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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 3 ans et 121 jours

Les experts ROCKWOOL décryptent la RE à travers des vidéos pédagogiques

Afin de familiariser l’ensemble de son écosystème à la RE2020 – artisans, clients et particuliers – ROCKWOOL a imaginé une série de 7 vidéos « l’instant ROCKWOOL – tout sur la RE2020 ». Animées par ses experts Julien Molinier Expert Performance Energie ROCWOOL France et Vincent Marcolla, Chef de produit ROCKWOOL France, qui expliquent à travers des séquences concises et pédagogiques les enjeux de cette nouvelle réglementation, les différences avec la RT 2012 et lefonctionnement des indicateurs de performance énergétique et environnementale qui seront mis en œuvre. Les experts de ROCKWOOL prodiguent également des conseils pour les maisons individuelles en termes de niveaux d’isolation et apportent des premiers retours d’expériences de cas d’études, à travers des cas réalistes. https://www.youtube.com/user/rockwoolfrance   Cet article Les experts ROCKWOOL décryptent la RE à travers des vidéos pédagogiques est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 121 jours

Des lunettes de protection anti-buée pour une super vision

La technologie Supravion sera intégrée à l’ensemble des lunettes de la gamme d’Uvex. [©Uvex] Spécialiste européen des équipements de protection individuelle, Uvex dévoile sa nouvelle technologie Supravision. Celle-ci garantit une performance anti-buée 4 fois supérieure à celle exigée par les normes. Sur la face interne des lunettes, l’œil est protégé contre la formation de buée créée par la respiration ou la chaleur corporelle. Afin d’être certifiées et marquées N (norme anti-buée), les lunettes sont soumises à un test au cours duquel elles doivent résister à la formation de buée pendant 8 s sous une eau chauffée à 50 °C. Résultat : ces lunettes résistent pendant 32 s. La face externe des lunettes est, quant à elle, résistante aux rayures, aux éclaboussures et aux produits chimiques. Elle est très facile à nettoyer grâce à son effet Easy-to-clean, qui empêche l’adhérence des liquides et des poussières. Même après plusieurs lavages, la technologie anti-buée ne s’estompe pas. Par ailleurs, les lunettes filtrent aussi les rayons UVA et réduisent de 15 % les lumières bleues nocives pour la rétine. Idéale pour une utilisation en extérieur, la sécurité du porteur est garantie tout au long de la journée, même dans les conditions les plus difficiles et dans les environnements de travail les plus poussiéreux. Cette nouvelle technologie sera intégrée aux différents modèles déjà commercialisés par Uvex.
Il y a 3 ans et 121 jours

Le marché du chauffage conserve des couleurs

Doublement des ventes de chaudières biomasse, croissance une nouvelle fois record pour les pompes à chaleur air/eau… Uniclima dresse un bilan positif, mais bien sûr contrasté selon les secteurs, du marché en 2021.
Il y a 3 ans et 121 jours

Le Cluster Lumière s’installe dans Lumen

L’équipe d’animation du Cluster Lumière et du Campus Lumière vient de s’installer dans Lumen, la Cité de la Lumière, dans le quartier de Confluence au cœur de Lyon. Ce nouveau hub européen de la lumière va offrir dans les mois qui viennent de nombreuses prestations liées à l’éclairage et à la lumière : espace recherche & innovation, espace formation, innovation Trail (show-room permanent de 23 boxes permettant aux entreprises de présenter leurs innovations)… Le programme d’animations de 2022 compte une trentaine d’événements aux formats variés sur le terrain régional, mais aussi national et européen, une partie sera organisée dans Lumen. « Se croiser dans un bâtiment ne suffit pas. L’animation pilotée par le Cluster Lumière autour de Lumen doit créer un maximum d’opportunités entre les résidents de Lumen mais aussi avec d’autres professionnels, en amont et en aval, pour alimenter toute la chaine de valeur. Lumen offre la possibilité d’imaginer un futur ensemble », indique Philippe Badaroux, président du Cluster Lumière. Cet article Le Cluster Lumière s’installe dans Lumen est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 121 jours

La Région Nouvelle-Aquitaine comble le financement manquant pour la LGV Sud-Ouest

L'ensemble des élus du conseil régional, à l'exception des groupes écologiste et Rassemblement national, ont voté pour cette "avance" financière afin de "sécuriser" le plan de financement avant son examen par le Conseil d'État le 15 février, qui doit ouvrir la voie à la création de l'établissement public chargé de piloter le projet.Ce projet de ligne à grande vitesse, qui doit faire gagner une heure de trajet de Paris vers Toulouse et 20 minutes vers Dax, est estimé à 14,3 milliards d'euros.Son financement, prévu à 40% par l'État, 40% par des collectivités locales d'Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine et 20% par l'Union européenne, était jusqu'ici incomplet après le refus de plusieurs collectivités néo-aquitaines d'y contribuer.Si les collectivités d'Occitanie s'étaient rapidement mises d'accord pour réunir 2,2 milliards d'euros, celles de Nouvelle-Aquitaine ne sont pas parvenues à rassembler l'ensemble du 1,7 milliard d'euros qui leur était demandé dans le plan de financement.La communautés d'agglomération Pays basque, celle du Grand Dax ainsi que les départements de Lot-et-Garonne et de Gironde ont ainsi refusé de participer, tandis que le département des Pyrénées-Atlantiques a contribué moins que prévu.C'est "un investissement pour un siècle, la réponse à l'encombrement autoroutier de Bordeaux" s'est réjoui lundi le président socialiste de la région Alain Rousset qui voit également dans ce vieux projet, relancé l'an dernier par le gouvernement, un moyen de développer le fret ferroviaire.L'"avance" consentie par la région lui sera "remboursée" "en priorité" via des retours fiscaux ou des ponctions sur les futurs péages ferroviaires, ce qui pourrait rapporter au total entre "800 millions et 1 milliard d'euros", a ajouté M.Rousset.
Il y a 3 ans et 121 jours

