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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 3 ans et 152 jours

Restauration patrimoniale : focus sur six chantiers remarquables

RÉHABILITATION. Organisé chaque année, le concours des Rubans du patrimoine récompense les plus beaux et ambitieux chantiers de restauration patrimoniale aux quatre coins de la France. Le palmarès 2021 a été l'occasion de saluer le travail d'entreprises du bâtiment spécialisées dans le bâti ancien au travers de six prix. Diaporama.
Il y a 3 ans et 152 jours

RE 2020, économie circulaire et réemploi : comment s'organise le Bâtiment ?

BATIACTU BUSINESS CLUB : L'économie circulaire et les politiques bas carbone font désormais partie des stratégies des entreprises. Quelles nouvelles évaluations des matériaux ? Quels impacts de l'analyse du cycle de vie ? Quelle organisation des filières de recyclage et de réemploi ? Jeudi 20 janvier de 9h30 à 11h, le Batiactu Business Club donne la parole à Tarkett, Cycle Up et l'Ademe pour faire un tour d'horizon.
Il y a 3 ans et 152 jours

Concertation publique pour la projet de parc éolien offshore Centre-Manche 2

Ce nouveau parc éolien français fournira en électricité l'équivalent de la consommation annuelle d'un million de foyers, selon le dossier de concertation.Cette concertation publique, encadrée par la Commission nationale du débat public (CDNP), va durer jusqu'au 7 mars puis du 25 avril au 16 mai 2022 et elle inclut 10 réunions publiques.Dans un délai d'un mois, un bilan rédigé par des garants seront présentés au public et, au maximum deux mois après ce bilan, le ministère de la Transition écologique et RTE révéleront les enseignements tirés de la concertation.Concernant l'installation du parc éolien, les autorités précisent que les éoliennes « seront posées sur le fond marin et non flottantes, car la profondeur des fonds marins est faible ».La localisation des éoliennes, à environ 45 km des côtes normandes sera quasiment à « équidistance des départements de la Manche, du Calvados et de la Seine-maritime », selon Damien Levallois, directeur du projet à la direction de l'environnement de Normandie, pour l'AFP.Ce projet de 4 à 5 milliards d'euros sera situé à l'est du projet Centre-Manche 1, qui lui atteignait une production de 1 GW. M. Levallois mentionne d'ailleurs que « Potentiellement les deux parcs se toucheront » lorsque le Centre-Manche 2 sera mis en service à l'horizon 2031.L'industriel chargé du projet Centre-Manche 1 sera connu fin 2022 et sera chargé de la mise en service pour l'horizon 2027, selon M. Levallois.La zone « centre Manche », située a minima à 32km des côtes, fait 500 km² en tout et est le centre d'un débat public en 2019 et 2020.D'autres projets de parcs éoliens situés sur les côtes normandes sont également présents au large de Courseulles, Fécamp et Dieppe/Le Tréport, à une distance de 10 à 20 km du littoral. Leur mise en service est prévu pour l'horizon 2023.Le but assumé de ces projets offshore est pour l'État « de répondre au besoin croissant d'électricité décarbonée, afin de diminuer la part des énergies fossiles sur lesquelles reposent encore les deux tiers de notre consommation énergétique ».
Il y a 3 ans et 152 jours

L'Etat déploie 100 millions d'euros supplémentaires pour le fonds friches

ANNONCE. Le gouvernement a décidé d'allouer un budget supplémentaire au programme de financement destiné à recycler des friches sur le territoire français. Un appel à projets est annoncé au premier trimestre.
Il y a 3 ans et 152 jours

OPA de Veolia sur Suez : l'opération définitivement validée

ACQUISITION. L'autorité des marchés financiers a donné son feu vert définitif concernant l'Offre Publique d'Acquisition initiée par Veolia sur les actions de la société Suez.
Il y a 3 ans et 152 jours

Les députés se penchent sur le projet de loi destiné à réformer et soutenir les travailleurs indépendants

Le texte, déjà adopté en première lecture par le Sénat le 26 octobre, est inscrit lundi et mardi en séance plénière au Palais Bourbon.Défendu initialement par Alain Griset, le ministre délégué aux PME qui a démissionné après une condamnation pour avoir omis de déclarer une partie de son patrimoine, le dossier est désormais piloté par son successeur Jean-Baptiste Lemoyne.Le texte constitue "la pierre angulaire" du plan en faveur des trois millions de travailleurs indépendants annoncé par le président Emmanuel Macron le 16 septembre, a souligné M. Lemoyne lors des travaux en commission.Ce secteur dynamique - 840.000 créations d'entreprises en 2020, soit 4% de plus qu'en 2019 - a un "besoin impérieux de protection et d'accompagnement" face aux risques inhérents à l'activité indépendante, alourdis par la crise sanitaire, a-t-il souligné.Le projet de loi prévoit tout d'abord la création d'un statut unique de l'entrepreneur individuel, protecteur du patrimoine personnel, une préoccupation de longue date des indépendants.Les entrepreneurs individuels seraient ainsi titulaires de deux patrimoines, l'un professionnel, l'autre personnel qui serait insaisissable en cas de défaillance, alors qu'aujourd'hui seule la résidence principale est protégée en cas de difficultés.Des modifications du Sénat visant à préciser la démarcation juridique des deux patrimoines et réduire les dérogations ont été rejetées en commission par les députés au profit d'un retour à la rédaction initiale du projet.Ce point, objet d'inquiétudes à droite et à gauche notamment sur la possibilité pour les créanciers, en particulier les banques, de contourner la protection offerte par le nouveau statut, devrait à nouveau être au centre des débats.Pour tenir l'engagement présidentiel d'ouvrir l'assurance-chômage aux indépendants, le projet prévoit des conditions élargies d'accès à l'allocation des travailleurs indépendants (ATI).Le projet de loi entend encore faciliter la transmission de l'entreprise et simplifier le financement de la formation professionnelle.Ce projet de loi "fort attendu" selon la co-rapporteure Marie-Christine Verdier-Jouclas (LREM), "rompt avec le sentiment des indépendants que leur profession n'était pas prise en considération".Dans l'opposition, le groupe UDI a fait savoir qu'il "accueillait favorablement" ce texte. "En favorisant la vie des entrepreneurs, nous favorisons la croissance", a déclaré Valérie Six.Chez les socialistes, Marie-Noëlle Battistel a annoncé des amendements visant à "améliorer la protection du patrimoine, renforcer les filets de sécurité en cas de coup dur et faciliter l'accès à la formation".L'exécutif vise une mise en oeuvre de l'ensemble des mesures cette année.
Il y a 3 ans et 152 jours

Castex vante l'extension du "plan friches" sur l'ancienne manufacture Cosserat à Amiens

Le plan friches, dont le gouvernement a annoncé vendredi une rallonge de 100 millions d'euros avec un nouvel appel à projets, "marche très bien", s'est réjoui M. Castex.Selon le chef du gouvernement, la dotation initiale du fonds, créé en 2020 dans le cadre du plan de relance, est partie "comme des petits pains".Désormais porté à 750 millions, le fonds a permis la "reconstruction ou réhabilitation de 100.000 logements"."Il faut faire du recyclage à tous les étages: les logements [abandonnés], les friches (...) il faut optimiser tout", a martelé M. Castex, rappelant que "l'artificialisation (des sols) progresse quatre fois plus vite que la population"."C'est en général plus long, plus compliqué et plus cher de construire sur des friches", a rappelé la ministre chargée du logement, Emmanuelle Wargon.Le chef du gouvernement veut notamment "favoriser l'intervention de l'initiative privée" dans ces opérations.Le programme de transformation de la friche Cosserat, qu'il a visitée, doit bénéficier d'une aide de 300.000 euros pour transformer l'ancienne manufacture textile spécialisée dans le velours, emblématique d'Amiens.Abandonnés au début des années 2000, ses bâtiments du XIXe siècle ont accueilli jusqu'à 500 métiers à tisser et 1.000 salariés.Le projet prévoit la réhabilitation de 8.000 m³ de bâtiments, pour 34.000 m³ de construction neuves. Y seront créés 400 logements à l'horizon 2025, ainsi que 9.000 m2 de bureaux et 500 m² de commerces.Sur place, François Ruffin, député de la Somme, a dénoncé "l'hypocrisie" du discours dans un vif échange avec la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili."Aujourd'hui, ce qui est en train de s'installer ici, c'est un renouveau économique", a mis en avant la ministre.Ce projet "je le prends, mais ça représente 5 ha", et "à côté de ça, on va bétonner des dizaines d'hectares à l'entrée d'Amiens, et agrandir la zone (d'activités) autour d'Amazon", a objecté l'élu LFI.La reconversion des friches est l'un des leviers actionnés par le gouvernement pour atteindre son objectif de "zéro artificialisation nette" à l'horizon 2050.En France, 20.000 à 30.000 ha d'espaces naturels sont artificialisés chaque année, une des causes premières du changement climatique, de l'érosion et de la perte de biodiversité.
Il y a 3 ans et 152 jours

Au Royaume-Uni, Colas aux manettes d'un important contrat pluriannuel d'entretien routier

