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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 3 ans et 96 jours

Malakoff, dissolution du Tripode de l’Insee : bilan carbone, la stat qui fait peur

Le 23 décembre 2021 était délivré le permis de démolir de l’ancien siège de l’Insee, à Malakoff (Hauts-de-Seine). À l’heure où il est question de la réutilisation de nos bâtiments iconiques, d’aucuns crient au sacrilège. Depuis quelques années maintenant et la prise de conscience de l’empreinte carbone de nos constructions sur l’avenir de nos ressources naturelles, […] L’article Malakoff, dissolution du Tripode de l’Insee : bilan carbone, la stat qui fait peur est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 96 jours

Covid : retour à la normale dans les entreprises lundi... ou presque

Mis en place au printemps 2020, le protocole sanitaire en entreprise va "disparaître" à partir du 14 mars, date à laquelle le port du masque ne sera plus obligatoire dans les lieux fermés (sauf les transports), a annoncé mardi sur LCI la ministre du Travail, Elisabeth Borne.La dernière version de ce document de référence "pour assurer la santé et la sécurité des salariés et la poursuite de l'activité économique face au Covid-19", mise à jour le 28 février, compte pas moins de 25 pages. Elle prévoit notamment des règles de distanciation dans les bureaux ou dans les cantines, amenées donc elles aussi à "disparaître", selon la ministre."On va reprendre des règles normales en entreprise", a-t-elle résumé, tout en précisant qu'il faudrait "continuer évidemment à appliquer des règles d'hygiène", comme le lavage des mains, le nettoyage des surfaces et l'aération des locaux."Voici le bout du tunnel", s'est aussitôt réjouie sur Twitter l'Union des entreprises de proximité (U2P), qui regroupe artisans, petits commerçants et professions libérales.Quant au télétravail, "on avait déjà rendu la main aux entreprises", et il dépend donc déjà de "règles qui se définissent dans le dialogue social au sein des entreprises", a rappelé la ministre. Depuis le 2 février, le télétravail n'était plus imposé mais seulement "recommandé".Un bref guide sur les "mesures de prévention des risques de contamination au Covid-19 hors situation épidémique", partagé par la ministre aux partenaires sociaux, doit remplacer le protocole."Dans les circonstances actuelles où le virus continue à circuler, les salariés qui le souhaitent pourront continuer à porter un masque, sans que l'employeur ne puisse s'y opposer", indique notamment ce guide.Mais même si le protocole disparaît, le ministère du Travail rappelle dans son guide que l'employeur doit "évaluer les risques d'exposition au virus" et "mettre en oeuvre des mesures de prévention" visant à supprimer ces risques à la source."Marre des contraintes"En clair, "l'employeur reste responsable en matière de santé-sécurité au travail", souligne auprès de l'AFP Déborah David, avocate en droit social au cabinet De Gaulle Fleurance. Donc "s'il estime qu'il y a un risque spécifique dû à l'activité par exemple, il peut imposer le port du masque"."Ce serait difficile à imposer de façon complètement unilatérale parce que la plupart des salariés en ont un peu marre des contraintes", mais cela peut être précisé "dans une note de service annexée au règlement intérieur" et avec une durée limitée ou via une consultation des instances de représentation du personnel, dit-elle.Le maintien du port du masque "pendant un délai raisonnable le temps de voir s'il y a une reprise ou pas de l'épidémie", serait "légitime pour des employeurs", estime l'avocate, évoquant "une mesure de prudence".Également spécialiste du droit du travail, Me Eric Rocheblave souligne de son côté que le protocole sanitaire n'est qu'un "ensemble de recommandations, comme le Conseil d'Etat l'avait rappelé" fin 2020.Il invite à son tour les entreprises à la "prudence", d'autant, dit-il, que "le taux d'incidence remonte dans certaines régions" après les premiers retours des vacances scolaires.Les hôpitaux comptaient encore lundi 22.208 patients hospitalisés avec un diagnostic de Covid-19 (dont 1.274 admis en 24 heures), dont plus de 2.000 malades dans les services de soins critiques.Quid d'un salarié qui refuserait le port du masque imposé par son employeur?Pour Me David, "cela pourrait être considéré comme de l'insubordination sauf à démontrer, dans le cadre de son droit de retrait, que le port du masque présenterait un danger grave et imminent pour sa santé, ce qui est fort peu probable".Même constat d'Eric Rocheblave, pour qui "le salarié doit respecter les consignes d'hygiène et de sécurité de l'employeur sous peine de sanctions disciplinaires".Pour les autres, "on va pouvoir redécouvrir le sourire de ses collègues", s'est félicitée Mme Borne.
Il y a 3 ans et 96 jours

Le marché de la terrasse en bois progresse de 34 % entre 2019 et 2021

Avec 16 millions de m2 vendus en 2021, le marché de la terrasse en bois est en constante progression depuis 2015, avec une accélération sans précédent entre 2019 et 2021.
Il y a 3 ans et 96 jours

Présidentielle : Hellio présente 40 propositions pour un nouveau modèle de l'efficacité énergétique

La conjoncture politique est également marquée par une volatilité du coût de l’énergie, qui vient percuter deux préoccupations majeures des Français : la préservation de leur pouvoir d’achat et la protection de leur environnement. A cette problématique, l’efficacité énergétique, soit l’ensemble des solutions et travaux permettant de réduire la consommation d’énergie, fait consensus en tant que solution prioritaire. Hellio, acteur expert, innovant et de terrain du secteur de l’efficacité énergétique depuis 2008 prend sa part au débat public, en partageant ses propositions concrètes autour de son métier, de son expérience et de ses échanges au quotidien avec tous les acteurs de la filière. Une feuille de route pour défendre un modèle français de l’efficacité énergétiqueOutre refléter l’ADN de Hellio, ces 40 propositions constituent une feuille de route 2022 diffusée auprès des futurs décideurs à l’amorce d’une séquence électorale nationale majeure. Cette démarche vise à défendre un nouveau modèle français de l’efficacité énergétique autour de trois axes :Favoriser les économies d’énergie “réelles”. Le triptyque “rénovation énergétique globale des bâtiments, pilotage de la consommation d’énergie et garantie de performance des travaux” doit permettre d’avoir un réel impact sur la facture d’énergie, au contraire des rénovations isolées par “geste” sans sobriété, tout en préservant prioritairement les ménages en situation de précarité énergétique. Participer à la “décarbonation” de notre économie par l’intégration de l’économie circulaire dans les dispositifs d’aides financières incitatives. Lever les freins opérationnels et réglementaires à l’innovation et aux projets énergétiques d’envergure portés par les PME et les territoires. La dynamique du secteur est forte, mais limitée par des pénuries de main d’œuvre, de matériaux et plus structurellement par des procédures administratives trop lourdes.40 propositions scindées en 6 thèmes autour de l’efficacité énergétiquePour Marina Offel, responsable des affaires publiques et juridiques Hellio : « Cette initiative récapitule les solutions du groupe, recensées aux cours de nos réflexions sur notre métier des économies d’énergie exercé au quotidien depuis 2008, de nos retours terrain, des difficultés avec la réglementation, les administrations et les axes d’amélioration identifiés tout au long de la 4ème période des Certificats d’Économies d’Énergie. Elle est la preuve que notre expertise n’est pas qu’au service de notre seul intérêt commercial, mais de celui d’une amélioration de la politique publique des économies d’énergie qui s’applique à notre secteur, nos partenaires et à nos clients. Nos équipes sont passionnées ! »Les 40 propositions sont réparties autour de 6 thèmes : 1. Favoriser les économies d’énergie réelles, 2. Intégrer l’efficacité énergétique à la dynamique économique dans tous les secteurs d’activité,3. Lutter contre la précarité énergétique avec le scénario “1 million“ du collectif STOP Exclusion Énergétique,4. Conforter la filière de la rénovation énergétique,5. Structurer la filière des travaux d’efficacité énergétique,6. Construire une Europe de l’efficacité énergétique plus ambitieuse.Hellio préconise pour massifier l’offre de rénovation énergétique le déploiement progressif d’opérateurs ensembliers tiers de confiance agréés et labellisés “MonAccompagnateurRénov’” par l’État. Hellio plaide en faveur d’une meilleure structuration de la filière de l’efficacité énergétique via le levier de la formation et des dispositifs de contrôle plus efficients. Hellio propose enfin de faire davantage bénéficier au secteur des transports le dispositif des Certificats d’Économies d’Énergie, qui reste aujourd’hui le parent pauvre d’une politique qui a par ailleurs fait largement ses preuves.
Il y a 3 ans et 96 jours

Deux nouveaux programmes CEE de soutien à la formation et à l'innovation dans le secteur du BTP

Le ministère de la Transition écologique a annoncé via un communiqué le 25 février deux nouveaux programmes CEE pour un montant de 51 million d'euros : le programme Oscar et le programme Profeel 2.
Il y a 3 ans et 96 jours

Le protocole sanitaire en entreprise s'arrêtera le 14 mars

SANTÉ. Alors qu'il avait déjà été annoncé que le port du masque ne serait plus obligatoire sur le lieu de travail à compter du 14 mars, la ministre du Travail Élisabeth Borne a confirmé que l'ensemble du protocole sanitaire en entreprise va en réalité "disparaître" à cette date.
Il y a 3 ans et 96 jours

DECONSTRUCTION

25 ans après son interdiction totale en France, l'amiante demeure un enjeu majeur de santé publique et de santé au travail. Les chiffres officiels font encore état de 2000 à 3000 décès par an ! Mais heureusement, les choses ont bien évolué.
Il y a 3 ans et 96 jours

