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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 4 ans et 328 jours

Le gouvernement présente un nouveau budget en soutien aux secteurs fragilisés dont le bâtiment

Il s'agit du troisième projet de loi de finances rectificative élaboré depuis le début de la crise et il correspond au "deuxième temps de la réponse à la crise", a affirmé mardi soir le ministre de l'Économie Bruno Le Maire sur RTL."Le deuxième temps, c'est de venir au secours de tous les secteurs qui sont les plus menacés", a-t-il ajouté.Après les plus de 400 milliards d'euros de mesures d'urgence prises dans les deux budgets précédents, ce nouveau budget rectifié va faire monter le soutien public à "460 milliards" d'euros, a précisé le ministre.Il inclut ainsi les 18 milliards d'euros du plan d'aide au secteur du tourisme, l'un des plus affectés par le confinement, les 8 milliards d'euros du plan pour l'automobile, les 600 millions pour la French Tech, ou encore les 15 milliards d'euros de soutien au secteur de l'aéronautique et les aides au secteur du livre. S'y ajouteront des mesures en faveur du petit commerce et du bâtiment.Le gouvernement fait de premiers pas pour alléger les surcoûts liés à la crise dans le bâtimentLes entreprises du bâtiment seront aidées à assumer les coûts supplémentaires induits sur leurs chantiers par les mesures de lutte contre le coronavirus, a annoncé le gouvernement, promettant surtout de mettre à contribution les clients publics."Le gouvernement a décidé de prendre des mesures pour aider les entreprises du BTP à compenser les surcoûts et à accélérer la reprise", a annoncé l'exécutif, en marge de la présentation d'un nouveau budget rectificatif. Le bâtiment est l'un des secteurs qui a été largement contraint à l'inactivité par le confinement mis en place entre mars et mai. De nombreux chantiers ont dû s'arrêter, faute de pouvoir mettre en place des mesures sanitaires adéquates. Depuis, le plus gros des chantiers ont repris, plus de 85% dans le bâtiment, selon le gouvernement, mais le secteur doit assumer des coûts supplémentaires pour assurer la sécurité sanitaire.A plusieurs reprises, ses fédérations ont demandé à partager ces coûts avec les clients, publics et privés. En début de semaine, dans une lettre ouverte, la FFB, principale organisation du secteur, et la FNTP, centrée sur les travaux publics, accusaient encore le gouvernement de "tergiverser".Celui-ci va d'abord demander aux clients publics de prendre leur part. Le Premier ministre, Edouard Philippe, a prié les organismes dépendant de l'Etat "de négocier rapidement avec les entreprises du BTP une prise en charge d'une partie des surcoûts".Au-delà, le gouvernement annonce la mise en place d'un "comité de suivi" qui doit permettre d'évaluer précisément le manque à gagner des entreprises.Ses conclusions doivent servir de base aux négociations avec les clients, publics et privés. L'exécutif a, par ailleurs, mis en avant d'autres mesures qui ne sont pas spécifiques au bâtiment mais le concernent largement, comme l'annulation de plusieurs mois de charges pour les petites entreprises, moins de 50 salariés, ayant subi une chute de leurs revenus. Néanmoins, la mise en place d'un plan de relance du secteur attendra la rentrée, avec la présentation plus générale de mesures destinées à orienter la reprise économique à long terme."Le secteur du BTP sera directement concerné par ce plan de relance au titre de l'investissement notamment pour la rénovation thermique et au titre des simplifications de procédure", a affirmé le gouvernement.Vague de faillites et perte de centaines de milliers d'emploisAlors que se profilent "une vague de faillites" et des "centaines de milliers" de pertes d'emploi, selon Bruno Le Maire, le gouvernement va renforcer d'environ 5 milliards d'euros le dispositif de chômage partiel et débloquer 1 milliard pour élargir les aides aux entreprises qui embauchent un apprenti.Même si à Bercy, on défend une politique de soutien à "l'offre", ce budget intégrera aussi des aides exceptionnelles directes pour les 800.000 jeunes précaires de moins de 25 ans et les ménages les plus modestes.Enfin, il doit entériner un soutien de 4,5 milliards d'euros de l'État pour les collectivités, au moment où leurs recettes fondent avec la crise.Au total toutefois, les dépenses budgétaires directes supplémentaires ne représenteront que 13 milliards d'euros, le reste étant des mesures de trésorerie (reports de charges, prêts garantis, etc.).Malgré ce nouveau soutien, certains secteurs s'estiment oubliés, comme l'agriculture ou les transports publics.L'ONG environnementale Greenpeace regrette elle qu'à côté des plans pour l'automobile ou l'aérien, il y ait "toujours zéro pour la relance du ferroviaire".Récession, déficit et dette recordsOutre ces plans d'aides, le gouvernement est contraint d'aggraver encore ses prévisions économiques pour cette année. Il table désormais sur une récession de -11%, contre 8% de baisse du PIB anticipée il y a seulement quelques semaines.Les difficultés du secteur du tourisme devraient à elles seules amputer le PIB de quasiment un point cette année.Conséquence: avec des recettes fiscales qui vont fondre de 27 milliards de plus par rapport à l'estimation déjà en baisse du précédent budget rectifié, le déficit devrait encore s'aggraver à 11,4% du PIB et la dette publique gonfler à 120,9%, estime le gouvernement.Mardi, la Banque de France a elle tablé sur une chute d'environ 10% du PIB cette année. Si elle envisage un rebond de l'activité dès le troisième trimestre, le patron du Medef, appelle lui dans un entretien aux Echos à accélérer le déconfinement et à "réviser les protocoles sanitaires s'appliquant en entreprise".De son côté, le gouvernement souhaite mettre fin au 10 juillet à l'état d'urgence sanitaire, a annoncé Matignon mardi soir.Inquiétude du Haut conseil pour les finances publiquesLe Haut conseil des finances publiques (HCFP) s'inquiète que le gouvernement ait pu sous-évaluer les dépenses prévues pour faire face à la crise, et à l'inverse minimiser la perte de recettes attendues, dans son avis sur le troisième projet de budget rectifié pour 2020."Toutes les mesures de soutien de l'activité annoncées par le gouvernement, notamment certains plans sectoriels de relance, n'ont pas été traduites" dans ce projet de loi de finances rectificative (PLFR), écrit notamment le Haut conseil dans son avis publié mercredi au moment où le gouvernement présente son projet de budget rectifié en conseil des ministres.Par ailleurs, "une partie des mesures présentées comme des mesures de trésorerie pourrait finalement avoir un impact sur le déficit dès cette année", note-t-il.Or le gouvernement prévoit déjà que la dépense publique atteindrait 63,6% du PIB cette année, "un niveau jamais atteint au cours de ces 70 dernières années", souligne le HCFP.Côté recettes, le Haut conseil note que des "aléas négatifs" entourent la prévision du gouvernement d'une baisse de 27 milliards des rentrées issues des prélèvements obligatoires.En particulier, le gouvernement n'a pas révisé celles provenant de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux.De même, le gouvernement "fait l'hypothèse forte que les reports de quelques mois d'échéances fiscales et sociales ne donneront pas lieu à des abandons de créances significatifs en 2020, alors même que de nombreuses entreprises concernées par ces reports seront fragilisées par la chute de leur activité du fait de la crise sanitaire", prévient le HCFP.Déjà à plusieurs reprises inquiète de l'état des finances publiques, l'instance alerte enfin une nouvelle fois sur le fait que la dette, qui devrait gonfler à 120,9% du PIB selon le gouvernement, contre 98,1% l'an dernier, "fragilise la soutenabilité à moyen terme des finances publiques de la France et appelle une vigilance particulière".Il s'agit d'une "hausse massive" de la dette, a commenté mercredi lors d'une audition à l'Assemblée nationale le président du HCFP, Pierre Moscovici. Depuis la création de la zone euro, "un tel niveau de dette n'avait été atteint (...) que par très peu de pays", a-t-il souligné.En revanche, le Haut conseil apparait un peu plus optimiste que le gouvernement sur l'ampleur de la récession, attendue à -11% par le gouvernement.Il juge "prudente" cette prévision, estimant que le taux d'épargne des ménages "pourrait être inférieur au niveau exceptionnellement élevé prévu par le gouvernement pour 2020 (23,2 % contre 14,9 % en 2019), et donc la consommation plus élevée".De même il juge que "l'emploi pourrait être un peu plus élevé que prévu par le gouvernement", qui table sur 1,2 million d'emplois perdus en fin d'année.Au total, depuis la loi de finances initiale, "les prévisions se sont dégradées de plus de 12 points de croissance, de 9 points de déficit public et de 22 points de dette, c'est évidemment considérable (...), c'est à la hauteur du choc que nous traversons", a observé M. Moscovici, qui souhaite que "les missions, le champs de compétences et les moyens" du Haut Conseil soient renforcés.
Il y a 4 ans et 328 jours

Le gouvernement français déploie un nouveau budget en soutien aux secteurs fragilisés

