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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 4 ans et 259 jours

TOURS HABITAT engage une démarche ambitieuse de réemploi des matériaux de construction

Soucieux de s’engager fortement sur la question du réemploi des matériaux issus de la déconstruction des bâtiments dans le cadre du renouvellement urbain, Tours Habitat (37) a organisé, le 29 septembre 2020, avec son partenaire maître d’ouvrage Bellastock, une matinée d’informations et d’échanges autour de cette thématique innovante. Les acteurs locaux ont pu échanger et penser collectivement le réemploi des matériaux issus de la déconstruction de plusieurs bâtiments dans le cadre du renouvellement urbain du Sanitas à Tours. Les maîtres d’ouvrage, maitres d’œuvre, entreprises du BTP et entreprises de l’économie sociale et solidaire, ont répondu présent à cette première rencontre, qui a donc été l’occasion d’initier une opération collective ambitieuse, en mettant à profit les ressources du territoire. L’ensemble des participants, y compris le maire de Tours, était invité à manifester son intérêt dans la démarche de réemploi des matériaux de construction au sein du quartier du Sanitas, et plus largement sur le territoire métropolitain, par la signature d’un document symbolique : cap’ réemploi. TOURS HABITAT s’est entouré d’une équipe complémentaire, comptant Bellastock et Inddigo, une équipe constituée d’acteurs impliqués dans l’expertise de déconstruction, réemploi et économie circulaire, de démarches collaboratives et la maîtrise de la qualité environnementale.
Il y a 4 ans et 259 jours

Des bâtiments de Michel Kagan menacés

Signée par des grands noms de l’architecture, une tribune appelle à défendre le travail de Michel Kagan. Alors que les chantiers du nouveau quartier "Massena Bruneseau" commencent à s'imposer dans le paysage Est-parisien, deux bâtiments de 1991 et 2011 situés dans le périmètre sont menacés. Au-delà des questions de pérennité et de prise en compte de l'existant se pose la question de la préservation et de la protection patrimoniale de notre héritage architecturale des XX et XXIème...
Il y a 4 ans et 259 jours

L'avenir du prêt à taux zéro et du Pinel sera fixé au Parlement

L'avenir des deux principales aides à l'achat d'un logement, le prêt à taux zéro (PTZ) et le dispositif Pinel, n'est pas encore fixé en détail et attendra les débats parlementaires sur le budget 2021.
Il y a 4 ans et 259 jours

Tempête Alex : le BTP est déjà sur le pont

Trois jours après le passage de la tempête Alex dans les vallées de la Tinée, de la Roya et de la Vésubie, à l’est des Alpes-Maritimes, le coût des dégâts dépasserait les 200 millions d’euros. Les entreprises du BTP des Alpes-Maritimes travaillent de concert avec les collectivités et l’Etat pour rétablir le minimum de communications. Emmanuel Macron a annoncé sa venue, mercredi 7 octobre, sur les zones sinistrées qui bénéficieront de l’état de catastrophe naturelle.
Il y a 4 ans et 259 jours

Lyon s'engage à son tour dans l'encadrement des loyers

Un feu vert ne fait aucun doute, les écologistes et leurs alliés de gauche détenant la majorité absolue au conseil métropolitain.La possibilité d'encadrer les loyers pendant une durée de cinq ans, ouverte par la loi Elan, vaudra pour les deux principales villes de l'agglomération, Lyon et Villeurbanne, où la situation du logement est la plus tendue.Cette disposition, que les Verts et la gauche avaient promise lors de la campagne des municipales, s'appliquera pour les appartements vides comme pour les meublés.Si la demande lyonnaise devait être acceptée par l'État, s'engagera alors avec les autorités un dialogue pour déterminer un certain nombre de zones. Dans chacune d'elles, le loyer maximum applicable correspondra au loyer médian du quartier plus 20%. Actuellement, ce loyer mensuel médian est supérieur à 12 euros/mètre carré sur l'ensemble formé par Lyon et Villeurbanne et peut y monter à 16,2 euros/m2 pour les petites surfaces."Il ne faut pas fantasmer sur cette mesure, qui est surtout une mesure signal, qui va seulement permettre de freiner l'augmentation des prix", a souligné devant la presse Renaud Payre (Gauche unie), vice-président chargé de l'habitat à la métropole. "On n'est pas en train de dire qu'on va baisser les loyers !".Mais c'est un des leviers qu'entend actionner la métropole pour lutter contre l'inflation des loyers, avec la lutte contre le découpage des grands appartements en petites surfaces (plus rentables) et les abus des plateformes de meublés touristiques.M. Payre a aussi fixé des ambitions plus élevées au nouvel Office foncier solidaire, mis en place par l'ancienne équipe, qui vise à produire davantage de logements en dissociant le prix du foncier de celui du bâti. Il espère construire via cet outil 1.000 logements par an, au lieu de 150 initialement prévus.Instruit par l'expérience parisienne où l'encadrement des loyers a perdu en efficacité au fil du temps, M. Payre a indiqué que ses services travaillaient à la mise en place de "brigades du logement", capables "d'identifier les entorses" à cette mesure et d'en informer les pouvoirs publics.
Il y a 4 ans et 259 jours

Lorenove refond son site Internet, plus performant pour l’optimisation de l’expérience utilisateur

PLUS PERFORMANT, PLUS ERGONOMIQUE, PLUS ACCESSIBLE, LE SITE INTERNET DE LORENOVE A FAIT L’OBJET D’UNE REFONTE DE L’INTERFACE UTILISATEUR. MIS EN LIGNE DÉBUT 2020, CE NOUVEAU SITE OFFRE UNE INTERFACE DE NAVIGATION OPTIMISÉE AUTOUR DU CONTACT CLIENT, DES VALEURS ET DES PRODUITS DE LA MARQUE. OUTIL ESSENTIEL DU PROCESSUS DE VENTE, LE SITE INTERNET DE LORENOVE EST LE 1ER POINT DE CONTACT AVEC LES CLIENTS QUI NE CONNAISSENT PAS LA MARQUE. C’EST AUSSI UN VECTEUR D’INFORMATION POUR CEUX QUI LA CONNAISSENT ET SOUHAITENT EXPLORER LES PRODUITS, PRENDRE CONTACT AVEC LES AGENCES OU FAIRE UNE DEMANDE DE DEVIS. Ainsi, l’objectif 1er de cette refonte était d’optimiser le taux de transformation des visiteurs en prospects. Autrement nommé, taux de conversion, ce travail a été optimisé par l’ensemble des améliorations apportées sur l’ergonomie, la navigation, les liens et le référencement naturel. Les résultats sont concluants puisque le taux de conversion est passé de 2,9% en 2019 à 5,5% en 2020. Également, les campagnes menées sur les 6 premiers mois de 2020 via Facebook Ads, Google Ads et Bing Ads ont permis une augmentation de 94% du taux de conversion des contacts par rapport à n-1, en dépit d’une baisse de contact durant la période du Covid.           Les principaux axes d’amélioration L’expérience utilisateur, au centre des objectifs d’amélioration du site, est optimisée par une organisation nouvelle et des contenus particulièrement travaillés, parmi lesquels : – L’évolution de l’ergonomie, notamment sur mobile, afin de faciliter la navigation. L’information et les pages du site ont été hiérarchisées et réorganisées afin d’être moins diffuses et plus pertinentes dans la recherche d’information. – L’amélioration de l’expérience utilisateur par des informations accessibles au premier coup d’œil et des points de contact beaucoup plus visibles dans la masse d’informations du site. Pour exemple les boutons « Demande de devis », « Trouver une agence » ou « Être rappeler » sont mis en évidence. Leurs contenus ont été optimisés afin de favoriser la conversion des contacts. La page de contact avec la demande de devis classique a laissé place à un formulaire de devis en entonnoir ; établi en 3 étapes (sélection du produit / code postal / coordonnées) qui guide au mieux l’internaute dans sa démarche. – L’accroissement de la vitesse de chargement, notamment sur mobile. Un travail a été porté sur l’allègement des pages et des ressources (code, image, gif, etc.) afin de les rendre moins lourdes et d’accélérer leur chargement. Ce travail a permis la diminution de 16% du temps de chargement. Il a véritablement amélioré la navigation des utilisateurs sur le site en permettant de réduire efficacement de 89 % le taux de rebond des internautes et d’accroître les pages vues par sessions de plus de 104%. – L’optimisation du référencement naturel par des contenus plus accessibles. Un travail a été effectué sur la structure technique des pages afin d’optimiser les contenus et les balises. Une caractérisation plus pointue a été apportée aux titres, aux termes employés ainsi qu’aux mots clés dans les contenus. Le référencement et, par conséquent, la visibilité des pages des concessionnaires et agences ont notamment bien progressé avec + 13% de visites. Les pages produits enregistrent + 34 % et les pages des réalisations des concessionnaires marquent une véritable impulsion de + 147 % de visites liées au référencement naturel. – La mise en valeur des éléments de réassurance. Plus exposés qu’avant, les éléments de réassurance et arguments clés sur le savoir-faire de l’entreprise, l’histoire du Groupe, les avis clients, etc. ont pour but de partager des expériences identifiables, des valeurs humaines et de rappeler le travail de la marque et de ses concessionnaires, mobilisés et engagés pour la satisfaction du client. Cette réassurance se voit notamment renforcée par la mise en place d’avis clients (avec le site Avis Vérifiés) qui remontent sur les pages des concessionnaires, agences et en page d’accueil et mettent en lumière les avis des clients suite au travail effectué chez eux. Ce partenariat avec ce prestataire externe entre dans le cadre du perfectionnement de la relation client chez Lorenove. Reconnu pour l’évaluation et la vérification des commentaires clients, Avis Vérifiés permet à Lorenove de disposer d’une évaluation notée individuellement par point de vente ainsi que global pour tout le réseau. Affichée de manière très visible sur le site, cette communication vise à intégrer clairement la notion de la perception client : meilleurs ambassadeurs de la marque ! Tous les concessionnaires et agences disposent toujours de leur propre espace en ligne. Un site « local » à part entière leur est dédié, mettant en valeur leurs informations pratiques. Ils peuvent y poster leurs actualités, leurs chantiers avec leurs propres photos, etc. – L’amélioration du design pour un site plus actuel, avec des onglets et des boutons plus visibles pour une information plus rapidement accessible. Au global, la page d’accueil qui rassemble toutes les informations clés pour les clients (demande de devis, produits, contact, avis clients…) est la plus visitée du site avec 10% des visites. 8,2 % des visites se concentrent ensuite sur la page de demande de devis ; une bonne visibilité qui s’explique notamment par les annonces Google directement reliées à cette page. Les pages sur les fenêtres, portes et volets sont, ensuite, les plus recherchées sur le site.    
Il y a 4 ans et 259 jours