Paris La Défense attribue à ILEX la mission de maîtrise d’œuvre urbaine au sein de la ZAC Seine Arche à Nanterre

Le projet d’aménagement de la ZAC Seine Arche a été initié avec la volonté de réparer les coupures urbaines générées par les infrastructures de transports (voies ferrées, autoroutes), permettant d’ouvrir les quartiers, de créer de nouvelles liaisons, d’accentuer le caractère paysager et de prolonger l’axe historique en direction de la Seine. Aujourd’hui, avec la désignation du maître d’œuvre qui interviendra sur le secteur, le projet entre dans sa phase de réalisation. L’agence lyonnaise de paysagistes et d’urbanistes ILEX, qui pilote la conception et la mise en œuvre du projet, accompagnée par l’agence Sathy, va concrétiser la vision d’un urbanisme visant à développer la place de la nature et le confort urbain.Trois secteurs sont concernés par ces travaux d’aménagementAvenue de la République, une nouvelle façade urbaine sera composée. Une place compatible avec l’arrivée future du tramway T1, fonctionnera comme une porte d’entrée du campus de l’Université Paris Nanterre. Les futurs aménagements prévoient une mixité des usages, avec des logements, dont une résidence universitaire gérée par le Crous, des locaux d’activités et des commerces. Tout cela sera compatible avec la possibilité pour l’Université de Paris Nanterre de réaliser de nouveaux bâtiments. Les espaces publics seront repensés de manière à améliorer la liaison vers le Petit Nanterre, développer la végétalisation et les circulations douces. Dans le quartier Anatole France, Paris La Défense va réaménager les espaces publics et reconfigurer le cœur d’îlot.Du côté des Terrasses, les aménagements répondent à trois objectifs : renforcer la biodiversité au moyen d’une coulée verte, améliorer l’accessibilité grâce à une liaison piétonne et cyclable qui traversera le quartier vers la Seine (voie verte, passerelle, rampe piétonne), et, enfin, devenir un lieu d’accueil pour les activités associatives, qu’il s’agisse de cirque, d’agriculture urbaine ou d’événements culturels.Enfin, aux abords de l’échangeur, des connexions vont être créées pour une meilleure intégration urbaine aux quartiers environnants et à l’axe Seine. Le parc du Chemin de l’Ile sera étendu et la réalisation de nouveaux logements sera étudiée.
Il y a 3 ans et 96 jours

Loire-Atlantique : le chantier de dépollution de la cathédrale Saint-Pierre, à Nantes, se poursuivra jusqu’en août 2022

À Nantes, les travaux de décontamination de la cathédrale Saint-Pierre s’élèvent à 2,6 millions d’euros. Ce montant est entièrement financé par l’État.
Il y a 3 ans et 96 jours

Le groupe RGB rejoint Alphi dans la sauvegarde du Jardin Minéral

L’équipe autour de Joséphine Chevry et son Jardin Minéral. [©Sous la dune, le béton] En novembre 2020, Béton[s] le Magazine lançait un appel à mécénat pour sauver les œuvres en péril de Joséphine Chevry, à La Grande Motte. Et le coffreur Alphi avait répondu présent pour la moitié du projet. Le groupe RGB , spécialiste du béton, vient de le rejoindre. « Nous avons souhaité davantage participer à des évènements artistiques et culturels. Tout à commencer avec la photographe Lisa Ricciotti en janvier 2020. Avec la crise sanitaire, les choses ont été ralenties. Mais grâce à Béton[s] le Magazine, nous avons découvert le travail de Joséphine à La Grande Motte. Et nous avons adoré, s’enthousiasmait Alexandre Souvignet, le Pdg d’Alphi. Je connais d’autant plus cette ville balnéaire que j’ai effectué mes études d’ingénieur à Montpellier. J’ai toujours trouvé remarquable la réalisation architecturale de Jean Balladur, qui a pensé un mode de vie et un vivre ensemble de toutes pièces. Les sculptures de Joséphine sont liées à ce contexte. Elles font partie du visage de La Grande Motte et nous ne pouvions pas les laisser dépérir. Nous avons de plus avec elle un amour commun du béton. » Le groupe RGB France se joint au sauvetage Depuis, Alexandre Souvignet et l’artiste se sont rencontrés plusieurs fois et ont échangé sur le travail à réaliser. « Alphi est ainsi devenu force d’entraînement, figure de proue du projet. Nous avons trouvé Joséphine tellement sensible, tellement attachante et son œuvre si forte que nous avons décidé de promouvoir son appel à mécénat. D’autant plus que le dossier avançait au niveau de la mairie de La Grande Motte, les autorisations se précisaient, les contraintes administratives et environnementales se levaient. J’ai donc décroché notre téléphone et appelé des entreprises du bâtiment du Sud, susceptibles d’être intéressées. Nous avons lancé des bouteilles à la mer. Le 24 janvier dernier à 17 h 00, j’ai contacté  RGB France BTP sur LinkedIn. A 17 h 27, première réponse et à 22 h 31, un véritable message d’intérêt avec un appel téléphonique prévu le lendemain. Puis, une prise de décision extrêmement rapide, faisant suite à un comité de direction, deux jours après. Et là “banco” ! J’ai tout de suite appelé Joséphine qui n’en dormait plus pour lui annoncer la bonne nouvelle. » Et voici, tout ce petit monde rapatrié à La Grande Motte, au Jardin Minéral, le 9 février dernier, avec le soutien amical, indéfectible et énergique de l’entourage de Joséphine Chevry, notamment l’association “Sous le vent, le béton” et sa présidente Elisabeth Grimon-Massol. Ainsi que le maître d’œuvre du projet et ami, l’architecte Laurent Pascal. [©Sous la dune, le béton]Joséphine Chevry au centre, entouré à gauche de Laurent Pascal, architecte, ami et maître d’ouvrage du projet, Alexandre Souvignet, Pdg, et à droite, Olivier Crombé, directeur général adjoint du groupe RGB France. [©Sous la dune, le béton]De gauche à droite : Stéphan Rossignol, maire de La Grande Motte, Joséphine Chevry, Alexandre Souvignet, Pdg d’Alphi, et Olivier Crombé, directeur général adjoint du groupe RGB France. [©Sous la dune, le béton]Et voici, tout ce petit monde rapatrié à La Grande Motte, au Jardin Minéral, le 9 février dernier, avec le soutien amical, indéfectible et énergique de l’entourage de Joséphine Chevry, notamment l’association “Sous le vent, le béton” et sa présidente Elisabeth Grimon-Massol. Ainsi que le maître d’ouvrage du projet et ami, l’architecte Laurent Pascal. [©Sous la dune, le béton]De gauche à droite : Rogerio Ribeiro, président de RGB France BTP, et Olivier Crombé, directeur général adjoint de RGB France BTP. [©RGB France BTP] Une rencontre touchante Et voici, tout ce petit monde rapatrié à La Grande Motte, au Jardin Minéral, le 9 février dernier, avec le soutien amical, indéfectible et énergique de l’entourage de Joséphine Chevry, notamment l’association “Sous le vent, le béton” et sa présidente Elisabeth Grimon-Massol. Ainsi que le maître d’œuvre du projet et ami, l’architecte Laurent Pascal. Et le tout, en présence de Stéphan Rossignol, maire de la ville, qui soutient avec force le projet. « Pour des raisons d’agenda, je me suis retrouvé à ce rendez-vous à la place de notre président Rogerio Ribeiro, se souvient Olivier Crombé, directeur général adjoint de RGB France BTP. Arrivé en avance, je déambulais sur les dunes du Point Zéro. Au loin, une silhouette s’en détachait. Je me suis rapproché et ai demandé : “Vous êtes Joséphine ?”… C’était bien elle. Nous avons commencé à converser. Et là, j’ai été positivement ému par elle et son œuvre. » Et Rogerio Ribeiro, de rajouter : « Nous sommes très motivés par la préservation du patrimoine culturel local. Nous avons donc répondu présents. Et le béton armé, c’est notre créneau… Nous allons réparer les œuvres les plus abîmées et en refaire d’autres, en les préfabriquant sur un de nos chantiers». Les plannings sont en cours d’élaboration, dans le respect du calendrier de la saison estivale. Des travaux préparatoires de désherbage et de nettoyage sont déjà prévus d’ici mai et ceux, définitifs, devraient commencer en octobre prochain. Muriel Carbonnet
Il y a 3 ans et 96 jours

Würth innove avec Préci'Force « évolution » pour un serrage et desserrage sans effort

Grâce à son témoin de serrage et à sa technologie de roulements à billes, la Préci’force « Évolution » est une invention révolutionnaire qui permet d’assurer un serrage optimal et constant, mais surtout de réduire de 80% les efforts au desserrage. En plus, elle est réutilisable. Augmentation du rendement, réduction de la pénibilité et des risques de TMS… autant d’avantages qui sauront satisfaire les professionnels au mieux.L’écrou PRÉCI’FORCE « ÉVOLUTION » a été conçu pour le serrage et le desserrage sans effort des tiges de coffrage dans la réalisation de voiles/murs béton.Cet écrou en acier C45 zingué possède un filetage intérieur de Ø23 mm pas Dywidag, adapté aux tiges de coffrage standard, ainsi qu’une butée à rouleaux qui permet de réduire drastiquement les efforts au desserrage.Les + produits : Gain de temps : réduit le temps très coûteux de rotation des grues et le coût de main d’œuvre pour les opérations de serrage / desserrage des tiges de banches. Technologie de roulements à billes qui facilite le desserrage (réduction des efforts de 80%) : prévention des TMS et de la pénibilité au travail. Serrage maîtrisé : la Préci’Force permet un serrage optimal et constant qui évite la déformation des structures : voile ou mur. Sécurité par contrôle visuel : lorsque la platine entre en contact avec le panneau, il ne reste qu’un ou deux tours de clé à donner pour finaliser le serrage. Vous êtes assurés d’effectuer un serrage optimal, tout en réduisant les efforts au desserrage. Le temps ainsi gagné (jusqu’à 7 fois plus d’écrous desserrés en 1h) permet une augmentation de la productivité et des économies en coût de main d’œuvre. Solution durable et économique : la Préci’Force est réutilisable et donnée pour une utilisation de 20 000 cycles de serrage / desserrage.Caractéristiques techniques :Écrou de banche pour tige artéon,Surplat : 36 mm,Filetage intérieur : Ø 23 mm pas Dywidag,Matière : acier C45 zingué,Équipé d’une butée à rouleaux.
Il y a 3 ans et 96 jours

