Trente ans plus tard, en mars 2022, j’ai redécouvert Petra, en Jordanie. Ce nouveau voyage avait pour but d’étudier la préservation d’un site classé patrimoine mondial par l’UNESCO : comment protéger une grande destination touristique et pour l’industrie hôtelière s’orienter vers un tourisme plus durable ? Carnet de dessins de Jean-Pierre Heim. Le Covid 19 a été […] L’article A Petra, savoir-faire Nabatéen, enjeu mondial de l’humanité ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 85 jours

Un projet de nouveau pont sur la Saône annulé par la justice

Le tribunal administratif de Lyon a annulé le 10 mars les arrêtés préfectoraux autorisant la construction sur la Saône d'un nouveau pont, afin de privilégier la rénovation de l'ancien.
Il y a 3 ans et 85 jours

Le Damier enrichit la gamme de revêtements acoustique Tempo

Caractéristiques techniquesLes produits acoustiques TEMPO sur base « LE » DAMIER sont classés au feu Bs2d0 et ont un coefficient d’absorption acoustique αw = 1.Les revêtements Tempo disponiblesL’ensemble des coloris des revêtements “LA” Toile, “LA” Maille 3D et “LE” Damier sont disponibles pour habiller les produits d’absorption acoustique TEMPO.De nouveaux revêtements seront très prochainement disponibles.Demandez votre nuancier textileDigitex fait appel à un ESAT (Établissement ou Service d’aide par le Travail) près de leurs locaux pour la confection de leurs nuanciers textiles.Ce sont des personnes en situation de handicap qui les confectionnent et Digitex est très fier du travail qu’ils fournissent au quotidien pour less approvisionner chaque semaine.Cela demande beaucoup de précision et de concentration pour distinguer l’ensemble des coloris de la gamme de revêtement textile de l'entreprise et Digitex tient à souligner la qualité de leur travail.
Il y a 3 ans et 85 jours

Sur MID Matériels, venez relever le défi du carbone !

La transition énergétique des machines et véhicules du BTP seront au cœur de la première journée de MID Matériels. Rendez-vous est donné le 12 avril prochain pour la 2e édition de cet événement digital incontournable qui fédère les acteurs du marché des équipements de construction autour des grands enjeux du secteur.
Il y a 3 ans et 85 jours

Lina Ghotmeh, en conférence au Pavillon de l'Arsenal

Dans le cadre du cycle "1 architecte, 1 bâtiment", l'architecte Lina Ghotmeh donnera une conférence ce mercredi 23 mars 2022, au Pavillon de l'Arsenal à Paris et en direct sur les réseaux sociaux, à propos de l'immeuble "Stone garden", érigé sur le port de Beyrouth (Liban). Situé en pleine zone portuaire, […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 85 jours

Lazard Frères lance sa branche de conseils en immobilier

Cette structure, baptisée Lazard Immobilier, sera codirigée par Vincent Thillaud, qui travaille depuis plus de 15 ans pour la banque, et Gilles Betthaeuser, venu de Colliers international France, société de conseil immobilier d'entreprise.Lazard Immobilier "aura pour mission d'accompagner la définition et la mise en oeuvre de la stratégie immobilière de ses clients, institutionnels, professionnels ou utilisateurs", détaille le communiqué, qui vante "l'expertise de Lazard en conseil en fusions-acquisitions, marché de capitaux et financement" et son "expertise pointue" en "montages d'opérations et transactions immobilières complexes".La banque était "déjà présente dans le secteur immobilier par le biais de notre activité de fusions et acquisition", a expliqué à l'AFP une porte-parole de Lazard. Mais "nous avons décidé de nous renforcer avec une équipe experte", afin "d'élargir notre offre de conseils", a-t-elle fait valoir.Car "dans un secteur immobilier en pleine mutation, nos clients sont demandeurs d'une réflexion globale et d'un accompagnement personnalisé dans la gestion de leurs problématiques immobilières", a souligné Jean-Louis Girodolle, directeur général de Lazard Frères en France."La création de Lazard Immobilier va nous permettre de leur offrir une gamme complète et intégrée de conseils immobiliers et financiers, quels que soient leurs besoins et leurs stratégies", a-t-il ajouté.
Il y a 3 ans et 85 jours

Vinci : concession étendue pour une autoroute en Grèce

Olympia Odos, filiale à 29,9 % de Vinci Concessions, concessionnaire de l’autoroute reliant Athènes à Corinthe et Patras, mise en service en 2017, a signé avec les autorités grecques une extension de la concession. Celle-ci porte sur le prolongement de l’autoroute sur une distance de 75 km jusqu’à la ville de Pyrgos, située à l’Ouest de la péninsule du Péloponnèse. Elle représente un investissement de 331 millions d’euros.
Il y a 3 ans et 85 jours

Comment Otis contribue à la transformation urbaine ?

