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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87992 résultats)
Il y a 3 ans et 148 jours

Le bâtiment a terminé 2021 sur une note positive et encourageante pour 2022

ÉCONOMIE. Le secteur de la construction a vu son activité se maintenir au mois de décembre 2021, tout en affichant des carnets de commandes toujours bien garnis. Sur cette lancée, les chefs d'entreprises prévoient une activité stable pour le début d'année 2022. Une conjoncture favorable qui se retrouve jusque dans les chiffres des faillites de sociétés, qui continuent de s'effondrer.
Il y a 3 ans et 148 jours

ENI se lance dans le secteur photovoltaïque en Grèce

La société grecque fait partie de Solar Konzept International, contrôlé par Aquila Capital, une société d'investissement durable allemande, indique ENI dans un communiqué, sans préciser le montant de la transaction.SKGR possède une plateforme pour le développement de centrales photovoltaïques en Grèce et compte une réserve de projets d'environ 800 mégawatts, "qui servira de base à la poursuite du développement du portefeuille d'énergies renouvelables" d'ENI dans ce pays.La filiale gaz et électricité d'ENI est présente sur le marché grec de l'énergie depuis 2000 et compte environ 500.000 clients.Le groupe italien avait annoncé en avril la fusion entre ses branches ventes de gaz et électricité au détail et énergies renouvelables. Il souhaite introduire en Bourse cette année jusqu'à 30% du capital de cette nouvelle société, qui s'appellera prochainement Plenitude.L'objectif de cette entité sera de développer une capacité de production d'énergie renouvelable de plus de 6 gigawatts d'ici à 2025 et de plus de 15 gigawatts d'ici à 2030.
Il y a 3 ans et 148 jours

Vinci Autoroutes livre un nouvel échangeur sur l’A52

Inauguré le 13 janvier, le nouvel échangeur de Belcodène va améliorer l’accès à l’A52 qui relie Aix-en-Provence à Aubagne, à l’est de l’agglomération marseillaise. Le chantier, qui a coûté près de 20 millions d’euros HT, a mobilisé environ 500 000 m3 de déblais et remblais.
Il y a 3 ans et 148 jours

Muller Intuitiv présente sa sélection de radiateurs design pour le salon

Le Groupe Muller, une ETI industrielle familiale française, conçoit et fabrique des équipements thermiques intelligents et connectés depuis plus de 60 ans. Cette année, deux marques de ce groupe, NOIROT et APPLIMO, présentent ensemble leurs radiateurs Calidoo, Axoo, Beladoo et Sensual. Ces radiateurs à chaleur douce et au style intemporel sont conçus pour s’intégrer à tous types d’architecture et s’adapter à n’importe quelle décoration. Calidoo : le radiateur qui s’adapte à toutes les décorations Aujourd’hui, le radiateur n’est plus un simple appareil de chauffage mais un véritable objet de décoration. A la fois élégant et discret, le radiateur Calidoo s'accorde avec tous les styles de décorations intérieures. Déclinés dans deux couleurs blanc et anthracite, ce modèle s’harmonise avec une large variété de mobilier. Calidoo est un radiateur à inertie équipé d'un double corps de chauffe en fonte. L'apport de la fonte permet une sensation de chaleur douce, stable et bien répartie dans toute la pièce, même en demi-saison. Grâce à ses dimensions variées, il est pratique et adaptable aussi bien pour les petits que les grands salons. Les nombreuses puissances disponibles assurent un dimensionnement qui correspond parfaitement aux caractéristiques de la surface à chauffer. En complément, Calidoo est aussi un radiateur 100% connecté, sans accessoire supplémentaire à prévoir, qui grâce à ses fonctions intégrées de pilotage intelligent rend le quotidien plus facile et les économies d'énergies plus intuitives. Beladoo : la chaleur de la fonte revisitée Très discret, le radiateur Beladoo sait se faire oublier dans tous types d’espaces. Grâce à son corps de chauffe en fonte active, il assure un confort optimal au quotidien. Ses différentes puissances et dimensions lui permettent de s’adapter à toutes les contraintes d’espaces et besoins de chauffe, garantissant ainsi une température homogène, essentielle pour les pièces à vivre. Marqué par un design traditionnel, Beladoo séduit par ses lignes qui insufflent dans chaque pièce une touche vintage. L’aspect allongé de chaque barre prolonge le mur et donne une impression d’espace. En blanc satiné lisse ou en gris anthracite, Beladoo se fond naturellement sur un mur blanc ou joue la carte du chic en apportant du contraste dans sa version anthracite. Grâce au pilotage sur mesure de l’intelligence Muller Intuitiv, les radiateurs Beladoo permettent de générer des économies d’énergie d’environ 30% par rapport aux anciens systèmes grâce à ce dispositif 100% connecté, sans besoin d’accessoire supplémentaire.
Il y a 3 ans et 148 jours

Deux maisons individuelles Novabita construites avec le béton Vitaliss® et le bloc à bancher Vertical Bloc®

Cette réalisation Novabita, du Groupe Foncière des parcs, illustre l’engagement environnemental du promoteur immobilier qui conçoit et met en œuvre des solutions écoresponsables. Il favorise des matériaux de construction alliant performances et faible impact environnemental. En témoigne l’utilisation d’un béton de la nouvelle gamme bas carbone Vitaliss® d’Edycem. Avec son VitaScore A, ce béton offre une réduction de plus de 40% de CO2 comparé à un béton standard.Pour Philippe Fouquet, Directeur du département logement et travaux construction chez Foncière des parcs : « J’ai toujours été très sensible et attentif au développement de produits novateurs. Nous avons à cœur chez Novabita d’être moteur d’une démarche durable active. Cela est fondamental pour la planète, les futures générations mais également pour la pérennité de nos métiers et du mode constructif. Nous avons naturellement fait le choix du nouveau béton bas carbone Vitaliss® d’Edycem BPE pour ces deux maisons. Une innovation qui va dans le sens de notre volonté de réduire l’impact carbone de nos ouvrages. »Ce projet illustre également l’attachement d’Edycem, de Novabita et de Gaudin Maçonnerie pour l’ancrage territorial et le savoir-faire local.Coulage du Vitalis ® : « rien ne change pour l'artisan ! »Edycem a la volonté d’accompagner ses clients pour répondre à leurs enjeux environnementaux. Dans cette démarche, Edycem a développé la gamme Vitaliss®. Cet éventail de bétons bas carbone permet de réduire les émissions de C02 de 20 à plus de 50 % par rapport à une formulation traditionnelle, tout en présentant des propriétés de résistance et de pérennité équivalentes.Le chantier de ces deux maisons Novabita est mené par l’entreprise Gaudin Maçonnerie, installée dans la région depuis 1952. Au total, ce sont 34 m3 de béton bas carbone Vitaliss® Score A (- 41% de CO2) qui ont été coulés en dallage ainsi que dans les Vertical Bloc®.Pour Corentin Chaillou, co-gérant Gaudin Maçonnerie : « Gaudin Maçonnerie collabore depuis toujours avec Edycem que je connais moi-même depuis plus de 10 ans. J’ai donc vu passer plusieurs générations de bétons et je peux dire que le Vitaliss® est non seulement un produit d’avenir, notamment pour la RE2020, mais également une solution qui ne modifie pas le process de mise en œuvre pour l’entreprise. C’est un produit qui reste simple à travailler sur chantier. Nous l’avons approuvé sur les maisons de Challans, aucune différence avec un béton classique ! »100 % confort avec le Vertical Bloc®L’autre produit phare de ce chantier est le bloc à bancher Vertical Bloc® d’Edycem PPL.Pour Philippe Fouquet, Directeur du département logement et travaux construction chez Foncière des parcs : « Il s’agit d’une solution 100 % étanche, aux multiples avantages pour les maîtres d’œuvre et d’ouvrage. Nos clients gagnent en surface habitable grâce à leur faible épaisseur de 15 cm de voile, en confort thermique et en solidité. Côté chantier, l’organisation est optimisée, la mise en œuvre plus confortable et aisée : légèreté, montage à sec, fini la bétonnière bruyante, le stockage de sable et de gravier. Ce type de solutions est tout aussi important pour attirer les jeunes dans nos métiers. »Pour Corentin Chaillou, co-gérant Gaudin Maçonnerie : « Cela fait 6 ans que je pose du Vertical Bloc®. Le montage à sec permet une mise en œuvre ergonomique, un gain de temps, et réduit les gestes techniques. Les conditions de travail sont optimisées grâce à sa légèreté et à la suppression des coupes. »
Il y a 3 ans et 148 jours

Geberit : des ventes historiques en 2021

Le chiffre d'affaires du spécialiste suisse des équipements sanitaires a augmenté de 15,9 % à 3,46 Md CHF par rapport à l'année précédente.
Il y a 3 ans et 148 jours

A Aurillac, nouveau plateau technique pour Henri Mondor par le Groupe Kardham

Le pôle architecture du Groupe Kardham a livré en 2020, avec un budget de 10,5 M€, le nouveau plateau technique du Centre Hospitalier Henri Mondor d’Aurillac (Cantal). D’une surface de 4 500 m², le bâtiment regroupe désormais par pôles cohérents et sur un seul site tous les services qui ont besoin d’anesthésie, jusqu’ici éclatés sur […] L’article A Aurillac, nouveau plateau technique pour Henri Mondor par le Groupe Kardham est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 148 jours