Chez Bouygues, la construction peine à se redresser

INFOGRAPHIE. Bouygues a presque retrouvé son niveau d'activité d'avant covid sur l'année 2021. Cependant, le secteur de la construction apparaît encore un peu à la peine, malgré de bonnes performances commerciales, notamment à l'international. Après leur analyse, retrouvez l'essentiel des résultats du groupe, dans un tableau de bord Batiactu.
Il y a 3 ans et 96 jours

Apave poursuit son développement en ligne avec les ambitions de son plan stratégique

En février 2021, Apave annonçait son nouveau plan stratégique et son ambition d’entrer dans le Top 5 mondial des leaders sectoriels d’ici 2025 dans les Biens Industriels / Manufacturing, les Energies, les Transports et les Infrastructures & Construction.Dans la droite ligne de son plan stratégique, le Groupe a continué de croitre en 2021, année durant laquelle de nombreuses étapes ont été franchies.Accélérer la croissance en France et à l’international notamment par croissance externeAvec sept acquisitions en 2021, Apave a confirmé sa dynamique de croissance externe dans des géographies et métiers ciblés. Ces opérations lui ont permis d’élargir son portefeuille d’offre, avec l’acquisition de Rhexis et Camas dans la formation, et ses implantations géographiques, avec TecnoPiemonte en Italie.Apave s’est également doté de nouvelles compétences dans le domaine des risques numériques avec l’acquisition des sociétés Oppida et LSTI dans la cybersécurité, AxesSim dans les jumeaux numériques et SixFoisSept dans la smart-data et l’intelligence artificielle.En complément des risques techniques, humains, environnementaux, Apave ambitionne de se positionner comme un acteur de référence de la gestion des risques numériques et de la confiance digitale.Accueillir un partenaire de croissance pour soutenir les ambitions du GroupeEn juillet 2021, le Groupe a ouvert son capital à PAI Partners pour soutenir sa dynamique de croissance externe et son objectif d’atteindre un chiffre d'affaires de près de 1,5 milliard et une entrée dans le Top 5 mondial des leaders sectoriels d’ici 2025.Véritable partenaire de croissance pour Apave, PAI Partners soutient ses ambitions, l’accompagne dans l’identification des opportunités de croissance externe et lui apporte son expertise dans de nombreux domaines comme les systèmes d’information, le digital ou la RSE.Poursuivre la transformation d’Apave vers un Groupe plus intégréEn décembre 2021, Apave a annoncé le succès de sa première offre d'actionnariat salarié, sous la forme d’un Fonds Commun de Placement Entreprise (FCPE), avec plus de 70% de ses collaborateurs en France ayant souscrit à l’offre.La création de ce dispositif permet ainsi d’associer plus fortement les salariés au développement et à la performance du Groupe à long terme, et s’inscrit ainsi dans la transformation d’Apave vers un Groupe plus intégré.Apave accélère également en termes de recrutement, avec plus de 1 400 nouveaux talents intégrés en 2021, en ligne avec ses objectifs de développement, en plus des 250 collaborateurs qui ont rejoint le Groupe dans le cadre des opérations de croissance externe. Une dynamique qui va se poursuivre avec 1500 recrutements prévus en 2022.Améliorer de façon durable la performance commerciale, opérationnelle et financière du GroupeL’année 2021 a également été marquée par un net rebond des activités et de la performance du Groupe en France et à l’international, soutenu par un bon dynamisme commercial. Apave a accéléré l’optimisation de ses processus, tout en maintenant un haut niveau d’expertise et de compétences. Des nouvelles offres alliant expertises humaines et nouvelles technologies ont déjà séduit plusieurs clients, à l’instar de Ap’Structure qui se déploie sur le territoire européen et très prochainement africain. Pour Philippe Maillard, Directeur Général du groupe Apave : « L’année 2021 a été une année importante pour Apave. Au-delà de la crise sanitaire que nous avons su gérer positivement, le visage de notre groupe a substantiellement évolué et de nouvelles dynamiques ont été mises en place. Je suis confiant dans l’avenir de notre groupe et dans notre capacité à pouvoir accompagner encore plus activement nos clients dans l’accélération de leurs enjeux de transition énergétique, de gestion de crise, de responsabilité sociétale des entreprises ou de risques numériques. Il n’y aura pas de progrès sans sécurité. »
Il y a 3 ans et 96 jours

Portalp souffle ses 60 bougies en organisant dix journées d’anniversaire en région

Fondée en 1962 à Grenoble, Portalp, contraction de la « Porte des Alpes », célèbre cette année ses 60 ans d’existence. À cette occasion, le premier fabricant français de portes automatiques piétonnes organise dans toute la France « les Printemps Portalp », du 5 avril au 7 juin 2022. Un tour de France placé sous le signe de la convivialité Dès le 5 avril, Portalp donne le coup d’envoi des festivités. Pendant deux mois, dix événements sont prévus afin de fêter cet anniversaire et d’y associer tous les collaborateurs de l’entreprise et leur famille, mais aussi ses clients et partenaires les plus fidèles. Les « Printemps Portalp » attendent ainsi leurs invités dans chaque zone d’implantation des vingt-six agences régionales : • 5 avril à Nantes pour Portalp Centre-Ouest, • 12 avril à Bordeaux pour Portalp Sud-Ouest, • 26 avril à Strasbourg pour Portalp Nord-Est, • 3 mai à Lille pour Nord-Champagne Ardennes, • 10 mai à Caen pour Portalp Nord-Ouest, • 17 et 18 mai à Grenoble, site historique de production de l’ETI familiale, pour Portalp Rhône-Alpes-Auvergne, • 24 et 31 mai à Paris pour Portalp Ile-de-France, • 7 juin à Marseille pour Portalp Méditerranée. Dans chaque ville, Portalp prévoit un après-midi d’exception rythmé par un moment de partage autour d’activités spécifiques selon les régions. À l’issue de cette journée placée sous le signe de la convivialité, les participants assisteront alors à un dîner spectacle, fil rouge de cet anniversaire. Sous un magnifique chapiteau de cirque, des artistes de renommée internationale présenteront des numéros époustouflants. Pour annoncer et symboliser l’événement, Portalp a imaginé un logo mêlant l’infini aux étoiles scintillantes. Une image qui reflètera sans nul doute la magie de cette soirée. 60 ans d’une histoire familiale Cet anniversaire est l’occasion de retracer les grandes étapes de Portalp fondée en 1962 sous le nom de Réolon-Automation par Attilio Réolon, issu d’une famille d’origine italienne de Grenoble. Au cœur du village de Fontaine, dans la zone des Vouillants, il débute son activité alors essentiellement tournée vers l’électrotechnique et la mécanique pour les alarmes et l’interphonie. Petit à petit, le succès est au rendez-vous, soutenu par l’émergence de l’automatisation des portails, puis des portes. La société ne cesse alors d’innover pour lancer, dès 1967, la première porte automatique hydraulique, le premier modèle pneumatique en 1969 puis le premier opérateur de porte électrique en 1976. En 1977, l’entreprise prend alors le nom de Portalp SA, contraction de la Porte des Alpes, et se consacre à la conception, la fabrication et la vente de portes automatiques via un réseau de partenaires indépendants français, né en 1979, parmi lesquels Devos Automation dirigé par Daniel Duponchel. En 1987, Attilio Réolon transmet l’activité à son fils Philippe qui poursuit le développement de l’entreprise avec la création de Portalp International SA en 1989 puis, en 1992, de Portalp Agences, son propre réseau national de distribution et de pose des portes. Afin de le consolider, il fonde en 1999 Portalp France avec Daniel Duponchel, le distributeur exclusif de la marque, qui en prend la présidence. En 2017, il est temps pour Philippe Réolon de partir à la retraite. Daniel Duponchel devient alors l’unique actionnaire et le président du groupe Portalp. Tout au long de son histoire, Portalp n’a jamais cessé de se développer : • en France, par le biais de ses vingt-six agences régionales, • à l’étranger au travers de ses filiales présentes dans le monde (USA, Luxembourg, Belgique, Italie, Espagne, Autriche) ou de son réseau de distributeurs partenaires couvrant de nombreux pays en Europe, Afrique, Moyen-Orient, Asie, Amérique du Nord et Amérique Latine, • mais aussi par l’acquisition d’entreprises complémentaires à son activité, dont la dernière en date la société Deveugle, qui lui permet de disposer d’une offre globale de produits et de services (installation, maintenance…) pour l’ouverture et la mise en sécurité des bâtiments. De huit employés au temps de son fondateur Attilio Réolon à 1035 collaborateurs en 2022, le premier fabricant français de portes automatiques piétonnes doit sa réussite à son savoir-faire « Made In France » ainsi qu’à sa stratégie tournée depuis toujours vers l’innovation et la satisfaction de ses clients. Aujourd’hui, le flambeau de l’entreprise familiale indépendante, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 105 millions d’euros en 2020, est repris progressivement par Maxime Duponchel, son vice-président, le fils de Daniel Duponchel. http://www.portalp.com/
Il y a 3 ans et 96 jours