Il s'agit du troisième projet de loi de finances rectificative élaboré depuis le début de la crise et il correspond au "deuxième temps de la réponse à la crise", a affirmé mardi soir le ministre de l'Économie Bruno Le Maire sur RTL."Le deuxième temps, c'est de venir au secours de tous les secteurs qui sont les plus menacés", a-t-il ajouté.Après les plus de 400 milliards d'euros de mesures d'urgence prises dans les deux budgets précédents, ce nouveau budget rectifié va faire monter le soutien public à "460 milliards" d'euros, a précisé le ministre.Il inclut ainsi les 18 milliards d'euros du plan d'aide au secteur du tourisme, l'un des plus affectés par le confinement, les 8 milliards d'euros du plan pour l'automobile, les 600 millions pour la French Tech, ou encore les 15 milliards d'euros de soutien au secteur de l'aéronautique et les aides au secteur du livre.S'y ajouteront des mesures en faveur du petit commerce et du bâtiment.Pour ce dernier secteur, le gouvernement envisage notamment de compenser les surcoûts engendrés par les mesures sanitaires sur les chantiers."L'accent est mis sur des secteurs qui sont des marqueurs forts de l'économie française et qui concernent beaucoup d'emplois. Cela permet d'envoyer un signal positif pour soutenir la confiance des entrepreneurs et des ménages", estime Hélène Baudchon, économiste chez BNP Paribas.Alors que se profilent "une vague de faillites" et des "centaines de milliers" de pertes d'emploi, selon Bruno Le Maire, le gouvernement va renforcer d'environ 5 milliards d'euros le dispositif de chômage partiel et débloquer 1 milliard pour élargir les aides aux entreprises qui embauchent un apprenti.Même si à Bercy, on défend une politique de soutien à "l'offre", ce budget intégrera aussi des aides exceptionnelles directes pour les 800.000 jeunes précaires de moins de 25 ans et les ménages les plus modestes.Enfin, il doit entériner un soutien de 4,5 milliards d'euros de l'État pour les collectivités, au moment où leurs recettes fondent avec la crise.Au total toutefois, les dépenses budgétaires directes supplémentaires ne représenteront que 13 milliards d'euros, le reste étant des mesures de trésorerie (reports de charges, prêts garantis, etc.).Malgré ce nouveau soutien, certains secteurs s'estiment oubliés, comme l'agriculture ou les transports publics.L'ONG environnementale Greenpeace regrette elle qu'à côté des plans pour l'automobile ou l'aérien, il y ait "toujours zéro pour la relance du ferroviaire".Récession, déficit et dette recordsOutre ces plans d'aides, le gouvernement est contraint d'aggraver encore ses prévisions économiques pour cette année. Il table désormais sur une récession de -11%, contre 8% de baisse du PIB anticipée il y a seulement quelques semaines.Les difficultés du secteur du tourisme devraient à elles seules amputer le PIB de quasiment un point cette année.Conséquence: avec des recettes fiscales qui vont fondre de 27 milliards de plus par rapport à l'estimation déjà en baisse du précédent budget rectifié, le déficit devrait encore s'aggraver à 11,4% du PIB et la dette publique gonfler à 120,9%, estime le gouvernement.Mardi, la Banque de France a elle tablé sur une chute d'environ 10% du PIB cette année. Si elle envisage un rebond de l'activité dès le troisième trimestre, le patron du Medef, appelle lui dans un entretien aux Echos à accélérer le déconfinement et à "réviser les protocoles sanitaires s'appliquant en entreprise".De son côté, le gouvernement souhaite mettre fin au 10 juillet à l'état d'urgence sanitaire, a annoncé Matignon mardi soir.Inquiétude du Haut conseil pour les finances publiquesLe Haut conseil des finances publiques (HCFP) s'inquiète que le gouvernement ait pu sous-évaluer les dépenses prévues pour faire face à la crise, et à l'inverse minimiser la perte de recettes attendues, dans son avis sur le troisième projet de budget rectifié pour 2020."Toutes les mesures de soutien de l'activité annoncées par le gouvernement, notamment certains plans sectoriels de relance, n'ont pas été traduites" dans ce projet de loi de finances rectificative (PLFR), écrit notamment le Haut conseil dans son avis publié mercredi au moment où le gouvernement présente son projet de budget rectifié en conseil des ministres.Par ailleurs, "une partie des mesures présentées comme des mesures de trésorerie pourrait finalement avoir un impact sur le déficit dès cette année", note-t-il.Or le gouvernement prévoit déjà que la dépense publique atteindrait 63,6% du PIB cette année, "un niveau jamais atteint au cours de ces 70 dernières années", souligne le HCFP.Côté recettes, le Haut conseil note que des "aléas négatifs" entourent la prévision du gouvernement d'une baisse de 27 milliards des rentrées issues des prélèvements obligatoires.En particulier, le gouvernement n'a pas révisé celles provenant de l'impôt sur le revenu et des prélèvements sociaux.De même, le gouvernement "fait l'hypothèse forte que les reports de quelques mois d'échéances fiscales et sociales ne donneront pas lieu à des abandons de créances significatifs en 2020, alors même que de nombreuses entreprises concernées par ces reports seront fragilisées par la chute de leur activité du fait de la crise sanitaire", prévient le HCFP.Déjà à plusieurs reprises inquiète de l'état des finances publiques, l'instance alerte enfin une nouvelle fois sur le fait que la dette, qui devrait gonfler à 120,9% du PIB selon le gouvernement, contre 98,1% l'an dernier, "fragilise la soutenabilité à moyen terme des finances publiques de la France et appelle une vigilance particulière".Il s'agit d'une "hausse massive" de la dette, a commenté mercredi lors d'une audition à l'Assemblée nationale le président du HCFP, Pierre Moscovici. Depuis la création de la zone euro, "un tel niveau de dette n'avait été atteint (...) que par très peu de pays", a-t-il souligné.En revanche, le Haut conseil apparait un peu plus optimiste que le gouvernement sur l'ampleur de la récession, attendue à -11% par le gouvernement.Il juge "prudente" cette prévision, estimant que le taux d'épargne des ménages "pourrait être inférieur au niveau exceptionnellement élevé prévu par le gouvernement pour 2020 (23,2 % contre 14,9 % en 2019), et donc la consommation plus élevée".De même il juge que "l'emploi pourrait être un peu plus élevé que prévu par le gouvernement", qui table sur 1,2 million d'emplois perdus en fin d'année.Au total, depuis la loi de finances initiale, "les prévisions se sont dégradées de plus de 12 points de croissance, de 9 points de déficit public et de 22 points de dette, c'est évidemment considérable (...), c'est à la hauteur du choc que nous traversons", a observé M. Moscovici, qui souhaite que "les missions, le champs de compétences et les moyens" du Haut Conseil soient renforcés.
Il y a 4 ans et 328 jours

Frumecar et l’UPTC créent une nouvelle chaire

La mission de la nouvelle chaire UPCT-Frumecar sera d’étudier le développement technologique des machines de production et de transport du béton. [©Frumecar] L’Espagnol Frumecar et l’Université polytechnique de Carthagène (UPCT), en Espagne ont signé un accord visant à créer une nouvelle chaire UPCT-Frumecar. La mission de cette chaire sera d’étudier le développement technologique des machines de production et de transport du béton. Elle se chargera de diffuser les recherches dans le domaine de l’industrie du béton. Formera les étudiants de l’UPCT et proposera des cours de formation, des conférences. Ainsi que sa coopération en matière d’éducation. Les lignes prioritaires de recherche seront la robotique collaborative, l’IoT et l’intelligence artificielle (machine learning). Ceci, afin de développer, dans un futur proche, des centrales à béton autonomes dotées de dispositifs d’intelligence et de communication. Qui activeront à la demande les commandes des automates de production, sans intervention humaine. Cette chaire permettra de participer à des projets nationaux et internationaux. Et de promouvoir des rencontres avec des spécialistes lors de journées et de congrès, aussi bien en Espagne qu’à l’étranger.
Il y a 4 ans et 328 jours

Covid : l'Etat dévoile un arsenal de mesures pour soutenir les entreprises

ANNONCES. Les pouvoirs publics viennent d'annoncer une série de mesures visant à soutenir économiquement les entreprises du secteur de la construction en cette période difficile. Au programme : soutenir les trésoreries, les carnets de commande, et adresser le sujet des surcoûts liés aux mesures sanitaires.
Il y a 4 ans et 328 jours

A Perpignan, relance musclée pour le BTP

Perpignan Méditerranée Métropole, la Ville de Perpignan et l’Office public HLM Perpignan-Méditerranée ont adopté un plan triennal de 750 millions d’euros en faveur du bâtiment et des travaux publics.
Il y a 4 ans et 328 jours

Le SNEP présente son étude "Perception et usage du PVC par les architectes"