INTERNATIONAL. Le groupe Colas via sa filiale britannique a remporté un contrat pluriannuel d'entretien et d'intervention autoroutier. Celui-ci concerne le réseau principal de plusieurs comtés situés au centre de l'Angleterre.
Il y a 3 ans et 152 jours

"La pierre française a un bilan carbone 6 fois meilleur que les imports", J.-L. Vaxelaire

INDUSTRIE. Épargnée par les difficultés d'approvisionnement et l'inflation, la filière des roches ornementales et de construction continue en revanche à déplorer le manque de prise en compte de l'impact environnemental de ces produits dans les appels d'offres publics. Le représentant de son syndicat, Jean-Louis Vaxelaire, appelle une nouvelle fois les acheteurs publics à lier les actes aux paroles.
Il y a 3 ans et 152 jours

Consommation énergétique/tertiaire: le planning des déclarations dévoilé

La plateforme destinée à recueillir les déclarations de consommation d'énergie des bâtiments de plus de 1.000 m2 est ouverte, suite au "décret tertiaire", avec une obligation reportée au 30 septembre.
Il y a 3 ans et 152 jours

Anniversaire de l'OQAI : 20 ans d’actions et d'avancées pour une meilleure qualité de l’air intérieur

Au fil des tables rondes, mobilisant un grand nombre d’acteurs français et européens de la communauté scientifique, du monde de la santé, du logement, etc., plus de 500 participants ont pu découvrir ou approfondir leur connaissance des travaux menés par l’Observatoire, depuis 2001. Ainsi par exemple, les grandes campagnes nationales réalisées dans les différents lieux de vie pour déterminer l’exposition des populations à la pollution de l'air intérieur, via une approche anthropocentrée et pluridisciplinaire.Au-delà des actions menées, cette journée aura aussi été l’occasion de comprendre comment les connaissances ainsi acquises et enrichies éclairent les politiques publiques et accompagnent la prise en compte de ce défi parles acteurs de la construction et de l’immobilier. La parole a été donnée à différentes personnalités scientifiques et publiques européennes, mettant ces connaissances en perspective avec les dynamiques observées dans les pays voisins, les projets de recherche communs et les résultats obtenus.Retour sur 20 ans d’actions de l’OQAI, à travers quelques temps forts du colloque.Le regard d’Andrée Buchmann, Présidente de l’OQAIEn 2001, les ministères en charge du Logement, de l’Écologie et de la Santé, avec le concours du Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB) et de l’Agence de la transition écologique (ADEME), créent l’OQAI. Sa mission : évaluer l’exposition des populations à la pollution de l’air intérieur dans les lieux de vie (logements, écoles, immeubles de bureaux et établissements sanitaires et médicosociaux).Le CSTB est alors chargé d’assurer la coordination scientifique et technique de l’Observatoire. Il mobilise une équipe d’une dizaine de chercheurs spécialistes en métrologie, statistiques et systèmes du bâtiment, pour concevoir et mettre en œuvre les campagnes nationales et les projets spécifiques indispensables pour faire avancer les connaissances, avec l’appui d’un réseau de partenaires à travers toute la France.Une gouvernance originale est également mise en place avec un conseil scientifique, un conseil de surveillance réunissant les fondateurs et un comité consultatif rassemblant les acteurs économiques et associatifs, qui font part de leurs besoins et attentes et avec lesquels sont régulièrement partagés les résultats.Depuis, précise Andrée Buchmann, Présidente de l’OQAI, en introduction du colloque « fort de cette organisation, l’Observatoire s’est rapidement imposé comme une référence nationale et internationale ». Et de poursuivre : « En 2001, la qualité de l’air intérieur n’était pas encore perçue et traitée comme l’enjeu sanitaire majeur qu’elle est aujourd’hui. L’OQAI a largement contribué à cette évolution. Il a en cela pleinement joué son rôle, apportant des réponses fiables et objectives aux questions posées par la société. »À travers des campagnes de mesures ambitieuses, menées dans des conditions réelles d’occupation des lieux de vie, l’Observatoire a permis de livrer un panorama précis, à l’échelle du pays, de la qualité de l’air dans les espaces clos. Ces données accompagnent l’évaluation des risques sanitaires et constituent des éléments d’aide à la décision pour la définition des politiques publiques.Plusieurs actions majeures ont ainsi pu s’appuyer sur ces données et connaissances. Par exemple, l’étiquetage réglementaire des produits de construction et de décoration au regard de l’émission de Composés Organiques Volatils (COV), mis en œuvre en 2012, ou la publication des premières valeurs limites réglementaires pour l’air intérieur, pour le formaldéhyde et le benzène, en 2011.Le logement, un déterminant de notre santé En moyenne, les Français passent 67% de leur temps dans leur logement, lieu de vie où ils sont généralement le plus en attente de confort. Or, la qualité de l’air intérieur est une composante essentielle de la santé et du confort. Cet enjeu est d’ailleurs largement reconnu au niveau international, comme l’a notamment souligné le Docteur Maria Neira, directrice du département Santé publique et environnement à l'OMS, lors de la table ronde dédiée à la thématique logement et qualité de l’air intérieur.C’est dans ce contexte que, dès 2003, l’OQAI lançait la 1ère Campagne nationale Logements, dans 567 logements représentatifs du parc métropolitain. Une seconde campagne a démarré fin 2020, afin de mettre à jour les connaissances, tenant compte de l’évolution des réglementations, des modes de vie, de l’apparition de nouveaux polluants, etc. La pollution de l’air intérieur de 600 maisons et appartements sera ainsi décrite d’ici fin 2022. L’impact de cette pollution sur la santé sera aussi analysé.Habiter dans des bâtiments sobres en énergieEn lien avec les transitions énergétique et environnementale, les bâtiments sont de plus en plus performants. Ces évolutions et améliorations techniques peuvent avoir une incidence sur la qualité de l’air intérieur.C’est sur ce double enjeu que portait l’étude « Bâtiments performants en énergie », menée par l’OQAI entre 2012 et 2018, dans 128 logements occupés. Étaient notamment mesurés les concentrations en dioxyde de carbone (CO2), particules, aldéhydes et COV, la température et les débits / pressions aux bouches des systèmes mécaniques de ventilation. La présence de moisissures était également documentée par inspection visuelle et via l’indice de développement fongique. Apprendre dans un environnement sain et confortable À l’échelle européenne, les enfants passent en moyenne, chaque jour de semaine, 27 % de leur temps à l’école. Or, on le sait, au-delà du confort et de la santé, la qualité de l’air intérieur a aussi une incidence sur les capacités d’apprentissage et de concentration, a fortiori chez les plus jeunes. La qualité de l’air intérieur dans les lieux d’enseignement est donc fondamentale.La Campagne nationale Écoles, menée par l’OQAI entre 2013 et 2017, a permis de dresser un état des lieux de la pollution de l’air et des poussières déposées au sol dans 600 salles de classes élémentaires et maternelles, réparties dans 300 établissements en France métropolitaine.4 points de vigilance ont alors été soulignés :Les particules fines observées dans des concentrations supérieures à la valeur guide proposée par l’OMS pour l’air extérieur en 2021 ;Les Composés Organiques Semi-Volatils (COSV) omniprésents pour la plupart ; La présence de plomb dans des peintures à l’état dégradé dans 15 % des écoles ; Un niveau de confinement de l’air intérieur (qualité du renouvellement de l’air) très élevé dans 40 % des écoles. En conclusion de cette table ronde, les experts ont fait le point sur les enjeux de la qualité de l’air dans les écoles aujourd’hui, en lien avec la crise sanitaire et ses enseignements en la matière : nécessité de disposer de données affinées en fonction des territoires, renforcement des bonnes pratiques en matière de ventilation, renouvellement de l’air, choix des matériaux, suivi des concentrations intérieures via des capteurs connectés, etc.
Il y a 3 ans et 152 jours

Bientôt une visite virtuelle de Notre-Dame sous le parvis de la cathédrale

Une société associée à Orange va proposer une visite en réalité virtuelle de Notre-Dame-de-Paris dans le parking situé sous le parvis, pendant les travaux de reconstruction de la cathédrale incendiée.
Il y a 3 ans et 152 jours

La construction de logements dépasse de peu ses niveaux d'avant-crise

Le nombre d'autorisations délivrées pour la construction de logements a baissé de 1% sur la période septembre-novembre par rapport aux trois mois précédents, mais reste au-dessus de son niveau d'avant-crise.
Il y a 3 ans et 152 jours

Travail dissimulé dans le BTP: plusieurs millions d'euros blanchis par un réseau pakistanais

Un réseau mis en place par des Pakistanais qui aurait permis de blanchir "plusieurs millions d'euros" pour alimenter des entreprises du nettoyage ou du BTP travaillant au noir, a été démantelé.
Il y a 3 ans et 152 jours