Olivier Guise rejoint Ecocem pour une mission inédite

Olivier Guise devient le premier directeur exécutif stratégie, technologie et nouvelles activités d’Ecocem. [©Ecocem] Depuis de nombreuses années, Ecocem propose des solutions cimentaires à faible émission de carbone. Afin d’encadrer son développement et ses ambitions, Ecocem a créé un nouveau poste, celui de directeur exécutif stratégie, technologie et nouvelles activités. Et c’est Olivier Guise qui se voit confier cette mission. Avec, à ses côtés, l’ensemble de l’équipe de direction du groupe, Olivier Guise aura pour objectif d’accroître le développement d’Ecocem et de mettre en œuvre la stratégie du groupe, en accélérant le déploiement de sa technologie. A son arrivée, Olivier Guise déclare : « Après avoir observé la croissance d’Ecocem, c’est passionnant de rejoindre l’entreprise pour contribuer à l’élaboration et à la réalisation de sa stratégie ». Et Donal O’Riain, Pd, de poursuivre : « Nous continuons à croître et à évoluer. L’arrivée d’Oliver à bord nous apportera un soutien et un leadership précieux pour atteindre notre plein potentiel ». Le parcours d’Olivier Guise Cette nomination fait suite à d’autres recrutements, tels que ceux de Pat Cox en tant que président du conseil d’administration, de Paul Ross en qualité de directeur général d’Ecocem pour le Benelux. Et enfin, de Joris Schoon, au poste de développeur technique de la région Benelux. Diplômé de Polytechnique en 2005, Olivier Guise débute sa carrière au sein du groupe LafargeHolcim en tant que responsable des ventes. Il occupe successivement différents postes alliant innovation, technologie et management. D’abord en tant que directeur du développement et directeur de l’innovation et de la distribution de Lafarge Algérie. Puis, directeur général de l’activité granulats dans le Sud de la France. En 2015, il est nommé directeur général de l’activité ciment pour la France. Et intègre le comité exécutif de LafargeHolcim France jusqu’en 2021.
Il y a 3 ans et 121 jours

Cohabiter avec les crues - Livre

Par son lent passage ou ses soudaines fluctuations, l'eau a façonné villes et paysages, contraignant les sociétés humaines à modifier leur habitat. A l'heure où les aléas climatiques se multiplient et s'intensifient, le paysagiste Frédéric L.M. Rossano revisite l'histoire culturelle des crues à la croisée […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 122 jours

Un compromis trouvé pour le réaménagement du site de la Tour Eiffel excluant une partie du Champ-de-Mars

Le premier adjoint Emmanuel Grégoire, chargé de l'urbanisme, a accepté la demande des élus écologistes de retirer du projet la partie nord du Champ-de-Mars, correspondant selon lui à 5% de la surface du projet, et de limiter les événements prévus sur la célèbre esplanade, visitée chaque année par des millions de touristes."A partir du moment où la partie du Champ-de-Mars est retirée, le projet dans l'ensemble est satisfaisant", a commenté pour l'AFP Fatoumata Koné, présidente du groupe écologiste au Conseil de Paris.Le Conseil doit se prononcer mardi l'après-midi sur la mise en compatibilité du plan local d'urbanisme (PLU) avec ce projet, avant le début des travaux dans les prochaines semaines.La délibération devrait donc être adoptée avec un amendement des écologistes imposant un moratoire sur le permis d'aménager du Champ-de-Mars afin de réaliser "la réhabilitation de la totalité du Champ-de-Mars lors d'une seule même phase d'aménagement, postérieure aux Jeux olympiques et paralympiques" de 2024.Les Verts souhaitent aussi que la Ville "s'engage à respecter un total de 250 jours de relâche totale où aucun événement n'aura lieu sur l'ensemble du site". Un comité de gestion va être créé en ce sens, a indiqué l'exécutif à l'AFP.Le projet "OnE" choisi en 2019, pour lequel la mairie table désormais sur un budget de 107 millions d'euros, vise notamment à la réduction de la place de la voiture de part et d'autre du pont d'Iéna, appelé à devenir "le premier pont végétalisé de Paris", ainsi que sur la création d'un "amphithéâtre végétalisé" place du Trocadéro, où la circulation sera réorganisée en demi-lune.Les travaux permettront la création d'1,6 hectare d'espaces verts de pleine terre, souligne la majorité, qui promet aussi une légère diminution de l'emprise au sol des bâtiments de la Société d'exploitation de la Tour Eiffel (Sete).Ce projet suscite l'opposition des trois maires d'arrondissement concernés, tous dans l'opposition LR. Celui du XVIe Francis Szpiner a demandé au ministère de la Culture de classer la place du Trocadéro comme monument historique afin d'empêcher sa transformation.Les opposants au projet se sont fortement mobilisés lors de la participation du public par voie électronique (PPVE) menée pendant l'automne.
Il y a 3 ans et 122 jours

Valérie Pécresse veut "une France de propriétaires" avec 500.000 constructions par an

"Il faudrait 500.000 constructions de logements par an au bas mot" car "si la tendance continue, nous nous dirigeons tout droit vers l'une des plus graves crises du logement depuis 1954", a-t-elle affirmé lors d'une conférence de presse à Champigny-sur-Marne.Accusant le président Emmanuel Macron d'avoir "fragilisé le secteur", elle a dénoncé son "mépris" vis-à-vis de la propriété privée. "Je veux bâtir une France de propriétaires, ne pas contrecarrer leur envie mais puissamment l'aider" et pour cela il faut "que le prêt à taux zéro soit généralisé à l'ensemble du territoire et notamment aux zones rurales", a-t-elle ajouté.Il faut aussi "libérer les contraintes", avec "un grand choc de simplification": abaissement général "de 10 à 5,5%" de la TVA sur la construction de logements sociaux, transformation de bureaux en logements..."Nous allons lever les entraves à la construction dans ces bourgs et villes" où les Français aspirent à habiter depuis la crise du Covid et pour cela "je ferai confiance aux maires", a-t-elle dit, qualifiant d'"absurdité dans un territoire rural" la règle "zéro artificialisation nette" des sols.Elle a aussi promis "une grande loi sur le droit des propriétaires" avec une "tolérance zéro pour les squatteurs", pouvant "être expulsés en 48 heures".Mme Pécresse veut également "aider les travailleurs exclus du prêt bancaire" en instituant "une caution solidaire" de l'Etat.Sur le logement social, elle a plaidé pour un "principe cardinal du respect" autorisant les bailleurs à "expulser les locataires condamnés pour trafic ou violence". Le logement social ne doit pas être "un droit à vie", a-t-elle ajouté, prônant un bail "de six ans renouvelable" des nouveaux entrants.Elle a aussi plaidé pour que les maires puissent attribuer 60% des logements sociaux de leur commune, afin que "ceux qui iront travailler aient un droit prioritaire" au logement.Appelant à "une politique de peuplement" avec une "vraie politique de mixité sociale", elle a répété son projet de limiter à 30% la proportion de logements très sociaux. Il faut "desserrer l'étau de la loi SRU" pour y intégrer "toutes les formes de logements intermédiaire" ainsi que "l'accession sociale à la propriété", selon elle.
Il y a 3 ans et 122 jours

Brico Dépôt et Castorama accélèrent la formation de leurs managers au digital

TRANSFORMATION DIGITALE. Kingfisher, qui dispose en France des enseignes de bricolage Castorama et Brico Dépôt, a décidé d'accélérer la formation de ses managers à la culture numérique.
Il y a 3 ans et 122 jours

