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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 3 ans et 156 jours

Explosion rue de Trévise : la Ville de Paris prête à signer l'accord d'indemnisation

La maire PS de Paris Anne Hidalgo "demande à son avocate à ce que l'accord-cadre soit signé aujourd'hui" lors d'une réunion de médiation avec les avocats des autres parties impliquées et des victimes, affirme la Ville à une semaine de la troisième commémoration du drame.Mme Hidalgo doit recevoir vendredi après-midi les victimes, qui lui reprochent jusqu'ici de "jouer la montre".Le 12 janvier 2019, une très forte détonation provoquée par une fuite de gaz avait soufflé cette rue du IXe arrondissement de la capitale, faisant 4 morts, 66 blessés et quelque 400 riverains sinistrés.Si la signature effective de l'accord-cadre reste encore une "question de jours", c'est "qu'il faut que tout le monde signe", souligne la Ville pour qui l'opposition de certains assureurs au principe de préjudice spécifique constitue le dernier frein.Pour Linda Zaourar, présidente de l'association Vret (Victimes et rescapés de l'explosion de la rue de Trévise) contactée par l'AFP, ce préjudice spécifique permettrait de valoriser des traumatismes tels que "la peur du gaz, la peur de la voirie, d'avoir été confrontés à la mort" ou encore "le fait d'avoir attendu trois ans" pour une indemnisation.A la place du préjudice spécifique, la Ville propose une majoration des préjudices prévus par la nomenclature Dintilhac afin d'intégrer le "caractère exceptionnel" de l'explosion, a indiqué le premier adjoint Emmanuel Grégoire dans un courriel aux associations de victimes et transmis à l'AFP.M. Grégoire, qui avait annoncé début octobre que la Ville, mise en examen dans ce dossier, abonderait de 20 millions d'euros le fonds d'indemnisation "sans que cela présume de sa culpabilité", assure que le versement des provisions n'aura pas à être voté en conseil municipal "pour toutes les victimes dont le dommage n'est pas consolidé, ainsi que pour celles pour lesquelles un accord n'est pas tout de suite trouvé sur le montant".La mairie pourra avancer "80% des sommes sans passage par le Conseil", qui se prononcera uniquement sur les transactions définitives, précise la Ville, qui s'engage à verser les sommes dans un délai de deux mois maximum.Alors que l'estimation du total des préjudices immobiliers et corporels s'élève à 200 millions d'euros, selon Linda Zaourar, la mairie "devra compléter à un moment" même si les 4 autres parties impliquées dans l'explosion devant le 6 rue de Trévise - le syndic de copropriété lui aussi mis en examen, le distributeur de gaz GRDF, l'assureur du conseil syndical Generali et l'entreprise de BTP Fayolle - abondent elles aussi le fonds.
Il y a 3 ans et 156 jours

Le président de Legallais quitte ses fonctions

CARNET-NOMINATION. Bien connu du secteur de la distribution professionnelle, Philippe Nantermoz a décidé de mettre fin à ses fonctions de président de la S.A.S. Legallais, spécialiste de la quincaillerie pour le bâtiment.
Il y a 3 ans et 156 jours

Plus de 23% des artisans indépendants vivent sous le seuil de pauvreté

TRAVAIL. Une grande part des personnes travaillant à leur compte en France gagne de très faibles revenus, voire vit sous le seuil de pauvreté, montre une étude récente de l'Insee. Parmi eux, une part certaine d'artisans.
Il y a 3 ans et 156 jours

Climat : priorité carbone pour la présidence française de l’Union

Prudence ! Avant d’étendre aux transports et au logement le marché carbone européen, la ministre de la Transition écologique recommande que le dispositif fasse ses preuves dans le ciment et l’acier. Elle l’a dit le 5 janvier lors de son audition à la commission de l’Aménagement du territoire du Sénat, consacrée aux objectifs climatiques de la présidence française de l’Union européenne.
Il y a 3 ans et 156 jours

Holcim rachète un spécialiste américain du béton prêt à l'emploi

ACQUISITION. Holcim annonce avoir achevé l'acquisition de Cowden, un expert américain du béton prêt à l'emploi et des granulats situé à Bellingham.
Il y a 3 ans et 156 jours

La BEI met 1 milliard d'euros pour la rénovation des HLM via la Banque des territoires

LOGEMENT SOCIAL. La Banque européenne d'investissement met à disposition du principal financeur du secteur HLM 1 milliard d'euros pour les projets de rénovation énergétique des bailleurs. 70.000 logements sociaux devraient être rénovés grâce à ce prêt, dans le cadre des prêts complémentaires aux prêts sur fonds d'épargne de la CDC.
Il y a 3 ans et 156 jours

Le décret interdisant l'installation d'équipements de chauffage fonctionnant au charbon ou au fioul à compter du 1er juillet 2022 est paru

"Pour pouvoir être installé dans un bâtiment, y compris en remplacement d'un équipement existant, un équipement de chauffage ou de production d'eau chaude sanitaire" doit respecter un niveau d'émissions de gaz à effet de serre "inférieur à 300 gCO2eq / kWh PCI", indique le texte.Les nouvelles normes s'appliquent à compter du 1er juillet 2022, précise le décret.Ce plafond revient "à exclure l'installation d'équipements neufs fonctionnant au charbon ou au fioul, qui conduirait à pérenniser pour plusieurs années des modes de chauffage fortement émetteurs de gaz à effet de serre", indique dans un communiqué le ministère de la Transition écologique."En revanche, les propriétaires d'équipements existants fonctionnant au fioul ou au charbon pourront continuer à les utiliser sans changement de combustible, les entretenir et les faire réparer pour maintenir leur efficacité", précise-t-on de même source.Le sujet, sensible, concerne des millions de Français, notamment en zones rurales.Le fioul domestique est "la 3e énergie de chauffage en France", chauffant "près de 4 millions de bâtiments dont plus de 3 millions de maisons individuelles en résidence principale", selon un communiqué de la filière biofioul, alternative au fioul domestique fossile.Ces maisons chauffées au fioul se trouvent "principalement dans des territoires ruraux et périurbains que les réseaux de chaleur ou le gaz de ville ne desservent souvent pas", selon des données de l'Ademe citées par le communiqué.L'utilisation de ce type d'énergie est particulièrement importante dans des zones où les températures hivernales sont basses, comme la façade Est, et les régions Hauts-de-France et Auvergne-Rhône-Alpes, entre autres.Les acteurs impliqués dans le développement du biofioul saluent un texte ambitieuxLa Fédération Française des Combustibles, Carburants et Chauffage (FF3C), organisation représentative regroupant les professionnels de la distribution des énergies hors réseaux ; la Fédération Française des Pétroliers Indépendants (FFPI) ; la Fédération Française des Producteurs d’Oléagineux et de Protéagineux (FOP) ; Esterifrance, le syndicat des esterificateurs français ; Uniclima, le syndicat des industries thermiques, aérauliques et frigorifiques ; l’Union Nationale Artisanale Couverture Plomberie Chauffage (UNA CPC) de la CAPEB ; l’Union des Métiers du Génie Climatique, Couverture et Plomberie (UMGCCP) de la FFB saluent ce Décret amorçant une transition du fioul domestique 100 % fossile vers le biofioul, biocombustible liquide de chauffage incorporant une part croissante d’énergie renouvelable sous forme d’ester méthylique de colza (EMC).76 % des consommateurs prêts à opter pour du biofioul Un sondage a été réalisé par Opinion Way en juillet 2021 auprès d’utilisateurs de fioul afin de recueillir leur avis sur leur mode de chauffage actuel et leur intérêt vis-à-vis d’un biocombustible liquide. Parmi les principaux enseignements de ce sondage :99 % des répondants trouvent le chauffage au fioul efficace.68 % n’envisagent pas de changer d’énergie de chauffage ; 32 % y pensent mais « sans urgence », d’ici 2 à 5 ans pour 21 % d’entre eux.45 % ont déjà entendu parler du biofioul ; 76 % seraient prêts à opter pour du biofioul et 58 % se disent prêts à opter dès à présent pour une chaudière biocompatible utilisant du biofioul.Le biofioul, énergie des territoiresLe biofioul est une énergie liquide stockable, composée d’une part d’énergie renouvelable, prioritairement sous forme d’ester méthylique de colza (EMC). Le choix du colza tient aux nombreux atouts de cette plante dont la France est l’un des premiers producteurs en Europe : 80 000 agriculteurs cultivent du colza sur l’ensemble du territoire. Sa graine, composée à parts équivalentes d’huile (notamment valorisée en biofioul) et de matière riche en protéines (notamment valorisée pour l’alimentation animale), offre des réponses prometteuses et complémentaires aux enjeux des transitions agroalimentaire, énergétique et environnementale, dont celui de la souveraineté protéique de la France.
Il y a 3 ans et 156 jours

Que retenir de la Loi de Finances 2022 ?