Meljac poursuit son engagement pour le Fabriqué en France

Ces modèles en matériaux nobles résultent d’un savoir-faire manuel complexe, combiné à des technologies de pointe. Le traitement de surface et les réalisations sur-mesure font aujourd’hui la renommée de la marque."Cette distinction témoigne toujours de notre expertise et nous apporte une reconnaissance supplémentaire tant en France qu’à l’étranger. Elle illustre notre volonté de défendre le savoir-faire français et la proximité avec nos clients. Outre le label OFG attribué depuis 9 ans, le label EPV a placé MELJAC dès 2015 parmi les joyaux du patrimoine économique et culturel français. Nous sommes très fiers que nos valeurs et la qualité de notre fabrication soient récompensées ainsi." Jean-Michel LAGARDE, Directeur général de MELJACOFG : la qualité et la finesse des produits françaisAvec un taux de 70 à 95% d’origine française, tous les produits MELJAC se situent largement au-delà des exigences du label OFG.Bureau Veritas reconduit son audit chaque année.Cette distinction met en avant les principes chers à l’entreprise : conserver la fabrication de ses produits en France et y maintenir ses savoir-faire.2012 : 1er label OFG pour toutes les gammes en laiton MELJAC (ensuite, extension aux gammes en porcelaine, verre et plexi)2015 : 1ère de son secteur d’activité à obtenir le label EPV (Entreprise du Patrimoine Vivant) décerné par le Ministère de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique.MELJAC, acteur reconnu du Made in FranceParticipation à une délégation « French Touch » de 13 entreprises sélectionnées par Bpifrance, en Corée du Sud dans le cadre du 130e anniversaire des relations diplomatiques France-Corée (2016)Lauréat du Trophée RMC-PME « Bougeons-Nous » catégorie Fabriqué en France (2018)Une fabrication française alliant industrie et artisanatLa fabrication des produits MELJAC fait appel à la fois aux outillages de haute précision et à l’irremplaçable main de l’homme.Internalisation des étapes de fabrication à forte valeur ajouté dès 1999 : usinage, gravure, traitement de surface…Maîtrise de toute la chaîne de production au sein d’une usine construite sur-mesure en 2010, en région parisienne (Villeneuve-Le-Roi, 94), et d’un site dédié au traitement du surface (Neuilly Plaisance, 93).L’entreprise peut ainsi répondre aux demandes les plus pointues des architectes et designers.
Il y a 3 ans et 152 jours

BETON MOUSE TECHNOLOGIE lance AEROLITYS

Béton Mousse permet de vastes applications ! Sous la marque Aérolithys, Béton Mousse Technologie propose un service de béton mousse,livré, mélangé et coulé en place. Sans polystyrène et sans sable, c’est une solution avec unfaible impact environnemental, nécessitant moins de transport et produisant zéro déchet dechantier. Proposé en différentes densités (de 300 à 500 kg/m3), le béton mousse permet unevaste gamme d’applications ( ravoirage allégé, remblai d’engineering, Isolation sous dallage ettoit-terrasse…). Fluide et auto-compactant, le béton mousse Aérolithys permet aussi de réduirela pénibilité du travail et d’augmenter la productivité de vos chantiers ( 150 m3/ j coulés). Embarquée sur un 32 t, notre unité mobile de mélange et de pompage assure d’excellentesperformances de production, afin de répondre aux besoins des petits ou des grands projets.
Il y a 3 ans et 152 jours

Colas décroche un contrat de 400 millions d'euros au Royaume-Uni

La filiale anglaise Colas Ltd a conclu un contrat prenant effet au 1er juillet 2022 et portant sur l'Area 9, un réseau de routes de 9760 km couvrant plusieurs comtés du centre de l'Angleterre (Herefordshire, Worcestershire, Warwickshire, Staffordshire et Shropshire et partiellement Gloucestershire, Derbyshire et Leicestershire).Colas Ltd a indiqué qu'elle devra réaliser « les opérations d'entretien régulier, les réparations, les interventions en urgence et en cas de conditions météorologiques difficiles, ainsi que des travaux divers »."Nos routes sont parmi les plus sûres du monde et les partenariats comme celui-ci contribuent à maintenir les standards élevés que nous nous fixons et imposons à nos partenaires", a déclaré dans le communiqué Andrew Jinks, directeur des opérations du gestionnaire du réseau routier National Highways pour la région des Midlands.La société a également pris un engagement pour mettre en place avec ce contrat « un plan de réduction des émissions de gaz à effet de serre »."Nous avons hâte d'établir avec National Highways et nos autres partenaires de l'Area 9 des relations de travail et une collaboration efficaces, et de travailler ensemble sur notre objectif commun de réduction des émissions de carbone", a commenté Carl Fergusson, directeur général de Colas Ltd.
Il y a 3 ans et 152 jours

A Paris-Clignancourt, les Grands Magasins Dufayel transformés en bureaux par YMA

A Paris (XVIIIe), au pied de la butte Montmartre, l’agence Yrieix Martineau Architecture (YMA) revisite l’histoire des anciens Grands Magasins Dufayel et imagine, pour Vinci Immobilier maître d’ouvrage, une nouvelle destination : 11 500 m² d’espaces de travail. Le curage terminé, le 22-32 Clignancourt a livré ses secrets. Livraison 2023. Inscrit pleinement dans la mutation […] L’article A Paris-Clignancourt, les Grands Magasins Dufayel transformés en bureaux par YMA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 152 jours

Le bailleur Maisons&Cités lance l'expérimentation Pecquenchanvre

Objectif : encourager le développement d’une filière du chanvre à usage du BTP dans les Hauts-de-France et accompagner la transition écologique du territoire. Les travaux qui ont débuté cet été se poursuivront jusque fin 2022.Le recours aux matériaux biosourcés pour l’amélioration thermique des logements devient une problématique majeure pour répondre aux enjeux sociaux et environnementaux actuels. En effet, la baisse des factures énergétiques et la réduction des émissions de gaz à effet de serre face au dérèglement climatique constituent une priorité pour les bailleurs sociaux. Depuis plus de cinq ans, Maisons & Cités est engagé dans une réflexion autour d’une alternative aux isolants classiques dans le cadre de la rénovation de son parc de logements. Après plusieurs expérimentations menées dans le bassin minier à travers les opérations Réafutur 1 & 2, ainsi que Rénochanvre, le bailleur a reconnu le béton de chanvre comme biomatériaux d’avenir, notamment dans le cadre de la rénovation d’habitations en briques, dominantes sur le territoire des Hauts-de-France. Un projet pilote en FranceD’un montant d’investissement de 800.000 €, le projet Pecquenchanvre constitue une nouvelle étape dans ce cheminement. Sur une période de 2 ans, 50 logements de la Cité Barrois à Pecquencourt seront ainsi rénovés en utilisant du béton de chanvre, à un rythme de 6 logements livrés chaque mois. Une étude scientifique sera menée en parallèle par le CEREMA, l’Université Polytechnique des Hauts-de-France et l’Université Catholique de Lille afin de mesurer l’efficacité de la démarche écologique de l’opération. En complément, une étude sociologique sera réalisée afin d’analyser les pratiques et le ressenti des occupants. Pour l’heure, les retours des 1ers habitants ayant regagné leur logement rénové sont prometteurs.Pour Corinne Sevin, bénéficiaire de l’opération Pecquenchanvre : « Le recours au béton de chanvre comme isolant thermique assure une température ambiante idéale dans mon habitat. A la mi-novembre, je n’ai toujours pas allumé le chauffage. »Si l’expérimentation est concluante, Maisons & Cités prévoit de rénover, à terme, 1000 logements en faisant appel à ce matériau biosourcé : un défi ambitieux et inédit de la part d’un bailleur social à travers l’Hexagone. Bâtir une filière régionale du béton de chanvre d'ici 5 ansSoutenue par la région dans le cadre de la Troisième Révolution Industrielle Rev3 et accompagnée par le CD2E et le cabinet ÖPUN, ce projet s’intègre par ailleurs dans une démarche plus globale baptisée « Hauts-de-Chanvre », qui tend à initier la création d’une filière du béton de chanvre dans les Hauts-de-France d’ici 5 ans.Le développement d’un marché du chanvre et d’une filière régionale de culture et de transformation constituerait en effet un formidable vecteur de développement économique pour les Hauts-de-France. Dans le Bassin minier, la naissance de cette filière pourrait s’accompagner du développement d’unités de préfabrication en local et ainsi générer de nouveaux emplois. De quoi contribuer à la renaissance de ce territoire.Mais pour y parvenir, le chemin est encore long et nécessite l’implication de tous les acteurs du territoire, tous secteurs confondus. Pour ce faire, Maisons & Cités travaille en étroite collaboration avec le CD2E, aussi bien sur les aspects de développement de la culture du chanvre sur le territoire que de la formation des entreprises de BTP à son usage. Pour Jean-François Campion, Président de Maisons et Cités : « Il faut leur montrer que le modèle peut être rentable. C’est en créant le marché que l’on parviendra à rendre ce matériau compétitif et à œuvrer pour la transition écologique du territoire. »
Il y a 3 ans et 152 jours