Présent au MIPIM, Otis Worldwide Corp. (NYSE:OTIS), le leader mondial en matière de fabrication, d’installation et de maintenance d’ascenseurs et d’escalators, a présenté trois études de cas qui illustrent sa contribution aux enjeux de la ville de demain :En tirant parti de l’internet des objets (IoT), Otis répond aux besoins de connectivité des villes intelligentes. Grâce à Otis ONE™, son offre de solutions IoT, Otis rend la maintenance prédictive possible pour tous les ascenseurs. L’exploitation permanente des données permet de réduire les arrêts non planifiés et d’optimiser les performances des ascenseurs sur le long terme, pour une expérience passager améliorée.La durabilité est intégrée par Otis dès la conception des équipements. Ainsi pour le nouvel écosystème digital Gen360™ : sa conception éco-efficiente et son architecture électronique lui permettent de s’adapter à l’évolution des besoins et des usages, tout en offrant une excellente performante énergétique. Ces ascenseurs équiperont le Centre Aquatique et le Village des Athlètes à Paris, des infrastructures qui ont vocation à s’intégrer dans de nouveaux quartiers urbains après l’été 2024.Dans des environnements urbains toujours plus denses, Otis apporte des solutions de mobilité essentielles pour des villes plus inclusives. Ainsi à Karlsruhe en Allemagne, l’extension du tramway s’accompagne de l’installation de 58 escalators qui rendront accessible les nouvelles infrastructures.Pour Bernardo Calleja, président d’Otis pour la région EMEA : « L’innovation est dans l’ADN d’Otis et nous contribuons depuis plus de 165 ans à façonner les espaces urbains. Les développements des villes intelligentes fait naître de nouvelles opportunités et de nouveaux défis sociaux, environnementaux et technologiques auxquels nous sommes fiers d’apporter des solutions. En tant qu’expert de la mobilité verticale, nous sommes là pour accompagner tous les bâtiments, qu’ils soient neufs ou existants, dans leur transition vers la smart city. »Dans la ville intelligente, la connectivité est au service d'une mobilité plus performante La technologie peut être un atout majeur lorsqu’il s’agit d’augmenter les performances. Lancée en 2020, la solution Otis ONE™ est le résultat de près de 40 ans d’innovation. Grâce à des capteurs, Otis ONE™ connecte directement les ascenseurs au cloud et analyse en continu les données collectées afin d’anticiper les pannes et optimiser la maintenance. Poussé par la volonté d’offrir la meilleure qualité de service au quotidien, Otis a conduit une opération de digitalisation sur l’ensemble du parc d’ascenseurs de Vilogia, depuis 2021. Vilogia est un acteur français dans l’immobilier social qui gère environ 75.000 logements pour plus de 150.000 locataires. À ce jour, plus de 1.000 ascenseurs sur le parc Vilogia profitent des améliorations apportées par Otis ONE™. En anticipant et en améliorant les interventions, tant en termes de temps que d’efficacité, les ascenseurs du parc équipés de la technologie Otis ONE™ ont enregistré sur les 12 derniers mois jusqu’à 35 % de pannes en moins que des ascenseurs similaires non connectés. Des équipements et des bâtiments capables d'évoluer avec les transformations urbainesAprès 2024, le Centre Aquatique de Saint-Denis et le Village des Athlètes de Saint-Ouen (actuellement en constructions) ont vocation à s’intégrer au sein de nouveaux quartiers urbains durables. Les nombreuses innovations apportées par l’écosystème digital Gen360™ ont su répondre aux enjeux de ces projets, tout en embarquant des technologies connectées au service d’une expérience passager améliorée. Au Village des athlètes (lot E), 38 ascenseurs Gen360TM permettront d’adapter l’offre de mobilité aux nouveaux usages et flux lors de sa transformation en un quartier résidentiel mixte offrant logements, commerces, bureaux et services. Au Centre Aquatique, Otis installera 5 ascenseurs, dont un Gen360™ qui permettra d’accéder au niveau supérieur du centre. Grâce à sa conception exclusive qui élimine les édicules en toiture, l’écosystème Gen360™ apporte une solution de mobilité qui respecte les lignes architecturales du bâtiment.Accompagner les enjeux de déplacement urbain dans les villes toujours plus denses : le "projet du siècle" à Karlsruhe (Allemagne) Face à la croissance de leurs populations, les villes doivent gérer des enjeux de trafic toujours plus importants. Gérer les flux tout en veillant à ce que la ville reste accessible est l’un des plus grands défis à relever. Dans la ville de Karlsruhe, ce sont les habitants qui ont voté en faveur de l’extension du réseau de tramway en 2002. Un milliard d’euros a été investi pour libérer le centre-ville des embouteillages et concevoir de nouvelles zones piétonnes. Le projet reposait pour une large part sur la création d’un réseau sous-terrain de tunnels et de sept nouvelles stations de tramway, inaugurées en décembre 2021. Le « projet du siècle », comme l’appellent les habitants de Karlsruhe, nécessitait pour une accessibilité optimale des nouvelles infrastructures des solutions de mobilité adaptées aux forts trafics. Otis a fourni et installé 58 escalators conçus spécifiquement pour supporter des flux intenses en intérieur comme en extérieur, afin d’accompagner les déplacements de tous les usagers.
Il y a 3 ans et 85 jours

A Bordeaux, signé COSA, registre monumental pour Amédée

Dans le quartier Amédée Saint-Germain de Bordeaux (Gironde), l’agence parisienne COSA (Benjamin Colboc et Arnaud Sachet) construit un îlot de 214 logements (174 locatifs sociaux, 40 en accession sociale) avec parking en superstructure de 193 places et aménagement d’un jardin central. Livraison 2023. Communiqué. Le quartier Amédée Saint-Germain se construit sur les franges du domaine […] L’article A Bordeaux, signé COSA, registre monumental pour Amédée est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 86 jours

Point.P soigne son empreinte carbone logistique

DÉCARBONATION. Point.P annonce avoir commandé deux camions "hydrogène SuperGreen". Avec cette solution, l'enseigne poursuit la réduction de l'empreinte carbone de son outil logistique.
Il y a 3 ans et 86 jours

Délais de paiement : entre deux crises, le Médiateur des entreprises reste très sollicité

ÉCONOMIE. À l'occasion de leur 12e anniversaire, les services de la médiation des entreprises - rattachés à Bercy - dressent un bilan de leur action à destination des professionnels. Après avoir enregistré une explosion des saisines pendant la crise du Covid, le Médiateur reste sur ses gardes dans le contexte de la guerre en Ukraine et des répercussions sur l'économie française, et notamment sur les entreprises du bâtiment.
Il y a 3 ans et 86 jours