Travail illégal : plusieurs centaines de contrôles en quelques jours à la mi-septembre

FRAUDES. En collaboration avec l'agence européenne de répression de la criminalité, l'Inspection française du travail a mené plus de 450 contrôles contre le travail illégal et la traite d'êtres humains du 14 au 20 septembre 2020. Le BTP fait partie des secteurs d'activité examinés en priorité.
Il y a 4 ans et 259 jours

L'Assemblée se prononce pour une résiliation "à tout moment" de l'assurance d'un crédit immobilier

Ce vote concerne une disposition du projet de loi dite "Asap", texte qui contient une kyrielle de mesures destinées à simplifier les démarches des administrations, entreprises et particuliers.Ce nouveau dispositif sur l'assurance emprunteur ne figurait pas dans le projet initial du gouvernement.La ministre déléguée à l'Industrie Agnès Pannier-Runacher s'y est montrée à nouveau hostile vendredi en séance: "Les banques vont monter le coût de l'assurance, la perversité de ce dispositif (de résiliation à tout moment) pourrait être que les plus vulnérables paient plus".De plus, elle a avancé un "problème de méthode" alors que le Comité consultatif du secteur financier (CCSF) travaille sur ces questions.Mme Pannier-Runacher a rappelé qu'en matière d'assurance emprunteur, "la première année vous pouvez résilier à tout moment, c'est ouvert. Et chaque année" ensuite, ce qui est suffisant selon elle.La possibilité de résiliation à tout moment a été introduite par un amendement en commission spéciale, à l'initiative de députées du groupe Agir Ensemble, qui fait partie de la majorité.L'objectif est de faciliter le changement d'organisme d'assurance par les emprunteurs, et de faire jouer davantage une concurrence susceptible de faire baisser les tarifs. Une des initiatrices de la mesure, Patricia Lemoine, a répété vendredi que "6.500 à 15.000 euros d'économies" pouvaient être espérées sur la durée du contrat.La France compterait quelque 6 millions de particuliers détenteurs d'un crédit immobilier, générant environ 6 milliards d'euros par an de cotisations d'assurances, selon des chiffres fournis dans le rapport de la commission spéciale.Minoritaire au sein de LREM, Daniel Labaronne a cherché en vain à revenir à la version qu'avait adoptée le Sénat en première lecture, qui se contentait de clarifier les modalités de la résiliation à l'échéance annuelle.Une fois adopté mardi prochain dans sa globalité, le projet de loi Asap fera l'objet d'une tentative de compromis entre députés et sénateurs en commission mixte paritaire (CMP). La mesure sur l'assurance emprunteur, qui agite le milieu bancaire et des assurances, ainsi que les associations de consommateurs, pourrait donc encore évoluer.
Il y a 4 ans et 259 jours

Les majors du BTP face à la crise

INFOGRAPHIE. Comme l'ensemble du secteur de la construction, la diffusion rapide de l'épidémie de covid-19 a eu de lourds impacts sur l'activité des 3 plus grands groupes français de BTP que sont Vinci, Bouygues et Eiffage. Conséquences sur le chiffre d'affaires, répartition de l'activité, et perspectives : Batiactu vous propose un retour sur le début de l'année 2020 de ces entreprises grâce à une infographie.
Il y a 4 ans et 259 jours

Le siège social de Viega France s'implante à Strasbourg

VIE DES ENTREPRISES. Le fabricant de tuyauteries, Viega, va déplacer son siège français à Strasbourg en 2021. Un changement qui traduit les ambitions de la filiale française du groupe.
Il y a 4 ans et 259 jours

Le gouvernement détaille les nouveaux barèmes de MaPrimeRénov'

Deux milliards d'euros supplémentaires sont prévus sur deux ans, afin d'accélérer la rénovation des 4,8 millions de "passoires thermiques" qui existent encore en France.Quatre catégories ont été mises en place (bleu, jaune, violet et rose) en fonction du revenu fiscal de référence.Un simulateur en ligne(https://www.faire.gouv.fr/aides-de-financement/simulaides) permet de déterminer sa catégorie, alors que l'aide excluait initialement les foyers les plus aisés.Les travaux éligibles concernent notamment le changement du système de chauffage, l'installation d'une ventilation ou l'isolation d'une maison.Le dispositif de certificats d'économie d'énergie (CEE), qui oblige les fournisseurs d'énergie à financer des actions d'économies d'énergie sous peine de pénalités, est cumulable avec MaPrimeRénov', qui remplace depuis le 1er janvier le crédit d'impôt à la transition énergétique (CITE).Ainsi, pour les ménages les plus modestes, MaPrimeRénov' permet de recevoir une aide de 10.000 euros pour l'installation d'une chaudière à granulés, sans compter l'apport des CEE, selon le ministère de la Transition écologique.Au global, cette aide pourra aller jusqu'à 90% du montant des travaux pour les foyers les plus modestes.L'aide s'adresse également désormais aux bailleurs et aux copropriétés, pour des travaux de rénovation globale.Pour lire le dossier complet du Ministère de la Transition écologique : cliquez ici.
Il y a 4 ans et 259 jours

Covid-19 : le gouvernement prône le télétravail, les syndicats réclament un cadre clair

"De nombreux postes de travail permettent un travail à distance et des rotations peuvent s'organiser afin de limiter l'impact sur le collectif de travail", a expliqué la ministre du Travail, Elisabeth Borne, lors d'une rencontre avec les syndicats et le patronat, appelant à recourir "autant que possible" au télétravail dans ces zones, dont Paris et la petite couronne.La veille au soir, Matignon avait souhaité que le télétravail soit "plus que jamais" privilégié au vu de la multiplication des cas de contamination.Aurélien Rousseau, directeur général de l'Agence régionale de santé d'Ile-de-France, a annoncé lundi que 203 foyers de contamination étaient actifs en région parisienne: "Un peu moins de 40% dans le milieu scolaire et universitaire, 26% dans le milieu professionnel et 10% dans des rassemblements privés".Le protocole sanitaire ne change pas. Interrogés par l'AFP, syndicats et patronat jugent inutile de le faire.Mis à jour le 17 septembre, ce texte indique que "le télétravail demeure un mode d'organisation recommandé", notamment pour "limiter l'affluence dans les transports en commun"."Compte tenue de la situation actuelle avec une circulation du virus qui continue, la mise en oeuvre du télétravail peut être considérée comme un aménagement du poste de travail rendu nécessaire pour permettre la continuité de l'activité de l'entreprise et garantir la protection des salariés", ajoute-t-il. Pour cette raison, sa mise en oeuvre "ne nécessite aucun formalisme particulier"."Généralisation du télétravail"Le texte dit toutefois qu'"aucune disposition" ne peut imposer à l'employeur de donner suite à une demande de télétravail, mais "si le poste est éligible au télétravail, l'employeur doit motiver son refus".Si cette forme de travail a été massivement développée pendant le confinement, avec seulement un quart des salariés travaillant sur site en mars, la tendance a sensiblement changé avec le déconfinement: depuis juillet un salarié sur dix poursuivait son activité à distance.Depuis septembre, "les entreprises ont eu tendance à faire revenir les salariés sur site", dit Eric Chevée, chargé du dossier télétravail à la CPME. Cette tendance a été "freinée à partir d'octobre à cause de la progression de la maladie", tempère-t-il.Depuis septembre, "ces recommandations de télétravail sont suivies de loin", témoigne Jérôme Vivenza, secrétaire confédéral à la CGT, assurant que les entreprises invitent les salariés à revenir travailler "en présentiel".Les déclarations gouvernementales depuis dimanche vont faire "redémarrer un cycle d'encouragement au télétravail", estime Cyril Chabanier, président de la CFTC.Alors qu'une négociation en vue d'un accord national interprofessionnel (Ani) doit démarrer le 3 novembre, les syndicats regrettent que le patronat ait traîné des pieds depuis le printemps pour consentir à ouvrir ces discussions."Il risque d'y avoir des réticences à reprendre le télétravail car beaucoup de questions posées pendant le confinement sont restées en suspens. La négociation aurait pu y répondre", dit M. Vivenza.Parmi les sujets sur la table de la négociation, les syndicats souhaitent aborder la charge de travail, la prise en charge de coûts directement liés au télétravail et la déconnexion, la protection des données, la problématique de la garde des enfants lorsque les classes sont fermées, les personnes vulnérables, l'égalité femmes-hommes, etc.Pas sûr que la négociation aboutisse à un consensus, car le Medef a prévenu qu'il souhaitait que le texte ne soit "ni normatif", "ni prescriptif", au grand dam des syndicats."Nous ne sommes pas sur l'idée de modifier le corpus réglementaire", confirme M. Chevée, soulignant que depuis janvier, près de 600 accords sur le télétravail ont été signés, prévoyant notamment deux à trois jours de télétravail par semaine."Ça fait des mois qu'on réclame un Ani. Il faut que le gouvernement mette la pression sur le patronat pour un accord normatif rapide, alors qu'on se dirige peut-être à nouveau vers une généralisation du télétravail", répond M. Chabanier.
Il y a 4 ans et 259 jours

Concession, acquisition, négociation... le groupe Vinci sur plusieurs fronts

STRATEGIE. L'entreprise dirigée par Xavier Huillard a annoncé en quelques jours plusieurs opérations importantes, à coup de croissances externes finalisées ou à venir et de contrat d'envergure en Afrique.
Il y a 4 ans et 260 jours

