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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87992 résultats)
Il y a 3 ans et 107 jours

Les associations de cyclistes très critiques envers la mairie de Paris

"Les élus ont choisi les Grands Boulevards, l'un des axes les plus stratégiques et prioritaires du Plan Vélo, pour enterrer cet objectif", estiment Paris en Selle et Mieux se déplacer à bicyclette (MDB) après la présentation mardi 15 février en réunion publique du projet de pérennisation des "coronapistes" - créées pendant la crise sanitaire pour désengorger les transports en commun - de cet axe majeur de Paris."Les élus ont renoncé à aménager le boulevard Saint-Martin sur près d'un demi-kilomètre" où "les cyclistes ne disposeront pas de piste cyclable séparée du trafic automobile et devront circuler dans la voie bus", déplorent les deux associations dans un communiqué diffusé jeudi 17 février."Sur le reste de l'axe, le projet retenu comporte des pistes unidirectionnelles de chaque côté d'une largeur trop faible, qui ne sera pas à même d'accueillir le volume de vélos", reprochent-elles encore aux élus qui ont "choisi de faire du vélo une variable d'ajustement".Avec 250 millions d'euros consacrés aux pistes et au stationnement vélo, la pérennisation de plus de 50 km de "coronapistes" et un travail "sur de nouvelles pistes cyclables", "notre ambition est maintenue et amplifiée", s'est défendu vendredi à l'AFP David Belliard, adjoint (EELV) à la transformation de l'espace public.Sur le boulevard Saint-Martin, plus étroit que les autres, l'élu écologiste, qui évoque lui un "petit tronçon de 180 m" non sécurisé, "comprend l'agacement, la déception" des cyclistes mais assume le choix de "conserver un couloir de bus", choix "d'équilibre entre les transports en commun, les piétons et les vélos".Le baromètre des villes cyclables publiée le 10 février par la Fédération des usagers de la bicyclette (FUB) était assez critique envers Paris, qui a récolté la mention D, "synonyme d'un climat moyennement favorable au vélo", et perdu cinq places pour se classer 12e sur 38 parmi les grandes villes.Alors que les déplacements à vélo ont explosé dans la capitale avec la crise sanitaire (+ 67 % en 2020), "les usagers du vélo réclament une politique vélo plus ambitieuse, en commençant par un réseau cyclable complet et sans coupure", insiste Paris en Selle.M. Belliard relativise ce classement, estimant que les résultats du baromètre "sont plutôt positifs, sauf sur la sécurité. C'est pour cela qu'on investit énormément".
Il y a 3 ans et 107 jours

1.200 bâtiments publics ont bénéficié d'une rénovation thermique grâce au plan de relance

Sur environ 4.000 projets retenus fin 2020 par le gouvernement pour bénéficier du soutien de l'Etat, près "d'un tiers" ont donc été "livrés dans toute la France", a indiqué le ministre lors d'un déplacement à Rennes, selon le texte de son discours transmis à l'AFP, M. Dussopt saluant un "point d'étape extrêmement satisfaisant".Ce programme à réaliser sur trois ans prévoit de mobiliser 2,7 milliards d'euros, dont 1,3 milliard pour les établissements d'enseignement supérieur et de recherche.Cette enveloppe devait permettre de réduire les consommations d'énergie de 400 à 500 gigawattheures par an, mais "nous avons d'ores et déjà dépassé notre cible environnementale, puisque les estimations faites aboutissent à une économie de 600 gigawattheures", a indiqué Olivier Dussopt. A côté de cet appel à projets, le gouvernement a également mis 1,3 milliard d'euros sur la table pour soutenir la rénovation des bâtiments appartenant aux collectivités locales, comme les écoles, et 2 milliards d'euros via le "Ségur de la santé" pour les Ehpad et les hôpitaux.A cela s'ajoute aussi par exemple le dispositif MaPrimerénov pour aider les particuliers à financer des travaux dans leurs logements, ou des subventions pour les petites entreprises qui rénovent leurs locaux.Le secteur du bâtiment dans son ensemble représente un quart des émissions françaises de gaz à effet de serre et les gouvernements successifs peinent à accélérer le rythme des rénovations pour réduire cette empreinte environnementale, en particulier dans le logement.La stratégie nationale bas carbone prévoit de réduire de 49% en 2030 par rapport à 2015 les émissions de gaz à effet de serre du bâtiment, avant une décarbonation complète en 2050.
Il y a 3 ans et 107 jours

Le marché des pompes à chaleur a bondi en 2021, notamment grâce aux aides gouvernementales

ECONOMIE. La croissance du marché des pompes à chaleur, ainsi que celui des chaudières biomasse a été particulièrement marquée en 2021. L'ensemble du secteur se félicite des aides gouvernementales qui dopent les activités de rénovation mais se questionne encore sur les conséquences de la réglementation environnementale 2020 pour le tertiaire.
Il y a 3 ans et 107 jours

Sika affiche de fortes ambitions en Afrique

EXPANSION. Le spécialiste suisse de la chimie, Sika, annonce avoir déménagé dans un plus grand site en Tanzanie et avoir étendu son usine en Côte d'Ivoire.
Il y a 3 ans et 107 jours

Premier investissement majeur dans l'hydrogène "vert" en Europe

Le fonds d'investissement Hy24, créé en 2021 par Air liquide, TotalEnergies et Vinci, a annoncé le 17 février son premier investissement majeur dans l'hydrogène vert : 200 millions d'euros.
Il y a 3 ans et 107 jours

Tracktor, l'expert digital de la location de matériels poursuit son ascension

LEVÉE DE FONDS. Implantée depuis 2017 sur le marché digital de la location de matériel pour les professionnels, Tracktor annonce une nouvelle levée de fonds de 12 millions d'euros. Son fondateur Idir Ait Si Amer nous en dit plus sur l'ambition de la jeune entreprise.
Il y a 3 ans et 107 jours

Réemploi de matériaux : 36 fiches pratiques à destination des architectes

ÉCONOMIE CIRCULAIRE. Le projet européen FCRBE (Faciliter la circulation des éléments de réemploi) a mis en ligne 36 fiches pratiques de matériaux "facilement réemployables" dans les projets de construction, à destination des architectes et autres prescripteurs.
Il y a 3 ans et 107 jours

Fin du doublement de la valorisation des CEE pour les ménages en situation de grande précarité

« Ces entreprises du bâtiment, auxquelles nous vendons nos produits, nous ont alerté sur les difficultés qu'entraîne la fin du doublement de la valorisation des CEE pour les ménages en situation de grande précarité, dont la date est fixée au 30 avril 2022. Je souhaite donc interpeller les autorités à ce sujet, et demander un report de 3 mois afin que les chantiers d’ITE, d’ores et déjà engagés, puissent être honorés.Grâce aux politiques d’aides de l’Etat, et notamment les CEE, les entreprises de pose de solutions d’ITE (Isolation Thermique par l’Extérieur) ont vu leurs carnets de commande augmenter, et tous ont entre 8 et 12 mois d’avance de travaux. A savoir qu’un chantier d’isolation par l’extérieur, s’il est bien fait, nécessite plus d’une semaine de mise en œuvre.Or, nul n’est censé ignorer la conjoncture difficile que connaît le secteur du bâtiment depuis maintenant quelques mois. Entre les soucis d’approvisionnement, de main d’œuvre et les conditions hivernales, les entreprises de pose d’ITE nous ont confirmé qu’elles ne pourraient pas respecter les délais, et ce malgré toute leur bonne volonté. En l’état actuel des choses, il est inévitable que certains chantiers, déjà engagés, ne puissent pas être terminés avant la fin avril 2022.Je souhaite attirer l’attention sur le fait que de nombreux clients de ces entreprises de pose, notamment des personnes très précaires, perdront définitivement l’opportunité d’isoler leur façade. Une isolation qui leur permettrait de vivre dans un habitat « digne », comme le préconise le dispositif des CEE.Alors qu’ils ont été prévenus de cette problématique des délais, certains ont d’ores et déjà manifesté leur mécontentement et menacent d’engager des procédures. Il est donc urgent que le PNCEE (Pôle National des Certificats d’Énergie) agisse afin d’éviter de bloquer les chantiers en cours. Pour cette raison, j’ai fait appel aux députés, aux collecteurs de CEE, et aux fédérations du bâtiment afin qu’ils interpellent le PNCEE pour obtenir un délai de 3 mois supplémentaire, qui repousserait cette échéance à fin juillet 2022.Ce report, s’il est effectif, permettrait simplement aux entreprises de pose d’ITE de pouvoir honorer leurs engagements, qui bien souvent ont été pris avant même l’existence de cette échéance. Ce délai n’engendrera pas d’effet d’aubaine car cette possibilité de doublement n’existe plus à la vente depuis le 31 décembre 2021. »Tribune de Sylvain Bonnot, Président Myral (Linkedin)
Il y a 3 ans et 107 jours

Les acteurs du gaz appellent à préserver un bouquet énergétique diversifié

PRÉSIDENTIELLE 2022. Pour réussir la transition écologique dans le secteur du bâtiment, les gaziers estiment indispensables d'assurer la résilience d'un bouquet énergétique diversifié tout en développant les gaz renouvelables, à commencer par la méthanisation. Les professionnels militent aussi pour une politique industrielle digne de ce nom et demandent à reconsidérer la méthode d'analyse de cycle de vie.
Il y a 3 ans et 107 jours

VIPros, bien plus qu’un simple programme de fidélité !

