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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 4 ans et 271 jours

Le congé paternité sera doublé en 2021

A partir de juillet prochain, la durée du congé pour un père - ou le deuxième parent - d'un enfant à naître ou adopté, actuellement de 14 jours, sera doublée."Nous allons porter le congé paternité à un mois, au sein duquel il y aura sept jours obligatoires pour chaque jeune papa", a déclaré mercredi le chef de l'Etat dans une vidéo publiée sur Instagram à l'issue du Conseil des ministres.Il s'est ensuite rendu dans l'après-midi dans un centre de protection maternelle et infantile (PMI) en Essonne pour promouvoir cette mesure.Réclamé de longue date par les militantes féministes, les syndicats et nombre de pères, l'allongement de ce congé avait fait l'objet de plusieurs pétitions.La mesure sera inscrite dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) 2021, présenté le 7 octobre en Conseil des ministres.Son allongement sera financé par la Sécurité sociale, pour un coût également doublé et estimé à plus de 500 millions d'euros en année pleine. Les trois jours du congé de naissance seront toujours à la charge de l'employeur, et les 25 jours restants seront indemnisés par la Sécurité sociale.De Julien Bayou (EELV) à Julien Aubert (LR), les représentants politiques ont largement salué cette avancée, les élus de gauche plaidant toutefois pour un congé encore plus long.Début septembre, la commission présidée par Boris Cyrulnik sur les "1.000 premiers jours" du nouveau-né avait d'ailleurs recommandé de le porter à neuf semaines.Interrogé sur BFM, le pédopsychiatre a rappelé que la proximité des pères permettait de limiter la dépression péri-natale, qui frapperait 10 à 15% des femmes: "Il faut pas oublier que les jeunes mères actuellement sont seules, ce qui n'est jamais arrivé dans l'histoire humaine"."Changer de nom"Pour Thibaut Pradinas, à l'origine d'une pétition réclamant son extension à quatre semaines, qui avait trouvé beaucoup d'échos en 2017, c'est "une victoire, même si le temps a été long"."Mes trois ans et demi de militantisme sur ce sujet me font penser qu'un mois ça ne sera pas assez pour gommer toutes les inégalités qui s'installent au moment de la naissance, mais c'est une première étape, importante", a-t-il déclaré à l'AFP.Ce père d'un enfant de 20 mois, membre de l'association "Parents et Féministes", se dit toutefois déçu du nombre de jours obligatoires, estimant que "le caractère obligatoire est incitatif pour les travailleurs indépendants et protecteur pour les salariés précaires vis-à-vis de leur patron".L'Elysée avait indiqué mardi soir, sans préciser le nombre de jours, qu'"une part obligatoire" serait introduite dans ce congé avec sanction pour les entreprises qui ne la respecteraient pas.Actuellement, sept pères sur dix prennent ce congé optionnel, un chiffre qui dissimule de fortes inégalités sociales: 80% des salariés en CDI y ont recours, contre moins de 60% de ceux qui sont en CDD.Laurent Berger, patron de la CFDT, a salué "un progrès social". Dans un communiqué, la CGT a évoqué "une première avancée".Seule voix discordante, l'organisation patronale des PME françaises (CPME) a dit "comprendre la finalité" mais "regretter que cette annonce intervienne dans une période particulièrement tendue sur le plan économique pour un grand nombre de TPE-PME".Pour Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des femmes, cette mesure "ira dans le bon sens" après des mois de grossesse et un accouchement "épuisants" pour les femmes, suivis de nombreux soins et démarches administratives liés à l'arrivée d'un enfant."Et si on pouvait en profiter pour lui faire changer de nom... Ça n'est pas un congé car c'est loin d'être des vacances", ajoute-t-elle sur Twitter.Stéphanie, lesbienne et maman d'une fille née par PMA, a demandé sur son compte Twitter (@_Tes_Mères) qu'on arrête de le réduire à un simple "congé paternité": "Arrêtez de nous invisibiliser. Les lesbiennes aussi, y ont le droit. Et c'est déjà assez compliqué à dire ou faire comprendre aux employeurs".
Il y a 4 ans et 271 jours

Durement impactés par le confinement, les marchés du recyclage se redressent péniblement

VALORISATION. Déjà en difficulté depuis la fin de l'année 2018, les entreprises du secteur du recyclage ont dû en plus encaisser la période de confinement sanitaire. Si la situation tend à s'améliorer lentement en cette rentrée 2020, des difficultés persistent sur certains marchés, notamment ceux des déchets du BTP.
Il y a 4 ans et 271 jours

"Le mot 'architecture' n'apparaît pas dans le plan de relance", Ch. Leconte (Croaif)

RELANCE. Un plan dans lequel n'apparait pas une seule fois le mot "architecture", des rénovations thermiques qui risquent de se faire "au rabais"... Christine Leconte, présidente de l'Ordre francilien des architectes (Croaif), pointe les défauts du plan de relance annoncé ces dernières semaines.
Il y a 4 ans et 271 jours

Cité des sciences et de l’industrie : Giga tours et méga ponts, format “XXHL”

Retrouvez l’article dans le Béton[s] le Magazine n° 90. “XXHL, giga tours et méga ponts”. La construction hors norme investit la Cité des sciences et de l’industrie jusqu’au 7 mars 2021. « Un autre type de muséographies est expérimenté dans cette exposition de 1 000 m2 immersive et numérique. Cette dernière sensibilise le public aux prouesses techniques et aux savoir-faire développés par les ingénieurs, les architectes et les constructeurs. Que des prouesses techniques… Cela suscitera peut-être des vocations chez les ados ! », souligne Evanthia Ioannidou, cheffe de projet Universcience. De Dubaï à Millau De la Burj Khalifa, à Dubaï, au viaduc de Millau, dans l’Aveyron, en passant par le projet de rénovation de la tour Montparnasse, à Paris. Chacun des édifices illustre une problématique d’ingénierie. A savoir : la résistance des matériaux et des structures, les techniques des fondations… La Freedom Tower est le principal bâtiment du nouveau complexe World Trade Center dans le Lower Manhattan, à New York. Et le plus haut gratte-ciel de l’hémisphère Ouest (417 m de haut). Sa construction a nécessité 48 000 t d’acier et plus de 83 500 m3 de béton. [©ACPresse]A Paris, la tour Montparnasse actuelle (209 m de haut) va être rénovée, pour y amener des forêts en hauteur, ainsi que des vitres pour plus de luminosité. [©ACPresse]« Le dessin du viaduc de Millau semble simple sur le papier, alors qu’il est d’une formidable complexité d’ingénierie », insiste Jean-Michel Pereira, professeur de l’école des Ponts ParisTech, département génie civil et construction. [©ACPresse]Le Péloponnèse est relié à la Grèce continentale depuis 2004 grâce au pont Rion-Antirion, le troisième plus long pont à haubans du monde (2,2 km), après Millau (France) et Jia-Shao (Chine). Certaines de ses piles sont immergées de plus de 60 m ! [©Vinci]Burj Khalifa, appelée Burj Dubaï jusqu’à son inauguration, est un gratte-ciel situé à Dubaï, aux Emirats arabes unis, devenu en mai 2008 la plus haute structure humaine jamais construite. Sa hauteur finale, atteinte le 17 janvier 2009, est de 828 m. [©Pexel]Par son comportement hybride, le pont Yavuz Sultan Selim sur le Bosphore, en Turquie résout l’équation contradictoire d’un ouvrage suspendu et haubané à profil aérodynamique. Conçus par Jean-François Klein avec l’aide de l’architecte Frédéric Zirk, les pylônes sont de section triangulaire variable avec des fûts élancés légèrement convergents réunis par une entretoise en partie supérieure. Ils ont été réalisés jusqu’à 208 m de hauteur avec un coffrage glissant. [©GettyImages]Le siège de la Télévision centrale de Chine est un ensemble d’immeubles situé dans le nouveau quartier d’affaires de l’Est de Pékin, en Chine. Son bâtiment principal, le plus spectaculaire, atteint 234 m et se distingue par sa forme originale. L’ensemble a été conçu par le cabinet d’architecte néerlandais Rem Koolhaas. [©Vesa Niskanen]La Dubaï Marina compte plus de 200 tours, dont la Cayen tower reconnaissable grâce à son architecture atypique, les 73 étages tournant sur eux-mêmes. [©Pexel] Dans cette exposition, les visiteurs découvrent comment s’élèvent au fur et à mesure ces immenses édifices et le secret des architectes. Grandiose… Le béton, l’allié idéal “XXHL, giga tours et méga ponts” permet aux visiteurs de comprendre les enjeux de la réalisation de ces ouvrages exceptionnels. Enfin, une exposition grand public, qui illustre la manière de travailler du secteur de la construction. Cette expérience immersive fera découvrir des savoir-faire uniques. Qui repoussent toujours plus loin les limites du possible, en hauteur comme en longueur. D’où “XXHL”. Les plus jeunes apprendront pourquoi le béton est l’allié idéal des architectes et des ingénieurs. L’histoire par un film Un film inédit ouvre l’exposition. Projeté à 360° sur quatre écrans géants, il passe en revue un ensemble de questions et de solutions techniques en matière d’ingénierie. Composé d’images d’archives et de synthèse, le film offre à voir de nombreuses constructions emblématiques. L’exposition se poursuit avec une série de tables animées en vidéo-mapping1. Avec ses 828 m de haut, la Burj Khalifa est aujourd’hui la tour la plus haute au monde. Une vidéo, projetée sur une maquette de l’édifice, révèle comment cette gigantesque tour peut résister au vent. Et conserver son assise sur un sol aussi meuble que le sable du désert.  Immersion numérique Au milieu du parcours, deux tables (plus traditionnelles au niveau scénographique) présentent des échantillons véritables de matériaux de construction et la façon de les assembler. On y apprend qu’armé, précontraint ou encore imprimé, le béton s’adapte, pour réaliser des édifices hors norme. Ici, une tour esthétique réalisée dans le laboratoire des Ponts ParisTech. [©A. Robin-EPPDCSI]A l’entrée de l’exposition, un tableau comparatif met en exergue l’évolution des tours, de la pyramide de Gizeh, 139 m de hauteur (3 siècle av-J. C.) en Egypte ou de la tour Eiffel, à Paris (312 m de hauteur) jusqu’à la tour Burj Khalifa, à Dubaï, plus haute tour actuelle de 828 m. [©A. Robin-EPPDCSI]A travers l’exemple de la tour Montparnasse se pose l’urgence d’une rénovation. Quatre ans de travaux seront nécessaires pour la rendre moins énergivore. Quatre tablettes numériques de tailles différentes en réalité augmentée permettent de mesurer ces défis écologiques. Très interactif. Pour toute la famille. [©A. Robin-EPPDCSI]L’exposition “Giga tours et méga ponts, format “XXHL” est interactive, à destination de toute la famille. Ludique et instructif. [©A. Robin-EPPDCSI] La deuxième table propose un rapide historique des grandes étapes. Qui ont marqué la construction des tours et des ponts depuis l’Antiquité. De plus, à travers l’exemple de la tour Montparnasse se pose l’urgence d’une rénovation. Quatre ans de travaux seront nécessaires pour la rendre moins énergivore. La révolution du BIM Quatre tablettes numériques de tailles différentes en réalité augmentée permettent de mesurer ces défis écologiques. Mais comment conserver l’historique d’une telle construction ? En ayant recours au BIM, véritable révolution technologique. Au milieu du parcours, deux tables (plus traditionnelles au niveau scénographique) présentent des échantillons véritables de matériaux de construction. Et la façon de les assembler. On y apprend qu’armé, précontraint ou encore imprimé, le béton s’adapte, pour réaliser des édifices hors norme. Trois ponts exemplaires “XXHL, giga tours et méga ponts” se conclut par une analyse comparative de trois types de ponts – à haubans, suspendu et hybride –. Ceci, en s’appuyant sur le viaduc de Millau, le pont du détroit d’Akashi, au Japon, et le pont Yavuz Sultan Selim, situé en Turquie.  « Le dessin du viaduc de Millau semble simple sur le papier, alors qu’il est d’une formidable complexité d’ingénierie », insiste Jean-Michel Pereira, professeur de l’école des Ponts ParisTech, département génie civil et construction. Enfin, le film projeté sur la dernière table expose les facteurs qui contribuent au choix du type et de la méthode de construction. En complément 1Technique de projeter de la vidéo sur des volumes comme des façades architecturales, des tables, des murs… des décors pour le spectacle vivant ou juste dans son salon. C’est l’idée de la transformation d’un objet réel par le virtuel. Du 1er septembre 2020 au 7 mars 2021, www.cite-sciences.fr. Muriel Carbonnet Retrouvez l’article dans le Béton[s] le Magazine n° 90.
Il y a 4 ans et 271 jours

Covid-19 : le crédit consommation en France s'est effondré de 36% au 2e trimestre

Au deuxième trimestre, le mouvement s'est logiquement amplifié et a touché la totalité des secteurs, comme le montrent les chiffres de l'ASF.La dégradation de l'activité a été particulièrement marquée pour les prêts personnels, dont le volume s'est écroulé de 45% entre avril et fin juin par rapport à la même période en 2019.Les nouvelles utilisations de crédits renouvelables ont quant à elles chuté de 35% sur cette même période, après une dégradation de 4% sur les trois premiers mois de l'année.Du côté des financements automobiles, la baisse a atteint un peu plus de 36%, tant pour les véhicules d'occasion que pour les voitures neuves, après des baisses respectives de 11% et 9% sur les trois premiers mois de l'année.L'érosion s'est en revanche révélée moindre pour les financements affectés à l'amélioration de l'habitat: ceux-ci ont baissé de 16% au deuxième trimestre après une petite hausse de 1,6% au premier.Au total, le crédit à la consommation a essuyé sur les six premiers mois de l'année une chute de son activité de 21%, "soit une décrue d'une ampleur sans précédent en trente ans de suivi statistique de l'activité", pointe l'ASF, qui précise que la plus forte baisse enregistrée jusqu'alors était celle constatée au premier semestre 2019 (-15,8%).
Il y a 4 ans et 271 jours

Qui est le nouveau directeur général de Wienerberger France ?