Herige entre au capital de Valobat

Le groupe Herige entre au capital de Valobat. [©Herige] Spécialiste dans l’industrie et de la distribution du bâtiment, Herige entre au capital de Valobat. Ce dernier étant candidat à l’agrément d’éco-organisme pour la Rep PMCB1. Avec ses 3 activités dans le BPE (Edycem), la menuiserie (Atlantem) et le négoce de matériaux de construction (VM), Herige prend déjà part à des filières de recyclage. En témoigne la démarche d’Atlantem avec la création de Menrec, un centre de recyclage situé à Saint-Allouestre (56). Le choix de Valobat illustre donc son ambition de participer au succès de la Rep. Ainsi que de s’engager dans l’économie circulaire du bâtiment. Valobat et Herige : Des valeurs communes Avec cette entrée au capital de Valobat, Herige entame une nouvelle étape majeure dans la conduite de sa feuille de route. « Nous plaçons les enjeux sociétaux et environnementaux au cœur de notre stratégie, en nous engageant concrètement en faveur du développement de l’économie circulaire, du recyclage et de la RSE », déclare Benoît Hannaut, président du directoire de Herige. Lire aussi : L’UICB entre dans le capital de Valobat Et d’ajouter : « Un déchet doit être considéré telle une véritable matière première à reconfigurer. C’est toute l’opportunité que propose la Rep : recycler et réemployer de manière organisée et structurée. C’est aussi une opportunité de croissance, de valorisation, de création de nouvelles professions et d’innovation en matière d’éco-conception. Ceci, pour limiter l’impact environnemental de nos produits tout au long de leur cycle de vie. » 1Responsabilité élargie des producteurs pour les produits et matériaux de construction du secteur du bâtiment.
Il y a 3 ans et 96 jours

HEIWA présente son bilan de l’année 2021

 Franck Beauvarlet, Directeur de la marque Heiwa : « 2021 est un excellent cru pour notre marque »  La marque française de pompes à chaleur responsable présente d’excellents résultats sur l’année 2021. Malgré un marché capricieux lié à un été maussade et à une pénurie globale des composants, Heiwa a dépassé de 20% son objectif de […]
Il y a 3 ans et 96 jours

KNAUF CEILING SOLUTIONS, un acteur industriel qui investit et recrute sur le territoire français

 Création de plus de 30 postes dans le Doubs (25) et l’Eure-et-Loir (28)  Le recrutement est aujourd’hui un véritable enjeu dans le secteur du bâtiment : besoin de retrouver une nouvelle attractivité des métiers pour les nouvelles générations, valoriser le bien-être en usine avec des lignes de production robotisées, et des postes de plus en […]
Il y a 3 ans et 96 jours

Invitation presse

Présentation du partenariat : Petit déjeuner Vendredi 4 mars 2022 à 9h IFA de Bourges 149-151 rue de Turly – 18000 Bourges Le projet : L’IFA BOURGES : Institut de Formation des Apprentis de Bourges, CHATREIX CARECO : Recycleur Automobile local membre d’un réseau National, MILWAUKEE  : Fabricant d’outillage électroportatif Marché Professionnel, s’associent autour d’un […]
Il y a 3 ans et 96 jours

Des constructions plus durables grâce à des matériaux innovants

Les fibres PVA KURALON™, alliées indispensables de tous les projets de construction exceptionnels en béton  Hattersheim, mars 2022 — Matériaux composites à base de ciment, façades décoratives en béton fibré ultra-haute performance ou encore infrastructures offshores en béton léger, le secteur industriel regorge de structures remarquables en béton.  Kuraray, l’entreprise spécialisée dans la production de […]
Il y a 3 ans et 96 jours

La transition écologique du bâti : faire de la transition écologique du bâti un sujet central du prochain quinquennat

Un comité de réflexion s’est réuni le mercredi 23 février 2022 pour réfléchir à des propositions concrètes et opérationnelles à présenter aux candidats à l’élection présidentielle. Acteurs privés, issus du secteur industriel, du conseil ou de la société civile, tous partagent le même constat : la transition écologique du bâti et l’enjeu environnemental que représente la […]
Il y a 3 ans et 96 jours

Le Groupe Elcia expose sur Nordbat avec des nouveautés pour tous les professionnels du secteur

Gestion des SAV et 3D : de nouvelles fonctionnalités ProDevis pour les Installateurs / RevendeursLogiciel n°1 de chiffrage, facture et gestion commerciale Menuiserie, Store, Fermeture depuis plus de 20 ans, ProDevis continue d’évoluer pour toujours plus répondre aux besoins de ses 21 000 utilisateurs.Faire rimer gestion des SAV avec simplicité et réactivitéDépannage, SAV, fin de chantier : gérer les interventions chez ses clients peut vite devenir chronophage, sans compter les coûts cachés pouvant en découler. Pour gagner en temps, en simplicité et en efficacité, le nouveau module Interventions de ProDevis permet de :Gérer tous types d’interventions de manière globaleSimplifier leur traitementBénéficier d’une analyse fine et précise de cette activitéLa 3D : une arme supplémentaire pour faciliter la venteParticipant au Concours des meilleures innovations NordbatLe mode de consommation du particulier a évolué : face à des produits de Menuiserie toujours plus personnalisables, ce dernier demande de plus en plus de voir le rendu final de sa fenêtre, son portail ou sa porte d’entrée avant de l’acheter, comme il le ferait pour sa cuisine ou sa nouvelle voiture. Les Installateurs / Revendeurs ont donc besoin d’outils graphiques pour mieux présenter leurs produits, projeter leurs clients dans leur projet, tout en les rassurant sur le produit qui lui sera livré. Avec l’interface entre ProDevis et les configurateurs 3D BatiTrade, plus de 21 000 menuisiers réalisent leur projet de portails, clôtures, portes de garage, garde-corps, portes d’entrée, pergolas, lames de terrasse ou encore placard/dressing en 3D. En quelques clics, ils donnent naissance au produit du particulier sous ses yeux, et l’intègrent en réalité augmentée ou dans une photo de sa maison pour faciliter la vente.Toujours plus de simplicité pour les fabricants de menuiseriesLogiciel de fabrication de menuiseries PVC et Alu sur-mesure, Ramasoft apporte simplicité, fiabilité et autonomie dans toutes les étapes de fabrication. Désormais ouvert à la fabrication de menuiseries bois, Ramasoft se connecte également avec ProDevis pour simplifier la gestion commerciale des fabricants du secteur. Après avoir chiffré leurs menuiseries les plus complexes avec Ramasoft, ces derniers pourront importer automatiquement leurs chiffrages dans ProDevis et ainsi y piloter toute leur gestion commerciale. Inversement, toutes les commandes signées dans ProDevis pourront être transférées dans Ramasoft en un clic pour lancer en fabrication.Des devis +simples +rapides et +vendeurs pour les professionnels du bâtiment chiffrant occasionnellement des produits Menuiserie, Store, FermetureQu’ils soient maçons, charpentiers, architectes, entreprises d’isolation ou encore constructeurs de maisons individuelles, certains professionnels du bâtiment, non spécialisés en Menuiserie, sont parfois amenés à réaliser des devis pour une fenêtre, un portail ou encore une porte d’entrée. Même si cette activité de Menuiserie reste occasionnelle pour eux, ils ont tout autant besoin de chiffrer rapidement pour être réactifs face aux demandes de leurs clients. Pensée et adaptée à leurs besoins, la solution de chiffrage et commande 100% Web ProDevis c’est :Une solution Menuiserie, Store, Fermeture équipée d’un configurateur de vente 100% métier pour créer des devis facilement et passer des commandes en un clicPlus de 1 750 tarifs de +600 fournisseurs de fenêtres, portes, volets... toujours à jourUne solution 100% web, disponible tout le temps et de partout (sur PC, smartphone et tablette)Un abonnement en ligne simple, en 5 minutes pour utiliser immédiatement la solutionUn abonnement attractif de 55€ HT/mois adapté à leur activité et sans engagement pour une liberté totaleEn bonus : une application mobile synchronisée avec l’application web, disponible sous iOS et Android pour remplacer ses notes papiers avec prise de photos, vidéos, dessins et notes vocales
Il y a 3 ans et 96 jours

Seine-et-Marne : Coulommiers se dotera d’un commissariat de police flambant neuf

Cinq millions d’euros de crédits seront nécessaires pour la création d’un nouveau commissariat adapté à la fonction des agents de police de Coulommiers.
Il y a 3 ans et 96 jours

Haute-Garonne : un nouveau bâtiment associatif et administratif à Tournefeuille en 2023

À Tournefeuille, un bâtiment de deux étages sera construit entre la mairie et l’école Le Château. Il accueillera de nouveaux locaux répondant aux besoins des services municipaux.
Il y a 3 ans et 96 jours

244 logements à Ivry par Tolila+Gilliland : nouveau monde ?

