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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87981 résultats)
Il y a 4 ans et 256 jours

Savoir pérenniser l’existant

Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine Tel un doudou multi-raccommodé, le bâti existant peut être pérennisé via un entretien régulier et les réparations nécessaires. [©ACPresse] Le doudou – ours, couverture et autres peluches au doux pelage – est un indispensable du quotidien de beaucoup d’enfants… Et parfois même de certains adultes ! Son odeur, sa forme, chaque petite partie de cet “être” détiennent une valeur inestimable. S’il lui arrive malheur, impossible de le remplacer. Et bien souvent, de multiples raccommodages sont indispensables pour lui permettre de traverser les âges. Il n’y a pas que les doudous qui marquent nos esprits. Des lieux, des ouvrages ou les bâtiments qui nous hébergent, que l’on visite ou se rencontre, façonnent nos souvenirs. Comme nos fidèles peluches, nous aimerions qu’ils soient éternels. D’une part, pour continuer à nous donner toutes sortes d’émotions. D’autre part, pour les léguer aux futures générations. Cette dernière condition est plus que jamais d’actualité. Surtout avec l’urgence climatique et les nouvelles tendances de consommation. Qu’allons-nous transmettre ? Lorsque le doudou est abîmé, faut-il le réparer ou le remplacer ? Lorsqu’un bâtiment s’essouffle, faut-il le détruire ou le restaurer ? Nous n’allons pas faire le match “rénovation versus construction neuve”, car les deux sont indispensables de nos jours…  Dans les pages qui suivent, nous mettons simplement en avant ceux qui œuvrent pour la pérennité des ouvrages d’art, des maisons ou de toutes autres réalisations. Tous les corps de métiers s’intéressent à la question. Qu’ils soient spécialisés dans l’ingénierie, dans les travaux, la recherche ou la maîtrise d’œuvre… Ils ont le même objectif. Comme les parents qui recousent, toujours avec amour, les doudous fatigués, ces professionnels s’assurent de figer dans le temps des savoir-faire, mais aussi, par la force des choses, des émotions…  Mini-sommaire Strres/IMGC : Un inventaire des ponts à la Prévert Freyssinet renforce une buse par Bfup projetéLhotellier 2D : « Nous ne voulons pas être des démolisseurs lambda »Résidence des Pierres Levées : Le règne minéral Bouyges Travaux Publics adopte les lames orphelines Lerm/Diades : Des savoir-faire complémentaires Sigma Béton : Analyser les caractéristiques du béton a posteriori Cemex : Et le btonnier se fait rénovateur Groupe RGD : Au-delà du produit MC-Chimie : « Nous proposons tous types de systèmes de réparation »Cermix : Le challenger Saretec : Les experts Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 256 jours

La richesse et la diversité de l’architecture marocaine avec les YMAA

YMAA (Young Moroccan Architecture Awards) est une compétition qui vise à mettre en valeur les réalisations architecturales ...En savoir plus Cet article La richesse et la diversité de l’architecture marocaine avec les YMAA est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 257 jours

L’application waggon.io à l’assaut du marché pro de l’architecture

Cédrick Gombaut et Edson Pereira lancent waggon.io, une application B2B qui facilite la... Cet article L’application waggon.io à l’assaut du marché pro de l’architecture est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 256 jours

Saretec : Les experts

Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine Joël Kuborne, expert responsabilité civile et construction chez Saretec. [©Saretec] Quel est le rôle d’un expert construction ? L’expert construction intervient de façon générale à la demande des compagnies d’assurance suite à la déclaration de sinistre d’un assuré. Il lui incombe de déterminer l’origine des désordres, de qualifier leur gravité. Mais aussi, de proposer des principes “réparatoires” et de définir un partage de responsabilité. Il doit aussi donner son avis sur la mobilisation des garanties obligatoires – décennale ou dommages-ouvrage – ou facultatives – responsabilité civile, bon fonctionnement, dommages intermédiaires… – du contrat d’assurance. Nos principaux clients sont les assureurs. Mais nous pouvons intervenir pour les entreprises, afin de gérer leurs sinistres sous franchise.  Quels sont les champs d’action de l’expert et sur quels types de projets êtes-vous appelé ?  Nous participons aux expertises amiables et judiciaires – civiles ou administratives – et à des réunions de médiation : protection juridique ou défense-recours. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 256 jours

Les énergéticiens doivent faire face à un marché toujours plus contraint

BAROMÈTRE. Devant composer avec une baisse de la consommation d'électricité, une concurrence toujours plus forte et des prix de marché en chute, les énergéticiens sont tout de même parvenus à stabiliser leur chiffre d'affaires et même à engranger des profits satisfaisants en 2019. Mais tous leurs indicateurs financiers ne sont pas au vert et le marché toujours plus exigeant appelle à la prudence.
Il y a 4 ans et 256 jours

Cermix : Le challenger

Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine Vanessa Crenn, directrice du marché mortiers spéciaux chez Cermix. [©DR] A la base, Cermix est issu de la scission des activités de Desvres (groupe Koramic), un groupe historique spécialisé dans le monde du carrelage. La nouvelle entité voit le jour en 2015, avec deux familles de produits : des solutions de pose de carrelage et des mortiers spéciaux. Cette dernière gamme est plutôt orientée vers le gros œuvre et les travaux publics. « Ce n’est pas le même public – marché, typologie client… – que notre activité historique, mais c’est le même savoir-faire », explique Vanessa Crenn, nouvellement arrivée à la direction du marché mortiers spéciaux. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 256 jours

Le ministère de la Transition écologique et l'Ademe lancent une nouvelle campagne sur les économies d'énergie

Les enjeux de la maîtrise de l’énergie dans les logements En France, le secteur du bâtiment est le plus fort consommateur d’énergie : les bâtiments sont responsables d’environ 45% de nos consommations d’énergie et de plus du quart de nos émissions de gaz à effet de serre, dont environ 2/3 sont issus du secteur résidentiel.Indissociable de la rénovation énergétique des bâtiments, la maîtrise des consommations d’énergie au sein des foyers est un des principaux leviers pour réduire l’impact du secteur résidentiel.Se préoccuper de sa consommation d’énergie, que ce soit pour le chauffage, l’eau-chaude ou l’électricité, est le premier pas vers la maîtrise de ses consommations. Piloter plus généralement ses consommations d’énergie chez soi, via des outils et des applications par exemple, permet de faire baisser sa facture d’énergie tout en conservant le confort du logement. La nouvelle campagne de sensibilisation FAIRE TOUT POUR MA RENOV’, accompagnée par l’ensemble des acteurs de la filière (gestionnaires de réseaux, fournisseurs d’énergie, etc…), met ainsi l’accent sur deux pratiques à adopter par les ménages afin de mieux maîtriser leurs consommations d’énergie : Installer et utiliser des équipements de programmation par intermittence des systèmes de chauffage (thermostats performants).Suivre et Analyser ses dépenses d’énergie grâce aux outils proposés par les fournisseurs d’énergie ou autres solutions de pilotage Enfin, il s’agira également de sensibiliser les ménages à leur consommation d’électricité et aux éco-gestes.Le thermostat, une solution pour mieux gérer ses dépenses de chauffageLe chauffage est le premier poste de consommation d'énergie. Il représente 66% des consommations énergétiques d'un foyer. Une utilisation maitrisée de son système de chauffage est un premier pas pour réduire ses factures.Une des solutions pour mieux maîtriser sa consommation de chauffage est l'installation et l'utilisation d'un thermostat. Cet appareil, facile à installer et à utiliser, offre la possibilité de contrôler son chauffage et ainsi de faire jusqu'à 15 % d'économie sur sa facture, tout en maintenant son logement à une température agréable. Et en plus, on peut bénéficier du « Coup de pouce thermostat avec régulation performante », une nouvelle prime entrée en vigueur depuis le 25 juin 2020 (Cf. fiche ci-jointe).En effet, un thermostat programmable avec une régulation performante permet de choisir la température dans le logement, par exemple en fonction de l'absence ou de la présence des occupants : baisser la température quand personne n'est dans le logement et la faire remonter avant son retour pour un confort optimal, ce qui est plus économique que si le logement est chauffé en permanence à la même température. Analyser ses dépenses énergétiques pour devenir acteur de sa consommationEn regardant de plus près ses factures ou en utilisant les outils mis à disposition par les fournisseurs d'énergie, les gestionnaires de réseaux publics d'énergie et les fabricants d'équipements de pilotage énergétique des logements, on peut visualiser la quantité d'énergie consommée mais surtout les économies qui peuvent être réalisées.La plupart des fournisseurs d'énergie (électricité, gaz) et les gestionnaires de réseaux proposent des applications de suivi de la consommation. Il est également possible de suivre ses consommations via ses comptes client, sa facture ou son thermostat.Ce suivi permet de repérer les pics de consommation, les jours où la consommation est plus basse ou plutôt haute. En comprenant quels sont les postes qui consomment le plus (chauffage, électroménager, etc.) et en mesurant les effets des gestes adoptés d'un jour ou d'un mois sur l'autre, chaque foyer peut identifier des pistes d'actions.Pour en savoir plus :Guide « Le nouveau compteur d'électricité »Guide « Le nouveau compteur de gaz »Infographie « Dépenses d'énergie : comment garder le contrôle ? » Le réseau des conseillers FAIRE, pour un accompagnement sur-mesurePour aller plus loin en matière d'économies d'énergie, les particuliers peuvent prendre contact avec un conseiller du réseau FAIRE, dans l'un des 350 espaces conseil présents sur l'ensemble du territoire.Leur rôle auprès des particuliers est :D'apporter des informations concrètes et pratiques sur la réalisation de travaux de rénovation énergétique et plus généralement sur la consommation d'énergie d'un logement ;De conseiller les particuliers dans leurs démarches afin de déterminer les travaux à réaliser en priorité́ et d'identifier les meilleures solutions pour faire baisser la consommation énergétique du logement ;De faire connaitre les aides financières auxquelles ils ont droit.Les conseillers FAIRE délivrent des conseils gratuits, neutres et adaptés à chaque situation pour guider les ménagés dans leurs travaux de rénovation.Les Français peuvent également se tourner vers le site FAIRE.gouv.fr, où ils trouveront des informations sur les travaux à privilégier, un simulateur des aides financières dont il est possible de bénéficier pour la rénovation énergétique de son logement, ainsi qu'un annuaire recensant les professionnels RGE à proximité.« Avec cette nouvelle prime « Coup de pouce Thermostat » de 150 €, nous offrons la possibilité à tous les ménages de mieux maîtriser leurs consommations d'énergie, et ainsi de faire baisser leur facture. Cette prime vient compléter le dispositif d'aides financières déjà en place, que nous renforçons encore aujourd'hui grâce aux mesures prises dans le cadre du plan France Relance. L'ensemble de ces mesures doit nous permettre d'atteindre les objectifs ambitieux que nous nous sommes fixés en matière de rénovation énergétique des bâtiments ».-Emmanuelle Wargon, ministre du logement « Cette nouvelle campagne FAIRE doit permettre de prendre conscience que chacun de nous peut, à son échelle et avec des gestes simples, devenir acteur de ses consommations d'énergie. C'est grâce à la mobilisation de tous, et accompagnés par les conseillers FAIRE présents sur l'ensemble du territoire, que nous pourrons diminuer notre facture d'énergie tout en améliorant le confort de nos logements ».-Arnaud Leroy, président directeur général de l'ADEME
Il y a 4 ans et 256 jours

