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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 3 ans et 114 jours

La RE2020 en maison individuelle, tout simplement avec les solutions bio’bric

Un bâtiment bien conçu et bien isolé permet de limiter les consommations d’énergie. Plus la résistance thermique de l’enveloppe de la maison (murs de structure) est élevée et les ponts thermiques traités grâce à des accessoires isolants, plus le bâtiment gardera la chaleur produite en hiver. C’est le double objectif du Pack maison individuelle :Gamme de briques de murs alvéolées avec une résistance thermique allant de 0,75 à 1,50 m².K/W (contre 0,23 m².K/W pour une maçonnerie traditionnelle non isolante).Planelles en terre cuite pour réduire les déperditions d’énergie en about de plancher.Les coffres de volet roulant et les briques à bancher-acrotères viennent compléter le Pack pour garantir une façade homogène 100 % terre cuite.La forte inertie des briques bio’bric permet une régulation de la température intérieure. La brique agit comme un climatiseur naturel, pour un confort d’été optimal.Quant à la limitation de l’impact environnemental du bâtiment, la brique en terre cuite bio’bric présente un impact carbone limité rapporté à l’ensemble de son cycle de vie. Ses bons résultats environnementaux sont consignés dans les FDES (Fiches de déclaration environnementale et sanitaire) mises à disposition par bio’bric dans la base Inies.Par ailleurs, fabriqués en France à partir d’une matière première géosourcée, l’argile, les produits bio’bric ne se dégradent pas dans le temps et les moisissures ne s’y développent pas, ce qui permet d’assurer la pérennité des ouvrages.La haute performance thermique des solutions bio’bric permet d’optimiser les prestations d’isolation et/ou des choix techniques sur les équipements de la maison. En limitant l’épaisseur d’isolation, la surface habitable est préservée.bio’bric accompagne les constructeurs et maîtres d’œuvres dans la définition et l’optimisation de leur système constructif RE2020 ; en partenariat avec les bureaux d’études thermiques.
Il y a 3 ans et 114 jours

Forum des Travaux Publics

Forum des Travaux Publics s'organise autour d'un espace exposants, ainsi que de conférences. Les entreprises de travaux publics présentent leurs dernières innovations sur la thématique de la transition écologique. En fin de journée, une remise de prix est prévue pour récompenser les entreprises sur 6 catégories : Organisation et logistique des chantiers Economie circulaire Biodiversité Sobriété et décarbonation des engins Matériaux bas-carbone Eclaireurs."
Il y a 3 ans et 114 jours

Eiffage signe un gros contrat avec le ministère des Armées

Leur co-entreprise Nové, détenue à 50/50, sera chargée de rénover près de 8.000 logements afin d'améliorer la performance énergétique du parc et de construire environ 3.000 logements neufs répartis sur 55 sites pendant "les premières années du contrat", selon un communiqué du groupement.À terme, près de 4.000 logements supplémentaires, actuellement gérés par d'autres prestataires, devraient progressivement être intégrés au contrat et être rénovés."Le financement du programme sera en partie assuré par des fonds propres apportés par les actionnaires de Nové et par un emprunt de 1,3 milliard d'euros souscrit par Nové auprès de la Banque européenne d'investissement (474 millions d'euros), de l'Établissement public des fonds de prévoyance militaire et de l'aéronautique (100 millions d'euros), et d'un pool de 10 banques commerciales", détaille le communiqué.Nové assurera également l'entretien-maintenance de l'ensemble du parc immobilier."Pour garantir tout au long de la concession le haut niveau d'ambition en matière environnementale attendu par le ministère des Armées, la création d'un fonds d'arbitrage carbone & climat dédié au projet est prévue", souligne le groupement."Les études des premiers projets de construction devraient débuter rapidement et des travaux préparatoires sur plusieurs sites sont attendus dès cette année", selon le communiqué.La gestion effective débutera début 2023 après une période de transfert avec le gestionnaire actuel.
Il y a 3 ans et 114 jours

Les Auralpins et le Gaz Vert : Résultats de l’étude menée auprès de 2 000 habitants de la région Auvergne-Rhône-Alpes

Présentation de GRDF et GRDF en région AuRA Principal gestionnaire de réseau de distribution de gaz en France, GRDF distribue, chaque jour, le gaz à plus de 11 millions de clients pour se chauffer, cuisiner, se déplacer, quel que soit leur fournisseur. Pour cela, conformément à ses missions de service public, GRDF conçoit, construit, exploite, […]
Il y a 3 ans et 114 jours

Rapport de branche du négoce des matériaux de construction sur l'exercice 2021

Emploi : malgré la crise, une hausse des effectifs et des perspectives d’emploi soutenuesL’enquête réalisée en 2021 pour l’exercice 2020 s’est faite auprès des 3.551 entreprises de la branche - dont 77 % de moins de 11 salariés - ce qui a permis de dégager un taux de représentativité global de 50 % des salariés et de 19 % des entreprises.L’un des principaux constats de cette analyse a montré que les chiffres de la branche de l’année 2020 sont en légère hausse tant sur le nombre d’entreprises (3.551 entreprises contre 3.301 en 2019) que sur les effectifs salariés (78.350 salariés, soit une hausse de 1,5 % comparé à 2019).À ces chiffres assez encourageants pour la branche, s’ajoute une donnée positive sur les perspectives de recrutement en 2020 puisque 40 % des entreprises envisageaient de recruter dans les prochains mois dans un cadre d’emploi pérenne (95 % des salariés sont en CDI et 96,5 % à temps plein). 10 % des entreprises ont indiqué rencontrer des difficultés de recrutement. Par ailleurs, les perspectives de recrutement se concentrent essentiellement sur les métiers de la force de vente, le management et ceux des chauffeurs-livreurs.Ainsi, malgré la crise sanitaire et une proportion de 60 % des salariés ayant connu au moins une période de chômage partiel (2% en 2021), le secteur reste dynamique. Par ailleurs, 20 % des salariés ont connu au moins une période de télétravail en 2020 (proportion qui a chutée de moitié en 2021 passant à 10%).Pour Stéphanie GAZEL, Secrétaire Générale Affaires Sociales et Formation de la Fédération des Distributeurs de Matériaux de Construction : « Pour cette édition du rapport de branche, portant sur les données 2020, nous avons souhaité prendre la mesure de l’impact de la pandémie sur l’organisation du travail dans les entreprises de la distribution des matériaux de construction. Ce contexte difficile s’est traduit par des périodes de chômage partiel mais nous constatons cependant une légère hausse des effectifs sur l’année. Les perspectives de recrutement témoignent également d’un dynamisme certain dans l’ensemble de la branche. »Les autres données marquantes de cette enquête Emploi :Il est intéressant de noter la répartition des emplois selon le sexe. Bien que la part des femmes ne représente que 25 % en moyenne, on constate qu’elle est plus importante dans les entreprises de moins de 11 salariés (30%) par rapport aux entreprises de 20 à 49 salariés (23%) et 50 à 299 salariés (23%).L’âge moyen des salariés de la branche est de 42 ans. Un âge moyen identique pour les hommes et pour les femmes.L’ancienneté moyenne des salariés de la branche est de 10 ans, soit une légère baisse comparée à 2019 (- 0,5 an). La répartition des salariés selon l’ancienneté est quasiment identique entre les hommes et les femmes.Formation : l’apprentissage largement plébiscitéEn termes de formation, l’année 2020 est marquée par une hausse sans commune mesure du nombre de contrats d’apprentissage (+ 85%) alors que les contrats de professionnalisation connaissent une baisse assez nette par rapport à 2019.Ainsi, en 2020, on compte 1.794 apprentis contre 970 en 2019 alors que les contrats de professionnalisation subissent une baisse passant de 711 contrats de professionnalisation signés en 2019 à 517 en 2020. On peut notamment expliquer cette évolution par une substitution d'une partie des contrats de professionnalisation par des contrats d’apprentissage, observable dans d'autres branches.Les autres données remarquables en 2020 sur les chiffres Formation :Sur les contrats de professionnalisation : 82 % des contrats de professionnalisation ont été signés par des entreprises de 300 salariés et plus.2 salariés sur 3 en contrat de professionnalisation suivent une formation en commerce et vente.Les BTS représentent plus de 40 des formations en contrats de professionnalisation inscrites au RNCP.Sur l'apprentissage : 558 entreprises ont signé des contrats d’apprentissage en 2020 soit 3,2 contrats en moyenne par entreprise.Plus de la moitié des contrats ont été signés par des entreprises de 300 salariés et plus.Près de 70 % des apprentis sont des hommes, soit une part nettement inférieure à celle des hommes dans le total des salariés (75 %) et donc une part supérieure d’apprenties femmes (31 %) par rapport au total des salariées (25 %).Près d’un apprenti sur deux suit une formation de commercial alors que les vendeurs conseils qui représentent 24 % des salariés sont peu représentés parmi les apprentis (2 % seulement).Sur le Plan de développement des compétences : En 2020, 1 621 stagiaires ont été formés dans les entreprises de moins de 11 salariés. 464 entreprises sont concernées avec une moyenne de 3,5 stagiaires par entreprise et les formations les plus suivies sont la conduite d’engins et le CACES ainsi que des formations de comptabilité gestion.Dans les entreprises de 11 salariés et plus (dont 39 % de 20 à 49 salariés), 4 909 stagiaires ont été formés en 2020. 420 entreprises sont concernées avec une moyenne de 11, 5 stagiaires par entreprise et les formations les plus suivies sont celles en lien avec les achats, le commerce et le marketing (27 %) devant la conduite d’engins et le CACES (25 %).
Il y a 3 ans et 114 jours