Plus de 24.000 Jeunes Talents Bâtisseurs recrutés dans les quartiers

L’opération « 15.000 Jeunes Talents Bâtisseurs » a permis de renforcer les partenariats nationaux et locaux avec les acteurs de l’emploi et de l’insertion (Pôle emploi, l’Union nationale des missions locales, le réseau des écoles de la deuxième chance en France, l’EPIDE ainsi que l’ANRU, Habitat et Humanisme, l’Outil en main, …).Pour réussir cette initiative, le ministère du Travail, le ministère du Logement et le ministère de la Ville, en lien avec les services de l’État, les Conseils Régionaux et les Conseils Départementaux ont mobilisé les acteurs du service public de l’emploi ainsi que les réseaux associatifs. Ils ont ainsi identifié les jeunes et demandeurs d’emplois désireux d’intégrer le secteur du bâtiment, actuellement en forte demande de main d’œuvre.La FFB a quant à elle renforcé ses actions d’information sur les métiers du bâtiment, mobilisé les dispositifs de la profession, notamment en matière de formation et d’insertion.Pour Emmanuelle Wargon, Ministre chargée du Logement : « Le bâtiment est un secteur d’avenir, qui recrute pour répondre aux défis actuels : rénover les bâtiments, construire de nouveaux logements, transformer la ville pour la rendre plus agréable à vivre, plus pratique et plus belle. Je félicite la fédération française du bâtiment pour son action vers les jeunes des quartiers de la politique de la ville. »Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « Nous sommes fiers d’avoir contribué à faciliter, dans le cadre de cette opération exemplaire, le recrutement de plus de 24.000 Jeunes Talents Bâtisseurs au sein des entreprises adhérentes de la FFB. Avoir de l’ambition pour l’emploi, c’est agir sur l’attractivité du secteur en communiquant sur les possibilités d’embauche et de carrières. L’engagement de la Fédération est le signe de la volonté des artisans et entrepreneurs d’aller vers les jeunes des quartiers et de leur proposer des parcours vers l’emploi ».
Il y a 3 ans et 86 jours

Barbara Pompili facilite le raccordement des énergies renouvelables, des pompes à chaleur et des bornes de recharge

De même, les coûts de raccordement des pompes à chaleur et des bornes de recharge chez les particuliers et les petits professionnels seront pris en charge à hauteur de 80%.Pour Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique : « Le coût du raccordement aux réseaux peut être un frein au déploiement de certains petits projets de production d’électricité renouvelable ainsi qu’à l’installation de pompes à chaleur, dont le développement est pourtant un enjeu essentiel de notre politique énergétique. Diminuer les coûts de raccordement va permettre d’accélérer leurs installations, notamment dans les zones rurales. C’est une avancée concrète pour faire avancer la transition énergétique du pays. » La loi climat et résilience permet d’augmenter la prise en charge par le tarif d’utilisation des réseaux publics d’électricité (TURPE) des coûts de raccordement des installations de production d’électricité renouvelable d’une puissance inférieure à 500 kilowatts. Un arrêté, qui sera publié dans les prochains jours, porte ainsi à 60 % cette prise en charge au lieu de 40 % pour les installations de production d’électricité renouvelable dont la puissance est inférieure à 500 kilowatts. Elle reste dégressive pour les puissances supérieures. Ensuite, les coûts de raccordement seront réduits pour l’équipement d’une borne de recharge électrique et pour l’installation d’une pompe à chaleur. Un projet de décret d’application de la loi Climat et résilience en cours de consultation sera ainsi soumis au prochain Conseil supérieur de l’énergie pour une publication dans les prochains jours afin de porter à 80% la prise en charge de ces coûts de raccordement. La réduction de la dépendance aux énergies fossiles, le développement des énergies renouvelables électriques et le déploiement des pompes à chaleur et des véhicules électriques sont des piliers de la feuille de route énergétique et climatique du gouvernement. Le plan de résilience présentée par le Premier ministre le 16 mars 2022 a été conçu dans cette perspective et la prise en charge bonifiée des coûts de raccordement permettra d’accélérer les déploiements de solutions vertueuses.
Il y a 3 ans et 86 jours

Augmentation de l’aide MaPrimeRénov’ pour les pompes à chaleur et chaudières biomasse : une mesure en trompe l’œil

Si l’augmentation de 1.000 €, à partir du 15 avril prochain et jusqu’à la fin de l’année 2022, de l’aide MaPrimeRénov’ pour l’installation d’un système de chauffage renouvelable de type pompes à chaleur (y compris hybrides) ou chaudières biomasse est une mesure qui facialement est positive, la CAPEB considère, sauf évolution, que cette aide supplémentaire est en trompe-l’œil vis-à-vis du reste à charge pour les ménages les plus modestes.En effet, cette mesure, aussi bénéfique soit-elle, intervient dans un contexte où le dispositif des Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) est fortement impacté par un effet déflationniste en ce début de 5ème Période, dissuadant bon nombre d’obligés à porter à partir du 1er avril prochain les opérations Coup de Pouce Chauffage qui permettent de bonifier les travaux de remplacement d’une ancienne chaudière individuelle au charbon, au fioul ou au gaz par des systèmes fonctionnant aux énergies renouvelables (biomasse, solaire, thermodynamique). A ce jour, aucun des grands obligés, à l’exception d’EDF, n’a décidé de porter l’offre Coup de Pouce Chauffage.Or, si l’aide Coup de Pouce Chauffage n’est pas mobilisable pour l’installation d’une pompe à chaleur à 12.000 €, le reste à charge pour les ménages les plus modestes s’élèvera, à compter du 1er avril prochain, à 7.000 € en intégrant l’augmentation de 1.000 €, et non 4.000 € comme aujourd’hui, ce qui inévitablement conduira les particuliers à se détourner de ce type de travaux.Aussi et afin que l’aide supplémentaire décidée par le Gouvernement soit efficace, la CAPEB considère que des mesures urgentes doivent être prises pour que les offres Coup de Pouce CEE restent attractives au vu du cours actuel des CEE sur le marché, pour pouvoir être portées par les acteurs du dispositif des CEE. Sans quoi, le secteur sera confronté à un arrêt brutal des travaux d’amélioration de la performance énergétique des logements. Avec à la clef un désintérêt des entreprises artisanales du bâtiment des dispositifs d’incitation.En ce qui concerne le report de la suppression de l’aide MaPrimeRénov’ au 1er janvier 2023 pour l’installation de nouvelles chaudières au gaz, la CAPEB s’étonne qu’une telle mesure n’ait pas été concertée avec les acteurs de la filière concernée.La CAPEB rappelle, une nouvelle fois, qu’il est primordial de renforcer la visibilité des aides CEE et de MaPrimeRénov’, ce qui ne peut se faire qu’en assurant une meilleure stabilité de ces deux dispositifs essentiels.
Il y a 3 ans et 86 jours

