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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 4 ans et 272 jours

Les 19e et 20e tunneliers du Grand Paris Express baptisés

« Houda », baptisé sur la ligne 16Le 7e tunnelier de la ligne 16 a été baptisé « Houda » en référence à Houda Dada, cheffe de projet secteur ligne 16 à la Société du Grand Paris. Conçu par le fabricant Creg et acquis par le groupement d'entreprises We Build-NGE GC, le tunnelier « Houda », actuellement en cours de montage s'élancera à l'automne 2020 pour creuser un tunnel de 5,8 km entre le chantier de l'ouvrage Europe à Aulnaysous-Bois et l'ouvrage Mare au chanvre sur la commune de Sevran. « Florence », 1er tunnelier de la ligne 17Le 1er tunnelier de la ligne 17 a été baptisé sur le chantier du Puits Flandres à Bonneuil-En-France en l'honneur de Florence Coquand, directrice adjointe des projets de lignes à la Société du Grand Paris.Fabriqué par Herrenknecht, le tunnelier partira à l'automne 2020 pour creuser un tronçon de 3,4 km en direction de la future gare Le Bourget Aéroport, jusqu'à l'ouvrage Rolland.Le baptême s'est déroulé en présence de Thierry Dallard, Président du directoire de la Société du Grand Paris, Abdellah Benouaret, Maire de Bonneuil-en-France, Denis Dobo-Schoenenberg, SousPréfet de Sarcelles, Anthony Arciero, Vice-président du Val d'Oise, Alain Aubry, Maire du MesnilAmelot, Jean-Pierre Blazy, Maire de Gonesse, Jean-Baptiste Borsali, Maire du Bourget, Marie-Christine Cavecchi, Présidente du Département du Val d'Oise, Michel Clavel, Maire adjoint de Dugny, Dominique Da Silva, Député du Val d'Oise, Mathieu Defrel, Conseiller communautaire de Plaine Commune, Pascal Doll, Président de la Communauté d'agglomération Roissy Pays de France, Sabrina Missour, Vice-présidente de Paris Terres d'Envol, Zivka Park, Députée du Val d'Oise, Alain Richard, Sénateur du Val d'Oise, Philippe Rouleau, Vice-président du département du Val d'Oise, Ali Soumaré, Conseiller régional du Val d'Oise, Stéphane Troussel, Président du Département de la Seine-SaintDenis, ainsi que Xavier Vanderbise, Vice-président du Département de Seine-et-Marne et Danielle Dubrac, Présidente de la CCI de Seine-Saint-Denis.Contrairement aux autres tunneliers du Grand Paris Express qui ont été montés au fond du puits, le tunnelier « Florence » fait l'objet d'une technique de montage particulière appelée « Big lift », qui consiste à assembler progressivement toutes les pièces du tunnelier (roue de coupe, bouclier, système de pose des voussoirs, wagons du trains suiveurs…) en surface avant leur descente en 3 morceaux au fond du puits, à l'aide d'un portique.Ce tunnelier acquis par Demathieu Bard, mandataire du groupement Avenir, chargé de la réalisation du lot 1 de la ligne 17 a déjà été utilisé sur la ligne 15 Sud pour creuser les 2,2 km de tronçon, reliant le centre d'exploitation Champigny à l'ouvrage Sentiers des Marins.
Il y a 4 ans et 272 jours

Ecoles résilientes 2/5 : Haguenau conjugue patrimoine et performance énergétique

La restructuration de l’école maternelle Marxenhouse d’Haguenau (Bas-Rhin) lui fait perdre son statut peu enviable de passoire thermique, tout en lui conservant celui plus appréciable de témoin du patrimoine du milieu du XXe siècle. L’agence RHB Architectes a choisi l’isolation par l’intérieur pour conjuguer ces deux exigences, dans une opération de 3,65 millions d’euros livrée cet été en vue d’une mise en service à la rentrée 2020.
Il y a 4 ans et 272 jours

Plus de 85.000 locaux endommagés par l'explosion au Liban

L'explosion tragique survenue le 4 août au port de la capitale libanaise a fait plus de 190 morts et 6.500 blessés et a laissé 300.000 personnes sans logis.L'armée a aussi précisé samedi poursuivre ses efforts pour retrouver les neuf personnes toujours portées disparues (cinq Syriens, trois Libanais et un Égyptien).Concernant les dégâts, elle a précisé que "85.744 unités endommagées ont été recensées" ce qui inclut des locaux individuels (60.818 logements et 962 restaurants) ainsi que des bâtiments plus imposants (19.115 établissements et sociétés commerciales, 12 hôpitaux, 82 établissements d'enseignement).Et 1.137 unités archéologiques, c'est-à-dire des bâtiments classés ou à caractère traditionnel, ont également été affectées.Elle a comptabilisé environ 550.000 mètres carrés de verre brisé et plus de 108.000 portes intérieures endommagées.Cet état des lieux "est suffisant et il n'est pas nécessaire que les donateurs effectuent des enquêtes supplémentaires", a indiqué un responsable militaire lors d'une conférence de presse à Beyrouth.L'aide humanitaire a afflué du monde entier après l'explosion et de nombreux responsables étrangers ont fait le déplacement, notamment le président français Emmanuel Macron les 6 et 31 août.La France a parrainé dès le 9 août une conférence internationale de soutien au Liban, au cours de laquelle les participants se sont engagés à fournir plus de 250 millions d'euros --sous les auspices des Nations unies-- directement au peuple libanais, sans passer par les institutions étatiques accusées de corruption.Lors de sa seconde visite, M. Macron a annoncé son intention d'organiser une autre conférence de soutien à Paris fin octobre.
Il y a 4 ans et 272 jours

Ponction sur Action Logement : "une RLS qui ne dit pas son nom" (Marcel Rogemont, FOPH)

LOGEMENT SOCIAL. L'Assemblée générale de la Fédération des offices publics de l'habitat (FOPH) a été l'occasion, pour son président, Marcel Rogemont, de fustiger la politique de l'État envers le logement social. Il a par ailleurs prévenu que les regroupements de bailleurs ne seraient pas tous effectifs au 1er janvier 2021.
Il y a 4 ans et 272 jours

La très vieille affaire de la chaufferie de La Défense reportée pour cause de coronavirus

Le procès a été reporté du 11 au 15 janvier 2021, a annoncé la magistrate qui a remplacé à l'audience le président, diagnostiqué positif au Covid-19.Parmi les prévenus dans cette procédure-fleuve figure un ancien dirigeant des ex-Charbonnages de France, Jean Bonnefont, 98 ans, l'un des plus vieux justiciables convoqué devant un tribunal correctionnel en France.Il est poursuivi, avec quatre autres entrepreneurs, pour "corruption" ou "complicité de corruption" active ou passive et "abus de biens sociaux" notamment, ce que tous contestent.Outre M. Bonnefont, l'ex-numéro 3 de la Compagnie générale des Eaux-Vivendi Bernard Forterre, 82 ans, et l'homme d'affaires Antoine Benetti, 68 ans, sont également mis en cause.Le trio est poursuivi pour avoir manipulé, entre 1999 et 2003, l'appel d'offres du marché du chauffage et de la climatisation du premier quartier d'affaires d'Europe, estimé à plusieurs centaines de millions d'euros, pour en écarter les candidats indésirables.Ce marché avait été attribué à Enertherm, un petit groupement d'entreprises présidé par M. Forterre et dont les actionnaires étaient en réalité les mêmes que ceux de la Climadef, l'ancien concessionnaire.Au centre de l'entente présumée figurait Charles Ceccaldi-Raynaud, l'influent président du Sicudef, le syndicat mixte chapeautant le renouvellement de la concession.Mis en examen pour avoir perçu une commission de 5 millions de francs (760.000 euros de l'époque) dans cet arrangement, l'ex-sénateur-maire de Puteaux est décédé en juillet 2019 à l'âge de 94 ans, quelques jours à peine avant que le parquet ne prenne ses réquisitions.Les prévenus risquent jusqu'à 10 ans de prison et un million d'euros d'amende.
Il y a 4 ans et 272 jours

Il va falloir aider les PME dans l'exécution du plan de relance selon le Medef

"Une partie du plan de relance ne posera pas problème" comme "les aides à l'embauche puisqu'elles seront versées une fois qu'il y aura des embauches", a reconnu M. Roux de Bézieux lors d'une visite de l'entreprise d'ingénierie Artelia, à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis).Mais "sur tout le reste, notamment tout ce qui est subventions pour les projets de verdissement de l'économie, de numérisation des entreprises, de relocalisation, c'est beaucoup plus complexe. Il faut déjà avoir le projet, le soumettre aux différents guichets, que le taux de subvention soit approuvé, que les entreprises soient prêtes à mettre le reste et donc c'est là où il y a un risque", a-t-il poursuivi.Cela va notamment être "compliqué" selon lui pour les PME, qui "sortent du confinement" et "essaient de retrouver leur chiffre d'affaires.""Il va falloir les aider, être sûr que les rouages administratifs ne freinent pas parce qu'on sait bien qu'instruire un dossier c'est long, il peut y avoir de la bureaucratie", a-t-il affirmé, ajoutant que le Medef allait "faire remonter très vite les difficultés qu'on rencontre" auprès du ministère de l'Economie.Le Premier ministre Jean Castex a assuré qu'"au moins un quart" des 100 milliards d'euros du plan de relance sera destiné aux PME et aux très petites entreprises (TPE).
Il y a 4 ans et 272 jours

Isolation Etics-PSE et risque incendie : la nouvelle version du guide est parue

ENTRETIEN. Une nouvelle version du guide Etics-PSE, tenant compte des derniers renforcements de la réglementation anti-incendie, vient de voir le jour. Explications avec Dominique Girard, membre du Syndicat national des industries des peintures, enduits et vernis (Sypev), de l'Association française de l'isolation en polystyrène expansé dans le bâtiment (Afipeb) et directeur technique de la société Sto.
Il y a 4 ans et 272 jours