La parole aux architectesLorsque la parole leur est laissée pour parler du PVC, il en ressort les points suivants :Le PVC est un matériau très intéressant pétri de qualités,Il est un bon compromis entre le bois et l'aluminium,Il demeure nécessaire et irremplaçable,Ses qualités indéniables sont : facilité d'entretien, haute recyclabilité, performance thermique et durabilité.Cette perception du PVC par les architectes en fait un matériau de choix sur leurs chantiers. Selon l'étude, 71,6% du panel estiment que le PVC est un matériau intéressant.Les qualités du PVC selon les architectesLes qualités intrinsèques du PVC sont connues et reconnues par les architectes qui citent spontanément :Son aspect économique, qu'ils prescrivent aussi bien pour les logements sociaux que chez les particuliersSes performances techniques, avec sa rapidité de mise en œuvre, ses performances énergétiques, ses performances d'isolation, son excellente durée de vie, sa résistance à l'humidité, sa simplicité d'entretien, ou encore le large panel de couleurs et de personnalisation qu'il offre.L'utilisation du PVC dans le bâtimentPlus de 75% du PVC est utilisé dans le bâtiment. Ce matériau incontournable trouve sa place dans de nombreuses applications, mais quelles sont celles où les architectes y voient un intérêt prioritaire ? Pour les fenêtres pour 69,7%, pour les revêtements de sols pour 77,4%, et jusqu'à 90,4% pour les applications sanitaires (plomberie...).La fenêtre PVC : le choix des architectesEn France, près 3 fenêtres sur 5 sont en PVC. Et les architectes y sont pour quelque chose ! Pour la rénovation, 52,1% des architectes recommandent la fenêtre PVC. Pour une construction neuve, ils sont 53,4% à la prescrire. Quelles raisons ressortent parmi de multiples motivations ? Son coût imbattable à 39,7%, son excellente isolation thermique à 11,1%, à la demande du client à 9,5%, son excellent rapport performance/prix à 8,5%.Fenêtre PVC, bois ou aluminium ?Lorsque l'on demande aux architectes de comparer les menuiseries PVC, bois et aluminium, la fenêtre PVC tire son épingle du jeu sur le prix où il demeure sans conteste le matériau le plus concurrentiel.Mais ses autres particularités, qui le différencient du bois et de l'aluminium, sont également bien connues des architectes :92,7% des architectes connaissent la fenêtre PVC en couleurs qui offre un choix et une diversité sans pareil.83,8% savent qu'il existe des fenêtres PVC grande dimension, ce qui permet d'imaginer les meilleures solutions en terme d'ouvertures, sans contrainte technique, et quel que soit le chantier.63,9% savent que la fenêtre PVC se recycle. Et ils ont raison ! Depuis 2015, le SNEP a contribué à la mise en place d'une filière de 200 points de collecte des produits PVC en fin de vie à travers toute la France et sensibilise les entreprises de construction, de démolition et les prescripteurs au recyclage de leurs produits PVC, en particulier les profilés menuiseries et châssis de fenêtres. En France en 2018 : 105 517 tonnes de PVC ont été recyclées (source VinylPlus 2018).62,6% savent qu'il existe une marque de qualité pour les menuiseries PVC. Et ils ont raison ! QualiPVC fenêtre est une marque créée et déposée à l'INPI le 25 mars 2016 par le SNEP. Cette marque, gage de qualité, est une vraie reconnaissance pour les menuisiers qui en bénéficient. Faire le choix d'une menuisier QualiPVC, c'est bénéficier de la fabrication française, d'un contrôle qualité strict, de la bonne application de la charte recyclage, d'un professionnel qualifié à proximité, de l'expertise d'un syndicat professionnel.Le PVC et la fenêtre PVC demeurent plus que jamais des incontournables du bâtiment, que ce soit dans le résidentiel ou le tertiaire, et les architectes ne diront pas le contraire !
Il y a 4 ans et 328 jours

Le belge Besix aménagera l'une des principales gares du Grand Paris Express

"Besix France remporte le marché des travaux d'aménagement de la gare de Saint-Denis Pleyel du Grand Paris Express", a indiqué le groupe belge dans un communiqué."Le montant du marché attribué à Besix [est] supérieur à 100 millions d'euros", précise-t-il, confirmant des annonces effectuées en avril par la Société du Grand Paris, l'établissement public qui gère ce projet majeur d'urbanisme autour de la capitale.La gare de Saint-Denis Pleyel constitue l'une des principales stations de métro prévues dans le cadre de l'extension du réseau. Elle sera à la fois le nouveau terminus de l'actuelle ligne 14 et verra aussi passer les futures lignes 15, 16 et 17.La gare doit être prête début 2024 pour les Jeux Olympiques. Des travaux ont déjà commencé, notamment menés par le géant français Eiffage, mais Besix réalisera le gros du projet."Les travaux comprennent les importantes façades et la verrière, les voiries et réseaux divers, les corps d'état architecturaux -parachèvements- et les corps d'état techniques", dont les travaux d'électricité, a énuméré le groupe belge.
Il y a 4 ans et 328 jours

BMW sollicite Colas pour ses infrastructures routières en République tchèque

La filiale locale, Colas CZ, construit le site d’expérimentation de l’entreprise allemande d'automobiles. Les travaux impliquent de recourir à des solutions géotechniques particulières.
Il y a 4 ans et 328 jours

Les deux géants français des centres commerciaux rouvrent leurs sites

Klépierre et Unibail-Rodamco-Westfield (URW), les deux géants français des centres commerciaux, rouvrent actuellement l'essentiel de leurs sites à travers le monde.
Il y a 4 ans et 328 jours

Eiffage Métal et Engie Fabricom construiront une sous-station d'un parc éolien en mer du Nord

Eiffage Métal, via Iemants, filiale de son entité belge Smulders, vient de remporter en groupement avec Engie Fabricom le marché pour la conception, la construction et l’installation -intégrant la mise en service et les essais-, d’une sous-station de transformation pour le parc éolien Hollandse Kust Noord de 700 MW, localisé en mer du Nord au large des côtés néerlandaises.
Il y a 4 ans et 328 jours

Hidalgo veut remettre des logements Airbnb sur le marché locatif longue durée

"Je suis heureuse que ce modèle prédateur, parce qu'il a retiré beaucoup de logements à la location de longue durée (...), ait montré ses limites", s'est félicitée sur France Inter la candidate (PS) à sa réélection en référence aux difficultés économique d'Airbnb, frappé de plein fouet par la crise du coronavirus."Le fait que ces appartements-là ne sont plus loués en location saisonnière va peut-être nous permettre de les remettre dans la location longue durée", a-t-elle avancé."Dans une de mes propositions, il y a cette idée de créer une société d'économie mixte (...) de 6 milliards", avec la ville, la caisse des dépôts et des acteurs privés, qui aura la capacité de racheter ces logements et de les remettre sur le marché locatif longue durée "à moins 20% du prix du marché", a-t-elle souligné."Si je suis élue cette proposition fera partie des premiers actes que je poserai parce que la question du logement est cruciale à Paris", a-t-elle précisé rappelant d'Airbnb représentait 26.000 logements au cœur de Paris.Mme Hidalgo a par ailleurs souhaité que les pistes cyclables et les aménagements de certains grands axes de circulation installés à la sortie du déconfinement "puissent perdurer"."Ces décisions ont démontré par la preuve que cela correspond aux aspirations des parisiens", a assuré l'élue qui, dans un entretien à Libération, précise vouloir "réserver l'axe Hôtel de ville à Concorde aux véhicules et navettes électriques, notamment pour desservir les commerces, ainsi qu'aux taxis".
Il y a 4 ans et 328 jours

Rénovation : "Nous avons un sous-investissement chronique", Boris Vallaud (PS)

TRANSITION. Suite à la crise du coronavirus, le groupe socialiste à l'Assemblée nationale remet sur la table sa proposition d'une "prime climat" pour massifier les chantiers de rénovation thermique mais aussi fournir de l'activité au secteur du bâtiment. Boris Vallaud, député PS des Landes, détaille le dispositif pour Batiactu.
Il y a 4 ans et 328 jours

Nicolas Dahan : Appartement à Moscou

À Moscou (Russie), l’architecte français Nicolas Dahan a complètement repensé un duplex de 450 mètres carrés en le transformant en un espace lumineux très contemporain. C’est dans la capitale de la Russie que l’architecte Nicolas Dahan a métamorphosé un appartement spacieux réparti sur deux niveaux en un logement minimaliste et luxueux, qui comprend six chambres, six salles de bains, un salon, une salle à manger et une cuisine, ainsi qu’un hammam et une salle de sport. Dans ce vaste duplex, Nicolas Dahan a mis en scène des matières froides, des courbes sensuelles et des jeux de lumière afin de livrer un logement à la pureté saisissante. Par souci du détail, il a dessiné sur-mesure chaque élément architectural de l’appartement – créant par exemple un incroyable plafond. « J’ai dessiné une ondulation très douce, comme une plage ridée par les vagues, qui vient bousculer le minimalisme de l’appartement en organisant les espaces de vie. Il apparaît comme un bloc uniforme, d’une minéralité totale, alors qu’il a nécessité plus de 100 plaques de staff […] assemblées sur place et poncées pendant trois mois pour obtenir cette surface parfaitement lisse », explique-t-il. Ici, les marbres, les miroiteries, les parquets, qui viennent de Padoue (Italie), ont été livrés, puis assemblés à Moscou « pour une excellence des détails, une totale invisibilité des systèmes et une mise en avant de la matière. » Dans la cuisine, une grande porte coulissante en bois laqué permet de jouer avec le rythme de l’espace, tandis que les dix mètres de plan de travail marbre noir de Carrare tranche avec la blancheur éclatante des rangements, des murs et du plafond. Dans les pièces à vivre, le sol en érable est une surface unifiée et lisse, qui reflète lumière. Dans les chambres et le dressing, les miroirs rouges ou bleus, qui contrastent avec les tonalités sobres des autres pièces de l’appartement, sont toutefois adoucies par les parois tissées Kvadrat placées devant chaque fenêtre. La salle à manger baignée de lumière est la pièce où l’on se retrouve. Ici, les chaises sont ordonnées autour d’une table minimaliste, sous une grande rotonde laquée de bleu pastel. Nicolas Dahan a aménagé un appartement épuré, dont le style futuriste fascine. Pour en savoir plus, visitez le site de Nicolas Dahan. Photographies : © Nicolas DahanLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 328 jours

