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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(88153 résultats)
Il y a 4 ans et 256 jours

Quelles sont les attentes des Français en matière de logement et d'aménagement intérieur ?

1er grand enseignement de cette nouvelle édition : les Français ont besoin d'espace ! Loin d'être une question de confort ou d'agrément, ce manque d'espace dégrade le quotidien de millions de Français et se heurte aux aspirations de larges franges de la population (familles, télétravailleurs, urbains, etc.).Faute de pouvoir « inventer » des mètres carrés supplémentaires, la question de l'aménagement intérieur se fait d'autant plus cruciale. Les Français plébiscitent les logements flexibles, évoluant au gré des besoins et modes de vie de leurs occupants, mais aussi plus pratiques et adaptés au bien-vieillir.Des logements pas toujours adaptés aux aspirations des françaisLe décalage entre réalité des logements, attentes et modes de vie se ressent à différents niveaux.C'est à l'âge où l'on a potentiellement besoin de plus de surface (quand la famille s'agrandit) qu'elle vient le plus à manquer. Les 34-44 ans disposent en moyenne de 37 m2 par personne, soit près de deux fois moins que les plus de 60 ans (64 m2 par personne en moyenne).Le manque d'espace dégrade la vie quotidienne : 4 familles sur 10 vivant en appartement ne disposent pas d'une chambre par enfant, alors même qu'il s'agit de l'espace jugé le plus indispensable par les Français (devant les espaces extérieurs !).L'exigüité ne facilite pas les bons réflexes environnementaux : la moitié des Français n'a pas assez de place dans sa cuisine pour un bac de tri sélectif. Au chapitre des équipements de base, près de la moitié des foyers avec des revenus modestes (45%) ne dispose pas d'assez de place dans sa cuisine pour y installer un lave-vaisselle.Comment installer des espaces de télétravail alors que l'on manque déjà de surface ? 4 Français sur 10 ne disposent pas de bureau ou de coin bureau ; une proportion analogue (34%) estime que son logement n'est pas adapté au télétravail.L'appartement est le plus souvent un choix par défaut : 58% des habitants d'appartement aimeraient habiter une maison.Les logements ne correspondent pas toujours à la réalité de leurs occupants, y compris à leur taille : alors que les Français grandissent (+7 cm en 60 ans), la hauteur sous plafond, elle, diminue (-27 cm en 60 ans pour les appartements). Le logement de demain devra intégrer cette nouvelle réalité anatomique.Optimiser et repenser l'aménagement intérieurA défaut de pouvoir pousser les murs, la question de l'aménagement intérieur des logements est plus cruciale que jamais. L'habitat de qualité doit être plus flexible, plus pratique, adapté au bien-vieillir. Telles sont les conditions pour un logement en phase avec l'évolution des attentes et des modes de vie des Français.En quête d'espace de vie, les Français plébiscitent la pièce à vivre. S'ils devaient choisir, les Français préféreraient augmenter la taille de leur pièce à vivre quitte à diminuer la surface de leur chambre principale, de leur salle de bain, de la chambre d'enfant ou même de leur cuisine.La pièce à vivre doit être ouverte sur la salle manger et la cuisine. Ils sont trois fois plus nombreux (56% de la population) à préférer le double séjour que la salle à manger distincte (19%).Les capacités de rangement constituent le premier motif d'insatisfaction à l'égard de l'agencement du logement, devant la superficie globale ! Cette sensibilité aux espaces de rangement interroge notamment sur la disparition des caves, qui ne font plus partie des standards actuels de la construction : 65% des logements de plus de dix ans disposent d'une cave ou d'un grenier contre 36% des logements de moins de 10 ans.Ajouter ou enlever une cloison, faire évoluer la destination d'une pièce, etc. : les logements les plus faciles à faire évoluer sont les mieux notés par leurs occupants. La modularité peut constituer une réponse au manque d'espace.Si deux tiers des plus de 60 ans (67%) souhaiteraient passer le reste de leur vie dans leur logement, ils sont la moitié à considérer que leur habitat n'est pas adapté à une personne âgée. Bien vieillir est aussi une question d'aménagement intérieur : il faut pouvoir adapter son logement aux contraintes de l'âge tout en restant chez soi.Le regard de Bertrand Delcambre, Président de l'Association QUALITEL« Si le manque d'espace est criant, on se heurte à une réalité physique et foncière : on ne peut pas « inventer » des mètres carrés supplémentaires. En revanche, cela nous invite à réfléchir à la conception des logements dans deux directions : un aménagement intérieur qui soit en phase avec les aspirations des Français (pièce à vivre ouverte, vastes espaces de rangement) et une réflexion sur ce qui doit être intégré dans le logement et ce qui doit être partagé avec la résidence ou le quartier (espaces de coworking, espaces extérieurs etc.) »Tous les résultats de l'étude sur www.qualitel.org/barometre-qualitel-2020
Il y a 4 ans et 256 jours

Quelles sont les régions françaises les plus intéressantes pour les locataires ?

« Est-il plus intéressant de louer une maison en Bretagne ou bien en Occitanie ? À superficies égales, quelle est la région la plus intéressante en termes de loyers ? C'est pour répondre à ce genre de questions que nous avons décidé d'analyser tous les loyers mensuels des appartements, des studios et des maisons de France et de les comparer aux moyennes des m² de ces biens immobiliers. Un nouveau visage de la location immobilière se dessine alors avec des données nouvelles très intéressantes qui permettent aux locataires de mieux s'orienter et peut-être de choisir une région en fonction de la surface désirée. »-Antoine Marck - Président / CEO de Lagenceblue.frQuelles sont les meilleures régions pour louer une maison ?La région qui propose le loyer mensuel le plus bas pour les maisons est les Pays-de-Loire avec 682 € mais avec une superficie très basse de 85 m² en moyenne. C'est donc en Centre-Val de Loire et en Bourgogne Franche-Comté que les locataires trouvent le meilleur ratio entre la superficie du logement et le coût moyen du loyer. Ces deux régions enregistrent respectivement 742 € et 693 € de loyer pour des superficies moyennes de 101 m² et 96 m². Quelles sont les meilleures régions pour louer un studio ?Avec un loyer mensuel moyen de 328 €, c'est la Bretagne qui arrive en tête des régions ayant les tarifs les plus bas pour la location d'un studio. Cependant, le ratio est encore une fois plus intéressant en Centre-Val de Loire (355 € pour 24 m²) et en Bourgogne Franche-Comté (358 € pour 24 m²).Quelles sont les meilleures régions pour louer un appartement ?4 régions se partagent le classement pour la location des appartements. En région Grand-Est, les appartements ont la plus importante moyenne en termes de surfaces avec 61 m² et un loyer moyen de 585 €. Trois autres régions enregistrent le même ratio : Bretagne (531 € pour 55 m²), la Bourgogne Franche-Comté (570 € pour 58 m²) et les Pays-de-Loire (551 € pour 53 m²).*Méthodologie : Baromètre et étude établis à partir des données de plus de 500.000 locataires et plus de 30.000 propriétaires, répartis sur l'ensemble du territoire français jusqu'en septembre 2020, et issues des bases de données des enseignes Locat'me et Lagenceblue.fr.
Il y a 4 ans et 256 jours

Réactivité, adaptabilité : Lorenove Grands Comptes signe la rénovation toute en bleue des menuiseries de l’école maternelle Dunois

