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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 4 ans et 272 jours

Installer une baie vitrée avec volet roulant: quels sont les avantages ?

Si vous souhaitez installer une baie vitrée chez vous, le volet roulant est un élément indispensable qui vient compléter l’installation. Les volets roulants permettent d’avoir un meilleur confort thermique et sont également gages de sécurité. Constitué de plusieurs lames, le volet roulant forme un rideau lors de l’ouverture et s’enroule autour d’un axe lors de la fermeture. Les volets roulants apportent de la modernité à votre habitation, mais encore faut-il faire le bon choix ! Pour un côté encore plus pratique, il existe des modèles de baies vitrées avec un volet roulant intégré. Pour tout savoir sur cette solution 2 en 1, lisez ce qui suit. Comment choisir une baie vitrée avec volet roulant ? Si vous avez pour projet d’installer une baie vitrée avec volet roulant, mais que vous ne savez pas quel modèle choisir, voici quelques points importants à savoir : Le matériau de fabrication : le volet roulant peut-être en PVC, en aluminium ou en bois. Bien que le PVC soit l’option la moins chère et ne nécessite aucun entretien contraignant, c’est aussi un matériau assez léger pour ce type d’installation, ce qui pourrait faciliter la tâche des cambrioleurs ! L’aluminium est robuste, et il est idéal si vous avez des baies vitrées de grandes dimensions. Si vous optez pour le bois, sachez qu’il est plus coûteux que le PVC et l’aluminium et il requiert un entretien régulier (traitement anti moisissure notamment), mais le bois reste incontestablement un matériau noble qui apporte une réelle touche esthétique à votre maison. En optant pour une baie vitrée sur mesure, vous aurez l’avantage de pouvoir mixer plusieurs matériaux (par exemple le bois et l’aluminium). L’isolation thermique et acoustique : c’est un élément important à prendre en compte dans le choix de votre baie vitrée avec volet roulant. En effet, l’isolation thermique apporte un réel confort, quel que soit le climat de votre secteur géographique. L’isolation sonore est également indispensable, surtout si vous résidez en centre-ville ou dans une zone passante. En ce qui concerne la baie vitrée, il est préférable de se tourner vers du double ou du triple vitrage et veiller à ce qu’elle soit bien étanche, avec un bon coefficient de transmission lumineuse. Conseils d’installation d’une baie vitrée avec volet roulant L’installation d’une baie vitrée avec volet roulant requiert l’intervention d’un professionnel, surtout si vous choisissez du sur-mesure. Un spécialiste pourra vous conseiller sur les modèles à privilégier selon la configuration de votre habitation : si vous êtes dans une ancienne ou une nouvelle construction, en rez-de-chaussée, en appartement ou en maison, par exemple. Dans tous les cas, il est conseillé de demander plusieurs devis avant de faire votre choix. Cela vous permettra de comparer les tarifs, qui en plus du prix de la baie vitrée et du volet roulant, incluent les frais de pose et de maintenance. Le prix d’une baie vitrée avec volet roulant dépend de plusieurs éléments comme la dimension (baie à double vantaux ou plus), le design, la qualité des matériaux, etc. Si votre baie vitrée est fabriquée sur-mesure, cela nécessitera un budget supplémentaire.  
Il y a 4 ans et 272 jours

Acheter ou louer son matériel de BTP

Dans un chantier, de nombreux engins et équipements doivent être utilisés pour accomplir les différentes missions de terrassement, de compactage ou encore de transport. Les professionnels du bâtiment, notamment ceux qui se lancent, ont régulièrement la même problématique pour leur entreprise : Est-il plus rentable d’acheter ou de louer son matériel BTP ? Une question qui demande réflexion et analyse. Chaque solution a ses avantages et ses inconvénients. Cela dépend principalement de votre budget, de la fréquence d’utilisation du matériel et de votre chantier. Découvrez dans cet article, des conseils qui vous permettront de choisir la meilleure option pour votre entreprise. Louer son matériel professionnel : une rentabilité assurée L’acquisition d’une machine ou d’un équipement de chantier demande un véritable investissement. Ainsi, l’un des premiers critères à prendre en compte est la fréquence d’utilisation. Si vous comptez utiliser le matériel peu régulièrement, optez donc pour la location. En effet, louer cet engin de chantier pour un besoin ponctuel est davantage rentable. Le coût de cette option est logiquement inférieur à l’achat. Par exemple, la location de Bobcat vous reviendra, en moyenne, à 250€ HT par jour. Alors que le prix d’achat d’une mini-chargeuse peut atteindre 55 000€, selon son poids. Louer son matériel est également avantageux puisque vous disposerez systématiquement d’un équipement récent et à la pointe de la technologie. En effet, les loueurs proposent généralement des engins et des outils de qualité, robustes, mais également en parfait état de fonctionnement. Ainsi, votre personnel sera davantage productif et les missions seront plus sécurisées. Autre point à prendre en compte, l’espace de stockage. Grâce à la location, vous n’avez pas besoin d’avoir obligatoirement un lieu de stockage pour entreposer votre matériel. Dès que vous avez fini d’utiliser l’équipement, vous le rendez directement au loueur. De ce fait, vous réduisez considérablement vos coûts de stockage. De plus, cette option vous permettra également de choisir votre matériel en fonction de votre besoin et des exigences de votre chantier. Si dans un chantier vous avez besoin d’une mini-pelle et dans un autre d’une pelleteuse, la location sera la meilleure option. Cette solution vous permettra donc d’être plus flexible et davantage polyvalent dans vos activités. Enfin, cette alternative vous permet d’éviter, d’une part, les coûts liés à l’achat comme la maintenance, les contrôles, l’entretien puisque c’est au propriétaire du matériel qui doit s’en charger. Et d’autre part, d’acheter les accessoires complémentaires de la machine comme le BRH ou la fraise hydraulique pour une mini pelle. Acheter son matériel de chantier : la solution pour une utilisation régulière L’acquisition d’un matériel doit être longuement réfléchie et analysée en calculant notamment son amortissement à long terme. En effet, cette solution demande généralement un investissement important. Néanmoins, celui-ci est vite rentabilisé, si vous utilisez le matériel très régulièrement. L’autre avantage de l’achat est que vous aurez la certitude d’avoir le bon matériel au bon moment. En cas d’imprévu ou de travaux de dernière minute, vous disposerez de la machine adéquate à vote chantier. En achetant le matériel, vous n’aurez pas de problème d’indisponibilité, ce qui est souvent le cas lors de la location. Selon le constructeur, vous avez également la possibilité d’avoir un matériel fabriqué sur-mesure pour répondre à votre besoin. Grâce à un cahier des charges, vous pouvez personnaliser votre machine afin qu’elle soit adaptée à vos usages. Enfin, certaines plateformes proposent également l’achat de matériel en occasion. Néanmoins, acheter un équipement en occasion peut avoir quelques inconvénients. Même si la machine vous coûtera bien moins, sa qualité ne sera pas optimale. D’autant plus que les machines d’occasion demandent davantage de réparation et d’entretien que celles neuves. L’achat d’un matériel est donc recommandé pour les équipements indispensables à vote activité. Ainsi, le choix entre la location et l’achat d’un matériel de BTP repose principalement sur sa fréquence d’utilisation et sur votre trésorerie.
Il y a 4 ans et 272 jours

Beepiz, le dispositif d'alarme pour travailleurs isolés (DATI) dépasse les 15.000 téléchargements

Ils permettent d'aviser les secours lorsqu'un salarié fait face à un danger (agression, chute, immobilité prolongée, perte de verticalité…). Ces derniers mois, le confinement et le chômage partiel ont vidé les locaux des entreprises et généré une forte hausse des sollicitations pour Beepiz. Son application a franchi le cap des 15 000 téléchargements.La protection des travailleurs isolés : une obligation légale pour les entreprises Selon l'article R 4543-19 du Code du travail, « un travailleur isolé doit pouvoir signaler toute situation de détresse et être secouru dans les meilleurs délais. »Cette disposition concerne, en France, plus de 3 millions d'employés qui travaillent hors de vue et de voix : ouvriers, techniciens, personnel d'entretien, agents de maintenance, de sécurité, chauffeurs routiers… Pourtant, ce ont seulement de 5% à 10% de ces collaborateurs qui sont équipés d'unDispositif d'Alarme pour les Travailleurs Isolés (DATI). En cause : le coût lié aux équipements et la difficile appropriation d'un appareil encombrant par les salariés.En 2017, Beepiz se positionne en précurseur avec la première application qui transforme le smartphone en dispositif d'alerteL'application comporte 5 modes d'alerte : 2 modes manuels (SOS & Agression) et 3 modes automatiques (détection de chute, d'immobilité prolongée ou de perte de verticalité). En cas de danger, une alerte enrichie comportant les informations nécessaires aux secours (identité, heure, date, type de danger, localisation extérieure, localisation intérieure…) est envoyée aux personnes préalablement définies. Les encadrants disposent quant à eux d'un portail web en ligne leur permettant de gérer et superviser les applications DATI. Ils peuvent ainsi paramétrer les alertes, la localisation intérieure ou vérifier que tous les collaborateurs se portent bien. Une nette croissance des sollicitations durant la crise sanitaireDisponible en version gratuite, standard ou premium, Beepiz a été développée pour répondre aux besoins de clients de taille et d'univers très différents (usines, services à la personne, entretien, sociétés de services, collectivités territoriales, BTP, Établissements de santé…)Cette flexibilité, inhérente à la solution, a été le mot d'ordre de son éditeur dans le contexte particulier de la crise sanitaire. Objectif : accompagner au mieux les entreprises durant cette période inédite.Julien Rousseau, dirigeant de Beepiz indique :« Pour faire face au Covid-19, les entreprises ont dû se réorganiser dans l'urgence. Nous avons ainsi connu une forte hausse des sollicitations. Beaucoup de structures devaient en effet sécuriser les collaborateurs qui continuaient de se rendre sur les sites parfois presque vides du fait du recours prioritaire au télétravail et du chômage partiel. Au regard du contexte et pour accompagner au mieux ces dernières ainsi que leurs salariés, nous nous sommes engagés sur un déploiement accéléré : activation de la licence sous 2h et formation à la prise en main sous 6h.Sur la période, nous avons enregistré 76 nouveaux clients, soit + 150 % par rapport à l'année précédente, (et même 850% d'augmentation de licences vendues sur les 6 premiers mois 2020 par rapport à la même période en 2019) et plus de 2300 téléchargements de l'application avec des pics à 100 téléchargements par jour. Notre leitmotiv est de gagner du temps pour sauver des vies et nous sommes particulièrement fiers d'avoir pu mettre notre savoir-faire au service de ceux qui n'avaient pas la possibilité de rester chez eux. »Forte de cette expérience et convaincue de sa capacité d'adaptation, Beepiz - qui a réalisé une progression de 90 % de ses ventes entre 2018 et 2019 - se projette désormais sur son déploiement en France mais aussi à l'international, en ciblant, dans un premier temps, la Belgique, la Suisse et l'Italie. L'entreprise compte ainsi se renforcer avec l'intégration d'un Business Developer International et l'ouverture de 13 postes de commerciaux, de techniciens et de développeurs à pourvoir sur la période fin août/début septembre.
Il y a 4 ans et 272 jours

Travailler sur les toits de Bordeaux, avec la chaleur, «c'est difficile» estime Grégory Bourget, couvreur

A Bordeaux comme partout en France - sauf à Brest - la canicule est présente. Dans le secteur du BTP, la principale difficulté est de travailler sur les toits considère Grégory Bourget, responsable du chantier du Palais de la Bourse.
Il y a 4 ans et 272 jours

