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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87995 résultats)
Il y a 3 ans et 100 jours

Un partenariat Sika / StockPro contre le gaspillage

StockPro, start-up qui a conçu et développe une solution B to B d’aide au réemploi de matériaux neufs de construction. Née d’une rencontre en novembre 2019, Sika et la startup ont décidé d’un partenariat pour lutter contre le gaspillage, pour une construction plus responsable. En décembre 2020, Sika a souscrit à l’abonnement de la solution StockPro d’import automatique, de cleaning de data et mise en vente. Les premiers produits de réemploi Sika ont été publiés sur la plateforme www.stock-pro.fr. La solution proposée par la start-up permet notamment de modifier le prix de vente en fonction des seuils de DLU franchis. Ainsi, ces produits certes neufs, mais ne pouvant plus être vendus via le réseau de distributeurs professionnels et malheureusement destinés à être éliminés, bénéficient d’une nouvelle exposition. A l’issue des premiers mois de test en 2021, 55 commandes ont été honorées, près de 40 % des matériaux Sika mis en vente sur la plateforme StockPro ont trouvé preneur et ont pu bénéficier d’une seconde vie, évitant ainsi leur destruction. En octobre 2021, Sika a décidé de mettre en place un pictogramme « Anti-Gaspi », pour accentuer son engagement en faveur du réemploi et opérer une distinction franche et assumée avec d’autres opérations de promotion. Le groupe a décidé de poursuivre son partenariat. Cet article Un partenariat Sika / StockPro contre le gaspillage est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 100 jours

Transair améliore l’expérience de ses clients et partenaires en s’inscrivant dans la démarche BIM

Parker Transair® est un spécialiste des systèmes de tuyauterie modulaires pour les réseaux de fluides d’utilités depuis plus de 25 ans. Acteur mondial, ce fabricant est le premier sur le marché à fournir des services BIM aux professionnels du bâtiment pour les systèmes de fluides industriels. Transair® a saisi le moment opportun pour digitaliser ses produits afin de répondre aux besoins des bureaux d’études, contractants et installateurs, qui cherchent à améliorer leur processus avec la méthode BIM.Découvrez la vision de Gaël Le Carrer, spécialiste Support Projets Transair®, sur la collaboration Transair et BIM&CO à travers notre communiqué de presse. Retrouvez également Transair sur le Pôle Fabricants de BIM&CO les 5 & 6 avril prochains lors du BIM World Paris 2022 !
Il y a 3 ans et 100 jours

TESC récompensé par Yago pour sa technologie de recharge sans contact

TESC pour transfert d'énergie sans contactLa technologie TESC repose sur le principe de la résonance magnétique. Cette solution flexible et sûre permet la recharge autonome et sans contact de tous types d’équipements et véhicules électriques.« Le système que j’ai développé est ce que j’appelle un système de recharge à induction 2.0 car il permet de recharger tout appareil compatible, du vélo à la voiture électrique, sans contact et de manière autonome », explique Sébastien Vanaud, fondateur de TESC Innovation. « Mon objectif maintenant est de trouver de nouveaux marchés, de nouvelles applications pour mon système de charge par induction ».Un tremplin pour le développement de TESCTESC rejoint donc officiellement les membres du Yago Club. Ce prix est une nouvelle reconnaissance pour la start-up alsacienne, déjà accompagnée par l’incubateur SEMIA en 2020.Depuis plus de 10 ans, le concours Yago fait éclore les talents et valorise les porteurs de projets locaux et innovants. Un concours résolument tourné vers l’avenir et l’innovation, à l’instar des ambitions de TESC qui souhaite faciliter les usages liés à la mobilité électrique pour la rendre accessible à tous, sans contraintes.La start-up poursuit désormais sa phase de R&D et développe actuellement une première solution destinée au secteur de la robotique. L’entreprise entend s’ouvrir par la suite à d’autres acteurs de la e-mobilité.
Il y a 3 ans et 100 jours

Isolation thermique par l’extérieur sous enduit : Duoprotect et Multisol 140 d’Isonat, référencés dans les Avis Techniques ETICS des tenants systèmes Parexlanko et Weber.

Ces Avis Techniques entérinent l’assurabilité et la pérennité de l’ouvrage mis en oeuvre avec cette solution biosourcée en Isolation Thermique Extérieure. L’obtention de ces deux Avis Techniques pour les panneaux isolants en fibre de bois rigides s’inscrit dans la démarche d’accompagnement réglementaire et normatif du marché par Isonat et confirme sa volonté de professionnaliser la […]
Il y a 3 ans et 100 jours

Weber intègre l’offre Tradical® à sa gamme produits et étoffe son panel biosourcé

Saint-Gobain Weber France annonce avoir signé avec le Groupe belge Lhoist, l’un des leaders mondiaux de la production de chaux, chaux dolomitique et autres minéraux, un accord de partenariat concernant l’offre Tradical®  de sa filiale BCB. A compter du 1er mai, l’expert en mortiers industriels Weber va commercialiser, en exclusivité sur le territoire français, les […]
Il y a 3 ans et 100 jours

ITE et briquettes pour un bâtiment de béton des années 1950

Aubervilliers connaît un foisonnement de projets de réhabilitation d’entrepôts. Le bâtiment 211 des années 1950 fait partie d’une vaste opération impulsée par Icade Foncière Tertiaire, filiale de la Caisse des Dépôts. L’entreprise MB Peinture qui a remporté l’appel d’offres pour l’ITE a choisi la pose de plaquettes une à une sur site et le système StoTherm Brick. L’entrepreneur a convaincu le maître d’ouvrage et l’architecte en réalisant un témoin avec l’aide du service technique de Sto. Le choix s’est porté sur la plaquette vieillie Domus Colombe moulée à la main aux arêtes irrégulières de couleur blanc crème produite par Wienerberger. Une fois les façades débarrassées de leurs auvents et autres ajouts accumulés pendant des décennies, les travaux ont commencé par la mise en évidence de la structure de l’édifice. Des profilés en acier thermolaqué gris-noir (RAL 7021) simulant des poteaux métalliques rivetés et des cadres de la même teinte soulignant les menuiseries. L’habillage des rives de toit, a fait appel à une autre technique Sto : le système de bardage ventilé StoVentec R Enduit à base de panneaux de billes de verre expansé. Ces panneaux ont été fixés sur une ossature en chevrons de bois espacés de 40 cm, eux-mêmes solidarisés à la structure porteuse par des pattes métalliques. Les plaques ont été fixées verticalement en face avant et horizontalement en sous-face du débord de toiture, voire cintrées sous les parties arrondies. Elles ont reçu après leur pose un sous-enduit mince armé d’un treillis de fibre de verre. La finition a été assurée par un enduit à base de résine acrylique Stolit K1 teinté à l’aspect taloché mat. La teinte foncée de cet enduit (RAL 7021) bénéficie de la technologie X-black, développée par Sto, qui réfléchit le rayonnement infrarouge du soleil et permet de réduire le coefficient d’absorption solaire de l’enduit. Le dessus a été capoté par une couvertine en tôle métallique. Une fois le squelette en place, le revêtement de façade a pu être mis en oeuvre par une équipe de six compagnons. Les panneaux de laine de roche de 1 200 x 600 mm calés sur la façade en béton au moyen de plots de mortier StoLevell Uni à base de ciment. Le sous-enduit mince obtenu à partir de la même poudre StoLevell Uni mélangée à de l’eau, armé d’un treillis en fibre de verre, a été appliqué sur les panneaux en laine de roche avant d’assurer la fixation mécanique par chevilles sur le mur support en béton. Les plaquettes de terre cuite ont ensuite été collées sur l’enduit au moyen d’un mortier de collage spécifique pour les plaquettes S1. Des tasseaux de bois réalisés sur mesure pour l’entreprise ont permis d’assurer un joint uniforme de 10 mm entre les plaquettes. Le jointoiement a été réalisé avec le StoColl FM-K, une poudre à base de liant hydraulique et d’adjuvants spécifiques mélangée avec de l’eau. Surface de façade traitée : 1 200 m2 Maître d’ouvrage : Icade Maître d’œuvre : Studio IX Architecture Entreprise applicatrice : MB Peinture Cet article ITE et briquettes pour un bâtiment de béton des années 1950 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 100 jours