Le Bureau d’Études Construire innove avec l’isolation sous-vide

Encore trop ignorée chez nous, cette technologie novatrice a déjà séduit nos voisins allemands qui ont facilement recours à l’isolation sous-vide.Pourquoi utiliser des isolants sous-vides ? Parce que l’isolation sous-vide cumule 2 avantages majeurs : un gain de place et de meilleures performances thermiques.On peut ainsi économiser de l’espace, car ils permettent de diviser par 5 l'épaisseur des isolants sur les murs, par rapport aux isolants standards de type laine de verre. L'utilisation de l’isolation sous-vide, permet ainsi de récupérer des mètres carrés tant recherchés en zone urbaine. Ils permettent également d'améliorer considérablement les performances thermiques des bâtiments. En effet l’isolation sous vide offre une conductivité thermique ultra-performante.Les PIV (panneaux isolants sous-vide) ou VIP (Vacuum insulation panels), constituent une révolution technologique que le bureau d’études CONSTRUIRE a décider de développer. Avec une très faible conductivité thermique, 6 à 8 fois moins que les plus performantes laines de verre, l’isolation sous-vide offre la meilleure performance thermique du moment.Une première mise en œuvre : construction de 2 maisons individuelles à L'Hay-les-RosesEn 2022, le bureau d’études CONSTRUIRE va recourir à l’isolation sous-vide pour la construction de 2 maisons individuelles à L'Hay-les-Roses (94) ou le prix du m2 est à 6.000€.L'utilisation d'isolants sous vide permettra de gagner 20 m² habitables par maison soit une plus-value de 120.000 €. Il faut déduire de cette somme le coût plus élevé de cet isolant (60.000 €), ce qui laissera un gain net sera de 60.000 €. Sans oublier que ces précieux mètres carrés ainsi gagnés prendront de la valeur avec le temps.L’isolation sous vide existe depuis plus 20 ans. Actuellement, elle est principalement utilisée dans le médical pour le transport d'organes par avion. Axel Sudermann, ingénieur, fondateur du bureau d’études CONSTRUIRE s’est familiarisé à l'utilisation du produit dans l'industrie pétrolière. En développant son utilisation dans le BTP, le bureau d’études CONSTRUIRE veut rattraper le retard pris en France dans son utilisation et valorise une innovation au service de la construction.
Il y a 3 ans et 153 jours

La Libye tente de contenir son urbanisation anarchique

Des terrains agricoles non aménagés divisés à la hâte pour accueillir des logements, des quartiers entiers sortis de terre sans autorisation et des villes confrontées à une forte tension immobilière.La Libye est aujourd'hui "incapable de suivre le rythme" de son urbanisation galopante et anarchique, concède à l'AFP le ministre du Logement et de la Construction du gouvernement intérimaire, Aboubakr al-Ghawi.A Benghazi (est), la superficie construite a doublé depuis 2009, passant de 32.000 à 64.000 hectares, selon le directeur du Bureau des projets de la ville, Oussama Al-Kazza. Et la moitié de la deuxième ville du pays a été construite "en dehors du schéma directeur", indique-t-il.A 1.000 km à l'ouest, dans la capitale Tripoli, des quartiers entiers ont aussi vu le jour sans la moindre autorisation.Alors que la Libye commence à retrouver un semblant de stabilité, le ministère du Logement s'apprête à accélérer l'achèvement de la "troisième phase des plans d'urbanisme, en collaboration avec des bureaux d'études locaux et internationaux pour revoir les schémas aléatoires élaborés ces dix dernières années", affirme M. al-Ghawi.Le premier plan d'urbanisme a été adopté en 1966, le deuxième en 1980 et le dernier en 2009. Mais celui-ci n'a jamais été mis en oeuvre en raison du chaos et de l'instabilité."Maisons détruites"A l'insu des autorités, des milliers d'hectares de terres agricoles en périphérie de Benghazi ont été divisés en parcelles de 500 mètres carrés, vendues pour abriter des logements, sans planification ni aménagement.Les autorités locales peinent à contenir le phénomène et à réaménager les secteurs endommagés par la guerre, ce qui favorise la création de quartiers entiers non autorisés où se sont installées des familles déplacées depuis 2014.Plusieurs faubourgs de la ville ont été entièrement détruits lors des violents combats menés ces dernières années pour en chasser les groupes jihadistes qui s'y sont retranchés après 2011.Leurs habitants ont dû trouver des solutions dans l'urgence, pas toujours dans les règles, pour ne pas finir à la rue."Nous avons quitté nos maisons du centre-ville à cause de la guerre", confie Jallal al-Gotrani, un fonctionnaire de 48 ans qui a construit une maison dans un nouveau quartier de cette ville orientale, berceau de la révolte de 2011."A la fin des combats, nous avons découvert nos maisons détruites, inhabitables. Nous n'étions plus en mesure de payer le loyer, nous avons donc été obligés de construire une petite maison dans un secteur créé par des habitants de manière aléatoire, en l'absence d'un nouveau plan de l'Etat ou d'une aide pour réhabiliter les secteurs détruits", raconte-t-il.A la rueSelon M. al-Kazza, plus de 50.000 unités de logement échappent au plan général de la ville et ne répondent pas aux normes de planification en matière de routes, d'espaces verts, d'écoles ou de centres de santé, mais surtout de réseaux d'eau et d'égouts.La Garde municipale s'efforce de contenir le phénomène. "Arrêtez la construction et contactez la direction" du plan urbain, peut-on lire en lettres rouges sur des clôtures de chantiers non autorisés à Benghazi.Le chef du département de l'urbanisme, Abdulhakim Amer, appelle à passer outre la "bureaucratie administrative" pour contrecarrer cette urbanisation qui échappe à tout contrôle.A Tripoli, les besoins en logement sont particulièrement criants. Les affrontements autour de la capitale l'an dernier et les violences sanglantes dans l'Est ont mis sous pression la plus grande ville du pays, qui a vu affluer des dizaines de milliers de familles affectées par la guerre, provoquant une crise du logement combinée à une flambée des prix.Depuis quelques semaines, les autorités locales mènent une importante campagne contre les constructions sans permis qui ont poussé dans la capitale pendant la période de chaos post-révolte, notamment le long de la corniche où ont prospéré des dizaines de cafés, fast-foods et habitations.Des dizaines de commerces mais aussi des logements non autorisés ont ainsi été rasés. Une reprise en main qui n'est pas sans conséquences pour les occupants, sommés de vider les lieux sans préavis et sans leur offrir d'alternatives.
Il y a 3 ans et 154 jours

A Saclay, le NEXT, par SUD Architectes, en attendant demain

Destiné à l’accueil de petites et moyennes entreprises qui souhaitent installer leurs activités au cœur du cluster scientifique et technologique de Paris-Saclay, le NEXT propose 7 000 m² de bureaux comprenant des plateaux indépendants de 190 à 760 m², soit jusqu’à 580 postes de travail. Livraison prévue : 2023. Communiqué. Le NEXT, une offre unique au sein […] L’article A Saclay, le NEXT, par SUD Architectes, en attendant demain est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 154 jours

La manufacture Cosserat d’Amiens, vitrine de sobriété foncière

La reconversion urbaine de la manufacture Cosserat d’Amiens a donné corps à la visite de Jean Castex dans la Somme, le 8 janvier sur le thème de la lutte contre l’artificialisation des sols. Le Premier ministre s'est saisi de l’occasion pour présenter le bilan et les perspectives du fonds Friches.
Il y a 3 ans et 155 jours

En 2022, Hidalgo veut "poursuivre l'embellissement de Paris" alors que ses habitants dénoncent un saccage de la capitale

La maire socialiste a déclaré dans ses vœux diffusés en ligne, en lieu et place d'une cérémonie annulée en raison de la nouvelle vague de contaminations due au variant Omicron, qu'alors que « le compte à rebours des Jeux olympiques et paralympiques de 2024 va s'accélérer », « nous continuerons à redonner à Paris toute sa splendeur : je pense au grand site Tour Eiffel (...) et au lancement du réaménagement des abords de Notre-Dame ».Alors que 2021 a été une année riche en contestations des décisions prises par la mairie parisienne, notamment avec le mouvement #SaccageParis, qui dénonçait les choix d'aménagement de voirie, la manque de propreté des rues ou le mobilier urbain entre autre, la mairie de Paris s'est engagée en décembre dernier à revenir sur certains points de son projet de réaménagement autour de la Tour Eiffel pour tenir compte des critiques mises en lumière lors d'une concertation publique menée à l'automne.Tandis que la mairie veut piétonniser et végétaliser l'axe Trocadéro-Champ-de-Mars, pour un budget de 107 millions d'euros, elle a annoncé « étudier un nouveau mobilier » pour le pont d'Iéna, où la perspective de bacs végétalisés a été « largement remise en question » par les contributions.Les abords de Notre-Dame-de-Paris sont également concernés : le « dialogue compétitif » en cours entre les quatre finalistes doit toucher au but fin juin à la désignation du lauréat. En revanche, les travaux, d'un montant de 50 millions d'euros, ne démarreront qu'après les Jeux olympiques de 2024."Nous poursuivrons l'embellissement de Paris", a encore déclaré la candidate PS à la présidentielle, "en portant une attention particulière aux portes qui nous relient à la métropole: la Porte de la Chapelle", où l'Arena 2 (salle multifonctionnelle d'environ 8.000 places) est en cours de construction, "et la Porte de Montreuil", où le projet de halle pour abriter les commerçants des puces suscite la méfiance de ces derniers."Nous investirons cette année 1,65 milliard d'euros pour transformer notre ville et lutter contre les inégalités", a rappelé Anne Hidalgo en annonçant la création de 6 nouvelles cours-oasis et d'une "trentaine" de nouvelles "rues aux écoles".Ces « rues aux écoles » ont été créée suite au premier confinement dans le but de favoriser la distanciation physique des élèves et d'éloigner les voitures. Ces rues partiellement ou totalement piétonisées vont être au nombre de 169 d'ici les prochaines semaines selon un décompte de la mairie. L'aménagement de 21 nouvelles rues aux écoles sont prévues pour un coût de 9 millions d'euros.
Il y a 3 ans et 155 jours

