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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 3 ans et 220 jours

Restauration de la chapelle Saint-Hubert du château royal d’Amboise

Le programme de restauration de la chapelle Saint-Hubert du château d’amboise porte sur les charpentes et couvertures suivant le dernier état connu et voulu par Ruprich-Robert (architecte en chef des monuments historiques en charge des travaux de restauration à la fin du XIXe), ainsi que sur une reprise de maçonnerie des façades. Une harmonisation des pierres, une restauration des sculptures et des verrières est également prévue. En parallèle, sera menée la reprise de l’étanchéité du parvis. Le chantier a débuté en octobre 2021 pour se terminer en octobre 2023. L’État a pris pleinement mesure du caractère majeur de ce chantier (représentant au total 2,7 millions d’euros), puisqu’il contribuera au budget des différents travaux engagés sur le site (intégrant, donc, ceux sur la chapelle) à hauteur de 2,16 millions d’euros, au titre du Plan de relance économique. Il s’agit là de la dotation la plus importante accordée à un édifice privé, propriété de la Fondation Saint-Louis. Celle-ci intervient opportunément pour cet édifice et dont les charpentes présentaient des fragilités dont il fallait se préoccuper sans délai au moment où le monument subissait de plein fouet les effets de ses fermetures successives et de la raréfaction des visiteurs. Placé sous l’autorité de l’architecte en chef des Monuments historiques, Etienne Barthélémy, ce chantier de restauration de la Chapelle Saint-Hubert revêt un caractère tout à fait exceptionnel puisque les derniers travaux d’une telle ampleur opérés sur la chapelle datent du milieu du XIXème siècle et de l’après-guerre. Il sera fait appel aux savoir-faire régionaux contribuant, ainsi, à mobiliser les entreprises du patrimoine vivant. La DRAC Centre-Val de Loire a initié l’opération : « Une école, un chantier… des métiers » afin de porter de nouvelles ambitions en faveur de la jeunesse autour des métiers et des savoir-faire. L’accueil de 4 classes des collèges du secteur est prévu, pour un suivi tout au long des phases du chantier, avec des visites incluant l’intervention de professionnels des entreprises artisanales (techniciens dédiés), et du patrimoine. Source et photo : Drac Centre-Val-de-Loire
Il y a 3 ans et 220 jours

Une journée consacrée à la restauration d’un pavement au Centre de conservation du Louvre à Liévin

La Drac des Hauts-de-France, le musée du Louvre et le Louvre-Lens organisent une journée consacrée à la restauration du pavement de Saint-Martin-d’Hardinghem mercredi 1er décembre au Centre de conservation du Louvre à Liévin. Le public est invité à découvrir la restauration d’un pavement du Moyen Âge sauvé des eaux de l’Aa. En 2016, des pavements médiévaux de 200 m2 ont été mis au jour au lieu-dit La Cour Lévêque, identifié comme une résidence de campagne des évêques du diocèse de Thérouanne. La restauration d’envergure de cet ensemble patrimonial exceptionnel a débuté en 2021 et se poursuit actuellement. Inscriptions : – au programme de la matinée, dans la limite des places disponibles : laetitia.maggio@culture.gouv.fr – aux ateliers en famille l’après-midi au Louvre-Lens, sur louvrelens.fr Conférences : 9h00 – 11h20 • « Mot d’ouverture » Hilaire Multon, Directeur régional des affaires culturelles des Hauts-de-France Marie-Lys Marguerite, Directrice du Centre de conservation du Louvre Liévin • « De la fouille à l’exposition : le sauvetage d’un ensemble patrimonial majeur » Laetitia Maggio, Conservatrice du patrimoine – DRAC – Service régional de l’archéologie Hauts-de-France • « La fouille d’une résidence de campagne des évêques de Thérouanne à Saint-Martin-d’Hardinghem » Guy Flucher, Responsable d’opération – Institut national de recherches archéologiques préventives • « Les pavements médiévaux de Saint-Martin-d’Hardinghem : l’étude de l’archéologue » Laetitia Dalmau, Archéologue départemental – Direction de l’archéologie du Pas-de-Calais • « Les étapes de la conservation-restauration des pavements de Saint-Martin d’Hardinghem » Natacha Frenkel, Conservatrice -restauratrice – Atelier Art’s du feu • « Une découverte archéologique en 2021 : le pavement de l’abbatiale Notre-Dame à Hénin-Beaumont » Jean-Jules Tronquoy, Archéologue – Direction de l’archéologie de Douaisis Agglo • Visites commentées de l’atelier de restauration : 11h20 – 13h  Pour les participants à la matinée : départ toutes les 20 minutes. Projection de vidéos sur la fouille et la restauration des pavements. Au Louvre-Lens, après-midi pour les familles  • Visites commentées de l’atelier de restauration : 14h – 17h30  par petits groupes pour les individuels et les familles : départ toutes les 30 minutes. Projection de vidéos sur la fouille et la restauration des pavements.     Ateliers pédagogiques pour les enfants accompagnés (6-12 ans)   Source : Ministère de la culture                
Il y a 3 ans et 220 jours

Antique plateforme en bois sur les quais de Rezé

En amont d’un projet immobilier porté par Bati-Nantes, au cœur de la ville de Rezé (Loire-Atlantique), l’Inrap vient de fouiller sur prescription de la Drac des Pays de la Loire, deux emprises, de part et d’autre de l’avenue de Lattre de Tassigny. Les découvertes de nombreux vestiges antiques, médiévaux et modernes s’inscrivent dans un secteur déjà exploré au XIXe siècle. La parcelle fouillée cet été se situe en bordure d’un ancien bras de la Loire aujourd’hui disparu, d’un coteau rocheux et de la plaine alluviale. Les structures portuaires les plus anciennes, datées du courant du Ier siècle après J.-C., renvoient à des aménagements de berges rares en Gaule Lyonnaise. Il s’agit notamment de constructions en terrasse proches de celles déjà reconnues dans la zone portuaire de Saint-Lupien. Elles apparaissent sous la forme de murs et de caissons de poutres de bois et de dalles de schiste qui constituent des plates-formes techniques de chargement et déchargement. La conservation remarquable des matériaux organiques révèle une architecture exceptionnelle. Elle se caractérise par un assemblage de poutres de chêne pouvant atteindre jusqu’à 10 m de longueur et supportant des poteaux et des contre-fiches. Leur démontage minutieux a permis de relever les multiples techniques d’assemblage (tenon et mortaise, mi-bois, clous…), mais également d’observer les nombreuses traces laissées par les charpentiers (traces d’outils, marques, estampilles…). Cette architecture de bois est renforcée par un blocage aménagé de dalles de schiste, ainsi que par la construction d’un mur dans lequel une partie des poutres vient s’insérer. Ce dispositif de caissons est complété en arrière par la construction de murs de terrasses délimitant un espace de circulation. Après de multiples réaménagements, ces constructions sont peu à peu abandonnées vers le IIIe siècle et font place à une vaste cale en pente douce qui témoigne de la continuité de la fréquentation des berges. Au sud des plates-formes, un bâtiment antique chauffé par un système d’hypocauste, un four à chaux et divers creusements témoignent par ailleurs de l’urbanisation et de la vie du quartier. Cette découverte sera suivie d’importantes études et analyses, notamment xylologiques (études des bois), en partenariat avec le CNRS (UMR 7324, « Laboratoire Archéologie et Territoires »), qui apporteront des informations complémentaires sur Rezé et sur les aménagements portuaires en Gaule romaine.   Intervenants : Marie-Laure Hervé Monteil, inrap. Crédit photo : Inrap.    
Il y a 3 ans et 220 jours

Avec le rachat d'Equans, Bouygues change de visage

Dans la nuit de vendredi à samedi, Engie, géant français de l'énergie, a annoncé avoir choisi Bouygues face à deux autres compétiteurs pour lui céder Equans, sa filiale regroupant divers services techniques pour les entreprises et collectivités - gestion de l'énergie dans les bâtiments, ventilation, climatisation, chauffage, numérique, électricité ou encore sécurité incendie.Ce rachat - le plus gros dans l'histoire du groupe créé en 1952 par Francis Bouygues - "est un changement complet et profond de dimension, qui va déplacer son centre de gravité", résume lundi à l'AFP une source proche du dossier.Historiquement connu pour la construction, son premier métier, Bouygues s'était déjà diversifié dans les télécoms (avec Bouygues Telecom) et les médias (avec TF1, en passe de fusionner avec M6). Mais son quatrième pôle "Energies & Services" restait relativement modeste avec un chiffre d'affaires de 4 milliards d'euros.L'intégration d'Equans - avec pas moins de 74.000 salariés et 12 milliards d'euros de chiffre d'affaires - va faire quadrupler de taille cette branche et en faire "le premier métier de Bouygues", soulignait ce dernier dans son communiqué samedi.Le groupe présidé par Martin Bouygues insistait notamment sur "le marché porteur des services multi-techniques", qui se trouve "à la convergence des transitions énergétique, numérique et industrielle"."Ces métiers-là sont un bon complément par rapport au BTP classique, et génèrent surtout une marge plus importante, avec des contrats de maintenance sur plusieurs années qui offrent une certaine visibilité. Et dans ce business, Bouygues était en peu en queue de peloton, avec une marge opérationnelle pour Bouygues Energies & Services plutôt modeste, à 2% en 2019", souligne Eric Lemarié, analyste actions chez Bryan, Garnier & Co.Prix "astronomique"Ce rachat "fait sens" également pour Frédéric Rozier, gestionnaire de portefeuille chez Mirabaud, "d'un point de vue géographique car Bouygues s'implante de manière assez importante dans ce business au Royaume-Uni, aux Pays-Bas, en Belgique. Et aussi d'un point de vue économique car on connait, notamment avec la transition écologique, les besoins de transformation dans les énergies et on sait qu'une croissance va être là".Il souligne aussi que ces métiers "ont moins de cyclicité. On a vu récemment dans l'immobilier qu'il peut y avoir des gros trous d'air".Cependant, M. Rozier juge qu'il y a également "beaucoup de questions sur la rentabilisation de cette acquisition: le prix est juste astronomique, avec des contraintes de conservation d'emplois et de créations d'emplois".Bouygues s'est en effet "engagé à ne mettre en oeuvre aucun plan de départs contraints en France et en Europe" pendant cinq ans, et à "la création nette de 10.000 emplois" sur la même période."Certes Bouygues n'a pas de dette" mais dans son pôle Energies & Services "le niveau de marge est plutôt inférieur à 3%. Or, le +business plan+ proposé se base sur des marges quasiment à 5%: alors d'accord il y aura peut-être des synergies, mais on se demande comment ils vont opérer pour que l'ensemble arrive à ce modèle de rentabilité jamais atteint jusqu'à présent", estime Frédéric Rozier.Le prix payé pour Equans "est cher, même si ce n'est pas tous les jours qu'on a un deal comme Equans à se mettre sous la main", renchérit Eric Lemarié.Si le titre chutait à la Bourse de Paris lundi (-5,96% à 15H12, à 33,47 euros), c'est parce que "le marché pense que Bouygues a payé un prix trop élevé, qu'il y a des risques d'intégration parce que l'entité est de taille importante et qu'elle est vraisemblablement composée d'une multitude de métiers différents, ce qui peut éventuellement compliquer l'exécution du deal", selon lui.M. Lemarié met aussi en avant le fait que "le deal ne sera finalisé qu'au deuxième semestre 2022 et qu'aujourd'hui on a peu de chiffres officiels, on rentre donc dans une période d'incertitudes, ce qui n'est jamais bon boursièrement parlant".
Il y a 3 ans et 220 jours

