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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87982 résultats)
Il y a 4 ans et 333 jours

La Fédération des Services Énergie Environnement (FEDENE) fait 11 propositions pour une relance verte

Les 11 propositions de la FEDENEUn des leviers essentiels de cette relance sera le développement de projets d'énergie et d'économie circulaire dans un double objectif :redémarrer l'économie et les emplois d'une part,décarboner nos consommations énergétiques d'autre part.Les propositions de la FEDENE permettraient de lancer dans un délai très proche des projets destinés à la politique de relance. Elles reposent sur des démarches de promotion concertées et sur des initiatives commerciales dans les domaines de la chaleur renouvelable et de récupération et celui des économies d'énergie et de la rénovation énergétique. Portées par les acteurs de la filière, et appuyées par les décideurs publics, elles visent à faire émerger plus rapidement des projets, autoportants financièrement avec un soutien public adapté et optimisé.Réseaux de chaleur et de froid : des démarches concrètes portées par le Syndicat National du Chauffage Urbain et de la climatisation urbaine (SNCU)Fiche 1 : Stimuler le développement des systèmes vertueux en facilitant les raccordements et les extensions dans le périmètre concédé à travers notamment l'adaptation des dispositifs de soutien et la généralisation du merit orderFiche 2 : Investir dans les systèmes vertueux existants pour doper les livraisons de chaleur verteFiche 3 : Accélérer la création de nouveaux réseaux dans des villes de taille moyenne (plus de 10.000 habitants) en proposant une analyse systématique des potentiels débouchant sur des plans de déploiement, une approche pro-active de promotion et un « Pack Ingénierie global ».Fiche 4 : Investir pour développer des centres urbains durables à travers les réseaux de froid, notamment par la création de boucles froides à partir de grosses installation existantes et l'élargissement du Fonds Chaleur aux projets de froid renouvelable.Fiche 5 : Capter et mutualiser les sources d'énergies perdues, notamment la chaleur industrielle, pour alimenter de façon économique des réseaux et des plateformes industriellesRénovation énergétique des bâtiments : des démarches fortes pour favoriser la massification des opérations d'économies d'énergie, et des garanties réelles portées par le Syndicat National de l'Exploitation Climatique et de la maintenance (SNEC)Fiche 6 : Lancer une démarche « Réno –Copro » pour massifier les rénovations techniques sur la base de CPE adaptés aux copropriétés à chauffage collectif.Fiche 7 : Engager une action massive de rénovation énergétique garantie par un CPE pour atteindre les objectifs du décret tertiaire, notamment en renforçant le dispositif CEE et en proposant un modèle de contrat CPE simplifié.Fiche 8 : Lancer un plan national d'économies d'énergies rentable pour les collectivités en encourageant l'utilisation du dispositif d'intracting sécurisé par un CPE.Fiche 9 : Soutenir les secteurs tertiaires touchés par la crise sanitaire : Plan d'aide à la rénovation énergétique dans les secteurs marqués par la crise (santé, hôtellerie/restauration).Fiche 10 : Engager la décarbonation de l'industrie en encourageant la réduction des consommations énergétiques et l'utilisation de chaleur renouvelable et de récupération à travers notamment l'ouverture des sites soumis à EU-ETS de moins de 50 MWth aux opérations standards CEE et la création d'un Fonds de garantie.Facility Management : une démarche orientée service-client portée par le Syndicat Professionnel des Entreprises de Multiservice Immobilier et de facilities management (SYPEMI) :Fiche 11 : Promouvoir des services intégrés et orientés vers la performance pour contribuer à l'efficacité et la compétitivité des fonctions support pour le secteur public comme pour le secteur privé, à travers notamment la mise en place d'un Observatoire du Facilities Management.
Il y a 4 ans et 333 jours

Les défaillances d'entreprises du BTP se sont tassées en avril

CONJONCTURE. Le nombre de défaillances d'entreprises a fortement chuté entre avril 2019 et avril 2020, même s'il faut bien sûr prendre en compte l'impact du confinement sur le fonctionnement des juridictions. Avec seulement 204 procédures enregistrées en avril dernier, le BTP profite aussi de cette amélioration.
Il y a 4 ans et 333 jours

Notre-Dame de Paris sera finalement reconstruite à l'identique

Il a "acquis la conviction" qu'il faut restaurer la cathédrale à l'identique, a indiqué l'Élysée jeudi soir, après une réunion de la Commission nationale du patrimoine et de l'architecture (CNPA), réunissant élus, experts et architectes du chantier."Le président a fait confiance aux experts et préapprouvé dans les grandes lignes le projet présenté par l'architecte en chef (Philippe Villeneuve), qui prévoit de reconstruire la flèche à l'identique", a précisé l'Élysée.Ce projet propose globalement une restauration de la cathédrale et de sa flèche de la façon la plus proche de son état juste avant l'incendie survenu dans la soirée du 15 avril 2019."Je suis heureux que les Français, les pèlerins et les visiteurs du monde entier puissent retrouver la cathédrale qu'ils aiment", a réagi jeudi soir le général Georgelin, nommé pour superviser le chantier, dans un communiqué."Aujourd'hui, une étape importante a été franchie, a-t-il fait valoir. Toutes les conditions sont à présent réunies pour nous permettre d'avancer avec confiance et détermination pour préparer activement les opérations de restauration".A la surprise générale, le chef de l'État avait évoqué, peu après l'incendie, la possibilité d'"un geste architectural contemporain" pour rebâtir la cathédrale, stimulant l'imagination de nombreux grands architectes. Certains avaient proposé une flèche en verre, la création sur le toit d'un parc-jardin bio ou une terrasse panoramique...Passe d'armesL'architecte Philippe Villeneuve a lui toujours plaidé la fidélité à l'ouvrage retouché dans le style gothique par Viollet-le-Duc au XIXe siècle, dont sont conservés tous les plans. Et d'arguer qu'une telle option permet de mieux tenir les délais d'une reconstruction en cinq ans, comme voulu par le président Macron.Un avis tranché qui a donné lieu à une passe d'armes insolite fin 2019 avec le général Georgelin: ce dernier avait demandé à l'architecte en chef de "fermer sa gueule", après sa prise de position contre une flèche contemporaine.Jeudi, M. Villeneuve a présenté un dossier 3.000 pages pour passer en revue les modalités qu'il préconise pour restaurer la charpente, le toit et la flèche de la cathédrale, sujets des plus épineux ayant provoqué une querelle entre anciens et modernes.Au terme de cette réunion qui a duré quatre heures, la CNPA a "approuvé à l'unanimité le parti de restauration proposé consistant à rétablir l'architecture de Viollet-le-Duc, en ce qui concerne la couverture et la flèche dans le respect des matériaux d'origine", a affirmé à l'AFP Jean-Pierre Leleux, sénateur à la tête de cette commission.Concernant la charpente, sur lequel il y a eu débat, une étude à venir précisera exactement les contours de sa reconstruction qui sera en bois.Avant de parvenir à cette décision, tous les scénarios ont été envisagés, affirme-t-il, y compris de laisser la cathédrale dans son état actuel.Structure éphémère"Le souci pour le président était de ne pas retarder le chantier ni de complexifier le dossier. Il fallait vite clarifier les choses", a expliqué de son côté l'Élysée."S'il avait fallu faire une flèche contemporaine, il fallait un concours spécifique, d'où un potentiel retard du chantier. Les consultations avec de grands architectes conduisaient à dire que ce pari de la flèche contemporaine était très compliqué et qu'un geste contemporain pouvait s'imaginer autrement", a fait valoir la présidence.L'Élysée souhaite ainsi un travail avec la Ville de Paris pour le réaménagement des abords du monument. "S'il y a un geste contemporain, il peut être là", selon la présidence, qui rappelle aussi le projet d'une structure éphémère, une "maison du chantier" qui pourrait être installée dans la cour de l'Hôtel-Dieu, près de la cathédrale.Repoussé en raison du confinement, le délicat démontage de l'échafaudage qui entoure Notre-Dame, déformé et soudé par la chaleur de l'incendie, sera achevé "au plus tard fin septembre", a assuré il y a une semaine le général Georgelin. Ce démontage conditionne la possibilité de démarrer la restauration proprement dite de Notre-Dame.Le président prévoit toujours une reconstruction en cinq ans avec une réouverture en 2024.
Il y a 4 ans et 333 jours

Les enseignants architectes réclament des "conditions dignes"

ARCHITECTES. Dans une lettre à la nouvelle ministre de la Culture, un collectif d'enseignants architectes réclame une réévaluation de la rémunération pour les enseignants contractuels et vacataires des Ensa, soit 50% des effectifs. Ils sont en effet "les seuls fonctionnaires de catégorie A" payés au Smic.
Il y a 4 ans et 333 jours

Des économistes conseillant Matignon présentent leur plan de relance de 50 milliards d'euros

"Nous avons une petite inquiétude sur la suite. Notre message c'est : attention, il y a beaucoup de choses qui se jouent dans les mois qui viennent et le risque qu'il faut prendre c'est le risque d'en faire trop (...) et de soutenir un peu trop l'activité", a prévenu l'économiste Jean Pisani-Ferry, coauteur de cette note du Conseil d'analyse économique (CAE), lors d'une visioconférence de presse vendredi."Le risque d'en faire pas assez c'est le risque que l'économie s'affaisse (...) et ça se paye très cher à la fois en termes économiques, sociaux et même en termes de finances publiques", a-t-il ajouté.Outre M. Pisani-Ferry, la note publiée vendredi est cosignée par Philippe Martin, président délégué du CAE et Xavier Ragot, président de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) et membre du CAE.Selon eux, l'automne et l'hiver à venir seront une période "cruciale", avec la menace pour l'économie d'entrer dans "un cercle vicieux" de faillites, de chômage et de perte de confiance généralisée des acteurs économiques, si les mesures nécessaires ne sont pas prises par le gouvernement."La politique économique française doit maintenant aider entreprises et ménages à se projeter vers l'avenir", préviennent ainsi les auteurs, qui jugent possible "de retrouver à horizon un an le niveau d'activité de la fin 2019 et de résorber le déficit d'emploi d'ici la fin 2021".Quand le ministre de l'Economie Bruno Le Maire considère qu'il faut en priorité soutenir l'offre, c'est-à-dire la production, ils plaident eux pour un cocktail de mesures à la fois de soutien à l'offre et à la demande, pour relancer la consommation, la production et l'investissement.Bons d'achat "verts"Au total, ce plan (hors aides européennes) qui court sur dix-huit mois prévoit 24 milliards d'euros de dépenses "pour gérer l'urgence économique et sociale", auxquelles s'ajoutent 24 milliards de mesures visant la "réorientation de la croissance", vers la transition écologique, l'université, la formation et la recherche, ou encore la santé.Une des urgences étant de lutter contre les faillites d'entreprises en difficulté, la note propose la mise en place rapidement d'un "bouclier anti-faillites" évalué à 10 milliards, sans trancher à ce stade sur un soutien global aux coûts fixes des entreprises ou un renflouement des fonds propres plus ciblé sur les entreprises en difficulté.Par ailleurs, les auteurs recommandent de supprimer la C3S, un impôt qui pèse sur les entreprises. Le gouvernement a lui affiché sa volonté de réduire sensiblement la CVAE, un autre impôt de production.Pour éviter une flambée du chômage, en particulier des jeunes, les économistes recommandent le versement d'une prime à l'embauche ou au retour du chômage partiel de 200 euros par mois (300 euros pour les moins de 25 ans) pour les bas salaires et limitée sur une durée d'un an.Ils écartent en revanche toute exonération de cotisations, trop coûteuse pour l'effet escompté.Toujours en direction des jeunes diplômés, dont plusieurs centaines de milliers vont arriver sur un marché du travail déprimé, la note imagine un dispositif de tutorat rémunéré au bénéfice des élèves ayant décroché pendant le confinement.Les auteurs défendent aussi la mise en place de mesures de pouvoir d'achat, comme le doublement de l'allocation de rentrée scolaire et une nouvelle aide pour les étudiants et travailleurs précaires, ainsi qu'un "bon d'achat" pour les ménages modestes à dépenser dans des biens "verts" avant 2021.A ceux, comme la Cour des comptes, qui s'inquiètent d'une fuite en avant de la dette publique qui devrait déjà avoisiner les 121% du PIB cette année, Philippe Martin rappelle que les dépenses prévues "ne sont pas des dépenses permanentes"."Le risque d'affaiblissement économique nous paraît plus grave que celui d'une augmentation de la dette", affirment d'ailleurs les auteurs dans la note, qui jugent aussi prématurée la volonté du Premier ministre de s'attaquer dès maintenant au déficit des retraites.
Il y a 4 ans et 333 jours

