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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 4 ans et 302 jours

Muriel Pénicaud, une fidèle de Macron remerciée malgré les réformes

Son nom restera accolé à la première réforme du quinquennat, celle des ordonnances travail, menée en un éclair et sans grande contestation sociale."On nous avait dit qu'en septembre ce serait le feu et cela s'est bien passé", se remémorait, encore presque surpris, un député LREM, plusieurs mois après.Plafonnement des indemnités prud'homales, ruptures conventionnelles collectives, fusion des instances représentatives du personnel, dans la continuité de la loi Travail de 2016, ces ordonnances promises par le candidat Macron, ont fait l'objet de "300 heures de concertation", se plaît-elle à rappeler. Au passage, elle se met FO dans la poche.Pour Muriel Pénicaud, les premières semaines, c'"était face Nord", résume-t-elle quelques mois plus tard. Elle considère même avoir fait l'objet "d'attaques personnelles" destinées à faire échouer l'opération ordonnances. Notamment dans l'affaire Business France, organisme public dépendant de Bercy, qu'elle dirigeait depuis 2014, où l'organisation d'une soirée en 2016 à Las Vegas, dont Emmanuel Macron était la guest star, avait été confiée à Havas sans appel d'offres.L'affaire n'est pas jugée mais la menace judiciaire s'est éloignée pour elle en 2018.Après les ordonnances, elle enchaîne avec une réforme de l'apprentissage et de la formation professionnelle, et de premières mesures sur l'assurance chômage.Sa relation avec le Premier ministre Édouard Philippe est rugueuse et elle va plaider sa cause auprès du chef de l'État quand il le faut. "Je suis sociale et libérale", dit-elle pour se définir. Et "plus à gauche qu'Édouard Philippe", ajoute-t-elle en souriant. "Déterminée et sait ce qu'elle veut", dit d'elle l'ancien patron de FO, Jean-Claude Mailly, qui la connait depuis longtemps. "Elle vient de l'entreprise, cela se voit dans sa politique", tacle un autre syndicaliste. Elle "est sur la même ligne que Macron", grince de son côté un représentant patronal.Diction qui patineMalgré des discours officiels vantant le dialogue social et des invitations régulières, les partenaires sociaux se sentent largement ignorés par l'exécutif.Au sein de son cabinet, elle s'était pourtant entourée d'experts du dialogue social. Ainsi Antoine Foucher, ancien du Medef, devient son omniprésent directeur de cabinet à qui rien n'échappe, qui contrôle tout et communique.Ayant vu François Hollande s'embourber dans l'inversion de la courbe du chômage, elle assure d'abord qu'elle ne commentera plus les chiffres du chômage, puis s'écarte de ce principe... dès qu'une embellie arrive.Mais la réforme de l'assurance chômage, publiée par décret à l'été 2019 et qui durcit les conditions d'accès et d'indemnisation, a mis tous les syndicats vent debout, jusque mettre "les nerfs" à Laurent Berger, le numéro un de la CFDT. Cette réforme, dont une partie a été suspendue jusqu'en septembre, doit faire l'objet d'une "adaptation". Son refus maladroit d'une proposition de loi allongeant le congé après la perte d'un enfant devant les députés fit polémique cet hiver, obligeant la majorité à revenir sur ses pas après une intervention du chef de l'État. Jusqu'ici, elle avait fait peu de bourdes, si ce n'est parfois celles liées à une diction qui patine et suscite des moqueries sur les réseaux sociaux.La politique n'est pas inconnue à cette femme qui a l'abord et le contact facile. Après avoir débuté sa carrière dans les collectivités territoriales, elle devient conseillère de Martine Aubry, ministre de la Formation professionnelle, au début des années 90."Tout le monde peut changer. On dit que je l'ai formée, moi je la trouve bien déformée...", avait persiflé son ancienne patronne en 2017.Muriel Pénicaud avait ensuite bifurqué vers le privé: Danone puis Dassault Systèmes, avant de revenir en tant que DRH du géant de l'agroalimentaire.Fin février, avec un taux de chômage autour de 8%, la ministre pouvait caresser l'idée de parvenir à l'objectif de 7% à la fin du quinquennat. Las, le coronavirus a tout mis par terre. Elle s'est affairée à adapter le chômage partiel pour en faire un dispositif "massif" et "éviter les licenciements".Passionné de photographie, elle a déjà exposé en particulier des clichés d'oiseaux.
Il y a 4 ans et 302 jours

Dernière ligne droite du plan de relance pour Bruno Le Maire

Il défendait depuis des semaines l'idée d'un grand ministère pour piloter la relance et il l'a obtenu: Bruno Le Maire n'a pas caché sa satisfaction mardi lors de la passation de pouvoirs, marquée notamment par le départ de Gérald Darmanin de Bercy.Le rattachement direct des Comptes publics à son portefeuille "change absolument tout", a-t-il confié à des journalistes à l'issue des discours, défendant la nécessité d'avoir une "unité de commandement (...) en période de crise".Après avoir géré l'urgence au printemps durant le confinement, puis amorcé un soutien ciblé aux secteurs les plus en difficulté et à l'emploi des jeunes, le capitaine du "paquebot" Bercy doit finaliser le futur plan de relance plus global.La Banque de France a confirmé lundi sa prévision catastrophique d'une contraction du produit intérieur brut (PIB) de 10% cette année, "la plus forte" depuis 1945, quand le gouvernement table sur -11%.C'est "une tâche écrasante" qui l'attend, a souligné Bruno Le Maire mardi, en brossant un portrait sombre des prochains mois, notamment pour les "plus petits" durement touchés par la crise."(Ils) ont pris cette crise de plein fouet et (ils) savent encore mieux que nous que le plus dur est devant nous, que les faillites sont devant nous, que les licenciements sont devant nous, que le risque d'appauvrissement des territoires est devant nous", a-t-il affirmé.Il a ainsi rappelé les priorités du futur plan: la compétitivité des entreprises et la transition écologique. Auxquelles il faut ajouter le soutien à l'emploi, via un nouveau mécanisme d'activité partielle de longue durée en cours de négociation.Ce plan reposera sur "des choix orientés qui permettent de reconstruire, de gagner en souveraineté économique, d'avoir une France plus économe du point de vue du respect de l'environnement", a ainsi assuré le nouveau Premier ministre Jean Castex lundi.Bruno Le Maire, déjà épaulé par Agnès Pannier-Runacher, ex-secrétaire d'Etat et désormais ministre déléguée à l'Industrie, sera aussi accompagné d'Alain Griset, ancien président de l'Union des entreprises de proximité (U2P) nommé ministre délégué aux petites et moyennes entreprises, et d'Olivier Dussopt, ministre délégué aux Comptes publics.Sur le fond, le gouvernement mise sur un soutien à l'investissement dans des modes de production moins émetteurs de CO2, notamment via la robotisation des PME, mais aussi toujours sur une baisse des impôts de production qui pèsent sur les entreprises."difficile""C'est absolument essentiel", a plaidé M. Le Maire, penchant plutôt pour agir sur la CVAE (cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises) en mettant en avant une question de "cohérence", quand beaucoup demandent la relocalisation de certaines productions en France.Le sujet est toutefois "difficile", a reconnu le ministre car cette contribution représente une importante ressource pour les régions. "On va trouver un accord. Certaines sont prêtes à prendre la baisse à leur charge", a-t-il assuré.Critiqué par les écologistes, entrés en force dans les conseils municipaux aux dernières élections, sur l'insuffisance des contreparties environnementales exigées des entreprises soutenues par l'Etat, il a rappelé que la priorité était que ces entreprises "ne mettent pas la clé sous la porte".Ces dernières semaines, il a toutefois avancé que le plan de relance pourrait contenir des mesures en faveur de la rénovation thermique des bâtiments et du transport ferroviaire, ou encore un soutien des filières énergétiques d'avenir comme l'hydrogène.Sur la forme, rien n'est encore bouclé. Un temps évoqué, le projet d'un quatrième budget rectifié n'est pas "complètement acté", a indiqué Bruno Le Maire.La présentation du projet de budget pour 2021, qui se tient traditionnellement le dernier mercredi de septembre, pourrait aussi être avancée, a évoqué le ministre.Il contiendra en tout cas un "plan de rebond", distinguant clairement les dépenses destinées à la relance, selon un document préparatoire publié la semaine dernière.Après plus de 460 milliards d'euros de moyens publics mobilisés jusqu'ici, le ministre a aussi promis "un calendrier (...) très clair" sur la diminution de la dette, qui devrait avoisiner les 121% cette année.
Il y a 4 ans et 302 jours