Le groupe Lorrillard s'empare de Poupin

ACQUISITION. Le spécialiste de la menuiserie, Lorillard, annonce avoir racheté l'entreprise Poupin, un fabricant de menuiserie bois, PVC et aluminium, en Pays de la Loire.
Il y a 3 ans et 155 jours

La route thermique d'Eurovia se déploie sur 4 nouveaux projets

CONTRATS. La filiale spécialisée dans les infrastructures de transports de Vinci Construction poursuit le déploiement de sa "route à énergie positive" avec le développement de 4 projets d'équipement sportifs et de bâtiments.
Il y a 3 ans et 155 jours

Les architectes fortement impactés par la pénurie des matériaux

Le sondage mené par le CREDOC pour le Conseil national de l'Ordre des architectes a été réalisé du 17 au 29 novembre 2021 avec 2056 architectes exerçant en tant que libéral, associé ou salarié d'une société d'architecture. Ce sondage met en lumière plusieurs informations : Environ 80% des appels d'offres des architectes pour les diverses entreprises dépassent les prévisions financières. 66% des appels d'offres dépassent les prévisions de 10 à 30% selon les sondés. 13% des répondants annoncent également avoir des dépassements supérieurs à 30%. 22% des architectes interrogés observent des résultats fructueux ou avec un dépassement inférieur à 10%. Les marchés publics et les marchés privés sont concernés, avec un léger avantage pour les marchés publics (29% des marchés sont fructueux ou avec un dépassement inférieur à 10% et 57% subissent des dépassements de 10 à 30% par rapport aux prévisions. La crise des matériaux est la cause de ces nombreux surcoûts pour 71% des architectes qui citent également comme deuxième cause la surchauffe de l'activité, agissant de manière concomitante avec la crise des matériaux, selon 58% des répondants. Étonnamment, la crise sanitaire n'est pas la plus mise en cause dans ces dépassements, seuls 12% des architectes sondés la considère comme fautive dans la situation actuelle. Des conséquences lourdes pour les projets Dans 45% des cas, les maîtres d'ouvrage doivent adapter leurs projets pour éviter les surcoûts et 22% doivent mettre les projets en pause, si ce n'est les abandonner au pire des cas. 32% des projets arrivent malgré tout à terme malgré les surcoûts. Les chantiers se voient aussi impactés avec dans trois quarts des cas des délais perturbés voire très perturbés par la pénurie de matériaux. 10 à 30% de retard par rapport aux délais prévus seraient à incomber au manque de matériaux selon 55% des sondés et 20% d'entre eux déclarent un retard de plus de 30%. La taille des chantiers n'influe pas sur cet impact, toutes les tailles de chantiers sont touchés de la même manière.Une situation difficile pour les architectes, qui restent pessimistes sur l'évolution de la criseDe plus, cette situation complique les relations entre architectes et maîtres d'ouvrage en faisant apparaître des difficultés de planification et de renégociation d'honoraires. Dans 38% des cas, les architectes trouvent la relation compréhensive malgré les difficultés mais 52% la déclarent « tendue » et 10% même « très tendue ». Encore une fois, les marchés publics semblent être un peu plus protégés de cette tendance. Pour les architectes, les difficultés liées à la crise des matériaux vont durer et les prix vont rester élevés. Pour 91% d'entre eux, les difficultés sont constantes et ils ne voient pas d'amélioration. À plus long terme, 51% des sondés estiment qu'une amélioration est envisageable sans toutefois revenir au stade d'avant-crise. 42% pensent quant à eux qu'aucune amélioration n'est à venir et que les prix ne vont pas redescendre.
Il y a 3 ans et 155 jours

Le gouvernement présente de nouvelles mesures pour les entreprises de taille intermédiaire

Dix nouvelles "actions" doivent aider ces entreprises à devenir "plus compétitives et engagées", selon un communiqué de presse cosigné par cinq ministres et secrétaires d'État.Des "référents ETI" seront ainsi nommés dans chaque région. Ils devront servir d'"interlocuteur unique, qui puisse coordonner l'ensemble des sujets d'une ETI, pour qu'elle ne se perde pas entre les nombreux services de l'État", a précisé le ministère de l'Économie et des Finances.Autre mesure phare: la création d'un indicateur de suivi des impôts de production payés par les entreprises.Le gouvernement souhaite aussi "améliorer la connaissance des ETI ainsi que la prise en compte de leurs caractéristiques, notamment en identifiant dès que possible cette catégorie dans les travaux d'enquêtes et de statistiques"."Vous représentez 3 millions d'emplois en France, c'est considérable", a souligné Bruno Le Maire mercredi soir à Bercy devant des représentants des ETI et plusieurs membres de l'exécutif.Le ministre de l'Économie et des Finances a détaillé trois "responsabilités" du gouvernement envers les ETI: "baisser davantage les impôts de production", "abaisser les charges" pesant sur les salariés les plus qualifiés et "offrir des conditions de financement les plus favorables possibles."En contrepartie, "continuez à embaucher en France, à investir en France, valorisez la marque France!", leur a enjoint Bruno Le Maire, pour qui "les ETI doivent devenir le fer de lance de la reconquête industrielle française."Les bénéficiaires de la Stratégie nation ETI ont pris mercredi plusieurs autres "engagements": d'ici 2025, elles visent 5% d'alternants dans leurs effectifs et veulent faire progresser de 10% l'index de l'égalité professionnelle des ETI."L'indicateur global annoncé par le gouvernement afin de suivre l'évolution des impôts de production doit être salué", se sont félicité les coprésidents du Mouvement des entreprises de taille intermédiaire (Meti), l'organisation représentative des ETI, Philippe d'Ornano et Frédéric Coirier, cités dans le communiqué.Les ETI regroupent les entreprises ayant entre 250 et 5.000 salariés et un chiffre d'affaires de 60 millions d'euros à 1,5 milliard d'euros. En 2019, on en comptait plus de 5.500 en France, selon des chiffres de l'Insee cités par Bercy.
Il y a 3 ans et 155 jours

Impression 3D béton : La genèse de la construction durable ?

