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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 3 ans et 119 jours

[Livre] Le tour de France des acteurs de l’habitat participatif – Pierre Lefèvre

L’intérêt de l’habitat participatif est de « mieux construire » pour « mieux vivre ». Il s’agit de changer nos méthodes de construction et d’apporter des solutions collaboratives face aux enjeux du logement et du climat. L’ouvrage « Le tour de France des acteurs de l’habitat participatif » présente plusieurs exemples qui ont contribués à son essor en France. Ce n’est plus aujourd’hui […]
Il y a 3 ans et 120 jours

Les nouveaux attributs de la justice

Tribunal - A Mont-de-Marsan, l'édifice inauguré en septembre 2021 met dans la balance solennité des lieux et sérénité de l'accueil des justiciables.
Il y a 3 ans et 120 jours

Effondrement mortel d'un balcon à Angers : le procès des constructeurs s'est ouvert

Ce soir-là, une crémaillère organisée par deux soeurs et réunissant une trentaine de copains de fac et de tennis se transforme en cauchemar. La soirée se déroulait calmement au 4ème étage de la résidence "Le Surcouf", dans le centre d'Angers, lorsque vers 23H00, le balcon se décroche et bascule dans le vide, entraînant 18 jeunes dans sa chute de plus de 8 mètres.Antoine, 21 ans, Benjamin, 23 ans, Lou, 18 ans, et Baptiste, 25 ans, y laissent la vie, tandis que quatorze autres sont conduits en urgence à l'hôpital.Cinq prévenus comparaissent depuis mercredi matin devant le tribunal correctionnel d'Angers pour homicides et blessures involontaires: l'architecte Frédéric Rolland, 66 ans, maître d'oeuvre du chantier, dont le cabinet a pignon sur rue à Angers, le constructeur Patrick Bonnel, 72 ans, gérant d'une entreprise de gros oeuvre, et deux de ses salariés, Eric Morand, conducteur de travaux, 53 ans, et Jean-Marcel Moreau, 63 ans, chef de chantier. Le dernier prévenu, André de Douvan, 84 ans, était chargé du contrôle du chantier pour le groupe Apave. Ils encourent jusqu'à 3 ans de prison et 45.000 euros d'amende.Les débats de la matinée ont porté sur une question procédurale soulevée par les avocats de Frédéric Rolland. Cette demande de nullité aurait pu conduire à l'exclusion de 43 parties civiles et entraîner un renvoi du procès.Les échanges ont été particulièrement houleux entre le procureur Eric Bouillard et Me Patrick Descamps. "Dans un procès normal on s'en prend rarement aux victimes. Ca s'appelle montrer les pectoraux. Si ce procès doit être serein, ne commencez pas par me donner une leçon de droit", a lancé le procureur à l'adresse de Me Descamps."Ce qui est demandé d'évacuer 43 victimes de ce procès donne une impression de lâcheté, c'est une attitude très décevante", a déclaré Me Bertrand Salquain, avocat des parties civiles."Irresponsabilité"Les conclusions des enquêteurs ont été sans appel. Ecartant toute responsabilité des invités qui se trouvaient sur le balcon, et l'hypothèse d'un défaut d'entretien, elles incriminent en revanche les constructeurs.Béton gorgé d'eau, supervision désinvolte du chantier, arrangements avec les règles de construction, mauvais positionnement des armatures en acier... Surtout, les balcons qui devaient initialement être préfabriqués en usine ont finalement été coulés sur place sans que de nouveaux plans ne soient réalisés.Au total, 83 personnes se sont constituées parties civiles.Durant l'instruction, le conducteur de travaux Eric Morand est le seul à avoir reconnu une part de responsabilité, expliquant que le changement de mode de construction des balcons avait permis de gagner 14 semaines sur le calendrier des travaux."L'objectif était de gagner toujours plus d'argent. On n'utilise pas la bonne qualité de béton parce que c'est moins cher, on construit sur place pour éviter de payer des pénalités, on envoie un simple salarié suivre un chantier pour économiser sur des honoraires et on oublie le coeur même du métier", observe Me Louis-René Penneau, avocat de 32 parties civiles, dénonçant "l'irresponsabilité et l'inconscience totales" des constructeurs."L'architecte a une part de responsabilité indéniable comme le constructeur et l'Apave. Pour moi ce sont les trois principaux responsables", a réagi avant l'audience Me Laurence Couvreux, avocate des parties civiles.De son côté, l'avocat de Patrick Bonnel, Thierry Fillion, assure que son client, qui fut copropriétaire d'un appartement dans l'immeuble, "reconnaît des erreurs". "Il est extrêmement affecté. Il ne peut que reconnaître qu'il y a eu manifestement des malfaçons dont la société Bonnel est au moins en partie responsable".Frédéric Rolland est lui poursuivi pour son contrôle déficient du chantier.Le procès doit durer jusqu'au 4 mars.L'architecte affirme qu'il "ignorait" tout du chantierL'architecte et maître d'oeuvre de la résidence "Le Surcouf" à Angers, dont l'effondrement d'un balcon a tué quatre étudiants et blessé quatorze autres en 2016, a affirmé jeudi qu'il "ignorait tout du déroulé et du contenu" de la construction du bâtiment.Au deuxième jour du procès en correctionnelle, pour lequel 88 personnes se sont constituées parties civiles, les débats ont porté sur les contrats passés par les différentes entreprises intervenant sur le chantier et l'étendue de leurs missions.Construite à partir de 1997 et livrée en octobre 1998 avec une réception "sans réserve", la résidence "Le Surcouf", située dans le centre-ville d'Angers, compte 20 logements d'habitations, un ensemble "relativement petit", a commenté la présidente du tribunal, Catherine Ménardais.En mars 1997, l'entreprise Comine, maître d'ouvrage, a passé un contrat avec le cabinet d'architecte Rolland afin d'assurer la maîtrise d'oeuvre complète du projet, pour huit millions d'euros.Cette mission complète "comporte toutes les phases de la construction, les études préliminaires, l'obtention du permis de construire, les avant-projets, les appels d'offres et le contrôle, la surveillance et la réception des travaux", a rappelé Mme Ménardais.L'architecte Frédéric Rolland, l'un des cinq prévenus, qui exerçait alors en entreprise individuelle et non sous la forme juridique d'une société, a expliqué qu'il s'agissait d'un bâtiment sans "complexité architecturale particulière"."Le contrat a été signé par le secrétaire général (du cabinet Rolland, décédé depuis, ndlr) avec le tampon de l'atelier Rolland et sa signature", a expliqué M. Rolland, qui a repris en 1989 l'affaire de son père."L'atelier s'appelle Frédéric Rolland, je suis l'architecte de l'agence (...) C'est un projet dont j'ignore tout le déroulé et le contenu. Je suis le titulaire d'un contrat que je n'ai pas signé, comme les contrats précédents", a déclaré M. Rolland.
Il y a 3 ans et 120 jours

Emmanuel Macron annonce la commande de six EPR2 et de 50 parcs éoliens offshore

ÉNERGIES. En visite à Belfort, le chef de l'État a annoncé la commande de six réacteurs à eau pressurisée de nouvelle génération, avec une option portant sur huit autres. Les centrales actuelles pourront quant à elles voir leur durée de vie prolonger au-delà de 50 ans, sous conditions. Le président de la République a également annoncé la création d'une cinquantaine de parcs d'aérogénérateurs maritimes d'ici 2050.
Il y a 3 ans et 120 jours

Les fabricants d'isolants alertent le gouvernement sur la baisse brutale des ventes liée à la fin des primes CEE

Baisse brutale des ventes d’isolants liée à la fin des primes CEEL’ECIMA tire la sonnette d’alarme face à la baisse brutale des ventes d’isolants : les ventes de capots de protection de spots encastrés, qui reflètent la tendance générale du marché sur tous les types d’isolants en combles, sont en chute de 80% depuis le mois d’octobre par rapport à l’année précédente, tandis que le volume de ouate de cellulose s’effondre de 50% sur la même période. Une chute des ventes directement liée à la baisse des primes CEE initiée mi-2021 pour faire fuir les éco-délinquants.Pour l’ECIMA, les mesures adoptées par le gouvernement pour mettre fin aux primes CEE sont trop brutales et mettent en difficulté la filière, tout comme les ménages français qui peinent à isoler leur logement, à l’heure où les prix de l’énergie sont au plus haut et pénalisent le pouvoir d’achat des consommateurs.« Le risque à court terme est de voir une partie des acteurs de la filière disparaître et, avec eux, le savoir-faire acquis ces dernières années. Le résultat sera indéniablement une chute de la qualité des travaux et donc de la performance des bâtiments rénovés, ce qui est exactement l’inverse de notre objectif commun », avertit M. Emmanuel BAVOUSET.Conserver des CEE attractifs pour les ménages modestesDans l’objectif de soutenir la filière de l’isolation et de préserver le pouvoir d’achat des consommateurs, l’ECIMA sollicite un entretien au Ministère de la Transition écologique et demande la stabilité des dispositifs CEE, avec notamment la mise en place d’un calendrier progressif pour la diminution des aides à l’isolation, ainsi que le maintien de CEE attractifs pour les ménages les plus précaires.Le Président de l’ECIMA réclame par ailleurs que les organisations professionnelles des industriels et des installateurs, qui analysent la réalité des chantiers et veillent à la qualité des travaux d’isolation, soient associés aux discussions concernant les primes CEE.Le courrier de M. Emmanuel BAVOUSET à M. Alexandre DOZIÈRES daté du 8 février a également été adressé à :Cabinet LogementDavid JUIN, Conseiller Rénovation énergétique et ConstructionGuillem CANNEVA, Directeur de cabinet adjointCabinet Transition ÉcologiqueJack AZOULAY, Directeur de cabinetAlexandre CHEVALLIER, Conseiller Énergie et ClimatCabinet Economie, Finances et RelanceCharlotte GOUNOT, Conseillère chargée de la Relance, de la Transition écologique et du Suivi de l’exécution des réformesPremier MinistreStanislas REIZINE, Conseiller technique EnergieCédric LORET, Conseiller technique LogementDirection générale de l’énergie et du climat (DGEC)Olivier DAVID, Chef du service climat et efficacité énergétiqueAnnick Billon, Sénatrice de la Vendée
Il y a 3 ans et 120 jours

