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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88007 résultats)
Il y a 3 ans et 160 jours

Holcim veut devenir un champion des systèmes de toitures

ACQUISITION. Après avoir racheté Firestone Building Products début 2021, Holcim a signé un accord fin décembre pour mettre la main sur l'américain Malarkey Roofing Products, un acteur dédié à la toiture sur le marché résidentiel.
Il y a 3 ans et 160 jours

Réemploi, recyclage, est-ce vraiment pertinent et écologique ?

Quelques 230 millions de tonnes de déchets, c’est ce que génère, chaque année, le milieu du BTP. Un chiffre qui lui vaut la médaille de “premier polluant”, tous secteurs confondus. A lui seul, il représente quasiment 70% des déchets produits en France et, dans le bâtiment, plus de 90 % de ces déchets proviennent de […]
Il y a 3 ans et 162 jours

Nouméa renouvelle le contrat d'Engie

EEC Engie, filiale néo-calédonienne d'Engie Solutions (activités d'efficacité énergétique d'Engie), assurera l'apport d'électricité aux 100.000 habitants de la ville, avec l'entretien, le renouvellement et l'extension des installations électriques (725 km de réseaux, quatre postes sources, 630 postes de distribution et 46.000 points de livraison).Les équipes gèreront aussi les quelque 1.500 points d'injection photovoltaïque produits par des usagers producteurs.Le contrat prévoit notamment le déploiement de "solutions innovantes pour répondre aux enjeux locaux": réduction des coupures (avec d'ici 2026, des temps de coupure sous la barre des 20 minutes par an), intégration des ouvrages dans l'environnement urbain (enfouissement des réseaux) et esthétique des équipements (postes source, postes de transformation, coffrets de réseaux), résilience accrue des installations face aux événements climatiques.Pour Engie, "ce succès consolide [son] rôle comme acteur majeur de la transition énergétique dans le Pacifique".Gestionnaire de réseau de distribution d'électricité depuis 1929, EEC est délégataire pour le service public de la distribution d'électricité dans huit autres communes calédoniennes, outre Nouméa, desservant au total plus de 65% de la population de l'archipel.Engie réalise un chiffre d'affaires annuel de 500 millions d'euros en Nouvelle-Calédonie, en Polynésie française, au Vanuatu et à Wallis-et-Futuna (production d'énergie renouvelable, réseaux de distribution d'électricité, stockage batteries...)
Il y a 3 ans et 162 jours

Le groupe Kiloutou fait l'acquisition de la société AB Matériels

La société AB MATÉRIELS est un acteur historique et reconnu de la location de matériels de terrassement dans le département du Vaucluse, exploitant trois agences situées à Avignon, Cavaillon et Saint-Cannat (Aix-en-Provence). Elle dispose de près de 800 machines de toutes tailles qu’elle met à disposition d’une clientèle de professionnels des travaux publics et du bâtiment.L’intégration des 3 agences AB MATÉRIELS au sein de KILOUTOU va offrir à nos clients respectifs un niveau de qualité de services toujours plus élevé grâce à un réseau et une gamme matériel étendus. KILOUTOU compte s’appuyer sur l’expérience et le savoir-faire de 18 équipiers d’AB MATÉRIELS pour continuer à développer l’expertise locale acquise par la société depuis sa création en 1996.Pour Pierre Knoché, Directeur Général de KILOUTOU France : « Ce rapprochement permet de développer notre réseau spécialisé TP dans la zone d’Avignon et de pleinement bénéficier de complémentarités avec notre gamme de produits actuelle sur ce secteur. Je suis très heureux d’accueillir les équipiers d’AB MATERIELS au sein du groupe KILOUTOU ».Pour Frédéric Miceli, propriétaire et dirigeant d’AB MATÉRIELS : « Je me réjouis de l’adossement d’AB MATÉRIELS à KILOUTOU. Le projet d’intégration proposé a été un élément essentiel dans ma décision de céder et va permettre à nos équipes de poursuivre le développement de la société avec des ressources et des moyens supplémentaires. Je suis confiant dans la capacité des équipes des deux sociétés à faire de ce rapprochement un réel succès ».
Il y a 3 ans et 162 jours

Des centaines de maisons détruites par des incendies dans le Colorado

"Environ 370 habitations dans la sous-division de Sagamore ont été détruites. Il est possible que 210 habitations aient été détruites dans la vieille ville de Superior", a déclaré le shérif du comté de Boulder, Joe Pelle, lors d'une conférence de presse.La ville de Boulder, qui compte plus de 100.000 habitants, est située à une cinquantaine de kilomètres de Denver, la capitale du Colorado."Environ 370 habitations dans la sous-division de Sagamore ont été détruites. Il est possible que 210 habitations aient été détruites dans la vieille ville de Superior", a déclaré le shérif du comté de Boulder, Joe Pelle, lors d'une conférence de presse.Cet Etat connaît une sécheresse historique qui a largement facilité la propagation des flammes. Dans le comté de Boulder, des hôtels, des centres commerciaux et plus de 650 hectares de végétation sont partis en fumée.Des rafales de plus de 160 km/h ont été observées à certains endroits, compliquant les efforts des pompiers."J'aimerais mettre l'accent sur l'ampleur et l'intensité de cet incendie et sa présence dans une zone si densément peuplée, nous ne serions pas surpris s'il y avait des blessés ou des décès", a averti le shérif Joe Pelle.Heureusement, les vents devraient s'apaiser, a annoncé le service national météorologique tard jeudi soir, et d'importantes chutes de neige sont attendues dans les deux jours qui viennent.En tout, plus de 33.000 personnes ont reçu l'ordre d'évacuer, notamment à Louisville, une ville de 20.000 résidents, et Superior, 13.000 habitants.Selon le journal Colorado Sun, plusieurs personnes ont dû être soignées pour des brûlures, dont au moins six ont été hospitalisées.Des images diffusées par CBS ont montré un immeuble d'habitation en flammes que les pompiers tentaient d'éteindre."Quittez Louisville sinon votre vie sera en danger", avaient insisté les services météorologiques."Des vents forts propagent rapidement les flammes et tous les avions sont cloués au sol", a tweeté Jared Polis, le gouverneur de cet État montagneux où les Rocheuses rencontrent les Grandes plaines.Il a également déclaré l'état d'urgence, et souligné le danger de cet incendie qui, contrairement aux précédents, ne touche pas que des zones rurales."La région qui est touchée, c'est une banlieue ordinaire, comme celle dans laquelle vous vivez, celles dans lesquelles nous vivons tous", a-t-il lancé."Il ne reste que des cendres"Autre ville visée par un ordre d'évacuation intégrale, Superior, 13.000 habitants, était recouverte jeudi d'un nuage de fumée sombre, selon des images publiées sur les réseaux sociaux.Patrick Kilbride, 72 ans, était à son travail dans une quincaillerie quand il a reçu l'ordre d'évacuer, a rapporté le journal local Denver Post.L'homme de 72 ans s'est précipité chez lui à Superior pour rassembler ses affaires mais n'a pas été en mesure de sauver autre chose que sa voiture et les vêtements qu'il avait sur le dos. Son chat et son chien sont morts dans les flammes."Il ne reste que des cendres", a-t-il dit de la maison dans laquelle il a vécu pendant trois décennies."C'est un sentiment étrange de passer d'une situation où vous possédez tout le confort possible à n'avoir absolument rien", a-t-il confié au Denver Post.Patti Holtz a décrit la terreur ressentie en évacuant sa maison du comté de Boulder. "Tout est en flammes. Il y a des braises partout. J'ai très peur, bien sûr, avec le vent, que ça continue à se propager à d'autres maisons", a-t-elle raconté."Comme le noir de la nuit""Il faisait si sombre que vous ne pouvez rien voir. C'est comme le noir de la nuit", a-t-elle encore dit.À l'instar d'une grande partie de l'Ouest américain, le Colorado, un État déjà aride, est aux prises depuis plusieurs années avec une sécheresse exceptionnelle.Avec le réchauffement climatique, l'intensité et la fréquence des épisodes de sécheresse et de canicule risquent encore d'augmenter, continuant à créer des conditions idéales pour les feux de forêt ou de brousse. Ces dernières années l'Ouest américain a ainsi connu des incendies sans précédent, notamment en Californie ou en Oregon.Pour Daniel Swain, météorologiste à l'université UCLA, il est "dur de croire" que ces incendies ont lieu en décembre, une période habituellement peu propice à ce type d'événements dans la région."Mais prenez un automne à la chaleur et la sécheresse record, seulement deux centimètres de neige jusqu'ici cette saison, et ajoutez une tempête aux rafales descendantes extrêmes... et le résultat consiste en des incendies extrêmement dangereux et qui se déplacent très rapidement", a tweeté le chercheur.
Il y a 3 ans et 163 jours

Nouveau support genoux à roulettes

Le support genoux à roulettes d’EDMA se présente sous la forme d’une paire de coques munies chacune de 3 roulettes amovibles permettant une rotation fluide à 360°. Cela donne à l’utilisateur la possibilité d’effectuer des déplacements rapides sans laisser de marques sur le sol.Très léger, le support genoux à roulettes EDMA intègre un coussin en gel qui rime avec confort lors de stations à genoux prolongées. La sangle qui assure son maintien sur la jambe, a été conçue pour réduire la tension à l’arrière du genoux, offrant ainsi un support qui sait se faire oublier.Rendant l’artisan particulièrement mobile sur sa zone de travail, le support genoux à roulettes d’EDMA est une solution « gain d’effort » de plus dans la gamme d’EDMA, puisqu’elle retarde l’apparition de la fatigue dorsale en permettant un travail proche du sol.
Il y a 3 ans et 163 jours

Cemex et la Ligue pour la Protection des Oiseaux : 18 ans de partenariat en faveur de la biodiversité

Une convention renouvelée pour 3 ans venant renforcer le partenariat CEMEX-LPOCEMEX et la LPO sont partenaires depuis 2003. Cette collaboration, entre un acteur majeur dans l'industrie des matériaux de construction et l'une des plus importantes associations naturalistes de France, repose sur l'échange de savoir-faire, la sensibilisation aux enjeux de protection de la nature et la valorisation du patrimoine naturel. La convention qui encadre ce partenariat, jusqu'ici renouvelée chaque année, s'articule autour de deux volets : l'« Accompagnement », qui permet aux deux partenaires de mettre en commun leurs compétences au bénéfice de la meilleure contribution de CEMEX à la préservation de la biodiversité sur ses sites d'activités ; et le « Mécénat » en faveur de programmes de préservation du patrimoine naturel portés par la LPO. Pour la première fois renouvelée de manière triennale, cette convention couvre la période 2021-2023. Sa mise en œuvre permettra notamment à la LPO d'accompagner CEMEX dans la concrétisation de son engagement « Entreprises Engagées pour la Nature » pris sur cette même période 2021-2023 auprès du ministère de la Transition écologique et de l'Office français de la biodiversité (OFB).Des actions concrètes en faveur de la préservation de la biodiversité Parmi les actions qui seront mises en œuvre dans le cadre du volet Accompagnement de cette 18ème convention se trouve la poursuite du plan d'actions « Hirondelles de rivage ». Initié en 2013, il a pour but de concilier exploitation de carrières et accueil des hirondelles de rivage, espèce protégée trouvant fréquemment des habitats de substitution au sein des carrières. Après 9 ans de suivi de ces oiseaux sur les sites CEMEX, l'objectif est maintenant d'exploiter et de valoriser les données collectées à travers la publication d'un document de synthèse ainsi que de poursuivre le développement d'outils de sensibilisation et de bonnes pratiques à l'attention des collaborateurs de l'entreprise. Une seconde action phare sera la poursuite de la démarche « CEMEX Bétons agit pour la biodiversité » entamée en 2012 et dont l'objectif est de contribuer à l'accueil de la nature en ville à travers la mise en œuvre d'actions en faveur de la biodiversité sur les unités de production de béton de l'entreprise. Le soutien financier du programme Life Vison, pour la sauvegarde du Vison d'Europe, fait quant à lui partie du volet mécénat de la convention. Il vise à maintenir, voire accroître la population de Visons d'Europe dans le bassin de la Charente. CEMEX soutient également le programme de la LPO en faveur du Moineau domestique à Paris. En effet, face à la disparition de plus de 73 % des moineaux vivant à Paris intra-muros entre 2003 et 2016, la LPO mène plusieurs actions afin d'améliorer les connaissances sur la répartition, l'abondance et l'évolution des populations du Moineau domestique à Paris, de comprendre et promouvoir les conditions nécessaires au bon fonctionnement des colonies, d'apporter conseils et expertises aux acteurs locaux concernés (propriétaires, syndics, bailleurs sociaux...) pour les sensibiliser et préserver les colonies suivies.Au-delà de ces actions phares, les échanges réguliers de CEMEX avec la LPO pour des demandes d'avis et d'expertises sur divers projets, la réalisation d'études selon les besoins et enjeux identifiés au niveau des sites CEMEX font aussi partie intégrante de la convention. « CEMEX et la LPO sont partenaires depuis 18 ans, ce qui illustre la volonté de CEMEX de placer la préservation de la biodiversité et la maîtrise de son impact sur l'environnement au cœur de sa politique d'entreprise. Nous sommes fiers de cette collaboration ininterrompue avec la LPO, qui a permis de mener conjointement et avec succès de nombreuses actions en faveur de la biodiversité sur nos sites d'activités, ou à l'attention de nos salariés. », se réjouit Michel André, Directeur des activités matériaux de CEMEX Europe de l'Ouest.« L'alliance entre CEMEX et la LPO est inscrite dans la durée et illustre que notre partenariat ne doit rien à un effet de mode ou une visée mercantile. Au contraire, il s'est chaque année renforcé, gagnant en logique et en exemplarité » souligne Allain Bougrain Dubourg, président de la LPO.
Il y a 3 ans et 163 jours

Les activités énergie d’ACS passent sous pavillon Vinci

La major française met la main sur Cobra IS, entreprise du groupe espagnol ACS.
Il y a 3 ans et 163 jours

