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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 3 ans et 142 jours

La filière électrique présente ses conditions pour accélérer la transition énergétique

NEUTRALITÉ CARBONE. Une dizaine d'organisations représentatives de la filière électrique dévoilent dans un communiqué commun les conditions indispensables, à leurs yeux, à la réussite de la transition énergétique. Sans surprise, beaucoup est attendu de la part des pouvoirs publics.
Il y a 3 ans et 142 jours

En 2021, l'immobilier a récolté près d'un milliard d'euros en crowdfunding

ÉCONOMIE. Le financement participatif a connu un beau succès en 2021 dans l'immobilier. Les professionnels comme les épargnants se montrent moins frileux à se tourner vers ce mode de financement.
Il y a 3 ans et 142 jours

Le marché des matériaux de construction peu dynamique en novembre

Il est vrai que, entre les effets de rattrapage d’un côté, les effets de base de l’autre, l’impact des difficultés d’approvisionnement et autres tensions sur l’appareil productif, l’activité peine encore à stabiliser sa tendance dans ce contexte pandémique perturbé depuis près de deux ans.Pour autant, en 2021, les livraisons de granulats et de BPE devraient quasiment retrouver leur niveau d’avant crise à la faveur d’un contexte conjoncturel plutôt porteur côté Bâtiment. Dans ce secteur en effet, le climat des affaires demeure très favorable et la demande ne faiblit pas. Côté travaux publics, en revanche, l’activité n’a pas encore retrouvé le niveau de 2019 et les carnets de commandes, notamment de la clientèle publique, tardent à se regarnir.Novembre, meilleur pour le BPE que pour les granulatsSelon les dernières données, encore provisoires et disponibles pour le mois de novembre, l’activité de nos matériaux aurait connu un repli au regard de 2020. Ainsi, côté granulats, la production aurait reculé de - 1,9 % par rapport à octobre (données CVS-CJO) et de – 6,0 % comparé à novembre 2020, un mois il est vrai particulièrement dynamique (+ 5 % au-dessus d’un mois de novembre moyen sur longue période). Toutefois, au regard de novembre 2019, la production affiche aussi un retrait de - 3,7 % confirmant l’atonie relative de l’activité granulats pour ce mois de novembre. Sur le dernier trimestre allant de septembre à novembre, le niveau de production demeure en hausse au regard des trois mois précédents (+ 1,6 %) mais il s’inscrit en repli par rapport à la même période de 2020 (- 1,1 %) et de 2019 (- 2,2 %). En cumul sur les onze premiers mois de l’année, l’activité a ainsi accéléré de + 10,4% sur un an, ce qui laisse les niveaux produits juste un peu en-deçà de ceux de 2019 (- 0,8%). Du côté du BPE, les livraisons se sont quasiment stabilisées par rapport à octobre (- 0,2 %) mais ont cédé - 3,5 % au regard de novembre 2020 dont l’activité était, elle aussi, bien supérieure (+ 12,7 %) à un mois de novembre moyen. Au cours du dernier trimestre, les cubages ont gagné + 3,5 % par rapport au trimestre précédent, se stabilisant quasiment à leur niveau constaté sur les trois mois de septembre-novembre de l’an passé (- 0,3 %) et surpassant celui observé sur la même période de 2019 (+ 3,0 %). Sur les onze mois de l’année 2021, la production de BPE enregistre ainsi une hausse de + 11,3 % sur un an, retrouvant exactement son niveau de 2019.Après un repli de - 8,1 % sur un an au troisième trimestre, l’indicateur matériaux, encore provisoire pour le mois de novembre, suggère une tendance de + 10 % sur un an pour les onze premiers mois de 2021. Comparé à 2019, l’activité du panier de matériaux minéraux ressort en hausse de + 1,5 % (donnée CJO).Climat des affaires au beau fixe dans le bâtimentLe moral des chefs d’entreprise du bâtiment ne faiblit pas. En effet, selon l’enquête menée en décembre par l’INSEE, le climat des affaires gagne encore deux points se situant 16 % au-dessus de sa moyenne de long terme. Encore plus optimistes sur l’évolution à venir de leur activité que le mois précédent, les entrepreneurs sont également plus nombreux à juger que le niveau de leurs carnets de commandes est supérieur à la normale. Dans le gros œuvre, avec 9,8 mois de travaux en stock, les carnets surpassent de 3,5 mois leur niveau moyen de long terme. En dépit d’une hausse des effectifs, les chefs d’entreprise sont toujours confrontés à un manque de personnel et les difficultés d’approvisionnement continuent de limiter leur production.Dans le segment du gros œuvre, plus de la moitié des entreprises (57,3 %) ne pourrait produire plus s’il en était besoin compte tenu de leurs moyens actuels (contre 33,7 % en moyenne sur longue période) et 71,8 % éprouvent des difficultés à recruter (contre 50,8 % en moyenne).Quant aux problèmes d’approvisionnement de matériaux, ils continuent de se durcir : près d’un tiers des entreprises du bâtiment y sont confrontées en décembre, contre un quart d’entre elles il y a 6 mois, soit beaucoup plus qu’en situation “normale” (moins de 5 %).Côté construction, l’activité de mise en chantier de logements a gagné + 0,6 % de septembre à novembre, sur le trimestre précédent, une hausse surtout liée à la dynamique de la maison individuelle (+ 4,4 % contre - 2,1 % pour le collectif, données CVS-CJO). En cumul depuis janvier, on enregistre une hausse de + 13,6 % sur un an des logements commencés (soit + 2,6 % comparé à 2019), la progression étant partagée entre l’individuel (+ 14,3 % et + 6,4 % comparé à 2019) et le collectif (+ 13,1 % et 0 % comparé à 2019).S’agissant des permis, leur nombre a reculé de - 1 % au cours de trois derniers mois (septembre à novembre) comparé aux trois mois précédents avec une dynamique contrastée entre le segment de l’individuel (- 4,2 %) et celui du collectif (+ 1,7 %) (données CVS-CJO). Au total, sur les onze mois de 2021, les autorisations de construire des logements augmentent de + 21,5 % sur un an (dont + 29 % pour l’individuel et + 15,9 % pour le collectif hors résidence) et affichent également une hausse au regard de 2019 (+ 5,9 % dont + 11 % pour l’individuel et- 0,6 % pour le collectif hors résidence).Cette dynamique devrait alimenter l’activité constructive en 2022 : dans son dernier scénario prévisionnel, la Fédération Française du Bâtiment table sur une hausse des mises en chantier de + 2,1 % en 2022 (à 398 000 unités).En revanche, côté non résidentiel, les surfaces de locaux commencés ne devraient guère évoluer en 2022 (- 0,2 % à 25,1 Millions de m2). À ce jour, ce segment demeure en crise avec des ouvertures de chantier, certes en hausse de + 10,2 % sur les onze mois de 2021 mais encore en recul de - 10,2 % au regard de 2019. Quant aux permis, malgré le rebond de + 14,5 % enregistré en 2021, leur niveau reste - 9,1 % en dessous de celui de 2019.Ces évolutions sont cependant assez peu cohérentes avec, d'une part, le jugement très favorable que portent les entreprises du bâtiment sur l’activité dans le non résidentiel (enquêtes INSEE) et, d’autre part, les budgets primitifs des collectivités locales qui annonçaient une forte progression des dépenses de bâtiment pour 2021.L’exercice annuel de révision des données sur l’activité constructive qui interviendra le mois prochain permettra peut-être de lever certaines interrogations.Travaux publics : en attendant le rebond des commandesAprès un troisième trimestre en repli, l’activité des travaux publics a réamorcé son redressement en octobre mais peine à renouer avec les niveaux d’avant crise. Sur les dix premiers mois de l’année, le niveau des facturations a augmenté de + 12,9 % sur un an mais demeure - 2,8 % en deçà de celui de 2019. Plus inquiétant encore, le niveau des prises de commandes (- 18,3 % comparé à 2019), notamment de la part de la clientèle publique dont on serait en droit d’attendre un réel rebond plus d’un an après les élections municipales et en réponse au Plan de relance.
Il y a 3 ans et 142 jours

Le Sénat épingle les mesures annoncées par le gouvernement face à la flambée des prix des énergies

La commission regrette que le Gouvernement n’ait pas anticipé cette flambée des prix, rejetant, à l’époque, le constat formulé par son rapporteur « Énergie » Daniel Gremillet, dans son plan de relance en juin 2020 et ses travaux budgétaires en novembre dernier. La commission souligne que le « gel tarifaire » annoncé quelques semaines avant le premier tour de l’élection présidentielle est une mesure de court terme, qui pèsera sur l’ensemble des fournisseurs d’énergie et se répercutera in fine sur les consommateurs, particuliers comme professionnels, dès 2023.Le relèvement du plafond de l’Arenh, associé à la limitation des tarifs réglementés de vente de l’électricité (TRVE), représente une perte de 8 milliards d’euros pour le groupe EDF. Pour ce qui la concerne, la baisse de la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité (TICFE), à son niveau minimum prévu par le droit européen, à compter du 1er février prochain, pourrait représenter 8 milliards d’euros pour l’État.Pour Sophie Primas, présidente de la commission des affaires économiques : « On dépense dans l’urgence pour des raisons électorales 16 milliards sur des mesures purement conjoncturelles sans stratégie d’ensemble. Comment financer de grands projets structurels, tels que le nouveau nucléaire ou la transition énergétique, au regard de si lourdes dépenses conjoncturelles ? »Ce relèvement intervient alors que le groupe EDF, grevé d’une dette de 42 Mds d’euros, doit financer des investissements colossaux : le Grand carénage (49 Mds d’euros de 2014 à 2025), le nouveau nucléaire (46 Mds d’euros pour l’éventuelle construction de trois paires d’EPR), la transition énergétique (10 Mds d’euros annuels), ou encore le rachat de turbines nucléaires (1 Md d’euros). Cette situation, à laquelle s’ajoutent les incertitudes sur l’ampleur, le calendrier et les financements de la construction de nouveaux réacteurs nucléaires, fragilise durement l’énergéticien français.La commission déplore que le Gouvernement n’ait pas prévu de réponses structurelles à la flambée des prix des énergies. Cette flambée ne concerne pas seulement l’électricité ou le gaz, mais aussi les carburants et les combustibles, les prix à la pompe de l’essence dépassant 1,68 euro par litre et du gazole 1,62 euro, selon le Gouvernement. Elle ne concerne pas seulement les produits énergétiques, mais aussi les matières premières, à commencer par les métaux précieux, pourtant indispensables aux transitions énergétique et numérique.Pour Daniel Gremillet, président du groupe d’études « Énergie » : « Je regrette que les mesures annoncées par le Gouvernement pour remédier à la flambée des prix des énergies soient prises par à coups, avec un manque d’anticipation, d’évaluation et de cohérence. Car cette flambée des prix, au sortir de la crise de la Covid 19, avait été prédite par bon nombre d’économistes ! »
Il y a 3 ans et 142 jours