Le gouverneur de la BdF préconise la stabilité fiscale pour accélérer la reprise économique

"La reprise sera exigeante, et la sortie de crise nécessitera deux à trois ans pour rattraper l'essentiel des pertes économiques", écrit le gouverneur dans sa traditionnelle "lettre au président de la République", dévoilée jeudi, ajoutant que la "clé est de restaurer la confiance".En matière de stratégie de relance, la "lisibilité compte plus encore que la réactivité, pour aider entreprises et ménages à se projeter vers l'avenir", ajoute-t-il encore.La confiance des ménages dépendra notamment de la "garantie" d'une "stabilité d'ensemble des impôts" pour les inciter à dépenser les quelques 100 milliards d'euros d'épargne forcée constitués cette année.Par ailleurs, la France "n'a pas les moyens de financer de nouvelles baisses d'impôts, après celles initiées ces dernières années", prévient le gouverneur, alors que le gouvernement souhaite réduire les impôts de production qui pèsent sur les entreprises.Pour rétablir cette "confiance" indispensable à la reprise, le gouverneur a aussi évoqué les projets du gouvernement de faire évoluer la réforme de l'assurance chômage et de reprendre les discussions sur la réforme des retraites."Il faut (...) rassurer sur le maintien d'une indemnisation chômage significative, couplée à un engagement de formation", écrit-il, ajoutant qu'"une insécurité sur les retraites futures risquerait aussi d'alimenter l'épargne de précaution".Pour regagner la confiance des entreprises, le gouverneur défend un accompagnement "dans leurs besoins de fonds propres", avec la mobilisation de 10 à 20 milliards d'euros de fonds publics."Il ne faut investir que dans des entreprises viables", prévient-il, et en partenariat avec des "professionnels privés" (fonds, banques).Au niveau européen, il plaide pour un rétablissement "rapide" des règles sur les aides d'Etat aux entreprises "au regard de la capacité d'intervention allemande" qui pourrait mettre à mal "l'égalité de concurrence dans le marché unique".Enfin, le gouverneur rappelle que l'Etat devra "après 2022, gérer le désendettement public dans la durée", via une "meilleure efficacité de nos dépenses" et leur "stabilisation en volume" en "contrepartie à l'absence de hausse d'impôts". La dette publique devrait avoisiner les 121% cette année, selon le gouvernement.
Il y a 4 ans et 333 jours

SFA rachète l’italien Format

e leader sur le marché de la douche avec sa marque Kinedo vient d’acquérir 100 % de Format s.r.l., une société italienne leader dans la production de receveurs de douche en solid surface et gelcoat.
Il y a 4 ans et 333 jours

Xella rejoint le programme VIPros et devient le 1er partenaire en matériaux de construction

Depuis le 1er juin, le groupe Xella a rejoint le collectif d’industriels autour du programme VIPros et s’engage dans la dynamique de l’opération solidaire tousensemble.vipros.fr. Il devient le premier industriel en matériaux de construction à s’impliquer auprès des artisans du bâtiment (notamment les maçons) pour les aider concrètement à relancer leur activité et offrir un programme de fidélité pour les clients partenaires. En tant qu’acteur majeur de solutions constructives (murs et cloisons) en béton cellulaire, Xella entend, en ces temps difficiles, contribuer à la reprise d’activité des artisans du bâtiment, et plus particulièrement des maçons, qui souffrent en matière de trésorerie. Il se mobilise avec les 19 marques partenaires VIPros dans cette démarche de solidarité qu’est tousensemble.vipros.fr. Comment bénéficier du soutien de Xella dans tousensemble.vipros.fr ? Xella s’engage ainsi activement en faveur de la reprise des chantiers de constructions neuves ou rénovation en proposant aux artisans une offre de remboursement pour l’achat des produits Ytong Thermo 36,5. Ce mur bioclimatique à isolation répartie haute performance est idéal pour la réalisation de maison neuve ou l’extension avec la création de pièces supplémentaires. Dominique Grandseigne Directeur Commercial de Xella France « Après avoir traversé une période de tension sans précédent durant laquelle les acteurs du bâtiment ont été en première ligne des difficultés, il nous est apparu essentiel d’être acteur de la relance. Ce nouveau partenariat avec VIPROS.FR, et notamment la participation à l’opération tousensemble.vipros.fr, est un signal fort que nous envoyons aux Hommes de terrain : vous pouvez compter sur Xella pour vous accompagner.» Une offre de remboursement sur les murs bioclimatiques pour le neuf et la rénovation L’artisan du bâtiment doit s’inscrire au programme de fidélité VIPros. Il pourra ensuite bénéficier des aides proposées par Xella, sous forme de remboursements partiels de ses matériaux constructifs, et ce jusqu’au 31 décembre 2020 sur tousensemble.vipros.fr. Le programme de fidélité VIPros VIPros.fr est une plateforme qui met en relation un collectif d’industriels complémentaires avec les artisans du bâtiment. Elle propose des informations sur les produits et les innovations des marques partenaires mais aussi des cadeaux et des services proposés en échange de leur implication et de leur fidélité. Les produits mis en avant par Xella pour l’année 2020 sont les carreaux Ytong 10, les murs Ytong Compact 20 et l’innovation Ytofor, qui permettent de répondre à de nombreux applications en aménagement, mur coupe-feu et maison individuelle. « La participation de Xella au programme de fidélité VIPros traduit notre volonté de renforcer les relations avec les entreprises de maçonnerie tout en soutenant les ventes dans les points de vente de nos distributeurs partenaires. Nous cherchons par ce biais à développer et entretenir des collaborations durables dans une logique « gagnant-gagnant. » nous explique François Chardon Directeur Marketing & Prescription de Xella France.
Il y a 4 ans et 334 jours

Avec AMC Production, vous pouvez installer vous-même votre porte de garage en toute simplicité !

Plus besoin de contacter un artisan ou n’importe quel intervenant extérieur pour lui demander de l’aide ! Vous avez désormais juste à commander en ligne, sans aucune prise de tête. L’entreprise AMC Production vous permet d’installer vous-même votre nouvelle porte de garage que vous soyez débutant en bricolage ou que vous ayez de grandes compétences dans ce domaine ! Tout le monde peut y arriver ! Commandez votre porte de garage en ligne et montez la seul(e) ! Ne doutez plus de vos capacités de bricoleur ! Des entreprises françaises comme AMC Production pour une porte de garage sur mesure vous accompagnent dans vos projets de rénovation. Rendez-vous sur leur site internet afin d’effectuer facilement votre devis en ligne pour découvrir le coût de vos travaux ! Cette entreprise fabrique des portes de garage sur-mesure et personnalisables depuis 25 ans. Grâce à elle, vous pourrez customiser votre porte de garage selon vos envies : ajouter des hublots ou bien choisir le format de vos panneaux si vous optez pour une porte de garage sectionnelle par exemple, tout en bénéficiant de tarifs à prix d’usine ! En plus de cela, pour prendre soin de l’environnement, les produits sont recyclables ! Foncez ! Ne doutez plus de vos compétences en bricolage ! Même si vous n’êtes pas un expert en la matière, il est totalement possible d’installer vous-même votre porte de garage sans avoir recours à un intervenant extérieur. En effet, AMC Production vous livre votre porte de garage prête à monter, en kit, sous un délai maximum de trois semaines, en France et en Belgique. Monter votre porte de garage sera alors simple et rapide. Si vous souhaitez obtenir plus de renseignements sur leur porte de garage et que vous habitez à proximité de Lille, allez découvrir les produits au sein de leur comptoir (mixte entre un showroom et un magasin). Vous serez accueilli(e) par des professionnels qui vous apporteront de plus amples informations. Quel type de porte de garage est faite pour moi ? Plutôt une porte sectionnelle ou enroulable ? Les portes de garage sectionnelles ont de nombreux atouts.  Si vous optez pour celle-ci, vous pouvez être rassuré(e), elle est très rigide, il y a donc moins de risques face aux effractions. Du fait de sa rigidité, elle isolera parfaitement votre garage ! Mais encore, si vous souhaitez moderniser votre jolie maison, en la choisissant, vous pourrez l’adapter à toutes vos envies car elle est très personnalisable. Vous pourrez choisir parmi un large choix de couleurs, modifier la forme des panneaux, ajouter si vous le souhaitez des hublots et décider de leur emplacement,… Et tout cela pour un bon rapport qualité/prix ! Quoi de mieux ? Leur seul inconvénient c’est de prendre de la place au plafond mais elle en libère sur les côtés de votre garage. En ce qui concerne les portes de garage enroulables, à la différence des portes sectionnelles, elles ne prennent pas de place au plafond mais seulement sur les côtés de votre garage. Mais, malheureusement, elles sont moins personnalisables que les portes de garage sectionnelles. Elles peuvent alors parfaitement vous convenir si vous chercher quelque chose de simple et épuré. Par ailleurs, elles isolent moins bien que les sectionnelles car elles sont moins rigides, élément à prendre en compte en fonction de l’exposition de votre garage ou du lieu de votre résidence. Vers quel matériau dois-je m’orienter ? Il est possible d’avoir recours au bois, à l’acier, au PVC ou encore à l’aluminium pour vos portes de garage enroulables ou sectionnelles. Si vous choisissez le bois, c’est un très bon isolant mais c’est un matériau coûteux qui demande beaucoup d’entretien. Si vous voulez apportez un style traditionnel à votre maison, les portes de garage en bois sont idéales pour vous. Si vous optez pour une porte de garage en acier, elle sera très résistante dans la durée. L’acier est un matériau très économique mais il nécessite de le peindre. Concernant le PVC, tout comme le bois, il est très isolant. De plus, il est économique. Pour ce qui est de l’aluminium, il est très moderne et esthétique pour votre logement. C’est un matériau résistant qui ne rouille pas. Il ne nécessite aucun entretien. Quel type de manœuvre dois-je choisir ? Si vous ne rentrez pas fréquemment votre véhicule dans votre garage, nous vous conseillons d’opter pour une porte de garage manuelle, cela sera plus économique pour vous. Dans le cas inverse, pour vous garantir un meilleur confort et plus de praticité au quotidien, optez une porte de garage électrique. Vous pouvez maintenant, grâce à ces conseils, faire le meilleur choix pour votre maison !
Il y a 4 ans et 333 jours

fischer présente un foret creux aspirant et un aspirateur universel eau et poussière

