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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

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Il y a 4 ans et 352 jours

Cabinet vétérinaire et de curiosité par Raphael Campagnari en Côte-d’Or

Le cabinet vétérinaire de Venarey-les-Laumes (Côte-d’Or), conçu par Raphael Campagnari, avec Maguelone Montanié architecte, a été dans tous les sens du terme réalisé en circuit court : l’architecte est local, le client est du coin et l’entreprise Métal Déployé est à deux pas. Richesse du terroir ? L’architecte Raphael Campagnari vit à Villars-et-Villenotte, petite ville de la […] L’article Cabinet vétérinaire et de curiosité par Raphael Campagnari en Côte-d’Or est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 353 jours

Bâtiment modulaire pour Atelier Aconcept à Mantes-la-Jolie

Dans le cadre du programme EOLE SNCF à Mantes-la-Jolie (Yvelines) Atelier Aconcept a dévoilé en mars 2020 un bâtiment modulaire de 2 000 m², un monolithe tout en métal perforé réalisé pour un coût de 6,33 M€ HT. Communiqué. Le projet fait l’objet d’un repositionnement des bâtiments existants ainsi qu’un regroupement avec une brigade SNCF. […] L’article Bâtiment modulaire pour Atelier Aconcept à Mantes-la-Jolie est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 353 jours

Covid-19 : les médecins du travail peuvent prescrire des arrêts de travail, mais ne feront pas de tests

Cette possibilité avait été prévue dans une ordonnance début avril.Les médecins du travail, qui ne peuvent pas prescrire des arrêts de travail contrairement à un médecin traitant, peuvent désormais le faire pour les "personnes atteintes ou suspectées d'infection au Covid-19, ou faisant l'objet de mesures d'isolement, d'éviction ou de maintien à domicile".En revanche, il n'est plus question de les autoriser à pratiquer des tests, comme le prévoyait l'ordonnance en vue, expliquait alors le ministère du Travail, "d'associer les services de santé au travail à une politique de tests plus massifs dans une perspective de sortie de confinement".Sur ce sujet, le ministère renvoie désormais au "protocole de déconfinement" diffusé la semaine dernière qui "interdit" les campagnes de dépistage en entreprise, comme avait commencé de le faire l'entreprise Veolia. Le Crédit mutuel et Engie se sont ravisés après avoir envisagé de mener de telles campagnes.Les services de santé au travail, qui représentent environ "12.000 personnes" selon le ministère, seront "recentrés" sur "les messages de prévention" afin de lutter contre le coronavirus, et sur l'application des guides de bonne pratique des différents métiers.Selon l'ordonnance, ils pourront aussi "suspendre certaines visites médicales obligatoires" et "privilégier les visites d'embauche et celles des personnes affectées à des postes à risque" notamment.Selon le texte de l'ordonnance, ils seront aussi chargés de "l'accompagnement des entreprises amenées, par l'effet de la crise sanitaire, à accroître ou adapter leur activité", et ce dans un délai fixé au 31 août 2020.
Il y a 4 ans et 353 jours

Covid-19 : l'Assemblée valide de nouvelles adaptations du droit du travail

Le but est "d'éviter les ruptures brutales" de contrats au moment où l'économie "repart", avait déclaré jeudi la ministre du Travail Muriel Pénicaud, au début de l'examen en première lecture du projet de loi composite relatif à "diverses dispositions liées à la crise sanitaire".Les députés ont adopté un amendement du gouvernement qui permet, par "accord d'entreprise", de fixer un nombre de renouvellement des contrats à durée déterminée (CDD) et contrats d'intérim à un niveau autre que celui prévu par accord de branche ou par la loi.Mme Pénicaud a souligné la "condition très importante de l'accord majoritaire" d'entreprise et les "garde-fous": cette "mesure n'existe que jusqu'au 31 décembre, elle accompagne la reprise" et il y a une "limite totale de 18 mois pour les contrats cumulés".Cette diposition était initialement renvoyée à une ordonnance.Des députés LREM ont défendu en vain, par la voix de Jacques Maire, le maintien de la "supériorité des accords de branches". "Si la branche se mobilise, il ne faut pas y déroger", a insisté ce "marcheur", à l'unisson de députés PS."Vous souhaitez précariser les salariés en permettant aux employeurs de déroger au nombre de renouvellement de CDD et contrats précaires", avait aussi dénoncé plus tôt l'insoumis Loïc Prud'homme, y voyant un "nouveau cadeau au patronat"."Nous pensons que la précarité doit être l'exception", avait renchéri Sébastien Jumel (PCF).Sur l'activité partielle, qui concerne actuellement 12,4 millions de salariés, le texte habilite le gouvernement à adapter les règles "aux caractéristiques des entreprises", au secteur ou aux catégories de salariés.L'objectif est de "moduler" le dispositif notamment pour "maîtriser la dépense publique", tout en tenant compte de certains secteurs comme l'hôtellerie et la restauration qu'il convient de "protéger plus fortement", a indiqué la ministre.Un amendement LREM a été adopté pour moduler l'activité partielle en "fonction de l'impact économique de la crise sanitaire" sur les entreprises, la ministre estimant qu'il va permettre de réagir "avec souplesse".Les communistes sont revenus inlassablement à la charge en vain pour avoir des détails sur la "réduction de voilure" annoncée du chômage partiel, rejoints notamment par le LR Antoine Savignat demandant que les élus soient "éclairés".Comme annoncé par le gouvernement la semaine dernière, un amendement prévoit aussi que le chômage partiel sera pris en compte pour la retraite de base. Il a reçu un soutien de tous les bancs.Les députés ont aussi temporairement relevé le plafond du temps de travail des étudiants étrangers de 60 à 80% d'un temps complet, en invoquant notamment leurs besoins financiers.
Il y a 4 ans et 353 jours

Covid-19 : La FFB interpelle le gouvernement et demande des compensations pour amortir les surcoûts des chantiers liés à la crise

La reprise des chantiers ne pourra pas se faire comme avant, en raison de l'application des préconisations sanitaires publiées par l'OPPBTP, dont le respect, indispensable, entraîne un allongement des délais et d'importants surcoûts d'exécution (mise en sécurité du chantier et du matériel, gardiennage, perte de rendement du fait des nouvelles conditions de travail, mobilisations supplémentaires de personnel et de matériels, variations du coût des matières premières ou de produits manufacturés, etc.).Redonner plein effet aux pénalités de retard, dans ce contexte, par une ordonnance prise sans associer les principaux acteurs et employeurs du secteur est d'une grande injustice.Aujourd'hui, la FFB interpelle le gouvernement sur la nécessité de prendre en compte les surcoûts liés à la Covid-19 que ne peuvent supporter les artisans et entrepreneurs, tant en marchés publics qu'en marchés privés.Des solutions existent, notamment la compensation des surcoûts de la Covid-19 par l'application systématique au prix des marchés d'un coefficient d'imprévision et l'annulation pendant quelques mois des charges sociales patronales.Pour Jacques Chanut, président de la FFB : " Le bâtiment avait été entendu sur le fait de décorréler l'instruction des permis de construire de la fin de l'état d'urgence sanitaire, mais les pouvoirs publics ont profité de cela pour décorréler également les délais de chantiers, sans donner de message clair à ce stade sur la nécessaire répartition des surcoûts de la Covid-19. Ce sujet important est aujourd'hui d'une grande priorité pour prévenir les dépôts de bilan des artisans et entrepreneurs du bâtiment, leur permettre de surmonter cette crise et participer, sur tous nos territoires, à la nécessaire reconstruction économique et sociale de notre pays."
Il y a 4 ans et 354 jours

Comment mieux isoler son domicile contre le bruit ?

Le bruit que font les enfants, la télévision allumée à toute heure ou la pratique du sport dans le salon augmentent le bruit dans les maisons, ce qui rend le travail à domicile plus difficile. Ne pas disposer d’un bon confort acoustique peut réduire notre concentration jusqu'à 48%, comme le souligne ROCKWOOL, leader de la fabrication d’isolants en laine de roche, un matériau durable et recyclable.Nous avons en tête que notre santé ne dépend que du régime alimentaire ou de l'exercice physique que nous faisons. Pourtant, un environnement bruyant peut causer, par exemple, des problèmes cardiaques. De plus, le bruit augmente le stress de 27% et diminue la productivité de 12%. Face à cette situation, améliorer l'acoustique des bâtiments en utilisant une isolation en laine de roche est une bonne méthode, car elle agit comme une barrière antibruit, isole et contrôle les vibrations. En raison de ses propriétés, ce matériau réduit l'impact acoustique provenant de l'extérieur ou du bâtiment lui-même.Le bruit, une nuisance invisibleLorsque nous choisissons une maison, nous le faisons en fonction du prix, de l'emplacement et des critères esthétiques, mais nous ne tenons généralement pas compte du confort acoustique qu'elle peut offrir. En réalité, c'est essentiel, car nous passons la majeure partie de notre temps à l'intérieur ; aujourd’hui, avec le confinement, ce phénomène a augmenté. Par conséquent, il est essentiel de miser sur des bâtiments durables, sûrs et confortables, pour ainsi augmenter la qualité de vie.La laine de roche, qui est au cœur des produits ROCKWOOL, est un matériau isolant et versatile qui absorbe le bruit. Son utilisation vous permet d’éviter d’entendre les pas des voisins sur le sol, les conversations dans la pièce d’à côté ou le déplacement de meubles, entre autres. Par conséquent, isoler correctement son logement est nécessaire pour se concentrer, être plus efficace au travail et être plus détendu.Comment isoler son appartement si les co-propriétaires s'opposent à la rénovation de l'immeuble ?Il n'est pas facile de convenir avec les voisins d'effectuer des travaux dans le bâtiment. Pour isoler votre appartement lorsque les voisins s'opposent à la réhabilitation complète du bâtiment, vous pouvez avoir recours à l'isolation par l'intérieur. Grâce à cette technique, il est possible de rénover uniquement l’appartement lui-même afin d’améliorer son confort acoustique et thermique. L'isolation en laine de roche, en raison de sa densité élevée est extrêmement résistante à la circulation de l'air, ce qui réduit et absorbe le bruit, rendant calmes les espaces auparavant bruyants.
Il y a 4 ans et 354 jours

