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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87521 résultats)
Il y a 4 ans et 309 jours

Iseo Serrature finalise l'acquisition de Locken

RACHAT. Le groupe d'origine italienne de systèmes de verrouillage et de contrôle d'accès Iseo Serrature annonce ce mardi 30 juin, la finalisation de l'acquisition de Locken, le spécialiste des clés électroniques intelligentes. Un "tournant majeur" pour ces deux entités.
Il y a 4 ans et 309 jours

Bercy débloque 900 millions d’euros supplémentaires pour les artisans et les indépendants

Le ministère de l’Économie présente un plan de relance post-Covid 19 afin d’accompagner les artisans et les indépendants dans la relance de... Cet article Bercy débloque 900 millions d’euros supplémentaires pour les artisans et les indépendants est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 309 jours

Le bâtiment prévoit une chute de 18% de son activité cette année et réclame un plan de relance immédiat

En 2020, "le bâtiment devrait chuter de 18% (et) ça serait 120.000 emplois en danger", a résumé Olivier Salleron, président de la Fédération française du bâtiment (FFB), lors d'une conférence de presse.C'est la première fois que la fédération évalue aussi précisément les conséquences de la crise du coronavirus et du strict confinement décrété en France entre mars et mai pour éviter la propagation de la maladie.Contrairement à d'autres secteurs, comme la restauration, les chantiers n'ont pas été officiellement contraints de fermer. Mais ils y ont, dans les faits, été largement obligés pendant des semaines, le temps d'instaurer des mesures sanitaires.Ces mesures restent au cœur des inquiétudes du secteur, malgré la reprise quasi complète des chantiers, car elles coûtent cher.Elles "sont aujourd'hui (...) très largement supportées simplement par les entreprises" plutôt que leurs clients privés ou publics, a prévenu M. Salleron. "Aujourd'hui, les entreprises travaillent à perte, elles perdent du pognon", a-t-il insisté.Le gouvernement a pourtant pris des mesures présentées comme des aides au secteur, à l'occasion du nouveau budget de crise examiné cette semaine à l'Assemblée. Il a annulé plusieurs mois de charges pour les petites entreprises ayant subi une chute de leurs revenus - une mesure qui va d'ailleurs au-delà du seul bâtiment - mais le secteur en veut plus et exige une suppression générale cette année.Plus largement, le secteur et le gouvernement sont en désaccord sur le calendrier de mesures dédiées au bâtiment. Celui-ci les veut dès maintenant, mais l'exécutif les réserve pour un grand plan de relance à l'automne.A ce titre, la fédération a présenté mardi son propre plan, évalué à cinq milliards d'euros par an. Il prévoit surtout d'élargir les aides destinées aux particuliers en matière de rénovation et de construction.Il s'agit en premier lieu de MaPrimeRénov', qui concerne les travaux d'isolation et que la fédération veut rouvrir aux ménages les plus aisés, actuellement exclus, ainsi qu'élargir aux résidences secondaires.En matière de construction de logements, l'organisation veut notamment relever les montants du prêt à taux zéro (PTZ), une aide à l'achat dont l'État a réduit l'ampleur ces dernières années.Téléchargez la note conjoncturelle de la FFB en cliquant ici.Le plan de relance proposé par la FFBRénovation énergétiqueLa mesure phare : dynamiser très fortement les travaux de performance énergétique globale en portant CITE/MaPrimeRénov’ à 400 €/ m² pour tous les ménages.En complément dans CITE/MaPrimeRénov’ : diminution du reste à charge pour les ménages modestes (400 €) et très modestes (200 €) ;réintégration des déciles 9 et 10 ;réintégration des chaudières au gaz THPE ;ouverture aux résidences secondaires en Zone de revitalisation rurale (ZRR).Surcoût budgétaire : 1,9 Md€ par an.Rénovation énergétiqueCEE : « coup de pouce » pour la rénovation globale des maisons individuelles ⇒ aide relevée d'environ 50 €/m² à 200 €/m² ;financement d'un nouveau Contrat d'accompagnement énergétique (CAE), permettant de suivre et conseiller un client après rénovation énergétique.TVA à 5,5% pour tous les travaux (1,4 Md€ par an).Accession à la propriétéRétablir un PTZ à 40 % du montant d'opération : pour les zones B2 et C dans le neuf ;pour les zones A et B1 dans l'ancien avec travaux.Porter la quotité à 60 % toutes zones si atteinte d'une performance énergétique « supérieure » : pour les constructions : « label RE 2020 » à définir ;pour les rénovations : saut de 2 classes du Diagnostic de performance énergétique (DPE) après travaux.Surcoût budgétaire : 0,6 Md€ par an.Investissement locatif privéRemplacer fiscalité confiscatoire + dispositifs fiscaux dérogatoires par un système de droit commun général, durable, simple et lisible : amortissement du prix d'acquisition du bâti sur 50 ans (2% l'an) dans le neuf et l'existant, pour le stock et le flux + amortissement accéléré sur 20 ans (5% l'an) si atteinte du « label RE 2020 » en neuf ;amortissement des travaux sur 15 ans + amortissement accéléré sur 10 ans si saut de deux classes DPE ;déductibilité du revenu locatif brut des intérêts d'emprunt (sans limite), des petits travaux et des charges locatives ;déficit foncier imputable sans limite sur le revenu global positif.Économie budgétaire : 0,5 Md€ par an.Non résidentielSuramortissement pour la construction de bâtiments non résidentiels privés.Majoration de 1 milliard d'euros de la Dotation d'équipement des territoires ruraux (DETR), notamment pour accompagner le déploiement de centres de collecte des déchets professionnels.Lancement d'un grand plan EHPAD.Mesures d'accompagnementObtenir l'assouplissement des deux recommandations du Haut Conseil de stabilité financière (taux d'effort < 33% et prêts immobiliers < 25 ans).Définir clairement ce qui est visé dans la lutte contre l'artificialisation.Choc de simplification administrative : division par deux des délais d'instruction des permis bloqués;accélération de la dématérialisation des permis ;création d'un permis déclaratif dans un périmètre sous permis d'aménager ou en zone d'aménagement concerté ;relèvement à 100.000 euros du seuil des appels d'offre.
Il y a 4 ans et 309 jours

Immobilier : vers une chute des transactions couplée à la stabilité des prix ?

CONJONCTURE. La Fnaim a fait réaliser deux sondages, l'un auprès de la population, l'autre auprès des professionnels. Si les transactions ont bien repris, le retard ne devrait pas être comblé, et de nombreuses agences sont en difficulté.
Il y a 4 ans et 309 jours

Covid-19 : nouvelles aides pour les commerçants et artisans

La Banque des territoires va ainsi déployer avec les collectivités jusqu'à 100 foncières pour acquérir et rénover au moins 6.000 commerces sur cinq ans pour dynamiser les centres-villes délaissés, selon un document du ministère de l'Économie."Ces opérations contribueront à la lutte contre la vacance commerciale qui a doublé en France durant les dix dernières années, et à proposer des locaux à loyer modéré aux commerçants et artisans", d'après ce texte.La Banque des territoires apportera 300 millions d'euros de fonds propres et distribuera 500 millions d'euros de prêts pour cette opération, "et l'État travaillera avec les territoires pour financer une solution d'équilibre", a déclaré à des journalistes la secrétaire d'État à l'Économie Agnès Pannier-Runacher.Le but est aussi de proposer des locaux qui répondent mieux aux besoins des commerçants, a-t-elle précisé.En partie, ces projets s'appuieront "sur des sociétés existantes. Nous en créerons là où il n'y en a pas", a encore indiqué Mme Pannier-Runacher avant la présentation du troisième projet de loi de finances rectificative (PLFR 3) à l'Assemblée par le ministre de l'Économie Bruno Le Maire.Pour les petits commerçants ou artisans, le gouvernement prévoit aussi une prolongation en juin du fonds de solidarité hors du secteur du tourisme, pour lequel cette mesure était déjà prévue.Cette prolongation coûtera 500 millions d'euros et fera l'objet d'un amendement au PLFR 3, a indiqué Mme Pannier-Runacher. Elle vient s'ajouter à 400 millions d'euros d'allègements de charges déjà inclus dans le projet de loi.En outre, pour bénéficier du second volet destiné du fonds de solidarité, aux entreprises en grande difficulté, la condition de refus d'un prêt garanti par l'État sera supprimée.Enfin, le gouvernement veut accompagner les très petites entreprises pour faciliter leur transition numérique, partant du constat que les entreprises ayant une présence sur internet sont plus résilientes que les autres.
Il y a 4 ans et 309 jours

Le logement social acteur de la relance économique ?