Les mesures concernant les entreprisesImpôt sur les bénéficesPoursuite de la baisse du taux d’impôts sur les sociétésCréation d’un crédit d’impôt collaborations de rechercheÀ compter du 1er janvier 2022, alignement du traitement des dépenses externalisées auprès d’organismes publics sur celui des dépenses externalisées auprès d’organismes privés agréés :Suppression du doublement d’assiette du CIR pour les dépenses de R&D externalisées vers les organismes publicsMise en place d’un dispositif fiscal alternatif destiné à maintenir la collaboration de recherche public privé : le crédit d’impôt collaborations de recherche (CICo)Présentation du CICoDépenses de R&D confiées aux organismes de recherche et de diffusion des connaissances agréés par le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI)Dans le cadre d’une collaboration effective de recherche : portage commun du projet de recherche, par l’entreprise et un ou plusieurs organismes de recherche, reposant sur un partage des risques et des résultats (≠ sous-traitance)Taux du CICo : ‒ 50 % pour les PME ‒ 40 % pour les autres entreprises (ETI et grandes entreprises)Plafond des dépenses éligibles : 6 M€Non cumulable avec le CIR • L’excédent de crédit d’impôt constitue une créance, qui est immédiatement remboursable pour certaines entreprises (PME notamment)Le CICo est effectif pour les dépenses facturées au titre des contrats de collaboration conclus entre le 1er janvier 2022 et le31 décembre 2025.Évolution du Crédit d’Impôt Innovation (CII)Suppression du forfait des dépenses de fonctionnement jusqu’alors intégré au sein de l’assiette de coûts éligibles au CII pour garantir sa compatibilité avec la réglementation européenne en matière d’aides d’État (forfait fixé à 43 % des dépenses de personnel +75 % des dotations aux amortissements relatives aux immobilisations affectées aux activités de recherche)En contrepartie, le taux de droit commun du CII serait porté à 30 %, et le taux majoré Outre-mer à 60 %, pour les dépenses exposées à compter du 1er janvier 2023Prorogation du dispositif jusqu’au 31 décembre 2024Jeunes entreprises innovantes : aménagement du critère d’âgeAides COVID-19Aide coûts fixes rebondAide loyersAide fermetureAide renfortFonds de solidarité & aide coûts fixesLe plan indépendantsSimplifier la protection sociale des indépendantsMeilleure protection du conjoint collaborateurStatut transitoire limité à 5 ansPour éviter la dépendance économiquePour ouvrir la perspective à des droits sociaux supérieursAprès 5 ans, le conjoint continuant à exercer dans l’entreprise optePour le statut de conjoint salariéOu pour celui de conjoint associéConjoint qui a 67 ans au plus tard le 31/12/2031Maintien possible du statut jusqu’à liquidation des droits à retraiteStatut de conjoint collaborateur au 31/12/2021Le délai de 5 ans ne débute que le 1er janvier 2022Favoriser la transmission des entreprises et des savoir-faireAménagement de l’abattement départ en retraiteL’aménagement de l’abattement « départ en retraite » - Entreprises relevant de l’impôt sur le revenu (article 151 septies A CGI) Le délai de 2 ans est porté à 3 ans :Pour les dirigeants ayant fait valoir leur droit à la retraite (« départ en retraite ») entre le 1er janvier 2019 et le 31 décembre 2021.Si le départ en retraite précède la cession.Cession de titres de PME soumises à l’IS : article 150 O-D terLe dispositif est prorogé de 2 ans, soit applicable aux cessions réalisées jusqu’au 31 décembre 2024.Le délai de 2 ans est porté à 3 ans :Pour les dirigeants ayant fait valoir leur droit à la retraite (« départ en retraite ») entre le 1er janvier 2019 et le 31 décembre 2021Si le départ en retraite précède la cession Les mesures concernant les particuliersActualité sur la suppression de la taxe d’habitation :Poursuite de la réforme de la taxe d’habitation initiée en 2018Allègement de 65 % pour les foyers fiscaux non encore exonérés en 2022Suppression totale de la taxe d’habitation au 31 décembre 2022 pour les résidences principales (la suppression ne concerne pas les résidences secondaires)Pour les foyers mensualisés : il est possible de demander l’adaptation à la baisse, des mensualités, sur « l’espace particulier » en ligne
Il y a 3 ans et 156 jours

Leborgne dévoile sa nouvelle gaffe à manche télescopique Nanovib

Leborgne élargit sa gamme Nanovib avec sa nouvelle gaffe à manche télescopique. [©Leborgne] Leborgne étend sa gamme Nanovib. La société spécialisée dans la fabrication d’outils dévoile sa nouvelle gaffe à manche télescopique. Cette dernière est conçue pour guider et positionner les charges lourdes lors des phases de levage à la grue. Le produit est né suite à la demande des responsables Qualité Sécurité Environnement (QSE) du BTP. Après plusieurs visites de chantiers, l’équipe de R&D de Leborgne a travaillé sur un outil pratique et sécurisé. Ainsi, la gaffe Nanovib est née, destinée à améliorer les conditions de travail et à assurer la sécurité des compagnons. Leborgne allie le pratique et la sécurité Grâce à son manche tubulaire résistant et léger, la gaffe est facile à manipuler et réduit la pénibilité de la tâche. Allant jusqu’à 5 m, sa portée permet à l’utilisateur de la tenir sans avoir à la passer au-dessus de la tête. Evitant ainsi les troubles musculo-squelettique (TMS) de l’épaule. Lire aussi : Leborgne dévoile son nouvel huileur Nanovib De plus, dans le BTP, 39 % des accidents sont liés à une chute de la charge lors des phases d’élingage. Certains d’entre eux ont provoqué des lésions corporelles, voire même la mort. La gaffe permet donc de rester à distance, en gardant une posture confortable avec le dos droit. Enfin, la conception de la gaffe Nanovib s’appuie sur la méthode Design Centré Utilisateur. Ce procédé place les compagnons au centre du développement du produit.
Il y a 3 ans et 156 jours

"Nous attendons la mise en place d'un observatoire national de la RE2020", F. Dessemon

CONJONCTURE. Entrée en vigueur de la Réglementation environnementale 2020, pénuries de matériaux, difficultés de recrutement, mais aussi enjeux de la profession et élection présidentielle : Franck Dessemon, à la tête de l'Union nationale des économistes de la construction, revient avec Batiactu sur les grands dossiers qui ont agité et vont encore agiter le secteur.
Il y a 3 ans et 156 jours

L’OPPBTP lance la nouvelle édition de son challenge 100% mobile 100 minutes pour la vie

La prévention des risques toujours essentielle dans le parcours de formation des jeunesLa sécurité au travail et sur les chantiers représente un enseignement incontournable, intégré dans les programmes de la formation initiale. L’opération « 100 minutes pour la vie » constitue la première étape forte de sensibilisation des apprentis aux enjeux de santé et sécurité au travail. A l’image de la mission de l’OPPBTP, cette campagne a pour ambition d’inculquer aux jeunes qui rejoignent le BTP les bons réflexes tout en changeant le regard qu’ils peuvent porter sur la notion de risque.Étendue chaque année à de plus en plus d’établissements, cette action a permis de sensibiliser plus de 210.000 apprentis à la prévention des risques depuis sa création en 2009.Un challenge reconduit en 2022L’OPPBTP lance l’édition 2022, qui se tient du 3 janvier au 4 février 2022.Ce challenge, d’envergure nationale, permet d’interpeller les jeunes sur la prévention des risques de façon originale et ludique par le bais de l’application smartphone « Challenge 100 minutes pour la vie » disponible sur Google Play et Apple Store. Chaque jour et pendant 2 semaines à compter de la date de leur inscription, les participants ont pour objectif de remporter un maximum de points en répondant correctement à des questions liées à la prévention des risques ou correspondant à des mises en situation fictives. Les participants peuvent également se lancer des défis pour gagner des points supplémentaires. L’application envoie des notifications pour leur signifier un challenge ou une nouvelle série de questions.Plus de 200 questions et mises en situation ont été imaginées, saisies et illustrées pour nourrir les deux séries de challenges correspondant aux spécialités Bâtiment et Travaux publics.Un dispositif de communication est mis en place sur les réseaux sociaux de l’OPPBTP et des établissements participants. Des publications sponsorisées sur Instagram et Facebook sont prévues pour mobiliser les jeunes à rejoindre ce challenge.A la fin du challenge, l’OPPBTP récompensera dans chaque région de France les dix participants ayant obtenus le plus de points, avec à chaque fois :Une console de jeu nouvelle génération (1er prix)Une carte cadeau Décathlon de 400 € (2ème prix)Une carte cadeau Décathlon de 200 € (3ème prix)Sept cartes cadeau Décathlon de 100 € et des coffrets bande dessinées Prev’en bulles de l’OPPBTP (du 4ème au 10ème prix).De plus, les deux établissements ayant la plus grande proportion de participants par rapport à leur effectif et la meilleure moyenne remporteront respectivement un babyfoot et 500 € de bons d’achat Décathlon.Toutes les informations relatives au BTP Challenge Prévention sont disponibles ici.Bilan de l’édition 2021Ainsi, en 2021, près de 16.000 élèves et apprentis de la filière BTP, de tous niveaux et de tous cursus (Brevet professionnel, CAP, BTS et Bac Pro) ont participé au challenge mobile dans plus de 160 établissements. Le côté ludique de l’application ainsi que la qualité des enseignements et conseils en prévention qu’elle permettait de véhiculer ont été salués par l’ensemble des établissements participants.Pour Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP : « Les outils numériques nous offrent une opportunité unique de proposer une nouvelle façon d’appréhender la prévention. Grâce à ce challenge 100 % mobile, nous avons pu développer un mode de fonctionnement basé sur des interactions courtes mais fréquentes et sur une durée plus longue que les années précédentes, afin d’ancrer les messages de prévention dans le mode de pensée des futurs professionnels du BTP. Cela présente également l’avantage de toucher un nombre de jeunes quasiment illimité. L’application, développée par SPARTED, répond ainsi aux besoins des jeunes tout en nous permettant d’établir un nouveau mode de conversation avec eux, en faveur de la prévention des risques professionnels. »
Il y a 3 ans et 156 jours

Axtom Développement et le groupe BMF livrent un adPark de 5.340 m² à Louvres (95)

Pensé pour répondre aux besoins des entreprises du tissu économique local - notamment les PME et ETI - cet ensemble immobilier est composé de 4 lots à partir de 1 030 m². En phase avec les attentes du territoire et à l'instar de l'ensemble des projets du Groupe AXTOM, une attention particulière a été portée à la qualité environnementale de l'opération qui vient d'obtenir le label BiodiverCity®. La qualité environnementale, élément central du projetUne attention particulière a été portée à la qualité environnementale de l'opération notamment via le traitement des eaux pluviales avec la création de bassins de rétention paysagers et des zones humides favorisant le développement de nouveaux milieux écologiques. Dès leur conception, il sera fait appel à des notions d'entretien durable ou de gestion intégrée, à la fois par un paysage soigné à proximité des bâtiments, mais aussi par un entretien rustique pour les espaces plus « nature ». Afin de lier le quartier aux espaces verts alentours, des cheminements piétons et cyclables seront créés sur l'ensemble du parc de 17 ha. Cette approche a permis à l'adPark d'obtenir le label BiodiverCity® à la suite d'un audit réalisé par Deloitte. Directement raccordée à la francilienne A104, cette opération bénéficie d'une accessibilité routière exceptionnelle.« Nous sommes très satisfaits d'annoncer la livraison de cette opération, déjà intégralement commercialisée. Au cœur d'une zone en fort développement, nous avons su apporter une réponse immobilière répondant à la fois aux attentes de la collectivité en termes de solution d'accueil pour PME et ETI, et également aux attentes de ces entreprises en termes de qualité d'espaces de travail et de performance environnementale. Cette opération est une belle illustration des synergies possibles au sein du groupe AXTOM, puisque l'étude, le montage, le suivi et la commercialisation ont été réalisé par AXTOM Développement, et la construction de cet adPark a été réalisée par AXESS, également filiale du groupe » souligne Jean Kramer, directeur général délégué d'AXTOM Développement.
Il y a 3 ans et 156 jours

