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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88082 résultats)
Il y a 3 ans et 214 jours

Sika achète le groupe allemand MBCC

Le chimiste du bâtiment suisse se renforce avec l’acquisition pour 5,2 Md€ de l’ancienne division de BASF spécialisée dans les systèmes et additifs pour la construction.
Il y a 3 ans et 214 jours

Engie et Credit Agricole Assurances rachètent Eolia Renovables en Espagne

Le groupe d'assurances et le gazier français ont acquis "97,33% des parts d'Eolia Renovables" auprès du fonds canadien Alberta Investment Management Corportation", indique un communiqué.Les actifs opérationnels seront détenus à 60% par Credit Agricole Assurances et à 40% par Engie qui sera chargé de "développer et construire" un "pipeline de projets".L'opération permettra à Engie, en pleine transition vers les énergies vertes, de "réaliser son objectif de 50 GW de capacités renouvelables d'ici 2025", indique le communiqué.En 2020, Engie avait déjà investi dans les renouvelables dans la péninsule ibérique en acquérant un portefeuille hydroélectrique de 1,7 GW au Portugal auprès d'EDP.L'ancien monopole de service public vient par ailleurs de réaliser une opération géante en France, en se délestant de 40% de son activité auprès du groupe Bouygues qui lui a racheté sa filiale de services Equans pour 7,1 milliards d'euros. Ce qui lui laisse un pactole pour investir dans les énergies vertes, ses nouvelles priorités.L'acquisition d'Eolia Renovables permettra à Engie "de soutenir l'Espagne dans la poursuite de ses objectifs ambitieux en matière d'énergies renouvelables et de décarbonation", a salué la directrice générale d'Engie Catherine MacGregor, citée dans le communiqué.Le plan national énergie-climat espagnol, "l'un des plus ambitieux en Europe, vise une consommation d'énergie renouvelable de 32% d'ici à 2030 (contre 20% en 2020), la mise en service de 55 GW de capacités renouvelables supplémentaires et la décarbonation de l'ensemble du secteur de l'électricité d'ici 2050", précise Engie."Cette acquisition constitue une nouvelle étape dans notre engagement dans la lutte contre le changement climatique", a pour sa part noté Philippe Dumont, directeur général de Credit Agricole Assurances."Il contribue en outre à la réalisation de notre objectif, qui est de doubler nos investissements dans les énergies renouvelables pour atteindre une capacité installée de 11 GW à horizon 2025", a-t-il ajouté. Soit la consommation énergétique moyenne de quatre millions de foyers par an.La finalisation de l'opération devrait avoir lieu "dans le courant du premier trimestre 2022", sous réserve de l'obtention des autorisations nécessaires, y compris des autorités compétentes en matière de concurrence.A la Bourse de Paris, le titre Engie gagnait 2,24% jeudi matin à 13,4 euros. Celui de Credit Agricole SA gagnait 0,9% à 12,9 euros sur un marché stable (+0,1%).
Il y a 3 ans et 214 jours

Bouygues retrouve son niveau d'activité de 2019

Sur les neuf premiers mois de 2021, le chiffre d'affaires de la major s'élève à 27,5 Mds € contre 27,6 Mds € sur les neuf premiers de mois de 2019. Il s'affiche en progression de 10% par rapport à 2020.
Il y a 3 ans et 214 jours

Unilin Insulation intègre CIRCULAR FOAM

Leader européen sur le marché des panneaux de toiture et 2ème producteur de plaques de polyuréthane, Unilin Insulation s’engage dans l’économie circulaire en rejoignant le nouveau programme CIRCULAR FOAM dont l’objectif est de recycler la mousse de polyuréthane rigide. Coordonné par l’entreprise Covestro, CIRCULAR FOAM réunit 22 partenaires issus de l‘industrie, du monde universitaire et de la société civile de 9 pays. Le projet contribuera également à la mise en place et au fonctionnement des systèmes logistiques et de collecte des déchets, à l’élaboration de solutions de démantèlement et de tri, ainsi qu’à la conception de futurs produits plus faciles à recycler. Partenaires impliqués : Covestro Deutschland AG als projectcoördinator, Interseroh Dienstleistungs-GmbH, BT-Wolfgang Binder GmbH, Unilin Insulation, Kingspan Research and Developments Limited, Electrolux Italia SPA, Circularise BV, BioBTX BV, Rijksuniversiteit Groningen, Rheinisch-Westfälische Technische Hochschule Aachen, Technische Universität Dortmund, Stichting Hogeschool van Amsterdam, Stichting Nederlands Wetenschappelijk Onderzoek Instituten, Uniwersytet Ekonomiczny we Wroclawiu, Eidgenössische Technische Hochschule Zürich, Fraunhofer Gesellschaft zur Förderung der Angew. Forschung, Ruhr-Universität Bochum, Forschungszentrum Jülich GmbH, Gornoslasko-Zaglebiowska Metropolia (METR), Park Naukowo Technologiczny Euro-Centrum sp. z o.o., IZNAB Spolka z Ograniczona Odpowiedzialnoscia en DECHEMA Gesellschaft für Chemische Technik und Biotechnologie e.V.  
Il y a 3 ans et 214 jours

Unilin Insulation intègre CIRCULAR FOAM

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Il y a 3 ans et 214 jours

Économiser l'énergie pour le Froid - Armacell au SIFA 2021 à Paris

Les entreprises à travers le monde répondent au changement climatique et anticipent de nouvelles mesures et réglementations pour limiter l'impact sur l'environnement. Dans ce contexte, les professionnels du Froid se mobilisent : fabricants, installateurs, bureaux d'études, tous les acteurs du Froid ont les solutions pour participer à la diminution des impacts climatiques. L'efficacité énergétique est devenue le mot d'ordre. Les mesures prises récemment contribuent à cette évolution notamment avec la nouvelle réglementation RT2020. La généralisation des bonnes pratiques s'impose. Le Programme CEE mis en place pour obtenir de réelles économies d'énergie permet de participer à un inversement de la situation dans laquelle tous les industriels sont impliqués, du fabricant à l'utilisateur final.Armacell est en phase avec cette évolution. Les systèmes AF/ArmaFlex®, solutions d'isolation thermique, sont particulièrement adaptés aux applications du Froid pour une isolation optimale des réseaux. Ce système complet flexible est très performant grâce à sa structure de cellules fermées d'une grande résistance à la diffusion de la vapeur d'eau, et d'une très faible conductivité thermique. Il permet également un contrôle fiable et continu de la condensation réduisant ainsi les risques de corrosion. Sa protection antibactérienne Microban® intégrée améliore la qualité de l'air intérieur et fait d’ArmaFlex une solution idéale dans les bâtiments recevant du public et les industries agroalimentaires. Le système complet bénéficie d'une garantie de 10 ans, preuve de sa fiabilité et de sa durabilité.En effet, Il est primordial, dès la conception, de prévoir d'isoler et de protéger les tuyauteries, gaines de ventilation, réservoirs, coudes, raccords, etc.… La condensation et les pertes doivent être impérativement évitées. En maîtrisant ce phénomène, les indispensables économies d'énergie seront enfin réalisées.Au SIFA, les experts d'Armacell interviendront d'une part, lors de la conférence sur les CEE du 16 novembre à 14h30 sur le thème du calorifugeage pour limiter les pertes d'énergie tout en garantissant une installation économique et durable.D'autre part, les techniciens hautement qualifiés vous invitent, le 18 novembre à 11h à participer à l'Atelier Expert qui donnera aux professionnels du secteur les clés pour renforcer la longévité des réseaux Froid. L’exposé d'un cas pratique de solutions pour une application dédiée à l'agroalimentaire et vitivinicole sera présenté.Les experts techniques d’Armacell vous donnent rendez-vous sur leur stand J21, téléchargez votre badge ici : https://www.expo-sifa.com
Il y a 3 ans et 214 jours

