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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87519 résultats)
Il y a 4 ans et 344 jours

A Yiwu, Cultural Square, signé UAD : un bâtiment civique

A Yiwu, en Chine, UAD (Architectural Design & Research Institute of Zhejiang University) a construit un bâtiment multifonctionnel dédié à la culture, aux loisirs et à l’enseignement. L’ouvrage, intitulé ‘Yiwu Cultural Square’, est en lui-même une grande scène publique. Communiqué. Le projet est situé dans la zone économique et technologique de Yiwu, dans la province […] L’article A Yiwu, Cultural Square, signé UAD : un bâtiment civique est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 345 jours

H Code, par CL3, un IGH convivial dans le contexte dense de Hong Kong

L’agence de Hong Kong CL3 Architects (William Lim, Clinton Tsoi) a livré  fin 2018 dans le quartier de Central, un projet mixte – logements, espaces culturels, commerces – intitulé H Code et composé d’un bâtiment de 10 étages et d’une tour de 22 étages. Inséré au chausse-pied ? Communiqué. H Code est un projet d’architecture unique […] L’article H Code, par CL3, un IGH convivial dans le contexte dense de Hong Kong est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 346 jours

L'OPPBTP accompagne les référents Covid-19 au sein des entreprises grâce à des formations en ligne

Dans le cadre de sa mission d'accompagnement des professionnels du BTP pour la prévention des risques, l'OPPBTP a donc mis en place de nombreux outils pour les soutenir dans la gestion de cette situation exceptionnelle. L'Organisme propose aujourd'hui deux outils de formation en ligne entièrement dédiés aux référents Covid-19. L'objectif est de les aider à s'approprier les nouvelles missions qui leurs sont confiées ainsi que les outils mis à leur disposition pour y parvenir.Référent Covid-19, un rôle inédit au sein des entreprisesLes nouvelles mesures de prévention exigées pour lutter contre la propagation du Covid-19 bouleversent largement les habitudes des personnels sur les chantiers. Or pour adopter de nouvelles façons de travailler et acquérir de nouveaux réflexes, il est indispensable d'accompagner les équipes en mobilisant les moyens humains. C'est la raison pour laquelle le guide de préconisations de l'OPPBTP propose de désigner un ou plusieurs référents Covid-19 entreprise et chantier. Leur rôle est de coordonner les mesures à mettre en œuvre et de les faire respecter tout en les adaptant à la réalité terrain propre à chaque entreprise. Cela nécessite de connaître les gestes barrières et les préconisations de sécurité sanitaire complémentaires de l'OPPBTP, mais aussi d'être capable de les déployer dans toutes les situations.Deux outils de formation dédiés aux référents Covid-19Dans le cadre de cette situation inédite, l'OPPBTP s'engage donc à accompagner les référents Covid-19 pour les aider à endosser leurs nouvelles responsabilités. Pour cela, l'Organisme propose deux outils de formation gratuits :La formation à distance Référent Covid-19 : mise en place sous la forme de classe virtuelle, cette formation de 2h30 est encadrée par un formateur de l'OPPBTP. Son objectif est de permettre à chaque référent de comprendre les enjeux de sa mission, d'utiliser les outils opérationnels à sa disposition et de l'aider à déployer un plan d'action Covid-19 dans son entreprise en mobilisant les équipes sur la gestion de ce risque. Plusieurs sessions nationales regroupant 15 personnes maximum sont organisées à partir du 14 mai et jusqu'à fin juin. Les référents qui le souhaitent peuvent d'ores et déjà s'inscrire en ligne sur la plateforme de formation à distance de l'OPPBTP.Un module elearning Référent Covid-19 : cette formation de 15 minutes seulement permet à chaque référent de comprendre facilement l'essentiel de sa mission et de découvrir les outils opérationnels qui sont à sa disposition pour la mener à bien. Chaque référent peut y accéder en totale autonomie et quand il le souhaite sur le site preventionbtp.fr. Présenté de manière simple, il se compose de trois vidéos interactives suivies d'un quiz pour tester ses connaissances.
Il y a 4 ans et 346 jours