Habitat indigne à Marseille : prison requise contre un ex-notaire

MARCHANDS DE SOMMEIL. Le propriétaire de plusieurs dizaines de logements dont de nombreux considérés comme dangereux ou insalubres risque une peine de prison, dans une ville dont le centre est sujet à l'habitat indigne.
Il y a 3 ans et 122 jours

CDC Habitat et Vinci Immobilier concluent une Vefa géante sur le Village des athlètes

PARIS-2024. Le Village des athlètes de Saint-Denis et Saint-Ouen avance à bon rythme, avec la conclusion d'une Vefa portant sur 504 logements, acquis par CDC Habitat auprès de Vinci Immoblier, sur son opération Universeine.
Il y a 3 ans et 122 jours

Rénovation énergétique : Profeel tient ses promesses

Après trois ans de travail, ce programme de recherche appliquée a permis de mettre au point une variété d’outils numériques et de ressources pour engager la prise de décision et mener à bien les travaux de rénovation.
Il y a 3 ans et 122 jours

RE2020 – Le SNBPE lance une formation e-learning RE2020 pour accompagner les agents technico commerciaux BPE de ses entreprises adhérentes

Depuis le 26 janvier 2022, et dans le cadre de la RE2020, le Syndicat National du Béton Prêt à l’Emploi (SNBPE) a développé une formation e-learning à destination des agents technico commerciaux (ATC) BPE de ses entreprises adhérentes afin de les familiariser aux spécificités de cette nouvelle règlementation.  La RE2020, applicable depuis le 1er janvier 2022, prend notamment en […]
Il y a 3 ans et 122 jours

« Le champ disciplinaire de l’architecte passe par la fabrique du projet »

Raphaël* est diplômé en 2020. Il travaille en agence depuis lors et entend devenir architecte en son nom propre. Verbatim. [Devenir architecte du XXIe siècle] Au sujet de l’enseignement du XXIe siècle, l’enjeu selon moi n’est pas de savoir si notre formation ne forme qu’au métier d’architecte praticien ou à d’autres métiers s’articulant autour (chercheurs, […] L’article « Le champ disciplinaire de l’architecte passe par la fabrique du projet » est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 122 jours

« Au-delà de l’agilité à concevoir le projet, j’ai acquis de l’assurance »

Marie, diplômée en 2019 est en contrat CIFRE – Conventions Industrielles de Formation par la Recherche – qui subventionne toute entreprise qui embauche un doctorant pour le placer au cœur d’une collaboration de recherche avec un laboratoire public. Les travaux aboutissent à la soutenance d’une thèse en trois ans. Verbatim. [De l’enseignement] Je crois qu’avoir […] L’article « Au-delà de l’agilité à concevoir le projet, j’ai acquis de l’assurance » est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 122 jours

Somfy accompagne les professionnels dans la mise en place de la RE2020

INITIATIVE. Pour accompagner les acteurs de la construction dans l'application de la nouvelle Réglementation Environnementale 2020, le spécialiste de l'automatisation des ouvertures et des fermetures de la maison et du bâtiment, Somfy, a décidé de créer un démonstrateur en ligne visant à les aider pour bien choisir les protections solaires.
Il y a 3 ans et 122 jours

A l'approche de l'élection présidentielle : l'énergie en cinq chiffres

19% de renouvelableEn 2020, les énergies renouvelables représentaient 19,1% de la consommation finale brute d'énergie en France, selon des données collectées par Eurostat. Si cette part augmente rapidement - 14,8% en 2015 -, la France a échoué à atteindre l'objectif de 23% d'énergie renouvelable en 2020 que lui avait fixé l'Union européenne.Avec cette cible, la France aurait dû se classer 10e parmi les 27. Elle n'est dans les faits que 17e, notamment dépassée par l'Espagne (21,2%), l'Italie (20,4%) ou l'Allemagne (19,3%) dont les objectifs étaient pourtant moins élevés.Les pays nordiques sont les champions européens des énergies renouvelables: la Suède (60,1%) est en tête dans l'Union européenne, l'Islande (83,7%) et la Norvège (77,4%) hors Union.18 centrales nucléairesDepuis la mise à l'arrêt de la centrale de Fessenheim (Haut-Rhin) en 2020, la France n'exploite plus que 18 centrales nucléaires, mais conserve le deuxième plus grand parc au monde, derrière les Etats-Unis.La France est même le pays le plus nucléarisé pour le poids de l'atome dans sa production d'électricité (environ 70%).Cette part est toutefois amenée à diminuer, le pays ayant décidé de l'abaisser à 50% à l'horizon 2035, dans un souci de diversification des sources de production d'électricité et pour permettre l'essor des énergies renouvelables.Un seul réacteur nucléaire est actuellement en chantier dans le pays, celui de l'EPR de Flamanville (Manche), qui a connu de nombreux retards et surcoûts. Son démarrage vient d'être repoussé une nouvelle fois, au deuxième trimestre 2023.Près de 9.000 éoliennesLa France compte 1.550 parcs pour 8.905 éoliennes, selon un rapport de France énergie éolienne (FEE), l'association qui regroupe les professionnels de la filière. Ces chiffres ont presque doublé depuis 2014. Le pays ne comptait alors que 4.800 éoliennes répartis dans 730 parcs. En moyenne, sur la période, près de 600 nouvelles éoliennes ont été mises en service chaque année.Selon le rapport de FEE, les Hauts-de-France et le Grand Est sont en pointe et "représentent à elles seules 50% de la puissance raccordée en France".Il ne s'agit pour l'heure que d'éoliennes terrestres. En mer, sept projets ont été attribués, certains depuis 2012, mais, d'obstacles réglementaires en recours juridiques, aucun n'est encore en service. Le premier à entrer en fonctionnement sera celui de Saint-Nazaire, fin 2022.Et même pour l'éolien terrestre, la filière, qui fait face depuis quelques mois à un regain d'opposition, estime que l'objectif de 34 gigawatts (GW) fixé pour 2028 sera "difficile à atteindre" au rythme actuel. Les projections de FEE plafonnent à 26,8 GW à cette échéance.68.000 emplois dans le renouvelableLes énergies renouvelables faisaient travailler en 2018 un peu plus de 68.000 équivalents temps plein (ETP), selon les données du ministère de la Transition écologique.Parmi ces emplois, les trois quarts se concentrent dans quatre secteurs: le bois-énergie (23%), les pompes à chaleur (19,1%), l'hydroélectricité (17,5%) et l'éolien terrestre (15,5%). En revanche, le photovoltaïque, qui représentait en 2010 plus du tiers des emplois du renouvelable avec environ 30.000 ETP, n'en emploie plus que 6.000 (8,7%).Les effectifs du renouvelable sont globalement en légère hausse depuis 2017, soutenus selon le ministère "par le niveau élevé des installations d'éoliennes et des ventes de pompes à chaleur", mais ils restent très inférieurs au pic de 2010, quand ils flirtaient avec les 80.000 ETP.Et 220.000 dans le nucléaireS'il n'existe pas de statistique officielle, le nucléaire représenterait 220.000 emplois en France, soit 6,7% de l'emploi industriel français, selon le Gifen, le syndicat professionnel de la filière, qui ne précise toutefois pas s'il s'agit d'équivalents temps plein.
Il y a 3 ans et 122 jours