Borne confirme qu'une retraite par points n'est plus envisagée par Macron

"Le système à points n'a pas forcément été très simple, effectivement il a pu créer de l'inquiétude", a déclaré la ministre du Travail sur le plateau de BFMTV.Dans son allocution mardi, Emmanuel Macron a estimé que "les conditions ne sont pas réunies" pour relancer le chantier de la réforme des retraites, qu'il a repoussée à 2022, au début d'un éventuel deuxième quinquennat.Mais il n'a plus évoqué l'instauration d'un système à points, thème clé de son projet de réforme de 2017.Il s'agit désormais selon lui de "repousser l'âge légal", "supprimer les régimes spéciaux en harmonisant les règles entre public et privé", "d'encourager le travail au-delà de l'âge légal" et de "faire en sorte qu'au terme d'une carrière complète, aucune pension ne puisse être inférieure à 1.000 euros".Pour parvenir à la prise en compte de l'ensemble d'une durée d'activité, "il y a d'autres façons de le faire (que le système par points) et peut-être que c'est préférable", a jugé Mme Borne.Dans le système de retraite universel voté en première lecture par l'Assemblée nationale avant la crise du Covid, le montant de la retraite devait dépendre d'un nombre de points accumulés tout au long de la carrière professionnelle et non plus de la durée de cotisation (en trimestres) et du salaire de référence (25 meilleures années dans le privé, 6 derniers mois dans le public).Le système à points était soutenu par la CFDT mais critiqué par les autres syndicats.
Il y a 3 ans et 214 jours

Le marché du bardage bois en progression de 25%

Le marché du bardage bois enregistre une forte progression avec une hausse de 12,5% entre 2019 et 2020 et une hausse de 25% entre 2019 et 2021. Cela s’explique avec la volonté des maîtres d’oeuvre de s’orienter vers des constructions bas carbone. Le marché devrait encore progresser au moins de 16 à 17% d’ici à 2025. Rappelons que les principaux produits de ce secteur sont les bardages peints, les bardages avec saturateurs, les bardages naturels et les bardages autoclavés. La RE2020 devrait lui profiter avec des prescripteurs intéressés par le côté « puits de carbone » des bardages bois et donc leur contribution à l’atteinte des objectifs de la RE. Source : Le Commerce du Bois  
Il y a 3 ans et 214 jours

Emmanuelle Wargon annonce le renforcement du dispositif "louer abordable"

"Soit vous louez au prix du marché, soit vous décidez de louer en dessous des prix du marché et, là, c'est bien s'il y a une aide qui compense cet effort", a expliqué la ministre.En clair, le propriétaire aurait "une réduction d'impôt" qui serait de 15% s'il accepte de louer 15% en dessous des prix du marché, et de 35% s'il loue 30% en dessous des prix du marché, ce qui peut représenter un gain que la ministre estime "entre un demi mois et deux mois de loyer en net".Le dispositif "louer abordable", lancé en février 2017 par Emmanuelle Cosse, l'ancienne ministre du Logement, permet déjà aux propriétaires de bénéficier d'une exonération fiscale lorsqu'ils louent en dessous des prix du marché, mais la ministre actuelle juge ce dispositif trop complexe et veut le "simplifier et l'améliorer"."Avant, le loyer était en fonction de zones. Là, c'est beaucoup plus simple, vous prenez les loyers du marché" dans la commune du logement.La version de 2017 prévoyait une déduction minimale de 30% du montant des loyers perçus dans les zones tendues, ce qui représentait 2.274 communes réparties en trois zones: 77 dans la zone A bis (Paris et petite couronne), 650 dans la zone A (grande couronne parisienne, Côte-d'Azur, Aix-Marseille, Montpellier, Lille, Lyon) et 1.547 dans la zone B1 (autres agglomérations).La dernière zone, B2, compte 3.900 autres communes "tendues", où les propriétaires peuvent déduire au moins 15% de leurs revenus locatifs.Le ministère évalue le nombre de logements vacants à 1,1 million, dont 300.000 dans les zones tendues", c'est-à-dire les zones en forte demande, a précisé le ministère à l'AFP.Plusieurs annonces de la ministre sont attendues ce lundi dans le cadre du volet logement du Projet de loi de finances 2022.
Il y a 3 ans et 214 jours

En 2020, les accidents du travail dans le BTP ont fortement chuté

SANTÉ. L'Assurance Maladie a publié les chiffres de la sinistralité en 2020 en mettant en lumière les nombres d'accidents du travail et de maladies professionnelles. Les confinements successifs expliquent une forte tendance à la baisse.
Il y a 3 ans et 214 jours

Le dispositif "Pinel +" sera réservé aux maîtres d'ouvrage qui anticipent la RE2020

ANNONCE. La ministre déléguée au Logement, Emmanuelle Wargon, vient d'annoncer l'ensemble des conditions environnementales qu'un maître d'ouvrage devra respecter pour bénéficier du dispositif "Pinel+".
Il y a 3 ans et 214 jours

Avec le rachat de MBCC, Sika réalise une de ses plus importantes acquisitions

RACHAT. Sika annonce l'acquisition de MBCC Group, l'ancienne branche de chimie de construction du groupe allemand BASF. Montant total de l'opération : 5,2 milliards d'euros.
Il y a 3 ans et 214 jours

Bouygues rachètera Equans à Engie pour plus de 7 milliards d'euros

Engie a annoncé entrer en négociations exclusives avec Bouygues pour la vente d'Equans, l'entité regroupant les activités de services techniques du géant de l'énergie.
Il y a 3 ans et 214 jours

L'Assemblée consolide l'éco-prêt à taux zéro pour financer les travaux de rénovation énergétique

Lors de l'examen en première lecture du budget 2022, les députés ont voté un amendement d'Anthony Cellier (LREM) qui prévoit de prolonger "l'éco-PTZ" jusqu'à fin 2023. Il rehausse le plafond de ce prêt pour "un bouquet de travaux à hauteur de 50.000 euros", au lieu de 30.000 euros actuellement.La durée de remboursement est aussi étendue à 20 ans si nécessaire, contre 15 actuellement.À partir du 1er juillet 2022, le "cumul des aides à la rénovation énergétique sera simplifié", notamment entre cet éco-prêt et le "dispositif MaPrimeRénov'", ajoute Anthony Cellier.L'éco-PTZ est un prêt bancaire dont les intérêts sont pris en charge par l'État afin d'aider les ménages à effectuer les travaux de rénovation énergétique de leurs logements.L'amendement a été soutenu par des députés de différents bords. A droite, Thibault Bazin (LR) a estimé que cet outil a "prouvé son efficacité".
Il y a 3 ans et 214 jours

Équerre d'argent 2021: zoom sur les quatre nommés de la catégorie Espaces publics et paysagers

  Découverte en détails des quatre réalisations en lice pour obtenir l'Équerre d'argent 2021, dans la catégorie Espaces publics et paysagers. Au total, vingt bâtiments et projets de paysage, regroupés en quatre catégories, sont dans la course. L'annonce du palmarès et la remise des prix se tiendront le 22 novembre 2021, […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 214 jours

Focus sur les étapes clés du nivellement de terrain

Avant de nous lancer des travaux de construction, il est souvent nécessaire de niveler le terrain. Le nivellement permet en effet de l’aplanir en faisant disparaitre les pentes. Il peut de ce fait se matérialiser soit par le retrait de matières soit par le remblaiement. C’est pourquoi on le classe parmi les travaux de terrassement. Dans cet article, nous allons nous focaliser sur les étapes clés du nivellement de terrain. Découvrez ! La délimitation de la partie à niveler Avant toutes choses, il est essentiel de délimiter la partie à niveler. Pour ce faire, on peut se servir de piquets que l’on plantera à chaque extrémité du terrain et qu’on reliera entre eux par une corde. Les piquets en question n’ont pas besoin d’être à la même hauteur. Ce qui n’est pas le cas de la corde. Il faut veiller à ce qu’elle soit aussi horizontale que possible pour que le nivellement soit parfait. En outre, si vous désirez obtenir un résultat satisfaisant, nous vous conseillons de faire appel à une entreprise de terrassement. La détermination de la hauteur du nivellement L’étape suivante consiste à définir la hauteur du nivellement. Afin que le terrain soit bien plat, reliez deux piquets grâce à une corde. Généralement, la corde doit partir du point le plus haut du terrain vers le point le plus bas. Ici encore, il faut constamment vérifier son horizontalité. L’ameublissement de la terre Pour niveler un terrain, on déplace souvent de la terre en partant du point haut vers le point bas. En fonction de la dimension du terrain, il faudra utiliser certains outils. Pour une petite surface, il suffit de se munir d’une pioche et d’une fourche pour ameublir la terre. En revanche, il faudra utiliser un motoculteur ou une motobineuse. Ces engins vous permettront de soulever de la terre sur 20 à 60 cm de profondeur sans grande difficulté. Enfin, l’usage d’une mini-pelleteuse est incontournable pour les surfaces très vastes. Dans tous les cas, sachez que vous pouvez recourir aux services d’une entreprise de terrassement pour niveler votre terrain. L’enlèvement des racines et des pierres Une fois que la terre est ameublie, il est plus aisé de retirer les pierres et les racines qui peuvent entraver son nivellement. Bien qu’elle soit fastidieuse, cette tâche peut se faire manuellement. Pour travailler rapidement et efficacement, l’usage d’une déracineuse et d’une dépierreuse est vivement recommandé. Le nivellement du sol Vous disposez de plusieurs options pour cette étape. D’une part, vous pouvez vous servir d’une pelle et d’un râteau pour déplacer la terre en suivant le sens de sa pente avant de l’aplanir. D’autre part, vous pouvez rapporter la terre en partant du point le plus haut vers le point plus bas grâce à une longue planche de bois ou une échelle. Dans tous les cas, sachez qu’il faut au moins deux personnes pour réaliser cette tâche. Le tassement du terrain Pour tasser le sol, il faut un rouleau à aplanir. Cet outil permet de lui conférer une forme bien plane. En le faisant passer sur toute la surface du terrain, vous pourriez d’ailleurs faire ressortir quelques défauts. Ce qui vous permet de les corriger avant de travailler le terrain. Choisissez de préférence un modèle de rouleau en métal. Comme on le remplit d’eau, il est plus facile de le vider et de le ranger. Attendre que le sol se mette en place IL est crucial de laisser le sol se mettre en place pendant au moins 48 heures avant d’entamer la moindre chose sur le terrain nivelé. À cet effet, il faut éviter de le piétiner et d’y installer quoi que ce soit. Vous devez d’ailleurs faire passer à nouveau le rouleau à aplanir après 48 heures.
Il y a 3 ans et 214 jours