A Rennes, question d’identité par Jean-Paul Viguier

A Rennes (Ille-et-Vilaine) « Identity One », conçu par Jean-Paul Viguier, est un programme mixte comptant espaces de bureaux, commerces et restaurant ainsi qu’un cinéma d’art et d’essai (L’Arvor). « Des espaces de travail et de divertissement enveloppés d’une façade en aluminium singulière en Métal Déployé », souligne l’architecte. Sur 8 900 m² de surface, Identity One […] L’article A Rennes, question d’identité par Jean-Paul Viguier est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 156 jours

Vicat et Léon Grosse associent leurs expertises au service de la construction de demain

Forts d’une culture d’entreprise familiale et de valeurs communes, Léon Grosse et le groupe Vicat misent sur la complémentarité de leurs expertises. Toutes deux originaires de la région Auvergne-Rhône Alpes avec une forte implication dans le tissu industriel local, elles s’engagent dans un partenariat qui se décline autour de 3 volets :Innovation :Répondre ensemble à des projets spécifiques et innovants,Développer des projets de R&D communs (bétons bas carbone spécifiques, nouveaux process d’industrialisation, préfabrication, impression 3D...) ;Environnemental :Proposer des solutions différenciantes co-construites réduisant l’impact environnemental dans la construction, et notamment sur le “bas carbone“,Favoriser les schémas d’économie circulaire sur les territoires,Évaluer les opportunités de mise en oeuvre des solutions photovoltaïques Léon Grosse sur certains sites Vicat ;Sociétal :Construire ensemble une dynamique d’engagement territorial développant l’emploi local et les circuits courts.Contribuer à l’attractivité des métiers de la construction, notamment pour les femmes, en développant la formation et en favorisant l’inclusion, avec le support de la Fondation Louis Vicat.Ce partenariat vient concrétiser la collaboration du groupe Vicat et de Léon Grosse qui s’illustre déjà par des projets communs lancés dans la région Auvergne-Rhône Alpes :Un projet emblématique à Lyon Confluence pour lequel est utilisé un béton bas carbone fabriqué sur site, composé de matières premières régionales, notamment le ciment « DECA » Naturat CEM IV contenant des pouzzolanes naturelles ;La construction d’un établissement public pour un client historique de Léon Grosse, avec du béton prêt à l’emploi « DECA » fourni par Vicat et qui sera le premier bâtiment béton décarboné de Valence ;La fourniture de béton prêt à l’emploi pour la construction d’une importante extension d’un site industriel à Crolles, projet piloté par Léon Grosse Immobilier.L’utilisation du béton “DECA” permet une diminution de l’impact carbone de 25 à 30% par rapport à un béton dit “classique”.Guy Sidos, Président du groupe Vicat, précise : “Nous sommes fiers de nous associer à l’entreprise Léon Grosse, une organisation familiale telle que la nôtre qui s’engage en faveur des territoires et de l’environnement. Ce partenariat vient consolider notre collaboration de long terme pour construire ensemble l’habitat d’aujourd’hui et de demain.”Lionel Christolomme, Président du Directoire de Léon Grosse précise : “Notre passion pour la technique nous a toujours poussés à innover pour nos clients, notamment sur les matériaux et les structures béton. Ce partenariat entre deux entreprises qui partagent les mêmes valeurs, le même ancrage régional et la même culture d’entreprise familiale vient renforcer concrètement notre volonté d’agir chaque jour en bâtisseur responsable pour faire face aux enjeux environnementaux et sociétaux.”
Il y a 3 ans et 156 jours

Valérie Sfartz nommée déléguée régionale de la CAPEB Pays de la Loire

Ainsi, Valérie Sfartz, commissaire générale du Salon ARTIBAT depuis 2011, vient d’être nommée, au 1er janvier 2022, Déléguée Régionale de l’Union Régionale de la CAPEB Pays de la Loire.Tout en gardant la direction du Salon ARTIBAT, reconnu et apprécié par les professionnels de la filière, Valérie Sfartz aura désormais également pour mission de représenter la CAPEB des Pays de la Loire au service des départements et de leurs adhérents.
Il y a 3 ans et 156 jours

Transmanut : La Toupie-Pompe pour une livraison en direct

La nouvelle Toupie-pompe de chez Transmanut. [©Transmanut] Présent sur le marché des solutions mobiles pour l’approvisionnement en chapes avec la Mobil’Chape, Transmanut propose désormais la Toupie-Pompe. « Tout est parti de la demande de l’un de nos clients historiques, explique Florent Coude, chargé d’affaires. Nous avonspris comme base d’une toupie classique sur laquelle nous avons adapté nos trémie, pompe et nettoyeur haute pression. La chape coule de la cuve de toupie dans la trémie et est directement pompée. » L’installation intègre un réservoir hydraulique avec réfrigérant et prise-pompe. La trémie de pompage est dotée d’une sonde de niveaux. Le niveau haut arrête la rotatation de la toupie et le niveau bas stoppe le pompage. Une radiocommande gère la pompe à distance et augmente plus ou moins le flux. L’ensemble tourne à un débit de 18 m3/h. Avec une capacité de refoulement de 80 m à l’horizontale et de 10 étages à la verticale. « La première Toupie-Pompe a été livrée début décembre 2021. Et nous avons déjà plusieurs projets en cours. Nous avons un objectif d’une dizaine de machines par an à la vente. A la réception de la toupie, nous avons un mois de travail dessus, avant livraison. » Alors que le marché des chapes est parfois limité par la disponibilité des matériaux, la livraison in situ par ce type de solutions devient une option des plus crédible.
Il y a 3 ans et 156 jours

Nouvel avis technique Saint Gobain pour son système de bardage rapporté en verre Lite Point

Dorénavant, grâce à l’utilisation de rondelles de différentes hauteurs qui compensent les écarts d’épaisseurs des vitrages, la mise en œuvre est facilitée. Le bardeur ou le façadier pourront en effet poser l’ensemble des vitrages au même niveau, y compris quand leurs compositions sont différentes. Jusqu’ici, pour obtenir une façade lisse, et répondre aux exigences de sécurité, ils devaient adapter l’installation de la structure secondaire en fonction des différentes compositions de vitrages nécessaires. Cette étape rendait la mise en œuvre plus longue et difficile.Ces nouvelles dispositions viennent compléter le précédent Avis Technique de 2019 qui ouvrait l’utilisation de la solution aux constructions ossature bois, dans les zones littorales (anticorrosion) et dans les zones sismiques avec option feuilleté.Une solution qui embellit la façadeLe système LITE-POINT® permet d’habiller des façades ventilées ou de réaliser des parements de façades traditionnelles ou de parois intérieures. Il peut être installé sur tout type de bâtiments résidentiels ou tertiaires, aussi bien en construction neuve qu’en rénovation. Il est composé d’une peau externe en vitrage émaillé, maintenue par des fixations traversantes à des rails horizontaux en aluminium. Ces rails sont ensuite eux-mêmes fixés à l’ossature primaire. Le système LITE-POINT® s’adapte bien aux bâtiments avec une Isolation Thermique par l’Extérieur(ITE) puisqu’il permet de protéger et de parer les matériaux isolants. C’est un système complet, qui est facile à installer. Il est livré prêt à poser, avec le vitrage, les fixations et l’ossature horizontale.Véritable atout esthétique pour les architectes, il permet de réaliser des façades entièrement vitrées. L’aspect extérieur du bâtiment peut ainsi être homogène ou contrasté. Le LITEPOINT® s’adapte à tous les rendus souhaités grâce à un large choix de teintes, de niveaux de réflexion, de motifs ou d’impression. Il est possible de choisir parmi les gammes EMALIT EVOLUTION (vitrage opaque monochrome), SERALITEVOLUTION (vitrage opaque sérigraphié, jusqu’à 4 couleurs) et PICTURE it (vitrage opaque avec une impression digitale d’émaux). Cette personnalisation permet à l’architecte de laisser libre cours à sa créativité, en imaginant une façade qui se démarque ou qui se fond dans son environnement.
Il y a 3 ans et 156 jours

Eurobois reporté à juin

Face à la nouvelle situation sanitaire de ce début d’année, et parce que la santé de tous est une priorité, l’équipe d’Eurobois a décidé de reporter le salon qui devait se tenir du 1er au 4 février 2022. Eurobois se tiendra du 14 au 17 juin 2022 à Eurexpo Lyon, France. C’est dans le respect des consignes sanitaires qui seront alors en vigueur que les professionnels de la filière bois se retrouveront donc pour échanger, découvrir les dernières innovations, et créer de nouvelles opportunités business.  
Il y a 3 ans et 156 jours

Communauté Pays basque : sept projets soutenus dans le cadre du programme Leader

Un budget de 136 k€, issu du programme Leader, viendra soutenir sept projets de développement de la montagne basque.
Il y a 3 ans et 156 jours

Report du salon Eurobois

GL Events annonce le décalage de la manifestation, initialement prévue début février.
Il y a 3 ans et 157 jours