Après avoir réussi à fédérer les industriels, puis à gagner sa légitimité auprès des artisans du Bâtiment, VIPros va plus loin encore avec une offre de services unique sur le marché… La relation client, un enjeu stratégique Durant des années, le schéma classique « industriel > distributeur > client professionnel » régissait toute la promotion des ventes et la fidélisation clients. Si les 3 acteurs de ce triptyque conservent leur importance, force est de constater que leur rôle évolue au sein de cette relation et qu’il devient stratégique pour chacun de mieux connaître les 2 autres… C’est en partant de ce constat que depuis 4 ans, VIPros facilite la relation et les échanges entre Industriels et Clients professionnels, tout en favorisant la concrétisation des transactions auprès des réseaux de distribution. Fort de cette nouvelle dynamique, et fidèle à cette stratégie, VIPros va plus loin aujourd’hui en associant la conquête de nouveaux clients à l’animation de la relation et à la fidélisation des plus actifs d’entre eux. Du Cash et des Points cadeaux Si le point cadeau reste l’ADN du programme VIPros, la conquête de nouveaux clients passe par des offres plus immédiates et plus « matérialisables ». Voilà pourquoi, VIPros propose désormais des offres Cashback et des réductions immédiates pour développer les relations commerciales, tout en conservant les VIPoints cadeaux pour fidéliser les clients les plus impliqués. Bien mieux qu’un simple centre de gestion De nombreuses offres de remboursement partiel (O.D.R.) sont régulièrement proposées aux clients professionnels, mais toutes reposent sur un même processus, à la fois laborieux et dissuasif : découpe de code-barres, preuve d’achat, coordonnées du bénéficiaire, Iban… pour un remboursement effectif sous 6 à 8 semaines ! Désormais cela relève du passé grâce à un dispositif VIPros « clé en main » : • Inscription rapide sur vipros.fr • Enregistrement unique de son Iban Professionnel • Liberté d’acheter ses produits là où l’on veut • Cumul des offres Cashback de toutes les marques partenaires • Remboursement sous 6 à 8 jours… Sans oublier qu’une marque partenaire peut activer et piloter très simplement ses offres via la plateforme VIPros… De même qu’elle peut négocier des bonus supplémentaires valables chez tel ou tel distributeur. Parole au grand gagnant de l’opération Série illimitée VIPros Entreprise 1000 Jardins : Rémi IMPELLETIERI – Matthieu VAGLIENTI Rémi IMPELLETIERI « Avec mon ancienne société j’étais déjà très actif dans le programme VIPros, l’équipe est au top, et toutes les actions proposées sont attractives. Fraîchement associés et une nouvelle société créée, j’ai décidé de nous inscrire très rapidement et nous avons participé l’année dernière à l’opération « Série Illimitée VIPros » avec comme gros lot « Le fameux camion Ford Transit Custom » ; comme tout le monde, je pensais qu’on gagnerait une gourde ! Finalement mi-novembre, je reçois un coup de téléphone de l’équipe VIPros. Mon associé n’en revenait pas, il ne m’a pas cru de suite, il lui a fallu un nombre incalculable de preuves pour enfin me croire.  Nous avons gagné le camion… Incroyable, cela n’arrive pas qu’aux autres !! L’accueil de toute l’équipe a été formidable du début à la fin. Merci encore à eux et à toutes les marques partenaires pour toutes ces offres tout au long de l’année, les points cadeaux et les réductions (cashback) gagnés facilement. » Bien plus économique qu’un dispositif mono-marque ou mono-enseigne La mutualisation des investissements constitue le premier R.O.I. pour les industriels partenaires du programme VIPros. De tels dispositifs nécessitent une rigueur, des contrôles (notamment juridiques), et des niveaux de sécurisation que peu d’acteurs peuvent assumer. Sans oublier le recrutement constant de nouveaux clients, l’information et l’animation permanente des entreprises inscrites, l’analyse des besoins et le ciblage des offres… Autant de moyens que VIPros peut déployer grâce à la force collective de ses partenaires. Nicolas GROS – Directeur Division Outillage Bosch « Bosch fait partie des pionniers au sein du programme VIPros car dès le début nous avons cru à l’intérêt de mutualiser nos investissements et nos actions pour aller au devant des professionnels. Un tel dispositif nous permet de capter l’attention de ceux qui sont amenés à utiliser, et donc acheter nos produits… Nous pouvons y valoriser nos innovations et nos services. Les synergies et l’équipe dédiée nous permettent de gagner un temps précieux dans cette démarche ! » Sabrina ROUGET – Responsable de la Promotion des Ventes ACOVA « Depuis des années, chez Acova, nous avons la volonté de récompenser nos clients installateurs pour leur fidélité, et grâce au programme VIPros, nous sommes heureux de leur offrir un avantage supplémentaire. Ce concept de partenariat entre plusieurs marques nous a semblé très pertinent et adapté aux besoins des artisans. Il était important pour nous, en tant que marque de référence sur le marché français des radiateurs, d’intégrer ce programme dynamique et innovant, qui nous permettra également de toucher de nouveaux installateurs et d’élargir notre visibilité auprès des artisans. » Un dispositif unique sur le marché La combinaison des offres promotionnelles, couplée à des outils de communications ciblés, des opérations de recrutement de nouveaux membres, des animations régulières des communautés et une analyse pointue des besoins des professionnels confèrent au programme VIPros un intérêt grandissant pour tous les acteurs du marché… Une expérience et une avance que l’équipe VIPros entend maintenir et dupliquer dans tous les secteurs du BtoB.
Il y a 3 ans et 107 jours

Croissance externe et ambitions fortes pour l'Apave

Apave, spécialisé dans la maîtrise des risques techniques, environnementaux, humains et numériques, confirme ses ambitions d’ici 2025 : atteindre un chiffre d'affaires de près de 1,5 milliard et entrer dans le top cinq mondial des leaders sectoriels dans les biens industriels et manufacturing, les énergies, les transports et les infrastructures & construction.
Il y a 3 ans et 107 jours

Lève plaque à treuil EDMAPLAC CABLE

Après le succès rencontré par le lève plaque à crémaillère EDMAPLAC 450 auprès des artisans plaquistes, EDMA innove une fois de plus et propose aujourd’hui un nouveau lève plaque à treuil : EDMAPLAC CABLE. Conçu pour un usage professionnel sur des chantiers jusqu’à 3,50 m de hauteur, le nouvel EDMAPLAC CABLE est très performant et supporte des charges allant jusqu’à 60 kg. Il lève la plaque en toute sécurité, en position horizontale et inclinée (sous pente), à l’aide d’un double câble pour la levée et la descente. Il est muni d’une poignée de basculement, qui facilite le chargement de la plaque sur sa tête, et de poulies à roulements à billes qui réduisent l’effort à fournir pour hisser la plaque. Sa tête rotative libre à 360° le rend ensuite particulièrement pratique pour ajuster le placement de cette dernière. Enfin, il présente un format réduit, léger et peu encombrant et il est livré quasi intégralement monté (hormis la tête), permettant ainsi de l’assembler en seulement 5 minutes. Son célèbre homologue l’EDMAPLAC 450, qui a bénéficié récemment de multiples améliorations (volant en magnésium, maniement silencieux…), est pourvu de son côté, d’un système à crémaillère pouvant être assisté par une visseuse. Il offre ainsi une précision et un confort de levée sans pareils. Sa hauteur (4.50 m avec rallonge) et sa charge (80 kg) maximales, associées à sa capacité de lever la plaque dans toutes les positions (y compris verticale), le rendent particulièrement performant pour un usage professionnel intensif. Il dispose également d’un système de frein à 2 manettes et d’une plateforme en bois. Ces deux lève plaques EDMA sont munis de pieds latéraux repliables et de 3 roues (dont 2 avec freins) permettant un passage aisé des portes. Ils sont conformes à toutes les exigences en matière de sécurité et de santé de la directive Europe «MACHINES» – 2006/42/CE, et sont approuvés par rapports de conformité du bureau Véritas et certifications CE. EDMAPLAC CABLE, lève plaque à treuil – Référence : 268655 Prix de vente maximum conseillé : 540 € HT EDMAPLAC 450, lève plaque à crémaillère – Référence : 267355 Prix de vente maximum conseillé : 780 € HT Ces produits sont disponibles dans tous les points de vente spécialistes de l’outillage pour les plaquistes. À propos d’EDMA – Depuis plus de 80 ans, EDMA fabrique et commercialise des outils destinés aux professionnels du second œuvre du bâtiment et aux bricoleurs avertis. Des gammes complètes de produits innovants et très qualitatifs sont ainsi proposées aux Carreleurs, Plaquistes, Peintres, Maçons, Couvreurs, Façadiers, Soliers et Paysagistes pour leur apporter de vraies solutions de gain de temps et d’effort. EDMA exporte ses produits dans 66 pays et est présent sur les 5 continents.
Il y a 3 ans et 107 jours

Quel regard portent les français sur la maison individuelle et l'accès à la propriété ?