L’impression 3D commence à s’installer dans le secteur de la construction. [©Contour Crafting] Le secteur de la construction met en place de nombreuses initiatives pour décarboner les bâtiments. Parmi elles, figurent l’impression 3D béton. Encore peu exploité, ce procédé, pourrait devenir la solution pour assurer une construction plus durable et respectueuse de l’environnement. L’innovation voit le jour en 2004 avec Behrokh Khoshnevis. Ce professeur de l’Université de Caroline du Sud a mis au point une imprimante 3D montée sur un bras robotisé. Cette dernière s’utilise ensuite avec la technologie Contour Crafting1. Ainsi, des rails sont installées autour du terrain de construction pour diriger la machine. L’imprimante crée ensuite des couches de béton selon un modèle prédéfini. Behrokh Khoshnevis a ainsi commencé à imprimer pour la première fois un mur de béton. Cette révolution technologique permettrait alors de pouvoir construire une maison en 24h. Lire aussi : Creabeton Matériaux : L’impression 3D pour résoudre des problématiques C’est pourquoi l’entreprise chinoise WinSun Decoration Engineering en a tiré profit pour présenter des maisons de 200 m2 imprimées en un jour. La Beijing HuaShang Tengda Industry and Trade a aussi l’intention de bâtir une villa de 400 m2.Dans la continuité, la technique d’impression D-Shape a été développée en 2006 par Enrico Dini. Elle permettait de créer des objets avec un matériau similaire à la pierre. L’Agence Spatiale Européenne a d’ailleurs prévu de l’utiliser pour imprimer une base sur la Lune. Un projet ambitieux qui reflète bien les possibilités d’innovation. Les avantages de l’impression 3D béton Behrokh Khoshnevis et les autres innovateurs dans ce secteur ont démontré tous les avantages de l’impression 3D béton. Tout d’abord, sur chantier ou en usine, la fabrication additive2 permet une réduction des coûts et des déchets. Evitant ainsi le gaspillage de matières premières. Ensuite, ce procédé diminue les risques d’accident. Pour concevoir des murs de plusieurs mètres, les manipulations sont optimisées, tout comme l’utilisation de certains matériels. Cette technique offrirait plus de facilité dans la conception du bâtiment. Exemple avec BetAbram, société slovène qui a créé le modèle d’imprimante 3D “P1” capable de réaliser des impressions de la taille d’un immeuble. En parallèle, WinSun Decoration Engineering a de nouveau marqué les esprits en construisant un immeuble de 5 étages à Shuzou, en Chine. Les imprimantes 3D béton actuelles ont été conçues pour améliorer l’efficacité sur les chantiers, sans négliger la qualité. Andrey Rudenko, ingénieur russe, a imprimé un petit château en béton dans le Minnesota aux Etats-Unis [© totalkustom.com] Aujourd’hui, les industriels formulent des encres “béton” adaptées aux contraintes de la fabrication additive. A savoir : la nécessaire fluidité, la rapidité de prise et la robustesse du matériau. Avec un tel procédé, l’impression 3D béton pourrait permettre de lutter contre la crise du logement. L’industriel américain, Icon a prévu d’inaugurer le plus grand rassemblement de maisons imprimées en béton au monde au courant 2022. Andrey Rudenko, ingénieur russe, a lui aussi apporté sa pierre à l’édifice. Il a d’abord commencé par imprimer un petit château en béton dans le Minnesota aux Etats-Unis. Pour ensuite créer plusieurs villages et fonder des communautés internationales dans le monde entier. L’impression 3D béton pourrait aussi avoir des avantages pour les travaux publics. Pour les Jeux Olympiques de Paris en 2024, un pont de 40 m de long sera imprimé à Aubervilliers (93). Les limites de l’impression 3D béton Malgré les nombreux avantages de l’impression 3D béton, il subsiste certaines interrogations. En effet, cette méthode n’est pas considérée comme un procédé de construction par les codes et normes en vigueur. Les ouvrages habitables sont donc testés pour s’assurer de leur fonctionnalité. L’idée est de voir si ces structures résisteront à n’importe quel type d’environnement extérieur. De plus, l’automatisation des chantiers peut engendrer une évolution au niveau de l’emploi. En effet, si construire une maison nécessite moins de main d’œuvre, le rôle et les qualifications des compagnons pourraient changer. « Les métiers vont évoluer, de l’architecte au maçon qui devient un opérateur en maçonnerie, déclare Benoît Furet, professeur à l’IUT de Nantes. A terme, la chaîne numérique globale va se simplifier. Les opérateurs avec bac pro du secteur de la construction seront les maçons numériques, les pilotes des robots. » A Dubaï, un gratte-ciel imprimé en 3D nommé « Belgrade Tower » pourrait bientôt s’élever dans le ciel. [© Aleksandar Grusanovic] Les méthodes conventionnelles pour construire un habitat restent malgré tout toujours dominantes. Cependant, l’impression 3D béton attise l’attention du secteur de la construction à l’échelle internationale. A Dubaï, un gratte-ciel imprimé en 3D nommé « Belgrade Tower » pourrait bientôt s’élever dans le ciel. Ce serait le premier bâtiment de cette taille au monde à être construit avec le procédé d’impression monté sur une grue. L’avenir dira si cette innovation technologique est la clef pour une construction durable. 1 Le « Contour crafting » est une technologie émergente qui permet de produire par fabrication additive une « architecture imprimée » 2 Synonyme impression 3D
Il y a 3 ans et 155 jours

Val-de-Fontenay : "Nous revendiquons la souplesse programmatique" (F.Bourvic, MAB SPL)

INTERVIEW. Le réaménagement de Val-de-Fontenay, principal pôle tertiaire à l'Est de Paris, devra se faire "dans la dentelle" et en démolissant le moins possible, explique le directeur général de l'opérateur public local en charge du quartier. Il devra comprendre un tiers de logements et des espaces verts, aujourd'hui quasi-absents. Les investisseurs institutionnels seront privilégiés par rapport au Pinel, qui provoque, selon lui, à moyen terme, "des copropriétés moins bien entretenues".
Il y a 3 ans et 155 jours

Bâtiment modulaire: Portakabin France poursuit sa croissance malgré la crise

Agrandissement des centres techniques, de l’usine de production, recrutements et lancement d’un nouveau module compatible avec la RE 2020 : Portakabin France, spécialiste du bâtiment modulaire en location, poursuit sa croissance malgré le ralentissement des projets dans le secteur du bâtiment.
Il y a 3 ans et 155 jours

En Île-de-France, la crise sanitaire a rendu le télétravail pérenne

TRAVAIL. 42% des actifs franciliens déclarent avoir télétravaillé entre août 2020 et août 2021, selon une récente enquête de l'Institut Paris Région. Une tendance durable qui force employeurs comme acteurs de l'immobilier à s'interroger sur l'utilisation des espaces de travail et d'habitat.
Il y a 3 ans et 155 jours

La crise des matériaux impacte aussi les architectes

Pour 71 % des architectes, la crise des matériaux est la première cause de surcoûts. [©ACPresse] Selon un sondage, réalisé par le Credoc1 pour le Conseil national de l’Ordre des architectes, les agences d’architecture sont fortement impactées par la pénurie des matériaux. Entre le 17 et 29 novembre 2021, le centre de recherche a interrogé près de 2 056 professionnels exerçant en libéral, associés ou salariés. Ainsi, pour 71 % des architectes, la crise des matériaux est la première cause de surcoûts. Suivi par la surchauffe de l’activité qui entre en conflit avec la hausse des prix, voire la pénurie des matériaux pour 58 % des répondants. Cependant, il semblerait que la pandémie soit moins mise en cause dans ces surcoûts (seuls 12 %). Selon les retours, 80 % des appels d’offres lancés dépassent les prévisions financières. Dont 66 % sont de l’ordre de 10 à 30 %. Près de 13 % des répondants déclarent même des dépassements supérieurs à 30 %. Seul un quart des interrogés estime observer de bons résultats ou des coûts excédentaires de moins de 10 %. Les chantiers de toutes tailles impactés Concernant la typologie des appels d’offres touchés, il semblerait que la crise impacte aussi bien les marchés publics que privés. Même si les premiers bénéficient d’une (légère) meilleure situation. En revanche, dans 45 % des cas, les maîtres d’ouvrage cherchent à adapter leur projet pour réduire les coûts. Et 22 % les mettent en veille ou les abandonnent. Seuls 32 % sont réalisés malgré tout. Lire aussi :Pénurie de matériaux : “La grande débrouille” En termes de délais, la crise des matériaux frappe directement les chantiers de toutes tailles. Pour 55 % des sondés, les projets comptent 10 à 30 % de retard par rapport aux délais prévus. Et 20 % d’entre eux déclarent un retard de plus de 30 %, voire un arrêt des chantiers. La situation entraîne aussi des tensions sur les relations entre les architectes et les maîtres d’ouvrage, créant ainsi des difficultés de planning et des renégociations d’honoraires. Une crise des matériaux sur le long terme ? « Si 38 % des architectes considèrent que la relation de travail reste compréhensive malgré les difficultés, 52 % la qualifient en revanche de “tendue” et 10 % de “très tendue”, peut-on lire dans le sondage. La situation semble un peu moins délicate en marchés publics. » Lire aussi :Crise des matières premières : Le gouvernement annonce de nouvelles mesures Les professionnels de ce secteur ne sont pas très optimistes pour l’avenir. Selon eux, les pénuries et hausses des prix des matériaux ne présentent pas d’amélioration (91 % des architectes) et sont amenées à perdurer. Sur le long terme, 51 % des interrogés pensent qu’une évolution positive finira par s’amorcer sans revenir à une situation d’avant-crise. Enfin, 42 % estiment que la crise va se cristalliser et que les prix resteront très élevés. 1Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie.
Il y a 3 ans et 155 jours

Dotations de l’État aux collectivités : quelle répartition territoriale et par politique publique des DETR et DSIL exceptionnelle ?