Feu vert du préfet de région à la rénovation de la Gare du Nord à Paris

La décision de délivrer le permis de construire, "valant autorisation d'exploitation commerciale", a été prise lundi "à la suite d'une instruction attentive et au regard de l'avis favorable émis par la commission (nationale) d'enquête (NDLR en octobre dernier) et de l'ensemble des concertations réalisées", a précisé la préfecture dans un communiqué."L'objectif de livraison des travaux nécessaires pour les Jeux Olympiques et Paralympiques 2024 demeure", souligne le communiqué.La Ville de Paris, qui avait d'abord soutenu ce projet controversé, s'y est ensuite opposée en le jugeant trop commercial."Avec le projet de rénovation actuel de la Gare du Nord, le gouvernement vient de s'inventer un Notre-Dame-des-Landes en plein Paris. Je lui souhaite beaucoup de courage sur le plan politique et juridique", a réagi mardi Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la mairie de Paris, dans un tweet retweeté par la maire Anne Hidalgo.Le gigantesque chantier prévoit un véritable lifting de la première gare d'Europe, vieille de 155 ans et fréquentée par 700.000 voyageurs chaque jour.Le projet, mené par SNCF Gares & Connexions et la foncière d'Auchan, Ceetrus, prévoit notamment la construction de commerces, bureaux et équipements culturels."Cette gare moderne est non seulement nécessaire, dans la perspective de la Coupe du monde de Rugby en 2023 et des Jeux Olympiques et Paralympiques 2024 à Paris, mais elle permettra aussi de faire de la Gare du Nord un nouveau lieu de vie urbain, associant commerce, sport, culture et travail", a justifié le préfet dans son communiqué.Moyennant 600 millions d'euros, le projet prévoit un toit terrasse végétalisé d'un hectare avec vue sur le Sacré Coeur, doté d'une piste de trail, un parking pour 2.000 vélos, une grande nef transversale.Avec 88.000 m2 supplémentaires, la Gare du Nord devrait atteindre une superficie totale de 124.000 m2, dont 46.000 m2 consacrés à une salle de spectacle, des équipements culturels, une salle de sport ou encore des commerces et bureaux.Une vingtaine d'architectes de renom, dont Jean Nouvel et Roland Castro, ont jugé ce projet "inacceptable" et "pharaonique", dans une tribune publiée dans Le Monde début septembre, demandant qu'il soit "repensé de fond en comble".
Il y a 4 ans et 302 jours

Aveyron : un bâtiment public flambant neuf se pare d'une robe rouge écaillée

REALISATION. Le nouveau siège de la communauté de communes Conques-Marcillac, dans l'Aveyron, arbore une forme ovoïde particulière dans un paysage vallonné. Affichant une superficie de 1.600 m², le bâtiment public se pare d'une robe rouge aux multiples nuances, grâce à des écailles de zinc rappelant les toitures en lauze de la région.
Il y a 4 ans et 302 jours

Les artisans seront-ils les pros du rangement pour le VPI brush challenge ?

RESEAUX SOCIAUX. Le spécialiste des mortiers et colles, VPI (groupe Vicat), lance un défi aux artisans du Bâtiment dans le cadre d'un concours sur Instagram. Seront-ils à la hauteur ? Découvrez le premières vidéos.
Il y a 4 ans et 302 jours

A Londres, Bouygues Construction choisi pour la 3e phase de Hallsville Quarter

Après avoir livré les phases 1 et 2, la filiale britannique du groupe a signé, avec ses partenaires, les accords pour cette nouvelle étape du projet. Il est estimé au total à 264 M€.
Il y a 4 ans et 302 jours

Chute sans précédent du marché français des bureaux au deuxième trimestre

"Le confinement lié à l'épidémie de Covid-19 a été une expérience grandeur nature pour l'immobilier de bureau", résumait fin juin dans une tribune Méka Brunel, directrice générale du groupe Gecina, l'un des principaux propriétaires de bureaux en France."Les salariés ont été contraints de travailler à distance pendant plusieurs semaines, et des transformations qui étaient déjà à l'oeuvre se sont brusquement accélérées", poursuivait Mme Brunel.La patronne de Gecina en vient à une conclusion, a priori peu naturelle pour un groupe qui détient plus de 16 milliards d'euros de bureaux. "Des bureaux vides n'ont pas de valeur en soi", jugeait-elle.Ces réflexions sont largement partagées chez les grands acteurs du secteur, qui n'ont pas attendu la crise du virus pour tenir un discours selon lequel les bureaux ne se résument plus à quelques murs mais doivent offrir tout une gamme d'expériences à leurs utilisateurs, autrement dit les employés des entreprises locataires.Le marché était déjà perturbé par la vague des immeubles de "coworking" qui proposent de louer de manière très souple des lieux pour travailler avec de multiples animations à la clé.Mais le coronavirus a encore accentué ces discours, car il a montré que de multiples entreprises étaient capables de fonctionner pendant des semaines en laissant leurs employés travailler à distance.Dans ce contexte, une figure du secteur comme Mme Brunel ne croit ni que le télétravail devienne la règle, ni que le marché des bureaux revienne à un statu quo d'avant le confinement.Prévisions difficilesDésormais, "les salariés choisiront aussi les entreprises avec lesquelles ils veulent s'engager en fonction de l'expérience qu'ils vivront sur leur lieu de travail", assure-t-elle.Le bureau, argument d'embauche aussi parlant que le salaire? Avant de changer aussi profondément de visage, cet univers doit assumer les conséquences bien tangibles du confinement.Celui-ci a largement stoppé l'activité du secteur et il est difficile de savoir à quel rythme elle va reprendre.Publié ce mardi, l'indicateur trimestriel de référence, le bilan Immostat, témoigne d'une chute sans précédent en Île-de-France, là où se concentre le gros du secteur en France."Le marché locatif francilien enregistre le pire trimestre de son histoire", a résumé dans un communiqué le cabinet JLL, qui participe à l'élaboration de ce bilan.Entre avril et juin, il y a eu environ deux tiers (-65%) de bureaux loués en moins en région parisienne par rapport à un an plus tôt. Cette évolution s'entend en superficie totale, celle-ci s'établissant à 197.500 mètres carrés."Le confinement a marqué un coup d'arrêt aux mouvements des entreprises", a souligné Marie-Laure Leclercq De Sousa, une experte de JLL. "Il faudra probablement attendre septembre (...) pour voir les demandes être réactivées. La question est de savoir si ces projets se transformeront dès le second semestre 2020 ou en 2021".Un autre chiffre témoigne du coup d'arrêt du marché, celui de l'argent recueilli auprès des investisseurs. A quatre milliards d'euros investis en immobilier d'entreprise sur toute la France, il recule de 58% au deuxième trimestre."Outre les difficultés techniques liées au confinement, le marché de l'investissement a (...) souffert d'un accès extrêmement sélectif au financement", remarque dans une note le cabinet CBRE, autre membre d'Immostat.Il juge "solides" les bases du secteur. Mais celui-ci reste particulièrement exposé à l'évolution d'une conjoncture économique qui s'annonce catastrophique avec une récession de plus de 10% prévue cette année en France."Difficile de faire des prévisions à ce stade tant les incertitudes sur la suite et le profil de la reprise économique demeurent", conclut dans une note Eric Siesse, de la filiale immobilière de BNP Paribas, autre contributeur du bilan.
Il y a 4 ans et 302 jours

En juin, la reprise de l'activité se confirme mais les commandes s'effritent

CONJONCTURE. Après un mois de mai très florissant et malgré un ralentissement, la reprise d'activité des entreprises du bâtiment s'est confirmée en juin. Les carnets de commandes subissent par contre une nouvelle baisse. Les agences d'architecture peinent encore à redécoller, tandis que les travaux publics accusent encore plus le coup.
Il y a 4 ans et 302 jours

L'inspection du travail alerte sur une recrudescence de chutes mortelles sur les chantiers depuis la reprise

"Depuis la fin du mois de mai", la direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi (Direccte) constate une "forte et inédite recrudescence du nombre d'accidents du travail graves et mortels dans la région", liés pour la plupart "aux chutes de hauteur, en particulier lors de travaux exécutés pour le compte et au sein d'une autre entreprise", rapporte-t-elle dans un communiqué publié par la préfecture de région.Dans les Hauts-de-France, pour le seul mois de juin, elle a recensé six accidents du travail graves, en lien avec une chute de hauteur, dont trois mortels, contre huit chutes mortelles sur l'ensemble de l'année 2019 - 565 chantiers avaient alors été contrôlés et une entreprise contrôlée sur trois présentait un risque de chute de hauteur."La concomitance de cette situation avec la reprise d'activité des entreprises amène les services de l'État à alerter les entreprises intervenantes comme les entreprises utilisatrices, où se déroulent les travaux : le risque lié au Covid-19 ne doit pas occulter les autres risques propres à l'activité", souligne la Direccte, qui promet une "analyse complète" pour "mieux appréhender les causes de cette recrudescence."Selon elle, "le relâchement dans le respect des mesures de prévention, la tendance à la désorganisation (matériel temporairement indisponible, approvisionnements décalés...), les délais de réalisation impératifs et le retard pris en raison du ralentissement de l'activité favorisent les situations à risques.""Il est impératif d'appeler les entreprises, employeurs, responsables de la santé et de la sécurité de leurs travailleurs et les salariés à une plus grande vigilance", poursuit-elle, expliquant avoir lancé une opération de sensibilisation et renforcé les contrôles.La Direccte enjoint les entreprises à "veiller à évaluer les risques propres à chaque situation de travail" et à "prendre les mesures permettant aux salariés de travailler en sécurité en tenant compte du risque nouveau lié au Covid-19 et du contexte de la reprise."Le 26 juin, un employé d'une société prestataire de services est mort à Dunkerque (Nord) en chutant d'un silo alors qu'il effectuait une opération de nettoyage, selon Nord Céréales où s'est déroulé le drame.
Il y a 4 ans et 302 jours

Pays de Galles: contrat autoroutier pour le français Meridiam et l'espagnol FCC

Le Pays de Galles a attribué à un contrat de 500 millions d'euros à Meridiam, un fonds français, et FCC, géant espagnol du BTP, pour construire et entretenir une portion d'autoroute.
Il y a 4 ans et 302 jours

La crise du Covid-19 retarde de plusieurs mois la livraison des lignes du Grand Paris Express

Lors du conseil de surveillance de la Société du Grand Paris, le président du directoire, Thierry Dallard, a annoncé des retards prévisionnels de trois à huit mois sur les lignes en travaux et de trois à quatre mois sur les tronçons encore en phase d’études.
Il y a 4 ans et 302 jours