Chiffres et tendances de la rénovation énergétique

Le Gouvernement souhaite encourager la transition énergétique en soutenant davantage les travaux d'isolation. Le but est de limiter les émissions de CO² et d'éliminer les 7 millions de foyers étiquetés F ou G, véritables passoires thermiques. Dans ce contexte, l'ensemble des aides de l'Etat -CITE, MaPrimeRenov- mais aussi celles des régions, incitent-t-elles réellement les Français à adopter un mode de consommation plus écologique ?Région par région, l'Observatoire de ProntoPro tente de répondre à cette question en analysant les requêtes enregistrées sur son portail et les tarifs pratiqués selon trois catégories : la rénovation énergétique, l'installation de systèmes de sécurité ainsi que les dispositifs domotiques de type « Smart Home ».Quels travaux ont prévu les Français cet été ?Entretien de la toiture, installation de panneaux photovoltaïques ou de panneaux solaires, double vitrage, isolation de la maison ou encore mise en place d'un système de vidéo surveillance, sont quelques exemples des travaux de rénovation les plus demandés.Combien coûte ces travaux de rénovation ?En France, le budget moyen dédié à la rénovation d'une habitation est de 24.202€.ll se décompose ainsi : 19.700€ sont consacrés à rénovation énergétique, 2.656€ à l'installation de systèmes de sécurité et 1.844€ à la domotique.La rénovation énergétique comprend l'installation de fenêtres double vitrage, l'isolation extérieure, l'entretien et l'isolation de la toiture, l'installation de panneaux solaires ainsi que la réalisation d'un diagnostic de performance énergétique. Ces travaux étant généralement coûteux, les Français bénéficient d'aides de l'Etat et de leurs régions pour réaliser leurs transitions énergétiques.A titre indicatif : L'installation du double vitrage est le chantier le plus demandé, il représente 30% des demandes au niveau national et coûterait environ 982€. En effet il s'agit d'une installation moins coûteuse que l'isolation de la toiture ou des murs extérieurs, qui permet de ralentir la transmission de chaleur et d'augmenter la résistance thermique. Suivent ensuite l'isolation extérieure (27%) et l'installation de panneaux solaires (25%).En moyenne 11% du budget dédié à la rénovation est consacré à la sécurité, soit 2.656€. Sauf en Ile de France ou en Corse, où il atteint 6%. Cela comprend l'installation d'alarme ou de système de vidéosurveillance, l'installation de détecteur de fumée et monoxyde de carbone, la réalisation de balustrade et parapet ainsi que la conformité du circuit électrique. L'installation d'un détecteur de fumée est obligatoire depuis 2015, ce service reste d'ailleurs le plus demandé dans la catégorie des dispositifs de sécurité. Le coût moyen est de 40€ par détecteur. Notons que les aides financières pour l'installation d'alarme & système de vidéosurveillance bénéficient d'un taux de TVA réduite, de 19,6% à 5%. C'est en régions PACA, Corse, Bourgogne-Franche-Comté et Hauts-de-France que les demandes d'installation d'alarme de surveillance ou vidéosurveillance sont les plus élevées (+/- 40%).Enfin les dispositifs de maison intelligente ou “smart home” rencontrent un franc succès, les Français plébiscitent de plus en plus les services de domotique. 8% du budget alloué à la rénovation est dédié à l'automatisation de la maison avec l'installation de systèmes domotiques, tels que l'automatisation de portails, la motorisation de volets ou encore l'installation de thermostats connectés. Le coût moyen pour installer tous ces dispositifs serait de 1.850€. En apportant des solutions techniques qui répondent aux besoins de confort et de communication des habitations, la domotique diminue la facture énergétique de 10% en moyenne. Une aubaine !*Dispositif d'aides financières mis en place début 2020 pour inciter à la rénovation énergétique des logements privés. Cette prime permet de financer des travaux d'isolation, de ventilation ou de changement de mode de chauffage. En 2021, les propriétaires bailleurs (et plus seulement les propriétaires occupant leur logement) pourront en bénéficier.
Il y a 4 ans et 272 jours

Zoom sur : Lou Carter

La galeriste-commissaire Lou Carter promeut la création contemporaine à travers des accrochages envisagés comme des installations immersives où il est toujours question d’espace, d’expérience esthétique et de destination de l’œuvre. À l’occasion de l’ouverture de son espace d’exposition à Paris en juin dernier, Lou Carter nous a révélé les ambitions et les axes de recherche de sa galerie. Formée à l’École nationale supérieure d'art et de design de Nancy et à l’École nationale supérieure de création industrielle–Les Ateliers, Lou Carter a été danseuse, puis chorégraphe, avant de fonder Lou Carter Gallery en 2019. Depuis la création de sa « galerie-commissaire », elle pose un regard affuté sur l'art contemporain, et organise des expositions collectives et individuelles qui sont des installations à part entière. Lou Carter a ouvert sa galerie avec un cycle d’expositions hors les murs. Conçues comme des décors vécus, les trois expositions de ce programme invitaient les spectateur·rice·s à vivre une expérience esthétique atypique dans des mises en scène de la vie quotidienne. Intitulée « The silencing dinner of : », l'exposition inaugurale rassemblait treize artistes dans une salle à manger scénographiée, où étaient visibles les traces du passage de dix hôtes imaginaires. Œuvre d’art totale, « Chamber of : » présentait des photographes de l’intime, notamment Lin Zhipeng, dans une chambre laissant deviner, subtilement, la mémoire et l’intimité de ses habitants fictifs. Le dernier accrochage proposait de découvrir des jeunes talents et des artistes confirmés dans une chambre pensée comme un espace vécu. Derrière chacune de ces mises en scène, la destination de l’œuvre se découvrait en filigrane.Au sortir du confinement, Lou Carter a choisi d’ouvrir son espace d’exposition dans le septième arrondissement, et a lancé un nouveau cycle d’expositions, mais cette fois-ci consacré à des artistes femmes émergentes qui repensent notre rapport à l’espace. La première exposition de cette programmation donnait à voir les métamorphoses de matières orchestrées par Alexia Chevrollier (née en 1989), et la deuxième proposait au public de découvrir les « micros architectures » créées par Paola Siri Renard (née en 1993). Ces deux expositions monographiques, présentées dans le black cube imaginé par Lou Carter, sont parvenues à happer le public tout en offrant une nouvelle perspective sur leur art. En septembre 2020, Lou Carter éditera les catalogues des expositions « Alexia Chevrollier : » et « Paola Siri Renard », participera à la Paris Design Week et exposera Sophie Pugnet. Pour en savoir plus, visitez le site de Lou Carter Gallery. Visuels : Courtesy Lou Carter GalleryLa Rédaction
Il y a 4 ans et 272 jours

Wilo au service de la reprise

Outil de production au service de la reprisePour anticiper, répondre aux besoins de ses clients et les accompagner dans leur reprise d'activité, Wilo France renforce ses engagements de services et met sa capacité de production au service des marchés de la construction, du bâtiment, de l'industrie et du cycle de l'eau. Ainsi les sites de Wilo France resteront ouverts tout cet été pour approvisionner la distribution professionnelle et fournir les solutions nécessaires aux opérations d'entretien et de maintenance des sites (accessoires, blocs moteurs, pièces de rechange).Le site de production d'Aubigny-sur-Nère (18), dédié aux solutions d'intégration (OEM), gardera une activité partielle continue. Le site de Laval (53) et le siège social à Chatou (78) fonctionneront, eux, à plein régime.Wilo poursuit aussi jusqu'à fin juillet la mise en stock d'une majeure partie de ses gammes eau froide domestique. Nos équipes logistiques en assurent les livraisons quotidiennes. Une production locale et un circuit court pour plus de proximité et réactivité à court terme !
Il y a 4 ans et 273 jours

Malgré le Covid-19, l'activité de LNA Santé en hausse au 2e trimestre grâce aux acquisitions

D'avril à juin, ce chiffre d'affaires -qui exclut l'activité immobilière, sa deuxième source de revenus, plus marginale, car LNA conçoit et construit ses établissements- s'est ainsi élevé à 126,2 millions d'euros, précise un communiqué publié jeudi.Sa progression de 7,3% comparé au deuxième trimestre 2019 est due à une croissance organique de 0,7% et surtout à un "effet périmètre" positif de 6,6%, "dans un contexte fortement marqué par la pandémie Covid-19", détaille-t-il.La crise sanitaire a provoqué "un ralentissement brutal des activités sanitaires et une restriction drastique des flux d'admission dans le secteur médico-social".Sur les six premiers mois de l'année, le chiffre d'affaires d'exploitation du groupe LNA Santé s'élève à 252,1 millions d'euros, en hausse de 9,4% sur un an.Par secteur, les maisons de retraite médicalisées (Ehpad) de "long séjour" affichent une croissance de 2,2% à 69 millions d'euros au deuxième trimestre, en dépit d'une "fermeture des accueils de jour" et de l'"arrêt des admission", et de 3,2% sur les six premiers mois de l'année à 135,9 millions d'euros.Quant à l'activité des instituts de réadaptation, de la psychiatrie et de l'hospitalisation à domicile en "moyen séjour", elle est en hausse de 14,8% à 56,6 millions d'euros au deuxième trimestre.En son sein, les structures d'hospitalisation à domicile, "fortement sollicitées par les Ehpad et le secteur hospitalier en période de confinement, génèrent une activité de 13,7 millions d'euros au 2e trimestre, en croissance remarquable de 22,1%".De leur côté les soins de suite et réadaptation ont vu leur activité croître de 12,7% à 42,9 millions d'euros sur un an, "l'impact des fermetures des hôpitaux de jour et de la déprogrammation de l'activité de chirurgie en médecine étant compensé par une contribution importante (+16,3%)" d'activités récemment acquises à Meaux notamment.Le groupe table sur "un retour à une activité normale fin 2020, sous réserve de la stabilisation de la situation sanitaire" dans ses Ehpad dont les taux d'occupation s'améliorent depuis début juin, excepté dans des sites d'Ile-de-France "davantage impactés par la sévérité de l'épidémie et l'intensité concurrentielle".En santé, "les forts besoins émanant du report de nombreux soins au deuxième trimestre sont encore freinés par la réticence des patients à se faire soigner".LNA Santé indique disposer d'un parc en exploitation d'une capacité de 8.156 lits et places à fin juin.
Il y a 4 ans et 273 jours

Coronavirus... Vos textes officiels du vendredi 7 août 2020

La rédaction du "Moniteur" vous propose une sélection quotidienne des textes officiels intéressant le secteur. Le concept : du lundi au vendredi, un article d'alerte par jour, avec les textes BTP-centrés, résumés en quelques lignes. Au menu : droit de la construction, urbanisme, commande publique et privée, réglementation technique, logement, social…
Il y a 4 ans et 273 jours

Dossier : 3 restaurants pour s’évader à Paris cet été

À Paris, de nombreux restaurants nous entrainent dans des décors qui sentent bon l’été. Voici trois adresses à l’esprit estival pour un voyage dans les paysages paisibles du Sud de la France, de la forêt des Landes au littoral de la Côte d'Azur. Patrice Gardera : MarsanLe restaurant Marsan Hélène Darroze est un temple de la gastronomie qui prend place dans un écrin épuré signé Patrice Gardera. Bois chaleureux, palette sobre et mobilier contemporain invitent les gourmets de la capitale à vivre une expérience culinaire et architecturale aux accents de sud-ouest. À la demande la cheffe étoilée, Patrice Gardera imagine ici un lieu à la sobriété élégante et mise sur des matériaux naturels et un travail de la lumière marqué, déclinant les différents aspects géographiques des Landes. Friedmann & Versace : RivieraLe studio français d’architecture Friedmann & Versace, créé par les décoratrices Virginie Friedmann et Delphine Versace, imagine un décor aux accents méditerranéens pour le restaurant Riviera. Pour la nouvelle adresse parisienne des restaurateurs David et Lionel, le tandem féminin signe un intérieur estival aux allures de maison de vacances. L’ambiance estivale du restaurant se retrouve dans chaque détail de l’intérieur, du choix des coloris à la sélection de beaux matériaux, en passant par la conception de pièces de mobilier sur mesure. Simon Porte Jacquemus : Café CitronSitué aux Galeries Lafayette Champs-Élysées dans le huitième arrondissement, le café Citron invite le Sud dans votre assiette et dans le décor, pour le plaisir des yeux et des papilles ! Conçu par le jeune styliste français Simon Porte Jacquemus en collaboration étroite avec la Maison Caviar Kaspia, Citron nous plonge instantanément dans l'atmosphère si particulière des premiers jours d'été. L'odeur des citronniers, les grandes jarres en céramique, le mobilier en bois clair, les couleurs vives, les tapis de paille, l'art de la table... évoquent d'emblée le souvenir de vacances au bord de la Méditerranée.La Rédaction
Il y a 4 ans et 273 jours