La France met fin aux financements à l'étranger de projets d'énergies fossiles

PRISE DE POSITION. La France a annoncé cesser de financer des projets d'énergies fossiles à l'étranger. Un engagement qui s'inscrit dans la volonté de l'État en 2017 de sortir de la dépendance à ces énergies.
Il y a 3 ans et 214 jours

Reprise limitée dans le secteur des travaux publics, selon leur fédération

Le secteur devrait observer une hausse de son activité d'environ 10% par rapport à l'année 2020, a indiqué mercredi à des journalistes le président de la Fédération nationale des travaux publics (FNTP) Bruno Cavagné.Mais le volume "plutôt bas" des appels d'offre ne permettra pas de retrouver le niveau de 2019 (-4% attendu). "Les entrepreneurs sont plutôt confiants pour 2022", tempère M. Cavagné, même si la fédération souhaiterait un allongement de la durée de remboursement des prêts garantis par l'Etat (PGE) de 6 à 10 ans dans l'idéal afin de les laisser respirer.Entre janvier et octobre, le nombre d'appels d'offre marché publics était inférieur de 20% à celui de la moyenne des trois années ayant précédé la crise, à 33.339 contre près de 42.000 en moyenne auparavant. Avec une baisse de près de 30% au niveau des communes, qui représentent plus de 40% du volume d'appels, selon les données de la fédération.Comme beaucoup d'autres secteurs, les travaux publics sont durement touchés par les tensions sur les prix des matières premières avec un manque de visibilité et parfois, selon M. Cavagné, des "effets d'aubaine" du côté des fournisseurs, face à des entrepreneurs, en particulier les plus petits, qui ont "très peu de marge de manoeuvre".Les pénuries de main d'oeuvre, déjà conséquentes avant la crise avec 200.000 emplois à pourvoir sur cinq ans, se sont accentuées avec le Covid-19 et près de 40% des entreprises interrogées par la fédération disent ne pas pouvoir observer une croissance de leur activité "faute de personnel".La fédération a également présenté mercredi la première étape de ses travaux sur l'empreinte écologique du secteur. Selon des estimations du cabinet de conseil Carbone 4 mandaté par la FNTP, la construction d'infrastructures représente 3,5% des émissions de CO³ en France tandis que l'usage de ces infrastructures représente la moitié des émissions françaises.Si la transition écologique représente une "opportunité" pour le secteur selon M. Cavagné, avec un objectif de réduction de 40% des émissions d'ici à 2030 en agissant à la fois sur le volet énergétique et celui des matériaux, le gros du travail reste à faire et le besoin de formation des entreprises mais aussi des collectivité est "colossal".
Il y a 3 ans et 215 jours

Kebony récolte 30 millions d’euros à l’occasion d’une levée de fonds menée par Jolt Capital et Lightrock

Le secteur du bâtiment est en plein bouleversement : il se voit contraint de trouver de meilleurs matériaux, plus verts et plus sûrs, à substituer aux matériaux de construction classiques que sont le béton et l’acier, d’importants émetteurs de CO2 à l’échelle mondiale. On s’attend par ailleurs à ce que l’énorme marché actuel des bois tropicaux cède sa place, à terme, au bois amélioré, afin de protéger la biodiversité et de combattre la déforestation tropicale.La technologie Kebony® transforme de façon permanente des essences durables, comme le pin, en bois Kebony aux propriétés comparables (voire, dans certains cas, supérieures) à celles des bois tropicaux, durs et précieux. Ce processus unique et respectueux de l’environnement est également une meilleure alternative aux méthodes traditionnelles de traitement du bois, qui font appel à l’imprégnation à l’aide d’agents de protection du bois.En première ligne de cette levée de fonds, d’un montant de 30 millions d’euros, se trouvent Jolt Capital et Lightrock, qui rejoignent les actionnaires de longue date de Kebony et sont désormais représentés à son conseil d’administration. Cette injection de capital va permettre de stimuler et de développer les projets de croissance de Kebony sur ses principaux marchés que sont l’Europe et les États-Unis. Grâce aux fonds levés, Kebony va pouvoir continuer à se développer sur un marché de 3 milliards d’euros, et tirer profit des tendances lourdes de fond propices à la fabrication de matériaux durables pour les secteurs de la construction résidentielle et non résidentielle.« Kebony produit le bois le plus esthétique et le plus écologique du marché : un bois d‘une qualité exceptionnelle, respectueux de l’environnement et abordable. Afin d’exploiter tout le potentiel qu’offrent les technologies du bois amélioré, nous sommes fiers d’annoncer que Kebony compte désormais Jolt Capital et Lightrock parmi ses investisseurs », a déclaré Norman Willemsen, PDG de Kebony.« Jolt Capital s’intéresse fortement aux entreprises utilisant la science des matériaux et qui tirent profit de leurs technologies brevetées pour concevoir des produits durables. Kebony est de cette trempe, avec plus de 20 ans de R&D dans les technologies du bois à son actif, et un processus éprouvé qui confère aux bois tendres cultivés les propriétés qui font le succès des bois tropicaux durs. Nous sommes ravis de financer le développement de ses sites de production en Europe, afin de soutenir sa croissance vigoureuse et de proposer une alternative à la déforestation des forêts tropicales », affirme Antoine Trannoy, Managing Partner chez Jolt Capital.« Kebony occupe une place de choix dans la course à la décarbonation de notre monde, et ambitionne de devenir le numéro 1 des technologies de modification du bois. Il nous tarde d’aider l’entreprise à mettre en œuvre sa stratégie de croissance, à passer à une échelle opérationnelle supérieure et fort prometteuse, et à poursuivre sa solide trajectoire de croissance », a déclaré Kevin Bone, Partner chez Lightrock.« La transformation de l’entreprise, menée à bien par la nouvelle équipe de direction, est une réussite. Grâce au soutien de nos nouveaux investisseurs de haut vol, Kebony va jouir d‘une meilleure flexibilité financière et ainsi pouvoir accélérer sa croissance, consolider sa feuille de route de développement technologique et envisager de nouvelles acquisitions. L’arrivée de Didier Roux et de Rebekah Braswell au conseil d’administration va renforcer la capacité d’expansion et la scalabilité de Kebony. Si l’on y ajoute la proposition de vente unique de la société et sa croissance à deux chiffres, tous les ingrédients nous semblent réunis pour que Kebony libère le plein potentiel du bois durable et amélioré », estime Cornelius Walter, fraîchement nommé président du conseil d’administration.« Kebony a vu ses recettes croître de 23% au premier semestre 2021 par rapport au premier semestre 2020, avec un très bon excédent brut d’exploitation. Le chiffre d’affaires avait déjà connu une croissance de 26% par rapport à l’année précédente, accompagnée d’une amélioration de l’EBE et portée par la stratégie d’expansion géographique de la société sur les marchés clés. Grâce à ce placement privé, Kebony va considérablement gagner en souplesse financière, et va pouvoir donner un coup de fouet à sa stratégie de croissance », affirme Thomas Vanholme, directeur financier de Kebony.
Il y a 3 ans et 215 jours