Les artisans et entreprises de proximité peuvent compter sur la confiance des Français pour la relance

Cette année, l'U2P, qui représente 3,2 millions d'entreprises françaises, ouvre les portes de ses Rencontres annuelles dans un contexte inédit : alors que la crise sanitaire a frappé de plein fouet les secteurs de proximité, et avec, l'économie du pays, les Français affichent leur soutien et leur attachement sans faille aux artisans, commerces et services de proximité. Ces derniers, temporairement soulagés par les mesures d'aide d'urgence, joueront un rôle déterminant dans la relance économique du pays… A la condition du bon déploiement du Plan de relance sur le territoire.Des secteurs clés durement touchés par la criseLa crise sanitaire a lourdement pesé sur l'activité des entreprises de proximité représentées par l'U2P. Entre mars et août 2020, près d'une entreprise sur deux a dû stopper son activité, de quelques jours à plusieurs semaines, dont 594.000 entreprises fermées par décision administrative, selon la nouvelle étude U2P/ISM(1).Ainsi, le chiffre d'affaires de l'ensemble des entreprises de proximité est en recul de 28% au second trimestre 2020 par rapport à 2019. Un choc sans précédent quand on sait que la crise financière fin 2008 avait été suivie d'une baisse de chiffre d'affaires de 4 à 6% dans ces secteurs.Cet affaissement touche presque tous les secteurs. Les traiteurs et les HCR (hôtels, cafés et restaurants) sont les plus durement touchés : on observe un recul du chiffre d'affaires de 88% dans ce secteur au second trimestre 2020 par rapport à 2019. Les artisans du TP et du bâtiment s'en sortent mieux mais accusent tout de même une baisse respectivement de 28% et 23%.Dans ce contexte singulier, les Français renouvellent leur confiance et leur attachement aux entreprises de proximité. Selon une étude Yougov commandée par l'U2P(2), 1 Français sur 3 déclare se rendre plus fréquemment dans les entreprises de proximité de son quartier depuis le printemps, en particulier les CSP+ avec enfants, habitant dans les grandes villes. Les raisons les plus souvent évoquées sont, pour près de la moitié d'entre eux, la volonté de soutenir ces entreprises en période de crise, et pour l'autre moitié les nouvelles habitudes prises pendant le confinement.Les entreprises de proximité sont plus que jamais au cœur du quotidien des Français : 58% déclarent les fréquenter une à plusieurs fois par semaine, 17% plusieurs fois par mois et 7% les fréquentent tous les jours. Seuls 13% des Français s'y rendent moins d'une fois par mois.Cette relation quotidienne resserre les liens : 81% des Français se déclarent attachés aux entreprises de proximité qu'ils fréquentent.Parmi les principaux avantages à consommer près de chez soi, les Français citent avant tout le soutien à l'emploi et aux entreprises locales (60%), le maintien de l'activité en centre-ville et de la vie de quartier (54%), et la commodité d'avoir accès à ces commerces, services et professions libérales près de chez soi (50%). A noter également que pour 35% des personnes interrogées, l'argument environnemental prime. Par nature, les entreprises de proximité contribuent au développement des productions et des marchés locaux, et réduisent tous les impacts liés aux transports des personnes et des marchandises.« Cette étude souligne l'attachement et la confiance que les Français portent aux entreprises de proximité. Cœur battant de l'économie du pays, nos entreprises sont résilientes, et seront un point d'appui indispensable pour relancer la croissance. Si nous en sommes convaincus, les Français ne s'y trompent pas non plus : ils sont 83% à estimer que les entreprises de proximité devront jouer un rôle clé dans la relance de l'économie française. »-Laurent Munerot, Président de l'U2PDes aides d'urgence plébiscitées par des entreprises en première lignePour tenter d'endiguer des pertes considérables, 55% des entreprises de proximité ont sollicité au moins une mesure d'aide entre mars et août 2020. Ces dispositifs ont fait l'objet d'un travail quotidien de l'U2P auprès des pouvoirs publics, pour que les mesures gouvernementales soutiennent le plus efficacement et le plus concrètement possible toutes les entreprises de proximité, en prenant en compte les spécificités des métiers.Si le taux de mobilisation des aides d'urgence a varié selon les secteurs, l'hôtellerie-restauration a été le plus en demande de soutien : 92% des entreprises du secteur ont sollicité un dispositif d'aide, contre seulement 19% des entreprises artisanales de l'alimentation.Destiné exclusivement aux TPE, le Fonds de solidarité (volet 1) a été le principal dispositif mobilisé (47%), suivi par le report des charges (43%) et le Prêt garanti par l'État (18%). 335.000 prêts garantis par l'État ont en effet été accordés aux entreprises de proximité entre mars et août 2020, représentant 58% du total des dossiers et 25% du montant attribué.« Pour palier la baisse d'activité inédite de ces derniers mois, les mesures de soutien sollicitées par l'U2P, ont permis de limiter et parfois même d'éviter le tsunami économique et social qui se profilait à l'horizon. C'est pourquoi j'invite le gouvernement à maintenir ces dispositifs pour les entreprises les plus fragilisées. »-Laurent Munerot, Président de l'U2PEnfin, les entreprises de proximité ont massivement eu recours à l'activité partielle : 65 % des établissements employeurs y ont fait appel au plus fort de la crise (soit 572.000 entreprises), permettant ainsi l'indemnisation de plus d'un salarié sur deux travaillant dans les entreprises de proximité (soit 2 millions de salariés au total).En juin 2020, seules 147.500 entreprises y avaient encore recours, représentant 609.000 salariés, principalement issus du secteur de l'hôtellerie-restauration (47%). Cette baisse significative montre qu'un rebond de l'activité s'est amorcé au début de l'été.France Relance : attention au déploiement territorial !« Si nous avons certains signes annonciateurs d'une reprise de l'activité, à l'inverse on peut craindre que les 15% d'entreprises déjà en situation financière critique avant la crise sanitaire ne surmontent pas la crise sur le long terme. En ce sens, le plan de relance en faveur du commerce de proximité, de l'artisanat et des professions libérales, sera déterminant. Nous veillerons à ce qu'il soit déployé jusqu'aux plus petites entreprises et au plus profond des territoires »-Laurent Munerot, Président de l'U2P(1) Etude ISM / U2P 2020(2) Sondage réalisé en ligne en septembre 2020 par l'institut YouGov pour l'U2P auprès d'un échantillon de 1.000 personnes représentatif de la population française.
Il y a 4 ans et 256 jours

Résidence des Pierres Levées : Le règne minéral

Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine La résidence des Pierres Levées a été rénovée de façon à conserver l’esprit minéral des bâtiments originels. [©Novbéton] Dans les Hauts-de-Seine, Meudon (92) est un ancien domaine royal. Le territoire a depuis évolué au sein de nombreux espaces arborés et surplombés d’une forêt qui a gardé ses tracés d’origine. En plus de son patrimoine historique, la ville a aussi été un lieu propice à la culture. Ainsi, l’écrivain François Rabelais en fut le curé, presque 20 ans après avoir écrit “Gargantua”.Auguste Rodin y a habité et sculpté dans sa Villa des Brillants. Et installé avenue du Château, Richard Wagner, du haut de ses 27 ans, a composé “Le Vaisseau fantôme”. C’est dans ces mêmes lieux, qu’en 1968, les architectes de l’Atelier 12 imaginent la résidence des Pierres Levées. Posés sur pilotis, ces trois bâtiments ont été conçus de façon à cohabiter avec la nature environnante. Et leurs lignes géométriques sont un vestige de l’architecture des années 1960/70. Laissant, d’une certaine façon, eux-aussi, leurs traces dans l’histoire de la ville. Cette dimension a d’ailleurs été importante pour l’agence Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 256 jours

Un nouveau directeur commercial et marketing pour Vracs de l'Estuaire

CARNET-NOMINATION. Filiale du groupe cimentier familial Cimat-Cimaf, Vracs de l'Estuaire, a nommé Thierry Dauger, comme directeur commercial et marketing.
Il y a 4 ans et 256 jours

Strres & IMGC : Un inventaire des ponts à la Prévert

Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine Un rapport du Sénat met en lumière le mauvais état structurel de 25 000 ponts. [©IMGC] Il y a deux ans, en août 2018, le pont Morandi à Gênes, en Italie s’est effondré. Après l’émotion suscitée par cet accident, les interrogations sur l’état de ce type d’ouvrages ont aussi dépassé les frontières italiennes. Ainsi, quelques mois plus tard, la Commission de l’aménagement du territoire et du développement durable du Sénat français a créé une mission d’information sur la sécurité des ponts. Et après 10 mois d’enquête, elle appelait à un “Plan Marshall” pour éviter tout drame. En effet, d’après les différents retours, le rapport met en lumière le mauvais état structurel de 25 000 ponts. Tous posent des problèmes de sécurité et de disponibilité pour les usagers. La Commission avait alors formulé plusieurs propositions qui sont toujours à l’étude. Pour les professionnels du secteur, la problématique doit être prise au sérieux. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 256 jours

Transition écologique : la filière bois salue le rapport de la députée Anne-Laure Cattelot