Un système complet pour un perçage sans poussière et des performances d'ancrage optimales !Sur les chantiers, les professionnels du bâtiment sont régulièrement exposés à la poussière, générée lors des travaux de perçage, de sciage, de meulage... Les poussières mixtes minérales (sable, béton, ciment...), contenant également de fines poussières de quartz, peuvent être nocives pour la santé des utilisateurs lorsqu'elles sont quotidiennement inhalées.Par ailleurs, elles limitent les performances de charge des ancrages chimiques et mécaniques en s'accumulant dans le trou, elles ralentissent la progression du forage, elles nécessitent un temps de nettoyage des trous et du chantier ainsi que des équipements spécifiques...Pour mettre fin à tous ces désagréments et garantir un chantier plus propre et plus sain, fischer lance le foret creux aspirant FHD. Pratique, il assure le perçage et l'aspiration des poussières en une seule opération. Ce foret garantit un ancrage efficace et conforme aux agréments, améliore les performances de fixation et permet de réaliser des forages précis et plus rapides par rapport à un forage traditionnel. Pour proposer aux professionnels du bâtiment un système complet, fischer lance également un nouvel aspirateur eau et poussière FVC 35 M. Ce combiné garantit un travail de forage sans poussière et permet de préserver la santé des utilisateurs et de leurs outils.Un accessoire pour les environnements sensiblesLe foret aspirant FHD fischer est l'accessoire idéal pour une utilisation dans les espaces intérieurs sensibles, où la poussière doit être évitée (hôpitaux, laboratoires, industries alimentaires, tunnels...). Il offre des chantiers plus propres et sains. Efficace, il garantit le forage de trous conformes aux homologations dans le béton armé et béton, la pierre naturelle, la brique pleine et la brique silico-calcaire.Foret creux aspirant FHDPour des chantiers propres et sainsLa tête du foret dispose d'une pointe de centrage, pour un positionnement précis et sans risque de glisser sur les surfaces lisses, et d'un témoin d'usure, conforme aux tolérances. Enfin, les 4 taillants en carbure assurent un forage rapide, même dans le fer à béton.Les 2 trous d'aspiration/d'évacuation des poussières garantissent l'extraction immédiate de la poussière lors du perçage, via la tige cylindrique creuse. Elle est directement aspirée et redirigée vers le manchon d'évacuation, connecté à un aspirateur de chantier. La santé de l'utilisateur est préservée car il n'inhale plus la poussière de forage et le chantier reste propre.Un accessoire 2 en 1 : un réel gain de tempsLe perçage et l'évacuation de la poussière en une seule opération offre un véritable gain de temps sur les chantiers. Plus besoin de nettoyer le trou après le perçage et l'utilisation d'une pompe de soufflage, d'un compresseur ou encore d'une brosse de nettoyage (écouvillon) n'est plus nécessaire.Par ailleurs, l'absence de poussière élimine tout risque de blocage ou de ralentissement lors du perçage. La progression du foret dans le matériau est plus rapide et sans frottements.Ainsi, en utilisant le foret creux aspirant FHD fischer, le gain de temps est estimé à plus de 50%* par rapport à un forage traditionnel !* Test comparatif avec un foret conventionnel et un foret aspirant de 24 mm, pour un trou de perçage de 140 mm.Des fixations optimales et sûresAvec le foret creux aspirant FHD fischer, l'extraction de la poussière est immédiate. Comme il ne reste aucun résidu de poussière qui pourrait empêcher le contact direct du mortier avec le matériau de construction, la résine adhère parfaitement.De plus, il est possible d'utiliser toute la profondeur du forage puisqu'il n'y a pas de poussière au fond du trou. Ainsi, les fixations peuvent atteindre leurs performances maximales car l'ancrage, qu'il soit chimique ou mécanique, est optimal.Enfin, le foret creux aspirant FHD est pris en compte par les évaluations ETE des systèmes composites chimiques. Il est idéal pour une utilisation avec des résines telles que FIS V, FIS HT, FIS EM Plus et FIS SB fischer.À savoirLe foret creux aspirant FHD est compatible avec toutes les marques de marteaux perforateurs à emmanchements SDS Plus et SDS Max. Il s'utilise avec un aspirateur classe M et est disponible en 11 diamètres.Prix public indicatif : à partir de 90,45 euros TTC ø 12 Points de vente : Négoces en matériaux, Négoces ProfessionnelsAspirateur universel eau et poussière FVC 35 MUn équipement efficace pour une multitude d'applications sans poussièreAvec une cuve de 35 L à double paroi très robuste, le nouvel aspirateur eau et poussière FVC 35 M fischer est idéal pour une utilisation sur les chantiers de construction. Associé au foret creux aspirant FHD, il contribue à offrir un environnement de travail propre et sain.Conforme à la classe de filtration M, avec une capacité de rétention de poussière de 99,9%, cet aspirateur de chantier collecte efficacement les poussières les plus nocives, directement à la sortie du trou de forage et via le manchon d'évacuation du foret creux aspirant.Doté d'un puissant moteur, l'aspirateur FVC 35 M fischer offre des performances d'aspiration élevées. Grâce à un système de nettoyage automatique du filtre, il garantit le maintien, sans interruption, d'une forte puissance d'aspiration pour un travail continu. Des chocs électromagnétiques nettoient alternativement les cartouches de filtre pour obtenir une filtration toujours optimale. De plus, la grande surface des filtres assure une plus longue durée de vie de l'appareil.Les cartouches filtrantes sont facilement accessibles pour un remplacement rapide.Simple d'utilisation, l'aspirateur FVC 35 M fischer dispose de 2 boutons. L'un permet de sélectionner le diamètre du tuyau d'aspiration, l'autre d'allumer ou d'éteindre l'aspirateur, mais aussi de contrôler le fonctionnement de l'outil branché à l'aspirateur via une prise de courant intégrée à la cuve.Points de vente : Négoces en matériaux, Négoces Professionnels
Il y a 4 ans et 333 jours

Crise sanitaire: l'avenir incertain du projet d'extension de l'aéroport de Roissy

Le terminal 4 de Roissy-Charles de Gaulle, méga-projet d'extension doté d'une capacité de 40 millions de passagers, verra-t-il le jour? La crise sanitaire mondiale contraint Aéroports de Paris et l'Etat à revoir leur copie sévèrement critiquée par l'Autorité environnementale.
Il y a 4 ans et 333 jours

Contrat autoroutier de 500 millions d'euros au Pays de Galles pour le français Meridiam et l'espagnol FCC

"Meridiam remporte le contrat pour construire le dernier tronçon de l'A465 au Pays de Galles", a indiqué le Français dans un communiqué, précisant qu'il est associé à FCC.Le montant n'est pas donné, mais une source proche de l'opération a révélé que le marché, octroyé par le gouvernement gallois, dépassait les 500 millions d'euros."Le projet vise à rénover la dernière section de 18 kilomètres de la route A465 qui traverse la bordure nord du Sud industriel du Pays de Galles", a expliqué Meridiam dans son communiqué.La construction commencera en fin d'année et doit durer jusqu'en 2024. Au-delà, FCC et Meridiam continueront à assurer la maintenance de ce tronçon dans le cadre d'une concession de 30 ans.
Il y a 4 ans et 333 jours

Abandon du Grand Stade de rugby: la FFR doit dédommager deux communes

La Fédération française de rugby (FFR) a été condamnée à verser 3,36 millions d'euros à une collectivité pour l'abandon en 2016 du projet de Grand Stade au sud de Paris.
Il y a 4 ans et 333 jours

Le groupe Bouygues poursuit la régénération d'une municipalité londonienne

CONTRAT. Nouveau marché à l'international pour Bouygues Construction, qui débute la réalisation de la troisième phase de la régénération de Canning Town, à l'est de Londres.
Il y a 4 ans et 333 jours

Pompili salue l'abandon du Center Parcs de Roybon, un projet de l'"ancienne période"

"J'étais de longue date opposante à ce projet parce que c'est un projet de l'ancienne période où on ne s'occupait pas de ce qu'on faisait à la nature", a déclaré jeudi la ministre sur Franceinfo, insistant sur le déboisement important prévu dans une zone humide."C'est fou quand même. C'est supposé être des vacances pour être proche de la nature et ça n'avait pas du tout été pensé pour protéger la nature. On a une absurdité et en plus il y avait eu un clair manque de concertation en amont", a-t-elle ajouté."On ne peut plus aujourd'hui faire des projets comme cela sans associer ceux qui vivent tout près et associer de manière générale les citoyens", a insisté la ministre.Le secrétaire national d'EELV Julien Bayou a salué de son côté "l'action des militants qui ont permis cette victoire". "C'est une très bonne nouvelle", a-t-il dit sur Public Sénat.Un tel projet, "c'est scandaleux parce que c'est défricher la nature pour en fabriquer une artificielle", a-t-il ajouté, en assurant que "c'est financé avec une niche fiscale quasiment dédiée, donc c'est de la défiscalisation pour les plus riches pour aller faire du bungalow qui détruit la nature".Le maire UDI de Roybon (Isère), Serge Perraud, a au contraire très mal accueilli la nouvelle. "Économiquement, pour une commune comme la nôtre, en déclin de population, c'est très grave. La population est effondrée. Ce projet, c'était quand même 700 emplois", a-t-il souligné. L'élu estime le manque à gagner pour cette commune endettée, en termes de taxes et sans compter les retombées touristiques, à "plusieurs millions d'euros"."Ce dossier a été instrumentalisé politiquement. L'opposition s'est cristallisée sur Roybon mais d'autres projets se montent aujourd'hui ailleurs", a-t-il déploré.Le groupe Pierre et Vacances a annoncé mercredi l'abandon de son projet de domaine Center Parcs à Roybon, bloqué par de multiples recours et d'interminables procédures judiciaires depuis son lancement en 2007, et dont le terrain est occupé par des "zadistes".Le projet, d'un montant de 390 millions d'euros, prévoyait la construction dans la forêt de Chambaran de mille cottages, de commerces et de restaurants autour d'un espace aquatique, sous la forme d'une bulle transparente maintenue à 29 degrés avec piscines, toboggans et jacuzzis.
Il y a 4 ans et 334 jours

Appel à manifestation d'intérêt - Terrains d'expérimentations pour instrumentation de logements et accompagnement des ménages volontaires

Photo : SMHLMProgramme CEE ECCO DOM Maîtrise des charges Énergétiques, de la Climatisation et du COnfort thermique en Outre-mer Le CSTB et l'USHOM (Union sociale pour l'habitat Outre-mer) sont co-porteurs du programme ECCO DOM, qui vise la maîtrise des charges Énergétiques, de la Climatisation et du COnfort thermique en Outre-Mer (ECCO DOM), particulièrement en logement social. Ce programme a été construit en réponse à l'appel à programmes, lancé en mai 2019, par le ministère de la Transition écologique et solidaire (MTES), dans le cadre du dispositif des Certificats d'économies d'énergie (CEE). Le programme ECCO DOM : Comprendre et accompagner la réduction des charges énergétiques et favoriser le confort thermique, par une approche personnalisée Le programme ECCO DOM vise notamment à : contribuer à la réduction globale des charges énergétiques des ménages et maîtres d'ouvrage, en s'appuyant sur une approche personnalisée des usages ; maîtriser l'installation de climatisations en Outre-mer, particulièrement en logement social ; maîtriser les risques notamment en termes de confort thermique, aujourd'hui ainsi que dans une perspective de changement climatique ; engager des changements de comportement sur le long terme ; encourager la diffusion des bonnes pratiques, auprès des ménages comme des personnels de proximité. La maîtrise des consommations énergétiques et des impacts sur l'environnement est évidemment au cœur du projet. Cet enjeu majeur est à intégrer dans un cadre plus large en lien avec les usages, les modes d'occupation, le confort thermique et la qualité sanitaire des logements. Les acteurs concernés Plus généralement, le programme ECCO DOM vise, en premier lieu, les ménages accueillis en logement social en Outre-mer. Il s'agit de les sensibiliser, former et accompagner à la maîtrise de leurs charges énergétiques, tout en contribuant à l'amélioration de leur confort. Au-delà des ménages, ce programme est construit pour et avec l'ensemble des acteurs du logement social, qui avec leurs personnels de proximité constituent les premiers relais d'accompagnement au quotidien pour les locataires. Les résultats attendus Développer, par la mesure, les connaissances sur les consommations énergétiques, les modes d'occupation et usages, les conditions de confort au sein du parc social ultramarin (déploiement du programme auprès de 200 ménages à qui un suivi instrumenté sera proposé, et 1 000 ménages auprès de qui les données de consommations énergétiques pourront être exploitées). Concevoir un dispositif de sensibilisation, de formation et d'accompagnement des ménages et des personnels de proximité, fondé sur une appréhension différenciée, personnalisée des usages, modes d'occupation, caractéristiques du logement et du ménage, notamment à partir du suivi des consommations énergétiques (au compteur) et d'informations complémentaires. Déployer le programme de sensibilisation, formation et accompagnement auprès de 34 000 ménages, et des usagers de bureaux aux sièges des bailleurs et des collectivités partenaires du programme. Le présent AMI cible le premier point soit le développement, par la mesure, des connaissances en logement social et l'accompagnement des ménages volontaires dans le cadre du programme instrumenté. Les conditions de l'AMI AMI : Terrains d'expérimentations pour instrumentation de logements et accompagnement des ménages volontaires – Juillet 2020 Le programme ECCO DOM est construit pour et avec les acteurs volontaires du logement social en Outre-mer. Aussi, cet Appel à Manifestation d'Intérêt (AMI) a précisément pour objectif d'identifier des bailleurs volontaires, désireux d'engager quelques résidences dans le projet et ainsi d'accompagner les ménages participants sur ces enjeux de maîtrise de l'énergie et du confort. Attentes Avec vous bailleurs, nous recherchons des terrains d'expérimentation (résidences, logements) et des ménages volontaires acceptant de s'engager dans un programme d'instrumentation, de suivi des consommations énergétiques et conditions de confort, et d'accompagnement aux écogestes du quotidien. Globalement à l'échelle des cinq DROM-COM : la Guadeloupe, la Martinique, la Guyane, La Réunion et Mayotte – nous recherchons en particulier : 200 ménages acceptant de s'engager dans un suivi instrumenté de leur logement sur près de 2 ans (incluant notamment des mesures de température intérieure et humidité dans les pièces principales, consommations électriques du logement et de quelques appareils électroménagers principaux, etc.) ; 25 ménages acceptant de s'engager dans un suivi avancé (associé, en complément des mesures précédentes, à des mesures acoustiques, d'éclairement et de CO2 dans les pièces principales, un suivi fin des ouvertures de fenêtres et consommations d'eau, principalement) ; 1 000 ménages donnant accès à leurs données de consommations énergétiques (en lien avec EDF SEI) afin de bénéficier d'un accompagnement personnalisé à la maîtrise des consommations énergétiques et du confort thermique. NB. La répartition des panels entre les territoires sera construite afin de refléter la répartition du parc social globalement entre les DROM-COM (approximativement). Bailleurs sociaux, ce programme est construit pour vous, afin de mieux appréhender les consommations énergétiques, les modes d'occupation et usage, les conditions de confort au sein du parc social. Il s'agit d'accompagner vos locataires dans la réduction de leurs charges énergétiques et des factures associées, et l'amélioration de leur confort. Pour déposer votre candidature Consulter le règlement complet de l'AMI > Règlement Compléter le formulaire > Formulaire de candidature Envoyer votre dossier complet à l'adresse suivante : ECCO_DOM_AMI@cstb.fr, avant le 31/08/2020.
Il y a 4 ans et 334 jours

