Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87527 résultats)
Il y a 4 ans et 304 jours

Panasonic équipe le premier quartier intelligent de Berlin d'un chauffage presque sans CO² pour 90 foyers

À Berlin, l'installation concerne des logements à la fois écologiques et durables, numériques et connectés. Pour ce faire, des solutions énergétiques intelligentes sont utilisées, notamment les pompes à chaleur air-eau, les panneaux photovoltaïques (PV) et les batteries de stockage haute efficacité de Panasonic, le tout intégré à un système de gestion de l'énergie efficace et intelligent.Junichi Suzuki, PDG de Panasonic Europe B.V explique : « Forts de plus de 60 ans d'expertise en matière de chauffage et de climatisation, et de plusieurs décennies d'expérience dans les solutions PV et de batterie, nous apportons au projet toute notre passion de l'innovation afin de façonner l'avenir des générations futures. »Panasonic a connu une forte croissance des ventes dans les secteurs de l'énergie en Europe, notamment une croissance à deux chiffres des ventes de pompes à chaleur air-eau ces 10 dernières années. En 2019, l'entreprise s'est en outre engagée à développer le secteur des équipements résidentiels d'économie d'énergie d'ici 2025.Gestion efficace de l'énergiePour Panasonic, Future Living® Berlin constitue une expérience déterminante dans la mise au point de solutions énergétiques de pointe. Ce projet marque une étape vers l'atteinte des objectifs définis dans sa stratégie.Les experts de l'énergie et les ingénieurs logiciels du centre de R&D de Panasonic en Europe ont développé une solution intelligente de gestion de l'énergie afin d'optimiser l'utilisation de l'énergie générée en local et d'associer le secteur de l'énergie renouvelable à celui du chauffage. Le contrôle intelligent associe les pompes à chaleur à d'autres technologies vertes et efficaces de Panasonic, parmi lesquelles les panneaux PV et des systèmes de stockage de l'énergie optionnels. Ces technologies ont été intégrées à une solution efficace d'économie d'énergie qui est non seulement contrôlée, mais aussi constamment optimisée par la solution intelligente de gestion de l'énergie de Panasonic.Ralf Becker, Responsable de projet du groupe Énergie au sein du centre européen de R&D de Panasonic, précise : « Cette solution est une première mondiale. Il s'agit d'un projet commun avec de grandes institutions de recherche, l'objectif étant de parvenir à une gestion décentralisée de l'énergie. Des laboratoires de test universitaires ont procédé à des simulations, qui ont montré que nous obtenions une amélioration de la consommation d'énergie allant jusqu'à 15 %. »Une solution phare pour des habitats durablesLe composant énergétique central de l'objectif d'écologie et de développement durable du projet Future Living® Berlin n'est autre que la gamme de pompes à chaleur air-eau Aquarea de Panasonic. Dotées d'une technologie à fort rendement énergétique, ces pompes fonctionnent presque sans carbone lorsqu'elles sont alimentées par l'énergie renouvelable fournie par les 600 panneaux HIT de Panasonic, dont la puissance s'élève à 195 kWc.Grâce à la technologie silicium brevetée, le système photovoltaïque de Panasonic offre une efficacité 10 % plus élevée que les modules traditionnels. De plus, en raison de son coefficient de température exceptionnel, la technologie HIT de Panasonic garantit des performances nettement supérieures dans les environnements chauds, un avantage essentiel dans la lutte contre le réchauffement climatique.En s'appuyant sur une énergie renouvelable, le système air-eau assure le chauffage des locaux et fournit de l'eau chaude. Pour des performances et une fiabilité accrues, les pompes à chaleur incluent une fonction de connectivité via le cloud pour les installateurs : Aquarea Service Cloud. Cette fonction contribue à la réduction des émissions de CO2, dans la mesure où les visites de maintenance peuvent être organisées de manière bien plus efficace, voire effectuées en partie à distance.Ces solutions énergétiques sont associées avec le système Aquarea Smart Cloud, qui permet aux utilisateurs finaux de suivre leur consommation et de gérer les paramètres de température en conséquence. Le rendement et le confort s'en trouvent accrus, tandis que la consommation gagne en transparence.Pour atteindre des objectifs plus ambitieux en matière d'écologie et de développement durable, les résidents s'intègrent à un environnement écologique plus large : partage de véhicules verts, partage de machines à laver et solutions énergétiques Panasonic.Confort connectéL'objectif numérique et connecté du projet Future Living® Berlin débute avec les appartements résidentiels. Leur équipement doit être intelligent et connecté, avec notamment des téléviseurs et des haut-parleurs intelligents Panasonic intégrés à une infrastructure IoT globale, qui inclut un gestionnaire d'appartement comme hub central.Les solutions numériques et connectées sont encore étendues afin d'inclure davantage de solutions de sécurité et de construction intelligente, dans le but d'améliorer le confort général des résidents.M. Suzuki continue : « Future Living® Berlin incarne le mode de vie du futur : comment vivre demain en nous concentrant sur des logements sociaux, numériques et connectés, mais aussi écologiques et durables. »Dans le cadre du projet de ville intelligente, Panasonic est associé à GSW Sigmaringen, le propriétaire des bâtiments concernés par Future Living® Berlin.
Il y a 4 ans et 304 jours

"L'économie circulaire va s'imposer", Rafael Rodriguez, DG France et Europe du sud de Rockwool

Pour le directeur général France du spécialiste de l'isolation en laine de roche, la "recyclabilité" des produits et un mode de production plus vertueux seront les atouts maîtres sur un marché qui sera porté dans les années qui viennent par la rénovation des logements.
Il y a 4 ans et 304 jours

Vers une accélération de la demande de maisons neuves

La demande de maisons neuves est en forte hausse, confirment les études des professionnels du secteur. Un phénomène post-Covid-19 qui se heurte cependant à une restriction de l’offre.
Il y a 4 ans et 304 jours

Le spécialiste des entrepôts Argan, devrait atteindre ses objectifs 2020, malgré l'épidémie

Entre janvier et juin, Argan a enregistré un chiffre d'affaires de 69,5 millions d'euros, soit un bond de 54% par rapport à un an plus tôt. Sur le seul deuxième trimestre, la progression est semblable (+48%).Cette forte hausse est en partie due à une énorme acquisition l'an dernier, celle de plusieurs entrepôts détenu par le géant de la distribution Carrefour. Mais elle est aussi alimentée par "les développements de l'année 2019", c'est-à-dire les sites construits par le groupe lui-même.Argan, l'un de seuls spécialistes des entrepôts dans le monde immobilier français, a souligné que ces chiffres étaient conformes à son objectif de chiffre d'affaires de 140 millions d'euros cette année, fixé avant la crise liée au coronavirus.A ce titre, après une période d'interruption au début du confinement en mars et avril, "les chantiers ont repris progressivement et sont désormais tous en activité", a indiqué Argan.
Il y a 4 ans et 304 jours

Udirev dévoile les tendances 2019 des sols décoratifs

Une couverture nationale, un historique avéré et une forte expertise permettent aujourd'hui à UDIREV de restituer un panel représentatif des catégories de revêtements de sols plébiscités sur le marché français.Une progression à deux chiffres pour 3 familles de produitsLVT, sols stratifiés et parquets bois sur le devant de la scèneEn 2019, ce sont les segments LVT, dalles et lames vinyles (+11,93%) et stratifiés (+11,53%) qui ont enregistré les plus fortes progressions en volume (m²). Un vrai succès pour ces solutions modernes portées par des innovations technologiques (durabilité, qualités phoniques, Avis Techniques…) et par des systèmes de pose séduisants et sécurisants. Ils sont suivis de près par les parquets bois (+11%) qui opèrent un beau retour et s'affichent de nouveau comme une tendance forte et pérenne du cadre de vie. Une répartition des ventes dominée par les solutions pvcLes solutions vinyles sur le haut du podiumEn 2019, les sols vinyles confirment leur succès et constituent plus de 60% des ventes chez UDIREV. Même si le vinyle en rouleau perd du terrain et progresse moins que les solutions en dalles et lames, il garde une belle part de marché (28%). Les tendances en détailLVT, en constante progressionLe succès se confirme pour le segment des dalles et lames vinyles. Avec une progression de +11,93% ce type de revêtement aisé à mettre en œuvre, créatif et à haut pouvoir décoratif remporte les suffrages. La lame PVC clipsable est appréciée pour les projets de rénovation où sa simplicité de pose est un atout. Anticipant l'engouement pour ces sols nouvelle génération, UDIREV crée depuis 10 ans des collections de LVT sous la marque LIBERTY. Aujourd'hui le groupe positionne clairement LIBERTY comme sa marque d'édition. Les associés témoignent de ventes boostées par les lancements des gammes LIBERTY de LVT rigides. Outre les nombreux avantages liés aux lames PVC, ces produits se caractérisent par un cœur rigide qui augmente encore la résistance à l'usure et la stabilité dimensionnelle. Stratifiés, l'alternative éléganteLes ventes de sols stratifiés progressent de 11,53% en 2019. Traitements hydrofuges, simplicité de pose, grand choix de décors en font des sols faciles à vivre et à entretenir. À noter que sur ces gammes, ce sont les imitant bois clairs, voire blanchis, qui ont la faveur des professionnels, répondant ainsi à la tendance « esprit scandinave » qui perdure en 2019.Un beau retour du parquet boisAvec une progression des ventes de 11%, le parquet bois retrouve une belle place dans le cœur des décorateurs et architectes d'intérieur. Chaleureux et robustes, les nouveaux parquets ont su évoluer en termes de système de pose, de finitions et de formats. Le parquet en chêne massif séduit par son aspect chaleureux et authentique évoquant les planchers d'autrefois. Ses nombreuses qualités (résistance à l'usure, stabilité dimensionnelle, grande variété des finitions et des teintes…) en font une valeur sûre qui s'adapte à tous les styles d'intérieur, ancien ou contemporain. Déjà bien présent sur ce segment avec sa marque UDIWOOD, UDIREV acte ce retour en grâce du parquet et lance de nouvelles collections UDIWOOD de parquets chêne en 2020, déclinées en quatre qualités de bois et en de multiples teintes de finition.Moquette, place à la douceurLa moquette fait l'objet d'un regain d'intérêt avec une progression de plus de 4% des ventes. Elle semble enfin sortir des (fausses) rumeurs qui courent à son sujet et les projets s'en ressentent ! Ce revêtement particulièrement doux et confortable fait son come-back dans les chambres et salons mais également dans le secteur tertiaire où la moquette en dalles équipe de nombreux bureaux et lobbys.UDIREV en 2019C'est une belle progression des ventes qu'annonce le premier réseau de distribution professionnel dédié aux revêtements de sol. Le chiffre d'affaires consolidé 2019 est de 223 millions d'euros contre 216 millions en 2018. UDIREV est fort d'un réseau national de plus de 80 points de vente animés par près de 720 collaborateurs. Chaque année, de nombreuses missions d'aide à la vente, de communication et de lancement de nouvelles gammes sont menées dans l'intérêt de ses associés et de la filière professionnelle. UDIREV est le représentant français de HOMEDECOR INTERNATIONAL GROUP (association qui compte, parmi ses 12 adhérents de 9 pays, les plus importantes entreprises nationales spécialisées dans les revêtements de sols). UDIREV est également membre de l'UFTM (Union Française des Tapis et Moquettes) et de la FND (Fédération Nationale de la Décoration).
Il y a 4 ans et 305 jours