Cette étude inédite est le fruit d’un travail de compilation et de traitement des données fournies par l’ANCT et les préfectures, débouchant sur une cartographie exhaustive de la répartition de ces dotations par intercommunalité, mais aussi par type de politiques publiques subventionnées.1,5 milliard d’euros sont alloués en moyenne aux territoires, chaque année, via la DSIL et la DETR, auxquels le plan de relance a permis d’ajouter 570 millions euros, au travers d’une DSIL dite « exceptionnelle ». En 2020, la DSIL exceptionnelle a aidé financièrement 68 % des territoires intercommunaux mais pour des montants souvent inférieurs à ceux attribués via la DSIL. Ces résultats sont donc cohérents avec l’objectif assigné à cet abondement : soutenir un grand nombre de territoires, pour des projets matures. Ce dispositif s’inscrivant dans le cadre de France relance, les politiques publiques les plus subventionnées varient également par rapport à celles soutenues classiquement par la DSIL, notamment dans le champ environnemental. L’étude d’Intercommunalités de France démontre la faible différence dans les politiques publiques soutenues entre la DSIL traditionnelle et la DETR. Environ un tiers de ces dotations soutiennent des projets de voirie et d’aménagement public. Or, la DSIL devrait avant tout servir à financer les projets les plus structurants et stratégiques. D’un point de vue géographique, ces travaux confirment l’effet correcteur de la DETR pour les territoires ruraux, particulièrement le long de la « diagonale du vide ». En ce qui concerne la DSIL, certaines zones du territoire sont mieux couvertes que d’autres.Le projet de loi « 3DS » prévoit de revenir sur les conditions d’octroi de la DSIL, en donnant un rôle plus important aux préfets de département alors que jusqu’à présent elle est allouée par les préfets de région. Intercommunalités de France craint qu’une telle évolution conduise encore un peu plus à rapprocher la DSIL de la DETR.
Il y a 3 ans et 155 jours

Pénurie de matériaux : les architectes déplorent des surcoûts et retards de chantiers

CRISE. Un récent sondage commandé par le Cnoa montre qu'une majorité d'architectes sont pénalisés par la pénurie des matières premières qui sévit depuis des mois. Ils pensent que la crise est là pour durer.
Il y a 3 ans et 155 jours

Egis s'ouvre à un actionnaire privé

PRISE DE PARTICIPATION. Le groupe dédié à la gestion d'actifs, Tikehau Capital, vient d'entrer au capital d'Egis, filiale de la Caisse des dépôts spécialisée dans l'ingénierie de la construction et des services à la mobilité.
Il y a 3 ans et 155 jours

Wavin réinvente son centre de formation Wavin Academy

Le fabricant se pose comme objectif de mettre en place des centres de formation dans l’ensemble des pays où il est implanté. Dans le cadre du déploiement de ce nouveau concept international, Wavin France a entièrement repensé son centre de formation Wavin Academy situé en Auvergne, au siège de Varennes-sur-Allier (03). Après plusieurs mois d’études et de travaux, la Wavin Academy ouvrira ses portes à l’automne2021 et permettra des sessions de formations pointues dans un cadre parfaitement adapté. Dans le prolongement des formations jusqu’alors proposées dans son centre Technopole, la Wavin Academy propose des formations théoriques et techniques dans un tout nouveau cadre où une large place est destinée à la mise en situation des solutions Wavin.Des formations sur mesure pour partager le savoir-faire WavinAvec plus de 600 m2 répartis sur 2 bâtiments, le nouveau centre Wavin Academy a été pensé pour s’adapter à toutes les configurations de formation : amphithéâtre, ateliers pratiques destinés aux solutions TP et Construction, fosses de mises en situation des solutions TP…La Wavin Academy propose des formations accessibles, claires et ludiques à l’ensemble des acteurs impliqués dans les chaînes de décision et de mises en œuvre : maîtres d’œuvre, maîtres d’ouvrage, entreprises de Travaux Publics et de la construction, distributeurs et installateurs (plombiers, chauffagistes...). Elle répond aux besoins de formation des partenaires du fabricant pour s’assurer du bon déroulement des chantiers. Wavin y apporte un enseignement concret dans des ateliers reproduisant les environnements de chantiers tels qu’ils sont pratiqués en réel.Au cœur de ce nouveau centre, un éclairage complet est proposé sur les solutions Wavin pour les Travaux Publics (tubes polypropylène, bassins de rétention, boites d’inspection et regards de visite Tegra, avaloirs de chaussée…) et pour le Bâtiment (hydrodistribution, raccords multicouches, planchers chauffants, plafonds climatiques, systèmes de régulation de chauffage, multiconnecteurs…). Les produits sont présents physiquement pour les voir et les toucher.Le déploiement de la Wavin Academy témoigne de la volonté d’accompagnement de ses partenaires par le fabricant. De la formation au suivi des chantiers, de la préconisation des produits à leur mise en œuvre, les équipes du bureau d’études et commerciales Wavin s’attachent à développer une relation de proximité avec leurs partenaires à chaque étape du chantier.Au cœur de la Wavin Academy, en situation de chantier ou à distance via Teams ou des webinars, les équipes Wavin n’ont de cesse de se consacrer à la formation des professionnels du Bâtiment et des Travaux Publics pour une mise en œuvre technique des solutions dans les règles de l’art comme dans le respect des cadres normatifs et législatifs.C’est pourquoi, chaque partenaire Wavin peut faire appel aux équipes de la Wavin Academy pour demander la mise en place de formation sur mesure au siège du fabricant voire chez le client ou encore directement sur le chantier. Idéalement situé, en plein cœur de la France en Auvergne, la Wavin Academy est très facile d’accès grâce à sa proximité avec Vichy et Clermont-Ferrand.Des formations pour les acteurs de demainParce que les étudiants constituent l’avenir du secteur, Wavin propose également des sessions de formation au sein des CFA TP tels que le CFA d’Egletons et CFA de Mallemort. En 2020, malgré un contexte sanitaire particulier, 150 étudiants ont été formés par Wavin. Ces formations sont venues compléter celles de 400 professionnels des Travaux Publics et du Bâtiment. Pour un encadrement parfait et un accompagnement idéal, les sessions de formation de la Wavin Academy sont dispensées en moyenne sur 2 jours.
Il y a 3 ans et 155 jours

AGC et EyeLights ont uni leurs forces pour présenter un pare-brise à réalité augmentée au CES 2022

Les technologies combinées de pare-brise et d'affichage cumulent plusieurs avantages parmi lesquels la plus grande taille d'écran virtuel (550 pouces) et la distance de projection affichée à 50 mètres du conducteur. La technologie AGC Automotive transforme le pare-brise en un écran virtuel rendant les informations visibles même avec des lunettes de soleil ! L'écran virtuel est alimenté par le système d'exploitation EyeLights pour une conduite augmentée en utilisant la vision par ordinateur et les capacités de l'IA.Les affichages conventionnels sont distrayants. Le pare-brise réalité augmentée améliore la sécurité active en affichant les informations là où elles doivent être.Avec toutes les informations dans le champ de vision - cette technologie vous permet de rester concentré sur la route.Pour Romain DUFLOT, PDG de EyeLights : « Nous sommes convaincus que le pare-brise réalité augmentée sera la prochaine interface homme-machine et qu'à l'avenir, les écrans disparaîtront totalement du tableau de bord. L'interface de pare-brise réalité augmentée apporte une interface transparente, plus large et plus sûre pour libérer tout le potentiel de la réalité augmentée dans les voitures. »Pour Patrick Ayoub, responsable des capteurs automobiles et de la vision chez AGC R&D : « De nombreux acteurs s'efforcent d'apporter de nouvelles technologies HUD(*) complexes sur le pare-brise, cependant ils négligent souvent les nombreuses contraintes optiques strictes du pare-brise. AGC et EyeLights ont partagé la même vision : développer un concept à la fois disruptif et pragmatique et nous sommes maintenant prêts à le produire en série et à améliorer l'expérience de conduite. »(*) HUD: Affichage tête haute
Il y a 3 ans et 155 jours

Arnaud Brouquier élu président de l’AniTEC

A noter que Philippe Blin restera proche de la nouvelle gouvernance en qualité de Conseiller spécial du Président. Dès 2022, 4 grands pôles regrouperont les principales activités de l’AniTEC :Pôle Sûreté Electronique - Sécurité IncendiePôle Digitalisation des EspacesPôle Réseaux numériques des bâtimentsPôle Métiers Des groupes de travail flash ou des missions temporaires pourront être menés en fonction de l’actualité comme le groupe de travail dédié à l’Opérateur Local de Services Numériques où la mission JO 2024. Au-delà de ces thématiques, 2022 sera aussi l’occasion de renforcer la stratégie d’influence de l’AniTEC en développement la communication, les relations extérieures avec la filière, les institutionnels et les décideurs pour accroitre sa visibilité et sa notoriété. Arnaud BROUQUIER, 39 ans, ingénieur de formation, diplômé de l’Ecole des Mines de Saint-Etienne, est le Directeur Général de Delta Sertec depuis l’année 2008, et de sa filiale Delta Télécom depuis 2017. Le jeune dirigeant a su faire entrer dans l’ère du numérique l’entreprise familiale créée par son père en 1979. Aujourd’hui, Arnaud Brouquier se définit comme « intégrateur de SMART TECHNOLOGIES pour les bâtiments ». Engagé à poursuivre le développement de la transformation digitale de la filière électrotechnique, il accompagnera ainsi la stratégie de l’AniTEC, pour la faire évoluer vers le métier d’Opérateur de Services Numériques et celui d’Intégrateur – Développeur.
Il y a 3 ans et 155 jours

