Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88045 résultats)
Il y a 3 ans et 89 jours

En Australie, Vinci aux commandes de deux importants projets d'infrastructures

CONTRAT. Le groupe Vinci, via sa filiale australienne Seymour Whyte, s'est vu attribuer deux marchés d'infrastructures, l'un à Sydney, l'autre à Melbourne.
Il y a 3 ans et 89 jours

Lorenove dresse le bilan de sa convention annuelle des concessionnaires

La convention 2022 du réseau de concessionnaires Lorenove, qui s’est tenue en janvier dernier, a, cette année encore, proposé un format inédit afin de dominer les contraintes sanitaires mais sans s’affranchir de leur respect. Ainsi, la convention nationale s’est muée en 3 rendez-vous régionaux à Massy le 19/01, Lyon le 20/01 et Angers le 21/01, en remplacement de la convention annuelle. Lors de chacune des 3 réunions, l’équipe tête de réseau, ainsi que Thierry Luce, Président du Groupe Lorillard, et Pierre Lorillard, Directeur Général délégué au commerce, au marketing et à la communication, sont allés à la rencontre des 60 points de vente du réseau répartis sur les 3 dates. En synthèse, le bilan de l’année 2021, la stratégie de l’enseigne et du réseau, le développement des points de vente, l’offre de produits, les actions mises en place dans le cadre du plan de communication étaient les grands sujets attendus et évoqués. Rendez-vous annuels récurrents, des opérations promotionnelles seront planifiées cette année pour animer les points de vente et favoriser la rénovation des anciennes menuiseries. Elles seront relayées par un dispositif mixant des leviers de communication traditionnelle et digitale. 2022 marquera également le retour de Lorenove à la télévision, en utilisant un dispositif télévisuel innovant, permettant de cibler les téléspectateurs destinataires du spot télé en paramétrant certains critères (géographiques, centres d’intérêts, CSP, etc.), afin d’adresser les messages à une audience captive. En synthèse, ce dispositif combine la puissance d’un média de masse et la précision du digital. Au total, l’activation des différents leviers retenus permettra d’agir de façon tactique sur la notoriété de la marque, sa visibilité, l’acquisition de contacts et leur conversion. Les réunions ont aussi été l’occasion de remettre les Trophées de la Performance qui récompensent l’engagement des concessionnaires chaque année. Mais le plan stratégique qui se dessine sur les 3 prochaines années a laissé percevoir des changements factuels qui s’appuieront sur un mouvement disruptif et des évolutions novatrices. Le recrutement s’externalise Avec l’objectif de 100 points de vente d’ici 3 ans, Lorenove se fixe un cap pour le recrutement de nouveaux partenaires. Les profils recherchés demeurent des menuisiers mais l’enseigne est tout aussi intéressée par des profils d’entrepreneurs ayant l’envie de réorienter leur avenir professionnel. Cependant, cette expertise de recrutement sera désormais externalisée afin que la tête de réseau se dédie entièrement à l’animation, l’accompagnement et le suivi des concessionnaires. La formation, fil conducteur d’une amélioration continue Doté d’une école de formation le Groupe Lorillard a toujours placé la formation au centre de sa politique d’amélioration. Ces dernières années Lorenove a consacré des investissements pour une montée en compétences des membres du réseau par une offre de formations sur des sujets variés : commerce, pose, technique, finance, etc. Ces efforts s’étaient poursuivis en 2021 avec des nouveaux modules de formations portant sur les gammes de menuiseries mais également des modules s’adressant à tous les types de profils rencontrés dans le réseau : assistants commerciaux, commerciaux chevronnés, dirigeants, etc. La formation 2022 se voudra différenciante. Proposée à l’intégralité des effectifs du réseau – près de 500 personnes – et à l’appui de son école de formation mais également avec l’intervention de formateurs extérieurs au sein de l’école Lorillard, le panel de formations va s’élargir aux sujets et métiers inhérents au marché de la menuiserie. Réglementation, gestion de point de vente, développement commercial, vente et technique de pose de porte, porte de garage, volet, store et portail sont autant de formations qui seront proposées. L’objectif visé étant la parfaite maîtrise des diverses composantes du marché de la menuiserie. Des étapes clés jalonnent le chemin formatif, tel un fil conducteur d’amélioration : état des lieux des savoirs, formations, validation des acquis et contrôles sur la durée pour une parfaite connaissance des sujets. Cette offre de formation différenciante brigue une évolution notable du réseau. Elle entre dans la mise en œuvre d’une stratégie de gestion prévisionnelle de l’emploi et des compétences que Lorenove a nouvellement établie, pour développer une pépinière de ressources humaines, disposées à servir l’évolution et les besoins du réseau. L’achat et le référencement des produits centralisés La tête de réseau va désormais centraliser le référencement et les achats des produits connexes à la menuiserie chez les partenaires industriels spécialisés. Jusqu’à présent, chaque concessionnaire travaillait en direct auprès de différents fournisseurs référencés et chaque achat du réseau était considéré comme individualisé. La tête de réseau a dès à présent la fonction stratégique d’acheteur pour mutualiser les volumes de produits dont le réseau a besoin et offrir, tout d’abord aux clients du réseau, la meilleure solution du marché et aux concessionnaires les meilleurs avantages. 2022, le printemps LORENOVE D’autres changements, portant sur la gamme des produits de Lorenove, vont être amorcés dans le courant 2022. Ces changements, que l’on pourrait tout aussi qualifier d’évolutions commerciales, vont permettre à la marque d’harmoniser son offre mais également de se différencier sur le marché par un clivage commercial au sein de ses gammes. L’enseigne qui « dépoussière » son offre commerciale pourrait bien enchérir son mouvement disruptif sur des changements emblématiques. Une réflexion est conduite pour traduire en image et en concepts cette révolution de l’enseigne. Les Trophées de la Performance Illustration de la bonne santé du réseau, chaque année, les Trophées de la Performance de Lorenove viennent récompenser les efforts et le travail des concessionnaires. Cette année, le Trophée du meilleur chiffre d’affaires Concessions a été remis à SEVESTRE MENUISERIES (Bourges, région ouest), avec un CA facturé record. Le Trophée de la meilleure progression des achats de menuiseries Lorenove à ATLANTIQUE CONCEPT HABITAT (Eysines, région sud), avec une augmentation de 105 %. Le Trophée de la meilleure performance web à HABICONFORT (Montluçon – région sud), avec 100% des contacts traités et un excellent taux de transformation. Le Trophée de la meilleure expérience client en magasin à GL2 HABITAT (Pacy sur Eure, région nord / Ile de France), avec un nouveau showroom ouvert en mars 2021 réunissant visibilité, accessibilité, atmosphère propice et mise en avant de l’univers Lorenove. Le Trophée coup de cœur à FENÊTRES ET BAIES (Nantes – région ouest), pour son implication dans le réseau et au sein du Comité H2E, notamment en partageant des informations terrain, de la concurrence, tout en s’impliquant dans la vie du réseau. « Les moments de convivialité ont été très restreints, mais l’essentiel est que nous ayons pu échanger en direct avec les membres du réseau, ce qui n’était pas arrivé sous cette forme depuis 2 ans car la convention 2021 était sous format digital », conclu Marion Macchi, Chef de Projet communication du réseau Fenêtres Lorenove. Pour répondre à ce besoin d’union et pour mieux se retrouver, pour la première fois, une convention à mi année sera organisée en juillet. Elle permettra de faire un bilan des 6 premiers mois et d’évoquer l’avancée des dossiers en cours.
Il y a 3 ans et 89 jours

Journée Mondiale du Recyclage : Isover Recycling, la première filière au monde de recyclage des déchets de laine de verre

Le secteur du bâtiment génère 46 millions de tonnes de déchets par an en France, soit plus que les ménages (environ 30 millions de tonnes) et cinq fois moins que les travaux publics (220 millions de tonnes). Les déchets du bâtiment proviennent pour plus de 90 % des travaux de déconstruction et de réhabilitation et pour le reste de la construction neuve (7 %).D’autre part, le contexte du recyclage va aussi fortement évoluer dès le 1er janvier 2023 avec l’entrée en vigueur de la Responsabilité Élargie du Producteur (REP). ISOVER Recycling répond parfaitement à ces exigences à venir en assurant la reprise des laines de verre usagées issue du BTP.Pour ISOVER, “déchets” rime avec “ressources”En 2018, ISOVER a lancé son service de collecte et de recyclage, ISOVER Recycling dont l’objectif est d’éviter les enfouissements de laine de verre et favoriser leur recyclage. ISOVER Recycling est la première filière au monde de recyclage des déchets de laine de verre. Cette démarche d’éco-conception est l’un des piliers de la politique engagée par la marque afin de réduire les déchets et de préserver les ressources naturelles.Développé avec des partenariats entre la marque et différents professionnels du secteur du recyclage (collecteurs, syndicats) et des entreprises de curage, ISOVER Recycling s’adresse autant aux marchés diffus qu’aux grands chantiers de rénovation.La démarche répond par anticipation aux enjeux de collecte des déchets de la laine de verre qui représentera :plus de 150.000 tonnes par an à l’horizon 2030. Un gisement qui pourrait encore augmenter avec le plan de rénovation énergétique des bâtiments.Aujourd’hui, ce gisement s’élève à environ 100.000 tonnes.ISOVER s’engage pour l’économie circulairePrévention, tri sur chantier, recyclage, réutilisation, réemploi sont autant de leviers qui contribuent à la mise en place d’une économie circulaire pour une utilisation plus efficace des ressources.En plus d’ISOVER Recycling, ISOVER travaille à une nouvelle technologie de recyclage de la laine de verre au sein de son usine de Chemillé (49). Subventionné par la Commission Européenne et le programme Life, ce projet, nommé I-LOOP, a pour objectif de parvenir à une diminution significative des déchets de construction et de démolition mis en décharge d’ici fin 2023.Les ambitions d’ISOVER avec le projet I-LOOP sont de démontrer et de valider la faisabilité technique du recyclage de grandes quantités de déchets de laine de verre pour la fabrication du calcin, ainsi que la viabilité d’un modèle d’économie circulaire impliquant diverses parties prenantes tout au long de la chaîne de valeur de la déconstruction.
Il y a 3 ans et 89 jours

Comment paramétrer ses objets BIM conformément aux normes courantes ? Avec la participation de Canal Isabel II