Architecte du lot D, l’atelier Tolila + Gilliland (Gaston Tolila et Nicholas Gilliland), avec Frédéric Lebard Architectes Associés, a livré en 2022 à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), Nouveau Monde, une résidence pour étudiants de 170 logements et un bâtiment de 74 logements en accession avec commerces en rez-de-chaussée (43 300m² au total). Maîtrise d’ouvrage : Nexity et Linkcity. […] L’article 244 logements à Ivry par Tolila+Gilliland : nouveau monde ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 96 jours

Le temple mondial de la production de moteurs Diesel pour l'automobile se convertit à l'électrique

Cette transition est hautement symbolique pour la majorité d'Emmanuel Macron, qui affiche la réindustrialisation de la France comme une de ses priorités, à quelques semaines de l'élection présidentielle, mais les retombées en matière d'emplois sont à nuancer.A Trémery, une trentaine d'ouvriers travaillaient ainsi un après-midi de février sur la première petite ligne de moteurs électriques."Ça fait avant-gardiste. On nous demande tout de suite ce qu'on en pense, comment ça se passe, comment ça se monte", souffle Cédric Metz, des bouchons dans les oreilles contre le vacarme mécanique.L'opérateur a travaillé pendant 20 ans sur les moteurs essence et Diesel avant de passer à l'électrique.L'usine de Trémery, ouverte en 1979 par Citroën sur 89 hectares près de Metz, avait établi son record en 2017 avec près de deux millions de moteurs produits, dont 80% de Diesel. Mais l'étoile de cette motorisation a pâli avec le scandale du Dieselgate et le spectre d'une interdiction européenne des moteurs thermiques en 2035.Alors Trémery et ses 2.500 salariés, passés sous la bannière de Stellantis après la fusion de PSA avec Fiat-Chrysler, ont été convertis aux moteurs essence, et de plus en plus vite à l'électrique.La première ligne de montage électrique a remplacé en 2019 un des trois ateliers Diesel. Le moteur produit équipe désormais les Peugeot 208, Opel Corsa, DS3 ou Citroën C4 électriques.Guidés par un ruban magnétique, des chariots traversent la ligne, distribuant les pièces de poste en poste à une trentaine d'ouvriers. Des robots prennent la main sur certains postes et contrôlent le travail final."On est partis dans l'électrique, on y va et on ne va plus s'arrêter", lance le responsable de la ligne, Stanislas Kohout, qui vient aussi du Diesel. "On a la fierté d'être les premiers".A quelques mètres de là, une deuxième ligne tout aussi compacte est en cours de démarrage: si la première avait été conçue pour produire 120.000 moteurs par an, puis dopée à 180.000, la deuxième en promet 300.000."Occasion de relocaliser"Dans un bâtiment voisin, Stellantis et son partenaire japonais Nidec montent une ligne qui fabriquera des rotors et des stators, éléments essentiels du moteur électrique qui sont pour le moment largement importés d'Asie."La seule chose qui nous limite est le manque de composants électroniques, il y en a partout sur un moteur électrique", souligne le directeur de l'usine Marc Bauden.Les tâches n'ont pas beaucoup changé, mais "il y a moins de pièces à assembler", souligne M. Kohout. "C'est beaucoup plus automatisé, mais on crée de nouveaux métiers", explique-t-il. "Les îlots robotisés demandent un certain savoir-faire"."Je ne pense pas que ce soit inquiétant, parce qu'il y a de la demande", souligne Yosra Idir, 39 ans, une des rares femmes de la ligne, qui serre des boulons sur un moteur. "A un moment donné, il faudra ouvrir des lignes pour pouvoir suivre la demande des clients (...) On va tous finir à l'électrique".L'électrification de l'industrie automobile pourrait pourtant causer la suppression de 52.000 postes en France, notamment chez certains sous-traitants, selon une projection à 2030 du cabinet AlixPartners.A Trémery, avec l'automatisation et les délocalisations, le nombre de salariés a déjà été divisé par deux en vingt ans.A l'inverse, une vingtaine de milliers d'emplois pourraient être crées dans des nouveaux métiers, autour des bornes de recharge par exemple. La reconversion d'usines comme Trémery, ainsi que les trois usines de batteries électrique qui doivent ouvrir dans le nord de la France, célébrées par le gouvernement, ne vont pas tout compenser."Il y a beaucoup à faire autour de la croissance de l'électrique", c'est "une occasion de relocaliser", souligne l'économiste Bernard Jullien, de l'université de Bordeaux. Mais avec des moteurs qui demandent beaucoup moins de main d'oeuvre, "il va falloir se partager la rareté".Chez Renault par exemple, l'usine de moteurs de Cléon (Seine-Maritime) "pourrait satisfaire une très large part de la demande européenne" du groupe, souligne-t-il.Qui produira le dernier moteur Diesel? L'économiste mise sur l'Espagne, la Roumanie ou le Maroc, près des dernières grosses usines d'assemblage de Renault et Stellantis.
Il y a 3 ans et 96 jours

Emploi : les recrutements dans le BTP portés par la transition écologique

FORMATION PROFESSIONNELLE. Les phénomènes de transition écologique et de transformation numérique, couplés à deux années de crise sanitaire et économique, ont rebattu les cartes du marché du travail. Dans la dernière édition de son guide, le Centre d'information et de documentation jeunesse analyse notamment ces répercussions sur l'emploi du BTP, entre mise en place de la nouvelle réglementation environnementale, métiers en tension et massification de la rénovation énergétique.
Il y a 3 ans et 96 jours

Les femmes dans le BTP : où en est-on en 2022 ?

ÉGALITÉ. À l'occasion de la journée internationale des droits des femmes le 8 mars, Batiactu s'est interrogé sur la féminisation du secteur du BTP. Tour d'horizon des chiffres et initiatives...
Il y a 3 ans et 96 jours

Le Covid "accélérateur" des reconversions et d'un nouveau rapport au travail

"Il n'y a pas d'évolution de salaire, pas d'évolution de poste. A un moment donné, la situation financière et le fait de mûrir font que cette situation ne convient plus", témoigne un vacataire de l’Éducation nationale dans un entretien mené par l'institut BVA pour une étude que vient de publier France Compétences.Autorité de financement et de régulation de la formation professionnelle, France Compétences estime que "la crise actuelle joue un rôle d'accélérateur de questionnements sur le sens et les conditions d'exercice de son activité".Ce n'est pas encore la "grande démission", du nom de ces départs en cascade dans les entreprises américaines au sortir de la pandémie, mais en France, selon un baromètre Elabe pour l'Unedic publié en décembre, 58% des actifs en emploi ont au moins un projet de changement de vie professionnelle.D'après l'enquête BVA, qui mêle données quantitatives et entretiens qualitatifs à partir d'un échantillon représentatif de 5.162 personnes, la "perte de sens" est la raison la plus partagée (27%) par les actifs en reconversion, qui évoquent aussi "l'insatisfaction" due aux conditions de travail (23%), à la rémunération (22%), une pression trop importante (20%).Pour Béatrice Delay, de la direction de l'évaluation à France Compétences, "l'insatisfaction professionnelle est omniprésente dans les parcours de reconversion et, en même temps, elle se combine à des raisons d'un autre ordre: une opportunité, un projet, une raison personnelle".Renversement du rapport de forcesA l'origine d'une reconversion, "il y a un facteur déclencheur qui peut être des missions devenues insupportables, comme on a pu le voir dans le domaine de la santé", note Virginie Louise, du pôle emploi-formation de BVA. Lors d'une consultation menée au printemps 2021 par leur Ordre national, 40% des infirmiers confiaient que la crise sanitaire leur avait donné envie de changer de métier.Dans son bulletin (numéro 418, février 2022), le Centre de recherches sur les qualifications (Cereq) relève "des logiques différentes selon la catégorie socioprofessionnelle".Parmi les ouvriers et employés qualifiés domine "l'impression de ne pas être assez payé compte tenu du travail réalisé, le sentiment que l'emploi occupé ne correspond pas à ses qualifications". Parmi les non qualifiés, "vouloir investir un nouveau métier se forge aussi dans le refus de la précarité, dans l'expérience d'emplois à durée limitée".Pour l'économiste Mireille Bruyère, du Centre de recherches et d'études Travail organisation pouvoir (Certop-CNRS), la pandémie "a révélé quelque chose qui était déjà là: une crise du travail générale, qui concerne les formes d'emploi et le sens du travail"."Du côté des emplois les moins qualifiés, on a des conditions de travail et de rémunération qui se sont dégradées, et de l'autre côté, pour les salariés les plus intégrés, on a des types de management qui ont conduit à des pertes de sens", ajoute cette membre du collectif Les Economistes atterrés.Sociologue spécialiste de l'organisation du travail, Pascal Ughetto estime que "la crise sanitaire amplifie un mouvement de bascule qui à l'origine en est indépendant et qui s'accélère avec la diminution du chômage : le renversement du rapport de force entre employeurs et salariés, ces derniers ayant beaucoup plus la possibilité de faire valoir leurs prétentions". Alors que le gouvernement se félicite d'un taux de chômage "au plus bas depuis près de 15 ans" (7,4% au 4e trimestre 2021), des revalorisations salariales ont été conclues dans l'hôtellerie-restauration ou encore le transport routier, deux secteurs en pénurie de main d’œuvre. "Se reconvertir pour faire autre chose est une prise de risque qui n'aurait jamais existé il y a vingt ou trente ans", souligne Pascal Ughetto. A l'image de nombreux soignants, "des individus sont prêts à renoncer à des positions statutaires au profit d'avenirs incertains, pour ne pas se sentir piégés, s'épanouir, maîtriser leur destin".
Il y a 3 ans et 96 jours

Introduction aux Tâches sur Fieldwire : webinaire le 8 mars 2022

Découvrez comment utiliser les tâches Fieldwire pour gérer vos projets de constructionLes développeurs partagerons les flux de travail de leurs top clients, qui optimisent l’utilisation des tâches sur leurs projets. seront ensuite abordées les fonctions de base de Fieldwire afin de permettre à vos équipes de prendre en main la fonctionnalité la plus puissante et de se lancer !Le 8 mars 2022 à 14h Animé par Hugo Locussol - inscrivez-vous en cliquant iciProchain webinaire : Fieldwire pour les entreprises générales7 avril 2022 - Animé par Hugo LocussolDécouvrez comment les entreprises générales utilisent Fieldwire pour gérer leurs projets dans un environnement de construction de plus en plus complexe. Vous verrez comment les professionnels peuvent exploiter Fieldwire afin de créer un processus standardisé pouvant être utilisé dans toute l’entreprise.
Il y a 3 ans et 97 jours