Ultimes votes au Parlement pour un statut unique des travailleurs indépendants

Le texte de compromis, auquel ont abouti députés et sénateurs en commission mixte paritaire, a été adopté par le Sénat à l'unanimité des suffrages exprimés. La gauche s'est abstenue, le jugeant "insuffisant".Le projet de loi crée un statut unique pour les indépendants - artisans, commerçants, professionnels libéraux...- qui opère une distinction entre leur patrimoine professionnel et leur patrimoine personnel. Les biens personnels seront désormais par défaut insaisissables en cas de faillite, alors qu'aujourd'hui seule la résidence principale est protégée.Cette mesure, qui déroge au principe juridique de l'unicité des patrimoines, était une demande de longue date de ces travailleurs, dont l'activité fait par nature face à des risques importants, mis brutalement en lumière par la crise sanitaire du Covid-19. Elle entrera en vigueur trois mois après la promulgation de la loi."Il ne faut pas néanmoins en attendre des miracles, car les créanciers les plus importants, notamment les banques, continueront d'exiger des sûretés spéciales sur certains biens de l'entrepreneur, y compris ses biens personnels", a mis en garde le rapporteur du texte au Sénat Christophe-André Frassa (LR)."Nous attendrons des établissements bancaires de prendre toute responsabilité dans la mise en oeuvre de cette réforme, nous allons être très vigilants (...)", a promis le ministre des Petites et moyennes entreprises Jean-Baptiste Lemoyne.L'attitude des banques est aussi "un point de vigilance" pointé par le secrétaire général du Syndicat des Indépendants (SDI), Marc Sanchez, qui a salué dans le projet de loi "un saut décisif pour l'amélioration du statut des entrepreneurs individuels ainsi que de leurs situations sociale et fiscale".Le projet de loi constitue "la pierre angulaire" du plan en faveur des travailleurs indépendants annoncé par le président Emmanuel Macron le 16 septembre, selon le ministre. Il s'articule avec un volet budgétaire voté en fin d'année, pour faciliter les cessions d'entreprises, trop peu nombreuses en France lors du départ à la retraite d'un entrepreneur, grâce à des exonérations de taxation de la plus-value.Chômage mieux indemniséAutre mesure phare du texte: les conditions d'accès à l'allocation des travailleurs indépendants (ATI), jugées trop contraignantes, sont élargies à toute cessation totale et définitive d'activité qui n'est pas économiquement viable. "Pour estimer si l'activité n'est pas viable, on va regarder s'il a une baisse de son revenu d'au moins 30%", a précisé M. Lemoyne.Contrairement aux salariés, les indépendants ne peuvent en effet pas toucher le chômage. Depuis 2019, ils peuvent bénéficier de l'ATI, d'un montant forfaitaire de 800 euros par mois pendant une période maximale de six mois, mais seulement en cas de liquidation ou de redressement.La réforme prévoit par ailleurs de doubler le crédit d'impôt pour la formation des dirigeants d'entreprises de moins de dix salariés et vise à réduire de 30% le tarif de l'assurance facultative AT/MP (accidents du travail/maladies professionnelles).Selon une étude qui vient d'être publiée par l'Association pour le droit à l'initiative économique (Adie), réalisée à l'automne par OpinionWay auprès de 1.149 entrepreneurs indépendants, 93% d'entre eux estiment "urgent" de faire converger leurs droits sociaux vers ceux des salariés. Environ 59% veulent prioritairement des droits au chômage et 49% souhaitent avant tout une meilleure couverture des risques professionnels.Fin janvier, le gouvernement a annoncé des aides financières supplémentaires pour certaines catégories d'indépendants touchés par la crise sanitaire.Le projet de loi avait été initialement porté par Alain Griset. M. Griset, qui avant de devenir ministre avait exercé pendant plus de 30 ans la profession de chauffeur de taxi, répondra le 25 mai devant le tribunal correctionnel de Lille d'"abus de confiance" au dépens de la Confédération nationale de l'artisanat des métiers et des services (Cnams) du Nord.
Il y a 3 ans et 122 jours

La construction dope la croissance du groupe Vinci

INFOGRAPHIE. La major du BTP présidée par Xavier Huillard a enregistré des performances inespérées en 2021, boostées par des activités au beau fixe dans la construction et une plus grande sélectivité des affaires traitées.
Il y a 3 ans et 122 jours

Le marché de Rungis veut s'étendre au nord de Paris

Baptisé "Agoralim", le projet veut couvrir les besoins "de la terre à l'assiette". Il mise sur la création de "4.000 à 5.000 emplois directs non délocalisables".Son épicentre ? Le triangle de Gonesse, une enclave verte de 700 hectares dans l'est du Val-d'Oise, entre les aéroports de Roissy et du Bourget, dont 280 sont potentiellement urbanisables.C'est là que des promoteurs prévoyaient de construire le mégacomplexe de commerces et de loisirs Europacity, finalement enterré fin 2019 par Emmanuel Macron.Le devenir du site demeure un point de crispation, des défenseurs de l'environnement s'opposant à la création d'une gare de métro du Grand Paris express et d'une zone d'activités.La Semmaris, société gestionnaire du marché de Rungis, propose de "sanctuariser" une centaine d'hectares de terres agricoles dans le sud du triangle, là même où devait s'installer Europacity. Et de développer sur cette plaine céréalière des projets de maraîchage, d'horticulture et d'élevage "selon les principes de l'agroécologie", adaptés aux besoins locaux.A proximité de ces terres et de la future gare, elle suggère que soient construits une légumerie ainsi que des "équipements de formation, d'innovation et de sensibilisation au bien-manger".Autour de Gonesse, la Semmaris a identifié trois sites qui pourraient accueillir des activités de distribution et de transformation de produits frais : Goussainville, Roissy-en-France et Bonneuil-en-France.Le marché, "aujourd'hui occupé à plus de 97%, dispose de capacités limitées pour répondre à la hausse de la consommation alimentaire et aux évolutions des besoins des professionnels. Il y a donc un besoin important de disposer de surfaces supplémentaires d'entrepôts alimentaires frais", est-il souligné dans le rapport."Nous ne souhaitons pas artificialiser de nouvelles terres. On intervient sur des terrains qui sont déjà classés comme constructibles. La plupart du temps ce sont des friches ou des endroits où il y a eu des projets qui ont été abandonnés", affirme à l'AFP le président de la Semmaris, Stéphane Layani."Si les conditions sont réunies par les pouvoirs publics on pourra commencer à construire des choses dès 2025. Dès 2027, on aura engagé la majeure partie des travaux", ajoute-t-il.La Semmaris est prête à investir 700 millions d'euros pour "l'acquisition du foncier, la construction et l'aménagement des activités de transformation et de distribution". Le financement du projet dans sa globalité suppose que des acteurs publics et privés soient prêts à investir 700 millions d'euros supplémentaires.
Il y a 3 ans et 122 jours