Covid-19 : Télétravail, "open space", "coworking", la crise sanitaire change la vie de bureau

Selon la dernière édition, datant de 2017, du baromètre de la qualité de vie au bureau, réalisé par TNS Sofres et Actineo, trois actifs sur cinq (65%) travaillant au bureau sont dans un espace fermé, 29% dans un espace collectif ouvert (ou "open space") et 6% sont sans poste attitré (bureau partagé ou "desk-sharing").Sur les 65% qui sont en bureau fermé, 32% sont seuls (proportion qui monte à 77% chez les cadres dirigeants et 46% chez les cadres intermédiaires) et 33% sont dans un bureau de plus de deux personnes (36% des employés).Dans le contexte post-covid, "les entreprises vont être obligées de repenser leur organisation. Toucher aux environnements de travail est une question sensible" pour Catherine Pinchaut, secrétaire nationale de la CFDT, qui prévient que beaucoup va dépendre "de la qualité du dialogue social". "Il faut que l'employeur assume ses responsabilités en matière de sécurité, qu'il informe et forme ses salariés", insiste Céline Verzeletti, secrétaire confédérale de la CGT.Les bureaux en plateau ouvert ont été fustigés dans le livre à succès "L'open space m'a tuer" paru en 2008 sous les plumes de Thomas Zuber et Alexandre des Isnards (Pocket). Le sociologue du travail Alain d'Iribarne les a qualifiés de "fabrique du contrôle social" où "chacun se surveille, écoute les conversations des autres". Ils vont devoir être repensés, assure l'architecte et psychologue du travail Elisabeth Pélegrin-Genel. "L'open space a été densifié au fil des années, on a entassé les gens pour économiser des mètres carrés. On va devoir +dédensifier+ et revenir à quelque chose de sans doute beaucoup plus agréable car on ne sera pas collé les uns contre les autres."Pas "la fin du bureau"Auteur en 2016 du livre "Comment (se) sauver (de) l'open space ?" (Editions Parenthèse), elle se dit aujourd'hui "assaillie de sollicitations pour installer des plexiglas" sur les plateaux de travail. "Comme dans +Playtime+ de Jacques Tati. J'espère que ce ne sera que temporaire, qu'on ne va pas finir par vivre chacun dans son scaphandre, à deux mètres les uns des autres..." Dans ce contexte, le bureau partagé "peut devenir une bonne solution de par sa facilité d'entretien" car il est plus facile de désinfecter un poste de travail vide de tout effet personnel, estime Mme Pélegrin-Genel.Le cotravail (ou "coworking") permet pour sa part de renouer avec une ambiance de bureau dans des espaces dédiés, partagés par plusieurs entreprises, plus proches du domicile, permettant d'éviter des heures de trajet."Le coworking est une alternative au domicile" pour Odile Duchenne, directrice générale d'Actineo, observatoire de la qualité de vie au travail, tout en permettant ce "travail à distance, grand gagnant" de cette crise.Selon Patrick Conjard, de l'Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail (Anact), le "travail hors les murs", qui concernait 7% des salariés avant la crise et 30% (un peu plus de 7 millions) pendant, "bouleverse les pratiques managériales" appelées à "gérer les collectifs en présence et à distance"."0n va de plus en plus travailler ailleurs que dans les immeubles de bureau", ajoute Mme Duchenne, mais "cela ne veut pas dire la fin du bureau". Pour la dirigeante d'Actineo, "l'entreprise sera le lieu où l'on vient pour les réunions, le partage, la créativité". Cela impliquera l'aménagement de "salles de réunion plus grandes, plus hautes de plafond, plus aérées". Une chose est certaine pour Odile Duchenne : "la crise marquera ces lieux".
Il y a 4 ans et 354 jours

Un nouveau président chez BDR Thermea France

Christophe de Fitte prend la direction générale de la filiale française du fabricant d'équipement pour le confort thermique et la production de l'eau chaude sanitaire.
Il y a 4 ans et 354 jours

Riou Glass imagine un verre chauffant auto-désinfectant

INNOVATION. La crise du Covid-19 challenge les services de R&D qui se démènent pour trouver des solutions innovantes visant à faciliter le quotidien. Dans ce cadre, Riou Glass annonce l'élaboration d'un verre chauffant auto-désinfectant. Détails.
Il y a 4 ans et 354 jours

Grand Paris Express: le premier lot de génie civil de la ligne 18 attribué

CONTRAT. La Société du Grand Paris a choisi le groupement qui réalisera le premier marché de génie civil de la ligne 18 du Grand Paris Express. Les travaux pour la dernière ligne du réseau de super-métro vont donc pouvoir être engagés.
Il y a 4 ans et 354 jours

ISOcomble sur les starting blocks pour la reprise d'activité

Cette période de crise sanitaire aura été un véritable défi pour bon nombre d'entreprises. Cependant, des dispositifs d'aide ainsi que des initiatives de la part de certaines sociétés ont permis de faire face à certaines difficultés. C'est pourquoi ISOcomble a particulièrement mis l'accent sur l'accompagnement complet de son réseau mais aussi auprès des particuliers, afin de préserver la santé et le bien-être de chacun malgré les tensions existantes.Suite à l'annonce du confinement et à la fermeture des agences, Stéphane Lagneaux, Directeur réseau ISOcomble, a tenu à garder un lien régulier avec les franchisés, en les informant par téléphone ou par email sur toutes les démarches possibles susceptibles de les aider. Puis, selon le souhait et la capacité de chacun, des chantiers ont pu reprendre chez les particuliers, en respectant à la lettre les mesures d'hygiène et de sécurité via les préconisations de l'OPPBTP (L'Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics). Stéphane Lagneaux précise : « Avant toute intervention, les équipes veillent à obtenir de la part du client la garantie de non contamination par le Covid-19 ainsi qu'un accord d'intervention. Nous insistons également sur la nécessité d'interagir le moins possible avec les experts ISOcomble sauf si nécessaire au moment de la signature des fins de travaux ou lors de l'état des lieux, en respectant les gestes barrières et en portant l'équipement de sécurité indispensable. »Grâce à des dispositifs clairs et précis informant les clients de manière détaillée sur le déroulement de la future intervention des équipes ISOcomble, tous les chantiers initialement prévus ont pu aboutir, soit un par jour par franchisé, et ce, dans de bonnes conditions sans que la qualité du travail effectué ne soit altérée. Par ces différentes actions, l'enseigne met en lumière ses atouts essentiels : la qualité des relations humaines via un accompagnement quotidien, l'ancrage local des agences de proximité ISOcomble et la qualité des travaux réalisés par des experts qualifiés pour rendre les habitats plus sains.Cela fait déjà plusieurs semaines que l'enseigne prépare sa reprise d'activité totale pour revenir au plus vite à des niveaux d'activité important. Dans ce sens, le réseau a axé ses réflexions autour d'actions de communication spécifiques permettant de valoriser le concept écologique, en plus de rappeler que l'opération « Coup de Pouce Isolation » se poursuit pour une isolation à partir de 1 euro.Un accent mis sur la communication digitaleEn vue d'optimiser la reprise d'activité totale des agences de proximité dès le 11 mai, le réseau a choisi d'accompagner ses franchisés sur tous les fronts. Notamment sur le volet digital avec un lancement prochain de campagnes SMS géolocalisées ainsi que des envois d'emailings ciblés, venant soutenir l'ancrage local des 20 agences existantes. Ces actions seront réalisées dans le but de gagner davantage en contacts qualifiés et d'accompagner au mieux l'ensemble du réseau en cette période transitoire. C'est pourquoi ISOcomble entend davantage occuper le terrain digital, plus que jamais dans l'air du temps, en accentuant sa présence sur les réseaux sociaux.Ces opérations ont pour but de se rapprocher des consommateurs vivant à proximité des agences et également de les rassurer sur les bonnes pratiques en cette période de reprise.Des atouts essentiels assurant la réussite du réseauTout en s'adaptant aux exigences actuelles face au contexte sanitaire, les équipes continuent d'assurer une isolation de qualité avec l'isolant le plus performant et durable existant sur le marché, ISOtextil, fabriqué à partir de chutes de vêtements neufs recyclés. Par ailleurs,il bénéficie d'un atout supplémentaire et non négligeable, une garantie de 15 ans, unique sur le marché.De plus, afin de répondre aux besoins des particuliers et s'adapter à tous les budgets, l'opération « Coup de Pouce Isolation » via les mécanismes de Certificats d'Economie d'Energie (CEE) se poursuit. Celle-ci participe amplement à la progression des agences ISOcomble tant en franchise qu'en succursale, témoin de l'engouement des consommateurs souhaitant bénéficier d'une isolation de qualité effectuée par des experts qualifiés et de proximité, à un prix minime.
Il y a 4 ans et 354 jours

Un nouveau directeur général pour BDR Thermea France

CARNET-NOMINATION. BDR Thermea France, fabricant d'équipement pour le confort thermique et la production de l'eau chaude sanitaire, annonce la nomination d'un nouveau directeur général France. Découvrez son parcours.
Il y a 4 ans et 354 jours

Les créations d'entreprises dans la construction ont plongé en avril

CONJONCTURE. Sans réelle surprise, le nombre de créations d'entreprises a dégringolé de 33,5% au mois d'avril, tous secteurs d'activité confondus, après déjà une importante chute en mars. Le bâtiment, les travaux publics et l'immobilier ne sont pas non plus épargnés, bien que les tendances de long terme soient un peu plus positives.
Il y a 4 ans et 354 jours