Missionnée par le Premier ministre suite au Conseil de défense écologique du 7 novembre 2019, la députée LREM du Nord Anne-Laure Cattelot a remis le 17 septembre 2020 au ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Julien Denormandie, et à la secrétaire d’Etat chargée de la biodiversité, Bérangère Abba, son rapport. Elle y formule 19 recommandations pour que la filière forêt-bois française puisse renforcer ses contributions à la transition écologique et à l’économie bas carbone de demain. Les organisations interprofessionnelles France Bois Industries Entreprises, France Bois Forêt, France Bois Région et le Comité Stratégique de Filière forêt-bois saluent le travail réalisé par la députée Anne-Laure Cattelot et la qualité des échanges qu’elle a organisés avec tous les représentants de la filière forêt bois. Le secteur de la forêt et du bois est un atout majeur de la Nation pour atténuer les effets du changement climatique et réussir les objectifs de transition écologique et bas carbone. Ses leviers sont tout à la fois économiques, écologiques et sociaux. Le rapport souligne la valorisation de tous les usages du bois, seul matériau écologique, biosourcé, entièrement renouvelable et stockant le carbone de l’atmosphère. Il est mentionné un renforcement des actions consacrées aux forêts, notamment dans l’adaptation de celles-ci aux effets du changement climatique afin de conserver leur vitalité, leur diversité et leur capacité de régénération. Par ailleurs, est mise en lumière la durabilité de la construction bois et l’accroissement nécessaire de la décarbonation de l’économie du bâtiment liée à la future réglementation environnementale pour les bâtiments neufs (RE 2020). La visibilité de l’impact carbone du bâti sera ajoutée aux exigences réglementaires pour illustrer les atouts des matériaux bois et biosourcés, renouvelables. C’est une vision bas carbone de la construction bois qui est ici affirmée, faisant de ce matériau une référence en matière de durabilité et d’atténuation du changement climatique. Pour ce faire, il est proposé de tripler les quantités de bois dans la construction d’ici 2050. Le rapport insiste sur l’urgence à favoriser le renouvellement des forêts françaises. En réponse au défi du changement climatique, il est notamment proposé de créer de nouveaux vergers à graines pour disposer de matériel génétique adapté au changement climatique, de créer des projets forestiers de territoire et de mettre en œuvre un fonds (300 M€) pour la reconstitution des forêts sinistrées. Un encadrement des coupes momentanément déboisées (répondant au ressenti visuel) engagera une nécessaire concertation approfondie avec les professionnels, considérant la multiplicité des situations que les forestiers auront à gérer. Les organisations soutiennent l’ambition, en plus des mécanismes de régénération naturelle, de pouvoir assurer la plantation de 70 millions d’arbres chaque année pendant trente ans, soit un arbre pour chaque français tous les ans. Cette ambition appellera les moyens d’un changement d’échelle à tous les niveaux pour le secteur forestier. Ces mesures ont une cohérence d’ensemble qui s’inscrivent dans la volonté du Gouvernement, de mobiliser des ressources importantes pour les forêts françaises dans le cadre d’un plan de relance global. L’objectif est d’organiser une mise en œuvre plus unifiée de la politique forestière française, tenant compte des diversités. Le rapport insiste sur l’importance d’une coopération active entre l’amont et l’aval de la filière, reconnaissant l’efficacité de ce type de synergies dans la structuration de la filière. Fort de ce constat, ce rapport innove en exposant la nécessité d’une réorganisation systémique de la filière. Il propose un cadre de solution générique rapprochant tous les niveaux : sphères étatiques et ses opérateurs, sphère professionnelle. Une mise à l’agenda des travaux du Gouvernement de ces propositions, préparant un cadre de décision rapide, est une étape déterminante qu’encouragent les interprofessions de la filière forêt-bois.  
Il y a 4 ans et 256 jours

Exposition « La ville-forêt, vers une nouvelle culture urbaine » à Lyon

L’exposition « La ville-forêt, vers une nouvelle culture urbaine » est ouverte au public jusqu’au 18 décembre 2020 à Lyon, au CAUE Rhône Métropole. Elle questionne les relations de l’homme au vivant et la place du végétal dans nos modèles d’aménagement urbain. Elle nous invite à repenser l’urbanisme au prisme de la forêt et de ses bienfaits. Cette exposition propose, en cinq temps, d’initier un parcours à la recherche de cette ville-forêt – Orées. Quand les villes rencontrent les forêts. Témoignages des liens tissés entre villes et forêts, ici et ailleurs, dans notre culture et dans notre histoire. – Regards. La forêt peut-elle transformer l’urbanité ? Lumières sur le monde de la forêt pour mieux le comprendre, pour s’en inspirer et penser la ville autrement. – Synergies. Les 1001 bienfaits de la ville-forêt. Au cœur des multiples atouts d’un fonctionnement commun ville-forêt. – Sentiers. Comment donner corps à la ville-forêt ? Pistes de changement pour faire de la place au vivant, propositions pour un passage à l’action. – Un Laboratoire, un espace pour s’immerger et imaginer ce qu’est la ville-forêt, ensemble, ici et maintenant. Elle s’accompagne de la présentation de trois installations artistiques Partir, refaire, 2020 – Awena Cozannet, sculpture Sangles, éléments manufacturés et chaussures de marche cousues, 125 x 125 x H200 cm Cette sculpture se présente comme un enchevêtrement de branches ou de lianes, sur lesquelles sont fixés des éléments de sac à dos et chaussures de marche qui pourraient être endossés par le regardeur. Elle est une invitation au déplacement, au renouvellement, au mouvement. La Forêt, 2020 – Joël Gangloff, peinture Dix panneaux imprimés recto-verso sur bâche, format 60 x 300 cm Juxtaposition de plusieurs peintures, La Forêt est une installation constituée de panneaux imprimés sur les deux faces, suspendus verticalement de façon à ce que le visiteur pénètre un territoire, rentre dans le souvenir d’une sensation de forêt au cœur de la ville. In a sea of trees, 2017- Laurent Perche, dessin Dessin à la pierre noire sur 324 pages de livres ouverts format poche – 1.60 x 3.90 cm Dans son conte « Le baron perché », Italo Calvino tisse la trame d’un monde possible – une forêt-monde- où le lecteur se trouve littéralement projeté, invité à partager le point de vue de son héros sur son univers. Lorsque j’ai formé cette image In a sea of trees, qui est aussi une réflexion sur notre relation au temps, à la matière et à la culture, j’ai à mon tour pensé le dessin comme un tissage s’appuyant sur une trame écrite, une image jaillie des livres. (Première exposition « ici et maintenant ». En résonance avec la 14ème Biennale d’Art Contemporain de Lyon. Taverne Gutenberg – 2017).
Il y a 4 ans et 256 jours

Découvrez le numéro 145 du magazine 5 façades !

Rénovation : penser qualité d’usage et architecturale  Dévoilé le 3 septembre dernier par le Premier ministre Jean Castex, le plan de relance, nommé « France Relance », mobilise un tiers de l’enveloppe globale (trente milliards d’euros) pour l’environnement. « Un pas de géant » pour la transition écologique selon Barbara Pompili, ministre de ladite transition. Dans cet ensemble, bâtiment et logement seront affectés de 7,5 milliards d’euros, répartis en plusieurs dispositifs dont une bonne part dédiée à la rénovation énergétique. Outre une aide accrue aux particuliers – MaPrimeRénov’ sera abondée de 2 milliards d’euros supplémentaires sur les années 2021-2022 –, aux copropriétés et aux bailleurs sociaux, quatre milliards sont alloués à la rénovation des bâtiments publics (écoles, lycées, tribunaux, universités, Ehpad et hôpitaux…).On ne peut que s’en féliciter. Mais attention ! Au-delà des objectifs de performance énergétique poursuivis, cette massification doit aussi être l’occasion de réfléchir à la qualité d’usage, architecturale et urbaine, des bâtiments à rénover. Dans ce cadre, l’enveloppe est essentielle car c’est elle qui apporte le manteau mais aussi l’esthétique et l’intégration à la ville. Comment les projets de rénovation énergétique peuvent-ils être un vecteur d’amélioration et de revalorisation du patrimoine architectural ? Comment développer une approche globale de la réhabilitation intégrant le bioclimatisme, mais également de nouveaux usages ? Nous y reviendrons largement dans les prochains numéros de 5façades.  Découvrez le numéro 145 >  Stéphane Miget Rédacteur en chef 
Il y a 4 ans et 256 jours

MC-Chimie : « Nous proposons tous types de systèmes de réparation »

Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine La partie “Industrie du béton” représente 40 % des activités de MC-Chimie. [©MC-Chimie] Créée en France en 1981, MC-Chimie est issue d’une entreprise familiale. Elle constitue une filiale indépendante du groupe MC-Bauchemie, située outre-Rhin. « Nous disposons de 3 grands pôles d’activités, explique Lucas Loupe, responsable Infrastructures et Industrie. “L’Industrie du béton”, “Infrastructures et Industrie” et le “Building” ». L’entreprise est présente sur tous Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 256 jours