Pour que le logement social devienne un moteur de la reprise économique, il doit retrouver sa vocation d’utilité publique en se distinguant nettement de l’offre privée. Tribune (1ère partie). Avant de constater la situation actuelle et d’envisager des pistes de réforme du logement social, il semble pertinent de prendre un peu de recul et de [&#8230;] L’article Le logement social acteur de la relance économique ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 309 jours

La filière bois lance une alerte sur les JO 2024

Selon la filière bois, les objectifs de réduction de 30% des émissions de CO2 pour le village olympique ne seront pas atteints sans l’apport du bois et des matériaux biosourcés.
Il y a 4 ans et 309 jours

Wayzz : A l’assaut des bétonniers

Jérôme Braga, co-fondateur de MWSC. [©Wayzz] Issue de la société My Wireless System Company (MWSC), créée en 2013, Wayzz propose des solutions digitales pour le marché du béton. Et notamment Béton Sync’, un outil pour suivre les livraisons de bétons ou de granulats, et pour en dématérialiser son cycle. Embarqué dans le véhicule, le système permet, par l’intermédiaire d’une application web, de géolocaliser toute la flotte de toupies et de connaître leur statut (en chargement, sur le trajet, en attente sur le chantier, en début et en fin de livraison, sur le chemin du retour). Il peut aussi être intégré à l’automatisme de la centrale. Ainsi, le système adresse un SMS au client, lui précisant, par exemple, que la toupie est en cours de chargement sous la centrale. Béton Sync’ confère au bétonnier la possibilité de sécuriser, de gérer et de détecter les points de dévissage. L’outil peut générer des bons de livraison, relier ces derniers aux factures et accepte la signature électronique. En option, les utilisateurs bénéficient d’un service de guidage, et d’un smartphone ou d’une tablette pour gérer l’application embarquée. « Nos clients disposent d’un espace dédié pour suivre, en temps réel, toutes ces opérations, explique Jérôme Braga, co-fondateur de MWCS. Cela permet de sécuriser l’activité et de mieux gérer les litiges, car ils ont accès à tout leur historique. » Une forte croissance en 2019 L’entreprise travaille aussi sur une intelligence artificielle, qui permettrait de détecter et d’alerter sur les comportements anormaux.&nbsp;«&nbsp;En cas de surfacturation, de mauvaise adresse de livraison, de camions bloqués ou de vols&#8230;&nbsp;»&nbsp;Depuis son lancement, Wayzz a équipé 1 200 véhicules. Des matériels issus des flottes de Bronzo Perasso ou encore Béton Solutions Mobiles.&nbsp;«&nbsp;Suite à notre présence au salon Intermat en avril 2018, nous avons signé avec un grand cimentier près de 850 équipements. Ce n’est pas un marché très extensible, mais nous voulons toucher tous les bétonniers. Nous prévoyons ainsi 1 500 véhicules en plus équipés de notre solution en 2019. D’ailleurs depuis décembre 2018, nous sommes de plus en plus en relation avec les fabricants de toupies. Avec des Schwing Stetter ou bien des Liebherr, nous sommes en discussion pour installer Béton Sync’ directement en usine.&nbsp;» Fort de son succès, Wayzz regarde au-delà des frontières hexagonales.&nbsp;«&nbsp;Nous voudrions nous développer en Europe, au Canada et aux Etats-Unis. Soit en gérant depuis la France, soit en trouvant des partenaires&nbsp;», conclut Jérôme Braga.&nbsp; Sivagami Casimir Attrape-moi si tu peux ! Le capteur et le boîtier de géolocalisation sont disposés par les équipes de Wayzz, qui bénéficient d’un réseau d’installateurs couvrant l’ensemble du territoire.[©Wayzz] Au niveau de son fonctionnement, Béton Sync’ dispose d’un boîtier de géolocalisation et d’un capteur installé sur le véhicule,  du réservoir à eau. Ce dernier sert à savoir avec précision, quand la toupie est en train de décharger et détecte le sens de rotation du malaxeur de la toupie. Le système de géolocalisation donne aux différents acteurs la position des toupies en temps réel. Il communique avec le serveur de Wayzz en GPS ou GPRS. Ainsi, la localisation est mise à jour toutes les 7 s. L’application embarquée de gestion fonctionne sur smartphone ou tablette. « Pour des raisons de qualité de service, nous recommandons l’utilisation d’outils dédiés et proposons une tablette Android 7”. » Une plate-forme permet au client de suivre sa flotte sur une carte et de voir les états de chaque véhicule à l’aide d’un code couleur. Elle recense aussi les bons de livraison et l’historique des opérations. Avec ce système, des messages peuvent être reçus ou envoyés à la centrale.
Il y a 4 ans et 309 jours

Vicat : Retour aux sources

L’Isle-d’Abeau accueillera de nouveau le siège du groupe Vicat, dès le mois de septembre. [©Agence 85 Photos] La pandémie du Covid-19 a mis en pause plusieurs activités de Vicat à travers la France, et dans le monde. En dehors des mesures sanitaires et des répercussions humaines, l’économie du groupe cimentier a été impactée. Mais reprend une bonne dynamique depuis le mois de mai avec le déconfinement. Combiné la réouverture de l’ensemble de ses cimenteries. Face à la crise, Vicat s’adapte et met en place plusieurs actions. L’industriel a déjà préfiguré un plan de réduction des coûts opérationnels et le report d’investissements industriels non stratégiques. Mais surtout &#8211; événement majeur &#8211; Guy Sidos, Pdg du groupe, a annoncé la relocalisation du siège social. En effet, installé à la Défense, près de Paris, Vicat devrait revenir dès le mois de septembre à L’Isle-d’Abeau, près de Lyon. Là où l’aventure a commencé en 1853.  Une opération séduction « Notre retour en région Auvergne-Rhône-Alpes traduit l’adéquation et la convergence de la vision de la région avec nos ambitions de développement, explique Guy Sidos. Les conditions sont aujourd’hui réunies pour nous rapprocher d’un territoire, qui représente près du quart de l’activité du groupe Vicat. Les notions d’économie circulaire, d’ancrage territorial et les enjeux du bas carbone – transition écologique et solidaire – sont des thèmes qui nous sont chers. Et qui s’inscrivent dans notre politique industrielle. » De plus, ces enjeux s’ancrent dans le plan de relance économique plus “verte” et tournée vers le numérique de l’Auvergne-Rhône-Alpes.  Pour accueillir les entreprises, la Région a mis en place une véritable “opération séduction”. Dont un budget de 10 M€ sur 3 ans, afin de favoriser les relocalisations de sièges d’entreprises. Les 35 collaborateurs Vicat en provenance de Paris devraient en profiter… Dès le mois de juillet, l’Agence Auvergne-Rhône-Alpes accompagne les salariés de Vicat pour une présentation du territoire. Elle propose aussi de transmettre les offres d’emploi de la région pour les conjoints et une aide dans l’aménagement des locaux du nouveau siège. 
Il y a 4 ans et 309 jours

COGNAC, le nouveau parquet en Point de Hongrie semi-massif en chêne de DESIGN PARQUET – Style et caractère pour sublimer tous les intérieurs

Le parquet en point de Hongrie est un motif ancien de pose trouvant ses origines au début du XVIIe siècle. Reconnaissable entre mille par sa disposition élégante en diagonale et ses lattes de chêne, il est typique des demeures anciennes et incontournable dans les intérieurs haussmanniens. Dernière création du parqueteur français DESIGN PARQUET, le Point de Hongrie semi-massif en chêne COGNAC souligne l’espace grâce à des contrastes manifestes et apporte style et caractère à tous les intérieurs. Empruntant son nom au légendaire spiritueux charentais, COGNAC se pare également de ses teintes ambrées et cuivrées. Pourvu d’une excellente résistance aux circulations intenses, il convient spécifiquement aux secteurs résidentiel (pièce à vivre, pièces de service…) et tertiaire (hôtels, restaurants, magasins…). Cognac, style et caractère Nouveauté de la collection Design Déco, COGNAC de DESIGN PARQUET est un parquet semi-massif Loft Pro en chêne sur contreplaqué bouleau pour une utilisation aussi bien en rénovation qu’en habitat neuf. Cette composition lui offre une très bonne stabilité grâce à sa structure multicouche en plis croisés. Harmonieux et tendances, les chanfreins de COGNAC font ressortir la largeur de la lame du parquet et mettent en valeur leur environnement. De plus, la finition vernis lui confère un aspect ciré ancien. Le cachet précieux et sophistiqué de ce sol en bois apporte style et caractère à tous les intérieurs. Intemporel, ce Point de Hongrie supportant tous les mélanges d’époque en décoration, s’invite dans toutes les pièces et n’est plus réservé aux ambiances classiques. Il se mêle tout autant aux atmosphères rustiques chic, arty, cocoon ou encore scandinave qu’à un intérieur contemporain, même équipé d’un sol chauffant basse température ou rafraîchissant. Entretien facilité au quotidien Grâce au parquet semi-massif en chêne COGNAC, nul besoin de cirer le sol pour le nettoyer et lui redonner un aspect brillant. Verni, son entretien régulier s’exécute facilement avec un aspirateur, un balai ou un chiffon de laine. Pour éliminer les taches, une simple éponge humide suffit. Pour les plus rebelles, le fabricant conseille le Nettoyant Suractivé de sa gamme. Lors de la pose du parquet COGNAC, DESIGN PARQUET recommande d’appliquer une à deux couches de Rénovateur R+ toujours dans sa gamme de produits d’entretien afin d’assurer la protection des chants du parquet. Caractéristiques techniques Parquet semi-massif Loft Pro Point de Hongrie Essence : Chêne Origine : Europe Choix : Rustique / Campagne Densité : 650 kg/m³ Description : Parquet avec nœuds sans limite de dimension. L’aubier et les variations de couleur admis. Chanfreins : 4 chanfreins Épaisseur : 16 mm Largeur : 130 mm Longueur : 800 mm Épaisseur parement : 4,5 mm Angle : 38° Assemblage : rainure et languette Finition : vernis Cognac Pose : collée selon NF DTU 51-2 Classement au feu : Dfl-s1 (suivant EN 14342) Classement d’usage : 33 usage domestique et commercial élevé (zones de passage intense) Émission dans l’air (COV) : A+ Prix public indicatif HT/m² : 95 € &nbsp; http://www.designparquet.fr/
Il y a 4 ans et 309 jours

Le gouvernement souhaite boucler les dossiers liés à l'emploi rapidement pour limiter la casse à l'automne