Bayonne : de nouveaux financements pour la réhabilitation de la synagogue

De nouvelles campagnes de collecte de fonds sont en cours en vue d’achever la réhabilitation de la synagogue de Bayonne.
Il y a 3 ans et 220 jours

La fédération Cinov lance la 1re édition des “Talentes”

“Les Talentes” récompensent les femmes exerçant les métiers dans l’ingénierie ou le numérique. [©Cinov] La fédération Cinov annonce le lancement de la 1re édition “Les Talentes” pour récompenser les femmes dans les métiers de l’ingénierie ou encore du numérique… Le 15 décembre prochain, un jury composé de professionnels décidera des gagnantes. Malgré une progression de la parité homme / femme au sein des métiers techniques, il reste encore du chemin à parcourir. En effet, deux tiers des postes sont occupés par des hommes. Lire aussi : Ingérop dévoile les vainqueurs de la 2è édition du IN3 Ainsi, “Les Talentes” a pour vocation de mettre en lumière la contribution des femmes dans les secteurs de l’ingénierie et du numérique. L’évènement peut aussi permettre d’influencer les jeunes, en particulier les adolescentes. « La féminisation de la branche revêt un enjeu triple pour les années à venir, affirme Magali Delhaye-Cottave, vice-présidente de la fédération Cinov. Il faut casser les clivages instaurés pour mettre à la portée des femmes des métiers masculinisés. » Les “Talentes” de Cinov en sept catégories Les “Talentes” comportent sept catégories. Le Cinov adresse le prix de “l’innovante” à celle qui va changer les pratiques habituelles du secteur avec des idées novatrices. “L’entreprenante” récompensera une professionnelle qui a su mener son entreprise avec succès, grâce à une stratégie pertinente et audacieuse. “La globe trottante”, elle, se démarquera par son parcours international et son adaptation à un univers multiculturel. Quant à “la militante”, c’est son implication dans les domaines de l’environnement au sein de sa société qui sera récompensée. Pour le prix de “l’enseignante”, il honore la meilleure maîtresse d’apprentissage en charge d’une jeune débutante. Débutante qui, par son parcours et sa motivation, peut se voir décerner le titre de “La jeune talente”. Et pour finir, le prix de “La talente” est destiné à la femme qui incarne le mieux les ambitions féminines dans les métiers de l’ingénierie et du numérique. Toute nomination pour ces prix implique la candidature pour ce titre. Les participantes ont jusqu’au 24 novembre pour se présenter à ce concours sur le site “es Talentes”. 
Il y a 3 ans et 221 jours

Pourquoi Bouygues casse sa tirelire pour racheter Equans

Grâce aux synergies et aux complémentarités entre sa filiale Energies & Services et celle d’Engie, le groupe français entend tirer profit d’un métier promis à un bel avenir.
Il y a 3 ans et 221 jours

La Ville de Paris veut encore durcir son règlement vis-à-vis des locations AirBnB

Marais, Montmartre, Quartier latin, Champs-Elysées et Tour Eiffel: ces quartiers à forte densité de meublés touristiques vont devenir des "secteurs de compensation très renforcée", indique l'adjoint (PCF) au logement Ian Brossat lundi à l'AFP, confirmant une information du Parisien.La Cour de cassation avait validé en février ce principe très contraignant: les propriétaires souhaitant mettre en location une résidence secondaire dans la capitale doivent obtenir une autorisation de changement d'usage avec compensation, qui leur impose de transformer des surfaces commerciales en logements pour compenser mètre carré pour mètre carré - ou au double dans certaines zones - la perte de surface d'habitation.La compensation au triple vise à "dissuader les propriétaires de transformer des logements en AirBnB dans ces quartiers", a dit à l'AFP M. Brossat. "Grace à ce règlement, entre 2012 et 2020, 47.000 m2 de logement ont été créés en compensation", souligne-t-il.La mairie va aussi soumettre à autorisation les transformations de commerce en rez-de-chaussée en meublés touristiques, possibilité offerte aux municipalités depuis la parution d'un décret en juin.Jusqu'ici, les propriétaires de locaux commerciaux n'étaient soumis qu'à une déclaration. Une commission va être créée pour étudier les demandes et la transformation sera sur le principe interdite dans les zones à "forte pression touristique", "dans les rues où le commerce est protégé par le Plan local d'urbanisme (PLU)" ainsi qu'en cas de "risques de nuisances", explique la mairie.Ces mesures visent à "protéger le petit commerce et l'âme de nos quartiers", a commenté M. Brossat. "Ces dernières années", face au durcissement des règles de location dans la capitale, "un petit nombre d'investisseurs se sont reportés sur la transformation de commerces en pied d'immeuble en AirBnB".Présenté mardi lors de l'instauration "d'un observatoire de la location meublée touristique à Paris", le nouveau règlement fera l'objet d'un vote au Conseil de Paris de décembre, pour application dès 2022.Après les logements et les commerces, la mairie de Paris étudie l'extension de sa règlementation aux bureaux et l'instauration de quotas par zones, via le futur PLU en cours d'élaboration.En faisant condamner les propriétaires et les plateformes qui avaient dépassé la limite de 120 nuitées, pour les résidences principales, ou ne s'étaient pas soumis au changement d'usage et au mécanisme de compensation, la Ville dit avoir récupéré plus de 11 millions d'euros d'amende.
Il y a 3 ans et 221 jours

Barbara Pompili annonce 10 mesures pour accélérer le développement des énergies renouvelables citoyennes

Avec la publication de la Programmation Pluriannuelle de l’Energie en avril 2020, la France s’est engagée pour l’augmentation de la part d’énergies renouvelables avec des objectifs de déploiement ambitieux. Les énergies renouvelables représentaient 19,1% de la consommation totale d’énergie en 2020 et devront atteindre 33% du mix énergétique total d’ici 2030. Pour atteindre ces objectifs, les projets citoyens sont aujourd’hui un facteur clé pour permettre un développement équilibré des énergies renouvelables, fondé sur l’initiative des citoyens et des collectivités. En effet, les projets citoyens permettent d’optimiser les retombées socio-économiques locales avec des emplois pérennes à la clé et sont ainsi des moyens de dynamiser les territoires ruraux et urbains. En 2021, 256 projets d’EnR à gouvernance locale sont déjà lancés, dont 142 sont en fonctionnement pour environ 200 MW en exploitation, dont 15 projets éoliens qui totalisent près de deux tiers de la puissance totale et 94 projets photovoltaïques. Près de 100 projets supplémentaires sont également à l’étude. Au total, 19 000 citoyens sont impliqués dans ces projets. L’objectif du Gouvernement est d’amplifier cette dynamique en accompagnant et facilitant le développement d’initiatives citoyennes.Sur la base des conclusions rendues par le groupe de travail, Barbara Pompili annonce aujourd’hui 10 mesures pour accélérer le développement des énergies renouvelables citoyennes, parmi lesquelles : Le développement de 1 000 nouveaux projets à gouvernance locale qui associent collectivités et citoyens à horizon 2028, objectif qui sera inscrit dans la prochaine PPE et en phase avec la proposition de la Convention citoyenne pour le climat, qui avait fixé le cap d’une communauté d’énergie renouvelable par intercommunalité (EPCI) ;Le renforcement de l’accompagnement dans les territoires grâce à une augmentation de 50% des effectifs du réseau de conseillers de l’ADEME ; Le lancement d’une campagne de communication nationale pour sensibiliser le grand public aux énergies renouvelables citoyennes ; Le travail conjoint avec les acteurs financiers pour simplifier l’accès au financement bancaire dans le cadre de ces projets. Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, déclare : « Les scénarios proposés par RTE pour atteindre la neutralité carbone en 2050 apportent une certitude : nous devons massivement développer les énergies renouvelables et ce que quel que soit le chemin retenu pour l'avenir de notre mix énergétique. J’en ai la conviction depuis toujours, les projets citoyens constituent une solution pertinente pour contribuer à ce développement en misant sur des dynamiques locales. Aujourd’hui, nous franchissons un cap : après des mois de travaux, le groupe de travail que j’avais lancé pour aller plus loin dans les projets à gouvernance locale a abouti à la feuille de route que nous publions aujourd'hui. Notre ambition est claire : multiplier par cinq d'ici 2028 le nombre de projets citoyens sur notre territoire. J'invite tous les acteurs à se saisir de ces mesures, déjà opérationnelles ou à déployer, pour faire de cet objectif une réalité concrète ».
Il y a 3 ans et 221 jours

Rénovation : la difficile mesure de l'impact du Plan de relance sur les chantiers

DÉCRYPTAGE. Dans son rapport remis au Premier ministre, le comité d'évaluation de France Relance estime que les enveloppes budgétaires débloquées pour la crise du Covid ont assurément permis de passer à la vitesse supérieure dans le domaine de la rénovation énergétique des bâtiments, mais que les résultats concrets sont quasiment impossibles à chiffrer pour le moment. Selon Bercy, les artisans, TPE et PME du secteur devraient malgré tout en être les premiers bénéficiaires.
Il y a 3 ans et 221 jours

Eiffage confiant sur sa reprise d'activité formalise son offre sur Equans

Eiffage, géant français du BTP, a enregistré au 3e trimestre un chiffre d'affaires supérieur à la même période de 2019, avant l'épidémie, et a officialisé son offre pour le rachat d'Equans.
Il y a 3 ans et 221 jours