Canal de Isabel II, SA est l’entreprise publique espagnole qui gère le cycle complet de l’eau dans la Communauté de Madrid. Fortement engagée en faveur de l’environnement et de l’économie circulaire, elle est responsable de tous les processus qui permettent une bonne gestion des ressources en eau. Au-delà des questions sur l’éventuelle obligation future d’appliquer les technologies BIM dans l’administration publique, Canal de Isabel II a déjà entamé un processus de mise en œuvre du BIM, convaincu des possibilités et des avantages que l’utilisation de cette méthodologie peut offrir dans ses procédures. L’un des objectifs de ce processus de mise en œuvre est de disposer d’une bibliothèque d’objets BIM paramétrés. Cette paramétrisation des objets offrirait à Canal d’Isabel II la possibilité d’une documentation structurée de ses actifs, permettant à l’avenir une gestion plus efficace et une analyse globale des données générées tout au long de son cycle de vie. C’est donc de ce besoin qu’est née l’idée de paramétrer les propriétés des objets les plus représentatifs présents dans une station de pompage d’eaux usées de type (EBAR) selon des normes couramment utilisées, telles que la norme IFC et la norme eCOB. Ces objets paramétrés seront le point de départ de la future bibliothèque d’objets BIM. La société chargée de réaliser ces travaux a été BIM&CO, en collaboration avec le bureau d’études Wise Build . Découvrez dans notre cas d’usage plus de détails sur les phases réalisées pour le paramétrage des objets et les résultats obtenus.
Il y a 3 ans et 89 jours

Eurazeo cède sa participation dans Reden Solar pour 632 millions d'euros

"Eurazeo a conclu un accord avec Macquarie Asset Management, leader d'un consortium comprenant British Columbia Investment Management Corporation (BCI) et MEAG, pour la cession de sa participation de 47% dans Reden Solar, l'un des principaux producteurs indépendants d'énergie renouvelable d'origine photovoltaïque sur la base d'une valeur d'entreprise de 2,5 milliards d'euros", a-t-elle indiqué dans un communiqué.L'opération devrait générer pour Eurazeo un produit de cession de 632 millions d'euros, précise le communiqué. Elle est encore soumise à l'autorisation des autorités de concurrence.D'après Macquarie Asset Management, qui a publié un communiqué distinct, la transaction devrait avoir lieu au troisième trimestre de 2022.Eurazeo, qui gère 27 milliards d'euros d'actifs, était monté au capital de Reden Solar en 2017 aux côtés du fonds français Infravia."Nous avons été extrêmement heureux d'accompagner Reden Solar avec Infravia durant cette phase de développement", a déclaré dans le communiqué Renaud Haberkorn, associé en charge de la branche Real Assets, qui regroupe les activités immobilières et d'infrastructure.Le société se réjouit également d'avoir permis au groupe "de multiplier sa capacité d'exploitation par 8 et son EBITDA par plus de 4 sur les cinq dernières années"."Avec le soutien de nos nouveaux actionnaires, nous sommes impatients d'étendre la présence de Reden Solar sur les marchés existants et nouveaux, ainsi que de développer nos équipes sur le terrain", a commenté pour sa part le PDG de Reden Solar, Thierry Carcel, dans le communiqué publié par Macquarie Asset Management.
Il y a 3 ans et 89 jours

Depuis Autun, le Cerema déploie son expertise dans l’étanchéité du bâtiment

Parmi les agences régionales du Cerema, celle de Bourgogne-Franche-Comté basée à Autun (Saône-et-Loire) a acquis un statut de référence nationale pour plusieurs paramètres de l’enveloppe du bâtiment.
Il y a 3 ans et 89 jours

Saint-Gobain Weber travaille sur la substitution de matières premières

Le site Weber de Sorgues vient de bénéficier d’un investissement de plus de 60 000 €. [©Saint-Gobain Weber] Les matières premières sont sous le feu des projecteurs depuis quelque temps. Que ce soit à cause de la crise économique que connaissent les différents secteurs industriels en ce moment. Ou dans la lutte pour la préservation des ressources. Saint-Gobain Weber mène plusieurs actions et projets dans ce sens. Et ce, dans la perspective de réduire son empreinte carbone (30 % en 2025). Mais aussi, sa consommation de matières premières (20 %). Lire aussi :Saint-Gobain Weber et Lhoist, partenaires autour de l’offre Tradical « Plusieurs technologies exclusives basées sur la réduction des matières premières primaires ont été développées par notre centre de R&D depuis 2012. Ceci, pour un certain nombre de produits finis, explique Lionel Raynaud, directeur recherche et développement chez Saint-Gobain Weber France. A date, nous estimons que cela a permis d’éviter 50 000 t de CO2, ce qui correspond à plus de 310 Mkm parcourus par une voiture de catégorie compacte. » Des matériaux recyclés et issus de la biomasse En 2021, les usines de Bonneuil-sur-Marne (94), de Ludres (54) et de Nemours (77) ont commencé à utiliser en substitut des cendres de biomasse issues de l’industrie locale du papier. Les ciments des mortiers-colles gris se composent désormais à 15 % de cendres de biomasse. Ce chiffre passe à plus de 30 % pour les mortiers et bétons d’usage courant. Lire aussi :Weber à la conquête de la France Cette année, Saint-Gobain Weber entend bien poursuivre ses ambitions. En effet, le site de Sorgues (84) compte substituer à 100 % son sable siliceux naturel dans certains mortiers par un sable de moulage recyclé. Ce dernier sera issu de l’industrie des céramiques, en provenance de Saint-Gobain Sepr, située à quelques kilomètres de l’usine de Sorgues. Des ajustements de process ont été réalisés, en décembre dernier, pour un montant de 60 000 €. Ainsi, les werbercol dur gris, webercol pro gris, webercol grès gris et weber mortier bénéficieront de ce nouveau sable. Enfin, en cette année 2022, le site de Bonneuil-sur-Marne passera aux granulats recyclés pour la conception du weber béton.
Il y a 3 ans et 89 jours

Le Guide de préconisations de sécurité sanitaire de l'OPPBTP ne s'appliquera plus au 14 mars

En raison de l'annonce de la fin du protocole sanitaire en entreprise à partir du 14 mars, l'OPPBTP annonce que son Guide de préconisations de sécurité sanitaire sur les chantiers du BTP ne s'appliquera plus.
Il y a 3 ans et 89 jours

Le premier ciment sans clinker avec ATEx

Le ciment H-UKR Hoffmann Green devient le premier ciment sans clinker au monde à être validé par le CSTB pour des applications de structure sur tous types d’ouvrages. Après quatre années d’essais physiques, chimiques et mécaniques, le ciment H-UKR bénéficie donc d’une ATEx de cas A. Cette évaluation couvre un très grand nombre d’ouvrages allant de la maison individuelle jusqu’à l’immeuble de Grande Hauteur pour des applications de structures (planchers, voiles, poutres, poteaux, etc.). La conception des ouvrages en béton à base de ciment H-UKR est réalisée selon l’Eurocode 2 et l’Eurocode 8, référentiel de calcul reconnu en France et en Europe. L’Évaluation Technique de Produits et Matériaux (ETPM) de la technologie H-UKR vient d’être enrichie et objective davantage la durabilité et la qualité de ce ciment en validant la durée d’utilisation prévue à 100 ans, ouvrant ainsi la voie à l’utilisation en ouvrages d’art (ponts, tunnels, etc.). De même, cette nouvelle version de l’ETPM introduit de nouvelles classes d’exposition (XC1, XC2, XC3, XC4, XF1) permettant ainsi l’utilisation du béton à base de ciment H-UKR pour des ouvrages intérieurs et extérieurs.Cet article Le premier ciment sans clinker avec ATEx est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 90 jours

Porcelanosa Groupe présente ses derniers designs qui misent avant tout sur l'innovation