Missionnée par la ville de Paris pour des chantiers d’été 2019 et 2020, Lorenove Grands Comptes signe la rénovation de 33 ensembles de menuiseries en chêne à recouvrement, d’une couleur bleue éclatante, pour l’école maternelle Dunois. Un chantier maintenu en priorité sur l’été 2020, malgré les contraintes liées au Covid. Prioriser le chantier et respecter les délais Au mois de septembre, les 137 personnes (enfants et personnel) de l’école maternelle Dunois, située au 71 rue Dunois Paris 13ème, ont pu faire une rentrée en toute quiétude et toute en bleue. Ce chantier de rénovation, confié aux équipes Lorenove Grands Comptes, a été réalisé en deux phases : une première phase à l’été 2019, portant sur 11 ensembles de menuiseries extérieures en chêne de couleur bleue (ral 5010) et sur la porte du Hall d’entrée. Puis, une seconde phase en 2020, portant sur 21 autres ensembles restants. Au regard du contexte lié au Covid, qui avait généré des suspensions ou l’arrêt de chantiers, les équipes se sont plus que jamais mobilisées pour dépasser les contraintes  supplémentaires et relever le défi. Le contexte présentait pourtant une déprogrammation de chantiers (suspendus ou décalés) ou encore des délais de fabrication étirés devant tenir compte de l’arrêt de certaines usines (jusqu’à 1 mois d’arrêt sur certains ateliers de production). Le contexte lié au Covid a impliqué des répercussions conséquentes quant à la réorganisation sur le plan industriel. Mais tout le Groupe, des ateliers de fabrication à la pose – chaque professionnel intégrant le respect des gestes barrières et toutes les consignes de santé délivrées par l’OPPBTP – s’est mobilisé pour prioriser les chantiers relatifs aux écoles, et permettre une rentrée des classes, dans les meilleures conditions. Réactifs, sachant s’adapter à l’environnement et capables de livrer aussi bien une réponse industrielle technique parfaite et sur mesure, qu’un travail de pose irréprochable dans les délais impartis, les professionnels de Lorenove Grands Comptes ont, non seulement respecté le planning établi, dans un délai court, mais également devancé la date de remise des travaux en achevant le chantier avant la fin du mois d’Août ! Ces menuiseries ont été choisies avec un profil d’ouvrant de 77 millimètres d’épaisseur, et un vitrage sécurité en verre feuilleté, répondant parfaitement aux normes des ERP, par sa résistance aux bris et à la chaleur Répondre aux contraintes par une haute performance et un geste sur mesure Intervenir en rénovation sur une école maternelle n’est jamais une évidence ; ce type de bâtiment s’inscrivant dans la catégorie des ERP (4è catégorie de type R avec activité de type N) soit, des établissements recevant du jeune public et soumis, pour la sécurité de chacun, à des contraintes réglementaires très strictes. Par ailleurs, le travail de rénovation comporte toujours la difficulté d’un rendu à l’identique : changer de gamme revient à remplacer l’existant par une menuiserie sur mesure, respectueuse des formes antérieures, des menuiseries s’adaptant parfaitement à la forme initiale, et intégrant les contraintes de l’environnement. Dans ce contexte, le remplacement des menuiseries extérieures (32 ensembles portes-fenêtres côté cour et la porte du Hall d’entrée donnant sur la rue Dunois) devait répondre à des formes aussi variées que : des losanges, des trapèzes, des triangles isocèles et des rectangles. Le choix s’est porté sur la gamme de menuiseries Tradition Trocadéro. Fabriquées à partir d’essence de chêne massif, matériau naturellement isolant et possédant une meilleure durabilité naturelle, ces menuiseries ont été choisies avec un profil d’ouvrant de 77 millimètres d’épaisseur, et un vitrage sécurité en verre feuilleté, répondant parfaitement aux normes des ERP, par sa résistance aux bris et à la chaleur. La gamme Tradition Trocadéro combine de hautes performances thermiques, acoustiques, ainsi qu’une excellente étanchéité tout en répondant aux normes de sécurité renforcée. Le remplacement des menuiseries extérieures devait répondre à des formes aussi variées que : des losanges, des trapèzes, des triangles isocèles et des rectangles. Les équipes ont installé des châssis composés en partie avec une porte, ou en partie avec fenêtre ou encore, en partie avec châssis à soufflet. Ces derniers (installés en complément des menuiseries existantes dans les autres pièces) présentent de nombreux avantages ; utiles pour les petites pièces, ils apportent luminosité ou aération légère sans prise de risque pour les enfants en bas-âge, ne pouvant ni chuter ni escalader. Par ailleurs, ces menuiseries comportent également des anti pince-doigts, accessoires de porte évitant que les enfants ne se coincent les doigts lorsque les portes se referment. Pour les fenêtres en étage, des limiteurs d’ouverture, ont offert une sécurité maximale. Enfin, en joignant l’esthétique à la technicité, la finition de la couleur bleu RAL 5010 a apporté modernité, gaieté, séduisant autant les petits que les grands, pouvant évoluer, au quotidien, dans un cadre couplant sérénité et évasion. Les menuiseries comportent également des anti pince-doigts, accessoires de porte évitant que les enfants ne se coincent les doigts lorsque les portes se referment. Pour les fenêtres en étage, des limiteurs d’ouverture, ont offert une sécurité maximale.   Avec ce chantier, Lorenove Grands Comptes livre, une nouvelle fois, une réponse technique parfaitement adaptée dans les délais impartis et ce, dans un contexte complexifié, permettant aux élèves de l’école Dunois de faire une rentrée toute en bleue !  
Il y a 4 ans et 256 jours

Tempête Alex : catastrophe dans les Alpes-Maritimes

Dans la nuit du 2 au 3 octobre 2020, la tempête Alex a ravagé les vallées de la Tinée, de la Roya et de la Vésubie, à l’est des Alpes-Maritimes. Les dégâts sont considérables et les victimes nombreuses. La reconstruction demandera du temps et beaucoup d'argent
Il y a 4 ans et 256 jours

Alterea renforce son expertise dans la rénovation

ACQUISITION. Alterea, expert en ingénierie dans l'énergie, annonce l'acquisition de Becia, entreprise générale spécialisée notamment dans la réhabilitation.
Il y a 4 ans et 256 jours

Le marché des bureaux n'est pas sorti de la crise

"On est déçus", admet auprès de l'AFP Virginie Houzé, du cabinet immobilier JLL. "On tablait sur le déblocage de certains projets à la rentrée et, malheureusement, ça n'a pas été le cas."Entre juillet et septembre, la superficie totale de bureaux loués en région parisienne a décliné de plus de moitié (-58% à 246.200 mètres carrés) par rapport à un an plus tôt, selon le bilan trimestriel Immostat, qui fait référence dans le secteur.Ce bilan, effectué par plusieurs gros spécialistes dont JLL, concerne seulement l'Ile-de-France, mais c'est là que se concentre l'essentiel du marché français.Ces chiffres montrent que le marché des bureaux ne s'est pas redressé dans les mois qui ont suivi la levée du confinement décrété au printemps contre le coronavirus.Celui-ci avait largement mis l'économie française à l'arrêt et, en conséquence, provoqué un effondrement sans précédent du marché des bureaux franciliens.Mais l'été et la rentrée n'ont pas permis de rattrapage, contrairement à ce qu'espéraient plusieurs spécialistes des bureaux et à ce qui s'est en partie produit dans le marché du logement."Il y a une conjonction de plusieurs éléments", explique Mme Houzé, évoquant d'abord les premiers effets de la crise économique avec, d'ores et déjà, la prise en compte par les entreprises des effets du confinement sur leurs comptes."Les entreprises ne sont pas incitées à se lancer dans des projets (immobiliers): on est plus sur des réductions de coûts et, malheureusement, des réductions d'effectifs" note-t-elle.La reprise de l'épidémie depuis la fin de l'été et les indicateurs associés "remettent une couche d'incertitude", ajoute-t-elle.De nombreuses entreprises renoncent donc à louer de nouveaux bureaux, d'autant que le confinement a aussi stimulé les réflexions sur le télétravail. La Défense délaisséeLes propriétaires font aussi face aux difficultés économiques des locataires qui sont déjà là, avec à la clé renégociations et départs.Cette situation a provoqué une nette hausse (+18% sur un an) des bureaux immédiatement disponibles, autrement dit vacants, en région parisienne.Mais à Paris même, les bureaux vides restent un phénomène très limité. C'est autour de la capitale qu'ils sont en train de s'accumuler, en particulier à La Défense où les projets de tours s'enchaînent depuis des années.Si les loyers continuent pour le moment à progresser, certains observateurs jugent inévitables qu'ils finissent par se replier dans le quartier d'affaires emblématique de la région parisienne.La chute de la demande, "alors même que l'offre vacante s'alourdit de façon substantielle, devrait logiquement impacter tôt ou tard les valeurs locatives de transactions", résume dans un communiqué le cabinet Cushman & Wakefield, également associé à Immostat.Un autre chiffre témoigne de la morosité du marché, celui de l'argent versé par les investisseurs pour devenir propriétaires de bureaux. Les 5,2 milliards d'euros investis au troisième trimestre dans l'immobilier d'entreprises - sur toute la France et non la seule région parisienne - représentent un recul de près de moitié (-49%) par rapport à un an plus tôt.Les observateurs relativisent cette chute après une année 2019 particulièrement active, et restent optimistes sur la capacité des bureaux à attirer des fonds."Il y a toujours beaucoup de capitaux, de richesses prêtes à être investies et les marchés de l'immobilier gardent une aura de valeur refuge pour les investisseurs", assure Mme Houzé. "Et ce d'autant plus qu'on a des marchés boursiers qui se caractérisent par des mouvements assez erratiques depuis le début de l'année."
Il y a 4 ans et 256 jours

Relance: "Nous avons été en partie entendus mais nous restons partagés", O. Salleron (FFB)

ENTRETIEN. A quelques jours des Etats généraux de la construction organisés par la Fédération française du bâtiment (FFB), son président, Olivier Salleron, répond aux questions de Batiactu : nouveaux barèmes de Ma prime rénov', inondations dans le Sud de la France, activité du secteur, emploi et apprentissage... Tour d'horizon de l'actualité.
Il y a 4 ans et 256 jours