Nouvelle offre du logiciel PV archelios™ PRO

Développé avec Cythelia Energy, division solaire de Trace Software, archelios™ PRO permet de dimensionner tout type de projet solaire de quelques kWc à plusieurs dizaines de MWc, sur toiture, en ombrière ou au sol.archelios™ Pro Free, Silver, Gold et Platinum : une nouvelle gamme de logiciels PV adaptée à chaque activitéQu'ils soient artisans, installateurs de petits projets, développeurs de grandes centrales solaires ou concepteurs occasionnels, tous les utilisateurs n'ont pas besoin des mêmes fonctionnalités. Avec la nouvelle gamme archelios™ PRO, Trace Software dote les professionnels d'un outil ergonomique et performant, adapté à la taille de leurs projets, avec des fonctionnalités dimensionnées pour leur activité.Une nouvelle offre archelios™ PRO élargie :archelios™ PRO Free : conception de projets jusqu'à 36 kWc sans 3Darchelios™ PRO Silver : conception de projets jusqu'à 100 kWcarchelios™ PRO Gold : conception de projets jusqu'à 1 MWcarchelios ™ PRO Platinum : dimensionnement de projets complexes illimitésL'une des grandes nouveautés de cette gamme est l'accès gratuit à la version archelios™ Pro Free.archelios™ Pro Free : un logiciel gratuit pour démarrer avec des petits projets PVQue l'on soit artisan, étudiant, ou encore jeune entreprise, et que les projets ne dépassent pas une puissance de 36 kWc, le logiciel archelios™ PRO Free est idéal.Le logiciel permet de concevoir des projets d'installations solaires raccordées au réseau ou en autoconsommation, mais également de fournir très précisément le calcul de productible et les indicateurs économiques associés. L'utilisateur bénéficie d'une base de données et de fonctionnalités qui l'assistent pour le dimensionnement des onduleurs et des modules en fonction du projet.Grâce à sa prise en main simple et ergonomique, archelios™ PRO Free est un excellent outil pédagogique pour les utilisateurs qui débutent dans la conception photovoltaïque.archelios™ Pro Silver, Gold et Platinum : des gammes premium pour les bureaux d'études et installateurs photovoltaïquesLes versions Silver, Gold et Platinum s'adressent aux bureaux d'études et aux installateurs photovoltaïques qui conçoivent des installations PV raccordées au réseau ou en sites isolés, en autoconsommation, avec ou non stockage d'énergie.La version archelios™ PRO Silver permet une conception rapide, notamment grâce à la modélisation 3D et détaillée des projets. Elle permet également de fournir très précisément le calcul de productible et les indicateurs économiques associés (LCOE, CGA, rentabilité, …). Les concepteurs disposent d'une large base de données de références multi-fabricants qui leur permet de réaliser le meilleur choix de matériel pour un rendement optimal de l'installation. Ils ont la possibilité d'exporter directement leur projet vers les logiciels de la suite archelios™ : archelios™ CALC et archelios™ O&M.Avec archelios™ PRO Gold les utilisateurs gagnent en temps de conception grâce à des fonctionnalités de saisie rapide et des outils de conception 3D automatiques, notamment pour le câblage des boîtes de jonction et des onduleurs. Accès aux bases de données météo et Google Maps comme pour la version Silver, gestion optimisée de l'autoconsommation, comparaison de projets, exports du projet en format AutoCAD et CSV et vers les autres outils de la suite, sont autant d'atouts qui permettent aux concepteurs de gagner en temps de conception et de livrer des projets ultra précis au plus proche, voire au-delà, des attentes de leurs clients.Bénéficiant des fonctions Silver et Gold, archelios™ PRO Platinum est de loin le logiciel le plus complet du marché des logiciels PV. Il dote les concepteurs de fonctionnalités uniques telles que l'optimisation de l'écrêtage, l'outil de terrassement en 3D et la gestion de grandes centrales multi-MWc. Pour les installations de grande envergure, c'est la garantie d'un projet rigoureux donc moins coûteux, maîtrisé et au plus proche des conditions de production, même pour les installations les plus complexes.Intégrez l'environnement 3D de votre projet en un clic avec 3D Maparchelios™ PRO est le seul logiciel du marché à proposer la fonctionnalité 3D Map qui permet d'intégrer automatiquement l'environnement 3D de votre projet en un clic, avec prise en compte automatique de la végétation et des bâtiments environnants pour une évaluation précise et rapide des pertes dues aux masques proches, sans besoin de visite de site. Un gain de temps impressionnant ! 3D Map est disponible sur Silver, Gold et Platinum.
Il y a 4 ans et 328 jours

Faire le choix du solaire pour son chauffe-eau : tout ce qu’il faut savoir

En France, la consommation en eau chaude sanitaire, aussi appelée ECS, représente, selon les foyers de 10 à 25% des dépenses énergétiques. Sur une facture, c’est donc le deuxième plus grand investissement après le chauffage. De ce fait, le chauffe-eau devient un pilier dans l’élaboration d’une stratégie d’économie d’énergie. Pour cela, plusieurs solutions s’offrent à […]
Il y a 4 ans et 329 jours

Des militants sur une grue à Chambéry contre un chantier controversé

C'est la deuxième opération du genre depuis le déconfinement, la dernière ayant eu lieu le temps d'une matinée le 19 mai pour dénoncer ce projet de parking de 7 étages en hauteur, destiné à abriter près de 500 places aux portes de l'hyper-centre."Cette fois on a monté du matériel et de la nourriture pour tenir jusqu'à l'annonce du maire (LR, Michel Dantin) de suspendre le chantier jusqu'au second tour des municipales", a déclaré à l'AFP Yves Macquet, citoyen chambérien mobilisé contre ce projet, sujet de débat de la campagne municipale.Selon la préfecture de la Savoie, la "vingtaine" de personnes qui ont démarré l'opération avant 7 heures étaient encore une "douzaine en milieu d'après-midi, dont cinq sur la grue". "La police est sur place, tout est calme", a-t-on précisé.Un chapiteau a été monté au pied du chantier pour informer les gens "sur le sens de l'action" et une "Ravet Party (du nom du projet de futur parking, ndlr) est organisée ce soir avec de la musique", a ajouté M. Macquet, déplorant un "déni de démocratie" dans la poursuite de ce chantier "alors que la majorité des chambériens se sont exprimés contre"."Il faut trouver un compromis avec la mairie et Q Park (opérateur en parc de stationnement): deux étages et demi ont été construits, soit 250 places, il faut finir le chantier en l'état", a avancé le porte-parole, qui promeut plutôt une "augmentation de l'offre de transports en commun et des mobilités douces" pour le centre-ville.Lors d'un conseil municipal fin mai, le maire de Chambéry avait réitéré sa volonté de mener le projet à son terme. Dans un communiqué publié lundi soir, il a condamné ce blocage qui s'apparente pour lui "à un déni de démocratie".Et il a tenu à rappeler que "la justice, saisie par les opposants au projet à maintes reprises, dont les initiateurs figurent aujourd'hui sur des listes se présentant aux élections municipales, s'est exprimée en rejetant l'ensemble de leurs arguments".Ce parking participera "à la réduction de la part de la voiture en ville", a-t-il encore estimé.Candidat à un second mandat, il doit affronter au second tour la liste rassemblée de l'ancien ministre PS Thierry Repentin, soutenu par l'UDI et de la tête de liste citoyenne Aurélie Le Meur.Contactée par l'AFP, la société Q Park n'a pas souhaité faire de commentaire.
Il y a 4 ans et 329 jours

Quid du marché des volets en 2019 ?

ETUDE. Alors que la filière du Bâtiment subit le choc de la crise du coronavirus, comment s'est comporté le secteur des volets en 2019 et à quoi peut-on s'attendre pour 2020 ? Téléchargez une synthèse de l'étude TBC.
Il y a 4 ans et 329 jours

Paris et Berlin veulent que l'UE garde la main sur ses données

Gaia-X, présentée jeudi par les ministres de l'Économie des deux pays, Bruno Le Maire et Peter Altmaier, sera une sorte de place de marché, où les entreprises européennes pourront trouver des services de "cloud" (informatique dématérialisée) respectant un certain nombre de critères et de normes européens.Le monde actuel des services de "cloud" est dominé par les grands acteurs américains, et les chinois comme Alibaba commencent à pointer leur bout de leur nez.La France et l'Allemagne ne veulent pas que les opérateurs européens se laissent définitivement distancer, alors que leur position est déjà faible sur certains marchés comme celui du "cloud" public.Ce dernier propose aux entreprises une ressource informatique bon marché et utilisable à la demande, grâce à la mutualisation de serveurs dans de gigantesques centres de données.Il est complètement dominé par des grands acteurs américains comme Amazon, Microsoft ou Google.L'une des grandes exigences qui s'appliquera aux fournisseurs de services de "cloud" présents sur Gaia-X sera la transparence sur leur juridiction de référence, a expliqué M. Le Maire jeudi lors d'une téléconférence avec son homologue allemand."Si les données" confiées au fournisseur de services cloud "sont concernées par une loi extra-territoriale, par exemple le +Cloud Act+ américain, alors ce devra être précisé", a-t-il indiqué.Le Cloud Act, une loi américaine de 2018, prévoit que dans certains cas, le gouvernement américain puisse demander aux fournisseurs de "cloud" la communications des données qu'ils hébergent, même si les centres de données en question sont situés hors des États-Unis.Une autre grande exigence sera celle de l'interopérabilité des services présents sur la plate-forme."Si vous n'êtes pas satisfait de votre fournisseur actuel de service cloud, ou que celui-ci devient trop cher, vous pourrez changer de fournisseur sans perdre des données", a expliqué Bruno Le Maire.L'idée des Européens est en fait de permettre l'émergence non de géants comme les opérateurs américains ou chinois, mais d'une galaxie d'opérateurs capables de fonctionner en réseau et d'apporter collectivement tous les services qu'Amazon, Microsoft, Alibaba et les autres concentrent aujourd'hui.Premiers pas début 2021L'objectif n'est pas seulement un objectif de souveraineté, mais aussi de performance économique, ont expliqué MM. Le Maire et Altmaier.Construire une infrastructure européenne représente "un point de départ pour la construction d'un écosystème européen de la donnée", ou ces informations peuvent circuler sans difficulté entre les acteurs économiques pour augmenter leur performance et créer de nouveaux services, a indiqué Peter Altmaier."Pour développer une voiture autonome vous avez besoin d'un grand nombre de données sur la sécurité routière", a illustré de son côté Bruno Le Maire."Pouvoir facilement échanger des données entre constructeurs européens" grâce à des infrastructures compatibles peut donc considérablement leur faciliter la tâche, a-t-il expliqué.Bercy espère que les premiers services estampillés "Gaia-X" verront le jour au premier semestre 2021.La gouvernance de Gaia-X sera pilotée par les 22 entreprises fondatrices, 11 allemandes et 11 françaises, qui représentent à la fois le monde des fournisseurs de services "cloud", mais aussi celui des utilisateur de ces services.En France, le projet est porté par des entreprises comme OVH, Scaleway, Dassault Systèmes (fournisseurs de services cloud), Orange, EDF, Docaposte, ou l'Institut Mines Telecom (IMT, école d'ingénieurs).En Allemagne, il est porté notamment par Deutsche Telekom, les industriels Siemens, Bosch et BMW, ou le géant du logiciel SAP.Les fournisseurs non-européens, et notamment les géants américains, pourront être présents sur la plate-forme s'ils respectent ses critères et ses conditions."Le sujet n'est pas d'exclure des acteurs, mais d'apporter de la transparence", a indiqué à l'AFP Alban Schmutz, vice-président d'OVH chargé des affaires publiques.Dans un communiqué commun, le Medef et la fédération industrielle allemande BDI ont salué l'avancement de ce projet, "qui devrait servir de modèle à d'autres initiatives numériques en Europe" et permettre de "renforcer la compétitivité des entreprises européennes".
Il y a 4 ans et 329 jours