Rénovation énergétique : les nouvelles propositions du Plan bâtiment durable et de la RICS en France

Philippe Pelletier, président du Plan Bâtiment Durable, et Frank Hovorka, président de la RICS en France, ont remis lundi 21 septembre à la ministre du Logement, un rapport qui comporte 43 propositions pour d’"articuler une stratégie globale de nature à accélérer et amplifier le renouveau urbain et la rénovation environnementale des bâtiments".
Il y a 4 ans et 273 jours

Le gaspillage énergétique dans l'immobilier tertiaire se chiffrerait en millions d'euros selon une étude

L'étude menée pendant le confinement pose un constat sans appel, révélant que 40% des sites sont mal régulés. Ces surconsommations représentaient un gisement d'économies de 123.000€ par semaine pour le seul parc des 3.500 bâtiments analysés. A l'échelle nationale, le potentiel se chiffre en millions d'euros.Près d'un bâtiment sur deux en surconsommation et des millions d'euros d'économies potentielles estimées à l'échelle du paysEmmanuel Blanchet, Directeur général et co-fondateur de Deepki, précise : « Si nous nous réjouissons que le gouvernement ait fait de la rénovation énergétique une priorité de France Relance, il nous paraît d'autant plus urgent de poser des données concrètes sur la réalité du gaspillage énergétique. Cette étude pose un constat sans appel sur les très nombreuses anomalies de régulation qui pèsent lourdement sur l'efficacité énergétique de notre parc immobilier. »L'analyse, menée sur 3.500 bâtiments à l'occasion du confinement révèle en effet que 40 % des sites sont mal régulés. En l'occurrence, il s'agit de structures qui ont maintenu des niveaux de consommations énergétiques importants alors même qu'ils étaient inoccupés ou inopérants.Ces surconsommations correspondent à de très importants gisements d'économies d'énergies. Sur le seul parc analysé, l'étude révèle ainsi que 123 000€ pourraient être économisés chaque semaine. A l'échelle du pays, le potentiel d'économie se chiffre in fine en millions d'euros.Emmanuel Blanchet précise : « Ces gaspillages mis en lumière par l'étude sont autant de gisements d'économies d'énergie qui peuvent être exploités rapidement sans recourir à des investissements massifs. Comme il s'agit ici de défauts de régulation, des actions de sensibilisation des usagers et un meilleur réglage des équipements peuvent déjà avoir un impact bénéfique très important. On parle en l'occurrence de plusieurs millions d'euros à l'échelle du pays. »Le confinement : contexte « idéal » pour détecter les sites mal régulésLa période de confinement s'est avéré être un contexte « idéal » pour révéler les défauts de régulation énergétique des bâtiments. L'absence d'usagers dans les locaux (bureaux, commerces, hôtels...) a conduit à une chute drastique des besoins énergétiques. Une configuration hors norme qui permettait de révéler les gaspillages d'énergie et identifier précisément leur cause.Comparaison des seuils de puissance appelée avant (en rouge) / pendant le confinement (en vert) L'équipe R&D de Deepki s'est saisie de cette occasion pour développer un algorithme de détection à grande échelle du gaspillage énergétique. L'analyse consiste in fine à comparer, pour chaque site concerné, ses consommations pendant le confinement avec ses besoins la nuit, lorsque le site est fermé au public. L’étude complète est disponible en téléchargement, en cliquant iciMéthodologieÉtude menée pendant la période de confinement, entre le 17 mars et le 11 mai 2020 sur un parc de 3500 bâtiments des secteurs du retail et de l'immobilier de bureau, répartis sur le territoire français.
Il y a 4 ans et 273 jours

Plan de sauvegarde de l'emploi : inquiétudes des salariés de Schneider Electric

RESTRUCTURATION. A l'issue de comités sociaux et économiques, les syndicats de Schneider Electric ont fait savoir qu'un plan de restructuration de l'activité moyenne tension en France était en cours. Une annonce qui suscite inquiétudes et préoccupations auprès des salariés.
Il y a 4 ans et 273 jours

Un rapport fait 19 grandes recommandations pour l'avenir de la forêt et de la filière bois en France

Missionnée par le Premier ministre sur ces enjeux, suite au Conseil de défense écologique du 7 novembre 2019, la députée du Nord Anne-Laure Cattelot a remis aujourd'hui au ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation, Julien Denormandie, et à la secrétaire d'État chargée de la biodiversité, Bérangère Abba, son rapport. Elle y formule 19 recommandations ambitieuses pour donner aux forêts et au bois toute leur place dans le monde « décarboné » de demain.Les ministres ont salué le travail réalisé par la députée, ainsi que la densité et la qualité des échanges qu'elle a organisés avec tous les acteurs concernés, témoignant ainsi de sa volonté d'être force de proposition pour relever tous les défis qui se posent aujourd'hui sur les enjeux forestiers.La députée souligne, par ce rapport, l'urgence d'impulser à l'échelle nationale le renouvellement des forêts françaises. Elle vient ainsi conforter la décision récente et sans précédent du Gouvernement, de mobiliser, dans le cadre du plan de relance 200 millions d'euros. Il s'agit, tout à la fois, de renouveler des forêts fragilisées par les impacts du changement climatique, d'augmenter la production de graines et plants forestiers, de développer les entreprises de transformation du bois, tout en dynamisant le marché de la construction en bois, et en accélérant le virage numérique de la filière grâce à la technologie LiDAR, qui apportera une connaissance plus fine de la ressource forestière.Les propositions du rapport doivent désormais faire l'objet d'une analyse attentive de la part du Gouvernement.D'ores et déjà, en réponse au défi du changement climatique, l'acquisition et le transfert de connaissances apparaissent essentiels. Les ministres ont également souligné que les recommandations de la députée rejoignent les priorités identifiées par les acteurs de la forêt et du bois dans leur feuille de route pour l'adaptation des forêts au changement climatique. Celle-ci doit leur être justement remise prochainement.Par ailleurs, la forêt peut renforcer la durabilité de la construction, et accroître la décarbonation de l'économie du bâtiment. La valorisation du bois d'œuvre sera ainsi au cœur de la future réglementation environnementale pour les bâtiments neufs (RE 2020) qui a vocation à marquer une évolution décisive dans la façon d'appréhender la construction. Un volet dédié à l'impact carbone du bâti sera ajouté aux exigences réglementaires. Il valorisera les atouts des matériaux bois et biosourcés, renouvelables, qui constituent des réponses bas carbone prometteuses. Cette nouvelle réglementation sera prête début 2021, pour une entrée en application à l'été 2021.« Ce rapport illustre toute la richesse, la diversité, mais également la complexité des forêts françaises et des enjeux auxquels la filière forêt-bois est actuellement confrontée. Par ses propositions concrètes, il sera un support précieux de l'action du Gouvernement sur la filière forêt-bois pour les deux prochaines années. Je crois au potentiel de cette filière pour répondre au défi de transition écologique et bas carbone de notre économie. Le plan de relance que le Gouvernement vient de prévoit 200 millions d'euros d'investissements pour la forêt pour justement répondre à cette ambition ».-Julien Denormandie, Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation « La forêt française subit violemment le changement climatique. Pourtant, elle est une double réponse à la fois aux défis environnementaux et à la vie économique de nos territoires. Puits de carbone, lieu de biodiversité, lutte contre l'érosion des sols, préservation des ressources en eau, nos forêts doivent être au cœur de nos priorités d'action. Elles ont toute leur place dans le plan de relance. »-Bérangère Abba, Secrétaire d'État chargée de la biodiversité
Il y a 4 ans et 273 jours

Après la chute d'Elite, la France veut "aller plus loin" sur le contrôle des assureurs LPS

ASSURANCE CONSTRUCTION. Alors que l'effondrement de la société Elite insurance vient de frapper de nullité 60.000 contrats en France, le ministère de l'Économie explique auprès de Batiactu les pistes qu'il envisage pour que ce genre de situations ne se reproduise pas.
Il y a 4 ans et 273 jours