Chiffres clés de l’étude :80 % des sondés préfèreraient vivre en maison individuelle24% des répondants associent avant tout la propriété immobilière à un privilège, 11% à un endettement, 9% à un signe de richesse ;60% pensent la propriété immobilière réservée à l’élite ;80% considèrent que l’accès à la propriété devrait davantage être encouragé par des aides financières de l’État ;Seuls 14% pensent que la maison individuelle à des conséquences négatives sur l’environnement et la biodiversité (par rapport au fait de vivre en logement collectif).71% sont prêts à avoir une maison individuelle sur un terrain plus petit pour limiter l'étalement urbainL'accès à la propriétéLa propriété immobilière aux yeux du grand public est une garantie de sécurité et un sentiment de réussite... qui reste toutefois limitée à la capacité d'investissement.Pour les Français, le logement tient une bonne place comme critère d’une bonne qualité de vie, après être en bonne santé (72%), être bien entourés (47%). Ils sont en effet 34% à choisir comme critère déterminant pour une bonne qualité de vie de « se sentir bien chez soi ».La propriété immobilière est perçue comme une forme de sécurité (57%) et d'investissement (51%). D'ailleurs, un large consensus se fait jour autour de l'affirmation « la propriété immobilière est une bonne façon de sécuriser son avenir » (88%).Le fait qu'elle soit « synonyme d'accomplissement » est également tout à fait reconnu (81% des Français adhèrent à cette idée).Pour autant, une partie des Français questionne sa capacité à accéder à la propriété puisque 60% déclarent « qu'elle sera bientôt réservée à une élite » et un quart l'associe avant tout à un privilège (24%). En conséquence de quoi, 8 Français sur 10 considèrent qu'elle devrait être davantage encouragée par des aides de l'État.L'attrait pour les maisons individuellesLes Français font montre d'une préférence particulièrement prononcée pour vivre en maison individuelle (80%) plutôt qu'en appartement (20%) et notamment ceux issus des communes rurales (94%), vivant dans un foyer de 3 personnes et plus (86%) et ayant des enfants de moins de 14 ans (87%).La vie en maison individuelle présente comme premier bénéfice le fait de « profiter d'un jardin » pour presque un tiers des sondés (28%). La liberté (absence de copropriété, moins de nuisance des voisins, etc.) et la tranquillité qu'elle offre sont des atouts bien identifiés également (respectivement 22% et 21%).Seuls 52% des Français ont le sentiment que la vie en maison individuelle a des répercussions sur l’environnement et la biodiversité, et pour la plupart d’entre eux les conséquences sont positives. Au final en effet, seuls 14% des Français entrevoient des répercussions négatives.Focus sur l'étalement urbainLa maison individuelle demeurant le modèle d'habitation idéale des Français (80% vs 20% pour l'appartement), seul un tiers d'entre eux pourrait y renoncer pour limiter l'agrandissement des villes (30%).Toutefois, dans l'optique de réduire l'étalement urbain, les personnes interrogées soutiendraient certaines actions des pouvoirs publics et notamment l'encouragement à la construction de maison sur des petits terrains (71%). Comparativement, l'incitation à la construction de maisons mitoyennes (qui nécessitent moins de surface de terrain) et à l'accès à la propriété pour les logements collectifs plutôt que les logements individuels partagent beaucoup plus les interviewés (55% dans les deux cas).Assez logiquement, la hiérarchie des concessions individuelles les plus envisageables pour limiter l'étalement urbain est similaire : le fait de construire sur un terrain plus petit serait accepté par 7 Français sur 10 (71%) mais bien moins la vie dans une maison mitoyenne (50%).Ainsi, conscients que la construction de maisons individuelles doit aussi tenir compte de la préservation des espaces naturels, 71% seraient susceptibles d'accepter la construction d'un autre logement à proximité de chez eux pour limiter l'étalement urbain.Toutefois, si 65% l'acceptent pour une maison, seuls 20% le toléreraient s'il s'agissait d'un immeuble.Relevons enfin que les différentes concessions admises pour limiter l'étalement urbain sont corrélées à l'âge et au niveau de vie : les 18-24 ans et les ménages très modestes étant plus favorables au compromis que les autres.
Il y a 3 ans et 107 jours

Vaucluse : poursuite des travaux de réhabilitation du tribunal de Carpentras

La dernière phase du chantier du tribunal de Carpentras concerne le rez-de-chaussée, l’escalier monumental et la cour extérieure. Elle se poursuivra jusqu’en novembre 2022.
Il y a 3 ans et 108 jours

Un programme CEE pour la rénovation performante d'une maison

LANCEMENT. Un dispositif financé par les certificats d'économie d'énergie (CEE), porté par cinq acteurs du secteur, vise à faciliter la rénovation énergétique efficace des maisons individuelles.
Il y a 3 ans et 108 jours

Valérie Gourvès, nouvelle directrice opérationnelle du CSTB

Portrait de Valérie Gourvès, nouvelle directrice opérationnelle sécurité, structures et feu du CSTB [© Raphaël Dautigny] Le CSTB annonce la nomination de Valérie Gourvès au poste de directrice opérationnelle sécurité, structures et feu. Ingénieure chimiste de formation, Valérie Gourvès intègre une équipe qui regroupe une centaine de chercheurs, d’ingénieurs et de techniciens. Forte de son expérience, elle souhaite contribuer aux enjeux clefs pour la filière. Et plus largement, à l’intérêt général. La direction opérationnelle sécurité, structures et feu a pour mission d’évaluer les risques liés à la sécurité incendie, des personnes et des structures. De plus, le CSTB doit faire face aux défis environnementaux et démographiques. Le service se mobilise, afin d’accompagner et de répondre à ces problématiques. « La direction opérationnelle sécurité, structures et feu travaille sur des enjeux fondamentaux de la construction, notamment la maîtrise des risques. Et contribue à faire progresser les connaissances au service de la filière », témoigne Valérie Gourvès. De ce fait, l’évaluation d’un matériau pour son aptitude en structure ne peut plus se faire sans penser aux défis environnementaux. Son parcours Diplômée de l’Ecole nationale supérieure de chimie de Montpellier et de l’Institut d’administration des entreprises de Paris, Valérie Gourvès débute sa carrière, en 1990, en tant qu’assistante chimiste pour Kodak. Elle devient ensuite ingénieure recherche et développement chez Colart, grand fournisseur de matériaux d’art. En 1996, Valérie Gourvès intègre le Centre technique du bois et ameublement (CTBA) au poste d’ingénieure conseil en veille technologique. Le centre devenu FCBA, Valérie Gourvès est nommée, en 2003, responsable laboratoire. Elle évoluera sur plusieurs activités. Elle a, entre autres, piloté le laboratoire d’essais de réaction au feu. Valérie Gourvès a ensuite pris la direction de l’unité certification. Et enfin, la direction du pôle multi-activités “Ameublement et aménagement des espaces de vie”. Arrivée au CSTB en novembre 2021, Valérie Gourvès se dit « ravie de prendre la direction d’une très belle équipe, qui rassemble des compétences riches et témoigne d’un engagement fort au service de nos clients et partenaires ».
Il y a 3 ans et 108 jours

Bientôt une intelligence artificielle pour aider à la rénovation énergétique

Baptisé Prioréno, le service, qui sera accessible en ligne à partir du deuxième trimestre 2022, fonctionne avec les données de consommation énergétique de "la quasi totalité des 500.000 bâtiments publics de France", fournies par les gestionnaires du réseau électrique Enedis et gazier GRDF, partenaires de l'initiative.Un algorithme se charge d'analyser ces données ainsi que d'autres fournies par l'Etat, comme les fichiers fonciers ou des bases de données topographiques. Les collectivités pourront ainsi connaître la consommation de leurs bâtiments et savoir lesquels sont à rénover en priorité pour faire le plus d'économies d'énergie.Il leur sera également possible de filtrer les bâtiments en fonction de leur usage, par exemple pour viser les seuls établissements scolaires, ou de déterminer leur potentiel photovoltaïque.Le dispositif a déjà été expérimenté par une soixantaine de collectivités."Prioréno est une réelle chance pour les collectivités locales, particulièrement dans les territoires ruraux où l'ingénierie territoriale est, naturellement, moins développée", déclare le secrétaire d'Etat à la Ruralité Joël Giraud, cité dans le communiqué.L'outil "permettra d'accélérer la rénovation énergétique des bâtiments des collectivités", espère la ministre déléguée au Logement, Emmanuelle Wargon.Le service pourra être étendu à d'autres usages, précise le communiqué, comme le logement social, ou ouvert à d'autres gestionnaires de réseaux de distribution énergétique.
Il y a 3 ans et 108 jours

Les Elles du patrimoine

Mercredi 9 mars 2022 aura lieu le lancement des podcasts intitulés « Les Elles du patrimoine » réalisés dans le cadre du label égalité/diversité de la Direction régionale des affaires culturelles Hauts-de-France et de la mise en place d’un plan d’action égalité professionnelle entre les hommes et les femmes. Ils traitent du Matrimoine en DRAC et de la question de sa transmission. D’une durée de 10 à 15 minutes, ils ont trois objectifs principaux : développer la visibilité des femmes dans les métiers du patrimoine ; mettre en valeur des femmes qui œuvrent dans le domaine du Patrimoine au sein de la Drac et porter la voix de modèles inspirants et ainsi, mieux faire connaître ces métiers du patrimoine plus largement aux publics et aux jeunes filles notamment. Le lancement des podcasts, suivi d’une rencontre-débat autour de ces thématiques auront lieu mercredi 9 mars prochain de 10h à 11h, en présence de Mme Hindati Simpara, directrice régionale aux droits des femmes et à l’égalité et de M Hilaire Multon, directeur régional des affaires culturelles Hauts-de-France.
Il y a 3 ans et 108 jours