De Notre-Dame aux HLM, les alpinistes ouvriers à l'assaut du vide

"La vue est magnifique et le monument aussi. Toutes ces sculptures, aussi hautes alors que personne ne vient jamais les voir, c'est impressionnant", s'étonne Gaétan Perrier.Grand sourire et yeux pétillants, ce menuisier de formation a choisi à 23 ans un métier qui allie sa passion pour la montagne: cordiste.Équipé d'un casque, harnais et descendeur, il porte 20 mousquetons et plus de 150 mètres de cordes, soit 20 à 25 kg de matériel, dix de plus que pour les autres chantiers."Dans ce métier, la difficulté, c'est de se sécuriser, ça prend du temps, et de travailler avec du matériel constamment accroché comme des tôles ou des velux", explique celui qui a "toujours envie de monter plus haut."Tel un alpiniste, mais avec du matériel proche de la spéléologie davantage adapté au travail, ce Bordelais aide son binôme de la société Adrenaline, Christophe Jolly, à vérifier les fissures de la flèche Saint-Michel avant les travaux."L'ascension est assez physique et l'accès ne se fait que par l'extérieur", explique Christophe, 45 ans, soulignant qu'avec ses 114 mètres, ce clocher campanile du XVe siècle est bien plus haut que Notre-Dame où des collègues sont à l'oeuvre."Faire appel à des cordistes à Notre-Dame, c'est une reconnaissance de notre métier, c'est une fierté. L'intérêt principal de notre travail, c'est l'accès et la sécurité. A n'importe quel endroit, on s'accroche et tout le monde doit être en sécurité", souligne-t-il."La corde, ça reste une liberté qu'aucun engin ne peut remplacer!", résume cet alpiniste du bâtiment.Ouvrier polyvalent, il se forme depuis 18 ans à tous les métiers: couvreur, carreleur, menuisier, maçon, tailleur de pierre, peintre, laveur de vitres... au gré des chantiers."Préservation de l'éternité""Le fait de travailler aussi sur du neuf, on apprend plein de choses. Pour le patrimoine, nous voyons les techniques anciennes comme le taillage de la pierre. On doit pouvoir tout faire, c'est ce qui est intéressant dans notre métier, on apprend tout. On ne s'en lasse pas", dit Christophe qui a fait toute sa carrière à Bordeaux.Il a voltigé au dessus du vide depuis des HLM, des ponts, des châteaux, des éoliennes avec une vue à 360°degrés et dans des lieux aussi chargés d'histoire que le phare de Cordouan, à l'embouchure de la Gironde, ou les cathédrales de Reims et Chartres.Ce vétéran compte continuer jusqu'à ce que le physique ne suive plus dans un métier où la reconversion peut s'avérer difficile, les compétences acquises au bout des cordes n'étant pas validées.Ancien moniteur de ski, originaire de Chamonix, Christophe fait partie de l'ancienne génération ayant appris sur le tas, contrairement à Gaétan qui vient du bâtiment et a suivi une formation de cinq semaines dans le Vercors (Drôme)."Il faut être très attentif pour éviter tout accident, avoir une bonne notion en 3 D, penser beaucoup aux autres et à soi. Il faut être conscient des autres entreprises qui travaillent aussi sur le chantier", explique ce travailleur sur cordes pour qui la sécurité s'est fortement améliorée."Ce n'est plus les têtes brûlées. Les mentalités ont évolué, il y a eu des couacs et les normes ont changé, merci l'Europe!", précise-t-il.Selon son responsable Nicolas Gaudé, la profession déplore un mort par an sur environ 10.000 cordistes en France.Contrairement aux gros chantiers avec échafaudages, "nous, on est la petite maintenance comme à Notre-Dame. On est léger", résume ce chef d'agence d'Adrenaline chargé du Sud-Ouest. Pendant 20 ans, il est monté régulièrement tout en haut de la flèche Saint-Michel pour vérifier l'évolution des fissures: "on participe à la préservation de l'éternité, ça donne un sens à la vie."
Il y a 4 ans et 273 jours

Abloy lance une clé digitale mobile et un cadenas Bluetooth résistant à tous les environnements

La solution, conçue à l'épreuve du futur, est destinée à augmenter l'efficacité opérationnelle tout en sécurisant les sites sensibles, les entreprises et les bâtiments industriels. Le système est géré avec ABLOY® OS.Les entreprises ont un besoin croissant de sécuriser leurs accès avec une solution digitale, sans clé physique, et hautement sécurisée. Que ce soit pour compléter leur installation existante ou pour avoir une solution autonome, ce besoin se fait particulièrement sentir dans les zones reculées ou dans les cas où l’utilisation d’une clé physique comporte un risque de corruption ou un danger pour l’utilisateur.« BEAT fait partie de la « keyvolution » en cours, annonçant une nouvelle ère de connectivité sans effort, sans clé physique. Pourtant, il n'y a pas de serrures sans clé, mais la clé se métamorphose. S'appuyant sur notre héritage et notre expertise en matière de haute sécurité, nous avons développé une nouvelle clé digitale. Elle est chiffrée avec la technologie d'identification Seos® la plus avancée, développée par HID Global et garantit la plus haute sécurité et protection des données », déclare Jorma Issakainen, Vice-Président, ABLOY Critical Infrastructure.Combinaison d'une clé digitale et d'un cadenas Bluetooth très résistant La solution BEAT est spécialement conçue pour la protection physique des sites sensibles, des entreprises et des bâtiments industriels. Tout en sécurisant les infrastructures et les biens, elle offre également aux clients une efficacité opérationnelle améliorée, réduisant à la fois la logistique et les coûts. Elle permet également de diminuer les trajets et donc la consommation de carburant, ce qui en fait une option durable. La solution est destinée à être utilisée dans des secteurs tels que la télécommunication et les data centers, les transports et la logistique, les services publics (eau, électricité, gaz) et les mines.La clé digitale BEAT se connecte au cadenas Bluetooth ABLOY® Super Weather Proof, conçu pour fonctionner dans des environnements difficiles et sur des sites distants. Le cadenas possède un indice de protection IP68, un corps en acier cémenté et des LED indiquant son statut. Il vient compléter la gamme de cadenas ABLOY®.Prêt à répondre aux nouveaux besoins de sécurité La solution BEAT peut être intégrée à vos solutions existantes ou être installée en tant que solution de verrouillage autonome avec ABLOY OS. ABLOY OS permet de gérer les clés, les éléments de verrouillage et les droits d’accès n'importe où, depuis une interface ergonomique unique et facile d'utilisation.La solution BEAT est la dernière née de la gamme de solutions digitales de sécurité et de contrôle d’accès Abloy, développée pour être à l’épreuve du futur. L’annonce faite aujourd’hui correspond à la première phase du déploiement de la solution BEAT. La société a pour projet de dévoiler de nouvelles fonctionnalités dans le futur.Avec le lancement de ce jour, la gamme digitale ABLOY comprend désormais trois options : digitale (BEAT), électromécanique (PROTEC² CLIQ) et mécanique (ABLOY® PROTEC²). Toutes ces options, y compris l’option mécanique PROTEC², pourront être, dans un futur proche, gérées par la même interface ABLOY OS. Les centres de compétences ABLOY, les équipes commerciales et les distributeurs à travers les 6 continents offrent aux clients l’expertise technique, un service et un support professionnels.
Il y a 4 ans et 273 jours

Gironde : Doka sur un chantier iconique de Bordeaux

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. Coffrage-cadre Framax Xlife et matrice vaguée permettant la réalisation des voiles du complexe G1, à Bordeaux. [©Doka] Dans le cadre du réaménagement du quartier des Bassins à flot à Bordeaux, Eiffage Immobilier s’est vu confier la construction d’un vaste bâtiment de plus de 22 000 m2, à la place du mythique entrepôt maritime. Nommé “G1” et réalisé́ avec le cabinet d’architecture DND, ce complexe d’un nouveau genre réunira commerces, bureaux et parkings sur plusieurs niveaux. Cœur du projet, le traitement des façades. D’abord via une matrice en forme de vagues, qui habille toutes les faces du bâtiment. Mais aussi par l’absence d’angles réguliers du bâtiment. Pas de façades rectilignes, aucun angle droit et un jeu de faux angles constants. Pour couronner le tout, les largeurs des fenêtres sont variables, afin de cacher de fausses trames.  « Ce fut un véritable challenge et une expérience inédite que de travailler sur un béton architectonique et matricé de ce niveau-là, explique Jacques Wiet, directeur de travaux chez Eiffage Construction. Nous avons dû mettre en place un matériel de coffrage, nous permettant d’avoir une certaine modularité et une souplesse pour ne pas avoir trop de modules. Il faut noter aussi que les largeurs des fenêtres n’étaient pas toutes identiques le long de la façade. »  Bien sûr, l’absence de régularité dans la construction a poussé le choix des matériels vers la polyvalence. C’est donc Doka et son coffrage-cadre Framax Xlife, qui a été choisi. « Ce fut la solution la plus performante et la plus pratique à tout point de vue ! Grâce à ce système, nous avons pu recaler la “feuillure” en bas et en haut par rapport au dernier mur. Et cela pour chaque nouveau module. »
Il y a 4 ans et 273 jours

Travaux de toiture : l’entretien et le nettoyage

Le toit est un des éléments essentiels d’un bâtiment étant donné qu’il le protège. Il subit les différentes agressions externes. En effet, il est assujetti aux intempéries, aux pollutions, et aux parasites. À défaut d’entretien, cette pièce maîtresse de la maison se détériore. Ainsi, elle n’est plus en mesure d’assurer son rôle de protecteur. De ce fait, les agressions externes finissent par atteindre les occupants de la résidence et leurs biens. Les dégâts peuvent alors être conséquents. Il est donc primordial de préserver votre toit. Pour ce faire, vous devez effectuer un nettoyage à des fréquences régulières. Et pour qu’il soit efficace, confiez-le à une entreprise de couverture. L’entretien et le nettoyage de la toiture Il est préconisé de faire inspecter sa toiture par un professionnel. Ce diagnostic doit avoir lieu au minimum une fois par an. Le toit subit constamment diverses agressions, susceptibles d’impacter son état. Quand des mousses commencent à s’y loger, vous devez procéder sans attendre à des travaux de démoussage de toiture. En cas d’apparition de traces noirâtres, ou l’envahissement du toit par beaucoup de déchets, un nettoyage s’impose. Cependant, il s’avère incontournable de faire appel à une entreprise de couverture pour l’effectuer. Si vous décidez de tenter l’expérience de vous en occuper, voici comment vous devez procéder : Débarrassez-vous des déchets superficiels à l’aide d’un appareil nettoyeur à haute pression de type Kracher. Faites bien attention, la manipulation de ce dispositif requiert des connaissances particulières, car elle s’avère plutôt complexe. Sachez que l’utilisation de ce genre d’équipement peut endommager votre toit s’il est fait de tuiles, à défaut d’expérience. Par contre, il est d’une grande utilité pour les toits très sales. Pour enlever les saletés collantes, servez-vous de brosse et d’eau de javel. Le lavage à haute pression doit être accompagné d’un traitement afin d’éviter la réapparition des mousses et de préserver le toit. Appliquez des soins spécifiques, c’est-à-dire un produit anti-mousse. Celui-ci empêchera la réapparition des mousses pendant un certain délai. Servez-vous d’une solution d’hydrofugation pour imperméabiliser la couverture de votre toit. Sachez tout de même que l’hydrofuge ne convient pas à toute sorte de revêtement. Demandez donc conseil auprès d’une professionnel en toiture pour le choix du traitement approprié. Dans le cas où vous constateriez une faille au niveau de l’étanchéité de votre toiture, vous devriez l’améliorer. Pour ce faire, il est conseillé d’appliquer une peinture pour toit. Elle contribue à la réimperméabilisation. À la fin du nettoyage, concentrez-vous sur votre système de récupération des eaux du toit. Nettoyez-les de manière à fluidifier l’écoulement de ces eaux. Pourquoi confier ses travaux de nettoyage et d’entretien de toiture à un professionnel? Certes, c’est possible de réaliser soi-même ses travaux d’entretien de toit. Par contre, il est toujours plus bénéfique de recourir aux services d’une entreprise de couverture comme https://www.entreprise-couverture-67.fr/. D’abord,  l’intégralité de ces travaux se déroule en hauteur. Les risques de chute sont alors élevés. Ensuite, certains produits sont toxiques, en raison de leurs compositions. Leur utilisation demande donc beaucoup d’attention. Puis, vous ne disposez pas forcément de tous les outils nécessaires, contrairement aux professionnels. En engageant un couvreur, vous êtes exempté des achats et/ou des locations de matériaux. Il a déjà tout ce qu’il faut. Et enfin, le choix des produits, des méthodes, et leurs applications demandent un certain niveau de compétence. En effet, ils doivent être adaptés à votre type de revêtement. D’où, la nécessité de faire appel à un spécialiste des travaux de toiture.
Il y a 4 ans et 274 jours