Top 10 des actualités les plus lues sur Batinfo en 2021

10 - Le bâtiment enregistre la plus forte hausse des défaillances d'entreprises au 2e trimestre 2021Le groupe Altares, expert historique et référent de l’information sur les entreprises, vient de dévoiler dans une étude les chiffres des défaillances d’entreprises en France pour le 2ème trimestre 2021.Lire l'article9 - Suspension DPE : point de vue de Denis Mora, président du groupe AC EnvironnementLe vendredi 24 septembre dernier, le ministère de l’écologie et du logement, a recommandé la suspension de l’édition des DPE des logements construits avant 1975, hormis dans les cas rendus nécessaires par des transactions urgentes.Lire l'article8 - L’État recommande de suspendre l'édition des DPE de certains logements anciens en raison d'anomaliesLa direction générale de l'aménagement, du logement et de la nature, un service du ministère de la Transition écologique, a recommandé vendredi de suspendre l'édition des diagnostics de performance énergétique pour les logements construits avant 1975, en raison d'"anomalies".Lire l'article7 - La Fédération Française du Bâtiment alerte sur la flambée des prix des matériaux qui menace la relance du secteurLa FFB a mis en garde mardi contre la menace que constituent la pénurie et la hausse des prix des matériaux sur la relance de l'activité, après une "reprise réussie" en 2021, marqué par une accélération certaine des prises de commandes.Lire l'article6 - Pénurie et flambée des matériaux: l’État entend les alertes du BTP et annonce de nouvelles mesuresL'État n'appliquera pas de pénalités de retard aux entreprises du bâtiment qui seraient en retard de livraison en raison de l'actuelle pénurie de matériaux de construction, a annoncé le ministre de l'Économie Bruno Le Maire mardi.Lire l'article5 - Macron annonce un plan pour les 3 millions de travailleurs indépendantsDans un discours aux accents de meeting, Emmanuel Macron a dévoilé jeudi un plan en faveur des plus de trois millions de travailleurs indépendants, qui rend notamment insaisissable leur patrimoine personnel en cas de défaillance et élargit l'accès à une assurance chômage.Lire l'article4 - Cinq banques régionales de BPCE rachètent la start-up Cozynergy spécialisée dans la rénovation énergétiqueCinq banques régionales ont annoncé l'acquisition de la jeune pousse Cozynergy, spécialisée dans la rénovation énergétique, en vue de profiter d'un marché dopé par les subventions de l'État.Lire l'article3 - MaPrimeRénov’ : « Attention à ne pas jeter l’argent par les murs ! »Ces derniers jours dans l'actualité, le dispositif MaPrimeRénov' se félicite de ses bons résultats et de son enveloppe annuelle déjà bien entamée. Si ces résultats démontrent que cette politique d'Economie d'Energie est un franc succès, on observe néanmoins que la majorité des aides consommées le sont par les systèmes de chauffage, et seulement 34% par l'isolation.Lire l'article2 - Un ouvrier retrouvé mort sous "plusieurs tonnes" de graviers dans une centrale à bétonUn ouvrier de 52 ans a été retrouvé mort jeudi après-midi à Décines-Charpieu (métropole de Lyon), enseveli sous "plusieurs tonnes" de graviers d'une centrale à béton, a-t-on appris auprès des pompiers.Lire l'article1 - Schenker Stores présente le TD2, un toit de terrasse élégant et modulaireLeader du marché de la protection contre le soleil et les intempéries, Schenker Stores lance son nouveau toit de terrasse. Commercialisé en janvier 2021, ce toit de terrasse au design élégant répond en tout point aux aspirations de détente, de confort et d’amélioration de l’habitat.Lire l'article
Il y a 3 ans et 163 jours

Les syndicats divisés par la transformation du pass sanitaire en pass vaccinal pour certains salariés

"Au motif de la priorité donnée à la bonne marche de l'économie, la transformation du pass sanitaire en pass vaccinal fait peser de nouvelles contraintes sur les salariés et publics, en particulier dans les transports, la culture, le spectacle, la restauration", a dénoncé la CGT dans un communiqué mardi 28 décembre."Comme l'a avoué le ministre de la Santé, le passage du pass sanitaire au pass vaccinal constitue une +forme déguisée d'obligation vaccinale+. Avec l'ensemble des mesures contradictoires prises par le gouvernement, cette obligation non assumée est contre-productive car elle entretient le doute, la défiance et la division", poursuit la centrale de Montreuil.A l'inverse, la CFDT estime qu'il est "logique d'aller dans ce sens-là", selon les mots de la secrétaire nationale Catherine Pinchaut."Nous sommes favorables à la transformation du pass sanitaire en pass vaccinal, parce que l'objectif c'est bien d'aller vers la vaccination et puis cela concerne des (...) salariés en contact avec du public ou avec des personnes en situation fragile", a-t-elle dit à l'AFP mardi.Le syndicat Force ouvrière est de son côté "plutôt opposé" à cette mesure, selon le secrétaire confédéral Michel Beaugas. "On a toujours été réservé sur le pass sanitaire, et sur l'obligation de certains salariés d'avoir un pass sanitaire, qui va se transformer en pass vaccinal", a-t-il affirmé mercredi 29 décembre à l'AFP.Le président de la CFE-CGC François Hommeril se montre prudent sur un sujet "controversé", tandis que la CFTC "n'a pas vraiment pris de position", selon son chef de file Cyril Chabanier.Les syndicats ont en revanche été unanimes la semaine dernière pour rejeter l'idée d'un pass sanitaire généralisé à toutes les entreprises.Selon Michel Beaugas, la ministre du Travail, Elisabeth Borne, a dit au cours d'une réunion avec les partenaires sociaux mardi "qu'elle serait attentive" à ce que les députés ne réintroduisent pas cette option par voie d'amendement.Quelque deux millions de salariés sont soumis depuis fin août à l'obligation de détenir un pass sanitaire pour travailler.
Il y a 3 ans et 163 jours

Télétravail : jusqu'à 50.000 euros d'amende pour les entreprises rétives

La ministre du Travail Elisabeth Borne avait dévoilé mardi aux partenaires sociaux le principe de cette amende. Elle en a précisé jeudi le montant sur LCI. Un amendement en ce sens sera déposé d'ici la fin de la semaine au projet de loi sur le passe vaccinal, discuté en séance à partir de lundi à l'Assemblée."On constate que la plupart des entreprises jouent très bien le jeu (...). On a quelques entreprises qui ne le font pas, qui ne suivent pas les recommandations de l'inspection du travail et qui profitent de la longueur de la procédure de sanction pour ne pas respecter les règles", a-t-elle expliqué."Je souhaite un système plus rapide et donc plus dissuasif en permettant à l'inspection du travail de pouvoir prononcer des sanctions sans attendre la procédure judiciaire", a-t-elle poursuivi.S'agissant des contrôles, Mme Borne a rappelé qu'elle avait demandé début décembre de revenir à 5.000 par mois (contre moins de mille au mois d'octobre). Un nouveau protocole national en entreprise (PNE) a été publié jeudi, enjoignant aux employeurs de fixer "à compter du 3 janvier et pour une durée de trois semaines, un nombre minimal de trois jours de télétravail par semaine, pour les postes qui le permettent". Lorsque c'est possible, "ce nombre peut être porté à quatre jours par semaine".À noter que l'idée d'une "moyenne" de trois jours, évoquée lundi par le ministère, a disparu.Si ce PNE n'a pas à proprement parler force de loi, les employeurs ont l'obligation de veiller à la santé de leurs salariés, selon le code du travail, et les inspecteurs du travail peuvent déjà prononcer des "mises en demeure" lorsqu'ils estiment insuffisantes les mesures mises en œuvre dans les sociétés contrôlées.En cas de non-respect d'une mise en demeure, l'employeur encourt une amende correctionnelle d'un montant de 3.750 euros par salarié concerné.110 mises en demeure en 2021Selon la CGT-TEFP, premier syndicat des agents de l'inspection du travail, quelque 28.000 interventions ont été effectuées sur la thématique du Covid de janvier à novembre 2021, donnant lieu à 110 mises en demeure.Ce syndicat réclamait depuis des mois un durcissement du cadre légal concernant le télétravail, en dénonçant la faiblesse des sanctions encourues et le manque d'effectifs pour contrôler les entreprises.L'annonce d'une amende administrative montre que le "ministère se rend compte de l'insuffisance des mesures actuelles", a commenté mardi auprès de l'AFP Alexandra Abadie, secrétaire nationale du syndicat.Mais la CGT-TEFP aurait préféré que les inspecteurs puissent suspendre l'activité d'une entreprise en cas de manquement à ses obligations concernant le télétravail, comme ils peuvent le faire en matière d'exposition à l'amiante, de chutes de hauteur ou de risques électriques.Le Medef s'est de son côté dit jeudi "opposé au principe (d'une amende), quel qu'en soit le montant, car c'est un mauvais coup porté à la confiance entre le gouvernement et les entreprises, d'autant plus injuste qu'elles ont été exemplaires dans la crise".La CPME, qui avait dénoncé mardi une "ineptie", s'est montrée jeudi plus nuancée. "La ministre, en parlant d'une moyenne, permet nous l'espérons en cas de contrôle une souplesse d'appréciation, et le montant annoncé, même s'il peut être lourd pour une TPE/PME, reste en deçà de ce qui existe par ailleurs", a commenté son président François Asselin auprès de l'AFP."Il y a une volonté affichée de ne pas vouloir trop irriter les employeurs dont nous prenons acte, même si (...) sur la forme nous aurions aimé que les choses se passent différemment", a-t-il ajouté.
Il y a 3 ans et 164 jours

Deux compagnies chinoises vont construire 1.000 écoles en Irak

Au total, le pays a besoin de construire 8.000 écoles "pour combler le manque dans le secteur de l'éducation", a indiqué dimanche Hassan Mejaham, un responsable du ministère de la Construction et de l'Habitat, cité par l'agence de presse officielle INA.En présence du Premier ministre Moustafa al-Kazimi, les accords ont été signés jeudi avec deux entreprises chinoises: Power China, qui construira 679 établissements scolaires, et Sinotech, qui en érigera 321.Pays extrêmement riche en hydrocarbures, l'Irak souffre d'infrastructures en déliquescence, après des décennies de guerre et une corruption endémique qui gangrène tout l'appareil de l'Etat.Il faudra deux ans pour finir la construction des 1.000 écoles, même si les premiers établissements devraient être livrés un an après le début des travaux lancés "très prochainement", a précisé M. Mejaham.Il a ajouté que l'ardoise irakienne sera payée avec du pétrole.Une deuxième phase prévoit la construction de 3.000 écoles, avant une dernière phase devant permettre d'ériger 4.000 établissements scolaires."Des décennies de conflit et de sous-investissement en Irak ont détruit ce qui était autrefois le meilleur système éducatif de toute la région", indique l'Unicef sur son site Internet, précisant qu'une école sur deux dans le pays a subi des dommages et doit être réhabilitée.Dans le pays de 40 millions d'habitants, "près de 3,2 millions d'enfants Irakiens en âge d'aller à l'école ne sont pas scolarisés", précise l'agence onusienne."Les niveaux d'apprentissage en Irak sont parmi les plus bas dans la région du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord et sont susceptibles de baisser encore plus, en raison de l'impact de la pandémie sur les services éducatifs, y compris avec la fermeture prolongée des écoles", avertissait en octobre la Banque mondiale.L'organisation internationale préconisait des investissements et des réformes dans le secteur.
Il y a 3 ans et 164 jours

La laine de verre : qu’est-ce que c’est ?

Comprenez avec ISOVER ce qu'est la laine de verre et pourquoi c’est l'isolant numéro un sur le marché.ISOVER, marque du groupe Saint-Gobain, est le leader mondial des solutions d’isolation durable. Depuis plus de 80 ans, ISOVER porte l’innovation sur l’ensemble de ses marchés, et développe des isolants multi-matériaux pour répondre aux enjeux croissants de bien-être et d’efficacité thermique et acoustique de ses clients. ISOVER conçoit et fabrique ses produits localement et étudie, dans une démarche d’amélioration continue, leur impact sur l’environnement, l’efficacité énergétique, la qualité de l’air et le confort au sein des bâtiments.
Il y a 3 ans et 164 jours