La relocalisation en région de services des finances publiques avance

Le ministère de l'Économie a détaillé la liste des services de la direction des finances publiques (DGFiP) qui commenceront à être décentralisés dans 50 villes moyennes à partir de 2021.A Bercy, devant les maires des communes choisies, le ministre Bruno Le Maire a défendu "une transformation en profondeur" de la DGFiP et "plus largement une transformation en profondeur de l'État".L'objectif est in fine de déplacer 2.500 agents, sur la base du volontariat, de l'Ile-de-France vers des villes comme Chaumont (Haute-Marne), Lisieux (Calvados), Nevers (Nièvre), Pau (Pyrénées-Atlantiques)...Cette "relocalisation, c'est un objectif politique majeur", a assuré Bruno Le Maire, faisant le parallèle avec la volonté du gouvernement de relocaliser des activités industrielles en France."Cette relocalisation doit aussi se décliner sur le plan administratif. Il faut irriguer les territoires", et parfois "réparer des départs opérés il y a quelques années", a-t-il ajouté, citant la fermeture de garnisons qui a fortement contribué à la désertification de certaines petites villes."Les villes moyennes ont été les grandes oubliées pendant des décennies de l'aménagement du territoire", a résumé Christine Guillermy, maire de Chaumont. Sa ville "perd 100 habitants par an depuis 15 ans", a-t-elle ajouté. Une vingtaine d'emplois y seront créés en 2022 via l'installation d'une antenne du service des impôts des entreprises."Quand vous installez une quarantaine de familles dans une ville de 10 ou 20.000 habitants, vous participez vraiment à la revitalisation des centres-villes", s'est félicité le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt."Réforme Potemkine"Mais les services relocalisés "ont en commun de n'être que des structures d'appui, non accessibles au public et de ne délivrer aucun service à la population dans les territoires d'implantation", a réagi mercredi soir l'intersyndicale des Finances publiques dans un communiqué."Solidaires Finances Publiques, CGT Finances Publiques, F.O.-DGFiP et CFDT/CFTC Finances Publiques dénoncent cette méthode qui s'apparente à un plan social et met à mal une administration indispensable à l'ensemble des acteurs et à la vie économiques du pays", ont affirmé ces organisations.Elles estiment que "la modestie des effectifs relocalisés par redéploiement sur fond de poursuite des suppressions d'emplois interdit de considérer cette réforme +Potemkine+ comme une solution satisfaisante à des décennies de déménagement du territoire".Elles considèrent qu'à l'horizon 2022, 4.900 emplois supplémentaires seront supprimés ainsi que plus de 1.000 implantations territoriales.Au total, le gouvernement veut relocaliser dans les prochaines années 6.000 agents de la fonction publique d'État.Au côté d'autres initiatives du gouvernement, comme le programme "Cœur de ville" pour revitaliser les centres des villes d'entre 10.000 et 100.000 habitants, le gouvernement espère ainsi contribuer à la dynamisation de ces territoires.En octobre 2019, Bercy avait lancé un appel à candidatures en vue de sélectionner les communes intéressées par cette décentralisation. Plus de 400 avaient répondu et 50 ont été retenues en janvier dernier. Une quinzaine de nouvelles communes doivent encore être sélectionnées cet automne.Les services concernés seront notamment ceux d'appui à la publicité foncière, des plateformes d'accueil à distance pour les particuliers, des services de contrôle fiscal à distance, de gestion des payes et des retraites des fonctionnaires.
Il y a 4 ans et 260 jours

Le projet contesté de prison à Limeil-Brévannes dans le Val-de-Marne est abandonné

"Victoire ! Le garde des Sceaux, Eric Dupond-Moretti, vient de me confirmer que le projet de prison de Limeil-Brévannes n'aura pas lieu", s'est félicité jeudi soir le député LREM du Val-de-Marne Laurent Saint-Martin."L'accomplissement de plus de deux ans de mobilisation aux côtés de la maire Françoise Lecoufle, des élus locaux et des Brévannais", a-t-il ajouté.Dans une lettre datée du 28 septembre et publiée jeudi soir par le député, le garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti explique avoir "été sensible" aux arguments avancés par les opposants au projet de cette structure d'accompagnement vers la sortie (SAS)."Le site initialement envisagé ne présente malheureusement pas toutes les conditions requises pour accueillir une telle structure", note le ministre de la Justice."Je suis comme vous particulièrement sensible à ce que l'implantation d'une SAS soit compatible avec le tissu urbain et économique local. Dans ces conditions, je vous confirme que le site de Limeil-Brévannes ne sera pas retenu".L'annonce de ce projet en mars 2018 avait fait descendre plus d'un millier de personnes dans les rues de la ville pour dénoncer un projet mettant en péril, selon ses opposants, un projet de téléphérique attendu de longue date ainsi qu'une zone d'activité économique.Au total, selon la maire Françoise Lecoufle qui a exprimé son "immense soulagement" à l'annonce de l'abandon de la SAS, plus de 150 parlementaires et élus locaux se sont mobilisés contre le projet et la pétition lancée a recueilli plus de 8.600 signatures.
Il y a 4 ans et 260 jours

A Béthune, l’étoile du cinéma, c’est Olivier Palatre ?

L’agence parisienne Olivier Palatre architectes a livré en mars 2020 à Béthune (Pas-de-Calais) Etoile Cinéma, un multiplex de neuf salles incluant un restaurant et l’aménagement du parvis. Une surface de 5 742 m² sdp et un budget de 7,2M€ HT pour un plateau interconnecté en cœur de ville. Communiqué.  Située avenue de Lens, en prolongement […] L’article A Béthune, l’étoile du cinéma, c’est Olivier Palatre ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 260 jours

CLAVIERS CODÉS URMET : NOUVELLE GAMME

La gamme des claviers codés Urmet compte dorénavant 6 références et elle s’étoffe des accessoires indispensables : les visières et boitiers saillie, les plaques de propreté. L’inox 316L microbillé garantit une robustesse à toute épreuve. L’électronique et les dimensions restent inchangés par rapport aux claviers précédents. Les claviers offrent donc toujours l’encombrement le plus faible du marché, mais tous les prix ont été revus à la baisse. Les claviers Zamac, avec la même finition que les plaques de rue 2Voice, permettent de créer un ensemble élégant quand les deux sont nécessaires, comme par exemple sur une entrée avec sas. Le Zamac gris existe aussi en version connectée. Les petits claviers compacts sont bien entendus toujours au catalogue.
Il y a 4 ans et 260 jours

Cameleo, la nouvelle structure plancher dalle préfabriquée de Rector

Pour répondre à cet enjeu, RECTOR fait bouger les lignes et crée Caméléo®, une structure plancher-dalle préfabriquée en béton sans mur porteur qui intègre tous les éléments résistants dans l'épaisseur du plancher. Composée d'une trame de poteaux et d'une dalle en béton armé, Caméléo® permet la construction de bâtiments évolutifs dont les espaces intérieurs et les façades peuvent être facilement reconfigurés au fil du temps.Caméléo® : anticiper la transformation dès la conception de l'ouvrageComment concevoir des bâtiments pérennes, pensés structurellement pour être évolutifs et se convertir facilement en immeubles de logements ou en espaces tertiaires ? Pour répondre à ce nouveau défi aux côtés des architectes, RECTOR a développé Caméléo®, une structure en béton conçue sur-mesure et préfabriquée en usine pour s'affranchir des murs porteurs et intégrer tous les éléments résistants dans l'épaisseur du plancher.Grâce à sa grande adaptabilité (pas de retombées de poutres, ni de cloisonnements lourds), les plateaux libres se prêtent à toutes les configurations et le bâtiment construit aujourd'hui s'adapte aisément à de nouveaux usages demain. La transformation peut être ainsi prévue dès la conception de l'ouvrage en choisissant judicieusement l'emplacement des poteaux.« Avec Caméléo®, les bâtiments vont devenir des structures plus pérennes puisqu'ils ne sont plus encombrés d'éléments qui perturbent leur évolution et leur modularité dans le temps »-François Pélegrin, Agence Architecture Pélegrin, ParisRECTOR laisse ainsi aux architectes toute latitude pour exprimer leur créativité dans un cadre évolutif, tout en minimisant les coûts et l'impact environnemental des reconversions.Gain de temps de travaux et maîtrise des coûts de la construction à la reconversionDotée d'une grande adaptabilité et d'une mise en œuvre réduisant le temps de réalisation de 25% par rapport au béton banché, Caméléo® offre de nombreux avantages économiques. Les frais liés au personnel et à la location d'équipement sont réduits d'autant.Afin de faciliter le travail des maçons, de réduire la pénibilité sur les chantiers et de garantir la bonne mise en œuvre sur site, la nappe inférieure, les armatures anti-poinçonnement et les points clefs du ferraillage sont intégrés dans la prédalle SPD constituant la structure de Caméléo® en usine.En liaison avec le maître d'œuvre et/ou l'entreprise de gros œuvre, le service logistique de RECTOR assure une livraison cadencée sur le chantier de la structure Caméléo® (prédalles, SPD, poteaux, prémurs, etc.) en fonction de l'avancement des travaux et des contraintes du site afin d'en améliorer l'organisation et l'efficacité.A court terme, la livraison anticipée du bâtiment permet au futur gestionnaire de dégager une plus-value grâce à la perception précoce des premiers loyers par rapport à une solution traditionnelle. A plus long terme, la grande adaptabilité de Caméléo® réduit mécaniquement le coût de transformation de l'immeuble au moment de sa reconversion.Un impact environnemental significativement amélioréAvec Caméléo®, RECTOR exploite les performances mécaniques du béton armé pour alléger la structure au maximum et contribuer ainsi à la sobriété environnementale du bâtiment. Cette solution innovante permet de mettre en œuvre des façades légères et des matériaux biosourcés dont l'empreinte carbone est faible, et ce quel que soit le stade du projet (conception, exploitation ou rénovation lourde).Choisir Caméléo® pour réaliser un bâtiment, c'est aussi augmenter sa durée de vie. Construit pour ne pas être détruit mais seulement transformé, le bâtiment ainsi conçu permet de faire une économie importante de matériaux et donc de CO2 au moment de sa reconversion. Cette nouvelle structure permet de s'inscrire dans une démarche d'éco-conception pérenne en prolongeant le cycle de vie du bâtiment grâce à l'anticipation de sa future destination.Telle le caméléon, la nouvelle structure plancher dalle préfabriquée Caméléo® de RECTOR a la capacité de s'adapter pour qu'un bâtiment accompagne les évolutions des modes de vie tout en minimisant, par anticipation, l'ampleur, le coût et l'impact environnemental des transformations.
Il y a 4 ans et 260 jours

Biogaz: le gouvernement veut revoir sa politique de soutien à la filière

La ministre de la Transition écologique Barbara Pompili a défendu la réduction du soutien budgétaire à la filière biogaz, tout en assurant aux professionnels que d'autres formes de soutien étaient à l'étude.
Il y a 4 ans et 260 jours