Une façade mangeuse de smog avec Fiandre Architectural Surfaces

À Milan, le groupe d’assurance Unipol a confié à l’agence internationale Progetto CMR la réhabilitation et ...En savoir plus Cet article Une façade mangeuse de smog avec Fiandre Architectural Surfaces est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 274 jours

«La relance du logement social doit être verte et adaptée aux besoins», Sorcha Edwards, Housing Europe

La secrétaire générale de Housing Europe, la fédération européenne du logement social, décrit l'impact de la Covid-19. Elle estime que l'importance de ce secteur est plus reconnue depuis la pandémie et pousse les bailleurs sociaux à saisir cette opportunité pour favoriser une relance plus verte, et respectueuse des normes de construction.
Il y a 4 ans et 274 jours

Le pari du groupe Vinci sur les aéroports se retourne contre lui suite à la crise sanitaire

"C'est encore très lent dans l'aéroportuaire", a résumé vendredi Xavier Huillard, PDG de Vinci, lors de la présentation de ses résultats semestriels.La crise sanitaire du virus a plombé le groupe. Il subit une perte nette de 294 millions d'euros, un an plus tôt, c'était un bénéfice de plus d'un milliard, et une chute de 15% de son chiffre d'affaires, sur un an, à 18,5 milliards.Vinci s'abstient de prévisions précises pour l'année en cours, promettant de faire mieux au second semestre mais prévenant que revenus comme bénéfices seront en "très net retrait" par rapport à l'an dernier.Surtout, le retour à la normale attendra. Même si le groupe assure de sa capacité à vite rebondir, il prévient déjà que ses résultats ne retrouveront pas l'an prochain leur niveau de 2019.Ces annonces étaient accueillies sans grande réaction en Bourse, où Vinci évoluait à l'ouverture en légère hausse (+0,62%).Le groupe a souffert dans ses deux grandes branches: les chantiers de construction et les transports, domaine dans lequel il exploite des autoroutes et des aéroports.Ces deux grands univers ont en commun d'avoir subi la crise sanitaire et la mise en place pendant plusieurs semaines de strictes mesures de confinement dans de nombreux pays, dont la France.Reste que leurs perspectives sont désormais très contrastées.Les chantiers ont, certes, dû largement s'arrêter pendant des semaines à cause des restrictions sanitaires. Avec ces retards en série, Vinci prévient que les revenus de cette branche baisseront cette année entre 5% et 10%.Mais l'avenir s'y annonce finalement bien. Les chantiers ont vite repris, ont globalement retrouvé une activité normale, et les commandes, gage de revenus futurs, ont fortement augmenté grâce à de gros contrats comme le futur siège du groupe Total à la Défense.Sur les autoroutes, le trafic revient peu à peu même si le bilan sera lourd sur l'année. Là où la situation ne s'éclaircit pas, c'est dans les aéroports, au moment où le secteur aérien voit de plus en plus s'éloigner la perspective d'un retour à la normale.Pas de regretsLa fédération mondiale du secteur vient de reconnaître qu'il ne fallait pas tabler dessus avant 2024, car la recrudescence du Covid-19 dans un certain nombre de pays freine la réouverture des frontières.La conséquence est rude pour Vinci. Il juge que le trafic aura chuté de deux tiers dans ses aéroports cette année, sans s'avancer encore à chiffrer les conséquences pour ses résultats.Difficile d'imaginer un pire moment pour le groupe, car il sort de plusieurs années d'investissements massifs dans les aéroports internationaux, un développement qu'il a mis au coeur de sa stratégie.Son opération la plus emblématique reste le rachat l'an dernier pour quelque trois milliards d'euros du site de Gatwick à Londres. Mais c'est loin d'être le seul aéroport à avoir rejoint le portefeuille de Vinci, devenu l'an dernier le deuxième spécialiste mondial des aéroports derrière l'espagnol Aena.Cette stratégie avait un sens. Même si le trafic aérien marquait déjà le pas juste avant la crise sanitaire, il restait animé et les aéroports devaient être le gage de bénéfices réguliers pour le groupe, comme ses autoroutes.Certes, cela l'exposait à des polémiques comme sur la privatisation d'ADP, exploitant des aéroports d'Orly et Roissy pour lesquels Vinci marquait un intérêt de moins en moins marqué ces derniers temps. Mais les résultats économiques étaient là, avec une part de plus en plus marquée dans ses bénéfices.Désormais, la situation a drastiquement changé, même si le groupe assure ne pas avoir de regrets."Nous sommes des gens de long terme, nous voyons loin", a minimisé M. Huillard, renvoyant à la durée très longue des concessions d'aéroports, généralement sur plusieurs dizaines d'années."Le trafic aérien n'a aucune raison de ne pas redémarrer dans les prochaines années", a-t-il conclu. "Il s'agit simplement d'être patients."
Il y a 4 ans et 274 jours

La rive droite de l’écluse de Varennes profite d’un nouveau garage à bateaux

Voies Navigables de France annonce l’ouverture d’un nouveau stationnement de bateaux en rive droite de l’écluse de Varennes-sur-Seine.
Il y a 4 ans et 274 jours

Elan : le détail du projet d'ordonnance sur l'habitat indigne, attendue pour septembre

Une police unique "de la sécurité et de la salubrité des immeubles bâtis" pour remplacer la myriade de polices existantes en matière d’habitat indigne, la procédure d’arrêté de mise en sécurité détaillée de A à Z, de nouvelles dispositions en cas d’urgence et plus de souplesse pour que les maires transfèrent cette compétence aux EPCI. Voici quelques-unes des mesures prévues par le projet d’ordonnance sur l’habitat indigne transmis au Conseil d’État en juillet 2020 et qu’AEF info a pu consulter.
Il y a 4 ans et 274 jours

La Halle gourmande, un nouveau lieu Ajaccien dédié à la gastronomie

L'inauguration a eu lieu à 10h en présence de Laurent Marcangeli, maire d'Ajaccio et président de la CAPA, de Stéphane Sbraggia, 1er adjoint en charge de la redynamisation commerciale du centre-ville qui a suivi le projet, accompagnés de nombreux élus. Dans une ambiance conviviale mais sous contrainte sanitaire stricte des animations commerciales et musicales sont proposées au public pour l'occasion sur l'ensemble de la journée.Cette journée particulière marque la phase finale du grand projet d'aménagement urbain de la place Campinchi. Il a été conduit pour la maîtrise d'ouvrage par la SPL Ametarra. Lors de son allocution, le Maire a souhaité rendre hommage à sa Directrice, Sophie Boyer de la Giroday. Il n'a pas manqué également de souligner le travail de la Direction du Commerce et de l'Artisanat et de l'ensemble des commerçants qui vont faire vivre ce bel outil : « Ce projet est l'agrégation de synergies multiples. Il a demandé du temps, du travail et de la réflexion. Et je suis très heureux avec l'ensemble du conseil municipal d'y mettre un point final» dit-il. Puis d'ajouter, non sans fierté : « C'est maintenant aux ajacciens de fidéliser ce marché, à eux de le faire fonctionner, d'aller à la rencontre de ceux et de celles qui exposent. On a privilégié la qualité et la convivialité, avec la volonté de dynamiser notre cœur de ville et de s'inscrire dans une politique d'embellissement d'Ajaccio, cette Ville, que nous aimons tant ».Un projet innovant pour la redynamisation du cœur de VilleAprès, l'ouverture de l'espace dédié aux Maraîchers le 29 février dernier, les Ajacciens et les visiteurs peuvent désormais découvrir cette Halle Gourmande tant attendue dédiée aux produits frais et régionaux. Pour le plaisir des sens, ils retrouveront leurs commerçants ajacciens dans une configuration moderne et avec tout à portée de main. « Poissonnerie du Golfe, épicerie fine, caviste, boucherie, traiteur, boulangerie, crémerie », la Ville d'Ajaccio à travers la Direction du Commerce et de l'Artisanat de la Ville a innové pour mettre en avant ce concept commercial au service des commerçants et des producteurs locaux.Il s'agit d'un projet stratégique et concerté intégré à la redynamisation du cœur de Ville, cher au 1er adjoint Stéphane Sbraggia. : « Ce nouveau pôle d'attractivité et d'animation a été pensé comme un espace global, avec une offre complète. L'objectif a été de mettre en valeur des produits commerciaux de qualité, et les filières de circuits-courts ».Un nouvel équipement au service de l'attractivité commercialCe nouvel écrin dédié à la gastronomie locale proposera une vingtaine d'exposants. Il s'intègre dans l'offre globale commerciale de 2400 m² aménagés pour proposer un confort supplémentaire en alternative au marché de la place des Palmiers. Elle se compose de trois espaces : un marché plein air sur le parvis de la Halle, un marché couvert et la Halle Gourmande.Les commerçants ont à leur disposition une zone technique, une chambre froide, un laboratoire pour la découpe, une machine à glace et des viviers de stockage. Les stands qui accueillent les commerçants, construits avec des matériaux de qualité et modernes proposent chacun leur univers avec une identité visuelle bien lisible pour le public.Les exposants :Epicerie Bio Bocca Fina, Laurent QuiliciCharles Joseph Casalonga et ses sandwichs au poissonLa Botteghina, Brigitte BessiLa Crémerie Impériale, Siegfried GaurinL'artisan Dessert, Antoine CecchiLe Boucher Khalid AzhourConfiserie de la Cité Impériale, Régis EstebanLe Chemin des vignobles, Nicolas StromboniLa boulangerie A Grotta, Olivier BastieraEpicerie Casa Napoléon, Charles Antona
Il y a 4 ans et 274 jours

Le siège de Ragoucy en images

C’est à la faveur d’une proposition du maire de La Saulce (Hautes-Alpes) de s’installer sur la nouvelle zone d’activités de Gandière que l’entreprise quitte son site historique gapençais où elle était à l’étroit. Devinant une opportunité stratégique, Nicolas Chabrand, président de puis 2004, achète le foncier sur fonds propres et contracte à titre personnel un prêt de quinze ans pour financer la construction. Le cahier des charges est la synthèse des besoins exprimés par le dirigeant et ses salariés. Ludovic Coulet, architecte à Gap, dessine le monolithe en béton matricé noir habillé de poteaux blancs, nouvelle vitrine de Ragoucy où « chacun profite de la vue sur les montagnes alentour ».
Il y a 4 ans et 274 jours