Non, il n’existe pas que la pergola bioclimatique ! AMEXSO, lance une nouvelle gamme de pergolas

 // Une gamme de pergolas sur mesure qui répond à toutes les envies et à tous les budgets  Dans un contexte où l’habitat et l’aménagement des espaces extérieurs battent toujours leur plein, AMEXSO lance une gamme complète de pergolas aluminium éprouvées, approuvées et certifiées Qualimarine et Qualicoat.  Cette gamme de pergolas, basée sur 4 produits […]
Il y a 3 ans et 115 jours

Pratique du vélo en ville : Montreuil ville cyclable en plus forte progression ces deux dernières années

Pour Patrice Bessac, maire de Montreuil : « Meilleure progression en Seine-Saint-Denis : Montreuil ! Comment ne pas se réjouir de ce classement issu d'une enquête de satisfaction menée auprès de celles et ceux pour lesquels nous travaillons au quotidien à améliorer, sécuriser, faciliter les déplacements alternatifs. En deux ans, Montreuil s'est fortement impliquée et a fait preuve d'un réel volontarisme dans l'amélioration du partage de la voirie en aménageant 7 nouveaux kilomètres de pistes cyclables au sortir du premier confinement qui ont permis d'améliorer le réseau cyclable, de réduire les coupures et de renforcer les liaisons avec les autres réseaux comme celui du RER V, le réseau vélo de la Région Île-de-France. »Avec son adjoint en charge des mobilités et de la ville cyclable, Olivier Stern, Montreuil prête une attention renforcée à cette enquête de satisfaction spontanée qui se reproduit tous les deux ans car, c'est pour elle une façon de mesurer et d'évaluer les efforts qu'elle met en œuvre pour répondre à la diversité des besoins de mobilité des habitants. Montreuil est la ville d'Île-de-France qui enregistre la plus forte progression et qui creuse l'écart avec les autres villes. Montreuil obtient une des meilleures notes à la question de l’ouverture au double sens cyclable des rues en sens unique, résultat de la mise en place généralisée à toute la ville de la zone 30.Au-delà, Montreuil est récompensée pour l'écosystème favorable à l'usage du vélo qu'elle a réussi à générer et qui transparaît au travers de la bonne note obtenue dans les catégorie « trouver un magasin ou un atelier de réparation de vélo » et « efforts faits en faveur du vélo par la ville sont importants ».En effet, les cyclistes montreuillois ayant répondu au questionnaire de ce baromètre saluent les efforts de la Ville faits en faveur du vélo et disent se sentir en sécurité dans les rues résidentielles. Deux catégories qui permettent à Montreuil de creuser l'écart avec d'autres collectivités.Bien entendu, et comme dans toutes les villes, des efforts restent à mener notamment sur le stationnement de véhicules motorisés sur les aménagements cyclables, sur les solutions alternatives à mettre en œuvre lors de travaux sur les itinéraires cyclables, sur le manque de respect de la part des conducteurs de véhicules motorisés ou encore sur le nombre de vols de vélo.Si Montreuil progresse c'est que la Ville s'est engagée depuis plusieurs années maintenant dans un plan vélo qui repose sur l’apaisement de la circulation et sur la création d’un réseau complet et sans coupures d’aménagements cyclables. Montreuil conçoit son développement en protégeant l’environnement, en favorisant la santé des Montreuillois et en préservant leur qualité de vie. Le développement de ce réseau de transport alternatif au déplacement automobile est un des éléments essentiels de la politique menée par la Ville en faveur des mobilités durables et de la lutte contre la pollution de l’air.En juin 2018, Montreuil a adopté un plan vélo sur cinq ans, destiné à rendre ce mode de déplacement plus populaire en programmant des aménagements qui en facilitent et en sécurisent la pratique.Ce Plan vélo concrétise l'attachement de la Ville de Montreuil à concevoir des politiques publiques de déplacement qui préservent l'environnement en réduisant les émissions de gaz à effet de serre pour améliorer la qualité de vie en ville. Ce mode de déplacement est performant, économe, souvent plus rapide que la voiture sur de courts trajets et bon pour la santé.Le Plan vélo de Montreuil compte cinq volets d'action, financés à hauteur de 30 % ou 50 % par la Région Île-de-France :Sécuriser et améliorer la qualité des déplacements cyclables ;Développer l’offre de stationnement vélo ;Proposer des services aux cyclistes ;Promouvoir le vélo ;Évaluer, en concertation avec les usagers, la progression de la politique vélo de la Ville.Le Plan vélo adopté par le Conseil municipal de juin 2018 s'est fixé pour objectifs de contribuer à :améliorer les aménagements et itinéraires cyclables continus, structurants et sécurisés pour renforcer et apaiser le partage de la voirie ;augmenter l’offre de stationnement sécurisé, dans les nouvelles constructions et sur l’espace public (nouveaux parcs de stationnement Véligo' et arrivée de 20 Vélobox dans les rues) ;garantir un meilleur partage de la voirie par des aménagements luttant contre les points noirs de vitesse et d’insécurité routière, en confortant ainsi le passage à la ville à 30 km/h généralisés en juin 2018 et permettant la mise en double sens de toutes les rues pour les cyclistes ;poursuivre l’expérimentation de la suppression des répétiteurs installés sur les feux tricolores créant naturellement un sas-vélo qui renforce la sécurité des cyclistes et piétons ;soutenir le marquage Bicycode permettant d’identifier un vélo volé ou perdu.Le Plan vélo de Montreuil c'est : 28 km d’itinéraires cyclables, 4 400 places de stationnement (2 200 arceaux), 11 pompes à vélo publiques en libre service, l’installation en 2018 de la première borne publique de réparation de vélo en Île-de-France et, une augmentation de 13 à 21 stations Vélib’ ainsi que de multiples associations de cyclistes et points de vente.
Il y a 3 ans et 115 jours

Les ventes de logements neufs à la peine en zones tendues

En 2021, 104.477 nouveaux logements ont été mis à la vente, en hausse de 21% par rapport à 2020, année exceptionnelle du fait des confinements mais en baisse de 8,8% par rapport à 2019, dernière année avant l'arrivée du Covid-19.Même tendance pour les réservations (annulations non comprises), 116.714 en 2021, soit 15% de plus qu'en 2020 mais 11% de moins qu'en 2019.Dans les zones les plus tendues (région parisienne, Côte d'Azur, frontière suisse) et les villes de plus de 250.000 habitants, réservations et mises en vente sont encore en-deçà de leur niveau d'avant-crise.A l'inverse, dans les villes de 50.000 à 250.000 habitants et dans le reste du territoire, les chiffres de 2019 sont atteints voire nettement dépassés.Dans ces deux zones, "la promotion immobilière a été moins impactée par la crise sanitaire que dans les zones plus tendues", note le ministère.Au quatrième trimestre, les biens les plus grands ont été les plus demandés, relève le ministère: appartements de plus de quatre pièces et maisons de plus de cinq pièces.Les prix moyens ont surtout progressé pour les maisons individuelles, qui sont parties à 339.000 euros en moyenne au quatrième trimestre, en hausse de 13,1% par rapport à 2020. La hausse des prix est surtout portée par les maisons de quatre pièces ou plus.Côté appartements, le prix moyen de vente s'établit à 4.500 euros le mètre carré, 4,7% de plus qu'en 2020, avec une hausse plus sensible pour les deux pièces (+5,8%).
Il y a 3 ans et 115 jours

Formation, gouvernance : les ingénieurs et bureaux d'études interpellent les candidats

PRÉSIDENTIELLE 2022. Dans un manifeste, les représentants des métiers du conseil, de l'ingénierie et du numérique dressent une liste de propositions censées permettre la bonne réalisation des transitions écologique et digitale. Les questions de formation et les enjeux de gouvernance constituent notamment deux axes majeurs, structurés autour d'un plaidoyer en faveur des TPE-PME.
Il y a 3 ans et 115 jours

Davantage de surfaces logistiques pour Reynaers pour répondre à la demande

LOGISTIQUE. Afin de répondre aux besoins du marché, le fournisseur de systèmes de menuiserie aluminium, Reynaers, vient d'accroître sa plateforme logistique, installée à Brouchy.
Il y a 3 ans et 115 jours

Point.P se densifie dans l'Hérault

INTÉGRATION. Le négoce de Saint-Gobain Distribution Bâtiment France, Point.P annonce avoir acquis deux points de ventes Arnaud Matériaux implantés dans l'Hérault.
Il y a 3 ans et 115 jours

Fayat retrouve son niveau d'activité d'avant-crise

Le groupe de travaux publics et de matériels routiers affiche un chiffre d'affaires de 4,6 Mds € en progression de 12,5% par rapport à 2020.
Il y a 3 ans et 115 jours

Le marché des matériaux de construction enregistre un 4ème trimestre 2021 meilleur que le 3ème… mais moins bon qu’en 2020