La maison-mère de Leroy Merlin cède les murs de 42 magasins

Adeo, maison-mère de Leroy Merlin appartenant à la famille Mulliez, a cédé l'immobilier de 42 magasins en Europe pour 500 millions d'euros dans le cadre d'un "rééquilibrage".
Il y a 4 ans et 260 jours

Psychoarchitecture

Carte blanche artistique à Christophe Berdaguer et Marie Péjus. Psychoarchitecture est une installation dans l’espace Science actualités, au cœur de l’exposition Maison imprimée : l’habitat du futur. Depuis le 15 septembre 2020, exposition permanente à la Cité des sciences et de l’industrie. Maison imprimée : l’habitat du futur ? Les toutes premières maisons imprimées en […] L’article Psychoarchitecture est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 261 jours

Centre technique de Rixheim, par MFA Architects et Nicola Martinoli Architecte

A Rixheim, en Alsace (Haut-Rhin), MFA Architects et Nicola Martinoli Architecte ont livré un centre technique de 1 620 m² dont le programme compte une base de vie, une serre, des espaces de travail, un atelier mécanique, des garages et 12 000 m² d’aménagements extérieurs. L’acier au service d’un bâtiment contextuel. « Un contexte agricole d’une […] L’article Centre technique de Rixheim, par MFA Architects et Nicola Martinoli Architecte est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 262 jours

Les armées françaises se mettent à l'énergie verte

"Consommer moins, mieux et sûr" : tel est le credo de la stratégie énergétique de défense détaillée par la ministre des Armées, Florence Parly."Une stratégie qui garantit la résilience de nos approvisionnements énergétiques, qui renforce notre souveraineté, soutient notre liberté d'action et qui répond aussi aux préoccupations des Français", a-t-elle fait valoir dans un discours au Centre de soutien logistique du service des essences des armées (CSLSEA) à Montereau, en Seine-et-Marne, dans la région parisienne.Plus gros consommateur énergétique de l'État français, le ministère des Armées a utilisé 835.000 m3 de produits pétroliers en 2019, soit une facture de près de 670 millions d'euros.Les trois quarts (73%) de la consommation énergétique des armées sont consacrés à la mobilité des avions, des navires et des véhicules militaires terrestres, le quart restant (27%) aux infrastructures. Au-delà du souci de limiter les coûts et l'impact environnemental, l'enjeu est hautement stratégique : il s'agit de réduire la dépendance des armées françaises aux approvisionnements en pétrole, à l'heure où les tensions géopolitiques s'accroissent dans le domaine de l'énergie.Russie, pays du Golfe, "les ressources sont de plus en plus localisées dans des zones de conflit ou au sein de pays qui n'hésiteront pas à utiliser l'arme énergétique pour limiter notre liberté d'action", alors même que "nos besoins augmentent", constate Mme Parly.D'où la volonté de "verdir" les opérations militaires françaises, tout en les faisant gagner en efficacité."Avoir des systèmes hybrides, électriques et plus propres, cela a aussi une finalité opérationnelle. Cela veut dire être plus silencieux, plus autonome et plus résilient", explique la ministre.Biocarburants et batteries électriquesCôté terrestre, un démonstrateur de véhicule blindé - une sorte de pré-prototype destiné à valider la faisabilité d'un concept - Griffon hybride doit voir le jour en 2025.Le projet Ecocamp 2025, quant à lui, vise à augmenter l'autonomie en eau et en énergie des camps militaires déployés pour des opérations à l'étranger. Dans le secteur aéronautique, qui représente la moitié de sa consommation énergétique, le ministère prévoit d'investir dans la recherche et le développement de carburants alternatifs.Objectif : atteindre d'ici à 2030 une teneur au moins égale à 5% de biocarburant dans les carburéacteurs consommés par les armées françaises. La partie simulation virtuelle sera par ailleurs augmentée dans l'entraînement des pilotes.Et dans le domaine naval, "nous continuerons d'optimiser l'architecture de nos bâtiments et de travailler à des modes de propulsion hybrides", promet Mme Parly, rappelant que plusieurs navires en sont déjà équipés, avec des résultats concluants : "un chaland multi-missions hybride utilise sa batterie électrique 75% du temps".Désormais, les programmes d'armement incluront systématiquement des exigences d'éco-conception et d'efficacité énergétique. Et d'ici 2025, les armées prévoient de consacrer 60 millions d'euros au développement de projets innovants en matière d'énergie.Un effort sera également fait pour "verdir" les infrastructures. Les 1.600 chaufferies au charbon et au fioul lourd ainsi que les chaufferies les plus polluantes qui équipent les bases militaires françaises seront supprimées d'ici à 2031.D'ici à 2022, 2.000 hectares de terrains militaires accueilleront des panneaux solaires. Parmi les initiatives déjà mises en place, la base française des Iles Glorieuses, dans l'océan Indien, est alimentée depuis juillet par un groupe électrogène hybride photovoltaïque/hydrogène, en lieu et place d'un groupe électrogène diesel.Pour accompagner ces changements, des formations aux enjeux énergétiques et à la "sobriété numérique" seront prodiguées aux 25.000 jeunes qui rejoignent chaque année les forces armées, promet la ministre.
Il y a 4 ans et 262 jours

Des panneaux solaires, oui, mais pas à la place des champs, disent les chambres d'agriculture

"L'État affiche une ambition très forte de soutien aux énergies renouvelables" qui "donne lieu à des démarches anarchiques de porteurs et des développeurs de projets, sans associer suffisamment la profession agricole", déplorent les chambres d'agriculture dans un communiqué.Elles "considèrent que l'implantation de panneaux solaires sur des sols agricoles, naturels ou forestiers doit par principe être interdite, en évitant l'implantation de centrales solaires lorsque les surfaces concernées ont conservé une vocation agricole et sont susceptibles d'être rétrocédées pour un usage agricole".Selon les chambres, de telles implantations ne peuvent s'envisager "qu'à titre exceptionnel dans des conditions à établir en Commission départementale de préservation des espaces naturels, agricoles et forestiers (CDPENAF) en se fondant sur des critères objectifs".Elles précisent en revanche qu'elles "porteront une attention particulière aux retours d'expériences sur les projets d'agrivoltaïsme", pratique consistant à installer des panneaux solaires mobiles au-dessus des plantations.En juillet, un rapport parlementaire suggérait de soutenir ces projets qui évitent d'utiliser du foncier supplémentaire.Selon ce rapport, le secteur agricole, avec au moins 50.000 exploitations concernées, assure déjà 20% de la production d'énergies renouvelables (soit 3,5% de la production nationale d'énergie), dont 96% de la production nationale de biocarburants, 26% du biogaz, et via son foncier 83% de l'éolien et 13% du solaire photovoltaïque.
Il y a 4 ans et 262 jours

Une ferme du Morbihan ambassadrice de la méthanisation "vertueuse"

En ce vendredi de septembre, la ferme des Moulins de Kerollet organise des "portes ouvertes" avant le lancement d'une enquête publique pour agrandir le troupeau de 220 à 290 vaches et faire passer l'unité de méthanisation de 60 à 75 tonnes de matières par jour. Le GAEC est transformé en foire d'exposition, panneaux explicatifs et "innovations" à la clé, tel ce matelas réfrigérant destiné à faciliter la rumination des vaches."De l'extérieur, ça peut faire penser à une ferme-usine mais notre méthaniseur est alimenté à 75% par des déchets de l'exploitation et il est dimensionné en fonction de notre élevage", plaide l'agriculteur de 47 ans, installé à Arzal (Morbihan).Depuis qu'ils ont repris l'exploitation familiale en 2000, Bruno et Erwan Calle, associés à Ludovic Jarligant en 2010, aiment les défis: toitures couvertes de panneaux photovoltaïques, unité de méthanisation alimentant 1.000 foyers en électricité, quasi auto-suffisance pour l'alimentation du bétail, non labour, recherche de l'autonomie protéinique..."On essaye de tendre vers plus de résilience, moins de dépendance au soja brésilien", explique Bruno Calle, chemise bleue siglée à son nom, qui a investi trois millions d'euros dans la "métha" en 2012 pour "ramener de la valeur ajoutée face à des prix du lait de moins en moins rémunérateurs"."Certaines critiques pensent que la méthanisation va remplacer l'élevage mais nous, on l'a consolidé, avec deux millions de litres de lait aujourd'hui contre 1,2 il y a huit ans", poursuit le quadragénaire qui a, entre temps, augmenté son troupeau de 60 vaches et tire 40% de ses revenus de la production d'énergie."jury de nez"Sur une feuille distribuée aux visiteurs, un schéma sophistiqué de la ferme: les quadragénaires entendent démontrer qu'ils pratiquent une forme d'"agriculture circulaire". Fumiers, lisiers, fourrages de médiocre qualité, et bientôt effluents d'éleveurs voisins en remplacement de coproduits payants de l'industrie agro-alimentaire, sont valorisés en électricité. La chaleur de la cogénération est réutilisée pour sécher et améliorer la qualité des fourrages, ainsi que du bois. Et demain, pourquoi pas un centre de données ?Depuis juin, le GAEC a décroché le Graal: la certification Haute valeur environnementale (HVE), encouragée par le plan de relance gouvernemental. "On n'utilise plus d'engrais chimiques, le taux de matière organique dans le sol a augmenté, et on a réduit de 30% notre dépendance au soja sud-américain grâce à la luzerne", se félicite Bruno Calle.Quant aux produits phytosanitaires, "tout dépend de la météo mais l'an dernier on a divisé par deux notre utilisation de glyphosate grâce à des outils pour scalper l'herbe", assure Ludovic Jarligant.Si le tableau semble parfait, le GAEC a pourtant déjà été condamné à deux reprises pour déversement accidentel de digestat dans le ruisseau voisin. L'association Eau et Rivières de Bretagne, opposée à la méthanisation, a recensé "six pollutions et plusieurs mises en demeure". Elle évoque un "comportement très négligent", voire une "délinquance environnementale"."On a été pionniers et on a essuyé les plâtres, mais il est vrai aussi qu'on n'a pas été bons et on plaide coupable", répondent les intéressés, qui ont installé depuis un "triple système de sécurité".Pour contrôler les odeurs dont se plaignent les riverains, ils ont mobilisé un "jury de nez" et épandent le digestat "au plus près du sol" par tuyaux. Un chemin a également été empierré pour éviter les ballets de tracteurs dans le lotissement voisin.Malgré ces investissements "pour acheter la paix avec les voisins", la méfiance subsiste. "Ça prend une ampleur dingue, c'est une usine, on se demande où ils vont s'arrêter", s'interroge Jacqueline Mollé, une riveraine, qui sent encore "des odeurs". "Ils ont tendance à construire puis à faire régulariser, ce que la réglementation permet, même deux années après", regrette-t-elle.
Il y a 4 ans et 262 jours