Les louis d’or bretons entrent dans les collections publiques

Découvert fortuitement en 2019 par trois ouvriers dans un bâtiment attenant à un manoir à Plozévet, un dépôt monétaire de 239 monnaies d’or datant des règnes de Louis XIII et Louis XIV entre en partie dans les collections de l’hôtel de la Monnaie à Paris. Il était réparti dans deux caches découvertes à quelques jours d’intervalle. La première était dissimulée dans la maçonnerie et comprenait 153 monnaies contenues dans deux boîtes en alliage cuivreux (étuis à lunettes). La seconde se trouvait dans une sablière haute du pignon du même bâtiment et contenait 86 monnaies dans une bourse. Le dépôt contient deux écus d’or frappés au marteau sous Louis XIII. Toutes les autres pièces sont des louis d’or frappés au balancier dans différents ateliers du Royaume. Les louis d’or ont été frappés à partir de 1640. Ces pièces sont remarquables car elles ont été frappées au balancier, c’est-à-dire avec un procédé mécanisé qui a remplacé la frappe manuelle au marteau qui était utilisée depuis le Moyen Âge pour fabriquer les pièces. A l’époque la fabrication monétaire n’était pas centralisée. On trouve ainsi des pièces frappées dans les ateliers de Paris, Poitiers, Limoges, Toulouse, Dijon, Reims, Rennes, Rouen, Bourges, Troyes, Aix, ou encore Amiens. Huit ateliers différents sont représentés ainsi que quelques raretés parmi les monnaies découvertes à Plozévet. Le dépôt aurait été dissimulé courant 1692 ou au début de 1693. Sa composition permet d’identifier la stratégie de thésaurisation de son propriétaire marquée par une spéculation sur les anciennes monnaies et une nette défiance à l’égard des monnaies « réformées ». Compte tenu de la date d’acquisition de l’immeuble où elles ont été découvertes, les monnaies du dépôt appartiennent pour moitié aux propriétaires du terrain, l’autre moitié revenant aux inventeurs (Article 716 du Code Civil). Ils ont décidé de vendre les monnaies aux enchères en passant par une maison de vente à Angers. Lors de la vente réalisée le 29 septembre 2021,19 monnaies ont été préemptées par le musée de la Monnaie de Paris qui a également bénéficié du don des deux contenants du dépôt par les propriétaires. Contenants et monnaies sont exposés dans la salle principale du musée de la Monnaie dans une vitrine d’exception. Une publication de ce dépôt monétaire, dont la composition est assez rare, est prévue par Thibault Cardon, chargé de recherche au CNRS, avec la contribution des archéologues de l’INRAP qui, par leurs recherches, permettront de le resituer dans son contexte historique.   Photo : présentation officielle des monnaies préemptées par le musée de la Monnaie de Paris © Monnaie de Paris  
Il y a 3 ans et 108 jours

Restauration de la cathédrale de Valence

Bâtie au XIIe siècle et en partie reconstruite au XVIIe siècle, la cathédrale de Valence a conservé ses formes romanes. Cet aspect préservé a subi plusieurs campagnes de restaurations, assez lourdes, au cours des XIXe et XXe siècles pour compenser une faiblesse de l’édifice étroitement liée à son matériau de construction : la pierre de Châteauneuf‐sur‐Isère (la molasse), employée à l’origine sur l’ensemble de la construction. Cette pierre étant particulièrement sujette à l’altération, les interventions des deux siècles précédents ont préféré remplacer les blocs « malades » par du calcaire, plus claire que la molasse. Les façades sont alors passées d’un aspect monochrome à un aspect composite, sans régler le problème de la conservation de la pierre d’origine. L’édifice ne souffre pas de problèmes de stabilité. La dégradation des parements et moulurations est parfois tellement forte que les pertes de matière sont très importantes. Les contreforts en molasse et la galerie d’arcatures aveugles couronnant le haut de la nef sont les parties les plus lourdement érodées. La coexistence des pierres en molasse et des greffes en calcaire ou en grès n’est pas un facteur aggravant des pathologies. C’est principalement la différence de nu qui, créant des zones de rétention d’eau, accentue le processus. En 1997, Allain Tillier avait proposé la création de solins de mortier pour assurer l’interface entre la molasse abimée et les greffes. Cette solution conservatoire s’est montrée efficace et durable. La première phase du chantier débutera par la restauration des façades sud et nord. Le parti de restauration sera double, d’abord conserver un maximum de matière d’origine par la consolidation des parements de molasse en place par application d’un produit durcissseur reminéralisant. Des solins seront réalisés pour gérer l’écoulement des eaux entre les blocs sains et les blocs fortement desquamés. Certains parements en molasse, trop altérés seront remplacé par du grès des Vosges, cette pierre est parfaitement compatible puisque ses propriétés sont proches de celles de la molasse. Ensuite, redonner de la cohérence historique aux élévations en harmonisant les greffes de calcaire aux parements anciens en molasse. « Ce traitement permettra à la fois d’intégrer les surfaces trop lisses du calcaire aux surfaces irrégulières de la molasse mais aussi de garantir une meilleure accroche de l’eau‐forte d’harmonisation ». En complément, les verrières, les menuiseries et les systèmes de gestion des eaux pluviales seront restaurés. Les vitraux feront l’objet d’une restauration légère ils seront déposés et nettoyés en atelier. Leur repose sera associée avec la pose de raquettes de protection en laiton. Les couvertures en tuiles canal seront ressuivies, notamment côté nord. La couverture en plomb de la tourelle côté place des Clercs sera restaurée en totalité. Montant de l’opération Le montant total des travaux s’élève à 2 281 489 € HT est financé à 100% par l’Etat dans le cadre du plan cathédrales Durée du chantier de restauration des façades : 16 mois Maîtrise d’ouvrage : Direction régionale des affaires culturelles Auvergne-Rhône-Alpes – Conservation régionale des monuments historiques Maîtrise d’œuvre : Michel Trubert, architecte en chef des monuments historiques Les entreprises Maçonnerie- Pierre de Taille : Vivian et Cie Menuiserie-Bois : sarl Sud France Vitraux : Thomas Vitraux Source : Drac Auvergne-Rhône-Alpes Photo : Drac Auvergne-Rhône-Alpes – Claude Niski
Il y a 3 ans et 108 jours

Les grandes ambitions de Bosch Thermotechnologie en pompes à chaleur et climatisation

Pompes à chaleur, climatisation à détente directe en tertiaire, en maison individuelle et en logement collectif, préparation de l’après-gaz naturel, … voici les objectifs de Bosch Thermotechnologie.
Il y a 3 ans et 108 jours

Tracktor lève 12 millions d’euros pour simplifier la location de matériel de chantier partout en France et en Europe

La startup souhaite continuer à investir massivement pour offrir la meilleure expérience client du marché, devenir le standard de la location en France et étendre son réseau de loueurs en Europe.Lancée en 2017 par deux ingénieurs experts du secteur, TRACKTOR digitalise l’activité de location des PME du BTP et de l’industrie. La plateforme permet aux professionnels de s’affranchir de toutes les contraintes de la location traditionnelle : ils accèdent instantanément aux prix déjà négociés de plus de 400 loueurs partout en France. Toutes leurs locations sont centralisées dans un outil unique qui leur donne plus de visibilité pour optimiser leurs dépenses.Tracktor a déjà conquis plus de 3.500 entreprises des secteurs de la construction et de l’industrie, à qui elle permet de louer du matériel en 3 clics, quel que soit leur besoin, leur faisant ainsi gagner jusqu’à 3h sur la gestion de chaque location. L’entreprise, qui connaît une forte croissance, souhaite en 2022 multiplier par trois le volume d’affaires réalisé en 2021.Cette nouvelle levée de fonds va permettre à Tracktor de recruter de nouveaux talents pour doubler ses effectifs d’ici la fin de l’année. L’entreprise a pour ambition d’offrir la meilleure expérience client du marché en investissant massivement dans sa technologie et le développement de son produit : une application mobile viendra intégrer les besoins de ses clients sur le terrain, et un outil de gestion permettra de centraliser 100% de l’activité de location et de dématérialiser les flux internes des PME. Le deuxième enjeu sera de développer sa notoriété pour devenir le standard du secteur en France et de préparer son expansion en Europe dès 2023.Les nouveaux investisseurs ont apprécié cette proposition de valeur unique sur un marché de la location de matériel de chantier en très forte croissance et encore très peu digitalisé qui pèse plus de 5 milliards d’euros en France et 30 milliards d’euros en Europe (et plus de 70 milliards d’euros en Europe d’ici 10 ans).Pour Idir Ait Si Amer, co-fondateur de Tracktor : « Nous avons choisi AXA Venture Partners et Bpifrance car nous partageons une vision et une ambition communes : nous souhaitons devenir le 1-stop shop de la location de matériel de chantier en offrant la meilleure expérience client du secteur grâce à la Tech. »Pour François Robinet, Managing Partner d'AXA Venture Partners : « La crise du Covid a été un catalyseur pour l'adoption de solutions digitales notamment pour les particuliers mais aussi pour les entreprises. Nous pensons que les années qui viennent verront l'avènement d'un grand nombre de marketplaces BtoB. Dans cette optique et en établissant une véritable place de marché dédiée à la location de matériels, Tracktor peut profondément transformer le marché pour l'industrie du BTP. Nous avons été convaincus par cette vision portée par Idir et Julien et pensons qu’ils sauront la mettre en œuvre en France et à l'étranger. »Pour Victoire Millerand, Directrice d’investissements, et Claire Castel, Chargée d’investissements sénior au sein du pôle Digital Venture de Bpifrance : « Nous sommes convaincus de la pertinence de la proposition de valeur de Tracktor et de leur capacité à transformer fortement ce marché vaste et peu digitalisé à ce jour. Nous sommes ravis d’accompagner cette équipe de qualité dans la prochaine étape de son développement. »
Il y a 3 ans et 108 jours