CARNET-NOMINATION. Le spécialiste de la terre cuite, Wienerberger France, annonce la nomination de Frédéric Didier au poste de directeur général.
Il y a 4 ans et 271 jours

Est-il préférable de confier un chantier à une entreprise générale ou à différents prestataires ?

Dans la mesure où la construction d'un bâtiment se décompose en autant de lots que de métiers du BTP, il est nécessaire de décider au préalable s'ils seront exécutés ou non par la même entité juridique. En effet, les implications sur l'organisation du chantier ne sont pas les mêmes, notamment pour les architectes et les maîtres d'œuvre responsables de la conduite et de la bonne exécution des travaux.L'entreprise générale : un interlocuteur uniqueLa première option est de rechercher une seule entreprise du bâtiment capable de réaliser l'ensemble des prestations prévues par les plans d'exécution.Aussi appelée « entreprise tout corps d'état », l'entreprise générale prend en charge la totalité des travaux de construction, du gros œuvre (fondations, toiture...) au second œuvre (plomberie, électricité...). En sa qualité de contractant unique, elle est la garante de leur bonne exécution. Toutefois, le maître d'œuvre aura affaire à une seule personne lors du déroulement des travaux : le responsable de chantier de l'entreprise. En cela, le suivi et les réunions de chantier s'en trouvent facilités étant donné qu'il ne s'adressera qu'à une seule personne, quelle que soit la nature des travaux concernés. Aussi, la réception des travaux se fera avec l'unique responsable de chantier.De la même manière, le temps consacré à la consultation des entreprises est plus simple, car nettement réduit. En effet, l'appel d'offres se résume à étudier les propositions de quelques entreprises, contre plusieurs dizaines en corps d'état séparés. Cependant, l'enveloppe budgétaire proposée est souvent plus élevée d'environ 10%. Ceci correspond en général à l'économie que fait le maître d'ouvrage sur la coordination des travaux du fait de l'interlocuteur unique.Les entreprises générales sont le plus souvent des entreprises du bâtiment spécialisées dans un métier du BTP qui font appel à des sous-traitants pour les lots qu'elles ne maîtrisent pas. Même si elle ne dispose pas de toutes les compétences techniques, une entreprise générale est en quelque sorte le chef d'orchestre qui dirige les travaux et endosse toutes les responsabilités juridiques. À ce titre, une entreprise dont l'assise financière est sûre sera plus à même d'affronter les difficultés que peuvent générer un abandon de chantier, un accident ou un dépôt de bilan par l'un de ses sous-traitants. C'est également l'entreprise générale qui est tenue d'en supporter l'assurance décennale. Les corps d'état séparés : plusieurs métiers du BTPFaire appel à des corps d'état séparés consiste à travailler différemment dans la préparation et l'organisation du chantier.Contrairement à l'entreprise générale, le recours à des corps d'état séparés nécessite de faire autant d'appels d'offres que de lots à contractualiser. Chacun des différents intervenants avec qui le maître d'œuvre est amené à négocier est un spécialiste dans le secteur du bâtiment. La procédure de consultation des entreprises est par conséquent plus longue. Mais à son issue, il travaillera avec des prestataires compétents qui auront été choisis pour leur compétitivité, leur savoir-faire, mais aussi leur solidité financière. Cela n'exclut cependant pas le risque d'un dépôt de bilan de l'un d'entre eux. Dans cette éventualité, le maître d'ouvrage en supportera directement les conséquences. Par ailleurs, en matière de garanties, celles-ci sont réparties par travaux.En évitant les intermédiaires, on peut compter sur des économies substantielles. Lorsque chaque prestation de chaque offre est soupesée, analysée et négociée, le maître d'œuvre a de meilleures chances de respecter le budget prévisionnel alloué et s'assure une bonne gestion financière. Ceci est d'autant plus réaliste que chaque corps d'état est directement responsable de la qualité de son ouvrage et doit fournir une garantie décennale sur ses travaux.La réalisation d'un chantier en corps d'état séparés génère des besoins spécifiques lorsqu'il s'agit de coordonner les travaux. Il est clair que la démultiplication des intervenants exige le respect des règles de sécurité et d'organisation, de l'ouverture à la réception du chantier. Si l'entreprise générale prend en charge de fait la coordination des travaux puisqu'elle fait intervenir ses employés et ses propres sous-traitants, le recours à des corps d'état séparés nécessite un pilote de chantier. Cela peut être un coordonnateur OPC (ordonnancement, pilotage, coordination) ou un AMO (assistance à maîtrise d'ouvrage). Celui-ci aura alors la charge l'avancement des travaux et de faire respecter les délais.« Beaucoup de promoteurs ou de maîtres d'ouvrage s'interrogent sur la pertinence d'un chantier en entreprise générale ou en corps d'état séparés. La réponse ne peut cependant pas être tranchée. Elle dépend de nombreux facteurs dont notamment la nature du projet de construction et le budget alloué. Mais cela va bien au-delà.En effet, la maîtrise d'ouvrage doit aujourd'hui relever de nombreux défis, mais aussi affronter des risques assortis de contraintes croissantes. Réaliser un bâtiment à forte performance énergétique est un défi de plus en plus exigeant. Respecter des règles constamment de plus en plus contraignantes en matière de santé et de sécurité les expose à de nombreux risques de nature pénale. Quant aux délais de réalisation des travaux, ils doivent être toujours plus courts pour répondre aux contraintes d'une nouvelle clientèle, plus exigeante. »-Alexandre Brochot, Président Cofondateur d'AOS
Il y a 4 ans et 271 jours

CIRQ 2020 consacre 10 startups spécialistes de la rénovation

ARTIBAT, salon d’affaires des professionnels de la construction de l’Ouest, et NOVABUILD, l’allié solutions climat des acteurs de la construction et de l’immobilier en Pays de la Loire, s’associent une nouvelle fois pour valoriser les solutions innovantes des startups de la construction. Jeudi 22 octobre 2020, relevons ensemble le défi de la décennie le temps d'une journée 100% en ligne 100% rénovation2020 est l'année zéro, celle d'un point de départ où la question de la crise climatique devient centrale. Part du problème, notre filière est donc aussi une part de la solution. ARTIBAT et NOVABUILD se sont donnés comme ambition avec CIRQ 2020 de faciliter la massification de la rénovation, une « solution climat » en réponse à l'atténuation et à l'adaptation au dérèglement climatique aujourd'hui nécessaire pour notre filière construction. Massifier suppose d'innover : une innovation à la fois technique et organisationnelle pour lever les blocages. C'est la raison pour laquelle ils ont lancé un appel à solutions pour faciliter la rénovation auprès de startups.Le jeudi 22 octobre, ARTIBAT et NOVABUILD vous invitent à un événement dédié aux démarches innovantes et aux retours terrain pour une rénovation de qualité, performante, sur les aspects thermiques, environnementaux et prenant en compte les usagers.Toute la journée, alterneront des séquences de présentation des solutions innovantes portées par les 10 lauréats CIRQ 2020 avec des séquences thématiques d‘experts de terrains et des retours d'expériences autour de : l'innovation pour massifier, la rénovation du patrimoine bâti, la massification dans le logement individuel et collectif, l'économie circulaire en rénovation.Marjolaine MEYNIER MILLEFERT, Députée et co-Présidente du PREB (Programme de Rénovation Énergétique du Bâtiment) et Sabine BASILI, Présidente du Programme national pour la qualité de la construction et de la transition énergétique, ouvriront cette journée. Elles nous présenteront le plan rénovation, les moyens alloués par le gouvernement grâce au plan de relance et les solutions proposées par les entreprises. Laurent ROSSEZ, Président de NOVABUILD, et Michel BROCHU, Président de la CAPEB Pays de la Loire, récompenseront en clôture, les 3 premiers lauréats.CIRQ 2020 consacre 10 startups spécialistes de la rénovationSélectionnés par un jury d'experts après un large appel à candidature, le dispositif CIRQ permet d'accroître la visibilité des porteurs de projets et startups qui innovent pour la filière BTP. L'édition 2020 a tenu toutes ses promesses avec une dizaine de dossiers sélectionnés, dont 3 projets particulièrement remarqués pour leur solution en matière de rénovation.« À l'image des startups que nous valorisons, CIRQ doit être agile et s'adapter au contexte qui l'entoure. Ce sera donc, en 2020, une édition 100% en mode virtuel pour parler de préoccupations réelles : Comment innover en rénovation pour des bâtiments plus respectueux de notre environnement ? »-Valérie Sfartz, directrice du salon ARTIBAT« La massification de la rénovation est un élément clé pour la réussite de la stratégie bas carbone du BTP et de l'immobilier. De nombreuses solutions existent et peinent à s'installer sur le marché. CIRQ sera l'occasion de leur donner de la visibilité et permettra à NOVABUILD de commencer à établir un catalogue de « solutions-climat» utiles pour les acteurs de la construction et de l'immobilier. »-Pierre-Yves Legrand, directeur de NOVABUILDZoom sur les 10 lauréats CIRQ 20201er Prix du jury :Isol'En Paille :ISOL'en Paille produit sur mesure une gamme d'isolants de qualité adaptée aux besoins de la construction comme de la rénovation. La botte de paille est l'isolant low-tech open-source le plus abouti ! La Botte de 22, de dimensions innovantes, est une solution de bottes en paille de 22 cm d'épaisseur. Elle est produite dans une usine dédiée et respecte le cahier des charges des règles professionnelles de la construction paille.2ème Prix du jury :AIR :Signée YLE Architectures, cette solution de végétalisation destinée aux cours d'immeubles haussmanniens garantit l'apport d'air frais dépollué dans les appartements grâce à un système de cheminées solaires basé sur le principe de tirage thermique. La création d'écosystèmes rafraîchissants avec des cours végétalisées selon un principe de strates végétales dépolluantes, couplée au réinvestissement des cheminées raccordées, assure une qualité de l'air optimale des différents lots habitat de la copropriété.3ème Prix du jury :MAXEEM :Maxeem, plateforme de services numérique, agrège un ensemble de données permettant d'accéder à distance à des informations relatives au bâtiment (surface, nombre d'étage, année de construction…), d'évaluer son potentiel de rénovation, de structurer un préchiffrage travaux ainsi que le montage du plan de financement. Elle identifie les professionnels RGE à proximité pour faciliter la mise en œuvre des projets de rénovation énergétique. Les professionnels sont plus performants grâce à ces outils, développant la confiance avec les donneurs d'ordres. Ces trois lauréats se verront récompensés d'une journée de coaching par OmniGibus (agence spécialisée dans la « Formation Média Training et Prise de parole ») ainsi que d'une dotation de 2 000 € (pour le 1er prix) et 1 000 € (pour les 2ème et 3ème prix).ARTICONNEX :Articonnex apporte aux artisans du bâtiment des solutions pour améliorer leur gestion des matériaux et leurs investissements en machine tout en plaçant l'économie du circulaire au cœur du projet. Articonnex propose un triptique de solutions : une marketplace (revente de matériaux neufs et de réemploi - location d'atelier et matériels de chantiers), un premier entrepôt physique dédié au réemploi et un web magazine pédagogique.BATIRESO :Plateforme de digitalisation et de dématérialisation permettant de contextualiser les échanges entre donneurs d'ordre et entreprises de la construction. Cet outil en ligne est destiné à moderniser les process administratifs de lancement d'appels d'offre et de suivi de chantiers entre professionnels du bâtiment. BATIRESO permet de gagner en productivité en diminuant les tâches administratives liées aux échanges sur un projet de construction.BIModeler :Modélisation BIM semi-automatique des lots architecturaux sur REVIT en LOD 200 / 300 à partir du plug-in BIModeler. Cette solution se caractérise par le suivi de la prestation via une plateforme collaborative full web ainsi que le suivi et le contrôle du process par un expert en modélisation BIM. BIModeler permet une diminution des coûts et délais de modélisation ainsi que des erreurs humaines. BIModeler facilite l'accès au processus BIM.FEELBAT :Les capteurs DELTA Feel permettent de suivre l'évolution des fissures et mouvements d'un bâtiment ou ouvrage d'art via une application dédiée. Le système permet de démocratiser la solution, d'anticiper les désastres sur les balcons et bâtiments. Par leur taille et leur prix ils peuvent couvrir plus de zones que les capteurs actuels.L'ASSECHEUR :Ce procédé assèche tous types de murs : plein/creux, quel que soit le matériau à la suite d'un dégât des eaux : inondation, infiltration, remontées capillaires. Il s'agit d'un traitement naturel de l'humidité du mur : pas de produit chimique, pas d'onde magnétique. L'évolution technologique du syphon atmosphérique par l'utilisation de composants électroniques miniaturisés garantit un volume d'air circulant dans le mur est constant et suffisant pour l'assécher.MON Artiz :Cette initiative structure un réseau d'artisans sélectionnés sous une marque commune pour promouvoir la rénovation énergétique. Elle met à disposition une application numérique pour les accompagner dans leur quotidien et disposer d'une offre élargie par de nouveaux services innovants (possibilité d'intégrer une maquette BIM simplifiée, proposition de variantes pour une rénovation énergétique performante).We Love Réno :Plateforme web collaborative de gestion de travaux, de la gestion commerciale, jusqu'à la réception du chantier. Tous les intervenants du projet peuvent s'organiser, interagir et suivre en temps réel l'évolution du chantier. La plateforme intègre à la fois un CRM, les notices de travaux avec estimatif, un espace d'échange de documents, une planification du suivi de chantier ou encore l'organisation de rendez-vous BtoB.Rendez-vous sur ARTIBAT les 13, 14 et 15 octobre 2021 pour rencontrer « physiquement » les lauréats CIRQ 2020.Au sein d'un espace interactif, l'événement CIRQ donnera la parole aux 10 lauréats 2020 qui présenteront leurs solutions et produits aux professionnels visiteurs pendant les 3 jours du salon.
Il y a 4 ans et 271 jours

Malgré la crise, Hexaom espère atteindre 1 milliard de chiffre d’affaires en 2021