L'Espagne tourne le dos au charbon

Aujourd'hui, "il est moins cher de produire avec des énergies renouvelables qu'avec du charbon", explique à l'AFP l'avocate environnementaliste Ana Barreira, directrice de l'Institut international de droit et environnement.Elle estime que l'ensemble des centrales espagnoles pourraient être fermées en 2025.Une échéance due uniquement aux décisions des entreprises propriétaires car en Espagne, contrairement à la France ou l'Allemagne, le gouvernement n'a jamais fixé de date de fermeture contraignante.Ces huit usines, sur quinze encore en activité, représentaient une puissance cumulée de 5,16 gigawatts, selon la plateforme d'ONG "Un futuro sin carbon" (Un avenir sans charbon).Leur fermeture permettra de diviser par deux la capacité de production d'énergie au charbon de l'Espagne, à 4,7 gigawatts selon ces ONG.Situées majoritairement dans le nord-ouest de l'Espagne (provinces de Galice, Asturies, Leon), ainsi qu'à Teruel (nord-est) et dans la province de Cordoue (sud), elles appartiennent aux groupes espagnols Naturgy, Iberdrola et Viesgo, à l'hispano-italien Endesa (propriété de Enel), qui ont tous confirmé à l'AFP l'arrêt de leurs opérations.L'une des centrales d'Iberdrola n'a pas encore reçu l'autorisation gouvernementale de démantèlement mais cessera d'opérer, conservant seulement un stock de charbon de secours.Le sort des centrales à charbon était décidé depuis longtemps par leurs propriétaires: l'arrêt des opérations au 30 juin correspond à la fin de la période de transition accordée à ces usines pour se mettre en conformité avec la directive européenne sur les émissions industrielles.InévitableOr, ces groupes énergétiques "n'ont pas fait les investissements nécessaires" pour continuer à les exploiter, un choix délibéré, a expliqué à l'AFP Tatiana Nuño de Greenpeace."Ces décisions répondent à des logiques de marché des entreprises électriques", pour lesquelles ces centrales "n'étaient plus rentables", détaille-t-elle, soulignant que "la majorité" de ces usines ne produisaient déjà quasiment plus d'électricité depuis de nombreux mois pour cette raison.Ces centrales "ne participaient plus au marché des prix de l'énergie car elles sont bien plus chères" que d'autres sources d'énergie, confirme un porte-parole d'Endesa.La fin de ces usines semblait inévitable depuis la fermeture des dernières mines de charbon fin 2018. Elle a été accélérée par l'évolution des prix de l'énergie.En 2019, le charbon ne représentait plus que 5% du total de l'électricité consommée contre 25% en 2007, selon l'opérateur du réseau électrique Red Electrica.Mais l'Espagne est encore loin de remplir ses engagements en matière d'énergies renouvelables: seuls 17,4% du total de l'énergie produite provenaient de sources renouvelables en 2018 (dernières données disponibles Eurostat), alors que l'objectif fixé avec Bruxelles est de 20% en 2020.L'Espagne avait pourtant été l'un des pionniers des énergies vertes dans les années 2000, mais leur développement fulgurant a été freiné net par la crise de 2008.Après plusieurs années de marasme, où le pays du soleil s'est notamment retrouvé distancé par l'Allemagne en matière de puissance photovoltaïque, l'appétit des investisseurs a repris depuis 2018, grâce à la rentabilité accrue des renouvelables, avec de gigantesques projets de parcs photovoltaïques.Même chose dans l'éolien, point fort du royaume, cinquième pays au monde en termes de capacité installées d'éoliennes. En 2019 selon le lobby européen WindEurope, le quart des financements de nouvelles installations en Europe concernait l'Espagne.Les multinationales énergétiques espagnoles s'y mettent aussi, comme Iberdrola, qui investit fortement dans les renouvelables même si la production à base d'énergie fossile représente encore les deux-tiers de son chiffre d'affaires.Reste à mesurer l'impact social de l'adieu au charbon. Le syndicat Commissions Ouvrières estime que 4.000 emplois (sous-traitants compris) pourraient être perdus lorsque toutes les centrales seront fermées.Les entreprises assurent, elles, travailler sur des solutions concertées, notamment des réaffectations sur d'autres sites et mettent en avant les emplois nécessaires aux futurs démantèlements.
Il y a 4 ans et 305 jours

A Dakar, le front de mer cède du terrain sous les assauts des promoteurs

Fin mai, un homme s'est présenté avec un permis et a entrepris de terrasser au pied de la colline pour construire un hôtel, causant la stupéfaction des habitants et des élus locaux, raconte Mamadou Mignane Diouf, de l'ONG Forum social.Pourtant, "ici, personne ne doit construire", dit-il, car la colline, surmontée d'un phare emblématique depuis 1864, est une zone verte protégée.La capitale sénégalaise, métropole de trois millions d'habitants en rapide expansion sous la pression de l'exode rural, se sent de plus en plus à l'étroit sur sa péninsule qui s'enfonce dans l'Atlantique.Depuis des années, les promoteurs ont pris pour cible son rivage de carte postale, érigeant hôtels et résidences de luxe et défigurant petit à petit le paysage en se jouant d'une législation complexe et peu appliquée.Les Dakarois ordinaires se plaignent de cette privatisation du littoral, qui réduit l'accès à la mer et aux plages dans une ville manquant cruellement d'espaces de loisirs collectifs.ElectrochocLa destruction d'une partie de la colline des Mamelles, bien que loin d'être un fait sans précédent, a constitué un électrochoc et soulevé de nombreuses protestations.Avec la colline voisine, surmontée de l'imposant monument de la Renaissance africaine, bâti par la Corée du Nord, les deux monticules volcaniques d'une centaine de mètres de haut portent le nom évocateur de "Mamelles". Elles sont un élément reconnaissables entre tous du paysage, auxquels les Dakarois sont attachés. Leurs abords sont déjà largement urbanisés.Après des protestations dans la presse et sur les réseaux sociaux, la police a interrompu le terrassement, qui laisse un trou béant au ton ocre."Ils ont déjà causé beaucoup de dégâts", regrette M. Diouf en parcourant un amas de gravats et en se demandant "pourquoi quelques privilégiés pensent qu'eux seuls ont droit d'accéder au littoral, de le privatiser, de le fermer et de permettre uniquement à eux et à leur famille d'y accéder au détriment des autres Sénégalais". Le ministre de l'Urbanisme, Abdou Karim Fofana, assure à l'AFP que le gouvernement du président Macky Sall, au pouvoir depuis 2012, travaille à une nouvelle loi de protection du littoral.Mais l'attribution sous les précédents régimes de titres de propriété et de permis de bâtir signifie que de nombreux projets immobiliers vont probablement se poursuivre, explique-t-il avec une dose de fatalisme."Il faut sauvegarder les parties non occupées, faire en sorte que les Sénégalais et la population dakaroise y aient accès", dit-il."La loi des plus forts"Pays pauvre de 16 millions d'habitants, le Sénégal s'est engagé dans un programme de développement et de modernisation. La construction d'autoroutes, le développement de carrières de calcaire et la construction à tout-va de logements pèsent sur l'environnement, déjà mis à mal par le changement climatique et la déforestation sauvage.Pour Marianne Alice Gomis, une élue dakaroise spécialiste d'urbanisme, "le problème principal vient des titres liés à la propriété foncière", le cadastre étant très lacunaire.La majorité des constructions à Dakar sont illégales, dit-elle, en soulignant que de nombreux responsables méconnaissent les codes urbanistiques.Mme Gomis cite en exemple un conflit qui oppose sa commune (subdivision de Dakar), Mermoz-Sacré-Coeur, au promoteur d'un projet d'appartements qui verrait le jours aux abords d'une des plus grandes plages. La commune de Mermoz affirme que le terrain litigieux se situe sur son territoire. Le promoteur détient un permis de bâtir, mais il a été délivré par une commune voisine.Le maire de Mermoz, Barthélémy Diaz, a qualifié l'opération "d'agression flagrante sur le domaine public maritime" et estimé qu'il "s'agit d'une contribution significative de ce promoteur à l'érosion côtière". "Et c'est cela qui est inadmissible", a-t-il ajouté. Balla Magassa, 43 ans, est propriétaire d'un petit bar sur ce qui reste de la plage des Mamelles, au pied de la colline. Déjà entouré de bâtiments, il craint d'être définitivement chassé par de nouveaux projets. "C'est simplement la loi des plus forts", dit-il.Texte
Il y a 4 ans et 306 jours

Support antivibratoire : le nouvel indispensable des entreprises

Nécessaires pour le confort des salariés, mais aussi pour la protection de vos appareils, les supports antivibratoires sont les nouveaux indispensables des entreprises modernes. Ils s’invitent aussi bien dans le domaine de la construction automobile que dans les industries. Et la société Solutions Elastomères basée à Saint-Etienne est la nouvelle référence en la matière. Les vibrations : une nuisance pour la productivité de vos salariés Les vibrations peuvent constituer des nuisances pour vos salariés, en plus de présenter des risques pour vos machines.  Depuis 2011 d’ailleurs, les autorités ont conclu que ces dernières pouvaient être un facteur à risque pour les travailleurs. Une remise aux normes de certaines entreprises a donc été demandée au cours de ces dernières années. On parle notamment des normes ISO 263-1 :1997 pour les vibrations sur tout le corps et ISO 5349-2 :2001 pour les vibrations au système main bras. Malgré tout, trouver des accessoires à même de réduire convenablement et facilement ces vibrations était pour le moins compliqués. La société Solutions Elastomères est donc venue combler un vide sur le marché en proposant sur https://www.solutions-elastomeres.com différentes alternatives pour les sociétés qui sont en quête de support antivibratoire. Non seulement sur cette plateforme dédiée, vous avez le choix entre différents accessoires, mais l’entreprise vous promet également une livraison rapide de ces derniers pour une remise aux normes efficace et simple de votre entreprise. Et en commandant sur le site, vous profiterez d’un système de paiement sécurisé. Ce qui ne vous empêche pas de contacter directement l’entreprise pour une expertise plus poussée. Un accompagnement personnalisé Expert depuis 50 ans dans le domaine des supports antivibratoires, Solutions Elastomères est à même aujourd’hui de vous proposer différentes alternatives pour réduire les vibrations de vos machines. Ce peut être des suspensions en caoutchouc, en métal, des articulations élastiques, des plaques antivibratoires ou bien d’autres. Le personnel de l’entreprise peut vous accompagner et vous aider dans la recherche de la meilleure alternative en fonction de la configuration de votre entreprise et de vos machines. Solutions Elastomères intervient dans plusieurs secteurs d’activités et est devenu une référence dans la proposition de support antivibratoire. Ces accessoires sont utilisés notamment pour l’isolation des machines-outils, des ventilateurs, des groupes moto-pompes, des groupes froids, des ascenseurs et même des armoires électriques et de bien d’autres encore. Solutions Elastomères vous propose des produits de qualité qui sont simples à installer et qui vous dureront des années. De quoi permettre une meilleure protection à la fois de vos machines et de votre personnelle, ainsi qu’un respect des normes en vigueur. Sans compter que ces solutions peuvent vous permettre de booster la production de vos machines en limitant les vibrations de manière optimale. Elles permettent de venir à bout simplement des inconvénients techniques liés aux vibrations. Pour un accompagnement optimal et réussi, les professionnels de Solutions Elastomères travaillent en collaboration avec SilentBloc PAULSTRA pour une expertise technique de vos besoins. Il est possible en effet de demander des supports personnalisés, plus adaptés à votre utilisation et à votre usine, et ce, à moindre coût. De nouvelles solutions disponibles tous les ans Pour répondre à tous les besoins et couvrir une large demande, Solutions Elastomères propose chaque année de nouvelles solutions pour permettre aux entreprises d’aménager simplement et efficacement leur appareil. Cela s’applique aussi bien aux très grandes entreprises qu’aux petites usines. Les suspensions notamment font l’objet de mises à jour fréquentes : supports marrons, Sylomer, accessoires élastiques, masses lourd bitume ou même des accessoires résistants au feu.
Il y a 4 ans et 306 jours

Budget : l'Assemblée aide les transports en IDF, les chambres de commerce et la rénovation énergétique

De la droite à la gauche, en passant par le groupe Agir ensemble, allié à la majorité, des députés de différents camps portaient la mesure pour les chambres de commerce, afin de revenir temporairement sur une baisse de leurs ressources, via la diminution d'une taxe affectée.Cette baisse de ressources devait accompagner la restructuration des chambres de commerce et la redéfinition de leurs missions.Contre ces amendements, le rapporteur général Laurent Saint-Martin (LREM) a regretté à "titre personnel" une tentative "de détricotage d'un projet de transformation publique". Ce "marcheur" a estimé que la mesure votée n'aurait pas l'effet escompté car elle modifie "des trajectoires et des ressources" des chambres de commerce, seulement "à partir de 2022".Le secrétaire d'Etat Olivier Dussopt a indiqué "qu'aujourd'hui" les éventuels problèmes de trésorerie des chambres de commerce "n'apparaissaient pas dans les prévisions" et qu'il n'y avait "pas urgence à intervenir".Certaines voix dans la majorité ont soutenu la mesure, comme la LREM Stella Dupont, critiquant les "suppressions d'emplois" dans les chambres de commerce et d'industrie (CCI)."Nous sommes en pleine gestion de crise, on est juste en train de demander un moratoire de quelques mois" sur la baisse des ressources, a aussi plaidé Olivier Becht (Agir Ensemble)."Il faut arrêter de penser qu'on peut faire plus avec moins", a complété Eric Coquerel (LFI), tandis que Marc Le Fur (LR) jugeait qu'il fallait "soutenir les CCI", même si "elles doivent évoluer".Les députés ont par ailleurs prévu, avec l'aval du gouvernement, d'étendre l'accompagnement financier des collectivités et de leurs autorités de transports à Ile-de-France Mobilités, via un amendement du rapporteur, déjà adopté en commission. Laurent Saint-Martin a précisé qu'un acompte de 425 millions euros était prévu dès promulgation du projet de loi, soulignant que ce n'est "pas à l'usager de payer".Des élus LR se sont émus qu'Ile-de-France Mobilités ait été "oublié" initialement, une "sacré bizzarerie" pour Eric Woerth, Gilles Carrez jugeant l'accompte de 425 millions "probablement insuffisant".Olivier Dussopt a souscrit "au montant" proposé et à la logique de l'amendement, défendant un traitement "ad hoc" pour Ile-de-France Mobilités.Jean-René Cazeneuve (LREM) a défendu un "effort tout à fait exceptionnel", jugeant que vouloir compenser l'intégralité des pertes des collectivités serait une manière de les "infantiliser".La présidente du conseil régional d'Ile-de-France, Valérie Pécresse, tire le signal d'alarme depuis plusieurs jours sur les pertes de recettes "abyssales" subies par les transports publics dans sa région en raison de la crise du coronavirus.Elle a réitéré mardi sa menace d'arrêter de payer la SNCF et la RATP le 8 juillet si l'Etat ne compensait pas les pertes subies.Selon elle, les quelque 425 millions promis par l'Etat représentent "15% des 2,6 milliards de pertes (...) que le Covid a générées pour Ile-de-France mobilités".Dans la soirée, les députés ont également débloqué 100 millions d'euros pour financer le dispositif "Ma Prime Rénov", qui est en train de remplacer pour les particuliers le crédit d'impôt à la transition énergétique (CITE).Le ministre de l'Action et des Comptes publics Gérald Darmanin a vanté un amendement "important" sur une prime "beaucoup plus efficace que le crédit d'impôt, plus sociale" et "plus écologiste", et qui "fonctionne très bien", avec quelque 47.000 dossiers déposés mi-juin.
Il y a 4 ans et 306 jours