Etude des Notaires de France sur la valeur verte des logements en 2020

Une répartition très variable par département de l’étiquette Énergie des logements vendus La part des logements vendus qualifiés de « logements extrêmement peu performants » (classe F-G) est très hétérogène sur le territoire.Elle est la plus faible (3%) dans les départements proches du sud de la façade atlantique et de l’arc méditerranéen tels que le Var, les Pyrénées-Atlantiques, la Gironde et les Bouches-du-Rhône. À l’inverse, elle est la plus forte dans les départements plus ruraux et/ou montagneux tels que le Cantal (36%), les Hautes-Alpes (34%), la Creuse (30%), les Alpes-de-Haute-Provence (30%) et la Savoie (29%).La part des logements vendus de classe A-B est moins hétérogène sur le territoire, même si ses variations ne sont pas négligeables selon les départements: de 1% dans la Meuse, la Haute-Marne, la Creuse et le Cantal à au moins 12% dans les Pyrénées-Atlantiques, la Gironde, les Bouches-du-Rhône, l’Ille-et-Vilaine et l’Hérault. La part des logements vendus construits après 2010 est également parmi les plus faibles dans la Meuse, la Haute-Marne, la Creuse et le Cantal (de 3 à 6%) et parmi les plus fortes dans les Pyrénées-Atlantiques, la Gironde, les Bouches-du-Rhône, l’Ille-et-Vilaine et l’Hérault (de 10 à 13%).Un impact d’autant plus faible que le niveau de « tension immobilière » est importantL’analyse de la valeur verte au niveau des régions montre la faiblesse, voire l’absence, d’un impact de l’étiquette Énergie sur les prix des logements en Île-de-France. Ce constat peut s’expliquer par la spécificité du marché immobilier francilien, caractérisé notamment par une demande supérieure à l’offre et donc une tension sur le marché.Qu’il s’agisse de la plus-value en appartements ou de la moins-value en maisons, l’impact sur les prix engendré par l’étiquette Énergie, comparé à un logement de classe « D », est, en moyenne, d’autant plus faible que le niveau de « tension immobilière » est important. Par exemple, comparés aux appartements de classe D, ceux de classe A-B se sont vendus, en moyenne, de 6 à 9% plus cher dans les zones les plus « tendues » (A et B1) et de 14 à 21% plus cher dans les moins « tendues » (B2 et C).
Il y a 3 ans et 221 jours

1er Baromètre de la santé financière des « Petites villes de demain »

Réalisé à partir de la note attribuée par l’AFL à chaque collectivité, ce baromètre permet de dresser un état des lieux de la spécificité de ces collectivités, sélectionnées par le programme « Petites villes de demain » de l’Agence nationale de la cohésion des territoires. Quelle santé financière pour ces Petites villes de demain par rapport à l’ensemble des communes françaises ? Quelles évolutions au cours des dernières années et quelles perspectives ?Un premier baromètre de la santé financière des Petites villes de demain« Alors que la reprise est en marche, bon nombre d’experts ont mesuré l’impact financier, économique, social et démocratique pour nos collectivités, nos territoires et leurs administrés. Les études montrent globalement que nos collectivités ont maintenu le cap et affichent une santé financière solide à l’aube de 2022. Mais cette tendance masque l’impact très différencié de la crise sur les finances des collectivités locales. Forte de son partenariat avec l’ANCT (Agence nationale de la cohésion des territoires), elle a décidé de consacrer une étude spécifique aux collectivités sélectionnées par le programme Petites villes de demain (PVD) » rappelle Jérôme Pasco, Maire de Conches-en-Ouche, Membre du Conseil d’administration de l’AFL-ST.L’AFL, la banque détenue par les collectivités, a souhaité dresser un état des lieux précis de la santé financière des Petites villes de demain sur la période 2016-2020, après avoir publié en juin dernier un baromètre complet sur la santé financière des collectivités locales. Les principaux enseignements de l’étudeL’analyse financière réalisée par l’AFL met en exergue les difficultés financières rencontrées par les communes PVD, dans la majeure partie du territoire français.Cela s’explique entre autres par le fait que les communes PVD assument des charges de centralité, tout en étant situées dans des territoires ruraux.Toutefois, l’analyse révèle qu’entre 2016 et 2020, les notes financières des communes PVD se sont globalement davantage redressées (+8%) que celles de l’ensemble des communes françaises (+6%). Retrouvez l'étude en intégralité à cette adresse.
Il y a 3 ans et 221 jours

Le bureau d’études Construire innove avec la géothermie sur plan d’eau

Descriptif du système de géothermie sur plan d’eauUn lac possède en hiver des températures de 7 à 8 °C au fond. Afin de pouvoir obtenir et exploiter cette chaleur il faut déposer et recouvrir des tubes de graviers pour favoriser l’incrustation de la vase. Au bout de 2 à 3 ans, la vase s’est installée. La température de fond augmente d’année en année de 4 à 5° C au début par la fermentation organique. Pour un coût 5 fois moins élevé que le forage sur les grandes puissances, on obtient des caractéristiques d'échange bien meilleures que celles d’un forage. On peut produire plus d’énergie par mètre de sonde que dans le cas d’un forage.Le PEHD est biocompatible car complètement inerte. Il ne se dégrade pas, ce qui dément le préjugé des plastiques polluants. Étant non biodégradable (la décomposition s’étale sur des millions d'années) une utilisation sur le très long terme est sans aucun risque et totalement respectueuse de l’environnement. Elle ne génère aucun déchet. Pour les zones à température hivernale très faible il peut être nécessaire de glycoler l'eau. Dans ce cas il faut utiliser du MPEG (monopropylène glycol) et non du MEG toxique et cher.Facilité juridique de mise en œuvre La règlementation des lacs est peu contraignante car il s’agit d’espaces favorables à l'environnement. Il n’existe aucune contrainte administrative en dessous de 1.000 m2 de surface. Jusqu’à 20.000 m2, une simple déclaration suffit. Au-delà il faut une autorisation. Pour un système de 80 kW, 1.000 m3 d'eau suffisent.Un exemple de réalisation et son avantage financier Un lac de 1.000 m3 coûte entre 5 et 10 k€ HT. Les échanges thermiques dans un lac ou sur un autre plan d'eau (bras de rivière ...) sont optimisés, si bien que la quantité de tubes à installer est bien moindre que pour des forages ou autres systèmes de captage par sonde. L'eau permet d'obtenir un coefficient d'échange entre les tubes et l’eau bien meilleur que celui issus du contact avec la terre dans le cas des sondes classiques. Seul le plastique du tube est isolant (idem avec les sondes standards). Le coefficient d'échange obtenu est de l'ordre de 14 W/m/K. Pour un cours d'eau ou de l’eau en mouvement ce coefficient est encore plus élevé. Avec une température de 7 à 8° C au fond, la puissance de captage est de plus de 97 W/m alors qu’elle serait de 50W/m avec un forage classique. Un forage par système de sondes verticales est environ 10 fois plus cher qu’un système de captage sur plan d’eau à caractéristiques de captage équivalentes. La seule contrainte est la nécessité d'avoir à minima 500 m2 de terrain. C'est malgré tout beaucoup moins que l’espace nécessaire pour un système de captage par sonde horizontale traditionnel.La société SUNDERMANN & SEYS Géothermie et son bureau d'études CONSTRUIRE rendent rentable la géothermie à partir de 10 k€ HT de dépenses annuelles de chauffage /climatisation. (Retour sur investissement hors subventions en moins de 5 ans). Ce seuil est vite atteint pour une grande majorité de bureaux et de projets particuliers d’envergure. Pour le bureau d’études CONSTRUIRE, les systèmes non rentables dans la durée ne devraient pas être considérés comme écologiques. Le coût hors subventions constitue un indicateur très fiable de l’énergie consommée à la production. Il ne faut pas oublier que les moyens humains ont un coût financier et écologique élevé. La géothermie permet de diviser par 5 la dépense en énergie pour le chauffage / climatisation, soit une réduction de 40% de la dépense énergétique globale. Les Suisses et les Suédois l'on comprit, 15% de leurs systèmes de chauffage fonctionnent selon ce système, contre quelques % en France.Le retour sur investissement (hors taxes et hors subventions) est assuré en moins de 5 ans.Une première mise en œuvre : L’école maternelle, l’école primaire, le collège et des locaux associatifs à Rambouillet ( réalisation en 2022) Le projet des établissements scolaires et locaux associatifs à Rambouillet a la particularité de se faire sur une friche industrielle. Ces bâtiments seront à énergie positive sur un site industriel abandonné pendant plus de 5 ans. Sur ce projet une installation de chauffage / climatisation et eau chaude sanitaire par géothermie sur plan d'eau sera réalisée. Il s'agit d'un système de 80 kW prévu pour chauffer 2.000 m2 de locaux de type ERP catégorie 5 et 400 m2 de locaux de type salle de danse pour les associations de la ville de Rambouillet. Il est prévu d'installer 1.000 mètres de tubes PEHD permettant de capter 97.14W/m dans le bassin pour le chauffage en hivers ou pour la climatisation des locaux en été.. L’utilisation de cette technologie permettra d'économiser au maitre d'ouvrage 180 k€ HT de forage sans aucune perte en qualité du système de chauffage / climatisation et ECS.Le recours à cette technologie alternative est une aubaine car la taille du terrain ne permettait pas l'installation de capteurs horizontaux et les contraintes règlementaires interdisaient l'utilisation de la ressource nappe phréatique. La solution retenue est donc la meilleure en tous points. Le projet permettra également une rénovation généralisée de tout le réseau de chauffage du bâtiment avec le remplacement de l'ancienne tuyauterie et l’installation de radiateurs en nombre suffisant pour assurer un chauffage à eau chaude à moins de 35°C. Cette température de l'eau de chauffage relativement basse permet l’optimisation maximale du rendement des pompes à chaleurs mises en place. Celles-ci fonctionneront avec un COP de 5. Le COP système général est estimé supérieur à 4.5 en moyenne. Le système fonctionnera à plein régime pendant 2.100 heures par an pour une énergie totale utile produite de 160 MWh et une énergie couteuse (l'électricité) consommée de 35 MWh. A moyen terme il est prévu d'améliorer encore les performances thermiques et écologiques du bâti par l'installation de panneaux solaires, d’éoliennes 20kW et de batteries électriques Tesla ou équivalent sur le terrain afin de produire et pouvoir stocker l'électricité nécessaire pour faire fonctionner les pompes et les autres consommateurs du bâtiment (ordinateurs et luminaires). Le développement de la géothermie par plan d’eau permet d’améliorer le rendement énergétique et la rentabilité de l'industrie de la construction. Avec les subventions de l'ADEME pour la géothermie, le retour sur investissement de ce chantier sera obtenu en moins d'un an.
Il y a 3 ans et 221 jours

Pour un bâtiment, l’utile ne se résume pas au besoin

Il faut, pour devenir durable, sans hésiter courir plusieurs lièvres à la fois. Adieu le bon sens populaire, plongeons dans le chaudron de la complexité, des interférences, des dimensions croisées et des enchaînements. Chronique de l’intensité. Un des classiques du développement durable se nomme double dividende, ou gagnant-gagnant. Il s’agit de faire en sorte de […] L’article Pour un bâtiment, l’utile ne se résume pas au besoin est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 221 jours