La filière solaire demande d'appliquer rapidement les propositions de la Convention climat

"Il est impératif dans le contexte de la relance de l'économie et de l'atteinte de nos objectifs de transition énergétique que ces mesures de bon sens issues de la Convention Citoyenne se concrétisent au plus vite", a déclaré dans ce communiqué Daniel Bour, Président d'Enerplan.Ce syndicat représente l'ensemble de l'offre solaire industrielle et commerciale en France, industriels, ensembliers, bureaux d'études, installateurs, architectes, énergéticiens...Il "soutient sans réserve la proposition d'une hausse du plafond du guichet tarifaire à 500 kW, permettant de connaître à l'avance le tarif de vente de l'électricité produite et consolidant la réalisation des projets".La Convention citoyenne pour le climat a également proposé un "guichet unique réunissant toutes les formalités techniques et administratives nécessaires à l'installation de projets de productions d'énergie renouvelable", ainsi que "l'accélération du développement de l'autoconsommation, prônant des bâtiments producteurs de leur propre consommation et permettant aisément le partage des électrons et de la chaleur".Seul bémol aux yeux d'Enerplan: "alors qu'est discuté en ce moment même une nouvelle loi de finances rectificative, les propositions permettant d'ouvrir le bénéfice du crédit d'impôt pour la transition énergétique à tous les ménages (sont) repoussées aux discussions budgétaires de l'automne"."Le temps est à l'action", a déclaré lundi Emmanuel Macron en endossant quasiment toutes les propositions des 150 membres de la Convention, qu'il a reçus à l'Elysée.
Il y a 4 ans et 302 jours

L'Unam a un itinéraire pour Barbara Pompili, Emmanuelle Wargon et Nadia Hai

Dans un communiqué publié dès l'annonce du nouveau gouvernement, l'Union nationale des aménageurs a invité la nouvelle ministre de la Transition écologique et ses ministres déléguées au Logement et à la Ville à "prendre le bon chemin pour réinventer le cadre de vie des Français (...) et donner à tous l'envie de s'y projeter".
Il y a 4 ans et 302 jours

La FFB annonce une chute de 18 % de son activité et réclame un plan de relance

La Fédération française du bâtiment qui prévoit une chute de 18 % de son activité en 2020 réclame un plan de mesures immédiates pour atténuer les effets de la crise dans son secteur.
Il y a 4 ans et 302 jours

Un modèle pionnier d’économie d’énergie

Le plus grand site de production d’insectes au monde construit à Nesle se veut un modèle pionnier et visionnaire d’économie d’énergie. Un projet rendu possible sur le territoire des Hauts de France grâce au partenariat qui lie EDF et InnovaFeed, PME innovante et leader mondial de la production d’insectes. Objectif de cette collaboration : plus d’1 TWh Cumac économisé.
Il y a 4 ans et 303 jours

Réalisation d'une ligne ferroviaire pour desservir l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle

Il s'agit du 10e marché confié par la SNCF Réseau à l'activité ferroviaire IDF de Spie batignolles valérian, lancée au printemps 2017.Cette opération d'infrastructure ferroviaire neuve de 6.1 km sera menée par un groupement composé de Spie batignolles valérian (mandataire), Spie batignolles génie civil, Demathieu Bard, Colas Rail, Egis Rail, ASP et Fer Expert.Le groupement est responsable de la conception de ce projet et de son optimisation dans le respect du programme du client, des travaux de terrassement, d'assainissement, d'ouvrages d'art, de la pose des 2 voies ferrées, de l'installation des caténaires, de la signalisation et de l'ensemble de la sécurité ferroviaire.Les deux zones nommées G et H seront opérationnelles à compter de décembre 2023 et représentent un montant total de travaux de plus de 50 millions d'euros HT.Zone G : 4.4 kilomètres à créerLa zone G de ce projet représente 4.4 kilomètres de tronçon à créer et équiper sur la ville de Mitry-Mory et jusqu'à l'accès de l'aéroport de Roissy donnant sur la commune de Tremblay-en-France, passant ensuite sur la zone H.Les deux voies nouvellement créées seront entièrement aériennes (en remblai). Leur passage conduira à l'installation de 3 ponts rails et d'1 pont route, des ouvrages recouvrant les grands enjeux de ce projet en raison des délais très serrés à tenir :Le pont-rail qui surplombera la route nationale 2 et dont les travaux débuteront prochainement devra être opérationnel avant la mi-novembre. Ils requerront de travailler en rive puis en terre-plein central de la RN 2.Pour le pont-route qui rétablira la circulation sous la RD84, c'est une opération quasi-militaire qui s'organisera. L'ouvrage préfabriqué en usine sera installé sur 11 jours seulement, nécessitant la fermeture totale de la route entre le 3 et le 14 août. Pour ce faire, les équipes devront procéder au terrassement de 15 000 m3 de terres, au remblaiement d'un volume équivalent avant de pouvoir intervenir sur la réfection de la chaussée.Zone H : 1.7 kilomètre jusqu'à la gare CDG T2La zone H permettra de raccorder la zone G, entrée de l'aéroport de Roissy à Tremblay-en-France, jusqu'à la gare CDG T2. Elle se situe uniquement sur la commune de Tremblay-en-France et représente 1.7 kilomètre dont une partie à l'intérieur du tunnel emprunté par le RER B.Sur ce tronçon, compte-tenu des nombreux raccordements nécessaires dus à la présence de tunnel, croisement de routes, lignes ferroviaires et gares, le groupement réalisera de nombreux aménagements autour d'infrastructures déjà existantes. Une plateforme de maintenance et de secours sera créée pour être dédiée à cette nouvelle ligne.Priorité à la valorisation des matériauxLe dossier présenté par le groupement mené par Spie batignolles valérian comprend un large volet consacré à la valorisation des déchets de chantiers avoisinants. Il s'agit de valoriser le maximum de déblais issus des différents chantiers de la région parisienne, notamment provenant des opérations du Grand Paris.Chiffres clé :100 000 m3 de déblai.230 000 m3 de remblai dont 170 000 m3 provenant de valorisation de sites extérieurs
Il y a 4 ans et 303 jours

La BEI et le Crédit Mutuel s’engagent à prêter 1,2 Mds€ aux PME et ETI

La Banque européenne d’investissement (BEI) a annoncé le 6 juillet deux lignes de crédit d’un montant de 600 M€ pour les PME et les ETI. Ils permettront à Crédit Mutuel Alliance Fédérale de prêter plus de 1,2 Mds€ à ces entreprises fragilisées par la crise sanitaire. L’institution européenne dessine progressivement un plan de relance post-Covid 19.
Il y a 4 ans et 303 jours

Iseo finalise l’acquisition de Locken

A travers ce rachat, ISEO apporte aux clients de LOCKEN l’assurance de la pérennité des solutions déployées. Il confirme aussi sa volonté de renforcer, au niveau mondial, l’offre du groupe dans le domaine des solutions de contrôle d’accès sur mesure à destination des grandes infrastructures où LOCKEN développe son expertise depuis 2003. Il s'agit d'une étape importante qui permettra à ISEO d'accélérer le processus d'intégration de LOCKEN dans le reste du groupe et de mieux bénéficier d'un savoir-faire et d'une culture, celle des projets, complémentaires de son cœur de métier historique.
Il y a 4 ans et 303 jours

Éric Routier élu président du CCCA-BTP

Rappelons que le CCCA-BTP est dirigé à la fois par les fédérations professionnelles d'employeurs (CAPEB, FFB, Fédération SCOP BTP et FNTP) et les organisations syndicales de salariés (BATI-MAT-TP CFTC, CFE-CGC BTP, FNSCBA-CGT, FGFO Construction et FNCB-CFDT).Éric Routier, compagnon professionnel, a entièrement consacré sa carrière professionnelle au secteur du bâtiment et des travaux publics. Après une formation en menuiserie et avoir exercé dans plusieurs entreprises de la filière, depuis 1984, il travaille au sein de l'entreprise Kaefer Wanner, spécialiste de l'isolation thermique, de montage d'échafaudages, de désamiantage et de peinture en milieu industriel.Il est délégué national CFDT au sein de l'entreprise Kaefer Wanner depuis 1992 et a également été conseiller fédéral au niveau national de la FNCB-CFDT pendant douze ans, jusqu'en 2017.Un engagement de longue date dans la formation professionnelle dans le BTPÉric Routier est également administrateur du CCCA-BTP depuis 1997. Jusqu'en 2019, il en a été le trésorier et le secrétaire pendant neuf ans.Son engagement de longue date dans la formation professionnelle aux métiers du bâtiment et des travaux publics, en particulier par la voie de l'apprentissage, l'a amené à présider l'association régionale à gouvernance paritaire BTP CFA Nord - Pas-de-Calais, qui gère les trois centres de formation du BTP du territoire. Éric Routier a par ailleurs présidé l'AREF Nord - Pas-de-Calais, avant d'être nommé administrateur national de Constructys, alors OPCA de la Construction, où il était membre de la commission paritaire du bâtiment des entreprises de moins de onze salariés jusqu'en 2019. Il est également administrateur de PRO BTP Prévoyance, le groupe de protection sociale du BTP. Son engagement régionalParallèlement à ses activités professionnelles et syndicales, de 1995 à 2007, Éric Routier a été conseiller municipal de Villeneuve-d'Ascq (Nord, 70 000 habitants), délégué au protocole, aux manifestations et aux relations avec les associations d'anciens combattants.Le conseil d'administration du 30 juin 2020 a également élu :Jean-Christophe Repon (CAPEB), vice-présidentHenry Brin (FFB), trésorierJoël Ellen (FNSCBA-CGT), secrétaire
Il y a 4 ans et 303 jours