Jean Castex nommé Premier ministre

M. Édouard PHILIPPE a remis ce jour la démission du Gouvernement au Président de la République, qui l’a acceptée. Il assure, avec les membres du Gouvernement, le traitement des affaires courantes jusqu’à la nomination du nouveau Gouvernement.Le Président de la République a nommé M. Jean CASTEX Premier ministre, et l'a chargé de former un Gouvernement. Qui est Jean Castex, le nouveau premier ministre ?Jean Castex, né le 25 juin 1965 à Vic-Fezensac (Gers), est un haut fonctionnaire et homme d'État français. Il est maire de Prades (Pyrénées-Orientales) depuis 2008, secrétaire général adjoint de la présidence de la République entre 2011 et 2012, conseiller régional du Languedoc-Roussillon de 2010 à 2015 et conseiller départemental des Pyrénées-Orientales depuis 2015. Lors des élections municipales de 2020, il est réélu maire dès le premier tour, obtenant 76% des voix.Le 2 avril 2020, il est chargé par le Premier ministre Édouard Philippe de coordonner le travail de réflexion du gouvernement sur les stratégies de sortie progressive du confinement de la population française dû à la pandémie de Covid-19. Le 3 juillet 2020, Jean Castex est nommé Premier ministre par le président de la République Emmanuel Macron, à la suite de la démission d'Édouard Philippe.
Il y a 4 ans et 306 jours

CDC Habitat et Ile-de-France Energies nouent un partenariat

PASSOIRES THERMIQUES. Un accord signé entre CDC Habitat, appuyé de son GIE Grand Paris Habitat, et île-de-France Énergies, prévoit notamment l'achat de lots en copropriété par le bailleur social lorsque les propriétaires ne peuvent assumer les travaux de rénovation thermique.
Il y a 4 ans et 306 jours

Le secteur demande des "mesures structurelles et durables" pour l'emploi

CONJONCTURE. Dans un communiqué commun, plusieurs syndicats et organisations patronales du secteur demandent au Gouvernement un plan de relance dédié au bâtiment pour préserver l'emploi et garantir les recrutements d'apprentis.
Il y a 4 ans et 306 jours

Les attentes des Français sur le monde de demain

Pour les Français, la crise sanitaire que nous traversons va créer une rupture dans notre société : 72% d'entre eux estiment que rien ne sera comme avant lorsque la crise sera terminée.Les transformations plébiscitées par les Français laissent entrevoir un dénominateur commun : une aspiration forte à se réapproprier leur territoire de proximité. 60% des Français déclarent souhaiter modifier leur manière de consommer en privilégiant des achats locaux et 57% évoquent une volonté d'un retour à des rapports de proximité.La question de la reconsidération des territoires semble devenir une nécessité pour les Français, que ce soit sur leur manière de consommer, leur rapport aux autres, mais également sur leur engagement : 41% d'entre eux souhaitent s'impliquer davantage dans la vie de leurs communes.Les Français appellent à une action de l'État (pour 73% d'entre eux), des collectivités locales (pour 67% d'entre eux) et des entreprises (pour la moitié d'entre eux – 49%) pour opérer ces transformations et accompagner le développement économique et durable des territoires.Les principales attentes à l'égard de ces différents acteurs sont étroitement liées à la reconsidération des territoires de proximité : 62% des Français souhaitent que les villes soutiennent les commerçants locaux, près de la moitié des Français (46%) souhaitent que les entreprises relocalisent certaines de leurs activités, 42% des Français souhaitent que les entreprises soutiennent l'économie locale en privilégiant les circuits courts et 41% des Français souhaitent que les villes agissent sur leur impact environnemental et aillent vers plus de durabilité.La crise sanitaire qui impacte nos sociétés depuis plusieurs mois n'est pas sans conséquence sur les préoccupations et les attentes formulées par les Français quant au monde de demain. Pour 72% d'entre eux, cette crise va créer une rupture et transformer en profondeur leurs modes de vie, si bien que rien ne sera plus jamais comme avant.La crise les invite en premier lieu à reconsidérer leurs préoccupations, en se concentrant sur leurs besoins fondamentaux, avec en tête la santé (pour 54% d'entre eux). Arrivent ensuite des préoccupations liées à la crise économique générée par la crise : 42% se disent préoccupés par leur pouvoir d'achat, tandis que 27% le sont par l'emploi et 24% par les inégalités sociales. Ce contexte participe par ailleurs à donner une résonance plus forte à des préoccupations déjà présentes chez les Français. C'est le cas de l'écologie qui arrive en troisième position des préoccupations avec plus d'un tiers des répondants qui citent la protection de l'environnement (33%) et la lutte contre le réchauffement climatique (30%) comme une priorité.Pour ce qui est de leurs comportements, les changements anticipés par les Français au sortir de la crise laissent entrevoir un dénominateur commun : une aspiration forte à se réapproprier leur territoire de proximité.En effet, 60% des répondants anticipent une modification de leur manière de consommer et mentionnent notamment l'envie de faire des achats plus locaux, en circuit court et de privilégier les petits producteurs, surtout lors des courses alimentaires.En matière d'emploi, 59% des actifs déclarent anticiper un changement de leur rapport au travail et formulent de nouvelles attentes à l'égard des entreprises. En cohérence avec leurs aspirations à consommer plus local, 42% des Français considèrent que les entreprises doivent soutenir l'économie locale en privilégiant les circuits courts. Selon les Français, les collectivités locales et les entreprises sont en première ligne pour opérer ces transformations et accompagner le développement économique et durable des territoires.Au sortir de la crise, 96% des répondants estiment que les collectivités locales auront un rôle important à jouer (dont 67% un rôle primordial). Parmi les principales priorités, 62% considèrent que les collectivités devront soutenir les commerçants locaux et 41% qu'elles devront rendre les villes plus vertes et durables et engager des actions de rénovation des logements insalubres ou vétustes. Enfin, 38% estiment que la principale priorité sera de repenser la mobilité au sein de la ville.Pour ce qui est des entreprises, les attentes des Français sont également fortes : 91% des répondants estiment qu'elles auront un rôle majeur à jouer dans le contexte post-crise (dont 49% un rôle primordial). En matière de priorisation, 46% citent en premier lieu la relocalisation de certaines activités, 43% la préservation de l'emploi des salariés et 40% une meilleure prise en compte de leur bien-être. Dans une moindre mesure, ils sont 33% à relever l'importance de faire évoluer leurs pratiques actuelles de fonctionnement (modes de communication, télétravail…) et 28% à souhaiter qu'elles réduisent leur impact environnemental. Si les Français s'accordent sur le rôle que les entreprises ont à jouer pour construire le monde de demain, ils affichent cependant un certain scepticisme quant à leur capacité à opérer de véritables changements afin d'accompagner les transformations en cours. En effet, pour 34% d'entre eux, l'organisation des entreprises au sortir de la crise demeurera inchangée.« La crise de nous traversons crée une rupture profonde dans nos modes de vie et de consommation. Les Français nourrissent des attentes fortes quant au monde de demain qui convergent vers une nécessité de réinvestir et reconsidérer les territoires de proximité, qui constituent leurs lieux de vie et de travail. Les collectivités locales et les entreprises sont en première ligne pour accompagner ces transformations et adopter des pratiques qui soient plus durables, résilientes et qui encouragent le développement économique des territoires. Pour autant, les Français affichent un certain scepticisme quant à leur capacité à véritablement les mettre en œuvre.Parce que les entreprises et les collectivités qui sortiront renforcées de cette crise seront celles qui auront su créer les conditions de la confiance avec les citoyens en répondant à leurs attentes, ENGIE Solutions s'investit de cette responsabilité de les accompagner dans cette transition majeure en développant des dispositifs qui répondent à leurs nouveaux impératifs en matière de transition énergétique, de verdissement des énergies et de réinvention des lieux de vie et de travail ».- Pour Wilfrid Petrie, Directeur Général Adjoint d'ENGIE en charge d'ENGIE Solutions
Il y a 4 ans et 306 jours

Rencontre avec : Dahlia Subasi

Dahlia Subasi a étudié les sciences et la médecine avant de se consacrer à l'architecture et au design. Aujourd'hui, elle allie son savoir scientifique à son amour du beau pour fabriquer des objets écoresponsables en mycélium de champignon et matériaux naturels. Rencontre avec une créatrice engagée dans la lutte pour la protection de l’environnement. Muuuz : Comment votre parcours pluridisciplinaire s'est-il construit ? Dahlia Subasi : Depuis mon enfance, j’ai toujours eu un côté très créatif et un autre beaucoup plus scientifique. J’ai d’abord choisi de faire des études de médecine pour leur dimension humaine et sociale, mais le manque de créativité dans ce domaine m'a vite fait comprendre que ce n'était pas la voie que je devais suivre. Après quatre ans de médecine, j'ai décidé d'étudier l'architecture dans une école d'art, la Central Saint Martins à Londres, où j'ai finalement été épanouie. Il ne me restait plus qu’à combiner ces deux savoirs.Comment en êtes-vous arrivée à réfléchir sur l'écoconception ?J'ai toujours été intéressée par les innovations, et j'ai donc beaucoup lu à ce sujet. La recherche de nouveaux matériaux, et en particulier de ceux sensibles à l'environnement, me fascine. Je trouve cela passionnant. Comment sont nés vos objets « Teşekkül » réalisés en mycélium et matériaux naturels ?Je voulais absolument trouver un moyen de combiner mon savoir scientifique acquis en médecine avec les domaines de l'architecture et du design. J'ai fait beaucoup de recherches sur le mycélium et j’en suis tombée amoureuse. J'ai commencé à faire des expériences avec plusieurs espèces de champignons pour faire pousser du mycélium. Ensuite, j’ai construit des moules pour donner une forme à mes créations et j'ai testé les limites de ce matériau si intéressant. Il y a encore tant d’idées que j’aimerais explorer.Quels sont les enjeux de ces créations ?Le mycélium est un organisme vivant. Pour qu'il puisse croître, les conditions idéales doivent être réunies. Il m'arrive parfois de trouver de la moisissure dans mes cultures qui est causée par une contamination de microbes. Pour cultiver le mycélium, il faut également beaucoup de patience. Le mycélium prend du temps à pousser. S’il est contaminé, tout est à recommencer. C’est là que se trouve tout le challenge de mon projet. Comme je suis assez impatiente et impulsive, ce travail m’apprend à être tolérante et indulgente avec moi-même, ainsi qu’à réfléchir à mes erreurs. Selon vous, que signifie l'écologie aujourd'hui ?L’écologie devrait être inclue dans notre manière de penser et de voir les choses. C'est un sujet très complexe. Il y a beaucoup de paramètres à prendre en considération. En ce qui me concerne, je m’intéresse surtout à la création de matériaux respectueux de l’environnement et suivant les règles d’une économie circulaire. Cependant, utiliser des matériaux locaux et organiques ne suffit pas à créer des objets écologiques.Qu'attendez-vous du design de demain ?J'aimerais voir des concepts surprenants et inattendus. Quelque chose qui nous impressionne tout en ayant plus de sensibilité pour l'environnement et la recherche. Étant attirée par les matériaux et leur histoire, je suis impatiente de voir les surprises que le design nous proposera dans l’avenir. Le design et l’architecture se sont pendant longtemps concentrés sur le plaisir visuel. Je souhaiterais surtout être surprise au toucher maintenant. Tout comme les designs créés à partir de mycélium qui semblent être si fragiles mais qui sont en fait très solides. Ce qui m’a passionné le plus avec le mélange de mycélium et de matériaux naturels, c’est la rencontre de légèreté avec la solidité. C’est quelque chose qui ne se comprend qu’au toucher. La réaction des personnes, qui y sont confrontées pour la première fois, me fait toujours sourire. Pour en savoir plus, visitez le site et le compte Instagram de Dahlia Subasi. Visuels : © Dahlia Subasi Léa Pagnier
Il y a 4 ans et 306 jours

