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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88007 résultats)
Il y a 3 ans et 97 jours

Les prix de l'immobilier ancien ont progressé de 7,1% en 2021

Cette augmentation est surtout portée par les ventes de maisons individuelles selon les données provisoires de l'indice Notaires-Insee.
Il y a 3 ans et 97 jours

Le marché des paysagistes en croissance en 2021, porté par les particuliers

Les entreprises du paysage ont connu une croissance soutenue en 2021, portée par une demande en hausse des particuliers, selon les chiffres dévoilés par la principale fédération du secteur.
Il y a 3 ans et 97 jours

Weber à la conquête de la France

Weber se lance à la rencontre de centaines de négoces partout en France. [©Weber] Weber se lance dans un tour de France. La filiale du groupe Saint-Gobain a annoncé son Weberexpert Tour 2022, prévu entre mars et novembre. Cet événement permet de faire découvrir à des négoces situés partout en France les solutions Weber, via des démonstrations et des conseils. Qu’il s’agisse d’une rénovation de façade ou de la pose d’un carrelage, les clients bénéficieront aussi de vidéos ou de bornes digitales pour accéder à un ensemble de tutoriels. Ainsi, plus d’une centaine de rencontres vont être organisées cette année. Pour sa première étape, l’industriel a déjà rejoint les Alpes-Maritimes, et plus précisément à Cagnes-sur-Mer. Weber au service de ses clients Lors de cette opération, Weber propose des espaces de rencontres, d’échanges, d’expositions et d’expérimentations. Parmi ses installations, “l’atelier des experts” devrait être le stand le plus convoité. Il accueille une sélection de produits phares, d’innovations et la gamme “éco-conçue”. Très sollicitée par les professionnels de la construction, cette dernière présente diverses solutions biosourcées ou à empreinte carbone réduite. Lire aussi : Saint-Gobain Weber et Lhoist, partenaires autour de l’offre Tradical Permettant ainsi de répondre aux nouveaux enjeux environnementaux. En parallèle, la caravane du tour fait office de “café”, où sont servis petits-déjeuners, déjeuners et collations. Un “jeu des experts” est enfin organisé. Il permettra aux participants de gagner de nombreux lots. De quoi renforcer les relations entre les artisans et l’industriel.
Il y a 3 ans et 97 jours

Rénovation énergétique : recherche et formation grâce à deux programmes CEE

Deux programmes de certificats d’économies d’énergie (CEE) pour la formation des artisans et des entreprises aux aides à la rénovation énergétique et pour l’innovation dans le bâtiment viennent d’être lancés par Emmanuelle Wargon, ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique, chargée du Logement. Le programme « OSCAR » porté par l’Association Technique Energie Environnement (ATEE) répond à la demande de formation des artisans et des entreprises du bâtiment sur les aides à la rénovation énergétique. Le programme formera environ 6 000 référents sur les aides à la rénovation, interlocuteurs directs des artisans et entreprises. Il créera plusieurs outils afin de faciliter l’intégration des aides dans l’ensemble de la gestion de leurs chantiers (du devis à la clôture du chantier). Ce programme bénéficie d’un financement de 16 M€. La Ministre a également signé la convention du programme PROFEEL 2, porté par l’AQC et le CSTB qui bénéficie d’un financement de 35 M€. Le programme s’appuie sur des outils déjà produits dans PROFEEL, bénéficiant d’un financement de 24,5 M€, de 2019 à 2021, et apporte des réponses innovantes adaptées aux besoins des professionnels de terrain par l’intermédiaire de 8 projets permettant de répondre à deux enjeux majeurs : favoriser des décisions de rénovation performante et ainsi augmenter le volume de travaux de rénovation et sécuriser l’atteinte des performances recherchées et améliorer la qualité des travaux de rénovation engagés Cet article Rénovation énergétique : recherche et formation grâce à deux programmes CEE est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 97 jours

Nouveau site de données pour la hauteur et le débit des cours d’eau

Depuis janvier 2022, l’Hydroportail a remplacé la Banque Hydro. Ce site rend accessible l’ensemble des données publiques relatives à la hauteur et au débit des cours d’eau. Ces données sont disponibles pour l’ensemble des stations de mesure existant ou ayant existé sur les cours d’eau français, y compris outre-mer. Cela représente environ 5 000 stations. Parmi celles-ci, plus de 3 000 sont actives et alimentent régulièrement la base de données nationale sur laquelle s’appuie l’Hydroportail : on peut donc consulter à la fois leurs données historiques et en temps réel. Pour les autres stations, anciennes et aujourd’hui fermées, seules les données historiques enregistrées durant leur période d’activité sont disponibles. https://hydro.eaufrance.fr Cet article Nouveau site de données pour la hauteur et le débit des cours d’eau est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 97 jours

"Horizon 2024" pour le nouveau projet d’aménagement de la Gare du Nord à Paris

Baptisé "Horizon 2024" --un nom plus convenable que le "plan B" un temps évoqué--, il doit permettre d'améliorer l'existant, après l'abandon, en septembre, d'un vaste projet qui devait être mené par la foncière d'Auchan.L'idée est d'avoir "une gare plus verte, plus lisible, plus fluide, et aussi une gare plus ouverte sur la ville", un projet issu d'une intense concertation avec la Ville de Paris, Ile-de-France Mobilités et les transporteurs, explique-t-on chez SNCF Gares & Connexions.Le gestionnaire des gares françaises va d'abord s'attacher à revoir toute la signalétique, au sol et en hauteur, en suivant un schéma global des circulations.Il s'agira aussi de mieux identifier et différencier les zones d'attente et de circulation des voyageurs, de façon à ce qu'ils ne se bousculent pas.SNCF Gares & Connexions compte aussi travailler sur l'éclairage de la Gare du Nord, ne serait-ce que pour faire diminuer le sentiment d'insécurité, réel dans une partie des bâtiments. Des espaces commerciaux qui avaient dû fermer dans la perspectives des grands travaux annoncés vont d'ailleurs rouvrir d'ici 2023.Le chantier va aussi concerner l'agrandissement du terminal transmanche et de l'espace des trains de banlieue. Des escaliers mécaniques seront parallèlement changés ou ajoutés, permettant notamment d'améliorer les échanges avec les quais souterrains du RER --qui eux-mêmes doivent être rénovés.La SNCF veut aussi "ouvrir la gare vers la ville", avec un réaménagement du parvis --porté par la mairie de Paris-- où ne circuleraient plus que des bus et des deux-roues, et un déménagement des taxis.Un autre parvis doit être aménagé sur le flanc droit, à côté de la gare des bus réaménagée et d'une station vélos.Le terminal transmanche doit être achevé pour la coupe du monde de rugby en septembre 2023 et le reste en juin 2024, avant les JO, selon Gares & Connexions.Le coût est estimé par la branche de la SNCF à 30 millions d'euros, auxquels il faut ajouter une vingtaine de millions d'opérations déjà programmées. La rénovation du parvis n'est pas comprise.La SNCF avait dénoncé en septembre le contrat la liant à Ceetrus –la foncière d'Auchan-- pour réaliser un projet beaucoup plus massif, et controversé, de rénovation de la Gare du Nord, invoquant un manque de maîtrise du projet, une envolée des coûts et des retards très importants.Au-delà de l'échéance des JO, SNCF Gares & Connexions dit envisager un nouveau projet susceptible de répondre à la croissance attendue du trafic ferroviaire.
Il y a 3 ans et 99 jours