A Strasbourg, le plan « vert » d’investissements dépassera 800 millions

La nouvelle municipalité EELV officialise ce lundi 15 novembre son programme d’investissements du mandat. Son montant est en hausse d’un quart par rapport au précédent mandat et son contenu est nettement réorienté vers les quartiers populaires.
Il y a 3 ans et 215 jours

A Strasbourg, Chatillon et TNA dans l’eau des bains

Chatillon Architectes, avec TNA Architectes, signe la restauration des emblématiques Bains municipaux de Strasbourg, inaugurés en automne 2021. Communiqué peu précis en chiffres et grand nombres. Construits par l’architecte Fritz Beblo* à partir de 1905, les Bains municipaux de Strasbourg sont un lieu emblématique de la ville. Très cher à ses habitants, le bâtiment nécessitait […] L’article A Strasbourg, Chatillon et TNA dans l’eau des bains est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 215 jours

Fintecture permet aux TPE/PME de collecter jusqu'à 1.000 € de paiement par mois sans le moindre coût

Un engagement aux côtés des commerçants, sans conditions et sans limite dans le tempsAujourd'hui, les commerces sont confrontés à de nombreuses contraintes lorsqu’il s’agit de collecter des paiements. Que ce soit en matière de coûts, de plafonds ou d’équipements, ils sont souvent mal servis, la plupart ne disposant même pas de solutions de collecte pour leurs paiements à distance ou en physique. En effet, les frais et les limites liés aux paiements par carte peuvent souvent être dissuasifs. De plus, dans l’industrie du paiement, ce sont les petites entreprises qui payent les frais les plus élevés.Fintecture a souhaité apporter son soutien aux TPE-PME, indépendants, artisans et entrepreneurs, tous secteurs confondus, en leur proposant :La collecte les premiers 1.000 € de paiements mensuels gratuitement.Sans conditions et sans limite de durée.Les entreprises paieront seulement une fois que le montant de leurs encaissements dépassera les 1.000 € par mois. Au-delà, elles bénéficieront d’une tarification en moyenne 40 % moins chère que chez les autres fournisseurs de paiement.“Cette démarche intervient dans un contexte de reprise compliqué pour beaucoup de TPE-PME, qui font face à une flambée des prix des matières premières, une pénurie de main-d’œuvre et des trésoreries serrées. Nous avons souhaité appuyer notre engagement avec une solution efficace et pérenne et un modèle économique juste et solidaire.”, déclare Faysal Oudmine, CEO et co-fondateur de Fintecture.
Il y a 3 ans et 215 jours

Energie: un nouveau contrat de filière pour décarboner et réindustrialiser la France

Le gouvernement et les industriels de l'énergie ont renouvelé pour deux ans un contrat de filière encadrant les objectifs de transition énergétique et de réindustrialisation de la France.
Il y a 3 ans et 215 jours

Équerre d'argent 2021: zoom sur les six nommés de la catégorie Habitat

  Découverte en détails des six réalisations en lice pour obtenir l'Équerre d'argent 2021, dans la catégorie Habitat. Au total, vingt bâtiments et projets de paysage, regroupés en quatre catégories, sont dans la course. L'annonce du palmarès et la remise des prix se tiendront le 22 novembre 2021, à Paris. […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 215 jours

Comment la sobriété foncière stimule les aménageurs

La sobriété foncière passe par un changement de culture. A l’occasion du salon des maires et des collectivités locales qui se tient du 16 au 18 novembre Porte de Versailles, lemoniteur.fr le démontrera chaque jour de cette semaine, sans prétendre épuiser le sujet, et pour cause : « Ce sera la grande affaire des années à venir », prédit Alain Garès, co-auteur du « Manifeste pour le zéro artificialisation nette » lancé à la fin 2020 par le club Ville et Aménagement, qui rassemble les principales sociétés publiques locales, sociétés d’économie mixte et établissements publics fonciers. L’association a retenu ce thème pour la prochaine édition de ses Entretiens biennaux, les 23 et 24 juin prochain à Clermont-Ferrand. Un signe, parmi d’autres, d’une mobilisation générale dictée par la nécessité d’imaginer de nouvelles manières d’aménager et de construire, après avoir définitivement fermé la page des 30 glorieuses. Dans ces cinq épisodes, les nostalgiques pourront vérifier une loi rassurante : contrairement aux sols, la matière grise s’enrichit quand on l’exploite.
Il y a 3 ans et 215 jours

Recyclage à grande échelle des déchets de laine de verre

Le projet I-LOOP coordonné par ISOVER France a reçu le financement du programme LIFE de l’Union Européenne. En France, la quantité de déchets de laine de verre produits sur les…Cet article Recyclage à grande échelle des déchets de laine de verre est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 215 jours

Airbnb soutient le patrimoine

Airbnb souhaite soutenir la cause de la protection du patrimoine en France à travers une importante opération de mécénat au bénéfice de la Fondation du patrimoine. Avec une donation de 5,6 millions d’euros, la plateforme de location de meublés touristiques est devenu le principal mécène du programme « Patrimoine et Tourisme local » de la Fondation du patrimoine. Ce programme permettra de soutenir des projets publics, associatifs ou privés de rénovation, de préservation ou de sauvetage d’édifices ou de biens d’intérêt patrimonial, intéressants pour le tourisme local et la mise en valeur du patrimoine architectural, culturel, naturel ou historique des territoires. Il soutiendra jusqu’à 200 projets, dont une majorité de projets privés, monuments historiques ou ayant reçu le label de la Fondation du patrimoine. La Fondation du patrimoine décidera de la sélection des projets et des fonds qui leur seront attribués.
Il y a 3 ans et 215 jours

Les professionnels du bâtiment qui construisent, rénovent et entretiennent

Vous avez un projet de construction ? Vous souhaitez rénovez votre maison ou votre appartement ? Vous avez un problème de plomberie ? Dans ces cas, vous ferez sans doute appels à des professionnels du bâtiment. Ces derniers détiennent un véritable savoir-faire et des outils professionnels pour répondre à vos diverses demandes. Vous avez envie d’en savoir davantage sur ces professions ? Découvrez sans plus attendre plus de détails sur le sujet ! Des professionnels spécialisés sur un ou plusieurs métiers Les professionnels du bâtiment sont généralement spécialisés sur un métier. Toutefois, ils peuvent aussi exercer différentes activités en même temps. Par exemple, ils peuvent proposer en même temps des services en plomberie, serrurerie, peinture ou encore électricité. Certains pourront être de vrais généralistes en étant capable de réaliser votre carrelage, de peindre vos murs ou encore d’installer une porte coulissante. Des artisans outillés Intervenir dans le bâtiment nécessite certains outils et équipements. Ainsi, ces professionnels disposent généralement le matériel adapté par rapport aux services offerts. Par exemple, un plombier va posséder un furet pour effectuer les débouchages, différentes clés, un coupe-tube, un niveau à pente, etc. De la même manière, les professionnels des autres secteurs vont disposer d’un matériel performant, leur permettant de produire un travail rapide et de qualité. Une grande expertise Au-delà du matériel, les professionnels du bâtiment détiennent surtout une solide expertise dans leur domaine. En l’occurrence, construire une maison ou rénover un logement nécessite de solides compétences. C’est la même chose pour changer une serrure ou encore installer un nouveau robinet : cela exige un certain savoir-faire. Et justement, ces professionnels ont généralement une grande expérience sur leur métier. Ainsi, vous pouvez être certain d’obtenir un résultat à la hauteur de vos attentes. Pourquoi faire appel à de tels professionnels ? Plusieurs raisons peuvent vous pousser à faire appel à de tels professionnels. Tout d’abord, cela sera obligatoire si vous n’avez pas les compétences pour effectuer le travail. Vous devez changer une serrure, poser du carrelage ou encore peindre votre logement ? Si vous n’avez aucun savoir-faire dans le domaine, mieux vaut donc engager un professionnel du secteur. Ensuite, même si vous savez effectuer le travail, engager des professionnels peut tout simplement vous faire gagner du temps. En effet, peindre votre appartement, poser du carrelage ou effectuer d’autres travaux nécessite un temps considérable. Or, vous n’avez peut-être pas envie de vous occuper de ça une fois votre journée terminée ou le week-end. Si vous préférez passer du temps avec votre famille ou vous détendre, il est donc intéressant de solliciter un professionnel du bâtiment. En parallèle, faire appel à un tel professionnel vous évite d’avoir à investir dans du matériel, qui pourrait vous servir une seule fois. In fine, cela pourrait même s’avérer plus économique. En effet, le matériel nécessaire peut s’avérer relativement cher. Ainsi, pour éviter ce type de dépense, il est préférable d’engager un spécialiste du domaine. Et pour finir, ce choix vous assure un résultat irréprochable. Grâce à leurs compétences, les professionnels du bâtiment pourront sans doute travailler mieux que vous et plus vite.
Il y a 3 ans et 215 jours