L’année 2021, comparée à 2020, se termine ainsi sur une hausse des volumes d’environ +9% pour les granulats et +10% pour le BPE (données CVS-CJO). Cette progression sensible ne fait toutefois que ramener l’activité à son niveau d’avant-crise sanitaire.Du côté de la demande de matériaux, la dynamique de rattrapage et de reprise, à l’œuvre depuis plusieurs mois, semble s’émousser avec des premiers signaux de fléchissement du climat des affaires dans le bâtiment, même si ce dernier demeure à haut niveau. Côté travaux publics, les perspectives d’activité apparaissent un peu moins bien orientées qu’à l’automne.D’un côté comme de l’autre, les entreprises restent soumises à de fortes contraintes : chaînes d’approvisionnement, prix, main-d’œuvre sont autant de tensions qui pèsent sur les processus productifs.Décembre en repli, surtout pour le BPESelon les premières estimations disponibles pour le mois de décembre, l’activité de nos matériaux aurait enregistré un fléchissement. Du côté des granulats, ce repli est modéré, les volumes cédant -0,6% sur novembre et -1,8% comparé au mois de décembre de 2020 (données CVS-CJO). Le recul est cependant plus sensible comparativement à 2019 ( 2,6%). Au quatrième trimestre, les livraisons de granulats ont toutefois regagné +2,3% sur novembre mais restent en retrait de -1,1% par rapport au trimestre précédent et de -2,4% comparé à la même période d’avant crise. Au total, sur l’ensemble de l’année, les volumes ont progressé de +9,3% laissant leur niveau très légèrement en deçà de celui de 2019 (-0,9%).S’agissant du BPE, le freinage de décembre est plus marqué avec des productions en baisse de -6,4% par rapport à novembre et de -5,5% par rapport à il y a un an. Tout comme pour les granulats, les livraisons de BPE se sont redressées au quatrième trimestre (+4% comparé au troisième) mais s’inscrivent en retrait au regard du dernier trimestre de 2020 (-2,4%). En revanche, ces volumes sont supérieurs à ceux livrés sur la même période de 2019 (+2,2%). En 2021, la production de BPE atteindrait 40,8 millions de m3, soit une hausse de près de +10% par rapport à 2020 permettant de retrouver le niveau de production atteint avant le début de la pandémie. Encore provisoire pour le mois de décembre, notre indicateur qui mesure l’activité d’un panier de matériaux minéraux, affiche un nouveau repli au quatrième trimestre (-1,1% comparé à 2020) certes moins prononcé que celui observé au trimestre précédent (-8,1%, données CJO).Sur l’ensemble de l’année 2021, l’indicateur progresserait de +8,9% par rapport à 2020 ce qui laisserait l’activité au-dessus de son niveau d’avant crise (+1,3%).Bâtiment : premiers nuages à l'horizon ?Bien qu’il se situe encore à un niveau très élevé, le moral des chefs d’entreprise du bâtiment a quelque peu faibli en janvier. En effet, l’enquête menée par l’INSEE nous indique que les entrepreneurs sont bien moins optimistes quant à leur activité future et leur jugement sur les carnets de commandes subit lui aussi un repli sensible. Pour autant, les soldes d’opinion et les carnets se situent toujours bien au-delà de leurs niveaux moyens de long terme : dans le gros œuvre, ces derniers atteignaient 9,4 mois en janvier (après le pic de 10,1 mois relevé en août 2021) pour une moyenne de 6,3 mois sur longue période.L’érosion des carnets, sans doute liée à une vraie modération des prises de commandes, peut aussi s’expliquer par la hausse récente des effectifs qui permet de réduire les délais de réalisation des travaux. Les obstacles qui limitent la production semblent en effet se modérer un peu : la part des chefs d’entreprises faisant face à des problèmes de personnel passe de 48% en décembre à 43% en janvier et la part de ceux qui rencontrent des difficultés d’approvisionnement revient à moins de 29% contre 32,4% le mois précédent. Ces niveaux restent toutefois historiquement élevés et cette « détente » demande à être confirmée dans les prochains mois. Car, pour l’heure, les tensions sur l’appareil productif restent très importantes : fin janvier, près de 62% des entreprises du gros œuvre étaient toujours dans l’incapacité de produire plus en cas de nouvelles commandes, compte tenu de leurs moyens actuels (contre 52% en moyenne en 2021).La conjonction de tous ces facteurs conduit à accroître les tensions inflationnistes ; le solde d’opinion des chefs d’entreprise sur les prix prévus continue de s’envoler pour atteindre un niveau inédit depuis près de 40 ans !Côté construction et immobilier, la fin de l’année 2021 a également marqué une inflexion : selon Markemétron, après trois trimestres dynamiques, les ventes de maisons individuelles ont accusé un repli marqué cet hiver en dépit de conditions de crédit très attractives. Depuis l’été, la production de prêts à l’habitat semble marquer le pas, les incertitudes sur le pouvoir d’achat affectant sans doute les projets des ménages, côté demande, tandis que, du côté de l’offre, les difficultés d’accès au foncier, la révision des SCoT... commencent à peser sur le potentiel constructif. Les chiffres du logement de décembre montrent que si les mises en chantier se sont bien redressées en 2021 pour retrouver leur niveau de fin 2019 (386 900 unités), le rebond des permis tend à se modérer : au quatrième trimestre, les autorisations baissaient de -3,9% par rapport au trimestre précédent (dont -4,9% dans l’individuel, CVS-CJO). L’année 2021 se clôt toutefois sur un volume confortable de 471 000 permis, un niveau 4,5% supérieur à celui de l’année 2019, avant la crise sanitaire. Le tableau est plus sombre pour le secteur non résidentiel qui peine encore à se relever du choc pandémique. En 2021 et en dépit d’un redressement amorcé dès le premier trimestre, les surfaces autorisées et les surfaces commencées sont encore -9% environ en dessous de leurs niveaux de 2019.Travaux publics : un hiver moroseSelon la dernière enquête menée par la FNTP, après un premier semestre en net redressement, le dernier trimestre a également été marqué par une certaine érosion du climat de confiance. Interrogés en janvier, les entrepreneurs se montraient en effet moins optimistes sur leur activité future qu’ils ne l’étaient en octobre, notamment s’agissant de leur clientèle publique. Pour autant, les soldes d’opinion relatifs à ces perspectives demeurent bien au-dessus de leur moyenne de longue période et le ressenti sur l’activité passée s’est quant à lui amélioré. Ainsi, en 2021, le volume des travaux réalisés aurait rebondi de +9,9% sur un an (CVS-CJO) sans toutefois renouer avec son niveau d’avant crise (-3,8%). Dans un contexte marqué par les tensions inflationnistes sur les coûts de production, les difficultés liées au manque de main-d’œuvre (qui concernent 44% des entreprises), le secteur demeure inquiet face à l’atonie des prises de commandes, en recul de -7,5% par rapport à 2020 et de -19,6% par rapport à 2019, année électorale.
Il y a 3 ans et 115 jours

Le Groupe Lorillard signe deux conventions de sponsoring et de mécénat avec le C’Chartres Football Club

Le Groupe Lorillard et le C’Chartres Football Club ont officialisé la signature de 2 conventions pour 2022 dont un programme de sponsoring qui implique différents vecteurs de visibilité comme la présence du logo de la marque grand public Lorenove sur les supports print et digitaux, ainsi que sur les panneaux au stade de 2m x 1m, mais également l’annonce au micro pour les matchs à domicile de Ligue 2. Un dispositif d’hospitalité et de billetterie est également mis en place pour les matchs à domicile permettant d’animer le réseau de partenaires et clients du Groupe. En outre, un programme de mécénat vient soutenir des actions sociales du club pour des missions d’intérêt général de développement sportif des équipes U6 à U19, comme par exemple le soutien scolaire des licenciés. Fondé en 1936 à Chartres et présidé par Thierry Luce, le Groupe Lorillard figure parmi les leaders français de la menuiserie industrielle sur-mesure. Première entreprise indépendante du secteur, Lorillard couvre l’ensemble du marché de la fenêtre et maîtrise la fabrication de ses produits grâce à un pôle industriel intégré. La production est 100% française et le Groupe Lorillard s’engage dans la promotion du fabriqué en France et soutient son économie locale en privilégiant les fournisseurs proches des bassins de production du Groupe. Le Groupe compte aujourd’hui 1200 collaborateurs à travers la France qui partagent des valeurs communes : soutien, solidarité, sens des priorités, engagement. C’est autour de ces valeurs que le Groupe s’engage aujourd’hui auprès du C’Chartres Football Club, dans un partenariat qui permettra à l’entreprise de renforcer son ancrage local, de nouer de relations durables et d’accroître sa notoriété auprès d’un plus large public. Ci-dessus, l’équipe Senior de ligue 2 et de gauche à droite : Pierre Lorillard, Directeur Général Délégué au Commerce, au Marketing et à la Communication, Jean-Pierre Papin, entraîneur, Thierry Bocquet entraîneur adjoint, Thierry Luce Président, Gérard Soler Président du C’ Chartres Football Club. Pour Thierry Luce, Président du Groupe : « La force du collectif et l’ambition d’entreprendre animent notre Groupe depuis ses débuts. Nous sommes très heureux de nous engager aujourd’hui aux côtés du C’Chartres Football Club et d’accompagner les équipes et leurs supporters dans une nouvelle page de leur histoire. » L’équipe senior masculine de ligue 2 est entraînée par Jean-Pierre Papin depuis juin 2020. C’est le mécénat Neuf de Cœur (association présidée par l’épouse de Jean-Pierre Papin), débuté en 2019 avec le Groupe Lorillard et reconduit cette année, qui a initié la relation entre le Groupe et le footballeur. Ainsi, accompagner le C’Chartres Football Club est la continuité des actions de soutien du Groupe. Par ailleurs, l’attachement au territoire chartrain s’illustre également par un partenariat avec Chartres en Lumières depuis 2011, un événement désormais incontournable de la ville. Pour finir, le site de production chartrain pourvoit des centaines d’emplois de production et services supports auprès des actifs d’Eure-et-Loir. L’égalité des chances, la parité, l’accès à la formation sont des priorités pour le Groupe qui se retrouvent dans les valeurs du football et dans les actions du club en faveur de ses jeunes recrues. On le voit, au fil du temps et des évolutions, le Groupe Lorillard s’est agrandi, mais son attachement au territoire est resté intact. Un ancrage fort aux origines qui prend également vie dans les relations avec les partenaires. Ce double partenariat offre au Groupe l’opportunité de soutenir et renforcer sa présence auprès de la jeunesse du bassin chartrain, futurs acteurs du Groupe, en partageant les valeurs de respect et de dépassement de soi dans un contexte favorable à l’égalité des chances.
Il y a 3 ans et 115 jours

Après la RE2020, le gaz a-t-il encore un avenir dans le bâtiment ?