Palmarès WorldSkills : une belle moisson pour l’équipe des métiers du bâtiment et des travaux publics

Une campagne organisée par le CCCA-BTP, mobilisé avec les professionnels de la construction, pour promouvoir l’innovation, la diversité et la richesse des métiers du secteur du BTP, valoriser l’apprentissage comme voie de formation professionnelle initiale d’excellence et de réussite et donner envie aux jeunes visiteurs l’envie de rejoindre une filière d’avenir.160 jeunes en lice dans 17 métiers du BTP et dans la nouvelle épreuve Construction digitaleSur le pôle BTP, le plus important en compétition avec 17 métiers représentés, 160 candidats, âgés de moins de 23 ans, se sont affrontés pendant trois jours intenses de compétition, donnant à voir le meilleur d’eux-mêmes par la maîtrise de leur savoir-faire, leur talent, leur détermination et la passion qu’ils portent à leur métier respectif.La construction digitale a fait son apparition dans la compétition à l’occasion de ces finales nationales, avec un sujet inspiré d’un projet en cours de construction en région Auvergne-Rhône-Alpes. Durant cette épreuve de 17 heures 30, les cinq candidats ont du faire appel à toutes les compétences nécessaires pour mener un projet BIM : modélisation et création des maquettes numériques de la structure gros œuvre et des aménagements intérieurs (plafonds, cloisons, portes, sol).Formidables ambassadeurs des valeurs d’excellence et de réussite transmises lors de leur parcours de formation, les jeunes compétiteurs ont tous pleinement incarné l’entraide, la complémentarité et l’esprit d’équipe inhérents aux métiers du BTP, tout en symbolisant l’excellence du modèle de l’apprentissage.Visite ministérielle sur l’espace « La Construction. Demain s’invente avec nous »Le Premier ministre Jean Castex est venu le 14 janvier sur le site de la compétition à la rencontre des jeunes compétiteurs, accompagné de Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, et d’Élisabeth Borne, ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion. Jean Castex s’est attardé sur l’espace du CCCA-BTP pour encourager les jeunes en compétition dans les 17 métiers du BTP. Il a échangé avec Éric Routier, président du CCCA-BTP, et Jean-Christophe Repon, vice-président du CCCA-BTP, sur la formation des jeunes aux métiers de la construction par la voie de l’apprentissage et insisté sur la nécessité de les rendre encore plus attractifs.58 jeunes vainqueurs pour le pôle BTPLe palmarès des finales nationales des 46e WorldSkills Competition a été proclamé le 15 janvier lors de la cérémonie de clôture à Eurexpo Lyon. Ce sont 58 jeunes, dont deux binômes métiers (aménagement urbain et réseaux de canalisations / Construction béton armé) qui ont été récompensés dans les 16 métiers du BTP en compétition et pour l’épreuve Construction digitale. Ces vainqueurs auront l’honneur de concourir au niveau mondial à Shanghai en 2022 et au niveau européen à Saint-Pétersbourg en 2023.Retrouver la liste complète du palmarès BTP sur laconstruction.fr et ccca-btp.frPour Éric Routier, président du CCCA-BTP : « Avec nos métiers du BTP, les jeunes en recherche de leur orientation professionnelle ont un avenir solide assuré dans notre secteur, qui offre de belles perspectives de carrière. La plupart des compétiteurs ont été formés par la voie de l’apprentissage, grâce à l’implication quotidienne de leur maître d’apprentissage en entreprise et de leurs formateurs en centre de formation. Les jeunes champions médaillés lors de ces finales nationales ont une nouvelle fois démontré leur talent et leur professionnalisme, ainsi que leur parfaite maîtrise dans la pratique de leur métier respectif. Il était aussi important de profiter de cet événement national pour mettre les jeunes et nos métiers du BTP à l’honneur, affirmer haut et fort que l’apprentissage est plus que jamais une voie qui conduit vers l’excellence et la réussite. Le CCCA-BTP, partenaire de longue date de WorldSkills France et partenaire de ces finales nationales, était présent au cœur du pôle BTP, sous les couleurs de la campagne de promotion des métiers et de l’apprentissage BTP « La Construction », que nous menons auprès des jeunes. Cet événement, où l’on voit combien les jeunes qui ont fait le choix de notre secteur du BTP sont heureux, a été une exceptionnelle vitrine pour valoriser nos métiers, montrer aux jeunes visiteurs qu’ils sont innovants et attractifs et leur donner envie de rejoindre de notre secteur du BTP ! »
Il y a 3 ans et 142 jours

L'économie française témoigne d'une "bonne résistance" face à la vague Omicron

Les secteurs de l'industrie et du bâtiment se portent bien malgré les désorganisations liées à la vague Omicron, selon la note de conjoncture de la Banque de France publiée le 11 janvier. (Photo © Jcomp)
Il y a 3 ans et 142 jours

Création de Bouygues Bâtiment IDF Industrie et Equipements publics

Portrait de William Nippert, directeur général de Bouygues Bâtiment IDF Industries et Equipements Publics. [©Bouygues Bâtiment IDF Industries et Equipements Publics] Faisant suite à la fusion entre Bouygues Bâtiment IDF Ouvrages publics et Brézillon Génie civil, une nouvelle entité opérationnelle a vu le jour avec, à sa tête, William Nippert. En effet, l’activité “génie civil” de la filiale Brézillon et celles “ouvrages publics” de Bouygues ont été regroupées pour former une seule entité sous le nom de Bouygues Bâtiment IDF Industrie et Equipements publics. Cette nouvelle unité opérationnelle interviendra en construction neuve, ainsi que sur des projets de réhabilitation. Et ceci, sur la région Ile-de-France et Picardie. Le tout regroupant quelque 800 collaborateurs. Son parcours William Nippert est nommé à la direction générale de cette nouvelle entité. « Notre raison d’être est d’apporter à nos clients des solutions sur mesure de conception et de réalisation de leurs projets d’équipements publics ou industriels. Et ce, avec des collaborateurs engagés et fiers de participer à un développement durable des territoires », insiste l’intéressé. Diplômé en génie civil, William Nippert a débuté sa carrière au sein de Bouygues Bâtiment IDF en 1997, comme responsable travaux. Pendant 23 ans, il a évolué chez Bouygues Bâtiment et a occupé des postes, tels que directeur travaux chez Brézillon, directeur général de Bati-Rénov, ainsi que directeur du pôle génie civil industriel et environnement.
Il y a 3 ans et 142 jours

Détecteur de présence à deux canaux Luxa 104 S360 pour la gestion des éclairages proches des fenêtres

Doté d’un capteur à 2 canaux de lumière, il permet de gérer deux groupes d’éclairage en mode commutation, dont un groupe distinct pour la zone d’éclairage le long des huisseries. Le LUXA 104 S360 garantit une lumière homogène grâce à sa fonction d’équilibrage de la mesure de luminosité et à sa sensibilité réglable (sur 5 niveaux) pour assurer aux occupants un confort accru tout en réalisant des économies d’énergie. Autre point fort du LUXA 104 S360 : sa grande capacité de commutation de 600 W, particulièrement appropriée à l’usage de lampes LED.Conçu pour un montage au plafond, encastré ou en saillie, le LUXA 104 S360 couvre une zone de détection circulaire jusqu’à 24 m de diamètre pour les personnes en mouvement (avec une hauteur de montage de 2,5 m). La zone de détection peut être étendue par le montage de plusieurs détecteurs (jusqu’à 10) en parallèle maître-maître. A noter son indice de protection élevé IP 54 (montage en saillie).Lors du montage, la mesure de luminosité L2 doit respecter la bonne orientation du capteur.3 possibilités de fixation au plafond pour répondre à tous les besoins :Intégré au plafondDans une boîte d’encastrementEn saillieLes réglages s’effectuent à l’aide de la télécommande theSenda B et de l’appli smartphone theSenda Plug.
Il y a 3 ans et 142 jours

Nouvelle offre RSOFT Bas Carbone PRÉMURS & PRÉDALLES de RECTOR pour la sobriété carbone de la structure des bâtiments