La demande de crédits immobiliers diminue malgré des taux en baisse

Malgré tout, l'accès au crédit se complique pour de nombreux emprunteurs, déjà fragilisés par la crise, en raison notamment de la mise en chômage partiel. Cette situation concerne, en premier lieu, les primo-accédants travaillant dans les secteurs les plus impactés par la crise (hôtellerie, restauration, événementiel, aéronautique etc.) et qui, pour nombre d'entre eux, se retrouvent dans l'incapacité financière de se positionner sur le marché du crédit immobilier... Au-delà de la vulnérabilité financière de certains emprunteurs, la crainte d'un rebond épidémique et le climat d'incertitude qu'elle génère, engendre une véritable frilosité, de la part des emprunteurs et des institutions bancaires. On note que, depuis le mois de mars 2020, les refus de prêts ont augmenté de 10% par rapport à 2019, sur la même période, et qu'un nombre plus restreint d'emprunteurs se positionne sur le marché du crédit.Rentrée 2020 : une diminution des demandes de prêt sur le marché...L'incertitude liée à la situation sanitaire actuelle resserre les conditions d'octroi de crédit, au détriment des emprunteurs au dossier les moins solides [1] ou dont la santé est considérée comme « à risque » par les assureurs.« Deux profils d'emprunteurs ont été particulièrement pénalisés par la crise. Ce sont, en premier lieu, les primo-accédants qui subissent de plein fouet les répercussions économiques engendrées par la crise sanitaire, en raison notamment de la précarisation de leur situation salariale. En effet, entre 2019 et 2020, la part des primo-accédants dans le total des emprunteurs a baissé de 4 % sur les dossiers montés [2], passant de 31% sur le 1er semestre 2019 à 27% sur le même semestre, en 2020, ce qui n'est pas un indicateur de bonne santé du marché du crédit immobilier. Au-delà des primo-accédants, ce sont aussi les personnes âgées ou polypathologiques qui se sont également vu refuser leurs demandes de prêts. Dans un contexte de crise, de hausse des taux combinée à une baisse du taux d'usure [3] (générant un effet ciseau [4]), le Taux Annuel Effectif Global (TAEG) affecté au prêt de ces emprunteurs atteint rapidement le taux d'usure en vigueur et ajourné leur projet d'achat immobilier... Leur santé étant considérée comme 'à risque' par les assureurs, ces profils d'emprunteurs doivent en effet payer une surcote d'assurance afin de garantir leur emprunt... »-Sylvain Lefèvre, président de La Centrale de FinancementLes banques ont également été contraintes d'accompagner l'emprunt de davantage de certitudes. Par exemple, en demandant de manière systématique, un apport sur le montant emprunté plus important qu'avant la crise. Aujourd'hui, les emprunteurs doivent financer 10 à 15 % du montant total du prêt[A1] pour couvrir, a minima, les frais de notaire et de garanties. Une plus grande attention est également portée à la stabilité du secteur dans lequel l'emprunteur travaille.« Aujourd'hui, en raison de l'incertitude qui pèse sur le secteur de l'aéronautique, un jeune pilote ne se voit plus accorder un prêt aussi facilement qu'avant et se voit contraint de reporter ou d'annuler ses projets d'acquisition immobilière. » ajoute Sylvain Lefèvre.Une situation qui conduit inexorablement à la diminution du volume de demandes de prêt, et plus particulièrement de la part des primo-accédants, travaillant dans les secteurs impactés par la crise....et les Français tournés vers de nouveaux projetsAu-delà de la diminution du volume de demandes de prêt, la crise a eu également un impact sur le comportement des acheteurs en capacité de se positionner sur le marché. De nouvelles tendances se dessinent non seulement vis-à-vis du type de biens vers lesquels les emprunteurs se tournent, mais également en lien avec la typologie de prêts contractés.Le confinement généralisé avait déjà engendré une augmentation de 10% des intentions d'achat de résidences secondaires. Une tendance qui semble se confirmer à l'approche d'une potentielle seconde vague de contaminations COVID. La crainte d'un reconfinement pousse d'ores et déjà certains ménages à concrétiser leur projet d'achat, dans ce cadre « Le marché des résidences secondaires, jusqu'alors atone pourrait connaître un regain de dynamisme et ce, pour quelque temps encore ! » précise Sylvain Lefèvre.Sur un marché de l'immobilier un peu moins tendu, ce sont aussi les délais de vente qui augmentent. « poussant de nombreux emprunteurs à avoir recours aux prêts relais afin de sécuriser leur acquisition, le temps de revendre le bien dans lequel ils vivent actuellement », précise Sylvain Lefèvre.Remettre du bon sens dans l'emprunt immobilierCette situation inédite pourrait néanmoins permettre de « remettre du bon sens sur le marché de l'emprunt immobilier », selon Sylvain Lefèvre.« Pour emprunter aujourd'hui, il faut être crédible. La situation inédite dans laquelle nous sommes plongés est l'occasion de discipliner les gens, et particulièrement les primo-accédants, à ce qu'un emprunt implique. Le crédit n'est plus vu comme un produit banalisé, mais bien comme un projet de longue durée qui s'accompagne d'une véritable réflexion. Il faut que l'emprunteur montre sa capacité à épargner et à gérer ses finances, sachant que le crédit immobilier représente, en moyenne, un tiers de son revenu mensuel ! »-Sylvain Lefèvre, président de La Centrale de FinancementSeptembre 2020 : un mois plus favorable à l'emprunt qu'août 2020 !En Septembre 2020, les taux ont légèrement baissé, sur l'ensemble des durées de prêt, par rapport au mois d'août 2020. Ainsi, avec les taux annoncés en septembre 2020, un emprunteur contractant un prêt d'un montant de 180 000€ sur 20 ans à 1,19%, verra sa mensualité s'élever à 843.12 euros pour un coût total de crédit de 22 348,8 euros.Évolution des tauxLes taux immobiliers moyens de septembre 2020Les conditions de taux généralement constatées sont en baisse de 0,01% pour les prêts sur 10, 15 et 25 ans. Ils ont diminué de 0,02% pour les prêts contractés sur 20 ans. Les meilleurs taux immobiliers de septembre 2020 par durée d'empruntLes meilleurs taux du mois de Septembre restent stables par rapport à ceux du mois d'Août.Profil des emprunteurs ayant réalisé leur projet en août 2020L'emprunteur type du mois d'août 2020
Il y a 4 ans et 273 jours

Arrêté "douches zéro ressaut" : les acteurs interpellent la ministre

RÉGLEMENTATION. L'arrêté prévoyant la généralisation des douches à l'italienne dans le neuf en 2021 ne passe pas auprès du secteur. Constructeurs, architectes, promoteurs, artisans et bailleurs sociaux réclament un délai "le temps de tester les solutions techniques et de gagner en compétences".
Il y a 4 ans et 273 jours

Le groupe industriel Frénéhard & Michaux acquiert la société espagnole MA Estructuras

Avec plus d'un quart de son CA réalisé à l'export et notamment en Europe, il poursuit ainsi ses ambitions de développement à l'international en renforçant sa présence et ses activités en Espagne.Présent en France, en Espagne, aux Pays-Bas, en Allemagne et en Italie, le groupe Frénéhard & Michaux propose aujourd'hui - sous le concept de LA HAUTEUR EN CONFIANCE® - une offre unique de produits pour l'accès, le déplacement et le travail en hauteur. Ces solutions (échelles, plateformes individuelles roulantes légères, échafaudages, garde-corps, lignes de vie, point d'ancrages, système d'ancrage mobile, harnais) adoptées par des professionnels du bâtiment et de l'industrie, soucieux de conjuguer sécurité et productivité, sont commercialisées sous les marques TUBESCA-COMABI®, SECURIGARD®, SYAM®, SKYWORKS®, TENDO® et ARTUB®.Après la prise de participation majoritaire en juin dernier de la société grenobloise GAMESYSTEM®, spécialisée dans les solutions de protection contre les chutes de hauteur, le groupe poursuit son développement par croissance externe en intégrant l'espagnol MA ESTRUCTURAS, loueur d'échafaudage avec prestations reconnu sur son marché.Entreprise familiale créée en 2010, la société MA ESTRUCTURAS réalise 2,2 M€ de chiffre d'affaires et emploie 30 personnes. Implantée à Madrid, MA ESTRUCTURAS propose de la location d'échafaudage associée à des prestations de montage pour des chantiers techniques. L'entreprise intervient principalement dans la capitale pour le marché de la réhabilitation.« Avec cette nouvelle prise de participation, nous renforçons notre présence et notre expertise sur le marché espagnol de la rénovation mais également celui de la construction en devenir. Nous avons des liens étroits avec MA ESTRUCTURAS et ce depuis de nombreuses années car elle utilise notre solution TENDO sur ses différents chantiers. Aussi c'est tout naturellement que nous nous sommes rapprochés d'une entreprise reconnue sur son marché et qui offre des prestations de très bonne qualité correspondant à nos exigences. Nous assurons ainsi le développement de nos savoir-faire et de notre chaîne de valeur en Espagne et au niveau du groupe. » Bernard Rothan, président du groupe Frénéhard & Michaux.Cette opération permet ainsi à Frénéhard & Michaux de diversifier son offre produits et services en Espagne. Le groupe conduit depuis toujours son développement en capitalisant sur ses marques historiques pour conquérir de nouveaux marchés et il ambitionne de forger un groupe leader européen avec un ancrage industriel fort.
Il y a 4 ans et 273 jours

Les Hauts de Sévigné, 97 logements à Cesson-Sévigné par Philippe Dubus

Le projet de l’agence Philippe Dubus architectes propose à Cesson-Sévigné (Ille-et-Vilaine) une opération de 97 logements (6 736 m² SP, 12,1 M€ HT) sur pilotis dotés de terrasses panoramiques sur la campagne Rennaise. Ou quand la nature s’invite en ville. Chantier en cours. Communiqué. L’urbanisation du secteur des Hauts de Sévigné s’inscrit dans la logique […] L’article Les Hauts de Sévigné, 97 logements à Cesson-Sévigné par Philippe Dubus est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 273 jours

Lafarge: Ports de Paris renforce ses contrôles et envisage des sanctions

Ports de Paris a annoncé renforcer ses contrôles et envisage de fortes sanctions contre Lafarge, si l'enquête en cours conclut à un écoulement délibéré de matériaux polluants dans le fleuve.
Il y a 4 ans et 273 jours

30 ans du CCMI et étude Kantar sur les aspirations des Français à l'égard de leur logement