Le groupe Oryx lève 100 millions d'euros

Deux fonds d'investissement, Tikehau et Abénex, entrent au capital de l'entreprise, et les fondateurs d'Oryx, Michel Le Bras et Christine Cadrot, ont également apporté des fonds pour devenir actionnaires majoritaires du réseau. L'apport de chacun des trois protagonistes n'a pas été dévoilé.Contrairement aux réseaux d'agences immobilières, les réseaux de mandataires n'ont pas pignon sur rue et leurs services sont dématérialisés. La plupart des mandataires ont un statut d'indépendants."Ce nouvel investissement permettra au Groupe Oryx de développer encore sa plateforme technologique afin que ses consultants indépendants en immobilier puissent encore accentuer leur avantage compétitif sur le marché", se félicite l'entreprise dans un communiqué.Oryx revendique un chiffre d'affaires de 75 millions d'euros fin 2021, avec une croissance de 35% par an depuis cinq ans, et 3.500 conseillers. Outre des réseaux de mandataires, il propose des services de gestion locative et de courtage et rachat de crédits.
Il y a 3 ans et 148 jours

« Un salarié n’est pas tenu de dire à son employeur s’il est cas contact ou positif au Covid», Michel Ledoux, avocat

Gestion des cas contact et des cas positifs, futur passe vaccinal, protection contre la contamination… Michel Ledoux, avocat au cabinet Ledoux et associés, indique la marche à suivre aux chefs d’entreprise du BTP.
Il y a 3 ans et 148 jours

Cemex s'associe à Case Construction Equipment pour intégrer des véhicules à faible émission de carbone dans sa flotte européenne

Les véhicules - des bulldozers, des chargeuses sur pneus et des tractopelles - seront utilisés par les activités matériaux de CEMEX dans plusieurs pays, notamment en France, en Espagne, en République tchèque, en Pologne, en Allemagne et au Royaume-Uni. En France, la première série de machines a d'ores et déjà été livrée à Nîmes (30), à Brébières (62) et en région toulousaine :2 bulldozers 1650M2 tractopelles 580ST1 chargeuse sur pneus 1121G2 chargeuses sur pneus 521GD'autres machines seront livrées dans les semaines à venir dans les autres pays concernés.Des équipements à faible émission de carboneCes machines étant plus légères par rapport à celles du marché, elles utilisent moins de carburant pour se déplacer et émettent donc moins de CO2. Le moteur étant monté à l'arrière de la machine, il n'est pas nécessaire d'installer un contrepoids très lourd pour équilibrer la charge à l'avant de la machine.Par ailleurs, CASE fait partie du groupe FIAT Automobiles et fabrique ses propres moteurs, plus économes en carburant et à combustion propre. Grâce à ces nouveaux types de moteurs, la taille des filtres utilisés pour éliminer les particules de gaz d'échappement est réduite ce qui permet de limiter les consommations d'énergie.« En tant que leader mondial de l'industrie des matériaux de construction, nous nous sommes engagés à mener le secteur vers une économie moins carbonée. Nous examinons chaque domaine de nos activités afin de maximiser notre efficacité en termes d'action climatique. Notre flotte de véhicules industriels est un élément clé en la matière, c'est pourquoi nous sommes très satisfaits de ce contrat avec CASE. Ce partenariat apporte en effet un avantage environnemental significatif à nos opérations européennes : les véhicules que nous avons sélectionnés intègrent une technologie avancée et une consommation de carburant réduite grâce à un rapport poids/puissance amélioré. Cela nous encourage à poursuivre notre collaboration avec CASE afin d'explorer d'autres opportunités d'améliorer la durabilité de nos activités, » précise Craig Hooper, responsable de la flotte des équipements mobiles pour CEMEX Europe.« CEMEX est un groupe mondial très engagé en faveur du développement durable et de l'action climatique, au travers des solutions qu'il fournit et de l'optimisation de ses opérations. Nous sommes heureux que ce leader de l'industrie des matériaux de construction nous ait choisis pour le soutenir dans ses efforts actuels et à venir, », déclare Andrea Rapali, Directeur Grands Comptes Europe de CASE.
Il y a 3 ans et 148 jours

Une méthodologie du tertiaire - Livre

Comment concevoir et réaliser aujourd'hui les bureaux de demain ? Evolutions technologiques, prise en compte et respect de l'environnement, ou crises sanitaires sont autant d'événements qui ont fait évoluer le rapport des salariés aux lieux de travail et appellent à un profond renouvellement du parc immobilier. Dans le futur, les bureaux […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 148 jours

Le maire du XVIe demande le classement de la place du Trocadéro pour contrer un projet de la maire PS Anne Hidalgo

Le projet de la maire PS Anne Hidalgo constitue "une véritable rupture historique", estime Francis Szpiner dans un courrier daté du 5 janvier, confirmant une information du Parisien. Ce projet prévoit d'aménager un espace piéton entre le centre de la place du Trocadéro et le parvis des Droits de l'homme, mondialement célèbre pour sa vue plongeante sur la Tour Eiffel.Ce réaménagement, partie intégrante du projet "OnE" visant à végétaliser et piétonniser la perspective allant de cette place au Champ-de-Mars, "porterait atteinte à une forme urbaine caractéristique des grandes places parisiennes haussmanniennes déjà mise à mal par d'autres projets réalisés ces dernières années" par l'exécutif municipal de gauche, dénonce le maire du XVIe arrondissement.Il cite deux places emblématiques de la capitale, République et Bastille, où la circulation automobile est passée de circulaire à demi-circulaire afin de faire la part belle aux piétons et aux mobilités douces."La composition urbaine de la place telle que nous la connaissons" constitue "un marqueur historique majeur inchangé depuis près de 160 ans", souligne M. Szpiner. Selon lui, ce projet revient à "effacer purement et simplement la place du Trocadéro du paysage urbain parisien".Alors que la place offre aujourd'hui "une ouverture monumentale dégagée", l'amphithéâtre couperait le site "de son environnement et de l'arrondissement" en raison d'une "mise en impasse" des avenues qui convergent vers elle, estime l'élu d'opposition.Le premier adjoint (PS) d'Anne Hidalgo, Emmanuel Grégoire, a qualifié de "baroque" cette demande de classement, estimant auprès de l'AFP "qu'un chemin intelligent permettant de concilier tous les usages est possible et souhaitable pour valoriser cet exceptionnel espace patrimonial"."Un espace vert sera bien mieux pour les riverains et les visiteurs qu'un rond-point automobile pollué et bruyant", ajoute le bras droit de Mme Hidalgo.
Il y a 3 ans et 148 jours

Immobilier de bureau : en 2021, plus d'installations, moins d'investissements

En Île-de-France, la demande placée, c'est-à-dire la surface totale de locaux où un nouvel occupant s'est installé, s'élève à 1,85 millions de m², soit une hausse de 32% par rapport à 2020 pour la région qui concentre l'essentiel du marché. Ces chiffres sont néanmoins plus bas que ceux de 2019, où la demande placée atteignait 2,3 millions de m².Immostat, qui regroupe BNP Paribas Real Estate, CBRE, JLL et Cushman & Wakefield, ne fournit pas les chiffres pour la France entière.A la mi-2021, avec l'ouverture de la vaccination anti-Covid à la population adulte, "les entreprises ont ressorti les projets immobiliers qu'elles avaient mis au frigo en se disant qu'on pourrait reprendre une activité normale", commente auprès de l'AFP Virginie Houzé, directrice études et recherches chez JLL.Virginie Houzé remarque cependant que la taille moyenne des transactions a baissé de 20%, avec un net recul des installations des bureaux de plus de 5000m².L'investissement dans l'immobilier est pour sa part toujours en retrait par rapport à 2020, peinant à atteindre 24,9 milliards d'euros pour la France entière, soit une baisse de 8%, et de 14,7 milliards pour l'Île-de-France, soit une baisse de 25%.Faisant référence à des négociations plus longues qu'attendues sur les prix et un report de certains investisseurs vers le marché résidentiel, Mme Houzé explique que « l'année 2020 sur le marché locatif a été dure à cause de la crise et ça génère normalement des incertitudes ». Elle rajoute que les transactions hors Île-de-France sont passées à 40% du total contre 25% habituellement, portées par l'activité dans le secteur logistique.
Il y a 3 ans et 148 jours

Le groupe Foncia change de nom à l'étranger pour devenir Emeria

IMMOBILIER. Le porte-parole de Foncia a annoncé le changement de nom du groupe en Europe. Une façon de marquer l'évolution de sa stratégie digitale.
Il y a 3 ans et 148 jours

Performance "exceptionnelle" pour Geberit en 2021

RÉSULTATS. Le spécialiste des équipements sanitaires annonce une "croissance exceptionnelle" en 2021, notamment en raison de la reprise dans le Bâtiment.
Il y a 3 ans et 148 jours

Renouvelables : mobilisation générale de l'Europe pour l'hydrogène

DÉCRYPTAGE. Institutions nationales comme communautaires semblent vouloir faire de l'hydrogène une priorité : l'Alliance européenne pour un hydrogène a créé une "réserve" de plus de 750 projets industriels, tandis que la Commission européenne a adopté une série de mesures législatives pour décarboner le marché du gaz, via notamment l'hydrogène. En parallèle, un rapport montre que la quasi-totalité des infrastructures européennes de distribution de gaz peuvent être converties pour accueillir ce gaz renouvelable.
Il y a 3 ans et 148 jours