Design et technologie pour améliorer la qualité de viePour accompagner les professionnels et améliorer les environnements architecturaux grâce à des expériences sur mesure, la multinationale espagnole vient de présenter ses dernières collections, qui misent avant tout sur l'efficience et la compétitivité. "L'investissement dans la R&D+i et le dialogue constant que nous avons entretenu avec des architectes et des décorateurs d'intérieur nous ont amenés à étudier de nouvelles formules et de nouvelles manières d'utiliser nos matériaux, afin de privilégier avant tout la qualité et la praticité de chaque produit, plutôt que l'aspect purement esthétique", précise l'entreprise.On retrouve ce mariage du design, de la technologie et de l'utilisabilité dans les principaux showrooms de ses sept sociétés, qui, au cours des prochains mois, présenteront les nouveaux environnements et les avantages de ces nouveaux matériaux.Solidker, le grès cérame technique pleine masse du futurParmi les nouveautés les plus remarquables de Porcelanosa se distingue le grès cérame technique pleine masse Solidker. Il s'agit du premier full body composé de la même matière première sur la surface et à l'intérieur du carreau, qui présente en outre une très faible absorption d'eau (≤ 0,2 %).Les séries Dakota et Seattle proposent ce type de sols pour les grands projets. Avec un design personnalisé dans trois tons neutres (Grey, Sand et Black) et plusieurs formats disponibles (120 cm x 120 cm et 59,6 cm x 120 cm), cette collection d'une grande sophistication inspirée du quartzite améliore l'esthétique et la sécurité des pièces grâce à son effet relief et à ses propriétés antidérapantes.Avec leurs couleurs neutres comme le Grey, le Sand et le Topo, les pièces de Seattle confèrent davantage d'élégance aux espaces grâce à leurs textures béton et à leur grand équilibre chromatique. Deux séries qui complètent la ligne Stratos (le grès cérame technique le plus recommandé pour des projets exigeants, doté d'une structure en écailles que l'on retrouve sur tout le corps du carreau).Des finitions inspirées du bois et de la pierreLe grès cérame rectifié se distingue également dans de nombreux environnements de la marque. On retrouve ainsi les pièces inspirées du chêne de la ligne Vermont en finition mate (Sienne, Acero, Arce et Nogal) au format 25 cm x 150 cm et 16 cm x 150 cm.Une esthétique que partage Fulham, un revêtement au format 16 cm x 150 cm qui évoque les bois belges et néerlandais dans toutes ses finitions : Arce, Gris, Roble et Brown. Pour une touche plus naturelle, Porcelanosa vous offre la possibilité d'inclure le revêtement décoré Royal Arce-Gris et Royal Roble-Brown et sa forme en épi.Parmi les nouveaux supports rectifiés que la marque mettra en avant cette année en raison de leur polyvalence et leur traitement artisanal, on retrouve Gasa (revêtement texturé de 59,6 cm x 150 cm), avec son effet béton et son aspect minimaliste, et Newark (revêtement de 59,6 cm x 150 cm) avec son relief rayé qui imite la pierre naturelle et confère un grand dynamisme aux murs.La digitalisation s'invite dans les cuisines de GamadecorDans le domaine des cuisines et des salles de bains nouvelle génération, la société Gamadecor a opté pour des équipements intelligents et numériques qui simplifient la vie de l'utilisateur. C'est le cas du modèle Smart Kitchen, équipé de plans de travail faits de pièces en XTONE, en pierre naturelle ou en granit et d'espaces de travail intégrés équipés d'appareils électroménagers inductifs (sans câble ni batterie).Conçues pour les espaces intérieurs et extérieurs grâce à leur design polyvalent en bois et aluminium, les cuisines Offroad Kitchen représentent une avancée de taille en termes de fonctionnalité et de rangement. Un objectif auquel répondent également ses meubles de salle de bain suspendus : Play, Stage, Up, Corner, Wish et Mega et ses armoires Fushion, fabriquées à partir de bois éco-responsables, de surfaces en Krion® et de structures en aluminium.À cet égard, Gamadecor a étoffé sa gamme de mobilier avec ses nouveaux canapés design Fold, Stripes et Seems et ses fauteuils relax Fluffy et Wings et leurs tapisseries sur mesure. Pour les tables centrales (Zig-Zag, Hexagonal ou Feel), on a opté pour des structures géométriques et minimalistes.Engagé pour un design durable et pratique au service des individus, Krion a perfectionné sa série chromatique Luxury avec deux solutions pour le secteur de l'hôtellerie et de la gastronomie : Nebula White et Nebula Vanilla au format plaque de 3 680 mm x 760 mm x 12 mm, qui présentent des lignes douces, des veines courbes et dorées et des formes subtiles.Mosaïques métallisées et lavabos de créateurPour sa part, L'Antic Colonial a orienté ses propositions de décoration et d'architecture vers des collections de créateur, avec des mosaïques métallisées (Metal Acero, Anthracite Triangles et Metal Bronze Triangles), composées de pièces en trois dimensions et de tesselles lumineuses à la finition glossy. Pour des salles de bains plus exclusives et naturelles, la marque a combiné la pierre et le bois dans les lavabos et miroirs Motif, que l'on peut compléter des papiers peints Skins Wallpaper, des tissus TNT et des revêtements vinyle grand format.La fabrication industrialisée fait également partie des grands engagements de l'entreprise. C'est pourquoi Butech a orienté ses nouveaux développements dans cette direction pour ses cuisines (Monokitchen), salles de bains (Monobath) et bureaux (Office Garden). La céramique épaissie Thic'ker, les profilés décoratifs Pro-Part Antique Gold et Anthracite et les systèmes d'escaliers suspendus font également partie des solutions destinées à l'architecture contemporaine.Pour des salles de bains pleines de charme et de personnalité, Noken a créé des designs sensoriels à l'esthétique Finish Studio, utilisable sur les lavabos Essence C Compact en neuf couleurs, la robinetterie de créateur Lignage, conçue par l'architecte Ramón Esteve et gagnante du prix du meilleur design des IF Design Awards 2019, les WC Lounge et leur nouveau look blanc et noir mat ou les pièces Round en finition or brossé.En termes de mobilier, l'entreprise présente la collection Forma et ses finitions pleines de vitalité, en rouge Merlot, vert Forest et beige Almond.Pour encourager une utilisation raisonnée des ressources naturelles et de l'énergie, l'entreprise a conçu des réservoirs et des robinets touchless (Round), équipés de capteurs et de la technologie I-Smart pour que l'utilisateur n'utilise pas plus d'eau ou de savon que nécessaire.Des environnements sains aux touches exotiquesLes nouvelles collections Blue Roma et Montreal de XTONE s'inspirent des couleurs et des paysages de la nature. Avec sa base céleste et ses veines cuivrées qui s'étendent en surface, la première collection, en quartzite bleu, créera un véritable impact visuel dans n'importe quel type de projet. Les pierres calcaires sélectionnées de la collection Montréal font des espaces de véritables galeries d'art avec leur lumière naturelle dans les tons beiges.Les collections en grès cérame Invisible White, Marquina Black, Astana Grey, Orobico Grigio ou Emerald Green affichent une esthétique plus exotique et plus audacieuse, avec un aspect marbre alliant raffinement et simplicité dans des tons gris, marron ou greige, qui embellissent tous les espaces."Nous avons travaillé de manière constante et coordonnée avec toutes les marques de notre groupe pour créer des espaces qui invitent à réfléchir et à imaginer des environnements plus accueillants et plus sains. L'objectif de Porcelanosa est de fournir les outils et les moyens nécessaires pour que les souscripteurs et les personnes qui travaillent avec notre marque puissent mener à bien leurs projets en toute liberté et en toute confiance", explique-t-on chez PORCELANOSA Groupe.
Il y a 3 ans et 90 jours

Coup de chapeau à Structurae

Le site Structurae référence plus de 75 000 ouvrages de BTP, dont les constructions ukrainiennes. [©Structurae] Les bonnes initiatives méritent d’être mises en lumière. Bien rares sont les personnes qui ignorent encore ce qui se passe en Ukraine. La sale guerre de Poutine – on ne peut pas l’appeler autrement – engendre une immense souffrance humaine. C’est bien là, la chose la plus dramatique. Mais elle détruit aussi, peu à peu, un grand pays, à l’histoire millénaire. Infrastructures et constructions disparaissent au fil des bombardements. Afin de permettre à chacun de se faire une idée de la richesse et de la diversité de l’architecture du pays, le site d’informations Structurae a décidé de la mettre en avant dans sa dernière newsletter. Un choix volontaire de Nicolas Janberg, pour apporter, à son niveau, soutien et solidarité à l’Ukraine. Béton[s] le Magazine se joint à cette initiative en relayant cette information. A vos clics.
Il y a 3 ans et 90 jours

Fin du port du masque et du protocole sanitaire en entreprise : que dit la loi ?

Pour aider les Français et les entreprises à s'y retrouver, SVP, service historique d’information et d’aide à la décision des entreprises (6.000 structures clientes), répond scrupuleusement à leurs interrogations.Avec la fin du port du masque depuis le 14 mars, l’employeur peut-il néanmoins l’imposer dans l’entreprise ?Le décret du 12 mars 2022 supprime l’obligation de porter le masque dans tous les lieux où il était exigé, sauf exceptions, et par conséquent dans les lieux de travail.Le masque reste obligatoire dans les transports collectifs. Dans les établissements de santé, le directeur peut décider de rendre le masque obligatoire, ainsi que dans les locaux accessibles aux patients. Dans le secteur de l’aide à domicile, l’employeur d’un professionnel intervenant au domicile de personnes âgées ou handicapées peut également lui imposer le port du masque.En dehors de ces exceptions prévues par les textes, aucune disposition légale expresse ne prévoit que l’employeur puisse continuer à imposer le port du masque en entreprise. Les salariés restent cependant libres de le porter de façon volontaire.Pour rappel, l’employeur reste tenu par son obligation de sécurité envers ses salariés. A ce titre, il peut évaluer que le risque lié à la Covid-19 dans son entreprise nécessite au cas par cas des mesures de protection supplémentaires à mettre en œuvre, y compris le port du masque. Cette décision nécessiterait le cas échéant une adjonction au règlement intérieur de l’entreprise si l’employeur souhaite l’imposer à ses salariés.Un salarié peut-il continuer à le porter pour se protéger de la circulation du virus ?Depuis le 14 mars 2022, le port du masque en entreprise n’est plus obligatoire. A cette même date, le protocole sanitaire en entreprise ne s’appliquera plus non plus. En remplacement du protocole, le ministère du Travail diffusera un « Guide repère des mesures de prévention des risques de contamination au covid-19 hors situation épidémique ». Au sujet du port du masque, le projet de Guide repère indique que les salariés le souhaitant pourront continuer de porter un masque, sans que l’employeur puisse s’y opposer.Un salarié peut-il demander à télétravailler davantage en l’absence du port du masque par l’ensemble du personnel ? Depuis le 2 février 2022, le télétravail est seulement recommandé, les 2 jours minimum indiqués dans le protocole sanitaire en entreprise ne font plus partie des mesures obligatoires de protection des salariés. Il appartient, désormais, aux employeurs de fixer les modalités de recours au télétravail dans le cadre du dialogue social. Ainsi, rien n’interdit à un salarié de demander à son employeur de télétravailler ou de télétravailler davantage suite à l’absence du port du masque en entreprise, compte tenu de la circulation du virus toujours active. Il relève du pouvoir d’organisation de l’employeur d’accepter ou de refuser sous réserve des dispositions prévues, le cas échéant, dans un accord collectif ou une charte, relatifs au télétravail. Toutefois, si la situation sanitaire venait à s'aggraver, de nouvelles recommandations pourraient être données par le gouvernement.Le protocole sanitaire a été supprimé, quelles sont les mesures applicables dorénavant ? Après plusieurs versions du protocole sanitaire, évoluant en fonction de la situation sanitaire, Elisabeth Borne, Ministre du travail, a annoncé que le protocole sanitaire n’est plus applicable depuis le 14 mars 2022. Il va être remplacé par un "guide repère", dont nous attendons la publication officielle, dans la semaine, a priori. Ainsi, selon la Ministre du travail, les règles de distanciation physique ne sont plus applicables, tout comme les contraintes s'appliquant à la restauration collective. Le port du masque, toujours obligatoire dans les transports en commun, ne le sera plus en entreprise. Nous allons donc revenir sur un fonctionnement normal en entreprise. La Ministre a indiqué qu’il faudra continuer à aérer les locaux, ou encore se laver les mains. Malgré cette suppression, l'employeur reste tenu par son obligation de sécurité prévue par les dispositions du Code du travail. Ainsi, il doit donc toujours évaluer le risque encouru dans son entreprise, lié à la Covid-19, prendre toutes les mesures de protection adaptées et les mettre en œuvre.Mon employeur peut-il me forcer à revenir dans l’entreprise alors que je suis une personne vulnérable ?Un salarié considéré comme personne vulnérable est celui qui présente un risque de développer une forme grave d’infection à la Covid 19. Un décret a fixé la liste des situations/pathologies et les conditions dans lesquelles une personne est considérée comme vulnérable et ce, à la condition de ne pas pouvoir recourir au télétravail.Si le salarié est bien considéré comme personne vulnérable (conditions strictes fixées par décret) et qu’il dispose d’un certificat médical établi par un médecin, l’employeur doit le maintenir en activité partielle.Depuis le 1er avril 2021, le salarié perçoit 70% de sa rémunération brute, quelque soit le secteur d’activité de l’entreprise et l’employeur est remboursé à hauteur de 70% du salaire brut.Le maintien en activité partielle des personnes vulnérables reste en vigueur jusqu’à une date fixée par décret et au plus tard le 31 juillet 2022. A ce jour, aucun décret n’a fixé une date antérieure.
Il y a 3 ans et 90 jours