Innovation en architecture avec une solution d'hôpital de campagne

La pandémie a révélé des besoins importants d'équipements d'urgence et flexibles pour compléter les capacités d'accueil des établissements de santé existants. HOSPI-CAMP est un hôpital de campagne qui prend la forme d'une construction modulaire agile et évolutive, déployable en 6 semaines, mais conçue comme une installation hospitalière de haute performance, répondant à la rigueur imposée par son usage médical.Pour Olivier de la Barre, Président de AIA Life Designers : « Nos équipes défendent au quotidien une vision de l'architecture qui prend soin du vivant et de la terre. C'est la raison pour laquelle nous nous sommes mobilisés pour répondre à l'appel à projet de solutions innovantes lancé par le ministère des Armées. Hospi-Camp est le résultat d'un travail d'intelligence collective et une réponse aux besoins d'équipements d'urgence révélés par la pandémie. »Une réponse pertinente à des besoins ponctuels ou saisonniers d'activité des établissements de santé HOSPI-CAMP apporte des surfaces complémentaires pour toutes les activités en lien avec la santé, y compris les plus techniques comme les unités de réanimation, d'urgence, des blocs opératoires ou des laboratoires.Pour atteindre le niveau ISO requis par une chambre de réanimation, AIA Life Designers et LECO Construction ont aussi conçu le PLUG-TECH-AIA qui permet de transformer un module classique en chambre de réanimation avec un minimum de travaux, et ainsi de répondre aux normes sanitaires élevées.Les modules permettent de répondre à une augmentation ponctuelle ou saisonnière d'activité, une implantation dans un désert médical en besoin de structure sanitaire abordable, ou encore pour le maintien d'une activité lors de travaux de rénovation.Des innovations pour répondre rapidement aux besoinsLa conception des modules est novatrice par le recours à la production hors site qui permet une préfabrication en amont du chantier et un assemblage plus rapide sur place. La simplicité de construction, la disponibilité des matières et la légèreté apportent la souplesse requise par l'urgence. Cette solution est démontable et remontable grâce à la transportabilité de ses modules (par voies aérienne, routière, maritime, fluviale et ferroviaire). Elle peut aussi évoluer au gré des besoins, par ajout ou suppression de modules.Le projet a aussi recours à la conception BIM (Building Information Modeling) qui permet un partage d'informations entre les intervenants du projet, tout au long du cycle de vie du bâtiment. Elle permet de maîtriser notamment la gestion des fluides médicaux, fonctionnalité essentielle pour répondre aux futurs usages du bâtiment.Un impact environnemental limité L'HOSPI CAMP a été conçu dans un souci de développement durable, en utilisant notamment une structure en bois. Ces efforts dans la conception permettent d'atteindre une réduction de 43%[1] des émissions de gaz à effet de serre par rapport à un bâtiment traditionnel pour les phases de construction et d'exploitation pendant 50 ans.[1]Selon l’analyse en cycle de vie ACV réalisée en partenariat avec l’école des Mines de St Etienne
Il y a 4 ans et 303 jours

3 start-up lauréates du projet Numériser l’existant

Bimeo, LevelS3D et WiseBIM sont les 3 start-up lauréates du challenge « Numériser l’existant », l’un des 9 projets du programme PROFEEL dédié à l’innovation technologique au service de la rénovation énergétique des bâtiments. Elles bénéficieront d’un soutien financier et technique pour développer les nouvelles fonctionnalités de leurs applis et plateformes de numérisation 3D du bâti, compatibles avec le BIM. Ces solutions digitales innovantes représentent une avancée technologique majeure pour accompagner les professionnels du secteur de la rénovation énergétique des bâtiments et ainsi faciliter et encourager les travaux. Les premiers livrables des outils devraient être finalisés dès l’automne 2020, suivis de nouvelles versions ou fonctionnalités au 1er semestre 2021. ARtoBuild de Bimeo Le scan 3D ultra rapide et précis en quelques clics ARtoBuild est une solution inédite développée par Bimeo, plateforme collaborative BIM, à destination des professionnels du bâtiment, récompensée en 2019 aux cérémonies du BIM d’Or et des Trophées de la Construction. Cette application, compatible avec le dernier iPad pro pour son capteur ultra-précis (technologie Lidar), permet de scanner en 3D simplement et rapidement n’importe quelle pièce. A partir de son interface, les pièces sont assemblées et la maquette numérique est générée au format. Le financement de PROFEEL permet à Bimeo de développer de nouvelles fonctionnalités, telles que la gestion de l’épaisseur des parois, l’ajout d’objets type radiateur, éclairage…, ou encore la possibilité d’annoter la maquette avec des cotations. S3D Capture de LevelS3D Appli, cloud et IA pour un rendu 3D complet LevelS3D est une start-up fondée en 2012 par Yannick Folliard, labellisée JEI (Jeune Entreprise Innovante). Elle a conçu l’application mobile de numérisation S3D Capture, accessible et à bas coût sous forme d’abonnement ou offres à l’acte, compatible avec des smartphones et tablettes équipés d’un capteur de profondeur intégré (compatible sur l’Ipad pro). Basée sur la technologie de nuages de points, elle permet de scanner une habitation aussi facilement qu’en filmant, puis de générer automatiquement et instantanément le modèle 3D. Grâce au financement du projet, LevelS3D prévoit trois phases de développement des nouvelles fonctionnalités : pré- positionnement des nuages de points, ajout de photos pour un rendu plus réaliste, et intégration d’IA pour identifier en 3D des objets et éléments du bâti. Plans2BIM de WiseBIM L’innovation unique qui transforme les plans 2D en 3D WiseBIM est une start-up issue du Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives (CEA) créée en 2017 qui accompagne les gestionnaires de patrimoines immobiliers dans leur transition numérique du bâtiment vers le BIM. Plans2BIM, son logiciel en mode SaaS, en cours de déploiement, sera disponible sur abonnement ou par jetons. Basée sur des algorithmes, cette solution permet de transformer automatiquement et très rapidement en maquette 3D IFC n’importe quel plan architectural 2D, ainsi qu’éditer et enrichir la maquette, via la plateforme en ligne, sans avoir à se déplacer sur site. Le financement obtenu permet à la start-up de finaliser le développement du logiciel, dont des modules pour obtenir rapidement les dimensions d’intérêt ainsi que pour assembler les différents niveaux du bâtiment en une maquette unique.
Il y a 4 ans et 303 jours

600 000 emplois mobilisés dans la filière électrique pour contribuer à la relance économique

Dans un contexte où l’emploi est plus que jamais un enjeu dans le cadre de la relance économique, les fédérations et associations professionnelles de la filière électrique communiquent les premiers résultats de l’Engagement de Développement de l’Emploi et des Compétences (EDEC). Mené sous l’égide du Ministère du Travail avec le soutien du Ministère de la transition écologique et solidaire, et avec l’appui du cabinet PwC, ce contrat d’étude prospective au périmètre inédit a pour objectif d’appréhender de manière concrète les évolutions à venir des emplois et des compétences de la filière électrique. Au coeur des transitions énergétique et numérique, la filière électrique sera soumise à de fortes transformations d’ici 2030 : évolution du mix énergétique avec davantage de production renouvelable, développement du bâtiment durable et connecté, de la mobilité électrique et de la ville intelligente. Le respect des objectifs fixés dans le cadre de la PPE constitue un potentiel de création de plus de 200 000 emplois directs et indirects supplémentaires dans les territoires d’ici 2030, dont 80 000 consacrés à la rénovation énergétique des bâtiments et 60 000 dédiés aux énergies renouvelables (éolien, solaire photovoltaïque et hydroélectricité). 600 000 emplois qualifiés et pérennes maillent le territoire national dont 300 000 interviennent sur le système électrique (production, transport, distribution et fourniture d’électricité), 220 000 dans le bâtiment, 40 000 dans l’industrie et 40 000 dans les infrastructures de la ville et de la mobilité. La filière électrique compte 30 000 entreprises de toutes tailles, réparties sur l’ensemble de la chaîne de valeur, de l’entreprise unipersonnelle à la multinationale dont plus de 40% des PME-TPE, Ces transformations génèreront en outre d’importantes retombées économiques réparties sur l’ensemble du territoire ou d’effets induits sur l’ensemble de l’économie, qu’il s’agisse d’activités liées à la production et l’acheminement de l’électricité, à la conception et la fourniture d’équipements, aux chantiers du bâtiment et de travaux publics. La transition énergétique s’inscrit dans une dynamique de transformation des métiers et des compétences qui nécessitera un investissement commun pour adapter l’offre de formation professionnelle continue en associant les différentes branches professionnelles concernées. Sécuriser des parcours professionnels dans la durée impliquera également un travail sur les passerelles de mobilité professionnelle, entre métiers du secteur de l’énergie, au niveau national et régional.
Il y a 4 ans et 303 jours

BTP/Industrie : les dirigeants prêts à « réentreprendre »

La Fondation d’entreprise MMA des Entrepreneurs du Futur interroge les dirigeants du secteur BTP / Industrie sur leur état d’esprit à l’heure de la relance post-Covid. L’enquête conduite avec OpinionWay dresse le portrait d’acteurs combatifs, confiants, prêts à faire des changements au sein de leur entreprise pour avancer. Si des inquiétudes pointent quant à leur trésorerie ou leur carnet de commandes, les dirigeants se disent prêts à « réentreprendre ».
Il y a 4 ans et 303 jours

Macron veut relancer la réforme des retraites, Castex souhaite la régler "à court terme"