Aux côtés de Jean-Luc Fugit, député du Rhône, président du Conseil national de l’Air, Vice-Président de l’OPECST (Office Parlementaire d’Évalutation des Choix Scientifiques et Technologiques), Joël Pedessac, directeur général de France Gaz Liquides et Aurélie Picart, déléguée générale du Comité Stratégique de Filière Nouveaux systèmes énergétiques, les 22èmes rencontres de l’énergie étaient l’occasion pour Bernard Aulagne de revenir sur les idées reçues concernant l’avenir du gaz dans le bâtiment, au lendemain de l’entrée en vigueur de la RE2020.Le gaz a-t-il encore un avenir ? Oui, bien sûr !Pour Bernard Aulagne, Président de l’Association Coénove : « Il y a une confusion volontairement entretenue concernant l’interdiction du gaz dans la RE2020. Celle-ci fixe seulement un seuil carbone difficilement accessible au gaz naturel, mais tout à fait à portée du biométhane, par exemple, dont le contenu carbone est dix fois inférieur à celui du gaz naturel. »Le gaz est indispensable dans le bâtiment, qui, du fait du poids du chauffage électrique, contribue fortement à la pointe hivernale. Le gaz est essentiel pour soulager le réseau électrique dans ces moments de tension, grâce notamment à la pompe à chaleur hybride, l’une des solutions des moins onéreuse pour décarboner le parc de logements et continuer à satisfaire les 12 millions d’utilisateurs de gaz pour leur chauffage...
Il y a 3 ans et 115 jours

Cinquième période des CEE : les règles à respecter en commande publique

JURIDIQUE. Quelles sont les modifications apportées par la cinquième période des certificats d'économie d'énergie (CEE) dans le domaine de la commande publique ? La direction des affaires juridiques de Bercy apporte des réponses dans une mise à jour de son questions-réponses.
Il y a 3 ans et 115 jours

Présidentielles 2022 : le syndicat des Énergies Renouvelables présente ses propositions pour la transition énergétique

L’urgence climatique impose en effet de mettre en place un véritable plan de bataille pour respecter la trajectoire fixée par l'accord de Paris. Les mesures transversales et sectorielles détaillées par le SER dans le second volet de son Livre Blanc 2022 permettraient ainsi de répondre à ces objectifs de décarbonation tout en pérennisant des industries créatrices d’emploi et d’économie durable dans les territoires.A l’heure de la révélation des programmes des candidats à la Présidentielle, le SER souhaite porter ses propositions auprès de l’ensemble des acteurs de la campagne et partager l’énergie d’un nouvel élan pour la France.Agir pour la transition énergétique à tous les échelonsL’Ademe et le gestionnaire du Réseau de transport d’électricité français (RTE) l’ont désormais rappelé : pour garantir notre sécurité d’approvisionnement et permettre à la France d’atteindre la neutralité carbone en 2050, près de 75% de notre consommation d’énergie devra être satisfaite par des énergies renouvelables à cet horizon. Un projet qui nécessite d’agir aux niveaux international et européen mais aussi à l’échelle des territoires. En première ligne pour planifier et participer à la concertation autour des projets d’énergies renouvelables, ils en sont les acteurs majeurs mais aussi les premiers bénéficiaires d’un point de vue socio-économique. Pour Jean-Louis Bal, Président du SER : « Pour être au rendez-vous en 2050, la France doit dès à présent passer à la vitesse supérieure en matière de renouvelables. C’est aussi un enjeu de responsabilité et de crédibilité par rapport aux jeunes générations, qui attendent une mobilisation forte de toutes les parties-prenantes. Dans ce contexte, les candidats doivent se saisir des outils déjà existants et être en capacité d’en faire émerger de nouveaux pour accélérer et accompagner le formidable projet rassembleur qu’est la transition énergétique. »Les clés pour déployer nos énergies dans les filières renouvelablesAprès avoir livré une vision de ce que la France peut retirer du développement massif des renouvelables, le second volet du Livre blanc du SER présente une série de 10 mesures transversales et concrètes pour passer à l’action dans le cadre du quinquennat à venir : 01. Un « Fonds social pour le climat » pour accompagner les plus vulnérables et permettre une transition énergétique pour tous.02. Un « Parcours renouvelable » pour décrocher un emploi dans la transition énergétique.03. Une « étude d’impact climatique » sous l’autorité du Premier ministre pour une meilleure cohérence des politiques publiques.04. Une ambition énergétique cohérente avec celle de l’Union Européenne et assise sur une fiscalité allégée pour les énergies renouvelables.05. Un nouveau programme industriel « France Renouvelables » pour renforcer la souveraineté de la France dans les technologies stratégiques de la transition énergétique.06. Un pacte « Investir en confiance » pour renouveler les modes de financement des énergies renouvelables.07. Un programme national de sortie des énergies fossiles dans les secteurs encore dépendants.08. Un renforcement des ressources humaines et des capacités de pilotage de la politique de développement des énergies renouvelables pour respecter les objectifs fixés.09. Un programme national d’information sur les énergies renouvelables pour un débat éclairé et fondé sur des faits.10. Une France exemplaire en Europe et dans le monde pour se positionner comme une nation leader de la transition énergétique.En complément de ces propositions, près de 50 mesures sectorielles ont été élaborées afin de répondre aux enjeux des 12 filières du renouvelable français et ainsi générer des retombées environnementales et économiques significatives.Les biocarburants. Objectif : pérenniser les industries et les emplois liés à la production de biocarburants conventionnels et développer les emplois liés à la production de biocarburants avancés.Le bois-énergie individuel. Objectif : améliorer la qualité de l’air grâce au remplacement d’appareils anciens et polluants par des équipements labellisés, tout en participant à la stabilité du réseau électrique.Le bois-énergie collectif. Objectif : pérenniser et développer des emplois ancrés dans les territoires et souvent générés par des PME pour renforcer et structurer l’ensemble de la chaîne de valeur.L’éolien terrestre. Objectif : permettre à chacun de disposer des clés pour en comprendre les enjeux et participer au débat, accélérer les instructions des projets et faire bénéficier les communes d’implantation des retombées directes des parcs à travers la mise en place d’un nouveau fonds.L’éolien en mer. Objectif : lancer un exercice de planification maritime dès 2022 et conclure un Pacte de filière pour formaliser des engagements relatifs à sa pérennisation et demander un engagement de l’État sur le rehaussement des ambitions de développement, à moyen et long-terme.Les énergies marines renouvelables (EMR). Objectif : doter la France d’un objectif de développement pour tirer parti de ces ressources en métropole comme en Outre-mer.Les gaz renouvelables. Objectif : produire et injecter 12 TWh de biométhane dans les réseaux gaziers à horizon 2023 et créer près de 16 000 emplois directs et indirects d’ici la fin de la décennie.La géothermie. Objectif : doubler la production de chaleur par géothermie en dix ans, soit une économie de 1,1 million de tonnes équivalent pétrole.L’hydroélectricité. Objectif : optimiser la production des installations existantes et en développer de nouvelles.Le solaire photovoltaïque. Objectif : créer de nouvelles implantations industrielles innovantes pour positionner la France comme un véritable acteur du solaire, crédible en Europe et dans le monde.Le solaire thermique. Objectif : accélérer son développement pour diversifier les solutions de production de chaleur renouvelable, en particulier pour l’industrie et les réseaux de chaleur.La valorisation énergétique des déchets. Objectifs : tendre vers 100 % de valorisation des déchets en complément du recyclage.
Il y a 3 ans et 115 jours

Jean-Christophe Repon : « Dans cette campagne, la Capeb a un rôle pragmatique à jouer »

Le Livre Blanc de la Capeb vient d’être publié avec de nombreuses propositions adressées aux candidats à l’élection présidentielle ainsi qu’à la future majorité parlementaire. Jean-Christophe Repon, président de la Capeb, revient sur les principales demandes du secteur de l’artisanat du bâtiment.
Il y a 3 ans et 115 jours

Toulouse: Téléo prendra son envol en avril 2022

Le compte à rebours est lancé pour Téléo, le téléphérique urbain de Toulouse. Tisséo Ingénierie, le maître d’ouvrage, termine ses derniers essais techniques avant la marche à blanc prévue en mars et la mise en service fin avril.
Il y a 3 ans et 115 jours

Hymeet, projet à 25 millions d'euros pour l'utilisation de l'hydrogène par la filière mécanicienne

Le Cetim, centre d'expertise mécanique français, investit 25 millions d'euros pour faire de l'industrie mécanique un contributeur majeur.
Il y a 3 ans et 115 jours

AEG présente deux nouveaux outils de sa gamme sans fil PRO 18V : le souffleur d’atelier BGE 18 et l’aspirateur BHSS 18

Le souffleur d’atelier BGE 18 : polyvalence et efficacité !Compact et puissant, le souffleur d’atelier AEG® est idéal pour dégager rapidement la zone de travail. Il convient particulièrement aux bricoleurs qui souhaitent garder leur atelier ou leur garage propre, mais il peut également servir à déblayer efficacement la terrasse par exemple.Avec ses 3 niveaux de vitesse, le souffleur d’atelier BGE18 est le compagnon parfait pour garder un espace de travail net. Il est également très pratique grâce à sa gâchette verrouillable, permettant un fonctionnement en continu pour une utilisation facilitée.Compatible avec la technologie de batterie AEG PROLITHIUM-ION™, le souffleur d’atelier 18V offre une protection contre les surcharges pour une durabilité maximale de la batterie et de l’outil.L’aspirateur BHSS 18 : un nettoyage rapide et facileCompact et léger, l’aspirateur BHSS 18 AEG® offre une aspiration puissante et optimisée : il est idéal pour aspirer la sciure, les copeaux, les débris et la poussière. Il peut servir aussi bien pour le nettoyage de l’espace de travail que celui de la voiture.Livré avec un suceur brosse, un suceur plat et un tube rallonge, il dispose aussi d’un réservoir transparent pour permettre à l’utilisateur de mesurer le niveau de remplissage.Outil parfait pour le nettoyage du plan de travail, il est doté d’un filtre lavable avec une filtration supérieure capable de retenir des particules de poussières microscopiques afin d’assurer une meilleure qualité de l’air.Enfin, grâce à sa poignée soft grip, l’aspirateur 18V n’en est que plus confortable pour un nettoyage rapide et facilité.
Il y a 3 ans et 115 jours

La relation client au cœur de la stratégie ROMUS® grâce au nouveau portail digital ROME lancé en janvier 2022.