Korian répond au reportage de l'émission Cash Investigation

Selon le groupe Korian qui exploite dans 7 pays d’Europe un réseau de plus de 1000 établissements de santé et médico-sociaux pour les personnes âgées et fragiles, et propose des solutions d’habitat partagé ainsi que des services d’aide à domicile, cette émission contient des allégations trompeuses ou inexactes à l’encontre de l’activité maisons de retraite de Korian en France. Ces allégations sont principalement fondées sur les dires de deux anciens salariés, dont l’un reste anonyme et l’autre ancien directeur d’établissement jusqu’en juin 2016, est aujourd’hui en contentieux avec l’entreprise. Ce dernier, venu d’Orpea, était d’ailleurs déjà cité par le journaliste Victor Castanet dans le chapitre de son livre « Les Fossoyeurs » concernant Korian, chapitre auquel le groupe avait apporté des réponses détaillées.Les faits et documents dont ces deux personnes font état dans l’émission se réfèrent tous sans exception, à une période ancienne, antérieure à 2016 ou à 2017, pour les plus récents, soit il y a plus de cinq ans. Ils ne correspondent en rien aux méthodes ou à l’organisation actuelle du groupe Korian, profondément remaniée depuis 2016.Par ailleurs, l’émission contient une séquence en caméra cachée tournée en septembre 2020 par une journaliste qui s’est fait recruter dans une maison de retraite Korian en qualité d’auxiliaire de vie pendant une durée de trois jours, sur la foi d’un CV faisant état d’une expérience de trois ans (2016-2019) comme auxiliaire de vie à domicile auprès de personnes âgées. Cet établissement connaissait alors une pénurie temporaire de personnel, compte tenu du déclenchement de la seconde vague de Covid, et avait dû faire face au décès brutal de sa directrice quelques semaines auparavant.Korian condamne le recours à de tels procédés, particulièrement déloyaux et irresponsables dans ce contexte.Voici les réponses du Groupe Korian aux principales mises en cause faites par l’émission :« Sur le recrutement de salariés sans vérification de diplôme : Mme Marie Maurice, journaliste pour Cash Investigation, a été embauchée en CDD comme auxiliaire de vie le 5 septembre 2020, poste qui ne requiert pas de diplôme particulier. Dans le contexte d’urgence que connaissait l’établissement, qui recherchait des renforts extérieurs en pleine résurgence de la pandémie de Covid, les équipes locales n’ont pas vérifié les références présentées avant l’embauche. Mme Maurice n’a travaillé que trois jours dans cet établissement.Sur les « faisant fonction » : Comme toutes les structures du secteur, privées ou publiques, et dans un marché du travail structurellement sous tension dans les métiers de santé, nos établissements sont amenés à employer, par exception, des auxiliaires de vie (AVS) ou des AMP comme « faisant fonction » d’Aide-Soignant diplômé d’Etat (ASDE). Sont alors proposés à ces collaborateurs, dès lors qu’ils sont en CDI, des parcours de validation des acquis de l’expérience visant à leur permettre d’obtenir le diplôme d’ASDE. En 2021, 300 personnes ont suivi un tel parcours. La liste nominative des salariés employés dans un tel cadre dérogatoire est par ailleurs communiquée aux autorités de tutelle (ARS et conseils départementaux). Depuis plusieurs années, le groupe Korian promeut les parcours d’alternance et de qualification professionnelle pour pallier la pénurie de professionnels diplômés dans les métiers du soin et des services à la personne et favoriser la promotion de ses collaborateurs. En 2021, 2 700 personnes, sur les 25 000 salariés du Groupe en France, ont bénéficié d’une telle démarche, avec un taux de réussite particulièrement élevé pour la validation des acquis de l’expérience (78 % en moyenne, et spécifiquement 68 % pour le diplôme d’aides-soignantes, soit le double de la moyenne nationale de 30%).Sur la politique de remplacement de personnel : Korian incite les établissements à anticiper le remplacement des absences programmées sur l’ensemble des postes permanents, soit en prévoyant sur certaines fonctions un effectif permanent plus important pour internaliser les remplacements (CDI d’appui) soit en faisant appel à des intervenants réguliers dans l’établissement dans le cadre de CDD. En pratique, compte tenu des tensions rencontrées localement sur le marché du travail notamment durant les périodes de congés d’été ou de fin d’année, le remplacement à 100%, n’est pas toujours possible, surtout en cas d’absences non programmées. Les établissements tiennent compte de cette situation subie lorsqu’ils établissent leur budget prévisionnel.Sur le circuit du médicament : Conformément à la réglementation applicable, les protocoles du Groupe prévoient que l’administration de médicaments ne peut être faite que par un infirmier diplômé d’Etat (IDE). Celui-ci peut, par exception, déléguer l’acte d’administration à un aide-soignant diplômé d’Etat, l’acte demeurant néanmoins sous sa responsabilité, conformément l’article R. 4311-4 du Code de santé publique. Une liste des personnes habilitées à la Distribution/Dispensation au sein de chaque établissement doit être disponible et mise à jour régulièrement. L’IDE doit par ailleurs s’assurer que les aides-soignants travaillant sous sa responsabilité ont les connaissances, la compétence et l’information nécessaires pour assurer cette tâche (notamment les nouveaux salariés ou les vacataires). Tout manquement à ces règles constitue une faute susceptible d’être sanctionnée. Nos procédures d’audit et de contrôle interne portent une vigilance particulière sur ce point. S’agissant du cas spécifique de l’établissement montré dans l’émission, la nouvelle directrice de l’établissement a effectivement identifié et signalé dès son arrivée en septembre 2020 des défaillances dans le circuit d’administration du médicament portant en particulier sur la traçabilité. Des mesures correctrices, assorties de sanctions, allant jusqu’à un licenciement pour faute, ont donc été prises. Elles ont été portées à la connaissance de l’ARS, démontrant ainsi d’une part l’efficacité des systèmes de contrôle en place et d’autre part la totale transparence de Korian à l’égard des autorités de tutelle et de contrôle.Sur l’utilisation des dotations publiques : Les établissements Korian perçoivent des dotations publiques au titre du soin et de la dépendance conformément à la réglementation. Ces dotations se sont élevées à 532 millions d’euros en 2020. Ces dotations sont intégralement allouées aux dépenses de soin et de dépendance et le Groupe ne réalise aucune marge sur celles-ci.Pour rendre compte de l’utilisation de ces sommes, doivent être établis chaque année, pour chaque établissement, des états comptables (ERRD) qui sont soumis à l’approbation des autorités de tarification (ARS et conseil départemental) Ces états comptables retracent l’intégralité des dépenses effectivement exposées pour le soin et la dépendance.S’agissant des frais de personnel, les montants déclarés correspondent aux salaires et charges sociales tels que figurant dans les livres de paie de l’établissement. S’ajoutent à ces montants d’une part les versements effectués au titre de la taxe sur les salaires, de la participation ou des frais de formation ainsi que, d’autre part, les honoraires versés le cas échéant aux professionnels de santé libéraux intervenant dans l’établissement, dans le cadre du remplacement du personnel permanent. Ces différents postes représentent en moyenne environ 10% du total des charges de personnel déclarées dans les ERRD. En aucun cas, d’autres sommes, qui viendraient augmenter artificiellement les dépenses, ne peuvent être ajoutées par le contrôle de gestion comme allégué à tort dans l’émission.Sur l’alimentation et les achats externes : Korian dément formellement procéder à quelque rationnement que ce soit. Depuis 2016, la gestion de la restauration est entièrement internalisée au sein du groupe, avec un chef et une équipe dédiée par établissement. Les repas sont cuisinés chaque jour sur place à partir de produits non transformés dans un souci constant d’offrir des produits de qualité, adaptés aux saisons et aux besoins des résidents. Les menus sont revus régulièrement, selon un cycle de quatre semaines.Les faits allégués dans Cash Investigation, à savoir la suppression, en février 2016, pour des seules raisons d’économie, de croûtons dans une recette de soupe à l’oignon servie lors de la fête des grands-mères, ne correspondent absolument pas à la politique de l’entreprise. Au surplus, le document produit dans l’émission ne vise pas spécifiquement le menu de la fête des grands-mères ; il s’agit d’un ajustement des menus sur trois semaines, avec des modifications apportées sur 23 recettes (substitutions ou modifications de recettes). La présentation faite par Cash Investigation du document apparaît donc totalement tronquée. Sur les règles d’hygiène pour les résidents : L’hygiène corporelle est bien sûr assurée quotidiennement et plus si nécessaire, de même que l’hygiène bucco-dentaire, effectuée généralement le matin et le soir. Cet accompagnement est réalisé selon les standards et les bonnes pratiques de soin en vigueur dans nos établissements.Sur les objectifs de marge opérationnelle impartis aux établissements : le Groupe rappelle qu’il a réalisé en 2020 sur le périmètre France une marge opérationnelle avant loyer de 24,9% et un résultat net part du groupe de 4,2% du chiffre d’affaires, et qu’il vise en moyenne une marge opérationnelle de 26%. Il a réalisé un bénéfice net sur chiffre d’affaires de 4%.Il observe par ailleurs que les chiffres mentionnés par l’ancien directeur intervenant dans l’émission quant aux objectifs très importants de progression de marge opérationnelle qui lui auraient été impartis pour l’établissement qu’il dirigeait alors entre 2013 et 2016 ne correspondent pas aux résultats de cet établissement, dont la marge opérationnelle est restée stable sur ces quatre exercices.Le Groupe souligne enfin qu’il a investi depuis 2017 plus de 500 millions d’euros pour moderniser et développer le réseau de maisons de retraite français. Il prévoit d’investir 600 millions d’euros supplémentaires sur les quatre prochaines années. »
Il y a 3 ans et 100 jours

Viessmann et ISOLATION by TRYBA s’associent pour la rénovation énergétique globale

Viessmann, référence européenne de solutions de chauffage et de rafraîchissement, annonce la signature d’un partenariat national avec ISOLATION by TRYBA, l’expert en travaux énergétiques, pour accompagner la massification de la rénovation énergétique globale en maison individuelle. Un partenariat évident pour ces deux entreprises familiales, références sur leurs marchés et partageant des fondamentaux communs, comme expertise […]
Il y a 3 ans et 100 jours

RE2020 : Quels changements pour les ascenseurs ?