Fibre optique : la filière présente un plan de relance à 11 milliards d'euros

INFOGRAPHIE. Le président d'Infranum, Etienne Dugas a profité de l'ouverture des Assises du THD, le 2 juillet, pour avancer les propositions que la filière souhaiterait voir figurer dans le plan de relance de l'économie. Batiactu vous propose de les découvrir au travers d'une infographie.
Il y a 4 ans et 306 jours

Fin du démontage de l'échafaudage de Notre-Dame "avant fin septembre", selon Jean-Louis Georgelin

"J'ai tout lieu d'espérer, de croire que ce démontage sera fini au plus tard fin septembre", a dit le général, entendu par la mission d'information de l'Assemblée nationale sur Notre-Dame."On ne peut avoir simultanément plus de quatre cordistes" qui découpent les barres de métal avec ses scies-sabres, tandis que "quatre autres personnes surveillent" cette opération délicate a-t-il décrit, soulignant qu'il s'agissait d'un travail "lent".Quant à l'objectif d'une réouverture en avril 2024 au culte et aux touristes, soit cinq ans seulement après l'incendie du 15 avril 2019 comme l'a souhaité le président de la République, "je ne la remets pas en question". Même si cette échéance ne signifie pas "la fin du chantier pour les abords".Un début du déblaiement de voûtes avait montré qu'elles semblaient "à peu près solides et en bon état" a-t-il poursuivi."Nous allons lancer dans les prochains jours l'importante opération de consolidation intérieure des voûtes par échafaudage et cintrage", a-t-il dit, ajoutant qu'"une première campagne de nettoyage complet des sols doit débuter dans le courant de l'été, qui permettra de faire baisser le niveau de plomb et de faciliter le conditions de travail futur"."La cathédrale n'est plus émettrice de plomb vers l'extérieur, et aucune plombémie anormale n'a été relevée chez les compagnons", a-t-il insisté, en invitant à traiter le sujet "avec rationalité".Va aussi bientôt débuter "le montage de l'échafaudage pour la dépose du grand orgue" de 8.000 tuyaux. Une opération "millimétrée" qui "aura lieu à l'automne". Avant 2024, il faudra compter "six mois pour réharmoniser l'orgue", a-t-il calculé.Interrogé sur les nombreuses discussions autour de la restauration, le général a répondu par cette formule: "on ne construit pas une maison en demandant leur avis à tous les passants".Une réunion très attendue de la commission nationale du patrimoine et de l'architecture (CNPA) qui réunira des élus, experts et les architectes du chantier, mais dont les avis sont purement consultatifs, est une autre "étape importante", le 9 juillet, a-t-il dit. Interrogé sur les préconisations qui pourraient y être exprimées, le général a refusé de spéculer. Cette consultation, a-t-il dit, se fera sur la "base des études des restauration réalisées par la maîtrise d'oeuvre: un travail volumineux --quelque 3.000 pages-- qui présentera des réflexions sur ce que pourrait être la restauration". Les travaux seront conduits par le sénateur Jean-Pierre Leleux (LR).Les architectes disposent du choix entre reproduire à l'identique, notamment la flèche, sur les plans détaillés laissés par l'architecte Viollet-le-Duc, et un geste architectural novateur souhaité par l'exécutif. L'architecte en chef Philippe Villeneuve, meilleur connaisseur de la cathédrale, est nettement hostile à cette deuxième option, qui prendrait en outre bien plus de temps.
Il y a 4 ans et 306 jours

La toute première semaine mondiale de la construction se tiendra à Paris en 2021

La Paris Construction Week réunira, à Paris en avril 2021, les acteurs internationaux de la filière construction. Cette première... Cet article La toute première semaine mondiale de la construction se tiendra à Paris en 2021 est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 306 jours

Déclaration paritaire en faveur de l'emploi dans le bâtiment

Sur cette période, les artisans et entreprises du bâtiment ont créé 56 500 emplois supplémentaires et ont permis le recrutement de 60 000 apprentis.Confronté comme l'ensemble des secteurs économiques à une crise sanitaire sans précédent, la branche du bâtiment a progressivement repris son activité dans des conditions encore inégales et en devant faire face à d'importants surcoûts. Si rien n'est fait, ce sont à terme plus de 120 000 emplois qui sont menacés en 2020.Convaincues devant l'urgence de la situation de la nécessité d'agir vite pour éviter l'aggravation des pertes d'emploi,persuadées de l'importance des besoins en logement et en rénovation dans tous les territoires, des opportunités apportées par la transition écologique en termes d'emplois et de développement des compétences,les organisations professionnelles et syndicales signataires ont décidé, par cette démarche commune, de lancer un appel solennel aux pouvoirs publics afin que des mesures structurelles et durables soient prises en faveur de la relance du secteur du Bâtiment.Seules des mesures fortes permettront aux artisans et entrepreneurs de recruter 150 000 talents, jeunes et demandeurs d'emploi à l'horizon 2023, année de la finale internationale de la compétition Worldskills (Olympiades des métiers) à Lyon.Porteur de tradition et vecteur d'innovation, le Bâtiment est une chance pour l'emploi !
Il y a 4 ans et 306 jours

GSO Capital Partners acquiert KP1

Créée en 1959 à Avignon, la société KP1 compte aujourd'hui 39 sites en France dont 21 usines de production et emploie plus de 1700 personnes. Depuis sa création, KP1 a été un pionnier dans la mise à disposition de solutions intelligentes dans le domaine du béton précontraint, pour tous types de constructions (maisons individuelles, logements collectifs et bâtiments non résidentiels).Paulo Eapen, Directeur Général de GSO Europe explique : « Nous connaissons très bien l'activité de KP1 en tant qu'investisseur impliqué depuis notre collaboration initiale en 2014. KP1 est une entreprise robuste et de grande qualité, qui a démontré sa capacité à générer de la croissance au fil des cycles économiques, y compris dans le contexte actuel. Avec son équipe de direction, nous prévoyons de capitaliser sur la stratégie récemment développée en estimant que le Groupe est bien positionné pour offrir une rentabilité à toutes les parties concernées ».Bruno Roqueplo, Président de KP1 témoigne : « L'équipe de GSO n'a cessé de nous impressionner par leur compréhension de notre activité et leur soutien constant au fil des années. Leur investissement récent ces derniers mois a permis de garantir le maintien de notre stabilité financière et de nos emplois. Outre le bénéfice d'avoir un nouvel actionnariat disposant de moyens considérables et d'une vraie connaissance du secteur, cette opération nous permet de renforcer notre structure de bilan de façon significative et nous permet de financer notre plan de développement à long terme. Nous pouvons ainsi préparer la phase suivante de l'histoire de notre Groupe ».
Il y a 4 ans et 307 jours

Les députés votent une rallonge du dispositif Ma prime rénov'

BUDGET. Dans le cadre de l'examen du projet de loi de Finances rectificative post-coronavirus, les députés ont adopté dans la soirée du 2 juillet 2020 un amendement présenté par le Gouvernement visant à augmenter les crédits alloués au dispositif Ma prime rénov'. Détails.
Il y a 4 ans et 307 jours

"Qui veut la peau de la relance verte ?"

"Affirmée comme une priorité par le président de la République lors de son discours du 14 juin, la relance économique de la France qui préserve l’environnement est déjà attaquée par les promoteurs du gaz." Une lettre de l’organisation Équilibre des Énergies et de son président Brice Lalonde suite au recours déposé par l’Association Française du Gaz auprès du Conseil d’Etat et demandant l’annulation d’une partie du décret relatif à la programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE).
Il y a 4 ans et 307 jours

Les CEE financent le calorifugeage des réseaux de chauffage en collectifs

L’OPHLM Troyes Habitat s’appuie sur Hellio et sur ERTI, sa filiale travaux, pour installer et financer le calorifugeage des réseaux et des points singuliers dans onze de ses résidences.
Il y a 4 ans et 307 jours

L'UNICEM sollicite le gouvernement pour soutenir le développement des territoires

Aujourd'hui, alors que la crise sanitaire a accentué la prise de conscience sur la nécessité de mettre en place un modèle économique basé sur les circuits courts, au sein duquel les collectivités territoriales occupent un rôle clé, l'UNICEM demande au gouvernement de passer aux actes pour engager un réel plan de sauvegarde et développement des territoires ruraux et périurbains.Grâce à l'engagement des chefs d'entreprise et de leurs équipes, la dernière enquête de l'UNICEM indique que l'activité des entreprises de matériaux de construction atteignait à fin mai 88% de son niveau, comparée à l'année dernière. Elle souligne, également, la mobilisation des professionnels du secteur : plus de 82% des entreprises interrogées indiquent avoir l'intégralité de leurs sites ouverts et, plus globalement, 98% des sites sont ouverts en France ; certaines régions, comme la Bretagne, les Pays-de-la-Loire, la Normandie, les Hauts-de-France ou le Centre-Val-de-Loire, atteignent même un taux de 100%.Partout sur le territoire, les entreprises de la filière ont fourni très rapidement les matériaux nécessaires à la reprise des premiers chantiers post-confinement. En outre, la filière des industries extractives et matériaux de construction a joué à plein son rôle de maillon essentiel au bon fonctionnement de plusieurs autres filières clés (santé, papier, sidérurgie, traitement de l'eau…), même au cœur de la crise.Aujourd'hui, la situation semble se stabiliser, mais, pour autant, certains sujets de fond préoccupent encore les professionnels du secteur qui attendent du gouvernement un engagement fort, notamment pour soutenir la résilience des territoires.Réorienter les contributions fiscales versées par les entreprisesA l'heure où la nécessité de créer de la valeur localement devient prioritaire, l'implantation et l'activité des entreprises adhérentes à l'UNICEM, basées sur les circuits court et une très grande réactivité, s'inscrivent parfaitement dans ce contexte. L'ancrage des sites industriels dans les territoires contribue également à réduire fortement l'empreinte carbone de leurs activités.L'implantation des sites « à la campagne » est gage de création et de maintien de l'emploi en dehors des grandes agglomérations, ce qui œuvre à la préservation, en complément de l'activité agricole, d'une population active dans les zones rurales. La survie ou le développement de nombreuses communes dépend, également, de la participation des entreprises du secteur à la fiscalité locale.Cet enjeu retient particulièrement l'attention de l'UNICEM qui encourage les pouvoirs publics à aller plus loin sur ce point.Dans la continuité des récentes annonces du gouvernement et des ambitions affichées pour soutenir les territoires, la fédération propose ainsi de réorienter les contributions fiscales versées par les entreprises de la filière au profit des collectivités locales, accueillant leurs installations.Cette évolution, dans un contexte où les enjeux liés à la transition écologiques et à la survie des entreprises sont plus forts que jamais, permettrait, par exemple, de conférer une véritable utilité aux sommes versées par les entreprises de l'UNICEM dans le cadre de la TGAP (taxe générale sur les activités polluantes) sur les matériaux d'extraction.À l'heure actuelle, le produit de la TGAP sur les matériaux d'extraction ne répond plus aux objectifs du législateur. L'activité extractive ne génère pas de pollutions et ses externalités négatives ont été drastiquement combattues par la profession. Les performances des exploitants de carrières tant en matière de gestion dynamique de la biodiversité que de réhabilitation de leurs sites, restituant le plus souvent des externalités positives, sont désormais reconnues par de nombreuses parties prenantes. Par ailleurs, les exploitants de carrières ont développé une activité importante de valorisation et de recyclage des déchets inertes. Désormais, plus de 70% de ces matériaux sont valorisés.Dans ce cadre, l'UNICEM réitère sa demande de substituer à la TGAP une redevance, au profit des collectivités locales, qui bénéficierait directement aux territoires d'accueil des installations des entreprises adhérentes. Le produit de cette taxe soutiendrait ainsi directement l'économie des territoires.« L'UNICEM milite depuis de nombreuses années pour la réaffectation de certaines taxes au profit des collectivités qui accueillent les sites industriels des entreprises de la filière. Il est temps que cette demande, simple et concrète, soit entendue et suivie d'effets », souligne Nicolas Vuillier, Président de l'UNICEM.*Enquête réalisée auprès des entreprises adhérentes entre le 8 et le 14 juin - 216 entreprises répondantes, soit 1035 sites
Il y a 4 ans et 307 jours

FACIBLOC® choisit le système ECAP® d’EDILTECO® FRANCE pour l’isolation extérieure de ses maisons et extensions en construction ossature bois