L'éclairage architectural Delta Light au cœur d'un espace de travail d'architectes

Le cabinet w : Architeckten s'est lancé pour objectif de construire son propre univers de travail dans lequel les employés partagent un environnement ouvert et aéré, laissant place à la convivialité et la collaboration. Entre des matériaux bruts et un intérieur baigné de lumière naturelle, les différentes gammes de luminaires apportent la touche finale de modernité au bâtiment. Des espaces ouverts délimités par la lumièreAu sein du bureau d'architecture, la sensation de grandeur de l'espace central est renforcée grâce à une façade Ouest complètement vitrée et l'absence de frontières entre les bureaux. En harmonie avec la lumière naturelle traversante, des plafonniers Delta Light subliment l'étage ainsi que le toit à double pente, typique de la région. Les luminaires délimitent les espaces en se concentrant sur les postes de travail, et apportent une lumière chaleureuse et conviviale. Les matériaux mis en lumièreDes projecteurs éclairent les couloirs, les galeries et les escaliers et diffusent la lumière en se reflétant contre les parois de béton, de vitre et de bois. L'objectif est d'embellir les matériaux et de réchauffer la froideur du béton brut tout en apportant une atmosphère plus enveloppante. Le toit plat offre un accès à la terrasse extérieure dont les lattes en bois verticales sont révélées après le coucher du soleil grâce à des projecteurs extérieurs fixés au niveau du sol.
Il y a 3 ans et 108 jours

Un budget de 9,58 millions d’euros est alloué aux grands projets 2022 de Colomiers en Haute-Garonne

La ville de Colomiers aborde 2022 avec des projets ambitieux et consacre près de 9,6 millions d’euros à ses grands chantiers.
Il y a 3 ans et 108 jours

Vinci Autoroutes met en service 53 points de recharge électrique rapide et ultra-rapide sur son réseau

Ces dernières semaines, 53 points de recharge supplémentaires ont été mis en service - dont 38 ultra-rapides - sur 11 aires, ainsi que sur le parking de covoiturage d’Orléans Nord. Gérées et exploitées par VINCI Autoroutes ou par ses partenaires commerciaux, ces nouvelles bornes, disponibles 24h/7j, sont compatibles avec tous types de véhicules. Elles viennent densifier le maillage du réseau VINCI Autoroutes qui, avec 348 points de recharge en service sur 99 aires, est aujourd’hui le réseau autoroutier le mieux équipé en France. L’ensemble de ces nouveaux points de recharge sont géolocalisés sur l’application Ulys, qui recense aujourd’hui plus de 33 000 bornes en France. Le paiement de la recharge est possible à l’acte.Des stations de recharge en service sur près des deux tiers des aires de services du réseau VINCI AutoroutesPoursuivant le déploiement de bornes électriques sur son réseau, VINCI Autoroutes a mis en service, depuis la fin de l’année 2021, 53 nouveaux points de charge, répartis sur les 12 sites suivants :sur le pourtour méditerranéen :sur l’A7 : Lançon-de-Provence Est et Ouest (dont 4 points ultra-rapides) ainsi que Sorgues (dont 6 points ultra-rapides, > 150 kW) ;sur l’A9 : Narbonne Vinassan-Nord (dont 6 points ultra-rapides) ainsi que Béziers Montblanc Sud et Nord (avec une borne de 50 kW chacune) ;sur l’A10, en direction de la façade atlantique : Poitou-Charentes Nord (dont 4 points ultra-rapides) ainsi que Val Neuvy (une borne de 50 kW). A ces aires s’ajoute le parking de covoiturage d’Orléans Nord, qui dispose notamment de 6 points ultra-rapides ;en région Centre-Val de Loire (A71) : Bourges Sainte-Thorette (dont deux ultra-rapides) et Chaumont-sur-Tharonne (une borne de 50 kW) ;l’aire de la Bruche, sur le nouveau Contournement Ouest de Strasbourg, avec notamment 6 points de charge ultra-rapides.Chacune des stations électriques propose a minima un point de recharge universel avec trois connecteurs (type 2, combo 2 et CHAdeMO) adaptés à tous les véhicules – afin de recharger tous les types de véhicules électriques actuellement en circulation. Disponibles 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, elles proposent une assistance téléphonique pour accompagner les utilisateurs qui en auraient besoin.Le paiement se fait, au choix, soit par carte prépayée ou badge via l’un des principaux opérateurs de mobilité offrant des abonnements en France ou en Europe, soit à l’acte, par carte bleue pour les bornes affichant le logo VINCI Autoroutes, ou par smartphone pour les bornes des partenaires présents sur les aires.Une nouvelle étape dans la densification du maillage électrique sur le réseau VINCI AutoroutesLe réseau de bornes de recharge est déployé en lien avec les opérateurs spécialisés et les enseignes commerciales des aires. Il offre à date 348 points de recharge installés sur 99 aires de services (soit près de 6 aires sur 10 d’ores et déjà équipées). VINCI Autoroutes s’est fixé pour objectif d’équiper 100% des aires de services de son réseau d’ici 2023.L’installation de ces nouvelles bornes illustre la volonté de VINCI Autoroutes de contribuer activement à la décarbonation des usages de la route afin de réduire l’empreinte carbone du secteur des transports. En multipliant le nombre de bornes de recharge présentes sur son réseau, VINCI Autoroutes souhaite apporter un service de qualité aux automobilistes ayant opté – ou souhaitant le faire - pour l’électrique, tant pour les déplacements urbains que pour les trajets de moyenne et longue distance.
Il y a 3 ans et 108 jours

Achat d’un habitat léger : quelles sont les garanties ?

Si suite à l’achat d’un habitat léger son propriétaire constate l’apparition d’un défaut, quelles sont les garanties dont il bénéficie pour pouvoir se retourner contre le vendeur ? Dans cette partie nous allons explorer les différentes options existantes : les garanties du droit de la construction, la garantie des vices cachés et la garantie légale […]
Il y a 3 ans et 108 jours

Projet "Grand Stade" : la Fédération de rugby condamnée à payer 150.000 euros

Dans sa décision, le tribunal a considéré "que la résiliation du contrat de promotion immobilière pour la construction du Grand Stade avant la fin de la seconde phase était prématurée et que la FFR a rompu le contrat au cours d'une phase et non après l'achèvement de cette phase", a indiqué à l'AFP une source judiciaire.La FFR a été reconnue coupable d'avoir réalisé une "résiliation fautive" du contrat avec le consortium selon cette source, précisant que le "surplus des demandes a été rejeté".La Fédération devra acquitter la somme de 150.000 euros au titre du "préjudice" du fait de cette résiliation avec Ibelys, qui avait réclamé devant le tribunal plus de 16 millions d'euros en guise de réparation, a expliqué à l'AFP Alexandre Martinez, le trésorier général de la Fédération.Dans ce dossier, la FFR, dont le président Bernard Laporte avait fait de l'abandon de ce projet de "Grand Stade" l'une de ses promesses de campagne, a déjà été condamnée à verser 3,36 millions d'euros à la communauté d'agglomération Paris Sud Seine-Essonne-Sénart, en juillet 2020.La Fédération avait fait appel de la décision dans cette affaire qui, pour l'instant, n'a pas été été à nouveau examinée par la justice.Le projet de "Grand Stade", sur le territoire des communes de Ris-Orangis et Bondoufle (Essonne), avait été abandonné par Bernard Laporte dès son élection à la présidence de la FFR en décembre 2016.Quant à la décision du tribunal d'Evry, notifiée aux parties jeudi, "nous n'avons pas encore décidé si nous allons faire appel", a encore souligné vendredi M. Martinez, mais "la probabilité est assez faible".Elle constitue "une excellente nouvelle et démontre que notre approche était pertinente", étant donné que le total des sommes réclamées à la FFR pour rupture de contrat dépassait les 50 millions d'euros et qu'au final la Fédération n'a été condamnée à verser "que 3,5 millions environ", a ajouté son trésorier général : "C'est toujours trop mais ça aurait pu être bien plus".D'une capacité prévue de 82.000 places, le Grand Stade, appelé à devenir le phare du rugby français et initié par l'ex-président de la FFR Pierre Camou, avait un coût estimé à 581 millions d'euros."Maintenant que l'on connaît l'épilogue de cette affaire, côté Fédération en tous les cas, cette décision (d'abandon du projet) a eu des conséquences extrêmement positives pour les clubs et le rugby français en règle général : ça nous a libéré des contraintes financières qui (nous) pesaient dessus et ça nous donne de fait une vraie marge de manœuvre en terme de gestion financière", a conclu le dirigeant.
Il y a 3 ans et 108 jours