Un "mur d'investissements" encore à gravir en matière d'infrastructures

RAPPORT. Le Conseil d'orientation des infrastructures a remis le 16 mars 2022 au ministre délégué aux Transports un nouveau rapport, environ deux ans après l'entrée en vigueur de la loi d'orientation des mobilités. S'il confirme une montée en puissance des investissements ces 5 dernières années, la dynamique devra être poursuivie et même accentuée pour répondre aux nouveaux enjeux soulevés.
Il y a 3 ans et 90 jours

Exit les emballages plastique pour Velux

ENGAGEMENT. Le spécialiste de la fenêtre de toit, Velux, annonce que "90 % des emballages utilisés pour ses fenêtres de toit sont désormais sans plastique". Détails.
Il y a 3 ans et 90 jours

Le fournisseur d'énergie verte Planète Oui tombe dans l'escarcelle de Mint

ACQUISITION. Mint, fournisseur de services Energie et Telecom éco-responsables, annonce avoir fait l'acquisition de Planète Oui, fournisseur d'électricité et de biogaz.
Il y a 3 ans et 90 jours

Suite à une enquête de la DGCCRF, le Pôle Habitat FFB demande plus de sanctions et de contrôles envers les "faux constructeurs"

55% des 285 établissements contrôlés ont fait l’objet de mesures pédagogiques, correctives ou répressives selon une enquête menée par la DGCCRF. Ce score, en très faible baisse depuis la précédente enquête de la DGCCRF, révèle une quantité non-négligeable d'entreprises et de maîtres d'ouvrages qui continuent les mauvaises pratiques malgré les sanctions et avertissements.Le Pôle Habitat FFB félicite les pouvoirs publics pour les actions déjà prises et qui permettent justement de mettre en avant les « faux constructeurs » mais demande aussi plus de contrôles et de sanctions. Cette demande est pour le Pôle Habitat FFB un moyen de séparer le grain de l'ivraie, les « vrais constructeurs » des « faux constructeurs », ces imposteurs mêmes qui mettent les ménages acquéreurs en danger en ne respectant pas les règles du CCMI, contrat pourtant créer pour être le plus protecteur pour le consommateur.Les fraudeurs, en s'affranchissant arbitrairement des règles du CCMI, empêchent par exemple les acquéreurs de distinguer avec précision les différents acteurs du marché en fonction des garanties qu'ils proposent.Le CCMI, un contrat strictement encadré par la loi pour protéger le consommateurChaque année le CCMI permet à des milliers de français de sécuriser leur projet immobilier via une garantie financière de livraison, d'une couverture d'assurances complètes contre les malfaçons (avec l'assurance « dommages-ouvrage »), d'un prix global convenu d'avance, d'un échéancier d'appels de fonds suivant l'avancement du projet et d'un délai d'exécution des travaux assorti de pénalités de retard pour les constructeurs.Pour Grégory Monod, président du Pôle Habitat FFB : « la concurrence déloyale que représentent les pseudo-constructeurs, qui mettent les acquéreurs en danger et nuisent à la réputation de toute une profession qui a fait le choix, il y a plus de 30 ans, d’exercer dans un cadre juridique exigeant, sécurisant et protecteur des consommateurs. Dans l’intérêt des clients, le Pôle Habitat FFB met à disposition de ses adhérents des formations, des guides, et surtout des contrats de construction de maison individuelle, y compris dématérialisés, strictement conformes à la législation et mis à jour selon les évolutions réglementaires. »
Il y a 3 ans et 90 jours

L'inflation et la crise russo-ukrainienne inquiètent 77% des chefs d'entreprise selon une enquête

Avec l’inflation, la hausse du coûts des énergies et des matières premières et le début de la crise en Ukraine, on constate une baisse d’activité chez 54% des répondants, qui indiquent constater chez les consommateurs, un frein aux achats plaisir. Ce constat est particulièrement prégnant parmi les secteurs suivants :Équipement de la personne (80%)CHR (64%)Commerces alimentaires (62%) Le constat est pire pour les professionnels du BTP, particulièrement touchés : 88% des répondants de ce secteur, se retrouvent actuellement avec des bons de commandes signés sur la base d’un prix des matières premières très inférieurs aux prix actuels ce qui entraine une baisse massive de leur marge et pour certains, de leur rémunération… Pour compenser l’impact de ces hausses et maintenir leur activité et l’emploi de leurs salariés, les dirigeants ont réagi. Ils sont 83% à avoir dû augmenter leurs prix de vente (mais faiblement pour ne pas perdre de clientèle, elle aussi impactée) tout en baissant leurs marges (51% d’entre eux) et parfois même en baissant leur rémunération pour maintenir viable leur outil de travail (26%). Enfin, pour ceux n’ayant pas encore pris de mesures, 64% d’entre eux prévoient d’agir en conséquence et 87% comptent augmenter leur prix de vente dans les prochaines semaines si la situation reste tendue. Si la remise de 15 centimes par litre sur les prix du carburant est un premier geste, le Syndicat des Indépendants appuie pour la construction d’un véritable bouclier, protecteur des entreprises et respectueux des consommateurs. Marc Sanchez précise : « Ce que nous enseigne cette étude est qu’il est devenu illusoire de compter sur la seule croissance pour absorber les charges nées pendant la crise sanitaire dans les délais requis. Des mesures pérennes et globales doivent être prises. Six millions d’entreprises, mobilisées et debout malgré le COVID, souffrent depuis deux ans et demandent de la part de l’État des dispositifs concrets pour que ni l’inflation, ni la crise ukrainienne ne signent l’arrêt de leur activité et entraînent la perte d’emploi de leurs salariés. Ces nouveaux dispositifs ne coûteraient pas un centime à l’État :un allongement de droit de la durée de remboursement du PGE d’au moins deux annéesle renouvellement du dispositif d’étalement du paiement des charges sociales personnelles du chef d’entreprise sur 12 à 36 mois ». Marc Sanchez complète : «Enfin, au nom du pouvoir d’achat dont dépend la pérennité de leurs activités, nombre des participants à notre enquête indiquent que la baisse des charges sociales serait intégralement répercutée sur la rémunération nette de leurs salariés. Preuve que leur objectif est bien de vivre de leur travail et non de demander des subventions. Les candidats à l’élection présidentielle devraient s’inspirer de ces préconisations, eux qui semblent ignorer 98% des employeurs de France ». Remboursement du PGE et plan de résilience Ils sont aujourd’hui près de la moitié (45%) à avoir entamé des démarches ou envisager de le faire, pour obtenir un allongement de la durée de remboursement de leur PGE. Force est toutefois de constater que le dispositif actuellement en vigueur dans le prolongement des annonces de Bruno Le Maire du mois de janvier dernier est totalement inadapté et dénué d’intérêt : l’entreprise doit être au bord de la faillite, inscrite en rouge en Banque de France et doit ainsi renoncer à tout investissement à court et moyen terme. Quant au Plan de résilience, le constat est partagé : 41% des indépendants et TPE estiment que des mesures pour l’augmentation du pouvoir d’achat des ménages dynamiseraient leur activité contre 31% qui pensent le contraire.
Il y a 3 ans et 90 jours

Investissements et innovations, les nouveaux objectifs de Lafarge France

Lors d'une conférence de presse le 10 mars 2022, Lafarge France, acteur majeur dans la production de ciments, granulats et béton, a présenté ses nouveaux objectifs d'accélération et transformation bas carbone.
Il y a 3 ans et 90 jours

Les professionnels du transport et du BTP bloquent le dépôt pétrolier du port de Lorient pour protester contre le prix du carburant

Depuis 8h du matin, une cinquantaine d'engins de travaux et des dizaines de responsables d'entreprises de travaux publics, des chauffeurs de taxis, des pêcheurs de la région et d'autres manifestants bloquent l'accès du dépôt pétrolier lorientais pour réclamer le gel de la taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP) en attendant la mise en application du plan de résilience annoncé par le Gouvernement.Pour Norbert Guillou, président morbihannais de la chambre nationale de l’artisanat des travaux publics et du paysage (CNATP) et patron de l'entreprise de travaux publics Aspi TP : « On restera jusqu’à ce que le gouvernement nous donne ce qu’on demande : le gel de la TIPP. On défend tout le monde aujourd’hui. »Après avoir menacé le week-end précédent lors d'une réunion au siège de l'entreprise TPSL à Caudan d'empêcher de sortir du dépôt tous les camions, « à l'exception de ceux chargés de gasoil non routier, réservés aux agriculteurs et entrepreneurs de travaux agricoles », le groupe est donc passé à l'action afin de faire valoir ses revendications.Le lundi 14 mars, les pêcheurs bloquaient déjà seuls l'une des entrées du port de Keroman avec les mêmes revendications et une autre action commune de blocage est prévue pour le jeudi 17 mars.
Il y a 3 ans et 90 jours