Quatre nouveaux projets en France de Power Road, la route à énergie positive

Power Road® permet de valoriser la chaleur captée par la chaussée tout au long de l’année et ainsi de se substituer à l’énergie fossile consommée pour le chauffage des bâtiments. En France, près des deux tiers des consommations d’énergie liées aux bâtiments sont consacrées au chauffage, dont l’énergie de production provient également, pour les deux tiers, de la combustion d’énergies fossiles, fortement émettrices de gaz à effet de serre (GES).Saint-Pol-de-Léon : Rénovation énergétique de la piscine municipaleLa piscine de Saint-Pol-de-Léon (29) en Bretagne va être rénovée par la communauté de communes afin de limiter sa consommation énergétique. La mise en place de 860m² de Power Road répondra à 39% des besoins en énergie liés au préchauffage de l'eau des bassins. À sa réouverture en juillet 2022, 30 tonnes de CO² seront économisées chaque année par rapport à la consommation de la chaudière à gaz actuelle ; l'alimentation en chaleur de la piscine sera alors faite avec 29% d'énergies renouvelables.Agneaux : Construction du nouveau siège administratif du SDEMLe syndicat départemental d'énergies de la Manche, SDEM, se dote d'un nouveau siège basé à Agneaux (50) en Normandie, occasion parfaite d'envisager des solutions énergétiques alternatives. 200m² de Power Road chaufferont les 1650m² du nouveau bâtiment. Économe en énergie, cet équipement permettra d'économiser 87,5% de CO² par an comparativement à une solution gaz, soit 5 tonnes de CO² par an.Bourgoin-Jallieu : Démolition et reconstruction d'une agence de travaux EuroviaL'agence EJL de Bourgoin-Jallieu (38) fait peau neuve grâce à la construction d'un nouveau bâtiment. 100m² de Power road seront installés en fin 2022 avec l'objectif de chauffer et rafraîchir un espace de 700m². 10 tonnes de CO² seront ainsi économisées annuellement en comparaison d'une solution au gaz, réduisant encore de 30% les émissions de gaz à effet de serre par rapport à une solution déjà performante (VRV). La part d'énergie renouvelable de la solution de chauffage et climatisation s'élèvera à 80%.Tarbes : Démolition et reconstruction d'une agence de travaux EuroviaL'agence La Routière des Pyrénées, située à Tarbes (65), rénove ses 585m² de bureaux. Une voirie Power Road de 100m² sera installée afin d'assurer le chauffage et le refroidissement des espaces de travail. Les bénéfices estimés permettront l'économie de 13 tonnes de CO² par an en comparaison d'une solution au gaz.Ces projets montrent la pertinence de Power Road comme solution d'énergie renouvelable de proximité pour la transition vers des bâtiments décarbonés et optimisés, ainsi que sa contribution dans l'atteinte des objectifs climat de la France : les énergies renouvelables devront couvrir 50% de la consommation de chaleur dès 2030 et atteindre la neutralité carbone en 2050.
Il y a 3 ans et 155 jours

Colas remporte un contrat de maintenance autoroutier de 400M€ au Royaume-Uni

La filiale de Colas au Royaume-Uni, Colas Ltd, s’est vu attribuer par National Highways le contrat d’entretien et d’intervention autoroutier de l’Area 9 (réseau routier principal de plusieurs comtés du centre de l’Angleterre) d’une durée de 8 ans.
Il y a 3 ans et 155 jours

Ouverture des candidatures aux Journées Européennes des Métiers d’Art 2022

les Journées Européennes des Métiers d’Art (JEMA) sont le grand rendez-vous culturel des savoir-faire. Basées sur le principe d’ouverture d’ateliers et d’établissements de formation, sur l’organisation de manifestations, de rendez-vous, de démonstrations de savoir-faire hors-les-murs, les JEMA s’adressent aux publics venant de tous horizons. La seizième édition se tiendra du 28 mars au 3 avril 2022 autour du thème « Nos mains à l’unisson ». Les JEMA 2022 sont l’occasion de renouer le contact. L’Institut National des Métiers d’Art invite les professionnels, établissements de formation et porteurs de projet à candidater dès maintenant et jusqu’au 31 janvier 2022, pour y participer : www.journeesdesmetiersdart.fr  
Il y a 3 ans et 156 jours

Murs extérieurs de maison : comment les peindre?

Le ravalement de façade comprend l’ensemble des travaux destinés à préserver ou améliorer l’état des murs extérieurs d’une bâtisse. À ce titre, il peut revêtir plusieurs formes. Les travaux peuvent en effet consister à nettoyer la façade, à réparer les fissures ou encore à rénover la peinture. Dans cet article, nous allons particulièrement nous intéresser à cette dernière opération. Comment peindre les murs extérieurs de sa maison ? Découvrez dans ce qui suit les étapes à suivre. Se renseigner sur les démarches administratives à suivre Dans le cadre du ravalement de façade, la peinture est classée parmi les travaux de finition. Elle est de ce fait réalisée en dernier lieu. Mais avant d’entamer la moindre chose, il est essentiel de se renseigner sur les démarches administratives nécessaires. En effet, les travaux de peinture peuvent nécessiter le dépôt d’une déclaration préalable auprès de la mairie, et ce, même s’ils consistent à repeindre les murs au même. Pour pouvoir changer leur couleur, il faudra toutefois obtenir un permis de construire. Il en faudra également un dans le cas où le bâtiment se situe dans une zone protégée, à proximité d’un monument historique ou s’il est considéré comme tel. Malgré tout, les travaux doivent se faire en considération des normes d’urbanisme en vigueur. Pour connaitre les démarches administratives à suivre, n’hésitez pas à vous renseigner auprès de votre mairie. Vous pouvez également faire appel à un façadier professionnel de votre localité. Préparer minutieusement l’intervention Avoir ce dont vous aurez besoin pour peindre la façade de votre habitation vous fera gagner du temps. Pensez donc à organiser au préalable votre intervention. Cette organisation comprend d’une par le choix de la peinture. Pour cela, plusieurs facteurs entrent en compte. En l’espèce, il s’agit des particularités de la façade, de son état, du climat de la région et de l’environnement du logement. Pour choisir la bonne peinture, nous vous encourageons à solliciter les conseils d’un artisan ravaleur. En outre, sachez que c’est à ce stade que vous installerez les échafaudages. S’ils devaient empiéter sur la parcelle de votre voisin, il est primordial que vous obteniez son accord. En revanche, si vos échafaudages empiètent sur la voie publique, demandez une autorisation de voirie auprès de votre mairie. Préparer les murs avant l’application de la peinture Les murs extérieurs de votre logement devront être exempts d’aspérités au moment de les peindre. En d’autres termes, leur nettoyage est de mise avant l’application de la peinture. Il est nécessaire de se débarrasser des saletés et des champignons qui les recouvrent afin d’avoir un meilleur aperçu sur leurs défauts. Mettre à nu la façade vous permettra également de déterminer la gravité des problèmes qui l’affectent et de définir le type de réparation dont elle a besoin. Il faudra par exemple colmater les fissures et les lézardes. Quelques couches de peinture ne parviendront pas à les dissimuler. Néanmoins, si l’état de vos murs est déplorable, nous vous préconisons d’engager des travaux de ravalement de façade. Dans tous les cas, le recours aux services d’un ravaleur professionnel reste recommandé. Sachez que son intervention garantit également un travail bien fait, et ce, dans les meilleurs délais. Peindre les murs extérieurs de la bâtisse Il faut généralement trois couches de peinture pour une façade. La première couche, également appelée « sous-couche » ou « primaire d’accrochage », permet l’adhérence des deux autres couches de peinture sur les murs. En général, elle est de couleur planche et permet de rectifier les petits défauts de ces derniers. Il faudra attendre au moins 24 heures le temps qu’elle sèche avant de poursuivre les travaux. Vient ensuite l’application de la deuxième couche et de la troisième couche de peinture. Il s’agit là de la peinture de la couleur de votre choix. Néanmoins, il faudra laisser 24 heures de séchage entre ces deux dernières couches. Pour qu’elle sèche de manière optimale, attendez les beaux temps pour appliquer la peinture sur vos murs. Dans le cas où la météo annonce des averses ou des intempéries, fixez une autre date pour entamer vos travaux de peinture.
Il y a 3 ans et 156 jours

Deuxième décès d'ouvrier sur le chantier du Grand Paris Express

"Ce matin vers 11h30, un accident dramatique s'est produit sur le site du chantier de la gare Saint-Denis-Pleyel du Grand Paris Express. Un compagnon est décédé. Une chute de matériel sur le chantier serait à l'origine de cet accident d'après les premières informations", a annoncé sur Twitter l'organisme chargé de la maîtrise d'ouvrage du métro.La gare de Saint-Denis-Pleyel est l'une des infrastructures-clés du futur Grand Paris Express et sera la plus fréquentée du réseau, chargée d'assurer la correspondance entre les lignes 14, 15, 16 et 17 du Grand Paris Express et le RER D.En décembre 2020, un ouvrier de 41 ans avait déjà trouvé la mort sur le chantier de la ligne 16 à La Courneuve (Seine-Saint-Denis) après une chute dans une cuve à broyer située à 30 mètres de profondeur.Les 200 kilomètres du Grand Paris Express comprennent quatre lignes nouvelles de métro automatique, numérotées de 15 à 18, ainsi que des prolongements de la ligne 14. S'articulant autour d'une ligne circulaire, plusieurs branches doivent relier les aéroports d'Orly et Roissy-Charles-de-Gaulle, le pôle scientifique de Saclay et des quartiers sensibles de Seine-Saint-Denis.Après des retards, les nouvelles lignes sont désormais prévues pour entrer en service de façon progressive entre 2025 et 2030.