Londres veut étendre sa taxe de circulation pour les véhicules polluants

Restreinte au centre de Londres à son introduction en 2019, la zone ULEZ (ultra low emission zone) avait déjà été considérablement élargie en octobre pour recouvrir un périmètre 18 fois plus large, revenant selon le maire travailliste de Londres, Sadiq Khan, à "retirer 60.000 véhicules" de la circulation dans la capitale.M. Khan a annoncé vendredi son intention d'aller plus loin et vouloir étendre d'ici 2023 cette taxe à tout le Grand Londres, où vivent neuf millions d'habitants."Le triple défi qui est de combattre la pollution de l'air, l'urgence climatique et les embouteillages signifie que nous devons réduire encore plus les émissions de nos véhicules à Londres", a-t-il affirmé dans un communiqué. "Nous n'avons tout simplement pas de temps à perdre."Selon lui, l'extension de la zone ULEZ à toute la ville permettra d'avoir "le plus gros effet sur les émissions et les embouteillages relativement au coût économique pour les Londoniens".Actuellement, les conducteurs de voitures à essence généralement fabriquées avant 2006 (norme Euro 4) et de véhicules diesel généralement fabriqués avant 2015 (norme Euro 6) doivent débourser 12,50 livres (14,80 euros) par jour pour entrer dans la zone ULEZ. Pour les camions et cars, il faut payer 100 livres (116 euros) par jour. Les taxis sont eux exemptés.Outre cette taxe, une "congestion charge", péage urbain de 15 livres par jour (17,70 euros) s'applique dans l'ultra-centre à tous les véhicules, afin de réduire le trafic.L'annonce de la mairie a été saluée par l'association "Mums for Lungs" (Des mamans pour les poumons) qui milite depuis une telle mesure depuis 2018. Fin 2020, la justice a reconnu que la pollution de l'air avait "contribué" à la mort d'une fillette de neuf ans à Londres.
Il y a 3 ans et 99 jours

Reconversion d’un îlot parisien : 74 Logements par archi5

Pour Paris Habitat OPH, l’agence archi5 a livré en 2021 avenue Jean Jaurès à Paris (XIXe) 74 logements sociaux (4 874 m²) à structure bois et un espace commercial. Le projet, de 10,7M€ HT, se veut une approche rationnelle, visionnaire et durable de la transformation urbaine. Communiqué. Situés sur une parcelle de cœur d’îlot avenue […] L’article Reconversion d’un îlot parisien : 74 Logements par archi5 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 99 jours

Le campus Hors site monte en puissance

Formation - Avec le concours d'acteurs du secteur, l'école propose des modules en ligne et des ateliers pour accompagner l'industrialisation du bâtiment.
Il y a 3 ans et 99 jours

Gel des avoirs russes sous sanctions : une traque complexe pour Bercy

Quatre services majeurs de Bercy sont à la manœuvre : l'administration fiscale (DGFiP), le service de renseignement financier Tracfin, les douanes et la direction générale du Trésor.Chacun dans leur domaine, ils mobilisent dans les services centraux plusieurs dizaines de personnes et jusqu'à plusieurs centaines en incluant les agents mobilisés ponctuellement sur tout le territoire, par exemple pour effectuer une saisie, indique-t-on à Bercy.L'objectif : mettre en commun leurs forces pour repérer les avoirs financiers (comptes bancaires, placements, etc.) et les biens (immobilier, bateaux, etc.) appartenant aux plus de 500 personnes et entités sous le coup des sanctions européennes et qu'il faut geler avant qu'ils ne soient vendus ou quittent le territoire français.Par exemple la DGFiP, qui tient un fichier des biens immobiliers, peut y signaler un bien ayant vocation à être gelé, "pour faire en sorte que tous les acteurs immobiliers, et notamment les notaires, puissent lorsqu'ils le consulteront, arrêter une transaction sur ce bien", détaille-t-on à Bercy. De même pour les comptes bancaires : une fois identifiés, les comptes appartenant à des personnes ciblées sont signalés aux établissements bancaires pour qu'ils bloquent tout usage des fonds.Ces établissements peuvent d'ailleurs eux aussi faire remonter l'existence de certains comptes suspects aux autorités.L'efficacité du dispositif repose donc sur les établissements bancaires et sur certains professionnels (avocats, notaires, agents immobiliers, etc.) obligés de se renseigner précisément sur les propriétaires réels des biens ou parts de sociétés et de signaler à Tracfin d'éventuels soupçons.Parfois, l'identification des biens et de leurs propriétaires est complexe, du fait de l'usage de prête-noms (conjoint, enfants, etc.), ou de montages."Sur les patrimoines les plus importants, on peut se retrouver dans la situation où il y a des sociétés civiles, voire plusieurs étages de sociétés et des montages y compris un peu opacifiants", avec parfois des structures qui ont des sièges à l'étranger, voire dans des paradis fiscaux, nécessitant un recours à la coopération internationale pour remonter jusqu'au bénéficiaire effectif.A ce stade, Bercy ne souhaite pas communiquer précisément les résultats de sa traque. Le gouvernement a seulement rendu public la saisie ou le gel de cinq bateaux par les douanes, et le gel "d'un tiers" des avoirs de la banque centrale russe en Europe.Un appel à la vigilance émis par Tracfin juste avant l'entrée en vigueur du gel des avoirs de la Banque de Russie a notamment permis d'empêcher le départ de France de 4,8 milliards d'euros lui appartenant, souligne-t-on au ministère.
Il y a 3 ans et 99 jours

Le Pays basque cherche à freiner les meublés de tourisme

Une mesure de "compensation" obligera les propriétaires à produire, dans la même ville et avec une surface équivalente, un bien sur le marché locatif à l'année pour compenser un logement transformé en meublé touristique, mesure déjà en place à Paris, Bordeaux, Lyon ou Nice.Pour cela, il faudra transformer des locaux déjà existants (garage, local commercial, etc.) et non en construire un nouveau. "Pour nous, il y a un danger considérable à ce qu'on laisse cette situation (de marché tendu, ndlr) perdurer", a indiqué à une correspondante de l'AFP le président de l'agglomération basque Jean-René Etchegaray, maire de Bayonne et moteur de la mesure.La règle, soumise au vote samedi, sera appliquée à partir du 1er juin sur 24 communes de "zone tendue" de la Côte basque, dont Bayonne, Biarritz, Anglet, Guéthary, Saint-Jean-de-Luz ou Hendaye.Elle ne sera pas rétroactive. Les meublés touristiques actuels sont soumis à une autorisation de changement d'usage délivrée par les communes, valable trois ans. À terme, la règle de compensation s'appliquera à tous, au moment du renouvellement.Elle n'interdit, en revanche, ni de louer sa résidence principale pendant 120 jours dans l'année, ni de proposer un logement en saison, si loué à des étudiants le reste de l'année.Pour l'association Alda, en pointe de ce combat, cette mesure "volontariste", même si elle pouvait aller encore plus loin, est "à la hauteur des enjeux" car "si on ne met pas un frein au phénomène, la situation va devenir incontrôlable", selon son co-président Xebax Christy.Selon l'Agence d'urbanisme Atlantique et Pyrénées (Audap), les hébergements de courte durée ont augmenté de 130% entre 2016 et 2020. Plus de 16.000 meublés touristiques sont recensés dans les 24 communes concernées.L'Union nationale pour la promotion des locations de vacances (UNPLV), qui réunit plateformes, agents de voyage et autres professionnels, a dans la semaine déploré une "erreur de cible", qui "risque de mettre à mal une économie locale depuis longtemps tournée vers le tourisme", selon son président, Dominique Debuire.Une pétition contre ce "projet restrictif", signée vendredi matin par 1.600 personnes, pointe le manque de concertation des professionnels et propriétaires.En novembre 2021, de 6.500 à 8.000 personnes avaient manifesté à Bayonne pour réclamer des logements accessibles au Pays basque.
Il y a 3 ans et 99 jours