Les renouvelables ont couvert un tiers de la consommation électrique au 2e trimestre 2020

ÉNERGIE. Un tiers de la consommation électrique de la France métropolitaine a été couvert par les énergies renouvelables au deuxième trimestre 2020, d'après le Panorama de l'électricité verte établi par plusieurs organisations du secteur. La puissance totale du parc électrique renouvelable était de 54.690 MW à fin juin 2020.
Il y a 4 ans et 262 jours

Chute des réservations de logements pour Kaufman & Broad

RÉSULTATS. Le promoteur français Kaufman & Broad a annoncé, le 1er octobre, à l'occasion de la présentation de ses résultats trimestriels, une nette baisse de ses ventes pendant l'été, en l'expliquant par ses difficultés à proposer une offre soutenue à cause des blocages autour des permis de construire.
Il y a 4 ans et 262 jours

Gecina s'associe à Nexity et accélère sur le logement

INVESTISSEURS. Gecina et Nexity, deux des principaux groupes immobiliers français, vont créer une entreprise en commun afin de construire puis louer des logements dans les grandes villes françaises.
Il y a 4 ans et 262 jours

L'Assemblée nationale muscle le nouveau dispositif antisquatteurs

La mesure a été votée par 37 voix contre une, celle d'un Insoumis, à l'issue de débats entamés mercredi, au cours desquels des cas très médiatisés de propriétaires victimes d'occupations illégales ont été mis en avant.Elle fait partie du projet de loi "d'accélération et de simplification de l'action publique" (Asap), un texte fourre-tout en première lecture au Palais Bourbon, destiné à simplifier démarches et quotidien des administrations, entreprises et particuliers.La disposition adoptée avait été introduite par la majorité elle-même en commission avec l'appui du gouvernement. Elle prévoit de modifier la loi de 2007 sur le droit au logement opposable (Dalo) en étendant la notion de "domicile" prévu par cette loi en ajoutant: "qu'il s'agisse ou non de sa résidence principale".Une fois l'occupation découverte et les faits dénoncés aux forces de l'ordre, le propriétaire du logement pourra saisir le préfet, qui aura 48 heures pour répondre avant de mettre en demeure le ou les squatteurs de quitter les lieux.Cette procédure administrative doit permettre d'agir plus rapidement pour obtenir une expulsion qu'un recours par voie de justice, qui peut prendre des mois voire des années.La procédure concerne toute résidence secondaire, pied-à-terre, etc., mais pas les occupations illégales de terrains nus, cabanons, ou bâtiments en ruine qui relèvent toujours d'une procédure judiciaire.Peines tripléesLa saisine du préfet peut aussi être faite par des représentants du propriétaire, une précision introduite en séance vendredi pour aider notamment les personnes âgées ou dépendantes qui ne pourraient pas effectuer les formalités.Les peines encourues par les squatteurs ont aussi été triplées à l'initiative du rapporteur Guillaume Kasbarian (LREM): trois années d'emprisonnement au lieu d'une, et 45.000 euros d'amende au lieu de 15.000.Ce sujet est revenu sur le devant de l'actualité avec le cas cet été de retraités lyonnais qui ont vu leur propriété de Théoule-sur-Mer (Alpes-Maritimes) occupée. D'autres affaires de ce genre ont également trouvé un large écho médiatique.Ce texte "permet de réparer l'injustice criante que nombre de nos concitoyens ont à vivre" quand ils sont victimes de squatteurs, a souligné la "marcheuse" Sophie Beaudouin-Hubière (LREM), ajoutant que "le squat n'est pas, et ne sera jamais, un droit au logement".A droite, Les Républicains ont cherché à étendre le dispositif à toute forme d'occupation illégale d'un bien immobilier, au nom du droit de propriété.Il y a actuellement "trop de droits donnés aux squatteurs et pas assez aux propriétaires", a affirmé Eric Ciotti (LR).Son collègue Julien Aubert a souligné que les "premières victimes" des squatteurs étaient souvent des retraités ou des personnes aux revenus modestes, "des gens qui n'ont pas grand-chose".Le rapporteur a toutefois indiqué que le nouveau dispositif visait à répondre à des "situations exceptionnelles où des personnes ne peuvent pas rentrer chez elles", et que l'étendre à toute sorte de bien immobilier pourrait conduire à des "dérives".A gauche, communistes et Insoumis ont dénoncé la mise en avant de cas de squats "montés en épingle", et fait valoir que le problème de fond était avant tout celui des personnes sans logement ou mal logées.Loïc Prud'homme (LFI) a appelé à "ne pas hystériser le débat sur des questions de droit de propriété" quand "des gens sont en train de crever dehors" faute de logement.Les Insoumis se sont également inquiétés de l'élargissement des d'expulsions "sans passer par un juge", une préoccupation également émise par le syndicat de la magistrature (SM) et le syndicat des avocats de France (SAF).Le collectif Droit au logement (DAL) avait organisé un rassemblement mardi à proximité du Palais Bourbon pour dénoncer une "frénésie anti-squats".
Il y a 4 ans et 262 jours

L'emploi dans les énergies renouvelables continue de croître dans le monde à 11,5 millions de travailleurs

Les énergies renouvelables continuent d'apporter des avantages socio-économiques en créant de nombreux emplois dans le monde entier, selon les derniers chiffres publiés aujourd'hui par l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA). La septième édition de la revue annuelle sur les énergies renouvelables et l'emploi a recensé dans le monde 11,5 millions d'emplois dans ce secteur. C'est l'énergie solaire photovoltaïque qui arrive en tête avec 3,8 millions d'emplois, soit le tiers de l'effectif total.« L'adoption des énergies renouvelables crée des emplois et augmente les revenus locaux sur les marchés énergétiques développés et en développement », constate le directeur général de l'IRENA, Francesco La Camera. « Si aujourd'hui, une poignée de pays sont en tête, chaque pays peut exploiter son potentiel d'énergie renouvelable, prendre des mesures pour tirer parti des capacités locales de développement industriel et former ses travailleurs. »L'année dernière, soixante-trois pourcent des emplois en lien avec les énergies renouvelables ont été recensés en Asie, ce qui confirme le statut de leader de cette région sur ce marché. Le secteur des biocarburants suit de près celui de l'énergie photovoltaïque solaire avec 2,5 millions d'emplois. La chaîne d'approvisionnement agricole emploie une grande partie des effectifs, en particulier dans les pays comme le Brésil, la Colombie, la Malaisie, les Philippines ou la Thaïlande dont les activités sont très gourmandes en main-d'œuvre. Les autres grands employeurs dans le secteur des énergies renouvelables sont l'industrie hydroélectrique et l'industrie éolienne, qui représentent respectivement 2 millions et 1,2 millions d'emplois.L'emploi s'avère plus inclusif dans le secteur des énergies renouvelable que dans celui des combustibles fossiles et affiche un meilleur équilibre hommes-femmes. Le rapport souligne que les femmes représentent 32% des effectifs dans le secteur des énergies renouvelables, contre 21% pour les combustibles fossiles.Bien qu'on manque d'estimations précises et que les chiffres absolus soient encore faibles, les énergies renouvelables hors réseau créent de plus en plus d'emplois, avec en tête les technologies solaires. L'énergie renouvelable décentralisée peut également trouver des applications productives dans les zones rurales. Cet effet multiplicateur sur l'emploi est visible dans l'agroalimentaire, la santé, la communication et le commerce local.Les politiques globales, notamment des mesures d'éducation et de formation, les interventions sur le marché du travail et des politiques industrielles en faveur de l'exploitation des capacités locales sont essentielles pour soutenir la croissance de l'emploi dans le secteur des énergies renouvelables..L'édition 2020 de la revue annuelle met en lumière des initiatives prometteuses pour soutenir l'éducation et la formation des travailleurs. Ces efforts portent sur la formation professionnelle, l'élaboration de programmes d'études, la formation des enseignants, l'utilisation des technologies de l'information et de la communication, la promotion de partenariats public-privé innovants et le recrutement de groupes sous-représentés tels que les femmes.Les décideurs politiques doivent également donner la priorité à la reconversion des travailleurs du secteur des combustibles fossiles qui ont perdu ou risquent de perdre leurs moyens de subsistance. Ces travailleurs ont souvent acquis des compétences et un savoir-faire considérables et pourraient contribuer à la réorientation vers une industrie de l'énergie propre.La croissance de l'emploi dans les énergies renouvelables au niveau mondial est encourageante. Toutefois, ce secteur pourrait créer bien plus d'emplois si l'on adoptait une politique globale qui favorise la transition énergétique. Jamais l'importance d'une telle impulsion n'a été aussi évidente qu'en ce moment crucial. Tandis que le monde reste confronté à la pandémie de COVID-19, l'humanité reçoit des avertissements quasi quotidiens de ce qui l'attend si aucune mesure n'est prise pour enrayer le flot de perturbations climatiques.La nécessité de changer de cap est indéniable, tout comme les avantages à en tirer. Dans son programme de redressement post-COVID publié récemment, l'IRENA indique qu'un programme de relance ambitieux pourrait créer jusqu'à 5,5 millions d'emplois de plus que l'approche du statu quo au cours des trois prochaines années. Une telle initiative permettrait également au monde de garder en vue l'objectif fixé par l'agence dans ses perspectives mondiales pour les énergies renouvelables : créer 42 millions d'emplois dans le domaine des énergies renouvelables d'ici 2050.Lisez la version intégrale de la revue annuelle sur les énergies renouvelables et l'emploi, édition 2020
Il y a 4 ans et 262 jours