En avance de phase, KONE présente ses solutions les plus performantes pour réduire l’empreinte carbone du cycle de vie de l’ascenseur*  La nouvelle réglementation applicable aux constructions neuves RE2020 impose désormais que l’ensemble des émissions du bâtiment soient prises en compte sur tout le cycle de vie du bâtiment, ce qui implique la prise en […]
Il y a 3 ans et 100 jours

La CAPEB et ROCKWOOL renouvellent leur partenariat pour accompagner les entreprises artisanales du bâtiment sur les enjeux d’efficacité énergétique

Paris, le 17 février 2022 – La Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB), via sa filiale Béranger Développement, et ROCKWOOL, leader mondial de l’isolation en laine de roche, renouvellent leur partenariat afin d’accélérer la montée en puissance des entreprises du bâtiment sur les enjeux de rénovation énergétique des bâtiments.  Jean-Christophe REPON, Président de […]
Il y a 3 ans et 100 jours

Vicat et Béton Direct associent leurs expertises pour développer les ventes en ligne de béton prêt-à-l ’emploi

Depuis janvier 2022, Vicat, acteur de référence dans les matériaux de construction minéraux et biosourcés, a rejoint Béton Direct, plateforme numérique de vente en ligne de béton prêt-à-l ’emploi destinée aux particuliers. L’association de ces deux entreprises référentes représente une opportunité pour ces deux acteurs d’asseoir leurs positions respectives sur un marché en plein développement : […]
Il y a 3 ans et 100 jours

BPE : Vicat et Béton Direct s’associent

Vicat “a rejoint” Béton Direct, la plate-forme numérique de vente en ligne de BPE destinée aux particuliers. [©Béton Direct] Depuis janvier 2022, Vicat “a rejoint” Béton Direct, la plate-forme numérique de vente en ligne de BPE destinée aux particuliers dans le cadre d’un partenariat. Ce dernier permet à ces deux entreprises de renforcer leurs positions sur ce marché en plein développement. « Notre ambition est de poursuivre et de développer la collaboration avec nos producteurs-partenaires actuels, explique Julien Lebourgeois, président de Béton Direct. Tout en renforçant le référencement de la marque de e-commerce sur l’ensemble du territoire national. Avec une couverture géographique plus importante, Béton Direct pourra accompagner la croissance de la demande des particuliers. » La complémentarité entre Vicat et Béton Direct « Le rapprochement avec Béton Direct, proche de nos valeurs, est une opportunité de renforcer notre ancrage territorial, précise Didier Petetin,  directeur général Lire aussi : Premier liant zéro carbone signé Vicat délégué du groupe Vicat et directeur opérationnel de ses activités en France. Mais aussi de développer les activités de Vicat et de ses partenaires auprès des particuliers, en s’appuyant sur la force et l’expertise de nos réseaux historiques. »
Il y a 3 ans et 100 jours

Valobat confirme son leadership dans la filière REP PMCB avec l’entrée au capital de six nouveaux associés

Les associés de Valobat* sont unanimes : l’ambition collective de s’unir autour des enjeux de l’économie circulaire dans le bâtiment permettra d’accélérer les démarches et d’atteindre les objectifs fixés. Dans la continuité des récentes annonces d’entrée au capital de deux organismes majeurs sur les secteurs des inertes (CIGO) et du bois (UICB), le candidat à […]
Il y a 3 ans et 100 jours

Plastor présente une nouvelle gamme : Fond dur et Huile parquet Effet bois nu

Un résultat totalement invisible pour préserver la beauté naturelle et brute du boisChaleureux, le parquet en bois est très tendance. Chaque essence dispose d’une couleur, d’un veinage et d’un rendu qui lui est propre et qui apporte une authenticité unique aux lieux. Pour perdurer, ce revêtement a besoin d’être protégé contre le trafic, les taches et l’humidité. Mais bien souvent les vitrificateurs et les huiles réhaussent la teinte du bois et jaunissent fortement à cause des remontées de tanins. Pour tous ceux qui souhaitent préserver l’aspect brut du bois, Plastor, spécialiste depuis plus de 50 ans dans la fabrication de finitions pour la protection de sols, a développé une nouvelle gamme avec 2 produits pour parquet, totalement invisibles : le Fond dur et l’Huile Effet bois nu.Fabriquées en France dans le Jura, ces nouveautés Effet bois nu Plastor conservent et protégent la beauté naturelle du bois, sans réchauffer ni blanchir le bois d’origine. Simples et rapides à appliquer, elles limitent les contraintes de chantiers pour les professionnels du parquet.PréparationNouveau - Fond dur effet bois nu - Sous-couche d’accrochagePour assurer une finition parfaite aux parquets clairs ou bruts, le nouveau Fond dur Effet bois nu Plastor imprègne le bois en profondeur, bloque les remontées de tanin tout en conservant complètement sa couleur pour lui laisser un aspect totalement naturel. Cette sous-couche d’accrochage s’utilise en système avec tous les vitrificateurs en phase aqueuse PUR-T® Plastor. Il est conseillé de l’appliquer avec le vitrificateur PUR-T®3 DUO mat pour garder un rendu totalement invisible.Prête à l’emploi et facile à utiliser, sa formulation fluide permet une application uniforme et sans traces de reprises. Ainsi, le nouveau Fond dur Effet bois nu Plastor offre des conditions de travail agréables aux artisans parqueteurs. Il sèche très rapidement, en 1 à 2 h entre couches, et ne nécessite pas d’égrenage. Il est conseillé d’appliquer 2 couches de sous-couche et 1 couche de vitrificateur.Rendement : 10 m2/L par coucheExiste en 1L et 5L FinitionNouveau - Huile parquet effet bois nu - Protège la nature du boisTotalement invisible, l’Huile Effet bois nu Plastor préserve efficacement les parquets tout en mettant en valeur l’authenticité et le toucher naturel des essences de bois. En phase aqueuse, sa formulation haute qualité nourrit en profondeur le bois et protège durablement tous les parquets neufs ou anciens des agressions quotidiennes, des taches et de l’humidité.Prête à l’emploi, cette nouveauté assure le huilage complet d’un parquet en 1 journée, avec un seul égrenage entre la 2ème et la 3ème couche et un séchage de 1 à 2 h entre 2 couches. Cette application sans lustrage permet ainsi aux parqueteurs d’effectuer 3 couches dans la journée, un véritable gain de temps, appréciable sur les chantiers. Sans odeur gênante, cette huile pour parquet qui dégage seulement 25 g/L de COV est très agréable à appliquer.Excellente protection pour les parquets soumis à un trafic quotidien intense, l’Huile pour parquet Effet bois nu Plastor leur confère une excellente résistance à l’usure et facilite leur entretien.Rendement : 15 m2/L par coucheExiste en 1L et 5L
Il y a 3 ans et 100 jours

Inventons la Métropole du Grand Paris : les sites de la 3e édition

Depuis 2010, le Ministère de la Cohésion des territoires, la Société du Grand Paris et la Métropole du Grand Paris œuvrent dans la structuration d’une région plus « égalitaire » et « durable ». Une tâche herculéenne devant l’hétéronomie de cette métropole qui encapsule 7 millions d’habitants et 131 communes. La 3e édition de l’appel à projets Inventons la Métropole du Grand Paris (IMGP), dont les sites candidats ont été annoncés, doit permettre de relever ces...
Il y a 3 ans et 101 jours

Pourquoi et comment acheter du matériel de travaux publics d’occasion ?

Étant donné le prix élevé des appareils neufs, il est mieux d’opter pour du matériel d’occasion. De plus, si les équipements et les outils sont dans le domaine des travaux publics, ils sont réputés pour être performants et de qualité. Ainsi, le choix d’acheter du matériel de travaux publics d’occasion allie non seulement une efficacité prouvée mais aussi, il permet de réaliser des économies. Cependant, comment s’y prendre pour profiter de cette petite astuce ? Les raisons d’acheter du matériel de travaux publics d’occasion L’achat du matériel de travaux publics d’occasion génère beaucoup d’avantages à savoir : La performance de l’outil Le matériel et les outils d’occasion sont idéals pour des usages occasionnels surtout s’ils proviennent des travaux publics. En vous fournissant auprès de ces derniers vous serez sûr de la performance du matériel, du fait que l’envergure des travaux engagés dans ce domaine est toujours conséquente. L’existence de plusieurs modèles Les équipements de travaux publics se présentent sous différents modèles avec plusieurs types de marques. Tous les goûts et tous les besoins seront donc comblés en se tournant vers l’occasion. Que ce soit des équipements récents ou anciens, il n’y a rien à redire sur la prestation et sur la variété des choix qui vous seront proposés Vous aurez même l’embarras du choix en découvrant des appareils comme les grues, les pelles ou encore un tractopelle d’occasion. L’économie et la facilité de mise en œuvre En se tournant vers le matériel d’occasion, vous pouvez bénéficier d’une économie considérable par rapport au prix du neuf. Vous avez le choix entre une vente aux enchères ou un déstockage. Certaines entreprises publiques réalisent également des ventes d’équipements en lots. Seulement, il ne faut pas se focaliser sur leur prix abordable, vous devez prendre en compte la qualité de vos trouvailles. D’autre part, vous pouvez aussi profiter d’une sécurité en optant pour du matériel de travaux publics d’occasion. En effet, ce dernier est réparé avant d’être soumis à la clientèle. Il subit également des tests de reconditionnement dans le but d’attester de sa conformité. Les astuces pour acheter du matériel de travaux publics d’occasion Avant d’acheter du matériel de TP d’occasion, il faut d’abord se renseigner sur l’état du matériel en question, en recherchant les défauts et les détériorations qu’il a pu subir durant sa précédente fonction. Vous pouvez vous approcher du revendeur, dans le but de mener une enquête sur l’historique du matériel, en le questionnant sur la présence ou non de dysfonctionnement. Mais aussi sur les dates de vidanges et d’entretiens qu’il a déjà subis. Même si une fiche comportant toutes les informations concernant le matériel vous est remise au moment où vous vous intéressez au modèle, il est mieux de consulter l’avis d’un expert en mécanique. Il pourra déterminer les caractéristiques comme la qualité et le niveau du liquide de refroidissement, de l’huile de moteur et des autres types de liquides qui participent au bon fonctionnement du matériel. Vous devez également évaluer le nombre d’heures de fonctionnement de l’appareil afin de connaître sa valeur. En sachant ces caractéristiques, vous pourrez entamer les négociations du prix. Par la même occasion, vous devrez contrôler les documents de ventes ainsi que les papiers qui concernent la machine. Également, assurez-vous d’approcher des revendeurs qui possèdent déjà une image de marque afin d’éviter les contrefaçons. En concluant un contrat de vente avec des revendeurs possédant une bonne réputation, vous serez sûr d’avoir les garanties nécessaires sur le matériel. Sachez qu’il existe des plateformes de commercialisation de matériel de travaux publics d’occasion que vous pouvez consulter avant de faire votre choix.
Il y a 3 ans et 101 jours