Au Havre, K Architectures redynamise un quartier avec le pôle multiculturel Simone Veil

DIAPORAMA. L'agence parisienne a imaginé un grand bâtiment d'équipements sportif et multiculturel dans cette ville portuaire de Normandie. Visite en images...
Il y a 3 ans et 120 jours

Procès du balcon effondré d'Angers : l'architecte se défend

JUSTICE. L'architecte et maître d'oeuvre de l'immeuble où se trouvait le balcon qui s'est effondré en 2016 s'est vivement défendu au tribunal d'Angers. Le prévenu s'est défini comme un "homme de l'art" et a écarté sa responsabilité dans cette affaire.
Il y a 3 ans et 120 jours

Enquête pour favoritisme concernant des projets d'aménagement à l'Haÿ-les-Roses

JUSTICE. Une plainte d'Anticor a déclenché l'ouverture d'une enquête impliquant le maire de l'Haÿ-les-Roses et l'aménageur public Citallios, concernant des lots revendus à des promoteurs à des prix inférieurs à ceux du marché.
Il y a 3 ans et 120 jours

Tour Triangle : Unibail-Rodamco-Westfield a lancé les travaux

GRANDS PROJETS. Le géant des centres commerciaux a annoncé le lancement de la construction d'un de ses projets-phares, la controversée Tour Triangle à Paris, malgré une dette toujours lourde.
Il y a 3 ans et 120 jours

3DS : le cabinet de Jacqueline Gourault s’explique

Des routes aux éoliennes en passant par les opérations de revitalisation du territoire, la loi 3DS appelle de nombreuses demandes d’éclaircissement, après le vote définitif des deux assemblées, les 8 et 9 février. Les retours du terrain encouragent le cabinet de la ministre de la Cohésion des territoires Jacqueline Gourault : « Les maires se l’approprient », se réjouit un de ses membres qui y voit le résultat du travail de co-construction auquel ont participé 2000 élus locaux.
Il y a 3 ans et 120 jours

Bilan final du programme PROFEEL pour faciliter et fiabiliser la rénovation énergétique des bâtiments existants

Toute une collection d’outils et de ressources est désormais disponible gratuitement pour accompagner les professionnels dans leurs pratiques quotidiennes et à toutes les étapes des projets de rénovation. Artisans, entreprises, acteurs de la maîtrise d’œuvre et maîtres d’ouvrages, trouveront dans cette boîte à outils, des solutions pratiques et innovantes pour favoriser des décisions de rénovation performante et sécuriser la qualité des travaux engagés. Ces ressources sont accessibles via le site programmeprofeel.fr. Un double enjeu : favoriser les travaux et sécuriser l'atteinte des performancesFruit de la réflexion de 16 organisations professionnelles de la filière Bâtiment, le programme PROFEEL s'inscrit dans une dynamique d'accélération des projets de rénovation. Sur l'année 2021, l'Anah a comptabilisé plus de 750 000 logements rénovés, soit le triple de 2020. Les perspectives pour 2022 sont encourageantes, boostées par un nouveau fléchage budgétaire de l'Etat pour MaPrimeRenov' et par le lancement, le 12 janvier dernier, de France Renov', qui devient l'unique service public pour tous les projets de rénovation.Les actions menées dans le cadre du programme PROFEEL répondent ainsi à deux grands enjeux :Favoriser des décisions de rénovation performante et accentuer le volume de travaux de rénovationSécuriser l'atteinte des performances recherchées et améliorer la qualité des travaux engagés9 projets ont été mis en oeuvre entre 2019 et fin 2021 par l'Agence Qualité Construction (AQC) et le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB), les deux porteurs du programme. Plus d'une centaine de scientifiques, d'experts techniques et de professionnels en activité, ont ainsi été mobilisés durant 3 années.« Cette mobilisation s'est construite autour d'une volonté commune de s'appuyer sur l'innovation, qu'elle soit technique ou numérique, pour outiller et accompagner les professionnels du bâtiment sur le marché de la rénovation énergétique. Elle s'appuie également sur le constat partagé que le renforcement de la confiance entre les maîtres d'ouvrages et les professionnels est une clé importante pour atteindre nos objectifs d'amélioration de l'efficacité énergétique du parc des bâtiments existants. » Nadia Bouyer, Présidente de PROFEELDes outils innovants pour accompagner toutes les étapes de la rénovationPROFEEL, c'est aujourd'hui toute une collection d'outils pratiques, mis gratuitement à disposition des acteurs de la rénovation sur le site du programme : programmeprofeel.fr.Artisans, entreprises du bâtiment, architectes, bureaux d'étude, mais aussi particuliers, bailleurs ou collectivités territoriales… des ressources PROFEEL existent pour accompagner chaque acteur de l'acte de rénover dans ses pratiques professionnelles et ses futurs projets de rénovation. Si certains outils s'adressent à plusieurs métiers, d'autres peuvent concerner un métier très spécifique.Par ailleurs, la collection d'outils PROFEEL rassemble une grande variété de formats : des services web tels que GO-Rénove et Rénover-Densifier, des applications numériques à l'instar de Check'Réno et PAC'Réno, des référentiels techniques, des collections de fiches pratiques, des protocoles de mesure avec leurs kits opérationnels tels que SEREINE, ainsi qu'un ensemble d'outils de sensibilisation et de ressources pédagogiques accessibles en ligne, sous la forme de podcasts, tutoriels vidéo, webinaires thématiques, MOOC, etc…Ces ressources permettent de faciliter et optimiser toutes les étapes d'un projet de rénovation énergétique : aussi bien en amont, pour donner envie de s'engager dans des travaux, qu'au cours des travaux et à l'issue de ceux-ci, pour sécuriser l'atteinte des performances.« Notre enjeu, maintenant, est de faire connaître toute la richesse de ces productions collectives, pour qu'elles soient partagées par le plus grand nombre et qu'elles contribuent efficacement à une massification qualitative de la rénovation. » Nadia Bouyer, Présidente de PROFEEL
Il y a 3 ans et 120 jours

Modénatures de façade sur mesure, sur ITE, pour reconstruction à l’identique

Un bâtiment centenaire strasbourgeois attaqué par la mérule est démoli puis reconstruit en appliquant un système d’isolation par l’extérieur StoTherm Vario et en reproduisant ses anciens ornements de façade grâce aux éléments sur mesure StoDeco.   La grande maison du 5 rue de l’Abbé Lemire, à Strasbourg, a connu une période tourmentée et a bien failli […]
Il y a 3 ans et 120 jours

Lancement du chantier controversé de la tour Triangle, un des projets-phares de Paris

La Tour Triangle, projet pharaonique chiffré à 660 millions d'euros, commence à sortir de terre dans le XVe arrondissement. Des silos de plusieurs mètres de haut y ont fait leur apparition sur le site des travaux.Une fois terminé, ce gratte-ciel de 180 mètres et 42 étages, dont la livraison est prévue au premier semestre 2026, doit devenir le troisième immeuble le plus haut de Paris, derrière les tours Eiffel et Montparnasse."Ça participe de la philosophie de développement du groupe, qui est un opérateur des grandes villes", s'est félicité auprès de l'AFP le président d'URW, Jean-Marie Tritant. "Cette tour fait une couture urbaine entre Issy-les-Moulineaux et Paris, elle participe à l'évolution de la ville de demain".Le projet, lancé en 2008, a été validé en 2015 sous la mandature d'Anne Hidalgo malgré la vive opposition de ses alliés écologistes et d'élus de droite dont Philippe Goujon, le maire (LR) du XVe."Le quartier va être sinistré pendant plusieurs années", s'est-il indigné auprès de l'AFP, dénonçant déjà un "ballet ininterrompu de camions qui vont délivrer du béton, quatre grues géantes..."Le parquet de Paris a ouvert en juin une enquête préliminaire pour "favoritisme" autour de la concession sur laquelle doit être bâtie la tour.Prévue essentiellement pour des bureaux, qui occuperont les trois quarts de ses 91.000 mètres carrés de surface, elle abritera également un hôtel de 130 chambres, une crèche et des commerces, mais est conçue comme "réversible", c'est-à-dire facilement transformable en logements.Redresser la barreSigne de sa fragilité financière, le groupe a réduit à 30% sa participation au chantier en lançant une coentreprise avec l'assureur Axa pour réduire ses coûts.En 2021, la foncière, propriétaire du Forum des Halles à Paris ou du centre commercial de la Part-Dieu à Lyon, a vu ses résultats s'éroder encore, largement à cause des restrictions anti-Covid en Europe pendant le premier semestre.Son chiffre d'affaires s'est établi à 1,72 milliard d'euros, soit moins qu'en 2020 (-3,7%, -1,6% à périmètre constant), tandis que son résultat net récurrent, indicateur de référence pour les foncières, a rétréci à 1,01 milliard (-4,9%).Mais le groupe a redressé la barre, avec un taux de vacance qui a nettement reculé au second semestre (à 7%, -1,3 point en un an), grâce aux réouvertures permises par la campagne de vaccination."C'est quand même une entreprise qui a subi un énorme +stress test+ en 2020 et 2021. On a fermé à plusieurs reprises les centres commerciaux, l'activité événementielle, et là, on voit une reprise", note Florent Laroche-Joubert, analyste chez Oddo BHF.L'activité événementielle du groupe, qui possède plusieurs parcs d'expositions dont celui de Villepinte (Seine-Saint-Denis), s'est relevée avec 32 millions d'euros de chiffre d'affaires, contre 6 en 2020.Bye bye USA ?Mais le groupe est toujours corseté par une dette de 22,6 milliards d'euros (contre 24,2 milliards fin 2020), produit de l'absorption en 2018 du groupe Westfield et de son large portefeuille aux Etats-Unis, jamais totalement digérée.Il n'engage ainsi plus de nouveaux investissements seul, et a promis de céder pour 4 milliards d'actifs en Europe d'ici à la fin de l'année.Il en est pour l'heure à 2,5 milliards, la dernière cession en date étant une part de 45% dans le centre commercial Carré Sénart, en région parisienne, reprise par les filiales assurances de la Société Générale et BNP Paribas."La deuxième partie de cet effort, c'est la réduction drastique de notre exposition au marché américain", explique à l'AFP Jean-Marie Tritant, qui avait pris la tête d'URW après une fronde d'actionnaires menée par Xavier Niel, premier actionnaire du groupe, et Léon Bressler, l'ancien patron, opposés à l'acquisition de Westfield."On aura engagé dans le courant de l'année 2022 la sortie de tout ou partie des Etats-Unis", a assuré Jean-Marie Tritant lors d'une conférence téléphonique.A la Bourse de Paris, vers 09h40, le titre URW prenait 5,79% à 70,48 euros dans un marché en légère hausse de 0,13%.
Il y a 3 ans et 120 jours