Nouvelle direction “Enveloppe du bâtiment” au CSTB

Etienne Crépon, président du CSTB, a confié à Stéphane Hameury, 41 ans, la nouvelle direction opérationnelle “Enveloppe du bâtiment”. [©Raphaël Dautigny] Etienne Crépon, président du CSTB, a confié à Stéphane Hameury, 41 ans, la nouvelle direction opérationnelle “Enveloppe du bâtiment”. Cette dernière a pour enjeu de faire « travailler efficacement sur cette thématique. Et d’accompagner l’innovation dans ce domaine, en lien avec les enjeux d’intérêt général et au service des acteurs. Il était donc nécessaire de passer d’une approche produits et systèmes, à une approche globale de l’ouvrage », peut-on lire dans le communiqué de presse. Ses nouvelles fonctions Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Stéphane Hameury sera chargé de déployer et de renforcer une vision globale et intégrée de l’enveloppe. Et ce, comme premier marqueur de reconnaissance architecturale et performancielle des bâtiments. Il pilotera une équipe de 80 experts pluridisciplinaires, spécialistes des domaines et technologies de la couverture, toiture, façade… « Je suis fier de rejoindre la direction “Enveloppe du bâtiment”. Son haut niveau d’expertise, associé aux synergies internes au service de la pluridisciplinarité, seront des facteurs clefs de réussite dans le déploiement de la vision globale et intégrée de l’enveloppe que nous souhaitons mettre en œuvre au service de nos clients. Je voudrais fédérer toute l’équipe autour de cet objectif commun. Pour qu’ensemble nous fassions de cette nouvelle direction le trait d’union entre les métiers scientifiques et techniques du CSTB. Et ceux de l’architecture, du patrimoine et de l’urbanisme », explique Stéphane Hameury. Son parcours Après avoir obtenu son diplôme d’ingénieur généraliste au sein de l’Ecole nationale supérieure d’Arts et Métiers, Stéphane Hameury s’expatrie en Suède en 2002. Il complète son cursus par une thèse de doctorat sur la physique du bâtiment et les transferts hygrothermiques des enveloppes, à Stockholm. Il intègre le CSTB en 2007. Puis, en 2013, il prend la tête de la division “Expertise” de la direction “Sécurité – Structures – Feu”. Il en devient directeur adjoint en 2018, en charge du développement et des partenariats. Ceci, autour de l’approche performancielle des ouvrages et de la maîtrise des risques. En particulier, l’incendie.
Il y a 4 ans et 256 jours

Le développement durable, une priorité pour Cemex

Le développement durable est dans l’ADN de Cemex. [Cemex] Depuis 30 ans, en France, Cemex déploie de nombreuses initiatives en matière de RSE. En 2020, cette ambition, reconnue par des experts tiers, ne faiblit pas. Par ses pratiques, l’industriel s’engage ainsi à maîtriser davantage ses impacts sur l’environnement. « Le développement durable est dans l’ADN de Cemex »,peut-on lire dans le communiqué de presse. En effet, la certification environnementale ISO 14001 a été renouvelée pour 270 de ses sites. Celle d’Ecocert pour l’Engagement Biodiversité pour l’ensemble de ses activités aussi. Enfin, on note l’atteinte du niveau “exemplarité” de la Charte RSE de l’Unicem. Toujours plus d’engagements Par ses pratiques, Cemex s’engage ainsi à maîtriser davantage ses impacts sur l’environnement. [©Cemex] « Menés par Bureau Veritas, les derniers audits ont confirmé notre engagement durable en matière d’environnement. Parmi les points forts soulignés, on trouve la bonne anticipation des risques environnementaux. Et la qualité des outils de gestion dédiés au système de management environnemental. Enfin, la sensibilisation continue des équipes fonctionnelles et opérationnelles, la bonne tenue et la propreté des sites », indique Quentin Saivet, chargé de mission environnement de Cemex. Ainsi, malgré un contexte économique parfois difficile subi au cours des dernières décennies, Cemex n’a jamais remis en question ses engagements en faveur du développement durable. Bien au contraire. L’industriel renforce aujourd’hui ses ambitions au travers de sa raison d’être : « Satisfaire les besoins de ses clients et des communautés en granulats, bétons prêts à l’emploi, solutions constructives et services associés. Ceci, afin de construire un avenir meilleur, en considérant que l’exercice de ses activités lui confère des responsabilités sociétales et environnementales. En particulier, en matière d’économie circulaire et d’ancrage local ». Pour en savoir plus sur la politique de développement durable de Cemex, rendez-vous ici.
Il y a 4 ans et 256 jours

Délais de paiement : 19 Mds€ de manque à gagner pour les PME

Dans son dernier rapport, l’Observatoire des délais de paiement explique que la construction continue de souffrir des mauvais comportements de paiement. Une situation très pénalisante pour les entreprises : sans ces retards, PME et ETI bénéficieraient respectivement de 19 et 7 Mds € supplémentaires.
Il y a 4 ans et 256 jours

Le Mipim 2021 reporté de mars à juin

ÉVÉNEMENTS. Après avoir transformé l'édition 2020, Reed Midem, l'organisateur du Mipim, annonce déjà le report de l'édition 2021. Celle-ci devrait avoir lieu en juin.
Il y a 4 ans et 256 jours

Les pompes à chaleur continuent leur progression en 2020 malgré le COVID-19

L’association PAC&Clim Info, qui rassemble les industriels de la climatisation et des pompes à chaleur (Pac), a livré les chiffres du marché pour la première moitié de l’année 2020
Il y a 4 ans et 256 jours

« En cas de crise, les EPL assurent la continuité de service, sans se poser la question de la rentabilité », Jean-Marie Sermier, président de la Fédération des EPL

EPL Immobilières, transparence de l'économie mixte, perspectives de développement... A quelques jours de la fin de son mandant, Jean-Marie Sermier, président de la Fédération des entreprises publiques locales (EPL), dresse le bilan de son mandat et des enjeux à venir pour le prochain président.
Il y a 4 ans et 256 jours

Rencontre avec João Lisboa, chef du département pré-vente et dimensionnement chez Bosch Thermotechnics

Bosch Comercial y Industrial, de la division Thermotechnics du groupe Bosch, propose des équipements de climatisation de puissance moyenne et élevée pour les grandes installations, offrant des solutions en matière de chauffage, d’eau chaude sanitaire, d’énergie solaire thermique, de climatisation et de chaleur pour les processus industriels. Dans le cadre de la diffusion de leurs derniers produits au format BIM, les équipes BIM&CO ont interviewé João Lisboa, chef du département pré-vente et dimensionnement.   BIM&CO : Quelle a été la raison de votre passage au BIM ? Joao Lisboa : En tant qu’entreprise leader dans le secteur, nous nous adaptons aux besoins du marché tout en innovant et en fournissant des solutions aux professionnels pour rationaliser et améliorer leur travail. Après des décennies de baisse de productivité, le secteur de la construction est en pleine mutation. Grâce à la méthodologie BIM, les architectes, les urbanistes, les consultants, les intégrateurs et les entrepreneurs peuvent partager plus facilement les données, consulter les spécifications de conception à n’importe quelle étape d’un projet et collaborer plus efficacement. En ce sens, le BIM a un impact du début de la conception de tout travail architectural à la démolition d’une infrastructure. En fait, tout est enregistré dans la maquette numérique de la construction telle que conçue.   BIM&CO : Quel a été votre cheminement lors du déploiement de ce projet ? Joao Lisboa: Dans un premier temps, nous avons fait le point en interne sur tous les fichiers et informations existantes, tels que les géométries 2D, 3D et CAO. Sur la base de cette vérification et en étant le mieux informé possible sur les produits les plus utilisés par les designers et les architectes, nous avons établi une liste de produits à modéliser, avec toutes les informations nécessaires.   BIM&CO : Quels obstacles avez-vous rencontrés lors de votre passage au BIM ? Joao Lisboa : Chez Bosch, nous sommes fermement attachés à l’innovation et, par conséquent, à l’utilisation de la maquette numérique. Aujourd’hui, nous pouvons assurer que, grâce à l’engagement de l’entreprise, sa mise en œuvre a été relativement facile. Bosch peut désormais gérer toutes les données techniques et les catalogues de produits et ainsi garantir à nos clients des informations officielles sur tous les produits qui sont déjà intégrés sur bimandco.com.   BIM&CO : Comment avez-vous choisi votre plateforme de diffusion de données et d’objets BIM ? Joao Lisboa: Les avantages que BIM&CO nous offre actuellement sont à la hauteur des besoins d’un marché de plus en plus concurrentiel, et c’est pourquoi nous avons décidé de commencer à travailler de cette façon. BIM&CO nous permet de travailler le contenu dans un environnement collaboratif, à la fois avec les clients et les fournisseurs puisque les données avec lesquelles nous travaillons sur l’interface deviennent instantanément disponibles pour tous les logiciels BIM du marché. De plus, et étant donné que nous sommes une entreprise ayant une grande expérience dans le secteur, choisir de collaborer avec BIM & CO pour la gestion de notre bibliothèque BIM s’est avéré être été l’option la plus raisonnable. L’expérience est très positive et nous sommes convaincus qu’au fur et à mesure que nous avancerons, nous trouverons de nouvelles synergies qui nous permettront de croître en affaires, tout en promouvant le travail de nos collaborateurs et en améliorant le quotidien de tous les professionnels impliqués dans les processus architecturaux.   BIM&CO: Quels avantages représente la diffusion de vos objets BIM par le biais d’une bibliothèque ? Joao Lisboa : Pour Bosch, la nouvelle intégration des produits sur bimandco.com permet d’obtenir des informations fondamentales sur le comportement du marché, puisque l’outil d’analyse des téléchargements nous permet d’étudier en profondeur ce dont les clients ont besoin et ce qu’ils ont pu rechercher à un moment précis. L’intérêt du secteur de la construction pour le BIM, et plus particulièrement pour Bosch Building Technologies, est plus que compréhensible car cette méthodologie pourrait permettre de mettre fin au non-respect des délais et des budgets ainsi qu’au manque de transparence qui, dans de nombreux cas, nuit à des projets complexes et de grande envergure. En outre, il est important de souligner que le BIM permet d’intégrer des produits dans un projet selon les normes en vigueur des différents marchés ou pays, tout en permettant des simulations réalistes grâce à la 3D – ce qui permet de se projeter quant au résultat final du projet. Le BIM nous permet également de proposer une gamme de solutions de CVC qui couvre tous les besoins des bâtiments commerciaux et industriels, en fournissant à l’ingénieur concepteur tous les objets BIM à partir d’une seule bibliothèque. BIM&CO: Qu’attendez-vous de ce passage au BIM et comment allez-vous en profiter ? Joao Lisboa: L’intégration de nos produits sur bimandco.com est une nouvelle étape dans le processus de numérisation du Groupe Bosch, un processus qui est une conséquence des exigences du secteur. L’unification du mode de travail entre toutes les parties concernées représente un nouveau pas en avant dans l’efficacité et l’optimisation des projets dans lesquels le Groupe Bosch est immergé dans le monde entier. Alors que l’utilisation du BIM se consolide et commence à transformer le secteur de la construction et à accroître sa transparence, l’objectif de Bosch est de travailler avec l’industrie pour concrétiser ces avantages. Au cours des prochains mois, nous nous attendons à ce que la stratégie BIM de Bosch continue de croître pour tenir compte de toutes les phases et de toutes les parties impliquées dans un projet de construction. En outre, compte tenu de la situation dans laquelle nous nous trouvons suite à l’extension de la pandémie COVID 19, qui rend plus difficile l’échange d’informations, il devient essentiel pour les professionnels de pouvoir accéder à toutes les informations nécessaires via le web, et de pouvoir travailler en même temps depuis leur domicile de manière collaborative via le cloud. Découvrez maintenant les derniers objets BIM de Bosch : RT Condens 5000 W – BASIC RT Condens 5000 W – TOP Estación solar de bombeo AGS
Il y a 4 ans et 256 jours