Poêles à combustible liquide Qlima – Chaleur homogène et budget maîtrisé

Le chauffage pèse de plus en plus lourd dans le budget annuel des Français. Permettant de se chauffer rapidement, sans faire augmenter de façon drastique la facture énergétique, les poêles à combustible liquide ont bénéficié ces dernières années de nombreuses avancées techniques. Économiques à l’achat comme à l’utilisation, pouvant fonctionner instantanément dès que le besoin s’en fait sentir, ils connaissent un succès croissant pour faire face aux affres de l’hiver. Qlima, leader européen sur le marché des poêles à combustible liquide, propose deux appareils peu gourmands en énergie, les modèles SRE 4035 C et R 8128S C-2. En utilisant un combustible Qlima à 0,075 € TTC/kWh*, l’économie réalisée peut atteindre 35 %, par rapport à un radiateur électrique radiant au tarif de 0,171 € TTC/kWh. Classés A, ne nécessitant aucune installation spécifique et parfaitement sécurisés, ces modèles Qlima apportent rapidement chaleur et confort aux intersaisons comme au cœur de l’hiver. En quelques minutes, la puissance de chauffe associée à un ventilateur performant (sur le modèle SRE 4035 C) réchauffe agréa-blement la pièce de façon uniforme. 100 % de sécurité Répondant à la très stricte norme NF, les poêles à combustible liquide Qlima garantissent un chauffage haute performance totalement sécurisé. Les appareils sont équipés d’un détecteur de CO2, d’un système anti-renversement en cas de choc et d’un arrêt automatique si la température de la pièce est trop élevée. Deux grandes familles d’appareils Le modèle Laser SRE 4035 C Qlima nécessite une alimentation électrique pour la mise en route et la régulation électronique. Ses nombreuses fonctions permettent de chauffer sans gaspiller : par exemple, le mode Save coupe et redémarre l’appareil automatiquement pour maintenir la température demandée sans fluctuations énergivores. Rapide, sécurisé et très silencieux, le poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima est, quant à lui, idéal pour un apport ponctuel de chaleur sans électricité. À haut rendement, il est équipé d’un système unique de brûleur à double combustion.   Poêle électronique Laser SRE 4035 C Qlima Particulièrement puissant, le poêle électronique Laser SRE 4035 C Qlima permet de chauffer rapidement de grandes surfaces (jusqu’à 60 m2). La chaleur produite se propage uniformément au moyen du ventilateur intégré. En seulement cinq minutes, l’appareil diffuse une chaleur confortable dans l’espace de vie. Le brûleur à bec bunsen du poêle Qlima utilise la forme gazeuse du combustible dans la chambre de combustion. Les effets sont remar-quables : démarrage rapide (environ 45 secondes), odeurs considérablement réduites, y compris au démarrage et à l’extinction, et régulation de la combustion très précise. La régulation du poêle se fait en effet de 100 W en 100 W. Cela procure une chaleur constante, confortable, sans variations de température désagréables. De plus, un système d’air pulsé chauffe la pièce très rapidement grâce à une répartition équilibrée de l’air chauffé, perpétuellement brassé. Les + signés Qlima Avec le SRE 4035 C Qlima, la consommation de combustible est réduite de 8 %. Doté d’un mode Save, avec marche et arrêt automatiques, l’appareil maintient la température programmée sans variations de chaleur. Un capteur mesure la température ambiante, et le poêle s’autorégule en fonction de la chaleur choisie. La fonction Fuzzy Logic sert à contrôler les conditions de température et ajuste le fonction-nement du poêle. Elle repère les problèmes éventuels et les indique par codes erreurs. Pour une totale sécurité, le SRE 4035 C est équipé d’un témoin de flamme qui contrôle la qualité de combustion, d’un système anti-renversement qui coupe immédiatement le poêle s’il vient à se renverser, de parois froides, d’un bouton de sécurité enfant et d’un détecteur de CO2. Ce dernier contrôle en permanence l’atmosphère de la pièce, et permet d’arrêter automatiquement l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. Grâce à son grand réservoir d’une contenance de 5 litres, le poêle SRE 4035 C Qlima, peu gourmand en combustible, dispose d’une autonomie maximale de 40 heures.   Poêle électronique Laser SRE 4035 C Qlima Type de brûleur : à injection électronique Puissance : de 1 190 à 3 500 W Volume pièce : de 22 à 60 m2 Autonomie : de 13,5 à 40 h Consommation (max.) : 0,365 l/h Capacité du réservoir : 5 l Dimensions : L 436 x P 313 x H 435 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 399 euros TTC Points de vente : GSB, GSA et sites e-commerce   Poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima Particulièrement mobile, le poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima, qui fonctionne sans avoir besoin d’être branché à une prise de courant, constitue un chauffage autonome idéal dans les pièces de vie, ainsi que dans les garages, ateliers, vérandas… Convenant pour le chauffage des surfaces de 20 à 42 m2, l’appareil affiche une puissance de 2 850 watts. Grâce à son réservoir d’une contenance de 5,2 litres, ce modèle offre jusqu’à 17,5 heures d’autonomie. À utiliser dans un espace ventilé, le poêle à mèche Qlima est équipé d’un système unique de brûleur à double combustion qui permet d’optimiser ses performances. Le principe consiste à brûler les gaz issus de la première combustion au moyen d’un brûleur supérieur, afin d’obtenir une efficacité énergétique proche de 100 %. Avec ce système breveté, la combustion est propre, sans condensation, et les émanations d’odeurs considérablement limitées. Les + signés Qlima Ultra performant, le R 8128S C-2 Qlima intègre de nombreux systèmes de sécurité : • Un dispositif de contrôle d’atmosphère qui mesure en permanence le taux de CO2, et arrête l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. • Une sonde qui déclenche l’arrêt total de l’appareil dès que la température de la pièce est trop élevée (33 °C). • Un dessus tempéré, en conformité avec la norme de sécurité en vigueur. • Un système d’arrêt automatique qui se déclenche en cas de choc ou de renversement.   Poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima Type de brûleur : double combustion Puissance : 2 850 W Volume pièce : de 20 à 42 m2 Autonomie : 17,5 h Consommation (max.) : 0,297 l/h Capacité du réservoir : 5,2 l Dimensions : L 455 x P 295 x H 505 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 249 euros TTC Points de vente : GSB, GSA et sites e-commerce www.qlima.fr
Il y a 3 ans et 164 jours

La chute s'offre un avenir

Avec son isolant réflecteur alvéolaire entièrement recyclable Hybris, Actis Isolation met en avant sa stratégie d'économie circulaire, dans laquelle il est à la fois producteur et recycleur.
Il y a 3 ans et 164 jours

Fabemi, acteur engagé dans l’écologie industrielle et les territoires

La démarche consiste à combiner fabrication de blocs béton bas carbone, économie circulaire et savoir-faire industriel du Groupe. Les blocs béton isolants Fabtherm® sont l’exemple même de l’engagement de l’entreprise dans l’écologie industrielle Made in France, et du développement d’innovations produits orientées clients, capables de répondre aux enjeux d’aujourd’hui et surtout de demain. De la fabrication au recyclage en fin de vie, les blocs béton Fabemi présentent une très faible empreinte carbone grâce à une politique de production-distribution locale, des choix forts d’approvisionnements au plus proche des usines et un procédé de fabrication sans cuisson avec un séchage naturel. Le transport des produits Fabemi sur une zone moyenne de 200 km autour des sites de production participe à la maîtrise de l’impact environnemental du Groupe. À l’échelle nationale, les implantations stratégiques de Fabemi permettent de réduire, voire de supprimer les livraisons/stockages/relivraisons et d’optimiser au maximum le transport des produits, majoritairement réalisé par la route.Un très faible impact carbone par nature Le Groupe Fabemi, entreprise familiale créée en 1961 à Donzère (Drôme), propose une offre globale de produits préfabriqués en béton pour les domaines suivants : Gros Œuvre, Voirie & Réseaux, Terrasse & Jardin. Fort de 60 ans d’expérience, Fabemi a su s’adapter pour proposer des produits préfabriqués performants et toujours conformes aux dernières réglementations. Les blocs isolants Fabtherm®, par exemple, contribuent à réduire l’empreinte carbone des bâtiments de l’ordre de 4 à 8 % par rapport à d’autres solutions constructives de référence sur le marché, permettant ainsi la réalisation d’ouvrages conformes au critère C de la RE2020 et de ses futurs seuils de 2025 et 2028. De plus, les géométries des blocs béton Fabemi sont optimisées pour faciliter leur mise en œuvre, tout en réduisant l’utilisation de matières premières (alternance cloison/creux). Les capacités isolantes peuvent être renforcées par une âme en mousse minérale isolante. C’est le cas des blocs isolants Fabtherm® Air Fabemi, dotés d’une mousse 100 % minérale qui leur donne une résistance thermique exceptionnelle (deux à huit fois plus isolants que des blocs traditionnels). Cette solution naturelle permet de construire tout en isolant, sans impacter le poids carbone de la façade, ce qui fait gagner du temps sur le chantier et apporte un gain de surface habitable. Les blocs béton Fabemi disposent de Fiches de Déclarations Environnementales et Sanitaires (FDES). Des données vérifiées et disponibles sur INIES qui permettent de calculer la contribution des produits, développés et fabriqués par le Groupe Fabemi, à l’impact environnemental de l’ouvrage à construire. Entièrement recyclables, les blocs béton Fabemi n’ont pas besoin d’être triés à l’issue de la déconstruction, les déchets gravats n’appelant aucune manipulation particulière. Après la démolition des bâtiments, ils deviennent recyclables à l’infini et revalorisables dans de nouveaux produits, en se substituant à une partie des granulats.Recyclage et revalorisation des bétons Au-delà de la production et la construction en circuit court, privilégiées en raison de l’impact des coûts de transport, le recyclage du béton et des déchets liés au bâtiment est devenu un enjeu majeur pour les industriels. Les rebus de fabrication de Fabemi, même dans de faibles proportions, représentent une source potentielle de granulats recyclés que l’entreprise envisage de réemployer en les réintégrant directement dans la fabrication de ses produits. Le Groupe encourage également la revalorisation des bétons issus de la déconstruction. Ainsi, Fabemi s’organise, avec le soutien de la Fédération de l’Industrie du Béton (FIB), afin de répondre à ses obligations liées à la Responsabilité Élargie du Producteur (REP). Le dispositif de REP implique que les acteurs économiques (fabricants, distributeurs, importateurs) sont responsables de l’ensemble du cycle de vie des produits qu’ils mettent sur le marché, de leur éco-conception jusqu’à leur fin de vie. Les filières REP permettent d’organiser la prévention et la gestion des déchets pour certains types de produits. L’objectif est non seulement de traiter les déchets produits, mais aussi de les prévenir en agissant sur l’ensemble du cycle de vie des produits.
Il y a 3 ans et 164 jours

La fin de l'enquête judiciaire suite à l'explosion rue de Trévise à Paris suscite l'"incompréhension"

Au matin du 12 janvier 2019, une très forte détonation provoquée par une fuite de gaz avait soufflé cette rue du IXe arrondissement de la capitale. Le bilan est lourd : quatre personnes, dont deux pompiers, sont tuées, 66 autres sont blessées et quelque 400 riverains sinistrés.Les magistrats du pôle "accidents collectifs" du tribunal judiciaire de Paris ont adressé le 13 décembre un courrier à l'ensemble des parties pour leur signifier que leur enquête était close, selon un document consulté par l'AFP.Cette décision provoque "une incompréhension" pour Virginie Mallet, sinistrée et secrétaire générale de l'association Trévise ensemble.En principe, le parquet est maintenant tenu de rendre son réquisitoire définitif dans les trois mois, avant une décision définitive des magistrats instructeurs sur la tenue ou non d'un procès.Au cours de l'enquête, la mairie de Paris et le syndic de copropriété de l'immeuble ont été mis en examen pour "homicides et blessures involontaires" et "destruction, dégradation ou détérioration par l'effet d'une explosion ou d'un incendie".Les juges ont appuyé leur décision sur les conclusions d'un collège de quatre experts, mandatés pour déterminer les causes du sinistre et les éventuelles fautes commises.Dans un premier rapport, remis en décembre 2019, ces experts avaient conclu qu'un affaissement du sol, sous le trottoir, devant le porche de l'immeuble situé 6 rue de Trévise, avait provoqué la rupture d'une canalisation de gaz, entraînant une accumulation de gaz naturel à l'origine de l'explosion.Ils avaient relevé des "manquements" du service de voirie de la Ville, notamment dans la réfection du trottoir, sans incriminer GRDF.Dans leur rapport définitif rendu en mai 2020, les experts avaient de nouveau pointé un "défaut de vigilance" de la Ville de Paris et mis également en cause le syndic de copropriété de l'immeuble qui aurait tardé à réparer la fuite d'un collecteur d'eaux usées qui aurait eu une incidence sur l'affaissement du sol.Contre-expertise demandéeL'entreprise de BTP Fayolle, chargée en novembre 2016 d'effectuer des travaux sur le trottoir, est aussi pointée du doigt par les experts. Elle a toutefois été placée sous le statut intermédiaire de témoin assisté, moins incriminant que celui de mis en examen, tandis que GDRF a échappé aux poursuites.La Ville de Paris a saisi la cour d'appel de Paris après le refus des juges d'ordonner une contre-expertise. L'audience est prévue le 26 janvier."Il ne paraît pas opportun de clôturer l'instruction sans que la cour d'appel ait statué sur la demande de contre-expertise. C'est incompréhensible", considère Me Sabrina Goldman, avocate de la Ville."Dans une affaire de cette ampleur et de cette complexité, c'est le minimum qu'on puisse avoir un avis différent et ce d'autant qu'on a démontré que les experts" mandatés dans la procédure pénale "se sont trompés", ajoute Me Goldman.L'avocate s'appuie sur une expertise ordonnée dans la procédure civile, menée parallèlement pour évaluer le préjudice des sinistrés, qui a elle conclu que l'état de la canalisation pouvait être en cause.Une contre-expertise, "qui n'empêche ni les travaux rue de Trévise ni l'indemnisation qui est très bien avancée avec l'accord-cadre", serait selon Sabrina Goldman "déterminante" et ne prendrait que "quelques mois"."Pourquoi les experts ne travaillent pas ensemble? Ça irait plus vite et ce serait plus efficace", s'interroge pour sa part Virginie Mallet, dont l'appartement au numéro 6 a été soufflé.L'explosion a été causée par le gaz "mais GRDF est le grand absent des procédures au civil et au pénal", s'étonne Mme Mallet. "On sait que le gaz est une bombe, on l'a vu à nos dépens, et pourtant c'est comme si c'était autre chose".La Ville de Paris a annoncé en octobre qu'elle abonderait de 20 millions d'euros le fonds d'indemnisation "sans que cela présume de sa culpabilité". Les premières indemnisations pourront intervenir une fois l'accord-cadre signé.
Il y a 3 ans et 165 jours