Ce qu’il faut absolument savoir sur la maçonnerie paysagère

Quand on parle de travaux de maçonnerie, nous pensons directement à la construction de bâtiment ou la création d’un mur en béton. Pourtant, il faut savoir que ces travaux peuvent présenter différentes natures. La maçonnerie paysagère fait partie des formes qu’ils peuvent revêtir. En l’espèce, les travaux sont exclusivement réalisés en extérieur. Mais que faut-il donc savoir sur ce sujet ? Les réponses à cette problématique feront l’objet du présent article. Qu’entend-on par « maçonnerie paysagère » ? La maçonnerie paysagère désigne les travaux destinés à aménager, à structurer et à embellir l’espace à l’extérieur d’une habitation. Dans le secteur public, elle peut par exemple se matérialiser par l’aménagement des parcs ou encore la construction d’un terrain de sport. Dans le secteur privé, elle implique l’aménagement de jardin. Les travaux effectués dans le cadre de la maçonnerie paysagère se font en deux étapes. La première consiste à préparer le terrain. Concrètement, elle implique le terrassement et la transformation du terrain. Quant à la seconde étape, elle est relative à l’exécution des travaux de maçonnerie proprement dits (ex. : mise en place d’une terrasse, construction d’un muret ou d’un abri de jardin). Dans tous les cas, il est conseillé de faire appel à un maçon expérimenté comme sur ce site. Quels sont les types de travaux réalisés dans le cadre de la maçonnerie paysagère ? La réalisation des travaux nécessite l’intervention d’un expert du domaine. En l’occurrence, il s’agit du maçon paysagiste. Grâce à la formation qu’il a reçue, cet artisan est mesure de créer un espace extérieur harmonieux et esthétique pour votre logement. Dans la réalisation des différents travaux, il se fait d’ailleurs assister par une équipe de professionnels. En outre, la maçonnerie paysagère implique la mise en œuvre d’opération de différente nature. Par conséquent, il peut s’agir de : La création d’une allée pavée ou dallée Pour pouvoir circuler dans l’espace vert et l’harmoniser, il est indispensable de mettre en place une allée. En fonction de vos besoins et de vos préférences, vous pouvez décider de créer une allée pavée ou dallée. La construction d’un muret Le muret peut être construit soit avec des pierres naturelles ou des pierres recomposées. Comme toutes autres clôtures, il permet de délimiter les espaces. Mais dans le cadre de la maçonnerie paysagère, cet élément a pour fonction de retenir la terre et de supporter un claustra. La mise en place d’un abri de jardin Les abris de jardin font en principe office de lieu de stockage des matériels de jardinage. Toutefois, on peut les aménager en espace habitable (ex. : dépendance, bureau, etc.). La construction d’une terrasse Ici, les travaux de maçonnerie paysagère permettent d’optimiser l’espace de vie. Comme cela implique des opérations complexes, le recours aux services d’un maçon professionnel est incontournable. En effet, plusieurs facteurs devront être pris en compte dans le cadre de l’aménagement d’une terrasse. Entre autres, il s’agit de la nature du sol, du type de matériaux à utiliser, du climat de votre région, de votre budget et de l’usage que vous désirez faire de la terrasse. La conception et l’installation d’un point d’eau Pour donner du cachet à votre jardin, vous pouvez installer un bassin d’eau ou une fontaine. Cependant, il faut impérativement étudier la faisabilité d’un tel projet. C’est pourquoi l’intervention d’un maçon est indispensable.
Il y a 3 ans et 157 jours

Total Energies va construire la centrale solaire de Prony Resources (nickel) en Nouvelle-Calédonie

Le projet, dont le coût n'a pas été dévoilé, prévoit en phases successives l'installation d'une centrale solaire d'une puissance installée totale de 160 MW, ainsi que des capacités de stockage de batteries de 340 MWh, en remplacement d'une grande partie de l'électricité produite actuellement à partir de charbon qui alimente le site minier, souligne un communiqué commun.La première centrale, d'une puissance de 30 MW, sera mise en service en 2023. La majeure partie des installations seront situées sur des terrains appartenant à l'usine hydrométallurgique du Grand Sud de Prony, une surface de quelque 150 hectares.Les deux partenaires seront liés par un contrat d'achat d'électricité renouvelable (PPA) d'une durée de 25 ans.Le projet couvrira près des deux tiers des besoins en électricité du site et permettra d'éviter chaque année l'émission de près de 230.000 tonnes de CO2, indique le communiqué.Prony s'engage à "accompagner son fournisseur et partenaire industriel historique Enercal dans la conversion au gaz de sa centrale thermique au plus tard en 2025", à développer "un programme de serres solaires" pour les tribus kanaks du grand sud, et sur place, "à installer des panneaux surélevés", pour protéger la végétation et le maquis minier, a expliqué le président de Prony Resources Antonin Beurier, cité dans le communiqué.Actuellement, le groupe émet 25 tonnes de Co2 par tonne de nickel produit et prévoit de réduire ses émissions directes et liées à l'achat d'électricité à 16 tonnes en 2025, selon une publication du groupe.Le directeur-général de Total Energies Renouvelables France, Thierry Muller a lui aussi indiqué que les deux sociétés s'engageaient à "protéger les ressources naturelles et la biodiversité ainsi qu'à améliorer la vie des communautés locales".A fin septembre, la capacité brute de production d'électricité renouvelable de Total Energies est de 10 GW et le groupe souhaite atteindre une capacité de production et stockage de 35 GW en 2025 et de 100 GW en 2030.Prony Resources (PRNC), détenu à 51% par des intérêts locaux néo-calédoniens et à 49% par le négociant suisse Trafigura allié à la direction du groupe, a repris au printemps les mines calédoniennes du groupe brésilien Vale. Il a bénéficié d'un soutien financier de l'Etat français.Il vient d'annoncer un méga-contrat avec le constructeur automobile Tesla, devenu son premier client pour le nickel destiné aux batteries électriques. Mercedes-Benz est également son client.
Il y a 3 ans et 157 jours

Une étude pointe le retard de la France sur le télétravail

D'après cette enquête menée en Allemagne, France, Espagne, Italie et au Royaume-Uni, la population active française se démarque "par un accès plus restreint" au télétravail. Quand on les interroge sur leur pratique moyenne du télétravail, seuls 29% des actifs français déclarent télétravailler "au moins une fois par semaine", contre 51% des Allemands, 50% des Italiens, 42% des Britanniques et 36% des Espagnols.La fréquence du télétravail dans l'Hexagone y est moindre qu'ailleurs. "Alors que dans les autres pays européens, la proportion de télétravailleurs quatre à cinq jours par semaine est supérieure à celle y ayant recours deux à trois jours, c'est l'inverse que l'on constate en France", notent les analystes de l'Ifop.Ainsi en Italie, 30% des actifs sont en télétravail quatre à cinq jours et 17% deux à trois jours, alors qu'en France, ces fréquences concernent respectivement 11% et 14% des actifs.Le constat est le même sur les inégalités d'accès au travail à distance selon la catégorie socioprofessionnelle (CSP). Dans les cinq pays, les CSP+ ont davantage accès au télétravail que les CSP- mais c'est en France que le clivage est le plus marqué avec un différentiel de 39 points (56% des CSP+ et 17% des CSP- ont accès au télétravail). Il est de huit points en Italie (56% contre 48%).Quand les actifs sont interrogés sur leurs aspirations, et que l'on fait la moyenne du nombre de jours "souhaités" en télétravail, il est le plus faible en France : la fréquence moyenne idéale y est de 1,8 jour par semaine contre 2,7 en Espagne, 2 au Royaume-Uni, 2,2 en Allemagne et 2,4 en Italie.Cette enquête a été réalisée du 21 au 27 septembre 2021 selon la méthode des quotas auprès d'actifs issus d'échantillons représentatifs de 1.011 Allemands, 1.002 Français, 1.004 Britanniques, 1.008 Espagnols et 1.007 Italiens.Face à la vague du variant Omicron du Covid-19, le gouvernement français a décidé que depuis lundi et pendant trois semaines, les entreprises où cela était possible devaient permettre à leurs salariés de télétravailler trois jours par semaine, voire quatre.
Il y a 3 ans et 157 jours

Lafarge Granulats acquiert les carrières du groupe Famy

Lafarge Granulats a annoncé l’acquisition de 6 carrières du groupe Famy. [©Famy] Lafarge Granulats a annoncé l’acquisition de 6 carrières de granulats du groupe indépendant Famy. Fondé dans l’Ain en 1860, ce dernier dispose de réserves importantes de matières premières dans la région Auvergne – Rhône-Alpes. Ainsi, cette opération coïncide avec celle réalisée en mars 2021. En effet, Lafarge France avait fait l’acquisition de 24 centrales de BPE et d’une carrière dans la même zone géographique. Lafarge Granulats se renforce De ce fait, le groupe Lafarge renforce sa présence sur cette région limitrophe de la Suisse. « Cette opération avec un acteur historique de l’Ain développe notre capacité à accompagner nos clients dans ce secteur très dynamique. Elle conforte notre stratégie de renforcement de l’activité au sein de Lafarge France. Lire aussi : LafargeHolcim croît en France et en Italie Et elle permettra d’accompagner le secteur de la construction pour faire face aux pénuries d’approvisionnement et d’accès aux ressources minérales », déclare Pablo Libreros, directeur de Lafarge Granulats.Et François Petry, Dg de Lafarge France, d’ajouter : « Nous allons ainsi pouvoir étendre la disponibilité de nos solutions bas carbone et d’économie circulaire auprès de nos partenaires régionaux ». La clôture de la transaction sera réalisée dans les prochaines semaines.
Il y a 3 ans et 157 jours

Filière Rep : après la parution du décret, Valobat en attente du projet d'arrêté

RECYCLAGE. Valobat, entité candidate à devenir l'un des éco-organismes de la filière de responsabilité élargie du producteur (Rep) dans le bâtiment, se satisfait de la parution d'un premier décret encadrant le dispositif. Les industriels attendent à présent la mise en consultation de l'arrêté portant cahier des charges des éco-organismes.
Il y a 3 ans et 157 jours

Mapei France se renforce sur le marché des résines pour le Bâtiment

ACQUISITION. Le spécialiste des adhésifs, revêtements et mastics pour le bâtiment, Mapei France, vient d'annoncer le rachat de la société Resipoly Chrysor et de sa filiale Eurosyntec, fabricants de résines pour le bâtiment, l'industrie, les infrastructures et les sports et loisirs.
Il y a 3 ans et 157 jours