L’entreprise LCA Construction Bois, une nouvelle fois récompensée

LCA Construction Bois, entreprise vendéenne spécialisée dans la construction du gros œuvre bois et de l’enveloppe extérieure, a obtenu le Prix Régional de la Construction Bois pour le projet « A l’ombre de la Canopée » qui regroupe la construction de deux équipements pour la Ville de Bretignolles-sur-Mer (85) : une maison de santé et une maison des associations. Cette réalisation aura nécessité à LCA 395 heures de travail en bureau d’études, 320 heures de préfabrication dans les ateliers et 1 443 heures de mise en œuvre. « A l’ombre de la Canopée » a été retenu Lauréat dans la catégorie « Travailler-Accueillir ». C’est la 4ème fois qu’une réalisation de LCA est récompensée par le Prix Régional de la Construction Bois.
Il y a 4 ans et 256 jours

Ami Bois préfabrique les caissons de toiture

Ami Bois, constructeur de maisons en bois, mène depuis plusieurs années des projets de recherche et développement, notamment afin de favoriser l’industrialisation du secteur. L’entreprise préfabrique désormais en usine les caissons de toiture, ainsi que les modules de ses terrasses, au même titre que les murs et planchers de ses maisons. Sur un marché dont les principaux freins sont davantage d’ordre administratif (délais d’obtention de prêts, permis de construire, évolutions de la législation, etc.) que conjoncturels, Ami Bois contribue à l’industrialisation de la filière pour pallier aux retards pris lors des mises en chantiers. Aujourd’hui, Ami Bois livre ses maisons dans un délai de 5 mois environ. Plusieurs projets de recherche et développement sont encore en cours, pour le réduire encore de plusieurs semaines ce délai.
Il y a 4 ans et 256 jours

Vinci poursuit sa route en Australie

CONTRAT. Déjà attributaire de deux marchés autoroutiers en juin 2020, le groupe Vinci, via la filiale locale de Vinci Construction Seymour Whyte, vient d'en conclure deux autres en Australie.
Il y a 4 ans et 256 jours

Le marché des bureaux s'installe dans la crise

CONJONCTURE. La crise s'installe sur le marché des bureaux, qui a connu un été difficile en pleine incertitude face au coronavirus. Les locations s'effondrent, les bureaux vides s'accumulent autour de Paris, tandis que les investissements chutent dans le secteur.
Il y a 4 ans et 256 jours

Les opérateurs immobiliers du village des médias pour les JO-Paris 2024 désignés

En septembre, les élus de Seine-Saint-Denis s'étaient fortement mobilisés autour de ce projet destiné à profiter aux habitants de ce département déshérité, craignant en effet qu'il ne soit raboté du fait de mesures d'économies rendues nécessaires pour l'organisation des JO.Finalement, au terme de discussions entre l'Etat et les collectivités locales, il a été décidé que ce village, situé sur les communes de Dugny, La Courneuve et Le Bourget, et comprendra à terme 1.300 logements ainsi que des équipements publics (gymnase, crèche et école) et des commerces, soit construit en deux étapes.Il y aura d'abord 700 logements puis 600 après les JO à horizon 2025, avec au total 20% de logements sociaux , représentant 90.000 mètres carrés, sur lesquels se grefferont 1.000 mètres carrés de commerces et services.Pour cette première phase, l'Etat donne un coup de pouce financier, via le plan de relance, pour la construction d'un gymnase, avaient indiqué la semaine dernière à l'AFP des élus du département.Une passerelle piétons-vélos doit aussi être construite autour de l'autoroute A1 et cette première phase comprend également "l'aménagement du terrain des Essences à La Courneuve et l'aménagement du Parc des Sports du Bourget", a précisé la Solideo dans un communiqué.Cette première partie sera prête à accueillir la presse du monde entier à l'été 2024 pour les 15 jours d'épreuves olympiques. Des travaux de dépollution ont déjà commencé.Le lot A, B et C ("Aire des vents") a donc été attribué au groupement Sogeprom, Demathieu & Bard Immobilier, au détriment du groupement Bouygues Immobilier, Kaufman&Broad et CDC Habitat. Le lot D (Plateau) a été attribué à Ametis, Ideom et Gaïa Promotion.La Solideo a bien précisé et clarifié le fait que ces opérateurs avaient été désignés pour les deux étapes."Cité-jardin"Le choix de ce comité de sélection, réuni mercredi et présidé par Michel Cadot, le délégué interministériel aux Jeux Olympiques, sera validé au conseil d'administration de la Solideo du 13 octobre.La Solideo, qui a un budget d'environ 3 milliards d'euros, dont 1,4 milliard d'euros d'argent public, est chargée des constructions et aménagements pérennes faits dans le cadre des JO.Le dépôt des permis de construire se fera "au 1er trimestre 2021" et les chantiers pourront démarrer au 3e trimestre 2021, pour une mise à disposition au 1er trimestre 2024.A terme, la Solideo maintient son ambition de faire de cette opération d'aménagement du territoire, une "cité-jardin" du XXIe siècle, en lien avec le parc Georges Valbon, sur 70 hectares.Le prochain conseil d'administration de la Solideo se penchera aussi sur quelques petites évolutions comme la construction d'un mur d'escalade pérenne en Seine-Saint-Denis, qui n'était pas prévu au départ.L'autre grande opération d'aménagement du territoire liés aux JO, le village des athlètes, qui se trouve à cheval sur trois communes (Saint-Ouen, Saint-Denis, Ile-Saint-Denis) est prise en charge depuis un an par la Caisse des dépôts et sa filiale Icade, d'un côté, et les groupes immobiliers Nexity et Eiffage, de l'autre.
Il y a 4 ans et 256 jours

Une nouvelle gamme nippone pour aménager les espaces de travail

myO (anciennement Myopenspace) lance son nouvel univers dédié aux... Cet article Une nouvelle gamme nippone pour aménager les espaces de travail est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 256 jours

Investir en SCPI : comprendre le fonctionnement

Améliorez votre situation financière en investissant en SCPI. Cette solution va vous permettre d’acheter et de gérer un patrimoine immobilier plus facilement et moins risqué. Sachez néanmoins que ni le rendement dans cette institution, ni le capital ne sont garantis. Plusieurs critères, fonctionnements et conditions sont dans ce cas à considérer avant de vous y investir.  Savez-vous réellement ce qu’est une SCPI ? Découvrez dans ce guide comment elle fonctionne et comment bénéficier des avantages qu’elle offre. C’est quoi une SCPI au juste ? Une société civile de placement immobilier ou également appelée SCPI est un support de placement de fonds collectif. Ces fonds sont apportés par des investisseurs particuliers qui veulent se constituer un patrimoine immobilier. Cela leur permet d’acheter et de gérer un patrimoine immobilier avec un taux de risque plutôt faible. On peut distinguer 2 familles de SCPI. D’un autre côté, il y a les SCPI à capital fixe. Et d’un autre, on peut voir les SCPI à capital variable. Dans le deuxième cas, les épargnants peuvent acquérir ou céder ses parts quand ils le désirent, contrairement à la SCPI à capital fixe. Sachez également qu’il existe plusieurs familles de SCPI qui sont distinguées selon le type de bien dont elles disposent, leurs zones d’investissement et surtout selon leur régime fiscal. Il y a par exemple : les SCPI de rendement, de valorisation et de défiscalisation. Comment les SCPI fonctionnent-elles ? Lorsque vous investissez en SCPI, c’est comme si vous achetez un bien immobilier. La différence, c’est que vous détenez cet immobilier sous forme de part mais pas sous forme d’immobilier proprement dit. Ainsi, les investisseurs vont recevoir des parts sociales en contrepartie de leur investissement. C’est la société qui va gérer l’investissement. Pour ce faire, elle va investir dans un immobilier de location. Elle se chargera de la recherche de locataires, des travaux et des nécessités fiscaux. Le but des SCPI : investir dans l’acquisition d’un patrimoine immobilier dédié à la location et en assurer la gestion. Puis, les investisseurs vont recevoir leurs loyers tous les trois mois par exemple. Les principaux avantages d’une SCPI sont : une mutualisation des risques, la possibilité de se constituer une épargne, de se constituer un complément de revenu stable et à long terme, de diversifier son patrimoine, de préparer sa retraite et tant d’autres encore. Comment faire pour investir en SCPI ? Vous avez plusieurs alternatives quant à l’investissement en SCPI. Vous pouvez par exemple investir en SCPI en direct en apportant des fonds propres. Cette solution est idéale pour toute personne, particulier ou professionnelle. Il est également possible d’acheter des parts en SCPI via un emprunt. Plus précisément, via un emprunt bancaire. Cette solution est surtout conseillée afin de profiter l’effet « levier du crédit ». Cela permet ainsi d’agrandir progressivement son patrimoine immobilier. On peut aussi investir en SCPI grâce à une assurance-vie. Dans ce cas, il faut bien choisir l’organisme en question car ce ne sont pas toutes les assurances qui proposent cette solution. À part ces possibilités, vous pouvez aussi souscrire un part en SCPI en démembrement. Ce dernier est cependant plus compliqué que les autres. Pour vous faciliter la tâche, sachez qu’il vous est actuellement possible de souscrire des parts de SCPI en ligne.  
Il y a 4 ans et 256 jours