Dossier : 6 architectures ayant défrayé la chronique

Comme l’art contemporain, l’architecture comprend elle aussi son lot de débâcles. Entre architectes avant-gardistes et public retissant, la discipline est parfois teintée de scandale. Cette semaine, Muuuz vous propose un retour en images sur les ouvrages les plus décriés de ces dernières années. La canopée des Halles, Patrick Berger et Jacques Anziutti, 2016Nous avons tous connu le quartier des Halles en travaux, centre névralgique de la capitale pourtant impraticable. Mais depuis 2016, le « ventre de Paris » est dotée d’une structure mi-excavé, mi-surhaussé comparée à une « vulgaire soucoupe volante » par les habitants du quartier. Jack Lang, ancien Ministre de la Culture et actuel président de l’Institut du monde arabe, qualifiera même l’ouvrage de « crime contre la beauté ». Un ouvrage qui divise les foules depuis désormais 4 ans. . La Tour Orbit, Anish Kapoor et Cecil Balmond, 2012Surnommée la « tour Eiffel ivre » par les britanniques, la tour Orbit s’élève à 115 mètres de haut dans le paysage londonien. Dessinée à l’occasion des Jeux Olympiques de 2012 par l’artiste fantasque Anish Kapoor et l’ingénieur Cecil Balmond, le moins que l’on puisse dire c’est que la réception de l’ouvrage a été plutôt mauvaise. Comme celle de la Tour Eiffel, souligne d’ailleurs Kapoor, malicieux. . La Pyramide du Louvre, Ieoh Ming Pei, 1985-1989En 1983, le président de la République François Mitterrand confie la construction du hall d’entrée du musée du Louvre à l’architecte sino-américain Ieoh Ming Pei. Lorsque l’architecte visionnaire présente son idée de structure pyramidale transparente à la Commission nationale des monuments historiques en 1984, le projet suscite la polémique. Inspirée par les monuments funéraires égyptiens, la Pyramide du Louvre destiné à accueillir les nombreux visiteurs du musée est fortement critiquée. En 1985, le maire de Paris Jacques Chirac propose de simuler la pyramide pour apaiser la controverse. Lors de l’inauguration de la Pyramide du Louvre au grand public en 1989, l’œuvre semble avoir déjà été adoptée par les Parisiens. . La Torre Agbar, Jean Nouvel, 2005Immeuble de bureaux indissociable de la skyline de Barcelone (Espagne), la Torre Agbar ne fait pas l’unanimité. Alors que Jean Nouvel assure s’être inspiré des montagnes de Montserrat et des geysers, les espagnols l’appellent entre eux « el supositori », soit le suppositoire. On est loin de la poésie des paysages géologiques catalans... .  MAXXI, Zaha Hadid, 2002-2009L’architecte irako-britannique Zaha Hadid remporte le concours d’architecture lancé par le maire de Rome Francesco Rutelli en 1998 grâce à son projet de bâtiment spectaculaire voué à abriter MAXXI, le musée national des arts du XXIème siècle. La construction du monument est longue. Son coût faramineux. Très controversé par les Italiens, l’édifice valu pourtant à l’architecte de décrocher le prix Stirling en 2010. . Le Centre Pompidou, Gianfranco Franchini, Renzo Piano et Richard Rogers, 1971-1977Lieu culturel désormais iconique, le Centre Pompidou a été très controversé tout au long des années 1970. En 1969, le président de la République Georges Pompidou lance un concours international car il souhaite faire construire un centre national d’art et de culture sur le plateau Beaubourg, situé en plein cœur du Marais. Le projet audacieux et résolument contemporain des trois architectes, Gianfranco Franchini, Renzo Piano et Richard Rogers, est sélectionné par le jury. Durant la construction du bâtiment, et même après son inauguration en 1977, l’édifice provoque de virulents débats. Comparé à « une raffinerie de pétrole », « un hangar » ou « un tas de ferrailles » par ses détracteurs, ce nouveau complexe architectural divise la scène artistique française. Aujourd’hui, le Centre Pompidou est un monument incontournable de la capitale, et la marque s’exporte à l’international. La Rédaction
Il y a 4 ans et 354 jours

Du mobilier urbain en bambou à Marseille

Depuis quelques mois, un ensemble de petits mobiliers urbains parés de bambou orne la cité phocéenne pour le confort de ses habitants.  Dessinées par l’agence D&A (Devillers et Associés) développées, fabriquées et posées par la société SERI, leader du petit mobilier urbain, ces structures modulables allient solidité et élégance d’une structure en acier et d’une assise en bambou MOSO®. Baptisée PACHA, la nouvelle gamme de mobiliers modulables comprend une table de pique-nique, des bancs et banquettes, des chaises et tables basses dans un style contemporain, voire intemporel, aux finitions qualitatives et naturelles.  Une solution technique autour de l’acier et du bambou Développée dans le cadre d’un appel d’offres, la gamme de petits mobiliers urbains baptisée PACHA représente une solution pérenne pour résister aux intempéries sans accuser les outrages du temps. « L’entretien constitue l’un des points sensibles d’une assise et nous recherchions un matériau performant qui puisse répondre à cette problématique. Nous avons développé en collaboration avec l’agence D&A une solution technique fabriquée en France qui se démarque par la qualité du piétement en acier et de l’assise en bambou MOSO®, un matériau durable avec une longévité exceptionnelle. Cette solution s’est démarquée sur un certain nombre de points, en particulier la résistance et la durabilité qu’elle peut offrir avec une classe d’emploi 4, mais également sa dureté qui permet par exemple, de minimiser la taille du renfort central du banc, et ainsi, de gagner en esthétisme. » commente Stanislas PHILIPPE, Directeur Commercial chez SERI. Un procédé naturel et unique de thermo-traitement à 200°C appliqué sur la gamme MOSO® Bamboo X-treme® lui confère la plus haute classe de durabilité possible selon les normes européennes. L’un des grands avantages concerne son faible entretien. Etant donné que les propriétés ignifuges sont obtenues par le procédé de haute densité et le procédé thermique, il n’est pas nécessaire de procéder à un traitement ultérieur pour conserver ses caractéristiques. Résistants aux intempéries, les tasseaux Bamboo X-treme® sont également moins sensibles au vandalisme que de nombreux bois d’usage courant grâce à leur dureté. Enfin, la gamme PACHA a été créée avec une seule section de carrelets Bamboo X-treme (40*60) ce qui facilite l’entretien des différents mobiliers. Le choix de la solidité et de la performance environnementale Le choix du bambou MOSO® fait également écho au modèle de fabrication vertueux de SERI. Grâce à sa croissance rapide (jusqu’à 1m par jour) mais aussi parce qu’il dispose de propriétés avantageuses et supérieures à la majorité des bois, le bambou MOSO® est l’une des alternatives les plus prometteuses pour le développement durable. Sa culture ne provoque pas de déforestation et durant sa croissance, le bambou MOSO® capte plus de CO2 que l’émission produite durant l’ensemble de sa production et de son transport. Les bambous MOSO® ont un bilan carbone neutre sur l’ensemble de leur cycle de vie. Le bambou MOSO® est également facile à recycler, il peut être utilisé comme matière première pour faire des panneaux agglomérés ou brûlé dans une centrale d’énergie thermique ou dans un site de biomasse pour produire l’électricité. Enfin, fabriqués dans des usines ISO 9001 et ISO 14001, les produits sont conformes aux normes les plus strictes en matière de qualité, de sécurité et de protection de l’environnement.   À propos de D&A (Devillers & Associés) Fondée par Christian Devillers, Equerre d’Argent, Grand Prix de l’urbanisme, l’agence D&A dispose de compétences diversifiées pour répondre de façon globale et à toutes les échelles aux demandes de la ville d’aujourd’hui dans une dynamique multiscalaire et multidisciplinaire : du grand territoire aux villes et aux quartiers en renouvellement ou en reconversion, du traitement paysager et urbain des infrastructures de transport aux ouvrages d’art et de l’architecture … au mobilier urbain ! À propos de SERI La société SERI, issue des fonderies de Châtellerault, a été créée en 1921 par Jean LENOIR. Forte d’une expérience acquise dans la fabrication de produits industriels de grande qualité et toujours à l’écoute de son environnement, l’entreprise a développé son savoir-faire pour devenir depuis 1979 la référence comme concepteur et fabricant de mobilier urbain. Aujourd’hui, les collectivités locales, les bureaux d’études, les architectes et designers reconnaissent les compétences de SERI pour la conception et la fabrication industrielle de mobiliers urbains. SERI est considéré comme le spécialiste des grands aménagements urbains. www.seri.fr À propos de Moso Avec une expérience de près de 20 ans, MOSO® international est le pionnier des solutions innovatrices en bambou pour l’intérieur comme l’extérieur et le seul producteur de bambou à intervenir mondialement. Basé aux Pays-Bas, MOSO® international possède des bureaux en Espagne, en Italie, en Afrique du Sud, en Chine, aux Etats-Unis et aux Emirats Arabes Unis et compte 80 collaborateurs au total. www.moso.eu/fr  
Il y a 4 ans et 354 jours

La tuile Ténord Huguenot d'Edilians certifiée NF Faible Pente

L'unique modèle petit moule du marché certifié NF FPDernière née de la gamme des tuiles petits moules à relief d'EDILIANS, la TÉNORD Huguenot est une tuile à emboîtement produite dans le site de Wardrecques au cœur de l'Audomarois, dans les Hauts de France.Caractéristique des toitures de la région Nord, elle est la première et la seule tuile petit moule du marché à bénéficier de la certification NF Faible Pente et s'ajoute aux 12 modèles déjà certifiés d'EDILIANS. Sans aucune modification des pureaux de pose, la TÉNORD Huguenot peut être mise en œuvre jusqu'à 19% de pente ce qui autorise son installation sur des toitures plus plates, un atout pour répondre aux exigences des projets architecturaux plus contemporains.Une esthétique traditionnelleGrâce à un procédé de fabrication innovant sur moule en plâtre, la TÉNORD Huguenot offre un aspect de surface parfaitement lisse et une haute qualité de finition. Avec son nez fin, son cornet étroit et ses demi-lunes, son design respecte les codes traditionnels des toitures du Nord.S'inscrivant résolument dans le patrimoine historique de sa région, la TÉNORD Huguenot se décline dans une palette de 4 teintes brillantes (Flammé Rustique, Rouge, Anthracite, Terre d'Amarante) qui apportent une touche de modernité.Un jeu double et une pose simpleAux performances techniques élevées, la tuile TÉNORD Huguenot possède un double jeu de pose inédit de 20 mm longitudinal, au niveau du pureau, et de 4 mm latéral. Cette qualité de conception garantit une flexibilité de pose optimale ainsi qu'une simplicité d'installation en rénovation comme en neuf. En construction, son pureau maximum de 270 mm fait de la TÉNORD Huguenot la plus économique des tuiles du Nord (jusqu'à 18,7 tuiles au m²).Dotée d'un système de double emboîtement et recouvrement au service d'une étanchéité irréprochable, la tuile TÉNORD Huguenot peut être associée aux autres solutions pour la toiture et l'éco-habitat d'EDILIANS, telles que les accessoires (rive, plain plan, faîtage) et les écrans de sous-toiture.
Il y a 4 ans et 354 jours