Syntec milite pour le déploiement du "jumeau numérique"

INGÉNIERIE. L'organisation professionnelle percevrait de nombreux avantages à développer la méthode du "jumeau numérique" dans le secteur.
Il y a 3 ans et 148 jours

Vinci Immobilier promet "zéro artificialisation nette" des sols d'ici 2030

L'artificialisation des sols, liée à l'extension urbaine et la construction de nouveaux habitats en périphérie des villes, est aujourd'hui l'une des causes premières du changement climatique et de l'érosion de la biodiversité."On a décidé d'être le premier promoteur national qui fait du zéro artificialisation nette, et ce dès 2030, alors que la loi Climat et résilience, elle, nous demande de le faire en 2050."Donc on a pris la décision de prendre 20 ans d'avance", annonce dans un entretien à l'AFP Olivier de la Roussière, président du comité exécutif de Vinci Immobilier."On prend la décision, à chaque fois, dans 8 ans, sur toute la France, que le mètre carré, quand on le prend sur une prairie, un champ, ce que vous voulez, on va la désartificialiser en France et en ville. (...) Et on va renaturer l'équivalent en mètres carrés", ajoute-t-il.Le groupe, filiale du géant du BTP Vinci, ne veut pas se fixer de limite d'artificialisation brute, mais préfère compenser les surfaces prises sur des espaces naturels, en végétalisant l'équivalent en ville.L'artificialisation et la désartificialisation seront calculées selon des critères fixés par l'entreprise. "Quand on dit: 'un mètre carré vs. un mètre carré', ce n'est pas toujours 'ce mètre carré était complètement naturel, il est devenu complètement artificiel'. Il était plutôt naturel et est devenu plutôt artificiel donc je le compte à telle part", a expliqué à l'AFP Diego Harari, directeur de l'innovation et du développement durable.La loi Climat et résilience, votée en 2021, pose d'autres restrictions à l'artificialisation des sols, qui grignote selon la Cour des comptes l'équivalent d'un département tous les dix ans en espaces naturels et a d'importances conséquences sur l'environnement et les paysages.Vinci Immobilier estime à huit hectares l'artificialisation nette qu'il cause chaque année à l'heure actuelle.Le groupe promet de consacrer, avant 2030, plus de 50% de son chiffre d'affaires à du recyclage urbain, soit la réhabilitation d'espaces désaffectés, comme des friches industrielles ou commerciales.Il cite comme exemples l'ancien Stade du Ray à Nice, démoli et transformé en éco-quartier, ou le chantier, en cours, d'une partie du futur Village des athlètes à Saint-Denis sur le site d'une ancienne centrale électrique.Vinci Immobilier refuse également, depuis début 2022, les projets qui artificialisent plus d'espace que la surface habitable créée.3 questions à Olivier de la Roussière, Président de VinciQUESTION : Quels engagements prenez-vous en matière environnementale ?RÉPONSE : "Il y a quelque chose dont on parle beaucoup qui est la neutralité en CO2, qui devrait avoir lieu - c'est ce qui est demandé aujourd'hui - en 2050. Mais c'est quelque chose qui est lancé, dont les gens se sont emparés, et qui concerne beaucoup de gens autres que nous : les industriels, les gens qui font du béton et une diversité assez forte de gens, en particulier les gens qui utilisent les logements, les bureaux... C'est quelque chose de très partagé. Nous, on a décidé de s'attaquer à quelque chose de différent : on a décidé d'être le premier promoteur national qui fait du zéro artificialisation nette, et ce dès 2030, alors que la loi Climat et résilience, elle, nous demande de le faire en 2050. Donc on a pris la décision de prendre vingt ans d'avance. (...) Le zéro artificialisation nette, c'est dire que dès qu'on artificialise un mètre carré sur un terrain naturel - une prairie, un champ, un bois - il faut qu'on retrouve un mètre carré qu'on va désartificialiser. Ce qui est important dans le zéro artificialisation nette, c'est le net. (...) On va le désartificialiser en France et en ville. On ne va pas le faire à l'autre bout du monde. Et on va renaturer l'équivalent en mètres carrés. Et pour ce faire, (...) la décision qu'on a prise, c'est que plus de 50% de notre chiffre d'affaires va être fait, avant 2030, sur du recyclage urbain."Q : Vous fixez-vous aussi un objectif d'artificialisation brute ou jouez-vous tout sur la compensation ?R : "D'abord, on essaie d'être économes sur l'artificialisation. Par exemple, aujourd'hui, on va renoncer à faire des opérations qui artificialisent trop pour ne pas faire suffisamment de mètres carrés. Ça veut dire qu'on va renoncer à faire des très grands lotissements de maisons individuelles parce qu'elles artificialisent plus de surface qu'elles font de mètres carrés SDP (surface de plancher, soit la surface habitable, NDLR). C'est aussi le problème de l'étalement urbain, et c'est pour ça qu'on a cet objectif de zéro artificialisation nette. Mais par contre, on ne peut pas vous dire +oui, on va se fixer un maximum de surface urbanisée brute+, parce qu'on ne veut surtout pas dire qu'on va renoncer à construire, ce n'est pas du tout ça ! On va continuer à construire, dans des milieux naturels mais on rendra cette nature dans les villes."Q : Pourquoi cette nouvelle orientation, au-delà des préoccupations environnementales ? Quels efforts économiques implique-t-elle pour vous ?R : "Nous les promoteurs, on détruit des milieux naturels : on fait partie du problème, et maintenant il faut qu'on fasse partie de la solution ! On préserve la biodiversité, on émet moins de CO2, ce qui est la priorité la plus importante, on garde les fonctions hydriques des terrains, c'est-à-dire qu'on empêche les inondations dont on sait que ce sont des phénomènes climatiques qui vont s'accentuer. Maintenant, on ne veut pas faire moins d'opérations, on veut les faire mieux. On n'est pas là pour perdre de l'argent, on est là pour en gagner, ce n'est pas un gros mot. Et donc on fera des opérations qui nous paraissent rentrer dans nos critères. On aura peut-être quelques efforts à faire au départ."
Il y a 3 ans et 148 jours

Le projet de "label vert" européen pour le nucléaire montre ses limites

Périmètre restreintToutes les activités de la filière nucléaire ne sont pas reconnues dans la liste des investissements pouvant bénéficier des avantages de la finance verte (taxonomie de l'UE).Sont concernés la construction de nouvelles centrales pour la production d'électricité et les travaux pour la prolongation de centrales existantes, ainsi que la recherche en vue du développement de technologies minimisant les déchets.Mais la gestion du cycle du combustible (extraction et enrichissement de l'uranium, traitement du combustible usé, enfouissement), élément central de la chaîne de valeur, n'est pas mentionnée.Dates limitesLe projet de texte fixe une date limite à la reconnaissance du nucléaire, technologie bas-carbone mais considérée seulement comme solution "transitoire" au réchauffement climatique, au même titre que le gaz.Seules les énergies renouvelables (éolien, photovoltaïque, etc.) sont classées dans la catégorie des investissements "durables" qui restent l'objectif prioritaire de la politique énergétique européenne.Pour les nouvelles centrales nucléaires, cette reconnaissance "transitoire" concernera des projets ayant obtenu un permis de construire avant 2045. Les prolongations de centrales existantes devront avoir été autorisées d'ici à 2040.Ces limites visent à encourager le recours le plus tôt possible aux futurs réacteurs de 4e génération, attendus dans les décennies à venir, plus sûrs et limitant considérablement la production de déchets. Une clause de revoyure est prévue: les dates limites devront "être revues selon les progrès dans le développement de ces technologies", est-il précisé.Meilleurs technologies disponiblesLe "label vert" ne pourra être accordé qu'aux projets nucléaires mettant en oeuvre les meilleures technologies disponibles. Les nouvelles centrales concernées seront donc au moins de 3e génération (comme l'EPR français de Framatome-Siemens).Pour être reconnus dans la taxonomie de l'UE, tous les projets de centrale (construction ou extension) devront en particulier recourir à de nouveaux combustibles résistant aux accidents ("accident tolerant fuel").Si la Société française d'énergie nucléaire (Sfen) reconnaît l'intérêt de cette innovation en matière de sûreté, elle estime cependant qu'elle "ne saurait être une exigence" dans la mesure où ces carburants sont encore au stade de la R&D, avec un calendrier de déploiement qui reste incertain. Cette condition est susceptible de réduire à néant l'intérêt de la taxonomie pour la filière, selon certains experts.Gestion des déchets et démantèlementParadoxalement, bien que non reconnus dans les activités bénéficiant du "label vert", la prise en charge du traitement et stockage des déchets, tout comme du démantèlement des installations en fin de vie, figure parmi les critères exigés pour les projets de construction et renouvellement de centrales.Ces contraintes incluent pour les États membres abritant ces projets l'existence d'un plan de gestion de tous les types de déchets, radioactifs ou non, ainsi que la réutilisation autant que possible des combustibles usés.Mais aussi un projet détaillé pour disposer d'ici à 2050 des installations de stockage par enfouissement des déchets nucléaires à haute intensité dont certains restent dangereux pendant 100.000 ans. Un plan de financement de ces dispositifs est également requis.Contrôle bruxelloisChaque projet de nouvelle centrale ou de prolongation de centrale existante devra être notifié à la Commission européenne qui analysera sa conformité avec les critères fixés. Il devra en outre faire l'objet tous les cinq ans d'un rapport détaillé transmis à Bruxelles pour faire le point sur son avancement.Ainsi, l'exécutif européen s'attribue de nouvelles prérogatives qui risquent de s'avérer redondantes avec celles des autorités de sûreté nationales et de rogner la souveraineté des États en matière énergétique.TransparenceTous les investisseurs devront publier la part de leurs activités dans le secteur nucléaire. Cette disposition permettra aux acteurs financiers qui le souhaitent de créer des produits d'investissement "verts" garantis sans nucléaires.
Il y a 3 ans et 149 jours