Paris-2024, métro du Grand Paris : la Seine-Saint-Denis en chantier

"La Seine-Saint-Denis va être en chantier dans les dix années qui viennent", glissait récemment à la presse Stéphane Troussel, le président socialiste du conseil départemental.Les travaux de gros oeuvre ont déjà démarré tambour battant sur plusieurs sites.Dans le secteur de l'immense tour Pleyel à Saint-Denis, elle-même en cours de réhabilitation pour devenir un hôtel haut de gamme, des dizaines de grues zèbrent le ciel.A quelques encablures, pelleteuses et camions s'affairent dans la fourmilière du chantier de la gare Saint-Denis-Pleyel, future plus grosse gare du Grand Paris Express. Elle devrait voir défiler environ 250.000 voyageurs par jour via quatre lignes de métro (opérationnelles entre 2024 et 2030), et d'autres connexions.A ses pieds apparaissent les prémices du franchissement urbain, une enjambée de béton longue de 300 mètres par-dessus les 42 voies du faisceau ferroviaire, conçue pour relier, par les mobilités douces, la gare à un quartier proche du Stade de France.Non loin de ces chantiers liés au transport, des projets-phares des Jeux olympiques de Paris-2024 prennent forme.Quelque 4.000 personnes s'affairent sur celui du village des athlètes, à cheval sur Saint-Ouen, l'Ile-Saint-Denis et Saint-Denis, non sans susciter des nuisances dénoncées par les riverains. A Saint-Denis, le terrain du futur centre aquatique olympique, seul équipement sportif construit pour les Jeux, est en phase de dépollution.Sur les plus de 1,5 milliard d'euros d'investissements publics nécessaires aux JO, "près de 80%" sont situées en Seine-Saint-Denis, "car les Jeux ont été avant tout pensés en termes d'héritage territorial pour les populations qui en avaient le plus besoin", a souligné le Premier ministre Jean Castex en septembre."Désenclaver des villes"Les JO doivent également se traduire par d'autres constructions comme des piscines et le village des médias à Dugny, convert après la compétition en 1.300 logements dont 20% de logements sociaux. Ces projets font toutefois l'objet de contestations locales voire d'actions en justice.Ces travaux sont "liés à une forme de rattrapage en termes de construction de logements" pour répondre aux besoins de la population, souligne Paul Lecroart, urbaniste à l'Institut Paris Région.Le métro va également "désenclaver des villes et permettre aux habitants d'accéder plus facilement aux emplois", ajoute-il en citant l'exemple de la ligne 16 qui passera par Sevran et Montfermeil."On considère que les JO vont être un accélérateur, sur des sujets sur lesquels on n'était pas en panne mais on aurait mis beaucoup de temps à intervenir", estime Emmanuel Constant, vice-président du conseil départemental chargé de l'éducation et des Jeux olympiques.Le département entend "maximiser les retombées économiques" des Jeux, notamment via une charte signée par l'ensemble des acteurs. Ainsi, 164 millions d'euros de marchés publics ont déjà été attribués à des PME du département (un tiers de l'objectif global), indiquait-il le mois dernier."La Seine-Saint-Denis profite des grands travaux engagés actuellement, ça se note dans les chiffres d'affaires dans la construction et dans l'emploi", rebondit Mickaël Le Priol, économiste à la chambre de commerce et d'industrie Paris-Ile-de-France.L'emploi dans le département est supérieur de 0,7% (+ 4.000 emplois) au niveau d'avant-crise, note cet expert, pour qui ce rebond s'explique aussi par d'autres domaines porteurs comme la livraison.Le chômage reste par ailleurs fort, à 10,9% au deuxième trimestre 2021 selon l'Insee.Ces projets d'envergure ne doivent pas masquer les maux chroniques du département, relevés en 2019 dans un rapport parlementaire. "Les inégalités de traitement de l'État vis-à-vis du département perdurent, notamment en termes de service public", nuance M. Constant.La Seine-Saint-Denis n'est d'ailleurs pas le seul département francilien à se transformer, "la première couronne de l'agglomération parisienne est vraiment dans une effervescence en ce moment", nuance aussi M. Lecroart, mettant en garde contre un effet de gentrification dû à cette transformation.
Il y a 3 ans et 215 jours

30ème convention du réseau national des aluminiers agréés technal

Du 5 au 10 octobre 2021 s’est tenue la 30ème convention du réseau national des Allumiers Agréés Technal. La première journée a été consacrée à la visite du site suivie…Cet article 30ème convention du réseau national des aluminiers agréés technal est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 215 jours

Vague d'efficacité programmatique pour équipement complexe, par Hérault Arnod à Laval

  Découverte en détails des six réalisations en lice pour obtenir l'Équerre d'argent 2021, dans la catégorie Habitat. Au total, vingt bâtiments et projets de paysage, regroupés en quatre catégories, sont dans la course. L'annonce du palmarès et la remise des prix se tiendront le 22 novembre 2021, à Paris. […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 216 jours

Quand la forme parle – Nouveaux courants architecturaux au Japon (1995-2020)

La Maison de la culture du Japon à Paris propose l’exposition Quand la forme parle – Nouveaux courants architecturaux au Japon (1995-2020) qui présente 35 agences d’architecture nées dans les années 1990, après l’éclatement de la bulle spéculative au Japon. Jusqu’au 19 février 2022. Longtemps, Tokyo a été un lieu d’expérimentation privilégié des nouvelles tendances […] L’article Quand la forme parle – Nouveaux courants architecturaux au Japon (1995-2020) est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 216 jours

A Carcassonne, pôle Aqualudique du Païcherou, signé TAA

L’agence TAA Montpellier a livré en juin 2021, pour la ville de Carcassonne (Aude), maître d’ouvrage, le pôle Aqualudique du Païcherou. L’ouvrage de 2 222 m², construit avec un budget de 10,8 M€, entretient un rapport privilégié avec l’Aude, la Cité de Carcassonne et la Bastide Saint-Louis. Communiqué. L’approche architecturale du projet s’inscrit en continuité […] L’article A Carcassonne, pôle Aqualudique du Païcherou, signé TAA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 216 jours

Sika acquiert MBCC Group (ex-BASF CC) pour un montant de 5,2 Md€

Sika fait l’acquisition de MBCC Group. [©Sika] Sika a profité de la journée du 11 novembre pour annoncer l’acquisition de MBCC Group, ex-BASF Construction Chemicals. Ceci, pour un montant record de 5,2 Md€, soit 5,5 Md de CHF. Ce prix est égal à 11,5 fois la valeur de l’entreprise par rapport à l’Ebitda (excédent brut d’exploitation) attendu pour 2022. Mais, compte tenu des synergies annuelles de 150 à 170 M€ (160 à 180 M de CHF) visées, cette valeur devrait être ramenée à 8,5 fois. Il s’agit là de la plus importante intégration jamais réalisée par Sika. Le financement de l’opération est garanti par un crédit relais. L’acquisition s’est faite auprès de Lone Star Funds, société de capital-investissement, propriétaire de MBCC Group depuis le 21 décembre 2019. A l’époque, Lone Star Funds avait signé un chèque de 3,17 Md€ pour cet achat… Un développement dans les adjuvants pour bétons Alors que Sika a réalisé un chiffre d’affaires annuel de 7,47 Md€ (7,88 Md de CHF) en 2020, MBCC Group se présente comme l’un des industriels les plus reconnus dans le domaine de la construction à travers le monde. Et affiche un chiffre d’affaires de 2,7 Md€, soit l’équivalent de 2,9 Md de CHF. Grâce à cette acquisition, Sika escompte atteindre un revenu global supérieur à 12,3 Md€ (13 Md de CHF) dès 2023. En effet, la transaction est soumise à l’approbation des autorités réglementaires. Sa finalisation est attendue pour le second semestre de l’année 2022. Mais Sika « est confiant dans l’obtention de toutes les autorisations et collaborera activement avec les autorités », indique le communiqué de presse.  Répartition des activités du nouvel ensemble créé par Sika et MBCC Group. [©Sika] En intégrant MBCC Group, Sika complète et élargit son offre de solutions dans quatre de ses cinq technologies de base. A savoir, les adjuvants pour bétons, les additions pour ciments. Mais aussi les revêtements de sols et les adhésifs. Ainsi, une fois le nouvel ensemble en place, les adjuvants représenteront 21 % de l’activité et les additions pour ciments, 28 %, contre 14 % et 26 % pour Sika aujourd’hui.  Une complémentarité au niveau des gammes Thomas Hassler, Pdg de Sika, lors de la conférence de presse de l’annonce de l’acquisition de MBCC Group. [©Sika] A la tête de marques comme Master Builders Solutions ou PCI, pour les plus connues en France, MBCC Group a son siège basé à Mannheim, en Allemagne. Il emploie quelque 7 500 collaborateurs, est présent dans 60 pays et dispose de 130 sites de production. « Ensemble, nous renforcerons notre complémentarité au niveau de nos gammes de produits et de services, tout au long du cycle de vie de la construction », résume Thomas Hassler, Pdg de Sika. Et Jochen Fabritius, Pdg de MBCC Group, de conclure : « Nous avons trouvé un partenaire parfait qui partage nos convictions. Sika est reconnu pour son esprit entrepreneurial et sa stratégie de croissance rentable. Nos produits et nos compétences seront à nouveau au cœur de l’entreprise ».
Il y a 3 ans et 217 jours