Le monde du fioul veut sauver ses chaudières d'une mort annoncée

"L'information est partie un peu dans tous les sens: il faut la rectifier parce que les gens paniquent, voire s'énervent", regrette auprès de l'AFP Frederic Plan, délégué général de la FF3C, fédération des vendeurs de fioul.La période n'est pas facile pour le secteur. Le gouvernement vient d'annoncer qu'à partir de 2022, les Français ne pourraient plus installer chez eux de chaudière à fioul ou charbon.Avec l'interdiction programmée des terrasses chauffées, c'est l'une des mesures les plus emblématiques prises par l'Etat au nom de la défense de l'environnement, dans le sillage des conclusions rendues voici quelques semaines par la Convention citoyenne pour le climat.Les propositions de ce groupe de Français tirés au sort, ont obtenu un vif écho médiatique et politique. Le président de la République, Emmanuel Macron, a promis d'en reprendre l'essentiel.Mais, selon les vendeurs de fioul, cet emballement a abouti à caricaturer les intentions du gouvernement, qui ne prévoit en fait pas d'interdiction radicale des chaudières au fioul.Seules "les chaudières de type fioul 100% fossile d'aujourd'hui ne seront plus autorisées en installation neuve", a rapporté M. Plan.En effet, ce n'est pas l'interdiction même des chaudières à fioul ou charbon qui doit être inscrite dans la loi. Ce que le gouvernement compte empêcher explicitement, c'est d'installer des chaudières qui dépassent un certain seuil de consommation d'énergie.Or, le monde du fioul travaille depuis plusieurs années à une variante plus écologique de ce carburant: un "biofioul", qui intègre environ un tiers de colza, une énergie renouvelable.Selon le secteur, il sera donc toujours possible d'installer des chaudières à "biofioul" après l'entrée en vigueur des restrictions gouvernementales dans deux ans."Les installations de chaudières utilisant un biocombustible, qui répond aux exigences de la limitation des gaz à effet de serre, seront autorisées", souligne M. Plan.Il ajoute qu'il est aussi possible de transformer en ce sens les actuelles chaudières à fioul, en changeant leur brûleur.Les réparations restent autoriséesCes chaudières vont-elles donc survivre à leur extinction programmée, au prix d'une évolution vers des appareils plus respectueux de l'environnement ?Le gouvernement ne l'exclut pas franchement, mais est bien moins enthousiaste que le secteur.Contacté par l'AFP, le ministère du Logement confirme qu'il est bien question de fixer des seuils de consommation maximaux d'énergie et non d'interdire les chaudières à fioul en tant que telles."On ne se concentre pas sur l'appareil, ce qui compte pour nous ce sont les émissions de CO2", a expliqué le ministère, précisant que ces seuils n'étaient pas encore fixés."La filière fioul dit: Je suis capable de faire du carburant en dessous de ces seuils", rapporte-t-il."Mais on n'a aucune certitude", minimise le ministère. "Pour l'instant, ce n'est pas développé du tout. Nous, on considère que cette possibilité restera plutôt marginale."Il prévient en tout cas qu'il ne faudra pas pouvoir revenir en arrière. Une éventuelle chaudière à biofioul ne devra pas laisser à son propriétaire la possibilité de l'utiliser avec du fioul classique.Parallèlement à cette fermeté affichée, le ministère insiste toutefois sur l'aspect progressif de cette interdiction, qui doit toucher à terme de très nombreux Français. Plus de quatre millions se chauffent au fioul, selon l'Insee.La ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, dont dépend le Logement, a ainsi insisté la semaine dernière sur le fait qu'il serait toujours possible de faire réparer sa chaudière à fioul déjà existante, contrairement à ce qu'avait affirmé l'opposante Marine Le Pen."Nous ne souhaitons pas interdire les réparations, quelles qu'elles soient", a insisté le ministère du Logement auprès de l'AFP.
Il y a 4 ans et 275 jours

Conjoncture : une reprise encore chancelante pour les TP

Dans son bulletin de conjoncture mensuel publié le 4 août, la FNTP indique que, même si le redémarrage de l’activité est plus fort qu’anticipé, il ne permettra pas de rattraper les deux mois perdus à cause du confinement. La perte globale d’activité sur l’année 2020 pourrait être de l’ordre de -15% à -20%.
Il y a 4 ans et 275 jours

Le groupement MCD change de gouvernance

Après 24 ans au sein du Groupe SAMSE où il a évolué sur différents postes, tant en agence, qu'en service support, il occupait depuis 14 ans le poste de Directeur Commercial chez DORAS.La présidence et vice-présidence de MCD sont toujours respectivement assurées par François BÉRIOT, Directeur Général Délégué de SAMSE et Clément QUÉGUINER, Président du groupe QUÉGUINER.Le groupement MCDMCD regroupe BME FRANCE, Groupe QUEGUINER, Groupe SAMSE et VM, acteurs majeurs sur leurs territoires.Créé en 1996, MCD est un réseau reconnu dans la filière du négoce de matériaux de construction à destination des professionnels et des particuliers porteurs de projets.Ce groupement, en lien avec près de 250 fournisseurs, réalise un chiffre d'affaires d'environ 2Mds d'euros. Son maillage territorial dense compte près de 530 points de vente sur 76 départements, permettant ainsi de garantir la proximité des chantiers et d'assurer le service clients.Il répond aux enjeux de tous les métiers du BTP : gros œuvre, travaux publics, bois, couverture, isolation, menuiserie, carrelage, outillage et a développé sa propre marque de distributeur présente dans toutes les activités : Les indispensablesLes Bati'Days, la fête des pros du bâtiment !Orchestrée tous les ans par MCD, au printemps et à l'automne, cette opération commerciale récompense principalement la fidélité des clients professionnels en leur faisant gagner des cadeaux. La prochaine opération, qui fêtera son 19ème anniversaire en septembre, sera l'occasion pour tout le réseau MCD de se réunir à nouveau avec ses clients.
Il y a 4 ans et 275 jours

Les grands investisseurs sauvent le logement neuf de la crise

"L'effet (de la crise) dans le temps sera assez limité", résumait fin juillet à l'AFP Olivier Wigniolle, patron d'Icade, l'un des principaux groupes immobiliers français.Cet avis est largement partagé par ses principaux concurrents qui ont presque tous publié leurs résultats pour le premier semestre, une période marquée par le pic de la crise sanitaire du coronavirus et l'instauration d'un strict confinement pendant presque deux mois.Le bilan est assez clément chez tous ces géants du logement neuf: Nexity, Icade, Kaufman & Broad. Tous ont subi une chute de leurs bénéfices, mais sont restés dans le vert et comptent s'y maintenir à l'issue de l'année.Cela contraste avec le paysage catastrophique d'autres secteurs comme l'automobile ou l'aéronautique, dont les vedettes - Airbus, Renault... - viennent d'annoncer des pertes massives.Signe que les promoteurs se portent mieux qu'espéré, leurs titres ont bondi en Bourse après l'annonce de leurs résultats, en particulier Kaufman & Broad et Nexity.Comment expliquer cette résistance ? D'abord, les chantiers, dont beaucoup avaient dû s'interrompre pendant le confinement, sont vite repartis avant l'été.Surtout, pour jauger la santé réelle du secteur, il faut regarder les chiffres des réservations de logements, plutôt que les revenus qui ne traduisent qu'une performance passée.Or, chez tous les grands promoteurs, ces réservations se sont maintenues, voire ont progressé, lors de la première moitié de 2020, une performance inespérée alors que l'économie est restée bloquée pendant des semaines.Pourtant, les ventes aux particuliers ont bien chuté, que ce soit auprès de ceux qui achètent leur propre logement ou ceux qui comptent louer leur nouveau bien.C'est un autre type d'acteur qui est venu à la rescousse: les grands investisseurs, par exemple des fonds ou des assureurs, qui achètent "en bloc" des dizaines voire des centaines de logements à la fois."On est allés les chercher""Il n'y a donc pas destruction de la demande, mais substitution de la demande", résumait mardi Alain Dinin, PDG de Nexity, dans un communiqué.Un nom revient chez presque tous les grands promoteurs, celui de CDC Habitat. Ce groupe est la filiale dédiée au logement chez la Caisse des dépôts, elle-même bras financier de l'Etat, et a annoncé l'achat de dizaines de milliers de logements pour faciliter la sortie de crise.L'autre géant du logement français, Action Logement, un organisme géré par le patronat et le syndicat, a aussi promis de fortement s'impliquer. Il vient de s'associer à l'assureur Axa pour investir dans la construction de milliers de logements à Paris et ses environs.Ces investisseurs ont-ils sauvé la mise des promoteurs en pleine crise économique ? Le secteur n'aime pas trop ce type de langage, soulignant qu'il ne s'agit pas d'un acte de charité."On est allés les chercher", assurait début juillet Nordine Hachemi, PDG de Kaufman & Broad, à l'AFP. "Ça fait plusieurs années qu'on oriente les ventes vers les institutionnels".De fait, les grands investisseurs, massivement sortis du logement dans les années 1990, y entament depuis plusieurs années un retour, même si leur part est infime par rapport à celle des petits propriétaires.Pour les promoteurs, l'intérêt est évident. C'est le gage de grandes opérations qui leur permettent d'écouler d'un coup de nombreux logements.Pour les investisseurs, c'est un placement plutôt sûr - le besoin de se loger ne va pas disparaître - même s'il ne leur fait pas rentabiliser leur mise de façon mirobolante.Et pour les locataires ? Les détracteurs de ces investisseurs évoquent une "financiarisation" du logement, agitant l'image de grands propriétaires mus par l'appât du gain.Voici un an, le monde du logement social avait notamment fait voter à son congrès annuel une résolution pour marquer une opposition générale à ce concept de financiarisation.Mais, pour leurs partisans, les grands investisseurs peuvent largement bénéficier au marché du logement, par exemple en étant mieux à même de gérer leurs biens à long terme que de petits propriétaires, et donc d'éviter leur dégradation.
Il y a 4 ans et 275 jours

Ma Prime Rénov’ : Faciliter la rénovation énergétique dans le secteur résidentiel

Prime réunifiée : qui peut en bénéficier ?La mise en place de la prime unifiée lancée par l’État est réservée aux ménages les plus modestes répondant aux critères de ressources définis par l’Anah. Seuls les propriétaires du logement concerné par les travaux, qui l'occupent au titre de résidence principale, sont éligibles.Quels sont les travaux de rénovation éligibles ?Cette aide de l’État pour accélérer la transition écologique permet de financer les travaux d’audit énergétique, d’isolation, de chauffage ou encore de ventilation pour les maisons individuelles et immeubles d’habitations collectives.Comment bénéficier de cette aide de l’État ?Pour bénéficier de la prime unifiée :demandez votre prime en ligne avant signature du devis,faites appel à une entreprise labellisée RGE (Reconnu Garant de l’Environnement)transférez votre facture à la fin des travaux,l’Anah vous versera la prime, dans la limite d’un plafond de 20.000 €.La prime unifiée est cumulable avec d’autres aides comme les Certificats Économie d’Énergie (CEE), l’éco-PTZ, ou les aides des collectivités locales.Alliance Française de l’Énergie, votre partenaire pour faire des économies d’énergieL’entreprise Alliance Française de l’Énergie est spécialiste des solutions d’économies d’énergie pour les particuliers comme pour les professionnels afin de leur apporter des réponses claires et des solutions concrètes. Elle bénéficie d’une notoriété nationale grâce à ses antennes réparties à travers toute la France et à ses milliers d’installations réalisées durant ces dernières années.Elle propose des équipements performants en matière de chauffage et isolation pour vos travaux, équipements répondant à des normes très strictes de sécurité. Labellisée RGE et soumise aux CEE, L’Alliance Française de l’Énergie est reconnu Garant de l’Environnement et sera votre meilleur partenaire pour des travaux de performance énergétique efficaces, adaptés à vos besoins et éligibles à la prime unifiée.
Il y a 4 ans et 275 jours