COP 26 : de l’anéantissement ou l’anthropocène revu par l’architecte

Dubois l’architecte relativise ses actions à l’échelle du temps. Ethel Hazel, psychothérapeute, y reconnaît l’angoisse d’anéantissement. Dr. Nut sait que les assassinats sont toujours d’actualité. *** « Ce qui se passe en architecture est un modèle réduit des questions qui se passent dans l’anthropocène, puisqu’on a des problèmes d’artifices, des problèmes d’égos, des problèmes d’habitation, des […] L’article COP 26 : de l’anéantissement ou l’anthropocène revu par l’architecte est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 221 jours

Un concours d'innovation ouvert aux organismes de formation du BTP

LANCEMENT. Le CCCA-BTP vient de lancer un trophées de l'innovation destiné à valoriser et faire partager les meilleures pratiques développées par des organismes de formation aux métiers du BTP.
Il y a 3 ans et 221 jours

Des chantiers d’ITE même en hiver grâce aux solutions Sto efficaces par temps froid et humide

En effet, des conditions météorologiques extrêmes peuvent générer des interruptions d’activité ou des retards de livraison de chantier, voire des désordres en cas de malfaçons. Sto, le spécialiste de la façade – isolation thermique par l’extérieur (ITE), produits techniques et d’embellissement des façades, bardage ventilé – a développé une offre large de solutions adaptées à la saison hivernale, des produits efficaces même par temps très humide et froid.Un vrai soulagement pour les entreprises applicatrices de la façade, alors moins soumises aux aléas climatiques dans leur activité, qui plus en cette période où les travaux de rénovation énergétique battent leur plein, et pour les particuliers de ne plus craindre de nouveaux arrêts de chantier occasionnés par la chute des températures et le retour de la pluie.Travailler jusqu’à 70 jours de plusPouvoir engager des travaux dès l’apparition des premiers bourgeons au printemps ou les prolonger malgré l’arrivée des premiers gels en automne. Tel est le souhait profond des entreprises de pose pour rendre leur activité moins saisonnière, moins exposée au stress et plus rémunératrice en leur permettant de réaliser davantage de projets.C’est dans cette perspective que Sto a développé des technologies particulièrement innovantes, en matière de mortiers de collage, de sous enduits et enduits organiques ou encore d’additifs pour peintures.Celles-ci induisent des bénéfices pluriels en termes de temps de séchage et donc de productivité, d’optimisation de la sécurité des équipes confrontées aux aléas climatiques, de réalisation d’économies d’échelle et d’organisation des tâches.Une aubaine côté maîtrise d’ouvrage également, qui ne craindra plus l’arrêt de son chantier dès l’approche des premières gelées.Une palette de solutions idoines en cas de faibles températures et de forte humiditéUn collage rapide avec la technologie FastTrack (FT)La technologie FastTrack (FT) de Sto convainc par ses temps de prise et de séchage, d’une rapidité remarquable comparativement à des solutions classiques, avec une protection garantie des façades exposées à des gelées jusqu’à -5°C. Le secret de ce processus d’accélération réside dans une nouvelle technologie d’agent qui accélère le séchage. Et ce, même à basses températures dès +1 °C et jusqu’à +15°C.La technologie FT est intégrée dans les colles minérales StoLevell FT, utilisables sur des isolants en laine de roche, et en polystyrène. Leurs performances autorisent par exemple une réalisation du chevillage dès le lendemain, et offre la possibilité d’appliquer le sous-enduit armé même après 24h.Chaque étape ainsi gagnée a des répercussions directes sur les coûts : le chantier devient plus productif grâce à une reprise du travail sous 24h.La technologie HybridDrying (HD) au service du sous-enduit organique avec un temps de séchage le plus rapide du marché en condition extrêmeLa technologie HybridDrying (HD) offre une vitesse de prise et de séchage inégalée sur le marché pour des sous-enduits organiques, sans concession sur la résistance aux chocs. Le séchage à cœur prend environ 2 à 4 jours, même si les conditions météo sont mauvaises.Dans l’optique de réduire son temps d’intervention sur un chantier, tout en s’assurant du respect des temps de séchage des solutions mises en œuvre pour une qualité d’ouvrage optimisée, le dernier né de la gamme hivernale, le sous-enduit organique StoArmat Classic HD, est la solution idéale ! Il s’agit, en effet, du produit affichant le temps de séchage le plus court du marché et ce malgré une météo capricieuse (entre +1°C et+10°C et par des gelées nocturnes jusqu’à -5°C) ! La finition peut ensuite être appliquée après environ 2 jours (contre environ 5 jours en temps normal).StoArmat Classic HD est livré sous forme d'une solution bicomposant. L‘ajout du StoAdditiv HD active le processus de séchage du sous-enduit.La technologie QuickSet (QS) pour une prise rapide dessous-enduits et des finitionsPar temps froid et humide, les produits fraîchement appliqués risquent de se délaver. Pour y remédier, Sto a développé les produits QuickSet (QS) : ils assurent une résistance des revêtements à la pluie après seulement 7 heures. Leur technologie de liant unique en son genre accélère la formation d'un film sur la surface. Qu'il pleuve ou qu'il vente, cette enveloppe de protection permet au produit de sécher parfaitement.Sto recommande d’utiliser ces produits QS lorsque les températures extérieures sont comprises entre +1°C et +10°C, et à 85 % d’humidité de l’air au maximum.La technologie QS est utilisée avec les sous-enduits organiques, les couches intermédiaires et les enduits de finition.Pour les peintures de façade, l'additif StoAdditiv QS offre encore plus de flexibilité et d'économies. Les conditions météo changent alors qu’il était prévu l'application d'une des peintures compatibles* en formule standard ? Rien de plus simple, il suffit de rajouter StoAdditiv QS à la peinture. Pour s’assurer que cette solution soit parfaitement adaptée aux peintures à appliquer, en fonction des conditions météo, Sto a tout prévu en concevant une signalétique thermosensible sur le couvercle de chaque pot concerné, qui indique si son utilisation est optimale ou non.
Il y a 3 ans et 221 jours

Le maire du XVe arrondissement de Paris demande le report de la Tour Triangle

Dans un vœu transmis à l'AFP et qui doit être soumis au conseil municipal débutant le 16 novembre, l'élu demande "qu'il soit sursis au projet de Tour Triangle dans l'attente de l'adoption du nouveau PLU (Plan local d'urbanisme) bioclimatique" qui règlementera les constructions dans la capitale, fin 2023.Le bailleur, le géant des centres commerciaux Unibail-Rodamco-Westfield (URW) qui sera propriétaire pendant 80 ans, a annoncé lundi que le chantier démarrerait d'ici 2022, avec le soutien financier de l'assureur Axa, pour s'achever à l'horizon 2026.Mais pour M. Goujon, "les arguments avancés en 2008 pour justifier la construction" de cette tour, qui "obstruera le paysage du sud du XVe et bien au-delà", sont "obsolètes"."Datée", la Tour Triangle "ne répond sans doute plus aux besoins des entreprises que la crise du Covid-19 et le développement du télétravail amènent à repenser", souligne M. Goujon, opposé au projet depuis son lancement en 2008.Autres opposants historiques au projet, les Verts soumettront également un voeu au prochain Conseil de Paris, demandant lui l'abandon d'un projet qu'ils voient comme une "aberration écologique"."Mathématiquement, il y a une majorité contre ce projet. Ce serait dommage qu'on n'arrive pas à la trouver", a réagi Emile Meunier (EELV), interrogé par l'AFP sur la possibilité d'une alliance entre les écologistes, alliés de la maire PS Anne Hidalgo, et l'opposition de droite et du centre.L'élu écologiste, président de la commission urbanisme et logement, demande à ce que "tous les moyens soient mis en oeuvre, y compris politiques, pour faire tomber cette tour".Le premier adjoint (PS) Emmanuel Grégoire a estimé mercredi que la ville de Paris "ne pouvait plus faire obstacle" à la construction de cette tour de 180 mètres de hauteur depuis le feu vert donné par le Conseil de Paris en 2015 et la délivrance du permis de construire en 2017.Le projet définitif pour l'immeuble de 42 étages, qui doit notamment héberger un hôtel quatre étoiles, plus de 2.000 mètres carrés d'espace de travail partagé (coworking), un centre de santé et un espace culturel, n'est "pas totalement arrêté en détails", a indiqué M. Grégoire pour lequel "on a encore beaucoup de temps pour affiner le programme".
Il y a 3 ans et 221 jours

Rafaël Ricote Gonzalez, nouvel architecte en chef du Groupe ADP

Dès le début de sa carrière en 1989, il rejoint les équipes qui vont constituer le socle d’AREP pour travailler sur la rénovation de la Gare du Nord. Il a poursuivi ses réflexions sur la mobilité dans le cadre d’un DEA en Urbanisme en parallèle de son activité professionnelle. Son mémoire sur « La gare du Nord comme pôle d’échange » constitue la base d’une vision multimodale du transport. Vision qu'il a développé dans son travail sur les grands pôles d’échanges en Ile de France au sein d’AREP, en travaillant sur les projets de Versailles-Chantiers, Massy, Ermont-Eaubonne, Juvisy, Lieusaint et Nanterre-Université. A partir du début des années 2000 il participe à la conception de grands équipements publics et de nombreux projets à l'international : Capital Museum à Pékin, Data Center pour ABC à Shangaï, Siège d’Air China à Pékin, Gare de Shangaï, Tour pour les JO à Pékin, Tours de bureaux à Hanoï, gares TGV au Maroc. Responsable du projet d’Austerlitz pour AREP, lauréat de la consultation avec Jean Nouvel et Jean-Marie Duthilleul, il prend en charge la direction de l’Atelier Austerlitz regroupant les équipes d’AREP et des Ateliers Jean Nouvel de 2007 à 2015. En parallèle il développe plusieurs projets en France (Rennes, Nice-Thiers, Cagnes-sur-Mer, Gare de Lyon, Toulouse, Lyon Part-Dieu), ainsi que les études et réflexions sur la création des nouvelles gares du Grand Paris en interconnexions avec le réseau SNCF (22 gares) pour le compte de la SGP et le suivi des études et de la réalisation de trois gares nouvelles, Rosa Parks, Pompadour et Nîmes Pont du Gard. En 2017 il est nommé Adjoint à la Direction de l’Architecture et de l’Urbanisme d’AREP. Il rejoint le Groupe ADP en 2019, en tant que Responsable de L’Agende d’Architecture et de Design, avant sa nouvelle nomination en tant qu'Architecte en chef du groupe.Rafaël RICOTE GONZALEZ remplace François TAMISIER qui a quitté ses fonctions au sein du Groupe ADP.
Il y a 3 ans et 221 jours