Ordonnance : artisans et maîtres d'oeuvre alertent sur une hausse des faillites

CONSÉQUENCES ÉCONOMIQUES. L'ordonnance du 13 mai inquiète décidément l'ensemble des acteurs de la filière. Après une première alerte lancée par la FNTP et la FFB, c'est la Capeb et l'ensemble de la maîtrise d'oeuvre qui ont souhaité réagir.
Il y a 4 ans et 354 jours

Facilibot développe des solutions de désinfection qui pulsent

Sas de désinfection « minute », produit de désinfection express et sans danger, turbine de brumisation de désinfectant et même… drone pulvérisateur. Au Havre, une petite entreprise, spécialiste des autolaveuses robotisées, innove sur le secteur de la désinfection et développe des solutions facilitant la mise en place des protocoles sanitaires pour lutter contre le Covid-19 et donc la reprise des chantiers.
Il y a 4 ans et 354 jours

Les revenus d'Eiffage déjà affectés par le Covid-19 au 1er trimestre

Entre janvier et mars, le groupe, numéro 3 du BTP français derrière Bouygues et Vinci, a dégagé un chiffre d'affaires de 3,74 milliards d'euros, soit une baisse de 4,3% par rapport à un an plus tôt."La croissance enregistrée par le groupe au cours des deux premiers mois de l'année a laissé place à une chute brutale d'activité dès la mi-mars, à la suite des mesures mises en place pour limiter la propagation" du Covid-19, a résumé Eiffage dans un communiqué.Le groupe est affecté à deux titres. Ses chantiers ont été perturbés par le contexte sanitaire et son autre grande activité, l'exploitation d'autoroutes, a pâti de la réduction drastique des déplacements.Par contraste avec son concurrent Vinci, il n'a en revanche qu'une petite présence dans les aéroports et celle-ci se concentre en France, alors que de nombreuses incertitudes pèsent encore sur les voyages internationaux.Pour la suite, Eiffage, qui avait déjà annoncé que ses revenus et ses bénéfices baisseraient cette année, l'a confirmé, sans donner de nouvelle précision."Il apparaît difficile de projeter l'incidence de cette situation sur les résultats du groupe en année pleine", a-t-il conclu, prévenant d'une "forte dégradation d'activité attendue au deuxième trimestre".
Il y a 4 ans et 354 jours

La solution d'ITE Myral plébiscitée sur les chantiers C.O.B pour ses qualités esthétiques et sa facilité de pose

Les deux maîtres d'ouvrage ont été accompagnés pas à pas par les équipes (chargé d'affaires, bureau d'études, formation) de l'industriel pour un résultat final en parfaite adéquation avec leurs objectifs environnementaux et esthétiques. Alors que le matériau bois est en nette progression dans le bâtiment en France (+19.4% PDM dans le collectif), la solution d'ITE Myral est parfaitement compatible avec ce type de projet tant sur le plan technique qu'esthétique grâce à un système de fixation unique. Cette compatibilité s'accompagne d'une grande facilité de mise en œuvre permettant de respecter des délais ambitieux.Le Groupe scolaire Simone Veil labellisé E3C1, Argenteuil (95)L'architecte en charge du projet, Joël Mischke, souhaitait faire oublier l'image de l'ancien site industriel sur lequel le groupe scolaire est maintenant implanté. Au total, l'ensemble livré en septembre dernier est d'une surface de 5 833 m² et s'inscrit dans une démarche environnementale très forte, qui s'est concrétisée par l'obtention du label E+C- avec un niveau E3C1.Les choix des matériaux utilisés par l'architecte se sont tournés vers cet objectif, notamment avec le bois. Pour le revêtement de façade, Joël Mischke a trouvé dans la solution Myral un bardage compatible avec son projet, et qui puisse laisser libre court à sa créativité grâce à la large gamme de finitions proposées. « Pour la plus grande partie des bardages, j'ai donné la priorité au blanc, le zinc patina est utilisé en R+2 pour marquer quelques points singuliers comme le logement du gardien, et avec le poli miroir, j'ai obtenu un reflet du ciel très intéressant qui permet de casser l'effet de masse de l'ensemble… ». Chaque étage de l'édifice est paré de bardages aux finitions et coloris différents, offrant à l'ensemble un jeu de volumes intéressant. Si l'architecte a été convaincu par le rendu esthétique de la solution Myral, il a tout autant apprécié la facilité de mise en œuvre du revêtement de façade, grâce à ses panneaux facilement manipulables. Ils ont permis de gagner du temps dans le déroulement du chantier et d'avoir le bâtiment prêt pour la rentrée 2019. La Société Normande Poulingue, spécialisée dans la conception et réalisation sur le marché de la construction bois, représentée sur site par Mr Baugard Antoine, a mis en œuvre avec brio l'ensemble des façades. La facilité et la rapidité de mise en œuvre ont permis à l'entreprise de réaliser les bardages en part propre en évitant la sous-traitance.Un immeuble bas carbone pour répondre aux exigences du futur, Méricourt (62)L'immeuble est un ensemble de 3 étages réalisé dans le cadre d'un éco quartier qui comprend 36 logements. Sur ces bâtiments, la solution Myral en pose bardage ventilé a été choisie pour une surface totale de 1 858 m². Dans une logique d'aménagement innovant, le maire de Méricourt souhaitait une qualité de bâti qui réponde aux exigences du futur. Le cahier des charges visait à obtenir un bâtiment bas carbone à haute performance énergétique. Objectif atteint, puisque l'immeuble arrive aujourd'hui à une base RT 2012 -20%.Martial Schillinger est le promoteur à l'origine du projet, accompagné par le Groupe Alsacien Mathis, spécialiste en construction bois en conception réalisation. Ils ont été séduits par la facilité de mise en oeuvre de la solution Myral grâce aux lames d'un seul tenant de 10.86 mètres sur toute la hauteur du bâtiment, et au système de fixation simple et non apparent. Le large choix de finitions a permis de donner du caractère à l'ensemble : « L'esthétisme plaisait à tout le monde. Ces revêtements métalliques changent un peu de ce que l'on a l'habitude de voir : il s'agit d'un vrai parti-pris esthétique ». Le choix s'est porté sur des panneaux aspect zinc et aspect or pour faire le contraste avec la rythmique bois autour de l'immeuble. Alors que les bâtiments en béton autour de l'immeuble sont parés d'un revêtement bois, cet immeuble, le seul avec une structure 100% bois, est couvert d'un revêtement métallique, en faisant un bâtiment totémique de la ZAC. Le mariage entre les parements aspect or et aspect zinc confère une véritable signature architecturale à l'ensemble.« Les élus et l'agence d'Architecture Houyez apprécient le niveau de qualité perçu. Et cela nous a conforté dans notre volonté d'inclure cette solution dans nos futurs programmes. Soit en 100%, soit en mix avec d'autres produits.» - Martial Schillinger, promoteur construction bois à l'origine du projet de Méricourt
Il y a 4 ans et 354 jours

Avec WICONA le groupe scolaire et centre de loisirs Simone Weil se refait une beauté

En première couronne parisienne, Champigny-sur-Marne (94) s’inscrit dans la dynamique du Grand Paris. À deux pas du centre-ville et d’une future gare du Grand Paris Express, le quartier des Courtilles renforce ses équipements. Parmi eux : le premier groupe scolaire/centre de loisirs ouvert depuis 1974 sur la ville, dédié à l’accueil des enfants de maternelle et de primaire. Conçu par le cabinet d’architecture Valero Gadan Architectes & Associés (Paris IIIe), le projet devait prendre en compte la montée des effectifs des prochaines. Outre les exigences d’un bâtiment HQE, le cahier des charges demandait d’optimiser la mutualisation des espaces, la robustesse de l’ouvrage, sa facilité de maintenance. Fonctionnalité et pérennité sont donc les maitres mots de ce bâtiment, qui se devait aussi d’illustrer l’école républicaine, comme le souhaitait la municipalité. « Nous avons répondu avec un bâtiment qui interprète les codes de l’école de la république comme devant être imposante mais aussi précieuse, et d’un coût tout à fait compétitif, en construction et en maintenance. La réversibilité du bâtiment est un autre point qui nous tient à cœur au sein de l’agence, surtout pour un bâtiment public : il n’était pas question de laisser aux successeurs une carcasse non manipulable ! » déclare l’architecte Bernard Valero. Groupe Scolaire et centre loisirs Simone Weil / © Olivier Rolfe Large palette de solutions en aluminium WICONA Pour répondre à ces impératifs, une multitude de matériaux résistants ont été employés, des sols aux plafonds, en passant par les murs et façades. Parmi eux : une large palette de solutions en aluminium WICONA a été retenue. En effet, trois versions du système de mur-rideau MECANO (ossature 52 mm) sont utilisées. La solution de façade lisse MECANO VEC se hisse sur plus de 450 m2 sous le ruban de brise-soleil verticaux dorés apposé sur les façades sud et ouest de l’école primaire. Particulièrement performant en termes d’étanchéité et d’isolation, MECANO serreur ponctuel éclaire les rez-de-chaussée en intégrant des portes WICSTYLE 65. La version MECANO serreur filant, qui autorise des prises de volume importantes (jusqu’à 42 mm), a permis de réaliser la verrière de 19 m2 disposée en éclairage zénithal d’un escalier intérieur. Groupe scolaire Simone Weil / © Olivier Rolfe Diversité toujours côté châssis, avec les solutions WICLINE 65 HI (haute isolation) fixes et à frappe et les coulissants WICSLIDE 65, tantôt seuls, souvent intégrant un garde-corps vitré, parfois associés dans des ensembles composés coulissant/fixe/ ouvrant pompier. Des solutions feu complètent le dispositif (portes et châssis WICSTYLE 77 FP). Groupe scolaire Simone Weil / © Olivier Rolfe   Maître d’ouvrage : Ville de Champigny-sur-Marne (94) Architecte : Valero Gadan Architectes & Associés (Paris IIIe, 75) Entreprise : STM, groupe Roger Delattre (Faches-Thumesnil, 59) Photographe : Olivier Rolfe
Il y a 4 ans et 354 jours