En 2021, le chiffre d'affaires de Mikit a bondi de 30%

RÉSULTATS. Le constructeur de maisons individuelles en prêt-à-finir, Mikit, annonce des résultats en forte hausse en 2021, avec notamment un chiffre d'affaires en progression de 30%.
Il y a 3 ans et 97 jours

Colas prône une approche "plus ciblée" d'expansion à l'international

STRATÉGIE. Lors de la présentation des résultats de Colas, son P-dg Frédéric Gardès a longtemps évoqué l'activité à l'international, qui dépasse depuis 2018 le marché domestique. Le groupe qui a jusqu'à présent agi par opportunisme en matière de croissance externe souhaite désormais se recentrer sur quelques priorités.
Il y a 3 ans et 97 jours

Le Laboratoire du logement – Bien vieillir ensemble

Loger les anciens est plus que jamais un enjeu majeur, sociétal et architectural. A Paris, Bien vieillir ensemble, une exposition proposée par le Laboratoire du logement de la Cité de l’architecture. Jusqu’au 13 mars 2022. En se focalisant sur des projets réalisés en France, l’exposition propose de mettre en perspective soixante ans de réflexion et […] L’article Le Laboratoire du logement – Bien vieillir ensemble est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 97 jours

Face au réchauffement climatique, la protection solaire devrait être la première solution pour lutter contre la surchauffe des bâtiments

L’utilisation de protections solaires pourrait réduire la consommation d'énergie pour le refroidissement des locaux dans les bâtiments européens jusqu'à 60 % d'ici 2050. Elle permettrait d'éviter l'émission de 100 millions de tonnes de CO2 et d'économiser 285 milliards d'euros. Telles sont les conclusions de l’étude scientifique menée par Guidehouse, la première à comparer l'impact de la protection solaire avec l'utilisation de la climatisation dans les bâtiments. Selon ES-SO, l'organisation qui chapeaute l'industrie européenne de la protection solaire, l'étude prouve qu'il existe un besoin urgent de protection solaire automatisée pour rendre les bâtiments plus résilients face au climat et plus efficaces sur le plan énergétique. ES-SO souhaite donc que la directive européenne sur la performance énergétique des bâtiments (EPBD) en tienne compte. Un constat partagé par le Groupement Actibaie, syndicat professionnel en France des protections solaires, qui milite pour une intégration des stores et volets aux dispositifs d’aides à la rénovation énergétique.Combattre la surchauffe dans les bâtimentsEn tant qu'organisation, ES-SO est convaincue que la protection solaire automatisée est la meilleure défense contre le changement climatique et pourrait faire partie de la solution structurelle. Sur la base des résultats de l'étude Guidehouse, ES-SO demande instamment aux décideurs politiques de l'UE de rendre la protection solaire obligatoire dans le cadre de la directive EPBD, en tant que première solution - avant l'utilisation du refroidissement actif, tel que la climatisation - dans la lutte contre la surchauffe.Pour Anders Hall, président d’ES-SO : "De nos jours, les bâtiments sont les plus gros consommateurs d'énergie en Europe. Ils consomment 40 % de notre énergie et sont responsables de 36 % des émissions de gaz à effet de serre. Les résultats de l'étude Guidehouse sont impressionnants, car ils démontrent une économie d'énergie potentielle de 60% sur le refroidissement des bâtiments d'ici 2050. Cette étude montre qu'il ne faut plus attendre et que la protection solaire doit être la première solution pour lutter contre la surchauffe des bâtiments. Nous nous projetons déjà dans un futur dans lequel les bâtiments devront être plus résilients face au climat et moins gourmands en énergie." Étude : Protection solaire vs. ClimatisationLe changement climatique va de pair avec des températures plus élevées et des canicules plus longues et plus intenses. On estime que les bâtiments nécessitant une climatisation vont augmenter de 60 %. Dans son étude, Guidehouse, qui conseille les marchés publics et commerciaux du monde entier, a analysé l'impact de la protection solaire par rapport à l'utilisation de la climatisation dans les bâtiments. Les simulations et les différents scénarios sont assez clairs : si la protection solaire est utilisée comme première mesure avant le refroidissement actif (scénario préféré), nous devrions être en mesure d'arrêter la croissance des bâtiments nécessitant une climatisation d'ici 2050. Impact positif de la protection solaire Les résultats de l'étude Guidehouse montrent que la protection solaire automatisée a un impact positif certain, et ce non seulement sur la planète, mais aussi sur la société et les personnes. La planète : Une stratégie de réduction du CO2Entre aujourd'hui et 2050, environ 100 millions de tonnes d'émissions de gaz à effet de serre (*) peuvent être évitées dans le scénario de protection solaire préféré de l'étude Guidehouse. Cette réduction de 100 millions de tonnes d'émissions de CO2 est équivalente aux émissions annuelles de CO2 de 22 millions de voitures.(*) Les facteurs de CO2 sont conformes à l'évaluation d'impact de la directive EPBD 2021 et basés sur le Plan d'objectifs climatiques 2030 de la Commission européenne. Société : une stratégie axée sur les économies d'énergieDans le scénario privilégié, la protection solaire peut réduire de 60 % l'énergie utilisée dans le parc immobilier de l'UE pour le refroidissement des locaux. Selon l'étude du Guidehouse, cette économie d'énergie (d'environ 870 térawattheures d'électricité) est à peu près équivalente à la consommation finale d'énergie de l'Espagne, qui compte 47 millions d'habitants. Les personnes : une stratégie rentableL'étude montre que la protection solaire est un investissement beaucoup plus rentable que le refroidissement actif des espaces, comme la climatisation, étant donné que cette solution pourrait permettre d'économiser jusqu'à 285 milliards d'euros d'ici à 2050. Ce montant est similaire au PIB de pays comme la Finlande et le Luxembourg réunis. Shady Attia, professeur en architecture durable et en technologie du bâtiment à l'université de Liège (Belgique), affirme que la protection solaire pourrait potentiellement apporter une énorme contribution au Green Deal européen. "Aujourd'hui, moins de 50% des bâtiments sont équipés de protections solaires, et une grande partie de celles-ci ne sont pas automatisées. Les résultats de l'étude Guidehouse confirment ma conviction que la protection solaire est une bien meilleure solution que la climatisation pour notre planète, et que nous devons de toute urgence envisager l'utilisation de protections solaires automatisées pour rendre les bâtiments plus résilients face au climat et plus efficaces sur le plan énergétique."
Il y a 3 ans et 97 jours

Qualifelec adresse ses propositions aux candidats à l'élection présidentielle 2022