Sothoferm étoffe son offre pour le marché des portes de garage

Une innovation technique signée SothofermLe pôle R&D intégré de Sothoferm, déjà à l’origine des innovations Lumis (volet battant à moteur solaire) pour le marché du volet battant et du modèle Orphée pour le marché des persiennes (1ère persienne alu repliable du marché), a mis au point une nouvelle porte de garage à rupture de pont thermique en aluminium avec un panneau sandwich laqué de 32 mm isolé et nommée CYLLENE. Une innovation dans le monde de la fermeture qui répond aux souhaits des professionnels et d’une clientèle haut de gamme pour une maison énergétiquement performante jusque dans le garage.L’esthétique allié à la technicité laisse espérer un beau succès au modèle qui bénéficiera d’une garantie 10 ans comme l’ensemble des produits de la marqueDeux nouvelles portes de garage sectionnelles en acierLes modèles SAORI et SEIYA remplacent les anciennes portes de garage Idélia & Iliade. L'offre est simplifiée pour une meilleure visibilité avec une porte économique, le modèle Saori et une porte haut de gamme, le modèle Seiya. Ces portes de garage à refoulement plafond ont été repensées pour être plus confortables à l'utilisation, mais aussi au moment de la pose. Point commun de ces deux portes : elle sont équipées d'un ressort de tension.SAORI est réalisé avec un panneau isolant d’une épaisseur de 40mm pour le confort des clients. Ce produit présente plusieurs accessoires comme un profil anti-pince doigts entre les panneaux, un galet simple et un galet haut réglable, une motorisation Liftmaster et 2 télécommandes, un joint entre chaque panneau et enfin un ressort de tension dans les montants. Outre le fait que la porte soit disponible dans 2 coloris (blanc et grissatiné), le modèle présente 2 configurations possibles (panneau lisse ou ligné) pour le même tarif.Dimensions standards du 2.000 X 2.400 à 2.125 X 3.000.De multiples options esthétique, de sécurité, de commandes existent. Accessoires et notice fournis pour le montage.Disponibilité : dès maintenant.SEIYA est une porte de garage sectionnelle qui s’harmonise aisément avec l’ensemble des autres produits Sothoferm (volets, brise-soleil, clôtures, etc). Le produit dispose des accessoires suivants : joint entre chaque panneau, articulation anti-pince doigts, poignée de manœuvre si option manuelle, arrêt automatique de la motorisation pour une plus grande sécurité, galets sur roulement à billes pour un fonctionnement plus silencieux. Et toujours un panneau isolant de 40 mm pour le confort des clients.2 coloris standards aux choix(blanc et gris satiné) et 1 finition bois (chêne doré), pour 6 types de panneaux différents (lisse, ligné lisse, mono rainuré, à cassettes, micro rainuré et rainuré verticalement) Largeur : de 2.000 à 5.000 ; Hauteur : de 1.875 à 3.000. Plusieurs options pour optimiser le confort de pose (ressort de torsion), l’esthétisme (hublot, motifs…) la sécurité et ainsi personnaliser le produit. Accessoires et notice fournis pour le montage.Disponibilité : dès maintenantParticulièrement attendus par les clients Négoce, de nouveaux outils d’aide à la vente seront disponibles dès Janvier 2022. Ce KIT VISIBILITÉ sera téléchargeable via la plateforme web de Sothoferm / espace professionnels (ICI). L’entreprise espère ainsi offrir un meilleur confort de vente à sa clientèle et optimiser sa visibilité sur les lieux de vente.
Il y a 3 ans et 165 jours

Pose de la première pierre de l’Institut de formation de santé de Toulon

La première pierre du nouvel établissement dédié aux formations qualifiantes aux métiers du secteur sanitaire et social vient d’être posée à Toulon.
Il y a 3 ans et 165 jours

Quand la lumière du Sud influence l'art : première exposition d'un nouveau musée provençal

"En sommeil depuis plus de vingt ans, le musée de Hyères créé en 1883 va enfin renaître de ses cendres à la lumière d'un site digne d'un musée de France", s'enorgueillit Jean-Pierre Giran, maire de cette ville de 60.000 habitants, qui fut, avant Cannes et Nice, un haut-lieu de villégiature sur les bords de la Méditerranée.Acquise par la mairie en 2004, la bâtisse de 2.188 m2 d'inspiration néo-classique a été transformée pour près de six millions d'euros, sous la houlette de l'architecte en chef des monuments historique Alain-Charles Perrot, en un véritable lieu d'exposition propre à satisfaire les nombreux visiteurs de la première ville touristique du Var.Grandes baies, hauts plafonds, escaliers en bois et rampes d'acier, balcons ciselés, vitraux colorés, patio couvert et grande terrasse, l'outil culturel possède déjà 8.000 oeuvres dans ses réserves accumulées au fil du temps, notamment grâce à Emmanuel-Charles Bénézit, peintre et historien de l'art, dont le père, Emmanuel, auteur d'un dictionnaire artistique de référence, fut proche des peintres Van Gogh, Pissaro et Sisley.Puisant dans ce fond, "La Banque, musée des cultures et du paysage", a choisi d'exposer pour trois ans à son premier étage quelque 200 œuvres exprimant l'histoire de Hyères et de ses paysages sur deux millénaires, du peintre académique du second Empire Alexandre Cabanel au photographe de la rue, Henri Cartier-Bresson.Les toiles entraînent le visiteur des salins à la presqu'ile de Giens mais aussi à travers l'histoire de la ville, de la colonie grecque d'Olbia fondée par Massalia (Marseille) jusqu'au XVIIIe siècle où Hyères accueillait l'hiver dans ses huit hôtels de luxe une communauté anglaise, dont la reine Victoria."Miniature de Picasso à 14 ans"Au sous-sol, les architectes ont conservé les anciennes salles des coffres de la Banque, espace atypique pouvant servir d'extension aux expositions, de lieux de consultation de documentation numérique ou d'archivage.Mais, c'est au rez-de-chaussée du bâtiment que seront installées les expositions temporaires qui feront vivre le musée. Pour son lancement, la ville a fait appel à l'historien de l'art, Dominique Lobstein. "Mon idée a été de confronter le travail, entre 1850 et 1950, d'artistes locaux à celui d'artistes, souvent parisiens, venus s'installer ou séjourner dans la région après l'ouverture de la ligne PLM (Paris-Lyon-Marseille) dans les années 1850. Ce train va permettre à ces derniers de découvrir la lumière du Sud", explique le commissaire de l'exposition qui durera jusqu'au 27 mars 2022."Si au début, ils n'en font rien, petit à petit, beaucoup vont intégrer une nouvelle manière de peindre. Après l'apparition de la photographie, certains vont s'éloigner de la représentation naturaliste au profit d'un travail plus inventif, déstructuré où la lumière va exister dans les couleurs et la manière de les juxtaposer", explique-t-il.Prêtés par le Louvre, le musée d'Orsay, le centre Pompidou ou par des collectionneurs, près de 70 oeuvres viennent illustrer cette évolution du regard des peintres sous la lumière du Midi.Parmi les oeuvres des artistes les plus connus, figurent deux Picasso dont l'un, une miniature représentant le port de Valence (est de l'Espagne), a été peint lorsqu'il n'avait que 14 ans. Figurent également des toiles d'Eugène Boudin, Pierre Bonnard, Paul Signac, Auguste Renoir, Raoul Dufy, Francis Picabia ou encore Marc Chagall.Parmi les artistes locaux exposés, Paul Guigou, Emile Loubron ou Prosper Grésy, certains n'ont jamais quitté leur région mais d'autres ont fait carrière à Paris où la lumière qui inonde leur toile a intrigué critiques et peintres. A la fin du XIXe siècle et sur les traces de Paul Signac et d'Auguste Renoir, les rivages de la Méditerranée deviendront un laboratoire d'expérimentation plastique de l'art moderne.
Il y a 3 ans et 165 jours

Dekton® by Cosentino équipe les sols des gares du Grand Paris Express

Explications ci-dessous avec Didier Bourgeois, responsable d'étude matériaux pour la Société du Grand Paris et Jean-Edouard Dumestre, general manager de Cosentino Paris.Leader mondial dans la production et la distribution de surfaces innovantes pour le monde du design et de l’architecture, Cosentino s’est associé à Sika-Cegecol, Pedrazzini et Veda pour répondre à l'appel d’offre de l'a Société du Grand Paris, et a ainsi obtienu un contrat d’exclusivité pour les 15 ans à venir.C’est avec Dekton®, surface ultra-compacte créée en 2013 et répondant à des besoins de durabilité, de facilité d’entretien, mais aussi de résistance à différents types d’agressions, que le groupe espagnol a su convaincre. Si chacune des 68 gares du Grand Paris Express fait l’objet d’un projet architectural propre, toutes vont partager un élément commun qui leur confère une cohérence d’ensemble. Ce point commun, c’est le sol, à la fois dans la taille et la couleur des dalles. Pour répondre au cahier des charges, Cosentino a créé une couleur spécifique de Dekton®: un gris moyen moucheté clair dans un format 37,5 x 75 cm, de 20mm d’épaisseur. Avec son traitement technologiquement très avancé Grip+, permettant à la surface d’être anti-dérapante, le produit retenu offre en outre une sécurité maximale particulièrement recherchée pour ce type d’aménagement. Les premières gares du projet devraient voir le jour d’ici à fin 2024. Un marché de grande envergure pour le groupe espagnol, qui devrait ouvrir de nouvelles perspectives de développement.
Il y a 3 ans et 166 jours

Le télétravail "obligatoire" quand c'est possible, 3 jours minimum par semaine

"Le recours au télétravail sera obligatoire, je dis bien obligatoire, dans toutes les entreprises et pour tous les salariés pour lesquels il est possible", a insisté le Premier ministre au cours d'une conférence de presse à Matignon.La ministre du Travail Elisabeth Borne mènera mardi une concertation avec les partenaires sociaux à ce sujet, a-t-il ajouté, précisant que la mesure prendrait effet "pour une durée de trois semaines".La mesure s'appliquera aussi à la fonction publique, a précisé dans la soirée Amélie de Montchalin: "A partir du 3 janvier, pour 3 semaines, nous rendons obligatoire le télétravail dans la #fonctionpublique 3 jours par semaine. J'invite par ailleurs les agents publics à télétravailler 4 jours par semaine s'ils le peuvent. Montrons à nouveau l'exemple, j'y serai très vigilante !", a tweeté la ministre de la Fonction publique.Face au variant Delta, le Premier ministre avait appelé début décembre à l'extension du télétravail "jusqu'à trois jours" par semaine dans la fonction publique d'Etat et deux à trois jours dans les entreprises où c'était possible, mais il s'agissait alors d'une "cible", selon les mots de la ministre du Travail.Mme Borne avait alors expliqué privilégier le dialogue social au sein des entreprises pour atteindre cet objectif et "qu'on n'ait pas besoin de revenir à des obligations".L'arrivée du variant Omicron a conduit le gouvernement à s'y résoudre, le Premier ministre insistant lundi sur la nécessité d'"éviter la désorganisation de notre économie".
Il y a 3 ans et 166 jours

Muller Intuitiv dévoile la gamme de radiateurs Calidoo, ultra performants, classiques et adaptables

Ce radiateur à chaleur douce et au style intemporel est intelligent et certifiés Origine France Garantie. Le radiateur Calidoo est 100% connecté sans aucun accessoire supplémentaire pour une consommation d’énergie sur mesure grâce au dispositif Muller Intuitiv with Netatmo. Calidoo : le radiateur intemporelCALIDOO est équipé d’un double système chauffant : un cœur de fonte en chauffe est associé à une facade chauffante gérée de manière indépendante.L'apport de la fonte permet une sensation de chaleur douce stable et bien répartie dans toute la pièce. Son film chauffant réchauffe très rapidement la face avant pour procurer une sensation de chaleur permanente même quand la fonte n’est pas encore chaude, ce qui rend le radiateur très confortable même quand il chauffe très peu (en intersaison par exemple). Grâce à ses dimensions variées, il est pratique et adaptable aussi bien pour les petits que les grands espaces.En complément, CALIDOO est aussi un radiateur 100% connecté (sans accessoires à ajouter) qui, grâce à ses fonctions intégrées de pilotage intelligent, rend le quotidien plus facile et les économies d'énergies plus intuitives. L'utilisation de ce radiateur électrique est facilitée par la touche à mémoire de confort. Celle-ci rétablit la bonne température et active les fonctions à économie d'énergie, telle que la détection automatique de fenêtre ouverte (le radiateur s'arrête lorsqu'il identifie une chute anormale de la température) et un abaissement automatique de température en cas de détection d'absence dans la pièce (le détecteur capte automatiquement la température de consigne du radiateur). Un code PIN à 4 chiffres permet de verrouiller l'ensemble de fonctionnalités du radiateur évitant tout déréglage intempestif.Déclinés dans un nouveau blanc satiné lisse, très facilement nettoyable et en couleur anthracite, ces radiateurs s’harmonisent avec une large variété de mobilier.L’exigence de la fabrication françaiseTous ces modèles sont certifiés Origine France Garantie, qui contrairement aux mentions auto déclaratives « fabriqué en France » atteste, par un audit extérieur, que le produit prend ses caractéristiques essentielles en France et que 50 % à 100% du prix de revient unitaire du produit est acquis sur le territoire.La connectivité au service de l’efficacité énergétique Dotée de l’intelligence Muller Intuitiv, la nouvelle gamme de radiateurs Calidoo embarque le nec plus ultra des fonctions d’économies d’énergie avancées pour traquer au quotidien la moindre source de gaspillage tout en optimisant le confort. Ces radiateurs prennent en compte le rythme de vie des utilisateurs et adaptent leur température pour allier bien-être et économies.Analyse des rythmes d’occupation, détection de fenêtre ouverte et d'absence, anticipation, auto-programmation, indicateur comportemental, consultation au jour le jour sur graphique, pilotage par la voix par assistants vocaux, verrouillage par code PIN, ... toutes ces fonctions à économies d'énergie ainsi que le boîtier digital sont simples à utiliser !
Il y a 3 ans et 166 jours

Décret tertiaire : lancement des déclarations sur la plateforme Operat le 1er janvier