Le gouvernement facilite le développement de la production de biométhane

Le 15 mars, le Gouvernement a annoncé dans un communiqué que la prise en charge des coûts de raccordement aux réseaux de gaz naturel va être relevée de 40% à 60 %.
Il y a 3 ans et 86 jours

Pinel+ : le mieux est l'ennemi du bien

Celui-ci précise les critères de qualité d’usage (surfaces minimales et espaces privatifs extérieurs par typologie de logement, ainsi que double exposition à partir des T3) et les critères environnementaux, qui anticipent les exigences du jalon 2025 de la RE2020 et qui s’appliqueront tant aux programmes à venir qu’aux opérations en cours ou en phase d’achèvement.Le Pôle Habitat FFB déplore que les crises multiples et successives frappant le secteur du logement neuf n’aient pas conduit le Gouvernement à reconsidérer le bien-fondé d’un durcissement aussi important de ce dispositif central pour la mise sur le marché de logements locatifs privés à loyers maîtrisés.Pour Grégory Monod, Président du Pôle Habitat FFB : « à l’heure où les surcoûts de tous ordres mettent toute la filière et le pouvoir d’achat des ménages en tension, où l’offre de logements abordables en zones tendues fait défaut, cette publication suscite incompréhension et inquiétude. Elle paraît totalement anachronique au moment où le Gouvernement se mobilise à travers le Plan de résilience pour soutenir l’activité du secteur et l’emploi. Ces décisions malheureuses n’auront d’autre conséquence que d’enfoncer encore davantage le logement collectif neuf dans la crise. »
Il y a 3 ans et 86 jours

Le Pôle habitat de la FFB acueille froidement le dispositif Pinel+

RÉACTION. Le Pôle habitat de la Fédération française du bâtiment (FFB) réserve un accueil très froid au nouveau dispositif Pinel+, qui permettra de disposer de l'aide à taux plein en 2023 et 2024.
Il y a 3 ans et 86 jours

Colas Rail retourne sous le tunnel sous la Manche

CONTRAT. Eurotunnel a attribué deux contrats de maintenance des voies ferrées des deux tunnels reliant la France et le Royaume-Uni à Colas Rail. Un terrain que la filiale ferroviaire du groupe Colas connaît bien.
Il y a 3 ans et 86 jours

L’activité des matériaux tient bon en ce début d'année 2022, mais de nouvelles incertitudes menacent