Les perdants et les gagnants du budget 2021

Globalement, à 292,5 milliards d'euros, le plafond de dépenses des budgets ministériels va progresser l'an prochain de 2,5% par rapport à la loi de finance initiale de 2020 (c'est-à-dire hors mesures d'urgence instaurées dans les trois budgets rectificatifs votés depuis le début de la crise).Les gagnantsPremier poste du budget de l'Etat, l'enseignement scolaire voit son plafond de dépenses augmenter de 1,3 milliard (+2,5%) à 54,63 milliards d'euros. Le ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer a annoncé un "Grenelle des professeurs" pour revaloriser le salaire des enseignants grâce une enveloppe de 400 millions d'euros pour 2021.La progression est de seulement 320 millions (+1,1%) à 28,92 milliards pour l'enseignement supérieur et la recherche, tandis que la loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR) promet d'injecter 25 milliards d'euros dans la recherche publique au cours des dix prochaines années.La mission "Écologie, développement et mobilités durables" gagne 550 millions d'euros à 25,84 milliards. L'Etat va notamment augmenter de 25% son soutien aux énergies renouvelables, qui passera ainsi à 6 milliards d'euros.Avec plus de 8 milliards d'euros, le ministère de la Justice verra son budget augmenter de 8% l'an prochain, "du jamais vu depuis 35 ans", a annoncé jeudi soir le Premier ministre Jean Castex. C'est plus que ce qui était prévu jusqu'ici, puisque selon un document préparatoire publié en juillet faisait état d'une hausse de 5,9% (soit 450 millions d'euros). Cette hausse permettra notamment de financer des recrutements supplémentaires, et la justice de proximité.L'Intérieur bénéficie d'une hausse de 1,23% de la mission "Sécurités", dans le cadre du recrutement de 10.000 policiers prévu sur le quinquennat. Pour 2020, ce ministère avait décroché le plus grand nombre de nouveaux postes, avec plus de 1.500 fonctionnaires en plus.Les crédits de la mission Défense augmentent de nouveau de 1,7 milliard d'euros en 2021, comme en 2020 (soit +4,5% sur un an), en ligne avec les engagements pris par l'État dans la loi de programmation militaire. Il s'agit pour l'essentiel de financer de nouveaux programmes d'armements, des investissements dans la défense spatiale ou encore la cybersécurité.La mission Travail et Emploi voit ses crédits augmenter de 430 millions d'euros, soit 1,9%, à 22,72 milliards, le gouvernement soulignant que "le soutien à l'activité et aux plus précaires sera un des axes prioritaires" pour 2021, année qui devrait être marquée par une forte hausse du nombre de chômeurs.L'aide publique au développement reçoit 700 millions supplémentaires, soit une coup de pouce de 17,7%, sur fond de fragilisation des économies des pays les moins avancés par la crise sanitaire.La culture, secteur particulièrement exposé à la crise sanitaire, affiche des crédits en hausse de 150 millions d'euros à 2,92 milliards (+5,03%).Les perdantsLe ministère des Comptes publics voit son budget une nouvelle fois réduit de 120 millions d'euros (-1,46%) à 8,11 milliards d'euros.La Cohésion des territoires, qui comprend les aides au logement, perd 60 millions d'euros à 16,49 milliards. La réforme du calcul des aides personnalisées au logement (APL) qui devait entrer en vigueur en 2020 est finalement programmée pour le 1er janvier 2021, mais elle ne devrait finalement permettre que peu d'économies à cause d'un nombre plus élevé de bénéficiaires.L'audiovisuel public devra faire avec 70 millions de moins qu'en 2020, alors que ses recettes publicitaires auront chuté de 15 à 20% cette année, selon le CSA.Le secrétariat d'Etat aux Anciens Combattants devra aussi se serrer la ceinture, avec 70 millions d'économies.Les subventions de l'Etat aux régimes spéciaux de retraite diminuent elles aussi de 70 millions d'euros, à 6,15 milliards.
Il y a 4 ans et 256 jours

Les ministères perdants et gagnants du budget 2021

Globalement, à 292,5 milliards d'euros, le plafond de dépenses des budgets ministériels va progresser l'an prochain de 2,5% par rapport à la loi de finance initiale de 2020 (c'est-à-dire hors mesures d'urgence instaurées dans les trois budgets rectificatifs votés depuis le début de la crise).Les gagnantsPremier poste du budget de l'Etat, l'enseignement scolaire voit son plafond de dépenses augmenter de 1,3 milliard (+2,5%) à 54,63 milliards d'euros. Le ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer a annoncé un "Grenelle des professeurs" pour revaloriser le salaire des enseignants grâce une enveloppe de 400 millions d'euros pour 2021.La progression est de seulement 320 millions (+1,1%) à 28,92 milliards pour l'enseignement supérieur et la recherche, tandis que la loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR) promet d'injecter 25 milliards d'euros dans la recherche publique au cours des dix prochaines années.La mission "Écologie, développement et mobilités durables" gagne 550 millions d'euros à 25,84 milliards. L'Etat va notamment augmenter de 25% son soutien aux énergies renouvelables, qui passera ainsi à 6 milliards d'euros.Avec plus de 8 milliards d'euros, le ministère de la Justice verra son budget augmenter de 8% l'an prochain, "du jamais vu depuis 35 ans", a annoncé jeudi soir le Premier ministre Jean Castex. C'est plus que ce qui était prévu jusqu'ici, puisque selon un document préparatoire publié en juillet faisait état d'une hausse de 5,9% (soit 450 millions d'euros). Cette hausse permettra notamment de financer des recrutements supplémentaires, et la justice de proximité.L'Intérieur bénéficie d'une hausse de 1,23% de la mission "Sécurités", dans le cadre du recrutement de 10.000 policiers prévu sur le quinquennat. Pour 2020, ce ministère avait décroché le plus grand nombre de nouveaux postes, avec plus de 1.500 fonctionnaires en plus.Les crédits de la mission Défense augmentent de nouveau de 1,7 milliard d'euros en 2021, comme en 2020 (soit +4,5% sur un an), en ligne avec les engagements pris par l'État dans la loi de programmation militaire. Il s'agit pour l'essentiel de financer de nouveaux programmes d'armements, des investissements dans la défense spatiale ou encore la cybersécurité.La mission Travail et Emploi voit ses crédits augmenter de 430 millions d'euros, soit 1,9%, à 22,72 milliards, le gouvernement soulignant que "le soutien à l'activité et aux plus précaires sera un des axes prioritaires" pour 2021, année qui devrait être marquée par une forte hausse du nombre de chômeurs.L'aide publique au développement reçoit 700 millions supplémentaires, soit une coup de pouce de 17,7%, sur fond de fragilisation des économies des pays les moins avancés par la crise sanitaire.La culture, secteur particulièrement exposé à la crise sanitaire, affiche des crédits en hausse de 150 millions d'euros à 2,92 milliards (+5,03%).Les perdantsLe ministère des Comptes publics voit son budget une nouvelle fois réduit de 120 millions d'euros (-1,46%) à 8,11 milliards d'euros.La Cohésion des territoires, qui comprend les aides au logement, perd 60 millions d'euros à 16,49 milliards. La réforme du calcul des aides personnalisées au logement (APL) qui devait entrer en vigueur en 2020 est finalement programmée pour le 1er janvier 2021, mais elle ne devrait finalement permettre que peu d'économies à cause d'un nombre plus élevé de bénéficiaires.L'audiovisuel public devra faire avec 70 millions de moins qu'en 2020, alors que ses recettes publicitaires auront chuté de 15 à 20% cette année, selon le CSA.Le secrétariat d'Etat aux Anciens Combattants devra aussi se serrer la ceinture, avec 70 millions d'économies.Les subventions de l'Etat aux régimes spéciaux de retraite diminuent elles aussi de 70 millions d'euros, à 6,15 milliards.
Il y a 4 ans et 256 jours

Connect’Expert : des experts du bois au service des professionnels de la filière bois

Afin d’accompagner les professionnels de l’industrie du bois et de la construction dans l’élaboration de leurs produits et matériaux, FCBA lance Connect’Expert. Ce nouveau service permet de mettre en contact rapidement les professionnels avec des spécialistes FCBA pour un appui technique ciblé sur des thématiques et des domaines d’activité très variés. Cette prestation se présente sous forme d’une ou plusieurs réunions à distance avec la possibilité de solliciter jusqu’à 3 experts différents pendant 3 heures au total. Les experts de FCBA peuvent les accompagner sur des thèmes aussi variés que solidité, sécurité incendie, thermique, hygrothermique, acoustique, transfert de vapeur, environnement, étanchéité, durabilité…, sur tous sur tous les matériaux, produits ou parties d’ouvrages bois ou mixte à base de bois. Le coût de la prestation de base (3 heures de rendez-vous à distance avec 1 à 3 experts) est de 600 euros. FCBA propose aussi la possibilité de réaliser une ou deux prestations associées en options supplémentaires (analyse dossier en amont et/ou rapport suite à ou aux entretien(s)). Un devis personnalisé est à demander soit par téléphone au 05.56.43.64.22 soit par mail sandrine.maillard@fcba.fr  
Il y a 4 ans et 256 jours

Les Coulisses du Bâtiment s'invitent dans les établissements scolaires

Un direct en duplex aura lieu le jeudi 8 octobre de 9h à 10h et sera ensuite en replay jusqu’au 16 octobre. Ainsi, si les jeunes ne peuvent pas venir aux Coulisses du Bâtiment, les Coulisses du Bâtiment iront à eux.Quelques chantiers seront toutefois ouverts sur le territoire. Les visites se feront dans le respect des prescriptions sanitaires.Les Coulisses du Bâtiment permettent aux jeunes de découvrir la face cachée d’un chantier ou d’un atelier et tous les secrets de fabrication - ou de rénovation - d’un bâtiment. Chantiers de toutes tailles, maison individuelle, immeubles de bureaux, monuments historiques… Le spectre est large ! Pour suivre Les Coulisses du Bâtiment en live : cliquez ici
Il y a 4 ans et 256 jours

"Nous doublerons la capacité de notre usine de plaque de plâtre à Carpentras", DG d'Etex

INTERVIEW. Directeur général d'Etex France (Siniat, Promat, Eternit...), Jean-Michel Desmoutier annonce des investissements dans l'activité plâtre. Il revient également sur le marché actuel et la stratégie digitale du groupe.
Il y a 4 ans et 256 jours

La Cour des comptes regrette une politique du logement mal adaptée en outre-mer

La politique publique du logement marche mal en outre-mer, faute d'être adaptée aux besoins spécifiques de chaque territoire, a jugé la Cour des comptes.
Il y a 4 ans et 256 jours

Neovigie propose une solution DATI PTI complète pour une sécurité accrue des travailleurs isolés