Six mesures en faveur de la transition énergétique des territoires : France Gaz Liquides s’adresse aux candidats à l’élection présidentielle 2022

France Gaz Liquides dévoile aujourd’hui ses propositions à l’attention des candidats à l’élection présidentielle 2022, visant à contribuer à la décarbonation de l’économie, notamment dans les territoires non desservis par le gaz naturel. A travers ces 6 mesures, applicables immédiatement, l’objectif est d’accompagner les Français, les industriels et les professionnels dans la réduction de leur […]
Il y a 3 ans et 122 jours

Election du Bureau de l'OPPBTP : Jean-Marie Kerherno, élu Président et Christian Baix, élu vice-Président

L'Organisme Professionnel de Prévention du Bâtiment et des Travaux Publics est le conseil de la branche du BTP pour la sécurité et l'amélioration des conditions de travail. Sa structure paritaire est composée de 20 membres représentant les organisations professionnelles et syndicales de la branche, assistée d'un représentant de l'État, d'un représentant de la CNAM et de Paul DUPHIL, actuel secrétaire général.Élu pour un mandat d'un an renouvelable une fois, le Bureau veille à l'exécution des décisions du Conseil du comité national et au fonctionnement régulier des services de l'organisme.Jean-Marie KERHERNOJean-Marie KERHERNO est chargé de mission Mutualisation à la Fédération des SCOP du BTP. Il a exercé sa carrière à la STPEE, scop d'électricité de 200 collaborateurs, de 1979 à 2015 dont 18 ans en tant que PDG. Il est membre du Conseil du comité régional Ile-de-France de l'OPPBTP de 1987 à 1999 (Président en 1995 et 1996) et du Conseil du comité national depuis 1999 (Président en 2006 et 2007 et vice-Président en 2020 et 2021).Christian BAIXChristian Baix a exercé dans le BTP en Belgique de 1978 à 2001, puis comme salarié de l'entreprise Imhoff filiale du groupe Vinci-Energies de 2001 à 2016. Il est actuellement salarié de l'entreprise Millot, filiale du groupe Vinci-Energies. Il est par ailleurs membre de la commission financière de contrôle de la Fédération Nationale des Salariés de la Construction, Bois et Ameublement CGT depuis 2011 et membre du conseil du comité national de l'OPPBTP depuis 2013.
Il y a 3 ans et 122 jours

“Compagnons”, un film à voir absolument

D’un côté, une jeune femme de la cité Bellevue, à Nantes, forte tête indisciplinée qui galère. De l’autre, une confrérie basée sur des valeurs intangibles et une certaine idée du (beau) travail et de la transmission depuis des siècles. A 19 ans, passionnée de Street art, Naëlle est contrainte de suivre avec d’autres jeunes un chantier de réinsertion. Ceci est sa dernière chance pour éviter d’être séparée de ses proches. Touchée par la jeune fille, Hélène, la responsable du chantier, lui présente la Maison des Compagnons de Nantes. Un monde de traditions qui prône l’excellence artisanale et la transmission entre générations. Aux côtés de Paul, compagnon vitrailliste qui accepte de la prendre en formation dans son atelier, Naëlle découvre un univers aux codes bien différents des siens… Qui, malgré les difficultés, pourrait donner un nouveau sens à sa vie. Proche de la réalité Deux mondes que tout oppose, a priori. Mais le talent du dernier film “Compagnons” de François Favrat réussit à les rassembler. Les bons sentiments, eh bien oui (cela change !), ne tuent pas la qualité du film, bien au contraire…. On marche bien dans cette intrigue qui mêle habilement le portrait de la jeune rebelle Naëlle et la description de la communauté des Compagnons du devoir, très rarement montrée à l’écran. Et qui là, revêt un vrai souci documentaire. Le tout avec beaucoup d’espoir. « Nous avons voulu en savoir le plus possible sur les Compagnons du devoir. A l’origine du projet, la co-scénariste Johanne Bernard s’est rendue à la maison des Compagnons de Nantes pour se nourrir de l’intérieur. Elle a parlé avec le prévôt Kevin Boudout, qui joue son propre rôle dans le film, celui de Paul. Puis, j’ai pris le relai. Je voulais montrer de manière réaliste et crédible cette confrérie avec ses valeurs, ses engagements, son “folklore” aussi », indique François Favrat. Et souvient Elsa Fontanille, directrice de la communication aux Compagnons du devoir, de poursuivre : « Lorsque le réalisateur nous a présenté son projet, nous avons été ravis. Sur les 10 000 jeunes que nous formons chaque année, il y a des parcours de vie tout autant difficiles que dans le film. Le scénario était crédible. “Compagnons” est très réussi, il met bien en avant nos valeurs. Il envoie un message très positif aux jeunes. Il remet à sa juste place le travail manuel, qui est loin d’être une voie de garage. On parle ici d’excellence, de fraternité, d’entre-aide » Et ça prend… Le compagnonnage au cœur du film D’autant plus que la jeune comédienne Najaa Bensaid, Naëlle dans le film, est une véritable bombe à retardement. C’est une boule d’énergie, qui enrage contre les injustices, contre la vie, contre tout… Sa violence est crédible, la violence de la cité est peut-être un peu caricaturée, mais bon… « Les jeunes de quartier dans le film viennent de Bellevue pour de vrai. Pareil pour les Compagnons dans l’atelier de vitraux. Je voulais les bons gestes, les bonnes attitudes, que cela soit crédible », reprend François Favrat. « Les jeunes de quartier dans le film viennent de Bellevue pour de vrai. Pareil pour les Compagnons dans l’atelier de vitraux. Je voulais les bons gestes, les bonnes attitudes, que cela soit crédible », indique François Favrat. [©Film “Compagnons”]La jeune actrice donne parfaitement la réplique à Pio Marmaï, le compagnon vitrailliste, un zeste bourru, grand gaillard sensible et débonnaire. [©Film “Compagnons”]Naëlle découvrant le métier de vitrailliste. [©Film “Compagnons”]La jeune actrice donne parfaitement la réplique à Pio Marmaï, le compagnon vitrailliste, un zeste bourru, grand gaillard sensible et débonnaire. Et à Agnès Jaoui, la “Mère”, très protectrice des Compagnons du devoir, qui se dévoue aux dépends de sa famille. [©Film “Compagnons”]Naëlle découvrant le métier de vitrailliste. [©Film “Compagnons”]François Favrat, réalisateur de “Compagnons” : « Nous avons voulu en savoir le plus possible sur les Compagnons du devoir ». [©Film “Compagnons”] Enfin, la jeune actrice donne parfaitement la réplique à Pio Marmaï, le compagnon vitrailliste, un zeste bourru, grand gaillard sensible et débonnaire. Et à Agnès Jaoui, la “Mère”, très protectrice des Compagnons du devoir, qui se dévoue aux dépends de sa famille. Nous sommes à la fois dans un registre de fable sociale aux allures de conte de fées. On y croit. Pour tous ceux qui trouveront ça facile, je leur rétorquerai qu’on passe deux bonnes heures à suivre les errances de Naëlle et qu’une happy end, même si l’on s’en doute bien, vient à point nommé dans ces temps bien perturbés. Visionnez la bande annonce Muriel Carbonnet
Il y a 3 ans et 122 jours