La crise sanitaire à l’échelle mondiale a occasionné de nombreuses tensions productives (pénuries d’approvisionnement, difficultés de recrutement, hausse des coûts de production...) qui, avec le récent déclenchement de la guerre en Ukraine, ne devraient pas s’atténuer ces prochains mois, comme on le supposait initialement. En effet, compte tenu du contexte géopolitique actuel, un choc d’offre énergétique (comparable au choc pétrolier du début des années 70) n’est pas exclu... avec les conséquences que l’on connaît sur l’inflation et la croissance. Pour l’heure, côté construction, les derniers indicateurs suggèrent ne bonne tenue de l’activité en ce début d’année 2022, même si dans le secteur du bâtiment, le marché de la maison individuelle a perdu de sa vigueur. A l’inverse, l’activité tend plutôt à s’améliorer du côté des travaux publics bien que les carnets de la commande publique tardent encore à se regarnir.Un mois de janvier plutôt dynamiqueSelon les premières estimations disponibles, l’activité des matériaux se serait redressée au mois de janvier après une fin d’année plutôt ralentie. Ainsi, la production de granulats aurait rebondi de +6,7% par rapport à décembre (CVS-CJO) se situant +0,8% au-dessus du niveau de janvier 2021. Au cours des trois derniers mois, l’activité granulats s’inscrit en hausse de +2,1% au regard du trimestre précédent mais demeure en retrait de -2,3% comparé à la même période d’il y a un an. En cumul sur douze mois, la production de granulats progresse ainsi de +9,3% laissant les volumes -1,6% en dessous de ceux enregistrés avant le début de la crise sanitaire. Côté BPE, les livraisons se sont également sensiblement raffermies en janvier, affichant une hausse de +8,5% sur décembre et de +2% en comparaison de janvier 2021 (CVS-CJO).Sur le trimestre novembre-janvier, l’activité BPE a gagné +2,4% par rapport aux trois mois d’août à octobre mais elle est encore inférieure de -1,8% à la même période un an plus tôt. En cumul sur douze mois, la production de BPE enregistre une hausse de +10,4% sur un an, ce qui ramène les cubages à leur niveau de 2019 (-0,2%). Après avoir progressé de +8,9% en 2021 (soit +1,3% par rapport 2019), l’indicateur d’activité de notre panier de matériaux a également connu une hausse au mois de janvier 2022 (+2,5% sur un an en données provisoires, CJO), marquant ainsi un rebond après le repli enregistré au quatrième trimestre (-1,1% sur un an).Climat au beau fixe dans le bâtiment mais...L’inflexion du moral des chefs d’entreprise du bâtiment, constatée en janvier dans l’enquête de l’INSEE, ne s’est pas poursuivie en février, le climat des affaires s’améliorant même légèrement le mois dernier. Plus positifs sur leur activité passée et future, les entrepreneurs sont également plus nombreux qu’en janvier à juger que le niveau de leurs carnets de commandes est supérieur à la normale. Compte tenu de leurs effectifs actuels, qui ont progressé au cours des derniers mois, les entreprises du gros œuvre estiment que leurs carnets assurent encore 9,7 mois de travaux (contre 6,3 mois en moyenne sur longue période) et 61,5% d’entre elles déclarent être dans l’incapacité de produire plus, soit un niveau historiquement élevé et près de deux fois supérieur à une situation moyenne constatée sur le passé (33,5%). Face à la hausse des coûts de production et aux difficultés de recrutement ou d’approvisionnement qui perdurent, davantage de professionnels du bâtiment prévoient d’augmenter leurs prixselon l’enquête. Par ailleurs, tous les index de la profession qui mesurent ces coûts et servent à actualiser ou réviser les prix des marchés (BT pour le bâtiment, TP pour les travaux publics ou encore GRA pour les granulats) affichaient des hausses sensibles en novembre 2021, dernière valeur disponible : sur un an, l’indice BT01 grimpait de +4,5% tandis que l’indice TP01 et l’indice GRA se hissaient déjà à +8,5% et +9% respectivement. Et ces progressions sont appelées à s’accélérer avec l’arrivée du conflit russo-ukrainien qui menace plus encore l’équilibre des approvisionnements énergétiques en Europe.Côté construction, les dernières données publiées par le ministère de la Transition écologique témoignent d’une poursuite de la reprise des mises en chantier et des permis au mois de janvier. Porté par la dynamique du logement individuel, le nombre de logements commencés (389 400 unités, de février 2021 à janvier 2022) dépasse de +1,6% ses niveaux d’avant crise. Quant aux permis, ils gagnent +2,7% avec 471 000 autorisations délivrées. Toutefois, la vigueur du marché de la maison individuelle pourrait s’émousser si l’on en croît le dernier bulletin publié par Markemétron. En effet, les ventes des CMistes* auraient marqué le pas en janvier (-26,8% sur un an) en dépit de conditions de crédits qui sont restées attractives. Les premières remontées sur février confirmeraient ce retournement de tendance et les professionnels du secteur pointent du doigt l’effet direct des évolutions institutionnelles (entrée en vigueur de la RE2020, lutte contre l’artificialisation des sols...). Si l’appétit des ménages pour l’accession à la propriété reste intact, les tensions inflationnistes et la montée des incertitudes en ce début 2022 pourraient compromettre un peu plus leurs velléités à investir. La dernière enquête de l’INSEE menée auprès des promoteurs montre en effet que les prix du neuf ont sensiblement monté en 2021, de +13,1% pour les maisons individuelles et de +4,7% pour les appartements. Le rebond de l’offre immobilière (+21% sur un an) n’a pas suffi à enrayer le repli des stocks de logements (-2,3%) face à des ventes en redressement (+15%) bien qu’encore inférieures de -11% à leur niveau d’avant crise !Un peu mieux dans les travaux publicsDu côté des travaux publics et selon l’enquête de la FNTP, le début de l’année s’ouvre sur un léger rebond du volume des travaux réalisés (+3,4% sur un an, CVS-CJO), ce qui rompt avec la tendance baissière des mois précédents. De même, les prises de commandes se redressent en janvier et renouent avec leur niveau du début de 2021. Toutefois, sur douze mois glissants, les carnets reculent encore de -7,2%, l’enchaînement des périodes électorales et de la crise sanitaire depuis mars 2020 ayant « plombé » la commande publique, selon les professionnels des TP. Pourtant les trésoreries des collectivités locales ne se sont jamais aussi bien portées. En hausse de +12,6% entre 2020 et 2021 (dont +8,6% pour les communes et +23,2% pour les départements), les dépôts des collectivités au Trésor culminent à 76 Milliards d’euros, soit deux fois plus qu’en 2010. Ce contexte apparaît plutôt porteur pour soutenir les investissements et la mise en œuvre du plan de Relance en 2022... si toutefois la montée des incertitudes et le regain d’inflation liés au conflit russo-ukrainien ne viennent pas rogner la dynamique des projets.
Il y a 3 ans et 86 jours

Les modifications apportées à MaPrimeRénov' ne font pas que des heureux

RÉACTION. Le gouvernement vient d'annoncer une hausse de 1.000 euros dans MaPrimeRénov' pour l'installation d'appareils de chauffage à énergie renouvelable. Le syndicat français des chaudiéristes biomasse (SFCB) considère ce geste comme "hors sujet" par rapport aux difficultés auxquelles est confrontée la filière. Et elle n'est pas la seule organisation à critiquer ces décisions.
Il y a 3 ans et 86 jours