BASF Construction Chemicals s’appelle désormais MBCC Group

MBCC Group est le nouveau nom de l’ex-division BASF Construction Chemicals. Elle chapeaute de nombreuses marques présentes dans le secteur de la construction. [©MBCC Group] MBCC Group : tel est le nom de la nouvelle maison-mère de l’ex-division “chimie de la construction” de BASF. En effet, c’est fin décembre 2019 que l’ensemble de cette division avait été cédée au fonds capital-investissement Lone Star Funds. Ceci, pour un montant de 3,17 Md€. La transaction entre les deux géants a été finalisée le 30 septembre 2020, à minuit ! MBCC Group possède plusieurs marques phares. La première n’est autre que Master Builders Solutions, spécialiste des adjuvants pour bétons, des produits pour travaux souterrains et des solutions de sols industriels. Vient ensuite PCI, qui regroupe les mortiers industriels, les colles et les systèmes pour carrelages. Les autres s’appellent Colorbiotics (colorants pour paillis), Thermotek (produits de protection pour toitures). Ou encore Wolman (produits de protection du bois) et Watson Bowman Acme (joints de dilatation). Dans les faits, MBCC Group se compose d’environ 70 entités juridiques à l’échelle internationale et compte plus de 7 500 collaborateurs. Jochen Frabritius, président de MBCC Group Ex-président de Xella, Jochen Frabritius vient d’être nommé à la tête de MBCC Group. [©Xella] Lone Star Funds a placé Jochen Fabritius à la tête du nouveau groupe. Ingénieur génie civil de formation, il a effectué l’essentiel dans sa carrière dans le secteur de la construction. Ces dernières années, il a été le président de Xella, le spécialiste du béton cellulaire. Groupe appartenant aussi à Lone Star Funds, qu’il avait rejoint en 2014 en qualité de directeur général.  Aujourd’hui, MBCC Group fait partie des principaux fournisseurs mondiaux de produits chimiques et solutions techniques destinés au secteur de la construction. Il est présent dans plus de 60 pays. Mais son siège social est basé à Mannheim, en Allemagne. Quant aux sièges régionaux, ils se situent à Beachwood, dans l’Ohio, aux Etats-Unis, pour la zone Amériques. La zone Moyen-Orient – Russie – Afrique est dépendante du siège de Dubaï aux Emirats Arabes Unis. Enfin, les bureaux de Singapour supervisent la zone Asie – Pacifique.  Côté hexagonal, la filiale du groupe a été baptisée Master Builders Solutions France. S’agissant du SAS, Guillaume Francqueville en est le tout nouveau président. L’entité voit son siège social implanté à Evry (91). Elle chapeaute les marques Master Builders Solutions et PCI.  Une stratégie basée sur l’innovation autour des bétons Le centre de R&D de Trostberg, en Allemagne, concentre la recherche fondamentale et le développement des nouvelles technologies autour des bétons de MBCC Group. [©MBCC Group] L’innovation reste au cœur de la stratégie de MBCC Group. Dans un premier temps, elle s’appuie sur le centre de R&D de Trostberg, en Allemagne. Là se concentre la recherche fondamentale et le développement des nouvelles technologies autour des bétons. Ce centre gère aussi la totalité du porte-feuille de brevets, tout comme les projets technologiques mondiaux. Toutefois, MBCC Group dispose aussi de centres de R&D régionaux en Amérique du Nord, en Asie – Pacifique, en Europe et dans la zone Moyen-Orient – Russie – Afrique. « Proposer des solutions durables est un aspect fondamental du porte-feuille du groupe, affirme Sven Asmus, directeur de la technologie de MBCC Group. Aujourd’hui, plus de 35 % de l’ensemble des produits que nous proposons sont à la pointe du développement durable. Pérenniser notre croissance tout en contribuant à la lutte contre le réchauffement climatique est notre manière de répondre aux besoins de nos clients. » Entre BIM et services numériques Entité de MBCC Group, Master Builders Solutions est le spécialiste des adjuvants pour bétons, des produits pour travaux souterrains et des solutions de sols industriels. [©MBCC Group] Un autre aspect dans lequel s’inscrit en totalité MBCC Group est la numérisation du secteur de la construction. il propose ainsi plus de 700 objets “bimisés” (Building Information Modeling) au secteur de la construction. Une bibliothèque en croissance constance pour l’essentiel des marques du groupe. Les objets sont disponibles dans plusieurs bases de données BIM mondiales ou accessibles directement via une page dédiée. Enfin, via l’entité Master Builders Solutions, MBCC Group propose des outils de calcul et des services numériques. Parmi ceux-ci, la plate-forme spécialisée “On Line Planning Tool”. Elle permet aux professionnels de la construction de trouver de manière simple et rapide les bonnes solutions pour leurs projets. Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 262 jours

Vinci veut acquérir la division Services industriels de l’Espagnol ACS

Le groupe français a annoncé être entré en négociation avec ACS pour acquérir ses activités d'ingénierie et de travaux. Il serait prêt à payer au moins 2,8 Mds€.
Il y a 4 ans et 262 jours

Avec le budget vert, la France devient le premier pays à mesurer l'impact de son budget sur l'environnement

La France devient ainsi le premier pays au monde à réaliser une évaluation environnementale de l'ensemble de son budget. Ce rapport recense l'ensemble des impacts du budget de l'État, qu'ils soient positifs ou négatifs, au regard de six objectifs environnementaux :la lutte contre le changement climatiquel'adaptation au changement climatique et la prévention des risques naturelsla gestion de la ressource en eaul'économie circulaire, les déchets et la prévention des risques technologiquesla lutte contre les pollutionsla biodiversité et la protection des espaces naturels, agricoles et sylvicolesLa présentation de ce rapport constitue une étape importante dans l'amélioration de la lisibilité et de la transparence de l'information environnementale, afin d'éclairer le Parlement et les citoyens en amont de l'examen de chaque projet de loi de finances et de mieux y intégrer la dimension environnementale.Au total, ce sont près de 574 Md€ de dépenses qui ont été analysées, soit l'ensemble de l'objectif total de dépenses de l'État (ODETE) inscrit en PLF pour 2021 et des dépenses fiscales.Le « budget vert » confirme un budget pour 2021 à la hauteur de ses ambitions environnementales avec près de 43 Md€ de dépenses favorables à l'environnement. Elles recouvrent :les dépenses dites « vertes », c'est-à-dire favorables à l'environnement sur au moins un axe environnemental sans être défavorables par ailleurs, qui atteignent 38,1 Md€ en 2021les dépenses « mixtes », qui ont un impact favorable sur un ou plusieurs axes environnementaux et par ailleurs un impact défavorable sur d'autres axes environnementaux, qui représentent 4,7 Md€ en 2021. Il s'agit principalement des infrastructures de transport, notamment ferroviairesCes dépenses favorables à l'environnement augmentent de 8,5 Md€ entre 2020 et 2021, signe du très fort engagement du Gouvernement en faveur de la transition écologique.Pour la première fois également, ce rapport présente les dépenses ayant un impact défavorable pour l'environnement : celles-ci sont évaluées à 10 Md€, essentiellement constituées de dépenses fiscales (7,2 Md€), en particulier les exonérations ou taux réduits sur les taxes intérieures de consommation des produits énergétiques relative aux carburants (5,1 Md€). Ces dépenses jugées défavorables à l'environnement sont en baisse de 1 Md€ par rapport à 2020.Outre les crédits inscrits en PLF 2021, l'impact environnemental de l'ensemble des 100 Md€ du plan « France Relance » a également été analysé selon la méthodologie du « budget vert » : plus de 32 Md€ y apparaissent favorables à au moins un objectif environnemental et aucune dépense n'y a un impact défavorable à l'environnement.Avec ce « budget vert » présenté en annexe au PLF 2021, la France est le premier État à se doter d'un outil d'analyse de l'impact environnemental de son budget. Plus qu'un simple effort de transparence et de lisibilité, le « budget vert » constitue un nouvel instrument qui sera renouvelé et approfondi chaque année, pour mieux intégrer les enjeux environnementaux dans le pilotage des politiques publiques.
Il y a 4 ans et 263 jours

Visitez le chantier du Grand Palais Ephémère le 5 novembre prochain

En partenariat avec le CNDB, le Forum International Bois Construction organise des visites du Grand Palais Ephémère le 5 novembre prochain. Le soir-même, au Pavillon de l’Arsenal, l’architecte Jean-Michel Wilmotte présentera son Grand Palais Ephémère à l’occasion de la conférence de presse de lancement de la 10e édition du Forum. Face au dérèglement climatique, la construction bois et biosourcée suscite l’espoir. Pour la première fois, le Grand Palais accueille un congrès international dédié à ce sujet dans un bâtiment identique à lui par sa surface et sa disposition. Le Grand Palais Ephémère avec sa charpente en bois crée un environnement exceptionnel et parfaitement adapté au Forum. Il est actuellement en construction sur le Champs-de-Mars et instaure un dialogue respectueux avec la grande dame de fer de la Révolution industrielle. Inscription  
Il y a 4 ans et 263 jours

3ème édition des Rencontres Woodrise en Nouvelle-Aquitaine

Du 03 au 09 octobre 2020 se tiennent les Rencontres Woodrise 2020 en Nouvelle-Aquitaine qui présentent les Acteurs bois construction et le Bois dans la Ville sous toutes ses formes. Conférences, visites, tables rondes mais aussi course d’orientation, expositions, journée pédagogique… sont proposées dans un programme étoffé. Cette 3ème édition des Rencontres Woodrise 2020 est coordonnée par le FCBA et FIBOIS LANDES DE GASCOGNE et conçue en étroite collaboration avec un écosystème regroupant des acteurs publics et privés. Les professionnels de la filière bois et de l’écoconstruction et le grand public se réunissent et échangent pour découvrir ou redécouvrir le matériau bois. Programme : https://rencontres.woodrise.org/agenda/
Il y a 4 ans et 263 jours

Stéphane Hameury, directeur opérationnel de la nouvelle direction « Enveloppe du bâtiment »

Photo : Raphaël DautignyÉtienne Crépon, président du CSTB, confie à Stéphane Hameury, 41 ans, la nouvelle direction opérationnelle « Enveloppe du bâtiment ». Ingénieur diplômé de l'École nationale supérieure d'Arts et Métiers, entré au CSTB en 2007, Stéphane Hameury était directeur adjoint de la direction Sécurité-Structures-Feu depuis 2018. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, il sera chargé de déployer et renforcer une vision globale et intégrée de l'enveloppe, premier marqueur de reconnaissance architecturale et performancielle des bâtiments. Il pilotera une équipe de 80 experts pluridisciplinaires, spécialistes des domaines et technologies de la couverture, toiture, façade, isolation, bardage et étanchéité. En savoir plus : Communiqué de presse, octobre 2020
Il y a 4 ans et 263 jours