A Antibes, CE / SDA par Heams & Michel ou l’esprit du pneu

L’agence niçoise Heams & Michel architectes (Nicolas Heams & Benjamin Michel) a livré en septembre 2021 à Antibes (Alpes-Maritimes), pour le conseil départemental, le Centre d’exploitation et subdivision départementale d’aménagement littoral ouest (CE / SDA). L’ouvrage de 1 200 m² (plus 2 400 m² de parking), bâti avec un budget de 2,8 M€ HT, compte […] L’article A Antibes, CE / SDA par Heams & Michel ou l’esprit du pneu est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 217 jours

La banque de France d’Hyères à aujourd’hui : musée des Cultures

L’ancienne Banque de France d’Hyères (Var) a été transformée par Alain-Charles Perrot, architecte en chef des monuments historiques, en nouveau musée des Cultures et du Paysage. Communiqué du maître d’ouvrage, la ville d’Hyères. Ce Bâtiment remarquable, datant du début du siècle dernier et acquis en 2004 par la Ville, se situe au cœur de la […] L’article La banque de France d’Hyères à aujourd’hui : musée des Cultures est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 217 jours

Orvault : une rénovation urbaine de 12 M€ établie sur 10 ans

La ville d’Orvault fait actuellement l’objet d’un projet de réhabilitation devant s’étaler sur 10 ans. Un budget de 12 M€ y a été consacré.
Il y a 3 ans et 217 jours

Comment trouver un bon dépanneur?

Vous avez une fuite d’eau ? Votre machine à laver vient de tomber en panne ? Vous avez un souci électrique ? De nombreuses situations peuvent vous pousser à faire appel à un dépanneur. Or, si vous n’avez pas un tel prestataire dans votre carnet d’adresse, vous vous demandez peut-être comment faire pour en trouver un. Sachez alors qu’il existe diverses méthodes pour dénicher un professionnel fiable et honnête. Découvrez sans plus attendre quelques-unes d’entre elles ! Chercher sur une plateforme spécialisée Si vous cherchez une entreprise de dépannage, vous pouvez tout d’abord vous tourner vers une plateforme spécialisée, qui référence les professionnels du secteur. Par exemple, vous pouvez notamment passer par la plateforme Belfix. Celle-ci regroupe une grande variété de professionnels et entreprises. Vous pouvez ainsi y trouver un plombier, un électricien, un serrurier, un frigoriste, un vitrier ou encore un réparateur électroménager. Pour préciser, la liste s’avère ici non exhaustive. Et les professionnels ne sont pas des employés Belfix. Effectivement, il s’agit d’entreprises et de professionnels indépendants. Demander à votre entourage L’autre méthode pour trouver un bon dépanneur est de demander conseil à son entourage. En effet, votre famille ou vos amis ont peut-être fait face à un problème similaire quelques semaines voire quelques mois plus tôt. Ainsi, il y a des chances qu’ils puissent vous recommander une entreprise ou un professionnel à la hauteur. Chercher sur Google Bien évidemment, une autre solution est de chercher sur Google. En l’occurrence, vous pourrez sans doute trouver de nombreux professionnels à proximité de chez vous. En passant par Google, vous pourrez notamment voir la note reçue par chaque professionnel ou entreprise. Ainsi, nous vous recommandons d’écarter les entreprises qui ont une note inférieure à 3 étoiles. Effectivement, cette précaution vous évitera toute mauvaise surprise. Demande de dépannage : quelques précautions à prendre Vous vous apprêtez à contacter un professionnel pour un dépannage ? Sachez alors que vous devez prendre quelques précautions pour éviter toute arnaque. Effectivement, dans tout secteur d’activité, il existe malheureusement des gens peu scrupuleux, qui n’hésitent par exemple pas à sur-facturer. Faites attention aux avis Comme évoqué, la première précaution à prendre est de faire attention aux avis de l’entreprise contactée. Considérez ainsi uniquement les entreprises ayant plus de 3 étoiles sur 5. En parallèle, nous vous conseillons même de prendre le temps de lire quelques avis pour vous faire une idée du prestataire. Demandez un devis écrit Ensuite, notez que toute prestation de dépannage nécessite en amont l’édition d’un devis écrit et parfaitement détaillé. Ainsi, n’acceptez aucun devis oral. De même, vérifiez bien le contenu du devis avant de signer. Et si le prix vous semble élevé, ne signez surtout pas. Faites plutôt jouer la concurrence pour comparer le coût proposé. Payez une fois la prestation réalisée Enfin, nous vous conseillons de régler la totalité de la prestation seulement une fois qu’elle a été réalisée. Bien évidemment, il est courant de payer un acompte, surtout s’il convient de changer une pièce. En général, les professionnels demandent 30% d’acompte.
Il y a 3 ans et 217 jours

La mairie de Paris rachète un immeuble pour sauver un dancing gay

"Faire du logement social dans le Marais a un coût", a reconnu auprès de l'AFP Ian Brossat, adjoint PCF au logement qui a fait valoir le droit de préemption de la Ville afin d'acquérir le 11-13 rue au Maire.Le conseil d'arrondissement de Paris Centre a validé lundi le projet de rachat, acté fin septembre et qui doit encore recevoir le feu vert du Conseil de Paris, du 16 au 19 novembre, pour être effectif. En juin, les élus parisiens avaient voté à la quasi-unanimité le principe d'un rachat."Le dossier a une valeur très symbolique, pas seulement parce que cette délibération nous permet de faire du logement social dans un quartier qui en manque cruellement, mais aussi par la présence du Tango", souligne Ian Brossat.En 2019, l'ex-IIIe arrondissement dans lequel se trouve l'immeuble comptait 8% de logements sociaux, contre 21% pour l'ensemble de la capitale.Le bâtiment de 4 étages - 343 m2 de surface habitable - va être loué par la Ville à Elogie-Siemp, l'un de ses bailleurs sociaux, pour 65 ans et un loyer capitalisé de 3,1 millions d'euros.Mais l'objectif était d'abord de sauver, dans le local commercial de 200 m2 situé au rez-de-chaussée, l'un des "plus anciens dancings de Paris", le Tango, "qui a fait danser toutes les fins de semaine les communautés LGBTQI+" depuis 1997, avait expliqué le maire de Paris Centre, Ariel Weil. Un lieu à vocation conviviale depuis la fin du XIXe siècle, "de guinguette à cabaret, de bal musette à discothèque".Les travaux pour mettre aux normes le bâtiment - menuiseries, façade et couverture - vont donner à la mairie quelques mois pour "revoir le projet", a indiqué Jean-Luc Romero-Michel, adjoint aux droits humains également impliqué dans le projet. "L'idée est de garder un lieu festif LGBT" qui bénéficiera d'un "prix du loyer modéré", a-t-il ajouté.
Il y a 3 ans et 217 jours