Covid-19 : Apave et AFNOR lancent un label dédié à la sécurité sanitaire

Objectif : inspirer confiance, avec la délivrance d'une attestation et sa déclinaison visible (macaron) attestant qu'une entreprise de BTP applique à la lettre les règles sanitaires spécifiques au Covid-19.Comme de nombreux autres secteurs de l'économie française, les acteurs du BTP reprennent progressivement leurs activités après près de deux mois de crise sanitaire, mais doivent le faire en appliquant les mesures de protection contre le Covid-19 sur le lieu de travail et sur les chantiers. Pour tous ceux qui désirent montrer qu'ils les appliquent scrupuleusement, et ainsi rassurer leurs interlocuteurs et leurs clients, la vérification sur site par un organisme reconnu tierce partie est une excellente solution. Avec, si l'exercice est concluant, l'octroi d'un label reconnaissant ces bonnes pratiques. L'entreprise bénéficie ainsi du regard affûté d'un évaluateur impartial.Pour développer ce label, AFNOR Certification et Apave Certification, deux acteurs majeurs de la certification dans le secteur de la construction, ont bâti un cahier des charges adapté à la vérification des dispositions prises au niveau des entreprises (bureaux, dépôts et ateliers des entreprises, chaînes logistiques d'approvisionnement des matériaux ) et des chantiers (bases vie, bungalows de chantier ...) en capitalisant sur des documents sectoriels comme le guide de l'OPPBTP et les fiches métiers de la Direction Générale du Travail (DGT). Les évaluateurs missionnés dans les entreprises qui en feraient la demande s'y sont formés. « Je me réjouis de ce partenariat entre deux acteurs de premier plan, tous les deux tiers de confiance auprès des acteurs économiques du secteur de la construction et désireux d'amorcer une reprise saine, ambitieuse et résiliente, de nature à rassurer collaborateurs, clients et partenaires et qui doivent reprendre leurs chantiers dans les meilleures conditions », commente Franck Lebeugle, Directeur général d'AFNOR Certification.« Dans le contexte de reprise d'activités post crise Covid-19, ce partenariat entre Apave et Afnor est une excellente nouvelle. Nos équipes ont à cœur d'accompagner le secteur du BTP dans cette période si particulière. La mise à disposition de nos compétences communes et complémentaires en Certification, Bâtiment et Génie Civil et QHSE, s'inscrit dans la volonté commune de nos structures d'accompagner la reprise d'activités en toute sécurité et de soutenir la relance économique qui y est associée », déclare Philippe Maillard, Directeur général d'Apave.
Il y a 4 ans et 354 jours

Ubalt Architectes : INSEP x ADIDAS

Depuis janvier 2020, l'Institut National du Sport, de l'Expertise et de la Performance (INSEP) bénéficie de nouvelles infrastructures, à la fois fonctionnelles et graphiques, conçues par Ubalt Architectes. Le studio parisien d’architecture Ubalt Architectes s’est associé à l’agence événementielle Ubi Bene pour rénover plusieurs espaces de l’INSEP dans le cadre de son partenariat avec la marque de sport adidas. Les équipes Ubalt Architectes ont pensé l’esprit du lieu autour des couleurs communes à l’INSEP et adidas, le blanc et le bleu. Du choix des couleurs à la sélection des matériaux, les architectes ont ainsi décidé de puiser leur inspiration dans les univers graphiques des deux entités pour mieux illustrer ce co-branding. Tout l’enjeu de la réhabilitation a donc consisté à concevoir un lieu fonctionnel à l’identité visuelle forte. Destinées à accueillir des sportifs de haut niveau, les nouvelles infrastructures de l’INSEP se composent de plusieurs espaces aux formes géométriques simples : une maison de vie, une salle de réunion, des vestiaires et des couloirs. La maison de vie des jeunes sportifs est un espace ouvert structuré selon les différentes activités des athlètes. Au centre de la salle est installée une grande cage de tôle déployée, qui comprend des tables hautes réservées aux repas ou aux moments de travail. De part et d’autre de la cellule, il y a une salle de jeu et un solarium. Avec son sol bleu, sa tôle déployée et son mobilier en carrelage immaculé, la salle de réunion baptisée du nom de la célèbre athlète française Micheline Ostermeyer répond à la décoration de la pièce principale. Dans les couloirs remaniés de la Halle Pajol, le bleu domine, rappelant une fois encore le partenariat entre l’institut français et la firme allemande. Les architectes ont recouvert les murs, les bancs et les douches des vestiaires de carrelage blanc, tandis que le grès du sol remonte le long du mur. Seules quelques touches discrètes de bleu contrastent avec les teintes sobres de la pièce. Tous les nouveaux espaces de l’INSEP sont animés par un subtil jeu d’associations de lignes graphiques, de matériaux bruts et de couleurs franches, qui crée l’esprit du lieu. L’endroit se veut fonctionnel, mais devient singulier grâce à la grande liberté prise par Ubalt Architectes pour réinterpréter le complexe sportif à l’image des deux structures. Pour en savoir plus, visitez le site de l’agence Ubalt Architectes et celui de l’agence événementielle Ubi Bene. Photographies : Yohann Fontaine Léa Pagnier
Il y a 4 ans et 354 jours

Covid-19 : Face à la crise, travailler plus ou travailler moins ?

Sur le temps de travail, le Medef a tiré le premier il y a un mois par la voix de son président, Geoffroy Roux de Bézieux, qui a estimé qu'il faudrait "poser la question du temps de travail, des jours fériés et des congés payés" pour accompagner la reprise.Devant le tollé -- "indécent" a claqué le numéro un de la CFDT Laurent Berger-- il a vite remballé sa proposition, aussi promue par l'Institut Montaigne.Sauf que depuis, des mauvais chiffres des demandeurs d'emplois sont arrivés, les prévisions de croissance plongent (-6 points de PIB pour les deux mois de confinement) et la crise de l'emploi se profile.Les idées ressortent.Si la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, martèle depuis deux mois que l'exécutif fait tout pour éviter les licenciements, elle a discrètement lâché cette semaine qu'elle ne pouvait "pas affirmer qu'il n'y aurait pas de licenciements dans les entreprises en difficulté".Vieux routier des relations sociales en France, et ancien conseiller social de Nicolas Sarkozy, Raymond Soubie s'est même étonné de ne voir "personne anticiper" les plans sociaux, et la situation des entreprises qui seront face à des "marchés durablement réduits".Lui pronostique la disparition de "dizaines de milliers, et probablement des centaines de milliers d'emplois". Si bien qu'il préconise de revoir "d'urgence" les règles des plans sociaux pour les entreprises les plus en difficultés, et pour les autres de passer des accords prévoyant des efforts des entreprises sur l'emploi en échange d'efforts des salariés sur le temps de travail."C'est le monde d'après avec les recettes d'avant-hier!", a persiflé auprès de l'AFP un cadre de FO, qui craint de son côté les licenciements au compte-goutte dans des petites entreprises.Les accords de "performance collective" (ex-accords de maintien de l'emploi, préservation de l'emploi, mobilité), dénommés ainsi depuis les ordonnances travail de 2017, peuvent déjà porter sur la durée du travail et la rémunération."Confinement des esprits"La ministre du Travail, pour qui la durée légale du travail "n'est pas un problème", rappelait récemment que ce "dispositif s'inscrit dans le paysage" avec 13 accords en avril et 356 depuis le début de l'année.Dans un entretien au Monde, le président du Medef explique d'ailleurs mercredi qu'il faut voir la situation par secteur."Dans certains secteurs, la demande peut être soutenue, mais les contraintes sanitaires font que la productivité baisse: ce sont dans ces secteurs-là que la question du +travailler plus+ peut se poser, mais elle ne peut l'être qu'avec les salariés et entreprise par entreprise".A droite, les propositions se multiplient. Christian Jacob, le président de LR, plaide pour "sortir du carcan des 35 heures", et son parti planche sur un plan de relance, avec notamment les contributions de l'ex-ministre du Budget Eric Woerth.Mais l'allongement de la durée du travail n'est pas du goût de Laurent Berger, qui parle de "confinement des esprits" et de "vieilles lunes". Pour lui aussi, on "tarde trop" à se préoccuper de l'emploi alors que "le risque de faillites en cascade et son lot de drames sociaux et territoriaux se confirme"."Si on pense que l'on va s'en sortir positivement en promettant de la sueur et des larmes, on est chez les fous", estime-t-il dans l'hebdomadaire La Vie.Plutôt que de vouloir allonger la durée du temps de travail, "nous devons apprendre à travailler autrement et à travailler mieux", argumente-t-il, particulièrement inquiet de la situation des jeunes.Il promeut les propositions du "pacte pour le pouvoir de vivre", aux côtés d'une cinquantaine d'organisations, comme celle de favoriser les emplois dans la rénovation thermique des logements.Fidèle à sa position sur la semaine de 32 heures, la CGT milite pour travailler moins. "Comment va-t-on faire croire aux gens que si ceux qui ont du travail travaillent plus, ça va libérer de la place pour ceux qui n'en ont pas ?", cingle Philippe Martinez, son numéro un.
Il y a 4 ans et 354 jours

Difficile reprise de l’activité pour les travaux publics franciliens

Fin avril, le niveau d’activité des travaux publics en Ile-de-France s’élevait à 24% par rapport à la « normale », contre 36% en moyenne au niveau national. La profession s’inquiète également de la forte chute de la commande publique.
Il y a 4 ans et 354 jours