Face à une crise profonde, New York appelée à se réinventer

"Nous traversons peut-être l'un des moments les plus douloureux, les plus exceptionnels de notre histoire, (...) un moment de profond bouleversement social", déclarait vendredi son maire, Bill de Blasio.Avec plus de 23.000 morts, la capitale économique américaine est, à ce jour, la métropole occidentale la plus durement éprouvée par le coronavirus.Malgré une chute spectaculaire du nombre de cas depuis mai, le déconfinement reste limité, par peur d'une reprise de l'épidémie qui flambe toujours aux Etats-Unis.Tourisme à l'arrêt, tours de bureaux pratiquement désertes, nombreux magasins fermés, chômage à 20% de la population active: quatre mois de Covid-19 ont métamorphosé cette métropole de 8,5 millions d'habitants, synonyme de foules et de consumérisme.Si les écoles espèrent rouvrir en septembre, la mairie ne prévoit que trois jours de classe par semaine maximum, empêchant de nombreux parents de retravailler normalement.Et la criminalité, en baisse constante depuis le milieu des années 90, vient de repartir à la hausse: les dernières statistiques policières recensent 634 fusillades et 203 meurtres depuis janvier, en hausse de respectivement 60% et 23% comparé à la même période de 2019.Certains New-Yorkais sont partis, laissant des milliers d'appartements vides: pour la première fois depuis 10 ans, les loyers à Manhattan ont légèrement baissé au 2e trimestre (-0,9%), selon le site immobilier StreetEasy."On a connu pire"C'est "la combinaison parfaite de mauvaises nouvelles", dit Kenneth Jackson, historien spécialiste de New York à l'université Columbia.Pour ce professeur qui a quitté Manhattan pour la campagne avec la pandémie, la situation évoque la période noire des années 70-80, lorsque New York, en faillite financière, était minée par une criminalité endémique et un exode massif pour des banlieues plus sûres.Mais comme beaucoup de New-Yorkais, il refuse de dramatiser.New York "a connu des épidémies pires que celle-là", dit-il, rappelant les épidémies annuelles de choléra du XIXe siècle, ou les attentats du 11 septembre 2001, lorsque certains "prédisaient que les gens ne voudraient plus travailler dans des tours".Mais l'époque n'est plus à l'abandon des centre-villes comme dans les années 70: la fuite des classes moyennes, essentiellement blanches, se nourrissait alors d'un racisme désormais déclinant, au moins chez les jeunes, comme l'ont montré les récentes manifestations #BlackLivesMatter, dit-il.La tendance lourde est à "la renaissance des villes", à la qualité de vie améliorée. Elles seules satisfont nos besoins d'"animal social", en quête de rencontres, de divertissement et d'opportunités professionnelles, selon lui.Kyle Scott, 30 ans, qui travaille dans l'immobilier en ligne, confirme. Lui et sa femme pédiatre avaient quitté New York il y a deux ans pour une jolie banlieue, avant de déchanter. "On a plus d'espace, une meilleure vie de famille", mais la vie est "trop tranquille", dit-il.Aujourd'hui parents d'un bébé de sept mois, ils entendent rester dans une ville qui "se réinvente toujours". Et espèrent qu'une prochaine baisse des prix immobiliers leur permettra d'acheter leur premier appartement."Guérison"Eva Kassen-Noor, urbaniste à l'université d'Etat du Michigan, pense que New York saura "s'adapter aux réalités de l'épidémie". Elle espère que cette métropole, qui se veut pionnière en matière d'environnement, profitera de cette crise pour redistribuer une partie de l'espace urbain au profit des piétons et des cyclistes.Quelques changements, que les militants de l'environnement croyaient irréalisables jusqu'ici, sont déjà visibles: le nombre de cyclistes a explosé avec la pandémie. Plus de 160 kilomètres de chaussées ont été, ou seront prochainement, fermés aux voitures.Andrew, cadre commercial quadragénaire, voit dans la multiplication des terrasses de restaurants "une image d'optimisme": près de 9.000 terrasses ont ouvert en quelques semaines, depuis que la mairie a simplifié les formalités pour compenser la fermeture des salles.Et Scott Ellard, propriétaire d'un club de jazz réputé de Greenwich Village, travaille actuellement à rendre sa rue piétonne, avec l'espoir de rouvrir en extérieur après quatre mois d'arrêt."On fait tout notre possible, personne n'a envie de fermer", dit-il. "Je détesterais perdre ce club chargé d'histoire juste à cause d'un foutu virus".Kenneth Jackson se dit convaincu que la ville rebondira et qu'il retournera bientôt dans son appartement de l'Upper East Side. "Pas plus tard qu'à l'été 2021", prédit-il, "il y aura des signes clairs que la ville est en voie de guérison".
Il y a 4 ans et 275 jours

Résidence Le Onze : Un immeuble exemplaire issu de l’économie circulaire

Le Onze est une petite résidence d’habitation, qui s’inscrit dans le label E+C-, en visant un seuil E2C1. [©ACPresse] Exemplaire. Voilà comment se veut l’opération de construction de la résidence d’habitations “Le Onze”, à Chartres, dans l’Eure. Dès le départ, Pierre & Territoires Eure-et-Loir a posé un postulat simple : construire un bâtiment, qui anticipe les ambitions réglementaires de la RE 2020, en utilisant des techniques maîtrisées par des acteurs locaux. Le tout, sans déséquilibre du prix de sortie. En d’autres termes, réaliser un projet ayant une réelle viabilité économique et dont le coût global reste le même que pour un projet “classique”.  Bien entendu, les logements créés se doivent de répondre aux enjeux environnementaux (énergie/carbone), tout en étant reproductibles à l’échelle du territoire. Celui de l’Eure-et-Loir, en l’occurrence. Ainsi, le programme est réalisé dans une démarche éco-responsable et s’inscrit dans le Label E+C-, en visant le seuil E2C1.  Ainsi, Le Onze affiche une architecture contemporaine élaborée par Yannick Mouton. Une architecture, qui répond toutefois aux contraintes d’urbanisme liées à la protection du patrimoine de la cité historique de Chartres. Le projet fait la part belle à la mixité des matériaux : terre cuite, bois et béton. Ce dernier se distingue, car il intègre une jolie part de granulats recyclés. Ceux-cisont issus de la déconstruction d’anciens immeubles du quartier de Beaulieu et d’un bâtiment du collège Hélène Boucher. C’est-à-dire, des démolitions opérées sur le territoire de Chartres Métropole. Surtout, ces matériaux ont été valorisés par l’entreprise Granudem, sur son site pilote de Poisvilliers, petite commune située à 20 km au Nord de Chartres. C’est là que l’industriel transforme les déchets de démolition en une gamme de sables et de granulats aptes à être intégrés dans des nouveaux bétons.  Des granulats recyclés dans les bétons Des MCI matricés habillent les façades donnant sur la rue. [©ACPresse] C’est justement ce qu’a fait Spurgin Léonhart dans son unité de préfabrication de Mignières, toujours dans l’Eure, mais à 20 km au Sud de Chartres. Le volume de granulats recyclés mis en œuvre dans le béton est de 20 %, comme l’autorise la norme NF EN 206/CN. L’ensemble des murs à coffrage intégré (MCI) matricés destinés au chantier du Onze ont été préfabriqués avec ce béton. Au total, pas moins de 80 t de granulats recyclés ont été ainsi valorisés dans les 400 m3de bétons structuraux nécessaires à la construction. Outre les MCI, le BPE, les escaliers préfabriqués et les blocs en ont bénéficié. Seules, les prédalles précontraintes n’ont pu en profiter, car les textes ne l’autorisent pas à ce jour. Ainsi, rien qu’au niveau des bétons, le projet a permis d’économiser plus de 360 t de CO2, pour atteindre cette performance de E2C1, soit un impact carbone en recul de 20 %, en comparaison à une opération classique.  Pour la préfabrication des MCI matricés, Spurgin Léonhart a mis en œuvre un béton intégrant 20 % de granulats recyclés. [©ACPresse] Le projet du Onze ne vise donc pas une virtuosité technique. La volonté de Pierres & Territoires Eure-et-Loir est juste de démontrer de manière pragmatique qu’il est possible d’avoir une démarche éco-responsable dans le cadre du label E+C–. Ceci, dans le cadre de l’économie circulaire, en faisant appel à des entreprises locales, à des techniques courantes et en valorisant les matériaux. Et sans surcoût… Une belle mixité des matériaux La construction fait la part belle à la mixité des matériaux : terre cuite, bois et béton. [©ACPresse] Bâtiment de type R + 3, Le Onze est posé sur des fondations constituées de pieux, de longrines et de dalles portées. Cet ensemble est destiné à “enjamber” des vestiges du IVe siècle, trouvés sur place lors de fouilles archéologiques préalables… Tout en béton, le rez-de-chaussée abrite les parkings privatifs, les caves et les locaux techniques. La structure comprend les MCI matricés, côté rue, les murs extérieurs en blocs creux, les refends porteurs en blocs pleins rectifiés et une ossature poteaux-poutres pour le parking.  Les granulats recyclés sont fabriqués sur la plate-forme Granudem à partir de bétons de démolition. [©ACPresse] En élévation, les murs de façades sont réalisés en maçonnerie de type Bio Bric, avec intégration d’un complexe d’isolation (ITI). Quant aux murs séparatifs, ils sont en blocs pleins rectifiés. Et ceux de la cage d’escalier, tout comme les acrotères, sont en blocs à bancher. L’ensemble des planchers voit la mise en œuvre de prédalles précontraintes, associées à une dalle de compression en béton prêt à l’emploi. Les ponts thermiques en rives de dalles sont traités à l’aide de planelles isolantes en béton ou en terre cuite. Enfin, le troisième et dernier étage est construit, en utilisant des panneaux préfabriqués en bois. Tout comme la toiture, qui s’articule autour d’une structure en bois, elle-aussi.  Côté finition, les façades seront traitées en enduit clair, avec intégration de modénatures en béton de teinte blanc cassé, ainsi que des plaquettes de parement en brique sur les niveaux supérieurs. Pour sa part, le rez-de-chaussée restera “brut de béton”, bénéficiant de la finition matricée des murs à coffrage intégré.  Frédéric Gluzicki Repère Promoteur/aménageur : Pierres & Territoires Eure-et-Loir - Provivis Eure-et-LoirMaîtrise d’œuvre : Yannick Mouton, architecteBET E+C- : AET LoriotEntreprise de gros œuvre : Ets TachauBPE : UnibétonPréfabricants : KP1 (prédalles), PBM (escaliers), Spurgin Léonhart (MCI matricés) et Rasori (blocs béton)Granulats recyclés : Granudem (28)Délai : 12 mois
Il y a 4 ans et 275 jours

Les taux des crédits immobiliers repartent à la baisse en juillet

Le mois dernier, les taux des crédits immobiliers accordés par le secteur concurrentiel se sont en moyenne établis à 1,25%, détaille dans un communiqué l'observatoire Crédit Logement/CSA, qui associe les principales banques françaises à un institut d'études de marché.C'est un repli par rapport à juin et, plus globalement, une pause dans la tendance à la hausse des taux des crédits immobiliers français depuis le début de la crise du virus au printemps.En effet, les banques ont d'abord "augmenté les taux des nouveaux crédits accordés afin de limiter les conséquences de la crise sur leurs équilibres financiers", rappelle l'observatoire.Mais, ces dernières semaines, elles ont "révisé à la baisse leurs barèmes (...) afin de soutenir la demande de crédits immobiliers", poursuit-il.Même si les taux se replient et restent ainsi proches de leurs plus bas niveaux historiques, cela ne signifie pas pour autant que les banques allègent tous leurs critères pour octroyer des prêts immobiliers.Ainsi, la durée moyenne des prêts octroyés a fortement baissé en juillet pour s'établir à 224 mois - un peu moins de 19 ans -, soit six mois de moins qu'en juin."Le déplacement de la production vers des prêts de plus courte durée répond à la transformation des clientèles", commente l'observatoire.Depuis le début d'année, les banques ont en effet tendance à réduire la part des emprunteurs immobiliers les plus jeunes et les moins fortunés, soit ceux qui tendent à emprunter sur les plus longues durées.Selon l'observatoire et d'autres acteurs du marchés, c'est non seulement la conséquence de la crise mais aussi de recommandations formulées fin 2019 par les autorités financières pour restreindre légèrement les critères d'emprunt.
Il y a 4 ans et 275 jours