Proto-habitat, fabriquer autrement, du prototype à l’habiter

arc en rêve centre d’architecture présente dans la galerie blanche l’exposition proto-habitat, fabriquer autrement, du prototype à l’habiter un projet de recherche de Frédérique Barchelard et Flavien Menu à l’Académie de France à Rome – Villa Médicis 2019-2020. Jusqu’au 3 janvier 2021. Frédérique Barchelard et Flavien Menu ont forgé une expertise dans le domaine de […] L’article Proto-habitat, fabriquer autrement, du prototype à l’habiter est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 263 jours

Le chantier d'une église controversée en Ardèche reste suspendu jusqu'à l'été

La réalisation de cette étude "approfondie", déjà en cours à l'initiative des porteurs du projet, "doit se poursuivre jusqu'en juillet 2021", a-t-elle précisé dans un communiqué.D'ici là, la préfecture ne saurait tolérer une reprise des travaux sur le site de Saint-Pierre-de-Colombier, ce qu'elle a rappelé au maître d'ouvrage, la Famille missionnaire de Notre-Dame, lundi lors d'une réunion."Dans le cadre de cet entretien", le représentant de l'Etat Françoise Souliman "a informé le maître d'ouvrage qu'il projette de prendre un arrêté préfectoral de suspension des travaux sur l'ensemble du site de construction"."Le préfet mettra en oeuvre cet arrêté de suspension totale du chantier si le maître d'ouvrage persiste avant cette échéance (juillet 2021, ndlr) dans sa volonté de continuer des travaux sur tout ou partie du site".L'étude en question doit clarifier "les éventuels impacts du projet sur les espèces protégées". En fonction de ses conclusions, l'administration pourra réévaluer sa décision de suspension des travaux en juillet 2021.La Famille missionnaire de Notre-Dame est installée à Saint-Pierre-de-Colombier depuis un demi-siècle. Son projet prévoit la construction d'une imposante église de 3.500 places, d'un parvis, de logements, d'un parking et d'une passerelle sur la rivière de la Bourges. Le chantier, chiffré à environ 18 millions d'euros, a débuté en mai 2019.Il a été stoppé en juin après l'occupation du site par des opposants qui dénonçaient notamment l'absence d'étude environnementale approfondie. La préfecture avait alors annoncé une suspension des travaux jusqu'en octobre, le temps de trouver "une solution acceptable par tous".Le Parc naturel régional des Monts d'Ardèche s'était prononcé contre la construction en début d'année.
Il y a 4 ans et 263 jours

Humidité : la performance hygrométrique des parois en rénovation

La rénovation énergétique passe aussi par la performance hydrométrique Après les aides de Ma Prim Rénov, le Crédit d’Impôt Transition Energétique, de l’ANAH (Agence Nationale de l’Habitat), le gouvernement prolonge les aides à la rénovation énergétique. Pour un bâtiment neuf ou un ancien en rénovation, l’un des facteurs de la performance énergétique et du confort des habitants sera la performance hydrométrique, c’est à dire la capacité à éviter d’accumuler de l’humidité dans le bâtiment. L’essentiel se joue sur les parois. Dans toute paroi, des transferts de chaleur et vapeur d’eau ont lieu. Il peut s’agir des murs bien sûr mais aussi du toit, du plancher, d’une vitre… Une norme ISO 13778 utile mais difficile à appliquer en rénovation La norme ISO 13778 définit les méthodes permettant de calculer : La température minimale que devra conserver la paroi intérieure d’un bâtiment ou d’un composant pour éviter le développement de moisissures Le risque de condensation dans la masse, propice à l’apparition de moisissure. Il est à noter que la méthode mentionnée dans la norme ignore certaines propriétés, telles que la variation des propriétés des matériaux en fonction de l’humidité ou l’absorption par capillarité (remontées). Le temps de séchage de l’eau située entre deux couches de matériaux (typiquement, un mur). L’objectif est de donner des bases pour limiter le risque de migration de vapeur d’eau dans le bâti et la condensation dans les parois. La méthode Glaser pour une première approche Cette norme est efficace et juste physiquement, mais elle est surtout utile pour du neuf et pour valider la qualité technique d’un produit ou d’une installation. En rénovation, c’est l’un des points les plus difficiles à aborder. On utilisera plutôt la méthode Glaser, une méthode rapide pour obtenir le point de rosée et calculer la potentielle condensation d’une paroi selon les couches de matériaux dont elle est constituée. Wufi Pro pour une simulation plus précise On utilisera ensuite en général un logiciel comme Wufi Pro pour simuler les phénomènes de transferts hydrométriques dans les parois, à horizon long (décennies). Selon la ville d’emplacement, le logiciel appliquera différentes hypothèses de climat, de température et d’humidité relative pour déterminer la façon dont la paroi va réagir à l’humidité. Teneur en eau, point de rosée… couche par couche, il permet Quand la rénovation lourde est impossible, quelques solutions d’évacuation de l’humidité L’idée principale est de travailler sur l’imperméabilité de l’air, mais la perméabilité de la vapeur. C’est à dire que l’air ne doit pas entrer, mais la vapeur doit pouvoir perspirer à travers la paroi. Pour cela, on travaillera sur l’étanchéité (éviter la condensation convective), tout en assurant une bonne ouverture sur la face extérieure de la paroi, ce qui aura l’effet d’évacuation recherché. Il existe par exemple des isolants pare-vapeur ou freine-vapeur qui peuvent remplir ce rôle. Enfin, puisque la rénovation à visée thermique et hygrométrique n’est pas toujours rentabilisée lorsqu’il s’agit d’un lieu rarement occupé, tel qu’une cave ou un garage. Il est alors plus rentable, en dernier recours, d’utiliser une solution d’appoint tel un assécheur d’air (déshumidificateur) à dessication ou à compresseur, qui pourra offrir un niveau de confort suffisant sans engager de coût important.
Il y a 4 ans et 263 jours

Que faut-il savoir sur les travaux de terrassement?

Avant tout chantier de construction, des travaux de terrassement sont généralement effectués. Il s’agit de toutes les opérations destinées à préparer le terrain à la réception d’une nouvelle infrastructure. Elles impliquent de plus le déplacement d’une quantité importante de matériaux (de la terre, des roches, de sables, des cailloux, etc.). Nous parlons de ce procéder dans cet article. Découvrez tout ce qu’il a à savoir sur le sujet. Travaux de terrassement : en quoi consistent-ils ? Comme susmentionné, le terrassement est un ensemble de travaux dont le but est de préparer un terrain avant d’entamer la construction d’une infrastructure. Il peut se matérialiser par des remblais et des déblais. Concrètement, l’aspect initial du terrain est modifié. Le remblai consiste à apporter une masse de terre afin d’élever un terrain ou combler les creux. Ceci étant fait pour le niveler. Quant au déblai, il intervient en second lieu et correspond à la phase des fouilles. À la différence du remblaiement, celui-ci consiste à creuser dans le sol afin d’extraire les terres. À titre d’exemple, des creusements profonds sont réalisés pour la construction d’une cave. Pour les canalisations et divers conduits, on effectue des creusements superficiels. Retenez que les terres résultant du déblaiement seront stockées à part. En raison de leur importance, ces travaux doivent être réalisés par un professionnel comme un terrassier ou une entreprise de terrassement. En effet, ils garantissent la stabilité de la construction finale. Ils empêchent également les tassements, les glissements ou les effondrements de terrain qui mettent en péril la maison et ses occupants. Quelles sont les principales étapes des travaux de terrassement ? Le terrassement est composé d’opérations lourdes et complexes. En effet, pour mieux préparer le terrain à la construction, il faudra nécessairement passer par plusieurs étapes. Le bornage de terrain Également appelée « piquetage », cette étape se concrétise par la délimitation la propriété. Il garantit également la conformité des travaux au plan de l’architecte.  Il permet de prévoir et de relever l’emplacement des canalisations. Le bornage permet enfin de limiter les éventuels soucis liés à la délimitation du fond voisin. L’évacuation des eaux Il est nécessaire d’adapter le projet au système d’évacuation des eaux. En effet, le terrain doit permettre le ruissellement des eaux de pluie. À cet effet, il doit présenter une pente de 5% au minimum. Leur évacuation peut aussi être assurée avec la pose des drains et des regards. Dans ce cas- là, il faut tenir compte de la nature du sol, de sa localisation et de l’état du sous-sol. Le décaissement Ce procédé est également nommé « décapage ». Il consiste à enlever la couche supérieure du terrain, en l’occurrence la terre végétale.  Concrètement, cette dernière se compose de végétaux et de déchets organiques. Pour assurer la stabilité de la construction,  elle devra être installée sur les couches du sol les plus aptes à supporter sa charge. Ici encore, les connaissances et l’expertise d’un professionnel sont requises. Par conséquent, nous vous conseillons de solliciter les services d’une entreprise de terrassement. La mise en place d’un film géotextile La pose du film géotextile permet de séparer la terre du remblai qui sera mis en place en dernier lieu. Ce film empêche également la formation de mauvaises herbes, des végétaux et des racines.  Notez que sa pose n’impacte pas sur l’évacuation des eaux. Le remblai C’est la dernière étape des travaux de terrassement. C’est l’opération entreprise afin de rendre le sol horizontal. Comme susmentionnées, des terres pourront être amenées sur le chantier pour combler le sol.
Il y a 4 ans et 263 jours

Vinci Energies rachète la société québécoise Transelec Common Inc.