Revalorisation exceptionnelle de 10% du barême kilométrique pour les impôts 2021

Conformément à l'annonce du Premier Ministre, le barème kilométrique sera revalorisé de 10 % pour l’imposition des revenus de l’année 2021.
Il y a 3 ans et 120 jours

En 2021, AkzoNobel affiche de bonnes performances

RESULTATS. Le spécialiste de la peinture, AkzoNobel, connu pour ses marques Dulux Valentine et Sikkens, est en forme et annonce un chiffre d'affaires en hausse de 12% sur l'année 2021, notamment grâce à un ajustement des prix face à l'inflation des matières premières.
Il y a 3 ans et 120 jours

L'architecte des réformes Macron fait des propositions pour atteindre le plein emploi

"Après les réformes du code du travail et de l'assurance chômage, c'est par un recentrage des formations sur les besoins en compétences des entreprises que notre pays pourra retrouver le plein emploi", a estimé mercredi devant des journalistes l'ancien directeur de cabinet de Muriel Pénicaud, maître-d'oeuvre de la réforme de la formation de 2018 qui a revu en profondeur l'apprentissage et le compte personnel formation (CPF).A la tête d'un cabinet de conseil, constitué avec d'autres anciens de l'équipe Pénicaud, M. Foucher suggère d'investir dans les compétences 25 milliards d'euros en plus sur 5 ans (soit 0,2% du PIB) et met sur la table des propositions qui n'engagent que lui, et pas le futur candidat Macron, assure-t-il.Afin de "dire la vérité aux jeunes et aux familles", il veut ainsi publier sur Affelnet et Parcoursup les taux d'insertion dans l'emploi de tous les lycées professionnels et CFA. Les sections qui présenteraient deux années de suite un taux d'insertion dans l'emploi inférieur à 50% seraient fermées ou cesseraient d'être financées. Même règle pour les formations des demandeurs d'emploi.Autre proposition qui ne manquerait pas d'être controversée, M. Foucher suggère de "créer un mécanisme incitant à arrêter les études plus tôt pour les reprendre plus tard", fort du constat que "plus de 60% d'une génération se lance dans des études supérieures alors que le marché du travail est constitué à plus de 50% par des emplois de niveau ouvrier et employé".Ce décalage "se résorbe par le déclassement et le chômage: une partie des jeunes diplômés accepte des emplois sous-qualifiés (20% des emplois d'ouvriers et d'employés sont tenus par des bacheliers et des diplômés du supérieur) et une autre partie rejette les emplois peu qualifiés qui restent non pourvus", estime-t-il.Aussi suggère-t-il de doter de 8.000 euros supplémentaires le CPF des jeunes qui arrêtent leurs études au bac pour financer ultérieurement une reconversion.Davantage de jeunes entreraient plus tôt sur le marché du travail, "sans avoir le sentiment d'être enfermés toute leur vie dans des métiers peu attractifs", selon lui.Enfin il propose d'aider les personnes faisant une reconversion vers les métiers de la transition écologique ou stratégiques, qui verraient leur CPF abondé ou bénéficieraient de l'assurance chômage.
Il y a 3 ans et 120 jours

Une formation e-learning RE2020 pour les agents technico commerciaux BPE du SNBPE

Depuis le 26 janvier, le Syndicat National du Béton Prêt à l’Emploi a développé une formation e-learning à destination des agents technico commerciaux BPE de ses entreprises adhérentes sur la RE2020.
Il y a 3 ans et 120 jours

Somfy accompagne ses clients dans le cadre de la RE2020, grâce à ses solutions et en leur proposant un démonstrateur en ligne

Dans le cadre de la nouvelle Réglementation Environnementale 2020 (entrée en vigueur le 1er janvier 2022), les bureaux d’études ont un rôle clé pour déterminer la conformité d’une construction neuve, en partenariat avec les promoteurs, constructeurs, architectes et installateurs, ainsi que les industriels du bâtiment. Pour les accompagner dans l’optimisation de la performance globale des […]
Il y a 3 ans et 120 jours

Valobat accueille au sein de ses associés l’Union des Industriels et Constructeurs Bois : vers toujours plus de représentativité des matériaux

L’entrée prochaine de l’UICB* au capital de Valobat** illustre la promesse et l’ambition du futur éco-organisme : être représentatif de la pluralité des Produits et des Matériaux de Construction du Bâtiment, en prenant en compte les enjeux spécifiques des déchets qui en sont issus. Alors qu’il prend une place de plus en plus importante sur […]
Il y a 3 ans et 120 jours

REP POUR LES PRODUITS ET MATERIAUX DE CONSTRUCTION

Ecominéro : l’éco-organisme de la filière minérale compte déjà plus de 500 futurs adhérents Ecominéro a lancé sa campagne de pré-adhésion à l’automne dernier. L’éco-organisme de la filière minérale, présidée par Michel André, directeur général CEMEX Matériaux Europe de l’Ouest, se félicite de la confiance accordée par plus de 500 sociétés du secteur, qui le […]
Il y a 3 ans et 120 jours

Tryba poursuit ses objectifs de croissance pour 2022 et dévoile les résultats prometteurs de 2021