Un guide sur les purificateurs d'air dans le tertiaire vient d'être publié

PRATIQUE. Un ouvrage gratuit et disponible en ligne présente plusieurs solutions d'épuration de l'air sur le marché. Ce dernier se porte bien, notamment du fait de la crise sanitaire.
Il y a 3 ans et 99 jours

Les représentants de 5 candidats à l’élection présidentielle se positionnent sur les grands enjeux en matière de dérèglement climatique et de logement

Les représentants suivants étaient présents lors de la table-ronde : David Belliard, adjoint à la maire de Paris en charge de la transformation de l'espace public et des transports, représentant de Yannick Jadot (EELV) ; Geoffroy Didier, député européen et secrétaire général délégué des Républicains, représentant de Valérie Pécresse (LR) ; Hélène Geoffroy, maire de Vaulx-en-Velin, ancienne secrétaire d'État chargée de la Politique de la Ville, représentante d'Anne Hidalgo (PS) ; Olivier Klein, maire de Clichy-sous-Bois, président de l'ANRU, relais pour la Majorité présidentielle et Mathilde Panot, députée du Val-de-Marne, représentante de Jean-Luc Mélenchon (LFI). Les représentants de ces équipes de campagne ont échangé pendant deux heures de débat animées par Thomas Legrand. Cette rencontre exceptionnelle, enregistrée en direct et suivie en ligne par plusieurs milliers de personnes, était centrée sur deux enjeux essentiels autour desquels les architectes, qui portent une mission « d’intérêt public », s’engagent au quotidien et portent des solutions concrètes :Faire face au changement climatique : à l’heure où la planète connaît une phase de réchauffement climatique sans précédent, comment adapter les villes, les méthodes de construction et de rénovation à cette nouvelle donne ? Comment limiter l’impact de la construction sur l’environnement, pour éviter de subir davantage ce réchauffement ?Passer d’une politique du logement à une politique de l’habitat : 12 millions de personnes sont fragilisées par le logement, qui reste le premier poste de dépenses des ménages. Comment répondre à la demande de logements autrement qu’en proposant de « construire toujours plus et plus vite », au détriment de la qualité ? Au cours de ce débat, Christine Leconte, présidente de l’Ordre des architectes, a pu montrer le rôle de l’architecte en tant que partenaire-expert « transversal » au service de la transition écologique et sociale, garant d’une meilleure qualité d’habitat et de vie.Pour Christine Leconte, présidente de l’Ordre des architectes : « Nous avons souhaité entendre les candidats autour de ces enjeux clés pour les français en matière de cadres de vie car nous sommes convaincus que les politiques publiques des dernières décennies ont été trop souvent contreproductives. Il ne faut pas que les erreurs du passé se répètent en la matière, c’est la demande que nous avons formulée aux équipes des candidats. Nous devons par exemple avancer pour avoir une meilleure maîtrise des coûts du logement, à l’heure où les coûts du portage vont jusqu’à 30% sur le neuf ».
Il y a 3 ans et 99 jours

Sika se renforce dans les produits à base de ciment au Canada

ACQUISITION. Le groupe suisse de chimie, Sika, annonce l'acquisition de Sable Marco, un fabricant canadien de produits à base de ciment ainsi que des mortiers.
Il y a 3 ans et 100 jours

Comment le BTP peut s'adapter aux risques et contraintes des enjeux de demain

ANALYSE. Pandémie de Covid-19, entrée en vigueur de la Réglementation environnementale 2020, zéro artificialisation nette des sols, décarbonation et transition énergétique, recyclage des déchets et économie circulaire... Les enjeux ne manquent pas pour le secteur de la construction, qui doit en parallèle surmonter les risques et contraintes qui y sont liés. Dans un dossier dédié au BTP, le spécialiste de l'assurance-crédit Euler Hermes identifie les opportunités tout en analysant la manière dont le secteur peut anticiper et réagir aux difficultés.
Il y a 3 ans et 100 jours

La guerre en Ukraine, un stress supplémentaire pour les artisans du bâtiment

Un an après le début de la crise des matériaux, le conflit en Ukraine va indirectement obliger les artisans du bâtiment qui rognaient sur leurs marges à augmenter leurs prix.
Il y a 3 ans et 100 jours

Le mouvement HLM prêt à se mobiliser pour l'accueil de réfugiés ukrainiens

CRISE. L'Union sociale pour l'habitat (USH) assure de mobiliser pour "l'accueil des familles ukrainiennes victimes du conflit" en Ukraine.
Il y a 3 ans et 100 jours

Rapport du GIEC : la France rappelle la nécessité de poursuivre la baisse des émissions carbone et d'accélérer l'adaptation des territoires vulnérables