Vent d'opposition contre des projets de carrières de sable dans les campagnes

A Saint-Colomban, deux carrières appartenant à GSM et Lafarge extraient 700.000 tonnes de sable alluvionnaire par an sur plus de 100 hectares. Les industriels envisagent d'exploiter 70 ha supplémentaires sur des terres classées "espaces agricoles pérennes", suscitant l'opposition locale."Les sablières sont éloignées de trois kilomètres, mais elles se rejoindront probablement à terme, ce qui représenterait 300 ha exploités, car il y a une forte demande en béton dans la région", s'inquiète Benjamin Boileau, membre du collectif La tête dans le sable (LTDS).Consommation de terres agricoles, assèchement des ressources en eau, hausse du prix du foncier, perte de biodiversité, paysages constellés de "gigantesques trous d'eau" entourés de merlons de terre: les griefs ne manquent pas contre les carrières. La France consomme 350 millions de tonnes de granulats par an pour la construction.Jean-Claude Camus, riverain, redoute notamment une baisse du niveau des nappes phréatiques. "Quand vous creusez un trou à 18 mètres, vous pompez l'eau environnante. GSM est déjà venu chez moi six fois pour remplir mon étang", raconte le retraité.Interrogé par l'AFP, l'industriel répond que "tout est mis en oeuvre pour maîtriser les éventuelles incidences". Lafarge assure, lui, surveiller "de près l'effet potentiel de [ses] activités sur (...) le niveau des nappes et des plans d'eau"."Davantage qu'une +consommation+ des terrains, nous considérons notre exploitation comme un +emprunt+", plaide Loïc Leuliette, directeur de la communication de Lafarge France. Une fois exploités, "les terrains sont rapidement remis en état pour leur redonner une vocation agricole à chaque fois que c'est possible", précise-t-il.Mais pour les opposants, "retrouver une terre agricole avec les qualités d'origine est illusoire"."bétonisation"Face à cette contestation, le maire de Saint-Colomban Patrick Bertin prévoit de consulter la population le 9 janvier."Si le sable vient de plus loin, on multiplie les camions. S'il est extrait en mer, on détruit l'écosystème marin. Or dans le Pays de Retz, on a programmé la construction de 1.600 logements par an, et un logement, c'est 200 à 300 tonnes de sable. Qu'on me dise comment on fait des logements sans sable?", interroge-t-il.Des collectifs anti-carrières, "contre la bétonisation", voient le jour partout en France: en Savoie, dans le Var, les Yvelines, la Loire, l'Eure, l'Ardèche... "Il y a de plus en plus d'opposants à l'ouverture de nouvelles carrières, mais c'est souvent par méconnaissance", estime Sébastien Colin, géologue au Bureau de recherches géologiques et minières.Dans son Livre blanc présenté en 2017, l'Union nationale des producteurs de granulats, qui représente la profession, en appelle à "plus de transparence et de participation du public pour améliorer l'acceptabilité de l'activité".Deuxième ressource naturelle la plus exploitée en volume après l'eau, avec une demande qui a triplé en vingt ans, selon l'ONU, le sable entre dans la composition du béton, du verre, des microprocesseurs, routes, engrais, pneus, peintures, cosmétiques, etc...En France, qui compte 2.300 carrières de granulats, il n'y a "pas de pénurie" mais "une problématique d'accès à la ressource", explique Sébastien Colin. "Certaines régions sont sous tension en raison d'un déficit de carrières, d'un épuisement des gisements ou de leur inaccessibilité avec l'urbanisation".En Loire-Atlantique, le sablage des cultures maraîchères pour favoriser la pousse et le ramassage mécanique, suscite aussi beaucoup de questionnements. Interrogée, la Fédération des maraîchers nantais évoque une consommation "ancestrale indispensable, stable et hyper optimisée" d'environ 500.000 tonnes annuelles."On consomme trop de sable dans le monde", avertit Eric Chaumillon, professeur de géologie marine joint par l'AFP. "Ce n'est pas durable pour une ressource non renouvelable qui met au minimum plusieurs millénaires à se former", poursuit-il.Pour préparer l'avenir, les carriers assurent économiser la ressource et développer le recyclage des bétons de démolition.Mais pour Jean-Christophe Gavallet, président de la FNE des Pays de la Loire, "le sable est encore trop peu coûteux pour justifier des politiques innovantes de recherche de matériaux alternatifs".
Il y a 3 ans et 217 jours

Quelles sont les étapes d’un ravalement de façade?

Lorsqu’on entreprend un ravalement de façade, cela procure de nombreux avantages. En amont, cela permet de rendre l’extérieur de la maison son esthétisme d’antan. Le ravalement est aussi un moyen de réparer les dégradations et mauvaises réalisations. Cela peut se produire particulièrement si la structure est « déplacée ». À certains endroits une fissure, ou plusieurs apparaissent. La rénovation assure donc la conservation de l’intégrité du bâtiment. Chacun des travaux bien évidemment doit suivre les règles d’urbanisme (la mairie doit en prendre note). L’Administration peut refuser certaines innovations par rapport à la structure d’origine du bâtiment. Travaux préparatoires avant le ravalement La première chose à faire avant de s’attaquer aux travaux de ravalement, il faut d’abord effectuer un diagnostic en bonne et due forme de la façade. Cela aboutit alors à une évaluation correcte et exacte du véritable état de cette dernière et de la maison d’une manière générale. Un spécialiste en ravalement de façade est en mesure de réaliser un diagnostic pour une rénovation rapide et sécuriser. Quelques points dans ce cas sont à prendre en compte pour savoir exactement les travaux à exécuter. Tel est le cas de la matière de construction. Le choix est alors assez vaste entre les classiques briques ou pierres naturelles. Il faut aussi prendre en compte les délais nécessaires à l’exécution du ravalement, le style adopté, l’isolation choisie et enfin les divers travaux annexes. Il faut ensuite procéder au décapage de l’ancienne façade. Cela consiste à enlever tous les débris et les parties tombées en morceaux de cette dernière. Il existe plusieurs manières pour ce faire. Mais en général, le professionnel utilise le nettoyage sous pression et le décapage chimique. Cette seconde solution est principalement utilisée pour les postes très contaminés. Cela se termine par un traitement de la façade contre les mousses et les champignons. Le ravalement proprement dit Il n’est pas obligatoire d’humidifier la façade à ravaler si on ne souhaite pas mettre en place un crépi. Pour les travaux en question, il est nécessaire de préparer du mortier, puis d’en mettre une couche du bas vers le front. Après quelques heures, on peut maintenant appliquer une seconde couche de ciment et de mortier. Il suffit par la suite de peindre le tout. Cela n’a rien de complexe en réalité sauf si on souhaite construire une façade plus esthétique et plus complexe. Dans ce cas, la meilleure solution consiste toujours à demander l’assistance d’un professionnel. Celui-ci s’occupera non seulement du ravalement, mais aussi de l’isolation du mur de la façade. Si l’on souhaite simplement repeindre la façade, il est plus judicieux de se doter d’une peinture résistant à l’eau et des outils adéquats. On doit alors se munir de pinceaux pour peindre dans un premier temps les angles de la façade, et d’un rouleur pour peindre le reste. Deux couches de peintures dans ce cas suffisent amplement pour un rendu plus que satisfaisant. Il faut attendre au moins 2 heures avant l’application de la deuxième couche.
Il y a 3 ans et 217 jours

Publication des grands enseignements du Bilan mondial de l'action climat par secteur 2021