FACIBLOC® est un système constructif de maison en ossature bois, sous forme de blocs, prêts à être assemblés. Breveté par son concepteur, Sébastien Borie, le système est commercialisé depuis un peu plus d’un an, dans toute la France. Afin de proposer une finition sous forme de crépi, doublée d’une isolation thermique extérieure, sur ses constructions ossature bois, Sébastien Borie a choisi d’utiliser le système ITE ECAP® d’EDILTECO® France. ECAP® présente de nombreux avantages notamment sa capacité d’imperméabilité, sa bonne isolation thermique, ses multiples coloris et matériaux de finition (Acrylic Colour, Acrylic Siloxane Colour, Silicate Colour) mais c’est aussi sa simplicité de mise en œuvre qui a séduit l’entrepreneur. ECAP® ET FACIBLOC®, PLUS DE SIMPLICITÉ POUR PLUS D’EFFICACITÉ Tout comme le système FACIBLOC®, ECAP® est une solution efficace offrant simplification de pose et rapidité de mise en oeuvre. En cours de fabrication, les plaques de polystyrène ECAP® reçoivent l’application d’un sous-enduit de 3 mm sur la surface du PSE et l’intégration, sur le sous-enduit, d’une armature en fibre de verre débordante des deux côtés. Les plaques sont préalablement découpées et dans le même temps, les emplacements des chevilles sont réalisés dans la couche de base et l’armature. La plaque est donc semi-finie en usine et cela offre un gain de temps considérable lors de leur mise en oeuvre. Également, les travaux ne nécessitent pas l’utilisation d’une bâche de protection aux U.V. ce qui allège sensiblement le coût du chantier. A l’instar d’ECAP®, les blocs en bois FACIBLOC® sont fabriqués en usine. Ils sont composés de briques de bois conçues en Douglas et bénéficient d’un double contreventement en OSB (Oriented Strand Board) de 12 mm, sans formaldéhyde. ©Copyright FACIBLOC. Les blocs sont proposés en 2 épaisseurs : 119 et 169 mm et sont également pré-isolés en usine avec de la laine minérales ou laine de bois. Livrés ainsi sur chantier, les murs FACIBLOC® sont manuportables et donc faciles à mettre en oeuvre. Le système d’emboitement breveté FACIBLOC® (système de clef de liaison) est unique et innovant, il simplifie le montage tout en conservant l’aspect technique de la maison ossature bois. LES PREMIERS CHANTIERS Les premiers chantiers ECAP® et FACIBLOC® viennent d’être mis en oeuvre dans le Puy-de-Dôme et à Lyon pour la conception de 3 extensions, de maisons individuelles conçues en FACIBLOC®. Ces extensions de 30 m², 25 m² et 22 m² deviendront une chambre, une cuisine et un bureau. Les clients ont choisi d’agrandir leurs maisons rapidement et à moindre coût, mais avec la certitude d’obtenir des performances très intéressantes en matière d’isolation thermique et phonique, grâce au système FACIBLOC®. ©Copyright FACIBLOC. Mise en oeuvre des plaques ECAP® sur l’ossature bois. Les propriétaires ont tous optés pour des blocs isolés en laine de bois avec un revêtement en crépi blanc ocre et une finition grésée. Le système ECAP® d’EDILTECO® a été chevillé sur les blocs FACIBLOC® et revêtu de la finition ECAP® AC « Acrylic Colour » ; un enduit mince qui donne du caractère au bâti et permet de lier esthétisme et protection des façades. En outre, sa formulation est dotée d’un traitement anticryptogamique offrant au produit une haute résistance à l’attaque des mousses et des champignons. L’ensemble confère une excellente isolation thermique avec un R de 6,20, répondant aux exigences de la RT 2020 (complexe mur en laine de bois R de 4,3 et plaque ECAP® en PSE blanc de 60 mm R de 1,9). ©Copyright FACIBLOC. L’AUTOCONSTRUCTION FACIBLOC® Du studio de jardin de 17 m² à la maison traditionnelle de plus de 100 m², avec un R+1, les constructions FACIBLOC® offrent tous les avantages de l’ossature bois. ©Copyright FACIBLOC. Studio de 17m². Tous les matériaux ont été choisis en fonction de leur qualité technique et du respect de l’environnement. Le bois notamment va permettre de réguler l’hygrométrie ambiante et reste respectueux de la nature grâce à ses bas rejets de CO2. ©Copyright FACIBLOC. Conception maison traditionnelle avec R+1. Les isolants concèderont une excellente isolation phonique et une isolation thermique performante répondant aux exigences de la RT 2012 et 2020. Dès leur usinage les blocs FACIBLOC® sont répertoriés afin d’être assemblés entre eux, suivant un schéma de calepinage. L’entreprise conçoit et fournit également au choix, une charpente traditionnelle, une charpente en fermette à 2 ou 4 pans ou un toit terrasse avec un système de poutres en I, trois fois plus légères que les poutres en bois massif et à performances mécaniques égales. ©Copyright FACIBLOC. Finition Crépi avec le Système ECAP® Les éléments de la baie sont également calibrés dans les blocs pour y être intégrés. Les pré-cadres des menuiseries sont réalisés en usine et habillés d’acier laqué de la couleur des menuiserie choisies. En option, des menuiseries en PVC, en aluminium ou en bois sont livrées avec les blocs. De la même manière, pour les volets roulants, les coffres tunnels sont usinés et fixés au pré-cadre. Ainsi ils sont livrés encastrés comme pour une maison en maçonnerie traditionnelle. 2 types de finitions sont disponibles : un crépi avec le système ECAP® d’EDILTECO® qui est mis en œuvre sur chantier ; ou un bardage dont les liteaux et le pare pluie sont fixés sur le bloc en usine. ©Copyright FACIBLOC. Finition bardage bois. EN PRATIQUE… Dès la validation de la commande, l’usinage est lancé et les délais de fabrication sont d’un mois environ. Les murs FACIBLOCS® sont livrés palettisés suivant le plan de calepinage. La mise en œuvre de l’extension ou de la maison se fait sur une dalle bois ou béton. Les blocs sont emboités les uns aux autres selon le système de clef FACIBLOC® qui permet de conserver tous les aspect écologiques, économiques et performants de la maison ossature bois. Grâce à l’isolation de la clef de liaison, il n’y a pas de discontinuité entre les matériaux et les parois de la structure ; les ponts thermiques sont ainsi pratiquement inexistants. FACIBLOC® fournit la lisse basse, la bande bitumeuse étanche, les blocs muraux identifiés selon le plan de calepinage, la lisse de chainage ainsi que toute la quincaillerie afin de permettre, même à un particulier novice, de monter ses murs dans les règles de l’art et en toute sécurité. Les documents de montage accompagnent pas à pas le monteur afin qu’il puisse, s’il le souhaite, assembler seul sa maison. Pour rappel, les autoconstruction FACIBLOC® sont légères et manuportables, elles ne nécessitent donc pas l’intervention d’un engin de levage. Mais le client peut aussi faire appel à un piloteur FACIBLOC® qui viendra l’aider et le conseiller à monter sa maison ou son extension, ou alors solliciter une équipe de montage indépendante (2 personnes) sur demande, qui prendra en charge le montage des murs et de la charpente. Les autoconstructions FACIBLOC® sont livrées hors d’eau, hors d’air. INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES Usinage : Usine FACIBLOC® Clermont-Ferrand. Hauteur maximale d’un panneau : 2,80 mètres. Essence de bois : Douglas ou Epicéa. Mise en oeuvre : pas de temps de séchage, murs secs, pose été comme hiver. Prix indicatif : Murs, charpente, menuiseries et revêtement extérieur, livrés, entre 400 et 460 euros TTC le m². Distribution : FACIBLOC® est distribué sous licence aux artisans indépendants, spécialistes ou non de l’ossature bois.
Il y a 4 ans et 307 jours

La certification NF Habitat – NF Habitat HQE s'adapte aux nouveaux contours du marché

Parmi les principales évolutions, pour le collectif, la création de 4 profils permettant aux acteurs d'atteindre des performances supérieures sur des thèmes spécifiques : Économie Circulaire, Air Intérieur, Biodiversité et Bas Carbone. Ceux qui le souhaitent peuvent ainsi valoriser davantage leur réponse aux enjeux de société, environnement, confort et santé.Autre évolution majeure : l'ajustement des exigences en rénovation, pour le collectif comme pour la maison individuelle, pour rendre la certification plus accessible et permettre ainsi à un plus grand nombre d'acteurs d'engager leurs projets et activité dans la voie de la qualité.Dans ce contexte de crise sanitaire inédit, les défis du logement n'ont pas disparu. Bien au contraire : la reprise de l'économie doit intégrer l'exigence qualité, portée par les particuliers comme par les collectivités, associée aux thématiques émergentes du bâtiment, telles que le bas carbone ou la santé.L'enjeu est double pour les acteurs : relancer leur activité, dans un climat économique très difficile, tout en continuant à répondre aux défis techniques de l'habitat et aux attentes sociétales.CERQUAL les accompagne dans cette voie en faisant évoluer sa certification NF Habitat – NF Habitat HQE, certification multicritère couvrant tout le secteur du logement.Création de 4 profils de certification pour les projets d'immobilier collectif, en construction comme en rénovationLe logement ne peut plus être pensé, conçu et rénové sans tenir compte des thématiques émergentes que sont l'environnement, le confort et la santé, confirmées et renforcées par l'actuelle crise sanitaire. Pour permettre aux acteurs qui le souhaitent, de valoriser davantage leur savoir-faire en la matière, CERQUAL leur propose d'atteindre, en plus de leur certification NF Habitat ou NF Habitat HQE, des performances supérieures sur des thèmes spécifiques. 4 profils ont ainsi été créés :Ajustement des exigences en rénovation, pour le collectif et la maison individuelleEssentielle à la réduction des émissions de Gaz à effet de serre, de la dépendance aux énergies fossiles et de la facture énergétique, la rénovation de l'existant, défi collectif, est un enjeu majeur pour le secteur de logement.La certification NF Habitat – NF Habitat HQE, appliquée à la rénovation, inscrit les projets dans une approche globale, garante de l'efficacité des travaux réalisés.Pour permettre à un plus grand nombre d'acteurs de s'engager dans cette démarche qualité, CERQUAL a ajusté les exigences NF Habitat – NF Habitat HQE :Pour le collectif :Les exigences minimales obligatoires ont été réajustées, recentrées autour d'un socle de qualités essentielles, communes à tout bâtiment certifié NF Habitat, afin de limiter les surplus de travaux. Ce socle fondamental porte principalement sur la sécurité des personnes, la sureté et une performance énergétique minimale (150 kWh/m²/an.).Les process de valorisation du niveau HQE ont été simplifiés.Pour la maison individuelle, des évolutions ont été apportées pour mieux répondre aux attentes des particuliers et aux pratiques des professionnels de la rénovation, en prenant en compte tous les fondamentaux d'un projet réussi, dont le respect d'exigences techniques minimales, quels que soient les travaux et toujours en cohérence avec la mention RGE.Pour tous les types de logement, une meilleure prise en compte des cas de surélévation/extension : en collectif par exemple, il est désormais possible de certifier une surélévation/extension seule ou intégrée à un projet de rénovation globale.« Accompagner les professionnels dans une dynamique continue d'amélioration de la qualité, en cohérence avec les défis actuels et futurs du logement, a toujours été la priorité de CERQUAL. C'est encore plus vrai aujourd'hui, à l'heure où l'ensemble de la filière doit faire face à une crise d'une ampleur inédite. Leur apporter des solutions concrètes pour les aider à relancer leur activité, en continuant à répondre aux attentes en matière de qualité, d'environnement, de santé ou de confort, ainsi qu'aux nouveaux paradigmes techniques, est fondamental. C'est ce que nous avons souhaité faire en adaptant notre offre de certification NF Habitat – NF Habitat HQE. Au-delà, l'enjeu est aussi de continuer à contribuer à la transformation numérique : ce nouveau référentiel permettra ainsi à court terme d'intégrer pleinement les processus collaboratifs (BIM) dans la certification. » - Antoine Desbarrières – Président de CERQUAL Qualitel CertificationNouveau référentiel applicable au plus tard le 1er janvier 2021
Il y a 4 ans et 307 jours

Travaux maritimes & fluviaux 2020

On parle de travaux maritimes et fluviaux dès lors que ces derniers s’effectuent sur ou à proximité des fleuves, rivières, cours d’eau, lacs ou mers… Création de digues, de barrages, de passerelles, d’écluses, ils sont d’ordre constructifs ou non quand il est question de dragages, curages, entretien de berges… Dans tous les cas essentiels, les travaux nautiques répondent à de nombreux enjeux. Retrouvez dans ce publidossier un points avec différents acteurs de ce marché
Il y a 4 ans et 307 jours

Rénovation des menuiseries : un guide en ligne chez Louineau

Louineau a conçu un nouveau guide complet dédié aux fabricants-installateurs et aux artisans poseurs de menuiseries en rénovation. Il est disponible gratuitement sur le site www.louineau.com/renovation-des-menuiseries/. Pensé pour leur faciliter la prescription auprès des particuliers et réaliser leurs travaux dans les règles de l’art, il détaille les différents cas d’écoles rencontrés, les points de vigilance à anticiper, les bénéfices client à valoriser… Ce contenu pédagogique et technique s’inscrit dans la continuité des conférences filmées sur son stand au Mondial du Bâtiment.
Il y a 4 ans et 307 jours