À l'occasion de la Convention Nationale 2020 des Constructeurs et Aménageurs de la FFB, SMABTP, CGI Bâtiment et LCA-FFB, devenue à cette occasion Pôle Habitat FFB, ont célébré ce matin les 30 ans du Contrat de Construction de Maison Individuelle (CCMI), né de la loi du 19 décembre 1990 et de la volonté des constructeurs de maisons individuelles de s'engager résolument pour la qualité et la protection du consommateur.30 ans de succès pour ce cadre d'exercice, dont la part de marché ne cesse de croître et qui sécurise chaque année le projet de vie de milliers de Français grâce à ses nombreux avantages et garanties exclusives : prix global et forfaitaire, grille de paiement, garantie de livraison à prix et délais convenus, dommages-ouvrage, interlocuteur unique. Pierre angulaire du métier, le CCMI doit désormais accompagner la profession pour lui permettre de répondre aux nouveaux défis et aux nouvelles ambitions des constructeurs de maisons, de la digitalisation des process aux enjeux de rénovation globale.Lors de cette même Convention Nationale, Pôle Habitat FFB, SMABTP et CGI Bâtiment ont également dévoilé les résultats d'une étude confiée à l'institut de sondage Kantar sur les attentes et les aspirations des Français à l'égard de leur logement, dont nous vous invitons à télécharger la synthèse. Celle-ci montre que la composition familiale influence fortement le choix des Français en matière d'habitat. Les adultes de 18 à 54 ans sans enfant vivent à 74% en appartement, tandis que les familles occupent à 73% une maison (83% pour les familles de trois enfants et plus). La maison reste le rêve des Français : 57% y habitent actuellement et 64% désirent y vivre dans les cinq prochaines années. Elle confirme que la culture de la propriété reste très ancrée en France avec 58% de propriétaires de leur logement, avant tout dans la perspective de se constituer un patrimoine et de préparer l'avenir.L'étude souligne que l'habitat est créateur de lien social et de relations de voisinage pour deux tiers des Français. En dépit de certaines idées reçues, ce constat est d'autant plus partagé pour les Français habitant en maison (74% vs 59% pour les habitants d'appartement). En matière de localisation, la proximité des commerces, écoles et services publics (46%) constitue le premier élément de choix, devant la proximité avec le lieu de travail (37%) et les transports en commun (31%). Enfin, dans leurs critères de choix du logement, les Français sont attentifs aux possibilités de son évolution à tout âge de la vie et sont de plus en plus sensibles à la dimension environnementale dès lors qu'elle combine économies et confort.« Nous fêtons aujourd'hui les 30 ans du contrat de construction et à travers lui les 30 ans d'une profession dynamique, innovante, responsable et respectée. Une profession qui a su et saura encore demain s'adapter et répondre avec pragmatisme aux attentes profondes de nos concitoyens et aux défis techniques, environnementaux et territoriaux du secteur. Cet anniversaire est aussi l'occasion de rappeler que la maison, par ses qualités intrinsèques, reste le mode d'habitat plébiscité par les Français », souligne Grégory Monod, Président du Pôle Habitat FFB.Pour Jacques Chanut, Président de SMABTP, « la loi de 1990 et la mise en place du contrat CMI marquent une étape majeure dans l'histoire de l'habitat en France. Ce contrat a été initié et porté par des constructeurs, responsables et professionnels qui s'engagent, notamment avec la souscription d'une assurance dommages-ouvrage au bénéfice de leur client, à protéger et sécuriser l'investissement dans la construction de leur maison grâce au contrat signé. »Pour Marie-George Dubost, Présidente du directoire de CGI Bâtiment, « ce trentenaire donne l'occasion de saluer l'action primordiale du garant dans ce dispositif. En garantissant les constructeurs au bénéfice de leur maître d'ouvrage, le garant contribue à sauvegarder l'équilibre des relations contractuelles entre les parties. Sa présence est essentielle pour la protection des intérêts des consommateurs voulue par le législateur. C'est la garantie de livraison qui permet d'assurer que la part de rêve indissociablement liée au contrat de construction de maison individuelle devienne réalité ».
Il y a 4 ans et 273 jours

Ripage souterrain dans le cadre du chantier de mise en accessibilité de la gare de Saint-Denis

Les équipes devront organiser cette opération technique très complexe sans arrêter les circulations (900 trains par jour). Ces travaux s'intègrent dans un ambitieux programme de mise en accessibilité des gares d'Ile-de-France, largement porté et financé par Ile-de-France Mobilités et la Région Ile-de-France, et par SNCF également.Avec près de 90.000 voyageurs quotidiens, la gare de Saint Denis est une des gares les plus importantes d'Île-de-France. Desservie par les lignes D et H, elle est aussi fréquemment utilisée en correspondance.La mise en accessibilité de la gare de Saint-Denis est un chantier d'une ampleur exceptionnelle qui répond à plusieurs objectifs :Permettre aux personnes à mobilité réduite de se déplacer plus facilement : l'objectif plus largement est de faciliter la vie de tous les voyageurs ayant des difficultés de déplacement (poussettes, bagages, sacs volumineux).Décongestionner et adapter la gare aux flux de voyageurs attendus à long terme.Organiser tout le quartier gare en véritable pôle d'échanges.Données-clé du chantierCoût de l'opération : 78 M€ (Île-de-France Mobilités 50%, Région Île-de-France 25%, SNCF Gares & Connexions 25%).52 mois de travaux, soit un peu plus de 4 ans de 2019 à 2023. L'aménagement du quartier de la gare se poursuivra au-delà de 2022/2023.Outre le nouveau passage souterrain, la mise en accessibilité de la gare inclut entre autres le rehaussement des 4 quais en conformité avec le déploiement des futurs trains du RER D ; la création de nouveaux bâtiments voyageurs accessibles aux personnes à mobilité réduite, dans la continuité du futur souterrain ; la création de 4 ascenseurs et d‘une rampe d'accès ; l'installation de 2 escaliers mécaniques ; la création et l'allongement des abris sur les quais ; l'installation de balises sonores, la mise en conformité de l'éclairage et de la signalétique et la pose de bandes de guidage et d'éveil à la vigilance.Entreprise réalisant les travaux : Demathieu BardLe glissement des cadres du nouveau souterrainL'opération se déroule dans le calendrier prévu grâce à une mobilisation exceptionnelle des équipes SNCF et des entreprises partenaires.Ce chantier est l'un des premiers à avoir repris en Ile-de-France après le confinement lié au Covid-19.Il faudra seulement 24 heures pour mettre en place les 2 cadres géants de béton sous les voies ferrées, d'une longueur de 35 mètres chacun.Les 2 cadres du futur passage souterrain sont réalisés en béton armé. Une bétonneuse injecte le béton dans un coffrage en bois, renforcé de tiges métalliques, qui permet de mouler les parois et la toiture de l'ouvrage grâce à un échafaudage posé au sol.Les ouvertures réservées sur les côtés des deux cadres accueilleront les escaliers mécaniques et les escaliers fixes qui desserviront les quais ; les cages d'ascenseurs s'inscriront dans les ouvertures réservées en toiture.Une fois les cadres du souterrain glissés sous les voies, les équipes débuteront la réalisation des accès qui les relieront aux quais.Un passage souterrain hors normes2 500 tonnes, c'est le poids total des ouvrages glissés sous les voies (soit l'équivalent de 6 locomotives TGV)70 mètres, c'est la longueur du futur passage souterrain (soit la longueur de 3 terrains de tennis)Un programme ambitieux de mise en accessibilitéPersonnes en situation de handicap, personnes âgées, voyageurs avec bagages ou poussettes, femmes enceintes…En Île-de-France, près de 4,8 millions de personnes se retrouvent en situation de mobilité réduite, que ce soit de manière permanente ou temporaire.En septembre 2020, 117 gares d'Ile-de-France étaient rendues accessibles à tous, dont 110 au titre du programme SDA (schéma directeur d'accessibilité).Des travaux d'accessibilité sont en cours cette année dans une quarantaine de gares franciliennes, dont celle de Saint-Denis. A terminaison du programme, plus de 209 gares prioritaires sur la région seront accessibles à tous.Ce programme d'envergure s'appuie sur la coopération entre toutes les parties prenantes, élus locaux, associations de personnes à mobilité réduite et usagers des lignes, ainsi que sur l'engagement d'Île-de-France Mobilités et de la Région Île-de-France, principaux financeurs de ces opérations visant à développer des gares intermodales, durablement accessibles et accueillantes.Près de 190 millions d'euros sont injectés cette année en Ile-de-France dans les travaux d'accessibilité.Pour réduire l'impact des travaux sur les 3,2 millions de voyageurs qui circulent chaque jour sur le réseau d'Ile-de-France, les opérations se déroulent largement de nuit, le week-end et pendant les vacances scolaires. Les travaux de mise en accessibilité s'effectuent souvent dans des gares extrêmement fréquentées, sans pour autant affecter les déplacements du quotidien.Depuis le 1er janvier 2020, la nouvelle gestion unifiée des gares place les projets de mise en accessibilité des gares directement sous la responsabilité de SNCF Gares & Connexions.
Il y a 4 ans et 273 jours

Prochaine édition du Village Virtuel du Bâtiment : 30 septembre 2020 de 9h à 17h

Le Village Virtuel du Bâtiment s’inscrit dans le contexte actuel de relance économique et vise à valoriser l’apprentissage et l’emploi des jeunes. Il est animé par les professionnels du CFA (développeurs de l’apprentissage, professeurs, directeurs…) qui présentent leur établissement et répondent en 15mn à toutes les questions que les jeunes (ou leurs parents !) peuvent se poser sur l’apprentissage dans le secteur du Bâtiment. Conseils et informations sur les perspectives du secteur, évolutions de carrières possibles, différents métiers : autant de sujets pour ouvrir le dialogue entre étudiants et monde professionnel. Ces rencontres virtuelles sont organisées avec 4 CFA et 2 chambres syndicales. Inscription gratuite au VVB avant le 28 septembre via ce lien : https://bit.ly/3kiDyQi Liste des CFA participants CFA du Bâtiment Saint-Lambert, métiers de l’économie de la construction CFA Couverture-Plomberie Maximilien Perret, métiers du génie climatique et thermique, de la couverture et de la plomberie CFA GESTES Formation, métiers de la peinture, de la décoration, des revêtements sols et murs L’EA Campus Gennevilliers, métiers de la menuiserie, de l’agencement et de l’ossature bois Liste des Chambres syndicales participantes CESAME, métiers de la serrurerie métallerie, SFECE, Syndicat Français de l’Echafaudage, du Coffrage et de l’Etaiement
Il y a 4 ans et 273 jours