"Nous avons encore beaucoup de travail dans les deux ou trois semaines", a résumé Muriel Pénicaud cette semaine.Alors que les annonces de suppressions d'emplois se multiplient, comme à Sanofi et Daher vendredi, la ministre du Travail doit déjà convaincre les entreprises de s'emparer dès le 1er juillet de la nouvelle "activité partielle de longue durée", "une alternative aux PSE" (plan de sauvegarde de l'empoi) pour les secteurs durablement touchés par la crise.Sur la base d'une "prévision d'activité partagée", le but est de négocier un accord d'entreprise (ou de branche) d'une durée de six à 24 mois qui définira un maximum de 40% d'heures chômées, compensées par l'Etat plus fortement que le chômage partiel de base, avec des engagements sur l'emploi."On va pousser les entreprises, notamment les petites et celles qui ne sont pas dans l'industrie", a assuré Geoffroy Roux de Bézieux (Medef). "Cela réclame du dialogue social, la CFDT est prête à s'engager", a affirmé Laurent Berger. Syndicats et patronat veulent rapidement "un accord type" rédigé pour les PME.Autre dossier urgent, le plan pour l'emploi des jeunes doit être finalisé d'ici à la fin de semaine prochaine après de premières aides déjà annoncées pour l'embauche d'apprentis et de contrats de professionnalisation.Alors que 700.000 jeunes sont attendus sur le marché du travail à la rentrée, "l'idée est d'aider tout le monde, du diplômé au sans diplôme" car "celui qui rate son entrée sur le marché du travail en paye le prix longtemps", explique-t-on à l'Elysée.Aide à l'embaucheLa mesure phare sera une aide à l'embauche, sous la forme soit d'une prime, soit d'un allégement de cotisations sociales.L'hypothèse d'une prime pour une embauche en CDI ou CDD de plus de six mois, avancée par le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, a la préférence du Medef, au motif que "l'effet de levier est plus fort pour les non diplômés que les allégements de cotisations patronales", déjà faibles pour les bas salaires.Mais une autre option, révélée par Les Echos, est sur la table: une exonération pendant trois ans, et jusqu'à 2,5 Smic, des cotisations non pas patronales mais salariales qui resteraient ainsi dans les caisses des entreprises. "On travaille sur plusieurs pistes qui feront l'objet d'une concertation avec les partenaires sociaux", indique-t-on au ministère du Travail. La CGT est contre cet allègement "car cela reviendrait à déshabiller une nouvelle fois la Sécu avec 10 milliards de pertes supplémentaires". Si la CFDT préfère une prime, elle met en garde "contre les effets d'aubaine ou de substitution".D'autres mesures sont en discussion, comme l'extension de la Garantie jeunes - un dispositif d'insertion avec un accompagnement renforcé - pour les jeunes peu qualifiés.Mais le dossier le plus épineux à trancher "d'ici fin juillet" reste celui de la réforme de l'assurance chômage, qui "fait partie des sujets sur lesquels nous ne sommes pas d'accord" entre exécutif et syndicats, a reconnu Mme Pénicaud.Les syndicats demandent l'abandon complet de la réforme de 2019, qu'ils ont toujours contestée, alors que la ministre parle de "bouger des curseurs".Si l'exécutif a fait comprendre qu'il reviendrait sur le durcissement de l'ouverture de droits (six mois de travail sur les 24 derniers depuis le 1er novembre contre quatre sur 28 avant), il reste flou sur deux mesures prévues au 1er septembre: le nouveau calcul de l'allocation pour ceux, souvent précaires, qui alternent contrats courts et chômage d'une part et la dégressivité après six mois pour les haut salaires d'autre part. Les dispositions pour lutter contre les abus de contrats courts (bonus-malus dans certains secteurs et taxe de 10 euros sur certains CDD) ont du plomb dans l'aile, Mme Pénicaud ayant fait remarquer que cela concernait surtout l'hôtellerie-restauration qui "essaye déjà de ressortir la tête de l'eau".Enfin, d'autres discussions sont aussi prévues sur la régulation du travail détaché et les sujets de formation et de compétences en prévision du plan de relance.
Il y a 4 ans et 309 jours

Report du salon Equip’baie : le dilemme des acteurs de la menuiserie

Reed Expositions France, organisateur du salon Equip&rsquo;Baie Metalexpo a annonc&eacute; le 22 juin le report en 2021 de l&rsquo;&eacute;v&eacute;nement pr&eacute;vu du 17 au 20 novembre.
Il y a 4 ans et 309 jours

Élisabeth Charrier, nouvelle déléguée générale de Cochebat

« Pour Cochebat, je souhaite développer des services autour de l'enjeu majeur que constitue l'économie circulaire. Et aussi, m'appuyer sur ma connaissance des organisations professionnelles pour créer des synergies avec d'autres organisations françaises et européennes en élargissant notre réseau ». - Élisabeth Charrier, nouvelle déléguée générale de CochebatÉlisabeth Charrier a débuté sa carrière en agence de communication, aux études marketing, avant de rejoindre un incubateur de start-ups, puis une start-up. Elle évolue ensuite dans des organisations professionnelles, comme la Fédération nationale du transport routier (FNTR), et c'est en 2020 qu'elle rejoint le regroupement des syndicats de la plasturgie SYPLAST auquel appartient Cochebat. Elle succède ainsi à Éric Châtelain.
Il y a 4 ans et 309 jours

Un nouveau directeur général adjoint chargé du tertiaire chez Linkcity IDF

Linkcity Île-de-France a annoncé ce lundi 29 juin, la nomination d'un nouveau directeur général adjoint en charge de l'immobilier d'entreprise.
Il y a 4 ans et 309 jours

Témoignage du PDG de SOCATEB sur la façon dont son entreprise, spécialiste de l’enveloppe du bâtiment, a fait face à la crise du Covid 19

Témoignage du PDG de SOCATEB, Jean-Pierre Valente sur la façon dont son entreprise, spécialiste de l’enveloppe du bâtiment, a fait face à la crise du Covid 19 et envisage la reprise dans les mois ou les années à venir. L’entreprise SOCATEB : experte dans le traitement technique des façades (Ravalement, isolation thermique par l’extérieur), l’étanchéïté des toitures terrasses, la serrurerie et le désamiantage 165 salariés. Activité dans les secteurs de la copropriété, bailleurs sociaux, institutionnels. Siège social dans le Val-de-Marne, à Orly. Socateb a subi cette crise au coeur de l’Ile-de-France, région particulièrement touchée par l’épidémie. Comment avez-vous traversé la crise ? Dès le vendredi 13 mars, l’interruption des chantiers est devenue probable et la décision a été prise de les mettre tous en sécurité pour une période d’arrêt, envisagée d’abord pour 15 jours. Le lundi 16, le service production s’est consacré à cette tâche (sécurisation et communication auprès des maîtres d’oeuvre et maîtres d’ouvrage) et le mardi, tous les chantiers étaient fermés. La pénurie de masques, les conditions particulières de travail sur les chantiers (promiscuité, …) et la fermeture des fabricants ont empêché la poursuite de notre activité dans des conditions de sécurité optimale. Nous avons donc mis la plus grande partie de nos équipes en chômage partiel. Le bureau d’études de l’entreprise, son service commercial et son service administratif sont passés en mode télétravail, mais dans la réalité celui-ci ne représentait que 10 à 15 % de l’activité normale, les interlocuteurs habituels de l’entreprise (maîtres d’ouvrage, architectes…) étant eux-mêmes confinés et en télétravail et toutes les assemblées générales de copropriétés suspendues. Avant la crise, l’entreprise s’était équipée d’un système de visioconférences pour permettre aux collaborateurs des réunions à distance, dans une région déjà très touchée par les embouteillages. Cette méthode s’est avérée utile et efficace pendant cette période d’inactivité « forcée ». Durant le confinement, la Direction avec l’aide des services Qualité (QSE) et Production de SOCATEB a mis en place les mesures nécessaires pour la réouverture des chantiers. À avoir, les commandes pour l’approvisionnement en gel hydroalcoolique, en masques, … mais aussi la méthodologie pour la réorganisation des chantiers notamment des bases vie (baraques de chantiers, douches, sanitaires, restauration, etc.) et les nouveaux plannings pour limiter la présence des compagnons. Par exemple, des horaires décalés ont été instaurés pour la pause-repas… que ce soit sur les chantiers ou dans l’entreprise. Parallèlement, la direction a négocié rapidement et facilement un prêt garanti par l’État. Il est vrai que SOCATEB avec ses 40 ans d’ancienneté et sa bonne santé financière présentait toutes les garanties. Cette mesure dans notre cas a été d’une parfaite efficacité. Depuis le 25 mai, SOCATEB aménage ses chantiers suivant les différentes recommandations sanitaires gouvernementales et le guide de l’OPPBTP. Après la validation de la reprise par les différents maîtres d’ouvrage, assistés pat leurs maîtres d’oeuvre et les coordonnateurs de sécurité, ses équipes ont repris progressivement le travail (tout comme leurs fournisseurs eux-mêmes impactés qui ont dû allonger pour certains leurs délais de livraison). Quelles sont les perspectives pour les années à venir ? Aujourd’hui, 100 % de nos chantiers ont repris en Ile-de-France, mais le travail est réalisé en « mode dégradé », ce qui signifie une perte de productivité de 10 à 20%, un nombre de compagnons limité et des « obligations de sécurité renforcées » très consommatrices de temps. L’entreprise maintiendra les mesures de protection sanitaire au plus haut niveau jusqu’à la commercialisation d’un vaccin ou l’annonce gouvernementale marquant officiellement la fin du Covid 19. L’estimation de l’impact économique de la crise Covid pour SOCATEB représente environ 1,5M € de charges non récupérables liées aux frais fixes et d’une diminution de 25% de son chiffre d’affaires sur l’année 2020, le printemps étant la période où l’activité tourne à plein régime dans les métiers du bâtiment. Nous avons estimé pour chaque chantier en cours, les surcoûts entrainés par les frais Covid (on parle en moyenne de 20 000 et 50 000 euros par chantier). Nos clients du secteur public (comme les collectivités et les bailleurs sociaux) ont accepté de prendre en charge une partie de ces dépenses imprévisibles. Dans le secteur privé, nous avons, au cas par cas, expliqué les surcoûts. Certaines copropriétés ont souhaité participer aux frais Covid 19 en utilisant les aléas des travaux votés lors des assemblées générales. Toutefois, la trésorerie de l’entreprise suffisamment solide a permis de reprendre tous les chantiers. Malheureusement, certaines sociétés de notre secteur d’activité, plus fragiles, sont aujourd’hui en grande difficulté face à cette imprévisibilité. Globalement, nous voulons rester optimismes car les besoins en matière de rénovation énergétique des bâtiments sont d’une telle ampleur que si l’on souhaite réellement atteindre les objectifs de la COP 21 les 15 prochaines années n’y suffiront pas. &nbsp; &nbsp; &nbsp; www.socateb.com
Il y a 4 ans et 309 jours

Paris Construction Week 2021 : 4-en-1 !