ATEx pour membranes de calfeutrement

Après plus de 8 ans de présence sur le marché francais, la société SIGA a obtenu une ATEx de type A n° 2749 pour les membranes d’étanchéité Fentrim 2® et Fentrim IS 2®. Grâce à l’aspect innovant des ces membranes 100% adhésives, l’entreprise SIGA s’était déjà imposée comme un des acteurs incontournables dans le domaine du calfeutrement des menuiseries et des murs rideaux. Aujourd’hui, cette nouvelle consécration est un tournant pour l’entreprise SIGA, car ces bandes adhésives deviennent les premières membranes de calfeutrement du marché français à être classées dans les techniques courantes selon le classement de la C2P.
Il y a 4 ans et 307 jours

Palmarès Concours Acier 2020 : des projets d'architecture répondant aux turbulences du monde

Authentique laboratoire d'idées et de création, présidé cette année par l'architecte Thomas Corbasson, le concours Acier est désormais un événement majeur et valorisant dans le cursus des étudiants inscrits en école française d'architecture et d'ingénieurs. Cette 11e édition invitait les candidats à plancher sur un sujet d'actualité, de société intitulé « Turbulences - L'architecture face aux mutations climatiques et aux risques naturels ».Sur quelles solutions l'architecte peut-il s'appuyer pour influer sur l'autonomie de la société de demain et relever le défi du bien-être de la population dans un environnement de proximité ? Les projets réfléchis des quatre équipes récompensées apportent des éclairages stimulants. Outre le besoin impérieux d'usage et sa réponse « acier », ils font la part belle à la stimulation intellectuelle et émotionnelle.Pour Thomas Thomas Corbasson, architecte, président du jury 2020, « Dans l'ensemble, les candidatures témoignent d'une très bonne qualité de travail. La partie technique des projets présentés n'a jamais éclipsé la place de l‘imagination et de la respiration. C'était là tout le défi de ce sujet. Bâtir pour se protéger des risques climatiques exige une réflexion constructive qu'il s'agisse d'implantation, de forme, de matérialité et de mise en œuvre. Mais aussi une part de rêve et une ouverture vers l'espace imaginaire. Les quatre lauréats que nous avons distingués ont non seulement tous apporté une réponse cohérente à la problématique mais ont fait preuve d'une réelle justesse du propos à la réponse écologique et d'un vrai beau geste architectural ».Pour Charlotte Flores, Déléguée générale et directrice de la communication de ConstruirAcier, « Le concours acier offre aux candidat-étudiants l'opportunité de découvrir et explorer les possibilités architecturales et techniques de l'acier en concevant un ouvrage avec ce matériau. Nous avons choisi le thème de la résilience pour cette édition 2020 parce qu'il constitue un enjeu majeur pour relever les défis de demain dont celui du « bien habiter », du bien-être de la population dans un environnement de proximité. En tant que président du jury, Thomas Corbasson y a ajouté une dimension poétique et onirique dont les projets récompensés sont le reflet. Les lauréats du concours sont récompensés par une somme de 10 000 euros à se répartir. Les projets seront notamment publiés dans le book des prix de l'architecture acier et la revue Matières ».Le Jury 2020 du Concours Acier était composé de :Président : Thomas Corbasson, architecte, fondateur de l'agence Chartier-Corbasson.Anne Pezzoni, architecte, archi5- Fabienne Ponsolle, architecte, représentante de la Maison de l'architecture Ile-de-France - Loïc da Silva, ingénieur, président d'Inexom - Simon Durand, ingénieur, schlaich bergermann partner - Jacques Franck Degioanni représenté par Amélie Luquain, journaliste Le Moniteur - Alice Bialestowski, journaliste AMC- David Abittan, rédacteur en chef, TEMA.Premier prix ex aequoMachine à paysage (réécriture d’un site abandonné à Montpellier)Caroline Desplan, ENSA Paris-BellevilleLa côte méditerranéenne autour de Montpellier se caractérise par une forte densité littorale d’activités humaines, notamment touristiques. Dans ce territoire, on compte plusieurs pôles d’attraction : celui de la métropole montpelliéraine, auquel s’ajoute une multitude de pôles secondaires de villes balnéaires, sur la langue de terre entre étangs et mer. Dessinée par de larges vides séparant ces zones d’attractivité, cette frange de paysages lagunaires camarguais construit l’identité de ce territoire.Le projet propose une lecture sensible d’un territoire littoral abandonné comme espace potentiel de valorisation paysagère et intègre le projet architectural à une réflexion écologique à plus grande échelle. Il cherche à valoriser un site déchu aux problématiques diverses : l’ancienne décharge de Montpellier, qui a longtemps pollué ce paysage si singulier.La Machine à paysage est une usine à double effet. En tirant parti de la décharge pour la dépolluer et en extraire du méthane, qui deviendra une source d’énergie pour la seconde partie de l’usine, elle profite de son implantation entre rivière et étang et installe une centrale osmotique, nécessitant de l’eau douce et salée, pour produire de l’électricité. L’ensemble du processus permet ainsi d’alimenter en électricité la ville voisine (16 300 hab), d’améliorer l’écosystème des étangs fragilisés, mais surtout de réinvestir ce paysage oublié.Cette ligne dessine un témoignage, une réécriture de ce passé toxique en une opportunité durable et vertueuse pour renouer avec un territoire meurtri. Poutre treillis en acier de 240 m, l’usine se soulève sur des cuves porteuses, sans toucher au sol naturel. Encadré de larges escaliers, c’est la structure qui exprime la fonction de l’architecture. Le toit terrasse projette le regard vers l’horizon marin. Scandée par les cuves, la perspective entraine le visiteur à marcher sur toute la longueur du bâtiment pour voir se déployer devant lui le paysage, sujet de toute l’intervention.Premier prix ex aequoBio River CityMalo Botani, Valentin Lepley-SchulmanENSA NantesLa Gironde, plus grand estuaire d’Europe occidentale, entité paysagère opérant l’interface entre le continent et l’Atlantique est un territoire pouvant se lire à plusieurs échelles. D’une part, le fleuve apparaît comme la colonne vertébrale support de zones naturelles sensibles accueillant une riche biodiversité. D’autre part, quelques points singuliers structurent l’embouchure fluviale dont la citadelle de Blaye fait partie. Ce monument de défense militaire, érigé par l’ingénieur Sebastien Le Prestre de Vauban au XVIIème siècle, est une infrastructure qui fût conçue en partie en s’appuyant sur les qualités intrinsèques du site afin d’en conforter la fonction. Aujourd’hui, sa sauvegarde patrimoniale est menacée. De fait, l’érosion liée aux variations du niveau de la Gironde fragilise la roche sur laquelle repose la citadelle et un risque d’effondrement persiste. À terme, ce phénomène tendra à s’intensifier du fait de l’influence de la montée des eaux sur le marnage du fleuve. Enfin, les écosystèmes d’estuaires constituent des territoires permettant d’observer en premier lieu les effets liés au dérèglement climatique et d’anticiper ses effets néfastes futurs.Le projet propose de s’appuyer sur ce contexte d’urgence (celui de la sauvegarde de la ruine) afin de se saisir d’une problématique liée au dérèglement climatique. Le projet s’accroche donc sur une digue en béton qui aurait été érigée à la hâte en proposant d’y installer un laboratoire à ciel ouvert de la biodiversité estuarienne, espace expérimental où divers acteurs (chercheurs, institutions, étudiants, etc.) sont amenés à travailler ensemble face à cet enjeu sociétal. De plus, la proposition est pensée comme étant un lieu de vie ouvert sur son environnement accessible depuis les remparts. Cet équipement installé en encorbellement et développé sur 700 mètres de long tend à révéler un site par son architecture, mettant en résonance une approche de sauvegarde patrimoniale et de protection environnementale. Troisième prixFenêtre sur SaôneAnais Ducret, Alice BarthelemyENSA Paris-La VilletteC’est au Port Nord de Chalon-sur-Saône, sur le bord de sa rivière que le projet prend place. Doté d’un caractère patrimonial fort, le site doit faire face à un risque majeur régulier, la montée des eaux. Quel devenir peut-on imaginer pour le Port Nord submersible, ses machines industrielles désuètes, ses collectifs d’artistes et ses industries d’acier en perte d’activité?Face à la crise planétaire que nous traversons, la nécessité pour nos disciplines de se renouveler et de penser le monde de demain apparaît plus que jamais indispensable.Le Port Nord pourrait devenir le lieu des possibles pour l’écriture d’un nouveau récit, terre d’expérimentions autour de la gestion des crues et autres aléas naturels.Le Centre Technique de Création, Recherches et Formations en architecture, design et ingénierie fonctionnerait en partenariat avec les industries de matériaux in situ. Les machines à l’abandon retrouveraient un usage dans la création de projet à échelle 1, mais aussi dans la construction du centre pensé selon les gabarits du pont roulant.Reposant sur les concepts de circuit-court et de faible impact, l’édifice fait le choix d’une construction acier inoxydable qui met en action les industries et machines présentes sur place, offrant des possibilités d’adaptation dans le temps, de flexibilité dans l’usage.Les portiques acier constituent la structure principale, une « échelle » qui permet à des modules autoportants de s’y greffer et s’élever selon les variations de l’eau. L’assemblage des modules de contreventement se fait sur place jouant avec une penderie de parois, filtres et mobiliers pour proposer des combinaisons variées et adaptables. Pour accueillir les crues des brèches de rétention émergent sous l’édifice qui devient alors une presqu’île, un paysage changeant qui ne cesse de se réinventer pour s’adapter à son milieu et faire du risque un atout.Mention spécialeVelum 93, structure sanitaire d’urgenceLouis Gibault, ENSA Paris BellevilleNotre société a récemment connu un bouleversement historique. La crise sanitaire du Covid-19 a bousculé toute certitude contemporaine. Comment doit se positionner l’architecte face à ces événements majeurs ? En référence à cette situation, en partie due aux mutations liées aux changements climatiques et environnementaux, l’intention du travail est de mener une réflexion constructive afin de surmonter de futurs chocs traumatiques naturels.Le projet Vélum93 est né d’un échange avec le Dr Thierry Gibault. L’installation d’urgence proposée est envisagée comme une solution à la surpopulation dans les hôpitaux lors de situations pandémiques mais elle peut s’adapter à d’autres contextes d’hébergements d’urgence (inondation, incendie ou crise migratoire). La structure métallique mis en œuvre, assurant rapidité d’exécution et confort sanitaire, s’inspire d’un objet connu de tous, l’ombrelle occidentale. Il s’agit d’un dispositif pliable et transportable permettant de se protéger d’éléments naturels. La structure métallique est développable et permet d’ériger verticalement l’espace. Ce principe assure un gain de temps considérable et s’adapte à des terrains difficiles. Quatre poutres en acier coulissent autour d’un point structurant vertical qui assure les descentes de charges. Le programme a été établi avec le Dr Gibault afin de proposer les meilleures solutions. L’étanchéité et l’apport en lumière est assuré par une double peau composée d’une maille métallique rattachée à une toile tendue (reprenant le principe des surfaces minimales). La flexibilité d’adaptation aux catastrophes naturelles permet au projet de proposer une variété de solutions. La crise sanitaire actuelle est le support de cette recherche d’expérimentation. Le choix des matériaux permet de faciliter les opérations de transport avec un poids et un volume réduits. Le projet s’implante dans un territoire aux enjeux sanitaires et sociaux forts, celui de la Seine Saint Denis, plus précisément sur l’Ile Saint Denis.
Il y a 4 ans et 307 jours