"Les temps évoluent, pourquoi pas la profession?", Julien Leroy, architecte DE et communicant

Grand chantier annoncé dès sa prise de fonction par Christine Leconte, la présidente du Conseil national de l'Ordre des architectes, l'ouverture du tableau à tous les diplômés des écoles nationales supérieures d'architecture est sur la table. Depuis sa région "pilote", le Conseil régional de […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 122 jours

Nouveau Webinar by Tramico : « Tramichape – Réussir une isolation acoustique performante sous chape »

Participez au webinar pour connaître les bonnes pratiques de mise en œuvre du TRAMICHAPE et les préconisations des experts TRAMICO pour garantir une isolation acoustique performante sous chape. Ce webinar sera co-animé par Antoine Fréville, Responsable Projet Développement et Thomas Olivier, Responsable Commercial Ile de France. Rappel des infos du Webinar :Thème : « TRAMICHAPE – Réussir une isolation acoustique performante sous chape » Réglementation acoustique, isolation aux bruits d'impact et règles de mise en œuvre : les solutions des experts TRAMICO.Dates & horaires du webinar : (durée du webinar 30min)Vendredi 11 février 2022 – 13h00Mardi 15 février 2022 – 17h30N’attendez plus et inscrivez-vous à la date et l’heure qui vous conviennent le mieux à cette adresse.Tramico, fabricant français, propose un vaste choix de solutions techniques pour le bâtiment dans les domaines de l’isolation acoustique et de l’étanchéité (à l’air et à l’eau).Au fil des années, TRAMICHAPE est devenu une marque forte sur le secteur de la chape et a su s’imposer auprès des professionnels qui apprécient notamment leur haut niveau de technicité et de qualité.
Il y a 3 ans et 122 jours

Soutien pour les micro-entrepreneurs en difficulté

Les aides financières exceptionnelles annoncées le 28 janvier ne concernent pas le Bâtiment, cependant tous les micro-entrepreneurs en difficulté peuvent bénéficier de l'ACED.
Il y a 3 ans et 122 jours

Pôle Habitat FFB et le groupe ESPI signent un partenariat

Du nouveau pour la formation initiale ou continue : l'Ecole supérieur des professions immobilières signe un partenariat avec le Pôle Habitat de la Fédération Française du Bâtiment. (Photo Grégory Monod © FFB)
Il y a 3 ans et 122 jours

La filière forêt et bois présente un manifeste en vue des élections présidentielles

Ce 2 février 2022, Jean-Michel Servant, président de France Bois Forêt et Frédéric Carteret, président de France Bois Industries Entreprises ont présenté à la presse un manifeste commun porté par la filière bois.
Il y a 3 ans et 122 jours

La Banque Postale lance le prêt "Avance rénovation", pour la rénovation énergétique

Déstinés au propriétaires aux revenus modestes, les prêts "Avance Rénovation", garanti par l'Etat, ne doivent être remboursés qu'au moment de la revente du bien ou de la succession.
Il y a 3 ans et 122 jours

Carrier et Barrisol lancent en Europe une gamme de solutions innovantes de plafonds CVC

A partir d’une solution tout air, chauffer, rafraîchir, ventiler, épurer l’air, sans bruit, ni mouvement d’air discernable, c’est la promesse du nouveau procédé développé par Carrier et Barrisol
Il y a 3 ans et 122 jours

A Paris (XIIIe), la Tour Watt de Vincent Lavergne parle de son temps

L’agence Vincent Lavergne Architecture Urbanisme (VLAU), avec A&B PMCR pour l’aménagement intérieur, a livré en décembre 2021 la réhabilitation, extension et surélévation de la Tour Watt, icône du XIIIe arrondissement à Paris. Le montant de travaux de transformation de l’ancienne Tour du Loiret, réalisés pour ICF Habitat La Sablière, est de 11,5 M€ HT pour […] L’article A Paris (XIIIe), la Tour Watt de Vincent Lavergne parle de son temps est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 122 jours

Patrice Ruaz est le nouveau Directeur Opérationnel en France pour GREE

GREE, le plus grand fabricant de climatiseurs au monde, a annoncé l'arrivée d'un nouveau Directeur Opérationnel pour la France. Patrice Ruaz a rejoint l'entreprise en janvier 2022, avec une carrière déjà riche dans le secteur.
Il y a 3 ans et 123 jours

Habitat indigne à Marseille: prison requise contre un ex-notaire

Le procureur a également réclamé la confiscation d'un immeuble, en guise de "signal fort adressé à tous ces investisseurs qui comptent tirer des profits" en louant des logements insalubres ou dangereux.Une amende de 100.000 euros a de même été requise contre la SCI propriétaire du bien immobilier.Dans ce cas emblématique des dossiers ouverts par la justice après le drame de la rue d'Aubagne et ces huit morts le 5 novembre 2018 dans l'effondrement d'un immeuble au coeur de Marseille, Pierre-Yves Loiseau, 42 ans, était jugé pour mise en danger d'autrui et refus d'exécuter des travaux dans l'un de ses nombreux biens.En 2013, cinq après l'achat d'un immeuble, dans un des quartiers les plus pauvres de Marseille, le bâtiment, aux installations électriques vétustes, était rongé par l'humidité.A la barre, l'ex-notaire a renvoyé la responsabilité sur les locataires "qui jouent au ballon dans les parties communes et font des barbecues à l'intérieur". Toujours selon lui, les entreprises envoyées pour les travaux se faisaient voler leur matériel ou voyaient leur travail immédiatement dégradé.Entre 2008 et 2010, le notaire s'était lancé dans des investissements immobiliers tous azimuts, créant 23 SCI pour acquérir 80 logements en empruntant 4 millions d'euros. Depuis, sept de ses immeubles ont été frappés d'un arrêté de mise en sécurité ou d'insalubrité, a précisé le procureur."On est sur un comportement délinquant, a insisté le procureur, car on n'achète pas autant de biens dans ce type d'immeubles, dans ce type de quartiers, si on n'a pas l'idée de faire un profit maximum"."Je n'ai plus d'argent, plus de moyens", s'est défendu le prévenu, qui avait déclaré des revenus de 300.000 euros par an entre 2014 et 2016, alors qu'il était encore notaire, et dont le domicile, un hôtel particulier à Aix-en-Provence, ainsi qu'une maison de bord de mer en Corse, ont déjà été saisis.Seuls une ancienne locataire et son fils, victimes de l'insalubrité de leur logement, relevée en 2012 par les services d'hygiène de la ville de Marseille, se sont constitués partie civile.Rappelant que M. Loiseau ne risquait pas d'impayés, leur loyer étant versé par la caisse d'allocations familiales, leur avocat a réclamé 30.000 euros de dommages et intérêts pour préjudice moral.Le jugement sera rendu le 21 février.
Il y a 3 ans et 123 jours