A cette occasion, la France rappelle la nécessité de poursuivre la baisse des émissions carbone et d’accélérer l’adaptation des territoires. Elle s’y est fortement engagée, notamment au travers de la loi Climat et Résilience, mais aussi avec ses partenaires européens en appui aux pays les plus vulnérables.Le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) publie aujourd’hui le volume 2 de son 6ème rapport d’évaluation, intitulé « Changement climatique : impacts, adaptation et vulnérabilité ». Fruit d’une collaboration internationale de 270 scientifiques issus de 67 pays, il présente l’état actuel des connaissances sur les impacts perceptibles du changement climatique sur les humains et les écosystèmes. Le rapport présente ainsi les impacts et risques à court, moyen et long termes en fonction des niveaux de réchauffement, ainsi que les moyens de s’y adapter.Le rapport du GIEC est inquiétant : les événements climatiques extrêmes (vagues de chaleur, fortes précipitations, inondations, cyclones tropicaux intenses, sécheresses, incendies), effets du changement climatique causés par l’homme, ont déjà des impacts importants sur les populations, les écosystèmes et les infrastructures. Les conséquences sur l’accès à l’eau et la sécurité alimentaire, la santé, le fonctionnement des économies et la biodiversité sont très graves.Les risques s’aggraveront avec l’augmentation du réchauffement climatique, dans toutes les régions du monde. Le rapport souligne qu’au-delà de 1,5°C de réchauffement, le changement climatique aura des impacts irréversibles, notamment sur la biodiversité. Pour le GIEC, des solutions d’adaptation existent mais elles nécessitent une transformation systémique. Parmi ces solutions, il y a notamment la mise en place de systèmes d’alerte précoce ou encore des solutions fondées sur la nature, qui ont des co-bénéfices pour la biodiversité, le climat et les populations. Retarder ces actions et les politiques nécessaires à leur mise en œuvre compromet leur efficacité, diminue leur potentiel et augmente leur coût.Par ailleurs, le GIEC présente la notion de « développement résilient au climat ». Il s’agit d’un développement durable, qui nécessite la mise en œuvre, de manière intégrée, des politiques d’adaptation au changement climatique, des politiques de protection de la biodiversité et des écosystèmes, et des politiques de réduction rapide des émissions de gaz à effet de serre.Ce rapport conforte la France dans sa détermination à poursuivre son action pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre, notamment grâce à la loi Climat et résilience, mais aussi pour se préparer aux impacts inéluctables du changement climatique, avec le deuxième plan national d'adaptation au changement climatique.Il conforte également le rôle moteur de la France et de l’Union européenne pour atteindre ses objectifs climatiques avec le paquet Fit For 55 tout en aidant les pays les plus vulnérables à faire face aux effets du changement climatique. Le Président de la République s’est engagé à porter la finance climat de la France en faveur des pays en développement à 6 milliards d’euros par an, de 2021 à 2025, dont un tiers pour l’adaptation.Pour Jean-Yves Le Drian, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères : « Ce rapport du GIEC confirme, pour tous les pays du monde, l’urgence d’agir pour mettre en œuvre les objectifs de l’accord de Paris, tant en matière d’adaptation que de réduction des émissions de gaz à effet de serre. A ce titre, la France appelle les pays qui ne l’ont pas encore fait à rehausser leur ambition climatique avant la COP27 de Charm el-Cheikh. Alors que ce rapport confirme également que les crises du climat et de la biodiversité sont intrinsèquement liées, la diplomatie française est mobilisée pour adopter un nouveau cadre stratégique mondial ambitieux pour la protection de la biodiversité, à la COP15 de Kunming, qui se tiendra dans les prochains mois. » Pour Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique : « Les constats du GIEC sont sans appel et confirment la nécessité d’agir à la fois sur la cause du changement climatique, en réduisant les émissions de gaz à effet de serre mondiales, et sur ses conséquences pour essayer d’en limiter les impacts. La France prend toute sa part de l’effort et les travaux sur la nouvelle stratégie française énergie climat permettront de renforcer nos actions en ce sens. Dans le cadre de sa Présidence du Conseil de l’Union européenne, la France est mobilisée pour mettre en œuvre les engagements européens à travers le paquet « Fit For 55 ». La conférence ministérielle sur le climat que j’organise à Nantes les 7 et 8 mars permettra de contribuer à la mobilisation vue l’urgence pointée par le GIEC. » Pour Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation : « La communauté internationale de chercheurs est engagée dans la production de connaissance sur l’origine, les conséquences et les réponses à apporter face au changement climatique en cours. Je tiens à exprimer ma reconnaissance à la communauté scientifique française pour l’immense travail d’intégration et d’analyse conduit dans le cadre de la préparation et de l’édition de ce volume 2 du 6ème rapport du GIEC. D’une part, il est capital de poursuivre nos efforts d'atténuation des effets du changement climatique par la diminution de nos émissions de gaz à effet de serre, pour atteindre la neutralité carbone. D’autre part, il est essentiel de préparer nos sociétés aux impacts qui ne pourront être évités en renforçant notre stratégie d'adaptation, avec des politiques ambitieuses pour réduire les vulnérabilités et augmenter la résilience au changement climatique. Le rapport du groupe II du GIEC montre la nécessité de mieux appréhender les dimensions socio-économiques de l’adaptation et des impacts du changement global. Les communautés scientifiques sont pleinement mobilisées et soutenues pour développer des solutions d’adaptation opérationnelles, en particulier celles fondées sur la nature, et pour accompagner les capacités de réponse des individus et des territoires, dans un souci d’équité. »
Il y a 3 ans et 100 jours

Comment les Français perçoivent l'éco-rénovation ?

ETUDE. Alors que l'énergie pèse sur le budget des ménages, un sondage OpinionWay pour Sofinco s'est penché sur la perception de l'éco-rénovation par les Français. Découvrez les résultats.
Il y a 3 ans et 100 jours

Parution du décret concernant la RE2020 dans le tertiaire

Ce décret prenant effet à partir du 1er juillet 2022 concerne les « constructions de bâtiments ou parties de bâtiments de bureaux, ou d'enseignement primaire ou secondaire » premièrement puis dans un second temps, à partir du 1er janvier 2023, « aux extensions de ces constructions et aux constructions provisoires. »Ce décret fixe « fixe les niveaux d'exigence de performance énergétique et environnementale » que doivent respecter les bâtiments concernés en France métropolitaine selon cinq exigences de résultat :l'optimisation de la conception énergétique du bâti indépendamment des systèmes énergétiques mis en œuvre, la limitation de la consommation d'énergie primaire,la limitation de l'impact sur le changement climatique associé à ces consommations,la limitation des situations d'inconfort dans le bâtiment en période estivale.Ce décret était passé devant le conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique (CSCEE) en septembre 2021, récoltant des avis favorables malgré quelques réserves de la part d'acteurs importants du la filière du bâtiment, demandant des modifications du texte comme la suppression du test de perméabilité à l'air pour les bâtiments de bureaux et d'enseignement ou la modulation des exigences énergétiques en fonction du débit de ventilation.
Il y a 3 ans et 100 jours

En 2021, Colas retrouve le chemin de la croissance

RÉSULTATS. Le groupe Colas a enregistré un "fort rebond" de son activité en 2021, dans l'ensemble de ses métiers et de ses zones géographiques. Les perspectives pour l'exercice 2022 sont également optimistes, grâce notamment à un carnet de commandes record et l'acquisition du Finlandais Destia, qui lui permet d'accéder à de nouveaux marchés.
Il y a 3 ans et 100 jours

L’OPPBTP met à jour le Guide de préconisations de sécurité sanitaire

Cette version prend en compte le nouveau protocole sanitaire en entreprise, publié par le ministère du Travail le 26 février et applicable depuis le 28 février, en conformité avec les recommandations du Haut Conseil de Santé Publique et de l’État.Les principaux aménagements du guide concernent : Le port du masque : A compter du 28 février 2022, les obligations de port du masque ne sont plus applicables aux personnes accédant aux établissements, lieux, services et événements avec un pass vaccinal, y compris pour les professionnels soumis au pass vaccinal qui y exercent leur activité. Le port du masque peut toutefois y être rendu obligatoire par le préfet de département lorsque les circonstances locales le justifient. Le port du masque est maintenu dans les transports - y compris lorsque le pass vaccinal s'y applique - pour les déplacements longue distance par transports interrégionaux. Les cas contacts : Depuis le 28 février, un seul test devient nécessaire (autotest, PCR ou antigénique) deux jours après avoir été déclaré cas contact, pour les personnes vaccinées. Si l'autotest est positif, un test antigénique ou PCR est nécessaire pour confirmer le résultat.Le télétravail, recommandé depuis le 2 février dernier. Les employeurs fixent, dans le cadre du dialogue social de proximité, les modalités de recours au télétravail, en veillant au maintien des liens au sein du collectif de travail et à la prévention des risques liés à l’isolement des salariés en télétravail.Les réunions en audio ou en visioconférence restent à privilégier. Lorsqu’elles se tiennent en présentiel, les participants doivent respecter les gestes barrières, notamment le port du masque, les mesures d’aération/ventilation des locaux ainsi que les règles de distanciation.Les moments de convivialité réunissant notamment les salariés en présentiel dans le cadre professionnel peuvent être organisés dans le strict respect des gestes barrières, en particulier le port du masque, les mesures d’aération/ventilation et les règles de distanciation.Les masques FFP2 sont prioritairement réservés aux professionnels médicaux, y compris les personnels en charge du dépistage. Le HCSP précise toutefois dans son avis du 23 décembre 2021, que le port du masque FFP2 peut être indiqué pour les personnes à risque de formes graves du Covid-19 et en échec de vaccination pour raisons médicales, dès lors qu’elles sont en capacité de le supporter pendant plusieurs heures et pour un usage quotidien. Le guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction en période d’épidémie de coronavirus SARS-Cov-2 est disponible sur le site internet de préventionbtp.fr. Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l’OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu’à distance grâce au service PréventionBTP En Direct. Une base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 est à disposition sur le site.
Il y a 3 ans et 100 jours