Fort impact du covid-19 sur le chiffre d'affaires d'Herige au 1er trimestre 2020

ACTIVITE. Le groupe Herige a dévoilé son chiffre d'affaires pour le premier trimestre 2020. Sans surprise, la crise sanitaire du coronavirus a fortement impacté les activités. Découvrez les principaux chiffres par activité.
Il y a 4 ans et 354 jours

A Rennes, l'Économie Sociale et Solidaire aura son immeuble au printemps prochain

Porté par Coop de construction, le chantier du Quadi, futur pôle de développement de l'Économie Sociale et Solidaire (ESS) a repris en vue d’une livraison en mars 2021.
Il y a 4 ans et 354 jours

Bouygues déjà durement frappé par la crise sanitaire au premier trimestre 2020

RÉSULTATS. L'impact de l'épidémie de covid-19 sur le groupe Bouygues se fait sentir dès le premier trimestre 2020. Sur les trois premiers mois de l'année, le chiffre d'affaires recule en effet nettement, et plus que ses deux grands concurrents.
Il y a 4 ans et 354 jours

Délais de chantier : l'ordonnance du 13 mai remet le feu aux poudres

COLÈRE. Une mesure contenue dans l'ordonnance adoptée en conseil des ministres, ce mercredi 13 mai 2020, inquiète fortement les organisations patronales du bâtiment et des travaux publics, contactées par Batiactu.
Il y a 4 ans et 354 jours

Covid-19 : l'ingénierie alerte sur un risque de l'effondrement de l'économie

Alors que 70% des entreprises d'ingénierie enregistrent une chute de leurs prises de commandes publiques et privées, 90% d'entre elles anticipent un ralentissement durable de leur activité et craignent un effondrement économique global. L'ingénierie intervient dans tous les domaines d'activité (aéronautique, automobile, environnement, construction, BTP, infrastructures, industrie, énergie, chimie, numérique, etc.) et dès les phases d'études et de conception.« "Quand le bâtiment va, tout va." Qui n'a jamais entendu cette phrase ? Ce que l'on sait moins, en revanche, c'est que quand l'ingénierie ne va pas, c'est l'économie toute entière qui n'ira pas, à moyen et long terme. L'ingénierie intervient à toutes les étapes des projets industriels et de construction et ce, dès leur genèse. 50% de projets d'ingénierie en moins aujourd'hui, c'est 50% de construction et d'installations en moins demain dans le BTP, l'industrie, l'énergie, etc. Notre secteur est un indicateur avancé de tendance de l'activité économique et du monde de demain. » explique Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie.Une profession touchée de plein fouet par la crise…L'ingénierie accompagne maîtres d'ouvrages et industriels dans la conception et réalisation de leurs projets. Gel des contrats, suspension des appels d'offres en cours, report du second tour des élections municipales… Le baromètre révèle que 90% des entreprises d'ingénierie anticipent une baisse de leur activité au second semestre 2020 et plus d'1 entreprise sur 2 estime que cette contraction excédera 50%. Cela s'explique principalement par la baisse des commandes aussi bien dans le secteur privé que public, qui touche 70% des répondants.Pour préserver l'emploi et maintenir leur force de frappe, les entreprises d'ingénierie ont recouru massivement au télétravail, chaque fois que cela était possible. 54% de leurs collaborateurs sont ainsi en télétravail, mais avec un taux d'occupation qui s'amenuise au fil des mois. Et 30% d'entre eux sont désormais au chômage partiel.Le baromètre met également en lumière des problématiques de trésorerie pour les ingénieristes, qui sont des sociétés de services intellectuels sans réserve financière et qui ne peuvent pas stocker leur production. 62% des répondants ont demandé des délais de paiement pour les échéances sociales et/ou fiscales, 33% ont eu recours aux fonds de solidarité et 23% au prêt garanti par l'État. Plus d'1 entreprise sur 2 sera en difficulté de trésorerie sous 6 mois, sans reprise de l'activité économique.Notons que la mise en place des mesures de sécurité sanitaire en vue de la reprise entrainera des coûts supplémentaires, pouvant atteindre pour une entreprise 200€ par salarié par mois.…qui alerte sur les risques d'une reprise trop lente de l'activité économiquePartenaires des donneurs d'ordre publics et privés, les entreprises d'ingénierie sont mobilisées pour préparer l'après-crise et 60% d'entre elles ont déjà préparé un plan de relance. Dans ce contexte d'incertitudes et de gel des commandes, elles anticipent néanmoins un redémarrage économique lent et étalé sur plusieurs mois. Pour plus d'un tiers des entreprises, celui-ci n'aura pas lieu avant au moins un an. Une reprise jugée bien trop lente par la profession et qui mettrait en danger l'ensemble des filières économiques.Pierre Verzat explique : « Maîtres d'ouvrages et industriels doivent à tout prix maintenir leurs projets d'investissement, sous peine d'asphyxier l'ensemble du tissu économique de nos territoires et d'entrainer la disparition de beaucoup d'entreprises, souvent des PME, qui créent de l'emploi en local. »Pour un plan de relance qui garantisse le maintien de l'activité économique et soutienne la santé économique des entreprises Pour amorcer la relance, les entreprises d'ingénierie appellent à travers leur fédération professionnelle à :Garantir un maintien de l'activité économique, à travers :La mise en place des conditions de soutien à la commande publique : Relever le seuil de dispense de procédure pour la passation des marchés publics de prestations intellectuelles actuellement à 40K€, à 100K€ HT, jusqu'à la fin de la crise sanitaire.Garantir le bon fonctionnement des Commissions d'appels d'offres.Proroger d'un an les accords-cadres signés avec les acheteurs publics, expirant dans le courant de l'année 2020La simplification et l'accélération des procédures administratives pour favoriser la relance économiqueAssouplir de manière transitoire la règle du plafonnement des évolutions de contrats de prestations intellectuelles.Accélérer l'adaptation de l'administration au télétravail et plus largement la dématérialisation des procédures administrativesSoutenir la santé économique des entreprises en garantissant un niveau suffisant de trésorerie et un accompagnement vers la repriseProtéger la trésorerie des entreprises pour absorber le choc lié à la crise du Covid-19Garantir l'application de la réglementation concernant les délais de paiement afin d'alimenter la trésorerie des entreprisesPoursuivre les projets en phase travaux en autorisant les surcoûts de travaux liés à la réorganisation des chantiers, du fait du Covid-19 Accompagner les entreprises vers la reprise d'activitéPrévoir des modalités de sortie graduelle du dispositif exceptionnel d'activité partielle après le 31/12/20.Proposer des outils d'accompagnement aux entreprises en difficulté ou souhaitant être coachées pour la reprise.Développer l'innovation pendant la période de crise sanitaire à travers des mécanismes dédiés comme le Crédit impôt recherche (CIR).Retrouvez l'intégralité de la contribution de Syntec-Ingénierie.*Baromètre réalisé par Syntec-Ingénierie auprès de ses adhérents au cours de la semaine du 27 avril. Les répondants sont des entreprises de toutes tailles, qui interviennent dans l'industrie et la construction et dans tous les secteurs d'activité d'ingénierie.
Il y a 4 ans et 355 jours

Airvance, un nouvel acteur européen du traitement de l'air

NOUVEL ACTEUR. Airvance est le fruit du rapprochement de deux experts du traitement de l'air européen. Il a pour objectif de devenir un acteur incontournable de ce secteur. Qui se cache derrière cette nouvelle entité ? Réponse.
Il y a 4 ans et 355 jours

Un nouveau directeur commercial pour le groupe SMA

CARNET-NOMINATION. Le groupe SMA a accueilli cette semaine un nouveau directeur commercial "réseau direct." Rattachée au directeur général, cette figure bien connue du secteur, devient également membre du Comex du groupe.
Il y a 4 ans et 355 jours

"Il n'y aura pas de big bang de la fiscalité du logement" (J. Denormandie)

RELANCE. Le ministre chargé de la Ville et du Logement a répété que la fiscalité du logement, et notamment les dispositifs de soutien à l'investissement locatif, resteraient stables. Il souhaite en revanche pouvoir les territorialiser davantage, si l'expérimentation en cours s'avère concluante.
Il y a 4 ans et 355 jours

Covid-19 : Le Sénat souhaite mettre la transition écologique au cœur de la relance

Parallèlement à un suivi « à chaud » de la gestion immédiate de cette crise et de ses impacts sur les différents secteurs qui relèvent de sa compétence (cliquer ici), la commission de l'aménagement du territoire et du développement durable du Sénat lance des travaux d'analyse des impacts profonds de cette crise et des leçons qui devront en être tirées pour le climat dans le cadre de la relance.Considérant que la crise actuelle constituait une sorte de répétition générale de crises potentiellement plus graves à venir, Gaël Giraud a plaidé pour la réindustrialisation verte de notre pays. La rénovation thermique des bâtiments, la mobilité verte et la formation professionnelle, pour disposer de main d'œuvre qualifiée dans le secteur du bâtiment par exemple, sont pour lui des priorités.L'indispensable relocalisation d'une partie de notre économie pourrait conduire selon lui à des nationalisations stratégiques. « Depuis une quarantaine d'années, l'État est devenu l'assureur général du secteur privé », a-t-il estimé, considérant qu'une réflexion devait être menée pour définir un nouveau dialogue et de nouvelles méthodes de collaboration entre l'État et le secteur privé pour une vraie industrie dont les coûts fixes seraient pris en charge collectivement.Interrogé sur la conditionnalité environnementale des aides accordées par l'État aux entreprises, Gaël Giraud a évoqué une difficulté, aujourd'hui à la main des États : celle de la pénalisation de la vertu écologique liée à la concurrence. « Il faut des critères quantitatifs clairs pour mesurer la profondeur des engagements des entreprises ».Interrogé à ce sujet par de nombreux sénateurs, il a estimé que, contrairement aux orientations prises à ce stade par la Commission européenne et par Bercy, le problème de la dette publique – que l'austérité budgétaire ne saurait résoudre dans un contexte déflationniste – n'était pas aujourd'hui le plus important et que la priorité devait aller au désendettement du secteur privé jusqu'à ce qu'il puisse réinvestir dans l'économie. Selon lui, malgré le matraquage médiatique sur le sujet, il n'y a pas d'hostilité de l'opinion publique à la dette, notamment dans un contexte où le chômage risque de devenir la principale hantise. Il a en revanche plaidé pour une annulation de la part des dettes publiques détenues par la Banque centrale européenne.Il a partagé les craintes exprimées sur un retour du plastique dans le cadre de la relance : « refaire dépendre une partie de notre économie du pétrole est la pire des mauvaises idées aujourd'hui ».Gaël Giraud s'est également montré favorable à l'outil de la taxe carbone, à même de fournir des recettes fiscales à l'État, lui permettant de financer des chèques énergies pour les contribuables pénalisés, au développement de monnaies locales dans les collectivités territoriales ainsi qu'à une non comptabilisation des investissements verts de long terme dans le cadre du pacte de stabilité et de croissance : « dans une entreprise, on ne met jamais sur un pied d'égalité les dépenses d'investissement de long terme et les dépenses courantes ».Interrogé sur ce sujet, il a estimé qu'aucun argument économique ne plaidait pour un allongement du temps de travail, créateur de chômage.Il a également mis en lumière l'importance d'une reconstruction de la coopération internationale, négligée ces dernières années. « Nous avons réduit la mondialisation à la simple globalisation marchande : or, elle ne se réduit pas à cela ». Il a ajouté : « On ne pourra pas venir à bout d'une pandémie comme celle du Covid‑19 sans une coopération de tous les pays de la planète ».L’audition (en vidéo) de M. Gaël Giraud, économiste
Il y a 4 ans et 355 jours