Bienvenue dans une nouvelle ère de service optimisé, plus réactif et exhaustif pour gagner en efficacité terrain. Romus®, plus que jamais du côté des professionnels du sol, de la finition et de la peinture. 2022 s’annonce dynamique et technologique ! + de 50 ans de savoir-faire et d’écoute terrain pour optimiser nos solutions. nouvel outil […]
Il y a 3 ans et 115 jours

Glasgow : une Cop d’espérances Valéry Laramée de Tannenberg, rédacteur en chef de L’Usine à Ges

Côté magazine Côté magazine Glasgow : une Cop d’espérances Valéry Laramée de Tannenberg, rédacteur en chef de L’Usine à Ges Le bilan de la Cop26 ? Tout dépend de qui l’on interroge. Pour l’activiste Greta Thunberg, la quinzaine écossaise s’est achevée sur un bla-bla-bla édulcoré, « ce qui est une vraie performance », commente-t-elle. Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, estime, lui, que ce sommet assure un meilleur avenir aux générations futures. La vérité est sûrement entre les deux. L’objectif officiel était de s’accorder sur les dernières règles d’application de l’accord de Paris, signé, lui, en 2015. Mission accomplie ! Les négociateurs savent maintenant comment interpréter les articles 6.2, 6.4 et 6.8 de l’accord conclu à l’issue de la Cop21. Il existe désormais un cadre pour l’échange de crédits carbone entre États, pour un marché international du carbone et pour la coopération climatique nord-sud. Les diplomates sont allés plus loin. Signé samedi 13 novembre, le pacte de Glasgow place la stabilisation du réchauffement à 1,5 °C au cœur des politiques climatiques nationales. Les parties à la convention climat (les États signataires) disposent désormais d’un délai d’un an pour mettre leur stratégie en cohérence avec cet objectif. Dit autrement, les gouvernements vont devoir expliquer à l’ONU comment ils comptent s’y prendre pour réduire de moitié en 10 ans les émissions de gaz à effet de serre (GES). Sans ce coup de décarbonation, il est inimaginable d’atteindre la neutralité carbone au milieu du siècle, l’un des buts de l’accord de Paris. De quels leviers disposons-nous ? La Cop en a actionné quelques-uns. États et entreprises ont promis de mettre un terme à la déforestation, de consacrer beaucoup d’argent à la décarbonation, de généraliser le véhicule électrique et de diminuer les consommations d’énergies fossiles. Nos appartements et nos maisons sont à l’origine de 11% des émissions de GES d’origine anthropique : 5 milliards de tonnes par an !  Valéry Laramée de Tannenberg rédacteur en chef , L’Usine à Ges L’Usine à GES est un site d’information français de l’agence Terragram consacré à la politique, à l’économie, au droit et aux technologies du climathttps://usineages.fr/   Autant de politiques à coordonner sur le plan international. Il en existe une autre, locale, créatrice d’emplois et de bien-être : la rénovation des logements. Le gisement est loin d’être ridicule. Nos appartements et nos maisons sont à l’origine de 11 % des émissions de GES d’origine anthropique : 5 milliards de tonnes par an ! À Glasgow, on a peu parlé de bâtiment. Gageons qu’avec la révision drastique des ambitions ordonnée par la Cop26, les gouvernements vont fortement miser sur un secteur sur lequel ils ont prise. Rendez-vous à Charm el-Cheikh, en novembre 2022, pour la Cop27. On y causera, à coup sûr, de transition climatique dans le bâtiment. Rubriques Rubriques Actualités Bâtiment digital Paroles d'experts Dossiers Produits Web TV Le magazine Cet article Glasgow : une Cop d’espérances Valéry Laramée de Tannenberg, rédacteur en chef de L’Usine à Ges est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 115 jours

Würth ajoute un espace dédié au clouage sur son e-shop

Celle dernière s’adresse principalement aux applications des métiers du Bois, du Bâtiment et des Installateurs.À ce jour 6 cloueurs composent l’offre de Würth France afin de couvrir l’ensemble des besoins techniques des professionnels. Une équipe de 7 spécialistes terrain est présente pour accompagner au mieux les clients partout en France : démonstration produits, conseils techniques, formation et service d’entretien. Eric Hanss, coordinateur de la gamme Clouage chez Würth France précise : "À chaque application sa solution clouage. En fonction du support rencontré, de l’application visée, un cloueur et les consommables adaptés. Le but est d'utiliser un cloueur le plus souvent sur chaque chantier. La finalité est de gagner en temps, en confort de travail et en rentabilité."L’ensemble des cloueurs Würth est également disponible en location via l'offre MasterFleet.Un succès sur les réseaux sociaux ! L’un des cloueurs Würth (le BST 350 – 0864 22) a même fait le buzz sur TikTok grâce à une vidéo qui a été vues plus de 5.9 millions de fois ! Découvrez là ici.
Il y a 3 ans et 115 jours

Élections présidentielles 2022 – Les propositions de la Filière Béton pour une construction décarbonée basée sur une chaîne de valeur locale

Ancrée au cœur des territoires dont elle irrigue les secteurs de la construction et des infrastructures, la Filière Béton se mobilise, dans le cadre des élections présidentielles 2022, afin de porter – et ce, pour la première fois – des propositions sociétales et politiques fortes auprès des candidats et de leurs équipes. Pour aller plus […]
Il y a 3 ans et 115 jours

L’entreprise dijonnaise de gros œuvre STCE poursuit son expansion jusque dans les Alpes

Le rachat de Barrachin TP, en Haute-Savoie, agrandit le périmètre géographique de l’entreprise dijonnaise et lui apporte des compétences en travaux publics qu’elle n’avait pas.
Il y a 3 ans et 115 jours

RATP Real Estate s’associe à Morning et ouvre son premier espace de travail à Paris

Le premier site entièrement réhabilité par Urban Station, en partenariat avec Morning, est le poste de redressement dit des “Petites Écuries”. Situé dans le 10ème arrondissement de Paris, il permet l’alimentation électrique des lignes du RER B. Les bureaux attenant à ce poste de redressement ont été transformés, grâce à l’expertise de Morning, en espace de travail. Une cinquantaine de travailleurs peuvent désormais y être accueillis, bénéficiant de bureaux clé en main.C’est l’entreprise Joone, spécialisée dans les produits d’hygiène et de soin pour toute la famille qui prendra possession des lieux pour une durée de 16 mois.Un partenariat de confianceEn juin dernier, Urban Station a confié à Morning l’intégralité de la conception et de l’aménagement du site (dans le respect de la charte design d’Urban Station), ainsi que les travaux, la commercialisation et la gestion courante de l’espace. Ce partenariat démontre l’expertise d’aménageur et d’opérateur pour le compte de tiers de Morning. En seulement quelques mois de travaux et d’aménagement, l’espace est fin prêt à accueillir ses nouveaux occupants !Un lieu à la hauteur des attentes de JooneDès la rentrée de janvier 2022, l'entreprise Joone, spécialisée dans les produits d’hygiène et de soin pour toute la famille, s'installera dans ce nouvel espace d’Urban Station correspondant parfaitement à leurs critères. Ce qui a conquis Joone ? La flexibilité du contrat proposé, le délai d’installation presque imminent ainsi que la localisation stratégique de l’espace de travail.Pour Harold Favre, Office Manager chez Joone : “Nous souhaitions avoir un espace qui soit entièrement notre, respectant notre identité et notre intimité. Étant une cinquantaine de collaborateurs, il était primordial que l’espace comporte un poste par personne même si tous ne viennent pas en même temps, pour assurer l’espace personnel et le confort de chacun. La localisation stratégique de l’espace dans l’hypercentre de Paris était également un prérequis.”
Il y a 3 ans et 115 jours

La filière béton présente pour la première fois ses propositions en vue des élections présidentielle

La filière béton se mobilise afin de porter des propositions sociétales et politiques auprès des candidats, "pour une construction décarbonée basée sur une chaîne de valeur locale".
Il y a 3 ans et 115 jours

Entrepreneurs individuels... Vos textes officiels du mardi 15 février 2022

La rédaction du "Moniteur" vous propose une sélection quotidienne des textes officiels intéressant le secteur. Au menu : droit de la construction, urbanisme, commande publique et privée, réglementation technique, logement, social…
Il y a 3 ans et 115 jours

Référence : Jean Tschumi, le siège de l'OMS à Genève

Grand chantier annoncé dès sa prise de fonction par Christine Leconte, la présidente du Conseil national de l'Ordre des architectes, l'ouverture du tableau à tous les diplômés des écoles nationales supérieures d'architecture est sur la table. Depuis sa région "pilote", le Conseil régional de […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 115 jours