RE2020 : la filière bâtiment demande des garanties sur la clause de revoyure

ENGAGEMENT. Plusieurs organisations professionnelles du secteur du bâtiment demandent à ce que le gouvernement inscrive dans le marbre l'instauration d'une clause de revoyure pour la réglementation environnementale 2020 (RE2020).
Il y a 3 ans et 221 jours

Équerre d'argent 2021 : tous les nommés

Découvrez les vingt réalisations en lice pour le prix de l'Équerre d'argent 2021, et les cinq pour celui de la Première Œuvre 2021. Cette sélection a été réalisée par les rédactions du Moniteur et d'AMC, à partir de plus de 260 dossiers de candidature répartis en cinq catégories : Habitat, Lieux d’activités, Culture, jeunesse et sport, Espaces publics et paysagers, et Première œuvre. L'annonce du […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 221 jours

Équerre d'argent 2021: Les nommés de la catégorie Habitat

Découvrez les vingt réalisations en lice pour le prix de l'Équerre d'argent 2021, et les cinq pour celui de la Première Œuvre 2021. Cette sélection a été réalisée par les rédactions du Moniteur et d'AMC, à partir de plus de 260 dossiers de candidature répartis en cinq catégories : Habitat, Lieux d’activités, Culture, jeunesse et sport, Espaces publics et paysagers, et Première œuvre. L'annonce du […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 221 jours

LumiNature de Sylvania, la plus naturelle des lumières artificielles

Depuis toujours, le soleil, qui rythme les journées de chacun, est indispensable au bon fonctionnement de l’organisme. Pourtant, de l’enfance à l’âge adulte, l’être humain passe jusqu’à 90% de son temps en intérieur : écoles, bureaux, établissements de santé… Dans tous ces lieux de vie, il est le plus souvent soumis à un éclairage artificiel qui n’égale pas les bienfaits de la lumière naturelle sur la santé. Conscient que l’éclairage intérieur joue un rôle majeur sur le bien-être, le confort et la performance des usagers, Sylvania repousse les limites de l’innovation et lance à l’échelle européenne une véritable solution d’éclairage centrée sur l’humain : LumiNature, la plus naturelle des lumières artificielles. Une lumière au plus proche du spectre naturel du soleil La lumière naturelle impacte de façon significative les fonctions biologiques essentielles du corps humain. Au delà de ce qu’elle permet de percevoir, elle régule le rythme circadien qui regroupe l’ensemble des changements mentaux et comportementaux durant un cycle de 24 heures. Stimulée par la lumière du jour, cette horloge biologique interne influence les fonctions cognitives, la physiologie, l’humeur, le mode de vie mais aussi les cycles d’éveil et de sommeil. C’est durant ce dernier, en l’absence de lumière, qu’est sécrétée la mélatonine. Indispensable au bien-être, cette hormone du sommeil, dont le niveau varie en fonction de l’exposition à la lumière du jour, favorise l’endormissement. Trop de temps passé sous un éclairage artificiel peut donc perturber ce cycle. Même si les solutions d’éclairage LED « tunable white » actuelles reproduisent les différentes températures de couleur de la lumière naturelle, elles ne couvrent pas la totalité du spectre lumineux dont la courbe évolue en fonction du lieu et du moment. En début de soirée, un pic de lumière bleue, naturellement présent dans la lumière du soleil en 1ère partie de journée, persiste même dans les teintes chaudes, ce qui perturbe le rythme circadien. Cela entraîne alors une stimulation de l’organisme et retarde la sécrétion de la mélatonine. Une lumière artificielle plus naturelle peut préserver ce cycle. C’est pourquoi Sylvania, qui place le confort visuel et le bien-être des usagers au cœur de ses développements depuis plus de 100 ans, s’est intéressé à la qualité de l’éclairage artificiel, en particulier dans les lieux de vie (bureaux, crèches, EHPAD…) où le temps passé s’avère relativement long (en moyenne 8 à 10 heures par jour). Souhaitant proposer une solution qui va au-delà de la simple variation de température de couleur, Sylvania a mobilisé l’équipe Recherche & Développement de son site de production de Saint-Etienne pour travailler conjointement sur la source lumineuse et l’optique. Elle a conçu LumiNature qui reproduit au plus proche le spectre lumineux du soleil, sans ultra-violet (UV) ni infrarouge (IR), et supprime aussi le pic de lumière bleue des LED conventionnelles afin de respecter le rythme circadien. LumiNature offrant une distribution spectrale complète et équilibrée, toutes les couleurs de la lumière naturelle sont représentées de manière uniforme. Apportant la même qualité de lumière que le soleil, cette innovation centrée sur l’activité et les besoins de l’humain garantit en plus un confort optimal aux occupants grâce aux optiques anti-éblouissement (jusqu’à UGR97)(4) dans toutes les tonalités, y compris les rouges (R9>90), LumiNature offre la reproduction la plus fidèle des teintes de la lumière naturelle dans les espaces intérieurs. Idéale pour éclairer les pièces avec peu ou pas d’accès à la lumière naturelle, elle constitue la meilleure solution pour toutes les applications nécessitant une parfaite perception des nuances telles que la santé, le commerce ou encore l’industrie, dans le cadre de contrôles qualité. Une gestion d’éclairage dynamique 100% adaptée au rythme circadien Associée à la solution de gestion d’éclairage sans fil SylSmart Standalone, LumiNature reproduit à 100% l’évolution de la lumière naturelle pour accompagner au mieux les besoins du rythme circadien. De façon simultanée et en toute simplicité, grâce à une programmation qui s’effectue intégralement via l’application mobile dédiée, ce système intelligent combiné à LumiNature apporte : • la bonne lumière (contrôle personnalisé de la température de couleur et de l’intensité lumineuse, spectre complet et équilibré), • au bon endroit, grâce au réglage automatique zone par zone, • au bon moment, pour distribuer uniformément, uniquement si nécessaire, un éclairage adapté à chaque activité, au temps d’occupation et à l’ambiance recherchée. Offrant ainsi un maximum de bien-être et de confort visuel aux usagers, sa totale flexibilité lui permet de s’adapter à tous les environnements tels que : • les espaces de travail pour améliorer la productivité et la performance, • les lieux d’apprentissage pour favoriser la concentration et la créativité, • les établissements de santé pour faciliter la récupération des patients et stimuler l’humeur des occupants. Outre la version HCL SylSmart Standalone, les luminaires intégrant LumiNature se déclinent également avec une température de couleur fixe (3000K, 4000K DALI ou courant constant). Une innovation intégrée aux luminaires les plus performants Ascent 100, downlights décoratifs. Diamètres d’encastrement : 120 et 160 mm. Flux lumineux : de 1 100 à 2 650 lm. Fabriquée en Angleterre et 100 % personnalisable. Versions LumiNature disponibles : 3000 K fixe DALI, 4000 K fixe DALI, HCL SylSmart Standalone. Ratio mélanopique (MR) : 0,75 à 4 000 K ; >1,12 à 6 500 K OPTIX, un luminaire au confort visuel optimal. Disponible en version encastrée, linéaire, surface et suspendue. Dimensions : 600 x 600 et 1200 x 300 mm. Fabriquée en France et 100 % personnalisable. Versions LumiNature disponibles : 4 000 K fixe courant constant, 4 000 K fixe DALI, HCL SylSmart Standalone. Ratio mélanopique (MR) : 0,77 à 4 000 K ; >1,07 à 6 200 K. Très basse luminance : L
Il y a 3 ans et 221 jours

La construction controversée de la Tour Triangle sera lancée d'ici à la fin de l'année

Le groupe Unibail-Rodamco-Westfield a annoncé le lancement du chantier controversé de la Tour Triangle "d'ici la fin de l'année", avec l'arrivée d'un partenaire financier, l'assureur Axa.
Il y a 3 ans et 221 jours

Oknoplast investit dans les solutions Prosperences

Les atouts du Réseau Partenaire Premium OKNOPLASTDepuis plus de 6 ans maintenant, OKNOPLAST a lancé son réseau de Partenaires Premium et compte aujourd’hui plus 220 membres premium actifs. OKNOPLAST a toujours eu la volonté d’être au plus proche de ses revendeurs afin de collaborer dans un esprit d’engagement gagnant-gagnant. La marque OKNOPLAST doit être au service du développement de ses clients et les clients contribuent au développement d’OKNOPLAST.L’objectif au travers de cet accord de partenariat est d’offrir à nos partenaires une image de marque connue, de leur permettre de bénéficier d’une communication nationale prise en charge par le groupe, de bénéficier de formations et d’un savoir-faire éprouvé constituant un avantage concurrentiel. Tout en conservant leur indépendance, sans être isolé.Un nouvel outil d’animation commercialeDepuis maintenant 2 ans, OKNOPLAST est porteur de solutions 2.0 auprès de ses clients afin de les accompagner au mieux grâce à des outils pour suivre et piloter leur activité commerciale notamment avec MyOknoplast, un CRM dédié à 100% au pilotage de leur activité (suivi des commandes, livraisons, SAV, gestion des leads, commandes des outils marketing…) ainsi que PrefWeb pour la partie chiffrage avec une transmission directe des commandes à l’usine de production.En cette fin d’année 2021, OKNOPLAST investit dans un outil d’analyse et prospective dédié au marché de la menuiserie développé par PROSPERENCES. Cette solution a pour vocation de venir accompagner les partenaires revendeurs sur les études de leurs zones de chalandises potentielles, en vue de venir développer leur présence sur leur secteur et ainsi développer leurs prises de part de marché et par conséquent leur chiffre d’affaires.Constatant également que de plus en plus de partenaires endossent une casquette d’investisseur, OKNOPLAST sera à même de les accompagner dans leurs études de marché avant implantation en tant qu’expert d’aide au développement business.Ce nouvel outil et le renforcement de ce volet collaboratif avec nos Partenaires Premium permet de venir consolider nos engagements et notre volonté de les accompagner toujours plus dans leur croissance et développement.
Il y a 3 ans et 221 jours