Mis en place dans le cadre de la loi Elan de 2018, le "décret tertiaire" impose aux propriétaires bailleurs et occupants de surfaces de plus de 1.000 m2 - bureaux, commerces, hôtels, etc - de réduire leur consommation d'énergie sur la base de celles de 2010 : -40% en 2030, -50% en 2040 et -60% en 2019."A partir du 1er janvier, la plateforme Operat ouvrira ses fonctionnalités pour permettre de créer les comptes utilisateurs, de renseigner les caractéristiques de vos bâtiments tertiaires, et de reporter les données de consommations 2021 et 2020, manuellement ou en masse", indique le communiqué.Le ministère précise que 2022 "sera une année d'apprentissage pour les assujettis tertiaires qui pourront dès le mois de janvier se familiariser avec la plateforme en construisant leur parcours étape par étape"."En tant qu'assujetti, vous aurez ainsi jusqu'au 30 septembre 2022 pour renseigner dans la plateforme les données relatives à votre patrimoine et à vos consommations d'énergie 2020 et 2021. Vous pourrez réaliser vos déclarations progressivement, en revenant en arrière lorsque nécessaire pour préciser ou corriger certains éléments", est-il précisé.En raison de la crise sanitaire, cette date butoir - initialement septembre 2021 - pour les premières déclarations de consommation énergétique des bâtiments a été repoussée d'une année."Le report des consommations 2020 et 2021, ne générera aucune notation 'Eco Energie Tertiaire' afin de prendre en compte les activités impactées par la crise sanitaire et laisser tout le temps à la pleine appropriation du dispositif", souligne le ministère.
Il y a 3 ans et 166 jours

Epinglée par l'Agence anticorruption, Marseille adopte un code de bonne conduite

"Ces deux chartes posent les principes clairs fondant la déontologie des élus municipaux et des agents de la ville", a détaillé vendredi lors d'un conseil municipal Olivia Fortin, adjointe au maire chargée de la transparence de la vie publique."Elles permettront aux élus et aux agents de disposer d'une base sur laquelle s'adosser quand ils s'interrogent ou rencontrent des difficultés" et feront l'objet de formations spécifiques, a-t-elle ajouté.L'adoption d'un tel "code de conduite" constituait l'une des recommandations prioritaires formulées par l'Agence française anticorruption (AFA) dans un rapport de contrôle rendu en juillet et consulté par l'AFP.Lors de cet audit, réalisé de septembre 2020 à février 2021, juste après l'accession aux affaires d'une nouvelle majorité de gauche après 25 ans de mandat du maire de droite Jean-Claude Gaudin, l'AFA a constaté "une insuffisante culture de la probité au sein des services" de la ville, "renforcée par l'absence d'un régime disciplinaire adéquat".Ce défaut de probité est notamment illustré, selon le rapport, par "la pratique courante des recrutements familiaux" ou encore "le nombre important de fonctionnaires ayant fait l'objet de plaintes pénales pour des faits d'atteintes à la probité".La gestion de Marseille sous les mandatures Gaudin avait déjà été épinglée sévèrement par la Chambre régionale des comptes. Depuis 2019, une information judiciaire est également en cours pour "détournement de fonds publics par une personne chargée d'une mission de service public, et recel de ce délit".La charte des élus adopté vendredi "prévoit (...) par exemple l'engagement de démissionner en cas de condamnation pénale définitive pour crime ou délit", a précisé Mme Fortin.Autre point noir mis en exergue par le rapport de l'AFA: "Le processus de délivrance des autorisations d'urbanisme présente de graves zones de risques d'atteinte à la probité non maîtrisées en l'absence de toute procédure écrite encadrant l'activité du service".Enfin, l'AFA pointe également "l'absence de tout contrôle effectif sur les actes des mairies de secteur (recrutement de vacataires, achats de biens cessibles, attribution de logements sociaux), qui a pu mener à des dérives lors de la précédente mandature".Elle rappelle ainsi que la mairie centrale n'a pris aucune sanction disciplinaire, n'a réalisé aucun signalement ni déposé aucune plainte après une enquête administrative ayant mis en évidence l'utilisation abusive de cartes de carburant à la mairie des 13e et 14e arrondissements, tenue par le Rassemblement national, entre 2015 et 2018. "Jamais une ville scandinave""Le constat de ce rapport est triste. (...) Cette ville, Marseille, elle est lumineuse mais elle a également sa part d'ombre et ce rapport le révèle cruellement", a commenté Fabien Perez, du groupe écologiste et citoyen, estimant que la charte de déontologie "acte symboliquement une nouvelle direction dans le rapport que les élus ont à l'intérêt général".Le rapport de l'AFA rappelle que "le contrôle de la commune de Marseille s'est déroulé concomitamment à l'installation d'une nouvelle majorité municipale mettant fin à un cycle de quatre mandatures" et que "cette nouvelle majorité a inscrit dans son programme une politique volontariste en matière de lutte contre les atteintes à la probité".Ces chartes sont "la première pierre de quelque chose qui va permettre à cette ville de renouer avec ce qu'elle doit être, une grande ville, ouverte, transparente, démocratique, intelligente, avec ses défauts bien sûr, on ne deviendra jamais une ville scandinave, et c'est ainsi", a déclaré le maire de Marseille, Benoît Payan.Lors de sa victoire aux municipales en juillet 2020, à la tête de la coalition de gauche du "Printemps marseillais", Michèle Rubirola, qui a démissionné cinq mois plus tard au profit du socialiste Benoît Payan, avait promis "la fin du clanisme, du népotisme et du clientélisme" à Marseille, l'une des villes les plus pauvres et les plus inégalitaires de France.
Il y a 3 ans et 167 jours

Selon un rapport de l'Anact, les entreprises "prudentes" voire "réticentes" avec le télétravail

L'Anact a publié sur son site une analyse de 40 accords collectifs signés en 2020, tirés de la base statistique D@ccord du ministère du Travail, dans laquelle on peut apprendre que le nombre d'accords concernant le télétravail est encore en augmentation en 2021. Ces accords étaient au nombre de 1980 en 2020 et sont passés à 2720 en 2021 selon les chiffres du ministère du 15 novembre.Pour les chercheurs de l'Anact, "à la suite du premier confinement lié au Covid, de nombreuses entreprises ont négocié leur premier accord de télétravail ou renégocié l'accord existant"Mais le télétravail était déjà en hausse depuis 2018 avec une augmentation de 30% annuel alors qu'il n'était pas un thème récurent dans les négociations. Ainsi, un Accord National Interprofessionnel (ANI) du 6 novembre 2020 « pour une mise en œuvre réussie du télétravail » a certes proposé un cadre général mais surtout complété et prolongé un précédent ANI de 2005.Plutôt « réticents », « prudents », « convaincus » ou expérimentateurs ?L'étude met en évidence que le télétravail est lié à la taille de l'entreprise. Pour celles comptant entre 50 et 250 salariés représentent 40% des entreprises concernées par le télétravail, celles de moins de 50 salariés et celles de 250 à 1000 salariés sont quant à elle à égalité à 25% alors que les entreprises de plus de 1000 salariés font office de mauvaises élèves avec seulement 10%.Mais le secteur d'activité de ces entreprises joue également un rôle dans leur tendance à mettre en place le télétravail. Par exemple, l'industrie manufacturière et les activités spécialisées scientifiques et techniques sont représentées à hauteur de 16% dans cette étude alors que le secteur de l'information et de la communication ne l'est qu'à 8%.Une typologie est donc mise en avant par l'Anact selon l'approche choisie par les entreprises pour le télétravail : les « réticents », les « prudents », les « convaincus » et les « expérimentateurs ».Les accords de type « réticents » ou « prudents » sont sur-représentés avec un tiers des accords de 2020 étudiés qui propose un jour maximum de télétravail par semaine ou moins et la moitié d'entre eux qui propose deux jours hebdomadaires maximum.Pour les chercheurs de l'Anact, avant l'arrivée de la pandémie de Covid-19, la gestion au cas par cas des demandes de télétravail primait, souvent motivées par des situations personnelles tandis que 2020 a marqué un tournant dans la façon de concevoir le télétravail, passant de situation exceptionnelle à une « transposition des activités de bureau au domicile ». Malgré ce changement dans les mentalités, le travail à distance n'est pas encore perçu « comme une forme d'organisation du travail à part entière (...) mixant présentiel et distanciel ».Interrogée dans l'étude, la syndicaliste Bénédicte Moutin, secrétaire confédérale CFDT chargée de la qualité de vie au travail, estime qu'en fonction de la "maturité" de l'entreprise, "on peut voir des accords qui étaient plutôt limitatifs basculer vers un droit au télétravail", avec par exemple une "auto-planification des jours de télétravail par les télétravailleurs eux-mêmes".
Il y a 3 ans et 167 jours

Courbevoie : un nouveau visage pour le marché Charras

À Courbevoie, une nouvelle halle accueille le marché Charras.
Il y a 3 ans et 167 jours

Encadrement des loyers : des propriétaires hors-la-loi et des sanctions trop rares

Mais d'autres ont moins de scrupules, notamment lorsqu'il s'agit de locations entre particuliers.Au total, 26% des loyers parisiens sont restés en dépassement en 2020 malgré la loi réintroduite en 2019, soulignait l'Observatoire des loyers de l'agglomération parisienne (Olap) dans une note publiée mi-décembre.Le principe de l'encadrement des loyers a été instauré dans plusieurs grandes villes de France pour lutter contre des abus qui rendaient la recherche de logement très difficile pour les budgets les plus contraints. La mesure impose aux propriétaires un plafond qui varie selon les quartiers, et s'applique là "où il existe un déséquilibre marqué entre l'offre et la demande de logements".Pour Yves, propriétaire de trois appartements aux loyers plafonnés dans la capitale, cette loi "était absolument nécessaire. La situation du logement à Paris est lamentable".Mais elle n'a pas vraiment facilité la recherche d'appartement parisien de Marguerite, 26 ans et en CDI. "On trouve encore beaucoup de propriétaires qui ne respectent pas la loi", soupire-t-elle entre deux visites."Aujourd'hui, la tendance dans certaines annonces est même de ne plus indiquer le prix. Des propriétaires se plaignaient de recevoir des commentaires sur les montants élevés des loyers proposés", souligne-t-elle auprès de l'AFP.Certains renoncent carrément à louer, comme ce propriétaire dont le bien est vide depuis quatre mois et qui a dit à l'AFP préférer le garder vacant plutôt que de réduire son loyer de 30%.D'autres avouent s'arranger avec la loi."Comment contourner l'encadrement des loyers ?" : une simple recherche sur internet livre moult conseils pour resquiller. Un propriétaire explique avoir ainsi trouvé une astuce, il précise louer un "logement de fonction ou résidence secondaire", dans son annonce sur un site de particuliers à particuliers, une mention qui permet à son bien dans le sud-ouest parisien d'échapper au plafonnement.Depuis 2019, 10 amendes en Ile-de-FranceBeaucoup d'agences immobilières assurent faire barrage aux malins.Chez La Forêt, rue d'Auteuil à Paris, une conseillère explique: "On expose les risques encourus à ceux qui sont au-dessus des loyers de référence. Soit ils baissent, soit ils s'obstinent. Quand c'est le cas, il faut que cela se justifie par une prestation rare comme un balcon ou un jardin", sinon l'agence refuse le dossier. Au final, elle estime qu'environ 5% des biens en gestion "sont un peu plus chers qu'ils ne devraient l'être".La loi est-elle parvenue à faire baisser les prix là où ils étaient trop élevés ?Selon des professionnels de l'immobilier, elle permet une "certaine régulation du marché". Dans sa note, l'Olap pointe également un "effet modérateur (...) indéniable, bien que modéré".Mais du côté des sanctions, le bilan n'est pas forcément concluant : elles sont rarement appliquées, regrettent plusieurs agents immobiliers interrogés par l'AFP.Depuis 2019, 10 amendes administratives ont été dressées par la préfecture d'Ile-de-France, saisie de 98 dossiers, indiquait mi-décembre Mickaël Nogal, co-rapporteur du projet de loi de décentralisation dit "3DS".Les députés ont donné aux collectivités locales la possibilité de sanctionner elles-mêmes les bailleurs qui font fi de l'encadrement des loyers, une disposition que réclamaient notamment les élus parisiens.Pour Marguerite, installée à Paris depuis plusieurs années, c'est une découverte. "Je n'ai jamais entendu parler de sanctions, y compris quand on est déjà dans le logement", dit la jeune femme, qui regrette le manque de communication à ce sujet.D'après Bertrand Pallatin, "entre ceux qui ne sont même pas au courant de la mesure et ceux qui ont galéré pour se loger, il est très rare qu'un locataire entreprenne une procédure".Prévu par la loi Elan de 2018, le plafonnement des loyers ne concernait, jusqu'au 1er juin 2021 que Paris et Lille. Il a été étendu à cette date à neuf villes de Seine-Saint-Denis, au nord de Paris, regroupées dans l'établissement public Plaine Commune. Depuis le 1er novembre, Lyon a rejoint le dispositif, et Bordeaux et Montpellier doivent faire de même courant 2022.
Il y a 3 ans et 167 jours

Saint-Gobain se lance dans la laine de roche en Inde

Saint-Gobain a conclu un accord avec Alghanim group en vue de l’acquisition de sa filiale détenue à 100%, Rockwool India Pvt Ltd., un acteur majeur dans la production de laine de roche en Inde. Rockwool India Pvt Ltd. exploite la technologie Saint-Gobain, sous licence, pour la fabrication de laine de roche en Inde.
Il y a 3 ans et 167 jours