Spie batignolles lance son premier concours

Spie batignolles lance son premier concours “Challenge Innovation Ouverte” à destination des jeunes entreprises innovantes et des équipes scientifiques issues de la recherche publique. Ce concours s’organise autour de 4 défis : – BIM et qualité de réalisation – étendre l’usage du BIM aux méthodes et à la performance de la construction : la mise en place du BIM (Building Information Modeling) passera par l’intégration de nouvelles applications et usages de la maquette numérique permettant d’augmenter l’efficience des experts de la construction et d’optimiser les projets. Comment utiliser les données très hétérogènes pour gagner en performance sur les projets et chantiers ? – Valorisation des matériaux excavés – outils pour la classification des matériaux : une évolution majeure est en cours. Les matériaux excavés ne seront plus systématiquement considérés comme des déchets mais également des matériaux à valoriser. Quels dispositifs de pré-classement pourront permettre de classer les matériaux pour mettre en oeuvre les usages et circuits de valorisation ? – Identification automatique matériel – traçabilité du matériel et gestion du flux : la gestion du parc matériel est un véritable enjeu. L’introduction de solutions numériques de type identification ou traçabilité constitue une avancée nécessaire pour optimiser son fonctionnement. – Route fonctionnelle – la route au service de la Smart City : les infrastructures routières travaillent sur leur impact environnemental et leurs fonctionnalités. Les infrastructures sont un élément à part entière de la Smart City. C’est l’objet des routes de “5ème génération” qui seront plus écologiques et intelligentes. Quelle innovation pour faire de la route un système énergétique, en adéquation avec les enjeux environnementaux ? Le Réseau SATT, association qui fédère les SATT – Sociétés d’accélération du Transfert de technologies – accompagne Spie batignolles dans la mise en œuvre et la diffusion des défis aux écosystèmes d’innovation du territoire, l’émergence des propositions de laboratoires et start-up. Les candidats ont jusqu’au 30 octobre 2020 pour déposer leur dossier sur le site: https://www.satt.fr/challenge-spie-batignolles/ La sélection des finalistes aura lieu le 3 novembre et l’annonce des lauréats se fera le 9 novembre prochain, après la rencontre avec le jury composé d’experts Spie batignolles et de personnalités externes au groupe. Il évaluera les possibilités de travailler avec la solution lauréate pour qualifier son apport, ses atouts et déployer une offre. Spie batignolles pourrait alors mettre en œuvre des expérimentations et/ou des collaborations scientifiques et techniques avec le lauréat.
Il y a 4 ans et 273 jours

13 maisons en bois et paille à Nogent le Rotrou (FR-28)

NZI Architectes re-questionne l’habitat individuel groupé et la notion de « lotissement »avec ce projet de 13 logements sociaux économes en énergie sur la commune de Nogent le Rotrou (FR-28). Le travail s’est tout d’abord orienté vers l’exploration de techniques innovantes et écologiques.Construire des logements sociaux économes en énergie est un enjeu important. L’enveloppe de […]
Il y a 4 ans et 274 jours

Nantes : Un subtil travail autour des bétons

Retrouvez cet article dans le numéro 88 de Béton[s] le Magazine. L’ensemble immobilier O’2 Parcs se divise en trois bâtiments, posés sur un socle commun. [©Hardel Le Bihan Architectes/Schnepp Renou] L’Ile de Nantes, l’endroit de tous les possibles. Depuis le début des années 2000, elle fait l’objet d’un vaste programme de rénovation urbaine. Sur sa partie Ouest, le boulevard de la Prairie au Duc en constitue l’axe principal. C’est là que prend place l’ensemble immobilier O’2 Parcs. Il se divise en trois bâtiments, posés sur un socle commun. Le projet est signé du cabinet parisien Hardel Le Bihan Architectes. Il se veut un repère pour ce quartier qui émerge. Avec ses bétons clairs, l’ensemble paraît presque rayonner. En partie créée par les lasures qui la protègent, sa teinte varie sans cesse, passant d’un blanc éclatant au soleil à une nuance plus argentée sous un ciel couvert.  Sur le bâtiment en R+11, les balcons prennent la forme de voûtes catalanes et constituent la véritable signature du projet. [©Hardel Le Bihan Architectes/Schnepp Renou] Le béton est le fil conducteur du projet. Les architectes l’ont décliné. Une manière de souligner le caractère de chaque bâtiment. Ainsi, l’immeuble C se développe sur 7 étages de logements sociaux. Sa façade est mise en relief par un jeu subtil d’ombre et de lumière, obtenu grâce à un matriçage vertical façon “planches”. « Nous avons travaillé avec des matrices Noeplast. Une première pour nous », indique Michel Antoine, chef de groupe travaux de l’entreprise Legendre Construction, en charge du gros œuvre. Les deux autres bâtiments du programme (bâtiments A, en R+11, et B, en R+6), constitués de logements en accession, ont bénéficié de bétons bruts lasurés. Lasures que l’on retrouve aussi sur le béton matricé.  Les Bétons de l’Atlantique comme partenaires Le cahier des charges était précis. Il exigeait des bétons avec le moins de bullages possible. Un calepinage précis des trous de banches. Et des arrêts de bétonnage réduits à leur plus simple expression. [©Legendre/Atypix] Ce travail de traitement des façades avait pour but de sublimer les bétons architectoniques réalisés par l’entreprise. « Le cahier des charges des architectes était précis. Il exigeait des bétons avec le moins de bullages possible. Un calepinage précis des trous de tiges des banches. Enfin, des arrêts de bétonnage et autres joints entre banches, réduits à leur plus simple expression », reprend Michel Antoine. Pour garantir le parement le plus fin possible, Legendre Construction a choisi de travailler avec ses banches-outils les plus belles : des Sateco SC 9015 quasi-neuves…  Quelque 73 balcons sur poutres en console sont sortis de la ligne de production de Ouest Prafa, filiale du groupe Legendre [©Hardel Le Bihan Architectes/Schnepp Renou] Côté bétons, l’entreprise a fait appel aux Bétons de l’Atlantique, une des filiales BPE du groupe Caddac. « Nous avons l’habitude de collaborer avec cette enseigne… » Pour les façades, le producteur a livré quelque 1 000 m3 de C25/30 XF1 de classe de consistance S4. Ce béton a été formulé sur la base d’un ciment gris enrichi de fillers calcaire, représentant une charge de 350 kg d’éléments fins. De quoi garantir un parement fin qualitatif et pérenne. Le choix des lasures s’est porté sur des références issues du catalogue GCP Applied Technologies. L’assise commune, tout comme les façades matricées bénéficient de la Pieri Prelor Vario, basée sur un régulateur de fond incolore et une teinte Jade Blanc à 25 % de dilution. Les bétons lisses des élévations profitent, quant à eux, de la même solution. Mais dans sa variante “régulateur de fond gris” et teinte Jade Blanc utilisée à 200 %. D’où la dominante blanche des bétons.  Préfabrication privilégiée pour les balcons L’immeuble C réunit les logements sociaux du projet. Sa façade est mise en relief par un jeu subtil d’ombre et de lumière, obtenu grâce à un matriçage vertical façon “planches”. [©Legendre/Atypix] Pour les matrices, Legendre a travaillé avec Noeplast. Une première pour l’entreprise. [©Legendre/Atypix] L’intérêt des lasures est de ne pas être couvrant, laissant ainsi voir la texture et le grain du matériau, ce qui rend le béton plus “vivant”. De plus, ces produits sont hydrofuges, protégeant les surfaces de la pluie, du ruissellement et palliant la formation de mousses sur les corniches. Ce qui est loin d’être un luxe à Nantes ! A elles seules, les façades en béton ne donnent pas leur identité à l’ensemble immobilier O’2 Parcs. Il leur fallait un “petit” plus. Cet indispensable complément est venu des balcons. Ceux-ci soignent les vues. Sur les chantiers navals voisins. Sur les bords de Loire plus lointains. Sur les voies ferrées bientôt transformées en parc métropolitain. Sur les jardins du cœur d’îlot.  Pour Legendre, c’était une évidence préfabriquer les balcons. Couler ces éléments en place n’aurait jamais permis d’obtenir le résultat escompté. [©Legendre/Atypix] Pour s’intégrer parfaitement à l’esthétique des bétons coulés en place et compte tenu de leurs formes souvent complexes, Legendre Construction a opté pour la préfabrication. « C’était une évidence de procéder ainsi. Couler ces éléments en place n’aurait jamais permis d’obtenir le résultat escompté », confirme Michel Antoine. D’autant que les balcons se déclinent en deux types principaux et en plusieurs variantes à chaque fois.  En totalité, ce ne sont pas moins de 184 éléments qui sont sortis de la chaîne de production d’Ouest Préfa, filiale de préfabrication du groupe Legendre. Plus en détail, on dénombre tout d’abord 73 balcons sur poutres en console. Ces éléments habillent le bâtiment B. Mais les balcons qui retiennent l’attention sont ceux du bâtiment A, se développant sur 11 niveaux. Ils prennent la forme de voûtes catalanes et constituent, ainsi, la véritable signature du projet. Frédéric Gluzicki Repères Promoteurs : Groupe Duval (Bureaux et logements sociaux) et Marignan (logements en accession)Architecte : Hardel Le Bihan Architectes (Sandrine Restoux, chef de projet)Bureau d’études : EgisGros œuvre : Legendre ConstructionBPE : Bétons de l’Atlantique (groupe Caddac)Préfabricant : Ouest Préfa (groupe LegendreCoffrages verticaux : SatecoMatrices : NoeplastLasures : GCP Applied TechnologiesSurfaces : 9 400 m2 (SDP)Délai : 24 moisCoût : 12 M€ [/abonnes]
Il y a 4 ans et 274 jours