Altarea renonce à l'acquisition de Primonial "dans les conditions convenues"

"Dans le cadre de la revue de la documentation juridique dont certains éléments n'ont été communiqués que le 25 février, Altarea a constaté que les conditions convenues pour l'acquisition du Groupe Primonial début mars n'étaient pas remplies du fait du non-respect - tant sur le fond, la forme et les délais - des stipulations du protocole d'acquisition signé en juillet 2021", affirme le promoteur dans un communiqué."Altarea déplore cette situation qui ne permet pas de réaliser l'acquisition conformément au protocole d'acquisition et avec un niveau de sécurité juridique suffisant, et mettra tout en œuvre pour faire valoir ses droits, protéger ses intérêts et ceux de ses actionnaires", ajoute le groupe. Ce protocole devait permettre à Altarea d'acquérir, au premier trimestre 2022, 60% du groupe Primonial, valorisé à 1,9 milliard d'euros, puis le reste du capital au premier trimestre 2024.Altarea avait réalisé en novembre une augmentation de capital de 350 millions d'euros pour financer l'opération.Le périmètre visé comprenait les activités de gestion d'actifs immobiliers de Primonial, forte de 30 milliards d'euros d'actifs sous gestion, et celles de distribution avec 12 milliards d'euros d'actifs conseillés, ainsi qu'une participation minoritaire de 15% dans la société de gestion La Financière de l'Échiquier, filiale de Primonial.Contacté par l'AFP, Altarea n'a pas précisé si son renoncement était définitif.Le PDG de Primonial, Stéphane Vidal, a dit à l'AFP sa "stupéfaction" devant la décision "unilatérale" d'Altarea."Je ne sais pas si vous avez déjà vu une opération de cette ampleur, avec un temps de préparation aussi long, s'arrêter à deux jours du closing de façon unilatérale", a-t-il souligné."C'est une décision unilatérale d'Altarea, qui prétexte des retards dans la transmission de documents... Ce n'est pas une raison pour annuler un deal de deux milliards d'euros", a-t-il protesté.
Il y a 3 ans et 101 jours

Le prolongement de la ligne 1 du métro agite l'est parisien

Par un bel après-midi de samedi, sous le cui-cui des rouges-gorges, quelque 200 manifestants déambulent pancartes en main dans les allées du bois de Vincennes pour se recueillir au pied de vieux chênes pédonculés. Leurs vénérables troncs sont ceints d'un ruban de crêpe noir, en signe de deuil.Car sous cette portion du bois devrait passer, à horizon 2035, une nouvelle section du métro.Les autorités souhaitent prolonger la ligne 1, qui aboutit actuellement au château de Vincennes, de 5 kilomètres et trois stations dans les banlieues orientales de Paris.Ces travaux nécessitent l'abattage d'arbres sur un petit segment du bois de Vincennes, à la lisière nord de ce poumon vert classé. Même si d'autres essences seront replantées ultérieurement, ce point cristallise l'opposition au projet, pour lequel l'enquête publique ouverte fin janvier s'achève mercredi 2 mars.Cette forêt, Cécile Toison en est familière. Au petit matin comme tard le soir, cette riveraine de Vincennes la traverse sur son vélo pour prendre ou quitter son service à l'hôpital.En chemin, "je croise le fameux renard, le fameux hérisson, le fameux écureuil. De quel droit aujourd'hui se permet-on encore d'avoir cette suprématie sur le monde animal ?" s'inquiète auprès l'AFP cette infirmière puéricultrice de 46 ans, venue manifester contre le chantier prévu.La pétition antitravaux a recueilli 65.000 signatures.Mais dans ce dossier, aucun des deux camps n'a le monopole de l'écologie.Du côté des défenseurs de l'extension de la plus ancienne ligne de métro de France, inaugurée en 1900, on rappelle qu'elle doit désenclaver plusieurs quartiers de Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne et réduire ainsi le bilan carbone de leurs habitants.Moins de voituresSur les hauteurs de Montreuil, le quartier populaire de Bel Air-Grands Pêchers, marqué par un fort taux de chômage et un important programme de rénovation urbaine, bénéficiera ainsi de sa propre station. Celle-ci mettra la gare de Lyon à 15 minutes, contre 35 en moyenne avec les transports actuels.Le métro "permettrait d'une part de réduire l'usage de la voiture, et d'autre part plus de liberté pour les habitants de se déplacer, de travailler, d'étudier", pointe Haby Ka, conseillère municipale (PCF) de Montreuil et élue du quartier."Des gens nous disent +ils nous parlent du bois mais c'est juste un prétexte, ils ne veulent pas voir les banlieusards prendre la 1+", relate-t-elle, "c'est un peu un enjeu de lutte des classes."Envisagé depuis le milieu des années 1990, ce programme s'inscrit dans une tendance plus générale d'extension en petite couronne des lignes de métro qui se sont arrêtées pendant des décennies aux portes de la capitale.Signe des passions que suscite l'arrivée du métro, un soir de mi-février, des centaines de curieux convergent sur un gymnase de Fontenay-sous-Bois pour une réunion d'information.Le long des rues, des ballons jaune canari - couleur de la ligne 1 – sont accrochés aux panneaux et lampadaires, comme pour fêter un anniversaire.Des dizaines de personnes restent bloquées devant la salle par le service de sécurité. A l'intérieur, l'ambiance est électrique. On applaudit, on hue. "Pour ceux qui mènent un combat d'arrière-garde, il faut penser aux humains !" s'insurge un homme. "Déni de démocratie !" crie un militant pro-arbres.Le président de la commission d'enquête publique tente de calmer les esprits : "ce n'est pas un forum, on est entre gens responsables..."D'un coût annoncé de 1,5 milliard d'euros hors-taxes, le prolongement de la ligne 1 doit transporter 95.000 voyageurs par jour. Les travaux sont actuellement prévus pour être réalisés entre 2028 et 2035. Mais gare aux perturbations...
Il y a 3 ans et 101 jours

Patrimoine : quels chantiers emblématiques sont au programme pour 2022 ?

MISE EN VALEUR. L'année 2022 sera marquée par un certain nombre de chantiers de restauration patrimoniale, dont une partie sont financés par le plan France Relance. Focus sur quelques-uns de ces projets de réhabilitation aux quatre coins de la France.
Il y a 3 ans et 101 jours

Arkema se renforce dans les adhésifs

ACQUISITION. Le groupe de chimie, Arkema, annonce avoir acquis l'activité Performance Adhesives d'Ashland, expert des adhésifs de haute performance aux États-Unis.
Il y a 3 ans et 101 jours

Un rapport sur le réchauffement climatique pointe la nécessité de rénover et adapter les bâtiments

Au chapitre des villes et infrastructures, le rapport dresse un tableau alarmant de l’intensification des sécheresses et vagues de chaleur et de l’impact sur la population et le confort thermique, si les bâtiments ne sont pas rénovés. Les vagues de chaleur deviendront une menace majeure en France, avec des vagues de sécheresse récurrentes sur le littoral méditerranéen. Selon le rapport : « si le niveau de réchauffement planétaire est de 2 °C et que la trajectoire socio-économique commune n° 3 (SSP3) est respectée, la moitié de la population européenne sera exposée à un risque très élevé de stress thermique en été. »« Les bâtiments très isolés, conformes aux normes de construction actuelles, seront vulnérables à la surchauffe, notamment en cas de réchauffement climatique élevé, à moins que des mesures d’adaptation adéquates ne soient appliquées. ». En effet, le rapport poursuit que les pays d’Europe occidentale sont d’autant plus vulnérables car les installations de protections solaires restent encore limitées.Un constat que partage le Groupement Actibaie, syndicat affilié à la FFB notamment sur les métiers de la protection solaire. « Les stores et volets ne sont pas valorisés dans les dispositifs d’aide à la rénovation alors qu’ils permettent de réduire la température intérieure d’un bâtiment de 3 à 5°C, voire plus si le système est automatisé », précise Hervé Lamy Délégué Général du Groupement Actibaie. En effet, face aux vagues de chaleur, le rapport alerte sur l’augmentation de la consommation d’énergie de refroidissement dans les bâtiments, estimée pour les bâtiments d’Europe du nord de 31 à 73 % d’ici 2050 et de 165 à 323 % d’ici 2100 par rapport à 1996-2005.Pour Hervé Lamy, Délégué Général du Groupement Actibaie : « En France, le recours à la climatisation dans les logements est passé de 14 % en 2016 à 25 % en 2020 selon l’ADEME. La climatisation est aujourd’hui responsable de près de 5 % des émissions d’équivalent CO2 du secteur bâtiment. Le rapport du GIEC ne fait que confirmer que cette tendance va s’accentuer si nous n’adaptons pas l’architecture de nos bâtiments. Il est urgent d’intégrer systématiquement ces solutions vertueuses à la rénovation des bâtiments comme ils le sont déjà dans le neuf »
Il y a 3 ans et 101 jours

Le prix "Madame Artisanat" 2022 remis à une paysagiste

CONCOURS. À 36 ans, Alexandra Beauffreton remporte le prix Madame Artisanat des trophées organisés par le réseau des chambres de métiers et de l'artisanat. Par ce prix, elle espère susciter de nouvelles vocations et encourager des femmes à se lancer dans le secteur du paysagisme.
Il y a 3 ans et 101 jours

Le recyclage des déchets de plâtre reprend nettement son ascension !