Soprema va construire un centre d'expertise dédié à la R&D sur les isolants

LABORATOIRE. Spécialiste de l'isolation et de l'étanchéité, Soprema, annonce la réalisation d'un centre d'expertise destiné à montrer son savoir-faire en matière d'isolants biosourcés, en polyuréthane et en polystyrène extrudé.
Il y a 3 ans et 123 jours

L'USH porte plainte contre Eric Zemmour pour ses propos sur les HLM

PRÉSIDENTIELLE 2022. L'Union sociale pour l'habitat annonce, le 7 février, avoir porté plainte contre Eric Zemmour pour ses propos tenus, le jour-même, sur France Inter, concernant les HLM.
Il y a 3 ans et 123 jours

Le nombre de travailleurs indépendants a progressé en 2020 malgré la crise sanitaire

Ce dynamisme est porté par le statut d’auto-entrepreneur (+17,5% en 2020 après +21,3% en 2019), tandis que le nombre de « TI classiques » reste stable (0,0% après +0,1%). Plus d’un indépendant sur deux est désormais auto-entrepreneur (AE, 50,7% fin 2020). Parmi eux, 69,1% ont déclaré un chiffre d’affaires positif sur l’année 2020 et sont donc considérés comme « économiquement actifs ».Malgré la crise sanitaire, plus de 720 000 immatriculations ont été enregistrées en 2020, dont 83,2% sous le statut d’AE, après 78,9% en 2019. Elles diminuent de 2,2% par rapport à 2019 mais restent nettement supérieures au nombre de radiations (433 000), qui baissent elles aussi de 2,9%.En 2019, 80,4 milliards d’euros de revenus ont été déclarés par l’ensemble des travailleurs indépendants, pour un revenu moyen de 42 976 euros pour les TI classiques (+1,3% par rapport à 2018) et de 6 092 euros pour les AE (+8,5%). En 2020, le revenu moyen des AE est fortement impacté par la crise sanitaire et se réduit à 5 499 euros (-9,7%). Les évolutions et les niveaux de revenus varient selon les secteurs et les départements. La crise a particulièrement affecté le secteur des VTC, des activités de transport et d’entreposage, de la restauration et des activités récréatives. L’effet de l’année 2020 sur les revenus des TI classiques ne peut à cette date qu’être évalué sur les TI présents à la fois en 2019 et 2020. Si leur revenu moyen diminue globalement de 4,4%, la baisse est plus forte pour les artisans (-6,7%), et les secteurs touchés par les fermetures administratives. Fin 2020, 16,7% des indépendants cumulent leur activité avec un emploi dans le secteur privé. 22,3% des AE sont concernés, contre 7,1% pour les TI classiques. Comme les années précédentes, les revenus moyens issus de l’activité des indépendants sont deux fois moins élevés pour les polyactifs que pour ceux qui ne le sont pas.
Il y a 3 ans et 123 jours

Emploi : à l'heure des transitions, recruteurs et candidats sont-ils en phase ?

DÉCRYPTAGE. Les premiers enseignements issus de la crise sanitaire montrent une certaine appétence des futurs diplômés du BTP pour la question environnementale, quand les employeurs cherchent pour leur part des profils polyvalents et prêts à s'adapter. Une certaine flexibilité s'observe aussi du côté des conditions de travail, notamment à distance, et les niveaux de rémunérations restent attractifs.
Il y a 3 ans et 123 jours

Le marché de Rungis veut se développer avec plusieurs plateformes logistiques

LOGISTIQUE. La société gestionnaire du marché de Rungis, au nord de Paris, aimerait voir les locaux s'étendre. Plusieurs constructions sont en discussion.
Il y a 3 ans et 123 jours

L’apprentissage bat des records en 2021

718 000 contrats d’apprentissage ont été signés dans les secteurs privé et public en 2021 selon la Dares. 22% des contrats mènent au CAP, 15% au baccalauréat, 21% au bac+2, 19% au bac+3 et 21% au bac+5 ou plus. 11 % des apprentis sont employés par la filière construction. 66 % des contrats sont signés dans des entreprises de moins de 50 salariés.
Il y a 3 ans et 123 jours

Baisse des ventes de passoires thermiques

À l’analyse des bases immobilières notariales sur la répartition des ventes de logements anciens selon le DPE au niveau de la France métropolitaine, il apparaît que la performance énergétique globale du parc immobilier s’est, de façon générale, améliorée sur 10 ans. Si la modification du DPE a pu laisser augurer d’une augmentation des volumes de vente des classes F et G, les bases immobilières notariales, en l’état actuel, ne confortent pas cette analyse. Il apparaît trop tôt de pouvoir affirmer que cette tendance puisse exister. Source : Note de conjoncture immobilière janvier 202, Conseil supérieur du notariat  
Il y a 3 ans et 123 jours

Plus de 90% des responsables énergie pensent que leur entreprise réussira à réduire ses émissions CO2 de 55% en moins de 10 ans