Ces résultats encourageants en 2021 vont permettre à Tryba, qui a déjà convaincu les porteurs de projet par son concept pérenne et rentable depuis 42 ans, de poursuivre son développement sur tout le territoire.Le réseau dispose cependant encore d’une trentaine de secteurs disponibles en France, autant dans des grandes villes que dans des villes de taille moyenne. Forte de son expertise dans l’accompagnement de ses concessionnaires, la marque intègre aujourd’hui 80 % d’entrepreneurs qui ne sont pas issus du secteur de la menuiserie, affichant, au bout de 3 ans, une rentabilité de 8 à 10 %. Des objectifs atteints pour 2021Avec 15 ouvertures en 2021, Tryba enregistre de bonnes performances, et ce, malgré la crise sanitaire. Ce bilan met en lumière la dynamique du réseau et la confiance des Français envers la marque alsacienne.Répartis sur toute la France, les nouveaux points de vente Tryba sont venus étendre en 2021 le maillage territorial de la marque en offrant plus de proximité à ses clients grâce à l’ouverture de 7 Espaces-Conseil (zone de chalandise de 150 000 à 200 000 habitants), 7 magasins secondaires et 1 Carré Tryba. Tous ces magasins servent à renforcer la présence d’un concessionnaire sur le secteur géographique exclusif qui lui est concédé.Dorénavant, il est possible de découvrir l’enseigne dans les villes suivantes : Espace conseil : Saint Maur des Fossés (94) Lons le Saunier (39) Seclin (59) Dunkerque (59) Lille (59) Saint-Berthevin (53) Maromme (76) Magasin secondaire : Sézanne (77) Monistrol (43) Crest (26) Propriano (20) Saint-Girons (09) Les Sables d'Olonne (85) Carré Tryba : Mayenne (53)En parallèle des ouvertures de concessions, le modèle de franchise participative, dénommé « Carré Tryba » instauré en 2013 (zone de chalandise de 70 000 habitants), continue de se développer avec une ouverture à Mayenne (53) en 2021. Ainsi, depuis 2013, Tryba a développé 19 Carrés, dont 11 sont devenus concessionnaires en 3 ans.Quant aux reprises de fonds de commerce, elles sont régulières puisque la marque âgée de plus 40 ans dénombre des concessionnaires qui ont rejoint le réseau depuis de longues années et qui veulent notamment partir à la retraite après une belle carrière aux côtés de l’enseigne. Tryba leur trouve alors un successeur. Ainsi, en 2021, 4 rachats de concessions ont eu lieu dans le réseau.Une dynamique qui se poursuit en 2022Alors que les Français viennent de passer plusieurs mois chez eux, le marché de l’amélioration de l’habitat bénéficie aujourd’hui de l’effet confinement. En effet, une étude de l’institut CSA pour HomeServe révèle que 94% des Français se voient investir autant (73%), voire plus (21%) dans les postes de dépenses liés à la maison (aménagement, entretien, travaux), au détriment d’autres postes (loisirs, sorties, etc.)[1]. De fait, les 15 points de vente Tryba ouverts en 2021 connaissent un bon lancement.Tryba va également étendre son réseau au 1er semestre 2022, avec 14 magasins en cours d’ouverture dans les secteurs géographiques suivants :Espace-Conseil :Faulquemont (54)Chaumont (54)Châtellerault (86)Saint Marcel Les Valences (26)Alès (30)Sotteville-les-Rouen (76)Beaune (21)Les Lilas (93)Angoulême (16)Abbeville (80)Magasin secondaire :Langon (33)Gaillan en Médoc (33)Veigné (37)Pontcharra (38)Grâce à son réseau mature, Tryba compte actuellement le plus grand nombre de points de vente de menuiseries en France. Si elle confirme sa position de leader sur le marché de la rénovation des fenêtres, portes d’entrée, volets, portes de garage et accessoires, la marque garde le cap des objectifs d’implantations dans les régions suivantes, où des secteurs sont encore disponibles :Hauts-de-France : Béthune (62) et Lens (62)Normandie : Le Havre (76), Yvetot (76), Dieppe (76), Saint-Lô (50), Coutances (50) et Bayeux (14)Bretagne : Brest (29), Montfort-sur-Meu (35) et Redon (35)Pays de la Loire : Pornic (44) et Les Herbiers (85)Centre : Loches (37)Nouvelle-Aquitaine : Niort (79), Bressuire (79), Cognac (16), Villeneuve-sur-Lot (47), Agen (47) et Mont-de-Marsan (40)Grand Est : Charleville-Mézières (08), Bar-le-Duc (55) et Epinal (88)Auvergne - Rhône-Alpes : Montluçon (03), Moulins (03) Roanne (42) et Aurillac (15)Bourgogne – Franche-Comté : Auxerre (89), Nevers (58), Fontaine-les-Dijon (21), et Avallon (89)Corse : Bastia et AjaccioTryba offre également de nombreuses opportunités de reprises sur tout l’hexagone, aux entrepreneurs qui préfèreraient racheter une concession existante, avec un chiffre d’affaires établi et une équipe déjà en place.Une formation initiale et un accompagnement solideTryba a à cœur de transmettre son savoir-faire unique aux porteurs de projet, d’autant plus que 80 % de ces derniers ne sont pas issus du secteur de la menuiserie. Pour y parvenir, le franchiseur Tryba dispense auprès des nouveaux concessionnaires une formation initiale gratuite de trois semaines, indispensable pour maitriser tous les domaines : produits, commerce, technique, logiciels informatique.La marque aide et accompagne étape par étape ses nouveaux entrepreneurs, tout au long du processus de création ou de reprise d’une concession, au travers de différentes actions :La présentation des secteurs disponibles en création et/ou des concessions à racheter.La découverte précise du métier avec un stage « vis ma vie » sur le terrain, en concession-pilote.La recherche et la négociation de locaux adaptés.La recherche de financement.La création de la société.La formation du concessionnaire à son nouveau métier.Après ce processus d'environ 9 mois pour mener à bien leur projet personnalisé, les nouveaux concessionnaires prennent la tête d'une structure à taille humaine, avec une équipe polyvalente de 6 à 8 personnes (assistant, commerciaux et techniciens-poseurs), positionnée comme référence sur un secteur géographique exclusif étendu.En parallèle, de nombreux outils permettent également aux concessionnaires de se former en continu : formations « produits » et pose chaque année, tutoriels ou encore programmes e-learning. Par ailleurs, ils bénéficient pendant 6 mois, d’un accompagnement soutenu par 3 formateurs techniques de la cellule ouverture . Véritable lien entre les franchiseurs Tryba et leur réseau, 9 animateurs-réseau sont répartis par grandes régions.
Il y a 3 ans et 120 jours

Les propositions de la Filière Béton aux candidats à la présidentielle

La Filière Béton se mobilise pour proposer des solutions sociétales et politiques auprès des candidats aux élections présidentielles 2022. La Filière Béton se mobilise pour la construction décarbonée. Dans le cadre de l’élection présidentielle 2022, elle souhaite faire connaître des solutions sociétales et politiques auprès des candidats. Plus particulièrement, elle évoquera des solutions de dynamisation de l’activité dans les territoires. Favorable à la RE 2020, la filière s’est engagée dans la réduction de ses émissions de gaz à effet de serre, suivant la même trajectoire que la Stratégie nationale Bas Carbone. Notamment au niveau de l’industrie du ciment qui a diminué de 39 % son impact carbone entre 1990 et 2018. De nombreux investissements sont en cours pour permettre à la profession d’atteindre – 80 % d’ici 2050. Ainsi, les propositions de la Filière Béton, pour les candidats à la présidentielle, s’articulent autour de plusieurs axes. La ville de demain en ligne de mire Tout d’abord, la Filière Béton s’est focalisée sur le logement. Cela, dans l’optique de construire plus, mieux et à coût maîtrisé. Parmi ses recommandations, elle demande aux pouvoirs publics d’investir au-delà des 650 M€ prévus pour le recyclage des friches, afin de faciliter la construction d’habitations. En parallèle, la Filière souhaite engager une réflexion collective autour de la sécurité pour élaborer de nouveaux outils permettant de simuler de façon optimale la prévention des incendies. Elle insiste aussi sur la nécessaire tenue d’un sommet pour la relance de la construction. Lire aussi : Pénuries sur les matières premières : La Filière Béton résiste Ensuite, la Filière a voulu mettre l’accent sur la question de l’urbanisme. En effet, la ville de demain devra faire face à différentes problématiques comme la limitation de l’étalement urbain, les catastrophes naturelles. Ou encore, la hausse démographique et le besoin d’un retour à la nature dans les villes. La Filière Béton incite pour privilégier les solutions béton qui permettent de concevoir de manière durable et résiliente. Et ainsi, favoriser le confort des citoyens, tout en évitant la création d’îlots de chaleur. Les axes stratégiques de la Filière Béton Le troisième axe centré sur l’économie circulaire ouvre la discussion sur la dynamisation du territoire, ou encore l’approvisionnement durable et le maillage des sites de production et d’extraction de matières premières. Pour la Filière Béton, la commande publique, la valorisation du caractère local des produits et des emplois ou l’économie de la fonctionnalité sont autant de leviers à actionner. L’objectif est de limiter l’empreinte carbone des constructions de leur début à leur fin de vie. Lire aussi : Cerema : Un label pour accompagner l’économie circulaire Favoriser l’économie circulaire nécessite aussi la rénovation et le développement de nombreux axes de circulation. Cela, afin de garantir la croissance économique, commerciale et la sécurité. Dans son quatrième axe, consacré aux réseaux, la Filière demande la création de galeries multi-réseaux, d’intégrer des réseaux en sous-sols, de développer de nouvelles mobilités. Mais aussi, de rénover les ponts/infrastructures et de favoriser les axes ferroviaires et maritimes. Enfin, la gestion de l’eau constitue le dernier axe. L’urbanisation croissante a réduit l’infiltration naturelle et a augmenté le ruissellement. C’est pourquoi, pour protéger les zones urbanisées, approvisionner et retraiter l’eau destinée aux citoyens, la Filière rappelle la pertinence technique de ses solutions.
Il y a 3 ans et 120 jours

Bâtiment et industrie: les chefs d'entreprise anticipent des difficultés persistantes d'approvisionnement

Au mois de janvier, 55% des entreprises industrielles et 52% des entreprises du bâtiment faisaient état de difficultés d'approvisionnement, selon l'enquête mensuelle de conjoncture de la Banque de France.
Il y a 3 ans et 120 jours

Top départ pour le chantier du premier immeuble d'habitation bois R+6, en Bretagne