La Paris Construction Week se tiendra du 19 au 24 avril 2021, Paris &#8211; Nord Villepinte et Paris – Porte de Versailles. [©DR] L’organisateur de salons Comexposium&nbsp;annonce un évènement jamais vu dans le monde de la construction. En avril 2021, se tiendra la semaine mondiale de la construction, Paris Construction Week. Celle-ci verra l’ensemble des filières de la construction, du bâtiment et des infrastructures, de l’aménagement urbain et des territoires durables réuni. Près de 190 000 visiteurs sont attendus pour 1 800 exposants. Et ce, par le biais de 4 évènements professionnels. A savoir&nbsp;:&nbsp;Intermat, le World of Concrete Europe, BIM World et Solutions Bas Carbone. Ces manifestations auront lieu sur deux sites. Intermat et World of Concrete Europe Intermat Paris&nbsp;accueillera ses visiteurs du 19 au 21 avril 2021 à&nbsp;Paris &#8211; Nord Villepinte. Conférences, ateliers, tables rondes ou encore visites de délégations étrangères seront organisés autour de 5 pôles d’expertise. Soit “Terrassement, Démolition et Transports”, “Route, Industries des matériaux et Fondations”, “Bâtiment et Filière du béton”, “Levage et Manutention” et un nouveau pôle spécifique aux nouvelles technologies.Paris &#8211; Nord Villepinte sera aussi l’hôte du&nbsp;World Of Concrete Europe&nbsp;du 19 au 24 avril 2021. Celui-ci sera intégré au pôle “Bâtiment et filière du béton” d’Intermat. Il alliera espaces d’exposition et espaces de congrès. Avec des conférences sur les thématiques d’avenir du béton et un espace de démonstrations.&nbsp; BIM World et Solutions Bas carbone Quant au&nbsp;BIM World, il prendra place à&nbsp;Paris – Porte de Versailles&nbsp;du 21 au 22 avril 2021. Le salon dédié aux différents usages et bénéfices du numérique s’articulera autour de 3 pôles. “Construction 4.0” pour concevoir des ouvrages plus performants avec le numérique. “Building as a service” pour développer de nouveaux usages et valoriser les ouvrages. Ainsi que “Smart Data” pour des infrastructures digitales et des plates-formes de services pour les métiers, entreprises et collectivités.Enfin,&nbsp;Solutions Bas Carbone&nbsp;se tiendra lui aussi à&nbsp;Paris – Porte de Versailles les 21 et 22 avrils prochains. L’ambition de l’évènement est de fédérer les acteurs publics et privés engagés dans les grands défis de la transition environnementale. Afin de répondre à cette volonté, 3 univers de solutions et de réalisations seront organisés. A savoir, “Matériaux et Performance environnementale”, “Energie et Performance d’exploitation”, ainsi que “Smart Territoires et Performance d’usages”.
Il y a 4 ans et 309 jours

L’ÉCLAIRAGE LED INTELLIGENT DES « DRIVES » ÉCONOMISE PLUS DE 80% D’ÉNERGIE !

Les « drives » de la grande distribution qui séduisent de plus en plus de consommateurs, nécessitent un éclairage LED performant pour un fonctionnement rapide et optimal. En plus de réduire de façon drastique les dépenses énergétiques en éclairage, l’éclairage LED intelligent améliore l’efficacité, la productivité et la sécurité au sein d’un bâtiment. Il contribue, grâce à la supervision SiteWorx, à faire évoluer le bâtiment professionnel en bâtiment intelligent de nouvelle génération. En adaptant l’éclairage intérieur selon la luminosité extérieure, l’éclairage LED intelligent réalise instantanément d’importantes économies d’énergie et de maintenance. Avec les solutions d’éclairage LED connecté de forte puissance d’EAS Solutions et Digital Lumens (division du groupe Osram), les bénéfices sont immédiats et mesurables en temps réel. L’éclairage intelligent qui augmente la durée de vie des luminaires, et ce jusqu’à plus de 200 000 heures, permet notamment à EAS Solutions d’offrir jusqu’à dix ans de garantie commerciale. « Le relamping est d’autant plus rapide, explique Pascal Perreau, Directeur Technique d’EAS Solutions qu’avec les solutions que nous proposons, l’installation électriques et le calepinage sont conservés. Seuls les luminaires existants, énergivores et souvent obsolètes, sont remplacés. L’éclairage LED intelligent apporte de nouvelles solutions LED à forte valeur ajoutée technologique. Nous venons ainsi d’équiper de luminaires LED connectés, les « drives » LECLERC de Saint-Pierre-du-Regard et de Flers qui sont exploités par la SAS SODIFLERS« .    « La réalisation de ce projet vient renforcer l&rsquo;engagement de SAS SODIFLERS dans le développement de sa politique RSE », précise Madame Berrier, Responsable Qualité Environnement de l’entreprise. « Nous sommes mobilisés et très engagés sur les problématiques environnementales et les économies d’énergie. En rénovant l’éclairage, nous réduisons fortement les consommations énergétiques de nos  différents sites tout en améliorant le confort et l’acuité visuelle de nos collaborateurs ». Répartis sur deux sites de Flers et St Pierre du Regard, les nouveaux luminaires LED CLE connectés à SiteWorx sont équipés de capteurs de luminosité ultra performants qui permettent de passer instantanément d’un éclairement minimal de sécurité en l’absence d’activité à un éclairement maximal de pleine activité sans apport de lumière extérieure. Ces capteurs offrent une fonctionnalité importante qui participe à la rapidité et au bon fonctionnement des opérations. Leur installation a permis d’améliorer  la performance énergétique  des « drives » en réduisant de plus de 80% leurs dépenses d’éclairage en énergie, conformément à la norme ISO 50001. La supervision SiteWorx de Digital Lumens (division du groupe Osram) mesure en temps réel la consommation par point et par zone et la comparer à la consommation initiale. Interfacée avec la GTC (gestion technique centralisée) du bâtiment, la supervision SiteWorx récolte d’autres types d’informations. Elle peut, en faisant appel à une multitude de capteurs  IIoT*et logiciels, surveiller les données environnementales, la consommation énergétique des machines, la température en divers points du bâtiment, l’humidité, les taux d’occupation, les données de sécurité…  Elle analyse ces données opérationnelles en temps réel et met alors en place les actions correspondantes afin d’améliorer l’efficacité, la productivité et la sécurité du site. A l’avenir, l’évolution du software de supervision permettra des fonctions avancées comme la sécurisation de zone. * Industrial Internet of Things (IIoT) A propos d’ EAS Solutions EAS Solutions, spécialiste des éclairages LED professionnels, innove avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligent. EAS Solutions sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 4 ans et 309 jours

La Caisse des Dépôts récompense 12 projets « pour la recherche en architecture et paysage »

Ouvert aux doctorants, aux enseignants-chercheurs et aux professionnels, cet appel à candidatures vise à distinguer pour la cinquième année consécutive des projets de recherche qui s’inscrivent dans l’une des thématiques suivantes : Agir pour préserver les équilibres climatiques et écologiques ; Accompagner la transformation territoriale ; Renforcer la cohésion sociale. Les chercheurs lauréats poursuivront leurs travaux grâce à une dotation annuelle de 15 000 € accordée par la Caisse des Dépôts. Par cet accompagnement, la Caisse des Dépôts entend valoriser les pratiques de recherche et d'innovation portées par les diplômés au sein des écoles, par les enseignants et par les agences, collectifs ou autres structures professionnelles. Les résultats de ces recherches constitueront un foyer de réflexion pour mieux anticiper les évolutions futures en matière d'architecture et de paysage. Les 12 projets lauréats ont été distingués par un jury composé d’universitaires, de professionnels et de représentants des pouvoirs publics. Les 12 lauréats poursuivront leurs travaux de recherche à partir de septembre 2020. Ceux-ci peuvent prendre la forme d’une thèse académique, d’un rapport d’étude sur des projets expérimentaux ou de livrables à destination du grand public. Les lauréats s’engagent à présenter chaque année un état d’avancement de leur projet de recherche qui conditionne le renouvellement de ce soutien. Les 12 lauréats de l’appel à candidatures 2020Nom(s) du/des lauréat(s)Titre du projet de rechercheÉtablissement de rattachementType de candidatureBARRAULT ThibautMELONI GiaimePRESSACCO CyrilL'épaisseur de l’architecture, Études sur les formes contemporaines de l’isolation.ENSA Paris-EstProfessionnelsBENABDELJELIL MeryamLa « Smart City », une transition du concept à la pratique. Quel(s) avenir(s) pour la mobilité ?ENSA Paris La VilletteThèse de doctoratCAMPEDEL SimonLe patrimoine des maisons de ville en midi toulousain face à la transition écologique. Manuel rétroactif de construction durable.ENSA ToulouseThèse de doctoratEMERY MarionLa contestation des projets d’autoroutes urbaines - 1956-1973. Paris en regard des grandes villes étasuniennes et européennes, San Francisco et Londres.ENSA Paris MalaquaisThèse de doctoratFONTAINE AmélieAgriculture en territoires habités : matrice et conflits – Construire des outils de cohabitationENSAP LilleThèse de doctoratKERAVEL SoniaLes enjeux de la représentation photographique dans la pratique des paysagistes concepteursENSP Versailles MarseilleHDRLENOIR AstridConstructions de l'urgence, architectures du provisoire face au temps longENSA Paris Val-de-SeineThèse de doctoratMIHAYLOVA Katerina FIORI SandraFermes U+ : faire architecture pour l’agriculture paysanneENSA LyonProfessionnelsPERRON AntoineLa machine contre le métier. Les architectes et la critique de l'industrialisation du bâtiment (France, 1940-1980).ENSA Paris BellevilleThèse de doctoratPETKOVA NataliaForm follows material. Le cas de l'architecture contemporaine en pierre massive.ENSA Paris MalaquaisThèse de doctoratSERRE MarionSALVIA GabrieleLe tiers foncier, une ressource pour les centres anciensENSA MarseilleProfessionnelsRUE Mathilde L’agroforesterie comme processus d’élaboration paysagère. Des agriculteurs-habitants engagés dans la transition écologique ?ENSP Versailles MarseilleThèse de doctorat
Il y a 4 ans et 309 jours