Mur de Berlin, plus de trente ans déjà…

Podcast ACPresse – Le Mur de Berlin, lu par Nadia Zanoun. Coup de théâtre ! Dans la nuit du 12 au 13 août 1961, les forces armées de la République démocratique d’Allemagne déploient des barbelés pour bloquer les rues et les voies ferrées qui mènent à Berlin-Ouest. Des maçons empilent les parpaings, sous la surveillance de policiers et de soldats. Le Mur de Berlin, projet ultra secret du gouvernement Est-allemand, voit le jour. L’allégorique “Rideau de fer” qui sépare le bloc des pays de l’Est de l’Ouest devient ici un mur de béton. D’une longueur de 140 km, dont 43 km à l’intérieur même de Berlin, le Mur coupait près de 193 rues, lignes de tramways y compris… [©ACPresse/Frédéric Gluzicki] « Avec la construction du mur de protection antifasciste, nous avons stabilisé la situation politique en Europe. Nous avons consolidé la paix », déclarait Erich Honecker, secrétaire du comité central pour les questions de sécurité. En réalité, il s’agit de contenir l’exode massif des habitants vers la République fédérale d’Allemagne. Depuis 1949, entre 2,5 à 3,5 millions d’Allemands sont partis à l’Ouest. Maillon faible de dispositif de contrôle ? La frontière urbaine de Berlin. En effet, il suffit de prendre le métro pour passer à l’Ouest. Cette fois-ci, tous les moyens de transport entre les deux Berlin sont interrompus. Et des troupes soviétiques se tiennent prêtes au combat aux postes frontières des Alliés.  De fer et de béton D’une hauteur visible de 3,60 m et épais de 15 cm, les éléments composant le Mur étaient enfuis dans le sol à 2,10 m de profondeur. L’ouvrage, était aussi pourvu d’un système très complet de fils de fer barbelés, de fossés, de chemins de ronde et de miradors. [©ACPresse/Frédéric Gluzicki] Long de 140 km, dont 43 km à l’intérieur même de Berlin, le Mur coupe 193 rues. A partir de 1972, il devient même infranchissable. La dernière génération du Mur est constituée d’éléments préfabriqués en béton ne pouvant plus être enfoncés par des véhicules. D’une hauteur visible de 3,60 m, épais de 15 cm et larges de 1,20 m, ces éléments sont enfouis dans le sol à 2,10 m de profondeur. L’ouvrage est aussi pourvu d’un système très complet de fils de fer barbelés. Mais aussi, de fossés, de chemins de ronde et de miradors. Quelque 14 000 gardes et 600 chiens sont affectés à la surveillance de l’ensemble du dispositif. Seuls vingt-cinq points de passage permettent la circulation. Treize par la route, quatre par voie ferrée et huit par voie d’eau.  Durant vingt-huit ans, la Porte de Brandebourg fut prisonnière du Mur, coincée dans le no man’s land séparant les deux Berlin. [©ACPresse/Frédéric Gluzicki] Plus de 100 000 citoyens de la RDA ont tenté de fuir leur pays par la frontière intra-allemande ou par le Mur de Berlin. Près de 5 043 personnes ont réussi à franchir le Mur et au moins 136 ont été tuées entre 1961 et 1989, lors de tentatives d’évasion. Une chute non annoncée Situé au croisement de Friedrichstrasse et de Zimmerstrasse, le fameux Checkpoint Charlie a vu Soviétiques et Américains se défier durant près de 30 ans. [©ACPresse/Frédéric Gluzicki] Jeudi 9 novembre 1989. Le lendemain de la démission collective des dirigeants du parti, tous les citoyens de la RDA sont autorisés à circuler librement. Et à quitter le pays selon l’annonce faite à la télévision Est-allemande. Information aussitôt relayée par les médias de la République fédérale et de Berlin-Ouest. Des milliers de Berlinois se mettent alors en chemin. Sans ordre concret, mais sous la pression de la foule, le point de passage de la Bornholmer Strasse est ouvert peu après 23 h 00. Dès le lendemain, les habitants entament la destruction du mur à l’aide de pioches et marteaux. Le Mur a disparu du centre-ville en novembre 1990, le reste un an plus tard. Seules, six sections ont été conservées. Aujourd’hui, une double rangée de pavés et des plaques en fonte portant l’inscription Berliner Mauer 1961-1989 immortalisent le tracé historique du Mur. Quelques mois après la chute, les vestiges du Mur étaient encore présents dans Berlin… [©ACPresse/Frédéric Gluzicki] La partie la plus connue, située entre la gare de l’Est et le pont de l’Oberbaum, le long de la Spree, mesure 1,3 km. Appelée East Side Gallery, elle comporte 106 peintures murales, réalisées en 1990, œuvres de 118 artistes du monde entier. La plus longue fresque à ciel ouvert du monde ! Fortement dégradée, elle avait retrouvé ses couleurs et ses inscriptions grâce au projet “Write the Wall”. Ce dernier rassemblait les artistes de l’époque. Mais aussi des créateurs anonymes… Retrouvez aussi l’article sur “Mur(s) de Berlin : Le béton de la liberté” Mariola Gluzicki
Il y a 3 ans et 221 jours

Homo Spatius, une recomposition libre de nos visions sur l’espace - Exposition

Découvrez les vingt réalisations en lice pour le prix de l'Équerre d'argent 2021, et les cinq pour celui de la Première Œuvre 2021. Cette sélection a été réalisée par les rédactions du Moniteur et d'AMC, à partir de plus de 260 dossiers de candidature répartis en cinq catégories : Habitat, Lieux d’activités, Culture, jeunesse et sport, Espaces publics et paysagers, et Première œuvre. L'annonce du […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 222 jours

Travaux de plomberie : Comment réparer votre tuyau d’évacuation?

Dans la pratique, diverses causes peuvent être à l’origine d’un problème de tuyauterie et qui nécessite la réalisation de travaux de plomberie. Dans ce cas, faire appel à un plombier constitue le meilleur réflexe pour vous permettre de réparer votre circuit. En effet, avant de pouvoir intervenir efficacement, il est primordial de détecter la source de vos ennuis. Autrement, il peut s’agir d’un souci engendré par la pente ou un défaut d’installation de la conduite de drainage. Raison pour laquelle, vous devez solliciter un professionnel pour lui permettre d’inspecter l’état de votre dispositif, avant de proposer le traitement adapté. Diagnostic En effet, c’est une étape indispensable pour réussir à détecter le fond de votre problème et trouver les solutions qui s’imposent. Ainsi, le niveau de la pente de votre tuyau d’évacuation permet de déterminer précisément si l’eau arrive à acheminer correctement vos déchets vers l’égout. S’il est trop fort, l’écoulement rapide des eaux usées empêche la vidange des résidus et ces derniers finissent par former un blocage dans votre paroi. Le cas échéant, s’il est trop faible, l’eau ainsi que les dépôts stagneraient dans votre canalisation et leur accumulation obstruera la sortie vers les dalles publiques. De la même manière, il est impératif de procéder à la vérification de l’ouverture de votre tuyau de ventilation donnant sur le toit. Il arrive effectivement que des oiseaux ou divers animaux y élisent domicile, bloquant ainsi le fonctionnement de cette installation. Par la suite, vous devez contrôler la vanne placée sous votre évier qui permet au gaz d’égout de refluer dans votre intérieur tout en laissant passer l’air. Si vous sentez une odeur persistante d’eaux usées dans votre maison, c’est le signe qu’il est indispensable de remplacer immédiatement cet accessoire. Traitements spécifiques Pour éliminer un blocage dû à problème de pente, vous pouvez vous servir d’un serpent de plombier avant de rincer votre canalisation à l’eau. Par la suite, vous devez penser à rectifier le tir en installant de nouvelles plomberies en veillant à ce que l’inclinaison soit correcte. Cette précaution reste indispensable pour assurer une meilleure évacuation des eaux usées. Autrement, la constatation d’une obstruction ou la lenteur des écoulements amènera un professionnel à entreprendre des opérations dédiées, telles que : Assainissement, Débouchage, Dégorgement, Vidange… Si besoin, il peut recourir à un matériel spécifique comme un camion pompe par exemple pour faire quelques tâches, à l’instar de : Inspection avec une caméra de la canalisation, curage et détartrage des parois. Lors d’une panne, en attendant l’intervention de ses spécialistes, il est préférable d’arrêter l’utilisation de votre installation pour ne pas causer davantage de dommages. Dans certains cas, des petites astuces peuvent vous soulager temporairement, mais ces problèmes chroniques peuvent se reproduire sans traitement efficace. C’est pourquoi le concours d’un expert vous sera d’une grande utilité pour réparer une bonne fois pour toutes vos soucis de plomberie. Bref, des travaux de plomberie restent toujours indispensables même si des solutions pratiques peuvent résoudre vite fait les éventuels blocages de votre canalisation. En effet, il vaut mieux faire appel à un expert en plomberie pour détecter la source qui a causé cette panne et appliquer en conséquence le traitement requis. Dans certains cas, des réparations s’imposent pour réussir à remettre votre installation en état de marche.
Il y a 3 ans et 222 jours

Un concours ouvert aux organismes de formation aux métiers du BTP

Le CCCA-BTP lance les premiers trophées de l’innovation. Le concours est ouvert à l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP, ainsi qu’aux apprentis du BTP et aux entreprises formatrices. L’objectif est de mettre en lumière et de promouvoir les expériences et pratiques les plus innovantes, développées en 2020-2021 par les organismes. De plus il permet de valoriser l’engagement de l’innovation des jeunes au travers du trinôme organismes de formation-apprentis-entreprises formatrices. On y retrouve 4 catégories : le CFA de demain, attractivité de mon CFA, évolution des métiers, décloisonner pour innover. La participation est gratuite et ouverte à tout candidat remplissant les conditions suivantes : un apprenti rattaché à un organisme de formation aux métiers du BTP, un salarié rattaché à un organisme de formation aux métiers du BTP, un maître d’apprentissage d’une entreprise formatrice formant un apprenti d’un organisme de formation aux métiers du BTP.
Il y a 3 ans et 222 jours