1001 Vies habitat porte son objectif de construction à 10.000 logements

DÉCRYPTAGE. 1001 Vies Habitat "accélère" son plan de développement en prévoyant l'engagement de 10.000 logements nouveaux d'ici 2022, pour participer à la relance. Plutôt qu'un appel à projets, le bailleur social entend nouer des partenariats et développer des "circuits courts de décision" pour densifier son patrimoine, explique à Batiactu le directeur de la valorisation immobilière du groupe, Philippe Ranc.
Il y a 4 ans et 355 jours

Charte de reprise FFB-CDC Habitat : un cadre de dialogue essentiel, mais qui ne suffit pas

Quel partage des responsabilités liées aux arrêts de chantiers ? Quelle prise de risque pour chacune des parties ? Est-il possible, et sous quelles conditions, d'organiser la continuité des études et des instructions, voire la reprise des travaux sur certains chantiers ?Une charte a ainsi été élaborée pour que toutes les parties puissent ensemble identifier les freins et contraintes liées à la reprise, disposer d'une lecture partagée du guide de l'OPPTBTP et ainsi s'accorder sur les principes d'une bonne gestion commune de cette situation exceptionnelle. Nous ne réussirons collectivement que si nous partageons les mêmes valeurs, celles d'un dialogue local permanent.Ce cadre volontariste ne doit toutefois pas faire oublier que, sur certains chantiers, les premières estimations font apparaître des surcoûts significatifs, correspondant aux frais liés à la prise en compte du risque sanitaire (distanciation sociale, achat de masques, de gants, rotations supplémentaires des camionnettes, etc.) et à la réorganisation des chantiers (mobilisations supplémentaires de personnels et de matériels, hausse du coût des matières, prolongation des frais financiers …).À travers cette charte, les entreprises du BTP et CDC Habitat se donnent un référentiel partagé pour objectiver ces surcoûts.Afin que ce cadre de négociation puisse aboutir à une déclinaison locale constructive, un soutien des pouvoirs publics sera également indispensable, pour éviter une contraction sensible de l'appareil productif, qui induirait des pertes d'emploi massives et une érosion des compétences cependant nécessaires au déploiement des grandes politiques publiques, notamment en matière de performance énergétique et environnementale.
Il y a 4 ans et 355 jours

2019 a été l’année d’une croissance retrouvée pour le marché du bricolage

En pleine crise sanitaire impactant tous les commerces, la FMB et INOHA dévoilent l’étude du marché du bricolage 2019 laissant apparaître une croissance solide jusqu’à l’arrivée du Covid-19. Alors que les deux premiers mois de l’année 2020 affichaient une progression dans la continuité de celle de 2019, la pandémie a freiné cette dynamique : avec une augmentation de 3,4% de son chiffre d’affaires par rapport à 2018, le marché du bricolage avait renoué avec la croissance et atteignait 28 milliards d’euros après plusieurs années atones depuis la crise de 2008. 2019 : un marché qui repartait à la hausse En 2019, la croissance du marché du bricolage a été soutenue par les ventes records enregistrées dans l’immobilier ancien : pendant 24 mois consécutifs, le volume de transactions s’est situé à un niveau très élevé, dépassant depuis juin 2019 la barre du million de transactions sur 12 mois glissants. L’achat de logements anciens implique généralement de nombreux projets de travaux qui s’inscrivent dans un contexte positif. L’indice de confiance des ménages s’est restauré en 2019 malgré les mouvements sociaux qui ont émaillé la fin de l’année. Après une croissance modérée en 2018 (+2%), la consommation de biens d’équipement du logement augmente (+5%). Enfin, la météo s’est elle aussi montrée très favorable en 2019, notamment sur les mois d’été propices à la réalisation de travaux. Dans ce contexte positif, le marché du bricolage a atteint en 2019 un chiffre d’affaires de 28 milliards d’euros (+3,4%), tous circuits confondus. Il représentait le secteur le plus dynamique dans l’habitat. Les Grandes Surfaces de Bricolage, circuit de distribution n°1 du bricolage Les Grandes Surfaces de Bricolage captent l’essentiel des achats bricolage, distribuant 74% du marché. Les écarts de performance s’atténuent entre circuits de distribution. Après une année stationnaire en 2018, le taux de progression de la GSB (+2,5%) est très proche de celui enregistré par les négoces (+3,5%). Après des années de croissance, la dynamique du secteur du e-commerce ralentit (+11,8% vs 18% en 2018). 2019 : une embellie pour presque tous les rayons avec un grand gagnant : le confort thermique En 2019, presque tous les rayons ont profité de l’embellie du marché à l’exception de celui de la Peinture/Droguerie/Colles qui reste en léger retrait (-0,3%). Le grand gagnant est le Confort Thermique (+5,5%). L’augmentation des températures relevées ces dernières années continue à favoriser la vente d’appareils de climatisation et de ventilation. Liés aux travaux de rénovation, les rayons Plomberie/Salle de bains/Cuisine (+4,6%), Quincaillerie (+4,4%), Bâtiment (+3,8%), et Electricité (+3%) affichent également de belles progressions. Les rayons Décoration (+3,2%), Revêtements (+3,1%), Bois & Menuiserie (+3%) profitent également des tendances décoratives telles que les verrières intérieures et le grand retour du papier peint. Grâce à une météo favorable, le rayon Jardin (+3,5%) tire également son épingle du jeu. 2020 : un million de projets potentiels Un million de logements ont été vendus en 2019. Sur ce nombre de transactions, une partie représentait un réservoir de travaux pour 2020. Les conditions étaient donc réunies pour que la croissance du marché du bricolage enregistrée en 2019 se poursuive. Malgré de forts taux de croissance en janvier et février 2020, la dynamique du marché a été freinée par l’arrivée de la crise sanitaire et les mesures de confinement prises dès le 16 mars par le gouvernement. Cette crise va profondément affecter toute l’économie française, y compris le marché du bricolage. Cependant, à moyen ou long terme, ce réservoir de projets devrait permettre de redynamiser ce secteur. « Dans le contexte de crise sans précédent que nous vivons actuellement, nous pouvons néanmoins nous féliciter des très bons résultats 2019 qui confirment la place essentielle des GSB sur leur marché. Les premiers mois de 2020 prolongeaient cette tendance positive, qui a malheureusement été fortement freinée par l’arrivée du Covid-19. Mais on soulignera que dans cette crise, les enseignes de bricolage ont fait preuve de réactivité et développé leur agilité pour répondre aux défis inédits qui s’imposent à tous les acteurs de l’économie, et continuer de répondre aux attentes des clients. Cela a nécessité une réorganisation profonde, afin de garantir la sécurité des salariés et des clients et d’empêcher la propagation du virus. Chaque décision prise par les entreprises l’a été à l’aune de ces priorités et en vue de préserver leur fonctionnement sur le moyen et le long terme », déclare Mathieu Pivain, Président de la FMB. « L’année 2019 a été une belle année pour notre filière en réalisant l’un des meilleurs résultats depuis 10 ans. Le consommateur a envie de bricoler : cela reste une de ses activités préférées et cela semble se confirmer en temps de confinement. Nous avons un beau réservoir de projets qui, je l’espère, nous permettront d’être résilients face à la crise sanitaire et économique que nous traversons » conclut Jean-Eric Riche, Président d’INOHA. http://www.inoha.org http://www.fmbricolage.com
Il y a 4 ans et 355 jours

Eiffage remporte le contrat pour construire l'hôpital Paris-Saclay

Eiffage a remporté le contrat de "conception, réalisation, et entretien-maintenance" de l'hôpital Paris-Saclay dans l'Essonne, pour un montant de 141 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 355 jours

AMCC décline ses coulissants aluminium Elégance & Excellence en version à galandage