127 300 tonnes de déchets de plâtre externes recyclés en 2021 dans la fabrication de plaques de plâtre, soit une progression de 37% par rapport à 2020 et 19% par rapport à 2019.  Les industriels du plâtre poursuivent sans relâche la formation et la sensibilisation des professionnels. Ainsi, par exemple, Etex France BP (marque Siniat) […]
Il y a 3 ans et 101 jours

2021, une année historique pour Wienerberger

RÉSULTATS. Le spécialiste de la terre cuite, Wienerberger, annonce signer "l'année la plus réussie de son histoire". Pour preuve, son bénéfice net est passé de 89 millions d'euros à 311 millions d'euros en un an.
Il y a 3 ans et 101 jours

Guerre en Ukraine : le BTP entre inquiétudes et solidarité

La paralysie de l’Ukraine et les sanctions contre la Russie font planer des menaces sur l’activité de certaines entreprises du secteur et l’approvisionnement en matières premières. Parallèlement, la solidarité se structure avec les Ukrainiens, qu’ils soient dans leur pays ou sur les routes de l’exode.
Il y a 3 ans et 101 jours

Pourquoi Bouygues croit en sa capacité à améliorer la marge d'Equans

FOCUS. En négociations avec Engie pour le rachat d'Equans, le groupe Bouygues s'est fixé pour objectif d'atteindre une marge de 5% pour ces activités. Lors de la présentation des résultats 2021 de la major, son directeur général, Olivier Roussat, a expliqué les raisons qui le poussaient à avoir confiance.
Il y a 3 ans et 101 jours

Eiffage enregistre des résultats "de bien meilleure qualité" que prévus

RÉSULTATS. Le groupe Eiffage a connu une bonne dynamique en 2021, l'activité se hissant même à un niveau historique, portée par l'international. Malgré une consommation du carnet de commandes des grands projets, les nouveaux contrats ont été nombreux, laissant anticiper une année 2022 au beau fixe.
Il y a 3 ans et 101 jours

Eolien Offshore : EnBW quitte le marché américain en cédant ses activités à TotalEnergies

RENOUVELABLES. Le fournisseur d'énergie allemand, EnBW, a décidé de se retirer du marché américain de l'éolien en mer. Il prévoit de céder ses activités EnBW North America et ses actifs à son partenaire TotalEnergie.
Il y a 3 ans et 101 jours

L'IEIF livre une analyse des premiers impacts de la guerre en Ukraine sur l'économie et l'immobilier

Aujourd’hui, l’invasion de l’Ukraine par la Russie, première guerre d’agression transfrontalière en Europe depuis 1945, a toutes les chances de les influencer durablement. Les risques extrêmes sur les marchés seraient exacerbés. Béatrice Guedj et Pierre Schoeffler, seniors advisors IEIF livrent leur analyse.Croissance économique, inflation et taux d’intérêtL’incertitude actuelle risque de provoquer un désir d’accumulation d’épargne de précaution de la part des ménages et un attentisme sur les investissements de la part des entreprises, ralentissant la vitesse de circulation de la monnaie. Entre goulot d’étranglement sur l’offre en biens manufacturiers, baisse du pouvoir d’achat et comportement de précaution, les revenus des ménages et les profits des entreprises pourraient être amputés, ce qui pèserait sur les emplois de bureaux, la demande placée et la solvabilité immobilière des agents privés Avant l’invasion de l’Ukraine, la hausse des prix en Europe était essentiellement liée à la hausse du prix de l’énergie et aux tensions post-Covid sur les chaînes d’approvisionnement. La hausse du prix de l’énergie va s’intensifier et l’inflation pourrait connaître une nouvelle dynamique qui, si les pressions perdurent, pourraient véritablement déclencher des demandes de compensation salariale. La nouvelle fragmentation du commerce mondial avec l’isolement économique de la Russie ne peut aussi déboucher que sur un régime d’inflation plus intense. Les taux d’intérêt réels devraient rester en territoire négatifs, voire baisser encore, ce qui est une configuration favorable à l’immobilier. À moyen terme, tout dépendra de l’ancrage de l’inflation dans les circuits économiques. Si cet ancrage est fort, la réponse de la BCE sera plus appuyée et la normalisation plus rapide qu’escomptée jusqu’ici.Conséquences sur l’immobilier Le scénario d’un ralentissement économique en Europe couplé à une forte inflation, soit un épisode de stagflation, voit donc sa probabilité augmenter si une issue diplomatique n’est pas rapidement trouvée. Durant ces périodes de stagflation, les loyers sont tirés à la hausse par le mécanisme d’indexation mais face à des revenus amoindris, il est difficile de faire passer ces hausses aux locataires, sauf aux entreprises qui sont capables de répercuter la pression de leurs coûts de revient sur leurs prix de vente.En France, durant la longue période de stagflation provoquée par les chocs pétroliers de 1973 et 1979, l’immobilier s’est bien comporté avec une performance globale réelle positive portée par les rendements en capital alors que les rendements locatifs réels étaient négatifs. Durant cette période de très forte inflation, les taux réels de long terme sont restés très négatifs en tout début de période avant de devenir très positifs en fin de période. La stagflation du début des années 1990 n’a pas été favorable à l’immobilier mais il s’agissait alors de l’éclatement d’une bulle immobilière. Les deux autres périodes de stagflation en France ont été de courte durée. La crise financière globale, également d’origine immobilière, a été très négative à l’immobilier. La crise Covid, très violente et très courte, n’a eu qu’un effet passager.Les marchés de l’immobilier coté en Europe n’envoient pas de signaux particuliers. L’ensemble des segments à l’exclusion du commerce s’effrite depuis le début de l’année. La logistique et la santé sont ceux qui reculent le plus. (cf graphique) De façon plus fondamentale, la fragmentation du marché immobilier à l’œuvre durant la crise Covid se corrige lentement par une convergence des performances des différents segments.
Il y a 3 ans et 101 jours

5 points clés pour le secteur du bâtiment en 2022

Une seconde vie pour les anciens bâtimentsAvec la pandémie, les mesures de santé publique ont transformé des maisons en bureaux et laissé des immeubles de bureaux vides. Si certains de ces changements se sont atténués, l’utilisation des bâtiments a véritablement changé : la fréquentation des bureaux ne sera plus la même, le télétravail et travail hybride vont perdurer et le commerce physique ne récupérera jamais complètement le terrain perdu.En parallèle, l’immobilier résidentiel fait face à une pénurie de logements que les nouvelles constructions ne peuvent combler en raison d’un manque de matériaux, de main-d'œuvre et de terrains. Dans un secteur où certains types de biens sont surabondants, alors que d’autres sont insuffisants, les entreprises devront faire de réels efforts pour relever les défis de la réaffectation des bâtiments, qui constituent des opportunités importantes afin de répondre à l'évolution des besoins immobiliers.L'énergie au cœur de la refonte de l'utilisation des bâtimentsLes évolutions observées dans l'utilisation des bâtiments au cours des deux dernières années, sont survenues alors que des changements avaient déjà été opérés afin de répondre à la pression réglementaire et sociétale pour une plus grande efficacité énergétique. Cela implique de meilleures approches de l’efficacité des bâtiments, en termes de conception, modernisation et système de gestion de l’énergie des bâtiments.Par exemple, l'adoption croissante des véhicules électriques, entraînera une demande accrue d'énergie électrique. Dans le même temps, les arguments économiques en faveur des énergies renouvelables à petite échelle entraineront les déploiements de panneaux solaires. Ces développements conduiront les bâtiments à devenir à la fois consommateurs et producteurs d'électricité. On parlera alors de "prosumers" pour décrire la manière dont les propriétaires gèrent cette nouvelle relation avec l'électricité. La façon dont les bâtiments interagissent avec l'infrastructure énergétique est depuis longtemps essentielle. Néanmoins, l’impact de l’évolution des besoins des consommateurs sur le réaménagement des bâtiments conduira à renforcer cette interaction. Les appels d'offres devraient donc être naturellement de plus en plus axés sur les questions de gestion énergétique.La digitalisation comme catalyseurLes technologies et les approches traditionnelles ne suffisent plus aujourd’hui pour que les changements majeurs dans la façon dont les bâtiments interagissent avec l'infrastructure électrique soient viables. Les technologies intelligentes, y compris les compteurs intelligents, deviendront essentielles pour permettre aux bâtiments de réinjecter de l'énergie dans le réseau et pour fournir aux opérateurs de réseau des informations sur la consommation d’énergie de chaque bâtiment.Le réseau d'un bâtiment individuel peut être rendu plus polyvalent et plus flexible grâce à la technologie numérique. Les systèmes électriques intelligents des bâtiments sont capables de réagir aux conditions du réseau, par exemple en chargeant les véhicules électriques aux heures de faible demande. Alors que le système électrique global continue de se transformer, les systèmes numériques offriront la flexibilité et l'adaptabilité nécessaires à chaque étape de la production et de l'utilisation de l'énergie. Ces changements amènent à une relation plus intelligente, plus réactive entre les bâtiments et l'infrastructure. Des projets démontrant la valeur de ce type d'approche sont déjà en cours, la gestion intelligente de l'énergie va devenir un élément essentiel de réponse à la crise climatique.La sécurité des bâtiments redéfinieAvec la pandémie, les autorités de santé publique tentent de comprendre la dynamique de la transmission virale et l'impact des interventions telles que l'augmentation de la ventilation sur le fonctionnement des systèmes de gestion des bâtiments. Il est important de trouver un équilibre entre la sécurité des personnes et le maintien des activités quotidiennes.Parallèlement, il sera indispensable d'identifier le profil de risque de cybersécurité des bâtiments, car les systèmes intelligents peuvent constituer des failles dans leur structure, au niveau des tableaux de distribution électrique et des équipements de chauffage, ventilation et climatisation. Ces éléments doivent être considérés comme faisant partie d'un système global complexe et cohérent, et non comme des questions distinctes pouvant être traitées de manière isolée. Il est donc probable que de nouvelles normes de sécurité des bâtiments se développent au cours des prochaines années.Des liens plus étroits entre les bâtiments et les autres secteurs d’activitéDe nombreux facteurs tels que les préoccupations sur le climat ou bien la pression du public pour répondre à des besoins changeants vont impacter les évolutions de ce secteur. Il est ainsi nécessaire d’impliquer un ensemble large de parties prenantes confrontées à leurs propres défis de transformation.La connexion entre les différentes industries peut être facilitée par le processus connu sous le nom de « couplage sectoriel », c’est-à-dire l’électrification des transports et des bâtiments tertiaires et industriels.Un bon couplage sectoriel dans le secteur du bâtiment permettra de soutenir et d'accélérer la décarbonation grâce à un réseau plus résilient, à une production décentralisée et à une utilisation intelligente de l'énergie qui s'adapte à l'offre. Il s'agit là d'un élément essentiel de la transformation énergétique. L’évolution de l’utilisation des bâtiments offre à ce même secteur une occasion unique de contribuer au processus.Tribune par Laëtitia Tran-Rodeghiero, Commercial Buildings Segment Manager chez Eaton Electrical France (LinkedIn).
Il y a 3 ans et 101 jours