Tout savoir sur les travaux de peinture de façade

La peinture est une étape incontournable dans des travaux de façade. Elle vient en finition du support afin d’en améliorer l’esthétique, entre autres. La réalisation des travaux de peinture nécessite des compétences et le choix des couleurs de peinture est soumis à certaines réglementations. Pour apporter plus de visibilité sur le sujet, voici quelques informations utiles à connaître concernant les travaux de peinture de façade. La peinture de façade, indispensable pour une finition esthétique Que ce soit lors d’une construction de maison ou d’une rénovation de façade, les travaux de peinture constituent une étape essentielle permettant de favoriser l’esthétique de l’habitation. Dans cette mesure, il est conseillé de faire appel à un expert en peinture de façade comme sur ce site : https://www.entreprise-batiment.ch/ pour prendre en main sa réalisation. Cela offre l’assurance d’obtenir des résultats de qualité. Il faut savoir qu’avant l’application de la peinture sur les murs extérieurs, ces derniers doivent être préalablement préparés, en particulier dans le cas d’un ravalement de façade. Les fissures doivent être colmatées, les détériorations des enduits réparées, etc. Pour ces diverses raisons, il est plus judicieux de recourir aux services de professionnels pour réaliser les travaux de ravalement et de peinture de façade. Les éléments à considérer pour choisir la couleur et le type de peinture de façade Il est à préciser que le choix de la peinture de façade doit être effectué en fonction du support et du climat de la région, mais également selon l’esthétique finale que l’on souhaite donner aux murs extérieurs. Concrètement, les critères suivants sont à prendre en compte avant de choisir la peinture de façade : La conformité à la règlementation en vigueur Tout d’abord, il faut souligner que les travaux de ravalement sont une obligation légale fixée par le Code de la Construction et de l’Habitat. Ces travaux doivent être effectués au minimum tous les dix ans, sous peine de se voir coller des sanctions comme une forte amende. Le Plan local d’urbanisme (PLU) en vigueur impose en outre un panel précis de couleurs, ceci afin de conserver une cohérence architecturale au sein de la commune ou région concernée. Il est donc conseillé de se rapprocher auprès de la Mairie afin de déterminer les couleurs autorisées au sein de la commune. Le type de support Il faut savoir qu’il existe plusieurs types de peinture de façade, à l’instar des peintures acryliques et des peintures pliolites. Pour choisir la peinture la plus adaptée, il est important de prendre en compte le type de support. Pour les novices, il est recommandé de faire appel à une entreprise de peinture de façade pour obtenir des conseils pertinents sur le sujet, en plus de la qualité des travaux. Les peintures de types acryliques figurent parmi les plus utilisés. Ces peintures sont adaptées à tous les types de supports à l’exception du métal. Faciles à poser et à entretenir, elles sont à privilégier pour les supports de faible épaisseur et en résine. Les peintures pliolites sont, quant à elles, adaptées à tous les types de supports hormis le ciment. En effet, au contact du ciment, ce type de peinture produit peut provoquer une réaction chimique se traduisant par un décollage de la peinture.
Il y a 3 ans et 222 jours

La construction de logements renoue avec son niveau d'avant-crise

Les constructions de logements entre juillet et septembre ont légèrement augmenté par rapport au trimestre précédent et ont retrouvé leur niveau d'avant-crise sanitaire.
Il y a 3 ans et 222 jours

Evacuation en banlieue parisienne de 240.000 tonnes de déblais

Contactée, la Direction régionale et interdépartementale de l'environnement, de l'aménagement et des transports (Drieat) a confirmé une information du journal Le Parisien.Ces terres de chantier, censées être inertes, ont été apportés progressivement depuis 2019 sur une zone de stockage située à Saint-Martin-la-Garenne, près de Mantes-la-Jolie, dans les Yvelines.C'est le groupe LafargeHolcim qui exploite cette carrière, où sont acheminés les déchets liés aux travaux du tunnelier du projet Eole, qui creuse sous terre le prolongement de la ligne E du RER à l'ouest de Paris, jusqu'à Nanterre puis Mantes-la-Jolie."Nos services ont été contactés par Lafarge en début d'année 2021 après le constat d'une coloration rouge, caractéristique de la présence d'oxydation, sur les déchets", a indiqué la Drieat à l'AFP.Ces déblais contiennent de la pyrite, une pierre "qui peut s'oxyder en présence d'eau et d'oxygène, ce qui créé notamment des sulfates, des oxydes de fer de couleur rouge, et de l'acide sulfurique".La pyrite n'est donc pas un déchet inerte (qui ne produit aucune réaction chimique) et sa présence sur la carrière pouvait créer une pollution des nappes phréatiques et un danger pour l'alimentation en eau potable du secteur."Les résultats des analyses et études commandées aussitôt auprès d'organismes indépendants confirment clairement l'absence de risques à court terme pour l'environnement", a rassuré Lafarge, contacté par l'AFP. La préfecture des Yvelines a pris un arrêt en avril avant d'imposer le 3 août 2021 le retrait sous six mois de ces déblais.Ces déchets sont évacués depuis octobre vers un site spécialisé de Seine-Maritime pour y être rendus inertes, a indiqué Lafarge."Cette évacuation sera achevée avant la fin de l'année", a précisé le cimentier."SNCF Réseau s'interroge maintenant sur la chaîne de responsabilité alors que ces mêmes terres sont actuellement déposées sur plusieurs autres sites exploités par des concurrents de Lafarge-Holcim, sites sur lesquels cette situation n'a pas été constatée", a-t-elle fait savoir dans un communiqué.En Île-de-France, l'excavation et le traitement des déchets des différents projets liés au Grand Paris provoque la grogne de nombreuses associations environnementales ou d'habitants, qui dénoncent des risques de pollution malgré l'encadrement du tri des déblais.
Il y a 3 ans et 222 jours

Les Prêts garantis par l'État sont prolongés jusqu'à la fin juin 2022

ÉCONOMIE. Le ministre de l'Économie Bruno Le Maire a annoncé dans la presse que l'échéance du dispositif des PGE va être une nouvelle fois repoussée de six mois : alors qu'il devait s'arrêter à l'origine à la fin juin 2021, puis à la fin décembre 2021, le Gouvernement a finalement décidé de maintenir la mesure jusqu'à la fin juin 2022. En cause, les craintes autour d'une éventuelle hausse des défaillances d'entreprises dans le courant de l'année prochaine.
Il y a 3 ans et 222 jours

Un projet de centrale solaire refait surface dans le Larzac, en version allégée

Lors d'une visio-conférence de presse, les dirigeants de la société basée près de Montpellier ont annoncé la tenue d'une consultation publique entre le 16 au 29 novembre, expliquant que rien n'était encore décidé."On ne vient pas avec une proposition de scénario, mais avec des résultats de nouvelles études, donc on propose de débattre de quatre grandes thématiques de manière très ouverte, afin de créer un projet de territoire", a expliqué le responsable du développement éolien et solaire d'Arkolia Energies, Mickaël Scudeller.Avec son projet Solarzac, Arkolia Energies envisageait initialement de couvrir 220 à 400 hectares de panneaux solaires sur la petite commune du Cros, située dans une zone classée Natura 2000 et patrimoine mondial de l'Unesco au titre des paysages culturels de l'agropastoralisme méditerranéen.L'initiative avait été massivement rejetée localement et fustigée par des organisations de défense de l'environnement et du foncier agricole lors d'une première consultation, en 2019. Sans renoncer, Arkolia Energies s'était engagée à proposer une version plus réduite de son projet.L'entreprise songe dorénavant à une surface de panneaux solaires de 150 à 200 ha, capable de produire l'équivalent de la consommation électrique de 100.000 à 130.000 personnes (hors chauffage). Elle veut aussi renforcer la dimension agropastorale du projet, les installations permettant selon elle la présence de troupeaux d'ovins."Le reste de la surface (800 ha minimum) pourrait être mis en gestion auprès d'organismes oeuvrant pour la biodiversité" et des "activités de tourisme (randonnée, VTT) pourraient également trouver leur place sur le site", ont expliqué les promoteurs de Solarzac, dont la mise en service est envisagée en 2026. L'investissement, d'environ 150 millions d'euros, serait entièrement pris en charge par Arkolia Energies.Le programme des consultations est disponible sur le site www.solarzac.fr. La réunion publique de clôture est prévue le 2 décembre à Salelles du Bosc, non loin du site prévu pour la centrale solaire.
Il y a 3 ans et 222 jours

Citelum et Eiffage remportent le marché de l'éclairage de Paris

La filiale d'EDF et Eiffage Énergie Systèmes, ont remporté en groupement le marché pour l’éclairage public, la signalisation lumineuse et les illuminations de la Ville, qui sera opéré via la société commune dédiée Cielis, pour une durée de 10 ans. Le montant du marché est de 704 millions d’euros.
Il y a 3 ans et 222 jours

Une levée de fonds de 4 millions d'euros pour StockPro

RÉEMPLOI. La start-up StockPro, dédié au réemploi de matériaux neufs de construction, annonce une levée de fonds de 4 millions d'euros auprès de grands acteurs du secteur. Découvrez lesquels.
Il y a 3 ans et 222 jours

Saint-Gobain porté par la reprise confirme un chiffre d'affaires plus élevé que prévu

Saint-Gobain a annoncé un chiffre d'affaires plus élevé qu'attendu par les analystes au 3e trimestre, porté par la hausse des prix des matériaux et la reprise du secteur du bâtiment et de l'économie.
Il y a 3 ans et 222 jours

L'exécutif veut lever les freins au développement des projets d'énergies citoyennes

RENOUVELABLES. À l'initiative du ministère de la Transition écologique, un groupe de travail a planché sur une batterie de mesures visant à "identifier les freins et leviers" pour faciliter les projets d'énergies renouvelables citoyennes. Des annonces qui viennent compléter les récentes communications gouvernementales sur l'éolien, le solaire ou le fameux rapport RTE.
Il y a 3 ans et 222 jours