Avec le remaniement, le logement subordonné à l'écologie

"On a besoin de construire, mais d'une construction écologique", a mis en avant mercredi Mme Wargon, désormais ministre du Logement, pour son premier déplacement dans ses nouvelles fonctions.Depuis lundi soir et l'annonce d'un remaniement gouvernemental, elle a remplacé Julien Denormandie, parti à l'Agriculture.Une dizaine de jours après des municipales marquées par un succès historique des écologistes, la nomination de Mme Wargon apparaît à plusieurs titres comme un geste qui résume le logement à ses enjeux écologiques.La nouvelle ministre était jusqu'alors secrétaire d'Etat à la Transition écologique. Surtout, elle reste désormais rattachée à ce ministère alors que son prédécesseur dépendait de la Cohésion des Territoires.Ce n'est pas la première fois: sous la présidence de Nicolas Sarkozy, le Logement a longtemps dépendu de l'Ecologie. Mais c'est un virage dans le quinquennat d'Emmanuel Macron, d'autant que le ministère du Logement perd un pan entier de ses attributions avec la création d'un ministère de la Ville.Symbole de cette orientation, le premier déplacement de la nouvelle ministre était consacré à la rénovation énergétique des bâtiments dans des logements sociaux du Val-de-Marne, quelques kilomètres à l'est de Paris.Avance-t-on vers un simple ministère de la rénovation des bâtiments, un sujet sur lequel Mme Wargon a déjà beaucoup travaillé et qu'Emmanuel Macron a lui-même mis au coeur du plan de relance annoncé par l'automne ?Tout en saluant dans l'ensemble la compétence de la nouvelle ministre, les acteurs du logement, un univers complexe qui va du bâtiment aux agents immobiliers en passant par les HLM, ont chacun rappelé leurs enjeux propres, cherchant au passage à défendre leurs intérêts."Choc"La puissante Fédération française du bâtiment a demandé un plan de relance qui comprenne non seulement la rénovation mais aussi la construction, nettement moins mise en avant dans les discours du gouvernement.Chez les agents, la Fnaim a insisté sur "d'autres dossiers majeurs" que la rénovation, dont la réforme du secteur via la loi portée par le député Mikaël Nogal.Quant au logement social, qui souhaite profiter de la crise économique liée au virus pour alléger les économies demandées au HLM depuis le début du quinquennat, sa confédération, l'USH, a invité la ministre à "très rapidement" se rapprocher d'elle.Alors que le monde HLM ne s'inquiète pas ouvertement de voir passer à l'arrière-plan les thématiques sociales, le sujet s'exprime franchement chez les associations de locataires."Quel choc de constater que le logement, pourtant préoccupation majeure des Français, ne dispose pas d'un ministère dédié", s'est plainte la Confédération nationale du logement.Certes habituée à un ton virulent, l'association juge que le gouvernement s'aveugle par rapport aux conséquences sociales d'une crise économique qui s'annonce historique avec une récession de presque 10% en France cette année, selon l'Insee."Ce sont des milliers de mal-logés, de sans-abris, de familles modestes ayant des difficultés à payer leur loyer (...) que le gouvernement ignore", insiste-t-elle.Dans ce contexte, la nouvelle ministre a assuré mercredi qu'elle ne négligerait pas l'aspect social du logement."Je souhaite être aussi la ministre de l'accès au logement parce qu'il est indispensable que chacun puisse avoir accès à un logement et à un logement de qualité", a-t-elle promis."Pour tout ça, j'aurai besoin de travailler avec tous les acteurs, les acteurs de la construction, les acteurs du logement social, bien évidemment les élus locaux qui sont les premiers concernés, mais aussi toutes les grandes associations", a énuméré Mme Wargon.Mais la ministre en est immédiatement revenue à l'actualité environnementale du jour, un rapport du Haut conseil pour le climat qui insiste, entre autres, sur la rénovation énergétique des bâtiments.
Il y a 4 ans et 334 jours

ARSKAN, la start-up part à l’assaut de la 3D

ARSKAN, la start-up part à l’assaut de la 3D ARSKAN annonce le lancement de SiloData, plateforme professionnelle destinée à l’exploitation, au partage, à la visualisation et à l’édition d’objets 3D sur le web. Un produit révolutionnaire, lancé par une petite start-up lyonnaise qui s’attaque au marché monumental de la 3D. Dominé par de gros faiseurs, ce marché qui n’est pas récent a besoin de renouveau : ARSKAN peut devenir un acteur de cette mutation. ARSKAN offre la possibilité de travailler de manière efficace sur des objets 3D afin de les partager, de naviguer dans les modèles de manière collaborative et immersive, à la différence des techniques actuelles qui sont lentes, coûteuses et peu collaboratives. Les projets deviennent accessibles sur le web en temps réel, permettent de gagner en productivité tout en réduisant les coûts. Visualisation, exploitation et partage des données 3D massives sur le web : ARSKAN dévoile sa plateforme ARSKAN SiloData La plateforme SiloData permet de générer des répliques numériques précises d’environnement plus ou moins complexes en rendant possible leur visualisation sur le web sans les contraintes de l’imagerie 3D (poids des données, bande passante, latence, utilisation de logiciels).  Notre technologie compresse les données 3D volumineuses sans perte et les restitue à n’importe quel niveau de détails, en s’adaptant aux contraintes matérielles », précise Marion Cabrol responsable marketing chez ARSKAN.  Elle permet la visualisation instantanée et l’exploitation des objets 3D sur le web, sur un mobile, sur une tablette ou un PC et sans les contraintes de l’imagerie 3D (poids des données, utilisation de logiciels, latence…). Elle garantit le partage intelligent des actifs numériques via un simple lien hypertexte, avec toutes les parties prenantes sur un projet. Grâce à SiloData, l’utilisateur peut enrichir ses modèles 3D avec des points d’intérêts, de l’information ou du contenu multimédia. Les pointeurs interactifs sont des fenêtres d’information qui permettent d’annoter le modèle 3D ; d’ajouter des fichiers (PDF, vidéos, photos…) et des URL. En plus de ces fonctionnalités, la plateforme SiloData garantit la sécurité d’accès aux données sur un espace dédié sécurisé, la gestion des droits d’exploitation, et le stockage jusqu’à 9 objets 3D gratuitement.    www.arskan.com  
Il y a 4 ans et 334 jours

Les grands groupes européens du BTP sont-ils armés pour affronter la crise ?