L’École du Louvre se dote de nouveaux espaces

L’École du Louvre a inauguré le 11 mars 2022 un ambitieux projet architectural (une bibliothèque, un centre de recherche et des lieux de vie) porté par Claire Barbillon, directrice de l’École du Louvre et rendu possible grâce au mécénat d’exception de Majid Boustany, président de la Francis Bacon MB Art Foundation. Il s’agit du plus important soutien jamais alloué à un établissement d’enseignement du ministère de la Culture. Ce projet architectural de près de 1300m2 est porté par l’architecte Heleen Hart (agence d’architecture HBAAT – Grand Prix du Jury d’Architecture 2021). Il répond à des besoins liés à la croissance même de l’École, aux évolutions pédagogiques et aux transformations des pratiques étudiantes. Éclatée dans diverses parties du palais et externalisée pour certaines parties jusqu’en 1993, l’École du Louvre s’est vue attribuer un espace d’environ 9000m2 dans l’aile de Flore du Palais du Louvre, aménagée à partir de 1997 par l’architecte Antoine Stinco et entièrement livrés au début de l’année 2000. Certains espaces nécessitaient d’être réaménagés afin d’adapter le fonctionnement de la bibliothèque en lien avec les nouvelles pratiques, de créer un centre de recherche qui pourra accueillir une communauté de chercheurs, qu’ils soient permanents ou temporaires, d’améliorer l’installation des services informatique et documentaire de l’École du Louvre et de réaménager la cafétéria et ses abords immédiats. En lui restituant l’intégralité de la galerie, la jauge de la salle de lecture de la bibliothèque a été fortement augmentée, pour passer de 101 places, à 156 places dont 74 collectives pour permettre un travail en petits groupes. Les magasins ont été transformés pour permettre un libre accès à l’ensemble des livres. La réorganisation des espaces a également permis la création de nouveaux lieux : une grande salle de formation ainsi qu’un centre de recherche. Le pôle informatique et documentaire, situé à l’entresol, a été réorganisé dans sa distribution, au regard de l’évolution des besoins. La cafétéria, constamment saturée pendant les périodes de cours, est étendue en profitant de l’adjonction d’un bureau, et propose une nouvelle esthétique en lien avec les interventions de la bibliothèque. Photo : Bibliothèque de l‘école du Louvre Witness VIII (premier plan) et Witness VII (arrière-plan), 2021 ©Antony Gormley Photo © Majid Boustany
Il y a 3 ans et 90 jours

EDILTECO® Group partenaire et distributeur exclusif de CarbonCure pour la France, l’Italie, la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas.

Edilteco® Group a conclu un partenariat de distributeur exclusif avec la société de technologie d’élimination du carbone « CarbonCure Technologies ». Ce partenariat va permettre à Edilteco® Group d’offrir à ses clients des solutions innovantes et éprouvées pour la réduction de leur empreinte carbone dans la construction. S’inscrivant dans sa stratégie de progrès, ce partenariat est fidèle à la politique de développement de la marque, fondée sur des objectifs d’innovation, apportant un gain de performances aux solutions, tout en contribuant de manière significative et durable à la réduction des émissions de CO2. « Chez Edilteco®, nous avons toujours été impliqués dans les économies d’énergie et la durabilité, c’est notre mission depuis la création de l’entreprise. L’introduction récente sur le marché du Politerm® R et maintenant le lancement de CarbonCure donnent l’impulsion à l’émergence de notre future gamme Green, dédiée aux produits contenant jusqu’à 90 % de PSE recyclé – qui sera lancée lors du prochain salon BATIMAT. Aujourd’hui, avec CarbonCure, nous avons l’opportunité d’offrir encore plus aux centrales à béton avec lesquelles nous collaborons depuis des années, leur permettant de produire du béton avec la qualité habituelle, mais avec une empreinte carbone réduite », explique Franck Pied, Directeur Marketing et Technique chez Edilteco® France.   LA TECHNOLOGIE CARBONCURE La technologie CarbonCure contribue fortement au développement durable. Cette technologie permet aux producteurs de béton (centrales à béton et préfabricateurs) de proposer le même béton de haute qualité mais avec une empreinte carbone réduite. CarbonCure injecte du dioxyde de carbone (CO2) capturé dans le béton frais lorsqu’il est malaxé. Une fois injecté, le CO2 se transforme instantanément au contact du ciment en CaCO3 (carbonate de calcium) ; ces nanomatériaux sont incrustés en permanence et ne seront jamais rejetés dans l’atmosphère. Cette minéralisation du CO2 améliore également significativement la résistance à la compression du béton et permet de réduire en toute sécurité la teneur en ciment de chaque mélange. CarbonCure est détentrice d’un agrément technique délivré par le DIBT (Institut Allemand des Techniques du Bâtiment). La technologie CarbonCure est en totale conformité avec la norme NF EN 206. Ainsi, tout en respectant les dosages, avec l’ajout de CO2, il est possible de réduire de 4 à 6 % la quantité de ciment et en outre de conserver les mêmes performances techniques et mécaniques. En considérant que 6 % de ciment peuvent être économisés, cela équivaut à environ 15 kg/m³. Si l’on prend l’exemple d’une centrale à béton moyenne en France, consommant 40 000 m³ de béton par an, l’économie annuelle de ciment pour cette centrale est de 60 tonnes. CarbonCure Technologies   EN PRATIQUE Chaque installation CarbonCure comprend 2 boitiers. Le premier (unité de contrôle) calcule précisément la quantité de CO2 à injecter selon la formulation de béton. Il est en relation avec le logiciel de la centrale (s’adapte à tous les logiciels des centrales) et en lien direct avec CarbonCure à qui il communique, en temps réel, toutes les données collectées pour le calcul de la consommation de CO2 injecté dans le béton. CarbonCure collecte les consommations exactes de CO2 de chaque centrale à béton. La méthodologie de CarbonCure a été vérifiée par l’organisme VERRA (Verra.org) pour l’obtention de certificats blancs mutualisés entre chaque acteur. L’autre boitier (le bloc vanne) est installé sur la cuve de CO2 et gère l’ajout de la dose. La cuve sous pression (20 bars) envoie le CO2 à l’état liquide dans le béton en cours de malaxage. C’est cette pression qui injecte et transforme le CO2 sous forme de neige dans le malaxeur, où le CO2 se transforme immédiatement en CaCO3 au contact du mélange. La centrale à béton est libre de choisir son fournisseur de CO2 . Edilteco® France s’occupe de l’installation des boitiers et leur programmation se fait automatiquement à distance. Une équipe de techniciens Edilteco® a été spécialement formée pour assurer l’installation, la maintenance et le SAV des boitiers.   À PROPOS DE CARBONCURE Fondée il y a 10 ans, CarbonCure s’est rapidement développée, avec maintenant plus de 500 systèmes dans le monde. L’entreprise CarbonCure commercialise depuis 5 ans sa technologie. Breakthrough Energy Ventures, Amazon, BDC Capital, Pangea, Microsoft, 2150, Carbon Direct, GreenSoil Investments, Taronga Group ou encore Mitsubishi Corporation sont autant d’investisseurs qui ont fait confiance à CarbonCure. Lauréate du second appel à projet (2020) du club Sekoya créé par Eiffage et Impulse partners – consacré à la conception et la construction bas carbone et aux usages et exploitation bas carbone – CarbonCure offre la possibilité aux fabricants de béton de concevoir un béton écologique et plus solide. Les architectes, ingénieurs et entrepreneurs obtiennent le même produit de construction fiable et de haute qualité, mais avec une empreinte carbone plus faible. En France, ce sont 1800 centrales, dont 1300 sous certification NF qui sont concernées par cette technologie bas carbone. CarbonCure Technologies Depuis sa création en 1981, EDILTECO® Group n’a cessé d’acquérir de multiples compétences qui la placent en interlocutrice indispensable du monde de la construction. Aujourd’hui encore, l’entreprise passe les frontières de l’hexagone pour fonder un partenariat exclusif lui permettant de proposer à ses clients des solutions toujours plus durables. Avec CarbonCure, Edilteco® Group répond à la demande croissante de solutions de construction durable. C’est au salon Bas Carbone, les 5 et 6 avril 2022, Porte de Versailles, que EDILTECO® France présentera officiellement la solution CarbonCure sur son stand H60 – Hall 5 et lors de 2 workshops. Nous vous présenterons le procédé lors de nos workshops : le 5 avril à 11h30 – salle 7 le 6 avril à 10h00 – salle 7
Il y a 3 ans et 90 jours