Ce qui change au 1er janvier 2022 pour accélérer la transition écologique

Économie circulaireInterdiction d’éliminer les invendus non alimentairesInterdiction d'élimination des invendus non alimentaires pour les produits couverts par les filières REP (autrement appelées filières « pollueurs payeurs »), les produits d’hygiène et de puériculture, les produits d’éveil et de loisirs, les livres et fournitures scolaires, les équipements de conservation et de cuisson des aliments. L’élimination, autrement dit la mise en décharge et l’incinération, de ces produits invendus sera ainsi interdite. Les entreprises devront désormais les donner ou les recycler.Lutte contre le plastique à usage uniqueFin des emballages plastiques autour de certains fruits et légumes. Dès le 1er janvier 2022, c’est une trentaine de fruits et légumes frais non transformés qui seront vendus sans plastique dont une quinzaine de légumes : poireaux, courgettes, aubergines, poivrons, concombres, pommes de terre et carottes, tomates rondes, oignons et navets, choux, choux fleurs, courges, panais, radis, topinambours, légumes racines. Du côté des fruits, ce sont notamment les pommes, poires, oranges, clémentines, kiwis, mandarines, citrons, pamplemousses, prunes, melons, ananas, mangues, fruits de la passion, kakis, etc. que l’on retrouvera sur les étals sans emballage plastique dès 2022.Interdiction des jouets en plastique offerts dans certains menus : les restaurants qui souhaitent poursuivre la distribution gratuite de jouets avec leurs menus enfants devront en proposer dans d'autres matériaux, comme le bois ou le carton.Fin de la livraison sous plastique des journaux, magazines et publicités, qui devront être livrés sans emballage ou avec un emballage fabriqué avec un autre matériau, comme par exemple le papier.Dans le secteur de l'achat public : l'Etat ne pourra plus acheter de produits en plastique à usage unique pour une utilisation sur les lieux de travail ou lors des événements qu'il organise.Information du consommateur sur les émissions de gaz à effets de serre liées à ses consommations internet et mobilesLes fournisseurs d'accès internet et opérateurs mobiles devront communiquer à leurs abonnés les émissions de gaz à effets de serre liées à leurs consommations internet et mobiles. Cette information permettra de sensibiliser les consommateurs à l'impact de leur consommation numérique sur l’environnement et le climat.EnergieGel des prix du gazLe gel des prix du gaz en 2022 est étendu aux entreprises locales de distribution (ELD). L’instauration de ce bouclier tarifaire vise à protéger le pouvoir d’achat des ménages face à la flambée de prix de l’énergie.Modification de la réglementation relative aux installations d'éoliennes terrestresDeux nouveaux arrêtés ministériels modifient la réglementation relative aux installations éoliennes terrestres à compter du 1er janvier 2022 en introduisant :un contrôle acoustique systématique à réception pour les parcs éoliens ;un nouveau critère d’appréciation de l’impact sur les radars Météo France ;la possibilité de réutiliser les postes de livraison, les câbles et les fondations en cas de renouvellement ;une augmentation du montant des garanties financières, cohérente avec l’évolution technologique de la filière.Logement et bâtimentLancement de France Rénov', le service public pour rénover son logementFrance Rénov' est le nouveau nom du service public de la rénovation de l'habitat piloté par l’ANAH. Les Espaces Conseil FAIRE et les Points rénovation information service de l'Anah (PRIS) deviennent les Espaces Conseil France Rénov' dès le 1er janvier 2022 le point d'entrée unique pour guider les Français dans leurs travaux de rénovation. Ce service de référence délivre des informations et conseils neutres, gratuits et indépendants. Il accompagne également les ménages tout au long de leur parcours à travers l'offre spécifique « Mon accompagnateur Rénov' ».Le réseau France Rénov' est présent sur l'ensemble du territoire avec près de 450 guichets et est disponible via la plateforme france-renov.gouv.fr et au 0808.800.700.Lancement d'Eco Energie Tertiaire pour déclarer des données bâtimentaires et de consommationÉco Énergie Tertiaire est une obligation réglementaire qui impose une réduction progressive de la consommation d’énergie dans les bâtiments à usage tertiaire (surface de 1.000 m² ou plus) afin de lutter contre le changement climatique. À partir du 1er janvier 2022, les assujettis doivent déclarer leurs données bâtimentaires et de consommation d’énergie sur la plateforme Operat (Observatoire de la performance énergétique de la rénovation et des actions du tertiaire) de l’Ademe.Possibilité de déposer un permis de construire par voie électroniqueÀ partir du 1er janvier 2022, les usagers pourront choisir de déposer leur permis de construire et plus largement leur demande d’autorisation d’urbanisme (déclaration préalable, permis d’aménager, permis de démolir…) par voie électronique pour la réalisation de leurs travaux (construction/extension, ravalement, clôture, abris de jardin, fenêtres, panneaux solaires, …). Pour accompagner cette transformation d’ampleur et l’ensemble des communes, l’État en concertation avec les associations d’élus (AMF et AdCF) déploie un vaste programme de transformation numérique de l’application du droit des sols, appelé Permis de construire en ligne. Jusqu’à présent, l’usager était dans l’obligation :soit d’envoyer son dossier papier en de multiples exemplaires par voie postale en recommandé avec accusé de réception,soit de se déplacer aux horaires d’ouverture du guichet en mairie.Le dépôt et l’instruction en ligne des demandes d’autorisation d’urbanisme répondent ainsi aux enjeux de simplification et de modernisation des services publics, à l’heure où la très grande majorité de services est accessible en ligne.Mise en application de la RE2020, nouvelle réglementation environnementale des bâtiments neufsLa réglementation environnementale des bâtiments neufs, appelée RE2020, va remplacer l'actuelle réglementation thermique, la RT2012. Elle s'appliquera aux maisons individuelles et logements collectifs pour lesquels le permis de construire est déposé à partir du 1er janvier 2022 et aux bâtiments de bureau et d'enseignement pour lesquels le permis de construire est déposé à partir du 1er juillet 2022.Les trois objectifs principaux poursuivis à travers la RE2020 sont :donner la priorité à la sobriété énergétique et à la décarbonation de l’énergie ;diminuer l’impact carbone de la construction des bâtiments ;en garantir le confort en cas de forte chaleur.Ainsi, en plus de renforcer les exigences en matière de performance énergétique des bâtiments neufs par rapport à la RT2012, la RE2020 améliore la prise en compte du confort d'été et introduit la dimension environnementale en établissant des exigences relatives à l'impact carbone du bâtiment sur son cycle de vie dès sa construction. Afin de fixer une trajectoire de réduction de l'impact environnemental de la construction de bâtiments, les exigences seront progressivement renforcées tous les trois ans jusqu’en 2031.Santé-environnementMise en application du nouveau règlement bio européenDe nouvelles règles vont s’appliquer au 1er janvier 2022 pour la production biologique. Elles sont inscrites dans le règlement de base adopté en 2018 qui définit les principes généraux et les règles principales de l’agriculture biologique. Ce nouveau règlement est complété par une quinzaine de textes réglementaires sur des sujets souvent techniques. Plusieurs changements importants entreront en vigueur au 1er janvier 2022 :de nouvelles catégories de semences disponibles pour l’agriculture biologique ont été définies pour offrir aux agriculteurs bio du matériel plus adapté à leurs besoins et au service de la biodiversité agricole ;un certain nombre de nouvelles mesures visant à augmenter le bien-être des animaux sont également à l’ordre du jour, comme par exemple l’interdiction de mutilations (ébecquage, taille des dents) ;des produits qui n'étaient pas couverts par le règlement européen pourront à l’avenir bénéficier du label bio : il s'agit notamment des animaux de ferme comme les lapins et les cervidés, des huiles essentielles, du sel, etc. ;le règlement contient enfin de nouvelles règles concernant l’utilisation d’arômes et d’additifs mais aussi les importations, faisant de la conformité au cahier des charges européen la règle d’échange avec les pays tiers.TransportsProposée par la Convention citoyenne pour le climat, la taxe sur la masse en ordre de marche (malus poids) entrera en vigueur au 1er janvier. Elle s’appliquera aux véhicules de tourisme neufs pesant plus de 1,8 tonne (1.800 kg), avec un tarif unitaire de 10 € par kilogramme excédentaire. Pour tenir compte de situations personnelles particulières (familles nombreuses, personnes invalides, etc.) d’une part ; des spécificités techniques liées aux véhicules les plus performants sur le plan environnemental (véhicules électriques, hydrogène ou hybrides rechargeables d’une autonomie suffisante) d’autre part, des abattements ou des exonérations, suivant les cas, ont été intégrés au dispositif. Les véhicules utilitaires, quant à eux, ne sont pas concernés par la taxe.Renforcement du malus lié aux émissions de CO2 des véhicules et prolongation du barème actuel du bonus pour aider à l’acquisition de véhicules propresA partir du 1er janvier 2022, un nouveau barème du malus sur les émissions de CO2 des automobiles s'appliquera aux véhicules neufs. Cette évolution avait été prévue dès fin 2020 par l'article 55 de la loi de finances pour 2021. Il s'appliquera à partir de de 128 grammes de CO2/km au lieu de 133 grammes de CO2/km en 2021. Pour ce niveau de pollution, la taxation sera de 50 €. Le seuil de 1000 € sera atteint dès 151 grammes de CO2/km (1.074 €), au lieu de 156 grammes de CO2/km en 2021. La dernière tranche du barème s'élèvera à 40.000 € pour les véhicules ayant un taux de CO2 supérieur à 223 grammes de CO2/km (au lieu de 30.000 € en 2021 pour les plus de 218 grammes de CO2/km).En contrepartie de ces évolutions, et dans un contexte de forte hausse récente des prix des carburants, le barème du bonus écologique, subventionnant l’acquisition de véhicules propres, qui devait initialement diminuer d’un montant de 1.000 € au 1er janvier 2022, est finalement maintenu à son niveau actuel pour une durée supplémentaire de 6 mois. Les particuliers pourront ainsi continuer de bénéficier au 1er janvier 2022, par exemple, d’une aide de 6.000€ pour l’acquisition d’une voiture électrique ou hydrogène neuve de moins de 45.000€.Risques industrielsObligation de tenue à jour d’un état des matières stockéesL’obligation de tenue à jour d’un état des matières stockées entre en vigueur pour les entrepôts de stockage de matières combustibles, de liquides inflammables, les installations de tri transit déchets et les installations Seveso. Cet état devra être disponible sous deux formats, le premier format destiné à être utilisé par les services de l’État pour la gestion d’un évènement accidentel, le second pour répondre aux besoins d’information de la population dans ce même cadre.Les arrêtés encadrant les sites de liquides inflammables classés à enregistrement ou à déclaration entrent également en vigueur, achevant ainsi la mise en œuvre du plan d’action sur le volet de la réglementation relative aux liquides inflammables.Pour les entrepôts à autorisation, c’est la disposition visant l’anticipation des premiers prélèvements environnementaux en cas d’accident qui entre en vigueur. Par ailleurs, pour les entrepôts dotés d’un plan d’opération interne, il devient obligatoire d’y définir les dispositions à mettre en œuvre pour le nettoyage et la remise en état du site, ainsi que l’organisation pour lutter contre un incendie de plus de 2 heures.
Il y a 3 ans et 169 jours

Près de Madrid, la "cathédrale" en matériaux de récup' bâtie par un ancien moine

Qualifié de "fou" au début de son entreprise, cet homme, qui a dû renoncer à sa vocation de moine à cause de la tuberculose, est mort en novembre 2021 à 96 ans.Bâtie sur un terrain vague à Mejorada del Campo, la "cathédrale de Justo", qui n'est pas reconnue comme un lieu de culte par les autorités religieuses, a aujourd'hui une superficie de 4.700m2, une nef centrale de 50 mètres de long et 20 m de large, une hauteur de 35 m et douze tours de style gothique ou byzantin.Justo Gallego y a consacré plus de la moitié de sa vie, utilisant des briques cassées, des pots de peinture ou des boîtes de conserve et avançant mètre après mètre, sans avoir de plan.Visitant les lieux après avoir reçu le prix Princesse des Asturies, le célèbre architecte britannique Norman Foster lui avait dit: "c'est à vous qu'on aurait du remettre ce prix", a raconté vendredi à l'AFP Juan Carlos Arroyo, ingénieur et architecte dont l'entreprise, Calter Ingeniería, étudie la solidité de la construction qui doit encore être régularisée.Trop affaibli pour travailler ces dernières années, Justo a cédé l'oeuvre de sa vie à l'organisation caritative des Messagers de la Paix du Père Angel, un religieux très connu et médiatique en Espagne, qui se chargera de terminer l'édification du temple."Dans le style Justo"Né en 1925 à Mejorada del Campo, dans une famille d'agriculteurs, il a commencé à bâtir ce temple dédiée à la "Vierge du Pilier" à l'âge de 27 ans après avoir dû quitter la vie monacale et être revenu dans son village.Clin d'oeil, elle se trouve dans la rue Antonio Gaudi (1852-1926), bâtisseur de la Sagrada Familia de Barcelone inachevée à sa mort et qui n'est toujours pas terminée.Un architecte que Justo dédaignait pour avoir voulu imiter la nature alors que lui avait pour unique volonté de construire un temple roman.Selon Juan Carlos Arroyo, la cathédrale de Mejorada del Campo serait plutôt "de style gothique en terme architectonique, en raison de sa finesse, de l'échelle de construction" mais elle est surtout "dans le style Justo"."La structure a supporté des évènements météorologiques importants tout au long de sa construction", ajoute-t-il, en se disant convaincu qu'elle ne nécessitera que "de petites interventions chirurgicales". Ce qui est surprenant, au vu des matériaux utilisés. "Aujourd'hui, le recyclage est à la mode, mais (Justo) l'a utilisé il y a 60 ans quand personne ne parlait de cela" et "il a créé une esthétique, une belle esthétique".Personnes dans le besoinLe Père Angel voudrait que la cathédrale de Justo soit un lieu ouvert à toutes les confessions mais aussi aux gens dans le besoin."J'ose dire qu'il y a trop de cathédrales et trop d'églises et que parfois nous avons surtout besoin qu'elles soient pleines", dit-il devant l'autel. "Cela ne sera pas une cathédrale à proprement parler mais un centre social où pourront venir les gens pour prier" ou s'ils "ont des difficultés"A l'intérieur du bâtiment, les volontaires travaillant sous la direction d'Angel López, qui aidait Justo Gallego depuis 24 ans, se mélangent aux visiteurs qui entrent et sortent. Comme Ramon Calvo, 74 ans, venu de Madrid avec ses anciens camarades de classe."Si les moyens, surtout économiques, sont mis, pour l'achever, cela sera un très beau temple. Et vu l'histoire qu'il a, il méritera d'être visité, comme nous sommes en train de le faire", dit-il, affirmant être "convaincu" que Justo Gallego avait reçu un "message" avant de se lancer dans une telle entreprise.
Il y a 3 ans et 170 jours

Comment peindre la chambre d’un enfant?