Savoie : Un nouveau siège pour Alphi

Retrouvez cet article dans le numéro 87 de Béton[s] le Magazine. Pose de la première pierre du futur nouveau siège de l’industriel Alphi. [©Alphi] L’année 2020 sera le signe de la nouveauté pour Alphi. En effet, l’industriel savoyard a lancé la construction de son nouveau siège social. Ceci, sur la zone d’activité de Savoie Hexapole, à Chambéry, qui était déjà la localisation du précédent établissement depuis 2008. Sur 1 400 m2, le bâtiment – dessiné par l’architecte Philippe Commeau et réalisé par le groupe de BTP Pelletier – répondra aux besoins de l’industriel qui a doublé son chiffre d’affaires en 3 ans. Avec une croissance de + 20 % en 2019, portant le chiffre d’affaires de 20 à 25 M€ et créant ainsi 40 emplois sur ces deux dernières années.  Conçu dans un souci de Haute qualité environnementale et énergétique, le nouveau siège répondra aux enjeux d’une gestion moderne orientée vers le “Care Management”1. C’est par souci du bien-être de leurs collaborateurs que les dirigeants d’Alphi ont fait le choix de demeurer sur la zone d’activités de Savoie Hexapole. C’est aussi dans cet esprit que les équipes de l’entreprise se sont impliquées dans l’aménagement, la décoration, et les circulations de leur futur lieu de vie et de travail.  Le développement d’Alphi l’avait amené à construire, en 2014, l’une des plus grandes bases de matériels de France sur 4 ha de terrain à Saint-Genix-sur-Guiers (73). En 2017, Alphi ouvrait aussi une agence à Coignières (78), afin de positionner l’entreprise au cœur du Grand Paris où elle traite de nombreux chantiers. Alphi s’appuiera désormais sur ce nouveau siège pour poursuivre son développement.  1Le Case Management est une méthode d’accompagnement spécifique, permettant de gérer les questions complexes relevant de l’action sociale, de la santé et des assurances.
Il y a 4 ans et 276 jours

Appel d’offres pour la gestion du transport ferroviaire dans le Grand Est

Le marché est ouvert pour la gestion et le transport ferroviaire pour quelques lignes dans le Grand Est.
Il y a 4 ans et 276 jours

Bruno Le Maire estime qu'il faut "discuter" concernant les projets d'entrepôts de commerce en ligne

"L'artificialisation des sols est un sujet majeur", "il faut qu'on préserve les terres agricoles", a jugé le ministre de l'Économie à l'issue d'une réunion avec des représentants de la Convention citoyenne pour le climat, les ministres de la Transition écologique Barbara Pompili, du Travail Elisabeth Borne et des représentants d'organisations patronales et syndicales.Barbara Pompili a annoncé lundi un moratoire sur les zones commerciales en périphérie, qui se traduit par une circulaire envoyée aux préfets pour leur demander de veiller à la question d'artificialisation dans les dossiers d'autorisation commerciale, avec la saisie au besoin de la commission nationale d'aménagement commercial.Concernant les centres commerciaux, "la France est allée trop loin", avec une multiplication de ses surfaces en périphérie des villes, "il faut qu'on arrête", a jugé Bruno Le Maire. Il a aussi rappelé que l'artificialisation des sols résulte également du développement de zones pavillonnaires.Ce moratoire n'inclut pas l'implantation de nouveaux entrepôts de commerce en ligne, une idée portée par Barbara Pompili. L'e-commerce fera l'objet d'une "concertation de quelques mois", avait indiqué lundi la ministre, qui a précisé ne pas concevoir "que la France continue à se couvrir d'entrepôts logistiques" pendant ce délai."Il faut en discuter avant de prendre une décision", a confirmé le ministre de l'Économie.Des projets d'entrepôts logistiques d'Amazon suscitent des oppositions, comme en Alsace.
Il y a 4 ans et 276 jours

Rénovation énergétique : les Eco-Isolateurs ont réussi le pari de l’approche globale

Créé il y a 10 ans par Benoît Dulac, âgé de 47 ans, le groupe Les Eco-isolateurs connaît une croissance exceptionnelle. Une méthode éprouvée lui permet de se développer sur le marché de la rénovation globale.
Il y a 4 ans et 276 jours

ADP confie la réfection de la piste la plus longue de l'aéroport de Paris-Le Bourget à NGE

Les travaux consistent en la rénovation de la piste 03/21 sur une longueur de 1.800 ml. NGE s'appuie sur son expérience en travaux similaires sur autoroutes et mobilise sa plus grande centrale d'enrobés pouvant produire 400 tonnes d'enrobés par heure. L'ensemble des enrobés rabotés sera revalorisé dans les formulations d'enrobés et mis en œuvre autour des regards de balisage ou d'assainissement le long de la piste. Cette opération appelée la « déléthalisation » permet que les regards ne soient plus un obstacle pour le train d'atterrissage des avions et évite le sur-accident.Du fait d'un accès au chantier très sécurisé, via un Poste d'Accès Routier Inspection Filtrage (PARIF) créé spécifiquement par NGE, tout le personnel doit suivre une formation sûreté afin de valider un Titre de Circulation Aéroportuaire (TCA).L'aéroport Paris-Le Bourget est le plus ancien aéroport de Paris. Son passé historique démontre un risque de pollution pyrotechnique avéré datant de la seconde guerre mondiale. Un diagnostic pyrotechnique des sols a été réalisé avant le démarrage des travaux, le 28 juin 2020, par la société BÉRENGIER DÉPOLLUTION, filiale de NGE spécialisée en dépollution pyrotechnique et amiante, qui assurera un suivi spécifique de ces travaux.Enfin, la piste à rénover s'exécutera avec le maintien en activité des deux autres pistes. Pour sécuriser la circulation de ses engins, NGE développe, par le biais de son service innovation, une application mobile de localisation GPS (barrière virtuelle) appelée géofencing. Les engins sont géolocalisés en temps réel et reçoivent une alarme à l'approche d'une zone interdite.« Groupe ADP nous a fait confiance grâce aux compétences acquises sur nos grands chantiers autoroutiers. Mais sur une piste d’aéroport, ce sera une première pour NGE. Cette opération est donc importante pour NGE. Nous avons investi dans la formation sûreté propre aux aéroports pour tous nos collaborateurs et nous développons spécifiquement une application mobile pour sécuriser la circulation de nos engins. Enfin, dans notre démarche qualité et environnementale, un effort est fait pour le recyclage des enrobés ».- Yoann André, Directeur des travaux NGE
Il y a 4 ans et 276 jours

Cannes: l'unique propriété privée de l'île Sainte-Marguerite change de mains

"Le Grand Jardin", seule propriété privée de l'île Sainte-Marguerite et domaine historique de la baie de Cannes a rejoint le portefeuille de la société suisse de tourisme de luxe Ultima Capital.
Il y a 4 ans et 276 jours

Ella et Pitr, des street artists qui bousculent les conformismes

Ce duo stéphanois a lancé ces derniers jours une campagne d'affichage sauvage dans Paris, en plus d'une grande fresque murale et d'une exposition à Paris.Depuis treize ans, ce duo impertinent investit un peu partout champs, façades, toits avec des fresques, volontairement éphémères, mélanges de dénonciation au vitriol et d'humour tendre à la Sempé.Leurs personnages géants coincés dans leur cadre, qui dorment au milieu de la ville, sont désormais bien repérés. A 35 et 38 ans, jeunes parents, ils rient, réfléchissent sans chapelles ni œillères à la société et ne se prennent pas au sérieux.Leur plus grande performance: avoir achevé l'an dernier la plus large fresque en Europe, grande comme quatre stades de foot, à la Porte de Versailles: une fresque qu'on ne peut voir qu'avec un drone ou reproduite sur les réseaux sociaux, et qui montre une vieille mamie posant son doigt sur le bord du périphérique.De nombreux fans ont aperçu un peu partout ces derniers jours des affiches postées avec la vieille dame. Accompagnée de la contrepèterie "vivre rire ou moulibre" (au lieu de "vivre libre ou mourir")."On a annoncé notre venue d'une façon un peu sauvage!", reconnaît Ella. "C'était une carte postale pour vous Parisiens mais on n'avait pas vos adresses!", ont-ils répondu à leurs supporteurs.Avec les street-artists Ox et Tomtom, "nous avons fait une petite balade dans le métro parisien en post-coronavirus, c'était assez tranquille", raconte amusé Pitr à l'AFP.En une soirée, Ella et Pitr appliquent dans trois stations des collages sur les publicités. Des collages représentant souvent des sacs plastiques qui s'envolent, pour dénoncer le gaspillage consumériste.Poil à gratterElla et Pitr viennent aussi de peindre un nouveau mur à côté de l'église Saint-Philippe du Roule.S'y déploie un tissu aux ombres, lumières et sinuosités sensuelles et qui s'inscrit dans leur série d'œuvres "Plis et replis (de soi)". "Le tissu, c'est la métaphore: l'enveloppe d'un personnage avec ses plis, ses replis", explique Ella."On travaille, explique-t-elle, sur le tissu depuis deux ans. C'est une forme de disparition, le tissu recouvre quelque chose et cache quelque chose".Juste à côté, dans l'exposition de la Galerie Le Feuvre et Roze, qui les suit depuis dix ans, encore des peintures de tissus et de sacs de plastique.Mais aussi de petits personnages qui gravissent à deux d'immenses rochers, planètes, nuages, déserts. Dans le questionnement faussement naïf, se retrouve quelque chose du Petit prince de Saint-Exupéry.Une vidéo en continu montre comment ils effacent une fresque.Jonathan Roze, de la galerie, explique qu'ils "ne veulent pas s'imposer. C'est la performance qui les intéresse, mais ils ne veulent pas envahir l'espace intime de chaque personne".Leurs créations, dit-il, se veulent "contextuelles" dans un espace et un temps donnés: "ce n'est pas une œuvre que vous pouvez copier-coller sur 30 façades différentes".Ella et Pitr revendiquent l'instantané, l'éphémère, le poil à gratter, l'œuvre sans lissage qui fait réagir ou rend perplexe.Or, certains street-artists, dénonce Pitr, "font du joli, de la décoration. C'est comme une femme botoxée, elle fait un peu de chirurgie, ça tient la route un temps et après, ça devient n'importe quoi". Ces œuvres "sont polluantes autant que de la publicité", assène durement Ella."Nous, ajoute-t-il, on a un rapport avec la rue qui n'est pas agressif, mais on a envie qu'il y ait un trait avec de l'énergie". "La rue, explique encore Ella, on ne peut la prendre comme un cahier de brouillon et balancer n'importe quoi au hasard sur un mur. Il faut savoir pourquoi on intervient"."Si on travaille sur l'effacement, assure-t-elle, c'est qu'on a un rapport au dessin qui est très spontané, libre. On a envie que ça vienne et que ça disparaisse comme une parole".
Il y a 4 ans et 276 jours

Vicat annonce une baisse de 41,4% de son bénéfice net au 1er semestre sous l'effet du Covid-19