En France, le confinement a été mis en place le 17 mars 2020 et tous les groupes ont communiqué sur l’arrêt d’une partie de leurs chantiers. L’activité a repris progressivement au cours du deuxième trimestre dans la plupart des pays au rythme des directives gouvernementales des pays où chaque groupe opère. Mazars s’est interrogé sur la capacité des majors européens du BTP à traverser la crise du Covid 19, à travers l’étude des performances, de la solidité financière et du positionnement (diversification géographique / sectorielle) des 17 grands groupes européen, pure players ou acteurs diversifiés autour des métiers de la construction, dont le chiffre d’affaires consolidé est supérieur à 5 Mds€, L’étude « Les majors européens du BTP sont-ils armés pour affronter la crise ? » compare les performances financières des majors européens du BTP sur 2019 et début 2020. Par rapport aux précédentes études, les axes de comparaison ont été complétés d’un focus sur l’endettement, la trésorerie et la liquidité des majors à fin 2019. Les groupes ressortent renforcés de l’année 2019 avec une belle croissance de +4,5% (dont +7,9% pour les majors français) et un taux de marge opérationnelle légèrement supérieur (+0,2 point pour atteindre 4,9%). L’internationalisation des majors s’est à nouveau accentuée en 2019 : la part de l’activité réalisée à l’étranger progresse de 2 points, pour représenter 56% de leur activité.Le carnet de commandes à fin 2019 est au plus haut historique, en hausse de 3,5% vs. fin 2018.La solidité financière s’est fortement améliorée sur 5 ans, avec une hausse de la trésorerie de 40% pour l’ensemble des groupes, atteignant ainsi 45 Mds€. En complément l’endettement net a reculé sur cette période de 38%, hors groupes ayant une activité de concession.L’activité des groupes ayant publié au 1er trimestre 2020 est encore faiblement marquée par l’impact du Covid 19 (+2,2% vs. 1er trimestre 2019), mais devrait être fortement impactée au 2nd trimestre 2020, à l’image de la dégradation des capitalisations boursières sur le 1er semestre 2020.Les publications du chiffre d’affaires des majors européens du BTP au 31 mars 2020 montrent seulement les premiers effets de la crise du Covid-19. Les groupes français présentent déjà un recul moyen de 2,7% de leur activité par rapport au premier trimestre 2019. Cette crise s’est également traduite par une forte dégradation des capitalisations boursières de l’ensemble des majors européens. Cette dégradation s’est cependant atténuée au fur et à mesure de la reprise des chantiers.2019, Une nouvelle année de croissance pour les majorsL’activité des majors s’inscrit en hausse pour la troisième année consécutive, à +4,5% par rapport à 2018. Les groupes français se distinguent, pour la seconde année consécutive, par une hausse de leur chiffre d’affaires (+ 7,9%) supérieure à la moyenne des groupes du Panel.En 2019, les majors ont poursuivi leur stratégie de croissance externe avec de nombreuses acquisitions sur les divers secteurs d’activité, notamment deux principales acquisitions sur la partie Concessions : l’acquisition en mai de 50,01% des parts de l’aéroport de Londres-Gatwick par Vinci et le rachat en décembre de 49,9% des parts de l’aéroport de Toulouse-Blagnac par le groupe Eiffage.Le taux de marge opérationnelle des groupes du Panel s’est maintenu par rapport à 2018 (+0,2 point hors Atlantia). Cette légère hausse est toutefois à nuancer. Avec la prise en compte d’Atlantia, le taux de marge opérationnelle des majors européens sur 2019 recule de 0,9 point par rapport à 2018. La dégradation de 18 points du taux de marge opérationnelle du major italien, notamment impacté par l’effondrement du Pont de Gênes, pénalise la moyenne du Panel.Développement à l’internationalDans la continuité des années précédentes, le poids de l’activité des majors réalisé à l’étranger poursuit sa montée en puissance. En 2019, 55,7% de leur chiffre d’affaires est réalisé hors marché domestique, soit +1,6 point par rapport à 2018, évolution principalement portée par le marché européen (hors domestique), dont la part progresse de +1,5 point.La hausse du poids de l’activité des majors en Europe hors domestique par rapport à 2018 est notamment portée par Atlantia (+20 pts, principalement en lien avec l’acquisition d’Abertis), NCC AB (+3,5 pts) et Acciona (+1,7 pt).La part du chiffre d’affaires des majors sur leur marché domestique représente 44,3% de l’activité des groupes en 2019. Ce recul de -1,6 point par rapport à 2018 est notamment impacté par Atlantia (-28 pts), NCC AB (-3,5 pts) et Vinci (-2,2 pts). Une troisième année de forte croissance pour les majorsL’accroissement du chiffre d’affaires de VolkerWessels de 12,1% par rapport à 2018 est lié à un effet volume sur l’ensemble des segments, notamment sur sa branche Infrastructure en Allemagne et son département Energy & Telecom Infrastructure au Pays-Bas, à l’exception de l’Amérique du Nord qui a subi des intempéries.Eiffage voit son activité croitre de +10,7% par rapport à 2018. Cette hausse est principalement en lien avec les bonnes performances de ses pôles « Construction » et « Infrastructures ». Le major français a bénéficié de la dynamique des projets du Grand Paris ainsi que de la livraison de nombreux chantiers, notamment dans le secteur des transports en commun en site propre.La croissance de l’activité de Vinci (10,4%) est liée à la croissance organique et à la croissance externe, notamment des branches Concessions (aéroport de Londres Gatwick) et Énergie.La croissance du chiffre d’affaires de Balfour Beatty (+10,3 % par rapport à 2018) s’explique par le développement de la partie infrastructures, ainsi que par sa politique de croissance externe avec l’acquisition en 2019 d’une vingtaine d’entreprises de tailles diverses. Une hausse continue du carnet de commandesEn 2019, les majors enregistrent pour la quatrième année consécutive une hausse de leur carnet de commandes pour les secteurs liés aux métiers de la construction, de +3,5 % en 2019, et ce malgré des niveaux déjà historiquement élevés (+3,1% en 2018 ; +2,7% en 2017 ; +5,9% en 2016).Des situations contrastées en termes d’endettement netSur ces cinq dernières années, les majors ont très fortement réduit leur endettement net (-38% en 5 ans), à l’exception des groupes ayant une activité de concession qui ont poursuivi leurs investissements (+58% en 5 ans).La hausse marquée de l’endettement net des groupes ayant une activité de concession porte sur les deux dernières années et sur deux majors : Altantia et Vinci. Ils contribuent fortement à l’endettement global du Panel (respectivement 44,1% et 26,0% de l’endettement net total chiffré à 83 Mds€).Cette forte progression est en lien avec l’acquisition d’Abertis, venue tripler l’endettement net d’Atlantia en 2018, et l’acquisition de l’aéroport de Londres Gatwick en 2019 pour Vinci.La trésorerie des groupes du Panel repart à la hausse en 2019, après une légère baisse liée à l’effet taux de change sur l’exercice 2018, pour atteindre 45 Mds€ en 2019, représentant une hausse de 40% en 5 ans.Analyse des disponibilités nettes par rapport à l’activité à fin 2019Ferrovial et Atlantia se démarquent respectivement avec des ratios disponibilités nettes / chiffre d’affaires de 78,2% et 44,7% en 2019, alors que le ratio moyen des groupes du Panel s’élève à 19,4%.Le ratio moyen des groupes français ressort à 14,9%, soit 4,5 points en-deçà de la moyenne des groupes du Panel.Endettement brut, trésorerie et lignes de crédit non tiréesSur les 17 groupes du Panel, 4 présentent un excédent net à fin d’année 2019 : Balfour Beatty (0,2 Md€), Royal BAM Group (0,6 Md€), VolkerWessels (0,6 Md€) et Strabag (1,1 Md€).Par ailleurs, 3 groupes se démarquent particulièrement avec un endettement net supérieur à celui des autres majors (Atlantia : -36,7 Mds€, Vinci : -21,7 Mds€ et Eiffage : -10,2 Mds€), notamment en lien avec des opérations de croissance externe dans le secteur des concessions. Pour la majorité des majors européens du BTP, l’analyse des agrégats financiers présentés ci-dessus fait ressortir une santé financière certaine des groupes à fin 2019, au regard notamment de leur niveau de liquidité et de la diminution de leur endettement net ces dernières années.Rentabilité des majors par secteurPour mener des comparaisons sectorielles compte tenu des informations disponibles, l’activité des majors européens du Panel est ventilée selon 6 secteurs d’activité, dont 5 sont liés aux métiers de la construction.L’impact de la crise COVID19La crise sanitaire liée à la Covid-19 vient néanmoins menacer ces bons résultats et les objectifs des majors pour les prochains mois, puisque la plupart des pays ont imposé un confinement, engendrant irrémédiablement un ralentissement de l’activité. Au cours du premier trimestre 2020, les majors européens ont généré une activité trimestrielle, supérieure à la moyenne de ces 5 dernières années de 9,6%, et en hausse de 2,2% par rapport au 1er trimestre 2019, malgré les premiers impacts de la crise du Covid-19.Bien que le premier trimestre 2020 ne traduit pas, pour l’ensemble des majors, l’impact de cette crise inédite, les groupes français présentent déjà un recul moyen de 2,7% de leur activité par rapport au premier trimestre 2019. Les majors français sont en effet impactés plus particulièrement sur les métiers du BTP (-6,3% par rapport au T1 2019), de la Route (-8,9%) et de l’Immobilier (-14,8%), suite aux mesures de confinement en France appliquées dès mi-mars 2020. « Les majors européens, pour leur grande majorité, affichent une année 2019 satisfaisante en termes d’activité et présentent une santé financière certaine à travers une forte baisse de leur endettement net et un niveau de liquidité élevé. La diversité géographique de leur activité, qui permet de compenser les impacts de la crise dans les différents pays, ainsi que la diversité des métiers, l’industrialisation de leurs méthodes de travail et leur niveau de digitalisation constituent de réels atouts pour permettre aux majors de traverser cette période. Le deuxième trimestre 2020 devrait néanmoins être plus impacté, mais devra être analysé au regard de mesures prises par les Etats pour soutenir les entreprises du secteur au travers de plans de relance dans le BTP ou la poursuite des grands travaux », conclut Olivier Thireau, Associé responsable Immobilier & BTP chez Mazars France.L’étude « Les majors européens du BTP sont-ils armés pour affronter la crise ? » est disponible sur ici.
Il y a 4 ans et 334 jours

Covid-19 : Nouvelle mise à jour du guide de préconisations de sécurité sanitaire de l'OPPBTP

A la suite de l'annonce des nouvelles règles sanitaires applicables à compter du 24 juin pour les entreprises et au lancement d'une nouvelle phase de déconfinement, les recommandations ont évolué pour permettre à tous les secteurs de reprendre progressivement leurs activités tout en protégeant la santé de leurs collaborateurs. Au terme de nombreux échanges avec les représentants de la profession et des pouvoirs publics, l'OPPBTP publie une nouvelle révision du guide de préconisations de sécurité sanitaire pour la continuité des activités de la construction, conforme aux préconisations des pouvoirs publics.L'OPPBTP rappelle toutefois que l'épidémie n'a pas disparu et qu'il convient de rester très vigilant. Les fondamentaux de la prévention contre les risques de contamination doivent donc être maintenus, et en particulier le lavage fréquent des mains, ne pas se toucher le visage, le respect chaque fois que possible d'une distance minimale de 1m, le port du masque quand cette dernière mesure ne peut être garantie.Les principales évolutions du guide comprennent notamment :Un ajustement des mesures relatives à la coactivité : afin de favoriser le respect d'une distance minimale de 1m, il est toujours recommandé de porter une attention particulière à la coactivité, et en fonction de l'analyse des risques, de la limiter le cas échéant ou de veiller à mettre en œuvre diverses mesures barrières, comme par exemple la séparation des zones de travail, l'organisation des circulations, le port du masque…La mise à jour des mesures relatives aux déplacements : suppression de toutes les autorisations de circulation et de déplacement, précisions sur l'usage partagé des véhicules et les situations où le port du masque est obligatoire.La suppression de l'obligation systématique de port de lunettes de protection ou d'un écran facial lors du port d'un masque de protection respiratoire. Cependant, dans trois situations, cette obligation demeure.Des préconisations relatives au risque de forte chaleur conjugué à la Covid-19, telles que privilégier les mesures de distance physique et limiter l'utilisation des masques, ménager des temps de repos réguliers et prévoir des boissons fraiches en quantité suffisante.Des précisions sur la mise en œuvre des règles de distance dans les locaux : suppression de la division par deux des capacités nominales des bases-vie, suppression de la jauge des 4m2. A défaut de pouvoir respecter la distance minimale, le port du masque est obligatoire.Des compléments concernant les sanitaires mobiles, afin d'en garantir le bon usage.La suppression de la recommandation de limiter les interventions chez les personnes à risque de forme grave de Covid-19 aux seules interventions indispensables et urgentes.Plusieurs nouveaux documents pratiques sont mis à disposition, en plus de la mise à jour de la boite à outils Covid-19 de l'OPPBTP. Il s'agit d'une affiche « Travailler par fortes chaleurs et se protéger de la Covid-19 sur les chantiers », et de trois fiches conseil portant sur le choix d'un masque adapté aux fortes chaleurs, la ventilation et la climatisation des locaux, et la désinfection des cartouches réutilisables de masque respiratoire. Cette dernière fiche a été réalisée en partenariat avec l'Institut National de Recherche et de Sécurité (INRS) et l'Institut Robert Sauvé en Santé au Travail (IRSST) du Québec.« Le guide de l'OPPBTP est devenu la référence incontournable des acteurs du Bâtiment et des Travaux Publics face à l'épidémie de Covid-19. Il était donc nécessaire de mettre à jour notre Guide afin de garder à disposition de tous un document unique, complet, agrémenté de nombreux outils pratiques très utilisés sur le terrain. Cette révision adapte au plus juste les préconisations sanitaires pour faciliter la reprise tout en assurant bien sûr des conditions de sécurité pour tous, conformes aux recommandations des pouvoirs publics. Par ailleurs, en ce début d'été, l'OPPBTP formule des recommandations relatives aux fortes chaleurs. »- Paul Duphil, Secrétaire Général de l'OPPBTPLa nouvelle version du guide est disponible sur le site internet de preventionbtp.fr.
Il y a 4 ans et 334 jours

À l'heure de la relance, quelle place pour le bois-énergie ?