La décarbonation de la construction est un enjeu majeur de la nouvelle réglementation environnementale (RE 2020). La Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC) ambitionne pour le secteur du bâtiment une réduction de ses émissions de près de 50% d’ici 2030 (par rapport au niveau de 2015). Dès la phase de construction, tous les composants voient leur empreinte carbone quantifiée et additionnée pour constituer l’impact environnemental global du bâtiment. Cet indicateur réglementaire, soumis à un seuil maximal dans le cadre de la RE2020, sera par ailleurs revu à la baisse tous les trois ans. C’est dans cette optique de sobriété carbone, initiée il y a tout juste un an avec ses premiers Prémurs béton bas carbone, et pour marquer son propre engagement dans la lutte contre le réchauffement climatique que RECTOR crée aujourd’hui Rsoft, une offre de prémurs et prédalles bas carbone. Une large gamme de produits et systèmes préfabriqués bas carbone pour répondre à tous les projets de construction Fruit d’un travail de recherche et développement sur l’impact carbone de ses produits, l’offre Rsoft Bas Carbone de RECTOR se compose de systèmes constructifs qui garantissent un bilan carbone nettement réduit tout en améliorant la productivité, la sécurité et l’efficacité des chantiers : . Prédalles BA Rsoft, pour un bilan carbone allégé à tous les étages ; . Prémurs Rsoft : en infrastructure ou superstructure les verticaux profitent d’une meilleure empreinte environnementale ; . Thermoprédalles BA 0,45 Rsoft, la solution de plancher préfabriqué à rupteurs thermiques intégrés qui contribue à la réduction des consommations d’énergie et lutte contre les émissions de gaz à effet de serre ; . Prédalle SPD Rsoft en association avec le plancher-dalle Caméléo pour une structure à l’empreinte environnementale optimisée. Rsoft, des matériaux sobres aux performances garanties Pour alléger l’empreinte environnementale des constructions neuves, l’offre Rsoft Bas Carbone de RECTOR est basée sur l’économie circulaire. Elle intègre, en effet, des formulations béton à faible intensité carbone, des armatures issues d’aciers recyclés et profite d’un processus de fabrication et d’étuvage optimisé afin de garantir la qualité et la performance de ses produits. Ses performances sont certifiées par des FDES, disponibles sur la base INIES. Rsoft, tous les atouts de la préfabrication béton L’offre de prédalles et prémurs Rsoft Bas Carbone offre tous les avantages de la préfabrication : . une mise en œuvre rapide, . des délais d’exécution maîtrisés, . une qualité de parement optimale, . des performances structurelles de l’ouvrage inchangé et identique à des produits en béton classique. A ceux-ci s’ajoutent : . la garantie sur les gains carbone annoncés grâce à un process de qualité industrielle, . une résistance à jeune âge du béton maîtrisée en usine et garantie à la livraison sur chantier. L’ensemble de l’offre Rsoft Bas Carbone de RECTOR est disponible sur l’ensemble du territoire grâce au maillage industriel national du fabricant. Cette proximité participe également à la réduction de l’empreinte environnementale liée au transport.http://www.rector.fr/
Il y a 3 ans et 142 jours

Edilians se réorganise

Le numéro un français de la tuile en terre cuite annonce la création d’un pôle dédié au développement d’une offre systèmes complète au service de l’éco-habitat et une réorganisation de son équipe commerciale.
Il y a 3 ans et 143 jours

Vinci "réfléchit" à une évolution de sa gouvernance

Le mandat d'administrateur comme ceux de président et de directeur-général de M. Huillard, qui fêtera ses 68 ans en juin 2022, arrivent à échéance en avril lors de la prochaine assemblée générale des actionnaires et le conseil "réfléchit" à l'évolution éventuelle de la gouvernance, mais sans changer les statuts du groupe, a indiqué M. Huillard lors d'une rencontre avec la presse lundi.Les statuts actuels de Vinci prévoient une limitation à 70 ans pour les fonctions de directeur général, et à 75 ans pour la fonction de président, a-t-il rappelé."Une éventuelle dissociation des fonctions lors du prochain mandat n'est pas écartée" a-t-il dit, tout en minimisant un effet de "mode" actuel qui imposerait une telle mesure dans le monde anglo-saxon."Le monde grand-breton est favorable à une dissociation des fonctions, mais pas le monde américain" a-t-il relevé, relevant qu'en France, la tendance actuelle observée au sein de grands groupes du CAC40 (L'Oréal, Saint-Gobain, ou Air Liquide) à scinder les deux fonctions permettait surtout de réaliser des transitions en douceur entre les anciens PDG et leurs "poulains"."C'est un sujet sensible qui dépend de l'histoire de l'entreprise et de la phase dans laquelle elle se trouve" a-t-il estimé. "A supposer que le conseil décide de me proposer un renouvellement de mon mandat en assemblée générale en avril 2022, je serais confirmé PDG, mais je quitterais mon poste de DG en cours de mandat, car le groupe n'a pas l'intention de changer les statuts" a-t-il dit, estimant "pouvoir être utile en tant que président"."Il faut se mettre au service exclusif du nouveau directeur général, accepter de ne plus prendre personne au téléphone, cela suppose une vraie générosité et une volonté de réussir" a-t-il commenté.Le géant français du bâtiment et des infrastructures doit annoncer le 4 février ses résultats annuels 2021.Jusqu'au 3e trimestre, la crise du Covid a fortement marqué Vinci, la construction, notamment en France, restant soutenue par les chantiers du grand Paris Express, alors que la branche Aéroports pâtissait de la crise sanitaire et de l'effondrement du trafic aérien mondial."Est-ce-que cette forme de mobilité a ou non des potentiels de développement ? Notre réponse est oui, à condition que la filière se décarbone" a dit M. Huillard, en citant "deux aéroports au Japon déjà neutres en carbone", et le projet de celui de Lyon de le devenir en "2026".Vinci, qui exploite au total 53 aéroports dans 12 pays, vient d'annoncer le rachat de sept concessions aéroportuaires au Brésil, dont Manaus. "Sans aéroport, dans l'Amazonie, ils sont morts" a-t-il dit.
Il y a 3 ans et 143 jours

Europan 16 : Le pari du vivant, projet lauréat pour l'agglomération de Douai

  Dans les environs de Barcelone, sous les tentures de la mythique « Fabrique », cimenterie devenue agence d'architecture luxuriante, il a conçu des projets titanesques livrés aux quatre coins du monde. En France, de Noisy-le-Grand à Montpellier, en passant par Paris, l'architecte Ricardo Bofill, fieffé homme d'affaires, a […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 143 jours

10 ans de Clareo, retour sur une success story

Ce bilan démontre à lui seul une belle success story : Clareo réalise en 2021 un chiffre d’affaires de 25 millions d’euros, possède un espace de stockage de plus de 20.000 m2, emploie 70 personnes, et commence à se développer à l’international.En 10 ans, la société a réussi à se créer une place d’acteur référent sur le marché de l’éclairage LED, avec un positionnement unique de fabricant et distributeur.Ainsi, cet anniversaire marque une décennie de croissance, de partage et d'engagement pour offrir le meilleur de l’éclairage LED.10 ans chez ClareoUn chiffre d’affaires multiplié par 100 Depuis sa création, la société connaît au minimum, tous les ans, une croissance à deux chiffres. 2021 ne déroge pas à la règle, car la société a réalisé, en dépit de la conjoncture, 33% de croissance et un chiffre d’affaires de 25 millions d’euros. Clareo enregistre d’ailleurs cette année la plus forte croissance du marché de l’éclairage LED.Plus de 2 000 références produits développéesUn seul produit en 2012, 84 en 2013 et Clareo propose aujourd'hui une gamme de 2.000 références produits dont 250 conçues pour la seule année 2021. La société développe au quotidien des produits de plus en plus innovants avec l’émergence du Smart lighting et des bâtiments intelligents. Plus de 4 millions de produits vendus Sur ce plan, l’évolution de Clareo est également impressionnante. En 10 ans, la société a multiplié par 60 le nombre de produits vendus. Pour la première fois en 2021, le million de produits vendus est dépassé. 190 « Grands Projets » réalisésEn 2014, Clareo enregistrait pour la première fois un "Grand Projet", d’un montant de 70.000€ ; 4 "Grands Projets" étaient quant à eux réalisés en 2015. Cette période est révolue puisqu'en 2021, ce sont 57 "Grands Projets" qui ont été signés. Clareo accompagne donc au quotidien ses clients sur tous les projets possibles, que ce soit du retail à l’industrie en passant par les bureaux, les hôtels, ou le résidentiel. Des équipes commerciales et techniques parmi les plus importantes du marchéClareo fêtera son 10ème anniversaire entouré de ses 70 collaborateurs. Aujourd’hui, la société compte 35 commerciaux et 15 ingénieurs et possède donc l’une des plus importantes équipes commerciales et techniques en France du marché de l’éclairage LED. Un développement européen déjà lancéLa success story de Clareo ne serait évidemment rien sans le soutien et la confiance de ses clients. Clareo accompagne au quotidien ses clients installateurs électriques comme SPIE, ENGIE, VINCI, mais également des promoteurs, architectes et prescripteurs. Depuis 10 ans Clareo a de très belles références comme le siège de France Télévision, les caves de Moët et Chandon ou encore l’Hôpital Européen Georges Pompidou. Les futures ambitions Afin de poursuivre sa révolution, Clareo a de nombreuses perspectives pour l’année 2022. En effet l’entreprise va poursuivre son développement à l’international tout en continuant à répondre à la demande en France en s’axant vers le Smart lighting. Enfin, consciente des enjeux actuels, l’entreprise souhaite mettre au cœur de son développement la problématique du développement durable.
Il y a 3 ans et 143 jours

Rénovation de maison : à qui confier les travaux ?