"Il n’y a pas deux architectes identiques, et tant mieux !", Alexandre Jannot-Caeilleté, architecte DE et communicant

Grand chantier annoncé dès sa prise de fonction par Christine Leconte, la présidente du Conseil national de l'Ordre des architectes, l'ouverture du tableau à tous les diplômés des écoles nationales supérieures d'architecture est sur la table. Depuis sa région "pilote", le Conseil régional de […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 115 jours

HeidelbergCement France, nouveau mécène des Arts et Métiers

Signature de la convention de mécénat par Bruno Pillon, président des activités France d’HeidelbergCement, et Laurent Champaney, directeur général des Arts et Métiers (tous les deux au centre de la photo). [©HeidelbergCement France] Le 8 février dernier, HeidelbergCement France et l’Ecole des arts et métiers ont signé une convention de mécénat, pour une durée de 3 ans. Des actions spécifiques seront organisées pour les étudiants, comme des visites des différentes installations d’HeidelbergCement France. Aujourd’hui, le groupe compte 300 sites de production répartis sur le territoire. Ainsi, les étudiants des différents campus seront directement en contact avec les professionnels. Par ailleurs, HeidelbergCement France prévoit un recrutement de 25 à 30 ingénieurs en 2022/2023, ainsi qu’une intégration de jeunes talents dans ses rangs. « Le partenariat s’appuiera sur le programme “Engineers in training”, qui permet un accompagnement au poste pendant 18 mois, constituant ainsi un excellent parcours d’intégration. Ouvert à tout jeune diplômé, ce dispositif prévoit une formation globale, alliant théorie et pratique, en France au sein de nos filiales », témoigne Jérémie Pieri, directeur des ressources humaines d’HeidelbergCement France. Et Aurore Friedlander, directrice marketing et communication des Arts et Métiers, d’ajouter : « Faire participer les professionnels et industriels aux orientations de recherche et de formation permet aux étudiants d’être préparés aux réalités qui les attendent sur le terrain ». Un mécénat en faveur de la transition écologique Les Arts et Métiers ont affirmé leur volonté d’intégrer la notion de transition écologique au sein de ses programmes d’enseignement. Quant à HeidelbergCement France, l’entreprise souhaite devenir une référence en matière de décarbonation de l’industrie cimentière. Pour cela, le groupe souhaite miser plus de 400 M€ en France. Les Arts et Métiers et HeidelbergeCement France partagent tous deux des valeurs communes et s’engagent pour une industrie plus durable. « Ce partenariat avec les Arts et Métiers s’inscrit dans la transformation en cours de l’entreprise. Les écoles sont essentielles. Puisqu’elles forment nos futurs collaborateurs et portent ainsi en elles une part de l’avenir de notre entreprise. C’est une aventure passionnante pour construire ensemble le monde de demain », conclut Bruno Pillon, président des activités d’HeidelbergCement France. Charline David
Il y a 3 ans et 115 jours

Une solution révolutionnaire de stockage de l’énergie dans le ciment

Les équipes du centre de recherche mondial du groupe Holcim, installé à L’Isle d’Abeau dans l’Isère, développent une technologie innovante de stockage de l’énergie en partenariat avec l’INSA Lyon et le ENGIE Lab CRIGEN (centre de R&D du groupe ENGIE). La solution consiste à utiliser des propriétés uniques de certains matériaux cimentaires qui leur permettent d’absorber 300kW d’énergie par mètre cube. Cette énergie stockée peut ensuite être libérée lorsque le matériau est hydraté. Ce cycle, peut être répétable à l’infini pour des usages communs comme la production d’eau chaude dans un logement collectif. Holcim et ses partenaires recherchent les meilleures façons d’intégrer efficacement cette technologie aussi bien au sein d’un réseau de chauffage commun que d’une infrastructure énergétique plus large. Cet article Une solution révolutionnaire de stockage de l’énergie dans le ciment est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 115 jours

Le Collectif de la Rénovation Globale en Copropriété intègre l’Alliance HQE-GBC

En France, environ 100 000 copropriétés soit 1,1 million logements sont considérés comme des passoires énergétiques. Rénover l’ensemble du parc immobilier au standard BBC d’ici 2050 est l’un des objectifs du projet de loi Climat et Résilience avec une étape visant à éliminer les passoires thermiques d’ici 2025. De plus dès 2028, il ne sera plus possible de louer un appartement classé F ou G. Face à cet enjeu majeur, il est apparu urgent aux acteurs de la filière de se mobiliser dans le cadre du Collectif de la Rénovation Globale en Copropriété (RGC) avec pour vocation de réfléchir et d’agir depuis l’intérieur et avec l’ensemble de la filière (MOA, Maîtrise d’Usage, MOE, AMO, Entreprises, Industriels, fournisseurs d’énergie et organismes de sensibilisation du public) dans le but de multiplier les rénovations globales efficientes en copropriété. Afin d’accélérer la massification de la rénovation énergétique des copropriétés, le Collectif vient d’intégrer l’Alliance HQE-GBC France en créant un groupe de travail dédié. Pour fluidifier le processus de rénovation globale et démultiplier les chantiers, le groupe de travail Rénovation Globale en Copropriété s’appuiera sur 4 axes d’actions fortes nourries par l’innovation collective : 1. Faciliter la commande de rénovations globales efficientes grâce à la systématisation de la réalisation d’un diagnostic technique global et la définition d’un langage commun pour mettre en place des guides et référentiels. 2. Proposer des outils opérationnels, notamment des formations par cœur de métier et interdisciplinaires, une base de données documentaire centralisée, une boite à outils de gestion de projet de rénovation, un mode de dévolution des marchés. 3. Développer le réseau des professionnels en déployant en régions la politique nationale de rénovation des copropriétés et en faisant la promotion des actions interprofessionnelles sur le territoire. 4. Innover dans les financements en exploitant les financements verts, les prêts avance mutation (PAM), le levier surélévation… Les membres actuels du groupe Rénovation Globale en Copropriété au sein de l’Alliance HQE-GBC France : UNIS, UNSFA, FNAIM, CINOV, SNPI, ANAH, Compagnie des Architectes de Copropriété, l’Échappée des Copropriétés, La Copro des Possibles, l’Agence Parisienne du Climat, le Plan Bâtiment Durable, Ile de France Énergies, Vert Durable, le Club de l’Amélioration de l’Habitat, , STO, Saint-Gobain, EDF, GRDF.   Photo : Jean-Charles Vaillant, Compagnie des Architectes de Copropriété – Olivier Safar, UNIS – Gérard Sénior, UNSFA – Emira Zaag, UNSFA – Marjolaine Meynier-Millefert, Présidente de l’Alliance HQE-GBC Alexandre Vitry, Compagnie des Architectes de Copropriété – Danielle Dubrac, UNIS – François Pelegrin, UNSFA  
Il y a 3 ans et 115 jours

Le Collectif de la Rénovation Globale en Copropriété intègre l’Alliance HQE-GBC

En France, environ 100 000 copropriétés soit 1,1 million logements sont considérés comme des passoires énergétiques. Rénover l’ensemble du parc immobilier au standard BBC d’ici 2050 est l’un des objectifs du projet de loi Climat et Résilience avec une étape visant à éliminer les passoires thermiques d’ici 2025. De plus dès 2028, il ne sera plus possible de louer un appartement classé F ou G. Face à cet enjeu majeur, il est apparu urgent aux acteurs de la filière de se mobiliser dans le cadre du Collectif de la Rénovation Globale en Copropriété (RGC) avec pour vocation de réfléchir et d’agir depuis l’intérieur et avec l’ensemble de la filière (MOA, Maîtrise d’Usage, MOE, AMO, Entreprises, Industriels, fournisseurs d’énergie et organismes de sensibilisation du public) dans le but de multiplier les rénovations globales efficientes en copropriété. Afin d’accélérer la massification de la rénovation énergétique des copropriétés, le Collectif vient d’intégrer l’Alliance HQE-GBC France en créant un groupe de travail dédié. Pour fluidifier le processus de rénovation globale et démultiplier les chantiers, le groupe de travail Rénovation Globale en Copropriété s’appuiera sur 4 axes d’actions fortes nourries par l’innovation collective : 1. Faciliter la commande de rénovations globales efficientes grâce à la systématisation de la réalisation d’un diagnostic technique global et la définition d’un langage commun pour mettre en place des guides et référentiels. 2. Proposer des outils opérationnels, notamment des formations par cœur de métier et interdisciplinaires, une base de données documentaire centralisée, une boite à outils de gestion de projet de rénovation, un mode de dévolution des marchés. 3. Développer le réseau des professionnels en déployant en régions la politique nationale de rénovation des copropriétés et en faisant la promotion des actions interprofessionnelles sur le territoire. 4. Innover dans les financements en exploitant les financements verts, les prêts avance mutation (PAM), le levier surélévation… Les membres actuels du groupe Rénovation Globale en Copropriété au sein de l’Alliance HQE-GBC France : UNIS, UNSFA, FNAIM, CINOV, SNPI, ANAH, Compagnie des Architectes de Copropriété, l’Échappée des Copropriétés, La Copro des Possibles, l’Agence Parisienne du Climat, le Plan Bâtiment Durable, Ile de France Énergies, Vert Durable, le Club de l’Amélioration de l’Habitat, , STO, Saint-Gobain, EDF, GRDF.   Photo : Jean-Charles Vaillant, Compagnie des Architectes de Copropriété – Olivier Safar, UNIS – Gérard Sénior, UNSFA – Emira Zaag, UNSFA – Marjolaine Meynier-Millefert, Présidente de l’Alliance HQE-GBC Alexandre Vitry, Compagnie des Architectes de Copropriété – Danielle Dubrac, UNIS – François Pelegrin, UNSFA   Cet article Le Collectif de la Rénovation Globale en Copropriété intègre l’Alliance HQE-GBC est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 115 jours