Sika affiche un chiffre d'affaires record pour 2021 avec une croissance de 17,1%

Malgré la persistance de la pandémie de COVID-19 et les goulets d'étranglement dans l'approvisionnement en matières premières, le chiffre d'affaires a augmenté de manière significative pour atteindre le chiffre record de 9,24 milliards CHF, ce qui correspond à une croissance de 17,1% en monnaies locales.L'effet de change s'est élevé à 0,2%. L'effet d'acquisition a été de 2,0 % et la croissance organique s'est élevée à 15,1 %. Par rapport à la même période en 2019, le gain organique a été de 11,9%.Pour Thomas Hasler, Président-Directeur Général : "On s'attendait à ce que 2021 soit une année difficile et elle s'est avérée très réussie pour Sika. Nous bénéficions d'un certain nombre de plateformes de croissance et sommes dans une position idéale pour parvenir à un succès à long terme. Grâce à nos technologies innovantes, nous sommes le partenaire de choix de nombreux clients dans les secteurs de la construction et de l'industrie. Nous disposons de solutions pour toutes les étapes de développement des marchés de la construction, et les programmes d'investissement soutenus par les gouvernements, qui se chiffrent en milliards, donneront un nouvel élan à nos activités. En outre, nous utilisons de manière ciblée les mégatendances qui animent nos marchés clés. La demande de solutions durables est énorme. Nos produits et services permettent à nos clients d'atteindre leurs objectifs ambitieux en matière de développement durable."Mise à jour relative à l'acquisition de MBCCEn novembre 2021, Sika a signé un accord ferme pour acquérir MBCC Group (ex BASF Construction Chemicals). Avec un chiffre d'affaires de 2,9 milliards de francs suisses, MBCC Group est l'un des principaux fournisseurs de produits chimiques de construction dans le monde. Cette acquisition permettra de compléter et d'élargir l'offre de produits et de solutions de Sika dans quatre des cinq technologies de base et sept des huit marchés cibles de Sika, tout en renforçant l’implantation géographique de la société. Cette transaction donnera naissance à un acteur majeur favorisant un plus fort engagement dans le développement durable.Le marché des produits et solutions chimiques de construction devrait atteindre environ 80 milliards de francs suisses d'ici 2023 et, étant fortement fragmenté, il continuera d'offrir des opportunités de croissance substantielles même après l'acquisition de MBCC par Sika. MBCC réalise environ 53% de ses ventes dans le secteur des systèmes de construction et les 47% restants dans le segment des adjuvants pour béton. L'acquisition est soumise à l'approbation des autorités réglementaires. Sika est convaincu que toutes les approbations requises seront obtenues en temps voulu et travaillera en étroite collaboration avec les autorités. La clôture de l'acquisition est prévue pour le deuxième semestre de 2022.Gains de parts de marché dans toutes les régions en 2021Dans un environnement caractérisé par un certain nombre de confinements temporaires, Sika a connu une croissance plus forte que le marché dans toutes les régions en 2021. Les activités de distribution ont également enregistré des gains significatifs dans toutes les régions.La région EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique) a enregistré une augmentation des ventes en monnaies locales de 16,1 % (année précédente : 4,4 %). Comme en 2020, la croissance des activités de distribution et de réparation a dépassé celle des autres secteurs d'activité. Presque tous les pays de la région ont atteint des taux de croissance à deux chiffres. Les pays du Moyen-Orient, ainsi que l'Europe de l'Est, y compris la Russie, le Royaume-Uni, et les pays d'Afrique ont bénéficié d'un regain de croissance. En général, les achats de solutions de produits Sika via des plateformes de commerce électronique ont connu une augmentation supérieure à la moyenne.Au cours de la période considérée, Sika a fait l'acquisition de Kreps LLC, un fabricant leader de produits de mortier en Russie, élargissant ainsi davantage son portefeuille de produits existants et sa présence géographique.La région Amériques a enregistré une croissance en monnaies locales de 21,0% (année précédente : 1,0%). Aux États-Unis, Sika a pris un élan considérable. La croissance a été tirée principalement par des projets de rénovation à grande échelle et des nouveaux projets de construction dans le domaine de la distribution et des centres de bases de données. De forts taux de croissance ont été atteints en particulier au Mexique, en Colombie, au Brésil, au Pérou et au Chili. Dans la région Amériques, l'orientation stratégique des activités commerciales sur les grandes villes et les zones métropolitaines a de nouveau porté ses fruits, tout comme la concentration sur les grands projets d'infrastructure et la réalisation ciblée du potentiel de vente croisée.Au cours de la période sous revue, Sika a fait l'acquisition de DriTac, une société américaine occupant une position forte sur le marché du collage de parquets. En outre, un fabricant de produits de mortier au Brésil a été intégré au groupe Sika sous le nom de BR Massa. Grâce à cette acquisition, Sika a amélioré sa position dans l'une des principales régions économiques du Brésil, tout en augmentant sa capacité de production.En juillet, la société a acquis American Hydrotech Inc. aux Etats-Unis et sa filiale canadienne Hydrotech Membrane Corporation. Hydrotech est un fabricant établi de membranes liquides et offre des solutions complètes pour la toiture et l'étanchéité. Elle est le leader incontesté du marché nord-américain dans le segment en pleine expansion des systèmes de toitures vertes.De plus, Sika a acquis l'entreprise familiale Bexel Internacional S.A. de C.V., un important fabricant de colles à carrelage et de stucs au Mexique. Grâce à cette acquisition, Sika renforce sa position sur le marché mexicain des produits de mortier, qui connaît une croissance rapide, et augmente considérablement sa capacité de production avec cinq installations de production stratégiquement situées.Le chiffre d'affaires en monnaies locales dans la région Asie/Pacifique a augmenté de 19,4 % (année précédente : 12,6 %). L'année dernière, la Chine en particulier a profité de la forte dynamique de croissance en cours avec des taux de croissance organique à deux chiffres et a développé avec succès ses activités d'infrastructure et de distribution. L'Inde a continué à connaître un développement dynamique, tandis que les pays d'Asie du Sud-Est se sont lentement remis des importants confinements du dernier trimestre de l'année. Au Japon, la tendance reste difficile. L'activité d'investissement sur le marché de la construction du pays est toujours modérée.Au cours de la période considérée, Sika a acquis Hamatite, la division des adhésifs de Yokohama Rubber Co., Ltd. Hamatite est un leader du marché au Japon, offrant des adhésifs et des mastics pour les industries de l'automobile et de la construction. Cette acquisition améliore considérablement la position de Sika sur le marché japonais, lui donnant un accès plus complet à tous les grands constructeurs automobiles japonais et une gamme plus large de mastics et d'adhésifs pour le secteur de la construction japonais.En Chine, Sika a acquis Shenzhen Landun Holding Co. Ltd, un fabricant d'une gamme complète de produits et de technologies d'étanchéité. La société exploite deux installations de production à la fine pointe de la technologie qui fabriquent une gamme complète de membranes et de revêtements pour diverses applications d'étanchéité, fournissant principalement des projets d'infrastructure et les projets commerciaux.Dans le segment Global Business, Sika a enregistré une croissance en monnaies locales de 4,3 % (année précédente : -11,4 %). Au cours de l'exercice écoulé, l'industrie automobile a connu d'importants goulets d'étranglement dans la chaîne d'approvisionnement des composants électroniques. Alors que les prévisions du début de l'année annonçaient une forte reprise du volume de véhicules neufs construits par rapport à l'année précédente, il y a eu en fait une forte baisse au second semestre en raison du manque de disponibilité des semi-conducteurs.Néanmoins, Sika prévoit que les mégatendances de la production automobile moderne, à savoir l'électromobilité et la construction légère, continueront à stimuler la croissance. En particulier, la transition des systèmes de transport traditionnels vers l'électromobilité s'est accélérée pendant la pandémie et bénéficie de divers programmes de soutien gouvernementaux dans un certain nombre de pays.PerspectivesSika confirme ses objectifs stratégiques pour 2023. L'entreprise reste axée sur le succès à long terme et la croissance rentable. En se concentrant sur les six piliers stratégiques - pénétration du marché, innovation, efficacité opérationnelle, acquisitions, valeurs d'entreprise fortes et durabilité - Sika cherche à croître de 6 à 8 % par an en monnaies locales jusqu'en 2023. À partir de 2021, l'entreprise vise une marge EBIT plus élevée de 15 à 18 %. Des projets dans les domaines des opérations, de la logistique, de l'approvisionnement et de la formulation des produits devraient permettre une amélioration annuelle des coûts d'exploitation équivalente à 0,5 % du Chiffre d’affaires.Pour l'année fiscale 2021, Sika prévoit une augmentation sur-proportionnelle de l'EBIT et une marge EBIT de 15%.
Il y a 3 ans et 86 jours