La vague écologiste préoccupe le monde du logement

"On craint un coup d'arrêt ou en tout cas un ralentissement", reconnaît auprès de l'AFP Olivier Salleron, président de la Fédération française du bâtiment (FFB).Les résultats des municipales sont sans précédent. Jusqu'alors, Grenoble était la seule métropole française dirigée par un élu vert. Lyon, Strasbourg et Marseille l'ont rejointe, et de plus petites villes comme Besançon et Poitiers.Ces nouveaux maires écologistes ont souvent fait campagne sur une franche opposition aux projets de construction immobilière, au nom de la défense de l'environnement.A Bordeaux, Pierre Hurmic promet ainsi de "geler les programmes immobiliers" pour lutter contre la "bétonisation" supposée de la ville."On s'attend toujours à ce que des villes basculent d'un côté ou de l'autre", explique M. Salleron. "Mais là, on crée une idée nouvelle, celle qu'il faut vivre d'une façon différente"."Aujourd'hui sont arrivées des personnes qui ont vraiment des idées bien arrêtées et je pense qu'il va y avoir un sacré blocage".De telles frictions interviendraient alors que le besoin de logements est pressant dans plusieurs grandes villes gagnées par les écologistes, comme en témoigne une hausse marquée des prix ces dernières années à Bordeaux et, plus récemment, à Lyon.Surtout, la construction a été brutalement interrompue plusieurs mois par la crise du coronavirus, au point de menacer le marché d'un déficit de plusieurs dizaines de milliers de logements neufs cette année.Or, les maires détiennent une responsabilité cruciale dans la politique du logement en décidant ou non d'octroyer la plupart des permis de construire."Si ces élus veulent que la ville soit vraiment écologiste, il ne faut pas qu'ils imposent des choses à des fins électorales et populistes", estime auprès de l'AFP Marc Villand, un responsable de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI)."Sinon, qu'est-ce qui va se passer? Il n'y aura plus de projets nouveaux et les prix de l'ancien vont flamber", insiste-t-il, s'attendant néanmoins à ce que les nouveaux maires écologistes adoucissent leurs discours.Programmes nuancés"Il y a une vertu du pragmatisme dans l'exercice du pouvoir", assure-t-il. "Je connais quelques élus écologistes, ils ne sont pas anti-construction. Enfin, pas toujours".Certains nouveaux maires verts ont effectivement un discours nuancé. Celui de Lyon, Grégory Doucet, veut limiter les immeubles de bureaux dans le quartier d'affaires de la Part-Dieu, mais au profit de nouveaux logements.Comment deviner ce que feront vraiment les mairies vertes?On peut regarder celle déjà en place à Grenoble, dont le maire Eric Piolle a été réélu largement dimanche. Depuis son arrivée au pouvoir en 2014, le nombre de permis de construire des logements y a chuté de près de 40%. Sur la même période, il a aussi décliné en France mais de manière bien moins marquée.Ces chiffres annoncent-il un effondrement dans toutes les nouvelles villes vertes? Difficile d'en juger et certains professionnels refusent d'ailleurs de restreindre leurs inquiétudes aux seuls élus verts.Ils remarquent que certaines thématiques écologistes dominent désormais largement le débat public, comme la lutte contre l'étalement urbain.Avec cette idée, selon laquelle les villes grandissent trop vite au détriment des zones rurales, et son corollaire, l'"artificialisation" des sols, ce sont surtout les constructeurs de maisons qui se sentent menacés."On déconne complètement. Si on ne fait plus de maisons et qu'on ne fait plus d'immeubles, qu'est-ce qu'on va faire?", regrette auprès de l'AFP Patrick Vandromme, patron d'Hexaom, premier constructeur de maisons en France.Il vise surtout la Convention citoyenne pour le climat. Ces citoyens tirés au sort viennent de rendre leurs conclusions et demandent, entre autres, de limiter drastiquement l'artificialisation des sols."C'est inquiétant pour l'avenir du logement et pour la (sortie) de la crise économique", conclut M. Vandromme. "C'est bien gentil de planter de la lavande mais ce n'est pas ça qui va faire repartir la machine."
Il y a 4 ans et 307 jours

Le SOHO s’installe à La Chapelle

Brenac & Gonzalez & Associés et MOA architecture se sont associés pour réaliser l’ilôt E du nouveau secteur Chapelle International, situé... Cet article Le SOHO s’installe à La Chapelle est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 307 jours

Rénovation énergétique : 100 M€ débloqués pour les bâtiments publics

TRANSITION. La secrétaire d'Etat à la Transition écologique, Emmanuelle Wargon, a signé ce 1er juillet 2020 la convention du programme Action des collectivités territoriales pour l'efficacité énergétique 2 (Actee) lors d'un déplacement dans le Nord. Grâce au dispositif des CEE, un budget de 100 millions d'euros est ainsi alloué aux collectivités pour accélérer leur transition écologique.
Il y a 4 ans et 307 jours

Un nouvel outil en ligne dédié à la formation et aux métiers des travaux publics

DIGITALISATION. La FNTP et le groupe Educlever ont signé un partenariat de trois ans pour bâtir tp.demain, une plateforme numérique de formation et d'informations sur les métiers, à destination des jeunes, des entreprises, des salariés comme des centres.
Il y a 4 ans et 307 jours

Relance et logement : les propositions du rapport Lioger

ASSEMBLÉE NATIONALE. La commission des affaires économiques de l'Assemblée a adopté, le 1er juillet, le rapport Lioger, dont Batiactu a obtenu copie et qui préconise d'ouvrir, en 2021, le dispositif MaPrimeRénov aux 9e et 10e déciles. Il demande également un "effort significatif" envers les bailleurs sociaux.
Il y a 4 ans et 307 jours

Nouvelle boutique en ligne de France Fermetures : plus simple, plus intuitive et plus rapide

Selon une étude réalisée par le salon EquipBaie de mars à avril 2020, les artisans du secteur de la menuiserie sont très connectés, notamment pour la gestion de leur activité. En effet, 72% d’entre-eux se servent de leur smartphone pour la recherche d’informations tandis que 73% privilégient l’ordinateur portable pour la réalisation des devis, l’utilisation de configurateurs et la gestion des commandes. Fabricant français spécialiste des produits de fermeture, France Fermetures complète ses outils digitaux destinés aux professionnels avec sa nouvelle boutique en ligne à l’ergonomie totalement repensée. Plus simple, plus intuitive et plus rapide, elle leur permet de chiffrer et commander l’ensemble des produits de la gamme France Fermetures en quelques clics, 24h/24 et 7j/7. Passez à la vitesse supérieure avec la nouvelle boutique en ligne France Fermetures ! Bénéficiant d’une totale refonte ergonomique et technique, la nouvelle boutique en ligne, accessible depuis l’espace Pro du site internet de France Fermetures, offre de nombreux et nouveaux services aux installateurs, clients de la marque, pour gagner en efficacité. Grâce à une base de données complète, ils peuvent simplement et rapidement : • configurer et visualiser l’intégralité des produits de la gamme France Fermetures. En un clic, ils obtiennent les informations techniques et les dimensions précises des produits sélectionnés pour rendre encore plus fiable la préparation de leurs chantiers. L’ergonomie des configurateurs évite les risques d’erreur de saisie et permet même de passer commande sans connaître l’exhaustivité de la gamme grâce à des descriptifs détaillés de chaque option, des visuels et des aides à la saisie. • chiffrer, gérer et personnaliser leur devis, • commander en ligne et planifier la semaine de livraison pour regrouper toutes les réceptions de marchandise sur un même chantier par exemple. Le service Ossitô de France Fermetures est toujours accessible pour commander et recevoir rapidement des produits dans le cadre de projets urgents. Afin de s’adapter au mieux aux contraintes de ses clients, plusieurs modes de règlement sont proposés. Espace PRO : une mine d’informations pour s’informer et se former… Outre les devis et commandes en ligne, l’espace PRO de France Fermetures propose de multiples rubriques pour se documenter, avoir accès aux photos et vidéos du fabricant ou encore aux manuels techniques et notices de pose. La rubrique « Formations en ligne » permet aux installateurs de s’inscrire gratuitement à l’ensemble des formations dispensées par l’industriel. Développée en Responsive Design, la nouvelle boutique offre au client une expérience similaire sur tous les écrans. Avec sa nouvelle boutique en ligne, France Fermetures facilite la gestion de l’activité de ses clients. http://www.france-fermetures.fr
Il y a 4 ans et 307 jours

Le logement neuf subit un violent coup d'arrêt en France avec une chute de 44% par rapport à 2019

Entre mars et mai, soit en gros la période de confinement décrétée en France contre la propagation du coronavirus, la construction de 53.900 logements a débuté en France, selon les chiffres donnés jeudi par le gouvernement.Il s'agit d'une chute de 44%, par rapport à un an plus tôt, sans surprise alors que de multiples chantiers ont dû s'arrêter pendant des semaines, le temps de mettre en place des mesures sanitaires.Pire encore pour l'avenir, les mairies ont largement cessé l'examen des projets immobiliers. Les permis de construire ont chuté de 40% à 65.700 unités.C'est donc un déficit durable de nouveaux logements qui s'annonce, une tendance préoccupante car il faut maintenir une offre solide pour contenir des prix qui augmentent déjà depuis des années en France, en particulier dans plusieurs grandes villes.Le sujet est d'autant plus crucial que le logement représente une grande part des dépenses des ménages et que ces derniers vont être confrontés à une récession économique d'une ampleur historique: -11% cette année en France, selon les dernières estimations.Est-il encore temps de rattraper le retard pris en matière de logements neufs? Le gouvernement a pris des mesures pour que l'examen des permis reprenne rapidement après la fin du confinement, mais les professionnels sont pessimistes.Le mois dernier, la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI) estimait que le nombre d'immeubles autorisés allait reculer de 100.000 logements cette année. Et cela ne comprend même pas les maisons individuelles, l'autre pilier du marché.Restrictions sur les empruntsLes inquiétudes du secteur sont multiples car elles concernent à la fois l'offre et la demande.Sur le premier plan, le logement neuf fait face depuis près d'un an à un enchaînement de situations néfastes à l'octroi de permis de construire.Il y a d'abord eu la perspective des élections municipales avec un phénomène systématique, selon les professionnels: les maires sont timides à autoriser des projets potentiellement impopulaires.Là-dessus est arrivée la crise du virus qui a non seulement bloqué l'examen des permis de construire mais aussi prolongé cette période électorale de plusieurs mois, avant que le second tour se tienne enfin fin juin."Ensuite, à la sortie de ça, on a des majorités compliquées, qui regroupent des gens qui ont des divergences", estime auprès de l'AFP Marc Villand, un dirigeant de la FPI.Il estime qu'un certain nombre de nouvelles équipes ont été élues par "dégagisme" et risquent de peiner à s'accorder sur une politique cohérente.Côté demande, les promoteurs et les constructeurs de maisons regrettent que les autorités financières maintiennent des restrictions sur les crédits immobiliers.Ces limites ont été mises en place fin 2019 par le Haut conseil de stabilité financière (HCSF), qui regroupe entre autres Banque de France et ministère de l'Economie, par crainte que l'essor des emprunts immobiliers finisse par aboutir à des situations difficiles pour les ménages les plus modestes.Les banques ont notamment été invitées à ne plus accepter des remboursements supérieurs à un tiers des revenus d'un ménage.Le secteur immobilier espérait que la crise du virus infléchisse l'attitude des autorités, dans l'idée de ne pas freiner la reprise du marché du logement à la sortie de la crise. Mais il n'en a rien été.Le marché immobilier connaît "une reprise d'activité rapide", a jugé le conseil en juin, maintenant ces mesures et suscitant les critiques de plusieurs acteurs du monde du logement.Les conclusions des autorités financières sont "hors sol", a estimé dans un communiqué Alain Dinin, PDG de Nexity, premier promoteur français."Il n'y a (...) pas de reprise rapide de l'immobilier", mais "il y a pénurie d'offre et il y a +désolvabilisation+ de la demande", a-t-il conclu, annonçant lui aussi une chute durable des nouveaux logements.
Il y a 4 ans et 307 jours

Jean-Christophe Repon à la tête de la Capeb

Jean-Christophe Repon, nouveau président de la Capeb. [©Capeb] Jean-Christophe Repon vient d’être élu président de la Confédération de l’artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb). Il en était premier vice-président depuis 2019. Il succède à Patrick Liébus dans cette fonction, devenu membre d’honneur. « Je suis fier de l’honneur qui m’est fait et de la confiance accordée par mes pairs pour présider la Capeb. C’est une belle maison qui représente tous les métiers de l’artisanat du bâtiment. Soit environ 558 000 artisans pour 60 % du chiffre d’affaires du secteur. Créateur d’emplois et de richesse, l’artisanat du bâtiment est l’un des fers de lance de l’économie française. Notamment dans les territoires. Le modèle de la petite entreprise a de nouveau fait ses preuves pendant la crise de la Covid-19. Montrant qu’elle est par nature agile, dynamique et donc intelligente. C’est pourquoi je suis profondément convaincu que ce modèle de l’entreprise de proximité est un modèle plus que jamais d’avenir. Et même vital pour le tissu économique français et pour l’emploi. J’en ferai l’un de mes objectifs premiers de mon mandat », déclare t-il. De plus, en raison des postes venant à échéance, le Bureau confédéral a été en partie renouvelé. Et se compose de Corine Postel, première vice-présidente en charge des affaires sociales, Sabine Basili, vice-présidente en charge des affaires économiques. Egalement de Gilles Chatras, vice-président en charge de la formation et du réseau, Michel Dumon, trésorier. Et enfin, de Francis Mathieu, trésorier adjoint, Christophe Bellanger, secrétaire et David Morales, secrétaire adjoint. Le parcours de Jean-Christophe Repon A 53 ans, Jean-Christophe Repon est maître artisan électricien. Il est à la tête d’une entreprise employant deux salariés à Toulon, dans le Var. Concernant sa carrière, au niveau régional, il adhère à la Capeb du Var en 1995. Et en assura la présidence de 2010 à 2016. Ensuite, il se fait élire administrateur de la Capeb régionale de Provence – Alpes – Côte-d’Azur. En parallèle, il occupe le poste de vice-président de la Chambre de métiers et de l’artisanat du Var. Ceci, de 2005 à 2016. Au niveau national, Jean-Christophe Repon est administrateur en 2006 de la Capeb. Puis, membre du Bureau confédéral au poste de trésorier adjoint. En avril 2019, il est élu premier vice-président, en charge des affaires sociales et de la formation. A ce titre, il préside la Commission nationale des affaires sociales.
Il y a 4 ans et 307 jours