Un dispositif global clef en main, fruit de 3 ans de R&DNeovigie se démarque aujourd'hui avec la sortie très attendue d'une solution globale de deux Dispositifs d'Alerte du Travailleur Isolé (DATI) très efficaces comprenant :Une application PTI VigieApp® pour smartphone iOS et AndroidUn terminal DATI VigieLink® utilisant le réseau GSMUne plateforme de gestion web VigieControl® en mode SaaSL'idée de Neovigie est née du constat que le marché français de la protection des travailleurs isolés proposait des solutions incomplètes. Cela obligeant l'employeur à travailler avec plus d'un fournisseur pour satisfaire les besoins d'alerte très spécifiques de chacun des salariés en fonction des contraintes et des risques de leur métier (ouvrier, chef de chantier, commercial, etc.). D'autre part, les DATI existant étaient parfois complexes dans la prise en main des alarmes, voire contraignants, avec pour conséquence un risque de ne pas être utilisé par l'employé.C'est ainsi, qu'il y a un peu plus de deux ans, la R&D de la start-up toulousaine Neovigie, société sœur d'ICOM France (spécialiste de la radiocommunication) se lance dans le développement d'une offre globale de protection des travailleurs isolés après une réflexion approfondie des fonctionnalités indispensables aux professionnels.En 2019, le prototype du boitier DATI remporte le 1er prix du concours Orange Developper Challenge >> organisé avec la SNCF pour la protection des agents dans les gares !Des paramétrages à la carte et une grande facilité d'utilisationLes solutions de sécurité DATI / PTI Neovigie sont livrées déjà paramétrées et ne nécessitent aucune installation.Un fonctionnement en mode SaaS qui fait la différencePour répondre rapidement aux besoins de chaque utilisateur, le portail Web VigieControl® est accessible depuis un simple explorateur Web (mode SaaS, Software as a service). Ainsi, il est possible d'effectuer des paramétrages sur-mesure à distance : réglage d'alarmes spécifiques à chaque utilisateur, définition de procédures d'alarmes en cas d'urgence, etc.L'utilisation de tous les services de la plateforme Neovigie est aussi très intuitive :Visualisation de l'état des terminaux (application et boitier)Suivi des alarmes en coursLocalisation outdoor et indoor des utilisateurs avec historique des parcours, etc.Des connexions sûres et fiablesLes équipements Neovigie, pensés dès leur création dans une optique de résilience et de résistance maximum aux menaces extérieures, offrent un environnement de travail ultra sécurisé pour les salariés et les communications.Grâce au système de visualisation des alarmes disponibles pour toutes les personnes connectées en temps réel, les équipements DATI / PTI permettent à chaque collaborateur de devenir acteur de la sécurité et d'intervenir plus rapidement sans attendre les secours.Une sécurité performante avec "sécurité positive" incluseMode sécurisé :Neovigie propose un haut niveau de protection sur ses dispositifs, avec notamment la possibilité d'activer le mode sécurisé en cas de besoin de sécurité renforcée. Ce dernier permet à l'utilisateur de bénéficier d'une protection renforcée quand il en a besoin.SOS et alarmes automatiques :Le travailleur isolé peut déclencher l'alarme manuelle d'un simple appui sur le bouton d'alerte SOS de l'application ou du terminal. Si son état ne lui permet pas de donner l'alerte, les dispositifs Neovigie sont équipés des alarmes automatiques indispensables à sa protection : perte de verticalité, absence de mouvement, geofencing, et perte de liaison.Sécurité positive :Neovigie se démarque avec la "sécurité positive" native sur ses deux dispositifs, fonction très rarement présente sur les solutions existantes.Ainsi, la plateforme Neovigie contrôle en permanence l'état du smartphone ou du terminal. En cas de perte de liaison, une alarme est automatiquement déclenchée. Cette fonction permet également de surveiller à distance le niveau de la batterie, la qualité du signal GPS, ...pour garantir un traitement efficace en cas d'incident.Une localisation outdoor GPS et une localisation indoor BluetoothParce que la protection des travailleurs isolés doit être effectuée en tous lieux, la localisation en extérieur ET en intérieur est une obligation pour Neovigie.Pour une localisation en extérieur, le terminal VigieLink® équipé d'un GPS ultra-sensible et l'application VigieApp® transmettent la position GPS de l'utilisateur.En intérieur, la localisation se fait grâce à des balises Bluetooth positionnées dans les bâtiments. Elles envoient des signaux aux dispositifs Neovigie qui sont ensuite transmis à la plateforme de gestion.Ainsi, où qu'ils soient les travailleurs isolés équipés Neovigie sont localisables et seules les données nécessaires à leur sécurité sont stockées, conformément à la réglementation (RGPD).Une solution PTI complète sans superflusEn définitive, Neovigie répond aux exigences de protection des travailleurs isolés avec une solution d'alerte adaptée aux besoins spécifiques à chacun conformément à ce que la loi impose (article L4121-1 du Code du Travail >>).Les utilisateurs pourront effectuer leurs missions en toute sécurité, rassurés de savoir qu'ils disposent d'un dispositif d'alerte en cas de problème où qu'ils soient, en France et dans tous les pays du monde.Application PTI VigieApp® et portail Web VigieControl® disponibles dès à présent !Terminal DATI VigieLink® disponible premier trimestre 2021.
Il y a 4 ans et 256 jours

Pigouchet : Jusqu’à Paris

Retrouvez l’article dans le Béton[s] le Magazine n° 90. Les camions de Pigouchet sont facilement identifiables. Ils participent à l’image de service de l’industriel. [©Michel Roche] « Lorsqu’en 2001, nous avons équipé notre première usine de la même presse Hess RH 2000 que celle présente dans notre seconde unité de production, nous nous sommes retrouvés en surcapacité »,explique René Pigouchet, président de l’entreprise éponyme. Le producteur de blocs béton d’Ozeville (50), qui peinait auparavant à satisfaire la demande locale, a dû étendre sa zone de chalandise ! Outre la Manche et le Calvados (14), les 110 000 t/an de blocs produits sont aussi vendues en Seine-Maritime. Et jusqu’à l’Ile-de-France (78, 91, 92). Ainsi que l’Oise et la Somme. En s’appuyant sur cette stratégie, Pigouchet a établi un dépôt de 28 000 m2à Creully (14). « C’est notre cheval de Troie, qui nous permet de désenclaver l’entreprise », commente Vincent Pigouchet, directeur administratif et financier. Les 13 camions rouges métallisés et autant de chauffeurs ravitaillent ce dépôt, le négoce et le client final. Ceci, dans un rayon de 150 km. Et les camions reviennent à plein, avec du vrac pour la production. C’est la stratégie de René Pigouchet, depuis 1973. La concurrence locale se limite à 4 préfabricants, ne possédant qu’une presse. « Nous ne travaillons pas dans la même catégorie. Ils font du B40 et nous du B60. » Le producteur propose des blocs creux et pleins classiques, mais aussi des blocs rectifiés à coller et des modèles bancheurs. Cette offre est complétée par le négoce : planchers Rector, treillis soudés armatures (Snaam), ciment en sacs, buses, caniveaux, regards…, qui apporte 45 % du chiffre d’affaires (10,5 M€ en 2019). Et pour 2021 ? Le BPE « forcément pour une clientèle locale ». La capacité de production serait de 80 à 100 m3/j, avec un malaxeur danois Haarup. « Les gens nous connaissent pour notre qualité de produit et de service. »Ce seront donc 2 à 3 toupies rouges qui livreront les clients… Michel Roche  Retrouvez l’article dans le Béton[s] le Magazine n° 90.
Il y a 4 ans et 256 jours

Ramery : nouvelle gouvernance et bonne santé

« Je n’ai même pas pleuré en laissant la présidence du Groupe », plaisante Philippe Beauchamps lors de l’annonce officielle de la passation des rênes à Matthieu Ramery, nouveau président du groupe éponyme (532 millions d’euros de chiffre d’affaires et presque 3 000 salariés), ce jeudi 24 septembre 2020 au siège de l’entreprise situé à côté d’Armentières (Nord).
Il y a 4 ans et 256 jours

Total annonce l'arrêt du raffinage à Grandpuits et promet une "plateforme zéro pétrole"

"A horizon 2024, grâce à un investissement de plus de 500 millions d'euros, la plateforme s'articulera autour de quatre nouvelles activités industrielles: la production de biocarburants majoritairement destinés au secteur aérien, la production de bio plastiques, le recyclage de plastiques, l'exploitation de deux centrales solaires photovoltaïques", explique le groupe dans un communiqué."Fin 2023 il n'y aura plus une goutte de pétrole sur ce site", a déclaré lors d'une conférence de presse Bernard Pinatel, directeur général de la branche Raffinage-Chimie de Total. L'arrêt du raffinage est prévu pour le premier trimestre 2021 et la fin du stockage de produits pétroliers fin 2023.Total assure que ce redéploiement n'entraînera aucun licenciement, mais des départs à la retraite anticipés et des mobilités internes vers d'autres sites."Il y aura aussi un plan d'accompagnement des entreprises sous-traitantes", selon M. Pinatel.Seront maintenus 250 postes sur les 400 que compte aujourd'hui la plateforme de Grandpuits et le dépôt associé de Gargenville (Yvelines). Quinze emplois doivent être créés sur le site de Grandpuits dans une unité d'emballage en aval."Le compte n'y est pas", a réagi auprès de l'AFP Thierry Defresne, délégué syndical CGT Total Raffinage Pétrochimie. "Si on compte l'ensemble des postes Total, dont les contractuels absents de l'organigramme, nous sommes à 209 suppressions d'emplois chez Total", sans compter "500 emplois sous-traitants"."Total délocalise le raffinage de Grandpuits et laisse des familles à la rue sous couvert de transition énergétique, mais défonce les parcs naturels au Mozambique pour augmenter les profits", a aussi accusé le délégué CGT à Grandpuits Adrien Cornet sur Twitter.Tuyaux fatiguésCette annonce signe une nouvelle étape de la reconversion des activités de raffinage du groupe, après celles de la plate-forme pétrochimique de Carling-Saint-Avold en Moselle et la transformation achevée l'an dernier de la raffinerie de La Mède dans les Bouches-du-Rhône en usine de biocarburants à base notamment d'huile de palme.A Grandpuits, le projet prévoit la mise en service en 2024 d'une usine de biocarburants d'une capacité de traitement de 400.000 tonnes par an, "alimentée majoritairement par des graisses animales en provenance d'Europe et des huiles de cuisson usagées qui seront complétées par des huiles végétales".Une usine de recyclage de plastiques d'une capacité de traitement de 15.000 tonnes par an doit aussi être mise en service en 2023 ainsi que deux centrales photovoltaïques d'une capacité de 28 mégawatts (MW) à Grandpuits et 24 MW à Gargenville.Grâce à ce site, le groupe ambitionne également de devenir "numéro un mondial dans le PLA (acide polylactique)", en construisant "la première usine européenne" de ce bioplastique fabriqué à partir de sucre."C'est la fuite sur le pipe en février 2019 qui quelque part a déclenché tout ce mouvement", a reconnu M. Pinatel, faisant référence au pipeline d'Ile-de-France (PLIF) qui relie sur 260 km Grandpuits au Havre et permet l'approvisionnement en brut de la raffinerie.Les dommages ont forcé à réduire la pression maximale d'utilisation du pipeline, réduisant l'activité de la raffinerie à 70% de sa capacité, menaçant selon le groupe "la pérennité économique" du site.450 millions à DongesTotal assure que l'arrêt de l'activité de la raffinerie n'aura "aucune incidence sur le bon fonctionnement des stations-service et des aéroports de la région Ile-de-France", qui seront approvisionnés par les raffineries de Normandie et de Donges, près de Nantes, dans laquelle le groupe injecte en parallèle 450 millions d'euros.Alors que les unités tournent au ralenti du fait de la baisse des marges sur les produits pétroliers, le groupe n'est toutefois pas prêt à tourner le dos au pétrole."Total a trois raffineries aujourd'hui en France, qui ont toutes leur place, a assuré M. Pinatel. S'il y en a une dans laquelle on investit 450 millions d'euros, c'est qu'on sait que c'est pertinent. On aura toujours besoin demain d'un mix de raffinage de fossiles et de ces nouvelles énergies."Le groupe s'est engagé à la neutralité carbone en Europe en 2050 et a pour objectif d'installer 25 gigawatts de capacités d'énergies renouvelables d'ici à 2025.
Il y a 4 ans et 256 jours