Vinci Construction France : Utiliser le laitier comme liant unique du béton

Retrouvez cet article dans le numéro 90 de Béton[s] le Magazine. Les poteaux reprennent les six niveaux du bâtiment C de l’Archipel. [©ACPresse] L’Archipel, un ensemble de 5 bâtiments édifié au cœur de la ville de Nanterre (92). Imaginé par les architectes Jean-Paul Viguier et Marc Mimram, il constitue le futur siège social du groupe Vinci. « Un siège qui nous rassemble et nous ressemble », indique Xavier Huillard, Pdg du groupe de BTP. Il sera le reflet de l’ADN de Vinci et le symbole de sa transformation. Surtout, il se veut le démonstrateur des savoir-faire et des innovations du groupe. « Chaque entité de l’entreprise a été sollicitée dans le cadre de la démarche “innovation” », résume François Cussigh, directeur du service ingénierie du matériau béton de Vinci Construction France. Et de poursuivre : « D’une manière naturelle, nous avons proposé un béton à faible impact environnemental ou bas carbone ». Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez cet article dans le numéro 90 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 274 jours

Young Moroccan Architecture Awards 2020 : Appel à candidatures

Créés par le groupe Archimedia, les Young Moroccan Architecture Awards (YMAA) récompenseront la créativité des réalisations architecturales signées par des jeunes architectes marocains. L’appel à candidatures de la première édition est ouvert aux architectes de moins de 45 ans jusqu’au 10 octobre 2020. En 2020, les YMAA vont décerner des prix aux jeunes talents de l’architecture marocaine afin de mettre en valeur les réalisations architecturales les plus emblématiques du pays. Porté par le groupe de presse Archimedia, ce palmarès distinguera pour la première fois les projets des meilleurs architectes marocains dans 32 catégories, qui visent à rendre compte de l’ensemble des pratiques architecturales. Présidé par l’architecte de renom Taoufik El Oufir, le jury sera composé de professionnels du secteur comme l’architecte Christian de Portzamparc, et décernera trois distinctions dont deux prix qui récompenseront les projets de fin d'études d’étudiants marocains scolarisés au Maroc ou à l’étranger. La première édition des Young Moroccan Architecture Awards mettra à l’honneur l’architecture contemporaine marocaine, et assurera aux jeunes lauréats une reconnaissance importante dans le secteur et une couverture médiatique internationale Pour participer et tenter de remporter un prix, il vous suffit de vous inscrire sur le site des YMAA.Visuels : © YMAALa Rédaction
Il y a 4 ans et 275 jours

Urgence au Liban pour sauver le patrimoine avant les pluies hivernales

"Nous devons couvrir 100 bâtiments historiques avant la pluie", a indiqué Sarkis el-Khoury en conférence de presse. Faute de quoi, il y "aura beaucoup de dégâts au niveau des plafonds peints et des bâtiments qui peuvent s'effondrer"."On joue contre le temps, il s'agit de quelques jours, quelques semaines au plus, pour faire tous ces travaux, c'est vraiment très difficile", a-t-il souligné.Selon lui, 45 bâtiments nécessitent un étaiement complet et 55 autres un étaiement partiel.L'explosion du 4 août a fait plus de 190 morts et plus de 6.500 blessés. Mais elle a aussi ravagé des quartiers historiques de la capitale libanaise, où sont nichés palais et bâtisses à l'architecture typiquement beyrouthine.D'après M. Khoury, la restauration du patrimoine devrait coûter 300 millions de dollars.Il s'exprimait après avoir rencontré des responsables de trois organisations internationales spécialisées dans la sauvegarde du patrimoine.Valéry Freland, directeur exécutif de l'Alliance internationale pour la protection du patrimoine dans les zones en conflit (ALIPH), a signé un accord de 5 millions de dollars pour des projets de réhabilitation."Il faut travailler assez vite pour protéger ces bâtiments historiques avant la saison des pluies qui arrive très vite", a-t-il souligné en marge de cette rencontre au musée Sursock d'art moderne et contemporain.Ce palais construit en 1912, écrin d'architecture vénitienne et ottomane, a été endommagé par l'explosion --ses vitraux colorés décorant une façade ciselée d'un blanc immaculé ont volé en éclats-- et une cinquantaine de ses 180 oeuvres ont été abimées.Leur restauration devrait coûter environ 3 millions de dollars, selon une estimation provisoire fournie par sa directrice Zeina Arida.Mais des problèmes logistiques compliquent le travail des personnes s'activant pour aider ces quartiers, notamment les volontaires de Live Love Lebanon."On a un problème, il n'y a pas de chaux. Toutes les maisons patrimoniales sont faites de grès. Le grès a besoin de chaux, qui n'existe pas au Liban", a expliqué Edouard Bitar, président de cette ONG, précisant que ce matériau doit être importé d'Italie ou de France.De grands groupes industriels et du BTP ont été contactés pour en obtenir rapidement et à un prix abordable, a-t-il ajouté. "Si on ne retape pas les maisons des gens avec de la chaux, ils le feront avec du ciment et on va gâter tout notre ADN architectural", a-t-il regretté.
Il y a 4 ans et 275 jours

Le trafic des aéroports parisiens en août à un peu plus de 30% par rapport à l'an dernier

Pour Paris-Charles-de-Gaulle (CDG) et Paris-Orly, le trafic est en baisse de 68,8% par rapport au mois d'août 2019 avec 3,2 millions de passagers accueillis, a indiqué le groupe dans un communiqué. Ce chiffre est en légère amélioration par rapport à juillet, où la baisse atteignait 77,1%.Sur les mois de juillet et d'août cumulés, le trafic dans les aéroports parisiens a atteint 5,7 millions de passagers, c'est-à-dire à peine un quart de son niveau la même période l'an dernier (20,9 millions).À Paris-Charles-de-Gaulle, seuls les terminaux 2E, 2F et 2AC sont actuellement ouverts afin d'accueillir l'ensemble du trafic commercial de passagers, selon ADP.A Orly, le trafic commercial suspendu temporairement 1er avril, a repris à partir du 26 juin à partir d'Orly 3, le 13 juillet à partir d'Orly 4 et le 24 août depuis Orly 1, précise ADP.Depuis le début de l'année, le trafic des aéroports parisiens est en diminution de 65,3%.Selon l'Union des aéroports français, le trafic des aéroports français s'est effondré de 81% entre mars, le début de la crise du coronavirus, et août.Le trafic aérien a repris sur les liaisons intérieures et certaines destinations européennes, mais il reste soumis aux incertitudes liées aux fermetures de frontières et restrictions décidées par les pays en fonction de l'évolution de l'épidémie.
Il y a 4 ans et 275 jours

Ecoles résilientes 1/5 : dans le Nord, Haubourdin, premier de la classe énergétique

Réceptionnée juste avant la rentrée après 9 millions d’euros de travaux sous la maîtrise d’œuvre de Relief Architectes, la nouvelle école primaire d’Haubourdin affiche les performances d’un bâtiment à énergie positive. La commune se félicite d’avoir osé un marché public global de performance, salué en 2018 par un trophée de la commande publique.
Il y a 4 ans et 275 jours

Fonds chaleur : la biomasse à la pointe des aides, le biogaz progresse fortement

COLLECTIVITÉS. Alors que la transition écologique (et énergétique) s'impose de plus en plus dans les débats, l'Ademe a présenté le bilan du Fonds chaleur pour l'année 2019. L'intégralité de son budget a été engagé et plus de 80% de la production renouvelable issue des installations qu'il a financées ont transité par un réseau de chaleur.
Il y a 4 ans et 276 jours

L'État engage un effort sans précédent en faveur des énergies renouvelables

Le soutien de l'État aux énergies renouvelables se traduit par un engagement financier massif et des mesures de simplification pour les porteurs de projet, visant à permettre l'atteinte de l'objectif ambitieux de 33% d'énergies renouvelables en 2030, contre 17,2% fin 2019. Toutes les filières sont concernées : l'électricité, le gaz et la production de chaleur. Dans le projet de loi de finances pour 2021, le soutien aux énergies renouvelables sera accru au total de 1,3 Md€, soit une hausse d'environ 25%, pour dépasser les 6 Mds€, un record historique qui correspond à un doublement par rapport à 2012.La France a pris des engagements ambitieux de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre afin d'atteindre la neutralité carbone en 2050. Tous les secteurs sont concernés et notamment le secteur de l'énergie, qui constitue une part significative des émissions dans notre pays. Le pays est également engagé dans un mouvement de diversification de ses sources de production d'énergie pour renforcer la résilience de son système énergétique, sa sécurité d'approvisionnement et sa compétitivité.S'agissant de la production d'électricité, l'objectif est de doubler d'ici 2028 la capacité de production de l'éolien terrestre, de multiplier par près de cinq celle du photovoltaïque et de lancer chaque année un appel d'offres pour l'éolien en mer, correspondant à la production d'environ 1 GW par an, soit la consommation moyenne de 600.000 ménages. Afin d'atteindre ce rythme, l'État est actuellement engagé sur trois projets en parallèle : le débat public pour l'attribution du prochain parc d'éolien en mer en Normandie s'est terminé en août 2019 ; celui pour la Bretagne est ouvert depuis le mois de juillet et un débat sera lancé prochainement pour des parcs d'éolien flottant en Méditerranée. Au total, la PPE prévoit un soutien supplémentaire pouvant aller jusqu'à 6 Md€ pour faire émerger une filière d'éolien en mer en France d'ici 2028.L'avenir du pays passe par les énergies renouvelables. Le soutien du Gouvernement au secteur augmentera de près de 25% en 2021 et dépassera les 6 milliards d'euros. Un record historique qui correspond à un doublement par rapport à 2012.☀️
Il y a 4 ans et 276 jours

Depuis la fin du confinement, la province et la grande couronne attirent plus que jamais