USM, la marque de mobilier 100% modulable disponible sur BIMobject

M. Pascal Buisson, Directeur du Développement International chez USM Modular Furniture revient sur le succès et l’adoption de la marque USM auprès des architectes et architectes d’intérieur et pourquoi le BIM devient indispensable pour la marque USM. Une marque mondiale qui s’adapte à chaque environnement USM, entreprise suisse, conçoit et fabrique du mobilier modulable haut de gamme. La renommée d’USM vient principalement de sa gamme signature de mobilier modulable, le système USM Haller, qui dispose de possibilités de configuration infinies. La marque est présente dans plus de 50 pays et est implantée en Allemagne, en France, aux Etats-Unis, au Royaume Uni, au Japon et depuis peu en Italie via des filiales. Crée en 1885, la société USM, alors spécialisée dans la fabrication d’objets en métal, s’est développée au fil des décennies et a eu la nécessité de construire un nouveau siège social basé sur un concept d’architecture modulable. Afin de meubler ces nouveaux bâtiments, Paul Schärer, alors à la tête d’USM (et père du dirigeant actuel Alexander Schärer), ensemble avec l’architecte Fritz Haller, a conçu un nouveau concept de mobilier modulable émanant de ses idées architecturales et destiné à l’origine à l’aménagement de ses propres bureaux. L’excellent bouche à oreille aidant, la société a commencé à le commercialiser en 1969, a stoppé son activité d’origine en 1992 pour se concentrer finalement uniquement à la fabrication de mobilier et connaitre une notoriété internationale. L’objectif d’USM à travers son mobilier 100% modulable est de concevoir des solutions personnalisables qui répondent et s’adaptent aux besoins des utilisateurs (meubles de rangement ou de séparation d’espaces, consoles pour salles de réunion, banques d’accueil…) ainsi qu’aux nouveaux usages de bureaux (individuels cloisonnés, open space, espaces partagés, espaces de détente, cafétérias…). Il permet ainsi d’aménager tous types d’environnements (bureaux, bibliothèques, musées, hôtels restaurants, musées, établissements de santé, écoles, …) Les meubles USM disponibles sur BIMobject.comLes meubles USM sont vendus dans le monde entier via des réseaux de distributeurs qualifiés (magasins de meubles contemporains). USM présente aussi ses produits dans ses showrooms (Paris, Londres, Hambourg, Munich, Tokyo, New York et Berne. Ces lieux permettent aux architectes et architectes d’intérieur de découvrir certaines des solutions réalisées grâce à la modularité de ce concept, de s’en inspirer, et de les reproduire ou de les adapter pour leurs clients. Le système USM Haller, ainsi que les autres gammes de tables et accessoires, démontrent l’engagement pour une innovation inégalée, une qualité authentique et un style véritable. Une combinaison du mobilier à l’infini qui incite à la créativité L’extrême modularité des meubles USM ainsi que leur longévité, sont un plus pour les utilisateurs et les prescripteurs. USM propose un nombre infini de combinaisons dans 14 coloris à mixer selon les besoins qui sont ensuite produites à la demande en Suisse. Un des avantages du mobilier est sa possibilité de reconfiguration illimitée. En effet, les utilisateurs peuvent ajouter des éléments ou les agencer différemment au fil des années. Une réutilisation du mobilier existant permet ainsi de l’adapter à de nouveaux espaces ou à d’autres usages&#8230; Cet atout en fait un investissement à long terme avec une empreinte écologique très appréciée. Le mobilier USM combine à la fois la diversité, la fonctionnalité, ainsi que l’esthétisme. « Quand un architecte ou un architecte d’intérieur travaille sur un projet, un champ des possibles s’ouvre à lui. » L’architecte explique ses besoins aux équipes USM et ces derniers lui proposent en retour des solutions personnalisées et adaptées lui permettant d’apporter des solutions à ses clients et d’optimiser leur utilisation de l’espace. Les meubles USM disponibles sur BIMobject.com Pascal Buisson, en tant qu’International Business Development Director, supervise 6 pays : la France, les Etats-Unis, le Royaume-Uni, le Japon, la Nouvelle Zélande et l’Australie. Il a ainsi une vision mondiale de son produit. « Nos produits sont vendus à l’international et USM doit s’adapter aux spécificités de chaque région, comprendre les marchés, la culture et les codes de chaque pays afin de différencier le positionnement du mobilier selon l’endroit. » Un lancement BIM poussé par le marché Pascal Buisson s’est rendu compte qu’une des conditions préalables à la prescription des produits USM est de disposer des formats BIM de ses produits, notamment le format Revit, plus particulièrement pour les marchés anglo-saxons. Des retours d’architectes ont incité USM à développer ses produits en Revit pour leur faciliter la tâche et leur permettre d’inclure facilement les produits dans leurs plans et maquettes digitales 3D. « Ces derniers n’ont pas le temps de concevoir eux-mêmes les objets BIM USM, ils préfèrent les avoir à disposition directement ou pouvoir les télécharger sur une plateforme. » Forte de ce constat, USM a souhaité développer les répliques numériques d’une sélection limitée de ses solutions et choisir une plateforme pour les publier. USM a choisi la plateforme BIMobject, de par sa renommée à l’international et sa large communauté d’architectes et architectes d’intérieur dans le monde entier. Si on n’utilise pas le bon outil pour promouvoir nos produits, on peut passer à côté d’un marché. Il en est de même avec le BIM : si on n’offre pas le bon format de fichier ni le bon canal de diffusion aux prescripteurs, on court le risque de ne pas être prescrit dans les nouveaux projets, déclare Pascal Buisson. Il est également important de former et informer nos équipes en interne pour expliquer l’intérêt du BIM et partager les informations avec les prescripteurs. Le mobilier USM sur la plateforme BIMobject Sur BIMobject, USM a publié une sélection de meubles types représentatif de sa gamme. USM a adapté ses produits pour faciliter le travail de l’architecte : il visualise directement les possibilités de configuration offertes par le mobilier USM et le concept. L’architecte comprend que les solutions ne sont pas figées et accède aux caractéristiques techniques, design et dimensionnelles des produits. Meubles modulables USM au format BIM à télécharger sur BIMobject.com La recherche par les utilisateurs est facilitée sur BIMobject grâce à l’utilisation pertinente et significative de mots-clés, images, descriptions, liens, appellations produits… qui oriente l’architecte vers le bon produit. USM Modular Furniture est présent sur la plateforme BIMobject depuis le 22 avril 2020. Dès le premier mois, il y a eu une adoption des produits USM avec 6 000 téléchargements dans le monde. Visitez le site internet et découvrez l’univers USM Parcourez les 52 familles de produits USM sur la plateforme BIMobject
Il y a 4 ans et 309 jours

FFB : une crise et une relance pour Olivier Salleron

Le nouveau président prend ses fonctions alors que l'activité du bâtiment devrait chuter de 18% cette année face à la crise du coronavirus. Sa principale mission sera de porter des propositions pour relancer le secteur.
Il y a 4 ans et 309 jours

GBH (distribution) et NGE (BTP) obtiennent des prêts garantis par l'État

Ces deux prêts sont garantis à hauteur de 80% par l'État et correspondent au volet de mesures annoncées par le gouvernement pour soutenir les entreprises frappées par la crise du coronavirus.Les six prêts accordés à GBH et qui atteignent un total de 115 millions concernent ses six sociétés, Automobiles Réunion SN, Cotrans Automobile SAS, Cama, Société guadeloupéenne de distribution moderne, Martinique Automobiles SN et Guyane Automobile SAS.Face au confinement et à l'arrêt brutal de l'économie, le gouvernement a annoncé le 23 mars la mise en place de prêts garantis par l'État (PGE) aux entreprises, pour un montant total pouvant atteindre 300 milliards d'euros.Ces prêts sont garantis à 90% pour la plupart des entreprises et à 70% ou 80% pour les grands groupes.Début juin, le directeur général de la banque publique d'investissement (Bpifrance) Nicolas Dufourcq indiquait que près de 500.000 entreprises avaient déjà bénéficié d'un PGE pour un total de 85 milliards d'euros.
Il y a 4 ans et 309 jours