Le premier immeuble d'habitation bois de 6 étages Dans le cadre de la dernière tranche opérationnelle de la ZAC Beauregard-Quincé, l'aménageur Territoires a lancé une consultation en 2018 pour la réalisation de logements en accession libre intégrant une démarche de développement de la filière locale de construction bois. L'appel à manifestation d'intérêt (AMI) « Construction Bois pour Tous » initié par Rennes Métropole, avec Fibois Bretagne (la filière bois en Bretagne), a retenu ATARAXIA Promotion pour le plus ambitieux des 11 programmes immobiliers. Premier immeuble d'habitation de cette hauteur en Bretagne, il se compose de 111 logements en accession à la propriété, 72 en collectif (R+6, soit 25m de haut) et 39 maisons individuelles. Tout en construction à ossature bois (poteaux, poutres, planchers, refends, façades) ils sont répartis sur trois îlots fonciers distincts, qui feront l'objet de trois copropriétés.Un engagement précurseur pour la construction bois en BretagneConscient que la construction est un élément qui pèse dans l'activité carbonée, la volonté d'ATARAXIA Promotion est d'être le plus éco responsable possible dans son rôle de promoteur et acteur de la ville. Avec la construction bois, de plus en plus plébiscitée par les citoyens et encouragée par Rennes Métropole, il s'agit de démontrer qu'une nouvelle voie est possible. Le projet impose de penser « bas carbone » et d'apporter des solutions pertinentes pour produire les logements de demain, à coûts maîtrisés. Avec Île Ô Bois, ATARAXIA Promotion souhaite ouvrir la voie au développement de la construction bois en Bretagne en se donnant les moyens d'être au rendez-vous de cette expérimentation. « Ce projet pionnier s'inscrit dans une vision urbaine ambitieuse et responsable de la Ville de Rennes, souligne Philippe Clément, chef de projet chez Territoires. Ce type de construction demande un engagement et un investissement humain, financier très fort. Tout est encore à construire avec la filière bois. L'idée est d'avancer collectivement dans une démarche de pédagogie et de reproductibilité. »L'écosystème, un réseau d'experts performantPour relever ce challenge, ATARAXIA Promotion s'est entourée de partenaires expérimentés dans la construction bois : architectes, constructeur, bureaux d'études spécialisés (bois, acoustique, environnement) et paysagiste, accompagnée par Fibois Bretagne, cette équipe pluridisciplinaire a consacré plus de 3 ans à la conception du projet dans une approche ouverte et transparente. Malgré les aléas et les contraintes dus au contexte sanitaire, l'ensemble des équipes a gardé le cap ! Une opération qui permet à ATARAXIA Promotion d'acquérir une grande connaissance sur ce type de construction, de plus en plus demandé par les collectivités, et d'avoir un temps d'avance pour répondre aux enjeux environnementaux et sociétaux.« Nous cherchons à être audacieux et responsables, dans une démarche environnementale que l'on se doit d'adopter, explique Dominique Feuvrier, directeur agence Bretagne ATARAXIA Promotion. Notre société évolue très vite : alimentation, mobilités, qualité de l'habitat sont des enjeux majeurs… Il était important d'être pionnier en s'entourant de partenaires, qui comme nous s'engagent, dans une voie nouvelle avec des savoir-faire et des compétences complémentaires. »Un projet bas carbone qui répond aux enjeux de santé environnementaleÎle Ô Bois a été conçu comme un projet résolument bas carbone. En réponse aux problématiques climatiques, environnementales et de santé, et aux nouvelles normes réglementaires telles que la RE 2020 qui s'impose depuis janvier, ATARAXIA Promotion a mis au coeur de ses priorités les enjeux de transition énergétique et de qualité sanitaire, en faisant la part belle aux matériaux biosourcés. « C'est pour ATARAXIA Promotion une opportunité d'innover sur les modes de vie, sur l'habitat et sur les procédés constructifs pour diminuer l'impact environnemental de la construction » souligne Dominique Feuvrier.Le bois et tous les matériaux biosourcés répondent aux attentes d'un habitat sain : ils régulent naturellement la température et l'humidité intérieures des bâtiments, permettant ainsi de conserver une atmosphère saine, sans développement de moisissures, de bactéries ou de virus.Le bois, matériau-roiPour Île Ô Bois, l'ossature et la structure primaire de l'ensemble des constructions sont intégralement en bois. Matériau isolant, il émet peu de carbone pour sa transformation contrairement au béton et à l'acier. Le bois stocke le carbone absorbé durant la croissance de l'arbre : 1 m3 de bois séquestre 1 tonne équivalent CO2 alors que la fabrication de 1m3 de béton en émet 471 kg ! « Pour Île Ô Bois, on a utilisé le bois lamellé croisé (CLT) qui offre de nombreux avantages comme sa flexibilité, sa légèreté et son aspect naturel très esthétique. Il permet également une rapidité incomparable d'exécution en matière d'assemblage et de construction qui réduit le temps de chantier. Les panneaux sont découpés et préassemblés directement chez le constructeur, Belliard. C'est un chantier sec, plus propre, moins bruyant. » précisent les architectes Christine Tanguy et Patrick Liard, du cabinet Liard et Tanguy à Rennes.
Il y a 3 ans et 120 jours

Les EPI : histoire d’innovation

Les employeurs ont une obligation de fournir des EPI à leurs salariés, pour prévenir des accidents. [©Uvex] En 2020, nous avons expérimenté, pour la première fois de notre vie, un confinement général, en raison de la pandémie du Covid. Un souvenir pas très agréable. Cependant, un point positif s’en est démarqué : avec l’arrêt du travail pour de nombreux secteurs d’activité, le nombre d’accidents du travail a diminué de 17,7 % par rapport à 2019, avec moins de 540 000 accidents. Dans le secteur du BTP, qui a été le moins longtemps touché par cet arrêt, la diminution est de 12,8 %*. En règle générale, le BTP est l’une des activités les plus touchés par des accidents. C’est pour diminuer les risques que le Code du travail impose aux employeurs de fournir des équipements de protection individuelle aux salariés. Rappelons ce qu’est un EPI : c’est un dispositif ou un moyen destiné à être porté ou être tenu par une personne en vue de la protéger contre un ou plusieurs risques susceptibles de menacer sa santé, ainsi que sa sécurité. Depuis 1991, les EPI font partie du quotidien des salariés. Rendus  obligatoires, ils ont mis un certain temps pour s’imposer réellement. Toujours plus de nouveautés… Avec l’évolution des réglementations, des technologies et des demandes, les EPI font l’objet de nombreuses innovations. [©Cepovett] Avec l’évolution des réglementations et des technologies, les EPI font l’objet de nombreuses innovations. Notamment, avec l’usage de nouveaux matériaux plus légers et plus résistants. Certains vêtements sont renforcés, ce qui permet de mieux absorber les chocs. Pour certains utilisateurs, le port d’un EPI peut représenter une gêne dans leur travail quotidien : trop lourd, trop chaud, contraignant…. Ainsi, nombre d’équipements sont réalisés avec de nouveaux matériaux qui améliorent leur confort. Par exemple, les casques, gants et chaussures de sécurité sont fabriqués à partir de “matériaux respirants”. De même, les coutures des chaussures ou des casques sont étudiées de manière à éviter les frottements. Bien que les EPI préviennent des risques, parfois un accident est si vite arrivé qu’il ne peut être évité. Pour cela, les marques peuvent proposer des équipements connectés, qui permettent de prévenir les secours en cas d’incident grave.   Grâce à de constantes innovations, les EPI sont toujours plus performants, confortables et esthétiques. Il faut noter, notamment, l’arrivée de produits pour femmes, adaptés à leur morphologie. Par ailleurs, avec le port obligatoire du masque et les nouvelles obligations dû au Covid, les marques répondent aux nouvelles attentes des usagers Aujourd’hui, les géants du secteur rivalisent d’ingéniosité et de créativité pour proposer des EPI plus innovants que jamais, mais en n’oubliant pas le plus important : la sécurité des usagers. *Source : Assurance Maladie. Retrouvez nos articles déjà publiés sur le sujet : Des lunettes de protection anti-buée pour une super vision Des EPI dédiés aux femmes Parade : La chaussure de sécurité Connect Milwaukee dévoile 4 nouveautés Spécialiste des EPI, Uvex dévoile sa nouvelle technologie Supravision, qui garantit une performance anti-buée maximale. Enfin une gamme d’EPI dédiés entièrement aux femmes. C’est une petite révolution dans le secteur du BTP. Mais ça change, preuve en est… La gamme Parade Connect propose 8 modèles de chaussures de sécurité connectées. Une première sur le marché français. Milwaukee est un acteur incontournable du secteur des EPI. Avec une gamme composée de 145 articles, la marque vient de dévoiler 4 nouveaux équipements pour protéger les professionnels de la construction.
Il y a 3 ans et 120 jours

Résultats record pour Legrand après la pandémie

Le fabricant de matériels électriques a engrangé 904 M€ de bénéfice net, en progression de 8,3% par rapport à 2019, pour un chiffre d'affaires de plus de 6,99 Mds (en hausse de 5,6% par rapport à 2019).
Il y a 3 ans et 120 jours

Akzonobel : un bilan 2021 positif

Le spécialiste néerlandais de la peinture a dégagé un chiffre d'affaires en hausse de 12%, à 9,6 Md€, et ce malgré une baisse des volumes au quatrième trimestre (-6%). L’activité Peintures décoratives a enregistré une hausse de ses ventes de 12 % et de 13 % à taux de change constants.
Il y a 3 ans et 120 jours

Site patrimonial remarquable : mode d’emploi

Le guide « Site patrimonial remarquable : mode d’emploi », publié par l’association nationale Sites & Cités remarquables de France, permet de prendre connaissance des enjeux et procédures liées à la création d’un SPR. Résultat d’un travail collectif rassemblant chargés d’études, associations et experts, il prépare ou complète très utilement les échanges avec les différents services qui accompagnent les collectivités dans le processus de classement d’un espace protégé et d’élaboration du document de gestion qui s’y applique. https://www.sites-cites.fr/app/uploads/2021/11/sc-fiches-web_v7.pdf    
Il y a 3 ans et 120 jours

La Maison carrée de Nîmes candidate au patrimoine mondial de l’UNESCO

La ministre de la Culture, Roselyne Bachelot-Narquin, a annoncé la candidature de la Maison carrée de Nîmes à l’inscription sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Cet édifice du Ier siècle de notre ère, représente l’une des plus anciennes expressions, et parmi les mieux conservées, d’un temple romain consacré au culte impérial. Monument d’une qualité architecturale remarquable, la Maison carrée de Nîmes témoigne, par les circonstances historiques de sa création, comme par l’importance politique de sa consécration et des choix stylistiques qui ont présidé à son élaboration, des valeurs de paix durable, de concorde et de prospérité que l’Empire romain chercha à promouvoir et à garantir. Cette candidature sera examinée par le Comité du patrimoine mondial de l’UNESCO lors de sa session de juin/juillet 2023. Photo : Aoudot25 — CC BY-SA 3.0    
Il y a 3 ans et 120 jours

Nouvelles plaques Onduline Easystyle : une couverture imitation tuile facile à poser, durable et sûre