La tendance observée depuis mai 2020 d'explosion des recherches de biens à acquérir, se confirme et se renforce même dans la plupart des secteurs, aussi bien en Ile-de-France qu'en régions. Les urbains veulent désormais acheter des biens plus grands, avec une terrasse ou un jardin, quitte à laisser les cœurs de ville des métropoles.L'Ile-de-France s'étend au-delà de ses frontièresPAP.fr a constaté sur son site du 1er au 31 août 2020, une hausse des recherches de biens à acheter de + 60% par rapport à août 2019 en Ile-de-France et dans les départements limitrophes. C'est encore plus que les +46% de hausse constatés en mai 2020 !Paris n'a plus la cote !Tous les départements d'Ile-de-France, de même que l'Eure, l'Eure et Loir, le Loiret, l'Yonne et l'Oise connaissent une forte hausse de recherches de biens à acheter. Sauf Paris, qui pour la première fois, est en baisse par rapport au mois d'août 2019 : - 5%*.Les trois départements de la Petite couronne progressent, mais moins que le reste de la région. En moyenne, ils sont à +32%, ce qui est bien inférieur aux progressions de la Grande Couronne et des départements limitrophes à l'Ile-de-France.Les franciliens s'éloignent de ParisLa Grande Couronne progresse en moyenne de 83%, et la Seine-et-Marne en particulier voit son attrait exploser : +118% de recherches par rapport à août 2019 !Et le mouvement s'étend au-delà des frontières administratives de l'Ile-de-France. Ainsi, les départements limitrophes à l'Ile-de-France progressent également de 83% en moyenne, vers le Nord dans l'Oise (+78%), vers l'Ouest dans l'Eure (+102%) et l'Eure et Loir (+65%), ou vers le Sud dans le Loiret (+82%) ou l'Yonne (+88%).En régions aussi, on s'éloigne des villesEn août 2020, PAP.fr a constaté une moyenne nationale de 46% de recherches d'achat de plus que l'année dernière à l'échelle nationale sur son site. Les autres grandes villes s'en sortent mieux que Paris, mais restent malgré tout dans l'ensemble en dessous de la moyenne nationale.Sortir des centres-villesPartout, les recherches autour des villes progressent plus que dans les villes elles-mêmes. Ainsi, quand Bordeaux progresse de 21%, la Gironde progresse de 70%. Quand Lyon progresse de 37%, le Rhône progresse de 86%. Les recherches des Français s'éloignent donc des centres-villes. Vive les zones moins denses !Pour trouver les plus fortes progressions, il faut aller encore plus loin. Ainsi, le nombre d'acheteurs a plus que doublé dans plusieurs départements. La qualité de vie semble désormais la priorité n°1 des acheteurs, et cela inclut souvent la proximité du littoral ou de la montagne. Le télétravail leur permet d'envisager de s'éloigner des villes jugées trop stressantes.Résidence principale ou secondaire ?On pourrait croire qu'il s'agit essentiellement de recherches de résidences secondaires : il n'en est rien. Le taux de recherches de résidences secondaires a peu progressé : il est de 8.8% en août 2020 contre 8.2% en août 2019. Les acheteurs veulent bien s'installer ailleurs!39% des acheteurs prêts à signerQuelle est la situation des acheteurs en août 2020 ? 39% d'entre eux ont déjà bouclé leur financement ** :18% des acheteurs ont les fonds nécessaires à l'achat de leur bien et indiquent ne pas avoir besoin de condition suspensive d'obtention de crédit. Il s'agit majoritairement d'acheteurs qui ont déjà vendu leur propre bien, ou qui ont reçu un héritage.21% des acheteurs ont recours à un crédit immobilier et ont déjà obtenu l'accord de principe de leur banque. Leur apport personnel moyen est de 35%. Méthodologie* Résultats d'une étude menée sur l'audience de 3 994 846 utilisateurs sur PAP.fr entre le 1er et le 31 août 2020, comparée à l'audience du 1er et le 31 août 2019.** Étude menée sur 10.729 acheteurs actifs entre le 1er et le 31 août 2020.
Il y a 4 ans et 276 jours

Zoom sur : Lisa Allegra

La jeune céramiste Lisa Allegra explore le contraste et l’équilibre de la matière avec ses pièces en terre cuite façonnées à la main. Pour la créatrice, la terre est un matériau singulier évoquant à la fois des souvenirs d’enfance et des objets anciens. À la croisée de l’artisanat et de l’art contemporain, ses collections « MOOR » et « APPAREL » nous invitent à découvrir son univers poétique. Diplômée de l’École des Arts Décoratifs de Strasbourg en design objet, Lisa Allegra (née en 1986) s’initie au travail de la terre au cours de ses études. Après avoir collaboré avec différents studios de design parisiens, elle quitte Paris en 2012 pour faire le tour du monde. À son retour, un an plus tard, elle fait ses armes dans la scénographie chez Diptyque à Paris. Aujourd’hui, elle vit et travaille à Barcelone (Espagne), où elle imagine et fabrique des objets et des meubles en céramique.« Changer d’échelle...Passer du travail de la main à celui du corps ... de l’espace de la table à celui de l’atelier me fait découvrir de nouvelles sensations, et en même temps me ramène à un engagement très intime, sans concession, total, presque obsessionnel. », Lisa Allegra, designer. Pour créer les pièces des collections « MOOR » et « APPAREL », Lisa Allegra a utilisé la même technique de modelage à la plaque mais a réalisé deux ensembles distincts. La collection « MOOR » rassemble des meubles contemporains aux formes sensuelles, tandis que la collection « APPAREL » réunit des vases figuratifs qui reproduisent des coupes de vêtements ou d’accessoires de mode. La collection « MOOR » comprend une table, un tabouret, trois lampes et des céramiques planters. Ces pièces en grès chamotté modelées à la main se démarquent par leur forme massive inspirée des bittes d’amarrage. À la fois objet fonctionnel et œuvre sculpturale, chaque pièce de la série retranscrit dans une forme minimale une certaine idée de l’équilibre. Conçus pendant le confinement, les neuf vases de la collection « APPAREL » sont des pièces uniques façonnées à la main de manière spontanée. En réfléchissant sur la mode, l’art et le design, Lisa Allegra a choisi de « travailler la terre comme une toile ou du cuir » pour « faire un patron, bâtir, coudre, plier, créer des bords bruts ou francs, puis figer par le feu, un tombé, un plissé ou une encolure... » Ainsi, chaque pièce de la collection marie des découpes franches et travaillés avec des détails audacieux nés de gestes spontanés et de mouvements aléatoires.À mi-chemin entre artisanat et art, les créations sculpturales de Lisa Allegra sont résolument contemporaines. Pour en savoir plus, visitez le site de Lisa Allegra. Visuels : Lisa AllegraLa Rédaction
Il y a 4 ans et 276 jours

HELIX, une collection acoustique au design novateur signée SINIAT

Siniat lance HELIX, une collection acoustique au design novateur pour plafonds et murs. Plaques de plâtre perforées SINIAT revêtues au dos d’un voile acoustique Les solutions de plaques de plâtre haute performance acoustique CREABEL® englobent deux gammes de produits aux univers techniques et esthétiques spécifiques, CREATEX® et CREASON®, comprenant des collections de plusieurs décors différents. Ces plaques de plâtre perforées de 12,5 mm d’épaisseur, revêtues au dos d’un voile absorbant, répondent, en neuf comme en rénovation, aux exigences acoustiques des ERP et parties communes des logements collectifs et décuplent les possibilités décoratives pour l’aménagement des plafonds. Aujourd’hui, la gamme CREATEX® s’enrichit d’une nouvelle collection aux motifs uniques sur le marché français : HELIX. La collection HELIX sera disponible dès le mois de septembre 2020. Collection HELIX : un design inédit pour démultiplier la créativité esthétique des plafonds acoustiques Pour concevoir la nouvelle collection HELIX, Siniat a fait appel au studio de design Scarabee Style. Designer reconnue dans ce studio qui travaille depuis longtemps pour l’industrie de la décoration et de l’habitat, Françoise Jouve aime travailler sur les interactions entre lumière, surface et matière. Ainsi est née HELIX, une collection basée sur une figure géométrique au design évolutif suivant les intensités de perforations de la plaque de plâtre, pour une esthétique architecturale contemporaine particulièrement recherchée. Tout est basé sur une forme élémentaire précise et sobre, rappelant la pale d’une hélice, qui permet de créer différents motifs par un simple jeu de vides et de pleins, d’ajouts et de suppressions. La nouvelle collection HELIX est composée de trois décors : Crystal, Tweed et Verde. Chaque décor se décline en 3 motifs complémentaires et évolutifs en fonction de leur intensité de perforation, pour permettre aux architectes de personnaliser les espaces en fonction du besoin acoustique et de l’esthétique recherchée. Au total, la collection HELIX propose donc 9 motifs uniques pour décupler la créativité esthétique des plafonds acoustiques. Pour plus d’information, merci de contacter le service de presse au 01 40 21 08 30.    
Il y a 4 ans et 276 jours

Concessions autoroutières: le Sénat s'élève contre leur prolongation

Il est "impératif de ne plus prolonger la durée des concessions" autoroutières qui doivent arriver à échéance à partir de 2031, a estimé dans un rapport publié vendredi 18 septembre une commission d'enquête du Sénat.
Il y a 4 ans et 276 jours

22 villes réclament à la Commission Européenne plus de régulation des plateformes type Airbnb