Les bailleurs sociaux lancent un "Manifeste" pour la relance

LOGEMENT SOCIAL. Avec leur "Manifeste pour une relance socialement juste", les deux principales fédérations de l'Unions sociale pour l'habitat (USH) s'engagent sur une "accélération" des constructions et de réhabilitations. En échange de quoi elles listent leurs demandent au pouvoirs publics.
Il y a 4 ans et 329 jours

«Surcoûts : quelle règle dit que c’est au maître d’ouvrage de tout payer ?», Salvador Nunez, directeur d’Escota

Concessionnaire d’un des premiers réseaux autoroutiers construits en France, Escota, la filiale de Vinci Autoroutes, gère un réseau de 471 km traversant six départements dans le sud-est. Avant le confinement, la direction de la maîtrise d’ouvrage qui compte une quarantaine de salariés, avait en cours l’équivalent de 37 millions d’euros HT de travaux pour la maintenance du patrimoine et la création de nouveaux ouvrages. Son directeur, Salvador Nunez, appelle à la raison et invite à prendre son temps pour bien identifier et mesurer les surcoûts liés à la gestion de la crise.
Il y a 4 ans et 329 jours

MaPrimeRénov : interrogations sur le budget affecté en 2020

RÉNOVATION ENERGETIQUE. Le dispositif MaPrimeRénov, lancé en janvier 2020, va-t-il pouvoir être utilisé à plein tout au long de cette année, alors que le budget affecté semble trop limité ? La question est posée par un rapport de la commission des finances de l'Assemblée nationale.
Il y a 4 ans et 329 jours

Les professionnels du BTP lancent un cri d'alarme au gouvernement pour éviter l'effondrement du secteur

Les surcoûts liés à la mise en sécurité des compagnons sur chantier ne sont que rarement partagés, ce qui fragilise fortement les entreprises du BTP. A ce premier choc vient s’ajouter un second, en raison de l’effondrement de la commande publique comme privée. Si rien n’est fait, cette combinaison désastreuse se traduira inévitablement en septembre avec des entreprises en faillite et des salariés qui ne manqueront pas de grossir les rangs de pôle emploi.La construction représente près de 2 millions d’emplois et près de 500.000 entreprises, essentiellement des TPE/PME situées sur tout le territoire, dont la baisse d’activité a été comparable aux entreprises frappées par les fermetures administratives. Autant les premières mesures de soutien du gouvernement se sont avérées efficaces, autant, depuis plusieurs semaines, il tergiverse à prendre les dispositions qui s’imposent pour maintenir à flot un secteur essentiel à l’ensemble de l’économie du pays. Pour stimuler l’investissement des ménages, des acteurs privés et des collectivités publiques, la FNTP et la FFB demandent au gouvernement et aux parlementaires d’intégrer au projet de loi de finances rectificatif les mesures suivantes :La prise en charge des surcoûts liés au COVID-19 et l’annulation des charges fiscales et socialesLa mise en place d’un véritable mécanisme d’incitation à l’investissement local grâce au FCTVAUn plan massif de rénovation énergétique des bâtimentsLe relèvement des budgets consacrés au niveau national aux infrastructures et à la gestion de l’eau Le retour à un taux réduit de TVA à 5,5 % pour l’ensemble des travaux. Pour Jacques Chanut, Président de la Fédération Française du Bâtiment : « Le ministre de l’Économie et des Finances a annoncé que la question des surcoûts sera traitée mais nous n’avons toujours pas de précisions à ce stade. En tout état de cause, nous ne pouvons-nous contenter de demi-mesures. Quid par ailleurs des mesures de soutien aux comptes d’exploitation de nos entreprises ? Nous demandons l’annulation et non le lissage des reports de charges ce qui est justifié dans un secteur qui a été tout autant impacté par la crise que les secteurs fermés par décision administrative. Par ailleurs, nous souhaitons la mise en place au plus vite du grand plan d’accompagnement de la rénovation énergétique annoncé depuis plusieurs années. »Pour Bruno Cavagné, Président de la Fédération Nationale des Travaux Publics : « La priorité du gouvernement doit être donnée au soutien à la demande. Nous craignons, en effet, un effondrement des appels d’offres à la rentrée de septembre. Il convient donc de soutenir par tous moyens la commande publique locale, qui représente 50% de notre activité, voire plus de 90% pour de nombreuses TPE/PME. »
Il y a 4 ans et 329 jours

L'économie française devrait mettre au moins deux ans à se relever de la pandémie

"L'économie française est en train de remonter assez rapidement du plongeon brutal de mars, mais nous sommes loin d'être sortis d'affaire", a estimé le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau sur France Info."Comme l'ensemble du monde, (elle) a subi un choc d'une ampleur inédite au premier semestre 2020" avec le confinement strict mis en place mi-mars et levé mi-mai, constate la Banque centrale française dans ses projections macroéconomiques jusqu'en 2022 publiées mardi.Le rebond de l'économie dès le troisième trimestre ne suffira donc pas a éviter une récession inédite de l'économie cette année. Évaluée à -10%, cette prévision est proche des -11% anticipés par le gouvernement dans le troisième projet de loi de finances rectificative qu'il présentera mercredi en Conseil des ministres.Après cela, "2021 et 2022 seraient des années de redressement net mais progressif", prédit la Banque de France, avec une croissance de 7% prévue l'an prochain, puis une progression de 4% du PIB en 2022.Mais "ce fort rebond apparent ne permettrait pas de retrouver le niveau d'activité de fin 2019 avant mi-2022", prévient la banque centrale française.En effet, l'économie française doit redémarrer à partir d'un niveau historiquement désastreux. Après le recul du PIB de 5,3% au premier trimestre, selon l'évaluation de l'Insee, l'économie devrait plonger d'environ 15% au deuxième trimestre, prévoit la Banque de France.Elle est un peu plus optimiste que l'Insee qui table sur une chute de 20%.Car, selon la banque centrale, l'activité a rebondi au mois de mai, avec une perte d'activité estimée à -17% sur une semaine-type de la fin mai par rapport à la normale, contre -27% en avril et -32% fin mars.Et le mois de juin devrait confirmer cette tendance, avec une perte d'activité ramenée à -12%.Déjà, les fermetures de sites dans l'industrie "sont devenues marginales" et le bâtiment reprend "de façon très dynamique", note la Banque de France.La situation est plus contrastée dans les services, avec des secteurs toujours en difficulté, comme l'hébergement ou la restauration encore en partie confinés, et d'autres qui ont nettement rebondi, comme les services à la personne, le travail temporaire ou les services automobiles.Chômage historique mi-2021Mais l'élément "essentiel" de la reprise sera le rythme du rebond de la consommation des ménages. Il est "probable que la montée attendue du chômage et le contexte global de forte incertitude continuent de peser sur les comportements d'achats", juge la BdF.Avec une épargne cumulée autour de 100 milliards d'euros, le taux d'épargne des ménages dépassera les 22% cette année et la consommation reculera de 9,3%.Si le dispositif massif de chômage partiel mis en place par le gouvernement va quelque peu ralentir l'impact de la crise sur l'emploi et le pouvoir d'achat cette année, le taux de chômage devrait dépasser les 10% fin 2020, et grimper jusqu'à un pic supérieur à 11,5% à la mi-2021, un niveau "au dessus des précédents historiques", projette la Banque de France.Et là encore, il faudra attendre 2022 pour le voir redescendre à 9,7%. Le pouvoir d'achat devrait lui légèrement reculer de 0,5% cette année, avant de repartir à la hausse mais à un rythme bien plus faible que l'activité.L'ensemble de ce scénario de reprise repose sur une circulation du Covid-19 sous contrôle et une économie qui s'adapte aux contraintes sanitaires. Et il ne tient pas compte des futures mesures de relance que le gouvernement devrait prendre.M. Villeroy de Galhau a notamment plaidé pour la mobilisation de 10 à 30 milliards d'euros pour soutenir les fonds propres des entreprises "fragilisées financièrement" et très endettées.Cette reprise pourrait aussi être plus rapide si une solution médicale pérenne arrivait mi-2021, et si l'épargne des ménages se réduisait plus rapidement, a estimé le gouverneur. Ou à l'inverse, encore plus lente en cas de rechute sanitaire.
Il y a 4 ans et 329 jours

Les énergies renouvelables veulent une place de choix dans le plan de relance

DEVELOPPEMENT DURABLE. Dans la foulée d'un grand nombre d'acteurs publics et privés, le Syndicat des énergies renouvelables (SER) demande fort logiquement à ce que le plan de relance post-Covid fasse une place de choix aux énergies vertes. Ce 8 juin, la ministre de la Transition écologique Elisabeth Borne a d'ailleurs désigné plus de 300 lauréats de projets photovoltaïques sur bâtiments pour une puissance cumulée de 152 MW.
Il y a 4 ans et 329 jours