A périmètre et taux de change constants, la baisse est limitée à 36,4%. Le chiffre d'affaires est en repli de 2,7% à 1,3 milliard d'euros, et de 3,2% à périmètre et taux de changes constants.Le PDG du groupe Guy Sidos a estimé que Vicat avait "montré sa flexibilité et sa réactivité" en instaurant "des mesures fortes de réduction des coûts, de contrôle du besoin en fond de roulement et de réduction des dépenses d'investissement".Vicat avait annoncé le 24 juin le transfert de son siège social du quartier d'affaires de La Défense, près de Paris, à l'Isle-d'Abeau en Isère pour faire des économies face à la crise."Dans cet environnement inédit, la visibilité sur l'ensemble de l'exercice reste faible", a ajouté M. Sidos.L'excédent brut d'exploitation (Ebitda) a baissé au premier semestre de 6,7% et de 5,8% à périmètre et taux de change constants, en raison d'une baisse des volumes vendus en France, en Inde et en Italie, d'un environnement "plus compétitif" au Kazakhstan et "dégradé" sur le plan macro-économique et sectoriel en Turquie et en Egypte.L'Ebitda a en revanche connu une "nette amélioration" sur le continent américain, et "notamment au Brésil", tandis que Vicat a connu une "progression sensible dans la zone Afrique" avec de meilleures performances de son usine au Sénégal et "la montée en puissance du broyeur au Mali".Par activités, le ciment se maintient avec une hausse de 0,9% tandis que l'activité Béton et granulats dévisse de 4,9%.La capacité d'autofinancement est en légère hausse de 1,3% à 175 millions d'euros, la variation étant même de +3,5% à périmètre et taux de change constants.
Il y a 4 ans et 276 jours

Le confinement ne remet pas en cause l’économie des concessions d’autoroutes, selon l'ART

Dans un rapport du 30 juillet, l’Autorité de régulation des transports dresse un premier bilan de l’impact du confinement sur l’activité des concessions d'autoroutes. Elle estime que la perte des recettes correspondantes serait de 25%.
Il y a 4 ans et 277 jours

La coloration du gazole non routier fait débat

Les syndicats du secteur de la construction dénoncent la mise en place d'un nouveau marqueur pour ce carburant utilisé par les professionnels du BTP, qui incomberait aux entreprises en lieu et place des pétroliers et distributeurs.
Il y a 4 ans et 277 jours

Neoen annonce un chiffre d'affaires en hausse de 33% au 1er semestre malgré le Covid-19

Le chiffre d'affaires de l'entreprise, qui a rejoint ce printemps l'indice boursier SBF 120 moins de deux après sa première cotation, a atteint 157 millions d'euros grâce à de nouveaux parcs et à une forte progression de l'activité de stockage.L'activité a notamment crû dans le solaire, de 34% à 73,4 millions d'euros, via de nouveaux parcs en Australie, en Zambie, en Jamaïque, au Salvador et en France. Dans l'éolien, c'est +12% à 58,8 millions, avec de nouvelles capacités en Irlande, en France et la mise en service du parc de Hedet en Finlande (qui alimente un centre de données de Google)."Dans cet environnement difficile marqué par la crise sanitaire, nous avons mis en service de nouveaux actifs", a commenté le PDG de Neoen Xavier Barbaro, cité dans le communiqué."Nous avons également lancé la construction de plus de 500 mégawatts (MW) et renforcé notre portefeuille de projets sécurisés. Nous sommes donc confiants dans l'atteinte d'une capacité d'au moins 5 GW en opération ou en construction fin 2021", a-t-il ajouté.L'entreprise confirme pour 2020 son objectif d'Ebitda (excédent brut d'exploitation) compris entre 270 et 300 millions d'euros, avec une marge supérieure à 80%.
Il y a 4 ans et 277 jours

Bouygues Construction et Dassault Systèmes renforcent leurs liens

La plate-forme 3DExperience permet à Bouygues Construction de s’ancrer dans la conception de demain. [©Bouygues Construction] Bouygues Construction et Dassault Systèmes poursuivent leur collaboration. Après avoir entamé un processus de numérisation et d’automatisation de ses processus, l’entreprise de construction a choisi d’utiliser la plate-forme 3DExperience sur le cloud de Dassault. « Bouygues Construction utilise les technologies digitales depuis des années et constate que les cas d’usage pourraient être plus nombreux et apporter plus de valeur, déclare Philippe Bonnave, Pdg de Bouygues Construction. Nous sommes donc à la recherche d’une transformation plus forte, qui impacte les process de nos opérations et qui prépare le futur de l’entreprise. Une transformation amenant plus de transversalité en interne et avec nos parties prenantes pour apporter toujours plus de valeur à nos clients. » Avec sa plate-forme 3DExperience sur cloud, l’entreprise de BTP peut adopter une approche systémique de la gestion des projets. Qui intègre des expériences de jumelage numérique d’un bout à l’autre de la chaîne de valeur. Cette approche permet de passer à une méthode basée sur des modèles intégrés et collaboratifs. Ainsi, cet outil servira à optimiser le processus décisionnel entre les différents intervenants. Mais aussi, cela permettra au groupe de réduire son volume de déchets et d’améliorer la qualité produit de la conception à la construction. Rationnaliser le processus décisionnel « L’utilisation du jumeau virtuel dans la construction est un processus inclusif et – grâce au cloud et à la mobilité – abordable, explique Bernard Charlès, vice-président du conseil d’administration et Dg de Dassault Systèmes. Contrairement aux méthodes traditionnelles existantes, elle permet à toutes les personnes impliquées de comprendre et de contribuer au processus. Tous les acteurs du secteur aspirent à des modes transformationnels de collaboration et d’innovation. Avez-vous déjà pensé que ce rêve pourrait se réaliser ? Cette approche révolutionnaire, basée sur la plate-forme 3DExperience, constitue la base de notre partenariat de long terme avec Bouygues Construction. Il représente une formidable opportunité d’allier nos leaderships et nos expertises respectifs. Ainsi que d’amorcer une nouvelle dynamique dans l’éco-système du bâtiment et des travaux publics pour tendre vers une durabilité accrue. »
Il y a 4 ans et 277 jours

Les solutions d'isolation thermique par l'extérieur de Sto pour un agréable confort d'été sans surchauffe

L'importance d'une bonne isolationPour comprendre comment préserver une température agréable été comme hiver, il est important de se rappeler que les flux de chaleur se déplacent du chaud vers le froid. Ainsi, en conditions hivernales, le transfert de chaleur se fait de l'intérieur (les maisons étant chauffées) vers l'extérieur (plus froid dehors), tandis qu'en été, la situation s'inverse ! Par temps chaud, les flux de chaleur et d'humidité se dirigent alors de l'extérieur (chaud) vers l'intérieur (plus frais). C'est ici qu'intervient l'importance d'une bonne isolation, afin de limiter une arrivée excessive de chaleur vers l'intérieur de l'habitat. L'isolant est d'ailleurs la pièce maîtresse de la réglementation thermique 2012.Grâce aux systèmes d'isolation thermique par l'extérieur (ITE) de Sto, une inertie thermique se met en place, offrant une température constante.Alors qu'en hiver les murs bien isolés retiennent une partie de la chaleur souhaitée à l'intérieur, ils produisent, en période estivale, une régulation thermique naturelle. En effet, les systèmes d'isolation par l'extérieur de Sto font écran à la chaleur. Par conséquent, les murs restent frais, préservant une température agréable même lorsque le mercure augmente fortement à l'extérieur.« Lorsque on entre en plein été dans une maison passive, isolée par l'extérieur, on pourrait croire qu'il y a la climatisation ! », s'exclame Gérard Moyse, PDG du groupe Moyse.Des solutions de finitions et des isolants adaptés au goût de chacunSto, créateur de l'ITE en 1960, a acquis un retour d'expérience inégalable sur ces solutions. Sto propose une gamme de solutions adaptées à chaque configuration de résidence ou maison individuelle avec un grand choix d'isolants : polystyrène blanc, polystyrène graphité, laine de roche, mousse phénolique ou fibre de bois.En termes de finition, Sto propose de très nombreuses possibilités combinables entre elles : enduits, plaquettes de parement en terre cuite, enduit préfabriqué sur-mesure… et offre plus de 800 teintes du pastel aux couleurs vives.Avec les solutions ITE de Sto, l'habitat est protégé de tout surplus de chaleur, offrant une température constante. En journée comme en pleine nuit, les habitants ne souffrent plus d'une impression de « trop chaud » et peuvent bénéficier d'un havre de fraîcheur, même lorsque l'été bat son plein !Face aux enjeux climatiques et à la responsabilité de chacun pour réduire l'empreinte carbone, limiter sa consommation d'électricité l'été est la bienvenue.« A l'inverse de la climatisation qui est consommatrice d'électricité, une ITE offre une solution passive ou préventive. De plus, son coût s'amortit au regard des économies réalisées en hiver et en été sur les factures de chauffage et d'électricité », conclut Julien Velar, chef produits ITE chez Sto.
Il y a 4 ans et 278 jours

Dominique Coulon & Associés : Marché couvert et espace d'exposition à Schiltigheim

Dans le cadre d’un projet de renouvellement urbain initié par la municipalité de Schiltigheim (67), l’agence Dominique Coulon & Associés a réhabilité un lieu emblématique de la ville. Par la transformation de ce site historique en un marché couvert et un espace d'exposition, les architectes ont préservé l’intégrité patrimoniale de l’architecture tout en lui offrant une seconde vie. Retour sur ce projet de réhabilitation lourde menée avec brio. À Schiltigheim, Dominique Coulon & Associés conjugue patrimoine bâti – quatre édifices caractéristiques de l’architecture traditionnelle alsacienne – et éléments contemporains. Les maîtres d’œuvre ont en effet réhabilité l’ancienne distillerie de la ville, transformée en coopérative des bouchers, puis acquise par la municipalité pour en faire un lieu culturel destiné à exposer des jeunes artistes et organiser des représentions théâtrales. Pendant dix ans, cet espace fut fermé car il ne répondait plus aux normes de sécurité des établissements recevant du public (ERP). Depuis la rénovation orchestrée par l’agence, ce lieu chargé d’histoire est devenu un espace public à usages multiples qui abrite un marché, des commerçants sédentaires, des espaces d’exposition, un atelier de création et un bar d'été. Conscients à la fois de l’importance du patrimoine bâti et de la nécessité d’un nouvel équipement culturel dans le centre-ville, les architectes ont cherché à inscrire le centre d’art et le marché couvert dans un contexte urbain constitué à la fois de parcelles en lanières et de différents édifices exemplaires de l'architecture vernaculaire alsacienne, mais en mettant l’accent sur la dimension contemporaine du nouveau lieu pour le faire subtilement dialoguer avec les bâtiments alentour. L’intérieur, quant à lui, se démarque par sa polyvalence spatiale, sa lumière modulable et son espace rythmé d’ouvertures travaillées, ainsi que par la grande diversité de ses usages. Dominique Coulon & Associés a réussi à métamorphoser ce site historique en un lieu de partage accessible à toutes et à tous. Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence Dominique Coulon & Associés. Photographies : © Eugeni Pons
Il y a 4 ans et 278 jours

Stephan Helmbacher, vice-président de l’Unicem Grand Est

Pdg des Sociétés Ballastières et Sablières Helmbacher implantées dans le Bas-Rhin, Stephan Helmbacher devient vice-président de l’Unicem Grand Est. [©Unicem] Pour les représenter, les producteurs de granulats de la région Grand Est ont élu Stephan Helmbacher, président du collège “Granulat” de l’Unicem Grand Est. Il devient aussi vice-président de l’Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (Unicem) régionale. Succédant à Philippe Huchon, appelé à exercer ses fonctions dans l’Ouest de la France. Son parcours Pdg des Sociétés Ballastières et Sablières Helmbacher implantées dans le Bas-Rhin, Stephan Helmbacher représente la 4e génération à la tête de l’entreprise. « Avec plus de 300 carrières réparties sur la région, nous mobilisons des ressources locales et garantissons à la collectivité un approvisionnement de proximité, continu, sûr et durable. Afin de répondre aux besoins d’entretien, de construction et d’aménagement de notre cadre de vie », explique Stephan Helmbacher. Jusqu’ici président du collège “Alsace”, Stephan Helmbacher porte désormais la voix de 85 entreprises adhérentes. Œuvrant dans l’extraction, la production et le recyclage de granulats. « La parution récente du “Guide Eviter, Réduire, Compenser les impacts sur les milieux naturels” a été élaboré avec le ministère de la Transition écologique et solidaire. Il illustre la robustesse de notre savoir-faire et la richesse de nos expériences en matière de préservation de la biodiversité. » L’union rassemble dans la région 150 entreprises représentant près de 650 sites.