"La transition énergétique doit être compétitive et flexible", Jean-Marc Leroy (AFG)

INDUSTRIE. Forts de leurs propositions aux candidats à l'élection présidentielle, les gaziers entendent peser sur les débats autour de la transition écologique en insistant encore et toujours sur la nécessaire complémentarité des énergies. À la tête de l'Association française du gaz, Jean-Marc Leroy analyse pour Batiactu le fonctionnement du marché énergétique, et revient également sur la question de l'approvisionnement en gaz dans un contexte géopolitique très sensible.
Il y a 3 ans et 101 jours

La Fédération nationale des Communes forestières impliquée pour des solutions concrètes face à la crise du chêne

Pour le développement du label UE et de la contractualisationAujourd’hui, Il est indispensable d’être vigilant sur la prise en compte de cette ressource et plus que tout nécessaire de renforcer le maillage territorial avec la mise en place de circuits plus courts en maintenant une transformation des produits forestiers en France et dans l’Union Européenne. Le label chêne Union Européenne et la contractualisation sont des solutions pour parvenir à ces dynamiques dans lesquelles la Fédération nationale des Communes forestières (FNCOFOR) s’est toujours pleinement investie avec tous ses élus, ces dernières années.En effet, depuis 2015 en appui de l’Etat et de la Fédération Nationale du Bois (FNB), la FNCOFOR a contribué à la création du label chêne Union Européenne. Ce label apporte une réponse opérationnelle pour faire face aux difficultés d’approvisionnement important des scieries. Il vise à ce que les grumes de chênes de qualité sciage soient transformées une première fois dans l’Union européenne.La FNCOFOR souhaite également accélérer le développement de la contractualisation sur toutes les essences et particulièrement sur le chêne. La contractualisation permet la vente des bois par qualité sous contrat avec des entreprises françaises.A cet effet, la FNCOFOR a co-signé l’accord-chêne mis en place le 17 février 2022 avec le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation et l’ensemble des propriétaires, producteurs, gestionnaires et premiers transformateurs dans une démarche concertée et globale de filière.La FNCOFOR en action auprès de la filière La FNCOFOR a mis sur pied un plan d’actions précis qui rassemble les conditions de la réussite pour développer la contractualisation en concertation avec l’Office national des forêts (ONF), présenté lors des Assises de la forêt et du bois. Cette dynamique actuelle ne pourra se faire que dans un dialogue construit et serein avec le gestionnaire unique de la FNCOFOR, l’ONF. L’ONF doit mettre les moyens et les compétences pour réaliser ce plan d’actions et l’Etat doit aussi soutenir la FNCOFOR sur plusieurs pistes d’amélioration tels que la dotation globale de fonctionnement des collectivités, les circuits de TVA, le fond d’amorçage.... La FNCOFOR est en ordre de marche depuis plusieurs années. Son comité national des ventes, rassemblant les élus du bureau des Communes forestières et la direction commerciale de l’ONF, travaille sur ces questions prioritaires d’actualités et de commercialisation des bois.C’est grâce à cet élan collectif avec la publication récente du manifeste de la filière forêt-bois, la signature de cet accord-chêne, l'implication de FNCOFOR aux Assises de la forêt et du bois qu'elle pourra trouver les meilleures solutions pour le développement de la filière sur le territoire national et pour lutter in fine contre le réchauffement climatique.
Il y a 3 ans et 101 jours

L’impact de la guerre en Ukraine sur l’acier et l’énergie évalué par l’IEIF

Dans une note envoyée ce mercredi 2 mars, l’Institut de l'épargne immobilière et foncière (IEIF) estime que la guerre en Ukraine mettra la pression sur les prix de l’énergie, l’acier et les métaux rares et aura tendance à réduire les investissements des entreprises, si aucune issue diplomatique n'est rapidement trouvée.
Il y a 3 ans et 101 jours

1.200 bâtiments publics ont bénéficié d'une rénovation thermique

Ces bâtiments appartenant à l'Etat ont bénéficié d'une rénovation thermique dans le cadre des financements prévus dans le plan de relance.
Il y a 3 ans et 101 jours

Comment Veka affronte la hausse de 100% du prix du PVC

INDUSTRIEL. Le groupe industriel spécialisé dans les menuiseries PVC s'organise pour encaisser le doublement des prix de sa matière première, à hauteur de 100%. Et annonce de nouveaux investissements en France.
Il y a 3 ans et 101 jours