Comme pour de nombreuses entreprises du secteur, le chiffre d’affaires du groupe spécialisé dans la construction de maisons individuelles, particulièrement affecté par la crise sanitaire, est en recul au premier semestre 2020.
Il y a 4 ans et 271 jours

Les habitants et élus de Belle-Ile-en-Mer veulent maîtriser l'avenir de leur île

Éric Guillot ne s'y attendait pas : sa pétition "pour préserver" Belle-Ile-en-Mer, lancée fin juillet, fait un carton, rassemblant plus de 13.000 signatures."C'est à Belle-Ile de garder la maîtrise de son avenir et la préservation de son identité", peut-on lire sur change.org. "Je ne m'attendais pas à un chiffre pareil", commente, à la terrasse d'un café de Palais, principale commune de l'île, ce chef d'entreprise de Vannes qui possède une résidence secondaire sur Belle-Ile.Son texte énumère quelques-uns des projets qui pourraient mettre en péril le caractère unique de l'île aux yeux des signataires: "éoliennes flottantes", "tourisme", "investisseurs". "A qui profiteront réellement ces transformations? Belle-Ile, un nouvel eldorado de la finance sans scrupule?" interroge-t-il."On sent à l'heure actuelle une tendance, des projets lancés par des groupes financiers pour capter l'image de Belle-Ile", déplore Catherine Maréchal-Gouée, présidente de l'association Union Belliloise pour l'environnement et le développement.Si le parc éolien flottant en est encore aux préliminaires, un projet viticole porté par Christian Latouche, 56ème fortune de France selon Challenges, envisagé sur une vingtaine d'hectares, dont des parcelles proches de la mer classées Natura 2000, inquiète. M. Latouche "cible des sites en bord de mer pour des raisons marketing", accuse Gilles Smadja, de l'association "La Bruyère Vagabonde"."La priorité ici, c'est plutôt le maraichage que la vigne", assène Marc Suquet, du collectif Belle-Ile Climat. Selon une étude officielle de 2019, l'île de 85 km2, avec une quarantaine d'exploitations agricoles, couvre 6% de ses besoins alimentaires.Oui, il faut développer l'agriculture mais, dans le paysage, la vigne "est moins haute que le maïs" et vaut "mieux que des friches", sources potentielles d'incendie, s'exclame Annaïck Huchet, maire de Bangor depuis 2014 et nouvelle présidente de la communauté de communes de Belle-Ile."Une île morte"Deux autres projets concernent des investissements à vocation touristique sur une île qui manque cruellement de logements accessibles aux 5.500 insulaires, s'accordent à dire associations et élus.Le premier, vieux d'une dizaine d'années, Penecam, est prévu sur l'une des rares réserves foncières aux portes de Palais.Le second, "Terra Lodges Resort", se veut dans l'air du temps: "votre lodge éco-conçu en pleine nature" avec services, piscine, peut-on lire sur le site internet du promoteur.Ces projets sont "comme des symptômes", analyse Claire Liagre, vétérinaire et membre de "Chemin faisan", une association qui cible notamment la problématique du logement. "Il y a un décalage de pouvoir d'achat catastrophique entre les travailleurs ici" et les personnes de l'extérieur qui viennent acheter un bien, assure-t-elle.Du travail, il y en a sur l'île, mais que des insulaires soient contraints de partir faute de logements abordables, "c'est terrible", considère Mme Huchet, rappelant que certains "ont perdu la constructibilité de leur terrain" du fait de la loi Littoral. "Sur l'île, on a plus de 60% de résidences secondaires. Au bout d'un moment, ça commence à devenir compliqué", constate-t-elle. Parmi les personnes qui "viennent investir ici, certaines le font pour leur tranquillité et voudraient que l'île se fige", regrette-t-elle, mais "l'argent ne donne pas tous les droits"."Nous sommes à un vrai carrefour", reconnaît le maire nouvellement élu à Palais, Thibault Grollemund, 37 ans. Pour lui aussi, le premier dossier sera le logement: "On veut toucher la catégorie intermédiaire, ceux qui sont juste au-dessus du SMIC, pour qu'ils puissent vivre ici", affirme-t-il.Concernant le tourisme, l'île, qui accueille 380.000 visiteurs par an, attire "de nouveaux investisseurs", observe-t-il, et des hôtels "familiaux" depuis des années sont effectivement passés récemment aux mains de financiers extérieurs."Belle-Ile ne doit pas devenir une île de riches (...) Il faut que les Bellilois puissent vivre sur leur île; sinon, ce sera une île morte", craint Éric Guillot.
Il y a 4 ans et 271 jours

Lancement d'une souscription pour la cité d'artistes La Ruche à Paris

Pour ce chantier qui doit démarrer début 2021, 1,9 million d'euros sont quasiment assurés sur les 3 millions nécessaires. La rénovation de l'immeuble Léger, aujourd'hui vétuste, redonnera tout son lustre à ce lieu de rendez-vous des artistes du début du XXe siècle, situé près de la Porte Brancion, dans le sud de Paris.L'immeuble Fernand Léger de 1.600 m2, ainsi nommé parce que le plasticien y a travaillé, compte une vingtaine d'ateliers que louaient des artistes et une salle d'exposition.Vice-président de la Fondation, l'artiste de rue, Ernest Pignon-Ernest, qui vit à la Ruche, a retracé l'histoire de ce site construit en 1902 avec des matériaux récupérés sur le site de l'exposition universelle de 1900 et dont on avait voulu faire "un phalanstère d'artistes".Les peintres ou sculpteurs Ossip Zadkine, Marc Chagall, Chaïm Soutine, Fernand Léger, Alexander Archipenko, Henri Epstein l'ont fréquenté. De même que des écrivains et des poètes: Max Jacob, Blaise Cendrars, Guillaume Apollinaire...Dans les années 50 et 60, elle est à l'abandon, le sol jonché de carcasses de voitures, avant d'être sauvée in-extremis de la démolition, grâce à une mise de fonds de la famille Seydoux. D'autres cités d'artistes ont été démolies à cette époque.Pour le nouveau chantier de rénovation, 1,7 million vont aller à la restauration du clos couvert, et 1,3 aux réaménagements intérieurs. Une douzaine de nouveaux ateliers devraient être disponibles.La Ruche a déjà été dotée de 300.000 euros par la Mission Bern et de 500.000 euros par l'entreprise Gecina, un des mécènes de la Fondation du patrimoine. Les collectivités (Etat, région, ville) se sont dites prêtes à apporter plus d'un million d'euros.A la tête depuis l'été de la fondation La Ruche-Seydoux, qui gère le site, l'ancien président d'Arte, Jérôme Clément, n'a pas caché des "incertitudes" créées par le Covid, les collectivités étant "extrêmement sollicitées" pour leurs prochains budgets culturels.Un premier chantier en 2010 avait permis la rénovation de sa rotonde.
Il y a 4 ans et 271 jours

Quelles nouveautés pour les chantiers collectifs en brique ?

Début 2020, bio’bric ajoutait à sa gamme de produits la planelle supeRmax ; meilleure performance du marché avec une résistance thermique de 1,70 m².K/W. Associée à la brique spécial collectif, la bgv’costo th+ (R = 1,50 m².K/W), bio’bric propose le système d’excellence pour la construction de bâtiments à étages : Ψ L9 = 0,26 W/m².K en plancher béton.Meilleure performance thermique du marché pour des économies d’énergieÉviter les ruptures d’isolation en logements collectifs au droit des ouvertures et à la jonction des planchers avec la façade permet de stopper les déperditions thermiques, empêcher les problèmes d’inconfort ainsi que les dégradations éventuelles dans la construction, comme l’apparition de condensation. Le pack collectif bio’bric, grâce à ses accessoires isolants, génère des économies de chauffage et donc moins d’émissions de gaz à effet de serre (Eges) durant la phase exploitation du bâtiment.Un système constructif compétitif Ce système constructif est jusqu’à 40% moins cher sur la partie élévation des murs par rapport à une solution en béton banché.Naturellement isolante, la brique en terre cuite permet de réduire l’épaisseur de l’isolant jusqu’à 4 cm. Vous gagnez de la surface habitable équivalent à un 3 pièces*. C’est plus de m² vendus pour le promoteur.L’utilisation de la planelle supeRmax évite de recourir à des rupteurs thermiques d’about de plancher onéreux ou à l’Isolation thermique par l’extérieur (ITE).Une solution constructive respectueuse de l’environnementL’impact environnemental de la brique en terre cuite et donc son bilan carbone est positif, notamment grâce à son fort pouvoir isolant. Le passage de la terre crue à la terre cuite est une transformation qui nécessite de l’énergie thermique et dégage par conséquent du carbone (CO²). En revanche, sur l’ensemble du cycle de vie d’un bâtiment, cet impact est compensé par les économies de chauffage réalisés : cliquez ici pour en savoir plusEn parallèle, sur chantier, la mise en œuvre de la brique bgv’costo th+ avec du mortier-colle à joint mince permet d’économiser jusqu’à 90% d’eau par rapport à la fabrication d’un mortier traditionnel.De plus, grâce à sa hauteur de 31,4 cm (6,35/m²) et comparé à un bloc béton de granulats courants, la bgv’costo th+ offre un gain de 30% de poids manutentionné. Sa palettisation avantageuse nécessite également moins de rotations de grues sur les chantiers.Cliquez ici pour en savoir plusDocumentationPDF livret collectif – version NordPDF livret collectif – version SudPDF livret pont thermique – version NordPDF livret pont thermique – version Sud* Une étude réalisée par Pouget Consultant pour la FFTB (Fédération Française des Tuiles et Briques) démontre que sur un immeuble à usage collectif de 2 000 m2 SHAB, soit 34 logements, la brique terre cuite permet de gagner 60 m2 supplémentaires. L’étude a été réalisée en janvier 2017 sur 8 zones climatiques, avec des briques de 20 cm à R = 1 m².K/W. Dans son pack collectif, bio’bric propose la brique spécial collectif bgv’costo th+ avec une Rth de 1,50 m².K/W.
Il y a 4 ans et 271 jours

AT/MP : notification dématérialisée obligatoire pour les sociétés de plus de 10 salariés

RÉGLEMENTATION. La notification dématérialisée du taux de cotisation d'accidents du travail et de maladies professionnelles deviendra obligatoire pour les entreprises d'au moins 10 salariés relevant du régime général de la Sécurité sociale à compter de janvier 2021. Un site Internet est mis à la disposition des sociétés à cet effet.
Il y a 4 ans et 271 jours

Les Coulisses du Bâtiment : 18e édition

Les 8 et 9 octobre prochains, les Coulisses du Bâtiment ouvriront leurs portes partout en France pour la 18e édition. [©Coulisses du Bâtiment] Voilà les informations qui étaient parues en juin 2020. L’optimisme était de rigueur. Les 8 et 9 octobre prochains, les Coulisses du Bâtiment ouvriront leurs portes partout en France pour leur 18e édition. Dans une situation encore incertaine, les professionnels du secteur réaffirment ainsi leur attachement et leur fidélité à ce rendez-vous plébiscité par le milieu scolaire et la profession. Cette 18e édition proposera aux curieux de tout âge de découvrir la face cachée d’un chantier ou d’un atelier. Ainsi que tous les secrets de fabrication – ou de rénovation – d’un bâtiment. Chantiers de toutes tailles, maisons individuelles, immeubles de bureaux, monuments historiques… Cette année, les visites seront aussi étendues aux centres de formation des apprentis (CFA). De quoi, donner aux jeunes un premier aperçu des métiers du bâtiment, un secteur aux multiples facettes qui recrute ! Rappelons que cette manifestation rassemble 75 000 visiteurs environ chaque année.  Mais ça, c’était avant ! Face aux risques liés à la situation sanitaire, une solution alternative et innovante est proposée aux établissements scolaires : une visite de chantiers en direct sur Youtube. [©Coulisses du Bâtiment] En effet, face aux risques liés à la situation sanitaire, il y aura moins de chantiers ouverts, car moins de personnes pourront se déplacer. De plus, une solution alternative et innovante est proposée aux établissements scolaires. A savoir, pour les scolaires, une visite de chantiers en direct sur Youtube. Un direct en duplex aura lieu le jeudi 8 octobre de 9 h 00 à 10 h 00. Et sera ensuite en replay jusqu’au 16 octobre. Ainsi, si les jeunes ne peuvent pas venir aux Coulisses du Bâtiment, les Coulisses du Bâtiment iront à eux. Quelques chantiers seront toutefois ouverts sur le territoire. Les visites se feront dans le respect des prescriptions sanitaires. Les Coulisses du Bâtiment permettent aux jeunes de découvrir la face cachée d’un chantier ou d’un atelier et tous les secrets de fabrication – ou de rénovation – d’un bâtiment. Chantiers de toutes tailles, maison individuelle, immeubles de bureaux, monuments historiques… Le spectre est large !
Il y a 4 ans et 271 jours