Analyse de la santé financière des entreprises du BTP sur l'année 2020

La productivité connait une baisse limitéeL’indicateur de productivité mesure la production propre que génère chaque collaborateur de l’entreprise. La production propre s’entend par le chiffre d’affaires d’une entreprise, déduction faite de la sous-traitance. Les évolutions traduisent une tendance à l’amélioration depuis plusieurs années et les efforts d’organisation sur les chantiers. En 2020, si nous constatons une baisse de la productivité, les niveaux restent toutefois supérieurs à ceux constatés en 2016 avec 214 k€ / ETP sur le Gros-Œuvre, 173 k€ pour le Second-Œuvre et 199 k€ pour les Travaux Publics. La valeur ajoutée se maintient en 2020La valeur ajoutée (VA) exprime l’accroissement de valeur généré par l’entreprise du fait de ses activités courantes. Elle permet de rémunérer les acteurs de l’entreprise (personnel, apporteurs de capitaux, administrations). En tendance baissière depuis 2016, l’année 2020 est cependant dans la lignée de l’année 2019 (39,2% pour les Travaux Publics, 38,9% pour le Second-Œuvre et 34,6 % pour le Gros-Œuvre), sans trop d’effet de la crise COVID sur ce ratio. Cela s’explique principalement par la capacité des entreprises d’adapter leurs politiques d’achat en adéquation avec l’évolution du CA. Cependant, l’augmentation du prix des matières premières et une activité sous tension dans certaines régions favorisant une concurrence vive entre les entreprises, continuent à peser sur la VA. Le poids de la main d’œuvre dans la VA augmente Avec la crise du COVID et malgré les aides gouvernementales, le ratio se détériore significativement en 2020 venant gommer les effets des efforts engagés ces dernières années. Les charges de personnel représentent environ 82% de la valeur ajoutée pour les activités du Gros-Œuvre (vs. 80 % en 2019), 77% pour les Travaux Publics (vs. 75% en 2019). Nous l’expliquons principalement par le maintien de l’emploi dans le secteur et des besoins importants en fin d’année, avec un recours accru à l’intérim. Le décrochage de la rentabilitéDepuis 2016, le redressement était marqué sur l’ensemble des secteurs. Sans surprise, la rentabilité décroche en 2020 mais en restant supérieure ou égale au niveau de 2016. Elle atteint respectivement, 3,0% pour le Gros-Œuvre, 3,1% pour le Second Œuvre et 3,4% pour les Travaux Publics. Malgré les aides gouvernementales, certaines charges n’ont pas pu être compressées, ayant une conséquence directe sur la rentabilité. L’accroissement de la part des entreprises en perte Conséquence directe de la chute d’activité, en 2020, la part des entreprises en perte croit sensiblement (plus de 4%) sur l’ensemble des secteurs. Des délais clients en augmentation En 2020 les délais ont tendance à s’allonger et restent élevés à 83 jours dans le Gros-Œuvre, 84 jours dans le Second-Œuvre et 90 jours dans les Travaux Publics. Ceci s’explique d’une part par une inertie plus importante de la part des maîtres d’ouvrage dans le règlement de leurs factures, mais aussi par un effet de rattrapage de certains chantiers en fin d’année, générant une facturation significative au dernier trimestre de l’année et donc la comptabilisation d’importantes créances clients au bilan. Cela peut également s’expliquer par un relâchement des entreprises dans le recouvrement de leurs créances clients, compte tenu de l’amélioration des trésoreries grâce aux PGE. A noter, la clientèle publique, les litiges sur situations de travaux, les décomptes généraux et définitifs et les retenues de garanties non cautionnées contribuent toujours à l’alourdissement du poste clients des entreprises du BTP. Une structure financière qui s’améliore De façon assez contre-intuitive, la structure financière des entreprises se renforce en 2020, avec un ratio FP/CA qui s’améliore sur l’ensemble des secteurs à un peu plus de 20% sur le Second-Œuvre et les Travaux Publics et 16,4% pour le Gros-Œuvre. Cela s’explique par la baisse du chiffre d’affaires, mais aussi par une gestion prudente de la part des dirigeants, préservant depuis plusieurs années le résultat généré par la société dans les fonds propres et dans la trésorerie. Pour Sylvie LOIRE-FABRE, Présidente du Directoire de BTP Banque : « Sur la période 2016 – 2019, d’importantes actions ont été engagées par les entreprises en matière de productivité. Tandis que les carnets de commandes élevés et des marges retrouvées auguraient d’une très belle année 2020 pour la Construction, nous avons dû faire face à une période inédite avec toutes les conséquences économiques et sociales qui s’en sont suivies. Le secteur de la construction a prouvé une nouvelle fois sa capacité de résilience comme en témoigne les premières données de notre étude qui sera complété d’ici fin 2021 avec l’analyse de plus de 30 000 bilans. »
Il y a 3 ans et 222 jours

Porte-cadenas et cadenas ABUS : sécuriser les accès

Il est primordial pour les professionnels du BTP de clôturer leur zone de travail au moyen de portails et de barrières, afin de se prémunir des vols et de lutter contre les intrusions par des personnes non autorisées. Pour ce faire, ABUS propose le porte-cadenas GateSec 131 et le cadenas 64TI50HB60-150, deux solutions efficaces pour sécuriser l’enceinte du chantier. Ultra résistant, le porte-cadenas GateSec 131 ABUS convient aux portails et barrières de chantier à profil rond. Fabriqué en acier cémenté galvanisé Eterna, à haute protection contre la corrosion, ce porte-cadenas offre une résistance extrême aux tentatives de coupures. Équipé d’une protection d’anse de cadenas, véritable bouclier contre les coupe-boulons, le GateSec 131 ABUS accepte les anses de cadenas mesurant jusqu’à 12 mm de diamètre. Il s’adapte sur des cadres ronds de barrière jusqu’à 50 mm de diamètre. Il peut être amovible ou se fixer sur l’un des 2 cadres du portail. Prix généralement constaté : à partir de 74,25 euros TTC (sans cadenas) Points de vente : quincailleries professionnelles, négoces De son côté, le cadenas 64TI50HB60-150 ABUS a la particularité de proposer une anse longue, amovible et réglable pour une meilleure flexibilité lors de son utilisation. À la différence des cadenas classiques, l’anse du modèle ABUS peut être ajustée de 60 à 150 mm (10 hauteurs différentes). Cela permet des applications variées, notamment lorsqu’il s’agit de protéger des fermetures espacées. Le corps très robuste en Titalium (alliage spécial à base d’aluminium) du cadenas ABUS offre un niveau de sécurité élevé, pour un poids réduit. Le cylindre à 5 goupilles de haute précision assure une protection efficace contre les effractions. L’anse dispose d’un revêtement Nano Protect qui renforce sa résistance à la corrosion. Prix généralement constaté : à partir de 24,90 euros TTC Points de vente : quincailleries professionnelles, négoces
Il y a 3 ans et 222 jours

Une usine française pour les produits de toiture de l’allemand Bauder

L’entreprise familiale de Stuttgart programme la création d’une unité de mousses en polyuréthane et de membranes bitumineuses en Alsace, dans le cadre d’un plan d’expansion de plus de 100 millions d’euros.
Il y a 3 ans et 222 jours

Qualité de l'air intérieur des bâtiments

Si elle est moins médiatisée que la qualité de l’air extérieur, la pollution de l’air intérieur peut pourtant elle aussi avoir de nombreuses conséquences sur le bien-être et la santé des personnes : gêne olfactive, somnolence, irritations de la peau et des yeux, mais aussi apparition ou aggravation de pathologies aigües ou chroniques : asthme, allergies respiratoires, etc. Pour pallier ces désagréments, l’arrêté du 24 mars 1982 introduit d’ores et déjà le principe d’aération générale et permanente des logements en toute saison. La réglementation indique par ailleurs que les bailleurs doivent remettre aux locataires un logement décent ne laissant pas apparaître de risques manifestes pour leur santé et leur sécurité et leur assurer la jouissance paisible dudit logement. Il leur appartient donc d’équiper les logements des solutions de ventilation adéquates. L’humidité des bâtiments, source indirecte de pollution Si la vapeur d’eau n’est pas toxique pour l’être humain, un logement humide permet aux moisissures et acariens de proliférer et de polluer l’air intérieur. Les moisissures peuvent induire des effets sur la santé des occupants, soit par exposition directe par inhalation de spores, soit par contact direct sur la peau ou les yeux. Elles peuvent également dégager une large gamme de composés susceptibles d'être à l’origine d’effets délétères. Les sources d’humidité dans la maison sont nombreuses : la cuisson, le séchage du linge, la toilette, mais aussi la respiration humaine. À titre d’exemple, un adulte produit environ 55 g de vapeur d’eau à l’heure, et une lessive environ 1 kg sur son temps de séchage. Les moisissures se développent principalement dans les pièces humides mal ventilées, comme les salles de bain, sur les murs mal isolés ou au niveau des ponts thermiques. Leurs spores peuvent envahir l’ensemble du logement. Selon une expertise de l’Anses, l’exposition aux moisissures concerne une part importante des habitations : entre 14 et 20% de logements en France présentent des moisissures visibles. Un risque de dégradation du patrimoine Au-delà des risques sanitaires, les moisissures présentent également des dommages patrimoniaux liés à la dégradation des lieux : des cloques se forment sous la peinture qui se met à craquer, les enduits s'effritent et les papiers peints se décollent. La plupart des revêtements ne résistent pas longtemps à la présence d'humidité. De plus, l'eau contenue dans un mur humide transporte avec elle des sels hygroscopiques qui migrent vers la surface des parois et qui participent fortement au décollement des enduits et des revêtements. Dans certains cas, l'humidité peut même aller jusqu'à fragiliser la structure et dégrader la solidité d'un bâtiment. En général, les coûts de remise en état d’un logement avec des moisissures se chiffrent à plusieurs milliers d’euros. Le rôle de la ventilation La ventilation, processus par lequel l’air intérieur d’un bâtiment est renouvelé, a pour objectif de contribuer au confort et à la santé des occupants ainsi qu’à la pérennité du bâtiment. La ventilation des espaces clos est une nécessité absolue et une obligation réglementaire. Elle doit assurer une bonne qualité de l’air intérieur et un confort thermique et hygrométrique optimal. Elle permet d’apporter de l’air neuf, de diluer les polluants et d’évacuer l’excès d’humidité. Plusieurs solutions techniques existent pour assurer le renouvellement d’air d’un bâtiment en conciliant les besoins de renouvellement d’air et les économies d’énergies. On notera que les réglementations applicables à chaque type de bâtiment ont une influence importante dans le choix d’un système adapté. L’arrêté du 24 mars 1982 a rendu obligatoire la ventilation générale et permanente des logements neufs : on parle depuis de VMC (ventilation mécanique contrôlée). Des dysfonctionnements dommageables mais facilement contrôlables Pour aller plus loin, plusieurs solutions permettent d’assurer que la qualité d’air intérieur est conforme aux standards et d’alerter au mieux les propriétaires et occupants sur les risques de condensation et de développement de moisissures. Il a été constaté que les défauts de fonctionnement (panne, sous débit, etc.), souvent à l’origine d’une mauvaise qualité de l’air, étaient rarement identifiés avant la réalisation de la maintenance annuelle, laissant parfois les logements sans renouvellement d’air mécanique pendant de nombreux mois. L’instrumentation du caisson VMC permet d’alerter sur les défauts les plus impactants : grâce à l’installation d’un capteur de pression différentielle sur le réseau horizontal de la VMC, il est possible de détecter une panne du caisson, une pression insuffisante, un mauvais réglage du point de fonctionnement du caisson, etc. Enfin, la détection de l’humidité relative, symptôme particulièrement révélateur au cœur de l’habitat, permet d’alerter en cas d’humidité excessive et de risque de condensation. L’humidité représente ainsi un véritable fléau pour les logements comme pour leurs occupants, en générant de la moisissure qui endommage le patrimoine et présente un véritable risque sanitaire. Pour jouir de leur droit à respirer un air qui ne nuise pas à leur santé, les propriétaires, bailleurs et locataires doivent plus que jamais s’assurer que l’ensemble des mesures et solutions ont bien été déployées dans leur bâtiment, et contrôlées régulièrement. Pour que tous puissent respirer en toute sérénité. Tribune d'Olivier JUNG, Responsable Solutions Techniques et Matériels chez OCEA Smart Building (LinkedIn) et Riccardo ISSOGLIO (LinkedIn), Expert capteurs chez OCEA Smart Building (Groupe OCEA).
Il y a 3 ans et 222 jours

«Atonie de la commande» et «menaces inflationnistes» pèsent sur les travaux publics

Le recul de l'activité des travaux publics par rapport à son niveau d’avant crise se ressent sur les heures travaillées, également en baisse.