Le Rollmix de Mecbo pompe sa première chape fluide

Le Rollmix est le premier malaxeur-pompe à chapes signé Mecbo. [©ACPresse] Annoncé en avant-première en fin d’année dernière, le tout nouveau malaxeur-pompe à chapes de Mecbo est aujourd’hui opérationnel. Son nom définitif : Rollmix. Ces caractéristiques techniques correspondent en tout point à la fiche technique présentée il y a quelques mois à peine. Ainsi, l’équipement s’articule autour d’une pompe à pistons Getto P2-800, d’un débit de 15 m3/h (soit 250 l/mn), pour une pression de 85 bar au maximum. « C’est la plus petite des pompes de la gamme Pulsar, précise Antonio Agostinho, président de Mecbo. Elle est tout à fait adaptée à ce besoin et à cet usage. Et nous restons dans une gamme standard et éprouvée. » Disposant d’une trémie destinée à recevoir directement la chape fluide transportée dans la cuve, cette pompe est montée en position transversale à l’arrière du porteur. Bien entendu, une autre toupie peut venir déverser son chargement dans cette trémie. Il suffit de dérouler… L’autre équipement central du Rollmix – et c’est ce qui en fait un matériel unique – est le dérouleur/enrouleur de tuyaux souples. Positionné entre la cuve de transport et la cabine du porteur, il est relié à la pompe Getto, via une conduite métallique de 50 mm Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? var gform;gform||(document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",function(){gform.scriptsLoaded=!0}),window.addEventListener("DOMContentLoaded",function(){gform.domLoaded=!0}),gform={domLoaded:!1,scriptsLoaded:!1,initializeOnLoaded:function(o){gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?o():!gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?window.addEventListener("DOMContentLoaded",o):document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",o)},hooks:{action:{},filter:{}},addAction:function(o,n,r,t){gform.addHook("action",o,n,r,t)},addFilter:function(o,n,r,t){gform.addHook("filter",o,n,r,t)},doAction:function(o){gform.doHook("action",o,arguments)},applyFilters:function(o){return gform.doHook("filter",o,arguments)},removeAction:function(o,n){gform.removeHook("action",o,n)},removeFilter:function(o,n,r){gform.removeHook("filter",o,n,r)},addHook:function(o,n,r,t,i){null==gform.hooks[o][n]&&(gform.hooks[o][n]=[]);var e=gform.hooks[o][n];null==i&&(i=n+"_"+e.length),gform.hooks[o][n].push({tag:i,callable:r,priority:t=null==t?10:t})},doHook:function(n,o,r){var t;if(r=Array.prototype.slice.call(r,1),null!=gform.hooks[n][o]&&((o=gform.hooks[n][o]).sort(function(o,n){return o.priority-n.priority}),o.forEach(function(o){"function"!=typeof(t=o.callable)&&(t=window[t]),"action"==n?t.apply(null,r):r[0]=t.apply(null,r)})),"filter"==n)return r[0]},removeHook:function(o,n,t,i){var r;null!=gform.hooks[o][n]&&(r=(r=gform.hooks[o][n]).filter(function(o,n,r){return!!(null!=i&&i!=o.tag||null!=t&&t!=o.priority)}),gform.hooks[o][n]=r)}}); M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. Elles seront stockées dans notre base de contacts sauf rectification de votre part pour une durée de trois ans à compter de votre dernier contact avec les éditions AvenirConstrution. Conformément à la loi informatique et libertés modifiée, vous pouvez exercer vos droits directement de votre compte ou en écrivant à privacy@acpresse.fr gform.initializeOnLoaded( function() {gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery('#gform_ajax_frame_3').on('load',function(){var contents = jQuery(this).contents().find('*').html();var is_postback = contents.indexOf('GF_AJAX_POSTBACK') >= 0;if(!is_postback){return;}var form_content = jQuery(this).contents().find('#gform_wrapper_3');var is_confirmation = jQuery(this).contents().find('#gform_confirmation_wrapper_3').length > 0;var is_redirect = contents.indexOf('gformRedirect(){') >= 0;var is_form = form_content.length > 0 && ! is_redirect && ! is_confirmation;var mt = parseInt(jQuery('html').css('margin-top'), 10) + parseInt(jQuery('body').css('margin-top'), 10) + 100;if(is_form){jQuery('#gform_wrapper_3').html(form_content.html());if(form_content.hasClass('gform_validation_error')){jQuery('#gform_wrapper_3').addClass('gform_validation_error');} else {jQuery('#gform_wrapper_3').removeClass('gform_validation_error');}setTimeout( function() { /* delay the scroll by 50 milliseconds to fix a bug in chrome */ jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gform_wrapper_3').offset().top - mt); }, 50 );if(window['gformInitDatepicker']) {gformInitDatepicker();}if(window['gformInitPriceFields']) {gformInitPriceFields();}var current_page = jQuery('#gform_source_page_number_3').val();gformInitSpinner( 3, 'https://www.acpresse.fr/wp-content/plugins/gravityforms/images/spinner.svg' );jQuery(document).trigger('gform_page_loaded', [3, current_page]);window['gf_submitting_3'] = false;}else if(!is_redirect){var confirmation_content = jQuery(this).contents().find('.GF_AJAX_POSTBACK').html();if(!confirmation_content){confirmation_content = contents;}setTimeout(function(){jQuery('#gform_wrapper_3').replaceWith(confirmation_content);jQuery(document).scrollTop(jQuery('#gf_3').offset().top - mt);jQuery(document).trigger('gform_confirmation_loaded', [3]);window['gf_submitting_3'] = false;wp.a11y.speak(jQuery('#gform_confirmation_message_3').text());}, 50);}else{jQuery('#gform_3').append(contents);if(window['gformRedirect']) {gformRedirect();}}jQuery(document).trigger('gform_post_render', [3, current_page]);} );} );
Il y a 3 ans et 90 jours

Pérenniser la Maison d’Adam à Angers

Édifice incontournable du patrimoine de la ville d’Angers, la Maison d’Adam est considérée comme un chef d’œuvre de la charpenterie de la fin du Moyen-Âge en France. Après avoir constaté des défauts d’étanchéité sur la couverture et les menuiseries, la Soclova, bailleur emphytéotique depuis 1994, a pris conseil auprès de la Drac Pays de La Loire. Une phase de travaux qui durera 18 mois débutera en septembre prochain. Elle sera supervisée par Gabriel Turquet de Beauregard, architecte des Bâtiments de France. La conduite des travaux a été confiée par la SOCLOVA au groupement d’architectes ARCHITRAV / François Terrien. Grâce à une collaboration efficace entre cette équipe et les services de l’État, les travaux de réhabilitation permettront de garantir à la fois le respect du monument historique et de le doter de performances énergétiques aux normes. L’esthétique de la Maison d’Adam sera légèrement remaniée afin de protéger l’édifice et de le pérenniser. Concrètement, un clairis d’ardoises sera posé sur la pointe de pignon de la façade place Sainte-Croix afin de protéger le bâtiment des intempéries. La restauration est soutenue à hauteur de 614 296 € (soit environ 32%) par l’État grâce au plan France Relance.
Il y a 3 ans et 90 jours

Le BTP face au défi de l'indépendance énergétique

Nucléaire - La guerre en Ukraine a exacerbé les tensions, confortant Emmanuel Macron dans sa décision de construire six réacteurs EPR 2 et d'en mettre huit autres à l'étude. Le tout pour 50 Mds € d'investissement.
Il y a 3 ans et 90 jours

Nouveau projecteur Concord RAIDEN : Un design unique et une qualité d’éclairage premium pour toutes les applications extérieures et sportives

Depuis plus de 50 ans, Concord de Sylvania repousse les limites de la performance pour proposer des solutions d’éclairage à la pointe de l’innovation tant d’un point de vue technique qu’esthétique. Devenue une marque de référence du secteur, elle reste fidèle à sa volonté d’atteindre l’excellence et lance aujourd’hui RAIDEN, une gamme complète de projecteurs à LED au design épuré, faciles à installer. Un projecteur polyvalent au design unique Développé en Europe, le nouveau projecteur RAIDEN se distingue par son style élégant et une esthétique tout en finesse. Extra-plat (épaisseur de 34,5 mm), il s’intègre avec discrétion à tous les espaces aussi bien en extérieur qu’en intérieur, dans le respect des réglementations en vigueur*, grâce à ses deux températures de couleur (3 000, 4 000 K). D’une grande robustesse de par sa conception en aluminium (protection IP66), RAIDEN convient particulièrement aux environnements les plus rigoureux (industries, parkings, panneaux d’affichage…), y compris dans les zones littorales (test brouillard salin 1.000 heures). Résistant aux chocs (IK08) ainsi qu’aux impacts de ballons et de balles lorsqu’il dispose de sa grille de protection dédiée (certification VDE en cours), il trouve également son application dans les salles omnisports. Polyvalent, RAIDEN est disponible en version standard et DALI (solution gradable). Une version Aqua, spécialement pensée pour une installation en milieu chloré est également disponible. De hautes performances pour une qualité d’éclairage premium en toute circonstance Délivrant 7 niveaux de flux lumineux (de 3.000 jusqu’à 50.800 lm) avec une haute efficacité lumineuse (jusqu’à 138 lm/W), Concord RAIDEN garantit une excellente qualité de lumière (IRC>80, SDCM
Il y a 3 ans et 90 jours

Le collectif de la rénovation globale en copropriété rejoint l'Alliance HQE-GBC pour atteindre les ambitions de 2050

Porté par un esprit d’intérêt général commun, le Collectif entend bénéficier de la puissance de l’Alliance pour mobiliser plus encore usagers et professionnels, fluidifier le processus de rénovation globale et démultiplier les chantiers ambitieux.Relever ensemble le défi de la réduction des émissions de carboneEn France, on compte près de 460 000 copropriétés, soit 10 millions de logements. Environ 100 000 copropriétés soit 1,1 million logements sont considérés comme des passoires énergétiques. Rénover l’ensemble du parc immobilier au standard BBC d’ici 2050 est l'un des objectifs du projet de loi Climat et Résilience avec une étape visant à éliminer les passoires thermiques d'ici 2025. De plus dès 2028, il ne sera plus possible de louer un appartement classé F ou G.Face à cet enjeu majeur aussi bien environnemental, sociétal, qu’économique, il est apparu urgent aux acteurs de la filière de se mobiliser dans le cadre d’un collectif avec pour vocation de réfléchir et d’agir depuis l’intérieur et avec l’ensemble de la filière (MOA, Maîtrise d’Usage, MOE, AMO, Entreprises, Industriels, fournisseurs d’énergie et organismes de sensibilisation du public) dans le but de multiplier les rénovations globales efficientes en copropriété.Créé en février 2021 à l’initiative de l’UNIS et de l’UNSFA, le Collectif de la Rénovation Globale en Copropriété s’est ouvert à près de 60 participants dont UNIS, UNSFA, FNAIM, CINOV (voir détail page suivante). Afin d’accélérer la massification de la rénovation énergétique des copropriétés en s’appuyant sur la force de l’intelligence collective, le Collectif intègre à partir d’aujourd’hui l’Alliance HQE-GBC France en créant un groupe de travail dédié.Pour Marjolaine Meynier-Millefert, Présidente de l’Alliance HQE-GBC France : " L’intégration du collectif, dont les missions font écho à l’intérêt public était, de fait, naturelle pour l’Alliance HQE-GBC France. La massification de la rénovation est nécessaire pour réduire les émissions de GES du secteur bâtiment. La naissance de ce nouveau groupe de travail au sein de l’Alliance HQE-GBC est un bon signal pour une prise en compte environnementale et globale de la rénovation qui devient alors une démarche ambitieuse de développement durable."Pour Emira Zaag, architecte et pilote UNSFA de l’action “Collectif de la Rénovation Globale en Copropriété” : "Portés par les mêmes valeurs fortes de travail collaboratif, de développement durable et d’innovation que l’Alliance HQE-GBC, c’est tout naturellement que les membres du Collectif ont choisi de la rejoindre. Les axes de la feuille de route du Collectif s’inscrivent pleinement dans les 4 missions principales de l’Alliance et dans sa vision holistique et interprofessionnelle de la fabrique d’un cadre de vie durable. Enfin, le Collectif partage les 4 engagements (Qualité de vie, respect de l’environnement, performance économique et management responsable) de l’Alliance HQE-GBC."Un but commun : pousser l’innovation collective !Pour fluidifier le processus de rénovation globale et démultiplier les chantiers, le groupe de travail Rénovation Globale en Copropriété s’appuiera sur 4 axes d’actions fortes nourries par l’innovation collective : 1. Faciliter la commande de rénovations globales efficientes grâce à la systématisation de la réalisation d’un diagnostic technique global et la définition d’un langage commun pour mettre en place des guides et référentiels.2. Proposer des outils opérationnels, notamment des formations par cœur de métier et interdisciplinaires, une base de données documentaire centralisée, une boite à outils de gestion de projet de rénovation, un mode de dévolution des marchés.3. Développer le réseau des professionnels en déployant en régions la politique nationale de rénovation des copropriétés et en faisant la promotion des actions interprofessionnelles sur le territoire.4. Innover dans les financements en exploitant les financements verts, les prêts avance mutation (PAM), le levier surélévation...
Il y a 3 ans et 90 jours