Vous voulez apporter un gout de renouveau à la chambre de votre enfant ? Notez que cela nécessite une bonne préparation pour obtenir le résultat que vous attendez. Vous ne devez rien laisser au hasard pour la réalisation de votre projet. Vous pouvez alors prendre en compte les conseils suivants pour repeindre correctement le coin de votre progéniture. Choisir le type de peinture à utiliser Vous devez savoir que le marché de la peinture intérieure à beaucoup évoluer ces dernières années. Il faut alors prendre le temps de bien choisir le type de teinture à utiliser. Vous pouvez alors miser sur une finition satinée ou veloutée selon vos envies. Cela apportera une meilleure luminosité à la pièce. Un point qui fera certainement plaisir à votre progéniture. Vous avez aussi la possibilité d’appliquer de la peinture acrylique ou Glycéro. Soyez certain que les murs sècheront rapidement si vous optez pour ces deux options. Elles sont aussi de natures moins polluantes contrairement à ce que vous pouvez l’imaginer. Vous pouvez faire appel à une entreprise de peinture si vous avez du mal à prendre une décision. Prenez aussi le temps de bien choisir la couleur Vous devez avant tout faire attention à ne pas utiliser plus de 3 couleurs dans la pièce de votre enfant. En effet, vous risquerez d’avoir une chambre désordonnée si vous ne faites pas attention à ce point. Vous avez en outre la possibilité d’utiliser une seule couleur, mais avec des nuances différentes. Il faut éviter d’appliquer des teintes trop vives, car cela peut avoir un impact sur le sommeil de votre progéniture. Cela est aussi valable pour les teintes criardes. Il vaut mieux privilégier les couleurs pastel qui sont reconnues comme étant plus apaisantes. Vous pouvez par exemple miser sur le vert pour ajouter une touche de la nature. Le bleu permet par contre d’ajouter une ambiance aquatique. D’autres options sont aussi possibles. Différentes techniques peuvent être proposées Certes, vous avez envie de vous y prendre tout seul pour peindre les murs de votre enfant. Mais, il est plus sûr de faire appel à une entreprise de peinture pour obtenir un meilleur résultat. Un bon artisan maitrise généralement toutes les techniques dans ce domaine. Il peut par exemple appliquer la peinture de manière uniforme. Vous pouvez aussi demander à ajouter une frise si vous le souhaitez. L’ajout de différents motifs peuvent se faire si c’est ce qui vous convient. En outre, le mieux est d’en parler avec votre enfant avant de prendre une décision. Il peut parfaitement exprimer ses envies. Vous n’aurez qu’à adapter les choses en fonction de vos possibilités. Quelques erreurs à éviter pour peindre la pièce Il ne faut pas faire l’erreur d’acheter le premier pinceau que vous trouverez pour repeindre la chambre d’un enfant. Il vaut mieux faire une évaluation de la taille du mur ainsi que sa texture. Cela vous aidera à bien choisir la brosse à utiliser. Il ne faut pas non plus oublier l’utilisation d’une bande qui vous servira de repère pendant l’intervention. La négligence du nettoyage du support est une autre erreur à ne pas négliger. Vous risquerez de nuire à la fixation de la nouvelle teinture. D’ailleurs, il est important d’avoir la bonne quantité de pots de peinture avant de commencer le projet. Enfin, il est plus judicieux de vous informer sur l’atmosphère idéale pour peindre la pièce.
Il y a 3 ans et 170 jours

Le Fonds de dotation Qualitel récompense 28 projets solidaires et engagés pour un logement digne et de qualité

Cet événement a également été l’occasion de fêter le 10ème anniversaire du Fonds de dotation QUALITEL et de revenir sur une décennie en faveur de la solidarité.Répartis-en 4 catégories (hébergement, numérique, accompagnement et recherche), les projets récompensés cette année répondent tous à une même volonté : accompagner et soutenir des personnes défavorisées ou isolées. Ces organismes et associations se partageront la somme globale de 230 000 €, une aide financière essentielle et précieuse leur permettant de concrétiser leur projet, le développer ou le renouveler.Le Fonds de dotation QUALITEL : rappelCréé fin 2011 par l’Association QUALITEL dans le cadre de sa mission de promotion de la qualité de l’habitat, le Fonds de dotation QUALITEL finance et soutient des projets solidaires, novateurs et engagés en faveur d’un logement digne et de qualité pour tous.Objectif : améliorer les conditions de vie des personnes les plus défavorisées : jeunes désocialisés, personnes sans domicile fixe, en perte d’autonomie ou en situation de handicap, femmes isolées, réfugiés…Cette année encore, dans un contexte sanitaire engendrant chaque jour des difficultés croissantes pour ces publics fragiles, le Groupe QUALITEL s’engage pour la 10ème année : 156 projets ont été reçus, parmi lesquels 28 ont étésélectionnés1 par le Conseil d’administration du Fonds de dotation QUALITEL, les collaborateurs du Groupe QUALITEL et les partenaires mécènes du Fonds de dotation. Les porteurs de ces projets (associations, ONG…) se verront partager la somme globale de 230 000€.28 projets distingués autour de 4 enjeuxL’ensemble des projets récompensés sont organisés autour de 4 catégories :Hébergement : offrir des solutions de logement pérenne, lutter contre la précarité énergétique et promouvoir un logement de qualité.Accompagnement et éducation : former aux écogestes et à la maîtrise des consommations d’énergies, promouvoir l’insertion et l’accès aux droits, sensibiliser à la santé, à l’hygiène et aux risques domestiques.Recherche : améliorer la performance énergétique, le confort thermique et acoustique du logement, faire progresser la qualité de l’air, les installations et la prévention des risques incendie, valoriser des matériaux durables et les énergies renouvelables.Numérique : mettre les nouvelles technologies au service du logement, former aux nouveaux usages, développer des applications et plateformes de services solidaires.Au sein de ces catégories, ce sont au total 12 projets qui ont été sélectionnés par le Conseil d’administration du fonds de dotation QUALITEL, 1 par les collaborateurs et 15 par les partenaires mécènes en lien avec leur thématique d’engagement respective :CERQUAL Qualitel Certification, pour un logement décent et de qualité ;ROCKWOOL France, pour lutter contre l’habitat indigne et les discriminations ;Malakoff Humanis, pour favoriser le bien vieillir et le maintien à domicile des seniors en milieu rural ;FASE, en lien avec la sécurité électrique ;BNP Paribas Immobilier, sur les thèmes de l’insertion et de l’environnement ;Pierre Étoile, pour l’accès au logement et l’amélioration des conditions d’habitat ;QUALIBAT, pour la sensibilisation et l’accompagnement à la rénovation énergétique ;Le Crédit Mutuel Arkéa, sur le thème du numérique et de l’impact social ;La Fédération des Ascenseurs, pour la mise en accessibilité du logement.Pour Chantal Jannet, Présidente du Fonds de dotation QUALITEL : « Depuis 10 ans, le Fonds de dotation QUALITEL soutient des organismes sans but lucratif portant des projets emblématiques. Il maintient son soutien et son accompagnement dans le développement de solutions solidaires innovantes plus que jamais essentiels pour améliorer les conditions de logement et de vie des publics les plus vulnérables. »
Il y a 3 ans et 170 jours

Des péages sans barrière fin 2024 sur l'autoroute de Normandie

Les usagers pourront circuler à la vitesse autorisée sur l'autoroute sans ralentir ni s'arrêter en passant sous les portiques dotés de caméras et de capteurs qui identifieront les véhicules, a décrit la Société des autoroutes du nord et de l'est de la France (Sanef) dans un communiqué.Leur compte sera automatiquement débité s'ils sont abonnés au télépéage. S'ils ne le sont pas, ils pourront soit enregistrer leur plaque d'immatriculation sur le site ou l'application de la Sanef, soit payer après leur passage par téléphone, en ligne ou sur une borne physique.La Sanef promet "des gains de temps, des économies de carburant et des réductions des émissions de CO2 dans l'atmosphère". Il faut actuellement s'arrêter quatre fois au péage entre Paris et Deauville et cinq fois entre Paris et Caen sur l'A13, dont les embouteillages des retours de week-end sont légendaires.Les travaux se prolongeront ensuite jusqu'en 2027 avec la destruction des barrières de péage actuelles, dont une partie des espaces --28 hectares, soit l'équivalent de 40 terrains de football, selon la société-- sera rendue à la nature.L'investissement est évalué à environ 120 millions d'euros, dont le quart sera couvert par une hausse annuelle des tarifs de 0,22% pendant trois ans, à partir du 1er février 2022.La Sanef expérimente cette formule depuis mars 2019 à l'échangeur de Boulay-Moselle sur l'autoroute A4. "Le système technologique a démontré sa fiabilité et les clients se sont familiarisés avec ce nouveau système de paiement", assure-t-elle.Ce système appelé "free-flow" --ou "flux libre" en français-- est déjà largement utilisé à l'étranger (Afrique du Sud, Chili, Grande-Bretagne, Irlande, Norvège, Suède, etc), notamment par le groupe espagnol Abertis, maison-mère de la Sanef.Un dispositif similaire doit être adopté sur la future autoroute A79, construite par Eiffage, qui doit ouvrir dans l'Allier à l'automne 2022.
Il y a 3 ans et 170 jours

Les outils de bases pour faire des travaux de toiture

Les travaux de toiture doivent être bien effectués afin d’éviter les fuites d’eau. Ces travaux nécessitent l’utilisation de plusieurs instruments de bricolage. Ils demandent beaucoup d’endurance physique. Le pratiquant doit également disposer d’une bonne base sur la matière avant de se lancer dans cette aventure. Faire appel à un couvreur professionnel constitue une excellente idée pour les novices aux bricolages. Dans le cas contraire, voici quelques instruments utiles pour mener à bien les travaux de toiture. Une cloueuse et un marteau pour les toitures Une cloueuse sert à fixer des éléments entre eux. Joindre les barreaux constitue son principal rôle. Les marteaux à toiture interviennent sur les parties où la cloueuse est inutilisable. De nombreux professionnels favorisent l’utilisation d’une cloueuse, car elle permet de finir le travail plus rapidement. Un outil pour comprimer l’air Un compresseur d’air accompagne le travail d’une cloueuse à air comprimé. Ce type d’instrument dispose d’une capacité constante de compression. Cette qualité permet d’effectuer les travaux avec une rapidité efficace. Il est possible de se renseigner auprès d’un couvreur pour avoir plus de précision sur l’utilisation de cet outil. Une agrafeuse Les agrafeuses servent à fixer la sous-couche de feutre. Ce constituant de la toiture présente des rondelles en plastique ou en métal qui empêchent les fuites d’eau. Les professionnels optent pour l’achat d’une agrafeuse et d’une cloueuse à air comprimé afin de mener à bien les manipulations. Les couteaux pour le toit Les couteaux avec des lames rétractable ou courbé permettent de couper divers éléments comme les bardeaux. Les lames de cet outil sont extrêmement tranchantes. L’utilisateur doit prendre des précisions pour éviter de se blesser. Faire appel à un professionnel peut aider les apprenties à mieux comprendre l’utilité de ce couteau. Une bâche Les bâches permettent de protéger les travaux de la pluie. Elles sont indispensables pour mieux anticiper les intempéries. Il est possible de  faire appel à un couvreur  en cas d’incident. Un professionnel va pouvoir arranger les dommages causés par l’eau. Des échelles Les échelles font partie des matériels incontournables dans tous les travaux de toiture. L’exécuteur des travaux doit posséder au moins un escabeau et une échelle coulissante. L’OSHA impose l’utilisation d’une échelle « monte-charge ». Elle permet de transporter des objets lourds vers le toit. Il faut éviter de fabriquer son propre monte-charge pour préserver la sécurité des ouvriers. Solliciter l’aide d’un couvreur permet d’éviter ce genre de dépense. Des outils de protection Les personnes effectuant les travaux de toiture doivent impérativement disposer des outils de sécurité. L’OSHA pénalise le non-port de casque de sécurité sur le lieu de travail. Le port de chaussure de travail permet de protéger le toit de la rigidité des semelles en plastique. Tous ces éléments sont présents sur le marché local. Il est recommandé de bien s’informer avant d’acheter un de ces outils. Il faut opter pour des matériels d’occasion afin de limiter les dépenses en cas d’échec. Les travaux de toiture sont compliqués à réaliser et ils nécessitent beaucoup de temps pour un simple individu. Une seule personne ne peut pas effectuer ses travaux. L’intervention un artisan est plus efficace pour ce type de travaux.
Il y a 3 ans et 170 jours

Transition énergétique : lancement imminent de la plateforme Operat, destinée au tertiaire

ÉCONOMIE D'ÉNERGIE. Destinée aux acteurs tertiaires privés comme publics, la plateforme Operat sera officiellement lancée au 1er janvier 2022 afin de collecter les données de consommation énergétique des sites dont la surface est égale ou supérieure à 1.000 mètres carrés. Elle est la concrétisation du décret tertiaire mis en place par la loi Elan de 2018.
Il y a 3 ans et 170 jours

Pandémie et télétravail entraînent la chute du coût d’un poste de travail en entreprise en 2020