Dans ce contexte de transition, la production, la distribution, l’utilisation et le stockage d’électricité sont, plus que jamais, des activités stratégiques.La prochaine élection présidentielle doit marquer une étape supplémentaire, dans la mise en œuvre de politiques publiques favorables à la transition énergétique et écologique.Dans ce contexte, Qualifelec, leader français de la qualification des entreprises du génie électrique, écologique et numérique, représentant plus de 7.000 entreprises qualifiées, a souhaité adresser aux candidats quatre propositions concrètes : la montée en compétences des professionnels ; l’électromobilité ; la production et le stockage d’énergies renouvelables ; la seconde vie de nos appareils électriques et électroniques. Ces propositions d’actions sont le fruit d’une réelle expérience de terrain, ainsi que d’un dialogue constant avec les pouvoirs publics, que Qualifelec interpelle aujourd’hui.4 propositions de Qualifelec pour l’élection présidentielle 2022La flambée des prix du carburant, loin d’être un phénomène conjoncturel lié à la sortie de crise sanitaire, résulte d’un changement profond qui va marquer durablement nos sociétés de consommation. Nous entrons dans une nouvelle ère, qui est celle de l’après-énergie fossile.Dans ce contexte, la production, la distribution, l’utilisation et le stockage d’électricité deviendront plus que jamais des activités stratégiques. Notre pays, dont les savoir-faire technologiques et les compétences professionnelles ne sont plus à démontrer en la matière, doit s’engager résolument dans la voie de la transition écologique.C’est pourquoi Qualifelec, principal organisme de qualification des entreprises françaises du génie électrique depuis 1955, est un partenaire privilégié des acteurs publics et privés en matière d’amélioration de la performance énergétique.Comme à l’époque de la création de Qualifelec en pleine reconstruction de notre pays, la qualification apporte aujourd’hui, dans une période de profondes transformations technologiques, un gage de sécurité, de fiabilité et de confiance pour les Français.En ayant recours à des professionnels qualifiés, le consommateur a l’assurance d’une installation électrique et d’une maintenance de qualité dans le respect des normes en vigueur. Il soutient également des femmes et des hommes de terrain qui contribuent à la richesse du tissu économique et à l’emploi au niveau local.Grâce à son maillage territorial en métropole et en Outre-Mer, Qualifelec possède une vision fine et précise des enjeux de la filière électrique, et, plus généralement, de la transition énergétique et écologique.Face aux défis qui nous attendent dans les prochaines années, c’est en effet au niveau régional que des solutions pertinentes pourront émerger.Fort d’une meilleure connaissance des besoins locaux, l’échelon territorial peut flécher plus efficacement les financements nécessaires aux changements structurels à venir et aux besoins des filières professionnelles.À l’heure des choix importants que le pays a à faire pour les cinq années à venir et après deux années au cours desquelles la crise sanitaire a remis en cause bien des certitudes, les professionnels qualifiés du génie électrique expriment les convictions suivantes :L’enjeu des compétencesCe qui nourrit le travail d’un professionnel, c’est la confiance que l’usager place en ses compétences et son savoir-faire.La compétence technique est au cœur du marché de la qualification, elle est liée à l’autorisation de réaliser certaines installations sous réserve d’avoir suivi les formations requises. L’entretien et le développement de ces compétences techniques est constant. C’est la garantie de gagner et entretenir la confiance des usagers et d’assurer la pérennité et l’attractivité de secteurs économiques, aujourd’hui en forte croissance (BTP, génie électrique, etc.)Avec l’avènement du numérique et des bâtiments connectés, les professionnels du génie électrique et du bâtiment au sens large doivent être, plus que jamais, des acteurs complémentaires, les premiers apportant une vision globale et stratégique des nouveaux usages du bâti.Avec la reprise économique, il va falloir recruter massivement, notamment dans le BTP. Le CREDOC estime que le secteur devrait recruter jusqu’à 30.000 personnes en 2022, alors que les besoins sont trois fois plus importants.Il est donc nécessaire d’entreprendre une action à deux volets : accompagner, en continu, la montée en compétences des professionnels du génie électrique, énergétique et numérique, et rendre plus attractif un corps de métier qui peine à trouver les professionnels de demain.Il faut améliorer la promotion de ces métiers, en valorisant les compétences de haut niveau qui sont indispensables à l’intégration des nouveaux usages, la maintenance des installations tout au long de leur cycle de vie, et la nécessité de pouvoir adapter, en permanence, nos infrastructures à l’ère du numérique.Selon l’Étude prospective emplois et compétences de la filière électrique1 de l’Engagement de Développement de l’Emploi et des Compétences (EDEC), la filière fait face à trois problèmes principaux :« L’offre de formation professionnelle continue ne correspond pas pleinement aux besoins des entreprises ;La filière électrique est créatrice de nombreux emplois qualifiés et pérennes, qu’elle peine à pourvoir ;La filière électrique fait face à des enjeux nationaux communs, mais aussi à des défis spécifiques à chaque territoire. »Compte tenu du maillage territorial dont dispose Qualifelec, et de l’importance de la formation qui est au coeur de notre activité et de notre rôle dans l’écosystème, nous proposons de prendre en compte cette fracture territoriale spécifique dans l’approche appliquée aux politiques publiques du secteur.Proposition n°1 : Nous proposons de créer, au niveau régional, des observatoires de l’emploi dans la filière électrique et numérique. Ces outils, élaborés conjointement par les représentants sectoriels (FFIE, UNA3E, FFB, CAPEB), les pouvoirs publics (conseils régionaux, départements, agglomérations) et les organismes consulaires (CCI, Chambre des Métiers), auront vocation à promouvoir les offres de formation ainsi que l’image et les possibilités offertes par la filière.Les promesses de l’électromobilitéEn complément de la recharge à domicile, la France compte désormais environ 53.000 points de recharge ouverts au public (chiffre février 2022 - source Mobility Total Energies2) et enregistre, ces derniers mois, une très nette accélération du déploiement de ces Infrastructures de Recharge des Véhicules Électriques (IRVE).Côté filière, cette dynamique est soutenue par le nombre croissant d’installateurs électriciens qui s’investissent dans cette activité. Qualifelec compte déjà 3.000 entreprises qualifiées en IRVE, soit une croissance de 50% en 12 mois.La qualification est un gage de confiance pour les consommateurs qui garantit que les installateurs électriciens qualifiés maîtrisent le savoir-faire indispensable pour répondre aux normes de sécurité en vigueur.Qualifelec a été le premier organisme de qualification à proposer la reconnaissance de la compétence en IRVE, deux ans avant que le législateur ne rende la qualification obligatoire dans cette activité, dans le cadre du décret du 12 janvier 2017.L’arrêté du 27 octobre 2021 a renforcé les conditions et l’obligation du recours à un professionnel qualifié pour l’installation des IRVE, mais aussi leur maintenance.Pour tenir compte de ces évolutions réglementaires, le conseil d’administration de Qualifelec a adopté, dès le 17 novembre dernier, une nouvelle qualification dédiée qui tient compte des évolutions réglementaires et des attentes spécifiques de la maîtrise d’ouvrage.Avec l’aide de ses instances collégiales, Qualifelec observe en permanence les évolutions des marchés du génie électrique, énergétique et numérique et développe un outil de cartographie3 qui permet de localiser, sur l’ensemble du territoire national, les entreprises qualifiées en matière d’IRVE.Toutefois, à son article 22, le décret du 4 mai 2021 a exempté les infrastructures d’une puissance totale inférieure ou égale à 3,7 kW installées dans un bâtiment privé ou dont la fonction principale n’est pas de recharger des véhicules électriques et qui ne sont pas accessibles au public, de l’obligation de maintenance.Cela nous semble préjudiciable au regard de l’accélération du déploiement des installations privées et du développement des usages en matière d’IRVE. Par ailleurs, la maintenance et le pilotage des installations électriques font appel à une main d’oeuvre non-délocalisable et soutiennent l’économie locale.Proposition n°2 : Étendre l’obligation de maintenance à toutes les installations électriques utilisées pour la recharge des véhicules électriques, quelle que soit leur puissance. Cette maintenance devrait être réalisée par un professionnel qualifié.Il est important d’introduire la nécessité d’un contrôle périodique des installations électriques, pour sortir du contrôle curatif et éviter les déperditions d’énergie et les contraintes dont pâtissent, en premier lieu, les usagers.Le défi du tout électrique produit localementLe développement des énergies renouvelables, et particulièrement du solaire photovoltaïque, rend possible de nouvelles synergies entre le bâtiment et la mobilité électrique, en plein essor.De nouvelles synergies se créent entre production énergétique locale, autoconsommation et stockage.Le Gouvernement, conscient de ces opportunités, a lancé le « Plan 100.000 bornes », et le président de la République vient d’annoncer sa volonté de "multiplier par dix les capacités du solaire d'ici 2050".Cependant, le rapport 2021 du Ministère de la Transition Écologique relatif à « la part de la consommation finale brute d’énergie produite à partir de sources renouvelables » place la France à la 17ème place sur 27 pays européen.Il apparaît donc nécessaire d’augmenter la proportion d’énergies renouvelables produites dans notre pays, si nous souhaitons tenir nos engagements climatiques à l’horizon 2050.Un des freins identifiés est l’intermittence de la production d’énergie électrique. Celle-ci peut être palliée par des solutions de stockage, en attendant sa consommation, au moins au niveau journalier.Le stockage sur batterie de l’électricité produite renforce les interactions entre le bâtiment et la voiture électrique et dessine une nouvelle organisation du réseau électrique à l’échelle locale.Le bâtiment est amené à produire sa propre énergie, à l’autoconsommer (à titre individuel ou collectif), à la réguler, via des systèmes de pilotage, et à fournir des services de stockage.A chacune de ces étapes, la qualité des travaux d’installations est cruciale. Les entreprises qualifiées ont fait la preuve de leur maîtrise des compétences d’électricien, indispensables au fonctionnement optimum et sécurisé de tout équipement électrique. S’y ajoute la justification de formations spécifiques en fonction de l’activité exercée.Dans l’activité solaire photovoltaïque, nous vérifions régulièrement le savoir-faire technique des équipes et la couverture assurantielle des entreprises. Nous effectuons les contrôles réglementaires et délivrons les certificats de qualification requis. Qualifelec assure également la reconnaissance des compétences en mesure de répondre au déploiement prévisionnel de technologies nouvelles, comme le stockage.Proposition n°3 : Il est donc nécessaire que les pouvoirs publics français soutiennent les efforts de recherche et développement (R&D) en matière de stockage, ainsi que l’organisation d’une filière décentralisée, au plus proche des besoins des territoires, en s’appuyant sur le réseau des professionnels qualifiés du génie électrique, énergétique et numérique.L’espérance d’une seconde vieNos appareils électriques ont le droit à une seconde vie et pour cela à l’intervention de professionnels qualifiés.La loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (AGEC), en vigueur depuis le 10 février 2020, a prévu, à son article 62, la création d’un fonds de financement de la réparation dont la mise en oeuvre a été confiée à deux éco-organismes, Ecosystem et Ecologic.Pendant deux ans, Qualifelec s’est particulièrement impliqué dans la mise en oeuvre du fonds de réparation en engageant, dès le vote de la loi, le dialogue avec les deux éco-organismes chargés de sa mise en oeuvre.Malheureusement, deux problèmes se posent :De nombreux acteurs de l’écosystème ont publiquement déploré le manque criant de dotation du fonds5 (Directrice Générale de l’association Halte à l’obsolescence programmée (HOP) France Nature Environnement, Spareka, Amorce, Fedelec, Consommation Logement et Cadre de vie, Zero Waste France, les Amis de la terre, la Compagnie du SAV, Back Market) ;Le risque est grand de voir le marché de la réparation préempté par les grands acteurs nationaux de la vente des équipements électriques et électroniques (EEE).En effet, tel qu’il a été rédigé, le cahier des charges du marché néglige complètement les professionnels de proximité, les artisans et les électriciens qualifiés (qui sont aussi et souvent des réparateurs) au profit d’un processus de certification lourd administrativement et coûteux financièrement, qu’aucun artisan ou indépendant ne pourra traverser pour accéder aux financements.Le recours aux réparateurs qualifiés, présents partout sur le territoire national, au plus près des besoins des consommateurs, serait, selon nous, un gage de confiance pour les bénéficiaires du fonds qui disposeraient ainsi d’une réelle offre locale, alternative aux grandes enseignes.Enfin, cela constituerait un puissant outil de soutien en faveur de l’activité dans les territoires et les zones moins couvertes par les géants du secteur, en plus de favoriser l’artisanat local et les TPE présentes partout sur le territoire.Les récentes annonces des éco-organismes n’ont pas entamées notre inquiétude sur l’ensemble des points.Proposition n°4 : La mise en oeuvre du fonds de réparation destiné aux équipements électriques et électroniques (EEE), prévu dans la loi AGEC, doit, dans son cahier des charges, permettre l’accès au marché ainsi créé au plus grand nombre, notamment aux artisans et indépendants.Pour ce faire, nous proposons la mise en place d’un pourcentage de marché réservé aux structures de moins de 50 salariés et placé sous le contrôle des observatoires régionaux proposés plus haut.
Il y a 3 ans et 97 jours