En Corée du Sud, Snøhetta imagine une mairie qui ne laisse pas indifférent

PROJET. Les équipes de l'agence d'architecture Snøhetta ont imaginé un bâtiment tout en courbes et en ouvertures pour la future mairie de Cheongju, ville de 800.000 habitants située en Corée du Sud.
Il y a 4 ans et 256 jours

Mano Mano se rapproche un peu plus des pros du Bâtiment avec son appli

E-COMMERCE. La marketplace d'articles de bricolage et de jardinage, Mano Mano, s'est lancé à l'assaut des professionnels du bâtiment en 2019. Elle accélère aujourd'hui son développement avec la création d'une application dédiée, symbole de ses ambitions sur ce marché. Lorraine Valsasina, directrice de l'activité BtoB, nous en dit plus.
Il y a 4 ans et 256 jours

Le Conseil de Paris suspend l'agrandissement de la cimenterie Lafarge de Bercy et lance une concertation

Partis divisés, socialistes, élus du groupe Générations, communistes et écologistes ont fini par trouver un accord concernant le site de l'usine, située dans le sud de la capitale, après d'âpres négociations.Le sujet était sensible après la diffusion à la rentrée d'images de l'usine Lafarge, située dans le quartier de Bercy (sud-est de la capitale), déversant dans la Seine un mélange de "particules de ciment, de liquides de traitement et des microfibres de plastique".Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "suspicion de pollution de la Seine par une entreprise de travaux publics".Lafarge affirme que l'écoulement est le fait "d'un accident exceptionnel provoqué par un acte malveillant".Dans son vote, le Conseil de Paris a de nouveau assuré qu'"en cas de préjudice écologique constitué", il "se portera partie civile pour réclamer une réparation en nature à hauteur du préjudice subi".En vertu des accords de Paris sur le climat, et pour respecter ses engagements, la Ville a également voté la création d'"une mission d'évaluation de ses besoins en béton et matériaux de construction à l'horizon 2040".En face, fait inédit, l'Insoumise Danielle Simonnet et les élus de la droite ont chacun voté les voeux de l'autre.Fer de lance dans ce combat, Mme Simonnet n'en démord pas: "Ce projet doit être abandonné ou à défaut (...) faire l'objet d'une révision approfondie" avec à la clé, "un nouveau permis de construire"."La Ville s'était engagée à réduire drastiquement la production et le recours au béton", a rappelé de son côté l'élue du XVe arrondissement, Agnès Evren (LR). "Où sont donc passées les belles promesses (d'utiliser) les matériaux bio-sourcés pour les nouvelles constructions ?", a-t-elle demandé.La droite a demandé que "la Ville s'engage à ce que la concertation avec les élus et habitants ne soient pas une mascarade" et "que les futurs aménagements n'excèdent pas le cadre actuel des installations".Le "travail de concertation (avec) les riverains, ports de Paris, les élus et Lafarge" abordera "toutes les questions et se poursuivra au moins jusqu'en décembre", a assuré l'adjointe en charge de la Seine, Célia Blauel.
Il y a 4 ans et 256 jours

Le Conseil de Paris suspend l'agrandissement de la centrale à béton Lafarge de Mirabeau et lance une concertation

Partis divisés, socialistes, élus du groupe Générations, communistes et écologistes ont fini par trouver un accord concernant le site de l'usine, située dans le sud de la capitale, après d'âpres négociations.Le sujet était sensible après la diffusion à la rentrée d'images de l'usine Lafarge, située dans le quartier de Bercy (sud-est de la capitale), déversant dans la Seine un mélange de "particules de ciment, de liquides de traitement et des microfibres de plastique".Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "suspicion de pollution de la Seine par une entreprise de travaux publics".Lafarge affirme que l'écoulement est le fait "d'un accident exceptionnel provoqué par un acte malveillant".Dans son vote, le Conseil de Paris a de nouveau assuré qu'"en cas de préjudice écologique constitué", il "se portera partie civile pour réclamer une réparation en nature à hauteur du préjudice subi".En vertu des accords de Paris sur le climat, et pour respecter ses engagements, la Ville a également voté la création d'"une mission d'évaluation de ses besoins en béton et matériaux de construction à l'horizon 2040".En face, fait inédit, l'Insoumise Danielle Simonnet et les élus de la droite ont chacun voté les voeux de l'autre.Fer de lance dans ce combat, Mme Simonnet n'en démord pas: "Ce projet doit être abandonné ou à défaut (...) faire l'objet d'une révision approfondie" avec à la clé, "un nouveau permis de construire"."La Ville s'était engagée à réduire drastiquement la production et le recours au béton", a rappelé de son côté l'élue du XVe arrondissement, Agnès Evren (LR). "Où sont donc passées les belles promesses (d'utiliser) les matériaux bio-sourcés pour les nouvelles constructions ?", a-t-elle demandé.La droite a demandé que "la Ville s'engage à ce que la concertation avec les élus et habitants ne soient pas une mascarade" et "que les futurs aménagements n'excèdent pas le cadre actuel des installations".Le "travail de concertation (avec) les riverains, ports de Paris, les élus et Lafarge" abordera "toutes les questions et se poursuivra au moins jusqu'en décembre", a assuré l'adjointe en charge de la Seine, Célia Blauel.
Il y a 4 ans et 257 jours

La Ville de Paris suspend les travaux d'agrandissement d'une centrale à béton Lafarge

ENVIRONNEMENT. Le conseil municipal de Paris a voté ce mercredi 7 octobre au soir une suspension des travaux d'agrandissement du site de centrale à béton Lafarge située dans le quartier de Bercy et suspectée d'avoir provoqué une pollution de la Seine début septembre. La municipalité a également pris d'autres décisions concernant plus largement les matériaux de construction.
Il y a 4 ans et 257 jours

Pourquoi faire un audit de sa toiture ?

Très tendance de nos jours, les artisans couvreurs proposent désormais un audit de toiture aux propriétaires et aux simples particuliers. Il s’agit d’une prestation à part entière avant l’entretien, la rénovation ou le remplacement de votre couverture de maison. Et elle a une importance capitale pour assurer justement la réussite de vos prochains travaux. Un diagnostic de l’état de votre toiture de maison Dit simplement, l’audit de toiture est un diagnostic général de l’état de votre couverture maison.  Pour ce faire, les artisans utilisent différents appareils pour vérifier à la fois l’étanchéité de votre toit, sa performance énergétique, la bonne santé de la charpente, etc. Il y a un certain nombre de détails à prendre en compte notamment pour l’établissement de l’audit de toiture. On peut citer par exemple l’âge de votre bien, les différents matériaux utilisés pour sa fabrication, la durée de vie possible du toit, les éléments défectueux à vue d’œil de votre toiture, mais aussi les résultats des différentes analyses des échantillons prélevés sur votre toiture, etc. Une meilleure gestion de vos travaux Notamment si vous avez un petit budget pour la rénovation de votre couverture maison, passer par cette évaluation est de mise. Et pour cause, cela vous permettra de mieux gérer vos travaux, de trouver les priorités à avoir et les chantiers qui peuvent encore attendre. Si par exemple, la charpente est encore en bon état, vous pouvez vous contenter de remplacer les tuiles et de refaire l’isolation. Attention toutefois, l’audit de toiture est, comme susmentionné, une prestation à part entière. À ce titre, elle est sujette à un devis distinct. Ce dernier varie en fonction de l’importance de l’espace à couvrir et des couvreurs. Prenez donc toujours le temps de comparer les différentes propositions du marché avant de souscrire. Un devis plus intéressant pour vos travaux Non seulement l’audit de toiture peut vous permettre de mieux gérer vos travaux, mais également, de réduire le devis de vos travaux de rénovation. En effet, selon les résultats de votre diagnostic, vous pouvez garder certains éléments de votre toiture qui sont encore en bon état. Ce qui devrait avoir un impact positif sur les dépenses à prévoir. Par exemple, rien ne sert de changer les tuiles qui sont encore étanches et qui peuvent encore durer plusieurs années. Il suffit de remplacer celles qui sont en mauvais état. De même, cet audit peut vous aider à trouver la source d’un problème d’infiltration d’air ou d’eau. Ce qui aidera à cibler au mieux les travaux. De quoi impacter sur la rapidité de réalisation des travaux. À savoir toutefois que la durée d’un audit de toiture peut varier en fonction de la surface à couvrir. L’audit de toiture est une estimation générale de la bonne santé de votre toit. Il concerne aussi bien l’étanchéité, l’isolation phonique, l’isolation acoustique, l’humidité, etc. C’est utile aussi bien quand vous comptez aménager l’espace sous toit ou simplement faire des travaux de rénovation dans votre bien.
Il y a 4 ans et 257 jours

Professionnels : comment stocker son matériel de chantier ?