Les mesures et conséquences positives du projet de loi de finances 2022 pour les investisseurs dans le neuf

Le cabinet de conseil en investissement immobilier Amberstone fait le point sur les principales mesures de ce nouveau Projet de loi de finances 2022 et revient sur leurs conséquences positives pour les investisseurs dans le neuf.Une baisse de l'impôt sur le revenuLes différentes tranches du barème de l'impôt sur le revenu seront rehaussées de 1,4% en 2022. La revalorisation concernera l'imposition des revenus des ménages français pour 2021. Cette mesure est née en raison de l'augmentation des prix à la consommation et son objectif est de contrebalancer les effets de l'inflation. Le barème du taux neutre (prélèvement à la source) sera également revalorisé. “Cet avantage fiscal sert directement à maintenir un niveau de consommation et d'investissement des français”, déclare la fondatrice du cabinet d'Amberstone Béatrice Dossou-Yovo.Une exonération progressive de la taxe d'habitationDéjà réduite en 2021, la taxe d'habitation sera de nouveau abaissée de 65% pour les contribuables encore soumis à cet impôt local en 2022. La taxe d'habitation pour les résidences principales sera définitivement abrogée à compter de 2023, sauf pour les logements vacants et les résidences secondaires.Une augmentation du budget alloué au logementL'enveloppe attribuée au ministère du Logement augmentera de 7% et sera évaluée à 17,1 milliards d'euros pour 2022. Ceci représente une évolution de +6% en comparaison au budget de 2020. Ce montant intègre les aides à l'accès au logement (APL), l'hébergement d'urgence, l'urbanisme et les territoires de l'habitat. Le projet de loi de finances 2022 met également l'accent sur la rénovation du parc immobilier ancien et pour les constructions neuves, le ministère assure la continuité du dispositif fiscal Censi-Bouvard.Ma PrimeRenov' prolongéeAfin de continuer à promouvoir la rénovation énergétique des logements, le dispositif MaPrimeRenov' sera prolongé en 2022 avec un budget de 2 milliards d'euros. En septembre 2020, le gouvernement a initié cette mesure avec pour objectif de réduire les passoires thermiques du marché immobilier français. Accessible aux propriétaires occupants comme aux propriétaires bailleurs et copropriétés, l'ambition pour 2021 était d'engager 400 000 dossiers. C'est le double qui est espéré pour 2022.Le dispositif Pinel + en 2022La nouvelle loi de finances prévoit la prolongation du dispositif Pinel dans les mêmes conditions jusqu'à fin 2022. Cette prolongation s'inscrit en parallèle du plan de relance énergétique de l'Etat et affirme sa volonté d'améliorer l'efficacité énergétique des logements. Ces critères de performance correspondent à la norme environnementale RE2020 pour les logements neufs.Évolutions du marché immobilier au regard de ces nouvelles mesures pharesToutes ces mesures budgétaires du Projet de loi de finances 2022 contribuent à maintenir le pouvoir d'achat et l'investissement, dans une tendance inflationniste, notamment sur le marché immobilier.Pour Béatrice Dossou-Yovo : “le maintien de la Loi Pinel (Pinel +) prouve la volonté du gouvernement de maintenir la demande sur le marché de l'immobilier neuf et donc de maintenir ce marché attractif. En effet, le Prêt à Taux Zéro ainsi que la loi Censi-Bouvard complètent le tableau des mesures incitatives. Les particuliers deviennent eux-mêmes bailleurs : ils créent leur patrimoine privé transmissible, se constituent des revenus complémentaires à la retraite. D'un autre côté, l'Etat se soulage d'une production de logement qu'il ne peut assumer seul.”
Il y a 3 ans et 157 jours

Le décret Eco-Energie Tertiaire (DEET) : au-delà d'un nouveau défi à relever, une opportunité à saisir

Qu'est-ce que le décret Eco-Energie Tertiaire (DEET) ?Issu des décrets d'application de la loi ELAN de 2018, c'est un dispositif réglementaire qui vise à réduire de manière progressive la consommation d'énergie dans les bâtiments tertiaires. L'enjeu est important car cela représente 20 % de l'énergie en France, et une part significative des émissions de gaz à effet de serre. Ce décret s'applique aussi bien sur les bureaux que les services publics, les établissements d'enseignement, les commerces, les hôtels et restaurants, les salles de sports et de spectacles, les gares, les parkings... Bref, tous les bâtiments tertiaires. Le DEET concerne également tous les bâtiments dès lors que l'ensemble de ses surfaces à usage tertiaire sont égales ou supérieures à 1000 m2. Cela implique donc les bâtiments industriels qui intègrent le plus souvent des zones de stockage, des entrepôts climatisés ou réfrigérés, des réfectoires ou encore des bureaux. Quel est le calendrier de mise en œuvre de ce décret vertueux ?Le DEET ambitionne de réduire la consommation énergétique de 40 % d'ici 2030, 50 % d'ici 2040 et 60 % à horizon 2050. Le calendrier est donc progressif, ce qui est une garantie de sa bonne déclinaison sur le terrain. Mais cet objectif doit s'appuyer sur un point de départ. La première déclaration de consommation devra être enregistrée au plus tard le 30 septembre 2022.Le DEET laisse le propriétaire libre d'opter pour un objectif en valeur absolue ou en valeur relative. Dans le premier cas, il est déterminé en fonction du type de bâtiment. Dans le second, l'objectif de réduction de l'énergie utilisée répond à la consommation réelle observée sur une période définie. Adaptée aux bâtiments anciens, cette méthode offre l'avantage de fixer le point de référence pour prendre en compte, dès aujourd'hui, les investissements réalisés au cours des dernières années en matière d'efficacité énergétique. L'objectif est de ne pas pénaliser les acteurs déjà engagés dans une démarche vertueuse. Ceux-ci pourront ainsi prendre une année de référence antérieure à d'importants travaux effectués au cours des dernières années, comme la révision de l'isolation ou l'installation d'une chaufferie. Ainsi, il sera possible d'éviter que l'effort demandé ne les prennent pas en compte pour atteindre l'objectif de réduction de la consommation en 2030, 2040 et 2050.Y-a-t-il des obstacles pour répondre à cette nouvelle obligation réglementaire ?Le DEET est un décret. Comme souvent, le volet administratif est conséquent. Compte tenu des enjeux énergétiques, environnementaux et économiques, le suivi de sa mise en œuvre va demander de la méthode et de l'expertise. Outre la stratégie retenue par chaque acteur concerné, il faudra collecter, identifier, recenser et affecter toute l'information nécessaire pour valider les indicateurs. De multiples facteurs seront à prendre en compte : la composition du bâtiment, son histoire, l'historique de son entretien et de sa rénovation. Pour faciliter et harmoniser ces démarches exigeantes, la plateforme numérique OPERAT est mise à disposition.Il sera possible de modéliser les consommations à travers des études argumentées et justifiées par une maîtrise technique et opérationnelle des solutions déployées. Ce type de démarche scientifique doit être réalisée par des experts de la performance énergétique. EQUANS y travaille depuis 2019 et la loi ELAN peut apporter une réponse fiable et sur mesure. En matière d'efficacité énergétique en milieu tertiaire, il y a autant de situations possibles que de bâtiments concernés. Il faut donc impérativement être agile pour répondre au mieux aux exigences du DEET, avec une solution sur toute la chaîne de valeur.Le décret doit être vu comme une opportunité d'accélérer très concrètement la transition énergétique mais aussi industrielle, car le champ d'application est vaste. Il y a un formidable gisement d'économie à transformer, notamment grâce au digital. L'accompagnement dans cette triple transition est précisément au cœur de l'ADN de EQUANS.Tribune de Marc-André Merlet, Directeur Performance Energétique chez EQUANS France et expert du Dispositif Eco-Energie Tertiaire (LinkedIn).
Il y a 3 ans et 157 jours

Guillaume André, nouveau président du collège BPE Normandie

Portrait de Guillaume André, nouveau président du collège BPE Normandie du SNBPE. [©SNBPE] Il y a peu nommé directeur général de l’agence normande LafargeHolcim Bétons France, Guillaume André vient d’être élu à la présidence du collège BPE Normandie du SNBPE. Il succède ainsi à Thierry Flandre. « Je souhaite avant tout remercier mes pairs, ainsi que Thierry Flandre pour tout le travail accompli au sein du collège BPE Normandie », a déclaré Guillaume André lors de sa nomination. Celui-ci souhaite continuer les actions menées par son prédécesseur. Ainsi, il veillera à maintenir les orientations clefs actuelles et soutiendra les actions en faveur de la sécurité et de l’environnement. Ainsi que de la promotion des métiers du BPE. Son parcours Guillaume André aspire à apporter son soutien et à accompagner les entreprises adhérentes vis-à-vis de la mise en place de la nouvelle règlementation relative à la Responsabilité élargie des producteurs (Rep). De plus, il continuera à proposer un service de proximité aux adhérents du collège pour les accompagner au mieux dans leurs projets. Le nouveau président est titulaire d’un diplôme d’ingénieur des mines, ainsi que d’un DUT génie civil. Il a occupé de nombreux postes au sein de LafargeHolcim (nouvellement Holcim), tel que le développement produits, l’innovation, le marketing et la performance commerciale. C’est en 2021 qu’il prend la direction générale de l’agence Normandie de LafargeHolcim Bétons France.
Il y a 3 ans et 157 jours

Jean-Philippe Ricard à la direction générale de Freyssinet

Portrait de Jean-Philippe Ricard, le nouveau directeur général de Freyssinet. [© Freyssinet]. Référence dans le domaine du génie civil, de la précontrainte et de la réparation des bétons, l’entreprise Freyssinet a nommé Jean-Philippe Ricard à sa direction générale. Il succède à Patrick Nagle, qui occupait ce poste depuis 2016. Ce dernier a fait valoir ses droits à la retraite. Jean-Philippe Ricard était auparavant directeur général adjoint, ainsi que directeur opérationnel de la zone Nord-Atlantique.   Son parcours Diplômé de l’Ecole nationale des techniques avancées et de Polytechnique, Jean-Philippe Ricard débute sa carrière chez Bouygues Offshore comme ingénieur. En 2008, il rejoint Vinci Construction Grands Projets, afin de piloter les travaux maritimes et le développement commercial de la zone Afrique du Nord. En 2012, il prend la direction du pôle “Grands Projets” et devient aussi le responsable des travaux de génie civil, de génie civil industriel et nucléaire. Par ailleurs, Jean-Philippe Ricard a créé, en 2014, Eiffage Fondation.
Il y a 3 ans et 157 jours