Si seulement 8% des 2 millions de coulissants vendus en France en 2017 sont des modèles à galandage*, ils n’en restent pas moins de plus en plus présents dans les projets architecturaux qui font la part belle aux espaces lumineux et aux ouvertures sur l’extérieur. A l’esthétique minimaliste, les lignes de coulissants aluminium Élégance & Excellence d’AMCC, désormais disponibles en version à galandage, s’inscrivent plus que jamais dans cette tendance.   Une esthétique panoramique pour un confort sans limite Idéal pour supprimer les frontières entre l’intérieur et l’extérieur de l’habitat, les nouveaux coulissants aluminium à galandage CG70 d’AMCC associent : • un dormant de 160 mm à coupe droite, avec ou sans panneau isolant, • un ouvrant équipé d’un double vitrage à isolation thermique renforcée 4/20/4 avec intercalaire à bord aluminium pour la ligne Élégance et à bord chaud pour la ligne Excellence. Ces caractéristiques techniques confèrent à l’ensemble d’excellentes performances pour atteindre un coefficient de transmission thermique de 1,7 à 1,4 W/m2.K et une étanchéité à l’air et à l’eau respectivement de A*3-E*6B-V*A2 pour le coulissant aluminium CG70 Élégance, et de A*4-E*6B-V*A2 pour la ligne Excellence. Avec leurs profilés et leur montant central étroits, les coulissants aluminium à galandage d’AMCC autorisent la création de larges baies vitrées, y compris de grande hauteur (jusqu’à 2,60 m), avec un clair de jour optimal. Disponibles sur-mesure en version monorail 1 vantail (avec refoulement sur un côté) ou monorail 2 vantaux (à refoulement sur deux côtés), les coulissants CG70 sont munis d’un rail en polyamide qui, associé à des joints en partie basse, facilite leur manipulation. Les vantaux disparaissent alors entièrement dans l’épaisseur de la cloison pour apporter un maximum de lumière naturelle. Cette ouverture maximale du coulissant permet également de gagner en liberté de circulation grâce à un accès totalement dégagé sur l’extérieur.   Des coulissants à la sécurité assurée et au design préservé Permettant de créer de larges ouvertures pour offrir une vue imprenable sur le paysage, les coulissants aluminium à galandage d’AMCC laissent entrer la nature dans le séjour sans négliger la sécurité. Pour cela, ils disposent : • d’un profilé de réception de cloison qui garantit une rigidité maximum et une protection renforcée, • d’une serrure à 2 ou 3 points de fermeture par crochets et gâches inox au service d’une grande résistance à l’effraction. Pour répondre aux exigences esthétiques et décoratives de chaque habitat, les nouveaux coulissants CG 70 sont proposés dans un large choix de coloris, en finition lisse ou granité mate ainsi qu’en bi-coloration, procédé qui permet d’appliquer une teinte différente sur les profilés intérieurs et extérieurs. Et pour une finition parfaite jusque dans les moindres détails, les coulissants sont manœuvrables à l’aide de différents modèles de poignées (poignée décalée anti-pince doigt, poignée Aktiv ou encastrée).   En enrichissant sa gamme de coulissants aluminium avec ces versions à galandage, AMCC propose une offre complète de coulissants, fenêtres et porte-fenêtres à frappe qui s’associent parfaitement, créant ainsi une harmonie entre l’ensemble des menuiseries de la maison. *Source étude TBC de 2018 sur « le marché des fenêtres en France en 2017 » http://www.amcc-fenetres.fr
Il y a 4 ans et 355 jours

Covid-19 : Vicat s’attend à un impact significatif au 1er semestre malgré des ventes en hausse au 1er trimestre

Vicat ajoute s'attendre à une baisse de son excédent brut d'exploitation (Ebitda) "sur l'ensemble de l'exercice", mardi dans un communiqué.Le chiffre d'affaires du premier trimestre est stable à périmètre et changes constants, à 615 millions d'euros (+0,2%).L'impact du Covid-19 a été "limité" sur les trois premiers mois, où les prix de vente ont été bien orientés, selon le groupe.L'Ebitda s'est replié de 1,6% à 57 millions d'euros (contre 58 millions pour la même période de 2019).Le PDG de Vicat Guy Sidos, cité dans le communiqué, a salué une performance "solide" sur ces trois premiers mois "en dépit d'un très fort ralentissement en fin de période en France, en Italie et en Inde".Il a précisé que l'activité industrielle et commerciale avait été maintenue "sur presque tous les sites afin de suivre l'évolution des marchés", ce qui a permis "d'atténuer l'impact de la crise".Mais "la visibilité sur l'exercice reste faible". "Il faut s'attendre à un impact significatif de cette situation exceptionnelle sur les résultats et les ratios du premier semestre", a déclaré M. Sidos.Vicat observe qu'en 2020, "chacun des pays dans lesquels le groupe [exerce] devrait être significativement affecté" par le Covid-19, "avec des impacts différents" selon le contexte sanitaire et les mesures gouvernementales prises.Mais le groupe table sur un certain nombre d'éléments pour "limiter l'impact de [la] crise sur les résultats", dont la reprise progressive de l'activité, notamment en France et en Inde, la baisse des coûts de l'énergie, ainsi que la mise en place de programmes de réduction des coûts et le report d'investissements non stratégiques. Sur le premier trimestre, le chiffre d'affaires du pôle Ciment était en hausse de 3,7% en comparable à 319 millions d'euros, alors que le segment Béton et Granulats a reculé de 2,1% (toujours en comparable) à 228 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 355 jours

L'ancienne imprimerie MAME, plus qu'une simple réhabilitation

Une première intervention a lieu en 2015. L'architecte Franklin Azzi, accompagné par l'architecte en chef des monuments historiques Pierre Antoine Gatier, assure la réhabilitation des façades de la tour (le bâtiment en premier plan de la photo) et la réhabilitation partielle des ateliers pour intégrer l'École supérieure des Beaux-Arts de Tours.En 2020, c'est une nouvelle équipe d'architecte et de designer avec le cabinet d'architectes associés Caraty & Poupart-Lafarge et l'agence RCP, spécialisée en design sensoriel qui parachève la rénovation de ce lieu en offrant une nouvelle version des Ateliers de l'ancienne imprimerie. C'est l'esprit de Zehrfuss qui se prolonge, lui qui avait initialement l'envie de flexibilité et d'évolution pour ce bâtiment.Une équipe créative pour une réhabilitation augmentéeLa nouvelle équipe d'architectes et de designers rend hommage à l'histoire de ce bâtiment et de ses créateurs en reliant passé et présent pour valoriser l'esprit des lieux au service de nouveaux arrivants, de leurs activités et des usages professionnels de notre époque. En dépassant le cadre d'une réhabilitation de bâtiment et d'aménagement d'un espace de co-working “tendance”, Bruno Poupart-Lafarge du cabinet Caraty & Poupart-Lafarge et Régine Charvet Pello de l'agence RCP Design ont créé un espace partagé pour les Mamers* et leurs visiteurs, véritable dénominateur commun de toutes les disciplines représentées. Ingénieur, sociologue, ergonome, designer, manager, marketeur, communicant, chercheur, artiste se retrouvent sur ce nouveau lieu de vie à l'échelle de la métropole de Tours, à la fois attraction et animation urbaine sous le label “French Tech Loire Valley”.La nouvelle équipe d'architectes et de designers rend hommage à l'histoire de ce bâtiment et de ses créateurs en reliant passé et présent pour valoriser l'esprit des lieux au service de nouveaux arrivants, de leurs activités et des usages professionnels de notre époque. En dépassant le cadre d'une réhabilitation de bâtiment et d'aménagement d'un espace de co-working “tendance”, Bruno Poupart-Lafarge du cabinet Caraty & Poupart-Lafarge et Régine Charvet Pello de l'agence RCP Design ont créé un espace partagé pour les Mamers* et leurs visiteurs, véritable dénominateur commun de toutes les disciplines représentées. Ingénieur, sociologue, ergonome, designer, manager, marketeur, communicant, chercheur, artiste se retrouvent sur ce nouveau lieu de vie à l'échelle de la métropole de Tours, à la fois attraction et animation urbaine sous le label “French Tech Loire Valley”.Mamers* = habitants professionnels de Mame, cité de la création et de l'innovation
Il y a 4 ans et 355 jours

Les nouveaux rendez-vous professionnels de la filière bois se précisent

2020 s’annonçait comme une grande année en matière de manifestations de la filière bois. L’épidémie bouleverse les agendas et réinterroge la nature même des grands rassemblements physiques.
Il y a 4 ans et 355 jours

Dessiner pour illustrer un processus de pensée - Livre

De plus en plus prisés sur le marché de l’art et dans les musées, les dessins d’architectes impressionnent par leur diversité et, souvent, par leur beauté plastique, voire par la sensibilité ou l’étrangeté qui en émanent. Pour autant et depuis toujours, avant d’être des «œuvres […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 355 jours

Le plan d'économies du groupe ADP réévalué à 450 millions d'euros

"Nous avons présenté [mardi] au conseil d'administration un plan d'économies qui pourrait être au total pour le groupe de 450 millions d'euros, dont 293 millions pour ADP SA (qui regroupe Orly, Paris-Charles-de-Gaulle, NDLR), ceci incluant l'activité partielle pour environ 75 millions d'euros", a indiqué M. de Romanet lors de l'Assemblée générale du groupe qui s'est tenue en visio-conférence.Fin mars, ces économies avaient été évaluées à "375 millions dont 230 millions pour ADP SA", a-t-il ajouté.Pour réduire ses coûts de fonctionnement, ADP a fermé début avril et pour une durée indéterminée l'aéroport d'Orly et regroupé l'ensemble des activités à CDG, au nord de Paris.Neuf compagnies aériennes basées à l'aéroport du sud de la région parisienne ont demandé à l'État, dans une lettre ouverte, de fixer au 26 juin la date de réouverture de l'aéroport."Il est hors de question de fermer Orly par principe, même si ça nous fait beaucoup d'économies, mais nous ne pouvons pas rouvrir Orly pour un tout petit nombre de lignes aériennes", a indiqué M. de Romanet mardi, précisant qu'ADP étudiait "avec toutes les parties prenantes les paramètres qui [leur] permettraient de rouvrir dans les meilleures conditions".Selon M. de Romanet, à partir du 1er avril, la baisse du trafic passager "s'est élevé à -98% dans la quasi-totalité" des quelque 25 aéroports que gère le groupe, directement ou indirectement, dans le monde.La reprise du trafic "pourrait commencer au mois de juin", mais atteindrait "50 à 60% du trafic habituel simplement à l'automne", a-t-il ajouté. Sur la base d'une baisse du trafic entre 55 et 65% en 2020, le chiffre d'affaires du groupe, qui avait atteint 4,7 milliards d'euros en 2019 s'établirait entre 2 et 2,5 milliards, a-t-il ajouté, rappelant que la trésorerie du groupe s'élevait à 1,4 milliard d'euros au 31 mars avant le placement d'un emprunt obligataire de 2,5 milliards d'euros."Le groupe est bien armé pour faire face en termes de liquidités à cette rupture en termes de trafic aérien", a assuré M. de Romanet.