Le financement de la LGV Bordeaux-Toulouse est officiellement bouclé

"Les 24 collectivités ont validé l'ensemble du plan de financement", a précisé samedi la préfecture à l'AFP, ajoutant que "maintenant la société de financement va pouvoir se créer".La création de cette société doit intervenir avant le 23 avril, date fixée par la loi d'orientation des mobilités (LOM), avait rappelé vendredi dans un communiqué le préfet coordinateur du projet et préfet d'Occitanie Étienne Guyot.Selon la région Nouvelle-Aquitaine, ce plan de financement, très critiqué localement par les élus écologistes et une dizaine d'associations environnementales opposés au projet, doit être transmis le 22 février au Conseil d'État, avant un examen en Conseil des ministres en mars."Désormais, tous les voyants sont au vert pour avancer concrètement vers la création de la société de projet d'ici avril, dans la perspective de démarrer les travaux en 2024 comme le Premier ministre (Jean Castex) vient de s'y engager", a estimé samedi la présidente de la région Occitanie, Carole Delga.Le coût du projet de LGV est estimé à 14,3 milliards d'euros, avec un financement prévu à 40% par l'État, 40% par des collectivités locales d'Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine et 20% par l'Union européenne.Si les collectivités d'Occitanie s'étaient rapidement mises d'accord pour réunir 2,2 milliards d'euros de contributions nettes, celles de Nouvelle-Aquitaine ont tardé à rassembler l'ensemble du 1,7 milliard d'euros demandé.Début février, la région avait débloqué une contribution supplémentaire de 225,6 millions d'euros pour pallier les refus de la communauté d'agglomération Pays basque et des départements de Lot-et-Garonne et de Gironde de participer au projet, tandis que les Pyrénées-Atlantiques et l'agglomération de Dax ont engagé une participation plus faible qu'attendu.Actuellement, le Paris-Bordeaux (550 km) en TGV se fait en deux heures environ, et le trajet Bordeaux-Toulouse (240 km) dure également deux heures. Ce dernier serait divisé par deux avec la prolongation de la LGV.La deuxième phase du Grand projet du Sud-Ouest (GPSO) prévoit une extension de la ligne LGV du sud de la Gironde vers Dax, dans les Landes.Le 16 février, l'agglomération de Dax avait été la dernière à décider, deux mois après un premier refus, de cofinancer le projet.Les élus dacquois ont validé une participation directe de 12,8 millions d'euros, soit 10 millions de moins que ce qui leur était initialement demandé.
Il y a 3 ans et 108 jours

Quelle que soit la durée du chantier, les sanitaires sont obligatoires

Les professionnels du secteur des sanitaires mobiles alertent leurs clients du risque de sanctions financières qu'ils encourent dans un communiqué du 16 février.
Il y a 3 ans et 108 jours

Balcon effondré d'Angers : l'entreprise de gros oeuvre reconnaît une "faute"

PROCÈS. Celui qui était à l'époque gérant de l'entreprise de gros oeuvre ayant réalisé les travaux du bâtiment dont le balcon s'est effondré, à Angers, en 2016, a reconnu une "faute" commise par ses équipes.
Il y a 3 ans et 108 jours

Castorama se lance dans le reconditionnement de produits

ÉCONOMIE CIRCULAIRE. L'enseigne de bricolage, Castorama, a noué un partenariat avec la plateforme de vente de produits reconditionnés, Back Market, afin de pouvoir y vendre des produits remis en état.
Il y a 3 ans et 108 jours

Accidents graves sur les chantiers : le secrétaire d'Etat prend la défense de la Solidéo

SECURITE. Le secrétaire d'État à la Santé au travail, Laurent Pietraszewski, a assuré que les exigences de sécurité au travail étaient bien respectées dans le cadre des chantiers des Jeux olympiques 2024, sous maîtrise d'ouvrage de la Solidéo.
Il y a 3 ans et 108 jours

Transition : "Nous avons des solutions de grande valeur à faire valoir", F. Petry

PRÉSIDENTIELLE 2022. La transition écologique et la lutte contre le réchauffement climatique constituent de nouvelles opportunités pour les industriels du béton, qui assurent que leurs produits ont une carte à jouer. Le président de la Filière Béton, François Petry, détaille à Batiactu les propositions formulées par le secteur aux candidats à l'élection présidentielle dans différents domaines : construction neuve, urbanisme, commande publique...
Il y a 3 ans et 108 jours

2021, une année au top pour Schneider Electric

RÉSULTATS. Le spécialiste des équipements et solutions pour l'énergie, Schneider Electric, annonce une année 2021 record avec de nombreux résultats à "leurs plus hauts niveaux historiques".
Il y a 3 ans et 108 jours

Miroir, ô mon beau miroir, dis-moi qui est la plus belle ?

Chaque année depuis douze ans, le classement par chiffres d’affaires des agences d’architecture françaises publié par le magazine D’A. donne le pouls de la profession. Il n’y a plus qu’à écouter ce qu’il dit de la santé des agences en 2021. Chaque année, le magazine D’Architectures gratifie la profession d’un classement pour le moins pragmatique. […] L’article Miroir, ô mon beau miroir, dis-moi qui est la plus belle ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 108 jours

Fibre optique : union de Kosc et Covage autour du marché entreprises

RÉSEAUX. Kosc Télécom se rapproche de Covage pour former un nouveau pôle d'activité au sein du groupe Altitude, autour des offres de gros sur le marché de la fibre pour les entreprises. Avec un objectif ambitieux en ligne de mire.
Il y a 3 ans et 108 jours

Les professionnels de la rénovation énergétique alertent le gouvernement sur les conséquences dramatiques de l’arrêt des aides

Une situation inquiétante...Un an plus tard le constat est préoccupant, selon la lettre ouverte du Symbiote adressée au gouvernement le 22 février : Les chantiers de rénovation de l'isolation de combles, de murs, de planchers, ainsi que des mises en places d'équipements performants ont diminué de 80%.Les rénovations performantes en application avec la fiche BAR-TH 164 sont inexistantes.Des licenciements massifs se produisent, accompagnés de fermetures des entreprises depuis les 6 derniers mois avec une estimation d'environ 13 000 pertes d'emplois.Les ventes d'isolants et d'équipements subissent également une baisse de l'ordre de 50% malgré les investissements des industriels et le fait que l'industrie des produits d'isolation soit une industrie nationale et locale.Les particuliers semblent eux aussi dans l'incompréhension face à l'arrêt du dispositif d'aide pour la rénovation énergétique au moment où l'inflation des coûts d'énergie est particulièrement forte.... mais des solutions sont possibles pour sortir de la criseAfin de permettre la relance des travaux de rénovation, le syndicat demande donc :La mise en place d'un nouveau dispositif coup de pouce pour limiter l'effondrement complet des travaux d'isolation via un changement de méthode de calcul de la bonification et du forfait.Une augmentation de la bonification de la fiche BAR-TH 164.Une augmentation de 500TWh pour les CEE réalisés chez les ménages précaires.Un encadrement contrôlé pour éviter les dérives et les éco-délinquants.Pour lire la lettre ouverte du Symbiote, cliquez ici.
Il y a 3 ans et 108 jours

Zéro artificialisation nette : Jean Castex veut "rassurer" les élus

URBANISATION. Dans une circulaire publiée ces derniers jours, le Premier ministre indique aux préfets la marche à suivre pour rassurer et accompagner les élus dans la territorialisation des objectifs de réduction de la consommation d'espaces naturels.
Il y a 3 ans et 108 jours

Ille-et-Vilaine : les travaux d’extension et de réfection du service restauration du lycée Bertrand-d’Argentré débutent à Vitré

Chiffré à 5,2 millions d’euros, le chantier d’agrandissement et de rénovation du lycée Bertrand-d’Argentré durera vingt-quatre mois.
Il y a 3 ans et 108 jours