Viessmann et ISOLATION by TRYBA s’associent pour la rénovation énergétique

Viessmann a signé un partenariat national avec ISOLATION by TRYBA, expert en travaux énergétiques, pour accompagner la massification de la rénovation énergétique globale en maison individuelle. Ces deux entreprises familiales, références sur leurs marchés partagent des fondamentaux communs, comme expertise et savoir-faire, qualité et performances des produits et de la relation client. Cette offre déployée à partir du 1er mars 2022 au travers des 16 centres ISOLATION by TRYBA, propose aux particuliers, un interlocuteur afin de mener, en toute confiance, une rénovation énergétique globale de leur habitat : ITE, ravalement de façade, bardages, isolation des combles, ventilation et désormais génie climatique (avec des solutions en pompes à chaleur, climatisation, eau chaude solaire).
Il y a 3 ans et 116 jours

A Bordeaux, quai de Paludate, un projet mixte signé COSA

Quai de Paludate à Bordeaux (Gironde), l’agence parisienne COSA (Benjamin Colboc et Arnaud Sachet) construit un programme mixte associant un immeuble tertiaire et commerces et un second bâtiment où sont superposés un équipement municipal (centre de propreté), un parking silo de 420 places et 56 logements. Superficies : 12 000 m². Livraison 2022. Communiqué. Les métapoles […] L’article A Bordeaux, quai de Paludate, un projet mixte signé COSA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 116 jours

En Savoie, un distributeur local d'électricité à la dérive

La Société des régies de l'Arc (Sorea), fondée en 2006, est détenue principalement par huit communes de la vallée de la Maurienne, aux côtés d'actionnaires comme la Compagnie nationale du Rhône et la Caisse des dépôts et consignations.L'entreprise fournit à quelque 15.000 clients de l'électricité achetée à EDF à prix préférentiel, à condition de la revendre aux tarifs réglementés.Ce cœur de métier est habituellement rentable, mais un "développement hasardeux" de l'activité selon la CRC, avec la création d'une dizaine de filiales dans le négoce de lampes à LED, la fabrication de tuiles photovoltaïques ou la fibre optique, s'est conclu par un fiasco entaché de malversations.La filiale idWatt se voulait par exemple un "petit Amazon du LED" : elle achète un entrepôt de 10.000 mètres carrés et, pour près de deux millions d'euros auprès d'un obscur intermédiaire chinois, un stock de marchandises "obsolète et resté invendu".Ces errements coûtent cher : en 2017, la dette de la Sorea, qui emploie alors une centaine de salariés, s'élève à 27 millions d'euros, avec une perte nette de 2,7 millions. Elle frise la cessation de paiement et le tribunal de commerce de Chambéry lance une procédure de sauvegarde pour assainir la situation.Pour le président de la CRC, Bernard Lejeune, l'ancienne direction "a joué avec de l'argent public", tout en s'enrichissant personnellement.Primes ou indemnités indues, utilisation abusive de cartes bancaires, vente d'une villa, factures d'hôpital ou de restaurants, achat d'un véhicule de luxe, détention "occulte" d'actions pour toucher des commissions... le montant des griefs atteint plusieurs centaines de milliers d'euros.Ce dossier est le fruit d'une collaboration étroite entre la CRC et le parquet d'Albertville, qui a été soulignée lors d'une conférence de presse commune vendredi. "Sans vous (les CRC, NDLR), les parquets de cette taille ne peuvent pas traiter ce type d'affaires", a salué la procureure, Anne Gaches, à l'attention des magistrats financiers.L'enquête judiciaire, ouverte pour détournement de bien public, blanchiment et abus de confiance, devrait aboutir d'ici quelques mois. La peine encourue est de 10 ans de prison et un million d'euros d'amende.Le rapport de la CRC charge particulièrement l'ancien directeur général de la Sorea, qui n'a pas encore été entendu par la justice.Dans sa réponse au rapport de la chambre des comptes, il renvoie à la responsabilité d'autres cadres, assurant n'avoir rien caché des difficultés et dénonçant des "manœuvres" d'actionnaires à son encontre.La CRC épingle aussi le contrôle "très insuffisant" exercé par le conseil d'administration.
Il y a 3 ans et 116 jours

Le célèbre pont des Arts à Paris sera rénové en 2022

"Le travaux se tiendront bien cette année", a indiqué David Belliard, adjoint (EELV) à la voirie de la maire PS Anne Hidalgo, en réponse à une requête du maire LR du VIe arrondissement Jean-Pierre Lecoq au Conseil de Paris.Inaugurée en 1984 à l'emplacement d'un précédent pont du XIXe siècle, la passerelle située entre le Louvre et l'Institut de France, siège de l'Académie française, est mondialement célèbre pour sa perspective sur le fleuve, l'île de la Cité et le coeur de la capitale.En 2014, une partie du grillage du pont s'effondrait sous le poids de près d'un million de "cadenas d'amour", définitivement retirés l'année suivante en raison de la "dégradation durable du patrimoine" et du "risque" d'effondrement qu'ils engendraient, selon la Ville.Cette dernière avait remplacé les grillages par des panneaux à verre afin d'empêcher les amoureux de réinstaller ces cadenas, qui avaient fini par peser un total de 45 tonnes.Mais entre les rafistolages, les trous ou les planches branlantes, le platelage en bois de la passerelle "est en très mauvais état depuis des années", a souligné M. Lecoq.Au point de devenir un des symboles de saccageParis, le mouvement né début 2021 sur Twitter pour dénoncer le délabrement de la capitale, en particulier la mauvaise gestion du mobilier urbain et de la voirie par l'actuelle équipe municipale.Selon M. Belliard, le projet a été retardé par "la tension mondiale sur le marché du bois" mais "le marché est en cours pour désigner l'entreprisee prestataire" et "la préparation des travaux a été réalisée".Le platelage actuel sera "entièrement démonté et les planches actuelles en bon état seront transformées en lames, pour des bancs par exemple", a précisé l'élu écologiste.Interrogée par l'AFP, la mairie n'a pas pu préciser le calendrier ni le montant des travaux.
Il y a 3 ans et 116 jours

Résultats "records" pour Rexel en 2021

RÉSULTATS. Le spécialiste de la distribution de matériels électriques, Rexel, annonce des résultats "records" pour 2021, soit une hausse de +15,6% par rapport à 2020 en données comparable et à jours constants.
Il y a 3 ans et 116 jours

Risques professionnels : lancement d'une nouvelle subvention pour les TPE

SANTÉ-SÉCURITÉ. Pour aider les entreprises de moins de 50 salariés à acquérir des matériels permettant de réduire les risques de chutes de plain-pied et de hauteur, les troubles musculo-squelettiques ainsi que les lombalgies, l'Assurance maladie - Risques professionnels propose une nouvelle subvention baptisée Top BTP.
Il y a 3 ans et 116 jours

Procès du balcon d'Angers : les recommandations ministérielles doivent être mises en œuvre selon l'AFCAB

Le rapport d’expertise sur lequel s’est appuyée l’instruction a d’ores et déjà souligné de nombreuses malfaçons dans la construction des balcons du bâtiment, notamment relatives aux armatures du béton.Depuis de nombreuses années, l’AFCAB (Association Française de Certification des Armatures du Béton) sensibilise les professionnels du BTP et les pouvoirs publics à la nécessité de recourir à la certification des armatures et des entreprises de pose de ces produits, de façon à contribuer à la sécurité des constructions en béton, qu’il s’agisse de logements ou d’ouvrage de génie civil.Le drame d’Angers s’inscrit dans une série plus large d’effondrements de balcons, intervenus en France (Bordeaux, Nanterre, ...) comme à l’étranger (Allemagne, Suisse, Etats-Unis, ...). Dans ce cadre, l’AFCAB avait attiré l’attention des pouvoirs publics sur cette épidémie, de sorte que le Ministre en charge du Logement avait commandé une étude sur le sujet à l’Agence Qualité Construction (AQC), suite notamment à l’intervention de la Sénatrice du Maine-et-Loire Catherine Deroche.Publiée en novembre 2019, l’étude « Balcons : points de vigilance » avait ainsi mis en lumière de nombreuses pathologies affectant les balcons en béton, causées notamment par des insuffisances dans la pose des armatures. Elle recommandait en conséquence de systématiser les contrôles et auto-contrôles relatifs à la pose des armatures sur ce type de constructions.L’AFCAB s’est depuis mobilisée pour que ces recommandations soient suivies d’effets. Elle attend notamment que les pouvoirs publics prennent des dispositions leur conférant une véritable portée normative. Une systématisation du recours aux certifications des armatures et des entreprises de pose d’armatures pourrait faire partie de ces dispositions.
Il y a 3 ans et 116 jours

Présidentielle : pour quel candidat pensez-vous voter ?