Un nouveau type de radars routiers va être testé en France

Première phase d'expérimentationTrois technologies différentes vont être testées pour ces radars qui seront mis en place à partir du mardi 4 janvier ou du 5 janvier, dès la publication d'un décret dans le Journal officiel. Ces radars sont installés sur la route qui traverse Saint-Forget (78) dans la vallée de Chevreuse, route chérie des motards.Cete route avait déjà fait l'objet d'un test pour un « radar méduse » équipé d'une caméra et de micros.Six autres collectivités vont donc voir apparaître ces dispositifs dans les semaines prochaines : Paris, les métropoles niçoises, toulousaines et lyonnaises, Bron et les communes de Rueil-Malmaison (92) et Villeneuve-le-Roi (94).Pendant cette phase expérimentale, les radars ne constateront pas d'infractions, le but du test étant de déterminer le niveau sonore maximal, fixé pour commencer à 90 décibels (les sons de la vie quotidienne sont compris entre 30 et 90 décibels).Jusqu'à maintenant, chaque véhicule avait son propre niveau sonore maximal que l'on peut retrouver sur sa carte grise et que les forces de l'ordre ne pouvaient contrôler qu'à l'arrêt pour vérifier sa conformité.Le but pour le ministère est donc « d'amplifier les contrôles et d'améliorer leur efficacité ».Seconde phase d'expérimentationTrois mois à partir de la mise en place des radars tests, une deuxième phase d'expérimentation pourra commencer avec cette fois-ci la constatation d'infractions et donc de potentielles contraventions de 4ème classe, c'est-à-dire une amende forfaitaire de 135 euros, minorée à 90 euros si le paiement est effectué dans les 15 jours.Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, souligne dans un communiqué que « le bruit a un coût très concret pour nos concitoyens » et que « des réglementations existent déjà mais la généralisation des contrôles est un levier essentiel pour lutter efficacement contre cette source de pollution, en particulier sur la voie publique ».Pour rappelLe « coût social » auquel fait référence Barbara Pompili fait référence à l'exposition au bruit, principalement des transports, qui coûte plus de 147 milliards d'euros par an en France, notamment via les conséquences sanitaires indirectes, selon un rapport publié en juillet 2021 par le Conseil national du bruit et de l'Ademe (Agence de la transition écologique).Quant à l'OMS, l'organisation considère que le bruit est le deuxième facteur environnemental provoquant le plus de dommages sanitaires en Europe, juste après la pollution de l'air, responsable de 40.000 décès prématurés par an en France par exemple.Ces nouveaux radars sonores auront donc « vocation à être généralisés sur l'ensemble du territoire national » si un dispositif législatif pérenne est adopté, selon le ministère.
Il y a 3 ans et 157 jours

Robinetterie Taormina by Ritmonio design et respectueuse de l'environnement

Ritmonio répond rapidement aux besoins du marché : depuis des années, l'entreprise guide les processus en visant une production éthique, visant à minimiser l'impact sur l'écosystème. Une attention qui se reflète également dans l'analyse constante du système de production et dans les interventions pour le mettre en œuvre. En plus de la certification ISO 14001 qui garantit la durabilité et l'exactitude de la gestion environnementale, Ritmonio a mis en place le programme ECO pour les produits de la division Bath & Shower (mitigeurs de lavabo et bidet) qui se caractérisent par un débit d'eau inférieur à 9 l/min, tout en assurant un confort d'utilisation maximal.Parmi ceux-ci, également TAORMINA, une collection qui se décline dans une gamme complète de produits pour différents usages : à partir des mitigeurs par appui, aux mitigeurs encastrés, jusqu'aux pommes de douche. Pour certaines de ces configurations, le débit d'eau est inférieur à 6 l/min, incarnant parfaitement l'inclination naturelle de Ritmonio pour une conception durable.La collection revisite des éléments classiques dans une touche contemporaine, avec des lignes gracieuses. S'inspirant clairement de la station balnéaire sicilienne enviée dans le monde entier pour son charme et sa beauté, la série incarne la véritable expression du Made in Italy de la société : le corps du mitigeur de lavabo rappelle la forme des colonnes caractéristiques du théâtre antique de Taormina et ses lignes douces font référence aux criques et aux vagues sinueuses de la mer Méditerranée.Design épuré, largeur et transversalité de l'offre : tels sont les atouts de la série. Proposée en 16 finitions, elle est disponible avec une commande sans levier, plus minimale et essentielle, ou avec levier, pour permettre à l'utilisateur final plus de personnalisation dans la salle de bain.TAORMINA est une solution multiforme et polyvalente, respectueuse de l'histoire dans la modernité. Un produit au design hautement technologique, conçu pour réduire considérablement la consommation d'eau et d'énergie et préserver l'eau, l'un des ressources naturelles les plus précieux.
Il y a 3 ans et 157 jours

SimonsVoss au service des aînés du Groupe Urban Senior

Le Groupe propose des services d'assistance et d'accompagnement dans les actes essentiels de la vie quotidienne des personnes âgées : animation, gardiennage, restauration, l'entretien du bâtiment...Confort, sécurité et qualité de vie sont les maîtres-mots qui rythment la vie des logements d'Urban Senior. L'objectif est d'optimiser la sécurité des résidents et d'éviter le casse-tête de la gestion des clés mécaniques. En effet, lorsque les personnes prennent de l'âge et commencent à avoir des soucis de santé, opter pour l'ouverture de porte via un badge est la solution idéale. Séduit par le design, la simplicité de l'installation et la gestion des fermetures numériques SimonsVoss, le choix de son déploiement au sein d'Urban Senior était une évidence après une phase test débutée en 2018.Après ladite phase test, le Groupe a finalement équipé deux bâtiments avec la plaque-béquille SmartHandle 3062 : « Le Clos Saint Jeannais » à Saint-Jean de Bournay, qui compte 52 appartements, et « Le Clos Stéphanois » à Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, en phase de construction, qui comportera 57 appartements. A ce jour, plus de 110 appartements disposent d'une solution de contrôle d'accès SimonsVoss. Une facilité d'action hors normeConçue pour les besoins spécifiques du secteur hospitalier ou des établissements de santé en général, la serrure électronique SmartHandle 3062 SnapIn comporte un montage sans perçage permettant de respecter la certification coupe-feu et thermique de la porte. La béquille fonctionne à l'aide des piles qui affichent une grande autonomie avant leur changement - environ 10 ans en mode veille. Urban Senior a opté pour un mode offline de son système, mais pourra dans le futur évoluer facilement en réseau online sans changer de produits.La gestion des accès est centralisée depuis le logiciel Locking System Management (LSM). Les badges sont paramétrables à tout moment : en cas de perte, d'oubli, lors des visites des familles... par le gestionnaire.Au cas de besoin, il est possible d'attribuer des horaires spécifiques aux familles pour les visites, mais dans la plupart des cas ce sont que les résidents qui ont accès à leurs appartements.« Nous étions à la recherche d'une solution pérenne et facile d'installation, qui sera appréciée par notre personnel et nos occupants pour la simplicité de l'utilisation. Et la solution proposée par SimonsVoss réunit tous ces critères. Elle répond à 100 % à notre besoin, celui de disposer d'un système sûr et fiable pour répondre aux exigences de sécurité dans notre établissement », précise Michael RULL, gérant des sites d'Urban Senior.
Il y a 3 ans et 157 jours

Les tableaux de Notre-Dame de Paris sont en restauration

Les 22 tableaux de Notre-Dame de Paris sont entrés en restauration en octobre 2021 pour 2 ans. Cette opération, portée par la Conservation régionales des monuments historiques (CRMH) de la DRAC Île-de-France, est rendue possible grâce aux donations collectées pour la restauration de la cathédrale suite à l’incendie survenu le 15 avril 2019. Dès le 15 avril 2019, deux tableaux avaient été évacués vers le musée du Louvre dont La Nativité de la Vierge des frères Le Nain et la Vierge de Pitié de Lubin Baugin. Le 19 avril, dix-huit autres tableaux les avaient rejoints. Les deux dernières œuvres, difficilement accessibles, ont été évacuées en août 2020. Tous les tableaux ont été dépoussiérés face et revers et ont bénéficié chacun d’un constat d’état. Les 22 œuvres, en plus d’être des toiles de grands maîtres, sont pour la plus part des tableaux de grande taille allant jusqu’à 4,5 m de haut et 3,5 m de large. Les techniques de restauration anciennes ont permis une bonne conservation des œuvres dans le temps. Les altérations des tableaux de Notre-Dame sont due au vieillissement naturel des matériaux et non à l’incendie qui n’a, heureusement, pas détérioré les tableaux. L’opération de restauration, inédite par son ampleur, doit durer deux ans, afin que les toiles puissent retrouver la cathédrale au moment de sa réouverture. La restauration s’effectue par étapes en série de quatre tableaux (un tableau par lot du marché) dans des ateliers conçus spécifiquement. La première étape consiste à réaliser des tests de restauration sur les tableaux pour déterminer leur usure et les besoins d’interventions à réaliser. Chaque équipe de restaurateurs étudie minutieusement les supports et la couche picturale à l’aide de techniques scientifiques perfectionnées : traitement à base de produits chimiques, projection précise de lumières spécifiques, utilisation de technologies de pointe.   Source et photo : Drac Ile-de-France  
Il y a 3 ans et 157 jours