Pour offrir à ces structures annexes une couverture esthétique, durable et facile à poser, Onduline Easystyle, expert en toitures et sous-toitures légères, lance la nouvelle plaque bitumée au profil moderne imitation tuile : Onduline Easystyle. Au plus près des attentes des bricoleurs, les nouvelles plaques Onduline Easystyle - composées à 50 % de matière recyclée - s'intègrent à la perfection aux différents aménagements grâce à leur bel aspect imitation tuile. Légère, souple, facile à manipuler et à installer, cette plaque bitumée garantie 10 ans offre une couverture durable et respectueuse de l'environnement. Un rendu esthétique De couleur rouge ombré, les nouvelles plaques de bitume ondulées Onduline Easystyle apportent une couverture contemporaine avec un effet relief qui imite les vraies tuiles. Ce rendu est très esthétique pour les couvertures de bâtiments auxiliaires extérieurs de petite à moyenne taille (abris de jardin, pergolas, carports, cabanes pour enfants, niches pour animaux…). À base de bitume renforcé, les nouvelles plaques Onduline Easystyle sont étanches et très résistantes aux chocs et aux intempéries. Leur épaisseur de 2,6 mm leur confère une bonne rigidité et une grande solidité, ce qui permet au fabricant de les garantir pendant 10 ans. Les fuites et autres infiltrations sont évitées et les constructions sont ainsi protégées pour longtemps. Une installation rapide et accessible à tousLégères et souples, les nouvelles plaques Onduline Easystyle ne pèsent que 2,8 kg/m2 ce qui les rend très faciles à manipuler lors de l’installation et évite d’avoir recours à un équipement de levage pour poser les plaques. Simples d’installation, elles peuvent être montées sur un support plein ou discontinu avec des chevrons espacés au maximum 36,6 cm sur une pente de 15 % minimum.Côté fixation, c’est à l’installateur de choisir en fonction de la qualité du support. Onduline propose des vis universelles de 60 mm munies de leur collerette d’étanchéité. Pour assurer une finition soignée de la toiture, le fabricant a également développé des rives et des faîtières associées. Ces dernières, proposées dans le même matériau et les mêmes coloris que les plaques, permettent un rendu uniforme et harmonieux.Un matériau fiable et respectueux de l’environnementDes pigments naturels, issus du service de recherche et développement d’Onduline, sont utilisés pour la coloration de la plaque Onduline Easystyle. Composés de fibres recyclées, les matériaux de cette plaque n’émettent aucune substance dangereuse dans l’atmosphère pendant l’installation ou tout au long de son cycle de vie.
Il y a 3 ans et 120 jours

Girard Hervouet (Soprema) construit un nouveau site dédié à la charpente métallique

INVESTISSEMENT. Girard Hervouet, filiale du groupe Soprema spécialisée dans la fabrication de métallerie, annonce la construction d'un centre de production robotisé dédié à la charpente métallique à Clisson (44).
Il y a 3 ans et 121 jours

Énergies renouvelables : Paris, Rouen et Le Havre créent leur "catalyseur"

La société d'économie mixte locale (SEML) "Axe Seine Energies Renouvelables" vise à l'horizon 2030 le développement d'une cinquantaine de projets, "représentant potentiellement une puissance installée de 250 MW d'énergie renouvelable", selon la délibération votée mercredi par les élus de Paris, dans la foulée de ceux du Havre et de Rouen.S'il est atteint, cet objectif nécessitera de porter à 28,5 millions un capital social initialement fixé à 7,8 millions d'euros, précise le texte.Pour l'instant, les métropoles du Havre et de Rouen y participent à hauteur de 2 millions (25% du capital chacun), la Caisse des dépôts et consignations à un niveau équivalent (24,5%). Avec 1 million d'euros chacun, la Ville de Paris et la Métropole du Grand Paris se partagent le dernier quart.Photovoltaïque, biomasse, éolien, récupération de chaleur, hydrogène... "Catalyseur de politiques publiques en faveur de la transition énergétique" via des études et le codéveloppement des projets, cette société "va nous permettre de générer plusieurs centaines de millions d'euros d'investissements", a affirmé à l'AFP Dan Lert, l'adjoint (EELV) à la transition écologique de la maire PS de Paris Anne Hidalgo."Aujourd'hui à Paris, nous sommes à 21% d'énergies renouvelables dans la consommation du territoire, dont 6% produites localement. On doit passer à 45% dont 10% produites localement d'ici 2030", réclame l'élu écologiste.La métropole de Rouen a identifié les premiers projets, principalement photovoltaïques et éoliens, qui pourraient démarrer dès 2022. Selon M. Lert, "une douzaine de projets ont déjà été identifiés".Pas de quoi convaincre les élus communistes, pourtant alliés d'Anne Hidalgo, qui ont voté contre une "forme de partenariat public-privé qui ne garantit en rien le statut des personnels, les prix de l'énergie et le rapport avec les populations", a expliqué Nicolas Bonnet-Oulaldj. "La garantie, c'est le service public."La présence de l'ancien Premier ministre Edouard Philippe, maire (Horizons) du Havre, et de Nicolas Mayer-Rossignol, maire PS de Rouen, dans l'hémicycle aux côtés d'Anne Hidalgo, a entraîné le départ des élus LR et apparentés, Rachida Dati accusant la candidate du PS à l'élection présidentielle "de transformer ce Conseil en tribune électorale"."Que le maire du Havre se prête à cette instrumentalisation nous choque", a ajouté la maire du VIIe arrondissement.
Il y a 3 ans et 121 jours

Crues des Alpes-Maritimes: la parole aux habitants

"Quand on donne la parole aux citoyens, il ne faut pas cracher dans la soupe": Eliane Guigo, 71 ans, retraitée à Venanson, a pris place dans la petite salle de cinéma Jean-Gabin de Saint-Martin-Vésubie. Autour d'elle, beaucoup de retraités, mais aussi des jeunes actifs, comme ces deux agricultrices d'une trentaine d'années, des artisans, des commerçants ou un architecte.Depuis début janvier, le micro a été tendu aux résidents des trois vallées, où les crues historiques d'octobre 2020 ont fait 10 morts et huit disparus. Jeudi et vendredi, c'était le tour des habitants de la Vésubie, dont les propositions seront ensuite soumises aux maires, sous l'égide de la Direction interministérielle à la transformation publique.Sur les 5.000 habitants de la vallée, où les stigmates de la tempête sont encore partout visibles, 80 s'étaient portés candidats à cette consultation. Cinquante ont finalement été tirés au sort, défrayés 50 euros par jour, a précisé à l'AFP Domitille Arrivet, la modératrice, directrice conseil chez État d'Esprit, entreprise spécialisée dans les missions de concertation publique.Pour Mme Guigo, la question "fondamentale" dans la Vésubie reste de se trouver un toit, avec toutes ces habitations détruites ou endommagées. Résultat: "La demande est en hausse de 35% sur les deux dernières années" pour des logements sociaux, souligne-t-elle, très au fait du dossier. Et de nombreuses familles consacrent jusqu'à "50% de leurs revenus" pour se loger, alors que certains "ont déjà un niveau de vie très bas".Animatrice du débat, Mme Arrivet n'a pu que constater à quel point "la vue du désastre reste encore prégnante chez les habitants", avec cette obsession d'une "réhabilitation de la beauté de leur vallée". "C'est assez poignant quand ils parlent du bruit qui résonne encore dans leur tête"."Pas une commission postiche"Kamil Monge, de Lantosque, souligne lui les problèmes de mobilité, ces personnes "qui ont toujours des difficultés pour se rendre à leur travail, à Carros ou Nice, avec des voies de communication encore en mauvais état".Mais pour Sarah de Caqueray, agricultrice de 30 ans, "il faut surtout aider les gens qui sont sur le territoire à y rester". Logement, emploi, "des sujets sensibles et longs à débrouiller" selon cette productrice de fruits, habitante de Saint-Martin-Vésubie.Au fil des débats sont aussi évoqués la remise en état des canaux d'irrigation, la nécessité d'un tourisme "plus harmonieux", ou encore le manque de crèches et "les opportunités" de la fibre optique.Parallèlement à ces débats publics, une plateforme a été ouverte sur Internet, afin de recueillir les doléances des habitants. Ce sont plus de 120 projets qui ont émergé, de la création d'une Maison de pays pour les produits locaux à l'ouverture d'un café associatif.Sur les 572 millions d'euros consacrés à la reconstruction, "l'Etat a réservé 50 millions d'euros pour ces projets, potentiel porté à 100 millions grâce aux collectivités et à l'Union européenne", explique Xavier Pelletier, préfet délégué à la reconstruction, assurant que "les petits projets ne seront pas oubliés".Le 14 février, l'ensemble des participants aux concertations dans les trois vallées se réuniront au Musée du sport de Nice, pour dégager les grandes lignes d'une reconstruction qu'ils veulent tous "durable", puis ces demandes seront présentées aux élus, le 28 février.Mais comment s'assurer que les recommandations seront bien prises en compte ?"Le préfet Pelletier nous a garanti, je le cite, que +ce ne serait pas une commission postiche+", veut croire M. Monge. "Nous l'espérons, car quand on voit ce qui s'est passé avec la commission sur le climat ou les doléances des gilets jaunes, on a parfois l'impression que c'est de bon ton d'interroger les citoyens mais que ça n'aboutit pas à grand chose..."
Il y a 3 ans et 121 jours

Les propositions de la Filière Béton pour une construction décarbonée basée sur une chaîne de valeur locale