Grand Paris Express : Besix aménagera la gare Saint-Denis Pleyel

INFRASTRUCTURE. La Société du Grand Paris a attribué le marché d'aménagement de l'une des plus grandes gares de son réseau à Besix France.
Il y a 4 ans et 329 jours

Covid-19 : urbanistes, géographes et designers veulent inventer de nouveaux espaces de fête

"Danser, faire la fête, se serrer dans les bras... Toutes ces choses qui nous semblaient acquises, se sont évaporées du jour au lendemain", observe Technopol, l'association de défense des musiques électroniques et organisatrice de la Techno Parade, qui a lancé "Danser demain", collectif créé pour "penser la fête d'après".Pour Tommy Vaudecrane, président de Technopol, "il ne faut pas être inquiet pour l'avenir de la fête, mais pour la forme qu'elle prendra".Une première table ronde, organisée récemment sur Facebook et toujours disponible en replay, a déjà été suivie par plus de 60.000 internautes."Depuis l'apparition des musiques électroniques, on a dû les imposer en trouvant des circuits alternatifs. C'est une gymnastique dont on est familier", assure Tommy Vaudecrane."Pendant le confinement, la fête digitale s'est distinguée avec un public fidèle. Bob Sinclar, en mixant depuis chez lui en direct, a mis la pêche, même si on ne pourra pas se passer du vivre ensemble. Si demain, les fêtes de plus de 1.000 personnes restent interdites, que va-t-on faire ?", se demande le président de Technopol."Sortir la fête de ses murs"Pour le musicien Jean-Michel Jarre, pionnier des musiques électroniques, qui participe aussi au collectif "Danser demain", "le contact physique est irremplaçable. Les e-concerts sont des moyens de communiquer d'une autre manière, en attendant le réel".Parmi les autres intervenants du collectif, le géographe et urbaniste Luc Gwiazdzinski, professeur à l'université de Grenoble, estime que la crise sanitaire s'est attaquée au cœur même de ce qu'est une ville, mais aussi à la vie nocturne."La fête convoque les corps, les face à face, l'émotion... Le Covid met cela à distance. C'est un défi à la ville et à la nuit, posant de grosses difficultés pour ceux qui fabriquent la fête", dit à l'AFP le président du conseil scientifique de la Plateforme nationale de la vie nocturne, un club de réflexion réunissant des élus, experts, professionnels, universitaires..."Une des clés est la possibilité d'avoir accès à l'espace public: en ouvrant les parcs, en créant des rues réservées, tout en prenant en compte les riverains qui risquent de s'être habitués au silence...", ajoute Luc Gwiazdzinski."Si la fête veut s'en sortir, elle doit sortir de ses murs, récupérer l'espace public en partenariat avec les collectivités pour se diluer et éviter la saturation, sur des temps plus longs, dans la journée par exemple, avec aussi des micro-fêtes où on maîtrise mieux les règles sanitaires", suggère-t-il, suggérant par exemple d'investir toujours plus "des halles d'exposition ou des friches, d'autant que la fête, souvent à l'avant-poste, n'a pas attendu" pour gagner ces lieux. Le temps presse toutefois: "Dehors Brut", club électro parisien en plein air sur une friche de la SNCF près de Bercy, n'a pas résisté à la crise sanitaire et se retrouve en liquidation judiciaire.
Il y a 4 ans et 329 jours

Sanidoor® by Doortal élimine germes et bactéries sur les blocs-portes

Confrontée, comme la majorité des entreprises industrielles de l'Hexagone, au ralentissement de ses activités avec l'apparition du coronavirus et la mise en application du confinement, l'entreprise Doortal a mis à profit ce temps de crise pour innover. Spécialisée dans la fabrication de blocs-portes métalliques pour les lieux publics et sites sensibles, l'entreprise investit en moyenne 1,5 M€ chaque année dans la recherche et le développement de nouveaux produits toujours plus performants.« L'innovation est dans notre ADN », affirme Johnny Guilhot, gérant associé. Une véritable marque de fabrique, que les équipes de Doortal ont apposée cette fois en un temps record, afin de répondre à l'urgence de la situation sanitaire. En l'espace de six semaines, elles ont mis au point, avec leurs partenaires, SANIDOOR® by Doortal : une solution globale antibactérienne capable d'éliminer jusqu'à 99% des germes et bactéries sur les blocs-portes.Un traitement breveté pour une gamme haute sécuritéPour être en mesure de proposer cette nouvelle offre, pourvue de traitements testés et certifiés en laboratoires agréés, l'entreprise Doortal a sélectionné des matériaux et procédés antimicrobiens permettant d'offrir une solution innovante adaptée aux règles d'hygiène anti-infectieuses.L'entreprise est dès à présent en mesure de proposer le système de thermolaquage SANIDOOR® sur l'ensemble de sa gamme de blocs-portes métalliques techniques. Formulé à partir d'une poudre d'ions d'argent actifs, ce revêtement de peinture provoque, par son action antimicrobienne, la destruction des bactéries selon un mécanisme d'action en 3 phases : blocage des échanges cellulaires, arrêt de la respiration des cellules, blocage de la division cellulaire.Un traitement antibactérien sans substance nociveMais au-delà du bloc-porte, c'est aujourd'hui l'ensemble des équipements proposés dans la gamme SANIDOOR® by Doortal qui permet de proposer aux professionnels du bâtiment une solution parfaitement sécurisée. Pour relever ce défi, Doortal a fait appel à ses partenaires scrupuleusement sélectionnés pour la fourniture de poignées de porte et de barres anti-panique. « Dans un bâtiment accueillant quotidiennement un très large public, plusieurs centaines de personnes vont en effet poser la main sur ces éléments et peuvent donc transmettre les microbes dont elles sont éventuellement porteuses. » souligne Johnny Guilhot.Ainsi, le revêtement antibactérien des poignées SANIDOOR® contient des ions métalliques qui préviennent la prolifération des germes. Conçu pour une application sur le métal, il comprend un vernis qui élimine les bactéries, virus et champignons, sans aucune substance nocive. Il en va de même pour les barres anti-panique dont le traitement antibactérien, totalement inoffensif pour l'homme, repose sur l'émission lente et constante d'ions d'argent, capables de pénétrer l'organisme microbien et de bloquer sa reproduction.Une gamme adaptée pour les milieux exigeantsPourvus de ce traitement breveté, les équipements SANIDOOR® by Doortal constituent une solution globale efficace pour tous les bâtiments où l'activité microbienne est redoutée. Peu présente jusque-là dans l'univers de la santé, l'entreprise compte sur cette gamme parfaitement adaptée aux enjeux du milieu médical pour s'imposer dans les hôpitaux, cliniques, cabinets médicaux, ehpad… « Notre solution constitue une protection active pour réduire de façon radicale le risque de contagion, notamment dans les bâtiments publics où la propagation des maladies infectieuses est facilitée par une forte concentration bactérienne sur les poignées et barres de poussée », affirme le gérant associé de l'entreprise.Néanmoins, la cible potentielle de SANIDOOR® by Doortal est beaucoup plus large. Bien que le déconfinement s'engage dans l'Hexagone, l'épidémie de coronavirus continue de susciter de très nombreuses inquiétudes dans la population. Les établissements scolaires, les restaurants, les hôtels, les centres de sport, les bâtiments des administrations… représentent ainsi autant de débouchés naturels pour Doortal. Des marchés sur lesquels l'entreprise entend se positionner, en s'appuyant sur un réseau de prescripteurs du bâtiment, au premier rang desquels on retrouve les architectes DPLG, architectes d'intérieur et promoteurs. « Nous visons le marché hexagonal dans l'immédiat », conclut Johnny Guilhot, qui ne ferme cependant pas la porte à d'autres développements à terme.
Il y a 4 ans et 329 jours

La FFB et la FNTP s'unissent pour une "opération coup de poing"

RELANCE. Les deux fédérations ont lancé une nouvelle action de communication commune, passant notamment par la presse quotidienne, à la veille de la présentation du 3e projet de loi de finances rectificative. L'objectif : frapper les esprits pour éviter à tout prix un effondrement de l'activité en 2020.
Il y a 4 ans et 329 jours

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Il y a 4 ans et 329 jours

Béton[s] le Magazine sort du confinement avec son numéro 88 !

Non, l’équipe d’ACPresse n’a pas chômé… Pendant les 3 mois d’activités confinées, mais non moins intenses, nous avons continué à vous informer régulièrement sur le site ACPresse. En parallèle, nous nous sommes consacrés à la préparation de ce nouveau numéro. Nous sommes donc heureux de vous présenter en format papier, ainsi que sous liseuse numérique, le petit dernier “Béton[s] le Magazine” consacré à l’esthétisme des bétons. Poli, soyeux, uni, rugueux, inégal, rude, noble… Tous les adjectifs peuvent être utilisés pour parler du béton. Preuve que ce matériau protéiforme est capable, grâce au savoir-faire des fournisseurs et aux techniques développées par les entreprises de BTP, de répondre aux desseins et aux exigences des architectes. Notre dossier de 19 pages vous propose de découvrir différents procédés de mise en œuvre de bétons architectoniques à travers cinq réalisations emblématiques. Ainsi que le who’s who des beaux bétons. Si l’offre des bétons s’étend… Le matériel s’adapte ! Vous découvrirez également la nouvelle offre des malaxeurs, avec un tour d’horizon des innovations du secteur. Le numéro arrive chez les abonnés. Et pour ceux qui n’ont toujours pas repris le chemin du bureau, nous vous proposons de profiter d’une lecture en ligne accessible à la fin de l’article : pour les abonnés avec votre compte premium et sur inscription pour ceux qui ne sont toujours pas abonnés Du coté des reportages, rendez-vous à Boulogne-Billancourt avec le bâtiment le plus haut d’Europe et ses huit niveaux en béton de chanvre. Et à Neuilly-sur-Seine pour suivre la rénovation des Maisons Jaoul imaginées par Le Corbusier. De plus, ce numéro sera l’occasion de faire un point sur le marché de la construction avec les derniers indicateurs économiques commentés. Vous y retrouverez aussi :• Du coté des acteurs, les interviews de Pierre Alexandre Cot d’Ingérop, de Michel Aron d’Adesol, d’Anne Labroille et de Rosella Cotti pour l’association Mémo ;• L’actualité des entreprises des régions ;• Le décryptage de la solution de protection des bétons Ultra Grip, développée par l’industriel autrichien Agru ;• Une présentation de Mobile STK, la centrale hyper compacte d’Imer ;• Quand le fragmentaire fait sens avec un “Esprit béton” consacré à l’œuvre en béton romain de Michel Carpentier. Bonne lecture ! Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. 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Il y a 4 ans et 329 jours