La Caisse des dépôts lance une filiale dédiée aux bornes de recharge en copropriété

Logivolt Territoires propose aux copropriétés privées de financer l'installation électrique collective nécessaire au raccordement de bornes de recharge de véhicules dans leurs parkings."Le coût d'installation des bornes de recharge sera en définitive supporté par les conducteurs de véhicules électriques intéressés", précise la Banque dans un communiqué: le dispositif évite aux copropriétés privées "tant d'investir elles-mêmes que de répercuter le coût d'investissement sur l'ensemble des copropriétaires".En mobilisant jusqu'à 150 millions d'euros, Logivolt Territoires vise le déploiement de 125.000 points de recharge dans 16.000 copropriétés privées sur l'ensemble du territoire d'ici 2024.Concrètement, l'entreprise a noué des partenariats avec des installateur de bornes et va financer la pose de l'installation électrique collective. Chaque propriétaire qui souhaite se connecter paie une quote-part et finance sa propre borne.Logivolt reste propriétaire de l'infrastructure jusqu'au raccordement de 20% des places de parking et la copropriété peut la racheter au bout de 3 ans.Alors que la Commission européenne compte interdire la vente de véhicules thermiques en 2035, les industriels français insistent sur le déploiement des bornes de recharge pour véhicules électriques, essentielles pour rassurer les automobilistes.Si le coût à l'usage des véhicules électriques est inférieur à celui des thermiques, le manque de bornes reste un des principaux freins à leur achat, avec l'autonomie et le temps de charge.Un programme public, appelé Advenir, finance déjà l'installation de bornes de recharge classiques dans les copropriétés, les parkings, ou sur les voiries, et prend en charge entre 30% et 60% des coûts d'installation d'une borne.
Il y a 3 ans et 149 jours

100 millions d'euros de plus pour la réhabilitation des friches industrielles

Le gouvernement va ajouter 100 millions d'euros au programme de réhabilitation des friches industrielles, et lancer d'ici mars un nouvel appel à projets en ce sens, a annoncé Matignon ce vendredi 7 janvier.
Il y a 3 ans et 149 jours

A Paris, une exposition interroge le "bien vieillir ensemble" à travers l'architecture

CULTURE. Interroger la notion d'habitat destiné aux seniors en France fait l'objet d'une exposition à la Cité de l'architecture et du patrimoine, dans le XVIème arrondissement de la capitale. Les visiteurs sont invités à réfléchir à différentes propositions de logements idéales pour les aînées, en découvrant des projets bienveillants.
Il y a 3 ans et 149 jours

Melesse : construction du premier collège à énergie positive

La réalisation d’un collège à énergie positive à Melesse représente un investissement de plus de 14 M€.
Il y a 3 ans et 149 jours

Il faut parfois attendre l'expropriation pour vendre

La vente volontaire d'un bien pour satisfaire un projet d'intérêt public, sans attendre l'expropriation, peut provoquer un redressement fiscal, a tranché la Cour de cassation.
Il y a 3 ans et 149 jours

Tikehau Capital devient actionnaire d'Egis à 40%

Bien que le montant de l'opération ne soit pas connu du public, cette opération « constitue (pour Egis) une étape majeure pour la réalisation de son plan stratégique, prioritairement axé vers le grand international et visant à positionner Egis dans le top 10 mondial de l'ingénierie avec le doublement de son chiffre d'affaires d'ici à cinq ans », rappelle le communiqué.En 2020, le chiffre d'affaires d'Egis a atteint environ 1 milliard d'euro et le groupe se place actuellement aux alentours du vingtième rang mondial.La Caisse des dépôts détient quant à elle 34% du capital d'Egis et les cadres partenaires et salariés de la société détiennent le reste du capital, soit 26% après une augmentation de leur participation de 2%.
Il y a 3 ans et 149 jours

Le jumeau numérique contre le changement climatique

À l’occasion d’InfraBIM Open, congrès international dédié à la transformation digitale des Infrastructures de janvier 2022, Syntec-Ingénierie s’est positionné en faveur du déploiement du jumeau numérique. Les entreprises d’ingénierie veulent mettre en pleine lumière les nombreux atouts du jumeau numérique au regard de l’urgence climatique. Elles appellent à généraliser son usage au plus vite, aussi bien dans le bâtiment, l’industrie, que les infrastructures, pour atteindre la neutralité carbone. Dans une note de position, publiée à l’occasion d’InfraBIM Open, les entreprises d’ingénierie énumèrent ses avantages. En phase de spécification et de conception préliminaire ou détaillée, il aide dès l’initialisation du cycle de développement à objectiver les exigences attendues et à prévoir les coûts d’investissement et d’exploitation. En phase de prototypage, il permet d’optimiser les performances en les simulant de manière prédictive à partir de modèles multi physiques ou comportementaux dédiés. En phase de chantier ou d’industrialisation, il peut intégrer des modèles destinés à améliorer respectivement la construction et la chaîne de fabrication. En phase d’exploitation, couplé aux données collectées dans l’environnement opérationnel, il permet de se corriger et de s’ajuster aux comportements réels de l’ouvrage, pour en améliorer les usages. À titre d’exemple, la rénovation du lycée Bréquigny à Rennes par l’intermédiaire du jumeau numérique a permis de diviser par 2 le prix au mètre carré, et par 2,5 l’empreinte carbone des produits de construction, par rapport à la construction d’un bâtiment neuf. Si le jumeau numérique est un outil puissant, Syntec-Ingénierie insiste néanmoins sur le fait qu’il est un outil complexe. Et rappelle que l’ingénierie système détient toutes les compétences nécessaires pour en exploiter le plein potentiel. Cet article Le jumeau numérique contre le changement climatique est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 149 jours

Les formations SAINT-ASTIER certifiées

Le premier producteur français indépendant de chaux hydrauliques naturelles, SAINT-ASTIER, vient d’obtenir la certification QUALIOPI de son centre de formation à destination des professionnels. Cette certification, obligatoire aux formateurs contribuant au développement des compétences à compter du 1er janvier 2022, s’adresse aussi bien aux organismes qu’aux indépendants. Elle vient confirmer le savoir-faire du chaufournier et l’excellence des formations que SAINT-ASTIER propose aux entrepreneurs du bâtiment, artisans et salariés, aux maîtres d’œuvre, architectes et aux distributeurs. Proposées en modules de deux à trois jours alternant la théorie et les applications pratiques, les formations SAINT-ASTIER apportent un complément de connaissances et de savoir-faire sur les matériaux (chaux, sable, enduits, pigments, mortiers techniques, béton de chaux, béton de chanvre…) et sur les modes opératoires de mises en œuvre. Ces sessions de formation sont dispensées principalement au centre de formation sur le site de production en Dordogne. En fonction des besoins d’une entreprise ou d’un organisme, le centre de formation est en mesure de proposer des formations sur mesure, dispensées, soit sur leur site soit in situ. Le calendrier 2022 est déjà bien rempli au point d’envisager de nouvelles dates pour satisfaire les demandes…
Il y a 3 ans et 149 jours

Livre : Béton écologique et construction durable

Comment mesurer le rapport entre béton et environnement ? Quelle place a-t-on fait au béton en France ? Comment réduire l’empreinte carbone de la construction en béton ? De quoi les nouveaux bétons sont-ils constitués ? Comment fonder une architecture organique ? Florent DUBOIS propose aux professionnels de la construction, de l’architecture à l’immobilier comme aux élèves et étudiants, un manuel synthétique, illustré de quelque 150 schémas et photos en couleurs, consultable via de multiples entrées, encadrés, focus techniques, fiches récapitulatives… Labellisé par la Fondation École française du béton (EFB), Béton écologique et construction durable procure un panorama des connaissances utiles à la compréhension du béton, de sa conception à sa réalisation, à la lumière des défis environnementaux de la construction.  Responsable de la construction durable chez Lafarge France, Florent DUBOIS est ingénieur des Arts et Métiers ParisTech. Spécialisé dans l’empreinte environnementale, l’écoconception et la stratégie de développement durable, il enseigne la construction durable dans le Mastère spécialisé de l’ESTP dont la chaire Ingénierie des Bétons en fait un partenaire de la Fondation EFB. Béton écologique et construction durable L’essentiel de ce qu’il faut savoir pour réussir la transition par Florent DUBOIS 208 pages 32 € Chez Eyrolles   Cet article Livre : Béton écologique et construction durable est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 149 jours

Archimel et Eclisse jouent la carte du minimalisme pour rénover une maison des années 70