Les maisons intelligentes : un atout pour l'indépendance des personnes âgées

Aujourd'hui, la technologie des capteurs intelligents est présente dans le monde entier dans les maisons intelligentes, les immeubles de bureaux, les systèmes modernes de contrôle des bâtiments et l'industrie 4.0. La mise en réseau d'équipements intelligents joue un rôle de plus en plus important, rendu possible par l'utilisation de données transmises par des capteurs. Ces données sont utilisées dans les bâtiments principalement pour économiser des coûts et de l'énergie. Mais dans les maisons intelligentes, l'accent est plutôt mis sur les besoins des habitants, sur le confort et la sécurité.L'assistance à l'autonomie à domicile appartient à cette dernière catégorie, car l'accent est davantage mis sur la sécurité, le confort et l'indépendance que sur l'efficacité et la réduction des coûts. Le vieillissement de la population dans les pays développés pose des défis majeurs au secteur de la santé. La population mondiale est de plus en plus âgée, les personnes ayant besoin de soins sont plus nombreuses, mais le personnel soignant disponible n'augmente pas dans la même proportion. En conséquence, les soins de santé pour les personnes âgées sont de plus en plus coûteux. Par ailleurs, de plus en plus de personnes âgées souhaitent rester le plus longtemps possible à leur domicile.Les technologies modernes peuvent contribuer à la mise en place de solutions adaptées. Les développements et les innovations dans les domaines de l'automatisation des bâtiments et de la maison intelligente peuvent apporter une contribution importante à cet égard. Les capteurs sans fil basées sur le standard radio EnOcean peuvent être facilement installées dans des infrastructures existantes et peuvent ainsi contribuer à améliorer la qualité de vie des personnes au quotidien, notamment lorsqu’elles sont entrées dans la vieillesse. Ces solutions peuvent également apporter un soutien, voire un soulagement, aux proches et au personnel soignant.Sécurité et confort à la maison - même à un âge avancéLes capteurs de mouvements dans les matelas et les chambres, les détecteurs de présence et de chute ou les boutons d'appel d'urgence et de commande simples à installer fournissent des informations importantes et nécessaires pour permettre de vivre en toute sécurité et confortablement chez soi, même à un âge avancé. Il est important que cette assistance s’intègre de façon transparente dans la vie quotidienne. Un autre aspect significatif est l'utilisation simple et intuitive des équipements, comparable aux applications des smartphones. La maison intelligente peut être la bonne solution pour cela. La commande intelligente de la lumière, du chauffage, des stores et d'autres appareils électriques augmente le confort de vie de toute la famille. Des aides pour les personnes âgées peuvent venir s'y ajouter facilement et de manière invisible. Il peut s'agir de capteurs qui enregistrent l'activité et le bien-être, par exemple. L'un des avantages est qu'ils ne fournissent une assistance qu'en cas de besoin et en cas d'urgence.Des systèmes radio adaptables en toute flexibilitéUne condition importante pour ces solutions est qu'elles puissent être facilement installées dans des environnements existants, tant à domicile que dans les établissements de soins. Cela permet aux personnes ayant besoin d'aide de vivre de manière aussi indépendante que possible dans leur environnement familier, et ce le plus longtemps possible. Ces solutions sont également avantageuses pour certains établissements de santé, mais si elles doivent être mises en place dans des installations existantes, les activités quotidiennes doivent être perturbées le moins possible. C'est pourquoi les systèmes câblés ne sont pas adaptés à ce cas de figure, car l'effort à fournir pour équiper chaque capteur d'un câble serait bien trop important. En outre, la flexibilité des solutions serait grandement altérée, car une fois installés, les capteurs seraient très difficiles à démonter et installer ailleurs. C’est pourquoi les systèmes sans fil ont clairement l'avantage : Sans être tributaires d’un quelconque câblage, les interrupteurs, les détecteurs de fumée, les capteurs de présence, de température, de qualité de l'air et de lumière ne nécessitent aucun entretien et peuvent être installés simplement là où ils sont vraiment nécessaires, même sur des meubles, des vitres ou des portes : par exemple, un détecteur de mouvement pour la commande de la lumière sur le cadre du lit ou un capteur tactile intégré dans le matelas pour la commande de la lumière et du chauffage, qui signale également si la personne âgée s'allonge de manière inhabituelle le matin ou quitte le lit de manière inattendue la nuit. En même temps, ces capteurs peuvent aussi être intégrés à tout moment dans des systèmes existants.Fonctionnement entièrement sans pilesDe nombreuses solutions qui fonctionnent sans alimentation électrique externe présentent un inconvénient majeur : des piles doivent générer l'énergie nécessaire aux interrupteurs et aux capteurs. Ceci a un impact négatif sur les coûts de maintenance d'une part et sur l'environnement d'autre part. Les piles doivent être contrôlées et remplacées régulièrement, ce qui est très coûteux avec un grand nombre de capteurs. L'élimination des piles pose également problème, car leur contenu toxique, nocif pour l’environnement, impose un traitement spécifique.La technologie EnOcean empreinte une voie radicalement différente : Les interrupteurs et capteurs sans fil captent et stockent l’énergie nécessaire à leur fonctionnement. Lorsqu'un interrupteur est actionné, le convertisseur d'énergie électromécanique situé à l'intérieur convertit le mouvement en énergie. Ce signal peut être utilisé pour allumer et éteindre des appareils ménagers et des lumières, par exemple. Les modules alimentés par de petites cellules photovoltaïques peuvent se contenter de faibles intensités lumineuses, ne dépassant pas 50 lux. Il peut s'agir de capteurs de température, de CO2 et de présence, par exemple, mais aussi de contacts fixés su des fenêtres ou de capteurs d'humidité. Toutefois, les capteurs peuvent également fonctionner sans piles si l'apport de lumière est trop faible : une différence de température de seulement deux degrés Celsius fournit suffisamment d'énergie pour actionner une vanne de chauffage autoalimentée.Une assistance automatisée au quotidienGrâce à leur fonctionnement par signal radio, ces solutions peuvent être adaptées progressivement à l'évolution des besoins. Les lumières peuvent être allumées et éteintes automatiquement grâce à des détecteurs de présence, et des contacts magnétiques sur les fenêtres et les portes permettent de baisser automatiquement le chauffage lorsque la fenêtre est ouverte ou lorsque tout le monde a quitté la maison. Lorsque les lieux sont inoccupés, tous les appareils électriques tels que la cuisinière et la machine à laver peuvent être éteints par sécurité.Alors que de nombreuses personnes âgées souhaitent rester dans leur environnement familier le plus longtemps possible, de nombreuses applications basées sur le standard radio EnOcean peuvent contribuer à faire de ce souhait une réalité.ConclusionAvec l'aide des technologies modernes, il est possible de rester indépendant même à un âge avancé. Parmi ces technologies, les capteurs autonomes et sans fil occupent une place de choix et prennent de plus en plus d'importance dans le secteur de l'assistance à l'autonomie à domicile, car ils offrent aux personnes âgées un degré élevé d'indépendance et de confort. Toutefois, cette forme d'assistance ne doit pas être imposée et ne doit pas porter atteinte à la vie privée des individus (comme les caméras). Les solutions basées sur des capteurs au standard radio EnOcean sont particulièrement adaptées à ce type d'application. Une fois installés et mis en service, ils fonctionnent sans aucune maintenance et fournissent des données fiables pour contrôler et surveiller l'état de santé des personnes ayant besoin d'aide. Tribune d'Emmanuel FRANCOIS, Sales Manager West Europe chez EnOcean GmbH (LinkedIn).
Il y a 3 ans et 108 jours

La commission des finances à l'Assemblée Nationale se penche sur le chèque énergie

Créé dans le but de remplacer les tarifs sociaux de l'énergie, le chèque énergie vise à lutter contre les effets de la précarité énergétique en offrant aux ménages modestes une aide au paiement de leurs factures d'énergie. Dans le rapport publié ce jour, la Cour des comptes dresse un ensemble de constats qui lui paraissent justifier la conduite d'une réflexion sur la nature réelle du dispositif : en ce sens, elle relève notamment que le seul critère retenu par les pouvoirs publics - le niveau de vie des membres des ménages - rend son ciblage peu performant. En outre, le fait que le chèque puisse financer tout type d'énergie va à l'encontre des objectifs climatiques de la France, puisqu'il aboutit à subventionner pareillement l'usage d'énergies carbonées et décarbonées. Au-delà d'une évolution paramétrique du chèque énergie et du renforcement de sa cohérence, la Cour propose trois scénarios possibles, en fonction d'une clarification des objectifs poursuivis. Le dispositif existant pourrait être simplifié et amélioré pour maintenir sa vocation sociale et le rendre plus accessible Dans le dispositif actuel, les tranches de revenus formant le barème du chèque ne prennent pas en compte l'évolution pluriannuelle du niveau des salaires en France, ce qui entraîne un risque de diminution mécanique du nombre de ménages relevant des premières tranches (et recevant un chèque de montant plus élevé). Par ailleurs, le taux d'usage (80 %) semble atteindre un plafond, malgré les efforts de promotion des pouvoirs publics et de leurs partenaires. La Cour relève également que les informations relatives aux bénéficiaires demeurent lacunaires, qu'il s'agisse de leurs caractéristiques sociodémographiques, des autres aides sociales qu'ils perçoivent, de leurs consommations énergétiques ou de l'usage qu'ils font du chèque énergie. Enfin, la possibilité d'utiliser le chèque énergie pour financer des travaux de rénovation énergétique n'a pas eu le succès escompté, avec moins de 900 bénéficiaires par campagne.L'ASP gère correctement le dispositif mais doit s'engager plus activement à dégager des économies de gestion Sous le pilotage du ministère de la transition écologique, la gestion du dispositif est assurée par l'Agence de services et de paiement (ASP), qui assure directement une partie de sa mise en œuvre opérationnelle. Alors que le nombre de bénéficiaires a considérablement augmenté depuis la création du chèque énergie, la Cour souligne que l'ASP a su s'adapter aux multiples changements en développant de nouveaux outils et services (dématérialisation, pré-affectation, etc.), et en renforçant l'assistance aux utilisateurs. S'agissant de la gestion budgétaire, elle a, en revanche, été moins satisfaisante lors des premières années d'existence du chèque énergie. La stabilisation du dispositif devrait permettre de dégager des économies supérieures à celles constatées actuellement.Le choix d'un critère simple pour son attribution a pour effet un ciblage imprécis des bénéficiaires Si le dispositif actuel fonctionne correctement, sa cohérence vis-à-vis de ses objectifs poursuivis soulève des interrogations. En retenant comme critère de mesure de la précarité énergétique le taux d'effort (la part des revenus consacrés aux dépenses énergétiques domestiques), il apparaît qu'environ 25 % des ménages en situation de précarité énergétique ne reçoivent pas le chèque énergie. En sens inverse, environ la moitié des ménages qui le reçoivent ne remplissent pas les conditions pour être considérés comme étant en situation de précarité énergétique. En outre, son montant est trop faible pour permettre de lutter efficacement contre cette précarité, et relègue sa fonction à celle d'une aide sociale de soutien au pouvoir d'achat des ménages disposant du niveau de vie le plus faible. La décision du Gouvernement, en septembre 2021, d'attribuer à tous ses bénéficiaires un chèque uniforme exceptionnel de 100 € renforce cette tendance. Enfin, le fait que le chèque puisse financer tout type d'énergie (carbonées et décarbonées) va à l'encontre des objectifs climatiques de la France.La clarification des objectifs pourrait guider la refondation de ce dispositif Pour la Cour, ces constats pourraient justifier d'engager une réflexion sur la nature réelle du chèque énergie afin de renforcer sa cohérence. Dans cette optique, elle propose au législateur de choisir entre les trois scénarios suivants : rendre cette aide libre d'emploi par les ménages, accompagner le maintien du dispositif actuel d'une hausse de la taxation du carbone, ou cibler les seuls ménages en situation de précarité énergétique - ce qui permettrait d'augmenter le montant de l'aide à coût global constant.
Il y a 3 ans et 108 jours

Val-d’Oise : le centre-ville d’Herblay-sur-Seine sera en travaux en mars 2022

Le chantier de réaménagement du centre-ville d’Herblay-sur-Seine est estimé à 6 millions d’euros.
Il y a 3 ans et 109 jours

Futur des entreprises et de leur lieu de travail : 2021 vs 2022, qu’est-ce qui a changé ?