L’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse accélère l’investissement

Le conseil d’administration de l’agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse a voté, le 25 juin, un nouvel appel à projets « Plan de rebond eau, biodiversité, climat ». Il débloque 180 millions d’euros pour aider à hauteur de 70 % les projets d’amélioration en eau et assainissement des collectivités et industriels. Les candidats doivent déposer leur dossier avant fin 2021.
Il y a 4 ans et 309 jours

Le store latéral Ely de Bat adapté pour toute solution d'intimité

L'offre BAT reflète cette double âme avec des produits qui d'une part vous permettent de créer des environnements dédiés à la détente, d'autre part ils offrent de nouveaux espaces à utiliser pour étendre leur potentiel commercial.ELY est un nouveau store latéral capable de répondre aux besoins contemporains des restaurants, hôtels, hôtels de charme et autres environnements contractuels pour augmenter les espaces pouvant être utilisés par les clients en toute sécurité ou pour moderniser l'espace extérieur de leurs locaux.Il s'agit en fait d'un store à ouverture latéral qui peut être combiné en couleur et en tissu, qui est utilisé comme "séparateur" pour créer des zones distinctes. Parfait à la fois lorsque vous voulez plus d'intimité et pour les grands espaces extérieurs publics où vous souhaitez délimiter des zones spécifiques.Grâce à sa structure linéaire, sa facilité de montage et sa conception minimale, ELY est la solution idéale qui combine les besoins de protection solaire avec ceux de mobilier d'extérieur. Extrêmement simple à installer, ELY est un système d'obscurcissement modulaire caractérisé par une conception linéaire et compacte, également grâce au nouveau coffre symétrique et au nouveau profil de support.La poignée est très pratique et peut être installée frontalement ou latéralement, tandis que la roue de guidage rend la manipulation simple et sûre. Jusqu'à quatre rideaux peuvent être connectés au poteau central pour diviser l'espace en autant de secteurs.De cette façon, les espaces extérieurs peuvent être optimisés et redistribués : en s'appuyant sur la fiabilité de BAT, les restaurateurs et les hôteliers peuvent être assurés et les clients vivent une expérience d'accueil de haut niveau, en toute sécurité.Une fois de plus, le Groupe BAT est confirmé comme le partenaire idéal pour ceux qui privilégient le design et le bien-être des clients. De cette façon, les opérateurs du secteur CHR sont garantis de pouvoir travailler avec plus de continuité et un double avantage : en termes de prestige de l'emplacement et avec plus de places disponibles.Caractéristiques techniques :Facilité d'installationPoignée frontal ou latérale, simple ou doubleRoue de guidage sous le terminal pour un meilleur glissementCoffre symétrique
Il y a 4 ans et 309 jours

Architecture et paysage : 12 projets de recherche distingués

La Caisse des Dépôts a annoncé ce 29 juin les douze lauréats de son appel à candidatures "pour la recherche en architecture et paysage" 2020. Dans le cadre de ce mécénat, ils pourront bénéficier d'une dotation annuelle de 15000€ pour poursuivre leurs travaux.
Il y a 4 ans et 309 jours

Série Chaleur urbaine (4/5) : Bataille de l’eau pour la fraîcheur des toits

Face au dérèglement climatique, les trois leaders français de la toiture végétalisée engagent la bataille de l’eau, pour renforcer la capacité rafraîchissante des plantes. Dans ce marché évalué à 1,5 million de m2 par an et dont ils occupent environ les trois quarts, Sopranature, Le Prieuré et Ecovégétal mesurent leurs performances en rétention et évaporation. Ils misent sur la diversification des végétaux.
Il y a 4 ans et 310 jours

Jardins en optique accordéon à Mexico

D&eacute;cern&eacute;e depuis 1983, le prix de l&#39;Equerre d&rsquo;argent a pour objectif de faire conna&icirc;tre le meilleur de la production architecturale r&eacute;alis&eacute;e sur le territoire fran&ccedil;ais. Participez &agrave; la 38e &eacute;dition en proposant votre r&eacute;alisation avant le 11 septembre 2020 &agrave; minuit. &nbsp; Qui succ&egrave;dera&nbsp;&agrave;&nbsp;la&nbsp;[&hellip;]&nbsp;Lire l'article
Il y a 4 ans et 310 jours

Mixité signée SOA pour Paris Habitat et agnès b.

En plein cœur du XIIIe arrondissement de Paris, l&#8217;agence SOA a livré en janvier 2020 un bâtiment au programme mixte accueillant 75 logements sociaux, une crèche de 30 berceaux et La Fab., le nouveau fonds de dotation agnès b. Immeuble totem&#160;? Communiqué. Pour Paris Habitat et le Fonds de dotation agnès b. maîtres d’ouvrage,&#160;SOA Architectes [&#8230;] L’article Mixité signée SOA pour Paris Habitat et agnès b. est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 310 jours

Le CSTB accompagne la conception de la couverture du court Philippe-Chatrier de Roland Garros

Maquette aéroélastique de la couverture du court central Philippe-Chatrier. Photo&nbsp;: CSTBDans le cadre de la rénovation du court central Philippe-Chatrier du stade Roland Garros, une couverture mobile protégeant les tribunes et le court a été réalisée. Elle permettra de parer aux phénomènes climatiques susceptibles de perturber la tenue et le bon déroulement des rencontres, et de fournir un confort optimisé aux spectateurs. Le CSTB a accompagné sa conception via des essais réalisés dans l'un de ses équipements de pointe&nbsp;: la soufflerie atmosphérique de Nantes. À la demande de la société Cimolai, société spécialisée dans la conception, la construction et l'installation de très grosses structures métalliques, mandatée par la Fédération française de tennis, une étude complète a été réalisée par le CSTB sur maquette aéroélastique de la couverture, à échelle du 1/70ème. Elle a permis de mesurer le comportement au vent de la structure de couverture, constituée de onze ailes mobiles car supportées à leurs extrémités par des bogies roulant sur deux rails parallèles situés en haut des tribunes Est et Ouest. À partir des données fournies par Cimolai concernant l'environnement, la géométrie et les caractéristiques mécaniques de la couverture, en termes de raideur et de masse, une maquette à échelle réduite, représentative de l'ouvrage réel, a été conçue. Une modélisation numérique en dynamique La maquette a été calibrée en soufflerie de manière à reproduire les composantes fondamentales du comportement dynamique de l'ouvrage réel, déterminés par Cimolai par le biais d'une modélisation numérique. Puis, le comportement de la maquette a été analysé en soufflerie pour différentes positions des ailes et sous différentes incidences et vitesses de vent, définies en accord avec les acteurs du projet. L'objectif de la campagne d'essais était de mesurer la réponse de l'ouvrage en termes de déplacements des ailes et d'efforts de réaction au niveau des bogies des ailes. L'étude en soufflerie a par ailleurs permis de mesurer la réponse de l'ouvrage dans un grand nombre de configurations de vitesses et de directions de vent d'une part, et de positions de la couverture d'autre part&nbsp;: repliée, dépliée ou intermédiaire, résultats inatteignables par d'autres méthodes dans le budget alloué. Des conditions réunies pour un dimensionnement au vent Autre conclusion de l'étude du CSTB&nbsp;; aucun contact entre les ailes n'a été constaté dans la position repliée, lorsque celles-ci vibraient sous les effets du vent. Le soin et la rigueur apportés à la réalisation de la maquette, la grande quantité de configurations testées, la régularité et la complémentarité des résultats obtenus, mais aussi les éléments d'analyse fournis, ainsi que la bonne cohérence avec les études réalisées précédemment sur maquette rigide, ont permis de conclure que les conditions étaient réunies pour un dimensionnement au vent optimisé de la couverture, en bonne connaissance de cause. En savoir plus&nbsp;: L'expertise Grands ouvrages du CSTB
Il y a 4 ans et 310 jours

Une entreprise du BTP de la Marne condamnée pour homicide involontaire

Le parquet avait requis 20.000 euros d'amende contre l'entreprise Pieux Ouest, experte en fondations spéciales, qui, interrogée par l'AFP vendredi, ne savait pas encore si elle ferait appel ou non de ce jugement rendu mercredi."Les poursuites devant le tribunal avaient été engagées par le parquet estimant que l'employeur avait commis une faute caractérisée en ne mettant pas à la disposition des ouvriers un équipement de travail conforme aux règles de sécurité, en n'établissant pas de mode opératoire adapté (...) alors que les risques professionnels au démontage d'une foreuse étaient importants et connus de l'entreprise, et en omettant de dispenser à ses travailleurs des formations adaptées", a expliqué à l'AFP la procureure de Châlons, Ombeline Mahuzier.La victime, âgée de 53 ans, avait eu la tête broyée entre un bras dépliant et un engin de chantier alors que, malgré le protocole établi, l'homme ne se trouvait pas du bon côté d'une foreuse pendant son démontage. L'ouvrier ne portait pas de casque au moment de l'accident.C'est pourquoi, durant l'audience du 27 mai, la défense de la société, filiale du groupe Spie-Batignoles depuis 2019, avait rejeté une partie de la responsabilité de l'accident sur le chef de chantier et le salarié lui-même."La victime avait en effet commis une faute qui n'était pas toutefois la seule cause de l'accident", précise Mme Mahuzier.
Il y a 4 ans et 310 jours