Le groupe français a annoncé le rachat du leader canadien des services aux infrastructures d’énergie et de télécommunication. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé.
Il y a 4 ans et 263 jours

Allura Ease et Allura Puzzle : quand la pose d'un sol relève du jeu d'enfant

Ces innovations exclusives du leader des solutions de revêtement de sol partagent une facilité de pose des plus optimales et répondent idéalement au contexte actuel de reprise d'activités post-confinement : elles permettent, en effet, une mise en œuvre ultra rapide en milieu occupé sans que les locaux souffrent d'une fermeture d'accès. Allura easeAvec Allura ease, les nuisances se révèlent quasi nulles :finis le bruit, la poussière et l'odeur de colle ! Sa pose totalement libre, sans colle ni maintien additionnel, offre la possibilité de recouvrir directement d'anciens supports (y compris amiantés en sous-section 4(1)), même en milieu occupé. Ainsi, les locaux sont immobilisés à minima et immédiatement disponibles une fois le revêtement appliqué. Il s'avère possible, par exemple, d'appliquer Allura ease dans un bureau sans déranger ses occupants, simplement en déplaçant le mobilier au fur et à mesure de l'installation.La mise en œuvre 100% libre d'Allura ease se montre 30% plus rapide qu'avec une LVT à clipser et l'installation de plinthes s'annonce superflue puisque l'espace périphérique n'est pas nécessaire.Sans joint de fractionnement jusqu'à 250 m, Allura ease trouve sa place dans tous les espaces, y compris devant les baies vitrées et dans les vitrines.Si Allura ease s'impose comme revêtement facile à installer, c'est aussi et surtout un sol facile à vivre : sans effet de caisse de résonnance, il présente un confort à la marche très apprécié. Sa stabilité exceptionnelle lui permettra de garder son aspect dans le temps, sans aucune déformation.Désormais, remplacer des lames ou dalles qui auraient pu être endommagées devient une opération d'une simplicité absolue puisqu'il suffit de déposer la partie abîmée pour la remplacer immédiatement : nul besoin d'appeler un technicien !Particulièrement adapté aux espaces à fort trafic (boutiques, hôtels, bureaux...) Allura ease, avec sa couche d'usure de 0.70 mm, laisse loin derrière ses concurrents (qui affichent généralement une valeur de 0.55 mm). Ses 18 décors et leurs effets bois, pierre, ciment ou béton, associés à trois formats différents (lames de 150 x 24 cm ou 120 x 19 cm et dalles de 48 x 48 cm) induisent aussi une belle liberté créative pour s'adapter à toutes les configurations d'agencement.Allura puzzleAllura puzzle s'installe très facilement, sans colle, grâce à son ingénieux système de queues d'aronde, sur des supports neufs ou anciens, y compris amiantés en sous-section 4(1) ou des carrelages existants. On appréciera aussi sa structure hétérogène qui rend les dalles encore plus aisées à couper.Par ailleurs, le format XL de ses dalles (96 x 96 cm) induit, là-encore, une installation plus ergonomique et rapide.La couche d'usure de 0.70 mm légèrement grainée d'Allura puzzle en fait un revêtement de sol aussi simple à entretenir qu'à installer.Idéales dans les locaux où un nettoyage quotidien intensif s'affirme nécessaire, les dalles Allura puzzle trouvent leur place dans tout type d'espace, notamment les surfaces commerciales (magasins, boutiques, entrepôts…). Résistant au passage de charges lourdes, à la traction et au nettoyage mécanique, Allura puzzle fait aussi la part belle au design ! Ses 14 décors panachent les aspects matières et bois, rivalisant d'authenticité. Sa finition ultra-réaliste conjugue performance et esthétique, pour des agencements toujours plus inventif.Allura ease et Allura puzzle : l'engagement emblématique de Forbo Flooring pour un environnement protégé100% recyclables en filière directe(2), les deux nouvelles collections de Forbo Flooring affichent les mêmes avantages d'une production européenne (toujours dans la volonté de privilégier les circuits courts), à base de matières premières sans phtalates, à faibles émissions de COV, garantissant une qualité de l'air intérieur optimale.(1) Dans le respect de la réglementation en vigueur et après envoi du mode opératoire de l'entreprise pour avis aux services compétents.(2) Hors cadre amiante
Il y a 4 ans et 263 jours

Aides remises en cause: la filière photovoltaïque évoque une "ambiance délétère"

La perspective d'une remise en cause d'aides anciennes à la filière photovoltaïque crée une "ambiance délétère" au moment où l'Etat veut soutenir la transition écologique, estime la filière solaire.
Il y a 4 ans et 263 jours

5ème édition des Journées nationales de l'architecture, demandez le programme

Sous l'appellation « Les architectes fêtent les JNArchi 2020 », le Conseil national de l'Ordre des architectes s'associe pleinement à la manifestation et promeut l'ouverture des portes dans les agences d'architecture. Les Conseils d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement, le réseau des Maisons de l'architecture, les écoles nationales supérieures d'architecture, les lieux culturels dédiés à l'architecture ainsi que les animateurs de l'architecture et du patrimoine dans les collectivités territoriales se mobilisent également. Tous proposent aux curieux, amateurs comme passionnés d'architecture un programme varié pour ces trois jours : rencontres et débats avec les acteurs de l'architecture, visites de bâtiments et de chantiers, balades urbaines, expositions techniques et artistiques, ateliers pédagogiques pour tous les âges…Dessiner l'architecture à Lugdunum, Musée et Théâtre Romain de Lyon, en Auvergne Rhône-Alpes. Au cœur de ce chef d'œuvre architectural, la sobriété du béton et des lignes épurées s'intègre dans le site gallo-romain et construit un espace à part. Concentrés sur les lignes et les espaces de cet objet brutaliste imaginé par l'architecte Bernard Zehrfuss, les visiteurs sont invités à observer, dessiner les grands volumes et les détails du bâtiment et de restituer leur production issue de ce voyage architectural et temporel.La Maison de l'Architecture de Besançon en Franche-Comté propose un voyage architectural à Rome. Thierry Jousse, réalisateur et ancien rédacteur en chef des Cahiers du cinéma, a co-dirigé avec Thierry Paquot un livre de référence La Ville au Cinéma, qui explore pour la première fois la représentation de la ville à l'écran. Les spectateurs pourront ainsi découvrir l'incroyable architecture de la ville de Rome, par le prisme du cinéma.En Bretagne à Ploemeur, la rénovation d'une maison des années 60 est l'occasion d'intégrer la permaculture au cœur du centre ville. L'architecture se joue des contraintes techniques et utilise le patrimoine des années 60 pour offrir une nouvelle vie à cette habitation. Le toit permet par exemple l'installation de panneaux solaires et la collecte d'eau de pluie pour les WC, le lave-linge et le jardin.La grande halle de Romorantin-Lanthenay en Centre-Val de Loire, construite en 1902, a été conçue par l'ingénieur Hennebique et réalisée par l'entrepreneur Coutant et Cie. D'une superficie de près d'un hectare, cette immense salle contenait plus de 200 métiers à tisser. Un vaste projet de réhabilitation du site est en cours. La réouverture en octobre 2016 du bâtiment des métiers à tisser en est une étape.Pendant 2h, La manufacture Brun de Vian-Tiran, emblème de la région PACA, propose une visite inédite de L'Isle-sur-la-Sorgue, témoin vivant des origines textiles de la ville. Des roues à aube à la manufacture, les visiteurs découvriront tout sur les origines de l'Isle, ville drapière à l'architecture industrielle.Dans les Haut de France, la cité des Électriciens à Bruay-la-Buissière invite à prendre toute la mesure de la valeur du patrimoine de proximité. Il s'agit de l'un des édifices emblématiques du paysage urbain de la région. C'est le moment de venir l'observer d'un peu plus près, d'en apprendre davantage sur ses matériaux de construction, sur les entreprises et artisans qui l'ont réhabilitée. Les plus jeunes pourront aussi se familiariser avec l'acte de construire, et peut-être faire naître en eux une vocation !À la Fabrique du Métro à Saint-Ouen, la Société du Grand Paris en Île-de-France propose un atelier-visite pour les scolaires. Une découverte des techniques utilisées pour construire puis aménager les gares en insistant sur les enjeux de l'accessibilité des transports publics. Les choix des designers sont mis en lumière par l'observation et l'expérimentation. À l'issue de la visite, un atelier créatif invite les élèves à se mettre dans la peau d'un futur usager du réseau (touriste étranger, personne en situation de handicap…) puis à identifier et mobiliser les différents services et dispositifs qui faciliteront leurs parcours de l'entrée de la gare jusqu'au métro. En Normandie, Le Havre, place portuaire d'envergure a connu ces dernières décennies des aménagements majeurs avec de nouvelles infrastructures portuaires. La balade proposée permet de découvrir depuis la mer, les projets qui longent aujourd'hui les bassins et le port intérieur. Cette interface ville-port renouvelée, avec notamment l'École Nationale Supérieure Maritime (ENSM) et la Cité Numérique, témoigne de la nécessité de réinventer sans cesse un dialogue entre la ville et son port.La Cité Numérique à Bordeaux en Nouvelle Aquitaine, est un projet innovant, en matière de fonctionnement, et vertueux du point de vue de la transition écologique. Elle propose d'accueillir, pour la première fois, un regard croisé des acteurs de l'espace public pour débattre de ses évolutions récentes. Les tables rondes s'organisent autour de deux thématiques centrales : l'espace public comme espace fondamental du lien social, du vivre ensemble, et l'espace public comme lieu d'expression des potentiels artistiques et sportifs.Un programme de visites de maisons et appartement situés en Haute-Garonne et réalisés par des architectes, dont les projets témoignent d'une qualité architecturale, avec le Conseil d'Architecture, d'Urbanisme et de l'Environnement 31 en Occitanie. Insertion environnementale, qualité d'usages et de confort, économie de projet seront les thèmes abordés. Chaque visite d'une demi-journée, sera réalisée en présence du maître d'ouvrage et de l'architecte. Ils éclaireront les participants sur le processus de réalisation, de la phase de conception à la réception en passant par la gestion du chantier.Pour qu'un cadre de vie soit de qualité, il est important qu'architecture et environnement soient en cohérence et dialoguent. Ainsi à Nantes, dans les Pays de la Loire, le jardin des 5 Sens est un poumon vert, un espace de jeu et de contemplation au cœur de l'ile de Nantes. Il est aussi, avec l'essor et le renouvellement de ce quartier, le parvis des édifices qui l'entourent. La visite commentée présente comment le jardin s'insère dans un système plus vaste, nourri par le rapport à la ville dense, au fleuve et à la nature en ville. Visiter les lieux habituellement interdits au public, c'est la proposition du musée départemental de Préhistoire des gorges du Verdon en Provence-Alpes-Côte d'Azur. Signé Norman Foster, ce bâtiment invite les visiteurs à découvrir la préhistoire avec un autre regard. Il retrace les grandes étapes de la Préhistoire à partir des découvertes archéologiques réalisées dans les grottes du Verdon au cours du XXe siècle.Sur le site journeesarchitecture.fr, retrouvez la programmation ; des informations clés sur l’architecture contemporaine aujourd’hui en France et la présentation des actions menées par les partenaires de l’évènement.