Chacun des projets confiés à l’atelier sont imaginés sur-mesure qu’il s’agisse des volumes, des espaces ou du style. Archimel crée une harmonie entre le mode de vie de ses clients et leur habitation. Après échanges avec les propriétaires, l’architecte suggère une rénovation totale de la maison dans un style sobre et minimaliste ; les propriétaires sont séduits. Pour se fondre dans ce nouvel univers, l’architecte intègre plusieurs portes invisibles de la marque Eclisse.Se projeter à partir de l’existantLa particularité d’Archimel, spécifiquement dans la rénovation, est sa capacité à prendre en compte la demande de son client en l’adaptant aux contraintes existantes. Après analyse du lieu, la question se pose pour l’architecte dplg Mélanie Ligier : comment moderniser les espaces et conserver l’âme de la maison ? La réponse apparaît évidente pour les deux parties. Exit les espaces cloisonnés, l’escalier massif, la cuisine en formica, le carrelage rose saumon, les tapisseries fleuries… Place à une maison contemporaine où l’optimisation des espaces et la clarté des lieux servent de fil conducteur. Dans un style sobre et minimalisme, l’atelier exploite également le potentiel de certains éléments existants.(1) Après (2) Après(3) Avant(4) AvantLes murs de l’ancien couloir (3) – qui desservait cuisine, salon, salle à manger - ont été démolis pour laisser place à une grande pièce de vie avec cuisine ouverte de 59 m² (1). La porte vitrée des années 70 qui ouvre sur la cuisine a été conservée. L’ancien escalier massif (4) qui dessert l’étage garde sa place initiale mais a été entièrement repensé. Dans une version moderne et épurée, l’architecte en fait la pièce maitresse de l’entrée (2). Les marches en bois et le garde-corps en métal noir attirent le regard vers un élément graphique et révèlent les volumes qui mènent à l’étage.Des matériaux subtilement sélectionnésArchimel a entièrement repensé l’espace de cette maison dans un esprit contemporain à la fois épuré, coloré et artistique. Tout en respectant l’esprit du style minimaliste, l’atelier d’architecture a aussi fait le choix de la qualité des matériaux : métal et bois pour créer une ambiance sophistiquée dans l’entrée et la salle à manger ; parquet bois et lino effet béton dans la cuisine ; portes Eclisse Syntesis® Battant pour les toilettes du rez-de-chaussée et pour tout l’étage.AprèsA l’étage où l’espace nuit est décloisonné pour offrir trois chambres et une grande salle de bain, l’atelier a opté pour une ambiance vintage. Des tomettes, motif cube bleu et noir, s’insèrent dans le parquet du couloir et se prolongent dans la salle de bain. Spécialement choisies par Archimel pour leur effet invisible, les portes Syntesis® Battant séparent discrètement le couloir des chambres et de la salle de bain. Leur design, discret, met en avant la particularité du sol. Dans une des chambres où des placards invisibles ont été intégrés, les portes ECLISSE peintes en blanc, soulignent plus encore la sobriété des murs. Fermées, ces portes se fondent entièrement dans la cloison et veillent au sommeil et à la tranquillité de leurs occupants.AvantPour Mélanie Ligier, architecte dplg Archimel : « Archimel utilise fréquemment les portes Eclisse. Minimalistes, elles ont cette particularité architecturale de savoir se faire oublier. Ces portes de qualité s’imposaient comme une évidence pour mettre en valeur le couloir totalement repensé et habillé de tomettes encastrées dans le parquet. »Comment l'architecte Mélanie Ligier a-t-elle connue Eclisse ?« Par une mise à jour permanente de mes connaissances des matériaux minimalistes disponibles sur le marché. Dans un souci constant d’apporter de l’épure et du style aux projets de mes clients, » répond-elle.Fiche d’identité du projetOccupants : un coupleLieu : Yutz, un village de MoselleSuperficie : 130 m² Livraison du projet : Juin 2020Durée des travaux : 7 moisBudget pour la rénovation intérieure : 215 000 eurosLes portes d’intérieur Eclisse : développées pour des projets innovants et techniquesSi les portes Eclisse sont plébiscitées par les professionnels pour leur design Italien, elles le sont tout autant pour leur technicité et leur facilité de pose. Répondant aux exigences françaises, elles s’adaptent à tous les projets d’intérieur en neuf comme en rénovation. Zoom sur le bloc porte invisible Syntesis®.Les caractéristiques de Syntesis® BattantSyntesis® Battant est une huisserie pour porte battante invisible, sans habillage de contour. Seule une poignée chromée matérialise l’ouverture de cette porte affleurante.L’huisserie en aluminium se visse sur une cloison en plaques de plâtre ou se scelle dans une cloison à enduire.Ses entretoises de passage protègent l’huisserie des déformations lors de la pose.Le raccord entre l’huisserie et la cloison s’effectue en enduisant les profils striés avec du mortier adhésif, pour une finition parfaite des angles, sans fissuration.Les charnières invisibles sont réglables sur 3 axes. Elles permettent un alignement précis entre la porte et la cloison.
Il y a 3 ans et 149 jours

Retour sur 2021 : les 5 concours qui ont marqué l'année

Comment concevoir et réaliser aujourd'hui les bureaux de demain ? Evolutions technologiques, prise en compte et respect de l'environnement, ou crises sanitaires sont autant d'événements qui ont fait évoluer le rapport des salariés aux lieux de travail et appellent à un profond renouvellement du parc immobilier. Dans le futur, les bureaux […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 149 jours

L'incendie mortel de Marseille sans lien avéré avec l'état du bâtiment selon le parquet

"Les premières constatations réalisées sur place par les fonctionnaires du service national de police scientifique (SNPS) (permettent) d'établir que le feu (s'est) déclaré puis propagé à partir du canapé disposé au centre de la pièce principale", précise dans un communiqué la procureure de Marseille Dominique Laurens."Aucun dysfonctionnement électrique" n'a été "constaté dans l'appartement où l'incendie est resté circonscrit. À ce stade des investigations, aucun élément objectif ne permet d'établir que le déclenchement et la propagation de l'incendie aient été liés ou aggravés par l'état du bâtiment", a-t-on ajouté de même source.Sept personnes étaient présentes dans l'appartement lorsque l'incendie s'est déclaré peu avant 8H00 au neuvième étage et avant-dernier étage d'un immeuble de la cité des Rosiers située dans les quartiers populaires du nord de Marseille. Un enfant de quatre ans (bien quatre ans) grièvement brûlé, a succombé à ses blessures sur place durant sa prise en charge médicale.Deux autres enfants âgés de cinq et trois ans, un bébé âgé d'un mois et trois adultes ont subi des brûlures et/ou ont été incommodés à divers degrés par les fumées, a précisé le parquet.Ce drame avait provoqué de nombreuses réactions dans la classe politique marseillaise, certains élus mettant en cause la dégradation du bâtiment.Composée de neuf immeubles où résident quelque 3.600 personnes dont 11% de propriétaires, la résidence des Rosiers est considérée comme l'une des 21 copropriétés les plus fragiles de Marseille.La municipalité avait indiqué en juillet à l'AFP avoir conduit plusieurs interventions pour détecter l'insalubrité dans la cité, précisant que cette action ne pouvait "constituer l'unique réponse à la situation problématique
Il y a 3 ans et 149 jours

L'économie française résiste dans l'ensemble au variant Omicron

L'activité devrait rester stable en janvier, selon la banque centrale qui relève des difficultés d'approvisionnement légèrement amoindries mais des problèmes de recrutement persistants et concernant toujours plus d'une entreprise sur deux.L'économie échappe jusqu'ici à la désorganisation redoutée en raison de l'explosion des contaminations au Sars-Cov-2, d'après les résultats de l'enquête mensuelle réalisée auprès de 8.500 chefs d'entreprise du 20 décembre au 6 janvier. Quatre sur cinq ont répondu durant la première semaine de janvier."Pour le moment, les difficultés d'approvisionnement et de recrutement ont supplanté les problématiques d'absentéisme", relève Hélène Tanguy, directrice des enquêtes de la Banque de France.En dépit de la flambée épidémique liée à la propagation fulgurante du variant Omicron, la croissance s'est élevée à 0,6% au quatrième trimestre par rapport au précédent, confortant la prévision d'une hausse du produit intérieur brut de 6,7% pour l'ensemble de l'année 2021.De son côté, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire s'était dit la semaine dernière "très confiant pour la croissance française".Pour le mois de décembre, l'enquête de la Banque de France a mis en évidence une progression à la fois dans l'industrie et les services, ainsi que dans une moindre mesure dans le bâtiment.Dans l'industrie, le taux d'utilisation des capacités de production est supérieur en novembre et en décembre à la moyenne sur 15 ans dans tous les secteurs, sauf pour l'automobile et l'aéronautique.Le produit intérieur brut (PIB) devrait ainsi être en janvier, comme en décembre, supérieur de 0,75% à son niveau de début 2020, juste avant la crise sanitaire liée au Covid 19.Fortes disparitésMais l'indicateur d'incertitude repart à la hausse, surtout dans les services. Cet indicateur est réalisé à l'aide d'un algorithme de "text mining" relevant "des mots qui signalent de l'incertitude" dans les entretiens des enquêteurs avec les chefs d'entreprise, a expliqué le directeur général de la Banque de France, Olivier Garnier.Les perspectives restent malgré tout favorables.Pour le mois de janvier, "dans l'industrie comme dans le bâtiment on a toujours des carnets de commande qui sont très au-dessus de la moyenne historique", selon M. Garnier.Il relève néanmoins que dans l'automobile, ainsi que dans l'informatique et l'électronique, on s'attend "à un repli de l'activité qui ne tient pas directement à la vague Omicron mais à la persistance des difficultés d'approvisionnement, notamment dans le domaine des semi-conducteurs".Pour les services, la Banque de France prévoit une activité en léger repli en janvier, avec de fortes disparités entre "le travail temporaire et les services aux entreprises, qui sont bien orientés", et à l'inverse l'hébergement, la restauration et l'événementiel, secteurs pour lesquels on observe une "forte détérioration en lien avec le contexte sanitaire".Ainsi, pour l'hébergement, l'activité se situerait à 64% du niveau d'avant-crise en ce début d'année, contre 80% au quatrième trimestre 2021, alors que dans la restauration elle diminuerait dans le même temps de 85% à 75%.Concernant l'inflation, "on n'est plus en phase d'accélération" pour les prix de production dont la hausse a atteint 17% sur un an en novembre, rappelle Olivier Garnier. Si le nombre d'entreprises déclarant des hausses de prix reste à un niveau élevé, il se replie par rapport à novembre.Les prix à la consommation des produits manufacturés devraient au contraire voir leur hausse s'accélérer, bien qu'à un niveau beaucoup plus faible, pour atteindre 1,4% en rythme annuel au premier trimestre.L'inflation dans les services accélèrerait aussi, mais la hausse des prix dans son ensemble serait freinée en cours d'année par un "effet de base" au deuxième semestre, du moins si les prix de l'énergie se stabilisent.
Il y a 3 ans et 149 jours