Beissier l’ultra-spécialiste des enduits du peintre fête ses 150 ans

Beissier SAS, le leader des enduits de peintre, célèbre ses 150 ans d’histoire en 2022 avec une actualité particulièrement riche entre nouvelle stratégie de marque, nouvelle vitrine digitale et innovation produit. Réalisant en 2021 un chiffre d’affaires de l’ordre 40 millions d’euros (correspondant à 90 000 tonnes de produits, soit une croissance de + 30 […]
Il y a 3 ans et 90 jours

Ursa rejoint l’actionnariat de Valobat

Ursa intègre l’actionnariat de l’éco-organisme Valobat. [©Ursa] Le spécialiste dans la production de laine minérale de verre et de polystyrène extrudé, Ursa intègre l’actionnariat de Valobat. Après un premier positionnement au sein de l’éco-organisme en tant que pré-adhérent, l’industriel confirme son engagement. Ainsi, il s’inscrit dans la démarche collective de la Rep des produits et des matériaux de construction pour le bâtiment. Et permet à Valobat de renforcer son expertise en matière d’économie circulaire, de recyclage et de RSE. Les ambitions communes de l’Ursa et de Valobat « Par cette prise de participation, nous souhaitons accélérer ses actions liées à l’économie circulaire, et plus particulièrement, se positionner en acteur d’un éco-système vertueux », déclare Shadé Olajide, chef de projet économie circulaire d’Ursa. Lire aussi : Herige entre au capital de Valobat Et Jean-Pierre Laherre, Dg d’Ursa France, de conclure « Nous sommes engagés dans une démarche de transformation de nos modèles, dans le cadre de nos ambitions RSE. Aussi, être au cœur des décisions stratégiques de Valobat, qui rassemble de grands acteurs industriels et distributeurs du bâtiment, constitue une opportunité majeure. Plus largement, cela va nous permettre de contribuer à la transition écologique de la filière. »
Il y a 3 ans et 90 jours

La CAPEB et Téréva renouvellent leur partenariat pour accompagner les entreprises artisanales du bâtiment dans leurs travaux de rénovation énergétique

Paris, le 3 mars 2022 – La Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB), via sa filiale Béranger Développement, et Téréva, filiale à 100 % du Groupe Martin Belaysoud, spécialisée dans la distribution de produits aux professionnels en sanitaire, plomberie, génie climatique, électricité et outillage, ont renouvelé leur partenariat afin d’accompagner les entreprises artisanales du […]
Il y a 3 ans et 90 jours

Partenariat Sika et StockPro : La lutte contre le gaspillage, pour une construction plus responsable

Sèvres, le 3 mars 2022 – Faire bouger les lignes et œuvrer ensemble afin de proposer des solutions durables et concrètes aux acteurs du secteur, pour une construction plus responsable. C’est là tout l’objet du partenariat initié entre la société Sika, leader dans le développement et la production de systèmes et de produits destinés au […]
Il y a 3 ans et 90 jours

Présidentielle : Les propositions de l’Association Promotoit pour habiter mieux

En vue des prochaines échéances électorales, Promotoit interpelle les candidats et leur suggère des mesures simples :  1. Assouplir les conditions d’éligibilité aux dispositifs d’accompagnement d’Action Logement ;  2. Élargir la portée du crédit d’impôt personnes âgées et de l’aide « Habiter facile » de l’ANAH pour financer les travaux d’agrandissement des logements ;  3. […]
Il y a 3 ans et 90 jours

Naturels ou sublimés :le bois massif montre ses meilleurs profils en façade , avec les bardages MOCOPINUS

Une façade révèle des informations importantes sur le bâtiment qu’elle compose. Dans le cas d’une maison, elle reflète en partie la personnalité des personnes qui l’habitent. C’est pourquoi le choix du bardage est déterminant sur le plan esthétique. Il doit, par ailleurs, aussi participer à l’étanchéité du bâtiment et être performant. Matériau noble, intemporel, multiple […]
Il y a 3 ans et 90 jours

“Réinventons les villes” : Tarkett publie un livre blanc qui  éclaire sur les changements profonds survenus chez les propriétaires et locataires suite à la pandémie.

Février 2022 – Le livre blanc « Réinventons les villes » de Tarkett analyse en profondeur comment les acteurs de l’habitat collectif peuvent aider les propriétaires et résidents à réinventer la vie en ville, en matière de confort, de développement durable et d’investissements pour améliorer la vie en collectivité et le bien-être des personnes. « Il était très […]
Il y a 3 ans et 90 jours

Puy-de-Dôme : label Tourisme & Handicap pour le sentier des Contes, dans la forêt de la Comté

Le département du Puy-de-Dôme a labellisé Tourisme & Handicap le sentier des Contes qui traverse la forêt de la Comté.
Il y a 3 ans et 90 jours

Loire-Atlantique : un nouveau visage pour les quartiers Coulvé-Québrais et de la Trébale à Saint-Nazaire

À Saint-Nazaire, le secteur de Coulvé-Québrais et le quartier de la Trébale font l’objet d’un projet urbain et paysager.
Il y a 3 ans et 90 jours

Bois, terre, chanvre, paille : la construction 3D se veut plus vertueuse

Quand l’impression 3D cherche à rendre plus écologique sa technique de construction, elle se dirige vers des matériaux plus naturels comme le bois, la terre, le chanvre ou la paille.  L’impression 3D dans le bâtiment n’a pas vraiment bonne presse chez les écolos. Et à juste titre : utilisation de matériaux peu vertueux (dont le […]
Il y a 3 ans et 91 jours

Cinq organisations relativement décues par le plan anti-chutes du Gouvernement

RÉACTION. Cinq organisations impliquées dans la filière construction déplorent, dans une tribune commune, l'absence de concertation lors de la préparation du plan "anti-chutes" présenté par le gouvernement.
Il y a 3 ans et 91 jours

Prévention des chutes : les coordonnateurs SPS et les maîtres d’ouvrage à la rescousse

La branche Assurance Maladie - Risques professionnels a dressé, le 15 mars, un état des lieux du risque de chute en entreprise. Le BTP, particulièrement concerné par les chutes de hauteur, bénéficie d’aides spécifiques.
Il y a 3 ans et 91 jours

Découvrez l'impression 3D, aussi appelée fabrication additive, avec 3DEXPERIENCE Make et Any-Shape

L'impression 3D, c'est quoi ? L’impression 3D est une méthode de fabrication qui consiste à déposer des couches de matériau les unes sur les autres. Lorsqu’elle est utilisée à l’échelle industrielle, l’impression 3D est appelée fabrication additive (FA), par opposition aux procédés de fabrication soustractive traditionnels comme le fraisage CNC. Cette technologie, inventée au début des années 1980, existe depuis environ quatre décennies. Alors que l’impression 3D apparaissait, au départ, comme une méthode de fabrication lente et coûteuse, elle est aujourd’hui plus rapide et abordable que jamais. Impression 3D : comment ça marche ? Un modèle 3D est d’abord découpé en centaines, voire milliers de fines couches horizontales par un logiciel dédié (« slicer »), pour ensuite être exporté en format G-code. Ce format d’impression 3D est un langage permettant à l’imprimante 3D de savoir où et quand déposer du matériau. Chaque couche correspond à la forme 2D exacte de l’objet à ses différents niveaux de hauteur. Par exemple, en imprimant une pyramide en 3D, la première couche (à la base de la pyramide) serait un carré plat, et la dernière (à la pointe de la pyramide) serait simplement un point. Les couches sont imprimées en 3D l’une sur et après l’autre jusqu’à ce que l’objet soit terminé. Les principales technologies d’impression 3D Il existe plusieurs moyens d’imprimer des objets en 3D. Les principaux procédés ou technologies d’impression 3D disponibles aujourd’hui sont les suivants :FFF (fabrication par dépôt de fil fondu) or FDM (« fused deposition modeling »), avec des bobines de filament plastique comme consommables SLA (stéréolithographie), où un laser ou projecteur de lumière photopolymérise (solidifie) de la résineFusion ou frittage de poudre (PBF, SLS, SMS…), des méthodes où des particules de matériau plastique ou métal sont fusionnées grâce à de puissants lasers Jet de matière (« material jetting » ou « binder jetting »), lorsque de microscopiques gouttes de matériau ou d’agent liant sont déposées sur un lit de poudre Ces technologies d’impression 3D possèdent chacune leurs forces et limites, et sont adaptées à différents types d’industries et de cas d’utilisation. Pourquoi opter pour l’impression 3D ? L’impression 3D offre de nombreux avantages. Sa principale valeur ajoutée réside dans sa capacité à imprimer des géométries très complexes qui resteraient impossibles à réaliser avec des méthodes de fabrication traditionnelles comme le moulage par injection. Autre facette importante de la fabrication additive : la rapidité. Malgré le fait que l’impression 3D d’un objet puisse prendre plusieurs heures, voire jours, le processus de fabrication de prototypes par la voie de méthodes classiques demeure bien plus long. Le prototypage rapide reste, en effet, l’une des utilisations professionnelles de l’impression 3D les plus répandues. Les prototypes peuvent être produits dans des délais très courts, avec l’avantage de pouvoir rapidement améliorer les modèles et d’imprimer chaque version. Cette technologie offre également de nombreuses possibilités au niveau des matériaux employés. Quels matériaux peut-on utiliser en impression 3D ? Il est possible d’imprimer en 3D avec presque n’importe quel matériau. Les matériaux d’impression 3D les plus courants sont à base de plastique, allant du PLA standard aux polymères haute performance tels que le PEEK ou le PEI, et bien d’autres encore. Il est même possible de renforcer les thermoplastiques avec de la fibre de carbone ou de la fibre de verre. Certaines niches voient également le jour depuis quelques années. Les scientifiques et chercheurs explorent la bio-impression 3D, les restaurateurs se lancent dans l’impression 3D alimentaire.
Il y a 3 ans et 91 jours

Edma se renforce dans l'instrumentation de mesure

ACQUISITION. Le fabricant d'outils, Edma, annonce avoir fait l'acquisition de la société Topomesure, un spécialiste de l'instrumentation de mesure, qui distribue en France la marque Condtrol.
Il y a 3 ans et 91 jours

Malgré une baisse logique due au Covid, le BTP reste très exposé au travail illégal