Dufrêne Rénovation : Adapter la prévention à des chantiers de particuliers

Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine Un turn-over limité permet d’assurer dans la durée des formations de fond. Anne (2e personne à gauche au 2e rang) et David Dufrêne (1e personne à gauche au 1er rang) assurent la co-direction de l’entreprise Dufrêne Rénovation. [©Dufrêne Rénovation] Dans les régions de tuiles canal et de toitures à faible pente, les entreprises de gros œuvre assurent souvent les travaux de couverture. C’est tout à fait la situation de l’entreprise Dufrêne, spécialiste de la rénovation en gros œuvre et couverture, avec des chantiers traités surtout auprès de particuliers. La sous-traitance est limitée, le turn-over réduit, ce qui permet “d’asseoir” les actions de formation, de prévention et d’organisation du travail dans la durée. L’entreprise est certifiée RGE. Il y a quelques années, David Dufrêne, dirigeant de l’entreprise, a suivi une formation Feebat. Qui apporte une meilleure connaissance des autres corps d’état. Un plus dans une époque de transversalité croissante entre les différents intervenants d’une opération. Cette formation a été très utile à un moment où l’entreprise assurait aussi des prestations de second œuvre. Alors qu’elle s’est maintenant recentrée sur ses métiers d’origine.  La raison n’est pas due à un manque de chantiers. Mais à une difficulté récurrente à recruter du personnel qualifié et assez motivé par les métiers du bâtiment. En effet, dans cette région de production de Cognac, les grandes maisons attirent la main d’œuvre locale. Ceci, avec des conditions de travail et des niveaux de salaires, qui compliquent le recrutement pour les autres secteurs d’activité… Preuve de ces difficultés, les CFA ont du mal à remplir leurs cessions. « La demande est forte. Nous sommes dans une région prospère. Le niveau de commandes reste élevé. Pourtant, malgré tous les efforts et les actions mises en place depuis plusieurs années, le monde de la construction peine toujours à être suffisamment attractif », conclut David Dufrêne. Une méthodologie adaptée « Près de 70 % de nos chantiers concernent des interventions plus ou moins lourdes chez des particuliers »,explique Anne Dufrêne, co-dirigeante de l’entreprise éponyme. Cela va de la réfection de façades en pierre, nombreuses dans la région, à la rénovation lourde d’un bâtiment. Voire à des extensions neuves exécutées dans le respect de l’existant. Les chantiers peuvent durer 3 à 4 mois. D’autres, une demi-journée. Là se situe une vraie difficulté : assurer une prévention égale sur les chantiers longs comme courts. Les principaux risques sont liés aux chutes de hauteur, mais aussi à la rencontre de réseaux (électricité, gaz…) mal ou pas repérés. La mécanisation d’un maximum de tâches est une priorité permanente des dirigeants de Dufrêne Rénovation.[©Dufrêne Rénovation] Afin d’éviter toute dérive, chaque chantier est préparé avant le début des travaux par l’équipe désignée pour l’intervention. L’établissement du devis est aussi l’occasion d’un repérage des difficultés, des risques inhérents au chantier et de l’établissement d’un plan de travail. Lorsqu'ils débutent les travaux, les compagnons savent quels sont leurs besoins exacts en matériel, en échafaudages et en matériaux. Ce qui évite les pertes de temps dues à des allers et retours plus ou moins répétés chez des fournisseurs. Au préalable, David Dufrêne aura défini les possibilités de mécanisation des manutentions et des postes de travail, ainsi que les matériels nécessaires. Il aura aussi choisi les modes d’exécution en fonction du contexte (lieu habité ou non), afin de réduire au maximum les nuisances liées aux bruits et aux poussières. Enfin, Dufrêne Rénovation aura pris contact avec les différents concessionnaires, afin d’obtenir la communication des implantations des différents réseaux, qu’il s’agisse de l’électricité, du gaz, de l’eau ou des réseaux de communication. Mécaniser tout ce qui peut l’être L’amélioration de la prévention et des conditions de travail passe par le renouvellement régulier des véhicules de chantier, afin de s’assurer d’une fiabilité maximale et de profiter des équipements de sécurité les plus récents.[©Dufrêne Rénovation] Dans un contexte de difficultés de recrutement, la qualité des conditions de travail fait la différence. Les dirigeants de Dufrêne Rénovation mettent un point d’honneur à mécaniser tout ce qui peut l’être, dans une démarche d’élimination des tâches les plus pénibles. Cette approche passe aussi par la recherche de modes opératoires visant à limiter la fatigue des compagnons. « Si la maçonnerie reste plutôt traditionnelle, les travaux de couverture permettent parfois de sortir des poses classiques, qu’il s’agisse de l’emploi de panneaux supports de couvertures ou de la mise en œuvre de sarkings, ajoute Anne Dufrêne.Des solutions intéressantes, en termes de performances, de rapidité de pose et de réduction de la pénibilité, dès lors que la réfection totale d’une couverture doit être envisagée. » Ces opérations impliquent d’intervenir en hauteur et de manutentionner des matériaux lourds. Afin d’optimiser la prévention et les conditions de travail, Dufrêne Rénovation s’est équipée au fur et à mesure de matériels performants : mini-tombereau, mini-pelle, engin de levage télescopique, échafaudages de pied, grues... Ces équipements qui représentent un investissement élevé ont parfois bénéficié d’aides de la Carsat, de l’OPPBTP, de Constructis… Le personnel de chantier - 11 compagnons au total - est titulaire des différents Caces nécessaires à l’utilisation de ces matériels. De plus, une démarche importante a été engagée au niveau de l’outillage électroportatif. L’entreprise loue l’ensemble de son matériel. Les raisons en sont multiples. Le matériel est toujours opérationnel et en parfait état. Les gammes sont sans cesse renouvelées et incorporent les derniers progrès au niveau de l’ergonomie, de la réduction du poids et des vibrations. Ces progrès sont importants, car ils représentent un vecteur significatif de réduction de la fatigue physique et des risques d’apparition de troubles musculo-squelettiques. La prévention, source de productivité Afin d’assurer une quantité suffisante d’échafaudages pour une façade standard, Dufrêne Rénovation a mis au point un système d’échafaudages transportés sur remorque en racks.[©Dufrêne Rénovation] L’amélioration de la protection contre les chutes de hauteur est au cœur du système de prévention. « Nous investissons en permanence dans les échafaudages de pied, afin de ne jamais être en rupture et d’éviter toute intervention à risques, détaille Anne Dufrêne. Ces matériels sont équipés pour le montage/démontage en sécurité. Ils sont utilisés en travaux de façade comme en couverture. C’est la garantie de conditions de travail et de sécurité optimisées, quelle que soit l’importance de l’opération. » Afin d’assurer une quantité suffisante d’échafaudages pour une façade standard, mais aussi pour simplifier les opérations de manutention et de stockage, Dufrêne Rénovation a mis au point un système d’échafaudages transportés sur remorque en racks. L’équipement ainsi préparé permet d'échafauder la façade d'une maison de taille moyenne, avec un débordement suffisant en partie supérieure. Même si quelques compléments sont parfois nécessaires. Le personnel suit des formations régulières de montage/démontage d'échafaudages, sans oublier de nombreuses démarches de prévention engagées sur plusieurs années avec l’OPPBTP. « Ces investissements nous font gagner en productivité, tout en diminuant la pénibilité. L’optimisation de la prévention fait aussi gagner de l'argent »,complète David Dufrêne. Une évidence qui a mis du temps à entrer dans les mœurs, nombre d’entreprises percevant uniquement ces investissements comme des dépenses sans retour. Quatre personnes disposent du Caces de grutier, deux sont habilités à utiliser les engins de terrassement, et la quasi-totalité du personnel dispose de l’habilitation PEMP (plate-forme élévatrice mobile de personnes). Un pompier bénévole et un deuxième en formation assurent une sécurité complémentaire sur les différents chantiers de l’entreprise. Gérard Guérit Retrouvez cet article dans le n° 90 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 271 jours

Total Eren, Eren Industries et Aden créent une coentreprise en Chine

"Basée à Shanghai, l'entreprise se consacrera au développement de solutions durables et innovantes en matière d'efficacité énergétique pour les secteurs commerciaux, industriels et publics en Chine, et participera ainsi activement à la transition énergétique bas-carbone du pays", détaille un communiqué.Total Eren apportera son expérience de producteur indépendant d'électricité d'envergure internationale et son expertise dans les systèmes éoliens, solaires photovoltaïques et hybrides.Eren Industries propose elle à ses clients des solutions pour l'optimisation de la consommation énergétique et le financement des projets de réduction de l'empreinte carbone.Enfin, Aden Group est présent en Asie depuis plus de 20 ans et gère le réseau d'installations de 80 villes chinoises.Ces dix dernières années, "la Chine a multiplié les efforts autour de l'amélioration de l'efficacité énergétique. Le pays s'est aussi fixé des objectifs ambitieux pour accroître la part des énergies renouvelables. La Chine en particulier a connu une évolution rapide d'un système de grandes centrales électriques vers une production d'électricité décentralisée et multidirectionnelle", rappelle le communiqué."Nous sommes à un moment où toutes les pièces du puzzle sont en train de s'assembler en Asie: gestion des actifs, gestion des bâtiments, production et optimisation de l'énergie", relève François Amman, cofondateur et coprésident d'Aden Group, tandis que Joachim Poylo, le président, estime à "1.000 milliards de dollars" le marché de la transition énergétique en Chine.
Il y a 4 ans et 271 jours

Ecoles résilientes 3/5 - Gignac-la-Nerthe éveille les enfants à l’agriculture

A la rentrée 2021 à l’ouest de la métropole Aix-Marseille-Provence, Gignac-la-Nerthe va réceptionner l’école Marie-Maurin. Ce bâtiment à énergie positive entend contribuer à la lutte contre toutes les formes de gaspillage, en résonance avec la politique municipale d’agriculture urbaine. La commune parie sur les économies de fonctionnement pour amortir l’investissement de 5,6 millions d’euros HT, dont 18 % liés à la conception bioclimatique.
Il y a 4 ans et 271 jours

PlanRadar choisit Matthieu Walckenaer pour diriger sa filiale française

Cet acteur en forte croissance sur les marchés de la ConTech et de la PropTech propose une solution numérique simple, rapide et efficace pour gagner en productivité et en rentabilité sur tous types de projets. Pour assurer le lancement et la croissance de sa nouvelle filiale, l'entreprise vient de nommer Matthieu Walckenaer Country Manager France.Matthieu Walckenaer a rejoint PlanRadar le 1er juillet au poste de Country Manager France. Basé à Paris, il a pour mission d'orchestrer le développement des activités en France, un marché stratégique pour l'entreprise basée à Vienne depuis 2013.Âgé de 41 ans et père de 3 enfants, Matthieu Walckenaer est diplômé de Neoma Business School. Il est doté d'une solide connaissance du secteur du numérique acquise ces 7 dernières années en tant que co-fondateur et CEO de Nudge APM, éditeur de logiciels dédiés à la gestion des performances des applications.Cette expérience entrepreneuriale menée avec succès jusqu'à la vente de la startup en 2019 lui a permis de développer une véritable expertise multidisciplinaire, à la fois commerciale, marketing, managériale, financière et technique.Il avait auparavant occupé pendant plus de 11 ans des fonctions commerciales à forte dimension internationale chez SAGEMCOM puis SOLUTIONS 30 dont il a assuré la direction commerciale pendant 4 ans. À ce titre, il a notamment été en charge de l'ouverture de nouveaux marchés, de la création de nouvelles filiales en Europe et mené des opérations de croissance externe.Cette nomination s'inscrit dans la stratégie de développement international de PlanRadar qui compte aujourd'hui 7 bureaux dans le monde et affiche de fortes ambitions sur le marché français de la construction et de l'immobilier.« Il est aujourd'hui primordial de travailler et de communiquer en de multiples sites. C'est pourquoi notre rôle dans la numérisation des secteurs de la construction et de l'immobilier est plus que jamais nécessaire. PlanRadar permet aux équipes de suivre, de se connecter et derésoudre les problèmes, du bureau au terrain. Nous sommes ravis d'accompagner nos clients français, anciens et nouveaux, grâce à une équipe pilotée par Matthieu Walckenaer, pour permettre au secteur d'améliorer la qualité, d'optimiser les coûts et de mener à bien les projets plus rapidement. »-Ibrahim Imam et Sander Van de Rijdt, Co-CEOs de PlanRadar« PlanRadar a su développer une solution très intuitive et facile à utiliser qui répond à des besoins clés dans la gestion des projets de construction et d'immobilier. L'atout majeur de cette solution collaborative est de permettre à nos clients d'être plus efficaces dans leur travail au jour le jour. La digitalisation des sociétés et des équipes de ce secteur leur assurera croissance et succès en gagnant en productivité et en qualité, indispensable en cette période compliquée que nous traversons où il faut se réinventer et s'adapter rapidement. Sans oublier que PlanRadar donne une nouvelle image de marque à nos clients pour leur permettre d'attirer de jeunes talents. »« Toutes ces raisons m'ont poussé à intégrer ce projet très ambitieux auquel je vais pouvoir apporter mes connaissances et mon expérience. La France est un des plus grands marchés en Europe en ce domaine, nous allons investir massivement, en particulier en embauchant des équipes commerciales et marketing ; déjà 3 personnes sont arrivées en août et d'autres recrutements sont en cours. Nous avons en outre la chance de pouvoir nous appuyer sur une équipe dynamique et ultra compétente basée à Vienne qui a su démontrer la force de notre solution avec déjà plus de 8.000 clients dans 45 pays. L'ouverture d'un bureau en France va nous permettre d'être proches de nos nouveaux clients et de créer une très grande communauté d'utilisateurs de PlanRadar en France. »-Matthieu Walckenaer, nouveau Country Manager France de PlanRadar Les chiffres clésPlus de 8.000 clients dans 45 paysPlus de 25.000 projets réalisés chaque semainePlus de 100 collaborateurs7 bureaux dans le mondeUne levée de fonds de 30M€ en 2020
Il y a 4 ans et 271 jours

Rieder : Des façades en béton fibré pour les centrales géothermiques de Paris-Saclay