Le CSCEE demande en urgence une réglementation incendie pour la construction bois

PRISE DE POSITION. Le besoin de mettre en oeuvre une réglementation incendie nationale pour les constructions bois est urgent, assurent plusieurs acteurs majeurs du secteur, dans une note de positionnement publiée par le Conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique (CSCEE).
Il y a 3 ans et 100 jours

DIGITAL MANAGEMENT

Arithmetic, la nouvelle application française qui permet d’améliorer facilement la qualité de service dans les immeubles et les ERP La French Tech n’a pas fini de faire parler d’elle ! Après avoir transformé en profondeur le secteur de la finance ou encore du juridique, les startups françaises continuent d’innover pour simplifier et fluidifier toutes les […]
Il y a 3 ans et 100 jours

Nouvelle gamme de PAC Aquarea ultra silencieuses

Même si les dernières générations de Pompes à Chaleur affichent d’ores et déjà de bonnes performances en matière sonore (les PAC Aquarea Panasonic revendiquent en moyenne une puissance sonore de 67 dB(A) maximum, soit le bruit d’un environnement de travail habituel), il reste encore des environnements sensibles au bruit (unité extérieure proche d’une autre maison, installation en toiture pour du résidentiel collectif) pour lesquels il est souhaitable de recourir à des matériels encore plus silencieux. C’est pour répondre à ce besoin spécifique que Panasonic a mis au point une nouvelle gamme de PAC encore plus silencieuses.Une technologie unique, ultrasilencieuse et ultraperformanteL’unité extérieure de la T-CAP SQ utilise un châssis différent, couplé à une isolation avancée du compresseur. Cette particularité permet à chaque modèle d’être « automatiquement » plus silencieux de 5 à 7 dB(A) par rapport à des produits similaires. De plus, les modèles SQ, comme les autres Aquarea, bénéficient de 3 niveaux de bruit qui peuvent être activés via la télécommande.L’autre intérêt majeur de cette technologique c’est que l’unité extérieure affiche un confort sonore inégalité sans aucune perte de puissance ni de performance. Les PAC Aquarea T- CAP SQ revendiquent donc les mêmes performances énergétiques que les autres solutions de la gamme avec un confort renouvelé.Aquarea T-CAP, le plus du maintien de puissanceLes PAC Aquarea T-CAP sont équipées de la technologie Total CAPacity, une exclusivité Panasonic. Cette dernière, via une réinjection de fluide avant l’aspiration du compresseur, permet de maintenir une puissance constante, ce qui évite les surdimensionnements. La PAC maintient ainsi sa puissance et sa température sans appoint électrique même par -20°C. Fortes de COP élevés même à basse température extérieure, les PAC T-CAP délivrent une température de sortie d’eau jusqu’à 60° ce qui en font une solution idéale en remplacement d’une ancienne chaudière voire d’une Pompe à Chaleur.Pour les nouvelles installations, les modèles de la série T-CAP peuvent également être combinés sans problème avec un chauffage au sol, des radiateurs ou des ventilo-convecteurs
Il y a 3 ans et 100 jours

Les résultats 2021 de Bouygues se rapprochent des niveaux de 2019

Le groupe Bouygues a vu ses résultats de 2021 se rapprocher des niveaux de 2019, avant l'épidémie de Covid-19, et affiche sa "confiance" pour la suite.
Il y a 3 ans et 100 jours

La CAPEB et Rockwool renouvellent leur partenariat pour accompagner les artisans sur les enjeux d’efficacité énergétique

Ce partenariat signé par Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB, via sa filiale Béranger Développement, et Elisabeth Bardet, Directrice Commerciale France et Export de ROCKWOOL, permettra de proposer des solutions d’isolation robustes et modernes aux entreprises artisanales du bâtiment et de développer leurs connaissances sur les problématiques d’efficacité énergétique grâce à des formations adaptées.Dans le cadre de cet accord, ROCKWOOL concevra, donc, en collaboration avec la CAPEB, le contenu de formations destinées à développer les connaissances des entreprises artisanales du bâtiment. Ces modules seront différenciés en fonction des caractéristiques et activités des entreprises artisanales du bâtiment.ROCKWOOL fournira également des outils pédagogiques et d’aide à la vente pour permettre aux adhérents de la CAPEB de démontrer à leurs propres clients les bénéfices des solutions proposées. Des contenus et des outils seront développés notamment grâce à l’expertise de ROCKWOOL Campus, un organisme de formation dont l’objectif est de proposer aux professionnels des formations isolation adaptées à leurs besoins et à leurs niveaux d’expérience. Des programmes certifiés QUALIOPI sont proposés pour garantir la performance, la professionnalisation des métiers et la sécurisation des processus de la conception à la construction.ROCKWOOL mettra aussi à disposition des adhérents les services gratuits « Rénov’ » by ROCKWOOL dédiés à la mise en relation des particuliers et des artisans RGE, ainsi que la possibilité de devenir membre de son club de fidélité Rockclub. Enfin, ROCKWOOL renverra systématiquement toutes les entreprises artisanales du bâtiment qui souhaitent avoir des informations ou devenir ECO Artisan RGE vers les CAPEB départementales. De son côté, la CAPEB s’engage à informer le réseau CAPEB de la gamme d’offres et services de ROCKWOOL. Enfin, elle permettra aux entreprises artisanales du bâtiment, à travers son service de proximité, de bénéficier de l’offre de formation ROCKWOOL.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Après l’épisode de « l’isolation à 1€ », replaçons les solutions d’isolation comme un élément clef de la rénovation énergétique. Parce qu’elle est essentielle, il était donc important pour nous de continuer à travailler main dans la main avec le leader mondial de l’isolation en laine de roche. C’est une nouvelle occasion de poursuivre la sensibilisation de nos entreprises artisanales du bâtiment sur les enjeux de l’efficacité énergétique. »Pour Elisabeth Bardet, Directrice Commerciale France et Export de ROCKWOOL : « Partenaire historique de la CAPEB et des artisans, nous renouvelons avec plaisir notre partenariat qui va continuer de renforcer les liens qui nous unissent. Nos produits d’isolation et nos services, ainsi que notre nouvelle plateforme de mise en relation des particuliers et des artisans Rénov’ by ROCKWOOL, et enfin notre équipe de formation Campus, s’inscrivent pleinement dans les enjeux majeurs de la rénovation énergétique aux côtés des artisans, acteurs clés et garants de la bonne réalisation des chantiers. »
Il y a 3 ans et 100 jours