Suspendue "sine die" par le chef de l'État mi-mars, la réforme des retraites reste un sujet hautement inflammable.Dans un entretien à la presse quotidienne régionale publié jeudi soir, M. Macron a affirmé qu'"il n'y (aurait) pas d'abandon" de son projet de système universel, qu'il juge toujours "juste", même s'il se dit "ouvert" à ce que sa réforme "soit transformée".Il souhaite aussi "réengager rapidement une concertation en profondeur (...) dès l'été sur (le) volet des équilibres financiers" et considère que "la question du nombre d'années pendant lesquelles nous cotisons demeure posée".En réalité, le problème financier devient brûlant: le déficit du système de retraites devrait approcher cette année le niveau record de 30 milliards d'euros, très loin des 4 milliards attendus avant la crise provoquée par le coronavirus.Selon les estimations dévoilées mi-juin par le Conseil d'orientation des retraites, cette dégradation se concentrerait sur les caisses des salariés du privé à hauteur de 27 milliards d'euros, à cause du recours massif au chômage partiel, tandis que les régimes spéciaux et la fonction publique seraient épargnés.La branche retraite de la "Sécu", l'assurance vieillesse, devrait à elle seule enregistrer une perte de 15 milliards.Le régime complémentaire du privé, l'Agirc-Arrco, qui a sollicité une avance de Bercy avant de recourir aux banques pour verser les pensions de juin, n'aura sans doute d'autres choix que de puiser à nouveau dans ses réserves.Raisons de plus pour reprendre la "conférence de financement" lancée en début d'année et interrompue par l'épidémie. Sauf qu'à cette époque, syndicats et patronat avaient déjà du mal à s'accorder pour résorber un "déséquilibre annuel de l'ordre de 12 milliards d'euros en 2027"."L'huile sur le feu"Aujourd'hui, alors que le feu couve, les intéressés ne sont pas pressés d'y retourner. "On est dans une situation très compliquée économiquement et socialement", a souligné le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, pour qui "la priorité des priorités, ça doit être l'emploi"."Des milliers de gens vont arriver malheureusement au chômage, 800.000 jeunes vont arriver sur le marché du travail (...) On ne va pas se remettre à se foutre sur la gueule sur la question des retraites dans cette période", a-t-il ajouté.S'il "continue à être pour un système universel des retraites", le leader du premier syndicat français a prévenu que "le débat sur l'augmentation de la durée du travail serait une ligne rouge"."Ce n'est vraiment pas le moment de remettre ce dossier sur la table", a également affirmé le numéro un de Force ouvrière, Yves Veyrier, qui entend prendre attache avec les autres dirigeants syndicaux et patronaux pour envoyer un message commun au président de la République: "Il faut qu'on lui dise non".Après les longues grèves de décembre et janvier, puis le recours au 49-3 à l'Assemblée nationale début mars, "on risque de rouvrir de la tension, un conflit social", a-t-il mis en garde."Il faut être très prudent pour ne pas remettre de l'huile sur le feu", pense aussi Dominique Corona, secrétaire national de l'Unsa.En plein remaniement de l'exécutif, il attend "d'avoir le gouvernement, les arbitrages et la feuille de route" de la nouvelle équipe qui sera chargée de mettre en œuvre l'emblématique mais controversée promesse de campagne du candidat Macron.Castex veut régler "à court terme" le dossier des retraitesLe Premier ministre Jean Castex affirme souhaiter conclure le Ségur de la Santé "la semaine prochaine" et régler "à court terme" le dossier des retraites, dans un entretien publié dimanche dans le JDD où il prévient ne pas croire "au consensus mou"."Des décisions essentielles sont sur la table. L'emploi, évidemment, qui dans le contexte actuel requiert une mobilisation de tous dans le cadre de la nouvelle donne sociale lancée par le président de la République. Le soutien aux soignants et la transformation de notre système de santé dans le cadre du Ségur que je conclurai la semaine prochaine", a-t-il déclaré.Faute d'accord avec les syndicats avant un remaniement imminent, le gouvernement de son prédécesseur Edouard Philippe avait décidé jeudi de prolonger de quelques jours le "Ségur de la santé", alors qu'une enveloppe de sept milliards d'euros se trouve sur la table pour les salaires des soignants."Le plan de relance doit être finalisé. À quoi s'ajoutent les réformes qui étaient dans les tuyaux sur les retraites et l'assurance chômage. Et celle de la dépendance qui devra venir ensuite et correspond à une nécessité. Tous ces sujets sont directement impactés par la crise, ce qui nécessite de les reprendre dans un cadre concerté et avec une cohérence d'ensemble", a-t-il ajouté.Interrogé sur les inquiétudes des syndicats concernant les retraites, il a affirmé que "dire qu'on va réexaminer un sujet, ce n'est pas se renier. C'est montrer notre capacité d'adaptation aux nouvelles circonstances, qui sont douloureuses"."Nouvel agenda social""Par exemple, la crise a aggravé fortement le déficit de nos régimes de retraite. Je souhaite reprendre le dialogue avec les partenaires sociaux, c'est indispensable. Arriverons-nous à régler ces dossiers à court terme? C'est mon souhait", a-t-il dit."A minima, nous devrons nous fixer un nouvel agenda social", a-t-il poursuivi, affirmant espérer un "compromis, qui n'est pas une compromission" pour sauver les régimes de protection sociale.Il a défini sa méthode comme "un mélange de volontarisme et d'expérience, avec le souci de rassembler". "Mais attention, je ne crois pas au consensus mou. Le temps est à l'action", a-t-il averti.Il a dit mettre "les bouchées doubles" avec Emmanuel Macron pour annoncer au plus vite son gouvernement. Répondant aux rumeurs sur une équipe resserrée autour de grands pôles principaux, il a affirmé ne "pas être sûr que des périmètres trop étendus soient forcément la garantie d'une plus grande efficacité".Après la forte percée verte aux municipales, il a répété que l'écologie n'était "pas une option". "C'est une obligation", a-t-il ajouté. Il entend "accélérer" les décisions en listant "avec les acteurs locaux tout ce que l'on peut faire immédiatement" comme la lutte contre les fuites dans les réseaux d'eau, contre l'artificialisation des terres, pour l'isolement thermique, les toitures photovoltaïques, ou le bien-être animal.L'ex-secrétaire général adjoint de l'Elysée sous Nicolas Sarkozy qui vient de rendre sa carte chez Les Républicains, s'est dit "peu attaché aux affaires des partis" mais a estimé "naturel" de s'inscrire "sans ambiguïté" dans la majorité présidentielle, car "celui qui accepte de devenir Premier ministre est, par vocation, le chef de la majorité : c'est son devoir de l'animer et de l'associer".Face à ses détracteurs qui le voit comme un simple exécutant de la volonté présidentielle, il a souligné qu'il n'entrait "pas dans les intentions du chef de l'État de faire de (lui) un subordonné voué aux tâches secondaires".Et de poursuivre: "Quand vous aurez appris à me connaître, vous verrez que ma personnalité n'est pas soluble dans le terme de +collaborateur +".
Il y a 4 ans et 303 jours

Programme PROFEEL : Trois start-up lauréates du challenge "Numériser l'existant"

NUMERIQUE ET BIM. Trois start-up ont été distinguées lors du Challenge "Numériser l'existant", lancé dans le cadre de PROFEEL, le programme de développement de l'innovation au service de la rénovation énergétique du bâtiment porté par la filière.
Il y a 4 ans et 303 jours

La FFR condamnée à verser 3,36 millions d'euros après l'abandon du Grand Stade de rugby

Le projet de Grand Stade, sur le territoire des communes de Ris-Orangis et Bondoufle (Essonne), avait été abandonné par Bernard Laporte dès son élection à la présidence de la FFR en décembre 2016.Selon Le Monde, le tribunal administratif de Versailles a condamné la FFR à verser 3,36 M EUR à la communauté d'agglomération Paris Sud Seine-Essonne-Sénart, jugeant que la FFR ne pouvait pas résilier unilatéralement le contrat. La commune de Ris-Orangis doit percevoir une indemnité complémentaire de 18 300 euros, alors que celle de Bondoufle a été déboutée.La FFR a confirmé la décision à l'AFP, sans la commenter sur le fond. "Dès que nous aurons connaissance des attendus, nous nous positionnerons sur un éventuel appel", a précisé un porte-parole de la Fédération.D'une capacité prévue de 82.000 places, le Grand Stade, appelé à devenir le phare du rugby français, avait un coût estimé à 581 millions d'euros.Bernard Laporte, opposé à la construction du stade qui risquait selon lui de mettre à mal les finances de la FFR, avait abandonné le projet dès son arrivée à la tête de la FFR en décembre 2016, à la place de l'ex-président Pierre Camou, initiateur de la démarche.Les villes de Ris-Orangis, Bondoufle et la communauté d'agglomération Grand Paris Sud avaient saisi la justice administrative, réclamant "plus de 54 millions d'euros" au titre du manque à gagner provoqué par l'abandon du projet.
Il y a 4 ans et 303 jours

Immobilier ancien : le marché repart sur les chapeaux de roues (Century 21)

CONJONCTURE. Les envies d'ailleurs et d'autrement exprimées par les Français pendant le confinement ne se sont pas vraiment concrétisées, si l'on en croit le bilan semestriel du réseau Century 21. Certains indicateurs immobiliers ont même atteint des nouveaux records, comme si rien ne s'était passé.
Il y a 4 ans et 303 jours

Les collectivités abordent la crise dans une meilleure situation financière que l'Etat

Les collectivités territoriales étaient dans une situation financière favorable fin 2019 et abordent la crise liée au Covid-19 dans de meilleures conditions que l'Etat, selon un rapport de la Cour des comptes publié lundi 6 juillet.
Il y a 4 ans et 303 jours