L’Obélisque fait peau neuve

Monolithe de granit sculpté, l’Obélisque de Louxor est érigé au centre de la place de la Concorde depuis 1836. Il a été offert en 1830 par l’Égypte en reconnaissance du travail du Français Jean-François Champollion pour le déchiffrement des hiéroglyphes, réalisé en 1822. Grâce à un mécénat de compétences avec la société Kärcher, la DRAC Île-de-France engage la restauration du plus ancien monument de Paris en 2022, année du bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes par Jean-François Champollion. Une restauration minutieusement préparée depuis plusieurs mois. Le chantier a débuté mi-novembre 2021 par l’installation des échafaudages, la restauration commence en janvier 2022. La préparation a duré plus d’une année avec le mécène Kärcher et les équipes du ministère de la Culture, afin d’élaborer les protocoles adéquats de restauration. Durant cette phase préparatoire, des tests de nettoyage du monolithe, du piédestal et du socle ont été organisés, sous le contrôle du Laboratoire de recherche des monuments historiques (LRMH). Plusieurs méthodes ont été testées, dans le respect d’un protocole consistant à valider l’innocuité des technologies proposées par Kärcher, examiner la rugosité post-nettoyage par scan 3D et comparer l’état de surface du granit avec un échantillon de granit sain d’Assouan. Les analyses du LRMH ont conclu à l’utilisation de deux méthodes différenciées : la vapeur chaude pour le socle et le piédestal, le micro-sablage pour le monolithe L’opération comprend donc la restauration du monolithe, de son piédestal, de son podium et de la grille de clôture. Elle intègre une phase de consolidation des zones desquamées du monolithe et un nettoyage adapté aux différents matériaux composant le monument : révision et réparation des feuilles d’or du pyramidion, micro-sablage à basse pression pour le monolithe, vapeur d’eau et éponge pour le piédestal, éponge pour les décors gravés et dorée et vapeur d’eau et micro-sablage pour le podium. La présentation du podium sera améliorée par la reprise des joints et le goujonnage de la pierre formant bordure extérieure . La grille et les portillons font l’objet d’une révision et d’une reprise des peintures et la pointe manquante sur la grille sera restituée. Les restaurateurs permettront un rendu homogène de l’ensemble et reprendront les parties dorées à la feuille d’or. La bâche et les palissades de chantier décorées par un jeune artiste diplômé des Beaux-Arts de Paris Dans le cadre de la convention de mécénat avec Kärcher, un partenariat a été noué avec l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris, qui a permis de lancer un appel à projet auprès des étudiants et diplômés de l’école. Un jury, composé de représentants du ministère de la Culture, des Beaux-Arts de Paris, du musée du Louvre, de l’architecte en chef des monuments historiques et de l’entreprise mécène s’est réuni à la DRAC Île-de-France le 29 novembre 2021. Parmi les 11 candidatures reçues, 3 artistes ont été sélectionnés et leur projet soumis à la ministre de la Culture. L’artiste retenu est Jonathan SOBEL, diplômé de l’école en 2021. Sa proposition, qui sera à découvrir à partir du 24 décembre, est un monolithe jaune (soleil égyptien) et gris (ciel parisien) présentant les effigies de Ramsès II (1304-1213 avant J.-C.), Méhémet Ali (1769-1849), Charles X (1757-1836) et Jean-François Champollion (1790-1832), quatre grands hommes liés à la création et la destinée du monument, comme sérigraphiés dans une matière révélant à l’observateur attentif des formes et caractères qui sont autant d’indices de cette histoire.   Source et photo : Drac Ile-de-France  
Il y a 3 ans et 157 jours

M6 devient l'actionnaire majoritaire de Stéphane Plaza Immobilier

Avec un investissement supplémentaire de 2,5 millions d'euros, le groupe audiovisuel M6 a atteint les 51% du capital nécessaires pour devenir actionnaire majoritaire de la société immobilière de l'animateur préféré des français en 2021.Stéphane Plaza, qui détient environ un quart de la société, gardera ses responsabilités ainsi que sa participation, a annoncé le groupe dans un communiqué.L'animateur connu pour ses multiples émissions sur l'immobilier comme « Maison à vendre » avait donné son nom à l'entreprise créée en 2015 avec deux anciens dirigeants du réseau concurrent Laforêt, Patrick-Michel Khider de Lusigny (actuel président) et Bernard de Crémier, décédé en 2019.Cet investissement du groupe M6 s'inscrit dans une volonté de consolider son réseau de 660 franchises et de continuer sa stratégie de diversification.Selon le groupe de télévision et de radio, "les investissements significatifs dans les écrans publicitaires ont permis de valoriser une marque et un savoir-faire" salutaires pour Stéphane Plaza Immobilier.La société immobilière avait dégagé en 2020 un résultat net de 6 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 16,5 millions d'euros et entend réaliser une marge opérationnelle (Ebita) de 12,5 millions d'euros en 2021, en croissance de 47% sur un an.Cette prise de contrôle survient pendant qu'une opération de fusion avec le concurrent historique de M6, TF1, est prévue pour la fin de l'année, sous réserve de l'obtention de l'accord de l'Autorité de la concurrence et du CSA.
Il y a 3 ans et 157 jours

Nomination de Gaëtan Leprince au poste de Directeur des Ventes Bâtiment France de Toupret

Spécialiste des produits de l'habitat, Gaëtan était auparavant chez Saint-Gobain, groupe dans lequel il a démarré sa carrière en 2008. Avec plus de 13 ans dans l'industrie des matériaux de construction, il a occupé différentes fonctions de responsable commercial, marketing, et management en France et à l'international pour des marques comme Placo, Isover ou Weber.Gaëtan LEPRINCE est âgé de 35 ans. Il est titulaire d'un diplôme de Manager en ingénierie d'affaires (Sup de ventes) et d'un DUT en Techniques de commercialisation.Commentant cette annonce, Hervé GUERMONPREZ, Directeur Commercial France du Groupe TOUPRET, déclare : « Du fait de son parcours, Gaëtan bénéficie d'une grande culture des produits de second œuvre, d'une parfaite connaissance des acteurs de la construction et des réseaux de distribution. À un moment où nous renforçons notre position sur le marché professionnel et notamment sur le marché du neuf avec les enduits en pâte et les gros volumes, son expérience dans l'industrie des matériaux de construction constitue un véritable atout pour accompagner notre développement ».De son côté, Gaëtan LEPRINCE, Chef de ventes Bâtiment France, commente : « Je suis très fier de porter une marque forte telle que TOUPRET et de rejoindre une équipe de commerciaux et de démonstrateurs expérimentés. Je retrouve ici une expertise terrain et produits qui selon moi fait la force d'une marque sur les chantiers. Reconnue par les applicateurs et les distributeurs pour sa qualité et sa fiabilité, c'est une marque utilisée au quotidien en neuf ou en rénovation, et pour qui l'attachement au produit est très fort ».
Il y a 3 ans et 158 jours

14 morts sur un chantier après un glissement de terrain en Chine

L'éboulement s'est produit à Bijie, une localité dans le Guizhou située à 2.000 km à l'ouest de Shanghai.Quand le sinistre s'est produit lundi soir, des ouvriers travaillaient au renforcement d'une colline sur un chantier, a indiqué l'agence de presse Chine Nouvelle.Quatorze personnes ont péri et trois autres ont été blessées, a précisé l'agence.Les opérations de sauvetage se sont achevées mardi 4 janvier.Une enquête est en cours pour déterminer l'origine du sinistre, selon Chine Nouvelle.Des photos publiées par les médias montraient des sauveteurs travailler de nuit sous des projecteurs. Sur d'autres clichés, une structure en béton détruite était visible ainsi qu'une pelleteuse écrasée par des débris.La sécurité sur les chantiers s'est améliorée en Chine au cours des dernières décennies, tout comme la médiatisation de ces incidents dont beaucoup étaient autrefois passés sous silence.Mais des accidents surviennent encore régulièrement, en raison du danger inhérent au secteur et de l'application parfois aléatoire des consignes de sécurité.En décembre, deux ouvriers avaient trouvé la mort et une vingtaine d'autres avaient été blessés dans une mine inondée à Xiaoyi dans la province du Shanxi (nord).
Il y a 3 ans et 158 jours

Les points essentiels à connaitre sur les pentes de toiture

La toiture est un élément essentiel de la maison. Pour sa mise en place, l’intervention d’un professionnel du domaine est incontournable. En effet, il s’agit d’une tâche très technique qui nécessite des connaissances poussées en travaux de bâtiment. En outre, l’installation doit se faire selon des normes bien précises. Le calcul de pente de la toiture fait justement partie des opérations qu’on ne peut négliger. Nous allons justement en parler dans les lignes suivantes. La pente de toiture, un sujet non négligeable Le toit est la structure qui garantit l’étanchéité de la construction. Il préserve l’habitation des infiltrations d’eau. Mais pour cela, il doit permettre une bonne évacuation des eaux de pluie. Par conséquent, il devra être suffisamment incliné. Pour la toiture plate par exemple, elle doit présenter une pente d’environ 1 % à 5 %. Peu importe sa forme, le calcul de la pente de la toiture doit se faire selon les normes de la construction. Il se fait également en tenant compte de plusieurs facteurs. C’est pourquoi il est préférable de laisser cette tâche aux soins d’un couvreur professionnel. Bon à savoir : La différence doit être faite entre la pente minimale et la pente recommandée. La première est imposée selon les différents paramètres fixés par les Documents Techniques Unifiés (DTU). Quant à la seconde, elle est décidée par le couvreur au moment de procéder au calcul. C’est notamment le cas lorsqu’il faut tenir compte d’autres critères. Pour une protection optimale de la charpente et des autres éléments du toit, cet artisan peut ainsi proposer une pente différente. Quelles sont les normes qui encadrent le calcul de la pente de toiture ? En France, la rénovation ou la construction de toiture doit se faire selon les normes imposées par les DTU. Ces derniers comprennent également les règles relatives au calcul de la pente de toiture minimale. Principalement, il y a 3 DTU et normes qui encadrent ce procédé. En l’occurrence, il s’agit de : La norme française NF P 36 201 concernant la répartition des descentes d’eau verticales ; La DTU 40.5 relative à la mise en œuvre de l’évacuation des eaux pluviales ; Le DTU 60.11 sur les dimensions et les règles de calcul des canalisations. À côté de ces normes, une consultation du Plan Local d’Urbanisme (PLU) auprès de la mairie s’impose. En fonction des spécificités régionales, le PLU peut dicter la hauteur de votre maison, l’esthétique du toit ainsi que le choix des matériaux de couverture (ex. : ardoise, zinc, tuiles de terre cuite, etc.). Vous pouvez également contacter cette entreprise de couverture qui est en connaissance de ces diverses règles. Calcul de la pente de toiture : quels sont les principaux critères à tenir compte ? Comme susmentionné, le calcul de la pente du toit se fait selon des critères bien précis. En l’occurrence, il s’agit de : La zone géographique de la toiture Pour le cas de la France, on distingue 3 zones d’habitation. À chacune de ces zones correspondent des normes pour les pentes de la toiture. Ces dernières sont déterminées en fonction de la distance entre la bâtisse et le littoral. Par exemple, la zone 1 correspond aux maisons implantées à plus de 40 km de la mer ou à moins de 200 m d’altitude. La zone 2 est relative aux habitations situées entre 20 et 40 km de la côte ou entre 200 m et 500 m d’altitude. Quant à la zone 3, elle concerne les constructions à moins de 20 km de la mer ou à moins de 500 m d’altitude. Pour cette zone, la toiture est plus exposée aux intempéries.  L’environnement autour de la bâtisse La situation exacte de votre maison et son environnement direct entrent en compte dans le calcul de la pente du toit. Une toiture de maison entourée de collines est moins exposée au vent et aux intempéries par rapport à une toiture de maison sur le littoral ou en haut d’une falaise. Les matériaux de couvertures à installer Pour le choix des matériaux de couverture, vous pouvez compter sur l’aide d’un couvreur professionnel. D’ailleurs, il est à noter que la pente de la toiture varie en fonction du type d’habillage à mettre en place. Pour les tuiles en terre cuite, il faudra par exemple prévoir une inclinaison minimale de 20 %. En revanche, une pente minimale de 26 % devra être respectée pour permettre la pose des ardoises.
Il y a 3 ans et 158 jours