Pour aller plus loin, des propositions en termes de dynamisation de l’activité dans les territoires seront développées dans le cadre des élections législatives. La Filière Béton est favorable à la RE2020 et est engagée dans une stratégie ambitieuse de réduction de ses émissions, en phase avec la Stratégie Nationale Bas-Carbone (SNBC). La décarbonation du secteur est un process continu puisque les émissions de carbone du ciment ont baissé de 39% entre 1990 et 2018 et la trajectoire fixée prévoit une baisse supplémentaire de 24% d’ici 2030. Des investissements conséquents sont en cours et l’ensemble de la profession travaille sur les innovations de demain, qui permettront d’aller plus loin et d’atteindre -80% en 2050. Il est important de souligner que les efforts consentis aujourd’hui ou demain sont conditionnés à un certain nombre de paramètres pour que l’industrie puisse rester compétitive.La Filière souhaite ainsi que soit reconnue sa trajectoire de décarbonation, de sorte que les matériaux de construction qu’elle propose ne soient pas discriminés. Les propositions formulées par la Filière Béton, dans le cadre de l’élection présidentielle, s’articulent autour de 5 axes : le logement, l’urbanisme, l’économie circulaire, les réseaux et la gestion de l’eau.Les premiers fruits de cette réflexion menée par la Filière Béton, dont ces propositions sont issues, ont été transmis récemment aux candidats et à leurs équipes dans le cadre d’un processus collaboratif.
Il y a 3 ans et 121 jours

Les artisans et professions libérales saluent le vote de la loi instaurant le statut unique des indépendants

Ce texte, qui prévoit un seul statut pour les commerçants, artisans ou professionnels libéraux, rend leurs biens personnels insaisissables en cas de faillite. Il prévoit aussi une allocation pour cessation d'activité élargie, qui ne sera plus limitée aux cas de liquidation ou de redressement judiciaire, alors que les indépendants n'ont pas droit au chômage.Rappelant qu'à ce jour seule la résidence principale du chef d'entreprise est protégée en cas de faillite, l'U2P se félicite dans un communiqué que le texte mette "fin au sacro-saint principe d'unicité des patrimoines personnel et professionnel des travailleurs indépendants et établit que tout ce qui n'est pas utile à l'exercice de la profession sera désormais insaisissable."Mais l'organisation patronale estime que "les banques, rendues frileuses par le manque de garanties offertes par les travailleurs indépendants du fait de cette nouvelle protection, pourraient être tentées de refuser de leur accorder des prêts".Aussi l'U2P souhaite-t-elle que "le gouvernement prépare un accord de place avec la Fédération bancaire française afin d'officialiser l'engagement des banques à respecter l'esprit de la réforme", selon le communiqué.Le ministre des PME Jean-Baptiste Lemoyne a assuré mardi que le gouvernement sera vigilant sur la mise en oeuvre de la nouvelle législation par les banques.Le rapporteur du texte au Sénat Christophe-André Frassa a de son côté prévenu qu'il fallait s'attendre à ce que les banques continuent "d'exiger des sûretés spéciales sur certains biens de l'entrepreneur, y compris ses biens personnels".Sans attendre un accord avec la FBF, l'U2P "propose de travailler avec les sociétés de cautionnement telles que la Siagi pour l'artisanat ou Interfimo pour les professions libérales en vue d'accompagner le mieux possible les travailleurs indépendants", rapporte encore le communiqué.
Il y a 3 ans et 121 jours

Herige au plus haut en 2021

RÉSULTATS. Herige, qui s'illustre dans le négoce, le béton et la menuiserie, à travers VM, Edycem et Atlantem, annonce des résultats en hausse sur ces trois métiers sur l'année 2021.
Il y a 3 ans et 121 jours

Ouate de cellulose : face à des chiffres "catastrophiques", les fabricants s'alarment

ISOLATION. Les fabricants d'isolants en ouate de cellulose tire la sonnette d'alarme. Face à une conjoncture "catastrophique", en lien avec la baisse des aides des certificats d'économie d'énergie (CEE) sur ce type de travaux, ils demandent un geste de la part des pouvoirs publics.
Il y a 3 ans et 121 jours

Safer Internet Day : qu’en est-il de l’Internet des Objets ?

Vous avez déjà entendu, à coup sûrs, de nombreux conseils vous invitant à utiliser des mots de passe uniques difficiles à deviner pour tous vos comptes en ligne, à masquer votre navigation sur Internet avec des VPN lorsque vous utilisez des points d'accès Wi-Fi publics ou encore à vous méfier d'e-mails non sollicités vous indiquant qu’un colis vous est destiné ? Mais en 2022, ceci ne suffit plus. Depuis des années, des millions d'appareils n’ayant pas été conçus en prenant en compte la cybersécurité se connectent quotidiennement à Internet. Ils transfèrent vos données sensibles et personnelles vers des serveurs sur internet. C’est ainsi que de plus en plus d'appareils du quotidien intègrent des ordinateurs, alors que peu d’entre nous en prennent réellement conscience. Nous les appelons innocemment « Objets connectés » ou « Internet des objets » (IOT). Cette myriade d'appareils dits « intelligents » nous entourent et profitent de plus en plus d’Internet, qu'il s'agisse d'ampoules ou de fours que vous pouvez allumer à distance, d’un réfrigérateur connecté qui peut déterminer ce qui doit être commandé, des moniteurs pour bébé, des voitures jusqu’aux implants médicaux… Le débat sur la sécurité de ces nouveaux objets est vaste. Dans certains cas, les avantages peuvent nous rendre perplexes. Posséder un réfrigérateur connecté à Internet est-ce vraiment nécessaire ou sommes-nous simplement influencés par le marketing ? Un sèche-linge partageant des informations de diagnostic avec une équipe de service après-vente et se mettant à jour. Tout cela semble vraiment pratique et peu dangereux pour la sécurité de nos données à première vue. A l’inverse, un véhicule pouvant communiquer avec d'autres voitures pour savoir où se trouvent les risques sur notre trajet, cela semble très utile. Pour autant, cela doit nous interroger sur le sort de nos données et l’enregistrement de nos déplacements. L’IOT est un sujet qui divise et interroge beaucoup d’entre nous. Certaines entreprises peuvent sembler laxistes en matière de sécurité et de confidentialité alors que le grand public continue d’adopter ces gadgets à bras ouverts sans prise de conscience notable. Mais, il est à noter que malgré les failles régulièrement décelées sur les objets connectés, celles-ci sont souvent vite corrigées. Il faut simplement faire attention aux données que l’on transmet comme sur tout appareil numérique et effectuer les mises à jour régulièrement pour être en sécurité. Le Safer Internet Day pourrait être, cette année, l’occasion de réfléchir à notre utilisation de l’Internet des Objets. Faites vos choix en âme et conscience. L’utilisation idéale est sûrement dans un juste milieu.Tribune de Benoit Grunemwald, Expert en Cyber sécurité, ESET France (LinkedIn)
Il y a 3 ans et 121 jours

Les DRH mettent la main à la poche

Les politiques de rémunération dans la construction s'annoncent plus dynamiques que l'an passé. Les employeurs veillent notamment à éviter les disparités avec certains nouveaux salariés embauchés à prix d'or.
Il y a 3 ans et 121 jours

Val-de-Marne : le pont-levis du château de Vincennes sera en chantier en mars 2022

Estimés à 2,5 millions d’euros, les travaux de rénovation du pont-levis du château de Vincennes dureront dix mois.
Il y a 3 ans et 121 jours

"Folie" ou projet "d'intérêt général" ? Dans la forêt landaise, un parc solaire XXL à l'étude