La certification NF Habitat – NF Habitat HQE plus accessible

CERQUAL Qualitel Certification a fait évoluer son offre de certification NF Habitat – NF Habitat HQE avec la création de 4 profils permettant aux acteurs d’atteindre des performances supérieures sur des thèmes spécifiques : Économie Circulaire, Air Intérieur, Biodiversité et Bas Carbone. Par ailleurs, les exigences en rénovation ont été ajustées, pour le collectif comme pour la maison individuelle, pour rendre la certification plus accessible et permettre ainsi à un plus grand nombre d’acteurs d’engager leurs projets et activité dans la voie de la qualité. Pour le collectif, les exigences minimales obligatoires ont été réajustées, recentrées autour d’un socle de qualités essentielles, communes à tout bâtiment certifié NF Habitat, afin de limiter les surplus de travaux. Ce socle fondamental porte principalement sur la sécurité des personnes, la sureté et une performance énergétique minimale (150 kWh/m2/an.). Les process de valorisation du niveau HQE ont été simplifiés. Pour la maison individuelle, des évolutions ont été apportées pour mieux répondre aux attentes des particuliers et aux pratiques des professionnels de la rénovation, en prenant en compte tous les fondamentaux d’un projet réussi, dont le respect d’exigences techniques minimales, quels que soient les travaux et toujours en cohérence avec la mention RGE. Pour tous les types de logement, une meilleure prise en compte des cas de surélévation/extension : en collectif par exemple, il est désormais possible de certifier une surélévation/extension seule ou intégrée à un projet de rénovation globale.
Il y a 4 ans et 303 jours

La filière du BTP est oubliée pour FO

18 milliards pour le tourisme, 15 milliards pour l’aéronautique et 8 milliards pour l’automobile… Pour FO, syndicat historique chez LafargeHolcim, l’absence de plan de relance pour le BTP met en péril toute la filière, de l’amont à l’aval. L’inquiétude grandit malgré l’accélération du déconfinement et la fin annoncée de l’état d’urgence sanitaire le 10 juillet. Le nouveau gouvernement va devoir réagir vite. Les plans de relance sectoriels annoncés ces dernières semaines font du BTP, le grand oublié selon Johan Guet, Délégué Syndical Central FO chez Lafarge Ciments. L’heure est à la mobilisation générale. L’administration doit être au rendez-vous. Les permis de construire doivent être délivrés dans des délais raccourcis pour permettre aux chantiers de reprendre au plus vite. C’est toute une chaîne qui est concernée : des matières premières aux installateurs et équipementiers en passant par la conception et la construction. Le syndicat attend un signal clair et rapide. Il s’agit de répondre à une inquiétude grandissante sur l’emploi et le pouvoir d’achat. 120.000 emplois direct sont menacés de suppression d’ici la fin de l’année. Le BTP est au cœur de la croissance verte. Il constitue un formidable levier pour répondre aux attentes de l’après-Covid. Les investissements sont là, à l’image de « l’usine du futur » de Martres-Tolosane. Le groupe LafargeHolcim investit 100 millions d’euros pour faire de cette cimenterie un modèle de développement durable. De la valorisation des déchets aux économies d’énergie, ce site symbolise la transformation du modèle et son entrée dans l’économie circulaire. Avec des coûts de production en baisse, le site de Martres sera compétitif sur un marché tendu et dont la concurrence va s’accroître encore et toujours en raison des conséquences du Covid. Cet investissement répond aussi aux nombreux projets régionaux qui doivent continuer à être soutenus par l’Etat et les collectivités. Il s’inscrit aussi dans l’attractivité du territoire et la qualité de vie à l’heure où le télétravail s’impose progressivement. C’est aussi une réponse aux aspirations et attentes exprimées par les Français.
Il y a 4 ans et 303 jours

Éric Routier a été élu à la présidence du CCCA-BTP

Éric Routier (FNCB-CFDT), 62 ans, a été élu à la présidence du CCCA-BTP ,il succède à Jean-Christophe Repon (CAPEB), qui présidait l’association à gouvernance paritaire depuis 2016. Il a entièrement consacré sa carrière professionnelle au secteur du bâtiment et des travaux publics. Après une formation en menuiserie et avoir exercé dans plusieurs entreprises de la filière, depuis 1984, il travaille au sein de l’entreprise Kaefer Wanner, spécialiste de l’isolation thermique, de montage d’échafaudages, de désamiantage et de peinture en milieu industriel. Il est délégué national CFDT au sein de l’entreprise Kaefer Wanner depuis 1992 et a également été conseiller fédéral au niveau national de la FNCB-CFDT pendant douze ans, jusqu’en 2017. Éric Routier est également administrateur du CCCA-BTP depuis 1997. Jusqu’en 2019, il en a été le trésorier et le secrétaire pendant neuf ans. Son engagement de longue date dans la formation professionnelle aux métiers du bâtiment et des travaux publics, en particulier par la voie de l’apprentissage, l’a amené à présider l’association régionale à gouvernance paritaire BTP CFA Nord – Pas-de-Calais, qui gère les trois centres de formation du BTP du territoire. Éric Routier a par ailleurs présidé l’AREF Nord – Pas-de-Calais, avant d’être nommé administrateur national de Constructys, alors OPCA de la Construction, où il était membre de la commission paritaire du bâtiment des entreprises de moins de onze salariés jusqu’en 2019. Il est également administrateur de PRO BTP Prévoyance, le groupe de protection sociale du BTP.
Il y a 4 ans et 303 jours

Écologie, inclusion et souveraineté, le triptyque compliqué de la croissance post-Covid

Cette crise "va être une accélération de transformations qui étaient déjà latentes dans nos économies", a prédit la présidente de la Banque centrale européenne Christine Lagarde, présente en visioconférence à ce rendez-vous organisé normalement à Aix-en-Provence mais relocalisé cette année à Paris en raison de la pandémie."En fabrication, en travail, en commerce, ce que nous venons de vivre va accélérer les transformations et va entraîner probablement une évolution vers un mode vie plus soutenable et plus écologique", a-t-elle ajouté.Selon l'OCDE, le recul du produit intérieur brut mondial devrait atteindre au moins 6% cette année, et 7,6% en cas de deuxième vague épidémique, tandis que le rebond attendu pour 2021 serait de 5,2% sans retour du coronavirus, et de 2,8% avec."La bonne nouvelle (...), c'est que l'économie peut devenir le bras armé d'une transition écologique et d'une responsabilité sociale", a souligné Yannick Jadot, député européen écologiste tout en regrettant une "conditionnalité environnementale" et sociale insuffisante des mesures de soutien en France.Pourtant, les plans de relance de la croissance annoncés ou en préparation en Europe sont souvent placés par les gouvernements sous le signe de la transition écologique et énergétique.L'Allemagne va par exemple doper les primes à l'achat de véhicules électriques, la France envisage d'accélérer la rénovation énergétique des logements, et les deux Etats veulent aussi soutenir les investissements dans l'hydrogène, considérée comme une énergie propre d'avenir.La commission européenne souhaite aussi que le plan de relance européen de 750 milliards d'euros en négociation privilégie les investissements verts, quand certains Etats, notamment à l'Est de l'Europe, y sont moins enclins.La transition climatique "n'est plus une question de choix", mais "une évidence et même une nécessité", qui "n'est pas contraire au développement économique", c'est même "un formidable levier de prospérité si nous posons les bons choix", a défendu dimanche le président du Conseil européen, Charles Michel.Produire plus propre"Cette crise qui reste sanitaire et économique (...) nous a réveillés sur l'importance de l'écologie", a estimé la secrétaire générale de l'Organisation internationale de la francophonie, Louise Mushikiwago. "Ça a réveillé en nous la peur de ce qui pourrait arriver si on ne fait pas plus attention aux questions écologiques.""La montée de l'exigence environnementale est très claire avec un lien qui s'est fait entre la santé, le bien-être et la protection de la planète", a aussi constaté Pierre-André de Chalendar, PDG du groupe Saint-Gobain.Selon lui "la croissance durable et inclusive (pour les défavorisés) passe par l'industrie", à même selon lui de garantir notre souveraineté, la pandémie ayant fait éclater au grand jour notre dépendance de chaînes d'approvisionnement mondialisées.Pour l'économiste Hélène Rey, "le choc de la Covid a montré l'impasse d'une stratégie de décroissance pour combattre le changement climatique", car "les émissions de gaz à effet de serre n'auront baissé que de 8% en 2020", bien loin de ce qui est nécessaire limiter le réchauffement climatique.Donc, "la seule solution est de transformer notre système de production" grâce à des investissements massifs dans la recherche et à un prix du carbone qui oriente les investissements vers les technologies vertes, a-t-elle conclu.Et pour éviter une crise sociale comme celle que la France a connue avec le mouvement des gilets jaunes, "il faut redistribuer le dividende carbone aux citoyens de la façon la plus progressive possible et protéger les gens les plus fragiles", prévient Mme Rey.Acheter européenLa crise a aussi mis au jour la nécessité de relocaliser des productions stratégiques en Europe, pour protéger sa souveraineté et créer des emplois."Depuis 40 ans, nous avons comme objectif le consommateur", explique l'économiste Patrick Artus, qui rappelle qu'"on a délocalisé pour faire baisser les prix"."Nous avons construit une Europe de consommateurs et pas une Europe de travailleurs", abonde le PDG de Total Patrick Pouyanné."Je ne comprends toujours pas qu'on ne puisse pas avoir un Buy European Act en Europe, alors que les Américains l'ont, les Chinois l'ont", ajoute ce patron en référence à la loi américaine de 1933 qui impose à l'Etat fédéral d'acheter des produits fabriqués aux Etats-Unis.
Il y a 4 ans et 303 jours