L’impact de la pandémie se fait sentir à presque tous les niveaux, de l’immobilier à la masse salariale en passant par l’exploitation technique et fonctionnelle, les moyens et équipements et les services aux collaborateurs. Concernant la première année de la pandémie, les mesures sanitaires se traduisent ainsi de façon significative sur le coût d’un poste de travail par salarié, ce dernier s’établissant en moyenne à 10 246 euros par salarié, chutant de 23% par rapport à 2019 (13 391 euros).Pour Latifa HAKKOU, présidente de l’ARSEG : « Forte de ces enseignements édifiants, pour garantir la performance future des entreprises, la filière de l’Environnement de Travail devra faire des choix, réinventer des métiers et forger des nouveaux modèles agiles, innovants et durables. Rien de cela ne sera possible sans la pleine compréhension de cette crise, de ses ruptures et des opportunités qui se dessinent pour une filière qui a toujours su s’adapter avec succès aux transformations de l’entreprise, de l’économie et de la société française. »Les services aux collaborateurs en baissePendant des mois, les bâtiments ont été vidés de leurs occupants, et le télétravail est devenu une activité professionnelle massifiée dans la plupart des entreprises tertiaires de l’Hexagone. Dans cette filière dont le modèle s’axe principalement sur la présence au bureau, les confinements et les périodes d’activité partielle ont eu pour conséquence la chute des coûts variables de l’Environnement de Travail. On pense notamment aux services aux collaborateurs, qui ont connu une baisse de l’ordre de 32 % par poste de travail en raison de la réduction du volume de prestations destinées aux occupants (ex. la restauration d’entreprise). Dans le domaine de l’exploitation, la réduction de 16 % par poste de travail s’attribue principalement à la baisse du niveau de certaines prestations (ex. la sécurité-sûreté) et à la réduction des consommations énergétiques pendant les périodes d’occupation faibles.L’immobilier stable (pour l’instant)Sans surprise, les coûts les plus stables en 2020 étaient décorrélés de l’activité des sites au 1er rang desquels les charges liées aux bâtiments (loyers, assurances et taxes), qui ont connu une baisse légère de l’ordre de 2,9 % par poste de travail. Si l’immobilier est le premier poste de coûts du budget, il est marqué par une baisse presque constante du taux d’occupation depuis 2016, avec en parallèle un taux de salariés en télétravail qui a augmenté avec le temps.Dans l’avenir proche, ces tendances pourraient s’accélérer : d’après un sondage réalisé en 2021 par le cabinet de conseil Génie des Lieux, plus de 68 % des salariés consultés souhaitaient que leurs entreprises évoluent en fonction des enseignements tirés du confinement et de la crise sanitaire. Parmi les attentes évoquées, 42 % souhaitaient une meilleure prise en compte de l’hybridation des modes et des espaces de travail. Pour une filière qui a dédié en 2020 presque 70 % de son budget aux coûts immobiliers, l’hybridation du travail est une nouvelle piste à travailler pour optimiser les surfaces tout en proposant des modes de travail plus adaptés aux besoins et envies des collaborateurs.D’autres coûts stables sont ceux liés à l’entretien et à la maintenance des établissements qui ont pour leur part baissé de 3,4 % et 1,3 % par poste de travail.
Il y a 3 ans et 170 jours

Désorganisation, perte d'activité : le début 2022 s'annonce compliqué pour les artisans

CONJONCTURE. La nouvelle vague de covid-19 risque d'entraver sérieusement l'activité des artisans du bâtiment. C'est ce que vient d'affirmer Jean-Christophe Repon, président de la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb).
Il y a 3 ans et 170 jours

Pont-du-Château : le parc de Picou, un futur pôle tertiaire

Pont-du-Château : le parc de Picou, un futur pôle tertiaire
Il y a 3 ans et 170 jours

Deux associations de commerçants s'inquiètent de l'augmentation des loyers

L'indice des loyers commerciaux (ILC), sur lequel sont indexés les baux à leur date d'anniversaire ou en début d'année, a en effet augmenté de 3,46% au troisième trimestre, par rapport à la même période l'an dernier.L'indice est calculé en fonction de trois paramètres: l'évolution des prix à la consommation, celle des prix de la construction neuve et celle du chiffre d'affaires du commerce de détail, qui comprend aussi bien les ventes en magasin que sur internet. Dans un contexte d'inflation, l'ILC augmente donc logiquement.Mais dans le même temps, beaucoup de boutiques, en particulier dans certains secteurs comme l'habillement, sont confrontées à une baisse de la fréquentation et de leur chiffre d'affaires depuis le début de la crise sanitaire. Sur la période de janvier à novembre, l'activité des magasins du commerce spécialisé a chuté de 11% par rapport à 2019, estime Procos."Dans ces conditions, l'Alliance du Commerce et Procos demandent qu'une solution soit trouvée dans l'urgence avec les propriétaires bailleurs et l'Etat pour que les commerçants n'aient pas à supporter des hausses de loyer élevées en 2022", déclarent les deux fédérations dans un communiqué commun.Le mode de calcul de l'ILC est critiqué par de nombreuses associations de commerçants ainsi que par le Comité national des centres commerciaux (CNCC) qui représente les commerçants et les bailleurs. Ils lui reprochent notamment de prendre en compte le chiffre d'affaire de certains acteurs présents uniquement en ligne, comme Amazon."Le sujet a été évoqué pendant les Assises du Commerce, on ne sait pas s'il va être repris" par le gouvernement, a indiqué à l'AFP Gontran Thuring, délégué général du CNCC.En attendant, Procos et l'Alliance du Commerce demandent un gel de l'ILC "ou au moins un abattement important", souligne Emmanuel Le Roch, délégué général de Procos. Autrement, les fédérations craignent que le poids des loyers empêche les commerçants de faire des investissements nécessaires et qu'il ait des conséquences sur l'emploi voire mène à des fermetures de magasins.De son côté, le CNCC ne soutient pas cette proposition : "dans une conjoncture inflationniste généralisée, il n'y a pas de raison qu'un indice soit gelé et pas le reste", soutient Gontran Thuring.
Il y a 3 ans et 170 jours

Transition écologique : ce qui change au 1er janvier 2022

Le ministère de la transition écologique fait une piqûre de rappel pour rappeler quels sont les changements à prendre en compte à partir du 1er janvier 2022. « Des changements essentiels interviendront et feront entrer concrètement l’écologie dans le quotidien des français ». Focus sur la partie économie circulaire, énergie, logement et bâtiment.
Il y a 3 ans et 170 jours

Un réseau pakistanais qui aurait blanchi plusieurs millions d'euros issus du travail dissimulé dans le BTP, démantelé

Un Pakistanais, tête de pont du réseau, dirigeait plusieurs entreprises à l'activité réelle dans le nettoyage et le bâtiment tout en ayant recours à des sociétés dites "taxi", c'est-à-dire fictives et uniquement destinées à faire transiter des fonds."Il transférait les fonds via des fausses factures de sous-traitance pour régler en espèces les salaires des ouvriers sans qu'aucune cotisation ne soit versée et ainsi baisser ses coûts et rester compétitifs auprès de ses clients, notamment Veolia et Engie", a détaillé à l'AFP le commissaire Julien Bataille, adjoint à la cheffe de l'Office central pour la répression de la grande délinquance financière (OCRGDF).Des fonds étaient par ailleurs transférés sur des comptes dans différents pays d'Europe, comme l'Espagne, l'Italie, le Portugal, la Pologne ou la Lituanie.L'enquête avait démarré en septembre à la suite d'un signalement d'un dirigeant d'une société de conseil spécialisée dans les démarches administratives pour créer des entreprises, installé en Seine-Saint-Denis."Il avait été démarché à plusieurs reprises par un individu d'origine pakistanaise pour immatriculer différentes sociétés et ouvrir des comptes bancaires associés", dit le commissaire. "Ce témoin s'est aperçu que les photos d'identité des futurs gérants étaient recyclées et correspondaient à des ressortissants italiens, espagnols ou belges, déjà présentés sous d'autres noms", poursuit-il.Les investigations, confiées en octobre à un juge d'instruction de la Juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Paris, ont permis de recenser 37 fausses sociétés dans les Hauts-de-France, en Occitanie, en Bourgogne-Franche-Comté et en Île-de-France.85 comptes bancaires professionnels et 107 comptes particuliers, attribués à des salariés, ont été ouverts par des gérants de paille avec des faux papiers, issus de la communauté pakistanaise et rémunérés 1.000 euros par mois en moyenne.Entre 2020 et 2021, le chef du réseau a estimé lors de son audition avoir blanchi 500.000 euros avec seulement six de ces sociétés fantômes."On peut donc supposer que sur les 37 fausses sociétés, le blanchiment portait sur plusieurs millions d'euros", selon le commissaire de l'OCRGDF.Le 15 décembre, le chef de l'organisation a été placé en détention provisoire et trois de ses associés ou complices sous contrôle judiciaire.Tous les quatre sont mis en examen pour blanchiment aggravé, et trois pour association de malfaiteurs, selon une source judiciaire.Au total, 335.000 euros en espèces ou sur des comptes bancaires ont également été saisis et les comptes ouverts à l'étranger vont être gelés.
Il y a 3 ans et 170 jours

17e édition du concours photo AQC 2022 : l'image au service de la qualité dans le bâtiment

Avec un slogan fort, Éviter les désordres du bâtiment, apprendre par l'image !, les seize éditions précédentes témoignent de l'utilité de ces images au service de la qualité des bâtiments. Elles font écho à la mission de prévention qui est au cœur des actions de l'AQC. La catégorie étudiant y trouve tout son sens : de nombreux responsables pédagogiques ont bien compris son intérêt pour leurs étudiants en l'intégrant dans leurs programmes.Ainsi, plus de 4 000 photographies ont été́ envoyées à l'AQC depuis le lancement du concours en 2006.Pour participer, rien de plus simple grâce à la plateforme numérique dédiée. Il suffit de quelques minutes pour envoyer son dossier.Observez...Le focus doit être fait sur les désordres dans le bâtiment au sens large : qu'il soit d'usage collectif ou individuel, industriel ou tertiaire.Par l'image, l'AQC sensibilise au quotidien sur l'importance du respect des bonnes pratiques en matière de construction. Et quoi de plus pédagogique et facilement compréhensible qu'une image ? De la pathologie courante au sinistre exceptionnel, les désordres revêtent toutes sortes de formes.Photographiez…Comme chaque année, le jury récompensera les meilleures photographies sur des critères de sélection précis. Si le désordre doit être bien identifié visuellement, l'explication technique détaillée du défaut de construction ou d'usage du bâtiment devra venir appuyer la photographie soumise au jury.Les seules contraintes imposées aux participants consistent à photographier un bâtiment en exploitation (pas de bâtiment laissé à l'abandon), et situé sur le territoire national métropolitain ou ultramarin.Les photos récupérées sur Internet ou résultant de montages seront exclues de l'examen du jury.Et partagez !Lancée le 15 décembre 2021, la 17e édition du Concours Photo AQC 2022 se clôturera le 31 mars 2022.Une plateforme numérique, dédiée au concours, permet aux candidats de s'inscrire très rapidement à partir d'un ordinateur, d'un smartphone ou d'une tablette.Les formulaires de participation sont à̀ renseigner en ligne, en joignant le(s) fichier(s) numérique(s) en haute résolution des photos, ainsi qu'un texte détaillé́ expliquant la (les) cause(s) du désordre et le lieu de prise de vue. Le règlement du concours et l'autorisation d'exploitation doivent également être renseignés et acceptés en ligne.La plateforme est accessible jusqu'au 31 mars 2022 minuit.Les participants concourent dans l'une des 2 catégories suivantes :Catégorie Générale : professionnels de la construction ou particuliers ;Catégorie Étudiant : étudiants, lycéens, apprentis.Chaque candidat est libre d'envoyer une ou plusieurs images, le nombre de photos n'est pas limité.Gagnez de nombreux prix en cartes cadeaux et une exposition à la clé !Le jury, composé de professionnels de la construction, distinguera, dans chaque catégorie, un premier et un deuxième prix et, éventuellement, un « Prix Spécial » du même montant que les 2e prix de chaque catégorie.Catégorie Générale :1er prix : d'une valeur de 1 000 € TTC2e prix : d'une valeur de 500 € TTCCatégorie Étudiant :1er prix : d'une valeur de 500 € TTC2e prix : d'une valeur de 250 € TTCLes photos gagnantes et une douzaine de photos distinguées de chaque catégorie seront exposées au 24e Rendez-vous Qualité Construction, le 16 juin 2022, à Paris, et mises en ligne sur le site Internet de l'AQC avec les photos des éditions précédentes.
Il y a 3 ans et 171 jours

L'agence qualité construction (AQC) publie le rapport Réversibilité des bâtiments

Destiné à tous les professionnels, ce rapport s'accompagne de la plaquette Réversibilité des bâtiments – Bonnes pratiques qui synthétise de manière pédagogique les principaux points sensibles relevés dans le rapport.Ces documents sont téléchargeables sur le site Internet de l'AQC.Au regard des enjeux environnementaux du domaine de la construction et de l'évolution des usages urbains, de plus en plus de programmes immobiliers envisagent la réversibilité de leurs bâtiments. Un des exemples les plus emblématiques est le village des athlètes des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 : il accueillera des logements pour les sportifs pendant les compétitions avant de laisser place en phase héritage à un quartier durable avec des bureaux, des logements, des commerces et des équipements publics. Une étude menée sur la base d'une analyse bibliographique et d'enquêtes auprès de professionnels déjà parties prenantes d'opérations réversibles a permis de tirer de nombreux enseignements. Parmi les points majeurs :les réglementations (acoustique, sécurité incendie, accessibilité…) ne sont pas les mêmes selon la destination de l'ouvrage, ce qui peut représenter un frein. Pour garantir la réversibilité d'un bâtiment, il est donc important de prendre des mesures conservatoires afin d'assurer une mise à niveau ultérieure possible,le caractère innovant de la construction de bâtiments réversibles implique de procéder à une réorganisation des rôles et des méthodes de travail pour se prémunir de non-qualités,il est essentiel d'étudier les assemblages des éléments constitutifs du bâtiment en veillant à l'indépendance des couches et systèmes (trame de bâtiment, démontabilité, systèmes constructifs poteaux poutres…).Enfin, le rapport insiste également sur l'importance d'avoir une documentation qualitative, précise et exploitable pendant toute la durée de vie du bâtiment et sur le risque de chevauchement de responsabilités et garanties.Cette étude a été réalisée par l'AQC, accompagnée par Ville Aménagement Durable (VAD), avec le soutien du ministère de la Transition écologique.