Colas Rail remporte un contrat de 760 millions d’euros sur la première ligne souterraine du métro de Manille

Colas Rail, mandataire d’un groupement comprenant Thales et Egis, a été choisi par Mitsubishi Corporation pour la conception et la construction clé en main du système ferroviaire de la première ligne souterraine du métro de Manille. Le montant total du projet s’élève à environ 1 milliard d’euros, dont 760 millions d’euros(1) pour Colas Rail. Ce […]
Il y a 3 ans et 100 jours

Logement neuf : la dernière digue cède

 S’il a connu un fort rebond en 2021 (ventes à +21,5%), le marché de la maison neuve en secteur diffus, qui soutient aujourd’hui l’activité en logement neuf, dévisse fortement depuis trois mois du fait des surcoûts issus tant de la hausse des prix des matériaux et de l’énergie que de la mise en œuvre de […]
Il y a 3 ans et 100 jours

A Paris, restructuration du site de l’œuvre des jeunes filles aveugles par AZC

L’agence parisienne AZC architectes (Irina Cristea, Grégoire Zündel), a livré en 2021 à Paris (XIVe), pour Paris Habitat OPH maître d’ouvrage, la restructuration du site de l’œuvre des jeunes filles et sœurs aveugles de Saint-Paul. Surface utile : 9 863 m² ; budget : 17.0 M€ HT. Communiqué. Le site est un terrain dont la dimension patrimoniale […] L’article A Paris, restructuration du site de l’œuvre des jeunes filles aveugles par AZC est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 100 jours

Un nouveau site Web pour un positionnement d’expert sectoriel BTP et gestion des interventions

L’éditeur de logiciels ERP et GMAO Business Office Oxygen lance son nouveau site Web. La PME rennaise affirme sa position d’expert du bâtiment et de la gestion d’interventions de maintenance La société B2O vient de sortir son nouveau site internet. Fer de lance de la nouvelle identité graphique de l’entreprise, le site traduit aussi la […]
Il y a 3 ans et 100 jours

Négoce Connecté, le rendez-vous de l’accélération digitale du négoce et du BtoB

Comment transposer les atouts historiques du négoce dans un univers omnicanal et mobile first ? Quel peut être le rôle des négoces dans un monde dominé par les plateformes telle qu’Amazon et où les grandes marques sont tentées par la vente directe ? Comment répondre aux évolutions des comportements d’achat des PME, des pros, des artisans ?Autant de questions passionnantes qui seront abordées, jeudi 24 mars 2022 par des dirigeants et acteurs du négoce devant un public de retailers du secteur. Ne manquez pas la seconde édition du rendez-vous de l’accélération digitale du négoce et du BtoB organisé à Paris par Diamart Connect.Inscrivez-vous* dès maintenant sur : https://www.negoceconnecte.fr/Pourquoi participer à cet événement ?C’est une journée pour networker avec plus d’une centaine de décideurs et rencontrer des partenaires innovants comme Unifai, Mirakl, Alkemics, Akeneo ou encore Sum Up.Une deuxième édition avec un programme enrichi : 4 tables rondes de haut vol avec des dirigeants pour partager leur vision du négoce de demain :Des rencontres avec les solutions technologiques les plus pertinentes lors de One-to-One qualifiés, une journée ponctuée d’échanges et de networking entre acteurs clés du secteur.Inscrivez-vous* dès maintenant sur : https://www.negoceconnecte.fr/* invitation gratuite pour tous les cadres et dirigeants du négoce et commerce B2B, sous réserve de programmer 2 à 3 rendez-vous one-to-one avec des acteurs technologiques qualifiés
Il y a 3 ans et 100 jours

Gecina annonce un bénéfice en baisse en 2021, et espère renouer avec la croissance en 2022

Son résultat récurrent net, indicateur de référence pour les foncières, a été de 392 millions d'euros, en baisse de 6,8% par rapport à 2020. Elle a collecté pour 613,3 millions d'euros de loyers, en baisse également (-6,8%), mais quasi stable à périmètre constant (-0,2%).La directrice générale du groupe Méka Brunel s'est réjouie d'une "reprise progressive des fondamentaux" et d'une "dynamique enclenchée pour cette année 2022" où elle espère renouer avec la croissance.La société va proposer à ses actionnaires un dividende de 5,30 euros par action, inchangé par rapport à 2020. Pour 2022, le groupe s'attend à un résultat récurrent net "autour de 5,5 euros par action", soit une hausse de 3%. Gecina, qui concentre l'essentiel de ses bureaux dans les quartiers ouest de Paris les plus prisés, se recentre de plus en plus sur ces actifs, les plus sûrs.Le taux de vacance dans le quartier central des affaires, qui englobe ces quartiers les plus en vue de l'ouest de Paris, s'établit ainsi à 3,1%, "proche d'un plus bas historique", selon Gecina. La société a ainsi cédé plusieurs bureaux en périphérie de Paris, tout en mettant un pied dans d'autres grandes métropoles, Bordeaux et Marseille. Le taux de vacance de Gecina tous territoires et toutes activités confondues s'établit à 8,3%, stable par rapport à 2020.
Il y a 3 ans et 100 jours

Comparer et moderniser les pompes en quelques clics, c’est maintenant possible avec Wilo.

Wilo lance un nouveau guide de remplacement numérique. L’outil en ligne facilite plus que jamais la comparaison et la recherche de la pompe la plus adaptée pour les installations de ses clients. Au rendez-vous : haut rendement et économies d’énergie ! EFFICACE ET INTUITIF  Plus d’informations, des données harmonisées, une expérience utilisateur améliorée : Wilo relance son guide […]
Il y a 3 ans et 100 jours

Le centre de formation et d’animation Sto fait sa rentrée des classes avec de nouvelles formations au programme de l’année !

C’est la rentrée ! Le centre de formation et d’animation de Sto a rouvert ses portes depuis le 8 février. Au programme : deux nouveaux modules techniques dédiés à l’entretien et aux rénovations d’ITE et aux pathologies de façade et solutions en ravalement, et toujours les « Chantiers école ITE », dispensés par les formateurs […]
Il y a 3 ans et 100 jours

Alkern a choisi Engie Green pour la conception de projets solaires

Environ 150 000 m2 de panneaux solaires seront installés par Engie sur les sites de production d’Alkern. [©Engie] Le spécialiste des produits préfabriqués en béton, Alkern a choisi Engie Green pour concevoir des centrales solaires en ombrières. Ces dernières serviront d’abris pour les zones de stockage dans une sélection des sites de production français d’Alkern. Ainsi, environ 150 000 m2 de surfaces au sol seront valorisés en installations d’énergie renouvelable. La production électrique est d’ailleurs estimée à 35 000 MWh/an, soit l’équivalent de la consommation annuelle d’une ville de 15 000 habitants. Ce projet n’est pas le premier engagé par Engie Green. En effet, le groupe a déjà à son actif la valorisation en centrales solaires de plus de 180 ha de sites industriels et logistiques, de parkings d’aéroport ou de parcs d’exposition. La démarche RSE d’Alkern En ce qui concerne Alkern, le groupe affirme sa volonté de contribuer à un aménagement du territoire plus respectueux de l’environnement. Le projet s’inscrit donc dans sa démarche RSE et complète ainsi une stratégie tournée vers le développement de produits éco-conçus. Lire aussi : Alkern : Entre performance et durabilité Le groupe s’oriente aussi vers des solutions bas carbone pour le bâtiment et de perméabilisation des voiries. La mise en service des installations solaires est prévue pour l’année 2024.
Il y a 3 ans et 100 jours