La réhabilitation d’un logement est un grand projet qui ne doit pas être pris à la légère. Si vous voulez un travail soigné, on vous conseille de faire appel à une entreprise de rénovation de maison. Celle-ci est en mesure de vous accompagner tout au long de la réalisation. Elle vous donnera aussi de précieux conseils pour améliorer votre confort, optimiser votre sécurité et embellir votre propriété à prix réduit. Mais pour choisir correctement les artisans qui prendront en charge votre chantier, vous devez aussi bien analyser la question. Solliciter les services d’un spécialiste en restauration Si vous voulez des garanties sur le résultat de votre projet, il vaut mieux demander les prestations d’un professionnel. Sachez que cette opération ne doit pas être laissée au hasard et chaque détail doit être soigneusement pris en compte. Pour éviter les éventuelles mauvaises surprises, il est recommandé de faire appel à une entreprise de rénovation maison expérimentée. Mettre les travaux entre les mains d’un expert vous permettra de bénéficier d’une exécution soignée et en toute tranquillité. En outre, la réalisation de cette opération nécessite des compétences particulières. Pour répondre à toutes vos exigences, vous devez contacter des experts en électricité et en plomberie. Mais vous devez aussi trouver des spécialistes en équipement de chauffage, en isolation, en étanchéité, etc. Par conséquent, confier votre restauration à une équipe compétente, c’est la garantie d’une intervention de qualité. Le choix entre un architecte et un constructeur Si vous recherchez un artisan professionnel qui vous aidera à restaurer votre maison, vous pouvez contacter un architecte. Il vous proposera ses aides pour remettre en état votre logement. Polyvalent, il gèrera assurément votre projet de réhabilitation selon les règles d’art. Il innovera également votre habitation en fonction de votre budget et de vos demandes. Il étudiera l’état des lieux, diagnostiquera le bâti et déterminera les tâches à entreprendre. Pour rénover un grand bâtiment, ses connaissances sont toujours indispensables. Mais vous pouvez aussi demander les services d’un constructeur pour réaménager votre immobilier. Il s’occupera des lourds travaux, de la démolition de murs ou du désencombrement. De même, avec son savoir-faire, il est à même de vous créer un plan sur mesure. Si nécessaire, il peut aussi se charger des démarches administratives et des finitions. Tout dépend donc du genre de remise à neuf que vous voulez réaliser. Mais en tout cas, différents corps de métier interviennent jusqu’à l’achèvement du chantier. Trouver l’expert idéal D’innombrables sociétés sont présentes sur le marché. Pour éviter les éventuelles mauvaises surprises, faites votre recherche en vous basant sur certains critères. Le type de rénovation à faire dépend de l’étude effectuée par le professionnel qui s’occupe de l’état des lieux. Après avoir établi vos paramètres de choix comme la carte d’identité de l’entreprise, sa notoriété et ses anciennes réalisations, vous pouvez demander des devis. Cela vous permettra d’avoir une idée plus précise sur l’ampleur des travaux et les prix pratiqués. Puis, choisissez l’offre qui convient le mieux à vos exigences. Et surtout, n’hésitez pas à étudier chaque tarif avant de vous engager. C’est le moyen le plus approprié pour faire des économies sur votre réhabilitation.
Il y a 3 ans et 143 jours

La fréquentation des aéroports parisiens meilleure qu'en 2020, mais encore faible

Près de 42 millions de passagers sont passés par Roissy-Charles-de-Gaulle et Orly l'année dernière, une augmentation de 26,8% par rapport à 2020, a précisé le Groupe ADP, leur gestionnaire, dans un communiqué.Les installations ont connu en 2021 une "reprise progressive, conformément aux prévisions", a résumé l'entreprise contrôlée par l'État français, et partie de très loin puisqu'en 2020, le trafic des aéroports parisiens s'était effondré de 69,4% sur un an.ADP avait estimé que la fréquentation des aéroports de Roissy-Charles-de-Gaulle et d'Orly atteindrait entre 30 et 40% de celle de 2019 l'année dernière, encore marquée par des vagues épidémiques et des fermetures de frontières, en particulier en Asie et en Amérique du Nord.Cette dichotomie se retrouve dans les chiffres de Roissy et d'Orly : le premier aéroport a pâti de sa spécialisation dans les long-courriers et n'a retrouvé en 2021 que 34,4% du trafic de 2019, la hausse sur un an n'ayant été que de 17,7%.En revanche, Orly, qui dessert surtout les lignes intérieures, européennes et les territoires d'outre-mer, a vu sa fréquentation bondir de 45,6% sur un an, pour atteindre 49,4% du trafic de 2019.Toujours dans les aéroports parisiens, le niveau de trafic varie énormément selon les liaisons : les lignes en France métropolitaine ont atteint en 2021 52,7% de leur niveau de 2019, après avoir crû de 26,6% sur un an. Le chiffre est encore meilleur vers les territoires d'outre-mer : 63,6% de l'avant-crise, grâce à une progression de 16,3%.Asie en berneEn revanche, le trafic en dehors des frontières reste bloqué à environ un tiers du niveau de 2019, qu'il s'agisse des liaisons intra-européennes (37,8%) ou au-delà du Vieux Continent (34,9%). Toutes les destinations enregistrent néanmoins de fortes progressions en volume sur un an, à l'exception de l'Asie-Pacifique, où de nombreux pays sont restés fermés aux voyageurs (-51,8% sur un an).Le Groupe ADP gère également une vingtaine d'aéroports dans le monde, du Chili à la Jordanie. Pour l'ensemble du périmètre, ses équipements ont vu passer en 2021 un total de 160 millions de passagers, également une amélioration (+37,2%) par rapport à 2020, pour atteindre 45,6% du niveau de 2019.Là aussi, ADP a tenu l'objectif énoncé fin juillet 2021, soit entre 40 et 50% du total d'usagers d'avant la pandémie qui a mis le secteur aérien mondial à genoux.Sur l'ensemble des installations gérées par ADP dans le monde, la dégringolade de la fréquentation avait atteint 60,4% en 2020 par rapport à 2019.Le groupe ADP publiera ses résultats financiers annuels 2021 le 16 février prochain. Il a subi au premier semestre de l'année dernière une perte nette de 172 millions d'euros, après un exercice 2020 dans le rouge de 1,17 milliard d'euros, malgré des mesures drastiques incluant des fermetures de terminaux et un plan d'économies tous azimuts incluant une nette réduction de ses effectifs.Dans l'immédiat, le groupe n'a pas donné de prévisions pour l'année qui vient de commencer et dont le début est marqué par le variant Omicron du Covid-19, très contagieux.Cette énième vague épidémique a provoqué de nouvelles restrictions de mouvement dans le monde et sapé une tendance à la reprise graduelle du transport aérien européen qui s'était installée depuis l'été 2021, s'est inquiété jeudi dernier l'organisme de surveillance du trafic Eurocontrol.Cette érosion ne transparaît pas franchement dans les chiffres d'ADP pour décembre : les aéroports parisiens ont retrouvé 64,5% de leur trafic de 2019, après un mois de novembre à 65,5%, au plus haut depuis le début de la crise du Covid-19 en Europe en mars 2020.
Il y a 3 ans et 143 jours

Paris retrouve sa poste rue du Louvre, mais plus 24 heures sur 24

L'immense bâtiment, achevé en 1888, couvre tout un pâté de maisons à deux pas des Halles. Derrière sa fière façade de pierre se cache un fleuron de l'architecture industrielle de la fin du XIXe siècle, avec notamment une armature métallique que la restauration a magnifiée."Ce qui nous a guidé, c'est évidemment le patrimoine", a expliqué l'architecte Dominique Perrault, choisi en 2012 pour restructurer les lieux, lors d'une brève cérémonie d'inauguration la semaine dernière."Le baron Haussmann (qui a transformé Paris sous le Second Empire, ndlr) ne voyait pas d'un oeil ravi l'apparition d'une usine proche du Louvre et l'architecte Julien Guadet a apporté une réponse tout à fait extraordinaire : il a monumentalisé l'usine de l'époque, il lui a donné une dimension tout à fait urbaine, tout à fait exceptionnelle", a-t-il raconté, estimant que l'édifice rappelait plutôt les immeubles du sud de Manhattan, à New York."Cet héritage, nous avons voulu le protéger, mais aussi l'intégrer, l'insérer, le projeter (...) dans l'avenir, afin d'y accueillir non seulement La Poste, mais aussi d'autres usages", a-t-il expliqué.Le centre de tri qu'accueillait le bâtiment --une véritable usine-- est depuis longtemps parti en banlieue, et les quantités de lettres transportées ont fondu. Le groupe public, toujours propriétaire des lieux, a donc trouvé des locataires, qui lui permettront d'occuper l'espace et d'amortir les 150 millions d'euros qu'a coûté le chantier. "La Poste du Louvre est un lieu emblématique de la capacité de notre groupe à se transformer", décrit le PDG de La Poste Philippe Wahl.Dernière levée à 18H00Un hôtel de luxe a déjà ouvert ses portes. Appelé "Madame Rêve", il ouvrira au printemps un bar offrant une vue imprenable sur le centre de Paris, installé sur le toit arboré. Le programme immobilier comprend aussi des logements sociaux, un commissariat, des bureaux, une halte-garderie et treize commerces thématiques, que La Poste veut "conceptuels".L'immeuble se déploie désormais sur neuf niveaux pour un total de 32.000 m2 de surface de plancher, tandis que la cour centrale est devenue un patio ouvert sur les rues adjacentes.La Poste va y reloger la partie banque privée de La Banque Postale, et aménage pour Colissimo un vaste espace dédié à la logistique urbaine, au sous-sol où étaient installées les écuries jusqu'en 1908."Les colis vont arriver en véhicule électrique et repartir à vélo" pour être distribués dans quatre arrondissements parisiens, note Nicolas Fournel, directeur de projets à Poste Immo.Et puis, bien sûr, il y a le retour du bureau de poste, qui était fermé depuis 2015. Il est resté dans la mémoire des Parisiens qui s'y précipitaient pour envoyer leur déclaration d'impôt au dernier moment, le cachet de la poste faisant foi."Après six années de travaux, nous renouons avec la tradition d'une poste très accessible. Nous sommes sur une combinaison du patrimonial et de la modernité", insiste Nathalie Collin, directrice du réseau et du numérique.Le décor des années 1960 a disparu pour faire place à un espace très contemporain, lumineux, ouvert tant sur la rue que sur la cour intérieure.Cette restauration radicale a néanmoins permis de retrouver les peintures originales du plafond.Les traditionnels guichets ont disparu, à l'exception d'un unique bureau au fond, près de la vitrine philatélique. A leur place, des bornes de vente et des écrans multimédia attendent les clients, de même qu'une vénérable estafette Citroën, transformée en mini-salle d'examen pour passer le code de la route."Des chargés de clientèle vont être au plus près des clients (...) en se déplaçant avec leur smartphone pour répondre à leurs besoins", explique la directrice du bureau Linda Prince.Le bureau ne sera plus ouvert 24 heures sur 24, mais de 08H00 à minuit du lundi au samedi, et de 10H00 à minuit le dimanche. La dernière levée est à 18H00, comme dans les autres postes parisiennes, mais il sera toujours possible de faire tamponner son courrier jusqu'à la fermeture avec le cachet du jour, précise La Poste.
Il y a 3 ans et 143 jours