Nouveau DPE : "nous allons avoir 7 ou 8 millions de passoires thermiques" (Fnaim)

IMMOBILIER. Effet covid sur la demande des Français, élection présidentielle, et surtout défis de l'interdiction de louer et de la réforme du DPE... Le point de début d'année de la Fnaim a été l'occasion, pour Jean-Marc Torrollion, de présenter les points saillants qui attendent le secteur de l'immobilier.
Il y a 3 ans et 149 jours

Lancement d'un guichet unique pour la rénovation énergétique des logements

"C'est le lancement d'un service public de la rénovation", a affirmé Emmanuelle Wargon en visioconférence de presse. "Je pense que c'est indispensable qu'on ait une marque claire, lisible par les Français", a-t-elle ajouté."La simplification est en route, et maintenant, dans cette simplification, les aides nationales et les aides des collectivités sont toutes sous la bannière France Rénov'", a déclaré la ministre.Pilotés par l'Agence nationale de l'habitat (Anah), 450 guichets uniques -certains chapeautant plusieurs sites- ont ouvert, employant 1.000 conseillers jusqu'ici dédiés au dispositif MaPrimeRénov'.En 2021, ce dispositif d'aides à la rénovation a reçu quelque 764.000 demandes, dont près de 658.000 ont été acceptées et 380.000 payées.Le président de l'Anah, Thierry Repentin, a dit espérer "engager plus de 800.000 dossiers pour l'année 2022".Les aides à la rénovation seront complétées par un prêt bancaire, garanti par l'Etat ("prêt avance rénovation"), dont seuls les intérêts seront à rembourser immédiatement.Le reste à charge sera à rembourser uniquement au moment de la revente du bien ou de la succession. Deux banques, le Crédit mutuel et la Banque postale, se sont engagées à le financer.France Rénov' a également pour objectif de développer l'accompagnement personnalisé des projets des particuliers, avec des accompagnateurs dédiés qui se rendent à leur domicile.A partir de 2023, d'autres professionnels pourront devenir accompagnateurs.Les métiers englobés seront définis au cours d'une concertation mais "pour les architectes, on est dans l'idée que c'est assez naturel", a expliqué la ministre.
Il y a 3 ans et 149 jours

Près d'1 consommateur sur 2 souhaite rester au fioul malgré l'interdiction d'installer de nouvelles chaudières

Il fixe un seuil maximal d'émissions de gaz à effet de serre à respecter de 300gCO2eq/KWh pour le remplacement des équipements de chauffage. En France, 3,5 millions de foyers français se chauffent au fioul aujourd'hui. Concrètement, à partir du 1er juillet 2022, si leur chaudière tombe en panne et ne peut être réparée, ils seront contraints de changer leur mode de chauffage.Hellio révèle les résultats d'une enquête réalisée conjointement avec FioulReduc, site internet indépendant de vente de fioul à prix bas.Conscient que ce changement va impacter bon nombre d'utilisateurs et soucieux de proposer à chaque ménage le système de chauffage le mieux adapté, l'acteur de référence de la maîtrise de l'énergie a souhaité s'intéresser au comportement des consommateurs de fioul ainsi qu'à leurs attentes. Cette étude, à laquelle 1.018 consommateurs de fioul ont répondu en ligne entre le 8 et le 26 mars 2021, dévoile que près d'1 consommateur de fioul domestique sur 2 souhaite conserver ce mode d'énergie pour se chauffer. De manière générale, le décret portant sur l'interdiction de remplacement de chaudières fioul suscite de l'inquiétude et du mécontentement chez 68 % des consommateurs.Le choix de rester au fioul guidé par la satisfaction de son équipement en place Selon les résultats de l'enquête, le profil des consommateurs de fioul est le suivant : leur foyer est composé de 2,3 personnes en moyenne, ils sont en majorité retraités, avec un âge moyen de 61 ans. Le revenu moyen de leur foyer est de 37 343 € et ils dépensent en moyenne 1 632 € en fioul chaque année. Ces consommateurs apprécient le fioul avant tout pour son confort de chauffe (36 %), sa simplicité dans la gestion au quotidien (27 %) et sa fiabilité (20 %). Selon eux cependant, le principal inconvénient du fioul est son prix variable à 36 %. L'impact environnemental du fioul figure également parmi les inconvénients cités. Face à cette mesure réglementaire ne portant que sur les nouvelles installations, près d'un répondant sur deux déclare que cette interdiction ne va pas les pousser à changer d'énergie dans les 5 années à venir. La principale motivation invoquée par les consommateurs est le bon fonctionnement de leur installation avec 47 % des réponses exprimées. Autre réponse significative, 17 % répondent ne pas avoir les moyens de changer d'énergie de chauffage. Ils sont également 17 % à déclarer que, selon leur situation (géographique, raccordement…), le chauffage fioul est la solution la moins coûteuse pour eux.“À l'heure actuelle, ma chaudière fonctionne correctement avec une révision régulière faite par un plombier. De plus, habitant à la montagne, je ne vois pas quel autre moyen de chauffage je pourrais adopter, l'électricité est trop onéreuse”, indique cet utilisateur du Puy-de-Dôme lors de l'enquête.Cette décision gouvernementale suscite de l'inquiétude pour 36 % des consommateurs et du mécontentement pour 32 % d'entre eux, comme en témoigne ce consommateur de Haute-Garonne : “J'ai bénéficié d'aides pour mettre une chaudière fioul à condensation. Cela paraît incohérent que cet équipement soit maintenant bientôt interdit.” Les perspectives de l'interdiction d'installation de nouvelles chaudières au fioul Pour 15 % des répondants se chauffant au fioul, l'interdiction d'installation de nouvelles chaudières au fioul va les pousser à changer d'équipement de chauffage, à plus ou moins court terme. Leur choix se porterait à 52 % vers une pompe à chaleur, 32 % pour une chaudière à granulés de bois et 12 % pour une chaudière gaz.La possibilité d'utiliser du biofioul (fioul comportant des biocarburants afin de le rendre plus écologique en diminuant son taux de soufre et ses émissions de CO2) en remplacement du fioul suscite la curiosité d'une majorité de consommateurs (51 %). Les réserves évoquées à ce sujet concernent la compatibilité de leur matériel, le surcoût lié à ce produit et son impact écologique.Les aides financières : un élément déclencheur Afin d'atteindre son objectif de changement de toutes les chaudières fioul dans les 10 prochaines années, le gouvernement français a mis en place plusieurs aides financières. Celles-ci semblent jouer un rôle déclencheur dans la volonté de changement de systèmes de chauffage des ménages. Sur les 15 % de répondants déclarant vouloir changer de chaudière pour passer du fioul à une autre énergie, les aides financières actuelles représentent la plus grande motivation (41 %). Pourtant, si ces dernières sont citées comme un outil essentiel dans la volonté de changement de mode de chauffage, 69 % des consommateurs de fioul déclarant ne pas encore envisager le renouvellement de leur équipement au fioul souhaitent avoir davantage de moyens financiers et plus d'un tiers attendent plus d'informations et de conseils (28 %). Rappel des aides au changement de chaudière MaPrimeRénov' Cette aide publique permet de financer les travaux d'isolation, de chauffage, de ventilation ou d'audit énergétique d'une maison individuelle ou d'un appartement en habitat collectif. Les travaux doivent avoir été effectués par des entreprises labellisées RGE. Depuis le 1er octobre 2020, MaPrimeRénov' est accessible à l'ensemble des propriétaires, quels que soient leurs revenus, qu'ils occupent leur logement ou qu'ils le mettent en location. Son montant varie en fonction des niveaux de revenus classés en 4 catégories : bleu (ménages très modestes), jaune (ménages modestes), violet (revenus intermédiaires), rose (revenus élevés). Hellio est mandataire de l'Anah depuis juillet 2020. Le Coup de Pouce chauffage Les dispositifs “Coups de pouce” sont des primes financières forfaitaires allouées à la réalisation de travaux d'économie d'énergie en échange d'exigences de qualité et de garantie de performance énergétique. Créé par le Ministère de la transition écologique en janvier 2019, le dispositif “Coup de pouce Chauffage” aide les ménages à changer leur chaudière peu performante pour un équipement à haute performance énergétique ou utilisant des énergies renouvelables. Hellio, signataire de la charte d'engagement de ce “Coup de pouce” accompagne les ménages dans ces changements.Le “Coup de pouce Chauffage” est cumulable avec MaPrimeRénov' et l'éco-prêt à taux zéroPour Marina Offel, responsable des affaires publiques et juridiques pour Hellio : “Cette tendance conforte l'idée selon laquelle les aides financières sont un instrument essentiel des politiques publiques sur l'efficacité énergétique. Une visibilité sur le long terme de ces aides est indispensable à la fois pour les ménages et pour les professionnels de la rénovation énergétique. C'est particulièrement le cas pour les entreprises de fourniture de fioul dont l'activité va devoir être réorganisée. Outre cette stabilité, on dénote également un besoin d'écoute, d'information et de compréhension des citoyens des évolutions liées à la transition énergétique. Le remplacement des équipements fioul en 10 ans ne se fera pas sans les ménages qui veulent être conseillés, informés mais aussi libres dans le choix de l'énergie et de l'équipement ! Hellio revendique depuis plusieurs années une stabilité des aides financières, et développe les compétences de ses conseillers en rénovation énergétique dans cette perspective. ”Pour Hervé Degrève, fondateur de FioulReduc : “Après une phase de surprise et d'agacement face à des déclarations politiques et médiatiques parfois un peu stigmatisantes et imprécises, nos clients commencent à intégrer les mesures annoncées par le gouvernement. Une majorité considère cependant avec pragmatisme qu'il n'y a pas d'urgence à tout changer puisque leur chaudière fonctionne encore bien mais envisage volontiers une transition vers le biofioul. Ceux qui sont contraints ou décidés à quitter le fioul souhaitent aujourd'hui plus d'aides financières et un meilleur accompagnement pour ne pas sacrifier le confort et la simplicité qu'ils ont toujours connu avec le fioul. ”
Il y a 3 ans et 149 jours