Quand le béton vient en aide à la vie sous-marine

Un récif articifiel, fabriqué en béton à partir d'un procédé d'impression 3D par la société XtreeE, a été immergé en octobre 2021 dans la baie de Monaco afin d'offrir un habitat à la faune sous-marine.
Il y a 3 ans et 86 jours

Fresque de Diane Benoit du Rey : Impressions lumineuses à Vitry-sur-Seine

L’artiste peintre Diane Benoit du Rey dans son atelier du Prés-Saint-Gervais, au Nord de Paris. [©DR] Habituée depuis quelques années à déplacer sa pratique dans l’espace public, l’artiste peintre Diane Benoit du Rey (née en 1989) s’est lancée, l’automne dernier, à la conquête d’un impressionnant mur d’immeuble de 9 étages, à Vitry-sur-Seine (94). Quelque 30 m de haut et 11 m de large pour 13 étages d’échafaudages ! Là 160 l de peinture acrylique lui auront permis d’investir les 330 m2 de surface. Gigantesque réalisation mise en œuvre avec deux assistants : Victor Brun et Marius Buet. « Il m’arrive de plus en plus de mener des projets ailleurs que dans mon atelier, hors salle, sur des façades, du mobilier urbain, au sol… Une façon pour moi de déplacer ma pratique, de la questionner, en interagissant avec l’environnement extérieur. L’occasion aussi de conquérir d’autres espaces, d’aller au-devant des gens et d’insérer l’art dans leur quotidien, en offrant les possibilités d’une interaction privilégiée avec la peinture. » La fresque de Diane Benoit du Rey  Et Diane Benoit du Rey, de poursuivre : « J’utilise l’huile sur toile dans ma pratique picturale habituelle. Travail abstrait et minimal du geste et du pinceau… plus sensuel… Je joue avec des phénomènes lumineux, des variations chromatiques. La peinture devient ainsi source de lumière. Mais pour la fresque de Vitry, j’ai utilisé l’acrylique, plus propice à ce genre de grandes surfaces. J’ai créé des ondulations de couleurs ou de lumière, telles des balades musicales. Véritable travail chromatique… Le spectateur suivant sa position se situe dans l’ombre ou la lumière ». Ainsi, le 31 mars prochain sera inaugurée cette fresque murale monumentale dans le quartier Balzac Touraine-Marronniers. « Mais comment sortir la toile de son cadre ? Après un voyage, à Pompéi en Italie, j’ai pris toute la mesure entre la peinture et l’architecture. J’ai eu besoin de remettre de la fiction dans le réel. Pour la fresque de Vitry, j’ai saturé et désaturé les couleurs. J’ai utilisé des dégradés, j’ai joué avec l’obscurité, le flou, la mouvance de la lumière… Cela engendre quelque chose d’hypnotique. J’aime provoquer une sensation d’un temps suspendu. Il est ainsi question de lignes, de couleurs, de mouvements, de perceptions… » Une fresque pour tous les habitants de la résidence Touraine Diane Benoit du Rey a investi le mur d’un immeuble de la résidence Touraine, à Vitry-sur-Seine. Quelque 30 m de haut et 11 m de large pour 13 étages d’échafaudage ! Là, 160 l de peinture acrylique lui auront permis d’investir les 330 m2 de surface. [©Diane Benoit du Rey]« Il y a eu tout de suite une adhésion forte des habitants du quartier à mon travail. Ils venaient voir l’avancée de l’œuvre. Ils la regardaient d’en bas ou d’une fenêtre ou d’un toit d’un immeuble en face. Une fois terminée, la fresque a suscité des réactions enjouées. Je suis ravie… » [©Diane Benoit du Rey]Le 31 mars prochain sera inaugurée, à Vitry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne, une fresque murale monumentale, intitulée “Architecture en lumière”. Une œuvre de la jeune artiste peintre Diane Benoit du Rey. [©Diane Benoit du Rey] [©Diane Benoit du Rey] [©Diane Benoit du Rey] Intitulée “Architecture en lumière”, cette réalisation est née d’un appel à projets lancé auprès des artistes sélectionnés en 2020 pour le Prix annuel de peinture de la Galerie municipale Jean-Collet, à Vitry-sur-Seine. Ainsi que du financement de La Semise, bailleur social de la ville. Ceci, dans le cadre d’une réhabilitation thermique de la résidence Touraine. Dédié au pignon Est de l’immeuble en béton, le projet de l’artiste a été choisi par les habitants du quartier à l’occasion d’une consultation citoyenne. « Il y a eu tout de suite une adhésion forte des habitants du quartier à mon travail. Ils venaient voir l’avancée de l’œuvre. Ils la regardaient d’en bas ou d’une fenêtre ou d’un toit d’un immeuble en face. Une fois terminée, la fresque a suscité des réactions enjouées. Je suis ravie… » Muriel Carbonnet
Il y a 3 ans et 86 jours