Création d'un pôle Edilians Energie Environnement

ORGANISATION. Le spécialiste de la toiture, Edilians, annonce la création d'un nouveau pôle : Edilians Energie Environnement. Aux commandes de celui-ci, on trouve Olivier Delattre.
Il y a 3 ans et 143 jours

L’avenir radieux de l’architecture, en liberté conditionnelle

À cause du Covid, nous avons pris l’habitude d’écouter de faux prophètes et des Cassandre à la petite semaine. En témoignent tous ces titres d’articles, au conditionnel, tous plus alarmistes les uns que les autres et rédigés de la sorte : « Si la courbe continue sur sa lancée, le pays pourrait compter plus de dix millions […] L’article L’avenir radieux de l’architecture, en liberté conditionnelle est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 143 jours

Plan de relance : le Gouvernement estime que certains objectifs sont déjà "atteints"

ÉCONOMIE. En faisant un point d'étape sur le déploiement du plan France Relance, l'exécutif a rappelé que 72 milliards d'euros, sur les 100 initialement prévus, ont déjà été engagés. En matière de transition écologique, l'accent mis sur les chantiers de rénovation énergétique et la lutte contre l'artificialisation des sols porterait ses fruits.
Il y a 3 ans et 143 jours

Bureaux : les investissements ont chuté de 18% en Ile-de-France

TERTIAIRE. Le bilan annuel du conseil en immobilier tertiaire Knight Frank montre que la première région de France est confrontée à la fois à une suroffre et à l'obsolescence d'une large partie du parc de bureaux. Les centres commerciaux sont également en berne partout sur le territoire, tandis que la logistique explose.
Il y a 3 ans et 143 jours

Présidentielle : Terra Nova au rapport sur le logement

La campagne présidentielle va s’intensifier dans les prochaines semaines. Le sujet du logement n’émergera pas, comme il est à regretter à chaque campagne. Le sujet, peu clivant et technique, n’inspire pas les candidats. Le logement est cependant l’objet de notes, rapports, etc. qui vont ponctuer ce début d’année 2022. Lecture du rapport de Terra Nova, […] L’article Présidentielle : Terra Nova au rapport sur le logement est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 143 jours

A Belfort, Eiffage réalise la première station d'hydrogène renouvelable

CONTRAT. Eiffage Energie Systèmes – Clemessy a remporté le marché clé en main pour la conception et la réalisation du site de production et de distribution d'hydrogène qui sera mis en service au printemps 2023.
Il y a 3 ans et 143 jours

Le Serce s'allie à une jeune pousse pour donner de la visibilité à ses métiers

FORMATION. Comment attirer davantage de jeunes vers les métiers d'avenir de la transition énergétique et numérique ? Le Serce a décidé de se tourner vers une jeune pousse nantaise pour cela.
Il y a 3 ans et 143 jours

Urgence climatique : Syntec-Ingénierie appelle au déploiement rapide du jumeau numérique

À l’occasion d’InfraBIM Open, congrès international dédié à la transformation digitale des Infrastructures, qui débute ce lundi 10 janvier, Syntec-Ingénierie se positionne résolument en faveur du déploiement du jumeau numérique. À travers une note de position et une vidéo, les entreprises d’ingénierie mettent en pleine lumière les nombreux atouts du jumeau numérique au regard de l’urgence climatique. Elles appellent à généraliser son usage au plus vite, aussi bien dans le bâtiment, l’industrie, que les infrastructures, pour atteindre la neutralité carbone.Le jumeau numérique, un levier d’action majeur pour lutter contre le dérèglement climatiqueAvec l’adoption de la première Stratégie Nationale Bas-Carbone en 2015, la France s’est engagée à atteindre la neutralité carbone en 2050. Alors que de nombreux progrès restent à faire, Syntec-Ingénierie appelle à déployer massivement l’usage du jumeau numérique. Encore trop peu utilisé, cet outil technologique innovant jouit pourtant d’un énorme potentiel : il permet de réduire au minimum l’empreinte carbone de tous les ouvrages. Véritable clone d'un ouvrage réel, il améliore la gestion de son cycle de vie, à toutes les étapes et en temps réel.Dans sa note de position, publiée à l’occasion d’InfraBIM Open, les entreprises d’ingénierie énumèrent ses avantages, en particulier :En phase de spécification et de conception préliminaire ou détaillée, il aide dès l’initialisation du cycle de développement à objectiver les exigences attendues et à prévoir les coûts d’investissement et d’exploitation.En phase de prototypage, il permet d’optimiser les performances en les simulant de manière prédictive à partir de modèles multi physiques ou comportementaux dédiés.En phase de chantier ou d’industrialisation, il peut intégrer des modèles destinés à améliorer respectivement la construction et la chaîne de fabrication.En phase d’exploitation, couplé aux données collectées dans l’environnement opérationnel, il permet de se corriger et de s’ajuster aux comportements réels de l’ouvrage, pour en améliorer les usages.Un levier technologique complexe, parfaitement maîtrisé par l’ingénierie systèmeOptimisation des flux, réduction drastique des quantités de matériaux et des ressources utilisés… À titre d’exemple, la rénovation du lycée Bréquigny à Rennes par l’intermédiaire du jumeau numérique a permis de diviser par 2 le prix au mètre carré, et par 2,5 l’empreinte carbone des produits de construction, par rapport à la construction d’un bâtiment neuf. Si le jumeau numérique est un outil puissant, Syntec-Ingénierie insiste néanmoins sur le fait qu’il est un outil complexe. Et rappelle que l’ingénierie système détient toutes les compétences nécessaires pour en exploiter le plein potentiel.Pour Blaise Sola, Pilote du GT Jumeau Numérique/Climat de Syntec-Ingénierie : « Parmi la multitude d’acteurs qui interviennent dans la réalisation des ouvrages, des installations industrielles et des bâtiments, l’ingénierie se démarque par son rôle de pilote méthodologique. Les entreprises d’ingénierie ont, en effet, la particularité d’intervenir tout au long du cycle de vie des ouvrages Fortes de leur vision d’ensemble des systèmes complexes et dynamiques, elles sont en première ligne pour opérer le jumeau numérique et appellent aujourd’hui à son déploiement rapide, au regard de ses multiples potentialités. »
Il y a 3 ans et 143 jours

Déchets du bâtiment : tous responsables

Un décret publié le 31 décembre 2021 encadre la mise en place de la filière des déchets du bâtiment. Photo © Valdelia
Il y a 3 ans et 143 jours

Les lauréats du 4ème challenge Start-Ups Construction Tech de Batimat

Quatre lauréats (Buildrz, Traxxs, Bimeo et Stockpro) ainsi qu’un Grand Lauréat (Ioga) ont émergé des délibérations. Le jury a par ailleurs tenu à saluer d’une mention spéciale « Prix du Jury » la start-up Optimiz Construction.Le Grand Lauréat sera présent sur l’espace Construction Tech à BATIMAT.Les 50 start-ups inscrites au 4ème Challenge Construction Tech seront également intégrées à l’Annuaire digital des Start-Ups . Cet outil exclusif a été développé par BATIMAT pour faciliter la mise en relation entre les start-ups et les autres acteurs du Bâtiment et de l’Immobilier et compte à date près de 300 start-ups.Grand lauréatIOGA (Catégorie : Data)IOGA est une start-up qui révolutionne le « Knowledge Management » avec la smart vidéo. L’objectif de IOGA est de partager les meilleurs pratiques, les savoir-faire des entreprises pour répondre aux enjeux de la formation. Convaincu que la transmission des compétences et sa diffusion aux équipes est le seul moyen pour s’adapter à un environnement en pleine transformation, IOGA a déjà convaincu des majors (SPIE, VINCI, Eiffage, GCC) séduites par la possibilité de pouvoir partager l’expertise et le savoir-faire de leurs équipes terrain. Pour démultiplier la collecte des connaissances, IOGA a choisi le procédé de l’auto-interview. Un scénario de questions/réponses, adapté au projet vidéo, guide la captation. Le collaborateur, le sachant, joue à la fois le rôle de l'interviewer et de l'interviewé.LauréatsBIMEO (Catégorie : Réalité augmentée)BIMEO est la première application de scan 3D des bâtiments existants utilisant la réalité augmentée sur smartphone. Les différents acteurs du projet sont informés lors d'une modification et peuvent ajouter leur contribution technique. BIMEO développe des outils d'acquisition, de structuration et de partage de la donnée technique des bâtiments existants. Depuis plus de 5 ans BIMEO a structuré son offre produit autour de l’exploitation et la gestion de la donnée technique dans les bâtiments. Quels que soient les acteurs (architectes, maîtres d’œuvre, maîtres d’ouvrage, gestionnaires de parc immobilier, diagnostiqueurs, experts, entreprises ou tout autre professionnel ...) la donnée doit être unifiée, enrichie et partagée pour optimiser les process et améliorer la qualité. C’est sur ce principe de « LEAN » que BIMEO déploie ses outils pour faciliter le travail des professionnels.BUILDRZ (Catégorie : IA)Buildrz est la plateforme digitale qui permet aux maîtres d'ouvrage de simuler en 3D les opérations futures et leurs enjeux financiers, dans le but de construire une relation unique avec le propriétaire et la collectivité. Fort de plusieurs années de recherches fructueuses (maquette numérique 3D, simulation et optimisation de constructions, big data), Buildrz bouleverse les pratiques des grands acteurs du secteur :Pour les architectes et le BTP, la solution propose de développer sur du foncier des opérations exemplaires qui correspondent aux aspirations des jeunes, des familles, des actifs, etc... des grandes villes.Pour les opérateurs qui construisent (bailleurs, promoteurs...) elle permet de réorganiser, moderniser et donner de l’élan aux équipes de développement.Pour les collectivités, elle donne de la puissance à leurs politiques logement, foncier et urbanisme, aide à préparer les négociations avec les opérateurs et à se doter d’outils pour échanger avec élus, directeurs, partenaires, associations.STOCKPRO (Catégorie : Digitalisation des entreprises)La plateforme StockPro permet aux acteurs du BTP de digitaliser, enrichir, structurer l’ensemble des matériaux neufs non utilisés, puis d’activer et de piloter leur réemploi sur plusieurs canaux marchands.TRAXXS (Catégorie : IOT)TRAXxs conçoit et commercialise des solutions de protection active des travailleurs (type PTI/DATI) intégrées à des semelles connectées, qui s’insèrent directement dans des chaussures de sécurité, et fonctionnent sans smartphone ou autre accessoire. La mission de TRAXxs est de proposer une solution innovante, efficace, simple d’usage pour protéger les travailleurs ayant des activités dites « à risques ». Pour ce faire les semelles embarquent l’équivalent de la technologie d’un smartphone dans quelques millimètres d’épaisseur. Un choix audacieux au démarrage mais qui constitue aujourd’hui un vecteur de différenciation majeure pour assurer la sécurité des travailleurs.Mention spéciale : Prix du juryOPTIMIZ CONSTRUCTION (Catégorie : IA)Avec son logiciel inédit, Optimiz Construction aide les entreprises de gros-œuvre à gagner 20 % de performance sur leur poste de ferraillage en optimisant les matériaux et la mise en œuvre. Le logiciel simule, en quelques minutes, le plan de découpe et les coupes de panneaux standard. Un plan de calepinage est ensuite édité, accompagné d’étiquettes biodégradables de couleurs différentes selon les nappes. La traçabilité est ainsi totale. La solution garantit 3 performances :Environnementale : réduction des déchets, de l'empreinte carbone et des rotations de bennes,Économique : réduction des quantités de matériaux standards à commander et du temps de mise en œuvre sur le chantier,Applicative : simplification des plans de poses, réduction de la découpe chantier et des déplacements.
Il y a 3 ans et 143 jours