Framery installe sa cabine acoustique « Q » dans le premier espace de coworking intégrant une micro-crèche en France

Framery la marque leader de cabines acoustiques installe sa cabine acoustique « Q » au cœur du premier site de coworking en France, -la Villa Maria- intégrant une micro-crèche. Situé à Bordeaux (Caudéran) dans un ancien Hôtel Particulier, ce lieu de coworking propose un espace de travail de près de 1.000m2 dans un cadre iconique combiné à une structure d'accueil pour les jeunes enfants. La crèche est ouverte pour les enfants de 15 mois à 3 ans pendant la semaine et l'accueil périscolaire est proposé les mercredis et pendant les vacances scolaires pour les enfants de 3 à 5 ans. L'espace est adapté aux attentes des entrepreneurs et des salariés pratiquant le télétravail et les horaires flexibles. Des formules d'utilisation flexibles sont proposées (au mois, à la journée, au forfait 5 ou 10 jours, sans préavis et sans engagement). Mother Work Community est une communauté de femmes entrepreneures fondée par Marine Alari, une maman entrepreneure qui ne trouvait pas de mode de garde adapté à ses ambitions entrepreneuriales et à son activité de consultante indépendante. Le concept est parfaitement en phase avec les nouvelles façons de travailler, qui bien que déjà pratiquées dans le milieu des entrepreneurs et des start-ups, se développent de plus en plus avec l'explosion du télétravail et des modes de collaboration hybrides. Installée au cœur du plateau de coworking en open space de la Villa Maria, la cabine Framery Q apporte une touche de modernité au décor classique de l'Hôtel Particulier construit au début du XXieme siècle. Espace multifonctionnel et silencieux conçu pour accueillir jusqu'à quatre personnes, l'isolation acoustique de la Framery Q est inégalée sur le marché. Les matériaux utilisés sont de la plus haute qualité et recyclables à 95 %. Idéale pour s'isoler pour des tâches qui demandent plus de concentration ou pour des réunions ou des appels privés, le système de ventilation au sein de la cabine Framery assure un renouvellement et une qualité d'air irréprochables pour un confort maximum même lors d'une utilisation intense du produit.Pour Marine Alari, fondatrice de Mother Work Community : « Nous sommes ravis de l'intégration de la cabine Framery à notre espace de coworking. Elle permet à nos entrepreneurs de s'isoler lorsqu'ils enregistrent leurs podcasts par exemple ou souhaitent passer des appels téléphoniques ou organiser des visioconférences au calme. Elle ne désemplit pas ! Les membres de notre communauté travaillent de façon très versatile : bien que recherchant un lieu favorisant le lien social et l'émulation de groupe, nous avions aussi besoin de pouvoir leur proposer le confort d'un "lieu dans le lieu" pour certaines activités demandant plus de concentration et de calme. » Avec cette nouvelle collaboration, Framery poursuit son ambition de s'associer à des projets innovants qui transforment le rapport au travail et apportent une réponse adaptée et moderne aux besoins changeants des professionnels.Pour Céline Fraquelli, responsable commerciale chez Framery France : « Je suis fière de voir notre cabine Q au sein d'une communauté vibrante telle que Mother Work Community et dans un espace qui propose une configuration idéale aux entrepreneurs qui souhaitent mener leur activité sans compromettre leur confort et leur vie personnelle. Mother Work Community et Framery partagent les mêmes objectifs : proposer des solutions flexibles et innovantes pour un confort et un équilibre optimal au sein des espaces de travail. »
Il y a 3 ans et 100 jours

Nouvelle laine de roche pour une isolation extérieure sous enduit simple

Knauf Insulation a conçu la solution FKD-MAX C2 pour l’isolation des murs extérieurs sous enduits des bâtiments. Ces nouveaux panneaux support d’enduit en laine minérale de roche sont revêtus d’une pré-impression sur leurs deux faces. Cette solution a été mise au point pour permettre jusqu’à 25% de gain de temps lors de sa mise en œuvre. Selon l’industriel, ces nouveaux panneaux présentent la meilleure résistance thermique du marché en laine minérale de roche (λ = 0.034 W/(m.K)). Cette gamme s’adapte à tous les types de chevillage (à fleur, à cœur, hélicoïdales) en étant compatible avec tous les types d’enduits de finition. Les panneaux sont d’euroclasse A1, ils répondent aux exigences de la réglementation sécurité incendie (IT 249) pour toutes les typologies de bâtiments (particulièrement les IMH).
Il y a 3 ans et 100 jours

2 extensions en bois pour cette maison de pierres rénovée en Angleterre

Delve Architects a transformé une grange à foin du XIXe siècle dans le Surrey en Angleterre en une maison familiale. Il a pu révéler la structure en pierre d’origine en la complétant par deux extensions recouvertes de bardeaux de cèdre. L’habitation de plain-pied, appelée Woodthorpe Stables, est située dans une zone résidentielle à l’extérieur du […]
Il y a 3 ans et 100 jours

L'insertion professionnelle des apprentis et lycéens pro a retrouvé son niveau d'avant-crise

Cette insertion professionnelle s'est nettement améliorée par rapport à leur situation en janvier 2021, avec une hausse du taux d'emploi de 8 points pour les apprentis et de 13 points pour les lycéens professionnels de niveau CAP à BTS.En juillet 2021, un an après leur sortie d'études à l'été 2020, 69% des apprentis ont un emploi salarié dans le secteur privé.De leur côté, 49% des lycéens professionnels ont un emploi salarié dans le secteur privé en juillet 2021, un an après leur sortie d'études.Ce taux d'emploi est de 51% pour les lycéens professionnels ayant obtenu leur diplôme contre 40% pour les non diplômés. La différence est similaire (72% contre 60%) chez les apprentis.L'amélioration de l'insertion entre 6 et 12 mois après la sortie d'études est particulièrement visible dans les secteurs qui avaient été concernés par des mesures sanitaires strictes, et notamment la fermeture des bars et des restaurants entre l'automne 2020 et le printemps 2021.Dans la spécialité "hôtellerie, restauration, tourisme", pour les apprentis comme pour les lycéens, les taux d'emploi augmentent ainsi d'environ 20 points entre janvier et juillet 2021.À tous les niveaux de formation, les taux d'emploi 12 mois après la sortie du système éducatif atteignent un niveau comparable à ceux des sortants 2018.
Il y a 3 ans et 100 jours