Avec ses éléments d’angles monolithiques sur les deux centrales énergétiques de ZAC Moulon et de ZAC Polytechnique, la façade en voile de béton concrete skin est non seulement remarquable par son architecture, mais aussi par sa durabilité et ses caractéristiques écologiques qui ont su séduire les concepteurs et les maîtres d’ouvrage. La ZAC Moulon et la ZAC Polytechnique font partie d’un réseau intelligent de chaleur et de froid à basse température utilisant de la géothermie profonde, et contribuent à faire de Paris-Saclay un éco-territoire à énergie positive. Bien évidemment, la maîtrise d’ouvrage a veillé à ce que les matériaux choisis pour ces bâtiments répondent à des exigences de durabilité et longévité. La façade en voile de béton concrete skin n’est pas interrompue par des fenêtres, et souligne ainsi la verticalité du projet et lui confère une apparence futuriste. Les éléments d’angle de la nouvelle gamme formparts fab en béton armé de fibres de verre et aux arêtes nettes impressionnent par leur modernité et leur élégance. Le jeu homogène de joints sur la façade est particulièrement exceptionnel. Les architectes de l’agence Fricout-Cassignol ont d’ailleurs attaché une grande importance à sa réalisation minutieuse. Un détail architectural très intéressant de l’ouvrage de la ZAC Moulon est la transition de la façade vers une partie semi-transparente, où elle se transforme en garde-corps pour le toit végétalisé, qui représente également la signature écologique du bâtiment.Pour Rieder, l’innovation et le développement durable sont deux des moteurs essentiels au perfectionnement constant de ses produits. Les panneaux plats en voile de béton ont une faible épaisseur de treize millimètres et réduisent ainsi le besoin en matières premières. Ils se déclinent en une multitude de coloris, surfaces et textures, et s’adaptent ainsi parfaitement à des projets architecturaux des plus variés. En renonçant à des composants superflus, le caractère et l’aspect authentique du béton est préservé. L’absence de produits polluants et dangereux comme le dioxyde de silicium cristallin en font un bardage dont l’usinage et la manipulation ne présente aucun danger – même en intérieur –, et rendent possible le recyclage complet des panneaux. Allant dans le sens d’une philosophie du zéro déchet, des technologies innovantes aident à optimiser les découpes et les déchets persistants sont en grande partie reconvertis en produits de plus petits formats. Afin de réduire son empreinte carbone, Rieder a mis en place une stratégie qui vise à systématiser l’utilisation d’énergies renouvelables pour la production, le remplacement d’une partie du ciment par d’autres liants plus écologiques et la compensation de l’empreinte carbone inévitable par des mesures supplémentaires sur lesquelles le groupe va communiquer prochainement.Pour en savoir plus, vous pouvez contacter Rieder et visitier le site de Rieder, ainsi que son compte Instagram et sa page Facebook. Visuels : © Rieder La Rédaction
Il y a 4 ans et 272 jours

Bernard Laporte, le patron du rugby français, placé en garde à vue dans une enquête sur ses liens avec Altrad

Le patron du groupe, Mohed Altrad, propriétaire du club de Montpellier et sponsor des Bleus, a également été placé en garde à vue par la police financière, tout comme le patron du Mondial-2023 Claude Atcher, et deux hauts responsables de la Fédération, Serge Simon et Nicolas Hourquet.Laporte est notamment soupçonné d'avoir favorisé le Montpellier Hérault Racing (MHR), en intervenant auprès de la commission d'appel de la FFR pour faire diminuer des sanctions contre le club, fin juin 2017.Le patron du rugby français, 56 ans, est arrivé mardi matin dans les locaux de la Brigade de répression de la délinquance économique (BRDE) à qui le parquet national financier (PNF) avait confié les investigations en 2017, ont indiqué des sources concordantes à l'AFP. Le vice-président de la FFR, Serge Simon, s'est aussi présenté à la BRDE mardi matin, a constaté une journaliste de l'AFP.Laporte, ancien sélectionneur des Bleus (2000-2007), devenu ensuite secrétaire d'Etat chargé des Sports de Nicolas Sarkozy (2007-2009), s'est toujours défendu de toute intervention en faveur de Montpellier, même s'il a reconnu avoir téléphoné au président de la commission, Jean-Daniel Simonet.Des inspecteurs généraux du ministère des Sports ont également établi dans un rapport transmis à la justice que les décisions de la commission ont été "modifiées", entre les 29 et 30 juin 2017. Dans un premier temps, la commission d'appel aurait décidé de confirmer les sanctions prononcées par la Ligue (LNR), soit 70.000 euros d'amende et un match à huis clos, avant de passer à 20.000 euros d'amende et un sursis sur le match à huis clos. Le dossier portait sur le déploiement de banderoles hostiles à la Ligue par les supporteurs du MHR.France 2023Trois mois plus tôt, le groupe Altrad, spécialisé dans les matériels de bâtiment, était devenu le premier sponsor maillot du XV de France, avant de soutenir la candidature française, finalement victorieuse, pour l'organisation de la Coupe du monde 2023.En révélant l'affaire en août 2017, le JDD avait aussi mis au jour l'existence d'un contrat entre BL Communication, une société dirigée par Bernard Laporte, et Altrad Investment Authority, pour un montant de 150.000 euros. Sous la pression, l'ancien manager de Toulon y avait renoncé.Les policiers ont déjà entendu plusieurs protagonistes en 2019, notamment les trois membres de la commission d'appel de la FFR qui devaient juger le dossier le 29 juin 2017.Sur fond de vives tensions entre la Ligue de rugby et la Fédération, l'affaire avait gâché le début de mandat de Bernard Laporte, élu le 3 décembre 2016. Elle risque maintenant de gêner la dernière ligne droite de sa campagne auprès des clubs, chargés de le départager face à son principal opposant, Florian Grill.Lundi, l'avocat de Laporte, Me Jean-Pierre Versini-Campinchi, a dénoncé le "timing" de cette convocation, une "ingérence judiciaire" dans le processus électoral selon lui."intérêt supérieur"Dans une interview au Parisien, Bernard Laporte avait assuré qu'en appelant Simonet, il avait simplement souhaité lui "donner un éclairage politique" sur les tensions dans le rugby et qu'il fallait apaiser la situation au sein du rugby professionnel.Jean-Daniel Simonet, lui, a assuré aux inspecteurs du ministère des Sports que sa commission n'en était qu'au stade d'une "hypothèse" de décision le 29, d'après lui trop sévère.Interrogé par le tribunal lors d'un procès en diffamation perdu par le patron de la FFR contre L'Equipe, le 9 mai 2019, Philippe Peyramaure, un des membres de la commission d'appel, avait livré un témoignage beaucoup moins consensuel.D'après lui, Simonet l'avait appelé au matin du 30 juin pour lui raconter le coup de fil d'un Bernard Laporte "pas content", qui lui "avait dit, de manière plutôt brutale, qu'Altrad était un sponsor important de l'équipe de France (premier sponsor maillot), un soutien important pour la candidature" victorieuse de la France à l'organisation du Mondial-2023 "et qu'il fallait supprimer ces sanctions". "C'est l'intérêt supérieur du rugby", aurait ajouté Jean-Daniel Simonet, selon cette version.
Il y a 4 ans et 272 jours

Les emplois délocalisés à l’étranger ne reviendront plus selon des économistes

"La France a de vraies capacités d'avoir des relocalisations industrielles", déclarait à la mi-septembre le ministre de l'Économie Bruno le Maire à l'occasion de la tenue d'un Conseil national de l'industrie.Depuis la crise financière de 2008, la question du "made in France" revient régulièrement sur la table. Car "la France a été le pays européen qui a le plus délocalisé", avec un million d'emplois industriels perdus entre 2000 et 2016, a rappelé le 12 septembre lors des Rencontres économiques d'Aix-en-Provence la ministre déléguée à l'Industrie Agnès Pannier-Runacher.Avec la crise actuelle, les annonces de fermetures de sites ou de réduction d'effectifs dans l'industrie vont se multiplier, soit en conséquence directe de l'épidémie de coronavirus comme chez Airbus, soit par manque de compétitivité comme chez Bridgestone à Béthune (Pas-de-Calais).Aussi le gouvernement a-t-il prévu dans son plan de relance des aides à la modernisation et à la localisation, mais celles-ci devront être "soutenables économiquement" pour ne pas financer des projets à perte, affirme la ministre.Robotisation"Dans tous les pays riches, l'industrie est un secteur en diminution en terme d'emplois parce qu'il a des gains de productivité plus élevés que le reste de l'économie, notamment du fait de l'automatisation qui est importante", explique Vincent Vicard, économiste au Cepii (Centre d'études prospectives et d'informations internationales).Pour El Mouhoub Mouhoud, professeur d'économie à Paris-Dauphine, il n'est pas toujours nécessaire de distribuer des aides publiques.C'est le cas dans les secteurs "pour lesquels il n'y a pas d'obstacle technique à la robotisation des chaînes d'assemblage et de montage", par exemple "l'automobile, la mécanique, y compris le bois, l'ameublement", détaille l'économiste.Au contraire, des industries intenses en main d'oeuvre et dont les tâches ne sont pas robotisables ne reviendront pas en France."On va recréer des emplois, mais pas ceux qu'on a perdus en délocalisant", résume M. Mouhoud, auteur d'un livre intitulé "Mondialisation et délocalisation des entreprises" (éd. La Découverte).Il existe "des secteurs sur lesquels on avait un savoir-faire qu'on a plus du tout parce que les technologies ont évolué", comme celui des écrans pour téléviseurs, relève pour sa part Paul-Adrien Hyppolite, auteur d'un récent fascicule intitulé "Relocaliser la production après la pandémie ?".Dans l'électronique notamment, "les parts de marché ont été gagnées par des géants asiatiques. Faire produire par un producteur français ou européen ne serait pas du tout envisageable", argue-t-il, mais "on pourrait envisager d'attirer en Europe des producteurs asiatiques qui sont en pointe sur ces technologies", comme le font les Américains avec une usine du géant taïwanais de la sous-traitance Foxconn dans le Wisconsin.Cibler les aidesPour M. Mouhoud, ce qui fait sens en matière d'aides publiques, c'est "la politique d'investissement dans l'innovation, d'aide à la recherche, parce que ça aide aussi ces entreprises à devenir plus efficaces."Dans l'industrie, les coûts du travail ne sont pas déterminants et "ne permettent absolument pas d'expliquer la différence entre la France et l'Allemagne", même si on intègre le poids de la fiscalité, estime pour sa part M. Vicard, pour lequel entrent davantage en considération des questions d'organisation comme le choix de nombreux grands groupes français de produire à l'étranger plutôt qu'en France.En France, les aides pour réduire le coût du travail ont jusqu'ici été inefficaces. Une étude que vient de publier France Stratégie, une agence qui conseille le gouvernement, montre que le Crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi (CICE), a coûté en 2016 quelque 18 milliards pour créer seulement 100.000 emplois, soit 180.000 euros par poste.Et le CICE a eu "un impact sur les exportations et l'investissement nul", toujours selon M. Vicard.
Il y a 4 ans et 272 jours

Louis Natter élu à la présidence de l’Unicem entreprises engagées

Directeur du développement durable et des affaires publiques de Cemex France, Louis Natter a été élu président de l’association Unicem entreprises engagées. [©Unicem] Directeur du développement durable et des affaires publiques de Cemex France, Louis Natter a été élu président de l’association Unicem entreprises engagées. Il succède à Sylvie Lebreton qui assurait cette fonction depuis 2017. Louis Natter souhaite poursuivre la dynamique impulsée sous l’ancienne présidence et continuer à faire grandir l’association. En y intégrant davantage de PME/TPE. « Il est indispensable de faire rayonner les actions de l’association auprès de ces différents interlocuteurs. […] Ceci, pour atteindre leurs objectifs en matière environnementale et sociétale », souligne Louis Natter.  Son parcours Et de poursuivre : « De nombreux outils se développent dans le monde de l’évaluation RSE, car chacun a besoin de solidifier son organisation et de réduire les risques. En maîtrisant sa performance environnementale et/ou RSE. Avec notre démarche sectorielle RSE, nous disposons déjà des moyens importants pour maîtriser nos risques. Il est désormais nécessaire d’établir des passerelles entre les démarches d’évaluation des uns et des autres. Et ce, pour plus de lisibilité et de reconnaissance. Le label sectoriel RSE et la gestion de ce dernier sont des chantiers importants qui répondront à ce besoin ». Géographe de formation, Louis Natter débute sa carrière au sein de la Unicem en 2003, où il exerce plusieurs missions dans les domaines de l’environnement et du développement durable. En 2013, il rejoint Cemex. Il participe à différents projets de l’entreprise en matière de développement, d’innovation, de marketing, de RSE et d’affaires publiques.
Il y a 4 ans et 272 jours

Suez va investir 1 milliard d’euros en France

Suez et son partenaire Vauban Infrastructure Partners ont décidé de doubler le financement de leur société commune - Suez Investissement Local pour de nouveaux projets dans le secteur de l’eau, de l’assainissement et des déchets.
Il y a 4 ans et 272 jours

A Villejuif, WRA transforme le microfoncier en ‘Friendly building’

Fin 2019, les Wild Rabbits Architectes (WRA) ont livré à Villejuif (Val-de-Marne), dans un tissu urbain complexe, un petit bâtiment visant à accueillir 17 étudiants. Bien loin de l’image du triste clapier pour étudiants, la dent creuse ainsi habitée fait désormais office de trait d’union architectural et social. Visite guidée. Le temps de marcher les […] L’article A Villejuif, WRA transforme le microfoncier en ‘Friendly building’ est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 272 jours

Repenser le métier d’architecte, nouveaux champs de compétence ?

Du global au local, faire système paraît, mieux que l’autoroute, un chemin tracé pour la profession. L’interview de Véronique Biau publiée par Chroniques le 1er septembre 2020(1), qui portait sur son long travail de recherche sur les évolutions de la profession, a suscité des réactions contrastées révélatrices d’une fracture générationnelle. De fait, de cet entretien, […] L’article Repenser le métier d’architecte, nouveaux champs de compétence ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 272 jours

Quels sont les aspects essentiels de l'enveloppe d'un bâtiment pour garantir sa performance énergétique ?