Comment flécher l'épargne vers des investissements de long terme

La Caisse des Dépôts publie ce jour un rapport composé de 21 mesures visant à réorienter l'épargne vers des investissements de long terme afin de financer les transitions écologique, démographique...
Il y a 3 ans et 143 jours

Alerte sur les défaillances d'entreprises de la construction pour l'année 2022

ÉCONOMIE. Si le nombre de défaillances d'entreprises a atteint l'année dernière un plus bas depuis 35 ans, le 4e trimestre 2021 a néanmoins soulevé un point de vigilance : tous secteurs d'activité, les procédures ont bondi de 9% au mois de décembre, la grande majorité des régions se retrouvant désormais dans une situation défavorable. Et les voyants passent notamment au rouge pour le secteur de la construction.
Il y a 3 ans et 143 jours

L'aide de l'Etat MaPrimRénov reconduite en 2022

Le site web FranceRénov devient le guichet unique pour l'ensemble des aides à la rénovation énergétique. (Photo  © credit master 1305)
Il y a 3 ans et 143 jours

L'école française du béton prorogée de cinq ans

FORMATION. L'école française du béton a été prorogée pour cinq années supplémentaires, fin 2021. Une nouvelle équipe de direction a par ailleurs été mise en place.
Il y a 3 ans et 143 jours

Soprofen affiche une nouvelle identité visuelle

Acteur majeur sur le marché de la fermeture, SOPROFEN opère en 2022 un changement de son logo et adopte une nouvelle identité visuelle. En adéquation avec la stratégie de développement de l’entreprise, cette évolution fait écho à sa volonté d’expansion à l’échelle européenne. Si le nouveau logo conserve la griffe apparue en 2009, garantie de qualité de fabrication présente sur tous les produits, il affiche désormais 4 pictogrammes inédits. Ceux-ci illustrent l’ensemble des activités de l’entreprise : volet roulant, porte de garage, protection solaire et moustiquaire. Du passé, SOPROFEN a souhaité garder la couleur bleue reconnaissable depuis de nombreuses années par ses clients et qui figure parmi les coloris préférés des français. Elégante et technique, cette teinte, associée au jaune de la griffe, incarne le dynamisme, la créativité et l’innovation qui animent l’entreprise. Evoquant aussi le drapeau européen, elle traduit la dimension et la volonté d’expansion du fabricant. Autre changement significatif, SOPROFEN ayant rejoint le groupe Bouyer Leroux en 2019, la baseline Soprofen Network, bannière qui réunissait les différentes marques fermetures de SOPROFEN, disparaît. A la fois moderne et simple, le nouveau logo sera décliné sur tous les supports de la marque. http://www.soprofen.fr/
Il y a 3 ans et 143 jours

Nouvelle année, nouvelle allure : préparer , nettoyer, les solutions Owatrol pour un bois magnifié

Le bois est une matière vivante et les bois d’extérieur qui sont soumis aux agressions quotidiennes (climat, usage répété...) requièrent une attention spécifique pour garantir leur pérennité. Il ne faut surtout pas penser qu’une fois un bardage posé ou une terrasse installée, « le plus dur est fait et que nous verrons plus tard pour la finition », de même qu’improviser ou se passer de l’étape nettoyage avant l’application d’une finition est très dommageable. La magie dans la vraie vie, cela n’existe pas et sans précaution, sans entretien, sans protection, rien ne tient.Deux recommandations incontournables :Toujours travailler sur un support propre.Toujours analyser l’état du bois avant toute décision de nettoyage ou de protection.Pourquoi l’analyse est-elle si importante avant toute action ?Les bois ne vieillissent pas tous de la même façon suivant leur essence, leur exposition, leur finition, leur usage. Ils subissent les UV, les intempéries, l’usure des passages répétés... Certains ont des protections, d’autres pas. Suivant leur nature, leur état et leur aspect, le diagnostic est différent. Et prendre une mauvaise décision, sans faire d’analyse en amont peut amener à faire deux fois le travail...Petit guide d’analyse et du choix des options pour nettoyer les bois :Bois gris et terne ayant simplement vieilli aux intempéries : il faut dégriserBois noirci, encrassé : il faut déshuilerBois recouvert d’une ancienne finition très filmogène, type peinture ou lasure : il faut décaper.Les solutions OwatrolNettoyer/dégriser :Le bois présente un aspect gris sale, il a en général été laissé aux intempéries sans protection ou avec une finition non filmogène. Il a uniquement subi le cycle de vieillissement « eau + UV + pollution » : il faut dégriser pour raviver, nettoyer et redonner son aspect d’origine au bois.Comment ? NET-TROL® 200 : Il agit sur tous les bois, sa formule en gel facilite son application et son pouvoir ultra mouillant lui permet d’agir en 15 minutes.Le plus : NET-TROL® 200 élimine également les coulures et les traces de tanin sur certains bois (ex : red cedar).Déshuiler :Le bois est noirci, encrassé car il a reçu une finition huilée en amont, souvent mal adaptée (huile de lin, voire huile de vidange ... !). Les huiles appliquées cuisent sous l’action des UV et avec l’eau s’incrustent dans le bois qui noircit en profondeur. Poncer ne suffira pas et ne fera pas faire d’économies : Il faut désencrasser et agir en profondeur pour enlever les anciennes huiles colmatées.Comment ? le déshuileur NET-TROL® 400 rend solubles les huiles ou les saletés incrustées dans le support et laisse, après rinçage et neutralisation, un bois impeccable.Le plus : Grâce à son excellent pouvoir imprégnant NET-TROL® 400 agit rapidement et en profondeur.Décaper :Le bois est lasuré ou peint et doit d’abord être débarrassé de ses multiples couches pour que l’on puisse à nouveau travailler dessus. Il faut donc décaper et l’action du DILUNETT® va permettre d’éliminer toutes les anciennes couches de peintures, lasures ou vernis ainsi que d’enlever les taches récalcitrantes.Comment ? La composition technique du DILUNETT® lui permet de dissoudre tous les revêtements à liant gras et d’éliminer jusqu’à 8 couches de peintures. Grâce à sa texture en gel, il s’applique facilement en vertical et sa formulation à base d’huile de pin lui confère une diffusion optimale sur le support tout en facilitant la perforation du film à décaper.Le plus : Sans solvant, sans C.O.V, non volatil et ne desséchant pas, il reste actif longtemps garantissant l’élimination totale des différents revêtements.NB : Après l’action du NET-TROL® 400 ou du DILUNETT®, il est impératif de stabiliser le support avec une application de NET-TROL® 200 après le rinçage avant l’application de la finition.Pour plus d'information et acheter en ligne consultez :https://www.owatrol.com/
Il y a 3 ans et 143 jours

Avec la création du pôle Edilians Energie Environnement dirigé par Olivier Delattre, Edilians mise sur la technicité du toit pour se développer