Léon Grosse se rapproche d'un groupe spécialisé dans les façades architecturales

Fort d'une année 2019 solide, l'ETI familiale du BTP annonce une prise de participation majoritaire dans le groupe luxembourgeois et acteur européen de la façade architecturale, Kyotec.
Il y a 4 ans et 256 jours

L'architecte d'intérieur Marie-Hélène Jamet conçoit la nouvelle agence Dooweet

Dooweet, c'est l'agence de promotion musicale qui bouleverse les idées reçues autour de la communication artistique. La définition de l'agence est simple : tout artiste a le droit de réussir sa campagne promotionnelle, quels que soient son expérience et son budget. Située au cœur du centre historique de Montpellier, l'agence accueille les artistes et les professionnels du secteur musical dans leurs locaux entièrement rénovés grâce au talent de Marie-Hélène Jamet, la fondatrice de la société Imatgine.Les locaux de l'agence Dooweet ont permis à l'architecte d'intérieur de proposer une ambiance différente à chaque pièce. Du bureau principal et ses accents orientaux à la pièce de diffusion et de projection qui nous transporte dans l'âge d'or de Miami Beach, Imatgine rappelle la philosophie de l'agence dans les moindres détails.Depuis 2012, Dooweet accompagne artistes, maisons de disques ou encore professionnels du secteur dans leur communication en France et dans le monde. Parmi les derniers hauts faits de l'agence, une première collaboration avec Universal Music. Dooweet aura en charge la gestion RP des dernières sorties d'Alexandra Stan, dont le tube Mr. Saxobeat reste encore dans toutes les têtes.L'agence Dooweet a confié à Imatgine la décoration de ses nouveaux bureaux. Le brief « 3 pièces 3 ambiances » laisse libre court à l'imagination, les délais eux sont très courts dans une période un peu compliquée ! La conception a été facile, tant la richesse du parcours, des artistes représentés et de l'équipe de Dooweet, est grande. Comme une musique à succès « We are the World » les pièces se sont découpées assez naturellement ; le bureau principal s'inspire du Maroc, pays coup de cœur de l'équipe, réalisé avec des matériaux naturels et nobles, un enduit terre cuite, bois massif pour les bureaux et le logo, lin, poterie et accessoires en provenance direct du Maroc. La seconde pièce utilisée pour projeter et écouter les réalisations de l'agence, s'inspire du Miami des années 50, avec son papier peint très coloré, sa table « surf » entre autres mobiliers, représente l'amour de Dooweet pour les USA, où l'agence a notamment ouvert sa première franchise. Une troisième pièce, noire et dorée, s'inscrit dans ce que recherchent certains artistes actuellement : le sobre clinquant. Un vrai projet coup de cœur pour Imatgine !-Marie-Hélène JametImatgine transforme les espaces professionnels et personnels à votre image. De Montpellier en passant par Paris, Marie-Hélène Jamet, agence Imatgine, intervient en architecture d'intérieur, décoration, agencement, menuiserie sur-mesure et rénovation pour les professionnels comme les particuliers et court la France et l'Europe à la recherche de matériaux raisonnées, créatifs et designs, pour coller au maximum à sa démarche éco-responsable.
Il y a 4 ans et 256 jours

Spécial Béton

Pour la filière béton, la fin de l’année se fera sans crash majeur. Actuellement, l’heure est au rattrapage du retard pris ces derniers mois à cause de la crise sanitaire. Bien sûr, il faut aussi penser à « l’après » qui ne s’annonce pas sans quelques incertitudes. Cependant la filière béton française réussi le coup de maître de tirer son épingle du jeu, de continuer à innover toujours plus en bâti neuf et en rénovation et oriente tout de même son action vers la déconstruction ou et évidemment l’économie circulaire…
Il y a 4 ans et 257 jours

Ouverture au Burkina Faso de la première usine de panneaux solaires en Afrique de l'ouest

D'un coût de 3,2 milliards de francs CFA (4,9 millions d'euros) et baptisée "Faso Energy", cette usine, construite dans la zone industrielle de Kossodo, en périphérie nord de Ouagadougou, aura une production journalière de 200 panneaux solaires.Selon le promoteur de Faso Energy, Moussa Kouanda, la production annuelle permettra d'installer une puissance de 30 mégawatts, soit 3% de la consommation du pays. Le Premier ministre Christophe Dabiré a souligné l'importance de "l'utilisation des ressources renouvelables, pour éviter de compromettre notre avenir", lors de l'inauguration de l'usine."Nous allons pouvoir offrir à nos concitoyens de l'énergie à bas coût, et faire en sorte qu'ils puissent contribuer au développement économique et social du pays", a-t-il estimé."Aujourd'hui, un rêve devient une réalité", s'est réjoui de son côté le ministre de l'Energie Bachir Ismaël Ouédraogo, soulignant que la production locale de panneaux solaires favorisera la construction en cours de seize centrales solaires, pour un potentiel de 250 mégawatts.Le Burkina a lancé le programme "Yeleen" (lumière) pour construire une série de centrales solaires, profitant du fort ensoleillement de ce pays sahélien.Dans le cadre de ce programme, la construction de nouvelles centrales solaires de 20 et 10 MW a été lancée il y a deux semaines dans les villes de Koudougou et Kaya.Six autres centrales solaires photovoltaïques d'une puissance cumulée de 176 MW sont en projet.Il est prévu dans le cadre du programme Yeleen l'électrification par des systèmes solaires photovoltaïques de 396 centres de santé, écoles et centres d'alphabétisation, de 18 centres hospitaliers et d'un hôpital de district, de 13 maisons d'arrêt et de 7 universités, selon le gouvernement.L'électricité demeure encore une denrée rare pour plus de 80% de la population du Burkina Faso, qui reste dépendant des importations d'électricité de Côte d'Ivoire et du Ghana, qui atteignent jusqu'à 30% de sa consommation.Le Burkina vise à couvrir d'ici 2030 30% de ses besoins en électricité avec le solaire.
Il y a 4 ans et 257 jours

Louis Aliot instaure un permis de louer à Perpignan pour lutter contre l'habitat indigne

"Des permis de louer seront mis en place pour les primo bailleurs", a indiqué M. Aliot au cours d'une conférence de presse espérant "que cette mesure (soit) étendue à la communauté urbaine".La mesure devrait être effective "dans les six mois", a précisé le directeur de cabinet du maire, Stéphane Babey.Cette autorisation a été instaurée en 2014 par la loi Alur (loi pour l'accès au logement et un urbanisme rénové) et permet aux communes ou aux établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) de définir des quartiers dans lesquels les bailleurs doivent se plier à cette procédure de contrôle.Les quartiers de Perpignan concernés sont "encore à définir", a expliqué Louis Aliot alors que "le permis de louer" doit être soumis au vote lors du conseil municipal de jeudi après-midi.La municipalité précise dans un communiqué que la mesure concernera "les territoires présentant une proportion importante d'habitat dégradé" et souligne que "contrairement à certaines villes" la procédure sera "gratuite".Les quartiers concernés devraient être les deux quartiers les plus pauvres du centre la ville, le quartier Saint-Jacques, où résident une forte population gitane et maghrébine, et le quartier Saint-Matthieu.En 2018, la décision de l'ancienne équipe municipale de instruire plusieurs habitations du quartier historique Saint-Jacques dans le cadre d'un vaste programme de réhabilitation avait déclenché une vaste polémique."On a peur qu'on nous oblige à partir", s'était inquiété alors Nick Giménez, l'un des patriarches de la communauté gitane, expliquant cependant qu'il était nécessaire de démolir "des immeubles qui sont insalubres".Les communes de Saint-Denis, Aubervilliers, et Stains ont adopté ce dispositif dès janvier 2019, suivies en avril de la même année par 22 communes de la de la métropole lilloise.La métropole Aix-Marseille-Provence a également mis en place ce permis en octobre 2019 dans le quartier de Noailles, dans le centre de Marseille, où l'effondrement de deux immeubles a fait huit morts le 5 novembre 2018.
Il y a 4 ans et 257 jours

Le seuil des marchés publics pourrait être relevé à 100.000€ dans les prochaines semaines

ANNONCE. Invité à s'exprimer lors d'un évènement organisé par la confédération qu'il présidait il y a encore peu de temps, le ministre chargé des PME, Alain Griset, est revenu sur les mesures mises en place par le Gouvernement pour limiter les effets de la crise économique du Covid. Et a précisé l'avancement de certains dossiers.
Il y a 4 ans et 257 jours

Digitalisation du BTP : Arkance continue de tisser son réseau en Europe

ACQUISITION. Arkance, filiale du groupe Monnoyeur, continue de se renforcer dans la digitalisation de la construction. Elle annonce l'acquisition d'un acteur belge.
Il y a 4 ans et 257 jours