Les communications sur la performance énergétique des bâtiments se multiplient ces derniers mois (propositions de la convention citoyenne pour le climat, appel du Haut Conseil pour le Climat, annonces gouvernementales…).Pour ce Groupe de Travail du Pôle de compétitivité Fibres Energivie, une enveloppe constituée d'une isolation homogène et de ponts thermiques traités efficacement permet de diminuer considérablement la consommation énergétique. Les usagers voient ainsi leur "reste à vivre" augmenter. D'ailleurs, selon une étude menée par FLIR Systems, les ménages français gaspillent 11,5 milliards d'euros chaque hiver en raison d'une mauvaise isolation (401 € en chauffage pour un foyer moyen en France). De même, selon l'Observatoire national de la précarité énergétique (ONPE), 6,8 millions de personnes se trouvent en situation de « précarité énergétique », c'est-à-dire que leur facture énergétique pèse pour plus de 8 % de leur revenu. Enfin, la rénovation des passoires énergétiques supposerait une économie moyenne dans les dépenses des ménages à hauteur de 1.100 €/an, soit environ l'équivalent d'un Smic net par an. Le dispositif prévu par la loi n° 2009-323 du 25 mars 2009, dite loi MOLLE, permet au bailleur qui réalise des travaux d'économie d'énergie dans les parties privatives communes d'un bâtiment, de demander aux locataires une « contribution pour le partage des économies de charges ». Cette contribution figure dans la quittance sur une ligne spécifique appelée communément « 3ème ligne de quittance ». Ainsi, le bailleur dispose de revenus supplémentaires pour financer les opérations de rénovation futures destinées à réaliser des économies d'énergie. Celles-ci sont évaluées selon une méthode de calcul conventionnel de la consommation d'énergie résultant d'une étude thermique (dite réglementaire), et servent de base au calcul de la contribution demandée au locataire (avec un plafond fixé par la loi à 50% des économies d'énergies). Cependant, pour le Groupe de Travail, il s'avère primordial de rappeler que cette méthode de calcul comporte des incertitudes sur la représentativité réelle des consommations. Les bailleurs sociaux s'exposent alors au risque de devoir faire face à des situations conflictuelles avec : Une économie d'énergie non atteinte, ne permettant pas de concrétiser la réduction de charge escomptée ; Une 3ème de quittance injustifiée aux yeux des locataires ; Un montant de loyer sensiblement identique, voire en augmentation ; Une possible diminution du reste à vivre des foyers induisant une croissance des impayés pour le bailleur social ayant engagé des travaux. Cette possibilité offerte aux bailleurs représente un levier financier important, mais peut rapidement devenir contreproductive lorsque les méthodes de calcul ne sont pas représentatives des performances réelles du bâtiment après travaux. Ainsi, la difficulté récurrente à estimer précisément le gain énergétique, et à garantir la performance énergétique d'un projet de réhabilitation demeure un obstacle majeur pour définir avec assurance les économies atteintes en exploitation. Le bailleur social reste sous le joug d'une contre-référence tant énergétique que financière, pouvant aller jusqu'à hypothéquer sa capacité financière à poursuivre sa stratégie de rénovation sur le moyen terme.« Il semble que notre monde actuel ait pris conscience des enjeux d'aujourd'hui mais également ceux de demain. Cela est d'autant plus précieux que cette prise de conscience émane directement des citoyens. Il est donc primordial que les décisions, qui se prennent actuellement, positionnent le curseur au bon endroit. La rénovation des bâtiments existants est le levier majeur d'un des secteurs les plus énergivores de notre société. C'est en ce sens qu'elle doit être appréhendée plus en profondeur que par le passé : promouvoir et favoriser très en amont une Isolation Thermique par l'Extérieur « durablement » pérenne. Des garde-fous doivent être conservés, renforcés, intégrés à notre réglementation, mais la démarche doit aller plus avant en faisant de la mise en œuvre un point clé. Nous devons faire de l'accompagnement et la formation professionnelle aux métiers de l'ITE, l'un des socles de nos ambitions… » -Stéphane Lambert, Président du SNBVILa valeur « verte » des logements Au-delà des conséquences positives sur le reste à vivre des foyers, une enveloppe de qualité permet également de maintenir, voire d'augmenter la valeur patrimoniale d'un bien, dite la « valeur verte » des logements. En 2018, les notaires ont indiqué que les maisons de classe F-G se sont vendues, en moyenne, de 6 à 19 % moins cher que les maisons de classe D. A contrario, celles de classe A-B affichent, en moyenne, un prix de 5 à 11 % supérieur à celles de classe D.Les enjeux liés à la future RE2020"Afin de garantir une qualité homogène de l'enveloppe du bâti depuis la conception, la réalisation et pendant l'exploitation du bâtiment, il est nécessaire d'utiliser des indicateurs réglementaires ambitieux dans la prochaine RE2020. Par exemple, l'isolation en rénovation est un concentré de cas particuliers. Il convient donc d'être en mesure d'évaluer les singularités alors que la bibliothèque RT actuelle est à vocation générique ! Il est nécessaire de mettre en place des garde-fous cohérents avec les objectifs ambitieux de performance en exploitation pour réussir la transition énergétique des bâtiments. Pour les opérations de constructions neuves, les méthodologies d'évaluation des déperditions thermiques laissent toujours place à des approximations favorables à l'adoption de solutions techniques peu performantes sur le plan thermique, privilégiant une rationalisation financière des projets. Ainsi, nombre de solutions « optimisées » induisent en réalité des déperditions thermiques notables dégradant de plus de 50 % les Uparois, sans générer la moindre alerte de non-conformité réglementaire. Ces bâtiments neufs prétendant atteindre une cible de besoin de chauffage à hauteur de 30 kWh/m².an seront plutôt, en réalité, à des niveaux proches de 50 kWh/m².an, générant des surcoûts en exploitation, et des risques pour le confort et la santé des occupants" (cf. CP précédent du Groupe de Travail sur la Qualité de l'Enveloppe). -David Corgier, cabinet d'ingénierie énergétique MANASLUDans le cadre de l'élaboration de la future RE2020, le Groupe de Travail souhaite appuyer les priorités suivantes concernant les indicateurs réglementaires : Le besoin Bioclimatique (Bbio) doit être équivalent à : standard RT2012 - 40 % ; La Consommation d'énergie primaire (Cep) doit être équivalente à : standard RT 2012 - 20 % (et suppression de toute dérogation) ; Les seuils pour limiter les ponts thermiques doivent être conservés voire renforcés ; Réintroduction de bibliothèques de bases de données de ponts thermiques mises à jour à partir des configurations et des méthodes constructives actuelles ; Mise en place d'un suivi de la performance énergétique. Dans certains cas, une procédure de commissionning doit être rendue obligatoire (petite enfance, EHPAD, santé, éducation…).Pour le Groupe de Travail qui milite en faveur d'une qualité homogène de l'enveloppe du bâtiment, il est impératif : d'adopter une approche globale pour l'efficience des opérations (coût global, 3ème ligne de quittance, reste à vivre, durabilité…). de conserver et introduire des indicateurs et des garde-fous cohérents dans la RE2020 pour la construction neuve et adapter la règlementation à la rénovation (Bbio, Cep, garde fous sur les ponts thermiques, Bases de données actualisées, méthode de commissionning). de garantir les moyens de la rénovation et de la construction neuve : mettre en place des obligations de moyens mais surtout de résultats associés à une évaluation objective de la performance (réelle et vérifiée).
Il y a 4 ans et 272 jours

Grand Paris : une nouvelle enveloppe de 3Mds€ de crédits bancaires

BANQUE. La Société générale mobilise de nouveaux fonds afin de financer des projets en lien avec le Grand Paris. Acteurs publics, promoteurs, aménageurs, entreprises de BTP peuvent dès à présent les solliciter.
Il y a 4 ans et 272 jours

L'impact de la crise sanitaire sur les entreprises de la transition énergétique et numérique

Tous marchés confondus, le chiffre d'affaires global réalisé en France en 2019 s'est élevé à 20 Mds €. À l'international, la profession représente un chiffre d'affaires de 7,1 Mds € (6,6 Mds € en 2018). Les 260 entreprises adhérentes du SERCE emploient près de 135 000 salariés, répartis sur plus de 900 sites en France.La croissance de l'activité est restée principalement soutenue par les marchés de réseaux et d'infrastructures qui ont poursuivi leur progression de 7,7% en 2019, malgré un fléchissement au dernier trimestre (7,8% en 2018). Sur le marché de l'industrie l'activité est restée dynamique avec une progression de 5,6% (4,4% en 2018). Le marché tertiaire a quant à lui connu une nette accélération en progressant de 5% en 2019 (contre 1,2% en 2018).2020-2021 : la crise sanitaire porte un coup d'arrêt brutal à l'activitéAu début de l'année 2020, la tendance haussière observée en 2019 semblait devoir se poursuivre jusqu'à ce que la crise sanitaire ne porte un coup d'arrêt à l'activité, tous secteurs confondus.Si la reprise de l'activité amorcée début mai a permis de retrouver quasiment un plein niveau d'activité début juillet, la crise impacte fortement les entreprises.Du point de vue économique, les surcoûts des chantiers liés à la mise en place des mesures sanitaires pèsent sur la rentabilité prévue des projets. Le partage de ces surcoûts a donné lieu à de longs échanges avec les maîtres d'ouvrage. Des solutions ont été trouvées et certains maîtres d'ouvrage ont fait preuve d'une réelle compréhension des difficultés auxquelles font face les entreprises mais parfois le dialogue est plus difficile.Les perspectives de la fin de l'année et surtout du 1er semestre 2021 restent incertaines. Les reports de commandes et la crise couplée aux élections municipales, retardant le lancement des appels d'offres, ont rétréci sérieusement l'horizon des entreprises. Le plan de relance annoncé par le gouvernement devrait bénéficier aux territoires, notamment dans le champ de la transition énergétique. Il faut espérer que l'ensemble des acteurs économiques, dont les collectivités, se mobilisent à court terme pour apporter des effets rapides sur le carnet de commandes du secteur du BTP.2019, une année bien orientée pour l'ensemble des marchésEn 2019, la part de l'activité réalisée sur le marché tertiaire s'est légèrement repliée à 36% (37% en 2018). L'activité est principalement soutenue par la commande privée et certaines régions plus dynamiques, telle que l'Île de France même si les chantiers du Grand Paris ou des “Jeux olympiques” ne génèrent pas encore de lots techniques. Des grands projets en santé et en hôtellerie devraient permettre de soutenir l'activité en 2021 - 2023 (PACA, Bretagne, Pays de la Loire…).Avec 23,5% de part de marché, le volume d'activité réalisée dans l'industrie progresse légèrement en 2019 (23% en 2018), portée par les investissements.Toutefois cette tendance est à nuancer en fonction des bassins d'emplois et des secteurs d'activité dont les plus dynamiques sont la pharmacie, l'IAA, la défense…Les travaux d'infrastructures et de réseaux représentent toujours une part importante de l'activité des entreprises du SERCE à hauteur de 38%, comme en 2018.Sur le segment des “Lignes et réseaux électriques”, les investissements prévus par le Réseau de Transport d'Électricité, le gestionnaire du réseau de distribution électrique (Enedis) et les syndicats d'énergie ont généré un volume d'activité important. Les entreprises déplorent toutefois la lourdeur administrative et les délais cachés, qui pèsent sur leur trésorerie. Le renouvellement des équipes à la suite des élections municipales de 2020 aura un impact sur la composition des syndicats d'énergie et pourrait contribuer à fragiliser l'activité.Dans le domaine du numérique, le marché du déploiement de la fibre optique est entré dans sa phase d'accélération, ce qui rend plus prégnante la question de la pénurie de compétences.En associant l'énergie et le numérique, les entreprises du SERCE proposent de nouvelles solutions pour interagir avec les équipements de la ville et adapter, en temps réel à la situation analysée : éclairage public intelligent, mobilier urbain connecté, gestion du stationnement et horodatage, bornes de recharge, régulation de la circulation… Leur savoir-faire d'intégrateurs leur permet de proposer de nombreux services associés (pilotage à distance du réseau, monétique, application mobile, hypervision) et contribue à élaborer et déployer les systèmes sur lesquels repose la SmartCity.Dans le domaine de la mobilité, la mise en oeuvre du programme de rénovation du réseau ferré et le projet du Grand Paris Express assurent un volant d'activité dynamique. La publication fin 2019 de la Loi d'Orientation sur la Mobilité (LOM) encourage le développement de solutions de mobilité propre et durable, de plus en plus souvent connectée et partagée (covoiturage, autopartage, etc…) et favorise la multimodalité.
Il y a 4 ans et 272 jours

MaPrimeRénov : les acteurs du chauffage bois veulent un meilleur traitement des dossiers

CRITIQUE. Le déploiement de MaPrimeRénov est-il limité par des soucis techniques à répétition et de manque de formation de certains sous-traitants ? C'est ce qu'affirme le syndicat français des chaudiéristes biomasse (SFCB). Eric Trendel, son président, en dit plus à Batiactu.
Il y a 4 ans et 272 jours

Sur la rénovation comme sur le neuf, les architectes "attendent des actes"

RELANCE. Jean-Michel Woulkoff, président de l'union syndicale des architectes (Unsfa), a réagit, en marge de la journée de rentrée du mouvement HLM, au discours de la ministre Emmanuelle Wargon. S'il le juge ambitieux sur certain points, il demande surtout à connaître les conditions de réalisation des objectifs.
Il y a 4 ans et 272 jours

Chronique du Geek – Les applications de septembre 2020

Une partie du travail de l’architecte ne s’effectue pas toujours à l’agence, peu s’en faut. Entre les visites et suivis des chantiers, la reconnaissance des lieux des futurs projets, sans parler des déplacements pour les rendez-vous professionnels, le Geek propose en cette fin septembre cinq applications pour vous accompagner, vous guider et vous détendre lors […] L’article Chronique du Geek – Les applications de septembre 2020 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 272 jours

EnergieSprong : Myral récompensé lors des Prix de l’Innovation

A l’occasion du Forum Innovation EnergieSprong, le Secrétaire d’État au logement a remis à Myral et à ses partenaires, Kingspan et Maître Cube, le prix de 2e lauréat dans la catégorie « Façades collectives » de ce concours d’innovation pour des solutions de rénovation à zéro énergie garantie. Les principaux atouts de cette solution sont sa faible épaisseur, sa légèreté et sa performance, le tout étant parfaitement adapté pour réaliser un maximum d’économies d’énergie sur l’ensemble du cycle de vie d’un bâtiment. Avec ce prix, Myral va pouvoir encore plus valoriser et faire connaître sa solution d’isolation thermique par l’extérieur. Elle va désormais pouvoir être mise en avant par les bailleurs sociaux labellisés EnergieSprong. Avant la remise des prix, un certain nombre de projets avaient déjà anticipé la démarche EnergieSprong. C’est notamment le cas du projet Podélia à Nantes. Le prochain objectif est désormais de concrétiser davantage de projets sur le label EnergieSprong qui a su susciter l’intérêt de nombreux bailleurs sociaux. Avec le prix de 2e lauréat, Myral et ses partenaires ont désormais une belle valeur ajoutée à faire valoir. Ils ont été reconnus par un jury d’experts comme étant un groupement capable de proposer une solution parfaitement adaptée aux enjeux de la massification.
Il y a 4 ans et 272 jours