Le Quadrilatère Beauvais : DENFC, opacité et acoustique

Pour l’anecdote, c’est d’ailleurs ce dernier qui édicte, au sein d’un service à la création artistique, une commission appelée, entre autres, à soutenir les artistes vivants. Projet ponctué pour l’exemple d’une commande du plafond de l’Opéra de Paris à Marc Chagall en 1962 et de lois permettant l’affiliation à la sécurité sociale des artistes du spectacle en 1967, puis des peintres, sculpteurs et graveurs… Ces innovations ont permis des avancées dans le monde des musées et autres architectures dédiées au patrimoine vivant. Données qui alimentent encore aujourd’hui de très beaux projets de réhabilitations.C’est dans ce contexte politique et sociétal que la réalisation d’une galerie nationale de la tapisserie est confiée en 1969 à l’architecte André Hermant, assisté de Jean-Pierre Jouve. La proximité directe de la cathédrale Saint-Pierre et du rempart antique oriente le projet vers une architecture horizontale très contemporaine. La galerie nationale de la tapisserie est inaugurée en 1976. Propriété de l’État, la Galerie est reprise par la Ville de Beauvais en 2013. C’est en 2016 qu’elle devient « Le Quadrilatère ». Aujourd’hui, le projet culturel et artistique s’articule autour d’une identité « Patrimoine et Création ».Le quadrilatère : comme un carré en toiture « LE QUADRILATERE, ce polygone à quatre côtés, fait écho aux premiers plans tracés par André Hermant. » Cf. culture.beauvais.fr Par une vision oblique, on se rapproche aussi des lanterneaux de désenfumage carrés qui couvrent la toiture actuelle. Quasi invisibles au public, ils sont néanmoins des témoins réglementaires et horizontaux en adéquation, dans les faits, avec l’architecture des lieux. Voici pour la parenthèse historique au sujet d’un site chargé de mémoire, qui ne pouvait qu’engendrer une petite synthèse dans un communiqué qui n’en est pas moins professionnel.Année 2020 : feedback de travauxEn 2020, des travaux sont réalisés. Il s’agit, entre autres, de rénover une partie de la toiture de ce bâtiment ayant aujourd’hui plus de 40 ans. Intervenir dans le cadre d’un musée impose certains critères comme :Un désenfumage réglementaire,Une performance acoustique,Une maîtrise de la lumière naturelle (afin de privilégier une lumière artificielle propre à l’éclairage des expositions).Lanterneaux avec remplissage Pearl Inside : l'efficience d'un choixVia le CCTP, le choix de la maîtrise d’œuvre se porte entre autres sur des lanterneaux permettant de concilier lumière artificielle et expositions. Ils sont donc prévus en version opaque. L’entreprise Ramery Enveloppe agence Oise, chargée du projet, rajoute néanmoins une option avec un Pearl Inside intégré dans un PCA de 20 mm. Cette technologie Bluetek de remplissage polycarbonate intégrant des microbilles de verre permet une performance acoustique intéressante de l’ordre Rw = 28 (0 ;-2) Db et valeur Lia = 65 dB (impact du bruit de la pluie – réduction de l’effet peau de tambour).Le choix se porte aussi sur des lanterneaux de la gamme Therm, soit avec amélioration thermique, d’une valeur Urc de 2 à 2,1 W/m².K.Dans leur ensemble, les 23 lanterneaux Bluetek qui couvrent actuellement la tranche 1 du Quadrilatère sont composés comme suit :Bluesteel Therm Pneu 100/100,Remplissage Pearl Inside 20 mm opaque,Version standard (sans spoilers),Ouverture-fermeture par thermo-déclencheur calibré à 93° C,Costière biaise isolée 25 mm compris tôle d’accroche colaminée PVC ht. 350 mm (intérieur laqué blanc pur RAL 9010),Grille 1200 joules fixe (laquée blanc pur RAL 9010). Costière et grille 1200 joules sont laquées blanc, et complétées aussi d’un équipement supplémentaire. Il s’agit d’un barreaudage disposé dans la trémie existante. Les travaux du groupe Ramery Enveloppe – Agence Oise Forte d’environ 40 personnes, l’agence Ramery, située à Beauvais, est une inconditionnelle des travaux dédiés au bâtiment sur le secteur. En effet, le groupe Ramery, créé en 1972, s’articule autour de cinq métiers : les travaux publics, le bâtiment, l’environnement, les énergies & second œuvre et l’immobilier. Le Groupe représente actuellement près de 3 000 collaborateurs. Trois mois de travaux ont été dédiés à la rénovation du Quadrilatère par les équipes du Groupe Ramery. La rénovation de la toiture a tenu en la dépose totale du complexe d’étanchéité, et la repose d’une membrane soudée hybride EVALON® 3T France. La mission s’est déroulée entre mai et août 2020, incluant la pose des lanterneaux de toiture. « Un beau chantier. Tout s’est bien passé, y compris avec la Ville de Beauvais et le Responsable Régional Bluetek, Franck Bourdon, avec qui nous travaillons régulièrement » confirme Guillaume Tournant, Conducteur de Travaux du Groupe Ramery Enveloppe – agence Oise.MOA : Ville de Beauvais / Le Quadrilatère / Amiens (FR-80) / Contacts : Nathalie Peltier – Directrice du Service Patrimoine Bâti, Lucy Hofbauer – Directrice Le Quadrilatère et Anthony Monnier – Pilote TravauxCouverture : Ramery Enveloppe agence Oise / Amiens (FR-80) / Contacts : Guillaume Tournant et Romain Corrège – Conducteurs de Travaux et Mickaël Suys – Technicien ÉtudesFournitures : Bluetek / Luynes (FR-37) / Contacts : Franck Bourdon - Responsable Commercial et Olivier Grongnet – Responsable Prescription
Il y a 3 ans et 101 jours

Le guide pratique développement durable "Isolation thermique extérieure par enduit sur isolant PSE" du CSTB est disponible

Une explication détaillée et illustrée d’une des techniques d’ITE les plus répandues en FranceCe guide illustre la conception et la mise en œuvre des systèmes d’ITE :Quels sont les critères de choix et les supports admissibles ?Comment mettre en œuvre les composants (isolant, sous-enduit, finitions, etc.) Comment traiter les points singuliers ?Comment gérer l’entretien, la rénovation et la réfection des dégradations ?L’isolation thermique par l’extérieur (ITE) est réalisable sur les bâtiments neufs comme sur les bâtiments existants. Elle permet de traiter une grande partie des ponts thermiques linéiques, notamment ceux localisés aux jonctions façade-plancher intermédiaire et façade-refends. Elle contribue également à l’amélioration de l’inertie thermique du bâtiment.Cette nouvelle édition met en avant les évolutions dans le domaine des composants et met l’accent sur les critères de choix.Les modifications les plus importantes par rapport à la 1re édition sont les suivantes :prise en compte des nouveaux textes qui régissent les ETICSévolution du contexte réglementaire, notamment la sécurité incendie (arrêtés d'août 2019) et la RE2020 (qui remplacera à terme la RT 2012).Ce guide a été rédigé et mis à jour par Bertrand RUOT, ingénieur spécialiste de l’ITE.
Il y a 3 ans et 101 jours

Icade en croissance en 2021, porté par sa filiale santé

Le groupe, dont l'activité se divise en trois branches (foncière tertiaire, foncière de santé et promoteur), a dégagé un chiffre d'affaires de 1,56 milliard d'euros, 19,9% de plus qu'en 2020 et 10,4% qu'en 2019.Le "cash-flow net courant", son indicateur de référence, s'est établi à 390 millions d'euros, équivalent à son niveau d'avant-crise sanitaire, amenant Icade à proposer un dividende de 4,20 euros par action, en augmentation (+4,7%) et un peu plus que l'objectif fixé (+3%).Pour 2022, la foncière espère augmenter à nouveau son dividende de 3 à 4%.Elle souhaite également réussir l'introduction en Bourse d'Icade Santé après avoir dû y renoncer en 2021 faute d'avoir levé suffisamment de fonds."Je ne sais pas si ça sera en 2022, je le pense néanmoins et je l'espère. Mais on ne peut pas avoir une certitude absolue", a déclaré à l'AFP le directeur général, Olivier Wigniolle.Cette filiale, qui est censée investir 3 milliards d'euros entre 2021 et 2025, est nettement en avance sur ce plan avec 910 millions investis pour la seule année 2021, du fait d'opportunités inattendues à l'étranger (Allemagne, Espagne, Italie, Portugal).Pour affiner sa stratégie, le groupe attend notamment de voir comment va évoluer la régulation des Ehpad (établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes) en France, après le scandale autour des maltraitances supposées dans certaines de ces structures révélées dans les médias."A court terme, ça n'impacte pas nos résultats et ça n'impacte pas notre stratégie", a affirmé Olivier Wigniolle, l'activité d'Icade se focalisant davantage sur les cliniques ou hôpitaux que sur les Ehpad.
Il y a 3 ans et 101 jours

Guerre en Ukraine : le sidérurgiste russe Severstal arrête ses livraisons en Europe

Le groupe sidérurgiste russe Severstal, qui exporte environ 2,5 millions de tonnes d'acier chaque année en Europe, annonce mettre fin aux livraisons sur le vieux continent.
Il y a 3 ans et 101 jours

Guerre en Ukraine : Bercy à l’écoute des entreprises affectées

Alors que l'armée russe poursuit son offensive et que l'aide internationale se structure, Bercy ouvre des points de contacts à destination des entreprises en relation avec l'Ukraine.
Il y a 3 ans et 101 jours

Elcia s’engage auprès de l’école 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes et se mobilise face à la pénurie de développeurs

L’objectif : tisser un lien fort avec les étudiants pour répondre à ses enjeux de recrutement, tout en soutenant l’une des rares formations françaises.Interview croiséeEdouard CATRICE, Directeur Général du Groupe ELCIABenjamin TARRIER, Directeur Produit du Groupe ELCIAPour commencer, pouvez-vous nous en dire plus sur la naissance de ce partenariat ?Edouard CATRICE : « Tout commence par un constat clair : le secteur de l’édition logicielle est passionnant et extrêmement porteur mais il manque des milliers de développeurs. 6000 rien que sur la région lyonnaise ! Les éditeurs de logiciels doivent faire face à uneconcurrence extrême sur la place lyonnaise mais pas que. Avec la généralisation du télétravail, les éditeurs parisiens embauchent désormais sur toute la France en full-remote avec des salaires 20% supérieurs. Pire, de plus en plus de candidats se voient même proposer des salaires délirants pour travailler à distance pour des sociétés de la Silicon Valley.Autre difficulté : il n’existe que trop peu d’initiatives de l’Etat et de l’Education Nationale pour renforcer la filière avec des formations diplômantes. Ce qui est assez sidérant quand on sait qu’il y a des milliers de demandeurs d’emploi ! C’est très frustrant : nous sommes portés par notre croissance boostée par les besoins de nos clients mais freinés par nos difficultés à trouver des ressources. Nos RH sont constamment en alerte pour trouver de nouvelles solutions.Pour toutes ces raisons, quand Jean-Paul GENOUX, Président de 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes, m’a proposé de devenir mécène de l’école, cela a sonné comme une évidence ! »Justement, pourquoi l’école 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes ? Qu’est-ce qui vous a séduit ?Edouard CATRICE : « 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes est une merveilleuse initiative qui vient répondre aux problématiques que j’ai évoquées. Sa formation est diplômante et rassure les employeurs quant à la validation des compétences techniques. Un gage de qualité dont tout le marché du logiciel a cruellement besoin.C’est un devoir pour nous, éditeur de logiciels, de soutenir cette initiative !J’ai toujours trouvé le projet remarquable, notamment l’idée que le développement était ouvert à tous. C’est le principe de 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes : l’école est gratuite, sans contrainte d’âge, de diplôme ou de parcours. En 2021, 30% des élèves ne savaient même pas coder à leur entrée !Mais ce qui m’a le plus séduit dans l’approche de l’école, c’est la sélection des élèves avec les fameuses piscines. Pendant un mois de compétition extrême, les candidats doivent travailler ensemble pour remplir des objectifs. C’est exactement ce que l’on retrouve en entreprise. Pour réussir, il faut de la détermination, de l’engagement, et avoir le sens de l’entraide et du partage : c’est l’aptitude qui compte, le reste s’apprend. Des valeurs qui me parlent et qui me rappellent l’esprit de mon école d’Ingénieurs. Nous sommes très enthousiasmés par ce partenariat et nous souhaitons nous impliquer pleinement ! »De quelle manière ce partenariat va-t-il vivre ?Benjamin TARRIER : « Nous souhaitons être proches des étudiants et les accompagner dans leur apprentissage. 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes s’appuie sur une logique de peer-to-peer qui s’étend aussi entre les étudiants et l’entreprise. Notre volonté est de compléter la formation de l’école en leur faisant vivre concrètement la réalité de l’entreprise. Le 17 février, nous avons par exemple passé un moment dans les locaux de l’école, durant lequel nous avons fait gagner des sessions de coaching avec nos développeurs. Bien plus que l’aspect technique, un bon développeur doit être ouvert d’esprit, savoir se remettre en question, avoir la capacité d’aider. La méthode de 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes favorise l’intelligence collective, et c’est justement sur cette valeur clé que nous nous appuyons chez ELCIA pour résoudre nos problématiques de développement complexes. »Pour terminer, quels sont les recrutements ouverts chez ELCIA ?Benjamin TARRIER : « Le Groupe recrute plus de 30 nouveaux talents en 2022. Du côté de notre Service Produit, nous recherchons une dizaine de développeurs, aussi bien des profils séniors que novices. Nous partageons la même vision que l’école 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes : l’entraide et le partage. Nous regardons les soft skills et le comportement avant les compétences techniques qui peuvent s’apprendre. Nous sommes donc prêts à accueillir des profils novices avec les bonnes valeurs pour les faire grandir et contribuer à leur montée en compétence. Il est donc indispensable de travailler avec les écoles comme 42 Lyon Auvergne-Rhône-Alpes pour être visibles et proposer aux étudiants des stages, de l’alternance et des embauches en CDI. »
Il y a 3 ans et 101 jours