RENOUVELABLES. Au moment où le Gouvernement réfléchit au futur plan de relance de l'économie française, les questions de transition écologique et de souveraineté énergétique font office de serpents de mer dans les débats. Le bois-énergie peut avoir un rôle à jouer dans ce contexte, mais sur quels atouts peut-il réellement se baser ? Éléments de réponses.
Il y a 4 ans et 334 jours

Benoît Hennaut succédera à Alain Marion à la Présidence du Directoire du Groupe Herige

Ingénieur nucléaire de formation et titulaire d'un diplôme de management de l'université de Louvain (Belgique), Benoît Hennaut, 59 ans, cumule de nombreuses expériences dans le domaine de la construction et du bâtiment.Il entame sa carrière en 1988 au sein du Groupe familial italien Ariston Thermo Group, spécialisé dans le thermo-sanitaire (chauffage, ventilation). Il y occupe différents postes de direction en Belgique, France et Italie avant d'entrer chez le Groupe Lafarge en 1992. Il prend ainsi la Présidence des activités de développement, d'innovation, de marketing et de performance de la division toiture, basée à Francfort en Allemagne. À partir de 2006, Benoît part en Asie pour prendre en charge la Direction des activités du sud-est asiatique puis la Présidence de l'ensemble de la zone Asie-Pacifique (dont la Chine et l'Inde). Il revient en France en 2010 pour se voir confier la Présidence de Lafarge France.En 2013, il rejoint un des leaders mondiaux de la plasturgie le Groupe Aliaxis (spécialisé dans la gestion de l'eau et de l'énergie) et prend la responsabilité européenne de la branche bâtiment, avant de présider l'ensemble des activités, y compris Bâtiment, Industrie et Infrastructure du Groupe Nicoll en France, au Benelux, au Maroc et en Grèce.Benoît Hennaut est également Président de la Fédération de la Plasturgie et des Composites depuis 2018, et membre du Comité stratégique de l'AIMCC une des grandes fédérations professionnelles de la construction.Daniel Robin, Président du Conseil de Surveillance a déclaré « Le Conseil de Surveillance et moi-même souhaitons saluer chaleureusement Alain Marion qui a œuvré tout au long de sa carrière au développement du Groupe ainsi qu'à des transformations structurantes pour faire progresser le Groupe. Après 33 années à nos côtés, il passera le relais à Benoît Hennaut, qui prendra son mandat mi-septembre. Sa grande expérience et sa connaissance du secteur ainsi que ses valeurs humaines seront des atouts précieux pour relever les défis futurs du Groupe. »
Il y a 4 ans et 334 jours

Le Groupe Lorillard nomme Virginie Fayemendy au poste de responsable HSE pour l’ensemble des sites de production

Le Groupe Lorillard fait sa révolution industrielle : elle s’effectue par une restructuration des domaines d’expertises techniques de l’industrie, par des investissements industriels ainsi que par des changements fondamentaux organisationnels et logistiques. Thierry Luce – PDG du Groupe – a soutenu, pendant toute l’année 2019, un plan intensif de recrutements. Plan intensif représentant plus de 60 recrutements dans le Groupe dont 9 avaient, pour objectif essentiel, de mieux structurer les équipes. Or, pour la partie sécurité et environnement, il était nécessaire de passer par un renforcement des équipes. UN PARCOURS PRÉDESTINÉ PAR UNE EXPÉRIENCE CONFIRMÉE Après des études de chimie puis un master en environnement et risques industriels à Bordeaux, Virginie Fayemendy intègre un stage de fin d’études dans une entreprise de fabrication de tringles à rideaux, appartenant au groupe américain Newell Rubbermaid. « Il y avait tout à faire dans la partie environnement et sécurité, et c’est ce qui me plaisait. Il s’agissait d’une installation classée eu égard aux produits utilisés -solvants, risques avec le travail du bois… J’aime ces challenges » confie-t-elle. Du stage au recrutement, il n’y avait qu’un pas franchi par Virginie, qui gère alors toutes les actions relatives à la partie environnement, sur 5 sites de production en France, pendant 8 ans. Une évolution en interne la conduit ensuite à prendre la direction industrielle des activités de 2 sites de production (140 personnes) pendant presque 10 ans. Puis, par un fournisseur intermédiaire, elle entend parler d’un poste chez Lorillard de Responsable HSE (Hygiène, Sécurité et Environnement) et postule. C’est donc sur une candidature spontanée que Virginie rencontre Thierry Luce qui, porteur d’une forte volonté et d’un mouvement de professionnalisation des questions de sécurité, a engagé une dynamique d’investissements et de recrutement conséquente. Virginie_Fayemendy_ DES MISSIONS LARGES POUR UN CHANGEMENT DE CULTURE À 45 ans, Virginie Fayemendy se retrouve donc en charge, pour la partie HSE, des 6 sites de production du Groupe Lorillard – Usines de Chartres (Lorillard), de Bourges (Centre 2F), de Montbrison (Plastibaie), de Decazeville (Molénat), de Parigné-L’Evèque (Bourneuf), et de St Martin de Seignanx (HP Fermetures & Menuiseries) – et également des activités de pose (agences de pose Lorenove, Lorillard Entreprise) lui permettant d’aller sur les chantiers, ce qu’elle aime particulièrement. Dès son arrivée, Virginie a réalisé un audit de l’organisation, des systèmes de gestion et de la performance des équipements mis en place sur l’ensemble des sites de production, avec pour mission l’amélioration environnementale des usines du Groupe ; pour ensuite orienter plus spécifiquement ses missions autour de deux axes : une sensibilisation aux accidents du travail et la mise en œuvre d’une démarche RSE -Responsabilité Sociétale des Entreprises. Concernant la sécurité, Virginie soutient un véritable changement des mentalités : « Il y a un virage à opérer pour changer de culture et systématiser, à tous les niveaux des postes, des gestes préventifs ainsi que le développement d’une acuité particulière face au danger. Cette sensibilisation par rapport aux accidents du travail ; pour lesquels on a déjà pu relever une diminution résultant des actions menées depuis 3 ans par Thierry Luce et ses équipes ; revient à modifier d’anciens automatismes en affirmant une culture sécurité ». Il ne s’agit donc pas seulement d’aborder les questions de sécurité au travail uniquement au cœur des usines et des ateliers, mais aussi sur les chantiers en intégrant le facteur obligatoire des EPI – Équipement de Protection Individuelle – ou encore, dans les bureaux. Concernant ce dernier environnement de travail, Virginie s’engage à poursuivre le développement d’actions déjà menées -notamment celle d’amélioration de l’ergonomie des appareils de travail- qui ont permis de réduire le nombre d’accidents de travail. Concernant sa seconde mission, Virginie Fayemendy développe une démarche RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) depuis le mois de janvier 2020 et, plus spécifiquement, depuis la journée manager réunissant tous les services. Ce concept, visant à permettre aux entreprises de contribuer à l’amélioration de la société et à la protection de l’environnement, implique chaque responsable de secteur dans le message à transmettre et aussi chaque individu à son poste. Les 3 axes choisis par le groupe en 2020 sont les économies d’énergie, le traitement des déchets et l’amélioration du recyclage, et la mise en place du télétravail. Des actions en matière d’économie d’énergie ont déjà été menées au sein des ateliers avec le changement des néons par des LEDS, un bon comportement de chacun à son poste, l’installation de compresseurs régénérateurs d’énergie à l’intérieur des bâtiments, pour baisser les dépenses énergétiques. Existait, préalablement à son arrivée, le recyclage des chutes et menuiseries bois dans les chaudières biomasses, chauffant les 3 sites de production bois du Groupe -sur Chartres, les 2/3 du site sont chauffés grâce à cette chaudière. Une borne de recharge pour les véhicules électriques de l’entreprise a été installée courant février. Plusieurs points de recharges sont également envisagés pour le personnel et les visiteurs. La politique de traitement des déchets déjà mise en place va être accrue et valorisée par l’approfondissement d’un travail commun avec des partenaires fournisseurs (notamment en fenêtres PVC) ou une délégation à des prestataires de déchets valorisant mieux le traitement, comme ce fut le cas avec la recyclabilité des chutes de PVC confiée aux entreprises Paprec et Veka. Cette nouvelle dynamique de tri des déchets sera étendue à tout le Groupe ; ne devant pas seulement impliquer les ateliers mais aussi les chantiers et les bureaux, à chaque poste, et/ou par la mise en place de nouveaux points de collecte commun comme les machines à café. Le mouvement est lancé mais doit être amplifié. Passionnée par ses missions diversifiées, Virginie Fayemendy n’est pas effrayée par l’abondance de travail qui l’attend et reste confiante, quant au changement de culture et de mentalité qui s’opère avec des personnels réceptifs aux différents messages, participatifs et impliqués. La Covid a également participé à légitimer cette prise de fonction plus que jamais indispensable dans un climat d’incertitude qui demeure. Et Virginie de conclure qu’il s’agit « d’ une véritable valeur ajoutée en termes d’image pour l’entreprise, et d’amélioration des conditions de travail. Toutes ces réorganisations, réalisées ensemble, sont nécessaires pour mieux les accompagner, les soulager, les aider, et prendre soin d’eux ».
Il y a 4 ans et 334 jours

Nouveau foret creux aspirant

fischer lance le foret creux aspirant FHD. Pratique, il assure le perçage et l’aspiration des poussières en une seule opération. Ce foret garantit un ancrage efficace et conforme aux agréments, améliore les performances de fixation et permet de réaliser des forages précis et plus rapides par rapport à un forage traditionnel. L’industriel lance également un nouvel aspirateur eau et poussière FVC 35 M. Ce combiné garantit un travail de forage sans poussière et permet de préserver la santé des utilisateurs et de leurs outils. Le perçage et l’évacuation de la poussière en une seule opération offre un véritable gain de temps sur les chantiers. Plus besoin de nettoyer le trou après le perçage et l’utilisation d’une pompe de soufflage, d’un compresseur ou encore d’une brosse de nettoyage (écouvillon) n’est plus nécessaire. L’absence de poussière élimine tout risque de blocage ou de ralentissement lors du perçage. La progression du foret dans le matériau est plus rapide et sans frottements. Ainsi, en utilisant le foret creux aspirant FHD fischer, le gain de temps est estimé à plus de 50% par rapport à un forage traditionnel.
Il y a 4 ans et 334 jours

Les énergies marines renouvelables représentent désormais plus de 3.000 emplois en France

Ces emplois (équivalent temps plein) se retrouvent aux trois-quarts chez les prestataires et fournisseurs industriels, surtout dans l'éolien en mer posé. L'an dernier, 452 millions d'euros ont été investis, soit +70% par rapport à 2018, portés par les développeurs-exploitants.Pour l'Observatoire des énergies de la mer, qui publie ce bilan, ce boom tient notamment à l'entrée en construction du premier parc éolien au large des côtes françaises, face à Saint-Nazaire.La France conservant du retard dans l'édification de ses parcs, attribués pourtant pour certains depuis 2012, les entreprises réalisent encore une majorité de leur activité à l'export (69%).Mais "les résultats 2019 laissent présager une capacité de croissance importante" à venir, avec Saint-Nazaire et aussi Fécamp et Saint-Brieuc qui ont récemment obtenu leur décision finale d'investissement, pointe l'Observatoire, créé par le Cluster Maritime Français, en lien avec le Syndicat des énergies renouvelables, le Groupement des industries de construction navale (GICAN) et France Energie Eolienne.Toutes les façades en profitent, notamment les Pays de la Loire et la Normandie, avec l'installation de GE à Cherbourg et prochainement de Siemens Gamesa au Havre.Pour Christophe Clergeau, de l'Observatoire, "2020 a un vrai potentiel d'accélération malgré le contexte". Fin 2019, les intentions exprimées laissaient présager 1.000 emplois supplémentaires cette année."Nous sommes convaincus que cette filière est une bonne candidate à la reprise, qu'elle est résiliente, et tous les signaux de soutien seront bien perçus par les entreprises", a-t-il dit.Ces chiffres sont "une bonne nouvelle dans une année qui en a besoin", a dit Sophie Mourlon, directrice de l'Énergie à la Direction générale de l'énergie et du climat."C'est notre ambition que le marché domestique se développe", a-t-elle assuré, rappelant l'engagement gouvernemental de porter les appels d'offres à quelque 1 gigawatt annuel."Notre enjeu est aujourd'hui de tenir ce calendrier. La crise ne nous a pas aidés", a-t-elle souligné, promettant de poursuivre "certaines simplifications" administratives et d'"accompagner cette filière dans la relance".Les acteurs du secteur se partagent entre TPE/PME et grandes entreprises. Mais seules 12% sont des "pure players" des énergies marines, note l'enquête, qui relève qu'il s'agit en général pour elles d'une activité de diversification: 15% sont issues de la construction navale, 11% de l'environnement, 8% de l'énergie, du BTP et ou encore de l'aéronautique.
Il y a 4 ans et 334 jours