NOUVELLE GAMME DE VIS À BOIS FISCHER : POWER-FAST II – Vis à bois, la nouvelle génération haute performance

fischer est devenu la référence en matière de vissage avec sa gamme Power-Fast, des vis à bois haute qualité, aux propriétés technologiques uniques. Impressionnantes par leur facilité d’utilisation, les vis Power-Fast réalisent un vissage rapide et confortable, une pose aisée et assurent un travail propre, sans fendage du bois. Aujourd’hui, fischer va encore plus loin avec une nouvelle génération de vis à bois, la Power-Fast II, plus technique, avec une accroche et une pénétration encore plus faciles et plus rapides, une finition particulièrement soignée et une mise en œuvre qui nécessite un minimum d’efforts pour un maximum de productivité. Avec un revêtement plus respectueux de l’environnement et une compatibilité avec les chevilles nylon, les vis Power-Fast II fischer vont rapidement s’imposer sur tous les chantiers. Vis à bois Power-Fast II : Marquage CE et ATE 11/0027 La nouvelle gamme de vis fischer Power-Fast II dispose du marquage CE et bénéficie de l’Évaluation Technique Européenne (ATE), qui garantit aux professionnels un standard de qualité, des résistances en charge extrêmement élevées et une meilleure productivité. Une fixation encore plus rapide et plus nette (1) L’empreinte de la tête de vis est profonde ce qui garantit un parfait positionnement de l’embout sur la vis et diminue considérablement le risque de ripage. (2) La tête de vis a été optimisée. Les fraisoirs à facettes inversés assurent une découpe parfaite des épissures de bois lors d’assemblages bois sur bois, garantissant une finition propre et nette. Les surfaces ne sont ainsi ni abîmées, ni fissurées. De plus, elle permet une fixation optimale de pièces métalliques sur du bois, les fraisoirs inversés n’altérant pas la pièce métallique à fixer. La vis Power-Fast II réduit de manière importante la résistance au vissage et le temps de mise en œuvre. Grâce à la nouvelle géométrie brevetée du (3) filetage à angle asymétrique sans vrille de coupe, (4) au moletage, (5) aux doubles filets sur les premiers pas de vis et au revêtement anti-frottement haute performance, le vissage est nettement plus rapide et sans effort. Par ailleurs, les doubles filets permettent une évacuation rapide de la poussière de perçage vers la surface, assurent une avance continue de la vis et réduisent significativement les distances aux bords et entre les vis. La géométrie spéciale de la Power-Fast II en fait la 1er vis parfaitement compatible avec des chevilles nylon ! (6) Le filetage, jusqu’à la pointe, garantit un centrage très précis de la vis dans le support et une accroche immédiate dans le bois, sans aucun pré-perçage, ni risque de glisser ou de quitter sa position initiale. Son revêtement zingué blanc, sans chrome VI (Cr3) est plus respectueux de l’environnement et des utilisateurs. La nouvelle gamme de vis à bois Power-Fast II est disponible en 3 têtes de vis : tête fraisée, tête ronde et tête fraisée bombée en filetage partiel et filetage total. La nouvelle gamme Power-Fast II Points de vente : Négoces en matériaux, Négoces Professionnels, GSB
Il y a 4 ans et 303 jours

Rue d'Aubagne : les "manquements majeurs" qui ont mené au drame

INSALUBRITÉ. L'effondrement de deux immeubles à Marseille, le 5 novembre 2018, est la conséquence d'une série de "manquements majeurs" de la part des nombreux experts et techniciens qui avaient visité les immeubles, selon le rapport d'expertise remis aux juges d'instruction, qui pointe également l'absence de réaction de la Ville.
Il y a 4 ans et 303 jours

« J’ai retrouvé des moments perdus » Corinne Vezzoni

Après un mois et demi de confinement, Corinne Vezzoni, architecte, membre de l’Académie d’Architecture, vit cette période entre inquiétude et enthousiasme. « Le rapport au temps n’est plus le même », dit-elle. De mars à juin 2020, durant le confinement et jusqu’au déconfinement, l’Académie d’architecture a questionné ses académiciens et académiciennes quant à leurs réponses et réactions […] L’article « J’ai retrouvé des moments perdus » Corinne Vezzoni est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 303 jours

La prime Macron 2019 a généré quelques effets d'aubaines pour les entreprises, selon l'Insee

"Bien qu'ils y soient plus élevés, les salaires (hors prime exceptionnelle) ont plus faiblement progressé entre le premier trimestre 2018 et le premier trimestre 2019 dans les établissements ayant versé la prime que dans les autres (écart de dynamisme de 0,4 point)", relève l'Insee."Des établissements auraient sans doute versé, sous une forme différente, au moins une partie du montant de cette prime en l'absence de cette mesure", poursuit l'Insee, qui s'est penché sur cette prime dans le cadre de son dossier 2020 "étude, emploi, chômage, revenus du travail".Cette prime, exonérée de cotisations sociales et d'impôt sur le revenu, pouvait aller jusque 1.000 euros.Au 1er trimestre 2019, "plus de 400.000 établissements ont versé près de 2,2 milliards d'euros à 4,8 millions de salariés, soit en moyenne 401 euros par salarié bénéficiaire"."39% des salariés de l'ensemble des établissements de 1.000 salariés ou plus (que ceux-ci recourent ou non au dispositif) ont réellement bénéficié de la prime, contre 15% dans les établissements de moins de 10 salariés", détaille l'Institut national de la statistique.Les secteurs de la finance ou de l'assurance ont plus versé cette prime que le commerce, le transport, certaines activités de services ainsi que l'industrie agroalimentaire, ou encore l'hébergement-restauration.Au premier trimestre 2019, "le salaire moyen par tête (SMPT) a augmenté de 2,7% sur un an, soit la plus forte augmentation depuis 9 ans. En excluant de la masse salariale les 2,2 milliards d'euros perçus par les salariés au titre de la prime, le SMPT n'aurait progressé que de 1,3% sur un an", détaille l'Insee, soit une "progression inférieure à celles des trimestres précédents ou suivants (supérieures à 1,5%), ce qui renforce l'hypothèse d'effets d'aubaine".
Il y a 4 ans et 303 jours

« Les élèves ne se copient plus » Ursula Biuso

Double casquette en confinement. Architecte du patrimoine et enseignante à l’ESA, Ursula Biuso se consacre à ses étudiants. Le confinement est aussi, pour ce membre de l’Académie d’Architecture, un temps propice à la formation.  De mars à juin 2020, durant le confinement et jusqu’au déconfinement, l’Académie d’architecture a questionné ses académiciens et académiciennes quant à […] L’article « Les élèves ne se copient plus » Ursula Biuso est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 303 jours

Les chefs d'entreprises du BTP plus combatifs que jamais pour l'après-Covid

EXCLUSIF. Dans cette période de reprise d'activité post-Covid, les chefs d'entreprises du secteur de la construction se disent confiants et combatifs, d'après une étude réalisée par OpinionWay. Mais le contexte actuel provoque une montée de stress et une inquiétude grandissante sur la trésorerie des sociétés. Détails.
Il y a 4 ans et 303 jours

Le salon de la piscine et du spa de Lyon aura bien lieu

Suite à l’annonce officielle du maintien de Piscine Global Europe, à Lyon, du 17 au 20 novembre prochain, la Fédération des Professionnels de la Piscine (FPP) confirme son soutien à l’événement leader de la filière. « La FPP est partenaire du salon, depuis 1993. A l’heure où les entreprises ont le plus besoin de notre soutien, il était inconcevable de ne pas confirmer notre engagement réciproque. Piscine Global Europe est un événement indispensable à l’ensemble des acteurs de la filière Piscine & Spa pour accompagner la reprise », souligne Gilles Mouchiroud, Président de la FPP. En affirmant sa volonté d’organiser Piscine Global Europe, au mois de novembre 2020, GL events confirme et poursuit son engagement aux côtés des acteurs du marché de la piscine. Confiant quant aux évolutions sur la libre circulation des personnes, le Groupe proposera, en lien avec l’ensemble des acteurs de l’événementiel et du tourisme d’affaires, une offre de services pour faciliter le déplacement des visiteurs et soutenir ainsi les entreprises de la filière. La FPP fait pleinement confiance à GL events, expert de l’événementiel, pour mettre en place les dispositions sanitaires qui seront en vigueur en novembre prochain.
Il y a 4 ans et 303 jours