Tours jumelles à La Défense : Hermitage menace l'établissement public de poursuites

Suite à la décision lundi du conseil d'administration de l'établissement public local Paris La Défense de ne pas approuver les promesses de vente avec Hermitage, notamment à cause de « l'absence de garanties financières et techniques fournies par le porteur de projet », Hermitage met en demeure Paris La Défense de signer sous peine de demander un milliard d'euros de dommages et intérêts.Le projet en question, appelé "Hermitage Plaza", est initié par le promoteur russe EminIskenderov et prévoyait la construction de deux gratte-ciels de 320 mètresde haut avec des résidences de luxe, des bureaux, des hôtels et des commerces pour remplacer des immeubles de logements construits en 1974.Hermitage a fait savoir dans un communiqué le 4 janvier qu'il était « stupéfait de constater que Paris La Défense n'a pas respecté son engagement en arguant d'éléments fallacieux de signer la promesse de vente avant le 31 décembre 2021 telle que prévue par le protocole du 24 mars 2021 qui découlait d'une médiation judiciaire ».Ce refus de la part de l'établissement public est également vu comme « incompréhensible et troublant », « un revirement troublant » par la société du promoteur russe qui « rappelle avoir travaillé pendant 13 ans et avoir investi 350 millions d'euros pour un projet emblématique et sur la base d'un accord de partenariat pris par un établissement public de l'État repris depuis par Paris La Défense ».Des informations mensongères à l'origine du refus selon HermitageDans ce même communiqué du 4 janvier, Hermitage déclare que « des informations mensongères ont apparemment été diffusées en interne lors du conseil » d'administration de Paris La Défense le 28 décembre « portant sur la réalité des engagements et la qualité des partenaires du projet » sans avancer toutefois de preuves.La société affirme notamment avoir « produit la preuve de l'engagement ferme d'un établissement financier international de premier plan de fournir le financement nécessaire pour qu'[il] s'acquitte de ses obligations au titre de la promesse de vente, soit un montant de 280 millions d'euros, offrant ainsi les garanties financières exigées ».Paris La Défens est donc mis en demeure de signer la promesses de vente par Hermitage, sans quoi Hermitage reprendra sa procédure de demande d'un milliard d'euros de dommages et intérêts « nonobstant une demande en exécution forcée et d'autres procédures pour rupture abusive et déloyauté » à laquelle l'entreprise avait renoncé lors d'une médiation.
Il y a 3 ans et 158 jours

L’OPPBTP met à jour son Guide de préconisations de sécurité sanitaire

Ces nouvelles directives gouvernementales ont pour objectif de faire face à l’extrême contagiosité du variant Omicron et de freiner la pandémie tout en préservant au mieux l’activité économique et sociale. Les principaux aménagements du guide concernent :Le télétravail : les entreprises doivent recourir à 3 jours de télétravail par semaine, voire plus lorsque cela est possible. Le télétravail est en revanche nécessairement de portée limitée dans le BTP. L’OPPBTP rappelle l’importance primordiale, face aux risques traditionnels des chantiers, d’assurer la présence sur chantier d’équipes complètes, y compris l’encadrement managérial et technique.Le rappel des gestes barrières : port du masque, hygiène des mains, aération des locaux, distance minimale de 2 mètres chaque fois que le port du masque n’est pas possible ou mise en place d’écrans barrière, restent valables. Dans les lieux de pause et les vestiaires qui peuvent être source de promiscuité, les mesures qui avaient été prises dès les premières vagues retrouvent toute leur utilité afin de préserver la santé de chacun et d’assurer la continuité de l’activité : roulement des horaires, écrans barrières…Isolement des cas contact : l’isolement n’est plus obligatoire pour les personnes vaccinées. Un contrôle par test à J+2 et J+4 après le dernier contact avec la personne testée positive est toutefois requis. En revanche, les personnes ne bénéficiant pas d’un schéma vaccinal complet doivent s’isoler pendant sept jours pleins. La fiche conseil Contact Tracing éditée par l’OPPBTP a été mise à jour.Pour Paul Duphil, secrétaire général de l’OPPBTP : « En ce tout début d’année 2022, c’est bien sûr la fin de l’épidémie, conjuguée à une activité soutenue et une bonne gestion des risques professionnels, que nous aimerions souhaiter à tous nos amis de la construction. Olivier Véran a exprimé hier son espoir que cette 5e vague sera la dernière, nous nous associons bien sûr à cet espoir. En attendant, continuons dans la construction à gérer cette épidémie avec professionnalisme et efficacité comme nous le faisons depuis avril 2020, pour vite nous en débarrasser. » Le guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction en période d’épidémie de coronavirus SARS-Cov-2 est disponible sur le site internet de préventionbtp.fr.Par ailleurs, les conseillers en prévention et les formateurs de l’OPPBTP sont toujours disponibles sur le terrain ainsi qu’à distance grâce au service PréventionBTP En Direct. Une base de Questions/Réponses spécifiques sur la Covid-19 est à disposition sur le site.
Il y a 3 ans et 158 jours

Omicron : le guide de l’OPPBTP reprend les nouvelles directives

La nouvelle version du guide de l’OPPBTP prend en compte le protocole sanitaire en entreprise du ministère du Travail applicable depuis le 3 janvier. L’organisme insiste sur la nécessité d’assurer, malgré les trois jours de télétravail obligatoires pour les postes éligibles, la présence sur chantier d’équipes complètes, y compris s’agissant des postes d’encadrement.
Il y a 3 ans et 158 jours

Impression 3D béton : “Home sweet home”

Icon s’est associé à Lennar pour imprimer en 3D béton un quartier entier aux Etats-Unis. [©Icon] Spécialiste de l’impression 3D béton, Icon voit les choses en grand. L’industriel américain s’est associé à Lennar pour imprimer un quartier entier aux Etats-Unis. C’est près de la ville d’Austin, au Texas, qu’une centaine de maisons seront construites. Ce projet devrait être inauguré dans le courant de l’année 2022. Il sera d’ailleurs le plus grand regroupement de maisons en béton imprimées en 3D au monde. Pour élaborer ce quartier, Icon et Lennar ont collaboré avec le cabinet d’architecture Bjarke Ingels Group. « La fabrication additive a le potentiel de révolutionner l’environnement bâti. A mesure qu’elle est adoptée par l’industrie à grande échelle, explique Martin Voelkle, architecte chez Bjarke Ingels Group. En nous associant à Icon et à Lennar, nous sommes en mesure de voir cette nouvelle technologie se déployer autour du public le plus large possible. » Une réponse aux enjeux de la construction La technologie d’impression 3D béton d’Icon permet de produire des maisons éco-énergétiques et plus rapidement qu’avec les méthodes de construction conventionnelle. Elle permet aussi de réduire le nombre de déchets et offre plus de liberté dans la conception des habitations. C’est pourquoi allier le béton et l’impression 3D se démocratise dans ce secteur. Lire aussi : Impression 3D béton pour le logement social En effet, cette technologie pourrait répondre à une problématique majeure : la crise du logement. « Icon existe en réponse à la crise mondiale du logement et pour mettre notre savoir au service du monde », déclare Jason Ballard, Pdg d’Icon. Et d’ajouter : « Les Etats-Unis sont confrontés à un déficit d’environ 5 M de nouveaux logements. Il y a donc un besoin profond d’augmenter rapidement l’offre, sans compromettre la qualité, la beauté ou la durabilité des bâtiments. C’est là, la force de notre technologie. »
Il y a 3 ans et 158 jours

Knauf Insulation intensifie le recyclage de la laine de verre

Knauf Insulation investit plus de 15 millions d’euros et intensifie le recyclage de la laine de verre sur son site de Visé en Belgique. Grâce à un nouveau processus de récupération et de recyclage la matière est réintégrée dans le circuit et valorisée, au lieu d’être envoyée en décharge. Cette usine de recyclage permet aussi de répondre à la RE2020 pour la diminution de l’impact carbone des bâtiments. La capacité de recyclage sera reprise dans les FDES dans la partie « fin de vie du produit ». Le groupe augmente ainsi l’offre d’alternatives à plus faible impact environnemental. Cette avancée vient compléter l’avantage du liant à base végétale ECOSE®Technology, qui réduit significativement les émissions carbone en comparaison avec un liant pétrochimique. Cet article Knauf Insulation intensifie le recyclage de la laine de verre est apparu en premier sur Planète Bâtiment.