Tout en continuant de se concentrer sur son métier historique, Edilians, leader français de la tuile terre cuite, anticipe le futur en mettant en place une nouvelle organisation. Avec la création du pôle Edilians Energie Environnement et la nomination d’Olivier Delattre à sa direction, l’entreprise se dote d’une équipe dédiée au marketing stratégique et au développement d’une offre systèmes complète au service de l’éco-habitat. Olivier Delattre nommé à la tête d’Edilians Energie Environnement A 51 ans, Olivier Delattre vient de prendre la direction du nouveau pôle Edilians Energie Environnement. Membre du comité exécutif, il a en charge le marketing stratégique et la RSE. Il aura pour mission de créer des synergies entre la tuile et tous les éléments de la toiture que sont le solaire, l’isolation, la ventilation, l’étanchéité et la collecte des eaux pluviales. Titulaire d’un diplôme d’ingénieur de l’ICAM et d’un MBA de l’EM Lyon Business School, il bénéficie d’une solide expérience de près de 30 ans dans l’industrie des matériaux de construction en France et à l’international. En 1993, il débute sa carrière en audit interne chez Lafarge, groupe dans lequel il occupe ensuite différentes fonctions de marketing, d’innovation et de développement. En 2014, il rejoint le groupe Knauf Insulation aux postes de Directeur Développement International Produits Marchés puis Directeur Innovation. « Je suis ravi et fier de rejoindre le leader français de la tuile terre cuite et de porter son ambition de façonner un avenir durable en plaçant la toiture au cœur de l’éco-habitat » souligne Olivier Delattre. Pascal Casanova, Président d’Edilians déclare « c’est avec grand plaisir que nous accueillons Olivier Delattre dont la nomination démontre notre engagement en faveur du développement durable et de l’éco-habitat ». Une organisation commerciale France et Export repensée En parallèle à la création du pôle Edilians Energie Environnement, Edilians renforce son engagement de proximité auprès de ses clients couvreurs et négociants. Cette volonté s’illustre par une réorganisation de l’équipe commerciale en s’appuyant sur l’expertise de collaborateurs présents dans l’entreprise depuis plusieurs années. Pilotée par Frédéric Fabien, celle-ci repose désormais sur : • deux Directeurs des Ventes France, Stéphane Ducruet pour le Nord et l’Est et Pierre-Jean Raynaud pour la zone Ouest et Sud, • ainsi que sur Carine Mereni, Directrice des Ventes Export. Quant à Thierry Fajardo, il reste Directeur Régional des Ventes pour la région Sud Ouest. Enfin, pour définir et mettre en œuvre la stratégie commerciale France et Export, Olivier Lafore est nommé Directeur Stratégie Commerciale et Grands Comptes Négoces. http://www.edilians.com/
Il y a 3 ans et 143 jours

Alphi acquiert le Suisse Adria

Alphi acquiert le Suisse Adria. [©Alphi] Dans le cadre de sa croissance externe, le groupe Alphi a fait l’acquisition de 100 % des titres la société Adria, spécialiste de l’étaiement en Suisse depuis 1927. « Un rapprochement naturel des deux entités qui, au-delà de leur expertise métier, partagent un sens aigu du service client », indique Alphi. Avec Adria, le spécialiste savoyard du coffrage et des étaiements intègre en son sein une entreprise presque centenaire, ayant une expertise forte dans l’étaiement et le matériel pour la construction. Fusion avec Alphi Suisse Entreprises familiales à l’origine, Alphi et Adria se rejoignent aussi sur leurs valeurs. Les activités d’Alphi Suisse, filiale créée en 2013, fusionnent avec celles d’Adria pour proposer une offre encore plus large et plus structurée. Avec Adria, Alphi étend son champ d’action sur la Suisse romande et alémanique. Le renforcement des équipes commerciales et la création d’un bureau d’études concourront à améliorer encore le service client. Avec la mutualisation des compétences et du matériel, les clients d’Adria disposeront, en outre, de l’intégralité de l’offre Alphi. Ce qui lui permettra de répondre à tous les types de chantiers. Le parc matériel proposé à la location pour les chantiers suisses double ainsi de taille.
Il y a 3 ans et 143 jours

Hausse de 25% de l'apprentissage en 2021 avec au moins 650.000 contrats

Le chiffre définitif, qui sera connu courant janvier, sera encore plus élevé car des contrats conclus en décembre continueront d'être transmis en début d'année prochaine.Cette hausse avait été de plus de 42% en 2020, avec au final 525.600 contrats recensés pour les secteurs privé et public.Si la progression en 2021 concerne tous les niveaux de diplôme, elle est plus forte dans l'enseignement supérieur, et particulièrement pour les niveaux supérieurs au bac+3 (Master).Accessible aux jeunes de 16 à 29 ans, l'apprentissage repose sur le principe de l'alternance entre enseignement théorique et formation au métier chez l'employeur avec lequel l'apprenti a signé son contrat.Ce développement dans le supérieur a suscité des réserves de la Cour des comptes dans une note publiée mardi."La part des bac+2 et plus est passée de 35% en 2016 à 56% en 2020.L'essentiel des nouvelles places créées a profité aux élèves capables de suivre un cursus long et a peu bénéficié aux publics vulnérables", constate la Cour, pour qui ce choix n'améliore "qu'à la marge l'insertion sur le marché du travail des jeunes les plus diplômés, au demeurant déjà bonne".Au contraire, défend-on au ministère, "cela correspond à une vraie professionnalisation de l'enseignement supérieur". L'apprentissage se développe "fortement dans le tertiaire (comptabilité, gestion, ressources humaines, communication...), un secteur où il est important que les formations soient en lien direct avec le monde de l'entreprise", souligne-t-on."En outre, cela améliore l'image de l'apprentissage qu'il soit ouvert à tous les niveaux de diplômes", ajoute-t-on.La hausse des contrats s'explique notamment par la réforme de 2018, qui a libéralisé l'apprentissage à la fois sur les conditions d'entrée et sur l'offre de formation.Mais elle a aussi été boostée par les aides exceptionnelles décidées pendant la crise et prolongées jusqu'au 30 juin 2022.Cette prime - 5.000 euros pour un mineur, 8.000 pour un majeur - rend le coût de la première année quasi nul pour l'employeur.
Il y a 3 ans et 143 jours

Plus d'aides pour les particuliers victimes de la défaillance de leur assureur dommages-ouvrage

L'Etat a décidé de renforcer la prise en charge des nombreux particuliers victimes d'une défaillance de leur assureur dommage-ouvrage. Photo Russel Holden
Il y a 3 ans et 143 jours

Le bâtiment, tout aussi bon que le cabillaud islandais ?

Dans le bâtiment tout est bon, à condition d’intensifier ses qualités intrinsèques, au moins certaines d’entre elles, dans un projet architectural finement inscrit dans son environnement. Chronique de l’intensité. Hier, c’était le cochon. Dans le cochon, tout est bon. Aujourd’hui, c’est le poisson. C’est un article du Monde* qui nous l’apprend : en Islande, dans le […] L’article Le bâtiment, tout aussi bon que le cabillaud islandais ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 143 jours

CES 2022 : consécration de l’association Thread + Matter

En domotique, la séparation couche de transport / couche applicative s’impose désormais. Plus d’une vingtaine de grands groupes mondiaux ont annoncé au CES des produits utilisant Thread et Matter.
Il y a 3 ans et 143 jours

Méga-enchères en Écosse pour des concessions d'éoliennes en mer

Parmi les principaux candidats et les partenaires ayant été sélectionnés figurent les britanniques BP, SSE et Shell, mais aussi des acteurs internationaux comme les français TotalEnergies et Engie ou encore l'espagnol Iberdrola.L'ensemble des projets représentent presque 25 GW, soit autant que la capacité d'éolien marin aujourd'hui installée en Europe, dont un peu plus de 10 au Royaume-Uni, en tête en Europe, selon les chiffres du lobby européen WindEurope, datant de 2020.Les concessions couvrent un peu plus de 7.000 km2. Dix des projets retenus sur 74 candidatures seront flottants, six seront fixes et l'un des parcs sera mixte.Les lauréats de l'enchère disposent désormais d'une option "leur réservant les droits sur des zones spécifiques de fonds marins", a annoncé lundi dans un communiqué l'organisme public Crown Estate Scotland."Les énergies renouvelables sont clairement la voie à suivre, et cette annonce marque un pas en avant colossal dans l'énergie éolienne offshore au Royaume-Uni", s'est félicité Doug Parr, directeur scientifique de Greenpeace, dans un communiqué.Mais les nouvelles énergies renouvelables "ne suffisent pas à elles seules", a-t-il ajouté, estimant que leur développement doit s'accompagner de progrès sur l'isolation des maisons, l'amélioration du système énergétique et la reconversion des industries à forte émission de carbone.Les autorités estiment que ce premier appel d'offres d'éolien marin en Écosse en plus d'une décennie génèrera en outre "plusieurs milliards de livres" d'investissement dans la région.L'espagnol Iberdrola, présent dans trois de ces projets totalisant 7 GW, notamment en partenariat avec Shell, a fait état dans un communiqué d'"un investissement conjoint" de 22,5 milliards d'euros, dont près de 12 milliards "auprès d'entreprises et d'institutions écossaises"."L'éolien offshore est sur le point de devenir la colonne vertébrale du bouquet énergétique du Royaume-Uni et fournira le plus gros de la production" alors que le pays s'est fixé un objectif de neutralité carbone d'ici 2050, a commenté Keith Anderson, PDG de ScottishPower, filale d'Iberdrola."Première étape"BP et son partenaire allemand EnBW ont quant à eux remporté un appel d'offres portant sur 2,9 GW, qui "devrait voir le jour à partir de 2026-2027 et permettre d'alimenter plus de trois millions de foyers en énergie renouvelable", selon un communiqué conjoint.TotalEnergies est de son côté partenaire sur un projet de 2 GW, qui est "à ce jour le plus grand développement [du groupe] dans les énergies renouvelables en Europe", a affirmé Patrick Pouyanné, patron de l'énergéticien français dans un communiqué.Oswald Clint, analyste chez Bernstein, relève que les trois majors Shell, BP et TotalEnergies ont accédé à eux seuls à près de 10 GW."Après des décennies, voire un siècle de présence dans le pays, il n'est sans doute pas si surprenant que Shell, BP et TotalEnergies aient mis la main une part importante" des droits mis aux enchères, "probablement plus que ce à quoi ils s'attendaient", a-t-il commenté.Mais l'attribution de ces concessions n'est que "la première étape d'un long processus" et la signature d'un bail complet ne surviendra qu'à l'issue de plusieurs étapes, notamment sur le financement de ces projets, précise Crown Estate Scotland.Si une candidature ne conduisait pas, in fine, à la signature d'un accord, c'est la candidature la mieux notée suivante qui se verrait proposer une option, précise l'organisme public."La variété et l'ampleur des projets [retenus] montrent à la fois les progrès remarquables du secteur éolien offshore et un signe clair que l'Écosse est en passe de devenir un centre majeur pour le développement de cette technologie dans les années à venir", s'est félicité Simon Hodge, directeur général de Crown Estate Scotland, cité dans le communiqué.
Il y a 3 ans et 143 jours