Six ans après l’adoption de l’Accord de Paris, cette publication propose une synthèse unique de l’action climat au niveau mondial dans les grands secteurs d’émissions : énergie, transports, bâtiments, industrie, déchets, usage des sols.À l'heure où les États doivent rehausser leurs engagements à Glasgow, Climate Chance poursuit ainsi sa mission d’observation de la mise en œuvre des actions annoncées, de suivi de l’évolution des émissions et d’analyse des stratégies des acteurs par rapport aux objectifs climatiques internationaux."Retour vers le futur. 2021 : la grande accélération de l’action climat… et des émissions"La reprise mondiale des émissions laisse entrevoir des profils régionaux bien distinctsLa dépendance au charbon trace une ligne de fracture entre les régions qui s’en détournent (États-Unis, Europe) où la reprise des émissions n’efface pas la baisse due à la pandémie, et les régions où le charbon a conservé le soutien des pouvoirs publics (Asie-Pacifique). À tel point qu’il est la cause principale du rebond des émissions à des niveaux supérieurs à ceux de 2019.L’adoption des énergies renouvelables et de la mobilité bas carbone accélère dans les grandes économiesDes transitions relatives s’opèrent à l’échelle régionale avec l’adoption accélérée d’énergie renouvelable et de la mobilité électrique. En revanche, il n’y a toujours pas de transition observable à l’échelle globale à proprement parler. Plutôt qu’une substitution nette des modes de production et de consommation bas carbone à des modes carbonés et émissifs, la tendance de la période reste à l’accumulation des énergies fossiles et bas carbone, du parc de véhicules thermiques et électriques, des nouvelles constructions aux normes et du bâti ancien à rénover, etc.L’électrification des usages et la décarbonation du mix électrique sont aujourd’hui désynchroniséesL’efficacité du « tout électrique » pour le climat ne peut être assurée que par un mix électrique dominé par les énergies bas carbone. Or, si la production d’origine renouvelable est au plus haut en 2020, les mix des grands marchés que sont la Chine, l’Inde, les États-Unis et dans une moindre mesure l’Europe, restent majoritairement dépendants du charbon et du gaz.La demande en biens et services bas carbone dépasse la capacité d’adaptation des chaînes d’approvisionnement de l’économie mondialeTrop lentes pour le climat, les transitions régionales vont trop vite pour les chaînes d’approvisionnement mondiales. C’est donc un moment charnière d’adaptation à marche forcée de l’économie mondialisée aux nouvelles exigences d’un monde bas carbone auquel nous assistons, dans un contexte de restrictions et de pénuries provoquées par la pandémie et ses conséquences.Boussole des engagements depuis l’Accord de Paris, la « neutralité carbone » intègre les stratégies de relance et de croissance des grandes entreprisesLes grands groupes privés se saisissent du concept de la « neutralité carbone » et formulent des objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre de plus en plus souvent associés à des plans d’action détaillés. Y compris dans des secteurs très carbonés comme les compagnies pétrolières et minières. Il reste néanmoins à vérifier que cet engagement à trente ans ne masque pas les retards dans les mesures à 10 ans, alors que c’est la rapidité de la baisse qui est le socle des scénarios de stabilisation du climat sous les deux degrés.Ruptures d'approvisionnement et engagements à la ‘neutralité carbone’ poussent les entreprises à la concentration et à l'intégration verticale des filièresL’adaptation des acteurs aux pénuries multiples et à l’économie bas carbone se lit également à travers la concentration progressive de certains marchés autour de quelques acteurs dominants, et l’intégration verticale des filières entre fournisseurs de matières premières et fabricants de produits finis. La fin de mécanismes d’aides publiques à la production d’énergie et l’explosion des Power Purchase Agreement renforcent l’émergence d’un « marché de gros », plutôt favorable aux grands énergéticiens qu’aux entreprises municipales et aux coopératives citoyennes.Les technologies de ruptures gagnent en crédibilité pour les secteurs qui ne parviennent pas à se décarbonerÀ la faveur de la reprise économique et des plans de relance, l’hydrogène bas carbone et la capture du carbone (CCUS), ont bénéficié d’investissements massifs en 2020 et d’un regain d’intérêt politique. À l’heure actuelle, leur utilisation à des fins de décarbonation demeure toutefois marginale, et leur développement repose beaucoup sur les énergies fossiles.Entre investissements verts et bruns, les États orientent la reprise d’une manière ambigüeFace aux pressions sur les chaînes d’approvisionnements en biens et matières premières stratégiques à la transition, les États occidentaux tentent de reconstituer des écosystèmes industriels régionaux orientés vers les technologies bas carbone. Aux côtés de plans de sauvetage, souvent sans contreparties climatiques pour des industries émettrices, une partie des plans de relance portés dans le G20 tente d’orienter la reprise vers la transition.Souvent moteurs de l’accélération de l’action climat, les gouvernements locaux adaptent le tempo de la transition aux besoins et capacités de leurs territoiresPour l’approvisionnement en énergie renouvelable, la transformation de la mobilité urbaine, la gestion des déchets ou l’encadrement de la construction et de l’approvisionnement énergétique des bâtiments, les gouvernements locaux peuvent accélérer la création d’un environnement favorable à la transition. À l’inverse, les réticences de certains États américains à l’abandon des énergies fossiles dans les bâtiments ou la mobilité montrent que les gouvernements locaux peuvent freiner la transition lorsqu’elle menace les intérêts économiques de leurs territoires.Avec l’activisme actionnarial, la société civile élargit son répertoire d’actionAprès les marches et grèves pour le climat, puis l’émergence d’une culture militante non-violente propre à ce sujet, l’activisme actionnarial fait entrer la lutte climatique au cœur des assemblées générales des grandes entreprises, au point de parvenir à intégrer des conseils d’administration. Dans un autre registre, le travail continu des ONG indonésiennes commence à porter ses fruits en renforçant la culture normative dans la filière huile palme.
Il y a 3 ans et 217 jours

"Un gros travail à faire" pour développer le chauffage urbain, selon les professionnels du secteur

Sur les 671 térawatt-heures de chaleur produite en 2020 en France, seuls 25 le sont par des réseaux de chaleur, systèmes de production centralisée qui desservent plusieurs usagers grâce à des fluides caloporteurs, selon une étude du Syndicat National du Chauffage Urbain (SNCU).Cette part "stagne" alors que ce mode de chauffage est à plus de 60% produit à partir d'énergies renouvelables contre 23% pour l'ensemble, ont indiqué les représentants du secteur lors de la présentation de l'étude mardi."Il y a un gros travail à faire", a déclaré Aurélie Lehericy, présidente du SNCU, rappelant que l'objectif est de tripler la part des renouvelables (biomasse, géothermie, traitement des déchets) d'ici à 2030.Entre 2019 et 2020, la part des renouvelables a grappillé un petit point, quand le gaz continue d'alimenter plus d'un tiers des réseaux.Plus tôt mardi, lors du décryptage RTE sur les scénarios énergétiques, Thomas Veyrenc, directeur exécutif chargé de la stratégie, a rappelé que le chauffage urbain allait notamment devoir se développer pour abandonner les énergies fossiles.Un quart des réseaux de chaleur, qui représentent 39% des livraisons, n'auront pas le choix puisqu'ils ne respectent pas les normes (RE2020) en matière d'émissions carbone.Les nouveaux bâtiments seront par ailleurs obligés à partir de 2022 d'envisager cette solution ou d'en adopter une "au moins aussi vertueuse", selon Alexandre Dozieres de la direction générale de l'énergie et du climat.Pour atteindre les objectifs, les représentants du secteur estiment qu'il faut décarboner et densifier les réseaux existants mais aussi en créer de nouveaux.Mais l'un des obstacles majeurs selon Nicolas Garnier, délégué général de l'association Amorce, partenaire de l'étude, est le "tropisme" pour l'électricité en France alors que les prix de celle-ci sont volatils.Idem du côté du gaz, dont les cours ont explosé, faisant des réseaux de chaleur la plus compétitive et la plus stable des options, selon l'étude.Selon la Cour des comptes, ces réseaux constituent "une contribution efficace à la transition énergétique insuffisamment exploitée" en France.Pour y remédier, deux mots selon les représentants du secteur: "subventions" et "sensibilisation" des élus et du public.
Il y a 3 ans et 217 jours

La mairie écologiste de Strasbourg augmente de 25% les investissements de la ville

Avec ce "plan pluriannuel d'investissement", en augmentation de 160 millions d'euros (+24,6%) par rapport à celui de son prédécesseur, le socialiste Roland Ries, Jeanne Barseghian entend "préparer l'avenir".Cet effort doit permettre de financer la "rénovation" et la "mise en sécurité" des écoles ainsi que la "construction de nouveaux établissements" scolaires afin de dédoubler certaines classes, a-t-elle détaillé lors d'une conférence de presse.L'autre grande priorité est la "rénovation énergétique" du patrimoine immobilier municipal, la "végétalisation" de certains espaces ainsi que l'acquisition de "véhicules propres"."Nous sommes dans un moment charnière de l'urgence sociale et climatique, ce sont nos décisions qui permettront ou non de réduire l'impact du changement climatique, il faut que nos investissements soient à la hauteur", a fait valoir l'élue écologiste.Ce plan doit aussi permettre, selon elle, un "rattrapage" des quartiers populaires et le renforcement de "l'équité territoriale"."Ces 15 dernières années, 60% des investissements n'ont pas bénéficié aux quartiers populaires, nous avons la volonté de compenser ce déséquilibre", a-t-elle insisté.Le financement de ce plan n'a pas été détaillé, le premier adjoint, Syamak Agha Babei, se contentant d'indiquer qu'il était rendu possible par "une augmentation maîtrisée de la dette, dans un moment ou la situation budgétaire est saine et où les taux d'intérêts sont bas".Il a indiqué que la prévision de dette de la municipalité à horizon 2026 s'élevait à 404 millions d'euros, "en augmentation de 159 millions d'euros" sur le mandat, soit quasiment l'intégralité du nouvel effort consenti."Personne, aucune collectivité, aucun État, n'investit sans recourir à l'emprunt", a-t-il souligné.L'équipe municipale a défendu une démarche "d'ouverture et de transparence" en dévoilant les contours de ce plan. "Nous faisons le choix de mettre ces projets sur la table, cette information ne doit pas être réservée à des happy-few", a déclaré Jeanne Barseghian.