Lorsque vous entreprenez des travaux, plusieurs paramètres sont à prendre en compte : Que ce soit le choix des outils, la durée du chantier, le coût des travaux ou encore le stockage du matériel. Ce dernier aspect est particulièrement important, car laisser les outils en extérieur à la fin de la journée expose à plusieurs risques, du vol à la dégradation criminelle en passant par les intempéries… Il convient donc de trouver un lieu sûr pour conserver votre matériel de chantier. Tour d’horizon des vraies et des fausses bonnes idées Pour stocker votre matériel de chantier, plusieurs possibilités s’offrent à vous. Voici les principales solutions que nous avons retenu : Stocker chez soi ; Utiliser sa cave ou son garage ; Entreposer dans un véhicule utilitaire ; Louer ou acheter un garde-meubles. Or, tous les lieux ne sont pas adaptés à toutes les situations. En effet, laisser ses outils chez soi n’est possible que pour ceux qui n’ont pas besoin d’une forte capacité de stockage. Cette solution, surtout adaptée pour les particuliers ou pour les petits artisans, reste très encombrante. Certains ont la chance de disposer d’une cave ou d’un garage. Même si cette option résout, dans une certaine mesure, la question de l’encombrement, elle n’échappe pas à celle de l’humidité et de l’accessibilité. Ensuite, un utilitaire apparaît de prime abord comme la solution idéale du point de vue de l’accessibilité. Cependant, les problèmes de sécurité, d’humidité et de capacité de stockage n’en font pas la meilleure option, tant pour les entreprises que pour les artisans. Enfin, la location d’un garde-meubles semble représenter la solution la plus sûre : Les garde-meubles ou les centres de self stockage  sont souvent plus sécurisés. Ces établissements sont adaptés au stockage de ce type de matériel et protègent des intempéries. Ils sont également plus pratiques, puisque la location laisse le choix du lieu et de la durée de stockage. Louer un garde-meubles : les bonnes questions à se poser Ainsi, de la Picardie à l’Île-de-France, la location d’un garde-meubles semble représenter une bonne solution pour stocker votre matériel de stockage. Il faudra néanmoins, pour éviter les écueils du marché, prendre en compte plusieurs paramètres au moment de faire votre choix : Les conditions de stockage ; La sécurité ; L’accessibilité et la localisation. Vous devez étudier un à un ces trois principaux paramètres pour vous aider à choisir le centre de stockage qui correspondra le mieux à vos attentes. Les conditions de stockage Les conditions de stockage correspondent à un paramètre de stockage important à prendre en considération . En effet, votre matériel de chantier est sensible à son environnement : par exemple, l’humidité expose le carton et le bois au risque de pourriture et les outils à la rouille. Assurez-vous donc de choisir un garde-meubles qui soit à la fois frais et sec pour éviter toute infiltration ou inondation. La sécurité Il s’agit d’un paramètre essentiel pour choisir votre espace de stockage. Différents systèmes peuvent être proposés pour assurer la sécurité des objets entreposés. Qu’une simple clé vous suffise ou que vous préfériez un gardien et un digicode, choisissez selon vos besoins et votre budget un garde-meubles ou un self stockage qui vous permettra de dormir sur vos deux oreilles. L’accessibilité et la localisation Le choix d’un garde-meubles doit également prendre en compte son emplacement par rapport à la localisation du chantier. En effet, louer à proximité du lieu des travaux permet de réduire la longueur du trajet effectué et de diminuer ainsi les risques de casse du matériel ou de dégradation du véhicule. Par ailleurs, la plupart des garde-meubles présentent l’avantage de se situer presque systématiquement au rez-de-chaussée et d’être faciles d’accès. Pour finir, pensez également à choisir une localisation proche de voies dans lesquelles votre véhicule pourra s’engager sans difficulté.
Il y a 4 ans et 257 jours

Délais de paiements : 19 milliards d'euros à la clé pour les petites entreprises

TRÉSORERIE. Bien que le délai moyen des retards de paiements soit tombé sous la barre des 60 jours, la situation ne s'améliore plus depuis quelques temps. Si le phénomène disparaissait, les PME pourraient pourtant espérer encaisser 19 milliards d'euros. Dans le bâtiment, les difficultés se cristallisent dans la relation entre les artisans et leurs clients particuliers.
Il y a 4 ans et 257 jours

Le marché français du logement a redémarré pendant l'été

"Dans cette période économique incertaine, l'attrait pour l'immobilier ne se dément pas, tout au contraire", se félicitait début octobre, dans un communiqué, Laurent Vimont, président du réseau Century 21.Comme tous les trimestres, à l'instar de ses concurrents, ce réseau - deuxième en France après Orpi - a publié un bilan de son activité. Ces chiffres sont très parcellaires, mais donnent une première idée du marché avant les indicateurs plus fiables des notaires, fin novembre.L'été s'annonçait crucial pour le marché du logement, qui avait vu son activité s'effondrer pendant le strict confinement décrété au printemps face au virus.Ces derniers mois poussent les professionnels à un optimisme prudent: les ventes de logements sont bien reparties, même si elles ne permettront probablement pas de retrouver cette année le niveau de 2019.Le marché sort, certes, de plusieurs années de rythme soutenu, avec plus d'un million de ventes par an l'an dernier, sur fond notamment de conditions de crédit très favorables chez les banques.Désormais, "aux projets qui n'avaient pu aboutir durant le confinement, (se sont) ajoutés ceux qui avaient émergé durant les huit semaines où les Français avaient été immobilisés chez eux", a résumé M. Vimont.Chez Century 21, au troisième trimestre, les ventes de maisons ont ainsi progressé de 19,8% par rapport à un an plus tôt et celles d'appartements de 3,7%.Chez son concurrent Laforêt, troisième réseau français, qui comptabilise les quatre mois entre juin et septembre, l'ensemble des ventes a aussi progressé, de 19,5% par rapport à un an plus tôt.Plus de discernementQuant aux prix, la crise a pour le moment infléchi la tendance générale à la hausse de ces dernières années, mais elle ne l'a pas inversée.Au troisième trimestre, Century 21 et Laforêt évoquent une hausse générale de leurs prix de vente. L'Adresse, un plus petit réseau, signe même une progression de plus de 5%, toujours sur un an."Les grandes métropoles sont moins sensibles à la variation des prix", détaille, dans un communiqué, Yann Jéhanno, président de Laforêt. "Elles concentrent les facteurs d'attractivité, face aux zones rurales plus sensibles à l'économie de proximité.""Pour le moment, avec une offre qui reste historiquement basse et une demande qui se maintient, voire se renforce, les prix se tiennent", conclut-il.Mais les professionnels s'accordent à évoquer une situation particulière, celle de Paris. Plus que toute autre ville française, la capitale sort d'années de flambée des prix, désormais bien installés à plus de 10.000 euros le mètre carré.Or les réseaux évoquent un net ralentissement ces derniers mois même si, là encore, il n'est pas question de parler encore d'une baisse des prix. Ils remarquent, en particulier, que les acheteurs sont moins prêts à se précipiter sur n'importe quel logement parisien."Le comportement des acquéreurs a changé: les biens disposant d'une belle superficie et dont le budget d'acquisition est conséquent restent désormais sur le marché s'ils ne sont pas impeccables et ne disposant pas d'espace vert", rapporte, dans un communiqué, Brice Cardi, à la tête de l'Adresse.Il estime même qu'à terme, les prix des logements parisiens pourraient reculer, face à une autre tendance: une désaffection des investisseurs étrangers.
Il y a 4 ans et 257 jours