En 2022, Génie des Lieux renouvelle cette enquête auprès de 3 512 personnes qui renforce certaines attitudes ou au contraire qui met en lumière de nouveaux comportements.81 % des entreprises veulent faire revenir leurs collaborateurs au bureau en 2022, elles étaient 77 % en 2021 ! Pas de télétravail dans des espaces de coworking pour 71 % d’entreprises en 2022 (67 % en 2021). 67 % ne prévoient toujours pas de consulter les salariés sur l’évolution du travail (61% en 2021). 57% des sociétés ne laisseront pas aux collaborateurs le choix de leur lieu de travail (52% en 2021).Les incontournables dans le futur qui sont renforcés :Une grande proportion de collaborateurs en télétravail : 72 % en 2022 (contre 64 % en 2021).La possibilité aux collaborateurs de travailler en tiers-lieux : 58 % (contre 61 % en 2021).Une surface de bureau réduite au minimum : 62 % (contre 57 % en 2021).La bonne question à se poser : le retour au bureau oui, mais pour quoi faire ?Pour Romain Millet, Ergonome, directeur New Ways of Working chez Génie des Lieux : « Cette enquête met en évidence les grandes questions des entreprises que nous accompagnons. Le retour au bureau est le sujet principal, mais la question primordiale est : « pour y faire quoi ? ». Car oui, le télétravail a fait son entrée fracassante avec la crise sanitaire et il est aujourd'hui une caractéristique essentielle de la situation. Nous sommes passés de l'adaptation forcée à l'anticipation pour demain. Le Future of Work est bien la question qui taraude les entreprises. Elles sont en demande d'une expertise pour établir une analyse poussée de leurs activités et penser à la meilleure organisation pour un modèle hybride. C'est seulement après ce travail introspectif que l'on pourra adapter les aménagements et les outils à ces nouveaux modes de travail, et cela clairement, au service de la performance du collectif. »2022 : Une adaptation à la crise sanitaire bien meilleure qu’en 2021 Depuis le début de la crise sanitaire, les entreprises françaises ont pu opérer de nombreux changements. Ainsi, en 2021, 41 % des Français estimaient que leur société s’était « moyennement » adaptée à la situation et seulement 28 % que celle-ci était « bonne ». En 2022, il semble que les entreprises se sont bien améliorées puisque 37 % estiment que l’adaptation de leur entreprise est « bonne », 14 % « très bonne » et voir « excellente » pour 7 %. Des évolutions différentes en seulement 1 an Tout comme en 2021, c’est le télétravail qui reste la préoccupation majeure : 46 % en 2021 et 41 % encore en 2022. La communication interne qui enregistrait 19 % de représentativité en 2021 a certainement eu moins de nécessité en 2022 avec seulement 10 % et se trouve remplacée par la mise en place de nouvelles règles de fonctionnement avec 16 % (12 % en 2021) juste devant la formation des managers avec 15 % (13 % en 2021). Les nouvelles grandes réflexions : adaptation des espaces et des outils En 2021, l’adaptation des espaces était déjà envisagée ou en cours pour 61 % des entreprises. En 2022, c’est encore plus une réalité avec 69 % de représentativité (34 % oui et 35 % en cours). Même constat pour l’adaptation du management qui comptabilisait 48 % de « oui » en 2021 et 49 % en 2022. D’autres projets restent encore en cours comme le positionnement de l’entreprise à 51 % en 2021 et 48 % en 2022, ainsi que la mise en place de nouveaux modes d’organisation à 55 % en 2021 et 51 % en 2022. Le développement de nouveaux outils fait également un bon en 2022 avec 45 % « d’en cours » contre 44 % de qui ne l’avait pas envisagé en 2021.Toujours pas de télétravail en coworking Déjà en 2021, très peu d’entreprises (seulement 9 %) proposaient à leurs collaborateurs de télétravailler dans des espaces de coworking à proximité de leur domicile. En 2022, ce taux a baissé pour atteindre 7 % et les réfractaires sont encore plus nombreux aujourd’hui avec 71 % contre 67 % en 2021.Encore moins de concertation A la question « Votre entreprise a-t-elle consulté les collaborateurs sur leur souhait d'évolution des pratiques de travail, du management, des environnements de travail, etc.? », la réponse qui était « non » à 61 % en 2021 l’est toujours en 2022 pour 67 % des personnes interrogées. Choisir son lieu de travail ? Laisser totalement le choix aux salariés du télétravail ou du présentiel n’était pas au goût du jour en 2021… et encore moins en 2022 ! En effet, 52 % des entreprises déclaraient l’année dernière ne pas laisser aux collaborateurs le choix de leur lieu de travail et elles sont aujourd’hui plus de 57 % à le revendiquer. Seulement 24 % sont susceptibles d’accorder cette liberté pour du télétravail de 1 ou 2 jours par semaine (15 % en 2021). Un fort besoin d’accompagnement pour réaménager les espaces ! La question du réaménagement des espaces de travail reste la priorité et surtout le sujet qui nécessite un véritable accompagnement. C’est ce que déclarent 77 % des professionnels interrogés en 2022 et qui étaient déjà 64 % dans ce cas en 2021. L’organisation des modes de travail intéresse également 68% des sociétés (contre 61 % en 2021) ainsi que les nouvelles façons de manager à 62 % (contre 59 % en 2021). Les objectifs pour 2022 ? Les mêmes qu’en 2021 ! Le télétravail c’est bien, mais faire revenir les collaborateurs au bureau reste la préoccupation N°1 de 81 % des entreprises en 2022 (77 % l’année dernière). Le deuxième objectif pour 75 % concerne l’amélioration des espaces afin de mieux gérer l’hybridation quasi inévitable du travail : à distance et en présentiel. A la troisième place, 55 % des entreprises veulent rassurer leurs équipes sur les enjeux sanitaires (61 % en 2021). Retour vers le futur du travail ?Même si les entreprises veulent plus de présentiel, le télétravail fait désormais partie intégrante du quotidien. Ainsi, plus de 72 % des entreprises envisagent une grande proportion de collaborateurs en home office dans le futur et étaient déjà 64 % à le penser en 2021. La possibilité de travailler dans différents lieux ne fait plus partie de leur vision du travail dans l’avenir et enregistre 58 % de votes contre 61 % l’année dernière. En revanche, la réduction des surfaces de bureau à son strict minimum est plus envisagée pour 62 % en 2022 alors qu’ils n’étaient que 57 % en 2021.
Il y a 3 ans et 109 jours

Rockwool remporte le trophée de la Relation Commerciale France Matériaux

Chaque année France Matériaux, groupement de négoces en matériaux indépendants, adresse à ses 147 adhérents un formulaire pour évaluer leurs fournisseurs sur trois critères essentiels : relation commerciale, dynamique de l'offre et qualité de service. Véritable reconnaissance par les paires, les fournisseurs les mieux notés sont alors récompensés par le Trophée France Matériaux. Parmi les Lauréats 2022, ROCKWOOL, leader mondial des solutions d’isolation en laine de roche, s’est vu attribuer le Trophée de la Relation Commerciale. En 2020 ROCKWOOL avait déjà reçu une récompense aux Trophées du Négoce dans la catégorie « Service aux négoces » pour sa plateforme intuitive Rockcommerce, une plateforme digitale sur mesure permettant aux clients ROCKWOOL d’harmoniser et d’optimiser la réalisation de l’ensemble des démarches, le tout de manière autonome : consulter l’ensemble des fiches produits, passer une commande de manière simplifiée, effectuer un tracking en temps réel sur les livraisons mais aussi de visualiser et d’archiver les factures.« Nous remercions tous les adhérents de France Matériaux qui à travers ce prix viennent souligner le travail des équipes du service commercial de ROCKWOOL. En effet, ce sont eux qui forment cette dynamique commerciale positive et centrée sur la satisfaction du client. Aujourd’hui c’est l’ensemble de ces efforts pour accompagner et conseiller nos clients qui est récompensé par le Trophée France Matériaux.» commente Sébastien Flament, Directeur Régional Sud Est de ROCKWOOL