Les finances locales font de la résistance au Covid

La situation financière des collectivités locales ne s’est pas fondamentalement dégradée avec la crise sanitaire et économique, ce qui leur laisse des marges de manœuvre pour soutenir la relance de l’activité dont celle du BTP, estime La Banque postale dans sa note de conjoncture annuelle, dévoilée ce 24 septembre.
Il y a 4 ans et 257 jours

Husqvarna : Devenir le partenaire des spécialistes du béton

Retrouver cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine La solution de compactage de Husqvarna est innovante. [©Husqvarna] Etre l’interlocuteur indispensable et évident dans le domaine des outils pour le béton : telle est l’ambition d’Husqvarna Construction Products. « Nous sommes la plus petite, la plus jeune et la plus rentable des entités du groupe suédois Husqvarna », souligne Olivier Touzé, directeur général de la division. En France, en 5 années, le pôle a vu son chiffre d’affaires bondir de 20 à 33 M€, dont une progression de + 17 % rien qu’en 2019 ! « Et nous voulons aller encore plus loin… » D’un point de vue historique, les choses ont commencé par le sciage, quand le savoir-faire de Diamant Boart a intégré le groupe. C’était en 2002. Aujourd’hui, Husqvarna Construction Products intervient dans cinq spécialités : le compactage, la vibration, le sciage/perçage, le ponçage/lissage et la démolition. Des domaines d’expertise développés au fil des intégrations. A l’image des activités “béton” et “compactage” d’Atlas Copco, opérées en 2018. Ou de l’activité “truelles mécaniques” de Wacker Neuson, reprise fin 2019. « C’est un nouveau champ d’expertise pour nous,confirme Olivier Touzé. Les machines sont en train d’être mises à nos couleurs. Les outils de production intègrent nos usines. L’année 2021 sera celle de la présentation officielle de ces nouveaux équipements… » Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 257 jours

Kingfisher : premier semestre en légère baisse et explosion du E-commerce

RESULTATS. Kingfisher, qui dispose des enseignes françaises Brico-Dépôt et Castorama, a dévoilé ses résultats pour le premier semestre. Globalement, le chiffre d'affaires a légèrement chuté. Autre constat : les ventes en ligne ont bondi en raison de la pandémie. Quid de la France ? Réponse.
Il y a 4 ans et 257 jours

La crise des assureurs LPS était "annoncée depuis dix ans" (Pascal Dessuet)

ENTRETIEN. En 2010, Pascal Dessuet, aujourd'hui directeur délégué construction et immobilier chez Aon, alertait sur les risques liés au développement de l'activité de certains assureurs en libre prestation de services (LPS) dans le secteur de la construction. Alors qu'Elite insurance se dirige vers une probable liquidation, il revient pour Batiactu sur ces dix années durant lesquelles l'insolvabilité du système est progressivement apparue au grand jour.
Il y a 4 ans et 257 jours

La génération X porte le secteur de la rénovation

L'activité se stabilise au fil des annéesC'est ce que révèle l'étude annuelle de Houzz et la Maison menée auprès de plus de 8.200 participants en France. Plus de quatre propriétaires sur dix (41%) ont effectué des travaux en 2019. Ils ont rénové près de trois pièces en moyenne. Il convient toutefois de noter que l'étude a été lancée début 2020, lorsque l'activité prévue pour le reste de l'année était similaire à celle de l'année précédente, alors que l'ampleur de l'impact du coronavirus sur le secteur reste à voir.Les dépenses médianes en 2019 ont diminué par rapport à 2018, passant de 13.000 à 10.000 €. Cela reflète une certaine diminution du nombre moyen de projets effectués. La génération Y compense toutefois cette perte de vitesse avec une dépense médiane de 12.000 € en 2019. La génération X et les baby-boomers ont, quant à eux, effectué une dépense médiane de 10.000 € chacun. La dépense médiane la plus élevée concerne la cuisine, avec 6.250 €, suivie de la salle de bain, avec 4.000 €, en hausse par rapport à l'an dernier.« Après plusieurs années de forte activité de rénovation, nous observons désormais une certaine stabilité du marché en termes de projets et de dépenses », déclare Marine Sargsyan, économiste principale chez Houzz. « Ceci étant dit, les plus jeunes générations portent l'activité et les dépenses du secteur de la rénovation en entamant des projets dans le but de personnaliser le logement qu'ils ont acheté. »Les plus jeunes générations souhaitent personnaliser leur logement récemment acheté. C'est notamment le cas de 60% des propriétaires de la génération Y et de 36% de ceux de la génération X. Cette motivation ne s'applique cependant qu'à 24% des baby-boomers. Ces derniers ont entamé un projet de rénovation pour deux principales raisons : d'une part, ils ont enfin eu le temps de le commencer (36%), et d'autre part, ils ont enfin disposé des moyens financiers nécessaires (26%). Quel que soit le motif qui les pousse à rénover, 29% des propriétaires ne prévoient pas de déménager.Une préparation méticuleuseLes propriétaires ont consacré en moyenne plus de temps à la préparation de leurs projets qu'à les réaliser. Les travaux se sont déroulés sur une durée moyenne de 2,4 à 7,1 mois pour différents types de projets, tandis que leur préparation a pris presque le double du temps. La cuisine et la salle de bain demandent chacune une planification de sept mois en moyenne. Le vestibule et le vestiaire ont requis une préparation de 6 mois en moyenne malgré leur surface plus restreinte.Le recours aux professionnels en forte demandePrès de quatre propriétaires sur cinq (77%) ont embauché un professionnel pour des besoins de rénovation. La génération X et les baby-boomers sont plus enclins à faire appel à un professionnel (79% chacun), suivis de la génération Y (74%). Les plombiers et les électriciens sont les plus sollicités (40% et 36% respectivement).Le financement des rénovationsLa majorité des propriétaires qui rénovent utilisent leurs économies ou finances personnelles (69%), suivies de loin par des cartes de crédit (24%), ces dernières étant un moyen de financement plus répandu parmi la génération Y.Le bureau a le vent en poupeLa chambre, la salle de bain et la cuisine sont toujours les pièces les plus rénovées (36%, 30% et 29% respectivement), mais il faut noter que le bureau à domicile fait l'objet d'un projet pour plus d'un propriétaire sur dix (11%). La génération Y (15%) est plus encline à rénover cette pièce que les baby-boomers (8%).Des projets haut de gamme parmi les plus jeunes générations10% des propriétaires qui ont rénové leur logement ont investi 80 000 € ou plus dans leur projet. Parmi ces propriétaires, les baby-boomers ont dépensé 11% de moins en 2019 qu'au cours de l'année précédente. À l'inverse, la génération Y a dépensé 7% de plus par rapport à 2018.L'éclairage et la sécurité avant toutLes luminaires d'intérieur se placent en tête des accessoires technologiques et domotiques les plus achetés pour un projet de rénovation (48%). Viennent ensuite les alarmes et les détecteurs (22%), puis les thermostats (16%). Quant à l'extérieur, les équipements les plus achetés sont les luminaires (21%) et les caméras de surveillance (7%).L'étude Houzz et la Maison L'étude annuelle Houzz et la Maison est la plus exhaustive jamais publiée en matière de rénovation, construction et décoration de la maison. Cette étude couvre une grande variété de projets de rénovation entrepris en 2019 : des travaux de rénovation intérieure ou l'ajout d'une extension aux installations de systèmes, améliorations et projets extérieurs. Les statistiques rassemblées incluent les dépenses effectuées et celles envisagées, la participation d'un professionnel et les motivations et difficultés liées aux projets entrepris. L'étude Houzz et la Maison 2020 compte plus de 8 200 participants en France. Elle représente ainsi l'activité des millions d'utilisateurs uniques mensuels sur Houzz, site web et applications mobiles comprises. L'étude Houzz et la Maison a été envoyée par e-mail aux utilisateurs inscrits sur Houzz France, et les données ont été recueillies en février-mars 2020. L'étude complète est disponible ici.
Il y a 4 ans et 257 jours

L'énergie renouvelable a mieux résisté à la pandémie que le nucléaire

Au 1er trimestre 2020, "le déploiement et la production d'énergies renouvelables ont mieux résisté aux effets de la pandémie (...) que le secteur de l'énergie nucléaire", a relevé l'édition 2020 du World Nuclear Industry Status Report, un rapport annuel consacré au sujet.Sur cette période, la production d'énergies renouvelables a progressé d'environ 3%, tandis que leur part relative dans la production mondiale a augmenté de 1,5 point de pourcentage.Selon les auteurs, cette hausse s'explique essentiellement par une progression "à deux chiffres du pourcentage d'énergie éolienne et d'un bond de la production d'énergie solaire photovoltaïque (PV) issue de projets installés au cours de l'année précédente".La production de nucléaire a en revanche diminué "d'environ 3%" sur la période, en réponse à la baisse de la demande et parce que moins de réacteurs étaient opérationnels dans certaines régions.La Covid-19 "est la première pandémie de cette ampleur" dans l'histoire de l'énergie nucléaire, a souligné le document.Sur l'année 2019, la part de la production d'électricité à partir des énergies renouvelables (hors hydroélectricité) dans le mix énergétique a même dépassé pour la première fois celle de l'énergie nucléaire (10,39% contre 10,35%).L'impact à moyen terme de la pandémie sur le mix énergétique est toutefois "loin d'être clair", selon le rapport.Toujours en 2019, la production annuelle d'électricité nucléaire a augmenté. Elle a atteint 2.657 térawattheures nets (TWh), soit une progression de 3,7% par rapport à 2018 "et seulement 3 TWh de moins que le pic historique de 2006", peut-on lire dans le rapport.La moitié de cette hausse est liée à une augmentation de plus de 19% de la production nucléaire chinoise.
Il y a 4 ans et 257 jours

Logement neuf: les promoteurs de la FPI très pessimistes

Le marché du logement neuf a chuté au deuxième trimestre, période de strict confinement contre le virus, et la construction risque de tourner longtemps au ralenti, prévient la fédération des promoteurs immobiliers.
Il y a 4 ans et 257 jours