Covid-19 : retour à la normale pour la production de tuiles et briques

Dans un Communiqué de presse daté du 4 mai 2020, la FFTB indiquait que la production repartait progressivement depuis le 2 avril. Ainsi les fabricants ont toujours été en mesure de livrer les négoces qui redémarraient progressivement grâce aux stocks constitués avant le confinement puis grâce au redémarrage des usines.La reprise de la production a été accompagnée par un Guide de Bonnes pratiques élaboré conjointement avec les organisations syndicales représentatives, co-signé par la CFDT et validé dès le 26 avril 2020 par le Directeur Général du Travail au Ministère du Travail.
Il y a 4 ans et 329 jours

Nomination d’Arnold Jacquier, DAF Onduline

Arnold Jacquier est nommé Directeur Administratif et Financier (DAF) du Groupe Onduline, spécialiste mondial de l’étanchéité des toitures. Arnold Jacquier a commencé sa carrière chez PwC dans l’audit puis en « Transaction Services » à Paris et Londres, où il a travaillé sur plus de 50 transactions pour des clients Corporate et Private Equity. Il est nommé DAF de RLD (une société sous LBO de 150M€ et 2 000 salariés) en 2011, puis il est recruté comme DAF de Soflog (une société sous LBO de 185m€ et 1 800 salariés) en 2015. Arnold est diplômé d’Audencia, formation complétée par un DESCF. Pour Patrick Destang, CEO d’Onduline : « Depuis le rachat de Onduline par Naxicap et Nextstone fin 2018, nous avons écrit une nouvelle feuille de route pour le groupe, qui vise à augmenter sensiblement notre chiffre d’affaires et notre rentabilité via une croissance interne accélérée et des acquisitions. L’objectif du groupe est de s’appuyer sur sa très large implantation internationale (plus de 32 filiales dans le monde) pour consolider sa position de spécialiste de l’étanchéité des toitures, en se développant sur des solutions pour les toits en pente, mais également pour les toits plats ». « Arnold vient compléter le comité exécutif du groupe et nous apporte une expérience solide de pilotage des performances dans un contexte de LBO, et d’expérience sur les sujets d’acquisition et de croissance/évolution du portefeuille d’activité ». Onduline est un spécialiste mondial de l’étanchéité des toitures, avec 32 filiales commerciales dans le monde, 9 usines de production sur 5 continents, 250M€ de CA et 1 800 salariés. Plus de 85% de son chiffre d’affaires est réalisé en dehors de France. L’offre produit inclut des plaques de couverture légères à base de fibre de cellulose recyclées, des plaques transparentes en polycarbonate et pvc, des membranes d’étanchéité pour les toits plats, et des films/écrans de sous-toiture.
Il y a 4 ans et 329 jours

Le portail Batipédia propose de nouveaux services-métiers

Aujourd'hui, deux premiers services, développés par le groupe Kinaxia, éditeur de solutions logicielles en ligne dans les domaines du droit de l'urbanisme et de l'information environnementale, sont accessibles, via un paiement à l'acte, sur le portail BATIPÉDIA : Preventimmo, leader national des renseignements d'urbanisme, et CityScan, premier service de géo-décision immobilière.BATIPÉDIA : faciliter l'accès à toute l'information nécessaire aux acteurs de la construction et de l'urbanismeBATIPÉDIA centralise les contenus scientifiques et technico-réglementaires nécessaires à la filière construction : informations réglementaires, normatives et thématiques ; actualités, au jour le jour, dédiées à l'évolution de la réglementation, aux faits marquants du secteur ; logiciels prédictifs en ligne, etc.Promoteurs, constructeurs, architectes, urbanistes, diagnostiqueurs, aménageurs, experts, artisans, industriels, bureaux d'étude et de contrôle, etc. accèdent ainsi facilement aux informations indispensables à l'exercice de leur métier.Vers des contenus enrichis : de nouveaux services métiers accessibles depuis BATIPEDIAAfin de renforcer l'accompagnement des acteurs et répondre toujours plus précisément à leurs attentes, de nouveaux services viendront régulièrement compléter le portail BATIPEDIA.Des partenariats sont ainsi engagés avec des éditeurs proposant des solutions à forte valeur ajoutée pour les utilisateurs du site, à l'image de Preventimmo et CityScan, deux services-métiers en ligne développés par le groupe Kinaxia, dès aujourd'hui disponibles sur BATIPÉDIA :Preventimmo est un service web de fourniture de renseignements d'urbanisme : état des risques & pollutions, note de renseignements d'urbanisme, certificats & attestations ou encore études spécifiques (constructibilité, concordance cadastrale, etc.). Preventimmo est destiné aux acteurs du marché de l'immobilier en France : notaires, promoteurs, diagnostiqueurs immobiliers, etc.CityScan est le premier service en ligne de géo-décision immobilière. Grâce à plus de 120 indicateurs géolocalisés exclusifs, CityScan permet de tout savoir sur un emplacement immobilier en France métropolitaine : éducation & transports, commerces, qualité de vie, urbanisme, risques naturels, qualité numérique, etc.Les utilisateurs du site BATIPÉDIA peuvent accéder à ces deux services via paiement à l'acte auprès de Kinaxia.D'autres services viendront peu à peu enrichir l'écosystème BATIPÉDIA, offrant ainsi aux professionnels un accès simple et rapide à une gamme de services adaptés à leurs besoins.Prochaine étape : un nouveau service prévu pour fin juin 2020, qui permettra aux professionnels d'acheter à l'unité des modèles de documents administratifs et techniques afin de faciliter la passation et la gestion de projets de construction en marché public et en marché privé.
Il y a 4 ans et 329 jours

Le Conseil d'État rejette le recours des opposants au projet d'Écovallée à Nice

Dès 2015, le Collectif associatif pour des réalisations écologiques (Capre 06) avait attaqué en justice le plan stratégique et opérationnel (PSO) concernant un vaste projet d'aménagement dans la basse vallée du Var comprenant notamment un centre d'affaires international et "une technopole urbaine du développement durable".Il reprochait à cette opération d'intérêt national, baptisée Écovallée, parmi les plus vastes de France avec 10.000 hectares étalés sur 15 communes, l'absence d'étude environnementale globale.Dans sa décision rendue mercredi, le Conseil d'État a jugé que l'approbation de ce PSO "ne présente aucun caractère réglementaire et n'a ni pour objet, ni pour effet d'autoriser les opérations d'aménagement qu'il prend en compte" et qu'en conséquence l'établissement public d'aménagement Écovallée de la Plaine du Var "est fondé a soutenir que c'est à tort (...) que le tribunal administratif de Nice a annulé cette délibération", peut-on lire dans ce document consulté par l'AFP.En 2017, le tribunal administratif de Nice avait en effet donné raison au collectif écologiste avant que la cour d'administrative d'appel de Marseille, l'année suivante, ne revienne sur cette décision, un arrêt toutefois annulé pour irrégularités de procédure, ce qui avait entraîné la saisine du Conseil d'État."Ce n'est pas parce que la justice ne nous a pas donné raison que l'environnement est respecté dans le cadre de ce projet, il s'agit d'une simple question de forme", a réagi Sylvie Bonaldi, présidente du collectif associatif et candidate aux municipales à Nice sur la liste "Nice Écologique"."Nous espérons maintenant que l'Europe relance la procédure de contentieux contre l'État français", poursuit Mme Bonaldi.Dans un communiqué, Christian Estrosi, maire (LR) de Nice et président du conseil d'administration de l'Établissement public d'aménagement (EPA) Nice Écovallée s'est félicité de cette décision de justice qui "vient confirmer la réalité de la démarche environnementale de ce vaste projet d'urbanisme et d'aménagement qui permet de conjuguer écologie et économie".Cette opération avait été inscrite parmi les opérations d'intérêt national par un décret du ministre de l'Écologie Jean-Louis Borloo de mars 2008.
Il y a 4 ans et 330 jours

Manufacture Camille Fournet à Tergnier, Picardie, par Boris Cindric

L’architecte Boris Cindric a livré à l’automne 2019 à Tergnier (Aisne) la nouvelle Manufacture de maroquinerie de luxe Camille Fournet. Toutes les entreprises sont locales. Le bâtiment a été livré sans aucun retard. Le budget prévisionnel a été respecté. Du luxe ? Communiqué. Le contexte Fondée en 1945 en Picardie, la manufacture Camille Fournet, réputée pour […] L’article Manufacture Camille Fournet à Tergnier, Picardie, par Boris Cindric est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 330 jours

Restaurant : Légèreté landaise

L’avantage de concevoir des commerces en dehors des grandes métropoles est de pouvoir attacher autant de soin à l’agencement du projet qu’à son intégration dans le site. À Soorts-Hossegor, les architectes de l’agence Java ont rénové un bâtiment existant et l’ont doté d’une extension en lamellé-collé de mélèze pour y installer un café et un atelier de torréfaction. Situé dans une zone industrielle, entouré d’une forêt de pins, ce projet de 160 m2 largement vitré est...
Il y a 4 ans et 330 jours

Restaurant : Boire ou travailler ?