Au Royaume-Uni, le cauchemar de propriétaires piégés par le scandale des revêtements dangereux

Près de cinq ans après le dramatique incendie de la tour Grenfell, ce bâtiment de 24 étages qui s'était enflammé comme une torche notamment à cause du revêtement de la façade, faisant 71 morts, des centaines d'immeubles de 11 à 18 mètres de haut doivent voir leur revêtement remplacé. Coût estimé : 4,8 milliards d'euros.
Il y a 3 ans et 150 jours

Malgré les contaminations record, le télétravail ne décolle pas

Face aux contaminations record du Covid-19 (près de 370.000 mardi), le protocole sanitaire en entreprise prévoit depuis le 3 janvier, pour trois semaines, que les employeurs fixent "un nombre minimal de trois jours de télétravail par semaine, pour les postes qui le permettent". Auparavant il prévoyait une simple "cible" de deux à trois jours par semaine.Pourtant, selon un sondage Harris interactive pour le ministère du Travail, au cours de la semaine du 3 au 9 janvier, la part de télétravailleurs est restée stable par rapport à mi-décembre: parmi les actifs pouvant télétravailler facilement, 60% ont télétravaillé au moins partiellement (58% mi-décembre).Le nombre de jours télétravaillés a néanmoins légèrement augmenté chez les actifs ayant déclaré télétravailler, passant de 3 jours en moyenne mi-décembre à 3,3 jours.Ces résultats ont été jugés "pas à la hauteur de la situation sanitaire" par le ministère. Il défend, au vu de ces chiffres, la pertinence des amendes administratives prévues par le projet de loi instaurant le pass vaccinal (jusqu'à 1.000 euros par salarié pour les entreprises récalcitrantes), arguant "qu'on ne peut pas transiger avec la protection de la santé des salariés".Or la majorité sénatoriale de droite a supprimé du texte ces sanctions, vivement contestées par le Medef. Cette disposition fait partie des "points durs" sur lesquels députés et sénateurs essaieront de trouver un compromis jeudi.Le gouvernement entendait initialement mettre en place un pass sanitaire en entreprise, mais y a renoncé au vu de la fronde des partenaires sociaux. Il table aussi sur les contrôles, Mme Borne ayant demandé à l'inspection du travail de passer de 1.000 à 5.000 contrôles par mois.Invité de BFM Business, le numéro un de la CFDT, Laurent Berger, a néanmoins rappelé que "les inspecteurs sont 2.000 pour 20 millions de salariés à contrôler", mettant en avant le "rôle d'alerte" des représentants des salariés face aux entreprises récalcitrantes, qui sont "quelques-unes" mais "pas beaucoup"."Faire tourner la boutique"Le problème se pose moins pour les grands groupes. A la Société générale, "on s'adapte face à cette nouvelle vague" avec 4 jours de télétravail par semaine pour les activités qui le permettent, les jours de présence étant lissés sur la semaine.Selon Benoit Serre, vice-président de l'Association nationale des DRH, "dans l'ensemble, les entreprises jouent le jeu". Mais il reconnaît que "le problème se pose toujours pour les petites boîtes parce qu'elle ont des effectifs assez tendus".Or, dit-il, "le cumul du télétravail et des absences, des cas contact, des malades, etc., fait que quelquefois ça devient une espèce d'équation impossible pour avoir des gens dans la boîte".C'est le problème que rencontre Charles, responsable d'une PME parisienne dans la mobilité."On n'est plus dans la léthargie du confinement. Les boîtes, il faut qu'elles tournent", dit-il. Mais aux 3 jours de télétravail "s'ajoutent les cas contact, les gardes d'enfants pour classes fermées, et ceux-là c'est du 100%. Donc si toute l'équipe (est à distance ou absente), comment tu fais tourner la boutique ?", dit-il, rapportant être obligé de ramener certains salariés à seulement un jour à distance.Certains se heurtent aussi à l'opposition de leur employeur.Paul (prénom modifié), 25 ans, rapporte à l'AFP que dans son entreprise de jeux vidéo, "les équipes de production n'ont pas le droit de télétravailler".L'inspection du travail est venue mais s'est rangée aux arguments de la direction, qui a mis en avant l'enjeu de la cybersécurité pour refuser le télétravail, alors qu'une équipe interne est dédiée à ce sujet, dit-il."On se retrouve avec des cas contact dans mon open space", déplore ce salarié.Un autre employé d'un cabinet d'expertise comptable explique que son employeur "invoque la raison de la confidentialité des informations et documents manipulés".In fine, "on a hâte que ça se termine, le télétravail", rapporte Charles, mais "personne n'est dupe", ça ne durera pas trois semaines...
Il y a 3 ans et 150 jours

Le chargement du combustible de l'EPR de Flamanville encore décalé de 6 mois

CHANTIER. EDF a annoncé ce 12 janvier un "ajustement" du calendrier du projet d'EPR (réacteur nucléaire à eau pressurisée) de Flamanville, dans la Manche, en raison de l'avancement des opérations et des difficultés causées par le Covid. La mise en service de la centrale est maintenant prévue au 2e trimestre 2023, quand la facture se creuse encore un peu plus.
Il y a 3 ans et 150 jours