Au Quadrilatère de Beauvais : Yona Friedman – L’exposition mobile

Avant une importante période de travaux de restructuration de son bâtiment, le Centre d’art de Beauvais (Oise) propose une exposition consacré à Yona Friedman. Jusqu’au 2 juillet 2022. Consacrée à l’artiste et architecte Yona Friedman disparu en 2019, l’exposition rend hommage à l’inventivité et à la pensée foisonnante de ce touche-à-tout, qui, sa vie durant, […] L’article Au Quadrilatère de Beauvais : Yona Friedman – L’exposition mobile est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 97 jours

Le secteur des énergies hors-réseaux dénoncent les spéculations sur les hydrocarbures et les fortes hausses de prix qu'elles entraînent

Les cours internationaux, les charges fiscales et parafiscales pesant sur les produits ont pour conséquences des prix de vente au consommateur jamais atteints par le passé même en temps de crise réelle d’approvisionnement.La France ne connait pourtant aujourd’hui aucun problème d’approvisionnement avéré, à l’heure qu’il est.Ces augmentations inédites par leur ampleur et leur brutalité sont clairement le fruit de pressions spéculatives actuellement à l’œuvre, très en amont des chaînes d’approvisionnement.Cette situation inédite doit interpeller les pouvoirs publics.Après avoir annoncé des mesures pour éviter le doublement des factures d’électricité ou de gaz, des mesures urgentes sont nécessaires pour que les consommateurs professionnels et les ménages ne soient seuls face à la spéculation pétrolière. La TVA, augmentant mécaniquement avec la hausse des prix, amplifie l’impact négatif sur le consommateur.
Il y a 3 ans et 97 jours

La FFB se montre confiante pour 2022, mais s'inquiète pour la suite

La Fédération française du bâtiment (FFB) s'attend à ce que le logement neuf reste en croissance en 2022, mais s'inquiète aussi d'une "crise majeure et imminente" de ce secteur.
Il y a 3 ans et 97 jours

"Le port du titre d'architecte ne doit souffrir d’aucune ambiguïté", Jean-Michel Woulkoff, président de l'Unsfa

Grand chantier annoncé dès sa prise de fonction par Christine Leconte, la présidente du Conseil national de l'Ordre des architectes, l'ouverture du tableau à tous les diplômés des écoles nationales supérieures d'architecture est sur la table. Depuis sa région "pilote", le Conseil régional de […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 97 jours

Meljac dévoile une nouvelle finition sur laiton : Antique Brass NA

Développé initialement pour le marché américain (MELJAC North America) pour répondre à une forte demande d’harmonie de finitions, l’Antique Brass NA intègre désormais le nuancier standard MELJAC.Le traitement de surface sur laiton, entièrement réalisé à la main, reste l’un des atouts de la marque, réputée pour la qualité de ses produits fabriqués en France.Une teinte pour tous les stylesL’Antique Brass NA met en lumière la noblesse du laiton massif, choisi avec soin pour tous les produits MELJAC.Cette finition s’accorde particulièrement avec les huisseries et robinetteries plébiscitées dans des intérieurs classiques voire traditionnels, au charme ancien. Mais elle est également de plus en plus utilisée dans des lieux très modernes pour contribuer aux contrastes de styles, tels que dans des lofts new-yorkais ou des décorations industrielles.Interrupteurs, prises de courant et toute autre commande électrique deviennent alors partie intégrante de la décoration intérieure, au-delà de leur aspect fonctionnel.MELJAC propose un nuancier de 30 finitions sur laiton, toutes réalisées selon les méthodes artisanales permettant d’obtenir une qualité finale optimale.Plaquette échantillon disponible dans le coffret des 30 finitions standardsS’applique aux collections Classique, Ellipse, Damier et SolarisPossibilité de gravures ou sérigraphie de mots, symboles, pictogrammes…
Il y a 3 ans et 97 jours

Cheminées Poujoulat part en tournée à la rencontre de ses clients à bord d'une semi-remorque

Un Tour de France de 15 dates et 8 étapes Le Tour de France Cheminées Poujoulat fera étapes dans 8 villes :Saint-Symphorien (79) les 2 et 3 mars 2022 > siège social de Cheminées Poujoulat et production de conduits de fuméeMauron (56) les 9 et 10 mars 2022 > production de granulés de boisBoulleville (27) le 22 mars 2022 > production de granulés de bois et bois densifiéTourcoing (59) les 24 et 25 mars 2022 > production de conduits de fuméeDemangevelle (70) les 29, 30 et 31 mars 2022 > production de bois bûches et bois densifiéNoirétable (42) le 5 avril 2022 > production de bois bûche et bois d'allumageMende (48) les 7 et 8 avril 2022 > production de granulés de boisLabouheyre (40) les 12 et 13 avril 2022 > production de granulés de bois Au programme de ce roadshow : des visites guidées d'usines, des moments de partage et de convivialité dans un cadre réceptif original, à bord d'une semi-remorque de 70 m2 répartis en 3 espaces à l'effigie de Cheminées Poujoulat. Pour l'occasion, Cheminées Poujoulat a fait appel au savoir-faire de la société de location de véhicules événementiels Podiocom basée près de Rennes (35) qui équipe entre autres des partenaires sur le Tour de France de cyclisme et qui a habillé le fameux camion de l'émission « C'est pas sorcier ». Sensibiliser les professionnels au potentiel du marché du bois énergieAvec cette tournée, le leader européen des conduits de fumée et sorties de toit entend faire découvrir à ses clients et prospects les nouvelles tendances du marché du bois énergie. Un secteur actuellement en pleine croissance grâce à un contexte réglementaire porteur : RE2020, rénovation énergétique soutenue par de nombreuses aides (MaPrimeRénov', Certificats d'Économies d'Énergie), interdiction des chaudières fioul neuves à partir du 1er juillet 2022, etc.À ce titre, un temps fort sera consacré à l'actualité de Cheminées Poujoulat, aux tendances marché du bois énergie, aux perspectives et au développement le tout dans une ambiance conviviale !
Il y a 3 ans et 97 jours

Socotec franchit le cap du milliard d’euros de CA

Le groupe Socotec poursuit sa stratégie de développement à l’international tout en gardant une approche dynamique en France, et se concentre sur le secteur du bâtiment et des infrastructures.
Il y a 3 ans et 97 jours

Refonte du site internet KP1: plonger dans l’univers digital du spécialiste de la préfabrication

Le digital est un marqueur fort de l’ADN de KP1. Il témoigne de sa volonté d’accompagner et de faciliter toujours plus le travail des professionnels (entreprises de gros-œuvre, négoces en matériaux, prescripteurs du bâtiment et constructeurs de maisons individuelles). La refonte de son site internet est pensée dans cet esprit.   L’interface, moderne et intuitive, a […]
Il y a 3 ans et 97 jours

Année 2021 exceptionnelle pour le réseau Mikit avec des performances historiques

Le coup de rabot sur le Prêt à Taux Zéro en région, la suppression des APL et le durcissement des conditions d'obtention des crédits immobiliers ont rendu plus difficile l'accès à la propriété par les ménages modestes qui se tournent vers des solutions moins onéreuses. MIKIT dont le concept repose sur la construction de maisons de qualité en prêt-à-finir et qui permet de réaliser jusqu'à 30%* d'économie sur la main d'œuvre, a donc su tirer son épingle du jeu.Un réseau de franchisés dynamiquePorté par un réseau de 140 franchisés (en progression de 8% par rapport à 2020), le premier constructeur de maisons individuelles en prêt-à-finir confirme sa bonne santé puisque les franchisés concluent en moyenne 18 ventes par an pour un C.A. de 2 000 000 € en moyenne. Plus de 60 d'entre eux surperforment et dépassent 6 500 000 € de chiffre d'affaires.Pour Damien Hereng, président de MIKIT : « Ces excellents résultats confirment la pertinence de notre modèle économique et l'attrait pour notre concept innovant. Nos maisons en prêt-à-finir s'adressent à des familles qui se sentent parfois exclues de l'accès à la propriété, elles permettent une réduction des coûts de construction pouvant aller jusqu'à 30% sans jamais rogner sur le niveau d'excellence de nos partenaires et la qualité de nos bâti et matériaux. Nous les aidons ainsi à réaliser leur rêve pour des mensualités équivalentes à leur loyer. »Une forte ambition soutenue par une campagne en télévisionPour appuyer les objectifs ambitieux de 2 500 maisons de volume de vente fixés par la marque, une nouvelle campagne de billboards qui joue sur le positionnement décalé et humoristique de la marque a débuté. Le groupe espère ainsi s'enrichir de 40 nouvelles franchises au sein du réseau pour atteindre une augmentation de son chiffre d'affaires de 15%.