Stairs Design Awards : Et les lauréats sont…

Aux vues des restrictions sanitaires, PBM Groupe a adapté le format de la cérémonie de remise des prix de la 2eédition de son concours Stairs Design Awards. Prévue au départ le 2 avril dernier, elle a fini en 100 % live le jeudi 3 septembre dernier, en direct sur Facebook. L’occasion de découvrir les 5 projets lauréats. Pour cette 2eédition, quelque 385 étudiants se sont inscrits et 150 projets ont été reçus. PBM Groupe a invité les internautes et ses salariés à voter pour leur projet favori. Ceci, afin d’élire le prix du public et le prix PBM. Chaque finaliste a présenté son projet dans une vidéo de 3 mn. Retour sur cet évènement virtuel.  Les lauréats des Stairs Design Awards Découvrez en détails les 5 projets lauréats. • 1erprix : Scott Benetto (Ensa Grenoble) pour “Ascension vertébrale” Inspiré par la bio-mécanique, le projet “Ascension vertébrale” reprend le principe structurel d’une colonne vertébrale. Le long d’une poutre en béton en spirale, des “vertèbres” viennent s’appuyer les unes contre les autres. Ceci, pour former un système d’escalier complet. Chaque marche est constituée d’un module duplicable à l’infini. En Bfup, l’escalier est conçu en optimisant la quantité de matière utilisée dans une perspective de durabilité. Le cœur des modules est évidé pour réduire sa masse. Et lui donner une image graphique, presque aérienne. Le 1er prix des Stairs Design Awards a été décerné au projet “Ascension vertébrale”. [©PBM] • 2eprix : Cloé Letellier, Elio Salomon et Killian Rivault (Ensa Paris Val-de-Seine) pour “Binaire” La marche et le limon sont regroupés en un module préfabriqué. La forme de cette pièce en béton permet d’obtenir différents escaliers selon le sens d’assemblage. Placés dans le même sens, ils créent un escalier hélicoïdal. En les alternant, on obtient un escalier droit. Ils peuvent aussi former un palier, en les agençant à la même hauteur. Les modules sont assemblés via deux équerres métalliques. Malgré un matériau massif, cet escalier en béton donne une impression de légèreté grâce à son limon central. Le 2e prix des Stairs Design Awards a été décerné au projet “Binaire”. [©PBM] • 3eprix : Safa Korrich et Christophe Desmazure (MJM Graphic Design Lille) pour “Peel Concrete” Né d’une idée simple, celle d’un mur de béton que l’on éplucherait lamelles après lamelles, le projet “Peel Concrete” est un escalier à la fois graphique et épuré. Fait de béton, l’escalier donne un effet de souplesse et de légèreté à un matériau rigide et massif. Un système de modules préfabriqués en usine facilite son installation par emboîtement. Suspendu, le garde-corps en câbles métalliques vient renforcer cette idée de légèreté, tout en augmentant sa résistance physique. Le 3e prix des Stairs Design Awards a été décerné au projet “Peel Concrete”. [©PBM] • Prix du public : Mélis Cetin (University of East London) pour “Fossil” L’escalier moderne “Fossil” est un exemple de flexibilité du béton avec les marches de forme organique. Il repose sur un socle circulaire en béton entouré d’une bande en bois, qui est la première marche de tout l’escalier. Toutes les marches individuelles sont moulées et montées sur le support intermédiaire en béton. Le design est fini avec une balustrade en bois. Au niveau supérieur, cette dernière est soutenue sur des piles métalliques avec des panneaux de verre. Le prix du public des Stairs Design Awards a été décerné au projet “Fossil”. [©PBM] • Prix PBM : Shanice Aka-Adjo et Olga Golliet (Hepia Genève) pour “Moment présent” Revenir à l’essentiel, vivre l’instant présent. Le projet “Moment présent” prône un retour à l’essence même de l’objet. Et pousse au maximum les capacités du matériau. A savoir, créer un élément simple gardant sa fonction d’origine, alliant science et design. Cet escalier semi-encastré dans un mur est un élément appartenant à l’espace dans lequel il se trouve. Le Bfup permet d’obtenir une épaisseur minimale de 5 cm.  Le prix PBM des Stairs Design Awards a été décerné au projet “Moment présent”. [©PBM]
Il y a 4 ans et 257 jours

Le gouvernement augmente de 300 millions d'euros la ponction déjà prévue sur Action Logement

Cette somme promise à l'organisme de gestion du logement social devait permettre de compenser un manque à gagner à prévoir du fait d'un changement de règles fixant la contribution des entreprises à son financement.Cette nouvelle ponction dans les caisses d'Action Logement l'an prochain s'ajoute celle d'un milliard d'euros décidée par le gouvernement début septembre, critiquée par le Medef, qui cogère l'organisme avec les autres partenaires sociaux, ainsi que par la commission des Affaires économiques du Sénat.Du côté du gouvernement, on justifie cette demande d'efforts à certains secteurs par le contexte de crise."La trésorerie, les ressources, les réserves d'Action Logement se sont beaucoup accrues", avait fait valoir la ministre du Logement Emmanuelle Wargon après l'annonce de la ponction d'un milliard d'euros.Créé en 1953, l'ancien 1% Logement, financé par une taxe versée par les entreprises, est non seulement un géant du logement social, il détient près d'un cinquième des HLM français, mais aussi du logement en général.Et ce n'est pas la première fois que l'État ponctionne l'organisme pour financer la politique publique du logement ou ficeler son budget.L'an dernier, 500 millions d'euros étaient venus alimenter le budget 2020 et lorsque le gouvernement avait réduit, début 2019, les économies demandées à l'ensemble du monde du HLM, il avait décidé de compenser le manque à gagner par un prélèvement de quelque 300 millions d'euros supplémentaires.
Il y a 4 ans et 257 jours

Renégociation d'aides au photovoltaïque: "inconcevable" pour la filière

Le syndicat de la filière du solaire juge "inconcevable" les informations selon lesquelles le gouvernement cherche à renégocier certaines aides au secteur.
Il y a 4 ans et 257 jours

Rockwool lauréat du Grand Prix de la Responsabilité Sociétale des Marques

Le prix a été remis à Matthieu Biens, Directeur marketing et développement, et Gaetan Fouilhoux, Responsable des affaires publiques.« Toute la filière est en train de s'engager dans le recyclage. Le gouvernement et la réglementation poussent à le développer, mais aussi nos clients, les architectes et les maîtres d'ouvrage qui ont parfaitement compris la nécessité d'intégrer la notion de recyclage. Parmi les chantiers, il y a du neuf et de la démolition, la tâche est énorme, cela va du plus petit appartement jusqu'aux salles de sports de 10 000m2. Un chantier tellement complexe qu'il faut y aller petit à petit, quitte à ne pas couvrir toutes les problématiques en une seule fois, mais aujourd'hui cela fonctionne. »-Matthieu Biens« C'est une mise en avant de la question de l'économie circulaire, pas comme un concept, mais avec des actions concrètes et avec humilité. On a appris à marcher pas à pas avec nos clients et avec nos partenaires pour en faire un projet qui est aujourd'hui viable. »-Gaetan FouilhouxDans toutes les usines ROCKWOOL, les chutes et déchets de laine de roche sont déjà recyclés. Avec Rockcycle, reconnu des experts du BTP et détenteur de 2 autres récompenses, les Trophées de la Construction 2019 et les Trophées du Négoce 2019, ROCKWOOL propose aux entreprises du bâtiment un service complet de recyclage des chutes de laine de roche, emballages plastiques et palettes bois.Pour la seule année 2019, le recyclage concernait 159.000 tonnes de matière dans le monde et plus de 500 tonnes en France.« Actuellement, les produits ROCKWOOL contiennent environ 25% de matière recyclée. Certaines lignes de production au sein du groupe sont déjà montées à 50 %, et on peut même imaginer atteindre 75 % avec quelques adaptations et surtout suffisamment de laine de roche à recycler. »-Michel Soria, chef de projet enveloppe métallique du bâtimentAvec cette solution de recyclage des déchets issus de ses produits, ROCKWOOL s'inscrit dans une démarche responsable et engagée. Les plastiques sont recyclés, les palettes réutilisées en l'état ou réparées pour une seconde utilisation dans un atelier dédié dans l'usine et la laine de roche est recyclable à l'infini sans se détériorer. Ce service de reprise et de traitement des déchets anticipe les règlementations de demain et leurs contraintes logistiques et financières. Rockcycle a aussi été pensé comme un outil de prescription s'inscrivant dans une logique d'avenir durable des métiers industriels.Rockcycle en préparation pour s'ouvrir aux chantiers de déconstructionJusqu'à présent, Rockcycle concernait uniquement les chantiers neufs des gammes Bardage, Etanchéité (Toitures-terrasses acier et bois) et Façade sous enduit et ventilée. Ce service concernera également les chantiers de rénovation. La logistique dédiée permettra de prendre en charge tous les déchets en laine de roche.Une procédure simple respectant les impératifs des chantiersLe service Rockcycle est adapté à la taille du chantier. Il comprend un pack avec des fiches de consignes de tri, un formulaire de demande d'enlèvement, et des sacs de déchets appelés « big bags ». Il permet ainsi de trier simplement et efficacement sur le chantier les différents déchets liés à l'utilisation des produits. ROCKWOOL vient récupérer les déchets dans un délai de 10 jours après la demande du client. Les chutes de laine de roche sont par la suite directement réintégrées dans le processus de fabrication de nouvelle laine, dans l'usine auvergnate. « Que nous mettions la laine de roche dans des bennes tout-venant ou en big bags, c'est quasiment la même chose. L'avantage, c'est qu'on sait où partent les déchets et comment ils sont retraités », témoigne Olivier Enes, Directeur d'exploitation chez JCP.Pour rappel, le site de production de ROCKWOOL en France, basé à Saint-Eloy-Les-Mines (Auvergne), est détenteur de quatre certifications internationales pour la mise en place de ses systèmes de management liés à ses démarches : qualité (ISO 9001), environnementale (ISO 14001), énergétique (ISO 50001) et enfin santé et sécurité (OHSAS 18001). Elles témoignent de l'engagement du Groupe à déployer une dynamique de progrès continu dans le cadre de sa politique de développement durable.
Il y a 4 ans et 257 jours

Rénovation énergétique : pour le Plan bâtiment durable, il faut jouer collectif

RAPPORT. Le Plan bâtiment durable et l'organisme de certification Rics France ont remis ce 21 septembre 2020 un rapport à la ministre du Logement, Emmanuelle Wargon, sur les moyens d'amplifier et d'accélérer la rénovation des bâtiments et la redynamisation des centres-villes. Quatre axes majeurs se dégagent des 43 propositions formulées dans le document.