France Relance Bâtiment : de nouvelle précisions ... et conditions

Le gouvernement met 7,4 milliards d’euros sur la table pour le logement pendant deux ans, détaille un peu son offre et, en échange, demande aux Fédérations du Bâtiment de prendre des engagements.
Il y a 4 ans et 272 jours

Le Groupe VELUX s’engage pour une « neutralité carbone à vie »

Le Groupe VELUX s’engage à réduire ses futures émissions de carbone et à capturer l’équivalent de son empreinte carbone historique depuis sa création en 1941, représentant un total de 5,6 millions de tonnes de CO2. Pour cela, il s’est allié au WWF pour mettre en œuvre des projets de reforestation afin de lutter contre le réchauffement climatique. Ces projets ont pour but de stopper la détérioration d’habitats naturels et ainsi de préserver la biodiversité et d’améliorer les conditions de vie au niveau local. David Briggs, PDG du Groupe VELUX, a déclaré : « La planète fait aujourd’hui face à une crise grave en termes de climat et de biodiversité, ce qui nécessite des mesures exceptionnelles. En accord avec nos valeurs d’entreprise, nous cherchons à faire toujours plus que la majorité ; c’est donc pour cela que nous avons développé l’engagement de « neutralité carbone à vie ». Cet engagement novateur implique un partenariat de 20 ans avec le WWF International, afin de capturer l’équivalent de nos émissions de carbone historiques d’ici 2041. Nous réduirons également significativement nos futures émissions de CO2… » Le partenariat avec le WWF s’inscrit plus largement dans la stratégie de développement durable « Sustainability Strategy 2030 » du Groupe VELUX afin de devenir une entreprise neutre en émission de CO2 d’ici 2030. Cet objectif de réduction des émissions se base sur la science, grâce au programme « Science Based Targets Initiative ». Afin de révolutionner son activité, le Groupe VELUX accélère ses investissements dans l’efficacité énergétique au sein de ses sites de production, la transition vers les énergies renouvelables et l’achat d’électricité 100 % renouvelable. Il s’est également engagé à modifier de manière significative la façon dont il effectue la sélection et l’achat de matériaux.
Il y a 4 ans et 272 jours

La crise sanitaire dope le marché des piscines privées

Ce couple de Seine-et-Marne visait New York et Budapest, mais "nous avons été contraints de réorganiser nos vacances en France et notre seul critère était une maison avec piscine", explique Joachim Lathuiliere, 28 ans."Dès le retour de congés, j'ai pris contact avec des piscinistes et on a signé dans les jours suivants", poursuit-il. "Partir en vacances sans visée touristique mais uniquement pour avoir une maison avec piscine ce n'est pas forcément le plus rentable, autant l'avoir directement chez soi". La construction débutera en octobre et le bassin devrait être prêt pour l'été.Restriction des déplacements, volonté de passer de bons moments à la maison: de nombreux Français sautent le pas. "Le nombre de commandes de piscines a été multiplié par deux voire par trois par rapport à 2019 pendant la même période", rapporte Gilles Mouchiroud, président de la Fédération des professionnels de la piscine et du spa."Météo favorable pendant le confinement et inquiétudes des familles françaises sur ce qui peut se passer demain avec la crise sanitaire : il y a vraiment eu une réflexion autour du bien-être chez soi", poursuit-il. "Les familles sont de plus en plus attachées à aménager leur chez-eux. La piscine est un produit vraiment adapté".Le nombre de bassins livrés pour l'année 2020 a augmenté de 6% sur un an, selon la Fédération. Le prix moyen d'une piscine en 2020 se situe entre 19.000 et 22.000 euros, pour 37 mètres carrés."La tendance est favorable. Notre filière est préservée de la crise, même si nous restons prudents", assure le président de la FPP.Le baromètre du printemps 2020 de la Fédération indique une augmentation de 3% du chiffre d'affaires piscine. Le chiffre d'affaires négoce, c'est-à-dire ce qui concerne les équipements accessoires comme les filtres à eau et l'électrolyse, a quant à lui augmenté de 9,5%, selon M. Mouchiroud.En 2019, le seuil des 2,5 millions de piscines privées de plus de 10 mètres carrés a été dépassé, indique la FPP. 2020 pourrait être la cinquième année consécutive de progression du marché de la piscine. En 2019, le secteur avait enregistré une hausse de 11% de son chiffre d'affaires.L'essor de la locationLa location de piscines privées a, elle aussi, le vent en poupe. Sur le même principe qu'Airbnb pour les logements, des propriétaires de piscines louent leurs bassins à la journée.Patricia Sase est propriétaire d'une piscine à Choisy-le-Roi, dans le Val-de-Marne. Avec son mari, elle s'est inscrite sur le site Swimmy, la première plateforme de location de piscines entre particuliers en France, en juin dès la sortie du confinement.A 20 euros par personne la demi-journée, son agenda de location ne désemplit pas. "Pour la plupart, ce sont des gens qui ont l'habitude de partir en vacances, mais cette année ils n'ont pas pu", affirme-t-elle."On s'est gardé deux jours par semaine, le mardi et le mercredi pour pouvoir en profiter, sinon tous les jours étaient complets", assure Patricia.Le couple de sexagénaires a prévu d'interrompre les locations à partir du 15 septembre, alors qu'il y a encore de la demande. "On nous a écrit pour le mois d'octobre, et même pour avril!".Le site Swimmy, concurrencé par LouerUnePiscine.com, a connu un énorme pic d'activité à la sortie du confinement. "Sur notre chiffre d'affaires de mai 2020, on a fait fois 30 par rapport à mai 2019", affirme Raphaëlle de Monteynard, fondatrice de la start-up. "On a multiplié par quatre notre chiffre d'affaires sur toute la saison"."Après le confinement, on était dans une volonté de refaire des événements entre amis ou en famille", poursuit Raphaëlle de Monteynard.Le nombre de propriétaires et locataires inscrits sur la plateforme est resté croissant tout au long de l'été. Le site compte désormais plus de 110.000 inscrits contre 45.000 au début de la saison.
Il y a 4 ans et 272 jours

Knauf France va construire une nouvelle usine de plaques de plâtre à Fos-sur-Mer

N°1 mondial de la plaque de plâtre, le Groupe Knauf a annoncé l’acquisition, en partenariat avec le Groupe F-SCOTT, de BMG Holding France, société porteuse d’un projet industriel pour la production de plaques de plâtre en France. Cette opération, pilotée par Dominique Bossan, CEO Knauf Western Europe & Latin America, et Christine Muscat, Directeur Général de Knauf France, permet de déclencher immédiatement un investissement industriel de 60 millions d’euros, pour la construction d’une usine de plaques de plâtre basée sur le port de Fos-sur-Mer (13). La pose de la première pierre est prévue d’ici fin 2020. Cette nouvelle usine, dotée des outils de production de dernière génération, sera opérationnelle fin 2022 pour une commercialisation dès début 2023.
Il y a 4 ans et 272 jours

Expoprotection et Preventica reportés en 2021

Ces deux rendez-vous autour de la santé et de la sécurité au travail, prévus pour l'un en septembre et pour l'autre en novembre, n'auront finalement pas lieu cette année.
Il y a 4 ans et 272 jours

Après avoir eu le vent en poupe en 2019, l'éolien demande de nouvelles mesures en 2020

RENOUVELABLES. Raccordements supplémentaires, production annuelle cumulée, créations d'emplois : tous les indicateurs de la filière éolienne ont enregistré une progression en 2019. Les professionnels du secteur mettent en avant ces bonnes tendances pour demander aux pouvoirs publics de lever les freins au développement des parcs.
Il y a 4 ans et 272 jours

Travaux publics : l'activité peine toujours à se redresser

CONJONCTURE. Les derniers chiffres publiés par la FNTP pour le mois de juillet 2020 montre que la reprise reste lente pour le secteur. Et certains signaux n'engagent pas à renouer avec l'optimisme à court terme.
Il y a 4 ans et 272 jours

Le réseau Tryba poursuit sa croissance

D'ores et déjà, Tryba a en cours : 14 ouvertures et 7 reprises de fonds de commerce, pour le deuxième semestre 2020. 36 secteurs géographiques sont encore disponibles sur toute la France, en concessions classiques ou en “Carré”.Tryba, marque nationale, stable et pérenne, affiche une dynamique d'expansion forte, depuis sa création, il y a 40 ans. Le réseau, forgé sur les 4 valeurs fondamentales de la marque (l'excellence, la performance, le respect mutuel et l'engagement), compte plus de 300 Espaces-conseil, répartis sur toute la France. S'appuyant sur la puissance industrielle du Groupe Atrya, groupe familial alsacien, qui figure parmi les leaders européens dans le domaine de la fabrication et de la distribution de menuiseries PVC, bois et aluminium, Tryba est la fois concepteur, fabricant, et installateur. Au final, ces 3 métiers constituent bien 3 expertises au service des clients de la marque.Pour répondre davantage encore aux attentes des consommateurs en quête de fabrication française, de durabilité et d'éco-performance, Tryba a continué d'étoffer son maillage territorial en ouvrant 12 Espaces-conseil en France au premier semestre 2020.Très bon démarrage en 2020 : 12 ouvertures au 1er semestre 2020Tryba souhaite être au plus près des consommateurs et rendre ses magasins accessibles à tous. Les 12 ouvertures du premier semestre 2020 viennent donc renforcer la proximité locale de la marque sur des secteurs jusque-là disponibles et trop éloignés des autres magasins du réseau.Répartis sur toute la France, au travers de 10 régions et 12 départements, les 12 ouvertures de ce début d'année, malgré un contexte imprévu dû au confinement de début 2020, sont en parfaite corrélation avec les ambitions de croissance de la marque, et vont permettre de dépasser les objectifs de développement fixés pour l'année 2020. Preuve que l'enseigne Tryba attire toujours et encore de nouveaux chefs d'entreprise !Dorénavant, les clients pourront aller à la rencontre de Tryba dans les villes suivantes : En magasin principal :Vernon (27),Pontivy (56),Saint-Nazaire (44),Vierzon (18),Cannes (06)En magasin secondaire :Dol-de-Bretagne (35),Riom (63),Marignane (13),Fargues-Saint Hilaire (33),Lannemezan (65),Champagne-au-Mont-d'Or (69),Boulogne-sur-Mer (59)En conclusion, pour ce premier semestre 2020, malgré le contexte particulier du début de l'année, Tryba a créé 5 Espaces-conseil à titre de magasin principal, et 7 magasins secondaires. La fin d'année devrait être toute aussi dynamique, puisqu'au total ce seront 25 nouveaux Espaces-conseil qui devraient ouvrir sur la totalité de l'année 2020.36 villes encore disponibles sur toute la France :Cependant, Tryba, en tant que réseau mature comptant le plus grand nombre de points de vente de menuiseries en France, ne souhaite pas s'arrêter là ! Avec 36 secteurs géographiques encore disponibles sur 9 régions, la marque au célèbre Sumo ambitionne de s'implanter, autant dans des grandes villes que dans des villes de taille moyenne.Elle souhaite installer un Espace-conseil dans les zones de chalandise de 150000 à 200000 habitants, comme à Laval ou Nevers, ou un « Carré Tryba », dans des zones de chalandises de 70000 habitants, comme à Aurillac ou Châtellerault.En effet, le modèle de franchise participative, instauré en 2013, dénommé « Carré Tryba », continue de se développer. On en compte aujourd'hui 18, dont 10 sont devenus concessionnaires, en 3 ans maximum.Véritables opportunités, ces secteurs géographiques exclusifs ont pour but de permettre à des entrepreneurs motivés de devenir leur propre patron tout en étant formés et accompagnés par un réseau solide, qui a prouvé sa pérennité, sa rentabilité et sa notoriété.Secteurs exclusifs disponibles pour l'implantation d'espaces-conseil en 2020 – 2021:Hauts-de-France : Lille (59) et Abbeville (80)Normandie : Cherbourg (50), Saint Lô (50), Dieppe (76) et Rouen Sud (76)Bretagne : Rennes (35)Pays de la Loire : Laval (53) et Les Herbiers (85)Nouvelle-Aquitaine : Bressuire (79), Niort (79), Agen (47), Villeneuve sur Lot (47), Mont-de-Marsan (40) et Angoulême (16)Grand Est : Charleville-Mézières (08), Epinal (88), Chaumont (52) et Bar-le-Duc (55)Auvergne - Rhône-Alpes : Montluçon (03) et Roanne (42)Bourgogne - Franche-Comté : Nevers (58) et Beaune (21)Secteurs disponibles pour l'implantation de "Carré" Tryba :Normandie : Coutances (50)Bretagne : Redon (35)Pays de la Loire : Mayenne (53) et Pornic (44)Centre : Loches (37), Chinon (37) et Châtellerault (86)Nouvelle-Aquitaine : Cognacq (16)Grand Est : Boulay-Moselle (57)Auvergne - Rhône-Alpes : Moulins (03) et Aurillac (15)Bourgogne - Franche-Comté : Fontaine-les-Dijon (21) et Avallon (89)La marque offre également de nombreuses opportunités de reprises sur tout l'hexagone, aux entrepreneurs qui préfèreraient racheter une concession existante. En effet, les reprises de fonds de commerce ont le vent en poupe dans le réseau Tryba, avec 11 rachats de concessions ayant eu lieu en 2019, et autant prévues en 2020. Avec 40 ans d'existence pour la marque, certains concessionnaires ont rejoint le réseau il y a longtemps, et la marque trouve alors un repreneur à celui qui quitte le réseau, notamment pour cause de départ à la retraite, après une belle carrière aux côtés de l'enseigne.Des concessions avec une rentabilité de 8 à 10% Un espace-conseil Tryba réalise, au bout de 3 ans, un chiffre d'affaires de 1350000 euros, pour un revenu net à disposition du concessionnaire à hauteur de 8 à 10% du chiffre d'affaires. Les nouveaux concessionnaires prennent la tête d'une structure à taille humaine, avec une équipe polyvalente de 6 à 8 personnes (assistant, commerciaux et techniciens-poseurs), positionnée comme référence sur un secteur géographique exclusif et étendu. Chaque nouvelle concession ouvre un magasin ayant pignon sur rue, avec un showroom permettant de mettre en valeur les produits Tryba et de faire la différence sur la qualité de produits proposés et fabriqués sur mesure en France par les usines Tryba.Un accompagnement fort pour se lancer dans une aventure maitriséeGrâce à un accompagnement important et constant, l'un des points forts de Tryba, la marque intègre aujourd'hui 80% d'entrepreneurs qui ne sont pas issu du secteur de la menuiserie. La formation poussée, voulue et dispensée par le franchiseur, est donc essentielle pour que le partenariat soit gagnant-gagnant pour les deux parties.La marque accompagne donc les entrepreneurs, tout au long du processus de création ou de reprise d'une concession, au travers de toutes les étapes du projet, que ce soit :La présentation des secteurs disponibles en création et/ou des concessions à racheter,Des informations transparentes sur l'enseigne de franchise Tryba, ses méthodes et son expérienceLa découverte du métier avec un stage de découverte « vismavie » en concession pilote,La recherche et la négociation de locaux adaptés,La recherche de financement,La création de la société,La formation du concessionnaire à son nouveau métier.A chaque nouvel arrivant, Tryba dispense dès son arrivée dans le réseau, une formation initiale gratuite de trois semaines sur tous les domaines : produits, commerce, technique, logiciels informatiques… Il bénéficie également de l'accompagnement soutenu et gratuit sur le terrain de la cellule ouverture, composée de 4 formateurs. Ceux-ci se déplacent sans frais chez le nouvel entrepreneur, pendant 6 mois, avec l'organisation de rendez-vous bi-mensuels en agence, pour lui transmettre dans la durée, tout le savoir-faire de Tryba, et lui permettre de se perfectionner à son rythme. Par la suite, un animateur technico-commercial prend le relais et rend visite toutes les 3 semaines au concessionnaire.L'équipe d'animateurs réseau a été renforcée et en compte désormais 9, répartis par grandes régions. Véritable lien entre Tryba et le terrain, il s'occupe en moyenne de 20 concessionnaires.En parallèle, de nombreux outils permettent également de se former en continu : formations produits et pose chaque année, programmes e-learning …Un réseau qui se digitalise en 20202020 c'est l'année d'une grande dynamique digitale dans le réseau Tryba. Alors que le déploiement de la nouvelle solution intégrée CRM Métier démarre en Septembre, c'est aussi l'occasion pour les équipes de ventes de se digitaliser : Nouveau PC-tablette vendeur intégrant la signature électronique et réunissant tous les outils digitaux en un seul ; nouvelle application mobile pour prendre en photos ses réalisations et les publier en 3 clics sur son site et sur les réseaux sociaux. Avec le Pack Digital lancé en début d'année, tout est également fait par Tryba pour booster la visibilité web locale des concessions : gestion du référencement web de la concession, campagnes e-marketing, accompagnement réseaux sociaux. Et les résultats sont au rendez-vous : +30% de contacts web sur le 1er semestre 2020.
Il y a 4 ans et 272 jours