Le Cese en passe d'être à nouveau réformé

Le Cese, c'est quoi ?Créée en 1925 sous le nom de Conseil national économique, cette institution est la troisième assemblée de la République. Elle conseille le gouvernement et le Parlement sur les lois et les orientations des politiques publiques, mais ses avis, entre 25 et 30 par an, ne sont que consultatifs et restent donc peu audibles.Ses membres représentent la société civile (syndicats, entreprises, agriculteurs, artisans, associations, organisations de jeunesse)...Beaucoup de ses travaux résultent d'auto-saisines. Cette assemblée est présidée depuis décembre 2015 par l'ex-dirigeant du Medef Patrick Bernasconi.Sis au palais d'Iéna à Paris, le Cese a tout dernièrement abrité les travaux de la Convention citoyenne pour le climat.Des voix se lèvent régulièrement pour critiquer son coût, demander sa suppression ou sa fusion avec le Sénat - proposition que le général de Gaulle avait soumise au référendum en 1969, essuyant un échec.En 2019, 20% des contributeurs du site du "grand débat", organisé dans la foulée du mouvement des "gilets jaunes", ont proposé de le supprimer.Le budget, voté par le Parlement, était de 40,23 millions d'euros en 2019, stable depuis quelques années. Le Cese avait été épinglé en 2015 par la Cour des comptes sur la gestion des indemnités et le temps de travail.Que prévoit la réforme ?Annoncée en 2018 par Emmanuel Macron, le projet de loi organique (12 articles qui modifient l'ordonnance du 29 décembre 1958, selon le texte dont l'AFP a obtenu copie) vise à en faire une "chambre des conventions citoyennes", selon Emmanuel Macron.Le Cese pourra désormais être saisi par pétition électronique, et non plus seulement par écrit. Avec toujours le seuil de 500.000 personnes.Ce seuil n'a été atteint qu'une seule fois, en février 2013, par des opposants au mariage pour tous qui demandaient d'ouvrir un débat sur ce sujet. Le Cese a alors jugé cette demande irrecevable, estimant qu'il n'était pas habilité à émettre un avis sur un projet de loi examiné par le Parlement.Autre changement: 175 membres contre 233 actuellement, avec la répartition suivante: 52 personnes représentants des syndicats, 52 du patronat (entreprises, artisans, agriculteurs...); 45 des activités "relevant des domaines de la cohésion sociale et territoriale et de la vie associative" et 26 de la protection de la nature et de l'environnement.Nouvelle mission: recours, à son initiative ou à la demande du gouvernement, à la consultation du public, en procédant à des tirages au sort pour déterminer les participants. Le Cese l'a déjà testé lors d'une consultation pendant le mouvement des "gilets jaunes" et pour la Convention pour le climat.Qu'en disent les partenaires sociaux ?Patrick Bernasconi a toujours salué la réforme, notamment le tirage au sort, "un aboutissement" et un "renforcement de la démocratie participative".Thierry Cadart, de la CFDT, est aussi "très satisfait" que le Cese soit le lieu de la consultation citoyenne, car il garantira "l'indépendance" et évitera "l'instrumentalisation". Le "Cese avait beaucoup besoin de se moderniser".Alain Griset, de l'U2P (artisans, commerce de proximité), se dit "réservé" sur les critères des tirages au sort et prudent quant à l'impact de la réforme sur l'attitude de l'exécutif vis-à-vis des futures préconisations du Cese. "Si on est dans la philosophie de tenir compte de ce que dit le Cese, comme Emmanuel Macron l'a fait pour la Convention citoyenne pour le climat, alors on va dans le bon sens".Jean-Michel Pottier (CPME) se félicite de l'"équilibre général" du projet, avec le maintien des missions d'évaluation et de consultation. "Ce n'est pas évident pour le grand public, mais les avis du Cese finissent pas être distillés auprès des élus et dans le processus législatif".Inquiets, Philippe Martinez et Yves Veyrier, les numéros un de la CGT et FO, ont chacun écrit à Edouard Philippe à propos de l'article 6 qui prévoit qu'en cas de consultation du Cese sur un projet de réforme économique, sociale ou environnementale, le gouvernement ne procède pas aux consultations prévues par la loi. Or le Code du travail oblige à une "concertation préalable" des corps intermédiaires.
Il y a 4 ans et 303 jours

UNTEC : le rendez-vous des professionnels de la construction revient les 9 et 10 septembre 2020

Les 9 et 10 septembre 2020 retrouvez le congrès de l’UNTEC, rendez-vous des professionnels de la construction à Angers.  Cette année, le congrès traitera des ruptures en cours : économiques, climatiques, digitales et sociales. « Quels sont les enjeux et témoignages de professionnels et d’acteurs de la filière BTP quant à la rupture environnementale ? Quels sont les enjeux, risques et opportunités pour l’économie et la filière BTP de ces trois ruptures : climatique, digitale, sociale ? Quels sont les enjeux en matière de Responsabilité Sociale et Environnementale pour les entreprises et les cabinets d’économistes de la construction ? Comment la « force de l’humain » peut résoudre des ruptures grâce à la confiance ? » 4 thèmes qui seront abordés lors des conférences. Durant 2 jours : Assistez à des conférences et tables-rondes sur l’intelligence artificielle avec des intervenants experts et reconnus. Découvrez les dernières innovations produits et techniques de la filière construction avec les nombreux exposants présents. Réalisez des rendez-vous d’affaires pendant l’événements sur les espaces dédiés. Rencontrez d’autres professionnels du secteur. L’Untec est depuis 1972, la seule organisation patronale représentative des économistes de la construction en France, qui comptent environ 8 500 entreprises réparties sur l’ensemble du territoire. Conformément à ses statuts, l’Untec a notamment pour objet : de représenter et défendre les intérêts généraux de la profession des économistes de la construction dans ses rapports avec les pouvoirs publics ;  de participer à l’élaboration de la formation initiale et continue de la profession des économistes de la construction ; d’assurer les règles de concorde, de capacité et de probité professionnelle de ses membres au regard du Code de déontologie de la profession ; de promouvoir la profession auprès de tous les acteurs du secteur de la construction et de l’économie en France   Plus d’informations sur le site de l’événement : http://www.congreseconomistes.com/
Il y a 4 ans et 304 jours

Sto enrichit ses panneaux PSE de nouvelles possibilités pour des chantiers propres et plus rapides

La fabrication et le contrôle qualité y sont si rigoureux que le polystyrène à billes jaunes a été très vite adopté par les professionnels de la façade. Pour répondre aux attentes de ses clients en quête de productivité et de développement durable, Sto enrichit aujourd'hui son offre de nouvelles possibilités et de nouveaux services.Une qualité de panneaux PSE signée StoLa qualité de l'isolant joue un rôle clé dans celle du système d'ITE. « Une précision d'horloger » : c'est ainsi que Sto caractérise les procédés de fabrication et de contrôle de ses panneaux isolants en polystyrène expansé blanc (Sto-Panneau Polystyrène PS15SE) et graphité (Sto-Panneau Isolant Top31).Fabriqués sur un site ultra moderne, situé à Amilly, près de Montargis (45), ils conjuguent une très haute précision de découpe, grâce à un système de fils chauds à vibrations pendulaires, avec une excellente performance thermique (λD = 0,031 W/(m*K) pour le polystyrène graphité Top31 et λD = 0,038 W/(m*K) pour le polystyrène blanc PS15SE) grâce à la technologie InnoPearls®. Ces billes jaunes brevetées, très faciles à reconnaître, jouent le rôle de traceur pour identifier la qualité Sto. Les panneaux isolants sont conformes à la norme EN 13163 et EN 13501-1 (classement feu E). La fabrication du panneau permet à Sto d‘en maîtriser toutes les étapes de production et de contrôle qualité.Les panneaux PSE de Sto sont reconnus par les professionnels pour leur qualité de surface, leur cohésion, leur équerrage et leur stabilité dimensionnelle. Ces atouts font gagner un temps précieux sur le chantier par rapport à d'autres panneaux du marché moins réguliers, qui nécessitent des coûts supplémentaires de main d'œuvre pour le calage et le ponçage.NOUVEAU : plus besoin de filets de protection UV sur les échafaudages pour protéger le Sto-Panneau Top31 avant enduisageConformément à la note du Groupe Spécialisé n°7 annonçant la prochaine modification du cahier de prescriptions techniques (CPT 3035-V3), les panneaux isolants en polystyrène expansé graphité Sto-Panneau Top31 ne nécessitent plus la mise en œuvre d'un bâchage de protection d'échafaudage spécifique ne laissant pas passer plus de 30% de l'énergie solaire. Un avantage intéressant pour les entreprises de pose qui va leur permettre un gain de temps, une maniabilité, une économie, un confort et une rapidité lors de la mise en oeuvre sur les chantiers.NOUVEAU : Un collage rapide des panneaux PSE grâce à la nouvelle colle Sto-Turbofix MiniDernière nouveauté signée Sto, Sto-Turbofix Mini est une mousse polyuréthane expansive pensée pour faciliter et accélérer le collage du système d'ITE StoTherm Vario avec isolant thermique en polystyrène issu de la technologie InnoPearls de Sto.Ses avantages sont multiples : aucun temps de préparation, une bonne adhérence 2 heures seulement après la pose sur pratiquement tous les supports, un format compact, une utilisation polyvalente (elle convient également pour les petites surfaces, les encadrements et les réparations), pas de nettoyage quotidien des outils et machines.NOUVEAU : Un service de récupération et de valorisation des chutes de PSE pour des chantiers plus propres et respectueux de l'environnementEn tant que leader du marché français pour l'ITE, Sto ambitionne de s'inscrire dans une dimension éco circulaire. La signature en 2020 d'une convention de recyclage avec un partenaire en est la première étape. Sto procède désormais à la reprise des chutes de chantiers émanant de ses produits isolants en PSE.Dès la vente de ses produits, ce service de collecte est proposé aux clients. Les chutes propres et triées par le client sont enlevées pour être acheminées vers le site de retraitement agréé le plus proche. Les chutes d'ITE sont ensuite revalorisées pour devenir de nouvelles matières premières pour la fabrication d'autres produits comme par exemple des dalles acoustiques ou des bétons allégés.
Il y a 4 ans et 304 jours

Un nouveau président pour CCCA-BTP

FORMATION. Le conseil d'administration a élu un nouveau président, pour remplacer Jean-Christophe Repon, désormais à la tête de la Capeb.
Il y a 4 ans et 304 jours

Immeuble de bureaux Lowcal : les atouts du bâtiment passif

Conçu par le bureau d’études Enertech, Lowcal est un bâtiment de bureaux qui illustre la convergence du passif et du Low Tech. Retour sur les atouts des bâtiments passifs (2/3).