Jean-Christophe REPON est le nouveau Président de la CAPEB

Élu au 1er tour d'un scrutin à bulletin secret par le Conseil d'administration réuni ce matin, Jean-Christophe Repon, maître artisan électricien à la tête d'une entreprise employant deux salariés à Toulon dans le Var, devient donc à 53 ans le nouveau chef de file de l'artisanat du bâtiment et le 7ème président de la CAPEB depuis sa création en 1946.Le Conseil d'administration a ensuite procédé à l'élection du nouveau Bureau confédéral, compte tenu des départs du président, d'un vice-président et du secrétaire.La composition du nouveau Bureau confédéralAu sein du conseil d'administration, les élections du Bureau se font à bulletin secret pour des mandats de trois ans.Le Bureau confédéral 2020 se compose donc des huit membres suivants, intégrant 3 nouveaux membres (Christophe Bellanger, David Morales et Francis Mathieu issus du Conseil d'administration) et 3 membres changeant de poste (Corine Postel ancienne trésorière, Gilles Chatras ancien secrétaire adjoint et Michel Dumon ancien trésorier adjoint).Le conseil d'administration a élu membre d'honneur Patrick Liébus en sa qualité de président de la CAPEB de 2010 à 2020.Le nouveau Bureau confédéralPortrait croisé du nouveau président Jean-Christophe ReponL'artisanMaître artisan électricien, il a pris la succession de son père, qui avait créé l'entreprise artisanale à Toulon. Transformée en SARL à la reprise en 1995, l'entreprise emploie aujourd'hui deux salariés et intervient principalement sur les marchés de la rénovation. (particuliers et tertiaire).Le militantCAPEB : Adhérant à la CAPEB du Var en 1995, il en assura la présidence de 2010 à 2016. Ensuite, il se fait élire, parmi ses pairs, administrateur de la CAPEB régionale de Provence-Alpes-Côte-d'Azur. Parallèlement il est élu Vice-Président de la Chambre de Métiers et de l'Artisanat du Var de 2005 à 2016, déjà restructurée en CMA Régionale.CAPEB NATIONALE : Il est élu administrateur à l'issue de l'Assemblée Générale de 2006. Par le Conseil d'administration, de 2014 à 2019, il est ensuite élu membre du Bureau au poste de Trésorier Adjoint. En avril 2019, il est élu Premier-Vice-Président en charge des affaires sociales et de la formation, et à ce titre, il préside la Commission nationale des affaires sociales.CCCA-BTP : Vice-Président depuis le 30 juin 2020, il en a assuré la présidence de 2016 à 2019.CONSTRUCTYS : Administrateur de l'OPCA de la construction depuis 2011, il est élu président de Constructys de 2016 à 2018.UCF : Administrateur national de l'union des caisses de congés payés du BTP.EBC : membre de l'European Builders ConfederationU2P : Au sein de l'Union des Entreprises de Proximité, il est membre du Conseil National. A l'échelon départemental, il est élu président de l'UPA (Union Professionnelle Artisanale du Var) en février 2010.L'hommeNé le 27 mai 1967, père de deux garçons.Ses passions : dès 11 ans, il pratique le rugby au RC valettois. Au poste de trois-quarts-centre, il est champion de France de Rugby (1991-1992) avec le RC de Toulon. En 2018, il participe au Tournoi des 6 Stations, tournoi de rugby à 7 sur neige damée. Le sport a été sa première orientation puisqu'au sortir d'un baccalauréat littéraire, il poursuit des études de professeur de sport.
Il y a 4 ans et 307 jours

Une ancienne grange viticole réhabilitée en demeure familiale

DIAPORAMA. Cette maison ancienne et sa grange ont été savamment rénovées pour créer un lieu de vie intimiste. L'ancien bâtiment viticole a été reconverti en demeure familiale, ouvert sur un vaste patio avec piscine.
Il y a 4 ans et 307 jours

Boris Johnson mise sur les infrastructures pour relancer l'économie britannique

Le Premier ministre conservateur a annoncé une "révolution pour les infrastructures" avec un plan de 5,5 Mds€ d'investissements dans la construction et la rénovation d'écoles, d'hôpitaux et de routes.
Il y a 4 ans et 307 jours

9 régions s'engagent à accompagner les français qui le souhaitent pour la rénovation énergétique de leur logement

Julien Denormandie, ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, Emmanuelle Wargon, secrétaire d’Etat auprès de la ministre de la Transition écologique et solidaire, et Renaud Muselier, président de Régions de France, ont coprésidé le mardi 30 juin 2020 le comité d’orientation du programme national du « Service d’Accompagnement pour la Rénovation Energétique » (SARE), en présence d’Arnaud Leroy, Président de l’ADEME, pilote du programme.La mise en place du programme SARE, lancé en septembre 2019, vise à apporter une réponse efficace et durable à travers le déploiement de guichets locaux d’information et d’accompagnement.Le comité d’orientation du programme, qui réunit l’État et les principales associations de collectivités (Régions de France, ADCF, ADF, AMF et France Urbaine), a dressé un premier bilan du déploiement du programme, neuf mois après son lancement par le Gouvernement et la signature d’un protocole d’alliance entre Régions de France et l’Etat le 18 décembre 2019.Le comité a salué l’engagement de nombreux territoires dans le dispositif. À ce jour, 11 conventions territoriales, couvrant 9 régions, ont été votées ou seront soumises au vote d’ici fin juillet 2020 : les Régions Bretagne, Centre Val-de-Loire, Pays de la Loire, Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne Franche-Comté, Grand Est, La Réunion, Nouvelle-Aquitaine, ainsi que la Métropole du Grand Paris et les Départements de Seine-et-Marne et de l’Essonne en Ile-de-France. Au total, ces conventions prévoient de mobiliser 100 millions d’euros de Certificats d’économie d’énergie en complément de 150 millions d’euros des collectivités territoriales pour les trois prochaines années. Très concrètement, il s’agit d’informer et de conseillers plus de 1.7 millions de ménages, d’accompagner 90 000 particuliers ou copropriétés dans leurs projets de travaux ou encore de mener plus de 70 000 audits énergétiques.« Accélérer la rénovation énergétique est une priorité. Or nous savons que faire des travaux dans son logement est souvent difficile sans information sur les aides ou sans conseils sur les travaux. Les citoyens de la convention pour le climat nous l’ont aussi dit avec force. Je me réjouis donc que l’action engagée il y a un an porte ses premiers fruits et que les collectivités se mobilisent très nombreuses aux côtés de l’Etat pour ce service public. Avec les engagements actuels, nous pourrons offrir un service performant d’accompagnement pour les Français, les copropriétés et les petites entreprises pour la rénovation énergétique sur plus des 3/4 du territoire national. » - Emmanuelle WARGONL’objectif est désormais d’aboutir à une couverture par une convention de 100 % du territoire métropolitain d’ici la fin de l’année 2020, grâce à l’engagement à venir des régions Hauts-de-France, Normandie, Occitanie et Provence Alpes Côte d’Azur, ainsi que des départements franciliens du Val d’Oise et des Yvelines. Le déploiement en Outre-Mer se finalisera au 1er semestre 2021.« Le Président de la République l’a dit clairement : le plan de relance sera économique, écologique et social. La rénovation énergétique des logements est à la croisée des chemins. Parce que nous devons aller plus vite et plus fort, nous ne devons laisser personne dans l’impasse. Pour cela, l’information et l’orientation des ménages dans leur projet de travaux est une première pierre essentielle. C’est la garantie de l’accès réel aux aides de l’Etat et des collectivités territoriales, auxquelles ils ont droit. L’engagement des régions et de l’ensemble des collectivités territoriales est une condition essentielle de succès. Le défi de la massification de la rénovation ne peut être relevé avec succès qu’ensemble. C’est tout l’enjeu du programme SARE qui se déploie très largement aujourd’hui et vient compléter les dispositifs que nous mettons en place, avec les collectivités et l’ANAH, auprès des ménages précaires » - Julien DENORMANDIELe programme SARE vient compléter les dispositifs déjà mis en place par les collectivités et par l’Etat pour accélérer et amplifier la rénovation énergétique des bâtiments. Depuis 2017, le Gouvernement a placé la rénovation au cœur de ses priorités : plus de 3,5 milliards d’€ par an d’aides publiques pour financer les travaux (MaPrimeRénov’, aides de l’Anah, Eco-PTZ, TVA à taux réduit à 5,5%), un renforcement des dispositifs portés par l’Anah en faveur des ménages modestes et des copropriétés fragiles , une bannière commune pour renforcer la communication auprès des ménages et des professionnels avec FAIRE (Faciliter, Accompagner, Informer pour la Rénovation Energétique), un nouveau DPE opposable d’ici l’été 2021 pour mieux informer propriétaires et locataires, …Dans le contexte particulier lié à la relance post-crise sanitaire, le comité a validé une feuille de route comprenant quatre chantiers pour la réussite du déploiement opérationnel du programme, sous la conduite de l’ADEME :renforcer l’articulation des dispositifs nationaux et territoriaux ;faciliter l’investissement local dans la rénovation énergétique, en cohérence avec l’ambition portée ;garantir un cadre juridique et technique sécurisé pour l’Etat, les collectivités et les opérateurs, permettant de s’adapter aux spécificités locales ;inscrire le programme SARE dans la durée pour pérenniser la dynamique, tout en mobilisant l’ensemble des parties prenantes.« La crise a révélé l’importance cruciale d’une bonne coordination entre l’Etat et les Régions, dont la coopération efficace a permis d’apporter des solutions immédiates pour faire face à cette situation exceptionnelle. Dans le cadre des plans de relance et de cette feuille de route partagée, les Régions volontaires pourront aller plus loin dans les politiques essentielles pour nos concitoyens en étant associées très en amont dans les choix nationaux et dans leurs évolutions. Les Régions entendent jouer pleinement leur rôle d’orientation stratégique, de planification, de coordination et d’animation pour soutenir, favoriser et faciliter la mobilisation des différents échelons de collectivités dans la réussite opérationnelle du programme SARE et plus largement dans la politique publique de rénovation énergétique. » - Renaud MUSELIERLes premiers résultats partagés à l’occasion de ce comité sont prometteurs et contribueront à accélérer le déploiement du service public d’accompagnement des ménages pour la rénovation énergétique, en particulier dans le contexte de reprise économique où le Gouvernement souhaite renforcer la dynamique de rénovation énergétique des bâtiments.Le programme « Service d’accompagnement pour la rénovation énergétique » (SARE) :Lancé en septembre 2019 par les Ministres Julien DENORMANDIE et Emmanuelle WARGON et doté d’une enveloppe financière pluriannuelle de 200 M€, le programme SARE vise à renforcer la dynamique territoriale de la rénovation énergétique existante, en partenariat avec les collectivités territoriales et les réseaux professionnels. En apportant un cofinancement jusqu’à 50% des montants engagés par les collectivités territoriales grâce à des certificats d’économie d’énergie, le programme cible non seulement l’information et l’accompagnement des ménages dans leur parcours de rénovation de leur logement, mais aussi l’animation de la filière professionnelle pour encourager le développement d’une offre de qualité et la montée en compétence. Le programme s’adresse aussi au segment du « petit tertiaire privé », dont les acteurs éprouvent par bien des aspects les mêmes difficultés que les particuliers dans leur démarche de performance énergétique. Ce programme a pour objectif de consolider et d’augmenter un service qui existe déjà : les espaces FAIRE, en complémentarité avec l’accompagnement proposé par l’Anah pour les publics les plus modestes.
Il y a 4 ans et 307 jours

Emmanuel de Tinguy nouveau Directeur Général de Citae

Après avoir passé une grande partie de sa carrière dans de très grands groupes internationaux, Emmanuel de Tinguy devient le nouveau Directeur Général de Citae, avec pour objectif de doubler le chiffre d’affaires de l’entreprise d’ici 5 ans.
Il y a 4 ans et 307 jours

Pendant la crise, près de 10% des saisines du Médiateur ont émané du BTP

JURIDIQUE. En ce début du mois de juillet 2020, le Médiateur des entreprises a dressé le bilan des actions mises en oeuvre par ses services pour répondre aux difficultés rencontrées pendant la crise du Covid : retards de paiements, pratiques déloyales, reports de loyers... Bercy demande en outre aux donneurs d'ordre public de passer appels d'offres et commandes avant septembre pour éviter d'aggraver la situation des PME.
Il y a 4 ans et 307 jours

CDG Express : Spie Batignolles réalise une partie des voies nouvelles

CHANTIER. Depuis fin avril, Spie Batignolles valérian est à pied d'oeuvre pour construire un tronçon du CDG Express. Trois ans après le lancement de son activité ferroviaire en Ile-de-France, c'est le 10e marché que Spie Batignolles valérian se voit confier par SNCF réseau.