Senlis : l’ancienne clinique Saint Joseph deviendra une résidence en 2022

Rénovation de l’ancienne clinique Saint Joseph de Senlis : des nouveaux logements seront prêts en 2022.
Il y a 4 ans et 272 jours

Quelques mots sur les bétons du Grand Paris…

Retrouvez cet article dans le n° 84 de Béton[s] le Magazine La “faille” est la trémie d’accès au chantier de la gare souterraine Eole La Défense, opérée à travers plusieurs niveaux de parking. [©Gérard Guerit] Le Grand Paris. Derrière cette appellation se cache une multitude de chantiers, mais aussi de donneurs d’ordre. Le point commun de tous ces projets est d’aboutir à une importante amélioration des transports publics en Ile-de-France. Un défi qui s’accompagne d’aménagements conséquents autour des futures gares : construction de bureaux, d’habitations, de commerces… En résumé, le Grand Paris, c’est d’abord la construction de nouvelles lignes de métro, sous la houlette de la Société du Grand Paris (SGP). Vient ensuite le programme Eole, visant à creuser le tronçon manquant de la ligne E du RER, entre Haussmann – Saint-Lazare et Nanterre, géré par SNCF Réseau. De son côté, la Ratp poursuit l’extension de son réseau existant avec le prolongement de plusieurs lignes de métro. Enfin, il y a le CDG Express, qui reliera dès 2025 la Gare de l’Est à l’aéroport Roissy – Charles-de-Gaulle.  Toutes les entreprises du BTP se sont mobilisées pour participer à chacun de ces projets. Vinci Construction France, comme les autres. Et de mettre tout en place pour répondre aux exigences des donneurs d’ordre en matière de bétons. A ce niveau, la liste est longue et les références réglementaires plus que variés, créent parfois quelques contradictions.  Le choix de l’IN 0034 « Nous avons été amenés à faire quelques clarifications et précisions,explique François Cussigh, expert béton chez Vinci Construction France. En effet, le contexte normatif est évolutif et il était important de savoir quels étaient les CCTG applicables dans le cadre de ces chantiers. » En l’occurrence, il s’agit principalement de l’opération de construction de la gare souterraine Eole La Défense, située sous le Cnit, et des projets des lignes de métro 14 (lot GC 02) et 15 (lots T3C et T2D). Pour commencer, les entreprises visent une durabilité de 100 ans, ce qui est classique pour des bétons de génie civil. En plus de la norme béton NF EN 206/CN, le Fascicule 65 traite de ce type de béton. Sauf que la version 2017 est sortie en cours de route, imposant une modification du Livret 10 des bétons, édité par la Société du Grand Paris. Ce dernier document renvoie aussi au référentiel IN 0034 de la SNCF. Si l’IN 0034 et le Fascicule 65 vont dans le même sens, en termes de durabilité. Lesecond demande une plus grande réduction d’eau. « Mais cela complique les choses pour ce qui est des bétons de fondation, qui peuvent devenir délicats à mettre en place quand la réduction d’eau est très importante », souligne François Cussigh. De fait, c’est l’IN 0034 qui a été retenue comme référentiel concernant le rapport Eau/Liant max.  François Cussigh, expert béton chez Vinci Construction France. [©ACPresse] En attendant Perfdub En même temps, le Fascicule 65 parle certes de justification de la durabilité par approche performantielle. Mais seulement dans le domaine de la corrosion des armatures. Au contraire, pour ce qui est des aspects touchant aux attaques chimiques, le document est limité à l’approche prescriptive traditionnelle. Faute d’un recul suffisant. « Le projet national Perfdub apportera des réponses concrètes issues de l’expérimentation. Toutefois, ces éléments ne seront pas exploitables avant fin 2019, début 2020. Et les conclusions définitives seront publiées d’ici la fin de l’année prochaine.  Aussi, si la réduction d’eau reste un facteur important, en termes de durabilité des bétons, le choix du liant est tout aussi crucial. Ce dernier doit présenter une résistance élevée aux attaques chimiques.  D’ores et déjà, une approche performantielle est mise en œuvre par Vinci Construction France pour les bétons de la gare souterraine Eole La Défense. La formulation des bétons suit une démarche type Fascicule 65 (avec des compléments concernant les attaques chimiques définis en concertation avec la maîtrise d’œuvre), qui demande une justification des performances en amont des travaux. Puis, un suivi par prélèvements et essais pour garantir qu’il n’y a pas de dérive.  Puits de démarrage du tunnel de la ligne 14 Sud – Lot GC 02. [©ACPresse] Du côté des fondations profondes « Dans tous les cas, la finalité n’est pas de faire de la surqualité pour compenser les éventuelles variations, en termes de qualité de produit, de teneur en eau du béton ou de méthodes de fabrication », rappelle François Cussigh. Car il s’agit toujours d’une approche technico-économique… « Nous sommes en train d’acquérir l’expérience sur l’influence de la variation de la production des bétons sur la performance de durabilité. »Enfin, la durabilité des bétons de fondations profondes reste un autre sujet de recherche. « Nous travaillons à une meilleure maîtrise de ces bétons à l’état frais. Pour ce faire, nous avons mis en place un cahier des charges spécifiques Vinci – Botte », dévoile François Cussigh. En effet, un très long maintien de rhéologie – caractéristique de base d’un béton de fondation profonde – doit s’accompagner d’une grande stabilité du mélange. Aussi, le cahier des charges précise les essais de ressuage en condition normale et sous pression à réaliser. Et leurs vérifications à différentes températures extérieures. « Ces essais existaient déjà et sont normalisés. Nous les avons francisés, car il y a une volonté des professionnels des fondations d’aller plus loin dans ce domaine. » Dorénavant, les bétons sont qualifiés selon ces essais. Dans le futur, ce cahier des charges spécifiques pourrait constituer un complément à l’annexe D de la norme béton NF EN 206/CN, à l’occasion d’une prochaine mise à jour. En attendant, un peu de travail reste encore à faire sur l’interprétation des essais et la maîtrise des seuils. Des recherches FNTP sont en cours sur le sujet… Retrouvez cet article dans le n° 84 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 272 jours

Les concertations sociales commenceront par l'assurance chômage fin septembre

Selon ce calendrier, qui décline les thèmes arrêtés lors de la "conférence de dialogue social" tenue à Matignon le 17 juillet (et qui se réunira à nouveau la deuxième quinzaine d'octobre), "trois groupes paritaires thématiques", animés par la ministre Elisabeth Borne ou son cabinet, seront lancés fin septembre/début octobre.L'un d'eux traitera du "suivi des réformes", notamment celle de l'assurance chômage décidée l'année dernière et qui a été suspendue en juillet jusqu'à la fin de l'année par Jean Castex.Quatre points de la réforme sont concernés, dont le durcissement de la période d'affiliation (de quatre à six mois) pour ouvrir des droits et la dégressivité des allocations au bout de six mois pour les hauts revenus. S'y ajoute la modification du calcul de l'indemnisation (le "Salaire journalier de référence, SJR"), rejetée par les syndicats car elle pénaliserait ceux qui alternent contrats courts et chômage, et enfin le bonus-malus, contesté par le patronat, pour inciter les entreprises de certains secteurs à moins recourir à des contrats courts.Dans son courrier, le ministère du Travail indique qu'il présentera "des pistes" aux partenaires sociaux sur ces points, hormis la durée d'affiliation.Ce groupe reviendra aussi sur la réforme de la formation professionnelle, notamment pour traiter des reconversions professionnelles d'une branche à une autre, comme par exemple de l'aéronautique à l'agroalimentaire, complexe actuellement.Un deuxième groupe "sur les nouveaux modes de travail et la reconnaissance des salariés" fera le point sur la concertation en cours sur le télétravail et lancera une concertation sur le partage de la valeur (participation, intéressement...).Enfin un troisième groupe sera chargé du suivi social du plan de relance (plan jeunes notamment), de sa déclinaison territoriale et lancera un travail avec les branches sur les métiers en tension.Trois autres groupes seront constitués plus tard dans l'automne sur les autres sujets de l'agenda social: "formes particulières d'emploi" (droits des travailleurs des plateformes, valorisation des travailleurs de la "deuxième ligne" et diminution du recours au travail détaché); "évaluation de la protection sociale" (travail des seniors et devenir de la réforme des retraites ainsi que création de la branche autonomie) et enfin "financement de la protection sociale" (retraites, assurance chômage, résorption de la dette Covid...).
Il y a 4 ans et 272 jours

Béton[s] le Magazine 90 Réparer plutôt que jeter !

Retrouvez le numéro dans la boutique acpresse.fr Pour protéger, renforcer, rénover, analyser et prévenir la dégradation des ouvrages d’art et des constructions en béton, les ingénieurs, maîtres d’œuvre, chercheurs et fournisseurs de matériaux déploient un ensemble de compétences et de savoir-faire. A travers plusieurs exemples, cette édition traite des solutions mises en œuvre pour prolonger la vie des constructions en béton. Vous découvrirez, entre autres, comment les fabricants de matériaux complètent leur offre, en proposant une analyse des pathologies et les solutions idoines de rénovation. Quels sont les moyens mis en œuvre pour prévenir la corrosion et contrôler l’état chimique des bétons ? Comment les nouvelles technologies participent à la réalisation de l’état des lieux des ouvrages d’art ? Et enfin, le rôle d’un expert en responsabilité civile. Avec ce dossier, nous vous invitons à partager une analyse 360° sur la question de la gestion de la durabilité des ouvrages en béton. Béton[s] le Magazine 90 est disponible en ligne dans la boutique acpresse.fr, pour les abonnés avec votre compte premium. Ou sur simple commande si vous n’êtes pas abonné.   A découvrir également dans ce numéro • Pour les passionnés d’architecture, nous irons visiter le bâtiment des Archives départementales de l’Isère et sa sublime façade constituée de monolithes de béton dans “Techniques et Architecture”. • Pour les inconditionnels de l’innovation, rendez-vous avec trois start-up innovantes : Sekoya, la nouvelle plate-forme de recherche autour du bas carbone, Anomera ou comment une société canadienne améliore la performance du ciment avec de la cellulose. Et enfin, Sonocrete ou l’influence des ultrasons sur les capacités mécaniques du béton.  • Notre focus “Région” avec les entreprises du Grand Ouest. • Un moment aussi pour se pencher sur les chiffres et leurs analyses avec vos indicateurs économiques de la rentrée. • A l’heure des initiatives écologiques, les toupies  adoptent les carburants alternatifs. “Un Zoom sur” consacré au marché des toupies “vertes”. • Pour les experts du matériau béton, “Les laboratoires de la matière”, avec les fissurations thermiques et la valorisation des sédiments dans le béton et le ciment. Portrait d’une architecte hors normes • Nous vous offrons aussi un petit voyage dans le temps avec notre  “Passé simple” consacré à Zaha Hadid, l’architecte-urbaniste, figure incontournable du courant “déconstructiviste”.  Nous vous souhaitons une bonne lecture et une belle rentrée !