A Saucats, commune de 3.200 habitants à 20 km au sud de Bordeaux, les opérateurs Engie, Neoen et RTE veulent établir d'ici quatre ans une gigantesque centrale solaire.Cette centrale générerait chaque année l'équivalent "d'un cinquième à un quart" de la production électrique d'un réacteur nucléaire. Mais ce projet d'énergie renouvelable, enjeu de la présidentielle d'avril avec l'actuelle flambée des prix de l'énergie, se heurte pourtant à une forte opposition locale de tous bords.Baptisé "Horizeo", le projet d'un milliard d'euros prévoit aussi l'installation de batteries de stockage, d'une unité de production d'hydrogène vert, d'un centre de données et d'une surface associant cultures maraichères et panneaux solaires."C'est vraiment immense", dit cet agriculteur, qui exige l'anonymat tant le projet divise localement. Au volant de son pick-up sur des routes départementales puis des pistes sableuses, il met plus de 20 mn pour contourner les clôtures de la zone d'étude du projet.Pour ses parcelles de maïs doux et de haricots cultivées juste à côté, il redoute l'apparition d'îlots de chaleur et la répétition d'inondations, que provoquerait, selon lui, un futur déboisement.Car pour bâtir Horizeo, il faudra défricher 1.000 hectares de pins maritimes actuellement exploités -l'équivalent de 1.400 terrains de football- dans cette commune boisée à 75% et où le projet est soumis à un grand débat public, encadré par l'Etat, depuis l'automne dernier."C'est une folie" guidée par "la rentabilité financière", s'insurge, également sous couvert d'anonymat, Sabine, une chargée de communication de 51 ans qui réside à 6 km."Les centrales nucléaires sont en fin de vie, il faut d'autres solutions", rétorque un habitant de 34 ans, qui soutient l'installation de la centrale solaire car "tant que la société continuera de consommer, il faudra produire de l'énergie".Pour atteindre la neutralité carbone en 2050 en France, il faudrait entre 7 et 22 fois plus de capacité de production photovoltaïque qu'aujourd'hui, rappelait en novembre la Commission nationale chargée du débat public, en se basant sur les scénarios nationaux du gestionnaire du réseau électrique RTE - qui vont d'une production électrique 100% renouvelable à un duo renouvelable-nucléaire à 50-50.C'est donc pour "l'intérêt général" que le Conseil municipal a "donné un accord de principe" à Horizeo, défend le maire socialiste Bruno Clément.Mais situé à l'endroit exact où démarra le feu de forêt le plus meurtrier de l'histoire moderne du pays, qui tua 82 personnes en août 1949, le parc solaire ne se fera que s'il ne présente "aucune aggravation des risques incendie et inondation", prévient-il.AccaparementPour son gigantisme, ses risques sur l'environnement et la biodiversité, le projet est fraîchement accueilli, des Verts menés par le maire de Bordeaux Pierre Hurmic, qui réclament "un projet alternatif", jusqu'aux partis d'extrême droite (RN et Reconquête), farouchement opposés."On doit être attentif au maintien du massif forestier", tempère Alain Rousset, président socialiste de la région Nouvelle-Aquitaine, première productrice d'énergie photovoltaïque, qui vise un mix énergétique 100% renouvelable d'ici 2050.Horizeo permettrait pourtant à lui seul "d'atteindre 15% des objectifs régionaux", défend Mathieu Le Grelle, son porte-parole."Une opportunité rare", car situé à quelques kilomètres d'un des seuls postes électriques capables d'injecter autant d'électricité dans le réseau, souligne-t-il, rappelant que les entreprises s'engagent à reboiser "deux arbres pour un coupé".Si Horizeo reste soutenu par les professionnels du secteur, la Chambre du Commerce et de l'Industrie, et, "avec des réserves", par la section locale de Greenpeace, il se heurte à un arc d'opposants hétéroclites - riverains, syndicats sylvicole, agricole et viticole, chasseurs et associations environnementales locales - qui émergent au fur et à mur de l'avancée du projet.Selon des opposants, le terrain serait loué entre 3.000 et 4.000 euros l'hectare chaque année durant 40 ans par les porteurs d'Horizeo - qui n'ont pas souhaité commenter ces montants- contre 3.000 à 5.000 euros l'hectare pour une vente foncière classique entre professionnels du bois.Pour Stéphanie Lafitte, sylvicultrice voisine, l'écart est tel que si "ce giga-projet est validé", "l'industrie (du renouvelable) finira par s'accaparer la forêt".D'après l'inventaire des autorités publié par la Dreal et les objectifs du Conseil régional, les espaces déjà artificialisés - sites pollués, parkings, friches - disponibles pour y établir de nouvelles plateformes photovoltaïques sont largement "insuffisants" pour couvrir les besoins.
Il y a 3 ans et 121 jours

Perceuse-visseuse et perceuse-visseuse à percussion sans-fil Biturbo : les premiers outils dotés du système électronique de détection d’angle

Leur moteur haute performance sans charbon combiné à la batterie ProCORE18V (5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah), offre un rendement très élevé. Avec un couple maximal de 150 Nm et jusqu’à 2 200 tours par minute, les deux outils garantissent une progression de travail rapide dans de multiples matériaux, notamment le bois, le métal et la maçonnerie.La fonction « Electronic Angle Detection » (EAD), une première sur le marchéGrâce à la nouvelle fonction électronique de détection d’angle, couvreurs et menuisiers peuvent réaliser facilement et avec une grande précision le vissage des contre-lattages, de l’isolation thermique...Ces vissages doivent suivre un angle précis par rapport à l’inclinaison d’un toit ou d’une pente. Jusqu’ici il fallait utiliser un gabarit, mais avec cette fonction EAD intégrée les vissages inclinés avec de longues vis sont un vrai jeu d’enfant.L’utilisateur appuie sur la touche EAD à l’avant de la machine et peut choisir parmi 2 angles courants prédéfinis de 45° et 60°. Un 3ème mode, symbolisé par un Smartphone, permet de personnaliser l’angle de vissage via la connectivité Bluetooth de l’outil couplée à l’application Toolbox sur un Smartphone. Artisans et professionnels sont sûrs de ne pas se tromper dans l’angle d’inclinaison, le vissage est très précisGrâce à la nouvelle fonction électronique de détection d’angle, couvreurs et menuisiers peuvent réaliser facilement et avec une grande précision le vissage des contre-lattages, de l’isolation thermique...Ces vissages doivent suivre un angle précis par rapport à l’inclinaison d’un toit ou d’une pente. Jusqu’ici il fallait utiliser un gabarit, mais avec cette fonction EAD intégrée les vissages inclinés avec de longues vis sont un vrai jeu d’enfant.L’utilisateur appuie sur la touche EAD à l’avant de la machine et peut choisir parmi 2 angles courants prédéfinis de 45° et 60°. Un 3ème mode, symbolisé par un Smartphone, permet de personnaliser l’angle de vissage via la connectivité Bluetooth de l’outil couplée à l’application Toolbox sur un Smartphone. Artisans et professionnels sont sûrs de ne pas se tromper dans l’angle d’inclinaison, le vissage est très précis.Une protection élevée de l’utilisateurPour une utilisation plus sûre, les GSR et GSB 18V-150 C Professional BITURBO Bosch se caractérisent également par une protection élevée de l’utilisateur grâce au KickBack Control. Si l’outil se coince ou tourne brusquement sur son axe de perçage, le capteur intégré coupe le moteur en une fraction de seconde. Elle évite les risques de blessures. Si le KickBack Control n’est pas nécessaire pour certaines applications, par exemple lors du perçage avec une scie cloche, les utilisateurs peuvent activer et désactiver la fonction selon leurs travaux de vissage ou de perçage.Des outils robustes et ergonomiquesD’une grande fiabilité et d’une grande robustesse, les GSR et GSB 18V-150 C Professional BITURBO sont dotées d’un mandrin métallique et d’un mécanisme d’engrenage tout en métal, ce qui accroît la longévité des machines. Leur design compact et ergonomique leur confère une bonne prise en main. Une poignée supplémentaire garantit aux artisans de toujours avoir leur outil sous contrôle. Elle peut être verrouillée dans 36 positions pour une flexibilité maximale.Les perceuse-visseuse et perceuse-visseuse à percussion sans-fil BITURBO Brushless Bosch fonctionnent de manière optimale avec les batteries ProCORE18V haute performance de 5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah. Elles sont compatibles avec les anciens outils électroportatifs et chargeurs de même catégorie de voltage.
Il y a 3 ans et 121 jours

RE2020 : les experts Rockwool décryptent la nouvelle réglementation environnementale à travers des vidéos pédagogiques

Le secteur du bâtiment qui représente 46% de la consommation énergétique nationale et 19% des émissions de gaz à effet de serre se doit ainsi de participer à l'effort de lutte contre le réchauffement climatique en réduisant ses consommations d'énergies.Une démarche déjà initiée depuis de nombreuses années par ROCKWOOL, leader mondial des solutions en laine de roche, à travers ses process de décarbonation notamment grâce aux évolutions progressives de ses lignes de production vers des fours électriques performants et moins émetteurs de CO2. Cette démarche est complétée par son service de recyclage des déchets de chantiers Rockcycle qui permet de réduire l'utilisation de ressources et donc l'impact environnemental de la laine de roche.De plus, la laine de roche est un isolant naturel et durable dont les performances thermiques permettent de réduire les dépenses énergétiques des bâtiments et donc les émissions de gaz à effet de serre, tout en offrant également des performances acoustiques et de protection contre l'incendie. De la pédagogie pour mieux comprendre les enjeux de la RE2020La réglementation RE 2020 s'applique aux maisons individuelles et logements collectifs depuis le 1er janvier. Elle sera appliquée pour les bureaux et bâtiments d'enseignement primaire et secondaire dès le moins de juillet. Quant aux bâtiments tertiaires (EHPAD, commerces, gymnases, restaurants…), constructions provisoires et extensions, la mise en application est programmée à partir de 2023.Dans ce contexte, afin de familiariser l'ensemble de son écosystème à la RE2020 - artisans, clients et particuliers - ROCKWOOL a imaginé une série de 7 vidéos « l'instant ROCKWOOL – tout sur la RE2020 ». Animées par ses experts Julien Molinier Expert Performance Energie ROCWOOL France et Vincent Marcolla, Chef de produit ROCKWOOL France, qui expliquent à travers des séquences concises et pédagogiques les enjeux de cette nouvelle réglementation, les différences avec la RT 2012 et le fonctionnement des indicateurs de performance énergétique et environnementale qui seront mis en œuvre. Les experts de ROCKWOOL prodiguent également des conseils pour les maisons individuelles en termes de niveaux d'isolation et apportent des premiers retours d'expériences de cas d'études, à travers des cas réalistes.Trois objectifs principaux de résultats pour la RE 2020 auxquels répondent les solutions ROCKWOOLDonner la priorité à la sobriété énergétique : les solutions en laine de roche permettent d'atteindre des hauts niveaux de performance thermique des bâtiments et donc la réduction des gaz à effet de serre générés par les consommations énergétiques de ces derniers.Diminuer l'impact carbone des énergies et de la construction des bâtiments : c'est le cas chez ROCKWOOL qui œuvre pour une meilleure performance énergétique des process et leur décarbonation notamment en faisant évoluer progressivement ses lignes de production vers des fours électriques performant et moins générateurs de CO2.Garantir le confort thermique des bâtiments en cas de forte chaleur : à ce titre ROCKWOOL propose une large palette de solutions participant à l'amélioration du confort d'été dans les bâtiments tout en innovant constamment pour valoriser la robustesse et durabilité des performances des produits dans le temps.Outre ce dispositif diffusé sur le site internet www.rockwool.fr et les réseaux sociaux de ROCKWOOL France youtube -Twitter et Linkedin – un service d'assistance téléphonique est à disposition des professionnels pour tout avis technique ou question de mise en œuvre.