Trois "sociétés de projet" créées pour les nouveaux projets ferroviaires

Les trois établissements, la Société de la Ligne nouvelle Provence-Côte d'Azur, la Société du Grand Projet du Sud-Ouest et la Société de la Ligne Nouvelle Montpellier-Perpignan, devraient être créés "avant l'été", selon Matignon.Pilotés par les collectivités locales, ils devront surtout porter leur participation --40% de la facture annoncée-- dans ces projets, qui pourra être apportée par une taxation locale.Ces sociétés de projet pourront aussi apporter un appui matériel et humain au maître d'ouvrage --en l'occurrence SNCF Réseau--, assurer un rôle d'expert auprès du comité de pilotage réunissant tous les financeurs, et accompagner les collectivités dans la valorisation des gares nouvelles.Pour la Ligne nouvelle Provence-Côte d'Azur, il s'agit dans un premier temps, d'ici 2035, de désengorger les noeuds ferroviaires de Marseille –avec un tunnel sous la ville--, Toulon et Nice, pour 3,5 milliards d'euros.Le Grand Projet du Sud-Ouest prévoit d'ici 2032 d'augmenter la capacité des lignes actuelles au sud de Bordeaux et au nord de Toulouse, puis de relier ces deux villes par une ligne nouvelle. Il y en a pour 10,3 milliards d'euros. Une seconde branche doit ultérieurement rallier Dax, vers le Pays basque et l'Espagne.Enfin, la Ligne nouvelle Montpellier-Perpignan doit comme son nom l'indique relier ces deux villes en doublant la ligne classique, avec une première étape de Montpellier à Béziers "à l'horizon 2030", estimée à 2 milliards d'euros.La création de ces sociétés de projet a été rendue possible par la Loi d'orientation des mobilités (LOM) de 2019. Dans les trois cas, l'Etat doit apporter 40% de l'investissement et les collectivités locales 40%, les 20% restants étant demandés à l'Europe."Ces établissements publics locaux nous permettront de porter collectivement le financement de ces infrastructures - lignes nouvelles et aménagements des lignes existantes - résolument indispensables pour les trains du quotidien, pour l'Occitanie et le sud de la France plus largement", s'est félicitée la présidente de la région Occitanie Carole Delga dans un communiqué.
Il y a 3 ans et 100 jours

+4% sur le TRV depuis le 1er février 2022 : un impact bien plus important qu’annoncé sur les factures d’énergie des Français

À cela vient de s’ajouter un fort climat insécuritaire du fait de la crise ukrainienne et des conséquences actuelles et à venir sur le prix du gaz, entre autres. En septembre 2021, les experts de Cherpas publiait un rapport qui démontrait qu’opter pour le tarif heures pleines / heures creuses plutôt que le tarif de base n’était pas une alternative si avantageuse qu’elle y paraîtrait pour faire des économies. Loin d’être aussi rentable qu’espéré, alors que près de 50% des Français sont abonnés à ce type d’offre pour leur électricité, il ferait même plutôt perdre de l’argent à de nombreux ménages que l’inverse. Tenant compte de l’augmentation de +4% du TRV (Tarif Réglementé de l’Electricité) depuis le 1er février dernier, Cherpas a actualisé pour ce début d’année les données de son analyse, afin de voir si la confrontation entre le tarif de base VS le tarif heures pleines / heures creuses était toujours pertinente. Dans ce contexte de flambée des prix et malgré l’application du « bouclier tarifaire », la startup a constaté que cette hausse récente du TRV est venue changer totalement la donne, car même si elle se limite à 4% en moyenne, elle cache en réalité des évolutions tarifaires très disparates. Ainsi selon ses simulations, la plateforme Cherpas s’est aperçue que :Pour le tarif de base, le TRV subissait une augmentation moyenne de +11,6%.Pour le tarif heures creuses, le TRV augmente significativement de +8% alors que celui aux heures pleines ne subit qu’une hausse limitée de +1%.Qui sont les plus impactés par cette hausse du TRV ?Loin de mettre tout le monde sur un pied d’égalité, cette hausse de 4% du tarif réglementé de l’électricité fait majoritairement peser la hausse sur les foyers les plus modestes mais aussi les foyers les plus éco-responsables dans leur consommation. Effectivement, l’électricité des heures pleines est plus « charbonnée » car elle utilise les centrales de gaz et de charbon, tandis que l’électricité des heures creuses fait appel à l’énergie nucléaire. Comme l’indique le Syndicat de gestion des énergies de la région lyonnaise (Sigerly), « limiter les forts appels de puissance sur le réseau électrique en hiver limite la production d’électricité à partir d’énergies fossiles ».En d’autres termes :Sur les 11 millions de foyers concernés par les tarifs de base, 95% ont une consommation énergétique égale ou inférieur à 9kVA et cela concerne en grande majorité des foyers modestes. Pour ces consommateurs, la hausse du TRV depuis le 1er février 2022 atteint les 11,6%.Parallèlement, les ménages avec une part d’heures creuses dans leur abonnement supérieure à 70% subissent une hausse 2.6 fois plus importante que ceux ayant une part d’heures creuses inférieure à 30%.Cherpas, l’outil qui analyse gratuitement vos contrats et vous propose la meilleure offreFace à ces changements majeurs, le consommateur est légitimement perdu. Comment savoir si l’on paye le prix juste ? Qui croire ? Seul face à des conditions générales peu lisibles et des calculs complexes, il est difficile d’obtenir une réponse claire. D’autant plus en cette période géopolitique instable qui fait craindre le pire sur l’économie et notamment sur le prix du gaz. C’est ici que la plateforme Cherpas intervient en éclairant le consommateur face à l’opacité de l’évolution des politiques tarifaires.Alors que beaucoup de consommateurs l’ignorent encore, il est tout à fait possible de changer de fournisseur d’énergie à tout moment, sans frais et sans coupure, pour bénéficier d’offres plus intéressantes. L’application web Cherpas permet d’analyser en un rien de temps ses abonnements domestiques : électricité et gaz, internet et mobile. Une tâche fastidieuse, sur laquelle de nombreux consommateurs rechignent à se pencher.Grâce à un algorithme en veille constante sur les tendances du marché, Cherpas propose très rapidement des offres moins onéreuses et plus adaptées à la consommation quotidienne d’un foyer. L’entreprise se rémunère via les commissions proposées par certains fournisseurs, mais en mettant en avant toutes les offres du marché sans valoriser certaines par rapport à d’autres. Cela dans un souci de transparence et d’éthique.Grâce à Cherpas, ses membres ont réalisé en moyenne une économie de 219 € par an pour un foyer se chauffant à l’énergie électrique. Forte d’une croissance soutenue, l’application web compte aujourd’hui plus de 14 000 utilisateurs actifs (3 000 en septembre dernier) et supervise actuellement plus de 22 000 contrats.
Il y a 3 ans et 100 jours

Grâce à ses bons résultats, Airvance va refinancer par anticipation sa dette

RÉSULTATS. Spécialiste du traitement de l'air, Airvance, affiche un chiffre d'affaires en hausse de 20%. Grâce à ses résultats, le groupe pense pouvoir faire sortir son partenaire financier EMZ Partners avec 2 ans d'avance.
Il y a 3 ans et 100 jours

Le remboursement des PGE ne devrait pas poser de problèmes, d'après le Trésor

ÉCONOMIE. Dans une analyse consacrée aux Prêts garantis par l'État, la direction générale du Trésor confirme que les entreprises bénéficiaires du dispositif ont certes augmenté leur endettement mais ont dans le même temps fait bondir leur trésorerie. Les différentes projections sur le sujet ne laissent donc pas craindre de difficultés majeures liées au remboursement. Au final, les opportunités du dispositif l'emporteraient même largement sur ses risques.