ENQUÊTE BATIACTU. Selon vous, quel(le) est la ou le candidat(e) idéal(e) pour la filière de la construction, du BTP, de l'immobilier et du cadre de vie ? Quelles sont les priorités du secteur ? Faites entendre votre voix en répondant à notre sondage.
Il y a 3 ans et 116 jours

Logement : L'Institut Montaigne appelle à rebâtir nos ambitions

Pourtant, cette intervention importante de la puissance publique peine à répondre à la demande croissante de logements, notamment dans les zones tendues. Le prochain quinquennat doit être l’occasion de repenser cette politique afin d’en faire une grande cause nationale. Les constats que l’Institut Montaigne a établi dans son précédent rapport Politique du logement : faire sauter les verrous (2015) sont toujours d’actualité et méritent une attention renouvelée, en particulier la territorialisation de la politique de logement et la question de l’efficacité des dépenses publiques. À ces constats s’ajoutent de nouvelles évolutions : les réformes à l'œuvre dans le champ du logement social, la prise en compte croissante des enjeux environnementaux et les modes de vie changeants nés de la crise sanitaire et amènent à repenser l’aménagement de nos territoires. Autant d’enjeux que l’Institut Montaigne souhaite positionner au cœur du débat pour que la question du logement (re)devienne centrale dans les politiques publiques.Des besoins de logements différenciés…La France connaît une demande en logement croissante, reflétée par une hausse importante des prix de l’immobilier partout en France au cours des vingt dernières années. Entre 2005 et 2020, le prix au mètre carré des appartements neufs est passé de 2.757 € à 4.318 €, soit une augmentation de 57 % en quinze ans. Cependant, les besoins de logements et les tensions sur l’offre liées à ces derniers sont hétérogènes en fonction des territoires. L’indice de tension immobilière, qui mesure le rapport entre le nombre d’acheteurs et le nombre de biens à vendre, atteint 16 % dans les Hauts-de-Seine alors qu’il s’établit à - 1 % dans les Landes et dans le Gers. Les écarts de prix peuvent également être très significatifs au sein d’un même département : dans le Nord par exemple, il faut débourser en moyenne 3.500 € à Lille contre à peine 1.000 € à Maubeuge.…qui plaident pour la territorialisation de la politique du logementAujourd’hui, la politique du logement en France repose sur la logique d’une stratégie nationale pour des décisions locales : l’État définit l’objectif de construction de logements à échelle nationale et l’acte de construire résulte en premier lieu des compétences dévolues aux maires. Fixer des d’objectifs de construction à l’échelle du pays entier semble pourtant inadapté aux dynamiques territoriales et aux besoins qui en résultent. La baisse constante du nombre de permis de construire accordés et le décrochage de la France en la matière par rapport à ses voisins européens sont des indicateurs des ambivalences de ce système.Si l’on regarde cela d’encore plus près on constate que la politique du logement s’articule autour de nombreux acteurs sur plusieurs échelons :l’État définit la stratégie de la politique du logement au niveau national, et fixe des règles générales (aides financières, fiscales et personnelles au logement ; attribution des aides au logement social…) et les objectifs nationaux de la politique du logement (notamment en termes de construction de logements) ;la Région établit le SRADDET (schéma régional d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires) ;les Établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) peuvent définir les plans locaux d’urbanisme intercommunaux. L’exercice de cette compétence est aujourd’hui assurée par seulement 51,5 % des EPCI ;les Communes définissent des plans locaux d’urbanisme et délivrent les permis de construire. Ces deux compétences peuvent être déléguées à l’EPCI, même si dans les faits cela n’arrive que très rarement.Nos propositions pour territorialiser la politique du logementLa réponse aux enjeux de chaque territoire doit passer par le renforcement de la territorialisation des politiques de logement, tout en l’adaptant aux besoins de chacun. Donner plus de poids au local permettrait la constitution d’un véritable projet de territoire associant l’ensemble des acteurs concernés (services de l’État, collectivités territoriales, bailleurs sociaux, investisseurs institutionnels, etc.).Proposition n°1 : Accorder aux établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) un rôle de "chef de file" en matière de logement.Proposition n°2 : Mettre en place un mécanisme de contractualisation entre l’État et les intercommunalités en vue notamment de définir le cadre de la politique du logement à l’échelle du bassin de vie.Proposition n°3 : Rendre obligatoire les plans locaux d’urbanisme à l’échelle intercommunale.Proposition n°4 : Transférer la délivrance des permis de construire aux intercommunalités.Proposition n°5 : Faire du schéma régional d’aménagement, de développement durable et d’égalité des territoires un outil de planification de la politique du logement à l’échelle de chaque région. Le rôle de la Région gagnerait à être renforcé comme échelon de concertation et de pilotage de la politique du logement à échelle locale. En effet, la région est compétente en matière d’aménagement du territoire (en matière d’infrastructures de transport ou de prévention et de gestion des déchets par exemple) et elle pourrait se voir reconnaître un rôle effectif de planification et d’évaluation des besoins à satisfaire.Une forte demande en logements que la dépense publique ne parvient pas à satisfaireLes dépenses publiques liées au logement, qui représentent 1,6 % de notre PIB (contre 0,7 % au sein de l’Union européenne), ne consistent pas seulement à soutenir la construction de logements.Ces dépenses doivent être distinguées entre les dépenses pour le "hard" bâti, la construction, et celles pour le "soft", c’est-à-dire le soutien à la consommation de logement par les ménages. En réalité, c’est surtout ce deuxième type de dépenses qui sont les plus importantes, elles correspondent en effet à 22,1 milliards d’euros, tandis que les aides pour le "hard" représentent un montant d’environ 15,2 milliards d’euros. L’existence d’aides directes au profit des ménages permet de solvabiliser la demande, notamment des plus vulnérables. Rappelons que le taux d’effort des ménages - c’est-à-dire le pourcentage des revenus des ménages dédiés au logement - est globalement plus faible que dans le reste de l’Union Européenne, l’intervention de l’État reste donc nécessaire.Néanmoins, il existe toujours une demande sociale forte que la dépense publique ne parvient pas à satisfaire : pour ceux dont les ressources sont inférieures à 60 % du revenu médian, le taux d’effort s’établit à 36,3 % contre 14,7 % pour les autres alors que les dépenses publiques en faveur du logement sont près de deux fois supérieures à celles de nos voisins. À l’heure où le redressement des comptes nationaux est nécessaire, la faible efficacité de cette intervention publique massive doit nous pousser vers de nouvelles pistes de solutions.Nos propositions pour mettre en place une politique du logement plus efficaceProposition n°6 : Acter l’extinction du dispositif Pinel après 2024.Proposition n°7 : D’ici 2024 et la fin du dispositif Pinel, initier une réflexion sur l’opportunité de définir un régime pérenne pour les investisseurs particuliers, à l’image d’un "statut" du bailleur privé.Proposition n°8 : Simplifier le cadre juridique en limitant le recours à de nouveaux textes législatifs et en instituant une procédure de déclassement des dispositions de nature réglementaire dans la partie législative du code de la construction et de l’habitation.Proposition n°9 : Mettre fin aux dispositifs d’encadrement des loyers à tout le moins lors de la conclusion d’un nouveau bail.Une nouvelle réflexion sur le logement social semble nécessaireLe modèle français de logement social se distingue par son caractère "généraliste", c’est-à-dire qu’il ne cible pas seulement les plus démunis mais l’ensemble des ménages disposant de faibles revenus : dans les faits, c’est deux tiers des ménages qui sont susceptibles d’être éligibles au logement social. Cette conception, qui constitue le fondement de notre politique en matière de logement social, poursuit trois grands objectifs : favoriser la mixité sociale, accompagner l’ensemble des ménages modestes et influer sur le niveau global des prix. Pourtant, la demande exprimée par les plus vulnérables n’est qu’imparfaitement satisfaite. Selon les données de l’ANCOLS, les ménages devaient patienter un an et deux mois en 2019 avant de bénéficier d’un logement social. Dans Paris et sa proche couronne, l’attente atteignait plus de trois ans.Une réflexion d’ensemble sur ce qu’est le logement social en France, sa vocation et les publics auxquels il doit s’adresser doit permettre de s’interroger sur ce qu’est la mixité sociale et les parcours résidentiels qu’il faut encourager, la mobilité résidentielle - c’est-à-dire la possibilité d’évoluer au sein du parc social ou du parc social au logement libre - étant une problématique majeure dans le champ du logement social.Nos propositions pour faire évoluer le logement socialProposition n°10 : Initier en début de quinquennat une réflexion d’ensemble sur ce qu’est le logement social en France, sa vocation et les publics auxquels il doit s’adresser.Proposition n°11 : Évaluer, au moins dans les zones tendues, l’opportunité de recourir à des contrats de bail à durée déterminée dans le parc social afin d’accroître la mobilité résidentielle.Proposition n°12 : Évaluer l’opportunité de recourir largement au bail réel solidaire dans les zones tendues au-delà du seul champ du logement social.Poursuivre et massifier la rénovation énergétique : un impératif pour atteindre les objectifs de neutralité carbone d’ici 2050La question de la rénovation énergétique des bâtiments est devenue indissociable de la politique du logement. Selon les estimations réalisées par le Haut conseil pour le climat (HCC), l’investissement annuel public et privé en faveur de la rénovation énergétique des bâtiments est estimé à 13 milliards d’euros. Bien que conséquent, ce montant devra être multiplié au moins par deux dans les prochaines années pour atteindre les objectifs de neutralité carbone d’ici 2050. Pour y parvenir, de nombreux dispositifs ont été mis en place par les pouvoirs publics : "MaPrimeRénov" (2 milliards d’euros en 2022), de l’éco-prêt à taux zéro ou encore du taux réduit de TVA à 5,5 % pour certains travaux de rénovation, (1,5 milliard d’euros en 2022). De même, le prêt avance mutation (PAM +) et le prêt viager hypothécaire sont des dispositifs prometteurs.Si ces dispositifs semblent aller dans le bon sens, trois axes pourraient utilement guider l’action de l’État dans les prochaines années : viser la massification de la rénovation énergétique, simplifier l’accès aux dispositifs existants en créant par exemple un guichet unique et se garder de toute mise à contribution excessive des finances publiques.