Holcim, le cimentier suisse, rachète PRB, fabricant français d'enduits pour isolation et protection

Le cimentier suisse Holcim va racheter l'entreprise vendéenne PRB, annonce-t-il ce mardi 11 janvier sans divulguer le montant de la transaction.
Il y a 3 ans et 143 jours

Défaillances d’entreprises : le BTP fragilisé

Le nombre de défaillances d’entreprises du bâtiment et de travaux publics progresse au quatrième trimestre 2021, selon Altares.
Il y a 3 ans et 143 jours

Le Groupe Panhard et Bricqueville développent en copromotion une opération mixte dans le nouveau quartier des Groues à Nanterre

Pour ce vaste territoire de la ville de Nanterre aménagé par Paris La Défense, et situé face au Conseil départemental des Hauts-de-Seine et de Paris La Défense Arena, le programme imaginé par le tandem Panhard-Bricqueville reflète l’évolution des paysages urbains.Il confirme la fin de l’ère de la mono-fonctionnalité et réunit, au sein d’un seul ensemble, près de 140 logements, une école d’enseignement supérieur, des bureaux, des locaux de stockage et commerciaux ainsi que des espaces verts.À l’Ouest du pôle tertiaire historique, au-delà de la Grande Arche, les Groues, 11e quartier de Nanterre, ambitionnent de devenir un pôle urbain d’excellence développé selon les valeurs du Développement Durable. Sur 65 hectares desservis dès 2023 par le RER E, cette vaste opération de désenclavement et de reconquête urbaine entend créer, en concertation avec les populations concernées, un pôle d’attractivité aux atouts complémentaires de ceux affichés par le premier quartier d’affaires européen.Le Groupe Panhard et Bricqueville ont travaillé avec la ville, l’aménageur et l’urbaniste de la ZAC pour proposer un concept inédit, développé notamment à partir de matériaux bio-sourcés. Face à la nouvelle gare Nanterre-La Folie (RER E et ligne GPE 15 en 2030), sur environ 2.400 m2 d’espaces végétalisés, le projet cristallise toutes les ambitions actuelles de mixité des fonctions citadines. Sur le plan environnemental, il répondra à l’indicateur Bbio -30 % et vise les certifications RT2012 -20% et NF Habitat HQE pour le volet résidentiel et le BREEAM en niveau Very Good pour les bureaux.D’une superficie globale de 29.117 m2 répartis entre trois bâtiments s’articulant autour d’un grand cœur d’îlot végétalisé et paysagé, irrigué de voies douces, le programme repose sur :un bâtiment résidentiel de 16 étages, Hélios, signé du cabinet Nicolas Laisné Architectes qui comprendra 94 appartements, du studio au cinq-pièces ; dont la plupart sont dotés de balcons ou de terrasses,un immeuble de huit étages, imaginé par l’agence d’architecture et d’urbanisme AQMA qui alliera 2.700 m2 de bureaux lancés en blanc ainsi que 43 logements sociaux et intermédiaires dans les étages supérieurs,une école d’enseignement supérieur conçue par les agences d’architecture A26 et MBE Atelier qui accueillera, sur environ 10.500 m2 répartis sur huit étages, le Campus Groupe IGS, un groupe d’écoles de management. Agrémenté de terrasses et jardins suspendus, ce bâtiment abritera également une cafétéria en rez-de-chaussée.Le site disposera, en infrastructure, d’emplacements de parking et d’environ 6.000 m² de locaux de self-stockage qui seront exploités par Une pièce en plus.Pour Pierre-Emmanuel Arnal, Directeur du pôle résidentiel du Groupe Panhard : « Cette opération offre au Groupe Panhard l’opportunité, au sein d’un même programme, de développer différentes classes d’actifs dans une logique de synergies et d’équilibre, en lien avec les aspirations des Franciliens. Être parmi les premiers opérateurs à intervenir dans le quartier des Groues constitue également une fierté, les challenges urbains de cette ampleur étant rares, même à l’échelle du Grand Paris. »Pour Gérault de Sèze, Président de Bricqueville : « Nanterre est une ville modèle en matière de développement urbain et nous sommes conscients de notre responsabilité et fiers d’y prendre une part active. En travaillant la programmation avec la collectivité et l’aménageur à l’échelle de notre îlot et du quartier, nous avons pu proposer une grande mixité d’usage. C’est elle qui fera la richesse et le charme de la ville de demain. » Pour Pierre-Yves Guice, Directeur général de Paris La Défense : « La mixité de ce programme fait parfaitement écho aux aspirations que nous portons pour la ZAC des Groues. Un quartier complémentaire à La Défense sur le plan des usages, faisant la part belle au végétal, mais également exigeant en matière d'environnement et de qualité de vie. » La livraison du Campus Groupe IGS est prévue à la rentrée 2024. La livraison de l’exploitant Une Pièce En Plus est prévue à l’été 2025.La livraison des logements et des bureaux est prévue quant à elle entre fin 2024 et le 1er semestre 2025.
Il y a 3 ans et 144 jours

EDF : un géant sous tension

Jeudi 27 janvier à 23h sur France 2, Complément d’Enquête vous raconte EDF de l’intérieur grâce à des témoignages exclusifs. Longtemps monopole d’Etat, l’entreprise emblématique a régné en maître absolu sur le marché de l’énergie pendant des décennies. Mais le fleuron EDF est désormais en mauvaise posture ! Dette colossale, centrales nucléaires vieillissantes, perte de compétences, clients qui partent à la concurrence, l'Electricité de France fait grise mine. Pour défendre ses intérêts, la reine du nucléaire a longtemps résisté aux énergies renouvelables ! Et mise sur le lobbying pour imposer ses vues. EDF n’hésite pas à s’offrir les services d’un ancien ministre écolo devenu pro-nucléaire, Brice Lalonde ! EDF compte aussi sur sa nouvelle génération de réacteurs : l’EPR2. Mais beaucoup n’y croient plus : EDF sait-elle encore faire ? Est-elle encore capable d’assurer l’indépendance énergétique de la France ? Saura t’elle, même, nous fournir assez de courant pour l’hiver ? Une enquête de 52’ de Sylvain Pak et Thomas Lhoste pour Capa TV.
Il y a 3 ans et 144 jours

Aperçu des principales étapes du ramonage mécanique

Entretenir sa maison, c’est également prendre soin de ses appareils de chauffes. Outre la vérification annuelle de la climatisation et du radiateur de chauffage, la cheminée mérite une attention particulière. En effet, il est essentiel de débarrasser le conduit de fumée des débris de suies et de goudrons résultant de la combustion. C’est ce qu’on entend par « ramonage ». Cette opération peut s’effectuer de deux manières. Mais dans cet article, nous allons particulièrement nous intéresser au ramonage mécanique. Quelles sont les principales étapes de sa réalisation ? Découvrez-les dans ce qui suit. La préparation de l’intervention Le ramonage de cheminée est une tâche à la portée de tous. Malgré cela, certaines préparations s’imposent avant sa mise en œuvre. Justement, il faudra se préparer les matériels indispensables aux travaux. Entre autres, il faudra : Un seau métallique ; Une pelle ; Un aspirateur ; Des gants de protection ; Des lunettes de protection ; Une bâche en plastique ou un vieux drap pour recouvrir les meubles. À côté de ces outils, il faut nécessairement une brosse spécifique appelée « hérisson ». C’est une brosse circulaire montée sur une longue perche flexible. On s’en sert pour gratter la paroi du conduit afin d’extraire les saletés. Néanmoins, si vous désirez obtenir un résultat optimal, nous vous conseillons de faire appel à un ramoneur. Le nettoyage du conduit de la cheminée On parle de ramonage mécanique quand le nettoyage du conduit de la cheminée se fait manuellement au moyen de la brosse-hérisson. À titre d’information, cette opération se fait à feu éteint. Comme le ramonage est une tâche assez salissante, il est recommandé de recouvrir les meubles et le sol avec une bâche ou un vieux drap pour éviter les traces de cendre. En outre, sachez qu’il existe deux techniques de ramonage mécanique. Celle à mettre en œuvre dépendra de l’accessibilité de la toiture. Si elle est envisageable, la brosse-hérisson sera introduite par la souche de la cheminée au niveau du toit (ramonage par le haut). Dans ce cas, des précautions doivent être prises pour éviter les accidents (ex. : chute en hauteur). En revanche, si le toit est difficile d’accès, le ramonage se fera par le bas, c’est-à-dire à partir du foyer de la combustion. Dans tous les cas, il faudra effectuer un mouvement de va-et-vient avec la brosse-hérisson dans le conduit afin de faire tomber dans le foyer les suies et les goudrons qui s’y sont accumulés. Pour les recueillir, vous pouvez installer un récipient dans le foyer en question. Après avoir vérifié l’état du conduit, vous pouvez entamer les travaux de finition. Bon à savoir : Il est toujours préconisé de laisser un ramoneur agréé se charger de cette tâche. À l’issue de son intervention, cet artisan délivre un certificat de ramonage qui témoigne du bon entretien du conduit en cas d’incendie. D’ailleurs, le ramonage que vous effectuez vous-même n’a aucune valeur légale. En cas d’accident, votre assureur pourrait ainsi déduire qu’il résulte du mauvais entretien de votre cheminée. Les travaux de finition Le nettoyage de la cheminée ne se limite pas à l’enlèvement des suies et des goudrons dans le conduit. Une fois le ramonage terminé, il est également nécessaire de débarrasser le foyer des saletés qui l’encombre. Pour ce faire, il faudra vider la chambre de combustion ou, plus précisément, enlever la cendre au moyen d’un aspirateur. En outre, il faudra nettoyer la plaque en fonte. L’opération implique le retrait des traces de rouille avec un tampon abrasif. Il faudra par la suite huiler la plaque afin qu’elle soit bien brillante. Enfin, si votre cheminée est dotée d’une vitre de protection, pensez à la nettoyer avec une éponge et de l’eau savonneuse.