Et pourquoi pas les deux en même temps ? C’est à cette question qu’ont répondu les architectes de l’Atelier Leymarie Gourdon pour aménager un local de 110 m2 du 11e arrondissement parisien. La commande du client – la Beer Fabrique – est multiple : installer des bureaux pour 20 personnes, ainsi qu’un espace public consacré à la formation pour le brassage de la bière. Ici, l’esthétique brute des murs défraîchis et du béton au sol contraste avec les paillasses en ceppo...
Il y a 4 ans et 330 jours

Muséographie : Renouer avec le patrimoine

Il faudra patienter jusqu’à la réouverture du musée des Arts décoratifs (MAD) à Paris pour découvrir le travail de Bien Urbain qui a réaménagé les galeries de la mode. Situées dans l’aile Rohan du Louvre, elles avaient fait l’objet d’une transformation malheureuse qu’il s’est agi de réparer afin de restituer l’intégrité architecturale de ce bâtiment historique. Intervenir dans une institution aussi prestigieuse que le musée des Arts décoratifs à Paris nécessite...
Il y a 4 ans et 330 jours

Espaces de travail : Shigeru Ban en Suisse

Spectaculaire dans sa résolution formelle et structurelle, cette opération est exemplaire par l’imbrication de ses programmes, provenant du secteur secondaire, tertiaire et culturel. Logés sous une grande toiture de type gridshell en bois, le siège social de Swatch, l’usine Omega et la Cité du Temps s’articulent et cohabitent – mêlant espaces intérieurs et extérieurs – tout en ayant leur autonomie. Suivant une typologie très souple qui rappelle celle du Centre Pompidou Metz,...
Il y a 4 ans et 330 jours

Espaces de travail : Open space japonais

Légèreté et bien-être garantis pour cet espace professionnel original qui propose un rez-de-chaussée vitré organisé autour de deux patios arborés et un rooftop en forme de creux de vague. Cette approche domestique et poétique du lieu de travail bouscule l’idée du bâtiment tertiaire, habituellement dévolu à une unique fonction, celle de travailler. Pour ce bâtiment situé à Okazaki au Japon, le parti pris de l’agence Studio Velocity a été de définir tout d’abord une structure...
Il y a 4 ans et 330 jours

Logement : portraits du confiné heureux et du confiné malheureux

ETUDE. Ipsos a demandé à Qualitel de réaliser un sondage sur le logement et le confinement. Téléchargez l'enquête.
Il y a 4 ans et 330 jours

La mutuelle MBTP décernera le Prix de la Prévention et de la Santé au Travail en octobre 2020

En 2020, elle en fait un axe prioritaire et décernera son Prix de la Prévention et de la Santé au Travail dans le cadre des Trophées du Cadre de Vie du festival FimbACTE.« Les accidents du travail ont augmenté et sont particulièrement graves du fait de la dangerosité des métiers dans notre secteur. Nous voulons être un acteur de référence dans ce domaine et prenons cela comme un vrai devoir. Depuis début 2020, nous nous engageons dans la prévention et ce prix en est l’illustration. Nous sommes fiers d’accompagner celles et ceux qui s’investissent dans des démarches porteuses d’espoir en matière de sécurité et de qualité de vie sur les chantiers, dans les bureaux et ateliers » explique Annie Pinault, directeur de MBTP.Après 10 années de baisse continue, les accidents repartent à la hausse avec 88.531 événements recensés par la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam) en 2018, faisant du BTP un secteur particulièrement exposé.De plus, dans ce contexte de crise sanitaire, la protection sur les chantiers est plus que jamais au centre de toutes les préoccupations. La prévention et la sensibilisation des professionnels est donc un enjeu majeur pour toute la filière, que MBTP prend à cœur de promouvoir. Un prix et des avancées majeures pour la qualité de vie au travailLe festival FimbACTE réunit chaque année en octobre, et ce depuis 1996, plus de 600 participants. Il valorise de nombreux projets engagés, précurseurs, créatifs et exemplaires au travers notamment des Trophées du Cadre de Vie.Surtout, l’événement se fait le terreau de nouvelles tendances et innovations en matière d’urbanisme, d’aménagement, d’architecture et de construction, répondant aux attentes des professionnels et «usagers » du secteur.Depuis 2016, le prix de la Prévention et de la Santé au travail de la Mutuelle MBTP y récompense les projets innovants contribuant à améliorer la sécurité, la santé, ou la qualité de vie dans les entreprises de la construction. Candidatures ouvertes sur fimbacte.comLe prix MBTP de la Prévention et Santé au travail, sera remis en octobre 2020À la clé pour les lauréats, un accompagnement personnalisé de MBTP pour aider au développement ou au lancement du projet.« L’enjeu principal est de soutenir le projet et de l’aider suivant ses besoins. Un groupe solide versus une jeune start-up n’ont pas besoin du même soutien, que nous adapterons à chacun, avec comme objectif de développer un projet méritant et surtout porteur en termes de prévention et d’amélioration des conditions de vie au travail.» explique Clémence Mazereau, Responsable marketing et communication de MBTP Des projets innovants sont primés chaque annéeLes précédentes éditions ont vu des projets particulièrement ambitieux en matière d’amélioration de conditions de vie au travail être primés, notamment : LogistiQ en 2017 : conçu par CONSTRUIRE PRO pour faciliter et optimiser la gestion des flux entrants et sortants des chantiers réalisés en milieu contraint. L’outil de gestion est une plateforme connectée qui permet de gérer les livraisons, maîtriser les nuisances, optimiser et planifier les flux et manutentions sur le chantier.Le PAQT en 2018, Programme d’amélioration de la qualité de vie au travail. Un plan d’actions décidé et mis en œuvre au sein d’EQIOM (filiale du groupe CHR spécialisé dans les matériaux de construction). Au programme, des formations sur la gestion du stress, le management attentif, le droit à la déconnexion numérique, etc. Le PAQT aura permis une diminution de 70 % des accidents en 3 ans.Ironhand en 2019. Ce gant bionique est un exosquelette souple, léger et personnalisé chargé de faciliter les tâches quotidiennes. Expérimenté par le groupe EIFFAGE, il permet de soulager les efforts de la main et du poignet afin de réduire les risques quotidiens de TMS (Troubles Musculo-Squelettiques).Les conditions d’inscriptionQui peut s’inscrire ?Toute structure dont les perspectives de croissance sont fortes mais dont le projet nécessite une aide au lancement (et/ou financement).Une société (ou plusieurs sociétés partenaires d’un même projet) française, déjà immatriculée et détenant son KBis.Quel projet peut concourir ?Le projet doit porter sur une technologie nouvelle et être présenté en bon état d’avancement (amorçage, early-stage) ou de finalisation.Les grandes dates du concoursOuvertures des candidatures : 20 mars 2020Fermeture des candidatures : 28 juillet 2020Jury MBTP : 24 septembre 2020Cérémonie de remise de prix : 13 octobre 2020 à Paris (Cité de l’architecture)La mutuelle MBTP, engagée dans la prévention et la qualité de vie au travail aux côtés de la Fondation du BTPPrésente en Rhône-Alpes et Saône-et-Loire depuis 2004, la Fondation du BTP soutient des actions au service des hommes et des femmes du Bâtiment et des Travaux Publics de sa région. Elle contribue ainsi au travers de son partenariat avec MBTP à la prévention des risques, notamment routiers et liés aux addictions, apportant sa connaissance des enjeux et des dangers auxquels sont confrontés les salariés du secteur.
Il y a 4 ans et 330 jours

Des parlementaires de la majorité demandent un plan de soutien à l'industrie du bois

"Le bois et ses usages doivent être un des piliers du futur plan de relance", affirment, dans une tribune publiée sur le site internet du Journal du Dimanche, 140 députés, sénateurs et eurodéputés issus de La République en Marche et du Modem, les deux principaux partis de la majorité.Les demandes des parlementaires, emmenés par les députés Rémy Rebeyrotte et Vincent Thiébaut, s'inscrivent dans les plans de relance promis par le gouvernement français et l'Union européenne, à la suite de la crise économique du coronavirus."Nos forêts souffrent: morcellement, sécheresse, scolytes, incendies, surpopulation de gibier", regrettent les parlementaires."L'ensemble de la filière et ses acteurs sont impactés, de l'amont à l'aval", c'est-à-dire des exploitants de forêts aux industriels comme les constructeurs, en passant par les scieries, poursuivent-ils."Nous sommes convaincus de la nécessité d'un +plan Marshall+", concluent-ils, prenant comme exemple l'Allemagne, qui a annoncé en 2019 qu'elle mobilisait 800 millions d'euros au cours des prochaines années pour favoriser sa reforestation.Parmi les débouchés du bois, la construction fait notamment l'objet d'un vif intérêt des pouvoirs publics, qui multiplient les incitations au motif de son intérêt environnemental.Mais le secteur reste marginal - 6% des logements construits en 2018 - et confronté à des difficultés structurelles, en premier lieu la faible offre de bois français.Le président de la République, Emmanuel Macron, a pourtant lui-même témoigné de son intérêt pour la filière bois, promettant déjà voici deux ans une politique "volontariste" de relance.
Il y a 4 ans et 330 jours

La filière bois propose un plan de relance et fait l'objet d'un plan de soutien

REPRISE. Les professionnels du bois présentent une dizaine de propositions pour la relance économique post-Covid, en suggérant notamment un assouplissement des cadres réglementaires. En parallèle, quelque 140 parlementaires marcheurs et centristes demandent un plan de soutien à l'industrie sylvestre.