L'étonnant "village-opéra" de l'architecte Francis Kéré à Laongo au Burkina Faso

Pensé par le metteur en scène allemand Christoph Schligensief, aujourd'hui décédé, le village, dissimulé dans le paysage, a été construit au début des années 2010 par Francis Kéré devenu mardi le premier architecte africain à obtenir la plus haute distinction de la profession.Erigé sur une vingtaine d'hectares, au milieu d'un champ de granit, ce projet d'éducation culturelle et artistique est construit sous forme de spirale, tel un colimaçon, avec vingt-six bâtiments abritant des ateliers, un centre de santé, des maisons d'hôtes et une école.A terme, "l'opéra", une salle de spectacle et d'exposition couverte de 700 places doit voir le jour, au centre des bâtiments.Installés au sommet d'une colline, les bâtiments mêlant végétaux et roches granitiques sont en parfaite harmonie.Des matériaux locaux tels que l'argile, la latérite, le granit, et le bois ont été utilisés pour la construction, pour permettre au site de résister à l'épreuve des conditions climatiques, comme les chaleurs extrêmes fréquentes dans la région, explique Motandi Ouoba, administrateur du "village-opéra"."Ce sont des matériaux locaux que l'architecte a trouvés sur place : des blocs de briques de terre compressée prise sur le site, des pavés faits à base de granit", énumère t-il.Francis Kéré "part du matériau le plus simple, qu'on a couramment (...) que nos parents ont utilisé et il en fait quelque chose de noble. C'est la terre, c'est tout ce qu'il y a autour de nous, quand il les rassemble, il fait vivre quelque chose qui est magnifique", ajoute-t-il. Sur le village-opéra, les immenses toits surplombent les murs tandis que l'aération des salles permet d'avoir des températures basses, même lorsque le thermomètre affiche plus de 40 degrés."Bâtiments bioclimatiques""En construisant sur l'existant, il est arrivé à faire en sorte que nos bâtiments soient bioclimatiques avec un double plafond et des ouvertures pour dissiper l'air chaud" explique M. Ouoba.Au centre de santé, les salles de consultation et d'hospitalisation disposent, comme les autres bâtiments, de dizaines de longues fenêtres qui coulissent vers le haut."Avec autant d'ouvertures, les patients se sentent moins isolés par l'hospitalisation. Ils ont une vue sur le paysage", assure Issa Ouédraogo, un médecin.Et du côté des salles de classes spacieuses, leur style épuré et illuminé par la lumière du jour, tranche avec le décor habituel des autres écoles du pays."On est fier de notre école qui a une belle architecture avec toutes les conditions pour bien travailler et étudier", se réjouit Edwige Compaoré, institutrice de la classe de CM1."Ici, l'architecture des bâtiments change tout. Nous sommes dans des classes parfaites parce qu'il fait très chaud ici et tout le monde n'a pas les moyens pour des ventilateurs ou l'air conditionné", renchérit le directeur de l'école Abdoulaye Ouédraogo, également comédien et dramaturge.Outre les six salles de classe régulières qui regroupent 181 élèves, une pièce spécifique est destinée pour les cours d'éveil à la musique, la danse, le théâtre, les arts plastiques, photos et audiovisuel."Beau, durable et fonctionnel"Le "village-opéra" sert également de site de résidence de création pour des artistes, selon Motandi Ouoba."C'est confortable comme cadre d'habitation ou de travail. C'est également beau et impressionnant. Cela nous rappelle que nous pouvons obtenir quelque chose de beau, de durable et fonctionnel à partir des matériaux locaux", estime l'administrateur.Avec son style architectural singulier, le village attire environ 2.500 visiteurs chaque année. Et Motandi Ouoba espère que la reconnaissance internationale de Francis Kéré contribuera à entretenir la curiosité des visiteurs."Ce prix très prestigieux fait la fierté de tous, surtout en ces moments où l'actualité burkinabè est marquée par des attaques terroristes. Nous sommes heureux pour M. Kéré mais aussi pour nous qui sommes parmi les premiers bénéficiaires de son travail", se félicite t-il.