La reprise a atteint un palier, selon le gouverneur de la Banque de France

Question : Comment voyez-vous l'évolution récente de la reprise économique ?Réponse : "Globalement, ce qu'on voit c'est un palier. L'activité économique avait plongé de 32% avec ce même baromètre qui s'est avéré très fiable fin mars. C'est comme si on avait descendu 32 marches, on en a remonté 27 jusqu'à fin août et plutôt plus vite que prévu.Là, l'économie française se situe sur un palier, puisque fin septembre est au même niveau que fin août".Mais "il y a une certaine résistance globalement de l'économie française aux nouvelles mesures sanitaires. Cette enquête ne nous conduit pas à réviser la prévision de récession à un peu moins de 9% sur l'année 2020 que nous avions faite il y a un mois".Q: L'économie est-elle frappée uniformément ?R: "Une des choses frappantes, ce sont les différences sectorielles, et cela va être plus important encore avec le renforcement des mesures sanitaires.Il y a aujourd'hui environ 90% de l'économie française qui est assez proche du retour à la normale, avec un niveau d'activité supérieur ou égal à 90% de l'avant-Covid, grâce à la forte reprise depuis mai. Ces secteurs ne sont normalement pas affectés par les nouvelles restrictions sanitaires.A l'inverse, il y a un peu plus de 10% de l'économie qui continue à souffrir et peut être davantage touché par ces restrictions. Quatre secteurs sont concernés: les arts, spectacles et activités récréatives, la fabrication de matériel de transports (aéronautique et automobile), l'hébergement et restauration, et les transports de personnes. Ce sont ces secteurs-là qu'il faut aider en priorité.Les autres secteurs relèvent plus des dispositions générales du plan de relance, dont le soutien à l'investissement et à la transition écologique.Il faut évidemment tout faire pour combattre l'épidémie, mais avec des mesures qui restent sectorielles et géographiques, en évitant un confinement général.L'effet 'mécanique' de telles mesures ciblées, sectorielles qui peuvent être efficaces sur le plan sanitaire, devrait rester assez limité sur le plan économique. Nous ne pouvons pas dire aujourd'hui s'il y aura éventuellement un effet additionnel sur la confiance, plus général, chez les ménages et les entrepreneurs".Q: Comment les entreprises voient-elles l'avenir immédiat ?R: "Quand on les interroge sur le mois d'octobre, les entreprises sont globalement prudentes: elles attendent encore une stabilité de leur activité mais font état d'incertitudes plus fortes, notamment dans les secteurs les plus touchés".
Il y a 4 ans et 257 jours

L'éolien, un vivier d'emploi encore trop dépendant des politiques publiques

"Travailler sur ces grandes structures en hauteur, c'est assez impressionnant," s'enthousiasme Titouan Durand, 20 ans, qui se forme à la maintenance éolienne à l'IUT de Tarbes (Occitanie). "Il y a de la mécanique, un petit peu d'hydraulique, de l'électrique... C'est très général, ça permet de voir un petit peu tout. " En alternance à Amiens (Hauts-de-France) chez Siemens Gamesa, il se dit rassuré par "les engagements pris par les entreprises et l'État" en matière d'énergies renouvelables. "On est à peu près certain qu'on continuera à trouver du travail" estime-t-il. "Ça s'est fait tout seul", abonde Claudio Rumolino, ancien chef d'entreprise reconverti "par conviction" dans l'éolien à 50 ans, aujourd'hui responsable des investissements participatifs chez Vallourec.Quelque 2.000 emplois éoliens supplémentaires ont été créés en 2019, répartis sur plus de 900 sociétés. En 2020, le secteur représentait 20.000 emplois directs et indirects, une augmentation de plus de 25% par rapport à 2016, selon France Énergie Éolienne, qui souligne que "la filière est le premier employeur dans le secteur des énergies renouvelables à l'échelle nationale.""D'une part on continue à investir dans l'éolien, d'autre part il y a des emplois de maintenance, qui correspondent à la quantité d'éoliennes en fonctionnement" détaille Philippe Quirion, directeur de recherches dans l'économie de l'énergie au CNRS."Dans la maintenance, il y a davantage d'emplois dans l'éolien que dans le solaire par exemple, car il y a plus de pièces mobiles et donc de l'usure", explique le chercheur, ajoutant que la construction des composants éoliens est essentiellement localisée en France, contrairement aux équipements photovoltaïques.Subventions indispensables"Entre 2014 et 2019 on a eu environs 1,4 GW supplémentaires par an installés, soit entre 40 et 50 nouveaux parcs par an, précise Lilian Carpene, économiste réseaux et énergies à l'ADEME. Ce qui explique que l'ensemble des marchés et des emplois éoliens aient augmenté".La programmation pluriannuelle de l'énergie prévoit le doublement des capacités d'éolien terrestre installées d'ici à 2028. "Si on prend cet objectif et qu'on fait une simulation du nombre d'emplois créés, on arrive à un peu plus de 18.000 emplois directs, soit un peu plus de 20%", estime M. Carpene.Les politiques publiques soutiennent la filière, explique-t-il, via des tarifs d'achat ou des compléments de rémunération. Au moment où de plus en plus de parcs deviennent rentables, ces soutiens restent "indispensables" pour la majorité du secteur, afin de susciter l'investissement et valoriser ces moyens de production par rapport aux moyens conventionnels."On aura une situation de stabilité de l'emploi s'il y a une stabilité de la politique", souligne le chercheur Philippe Quirion, membre de l'association d'énergéticiens militants négaWatt.Potentiel de reconversionSelon les études menées par l'association mais aussi par l'ADEME, la création d'emplois dans les énergies renouvelables pourra "compenser" les emplois supprimés dans les énergies fossiles."Ce qui ne veut pas dire que quelqu'un qui perd son emploi dans une raffinerie va pouvoir être embauché dans l'éolien", souligne M. Quirion. "Mais il y a des cas où les transitions sont faciles. Par exemple sur l'éolien maritime flottant, la technologie est largement la même que pour faire des plateformes pétrolières off-shore. Il y a des potentiels de reconversion."Selon les derniers chiffres de France Énergie Éolienne (FEE), qui regroupe 90% des acteurs du secteur en France, les emplois se répartissent à 31% dans les études et développement, 23% dans la fabrication des composants, 27% dans l'ingénierie et construction et 19% dans l'exploitation et maintenance.Les formations se sont elles aussi adaptées pour former les professionnels. On dénombre 220 établissements qui proposent des formations dans l'éolien, dont 70 dans l'enseignement supérieur, réparties dans 25 villes sur tout le territoire.Toutefois, "la filière peine à recruter des techniciens pour l'exploitation et la maintenance des parcs", selon FEE. "Ces emplois sont pourtant hautement qualifiés, non délocalisables et s'inscrivent dans la durée, soit a minima vingt à vingt-cinq ans", ajoute la fédération.
Il y a 4 ans et 257 jours

Le président du dispositif zéro chômeur longue durée insiste sur le "qualitatif"

Question: Quelle est la philosophie des TZCLD ?Réponse: "Il y a trois principes: personne n'est inemployable, le travail ne manque pas - avec des activités peu ou pas développées alors qu'il y a des besoins - et l'argent non plus. Il y a un coût du chômage de longue durée et en face, il y a un investissement qui va permettre d'éviter ce coût. 50% des activités développées vont dans la transition écologique (recyclage, maraîchage), cela génère des cotisations sociales, des impôts, des recettes pour l'Etat."Q: Que répondez vous à ceux qui critiquent un coût financier plus important que prévu ?R: "On est sans doute un des projets qui a été le plus évalué ces dernières années. On n'a aucune difficulté à dire que ce n'est pas parfait parce qu'on est dans une expérimentation. Il y a un double défi: chercher l'exhaustivité pour trouver une solution pour les personnes en chômage de longue durée et en même temps développer un modèle économique. Il faut regarder sur la durée: les premières années, vous avez plus de dépenses dans l'investissement. Les entreprises à but d'emploi (créées dans les TZCLD, ndlr) n'ont que deux années d'activité entière. Il faut aussi prendre en compte tous les éléments qualitatifs: une personne qui est sortie de cinq ans de chômage va mieux, elle se soigne, a une reconnaissance dans le territoire. Là où il y a l'expérimentation, beaucoup plus de personnes s'investissent dans le bénévolat, les associations caritatives nous disent qu'il y a une baisse des colis alimentaires distribués. On ne peut pas analyser un projet du XXIe siècle avec une loupe des années 70."Q: Quel a été l'impact de la pandémie du Covid-19 dans les TZCLD ?R: "On a pu maintenir beaucoup d'activités qui répondaient à de vrais besoins sociaux. On a été les bras solidaires des territoires. On continue de développer les activités. Les personnes qui ont connu le chômage de longue durée ont fait preuve de beaucoup de résilience. Elles ont cherché des solutions pour ne pas connaître ce qu'elles ont vécu dans le passé."
Il y a 4 ans et 257 jours

Travaux publics : pas de miracle durant l'été

CONJONCTURE. Alors que le secteur comptait sur un rebond de son activité pendant l'été, pour compenser une partie de ce qui a été perdu pendant le confinement, le mois d'août a finalement été très calme pour les TP.
Il y a 4 ans et 257 jours

Vinci achète un groupe canadien et confirme un gros contrat au Kenya

"Vinci Énergies", filiale du groupe français, "poursuit son développement en Amérique du Nord avec l'acquisition de la société canadienne Transelec", a annoncé Vinci dans un communiqué.Il ne donne pas de montant, mais précise que Transelec dégage environ 190 millions d'euros de revenus annuels, une goutte d'eau par rapport aux dizaines de milliards d'euros de chiffre d'affaires de Vinci.Le canadien est un spécialiste de la construction et de l'entretien des réseaux de télécommunication. Il est également actif dans l'éclairage public et les feux de signalisation.En 2018, Vinci avait déjà acheté un spécialiste des réseaux d'énergie et de télécommunication sur le continent américain, PrimeLine. Il était, lui, basé aux Etats-Unis.Également à l'international, le géant français a par ailleurs confirmé jeudi un contrat au Kenya pour construire puis exploiter une autoroute.Cette opération, déjà annoncée la veille lors d'une rencontre entre les présidents français Emmanuel Macron et kenyan Uhuru Kenyatta, réunit les deux grands piliers de l'activité de Vinci, les chantiers et les concessions de transports.Elle représente un "projet d'environ 1,3 milliard d'euros dans le cadre d'un partenariat public-privé sur 30 ans", a détaillé Vinci.
Il y a 4 ans et 257 jours