Un ouvrier du BTP meurt dans une carrière de calcaire

La victime était en arrêt cardio-respiratoire à l'arrivée des pompiers, alertés vers 7h10, qui n'ont pas pu la sauver malgré les soins prodigués.Selon les gendarmes, le pneu d'un engin de chantier, de 10 mètres de long, servant à l'excavation, a explosé et a mortellement atteint la victime."Le salarié menait une opération de maintenance classique sur un pneumatique de support d'installation. Une violente et brutale perte de pression due à une raison encore inconnue a projeté le salarié", a expliqué dans un communiqué l'entreprise, qui a mis en place une cellule psychologique "pour accompagner ses collègues".Les carrières du Boulonnais appartiennent au groupe CB, qui produit des matériaux destinés à l'industrie (sidérurgie, chaux, sucre, verre, alimentation animale...), au bâtiment (béton prêt-à-l'emploi, préfabrication) et aux travaux publics.Une enquête a été ouverte par la gendarmerie de Marquise.
Il y a 4 ans et 310 jours

Bercy dévoile son plan de relance post-Covid pour les artisans et indépendants

ENTREPRISES. Alors que se poursuit l'examen parlementaire de la loi de Finances rectificative post-coronavirus, le ministère de l'Économie présente son propre plan de relance à destination des artisans et indépendants. Au programme : nouvelles mesures de soutien à leur trésorerie, accompagnement renforcé aux outils numériques et redynamisation des territoires.
Il y a 4 ans et 310 jours

Dépenses accrues, recettes en berne et prévisions révisées : les chiffres du nouveau budget

Chute de 11% du PIBCe nouveau projet de loi de finances rectificative table sur un recul de 11% du PIB en 2020, au lieu de 8% auparavant, soit la plus forte récession de la France depuis 1945.Cette prévision tient compte d'un redémarrage de l'économie seulement "progressif", explique-t-on à Bercy.Il s'agit d'une estimation "prudente", selon le Haut Conseil des finances publiques (HCFP).Dette au plus hautAvec les dépenses supplémentaires pour soutenir l'économie et la récession record, le déficit public va se creuser à 11,4% du PIB, contre 3% l'an dernier, anticipe le gouvernement.La dette publique devrait s'envoler à 120,9% du PIB, alors qu'elle avait atteint 98,1% l'an dernier. La France figure ainsi parmi les pays européens les plus endettés.460 milliards de soutienLe gouvernement a désormais prévu près de 136 milliards d'euros de mesures de soutien à l'économie, contre 110 milliards prévus à la fin avril. Cela fait 57 milliards d'euros de dépenses budgétaires exceptionnelles depuis le début de la crise, le reste étant notamment des reports de charges.À cela s'ajoutent près de 327 milliards de garanties (crédits, export, etc.) accordées par l'État.Au total, le gouvernement a mobilisé 460 milliards d'euros, soit "21% de la richesse nationale", selon le ministre de l'Économie Bruno Le Maire.45 milliards pour les secteurs sinistrésDans le détail, le gouvernement va débloquer 45 milliards d'euros pour soutenir les secteurs les plus touchés par la crise, a indiqué M. Le Maire. Ce montant recouvre des mesures budgétaires et un soutien à la trésorerie des entreprises.Le tourisme bénéficiera de 18 milliards d'euros. Cette somme englobe lesmesures de chômage partiel, les prêts garantis par l'État, près de 3 milliards d'euros d'exonérations sociales ou encore les reports d'impôts.L'industrie automobile profitera de 8 milliards. Outre l'aide au chômage partiel et les emprunts garantis, ce montant inclut un milliard d'euros pour soutenir la demande de véhicules et un milliard pour encourager les investissements pour produire les voitures hybrides et électriques en France.L'État consacrera 15 milliards d'euros à l'industrie aéronautique et au transport aérien, dont 7 milliards de prêts accordés à Air France-KLM.Le gouvernement va aussi dédier 600 millions d'euros supplémentaires aux start-up technologiques, en créant notamment un fonds d'investissement. Des mesures sont aussi prévues pour les secteurs de la culture et du BTP. Chômage partiel: 5 milliards supplémentairesAu total, ce projet de budget comprendra environ 13 milliards d'euros de crédits budgétaires supplémentaires.Le dispositif de chômage partiel, dont une partie est prise en charge par l'Unédic, sera doté de 5 milliards d'euros de plus par rapport aux 25 milliards déjà prévus. Ce sou t rectifié.L'impôt sur les sociétés devrait notamment rapporter 13 milliards de moins que ce qui était prévu dans le précédent budget rectifié, et désormais plus de 32 milliards de moins que ce qui était anticipé dans le budget initial adopté fin 2019. Les recettes de TVA devraient encore plonger de 8,5 milliards par rapport au précédent budget rectifié, soit un manque à gagner d'un peu moins de 20 milliards par rapport à ce qui était anticipé dans le budget initial. En revanche, le gouvernement n'anticipe aucun impact à ce stade sur l'impôt sur le revenu.La dépense publique va s'élever à 63,6% du PIB à la fin de l'année du fait des mesures de soutien.Tendance baissière de l'inflationDans ses prévisions, le gouvernement a également pris en compte une "tendance à la baisse des perspectives d'inflation", avec une estimation "de l'ordre de 0,4%" pour l'année 2020 en France.
Il y a 4 ans et 310 jours

Biodiversité, passoires thermiques, "bétonnisation" : Emmanuel Macron répond à la Convention citoyenne pour le climat

Moratoire sur les nouvelles zones commerciales, passoires thermiques… Le président de la République a répondu ce 29 juin aux propositions de la Convention citoyenne pour le climat. Il a notamment annoncé un fonds pour la conversion écologique dont profitera le bâtiment.
Il y a 4 ans et 310 jours

Hôpital de campagne modulaire à structure bois

La pandémie a révélé des besoins importants d’équipements d’urgence et flexibles pour compléter les capacités d’accueil des établissements de santé existants. Pour faire face à des situations sanitaires d’urgence, AIA Life Designers, groupe pluridisciplinaire d’architectes et d’ingénieurs, a créé HOSPI-CAMP, une solution française d’hôpital de campagne, en partenariat avec LECO Construction, société de construction modulaire en ossature bois. HOSPI-CAMP apporte des surfaces complémentaires pour toutes les activités en lien avec la santé, y compris les plus techniques comme les unités de réanimation, d’urgence, des blocs opératoires ou des laboratoires. Pour atteindre le niveau ISO requis par une chambre de réanimation, AIA Life Designers et LECO Construction ont aussi conçu le PLUG-TECH-AIA qui permet de transformer un module classique en chambre de réanimation avec un minimum de travaux, et ainsi de répondre aux normes sanitaires élevées. La conception des modules est novatrice par le recours à la production hors site qui permet une préfabrication en amont du chantier et un assemblage plus rapide sur place. La simplicité de construction, la disponibilité des matières et la légèreté apportent la souplesse requise par l’urgence. Cette solution est démontable et remontable grâce à la transportabilité de ses modules (par voies aérienne, routière, maritime, fluviale et ferroviaire). Elle peut aussi évoluer au gré des besoins, par ajout ou suppression de modules. Le projet a aussi recours au BIM qui permet un partage d’informations entre les intervenants du projet, tout au long du cycle de vie du bâtiment. Elle permet de maîtriser notamment la gestion des fluides médicaux, fonctionnalité essentielle pour répondre aux futurs usages du bâtiment.
Il y a 4 ans et 310 jours

Généraliser la fibre optique, un objectif qui s'impose selon la filière

ETUDE. La 8e édition de l'Observatoire du très haut débit est sortie et est disponible en téléchargement. Elle confirme l'accélération du déploiement de la fibre optique sur l'année 2019. Pour 2020, la crise sanitaire a obligé à revoir les prévisions. La filière affiche cependant des ambitions toujours plus grandes, tandis que les besoins se font pressants.
Il y a 4 ans et 310 jours

Convention climat : Macron retient 146 propositions et annonce 15 milliards d'euros pour la conversion écologique

Pour Emmanuel Macron, "le temps est venu d'agir", sur les 149 propositions formulées, 146 sont retenues et seront transmises soit au Gouvernement, soit au Parlement, soit au peuple français. Il annonce également débloquer 15 milliards d'euros sur deux ans et promet une mise en œuvre rapide.15 milliards pour la conversion écologiqueDevant les citoyens de la Convention pour le climat, Emmanuel Macron a déclaré que « L'État prendra toute sa part: 15 milliards d'euros supplémentaires sur deux ans seront injectés pour la conversion écologique de notre économie », promettant la mise en place d'un « fonds de transformation écologique de notre économie dans le plan de relance » pour notamment « investir dans les transports propres, rénover nos bâtiments » et « inventer les industries de demain ».Une mise en œuvre rapideLes premières mesures qui relèvent du champ réglementaire, seront étudiées lors d'un prochain conseil des ministres restreint, baptisé pour l'occasion conseil de défense écologique.D'autres mesures seront intégrées au plan de relance économique écologique et sociale, soumis au parlement dès la fin de l'été.Pour finir un projet de loi spécifique sera présenté à la fin de l'été, il intégrera l'ensemble des mesures qui relèvent du champs législatif.Pour arriver à une mise en œuvre rapide, des groupes de travail seront formés pour une collaboration étroite avec le gouvernement et le parlement.Le gouvernement réunira également les associations d'élus pour discuter de l'ensemble des propositions qui concernent les collectivités locales.Les 3 propositions rejetéesEmmanuel Macron a retenu presque toutes les propositions formulées par la Convention climat à l’exception de trois :Non à une taxe de 4% sur les dividendes, qui découragerait l'investissement selon le PrésidentRefus de la limitation de la vitesse à 110 km/h sur les autoroutes, car pour Emmanuel Macron « La transition écologique ne doit pas se faire au détriment des communes, des régions les plus enclavées »La proposition de récrire le préambule de la Constitution en plaçant l'environnement au-dessus des autres valeurs fondamentales a également été rejetée par le chef de l’État
Il y a 4 ans et 310 jours

Dans deux ans, il sera obligatoire de rénover les passoires thermiques !