La qualité des panneaux PSE de Sto enrichie de nouvelles possibilités pour des chantiers plus rapides et propres

Pour répondre aux attentes de ses clients en quête de productivité et de développement durable, Sto enrichit aujourd’hui son offre d’ITE à base de PSE de nouvelles possibilités et de nouveaux services. – Plus besoin de filets de protection UV sur les échafaudages pour protéger le Sto-Panneau Top31 avant enduisage. Conformément à la note du Groupe Spécialisé n°7 annonçant la prochaine modification du cahier de prescriptions techniques (CPT 3035-V3), les panneaux isolants en polystyrène expansé graphité Sto-Panneau Top31 ne nécessitent plus la mise en oeuvre d’un bâchage de protection d’échafaudage spécifique ne laissant pas passer plus de 30% de l’énergie solaire. – Un collage rapide des panneaux PSE grâce à la nouvelle colle Sto-Turbofix Mini. Dernière nouveauté signée Sto, Sto-Turbofix Mini est une mousse polyuréthane expansive pensée pour faciliter et accélerer le collage du système d’ITE StoTherm Vario avec isolant thermique en polystyrène issu de la technologie InnoPearls de Sto. Ses avantages sont multiples : aucun temps de préparation, une bonne adhérence 2 heures seulement après la pose sur pratiquement tous les supports, un format compact, une utilisation polyvalente (elle convient également pour les petites surfaces, les encadrements et les réparations), pas de nettoyage quotidien des outils et machines. – Un service de récupération et de valorisation des chutes de PSE pour des chantiers plus propres et respectueux de l’environnement. En tant que leader du marché français pour l’ITE, Sto ambitionne de s’inscrire dans une dimension éco circulaire. La signature en 2020 d’une convention de recyclage avec un partenaire en est la première étape. Sto procède désormais à la reprise des chutes de chantiers émanant de ses produits isolants en PSE. Dès la vente de ses produits, ce service de collecte est proposé aux clients. Les chutes propres et triées par le client sont enlevées pour être acheminées vers le site de retraitement agréé le plus proche. Les chutes d’ITE sont ensuite revalorisées pour devenir de nouvelles matières premières pour la fabrication d’autres produits comme par exemple des dalles acoustiques ou des bétons allégés.
Il y a 4 ans et 334 jours

Le projet de Center parcs à Roybon annulé, la ministre satisfaite

ARTIFICIALISATION. Le groupe Pierre et Vacances a annoncé, le 8 juillet, l'abandon de son projet de domaine Center Parcs à Roybon (Isère), bloqué par de multiples recours et dont le terrain est occupé par des "zadistes". Un abandon salué par la nouvelle ministre de la Transition écologique Barbara Pompili.
Il y a 4 ans et 334 jours

Le Center Parcs de Roybon abandonné pour de bon

Le groupe Pierre et Vacances a annoncé mercredi 8 juillet l'abandon de son projet de domaine Center Parcs, bloqué par de multiples recours et d'interminables procédures judiciaires depuis son lancement en 2007, et dont le terrain est occupé par des "zadistes". La ministre de la Transition écologique s'est félicitée de cette issue.
Il y a 4 ans et 334 jours

Défaillances d'entreprises : le secteur de la construction particulièrement résilient

La France a enregistré sur le second trimestre un niveau historiquement bas de défaillances d’entreprises d’après le baromètre Altares publié le 9 juillet. Le recul est très net pour le secteur de la construction avec – 60 % de défaillances.
Il y a 4 ans et 334 jours

Suez Investissement Local, nouvel acteur dans les projets d'infrastructures environnementales

Suez et Vauban Infrastructure Partners –affilié de Natixis Investment Managers, lancent une société commune qui ambitionne de financer 500 millions d’euros de projets d’ici 2025, dans le secteur de l’eau, de l’assainissement et des déchets.
Il y a 4 ans et 334 jours

Guide technique « Finition et entretien des bois en extérieur »

Concis et pratique, ce nouveau guide apporte des réponses aux questions que se posent souvent les professionnels (maîtres d’œuvre, constructeurs…), mais aussi les maîtres d’ouvrage, concernant l’emploi du bois dans les parties extérieures des ouvrages, comme terrasses ou façades.  Quelles finitions trouve-t-on sur le marché ? Comment les choisir ? Quelles préconisations d’entretien pour préserver leur pérennité d’aspect ?… Co-écrit par les équipes du CIAT (Consultance Innovation Appui Technique) et celles de la certification CTB A+, de l’institut technologique FCBA, le guide – disponible en téléchargement gratuit – s’appuie sur les données issues des Dossiers Techniques Finition FCBA. Photo : E. Saillet Télécharger le guide
Il y a 4 ans et 334 jours

La FNTP réclame un plan de relance en deux temps

TRAVAUX PUBLICS. L'organisation professionnelle a adressé ses propositions pour le plan de relance au chef de l'Etat et au gouvernement. Propositions qui s'articulent d'une part autour de mesures d'urgence, à court terme donc, et d'une transition écologique sur dix ans d'autre part.
Il y a 4 ans et 334 jours

Groupe ADP finalise l'acquisition de 49% du groupe indien GMR Airports

Le montant de l'opération a été révisé afin de "prendre en compte l'impact de la pandémie" de Covid-19 qui a entraîné le plongeon du trafic aérien mondial, affirme-t-il dans un communiqué.Lors de l'accord initial en février, le montant de la participation était fixé à 1,36 milliard d'euros, acheté en deux temps: 24,99% puis 24,01% quelques mois plus tard une fois obtenues les autorisations administratives nécessaires.ADP et GMR ont signé mardi un amendement au contrat de vente sur le prix de ces 24,01%. Au lieu de régler les 658 millions d'euros initialement prévus, ADP en paie "immédiatement" 532 millions, dont 119 millions en augmentation de capital de GMR Airports.Le paiement des 126 millions restants sera "conditionné par l'atteinte de certaines cibles de performance des activités de GMR Airports d'ici à 2024", précise Groupe ADP.Le groupe GMR exploite les aéroports internationaux de Delhi et Hyderabad en Inde et l'aéroport de Mactan Cebu aux Philippines. Ils ont accueilli en tout 102 millions de passagers en 2019, selon Groupe ADP.Il possède également quatre autres aéroports qui ont accueilli 22 millions de passagers en 2019 et sont soit en cours de développement (Goa en Inde et Héraklion en Grèce) soit ont été gagnés aux enchères (Nagpur et Boghapuram en Inde).Avant cette prise de participation, Groupe ADP gérait directement ou indirectement à travers des participations 24 aéroports dans le monde, dont les aéroports parisiens d'Orly et Charles-de-Gaulle.
Il y a 4 ans et 334 jours

"Open space ? Flex office ? Demain ce sera l’elastic office"

Démocratisation du télétravail, flexibilité, collaboration, autonomie, hyper connectivité, ouverture vers l’extérieur, mobilité, hybridation de la vie professionnelle et de la vie privée, impact sur la santé et le bien-être... La crise actuelle ne fait qu’amplifier et accélérer des tendances fortes déjà amorcées dans l’environnement de travail et auxquelles les entreprises doivent s’adapter sans plus attendre. Au delà de l’open space et du flex of- fice, STUDIOS Architecture, spécialiste des nouveaux usages, fait le pari de l’ElasticOffice (bureau élastique).
Il y a 4 ans et 334 jours

Le plus grand bureau de poste de France prépare sa mue

Fermé depuis 2015, l'ancien hôtel des postes, comprenant 32.000 m2 de surface de plancher et le plus grand centre de distribution du courrier en France, était connu des Parisiens pour être ouvert 7 jours sur 7, de nuit, ce qui a longtemps permis aux étourdis et retardataires d'envoyer du courrier avec "le cachet de la poste faisant foi".Ce bâtiment de pierre et de fer, reconnaissable par son péristyle donnant sur rue, a été construit en 1886 par l'architecte Julien Guadet.Il comporte des nefs métalliques qui en font un des chefs d'œuvre de l'architecture industrielle de la IIIe République.A partir de 2021, il deviendra "un concentré de ville mixte", affirme l'architecte Dominique Perrault, en charge de ce chantier gigantesque présenté mardi à des journalistes, après avoir été choisi au terme d'un concours d'architecture européen en 2012.Halte-garderie, hôtel 5 étoiles doté de 82 chambres ou suites, commerces encore à définir, commissariat de police, espaces de coworking, brasserie, bar panoramique avec un toit-terrasse à 360° ainsi qu'un bureau de poste... feront partie de ce vaste ensemble, situé près d'un autre bâtiment en pleine transformation: l'ancienne Bourse de Commerce. Rénovée, elle abritera à partir du printemps 2021 une partie de la collection d'art contemporain du milliardaire français François Pinault.Le groupe La Poste et sa filiale Poste Immo sont les maitres d'ouvrage du chantier de modernisation de l'immeuble, piloté par Bouygues Bâtiment Ile-de-France.
Il y a 4 ans et 335 jours

Le confort d'été dans les bâtiments et la ville au sommaire de CONTACT

Parce que la santé et le bien-être des usagers dans les bâtiments et la ville sont des enjeux majeurs, le CSTB traite le confort d'été dans CONTACT de juillet 2020 et présente des solutions pour atténuer l'impact et l'inconfort liés à l'ensoleillement et aux températures élevées en ville. Découvrez dans cette newsletter l'approche systémique et l'expertise pluridisciplinaire proposées par le CSTB autour du confort d'été, à l'échelle du bâtiment, du quartier et de la ville : Résilience des bâtiments face au stress thermique Confort d'été multi-échelle des espaces publics À lire également dans cette édition : les Témoignages de Serge Contat, directeur général de RIVP, et de Sébastien Nerva, directeur adjoint d'EpaMarne, qui partagent leur vision et retour d'expérience dans le cadre de leur collaboration avec le CSTB. Pour décrypter des sujets techniques, les deux Billets d'experts proposés dans ce numéro portent sur : la simulation du confort thermique et l'identification des Îlots de Chaleur Urbains (ICU) ; l'importance des gains thermiques générés par une isolation courante. Et, comme toujours au sommaire de CONTACT, les Références du CSTB sur le confort d'été, les Éditions-Formations pour monter en compétence, le Décodage pour mieux cerner la problématique, etc. En savoir plus : CONTACT n° 4 : Confort d'été à l'échelle du bâtiment et de la ville Abonnez-vous à CONTACT
Il y a 4 ans et 335 jours

La réforme du Cese adoptée en Conseil des ministres

Lors d'un discours devant les membres de la Convention citoyenne pour le climat réunis à l'Elysée, Emmanuel Macron avait annoncé le 29 juin vouloir transformer le Cese, troisième assemblée de la République, en "chambre des conventions citoyennes".Il avait aussi annoncé que cette nouvelle forme de démocratie directe, faisant appel à des citoyens tirés au sort, serait étendue à "d'autres sujets".La réforme "permet au CESE d'organiser des conventions citoyennes sur le modèle de la Convention citoyenne pour le climat, en tirant des citoyens au sort pour organiser une consultation sur un sujet relevant de sa compétence", selon le compte-rendu.Annoncée début 2018, la réforme du Cese, souhaitée par Emmanuel Macron dès le début de son quinquennat, devait intervenir dans le cadre de celle des institutions, mais elle a été stoppée net par l'affaire Benalla.Le projet de loi organique va conférer une "triple vocation" au Cese: consultations publiques et avis sur des dispositions législatives à la demande du gouvernement ou du Parlement; traitement de pétitions par voie électronique et non plus seulement écrites; "carrefour des consultations publiques"."La place du Cese dans le débat public sera renforcée par la portée qui sera donnée à ses avis. Lorsqu'il sera consulté sur un projet de loi portant sur des questions économiques, sociales et environnementales, cette consultation dispensera le gouvernement de procéder à d'autres consultations prévues par la loi ou le règlement", avec quelques exceptions, précise le compte-rendu.Le nombre de ses représentants doit être réduit d'un quart, pour passer de 233 à 175, comme prévu en 2018, toujours répartis en trois pôles: économique, social et environnemental.Le mandat des membres du Cese expirant en novembre, "le délai est trop court pour permettre l'adoption de ce projet de loi", précise le compte-rendu du Conseil des ministres. "Un second projet de loi organique prolonge le mandat en cours des membres du Cese d'une durée maximale de six mois, afin d'éviter d'avoir à nommer de nouveaux membres dans la composition actuelle pour quelques mois seulement".La dernière réforme importante du Cese date de 2008, complétée par la loi organique de 2010, avec à la clé un élargissement de ses prérogatives: les associations environnementales, des jeunes, des étudiants y ont fait leur entrée et les citoyens peuvent la saisir par voie de pétition, signée par au moins 500.000 personnes.Créée en 1925 sous le nom de Conseil national économique, cette institution a pour première mission de conseiller le gouvernement et le Parlement par ses avis qui ne sont que consultatifs.
Il y a 4 ans et 335 jours