FRAUDE. Un comité interministériel dédié à la lutte contre le travail illégal vient de présenter le bilan du plan national anti-fraude qui a couvert la période 2019-2021. Les orientations du prochain plan, courant de 2022 à 2024, ont également été présentées à cette occasion. Si le phénomène s'est calmé à cause de la pandémie de Covid, le secteur de la construction reste tout de même largement confronté à cette problématique.
Il y a 3 ans et 91 jours

Une enquête de la DGCCRF relève une grande diversité de manquements au CCMI chez certains constructeurs de maisons individuelles

La DGCCRF a mené des enquêtes en 2019 afin de traquer les manquements et diverses infractions à la protection du consommateur dans le cadre du CCMI. Cette enquête a révélé, à la suite de précédents contrôles, la persistance chez certains professionnels de pratiques non conformes à la réglementation en vigueur.Pour rappel, il existe deux sortes de CCMI :le CCMI avec fourniture de plan (le plus répandu) : le consommateur fait appel à un opérateur unique pour la réalisation du plan et de la construction (articles L. 231-1 et suivants du code de la construction et de l’habitation (CCH),le CCMI sans fourniture de plan : le consommateur fait réaliser les plans par un prestataire avant de se tourner vers le constructeur (art. L. 232-1 et suivants du CCH).L'enquête a été menée dans 15 régions incluant deux régions d'outre-mer. 285 établissements ont été contrôlés en 461 passages. Sur les 23,800 entreprises en France qui exerçaient dans le secteur de la construction de bâtiments, 9,500 TPE-PME proposaient la construction de maisons individuelles.Afin de cibler leurs contrôles, les enquêteurs de la DGCCRF ont pris en compte les plaintes recueillies, les résultats des précédents contrôles et les mentions valorisantes figurant sur des supports de communication ou sur les réseaux sociaux tels que « [maison] clé en main, « Construction de A à Z »…, afin de vérifier le bien-fondé des contrôles. En cas d'abandon de chantier ou de malfaçons, il est prévu dans le CCMI, afin de protéger le consommateur, que de nombreuses formalités soient accomplies par le professionnel comme souscrire à une garantie de livraison ou conclure par écrit les contrats de sous-traitance le commencement de l’exécution des travaux. Les maître d'ouvrage est également concerné par des formalités telles que souscrire à une garantie dommage-ouvrage, obtenir un prêt ou acquérir la propriété du terrain à bâtir. Le professionnel peut l'éclairer dans ces démarches (loi du 19 décembre 1990 qui définit le cadre du CCMI et la plupart de ses dispositions figurent au Code de la construction et l'habitation).Ce sont notamment ces formalités et démarches liées au CCMI que les enquêteurs ont contrôlé.Les principaux points de vérifications étaient les suivants :l’existence d’un contrat écrit (obligatoire en l’occurrence) ;l’absence de clauses illicites (article L. 231-3 du CCH) ;la garantie de livraison du constructeur (article L. 231-6 du CCH) ;le respect de l’échéancier des appels de fonds (article R. 231-7 du CCH) ;l’information lisible et compréhensible sur le droit de rétractation.Une grande diversité de manquements au CCMI ont été constatésLes résultats de cette enquête sont assez similaires aux précédentes enquêtes : un peu plus établissement sur deux ne respecte pas la réglementation (55%). Si certaines des infractions peuvent n'avoir qu'un impact négligeable sur le projet de construction comme l'envoi d'un contrat en un seul exemplaire aux deux contractants au lieu d'un exemplaire chacun, d'autres peuvent s'avérer bien plus dommageables comme l'absence de contrat écrit ou encore le début du chantier sans garantie de livraison.Au cours de cette enquête, ce sont les manquements aux règles propres au CCMI qui ont été les plus nombreux, notamment des manquements particulièrement graves concernant :la conformité du contrat,la garantie de livraison obligatoire,l'information sur le droit de rétractation,l'interdiction pour le professionnel de percevoir une somme d'argent avant la signature du contrat ou avant la date d'exigibilité de la créance.L'attention portée aux contrats a notamment permis d'identifier des clauses abusives, par exemple les clauses ayant pour objet ou pour effet d'interdire au maître de l'ouvrage de visiter le chantier, préalablement à chaque échéance de paiement et à la réception des travaux ou encore de subordonner la remise des clefs au paiement intégral du prix et faire ainsi obstacle au droit du maître d'ouvrage de consigner les sommes restantes dues lorsque des réserves sont faites à la réception des travaux.Les manquements observés par la DGCCRF ne concernent cependant pas que les contrats eux-mêmes. Le respect de la réglementation imposé dès la phase précédant la signature du contrat a lui aussi été contrôlé. Plusieurs manquements au Code de la consommation relatifs à l'information précontractuelle du consommateur ont ainsi été mis en avant. Les enquêteurs ont également recherché la présence de pratiques commerciales trompeuses ou déloyales. Des pratiques comme par exemple un constructeur qui mentionnait les références d'un assureur ayant fait faillite ou encore un agent commercial d'une société de maisons en bois ayant encaissé un acompte de 35% du prix global convenu mais n'ayant jamais démarré les travaux ensuite.Beaucoup de mauvaises pratiques qui persistent malgré toutCes enquêtes montrent une légère baisse du taux d'anomalies par établissement par rapport à l'année précédente (55% contre 57%) et une certaine régularité sur les quatre dernières enquêtes (de 2016 à 2018), cependant elles démontrent tout de même la persistance d'un niveau toujours très élevé de manquements à la réglementation.158 des 285 entreprises contrôlées ont fait l'objet de suites par les services de la DGCCRF. Les enquêteurs ont pris des mesures pédagogiques, correctives ou répressives en fonction de la gravité des résultats. Cela a donné lieu à 87 avertissements, 56 injonctions, 31 procès-verbaux pénaux, 1 procès-verbal administratif et 1 procédure au civil. Une suite sur deux est pédagogique avec 49% d’avertissements (contre 61% en 2018). Un tiers des suites a été de nature corrective, soit 32% d’injonctions (contre 21% en 2018) et un peu moins d’un contrôle litigieux sur 5 a donné lieu à la rédaction d’une suite répressive soit 18% de procès-verbaux pénaux (contre 17% en 2018). Lors de cette enquête, une attention particulière était portée sur la vérification de la prise en compte des précédentes suites par des opérateurs ayant fait l'objet d'un contrôle antérieur. Dans la majeure partie des cas, il a été constaté une remise en conformité satisfaisante des pratiques de ces professionnels. De même, plusieurs procédures pénales engagées suite à de précédents contrôles ont fait l'objet de transactions, acceptées et réglées par les professionnels concernés.Les enquêteurs soulignent aussi que cette persistance d’anomalies s’explique notamment par le manque de maîtrise de la réglementation de la part de certains constructeurs ce qui justifie une poursuite des contrôles sur ces professionnels lors de prochaines enquêtes.
Il y a 3 ans et 91 jours

De nombreux métiers du BTP parmi les plus porteurs d'ici 2030 selon un rapport du ministère du Travail

Cet exercice prospectif, réalisé par le service des statistiques du ministère du Travail (Dares) et France Stratégie, organisme de réflexion auprès du Premier ministre, porte sur 2019-2030 et aurait dû être publié en 2020 mais il a été revu à la lumière de la crise du Covid.Pour les auteurs, ces besoins de recrutement seraient massivement (à 89%) liés aux départs en retraite et alimentés seulement à 11% par un million d'emplois supplémentaires créés entre 2019 et 2030, dont deux tiers dans les services.Le rapport confirme la poursuite de la tertiarisation de l'emploi au bénéfice des services aux entreprises, des professions de santé et d'aide aux personnes fragiles.Pour autant, du fait notamment de la volonté de limiter la dépendance industrielle, la part de l'industrie ne diminuerait plus. Alors que 170.000 postes industriels ont été détruits entre 2009 et 2019, le rapport prévoit 45.000 emplois supplémentaires à l'horizon 2030. Et 20.000 de plus en cas d'accélération de la transition écologique, qui bénéficierait aussi fortement à la construction.Parmi les métiers comptant le plus de postes à pourvoir, le rapport distingue trois catégories.La première comprend les métiers qui créeraient peu ou pas d'emplois, avec essentiellement des départs en retraite : c'est le cas des agents d'entretien, des enseignants ou des conducteurs de véhicules.La deuxième catégorie regroupe "les métiers où les créations d'emplois représenteraient au moins un quart des postes à pourvoir" : les aides à domicile, les aides-soignants, les infirmiers, les sages-femmes, les cadres administratifs, comptables et financiers, les cadres commerciaux, les ouvriers qualifiés de la manutention et les techniciens de maintenance.La troisième catégorie est constituée des ingénieurs de l'informatique et des ingénieurs et cadres techniques de l'industrie. Ces professions se distinguent par leurs créations d'emplois qui représenteraient "au moins la moitié" des besoins. "Ce sont des métiers relativement jeunes qui conjuguent un fort dynamisme de l'emploi et de faibles départs à la retraite", selon le rapport.Des difficultés dès le recrutement Si on confronte ces besoins de recrutement avec le vivier potentiel de jeunes, le rapport met en évidence des "déséquilibres potentiels" selon les professions.Les difficultés de recrutement se maintiendraient pour deux métiers sur cinq, notamment les aides-soignants, les techniciens et cadres du bâtiment et des travaux publics, les ingénieurs de l'informatique et les ingénieurs et cadres de l'industrie.Elles s'aggraveraient dans certains cas en raison d'une faible attractivité des métiers. C'est le cas par exemple des conducteurs d'engins du bâtiment et des travaux publics.Ces déséquilibres pourront être réduits "par la mobilité professionnelle, la diminution du chômage, le recours aux inactifs ou à l'immigration", a souligné Cédric Audenis, commissaire général adjoint de France Stratégie, lors d'un point de presse.Le rapport prévoit 1,8 million de créations nettes d'emplois pour les diplômés du supérieur et 800.000 destructions pour les non diplômés du supérieur. En France, même s'il y aune demande pour certains métiers peu qualifiés comme la manutention, "il y a bien au total une baisse de l'emploi non qualifié", a souligné M. Audenis.
Il y a 3 ans et 91 jours

A l'aune de la crise ukrainienne, l'Etat veut plus que jamais soutenir la pompe à chaleur

ÉNERGIE. La ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, a apporté un soutien franc et massif à la filière de la pompe à chaleur, lors d'un déplacement ce 15 mars 2022 dans les locaux du groupe Atlantic, dans le Val-de-Marne.