Le marché de la maison neuve dévisse

Le marché de la maison neuve en secteur diffus, qui soutient l’activité en logement neuf, dévisse fortement depuis trois mois du fait des surcoûts issus tant de la hausse des prix des matériaux et de l’énergie que de la mise en œuvre de la RE2020, du durcissement des conditions d’octroi des crédits, ainsi que de la mise en œuvre du « Zéro Artificialisation Nette » (ZAN). Pour Grégory Monod, Président du Pôle Habitat FFB, « il est urgent de prendre conscience de la crise du logement dans laquelle nous nous enfonçons et de ce que cela signifie pour nos concitoyens, notamment les jeunes et les plus modestes. Les digues cèdent les unes après les autres : après l’individuel groupé, après le collectif en zones tendues, c’est au tour de la maison individuelle, si chère aux Français, d’entrer dans la tourmente en raison des contraintes qui frappent le secteur du neuf. Construire pour loger est un vecteur de progrès sociétal et écologique, un outil incontournable de lutte contre les inégalités sociales, générationnelles et territoriales. La situation exige des mesures fortes, puissantes et rapides. Elles doivent à la fois encourager les projets et accompagner le pouvoir d’achat des ménages. » Le Pôle Habitat FFB appelle à rétablir le prêt à taux zéro à 40% sans discrimination territoriale, à instaurer un crédit d’impôt de 15% sur les annuités d’emprunt, et à reconsidérer, dans la perspective de la réforme portée par la FFB de créer un statut universel du bailleur privé, le durcissement des conditions du dispositif Pinel pour 2023 et 2024. Pour relancer vraiment la construction neuve, il invite également à mettre en œuvre concrètement plusieurs propositions phares portées par la FFB dans la Commission Rebsamen, à définir un cadre soutenable de la lutte contre l’artificialisation des sols et à établir un véritable « permis de densifier ». L’analyse des chiffres mensuels et trimestriels montre que la solide performance de l’exercice 2021 s’appuie sur un premier semestre exceptionnel (+38,6% au premier trimestre et +63,2% au deuxième, en glissement annuel). Cette forte reprise des ventes ne s’est pas poursuivie au second semestre : +1,2% au troisième trimestre, -3,1% au quatrième et même -13,9% en décembre 2021.  
Il y a 3 ans et 102 jours

Transformer le bâti pour "ne pas faire de ghettos de vieux"

Francis Rambert est le commissaire de ce focus sur des projets pensés pour maintenir les anciens au cœur de la ville ou du village.Question : En 2060, plus de 17% de la population en France aura plus de 75 ans, contre 9,5% actuellement selon l'Ined. Comment répondre au défi du vieillissement de la population et de la gérontocroissance ?Réponse : Chez les plus de 80 ans, 83% sont autonomes, et dans les 17% restants, seuls la moitié sont dans des Ehpad. Avec cette exposition, nous défendons la thèse qu'il est possible de rester chez soi le plus tard possible dans un bon logement, quelle que soit sa taille.La question du bien vieillir ensemble pose celle de l'insertion des anciens dans la ville. Comment ne pas faire de ghettos de vieux ? Il s'agit de réfléchir autrement la question du logement.Les architectes savent justement élaborer des projets de vie avec un espace qui soit le plus vivable possible et soit autre chose qu'un couloir qui distribue des chambres.A Barcelone, à 300 mètres de la cathédrale gothique, il existe une résidence pour personnes âgées conçue dans le cadre de la transformation d'un marché, un projet qui illustre la détermination d'une ville à dire : nos personnes âgées méritent encore plus d'attention".Q- L'urbanisme des grands ensembles en France permet-il cette adaptation au 4e âge ?R- Dans les Trente Glorieuses, il fallait rééquiper la France, il y avait une demande de logements énorme et donc on a construit très vite. L'entretien de ces grands ensemble peut poser question, de même l'espace public parfois un peu oublié ou mal traité. Mais certains ensembles marchent très bien, comme le prouve la réhabilitation du quartier du Grand Parc à Bordeaux. Une structure a été bâtie en plus devant le bâtiment existant, ce qui a agrandi les logements. Il y reste des personnes âgées déjà présentes au moment de la construction dans les années 60. Il n'est pas besoin de mettre ces personnes dehors au motif que leurs logements sont soit-disant devenus obsolètes. Le fait de ne pas démolir fait que vous pouvez hériter d'une situation que vous améliorez. On peut reconquérir dans un paysage bâti un espace pour créer des conditions sociales du vivre ensemble. Le patrimoine existant est transformable, ce qui a également été le cas par exemple de la Grande poste à Strasbourg (réhabilitée notamment en bureaux et résidence pour seniors).Q- Le logement collectif est-il la solution ?R- Certains ne veulent pas vivre seuls ou n'ont plus envie de vivre dans des grands appartements. L'architecture doit s'adapter à cela. A Maisons-Alfort, la ville a décidé d'implanter un équipement pour les anciens au cœur de la ville, au milieu d'un parc lui-même entouré d'un urbanisme des années 60, fait de tours et de barres. Dans le bâtiment, les parties communes sont dilatées pour que les couloirs deviennent des lieux où vous avez envie de vous asseoir et discuter avec les voisins.Il est possible aussi d'adapter des sites parfois très urbanisés. Ainsi dans le XVe arrondissement, à Paris, dans une ancienne friche industrielle avec des tas de logements autour, trois programmes différents s'articulent : une résidence sociale pour des femmes battues, un équipement pour la petite enfance et un Ehpad. Chacun vit dans des temporalités différentes mais ils peuvent se rencontrer. Cela fait aussi vivre le quartier. La mixité est de mélanger les générations à toutes les échelles, comme à Nancy où, dans un petit bourg, un bâtiment existant et délaissé a été transformé en trois appartements pour des personnes âgées et deux pour des familles plus jeunes. La mixité générationnelle et le dialogue sont donc tout à fait possibles.
Il y a 3 ans et 102 jours

Le protocole de financement pour la nouvelle ligne Provence-Côte d'Azur est signé

Conformément à un accord conclu en avril 2020, le document signé par le ministre délégué aux Transports Jean-Baptiste Djebbari porte sur un montant total de 3,5 milliards d'euros, qui doit être pris en charge à 40% par l'Etat et 40% par les collectivités de Provence-Alpes-Côte-d'Azur, les 20% restants devant être demandés à l'Europe.La première phase comprend pour 900 millions d'euros la construction d'une gare près de l'aéroport de Nice, l'ouverture d'un RER toulonnais et des aménagements à Marseille, qui doivent être mis en service d'ici 2030.La deuxième phase concerne essentiellement, pour 2,6 milliards d'euros, des aménagements entre Cannes et Nice et le percement d'un tunnel sous Marseille, dont l'ouverture est envisagée vers 2035."Les premiers travaux sont programmés dès 2024", a noté le ministère dans un communiqué, alors que l'enquête publique concernant ces deux premières phases s'achève lundi.Une phase 3 ultérieure prévoit la construction d'une ligne nouvelle entre Nice et Cannes, tandis qu'une phase 4 envisage des sections entre Aubagne (Bouches-du-Rhône) et Toulon et entre Cannes et Le Muy (Var). Aucune échéance n'est encore avancée pour leur réalisation.Les collectivités concernées sont la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, les départements des Bouches-du-Rhône, des Alpes-Maritimes et du Var, les métropoles d'Aix-Marseille, Nice et Toulon, et les agglomérations de Cannes, Draguignan et Grasse.