Emploi, assurance chômage, retraites... les dossiers sur la table d'Elisabeth Borne

Urgence sur l'emploi des jeunesAlors que 700.000 jeunes sont attendus sur le marché du travail à la rentrée, "il y aura des incitations financières à l'embauche et un ensemble de mesures pour ne laisser aucun jeune sans solution", a promis Emmanuel Macron.Le président, qui devrait annoncer lui-même des mesures le 14 juillet, doit arbitrer entre un allégement de cotisations sociales salariales, poussé par le cabinet sortant du ministère du Travail, mais dont le coût potentiel fait tiquer Bercy qui plaide plutôt pour une prime à l'embauche.D'autres mesures sont prévues, comme l'extension de la Garantie jeunes - un accompagnement renforcé en mission locale pour les non qualifiés - une hausse des places en service civique ou en lycée professionnel pour les apprentis sans employeur, etc. Ce dossier de l'emploi des jeunes pourrait être suivi plus particulièrement par la ministre déléguée à l'Insertion, Brigitte Klinkert.Contenir les plans sociauxElisabeth Borne devra convaincre les entreprises en difficulté d'éviter les licenciements massifs en ayant recours aux dispositifs alternatifs, notamment la nouvelle "activité partielle de longue durée" pour les secteurs durablement touchés comme l'aéronautique.L'idée est de négocier un accord d'entreprise (ou de branche) d'une durée de six à 24 mois qui définira un maximum de 40% d'heures chômées, compensées par l'Etat plus fortement que le chômage partiel de base, avec des engagements sur l'emploi.La ministre devra apporter sa part au plan de relance préparé à Bercy pour fin août, notamment sur le volet "formation et compétences" ainsi que sur le "partage de la valeur" qui pourrait se traduire par l'imposition d'accords d'intéressement dans les entreprises de moins de 50 salariés.Par ailleurs, des mesures sont aussi dans les tuyaux sur la régulation du travail détaché: durcissement des contrôles, formation des demandeurs d'emploi dans les branches fortement utilisatrices (agriculture, BTP et industrie), refus des aides publiques pour les entreprises qui y recourent.Réforme de l'assurance chômage: stop ou encore ?Avec un taux de chômage attendu à 11,5% mi-2021 par la Banque de France, les syndicats demandent l'abandon complet de la réforme de 2019, qu'ils ont toujours contestée.Si l'exécutif a fait comprendre qu'il reviendrait sur le durcissement de l'ouverture de droits (six mois de travail sur les 24 derniers depuis le 1er novembre contre quatre sur 28 avant), il reste flou sur deux mesures prévues au 1er septembre: le nouveau calcul de l'allocation pour ceux, souvent précaires, qui alternent contrats courts et chômage d'une part et la dégressivité après six mois pour les haut salaires d'autre part.Les dispositions pour lutter contre les abus de contrats courts (bonus-malus dans certains secteurs et taxe de 10 euros sur certains CDD) ont du plomb dans l'aile car elles touchent des secteurs très frappés par la crise comme l'hôtellerie restauration.La ministre doit aussi décider d'un renforcement des moyens de Pôle emploi en prévision d'un afflux d'inscriptions dans les mois qui viennent.Réforme des retraites: le retourContrairement à Muriel Pénicaud, Elisabeth Borne aura en charge le dossier inflammable de la réforme des retraites remis à l'agenda par Emmanuel Macron bien que les partenaires sociaux y soient opposés.Le chef de l'Etat juge son projet de système universel toujours "juste", même s'il se dit "ouvert" à ce que sa réforme "soit transformée".Il souhaite "réengager rapidement une concertation en profondeur (...) dès l'été sur (le) volet des équilibres financiers" et considère que "la question du nombre d'années pendant lesquelles nous cotisons demeure posée".Le déficit du système de retraites devrait approcher cette année le niveau record de 30 milliards d'euros, très loin des 4 milliards attendus avant la crise.
Il y a 4 ans et 335 jours

La récession en France devrait être limitée à 9% en 2020, selon l'Insee

Le gouvernement anticipe de son côté un recul du produit intérieur brut de 11% et la Banque de France de 10%."En juin, l'activité économique aurait comblé les trois cinquièmes de l'écart qui la séparait, au creux du confinement, de son niveau d'avant crise", se réjouit l'Institut national des statistiques dans sa septième note de conjoncture depuis la fin mars.Il constate aussi que "la consommation des ménages ne serait, quant à elle, plus qu'à 3 points de pourcentage de son niveau normal", alors que les ménages ont constitué une très importante épargne supplémentaire durant les huit semaines de confinement et qu'une question de la reprise est de savoir s'ils vont la dépenser ou la garder en réserve.Après s'être contracté de 5,3% au premier trimestre puis de 17% au deuxième en raison de la pandémie de coronavirus, le PIB rebondirait de 19% au troisième trimestre puis de 3% au quatrième, précise l'Insee, qui fait ses premières prévisions au-delà du mois de juin."Fin 2020, l'activité économique demeurerait légèrement en deçà de son niveau d'avant crise", estime l'Insee, dans une fourchette comprise entre -6% et -1%, selon les scénarios, avec une moyenne à -4%."Les perspectives de production se redressent très nettement : la vigueur de ce rebond tient beaucoup à la faiblesse du point de départ, c'est-à-dire de l'activité économique en période de confinement", selon la note."Cependant les carnets de commandes, en particulier à l'international, demeurent jugés peu garnis par les entreprises industrielles, ce qui n'augure pas d'un retour immédiat à la normale", tempère l'institut.Aussi, avec des exportations en recul de 36% sur un an pour le mois de mai, les échanges extérieurs de la France "demeurent plus dégradés en mai que la production nationale en phase de redémarrage"."Pas indemne"La consommation bénéficie d'un effet de rattrapage après le confinement sur les produits manufacturés, mais cet effet ne s'étend pas à tous les produits, l'habillement par exemple souffrant fin juin d'une base de comparaison élevée alors que les soldes avaient déjà commencé en 2019 et sont décalées cette année.Quant aux services, certains continuent à souffrir comme le transport aérien.Grâce aux mesures prises pendant les huit semaines de confinement pour préserver le tissu économique et l'emploi, "les premières marches de la reprise ont pu être gravies assez rapidement, peut-être plus que prévu. Ce sont les dernières qui risquent d'être les plus difficiles, concernant surtout les secteurs les plus touchés par la crise", met en garde l'Insee.Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a brossé lundi un portrait sombre des prochains mois, notamment pour les "plus petits", prévenant que c'est "une tâche écrasante" qui l'attend.Et même si elle n'atteint finalement que 9%, il s'agira de "la plus forte récession depuis la création des comptes nationaux français en 1948", indique la note de l'Insee.Mais pour son directeur général Jean-Luc Tavernier, si on "peut déjà anticiper que l'ordre de grandeur de la baisse du PIB en 2020 pourrait être d'une dizaine de points, voire un peu moins", "il est absurde de dire que l'on serait de ce fait revenu dix ans en arrière"."Car cette baisse en moyenne annuelle est bien entendu liée principalement à la chute connue pendant les mois de confinement. Si l'économie n'en sort pas indemne, il est probable qu'elle reviendra dans les mois à venir à un niveau plus proche de celui qui prévalait avant le confinement", estime M. Tavernier.
Il y a 4 ans et 335 jours

Val-d’Oise : NGE, quatre ans pour un agrandissement autoroutier

Débutée en 2016, la jonction RN 104 – Francilienne avec l’autoroute A 16 a nécessité quatre ans de travaux. [©NGE] Pour permettre à 50 000 véhicules par jour d’améliorer leur trajet, la très chargée RN 104 – Francilienne a été raccordée à l’autoroute A 16. A la hauteur de L’Isle-Adam. Ce qui a permis, en particulier, la surpression du rond-point de la Croix Verte. Au niveau de Montsoult, point noir de la région. Pour cinq des sept marchés de l’opération, NGE fût à l’action. Quatre en collaboration avec Razel-Bec et un complètement, réalisé par Agilis, filiale du groupe.  Au total, l’opération débutée en 2016 a duré quatre ans. Impliquant 150 collaborateurs de l’entreprise. NGE a réalisé plus de 8 km d’assainissement profond, opéré plus de 850 000 m3 de terrassement. Ainsi que construit dix ouvrages d’art et autant de bassins d’assainissement Sans compter la mise en place de 55 000 t d’enrobés. « Ce chantier de longue haleine illustre bien toutes les forces du groupe NGE. Et son savoir-faire multi-métiers, explique Yoan André, directeur des travaux NGE. Nous avons réalisé un chantier de A à Z grâce à la synergie des filiales du groupe ».  A noter que dans un territoire où la question environnementale est au cœur des enjeux. Pas moins de 70 000 t de mâchefers d’incinération de déchets non dangereux sont revalorisées en couches de forme. Utilisées notamment pour les voiries départementales. 
Il y a 4 ans et 335 jours

Bobigny : le nouveau maire revient sur l'annulation des loyers

HABITAT SOCIAL. Le nouveau maire communiste de Bobigny a décidé mercredi d'abandonner l'annulation des loyers de l'office HLM, une mesure votée par la précédente majorité en pleine crise de coronavirus, mais jugée illégale par la préfecture de Seine-Saint-Denis.
Il y a 4 ans et 335 jours

La rénovation énergétique, "mesure de sortie de crise" pour le HCC

TRANSITION. Dans son rapport annuel sur l'évolution des émissions de gaz à effet de serre, le Haut conseil pour le climat juge qu'il est grand temps que les mesures en faveur de l'environnement passent à la vitesse supérieure. Le secteur du bâtiment, qui a "raté" son premier budget carbone, doit tout miser sur la rénovation énergétique des logements.
Il y a 4 ans et 335 jours

Quatre ans de retard pour le projet Rail Baltica ?

La Cour des comptes européenne alerte, dans un rapport, sur cette ligne de train à grande vitesse des pays baltes qui pourrait s'achever en 2030, au lieu de 2026. Sa viabilité économique est également remise en cause.
Il y a 4 ans et 335 jours

Réduire immédiatement son budget énergie avec Zéro Wattheure

30 millions de compteurs, Linky, Gaspar, et autres, ont été déployés sur le territoire national en quelques années. 30 millions de « data loggers » pour mesurer la consommation d’énergie du bâtiment 24/7 et vous aider à réduire vos consommations. Vous payez ces « smart meters » chaque mois : quel bénéfice en tirez-vous  ? Zéro Wattheure exploite ces « big data » pour vous, les collecte, les met en forme et vous les restitue sous forme digeste pour agir, vite, efficacement. Pas de travaux : les compteurs ont été posés par votre distributeur pour chacun de vos bâtiments Pas d’investissement : vous remboursez cette infrastructure de réseau sur votre abonnement (le TURPE) Pas de délai : pour chaque action, une fiche économie vous est remise, avec un résultat chiffré Zéro Wattheure a développé une méthode qui a fait ses preuves dans de nombreux territoires pour rendre le patrimoine public plus performant, plus sobre, plus économe. Nous sommes à votre écoute pour vous la présenter. N’attendez pas pour nous contacter par courriel contact@zerowattheure.com ou par téléphone 0800 300 337 (appel et service gratuits) Et toutes nos actualités sur le site du Zéro Wattheure