Nomination d'Olivier de Longeaux au poste de DG de K•LINE

En 2019, le chiffre d'affaires de K•LINE a atteint 359 M€ - celui du Groupe LIEBOT 600 M€ - et son périmètre d'action a considérablement évolué : multi-marchés, 6 sites de production, 1 600 salariés, une présence européenne… Une situation qui nécessite la présence d'un Directeur Général dédié pour le 1er fabricant de fenêtres en France, tous matériaux confondus.Directeur Général de K•LINE depuis 2003 (à cette époque K•LINE facturait 55 M€), Bruno Léger est devenu Directeur Général du Groupe LIEBOT en 2008. Il va maintenant dédier tout son temps, avec l'équipe des Directeurs Généraux sous sa responsabilité, au développement du Groupe LIEBOT et de ses filiales, françaises et internationales.Olivier de Longeaux, 47 ans, père de 4 enfants, arrivera chez K•LINE le 1er octobre et entrera en fonction en janvier 2021. Ingénieur Agronome de formation, MBA (USA), il a fait toute sa carrière au sein du Groupe SAINT GOBAIN : d'abord pendant 17 ans dans les Abrasifs (principalement basé aux USA), puis dans la Céramique. Depuis 18 mois, il avait rejoint le Groupe LAPEYRE en tant que Directeur Général de LAPEYRE INDUSTRIES.Olivier de Longeaux aura pour mission d'accompagner la croissance de K•LINE tout en conservant l'approche familiale, humaine et innovante qui la caractérise.
Il y a 4 ans et 257 jours

24 nouveaux coloris d’ITE inspirés des paysages et bâtis français

À l’occasion du Salon Architect@Work, MYRAL a dévoilé 24 nouveaux coloris de sa collection les “Intemporels”. L’industriel souhaite renouveler durablement le positionnement de sa solution d’ITE. Pour élaborer des coloris équilibrés et pertinents, en cohérence avec les attentes du marché, il s’est fait accompagner dans toute la phase de conception par NACARAT, agence spécialisée dans le design couleur. Forte de son expertise spécifique sur l’identité et le patrimoine coloriel des marques et des territoires, l’agence a mis au coeur de sa stratégie deux objectifs centraux : créer une gamme innovante à partir des tendances et des pratiques contemporaines de la couleur et du matériau de façade, et emprunter aux couleurs locales pour que cette nouvelle gamme puisse facilement s’intégrer dans le paysage urbain. Les 24 nouveaux coloris s’organisent autour de 5 univers, chacun représentant un extrait de voyage, du Nord au Sud et d’Ouest en Est du territoire français. Dans chaque univers, le portrait de l’une des 24 couleurs illustre l’air du temps et les tendances 2020-2022. Les nouveaux coloris se déclinent en 5 aspects et matérialités qui réinventent la couleur : Clin veiné bois, Plissé, Clin lisse, Lisse et Structuré.
Il y a 4 ans et 257 jours

Stéphane Hameury nommé Directeur opérationnel de la nouvelle Direction « Enveloppe du bâtiment » du CSTB

Etienne Crépon, Président du CSTB, confie à Stéphane Hameury, 41 ans, la nouvelle Direction opérationnelle « Enveloppe du Bâtiment ». Ingénieur diplômé de l’École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers, entré au CSTB en 2007, il sera chargé de déployer et renforcer une vision globale et intégrée de l’enveloppe, premier marqueur de reconnaissance architecturale et performancielle des bâtiments. Il pilotera une équipe de 80 experts pluridisciplinaires, spécialistes des domaines et technologies de la couverture, toiture, façade, isolation, bardage et étanchéité. « Je suis fier de rejoindre la Direction « Enveloppe du bâtiment ». Son haut niveau d’expertise, associé aux synergies internes au service de la pluridisciplinarité, seront des facteurs-clés de réussite dans le déploiement de la vision globale et intégrée de l’enveloppe que nous souhaitons mettre en œuvre au service de nos clients. Je souhaite fédérer toute l’équipe autour de cet objectif commun, pour qu’ensemble nous fassions de cette nouvelle Direction le trait d’union entre les métiers scientifiques et techniques du CSTB et ceux de l’architecture, du patrimoine et de l’urbanisme. » Stéphane Hameury – Directeur opérationnel « Enveloppe du bâtiment » – CSTB Photo : Raphael Dautigny
Il y a 4 ans et 257 jours

Raffinerie de Grandpuits : une centaine de salariés manifestent devant le siège de Total

Parmi les manifestants, une soixantaine de salariés de la raffinerie étaient présents devant le siège du groupe français à La Défense, rejoints notamment par des salariés des raffineries de la Mède (Bouches-du-Rhône) et de Carling (Moselle), ainsi que par des membres de l'association les Amis de la Terre et Julien Bayou, secrétaire national d'EELV."On veut mettre la pression" sur ce Comité social et économique central (CSEC), toujours en cours mardi après-midi, car "Total voudrait dissimuler cette catastrophe sociale d'ampleur, en mettant en avant son projet de reconversion", a expliqué Adrien Cornet, délégué CGT à la raffinerie de Grandpuits.Cette mobilisation n'a pas eu "d'impact sur le fonctionnement de la raffinerie", a indiqué mardi le groupe à l'AFP, sans faire de commentaire sur "le processus en cours" de reconversion du site.En septembre, Total a annoncé que "fin 2023, il n'y (aurait) plus une goutte de pétrole sur ce site", assurant que cette reconversion n'entraînerait aucun licenciement mais des départs à la retraite anticipée et des mobilités internes vers d'autres sites.D'un budget de 500 millions d'euros, le redéploiement doit s'articuler autour de la production de biocarburants et de bioplastiques, et de l'exploitation de deux centrales solaires photovoltaïques, selon le géant français.250 postes sur les 400 que compte aujourd'hui la plateforme de Grandpuits et le dépôt associé de Gargenville (Yvelines) seront maintenus, avait par ailleurs affirmé le groupe dans un communiqué.Mais "si on compte l'ensemble des postes Total, dont les contractuels absents de l'organigramme, nous sommes à 209 suppressions d'emplois chez Total", sans compter "500 emplois sous-traitants" qui disparaîtraient également, indique pour sa part la CGT.
Il y a 4 ans et 257 jours

Loi climat : les députés européens demandent une réduction des émissions de 60% en 2030

La délégation de la gauche sociale et écologique se félicite de ce nouvel objectif fixé à -60% d'émissions de CO2 pour 2030 par rapport à 1990, qui donnera à l'UE les moyens de réaliser l'objectif de l'accord de Paris visant à limiter le réchauffement de la planète à 1,5 °C.« La législation sur le climat offre à l'Union européenne une chance historique d'amorcer sa transition écologique. Il s'agit de faire de l'Europe le premier continent climatiquement neutre à l'horizon 2050 » a réagi Éric Andrieu, vice-Président socialiste du groupe S&D et membre de la commission en charge de l'environnement. « En augmentant nos ambitions climatiques, avec un objectif véritablement contraignant, nous venons de faire un pas important dans ce sens. Il est en effet vital d'instaurer des objectifs intermédiaires contraignants, nationaux et européens, ainsi qu'un mécanisme précis et transparent de suivi et d'évaluation des progrès » a ajouté l'eurodéputé.Pour les membres de la délégation, « ce vote est un signal fort envoyé à la Commission européenne, alors même que nous avons déclaré l'urgence climatique le 28 novembre 2019. Maintenant, l'heure est à la cohérence entre ces déclarations, ces objectifs et la question des moyens ».
Il y a 4 ans et 257 jours

La filière électrique doit créer 200 000 emplois d’ici à 2030

Combien d'emplois seront nécessaires à la filière électrique pour réussir la transition énergétique ? Une étude fait le point et révèle que 30 % des métiers sont déjà en tension.
Il y a 4 ans et 257 jours

L'AFCE accueille un nouveau délégué général

CARNET. C'est à l'occasion de sa réunion plénière du 6 octobre 2020 que l'Alliance froid climat environnement (AFCE) a annoncé le départ de son délégué général, François Heyndrickx. Il sera remplacé par Bernard Philippe, membre de longue date de l'organisation professionnelle.
Il y a 4 ans et 258 jours

Renovation énergétique : UFC-Que Choisir doute de l'efficacité du plan de relance

Le plan de relance fait l'impasse sur la consommation responsable, selon UFC-Que Choisir qui constate que l'effort public en faveur de la rénovation énergétique ne sera pas plus élevé qu'en 2018.
Il y a 4 ans et 258 jours

Bouygues va vendre 4,8% du capital d'Alstom

Bouygues va céder 4,8% du capital d'Alstom, via une transaction de 480 millions d'euros au terme de laquelle il ne détiendra plus que 9,7% du constructeur ferroviaire français.