Premier bilan à mi-parcours pour la Convention des Entreprises pour le Climat

Elle rassemble une diversité d'entreprises, de toutes tailles, de tous secteurs et issues de la France entière, incarnées par 150 dirigeants et leur « Planet Champion* ». Son objectif ? Émettre des propositions audacieuses et impactantes concernant la transformation climatique, destinées à être mises en œuvre au sein des entreprises.Philippe Boussemart, Directeur général Sto France, fabricant spécialiste de l'isolation thermique par l'extérieur et de l'embellissement de façade, et sa Planet Champion, Sophie Choplin, Directrice marketing, se sont engagés dans la CEC et livrent leurs ressentis et leurs premiers enseignements après 3 sessions.* : “binôme” du dirigeant qui porte la mission de mise en œuvre opérationnelle de la feuille de route.Session 1 : la prise de conscience des limites planétairesLa CEC s'est réunie du 9 au 11 septembre pour sa session inaugurale sur le campus de l'ESTP Cachan. Les 150 dirigeantes et dirigeants, accompagnés de leur Planet Champion », se sont rencontrés pour la première fois pour vivre ensemble 3 jours axés sur le constat climatique et les limites planétaires.Cette première session a été ouverte, comme la Convention Citoyenne pour le Climat en 2019, par Valérie Masson-Delmotte, co-présidente du groupe numéro 1 du GIEC.Sto a vécu le même choc que les citoyens, indispensable pour se remettre en question et être à la hauteur des enjeux environnementaux. Cette première session a proposé à ses participants un large panorama d'interventions animées par des scientifiques, des économistes et des conférenciers, ainsi qu'un travail de reconnexion à soi pour inviter de nouveaux regards sur les défis de la transition écologique.Pour Sophie Choplin, Directrice marketing et « Planet Champion » : « Nous avons vraiment pris une « claque » face à l'urgence climatique et avons pris conscience que seule une action drastique permettra de réussir la transition écologique des entreprises membres de la CEC et de contribuer plus fortement au plan de transition écologique de la France. Ce n'est pas la technique qui va nous sauver mais les actions humaines. »En parallèle des conférences, les entreprises travaillent leur feuille de route en « camps de base » et ébauchent leurs propositions au monde politique via les sous-groupes « besoins humains ». « Ce sont des moments d'échanges inspirants et de co-constructions qui permettent d'imaginer des futurs désirables et d'amorcer nos transformations en profondeur et sur le temps long », souligne Sophie Choplin.Session 2 : Sto est entré dans le vif du sujet !Après le constat, place à la co-construction ! La session 2 de la CEC a eu lieu à Lille du 20 au 22 octobre, avec pour thématique “Vers un nouveau Cap : réinventer son rôle et sa contribution dans le monde de demain et déchiffrer son nouveau modèle d'activité”.Cette session a permis de consolider le collectif et de souder les participants autour d'un cap ambitieux : celui de la régénération. « La CEC est avant tout une aventure collective. Tout seul, la tâche semble compliquée mais on s'aperçoit qu'à plus nombreux, avec la complémentarité de nos activités et de nos expériences, les idées fusent ! », relève Sophie Choplin.Parmi les temps forts qui ont nourri et inspiré les participants : la démonstration concrète qu'un modèle économique régénératif est possible et rentable avec Eric Rampelberg d'Interface (leader mondial de la fabrication de dalles de moquette écologique) et Christophe Sempls, Co-fondateur et Directeur général de Lumia.Au sein des ateliers de mise en pratique, chaque dirigeant a esquissé la première version de sa propre feuille de route, accompagnée et enrichie par l'intelligence collective du groupe.Pour Sto, cette session a permis d'apporter un éclairage sur comment aborder cette problématique complexe qui dépasse tout le monde : « Changer le prisme pour s'inscrire dans un temps long rend plus facile l'identification des impacts et le choix d'un futur possible », indique Sophie Choplin.Session 3 : en route vers la finance durableRéinventer sa performance : comptabilité extra-financière, nouveaux indicateurs, finance verte, tel était le programme de la 3ème session de la CEC intitulée « Nouvelle boussole », qui s'est déroulée du 2 au 4 décembre à Nantes.Pour Sophie Choplin, Directrice marketing et « Planet Champion » : « La session 3 a réconcilié le monde économique que nous représentons avec la mesure extra financière des impacts de nos activités. De nombreuses entreprises et experts sont venus témoigner des possibilités de mesure et de valorisation des impacts : étape indispensable pour aller vers une économie plus durable. »Les 250 dirigeants-participants ont également eu l'occasion de partager un moment de co-construction politique avec la venue de Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, Laurence Maillart-Méhaignerie, députée et présidente de la commission Développement Durable et Aménagement du Territoire de l'Assemblée Nationale, et Alexandre Florentin, conseiller de Paris, Manager Carbone 4.Un symbole fort pour la CEC qui œuvre depuis le début pour avoir une résonnance politique et impliquer le monde institutionnel tout au long du parcours ! Rendez-vous a été pris au printemps 2022 pour la présentation des propositions d'accélération de la part du collectif CEC.Objectif des 150 feuilles routeLa CEC vise à concevoir un véritable mode d'emploi de la redirection écologique, témoin du changement culturel en marche.Pour Sophie Choplin, Directrice marketing et « Planet Champion » : « Il s'agit de créer un nouveau standard permettant de pousser le curseur de la RSE au maximum : passer d'un système en ponction des ressources planétaires où nous surconsommons, à un système durable (neutre) et qui permettra la régénération des ressources. Cela nécessite de prendre le temps de voir loin (2030-40-50) et se mettre en mouvement dès maintenant. »Quant aux temps de réflexion transverses sur les besoins humains, Sto, en tant que leader de l'isolation thermique par l'extérieur, prend part à la thématique « se loger ».Chaque proposition et engagement travaillés ont pour vocation d'être adressés au gouvernement à l'issue de la CEC en juin 2022.Se nourrir de la CEC pour alimenter la politique RSE de StoAu fur et à mesure des sessions, Sto construit sa feuille de route, avec pour point de départ son bilan carbone et une projection à zéro impact : « Nous commençons à imaginer ce que pourrait être Sto en 2030, 2040 et 2050. Dans un futur souhaitable, Sto contribuerait toujours à avoir un habitat agréable, sain, confortable, dans lequel on ne souffre ni du chaud ni du froid, mais avec des solutions neutres en carbone », révèle Sophie Choplin.Mais pour atteindre les objectifs climatiques, Sto a pris conscience de la nécessité de créer une coopération transversale entre l'ensemble des acteurs de la chaîne : ses collaborateurs, ses clients et ses fournisseurs. L'entreprise compte bien se faire le porte-voix des enseignements de la CEC !Sto a décidé de partager avec l'ensemble de ses collaborateurs dans un premier temps le constat alarmant face à l'urgence climatique autour d'une « Fresque du Climat ».L'entreprise compte par la suite faire appel aux idées des collaborateurs et les faire ainsi contribuer à la politique RSE de Sto.Pour Sophie Choplin, Directrice marketing et « Planet Champion » : « Notre but ultime est de transformer Sto pour devenir progressivement une entreprise à impact, puis une entreprise à mission, et enfin une entreprise régénérative. »Prochaine étape, du 10 au 12 mars, lors de la session 4 à Marseille qui aura pour thème «Génie humain» ou comment innover en régénérant le vivant.
Il y a 3 ans et 150 jours

Coup de projecteur de France Urbaine sur les copropriétés dégradées

Avec le débat du 11 janvier qui a suivi la projection en avant-première d’un film centré sur le combat d’une maire du Grand Paris pour la rénovation d’une copropriété dégradée, France Urbaine a gagné son pari : sortir des formats compassés des cérémonies de vœux, pour susciter l’expression d’émotions et d’espoirs occasionnés par l’engagement politique au service de l'habitat.
Il y a 3 ans et 150 jours

Etex rachète le spécialiste de l'isolation Ursa

ACQUISITION. Le groupe Etex (Eternit, Siniat, Promat...) annonce avoir acquis le spécialiste de l'isolation Ursa. Objectif : devenir un leader des systèmes de construction légers et durables.
Il y a 3 ans et 150 jours

Les abords de Notre-Dame de Paris repensés via la réalité virtuelle

Cette société basée à San Francisco, Autodesk, a déjà travaillé avec la Ville de Paris, chargée du réaménagement des abords du célèbre édifice qui doit démarrer après les Jeux Olympiques de 2024.Elle avait déjà été "associée" au réaménagement des abords de la Tour Eiffel en 2018, ont précisé à l'AFP la mairie de Paris et Autodesk, qui fait partie des mécènes de Notre-Dame.Le parvis, son sous-sol, l'accès à la Seine en contrebas, les squares situés au pied du chevet et à la pointe orientale de l'île de la Cité, ainsi que les rues adjacentes -un ensemble s'étendant sur quatre hectares-, ont ainsi été modélisés en 3D."Cet environnement a été recréé à partir de milliards de points topographiques scannés et transformés en objets intelligents. C'est une plate-forme commune qui permettra aux équipes finalistes retenues par la Ville de Paris de travailler sur une base commune fiable", a précisé à l'AFP Nicolas Mangon, vice-président des départements AEC (Architecture, Ingénierie et Construction), stratégie commerciale et marketing d'Autodesk.Quatre équipes associant des architectes, des urbanistes et des paysagistes, ont été retenues par la Ville de Paris pour le réaménagement des abords de la cathédrale. Le lauréat doit être désigné par un jury fin juin 2022."C'est sur la base de ce modèle 3D que chaque candidat va concevoir son projet. (...) Autodesk apportera un soutien aux 4 équipes de conception pour optimiser l'intégration de leurs propositions dans le modèle existant et produira une visite immersive pour les 4 projets afin que le jury puisse apprécier ces dernières de manière simple et comparable", a précisé la Ville de Paris.Le réaménagement des abords de la cathédrale est financé à hauteur de 50 millions d'euros par la Ville, une somme initialement prévue comme contribution à la restauration de la cathédrale.
Il y a 3 ans et 150 jours

Chauffage, ECS et électricité : les énergies fossiles définitivement enterrées ?

L’année 2022 sera-t-elle celle du nouvel âge de la thermique en bâtiment ? La parution des derniers textes, décret fioul et RE2020, montre que le sujet énergétique adopte un nouveau profil.
Il y a 3 ans et 150 jours

Tempête Alex : la vallée de la Roya se reconstruit

A l’occasion de sa visite dans les Alpes-Maritimes, ce 10 janvier, le président de la République Emmanuel Macron a lancé la concertation avec les élus engagés pour le développement économique de la vallée de la Roya, une des trois vallées sinistrées suite au passage, le 2 octobre 2020, de la tempête Alex, à l’est du département. Cette visite sur le chantier de reconstruction de la route entre Breil-sur-Roya et Tende lui a donné l’occasion de faire le point sur les travaux. Tour d’horizon.