Ces villes du réseau Eurocities, qui doivent rencontrer jeudi à Paris la vice-présidente de la Commission européenne Margrethe Vestager, fustigent "un cadre légal européen daté et avantageux" pour ces plateformes, selon un communiqué.Les représentants des métropoles veulent "obliger les plateformes à partager leurs data, indispensables pour un contrôle efficace" et les tenir "responsables pour les annonces qu'elles publient"."Nous ne sommes pas contre les plateformes, mais elles doivent respecter la régulation au niveau local et national. Il est temps que l'Europe adopte une nouvelle approche dans sa réglementation afin de se mettre d'abord au service de l'intérêt général", affirme Anne Hidalgo, maire de Paris, qui compte plus de 25.000 logements Airbnb, citée dans le communiqué.La maire d'Amsterdam Femke Halsema souhaite pour sa part réguler les plateformes numériques pour "assurer le bien-être et la liberté des citoyens".Les métropoles européennes reprochent aux locations de meublés à court terme d'être trop rentables par rapport à la location longue durée et de provoquer ainsi une pénurie de logements et une forte hausse des prix.Destinations préférées des touristes, les centres-villes sont particulièrement touchés par le phénomène et les mairies enregistrent un grand nombre de plaintes de copropriétaires ou riverains: va-et-vient incessant, parties communes dégradées, transmission des codes d'entrées intempestifs et nuisances sonores.La Commission européenne doit dévoiler une nouvelle législation d'ici la fin de l'année (la "Digital Services Act"), visant à établir une norme mondiale mieux surveiller et contrôler l'activité des grandes plateformes."Une meilleure coopération entre les plateformes et les autorités publiques sera un des prérequis de la bonne application du +Digital Service Act+", a souligné Mme Vestager, citée dans le communiqué.De son côté, Airbnb affirme qu'il soutient la création d'un "cadre plus cohérent et plus efficace pour les services numériques"."Nous travaillons déjà avec de nombreux gouvernements et autorités publiques en Europe pour partager des données qui montrent l'impact positif des locations meublées touristiques", a déclaré la plateforme jeudi dans un communiqué.
Il y a 4 ans et 276 jours

Fin des reports de cotisations sociales en septembre 2020

SÉCURITÉ SOCIALE. Le réseau des Urssaf a annoncé que les mesures d'accompagnement des entreprises en difficulté de trésorerie mises en place pendant le confinement sanitaire sont amenées à évoluer en cette rentrée 2020. Les échéances de paiements des cotisations sociales des artisans et indépendants vont donc être revues, ce qui signifie concrètement la fin des reports.
Il y a 4 ans et 276 jours

La filière du photovoltaïque juge "inconcevable" la renégociation des aides au secteur

"Cette information me paraît inconcevable: nous n'avons jamais été informés de ce projet de remise en cause de la parole et de la signature de l'État", a réagi Daniel Bour, le président d'Enerplan, qui "demande, au nom de la profession, à la ministre de la Transition écologique (Barbara Pompili, NDLR) de nous recevoir dans les plus brefs délais".Selon les Echos, le gouvernement souhaite renégocier certains dispositifs d'aide à la filière photovoltaïque accordés il y a plus de neuf ans et coûtant actuellement trop cher.Interrogé, le ministère de l'Économie n'a pas fait de commentaire.Dans la ligne de mire, selon le journal qui cite une source gouvernementale, une mesure mise en place dans les années 2000 quand l'exécutif souhaitait développer une filière photovoltaïque.Un mécanisme d'obligation d'achat par EDF au bénéfice de personnes installant des panneaux photovoltaïques a alors été instauré, via des contrats pouvant aller jusqu'à 20 ans. Or ces contrats ont été assortis de tarifs élevés, dont certains, ceux passés avant l'imposition d'un moratoire fin 2010, sont toujours en vigueur.La renégociation, si elle était menée, pourrait permettre d'économiser jusqu'à 600 millions d'euros en régime de croisière, précise le journal qui ajoute que les particuliers ne seront pas concernés par cette mesure.
Il y a 4 ans et 276 jours

Réemploi de matériaux : 30 acteurs s'engagent sur 150 chantiers

BAS-CARBONE. Une trentaine de promoteurs, investisseurs et grands utilisateurs s'engagent à mettre en oeuvre le réemploi des matériaux dans 150 chantiers en cours ou prévus. Cette initiative, intitulée "Booster du réemploi", vise notamment à structurer la demande et la rendre visible, dans un marché qui peine encore à se développer.
Il y a 4 ans et 276 jours

L'Unafo alerte sur la baisse des créations des résidences sociales en 2019

La production des résidences sociales stagneLes chiffres publiés montrent que la production de logements en résidences sociales stagne depuis 5 ans. Leur production recule même en 2019 de 4,1% avec 6.264 logements agréés, dont 4.630 concernent les travailleurs migrants et les jeunes. Ainsi, ce ne sont que 1.600 logements en résidences sociales qui ont été produits pour d'autres publics.Les FTM représentent la moitié de la productionLe Plan de Traitement des Foyers de Travailleurs Migrants (PTFTM) reste en effet une part très importante des logements agréés en résidences sociales, puisqu'avec 3 189 logements (en diminution de 4,3% par rapport à 2018), ils représentent presque la moitié de la production. Mais ces chiffres sont à relativiser dans la mesure où la transformation de FTM en logements individuels n'est pas une offre nouvelle mais s'accompagne, de fait, d'une diminution du nombre de logements offerts. Le logement jeune représente moins de 25% de la productionMalgré les besoins importants, les dispositifs « jeunes » arrivent en deuxième position avec 1.466 logements agrées au niveau national, soit un peu moins d'un quart des nouveaux agréments. L'objectif présidentiel de construire 80.000 logements pour les étudiants et jeunes actifs ne pourra pas être tenu, sans une nouvelle relance indispensable dans un contexte de précarité accrue des jeunes.L'objectif de 10.000 logements en pension de famille ne sera pas atteint, malgré une haussePar ailleurs, les agréments de logements en pensions de famille/résidences accueil progressent de 10,3% avec 1 141 pour les pensions de famille et 252 en résidences accueil (pour les personnes en situation de handicaps psychiques). Même en augmentation, ces chiffres ne permettront pas d'atteindre les objectifs du plan Logement d'Abord, de 10 000 nouveaux logements pendant la mandature, et notamment pour ce qui est d'une proportion d'un tiers des logements en résidence accueil.Les autres enseignements : rééquilibrage du PLAI adaptéConcernant le produit spécifique PLAI Adapté, on notera un rééquilibrage de la répartition entre logement ordinaire (48%) et résidence sociale/pension de famille (52%), dans un contexte global de poursuite du développement de l'offre avec 1.213 logements agréés en 2019 (+28,4%).Enfin le plan de financement moyen d'un logement PLAI en dispositif collectif évolue peu en 2019 : le coût au logement est stable, à près de 80.000 € et son financement fait appel pour 30% à des subventions (Etat et Collectivité Locales), pour 62% à des prêts et pour 8% aux fonds propres du porteur de projets, chiffres quasi identiques à 2018.Des chiffres à l'appui des demandes de l'Unafo S'appuyant sur ces données chiffrées, l'Unafo rappelle ses demandes, notamment la nécessité :d'accélérer le plan de traitement des foyers de travailleurs migrants en dégageant les moyens financiers nécessaires ; de définir une véritable stratégie de développement des résidences sociales, en-dehors de l'effet du traitement des foyers de travailleurs migrants ;de revaloriser fortement l'enveloppe de 100 millions d'euros prévue dans le plan de relance dédiée aux personnes en situation de précarité qui prévoit notamment une accélération du PTFTM et la création de résidences sociales. Le document complet est téléchargeable ici.
Il y a 4 ans et 276 jours

Gazel envisage 230 suppressions de postes en France suite à la fermeture de ses centrales à charbon

"Il est envisagé de mettre un terme à l'activité de l'unité charbon de Gardanne-Meyreuil au terme de la phase d'information-consultation et de contrôle par l'autorité administrative", indique l'entreprise dans un communiqué.Cette unité de production électrique au charbon située à Gardanne (Bouches-du-Rhône), marquée par un long conflit social, n'a pas produit d'électricité depuis plus d'un an et demi."Sa remise en service nécessiterait de lourds investissements, que la décision d'une fermeture, au plus tard en 2022, ne rendent plus viables", souligne la direction.La France veut en effet fermer ses quatre dernières centrales à charbon d'ici à 2022, une promesse du président de la République Emmanuel Macron qui a été inscrite dans la récente loi énergie et climat. Cette façon de produire de l'électricité est en effet très polluante.En revanche, l'unité biomasse présente sur le même site de Gardanne serait "pérennisée" avec un "potentiel" de 45 à 70 emplois à terme.Gazel Energie, filiale du groupe tchèque EPH, possède également l'unité charbon Emile-Huchet, située à Saint-Avold (Moselle) en Lorraine."Son activité serait maintenue jusqu'en 2022, afin de répondre aux demandes du marché et du système électrique", indique la direction.Cette dernière évoque sur le site un "potentiel" de 80 emplois liés à des projets autour de la production de chaleur et vapeur renouvelables, de la production d'hydrogène vert et de e-méthanol, complétés par le développement de parcs photovoltaïques.Les services supports au siège de Colombes (Hauts-de-Seine) seraient également "adaptés" en conséquence des arrêts d'activité dans le charbon."Au total, le projet pourrait conduire à la suppression de 230 postes", indique Gazel, qui promet de "s'assurer que chaque salarié concerné trouve une solution professionnelle".L'entreprise "engagera prochainement une négociation avec les partenaires sociaux, pour définir les modalités d'un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) assorti d'une période ouverte au volontariat".
Il y a 4 ans et 276 jours

Colère solaire

Un article des Echos sur la remise en cause des tarifs d'achat alarme la filière photovoltaïque.
Il y a 4 ans et 276 jours

Pour le Medef, « la rénovation énergétique ne doit pas se faire au détriment du neuf »

Lors d’une visite chez l’ingénieriste français Artelia, Geoffroy Roux de Bézieux, président du Medef, a exprimé ses inquiétudes quant à la relance économique du secteur de la construction.
Il y a 4 ans et 276 jours

France Relance: les énergies renouvelables sont encouragées selon André Joffre

André Joffre, Président de Qualit’ENR, livre ses réflexions sur la prise en compte des ENR dans le Plan de Relance
Il y a 4 ans et 276 jours

Action Logement : le projet de ponction d'un milliard d'euros dénoncé au Sénat

La commission des Affaires économiques du Sénat a demandé au gouvernement de revenir sur son projet de prélever 1 milliard d'euros dans les caisses d'Action Logement (ex-1% logement).