Le président Emmanuel Macron a annoncé qu’il retenait les 146 propositions des membres de la convention citoyenne sur 149. Un projet de loi sera étudié à la fin de l&rsquo;été pour intégrer les mesures. 15 milliards d’euros supplémentaires seront injectés sur deux ans pour la transformation écologique. Rappelons que la convention citoyenne souhaitait rendre obligatoire la rénovation énergétique globale des bâtiments d&rsquo;ici 2040. Pour cela, une les propriétaires occupants et les bailleurs seront contraints de rénover de manière globale, de changer les chaudières au fioul et à charbon d&rsquo;ici à 2030 dans les bâtiments neufs et rénovés. Un réseau harmonisé de guichets uniques et un système progressif d&rsquo;aides à la rénovation, avec prêts et subventions pour les plus démunis devrait être développé. Les professionnels du bâtiment seront formés pour répondre à la demande de rénovation globale et assurer une transition de tous les corps de métier du BTP vers des pratiques écoresponsables.
Il y a 4 ans et 310 jours

Les propositions du rapport sur l'habitat inclusif

DÉPENDANCE. Le rapport commandé en novembre dernier par le Premier ministre pour "le déploiement à grande échelle de l'habitat inclusif" a été rendu public. Ses auteurs recommandent, notamment, l'allocation d'une aide aux personnes plutôt qu'aux structures et, dans le logement social, la création d'un prêt aidé spécifique.
Il y a 4 ans et 310 jours

Qui sont les quatre nominés pour le Grand Prix de l'urbanisme ?

RÉCOMPENSE. Le Grand prix de l'urbanisme 2020 sera annoncé le 9 juillet. Le jury, qui s'est réuni mi-juin, a retenu quatre personnalités.
Il y a 4 ans et 310 jours

Les architectes appuient les propositions des citoyens de la Convention climat

Les propositions sont "dans la ligne de celles que le Conseil a porté auprès du gouvernement, lors du grand débat national, ou plus récemment auprès des maires", souligne-t-il dans un communiqué."Construire et rénover avec le meilleur bilan écologique est possible, que cela soit lors du chantier et pendant la vie du bâtiment, en utilisant des matériaux sains, biosourcés, et en circuit court", estime le conseil de la profession, alors que les besoins de logements restent toujours très importants en France.Les architectes se prononcent pour l'arrêt de "l'artificialisation des sols". La convention citoyenne, estiment-ils, "insiste à juste titre sur la nécessité de réinvestir les friches et les zones commerciales obsolètes des entrées de ville", soit "des centaines de milliers d'hectares artificialisés et mono-fonctionnels".Parmi ses propositions, remises au gouvernement, les 150 membres de la Convention citoyenne plaident notamment pour une rénovation énergétique obligatoire des bâtiments d'ici à 2040, avec un système progressif de prêts et subventions, remboursés par les économies réalisées. Le secteur du logement et du bâtiment représente de l'ordre de 20% des émissions de gaz à effet de serre en France.Aborder la question de la rénovation des bâtiments "uniquement par le volet énergétique est un frein", juge pour sa part le Conseil de l'Ordre des architectes, pour qui "la conception, en neuf comme en rénovation, doit prendre en compte tous les paramètres de la qualité d'usage, le fonctionnement, la valeur patrimoniale, l'adaptabilité de l'habitat aux transformations de la structure familiale et au choc climatique, et évidemment les volets santé et énergie".
Il y a 4 ans et 310 jours

L'État "indifférent" à la reconversion de Fessenheim selon un député LR

"L'enjeu politique pour le gouvernement, ce fut la fermeture de Fessenheim. Pour ce qui est de la suite, l'État est indifférent", a déploré le député devant la presse à Colmar, à l'issue d'une visite de la centrale par une délégation de cinq députés de la mission d'information qu'il préside.M. Schellenberger a pointé les "contradictions criantes" de l'État. Le préfet du Haut-Rhin, avec lequel la délégation s'est entretenue lundi, "trouve que pas assez de projets innovants viennent du territoire", or des élus rencontrés le même jour ont rappelé les "projets innovants" autour de l'hydrogène "dix fois présentés, et dix fois écartés", a fait valoir le député."Les collectivités locales, elles, ont fait ce qu'elles avaient à faire", a-t-il assuré.La mission d'information s'est rendue à Fessenheim à une semaine de l'arrêt définitif du second réacteur de la centrale, prévu le 30 juin, étape décisive avant une longue phase de démantèlement.Sa délégation n'a toutefois pas pu visiter les installations nucléaires proprement dites, la direction du site ayant fait valoir la "tension sociale et humaine" à l'approche de cette échéance, a rapporté M. Schellenberger. "Je le comprends", a-t-il réagi.Constituée en février dernier, la mission d'information de l'Assemblée nationale relative au suivi de la fermeture de la centrale est chargée pendant un an de mener des visites de terrain et des auditions de représentants d'EDF, de l'État, des syndicats ou encore des associations anti-nucléaires.Les auditions déjà conduites ont mis en évidence "un manque d'engagement et d'intérêt de l'État", a insisté M. Schellenberger dans un texte remis à la presse lundi.Le député a cité "le projet de technocentre (site-pilote pour le démantèlement de centrales nucléaires) désapprouvé puis finalement soutenu avec prudence par la ministre (de la Transition écologique) Elisabeth Borne", les questions fiscales longtemps en suspens, ou "le peu, 10 millions d'euros, dont bénéficie le territoire" au regard des 400 millions d'euros minimum d'indemnités versées à EDF.
Il y a 4 ans et 310 jours

Studio Briand & Berthereau : Galerie La Serre, espace pour l’art contemporain de l’Arbre Blanc

Le Studio Briand & Berthereau a aménagé l’espace, dessiné le mobilier et imaginé l’identité de la galerie La Serre, un lieu d’exposition installé au rez-de-chaussée de l’Arbre Blanc à Montpellier (34). Créé en 2011 par Joran Briand et Arnaud Berthereau, le Studio Briand & Berthereau s’est employé à concevoir un intérieur épuré et modulable pour accueillir la galerie La Serre, une galerie d’art dédiée à la création contemporaine. L’idée du studio était de créer un espace d’exposition, mais aussi un lieu de vie et de travail. Cet espace de 440 mètres carrés réparti sur deux niveaux a été spécialement aménagé pour entreposer et exposer des œuvres d’art, ainsi que servir de bureaux. Au rez-de-chaussée, se trouvent l’espace d’exposition et la pièce de consultation. À l’étage, se situent les bureaux, les salles de réunion et l’espace de workshops. Entièrement modulables, les espaces ont vocation à évoluer en fonction de la programmation. Une grille a en effet été placée sous le plafond de la galerie pour suspendre des spots, et des panneaux dessinés sur mesure sur lesquels accrocher des œuvres. Une scénographie spécifique peut ainsi être inventée à chaque exposition. Pour en savoir plus, visitez le site du Studio Briand & Berthereau. Photographies : © Studio Briand & BerthereauLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 310 jours

Transition écologique : Macron annonce 15 Mds € supplémentaires sur 2 ans

EXÉCUTIF. Emmanuel Macron s'est exprimé ce 29 juin 2020 devant les 150 citoyens de la Convention pour le climat pour leur annoncer qu'il était favorable à la quasi-totalité des mesures qu'ils ont proposé. Le chef de l'Etat a promis "un fonds de transformation écologique", destiné notamment au bâtiment.
Il y a 4 ans et 310 jours

Retour d'expérience sur l'utilisation de Rockfleece B Energy de Rockwool

Une alternative mêlant qualité et durabilité « Notre choix de passer sur un système soudable est basé sur la qualité et la durabilité dans le temps »Rockfleece B Energy est constitué d’un parement en voile de verre et permet de faire du soudé en plein. Utilisé en épaisseur de 140 mm sur ce chantier bâtiment neuf de 950 m2 à destination d’une enseigne de distribution de matériaux, le panneau isolant apporte, selon Hervé Soubeyrand, « une meilleure adhérence sur le complexe d’étanchéité final tout en limitant le nombre de fixations sur la toiture ». C’est justement pour ces raisons que Sleico, qui oriente son offre vers des solutions techniques durables et soudées en plein, a été curieuse d’essayer ce nouvel isolant.Conséquence : une diminution des poinçonnements avec l’usage ultérieur – tels que ceux résultant de la circulation sur les toitures – qui assure ainsi la pérennité de l’installation au fil du temps. Le produit est d’ailleurs assujetti à une garantie de 25 ans. « C'est un très bon rapport qualité prix et un bon système d'étanchéité »L’utilisation du soudé en plein permet également de se passer du recours à des systèmes renforcés généralement bien plus onéreux. Le produit présente donc un double avantage pour les étancheurs : tout en présentant un « retour dans le temps bien meilleur qu’un système bicouche basique » et donc une très bonne qualité du système d’étanchéité, ce panneau isolant garde le coût abordable d’un soudable. Des conditions de travail améliorées pour une meilleures productivitéBasé sur un voile de verre et non plus sur un bitume, Rockfleece B Energy facilite le travail des poseurs. En effet, cette nouvelle solution de soudé en plein rend la découpe du produit plus simple, d’autant qu’elle ne pollue pas les outils lors de la manipulation. Il en résulte une amélioration des conditions de travail sur les chantiers et, par extension, une amélioration notable de la productivité pour la société d’étanchéité. Elle apporte en plus une solution en lambda 0,036 pour les technologies soudées en plein ce qui réduit l’épaisseur et le poids des panneaux vis-à-vis des panneaux revêtus bitumes classiques.Découvrez le reportage sur le chantier et les explications de Michel Soria, chef de produit supports d'étanchéité et isolants bardage Rockwool en vidéo