D’après l’étude, ils ne sont que 7% à déclarer que leur entreprise n’a pas encore engagé d’actions concrètes pour baisser ses émissions et atteindre les ambitieux objectifs de neutralité carbone fixés par l’Union Européenne.La transformation écologique et énergétique des entreprises bat son plein, poussée par le double facteur des objectifs climatiques européens et des attentes des citoyens. C’est ce que révèle une nouvelle étude effectuée par l’institut OnePoll pour Statkraft, le plus grand producteur d’énergie renouvelable d’Europe. Lors de cette vaste enquête menée dans huit pays européens dont la France, 16,000 particuliers et 620 industriels responsables des achats d’énergie ont été interrogés sur leurs perspectives en matière de transition énergétique.Le constat est sans appel : 80% des Français déclarent être préoccupés par le changement climatique. Ils ne sont en outre que 10% à estimer que la lutte pour le climat ne relève pas de leur responsabilité personnelle et près de 69% à souhaiter davantage d’initiatives gouvernementales en faveur du climat. Cette tendance lourde dans les attentes des consommateurs constitue un puissant moteur de la transformation des entreprises.Enfin l’étude révèle que les Français, à l’instar des autres peuples européens, tiennent les producteurs de combustibles fossiles comme premiers responsables du changement climatique, devant l’utilisation de plastiques à usage unique et le transport.L’énergie renouvelable reste quant-à-elle la source d’électricité préférée des Français : Ils ne sont que 4% à avoir une opinion négative de l’énergie solaire, devant l’éolien terrestre avec à peine 13% d’opinion défavorable, contre 29% d’avis négatif pour nucléaire. De plus, 61% des sondés considèrent comme important que l'électricité qu'ils utilisent à la maison provienne d'une source renouvelable.Des bouleversements industriels à venirParmi les industriels européens, les Français sont aussi ceux qui sont les plus fermement convaincus que leur secteur d’activité va connaitre une profonde transformation. En effet, 70% des professionnels français interrogés estiment avec conviction que leur secteur industriel connaitra de grands bouleversements au cours des trois décennies à venir, soit près de 20 points de plus que leurs homologues Européens.L’industrie automobile en sera un exemple emblématique. L’enquête confirme en effet l’engouement populaire pour les véhicules hydrides ou tout électrique. Plus de 20% des Français compte se séparer de leur véhicule thermique au profit de l’électrique au cours des 24 prochains mois. Cette tendance s’accentuera fortement avec la démocratisation progressive de la mobilité électrique, puisque 58% des personnes qui n’envisagent pas d’adopter de véhicule électrique à ce jour, pointent leurs prix excessifs comme frein numéro un.Nos industriels français ont aussi une vision précise de l’action gouvernementale qu’ils souhaitent voir venir en soutien à leur transition énergétique.Parmi les diverses initiatives que le gouvernement devrait selon eux prendre, les professionnels français citent les subventions pour les énergies renouvelables comme étant le facteur le plus important, suivis des subventions pour les industries électro-intensives, les subventions pour l'énergie en général, et enfin une mise en place rapide et efficace des plans climatiques gouvernementaux.
Il y a 3 ans et 123 jours

L’École polytechnique publie son Plan climat et met le développement durable au cœur de ses missions et de son campus

La publication du Plan climat de l’École polytechnique accentue son engagement pour contribuer à bâtir un monde plus soutenable. Elle affirme son ambition d’intégrer pleinement la transition écologique dans l’ensemble de ses missions de formation, de recherche, d’innovation et dans le fonctionnement de son campus. Résultat d’un processus large et participatif qui a impliqué les équipes académiques, les étudiants, les personnels et les partenaires de l’École, ce Plan climat fixe 10 objectifs réalisables à 5 ans, regroupés en 3 piliers - former et engager, développer et innover, et réduire et responsabiliser – pour transformer en profondeur les comportements et contribuer à l’avènement d’une prospérité responsable et soutenable. Le Plan climat de l’École polytechnique s’inscrit dans le prolongement des engagements forts en faveur de la lutte contre le réchauffement climatique pris par l’École lors du colloque international « Réflexions : Chercher, former et agir pour le développement durable », organisé en juin 2019, dans le cadre de son 225e anniversaire. L’École a ainsi publié en 2020 un premier bilan carbone du campus, permettant d’établir un diagnostic et de définir des trajectoires de réduction de ses émissions pour parvenir à la neutralité carbone à l’horizon 2050.Elle a ancré cette nouvelle étape de la transition écologique au sein de l’Institut Polytechnique de Paris (IP Paris), qui lui a permis d’unir ses forces à celles de quatre autres Écoles d’Ingénieur prestigieuses : l’ENSTA Paris, l’ENSAE Paris, Telecom Paris et Telecom SudParis. Dans ce cadre, elle a poursuivi le déploiement de ses modules de formations développement durable et des actions de recherche du centre interdisciplinaire d’IP Paris, Energy4Climate (E4C). Depuis sa création, l’École polytechnique n’a cessé d’accompagner et de façonner les transformations économiques, techniques et sociétales qui se sont succédées et qui ont permis des avancées au bénéfice du plus grand nombre. L’engagement de l’École en faveur d’un développement soutenable entre en résonance avec sa mission originelle de promotion de la science dans la formation, la recherche et l’innovation au plus haut niveau et au service du bien commun. Complexes et globaux, les défis environnementaux doivent être abordés avec humilité, agilité, vision de long terme et dans le cadre d’une approche pluridisciplinaire que l’École porte depuis ses origines.Les 10 objectifs du Plan climat à cinq ans :Intégrer des heures de formations appliquées sur les enjeux de durabilité dans 100% des parcours professionnalisantsTripler le nombre d’heures de formation obligatoire sur les enjeux de soutenabilité pour l’ensemble des formationFormer nos collaborateurs et leur permettre d’appliquer la transition écologique au quotidienCréer un campus démonstrateur de la transition, s’appuyant sur ses communautés de recherche et d’innovationIntégrer le développement durable comme paradigme dans 100% des projets de recherche structurantsAlimenter un fonds climat permettant de soutenir des actions de transition au sein de l’ÉcoleRéaliser annuellement une cartographie de la recherche à l’échelle IP Paris portant sur les enjeux environnementaux et de son impactDiminuer de 20% les émissions de gaz à effet de serre par usager du campus sur le poste énergieAssurer 50% des commandes sous critères d’achats responsablesSanctuariser un cœur de campus dédié aux modes de déplacements doux
Il y a 3 ans et 123 jours

2ème édition des Trophées Bâtiments Circulaires : c’est parti ! 

A4MT et Construction21 renouvellent les Trophées Bâtiments Circulaires pour une 2ème saison. Les maîtres d’œuvre et d’ouvrage sont invités à candidater jusqu’au 13 mai pour mettre en avant leurs projets intégrant des matériaux du réemploi. Le recours à ces matériaux, provenant de bâtiments déconstruits, a un impact très net sur l’empreinte carbone d’un bâtiment et sur la préservation des ressources. Si la pratique du réemploi est souvent perçue comme complexe, c’est d’abord en grande partie à cause du manque d’informations et de partage d’expérience entre les acteurs de la chaîne de l’immobilier. Les projets recensés seront partagés sur une plateforme dédiée, hébergée par Construction21. Ils seront géolocalisés et dûment détaillés (origine et réemployabilité des matériaux, gestion du stockage, impacts évités…), pour permettre d’enclencher un partage d’expérience inédit sur le réemploi des matériaux à l’issue du concours. Cette année, le concours s’ouvre au-delà des frontières nationales et d’autres pays francophones sont invités à inscrire leurs projets : Belgique, Suisse, Luxembourg et Canada. https://www.construction21.org/france/project/h/trophees-batiments-circulaires-2022.html