Marché et crédit immobilier : bilan des comportements et perspectives de reprise

Dans ce contexte, Rami Karam, Directeur Général de lesfurets, et Sylvain Lefèvre, co-fondateur et Président de La Centrale de Financement, réalisent un état des lieux de la situation actuelle et dressent les perspectives de reprise progressive, en ces premières semaines de déconfinement.Point de vue de deux experts :Les marqueurs d'une accélération des solutions digitalisées pour faciliter les démarches immobilièresSylvain Lefèvre : Le confinement a eu un impact très fort sur la demande de crédit immobilier. Malgré le maintien des projets en cours, beaucoup de nouvelles affaires ont été annulées ou différées. Le décret du 4 avril permettant aux notaires de proposer des signatures électroniques pour tous les actes notariés a facilité les démarches qui étaient en attente. L'adaptation des acteurs de l'immobilier avec l'augmentation des visites virtuelles a également ouvert la voie à une reprise progressive du marché.De notre côté, nous avons mis au point, comme la plupart de nos banques partenaires, la signature électronique afin de finaliser, dans les meilleurs délais, les demandes de prêts de nos clients. Nous nous sommes également chargés de prolonger la validité des offres de prêt jusqu'à 90 jours, contre 30 jours habituellement. La digitalisation de la chaîne immobilière s'est donc accélérée avec une légère augmentation des taux au mois d'avril sans que celle-ci n'impacte véritablement les conditions d'emprunt. Les conditions de taux généralement constatées augmentent légèrement pour l'ensemble des durées habituelles de prêts avec 0.07% d'augmentation sur 10 et 25 ans, 0,08% sur 7 et 15 ans. Cette légère tendance haussière s'accentue pour les emprunts sur 20 ans, avec 0.09% d'augmentation constatée, ainsi que pour les emprunts effectués sur 12 ans, pour lesquels les taux se sont accrus de 0.1%.À date, les pertes du marché sont difficiles à estimer, elles seront plus visibles en août-septembre en raison du report de certaines signatures sur mai-juin ; l'été étant une période peu propice aux transactions immobilières.Rami Karam : Côté comparaison, après avoir noté une baisse de quasi 50% des visites sur notre site et de 67% des simulations de tarification sur le produit prêt immobilier au mois d'avril versus la première quinzaine de mars alors que nous comptabilisons 300.000 devis annuels sur le produit immobilier en temps normal, les simulations repartent à la hausse avec une forte reprise depuis le début du mois de mai versus le mois d'avril (+58% en trafic naturel uniquement), celles-ci étant encore plus exploratoires qu'intentionnistes.Pour 70% des Français, l'achat immobilier est l'objectif d'une vie et se fait 1,5 fois au cours de celle-ci, un indice qui explique le choix des consommateurs de continuer à se projeter en faisant des estimations de prêts immobiliers, malgré la période. Sachant qu'un tiers de la charge mentale des Français a été liée à la gestion des dépenses contraintes pendant le confinement, nous avons voulu tenir notre promesse d'accompagnement de cette valeur refuge en développant de nombreux contenus sur le site pour donner des éléments de décryptage et de conseils aux utilisateurs notamment sur les reports et suspensions de prêts. Aujourd'hui, de nombreuses visites s'orientent encore prioritairement vers des pages de contenu plutôt que sur les pages amenant l'usager vers le tunnel de comparaison.Report ou suspension de crédit et assurance emprunteur, quelle bonne formule pour maintenir un budget impacté par la crise économique ?R. K. : En France, l'encours de remboursement de prêts immobiliers détenus par 9 millions d'emprunteurs est de 1.300 milliards d'euros. Si les revenus des Français sont en baisse, il existe des solutions à l'instar du marché italien qui a adopté le 11 mars dernier la possibilité de suspendre le remboursement de son prêt immobilier jusqu'à la fin de l'année. S. L. : La modulation des échéances de prêt n'est possible, en France, que si cette clause est prévue au contrat de prêt (mais, ces clauses ne s'appliquent souvent qu'à partir d'une ou deux années de crédit). Au regard de la situation inédite dans laquelle se trouve l'ensemble du pays, le report des échéances de prêt a été rendu possible pour une durée de 6 mois. Sans pénalités ni frais additionnels, cette mesure exceptionnelle est une solution véritablement solidaire et efficace apportée par les banques. Elle permet à un grand nombre d'emprunteurs de se prémunir de fins de mois difficiles.R. K. : Pourtant cette bonne initiative a un coût et un impact fort : l'allongement des intérêts et le coût de l'assurance qui perdure même en cas de suspension ou report. S. L. : En effet, les échéances de l'assurance emprunteur ne sont pas reportables, puisque le contractant au prêt continue d'être exposé aux différents aléas couverts par l'assurance (ex : problèmes de santé, décès etc.). Celui-ci ne peut pas non plus être dispensé du paiement de ses mensualités, malgré une baisse de revenu liée au chômage partiel. Les assurances emprunteurs ne couvrent en général que la baisse de revenu engendrée par la perte d'un emploi, pour motif économique. R. K. : C'est ici que la comparaison est une solution économique importante. Grâce à la loi Bourquin, les emprunteurs peuvent résilier leur contrat d'assurance emprunteur en deux temps trois mouvements et effectuer des économies pouvant s'élever à plusieurs milliers d'euros par an. Dans la majorité des cas, séparer son crédit et son assurance est une démarche très rentable et les économies peuvent dépasser en moyenne jusqu'à 1.000 euros sur la durée totale du prêt.Le rachat de crédits, champion du traitement à distanceR. K. : Même si nous avons noté une baisse de 30% des demandes d'utilisateurs sur notre site sur les trois premières semaines de confinement, le travail à distance de nos partenaires sur les produits financiers comme le rachat de crédits ainsi que la possibilité de ne pas avoir de frein à la finalisation des documents a permis un maintien de l'offre comme de la demande intéressant pour les consommateurs. Nos partenaires bancaires ainsi que les courtiers ont continué à se rendre disponibles avec des outils digitaux simples et éprouvés. Les simulations reprennent de façon certaine depuis deux semaines avec +30 à 40% sur le produit rachat de crédits.S. L. : La crise que nous vivons actuellement risque d'impacter sur une longue durée les revenus des Français ainsi le rachat de crédits peut permettre de réduire le montant dépensé chaque mois en remboursement d'échéances incluant le capital et les intérêts. Le rachat de crédits pourrait être une solution pour abaisser le poids des crédits sur le budget mensuel des Français.R. K. : À noter que la baisse des mensualités peut aller jusqu'à 60% lors d'une opération de rachat de crédits. Le rachat de crédits est une opération particulièrement intéressante pour éviter toute situation de surendettement puisqu'elle permet notamment de dégager un montant de reste à vivre plus important chaque mois. Si elle peut intervenir sur un seul crédit immobilier ou consommation, l'opération de regroupement de crédits peut également en compter plusieurs et de chaque type. Une solution simple et accessible pour tous les Français !
Il y a 4 ans et 346 jours

Visiter un bien immobilier ou déménager à plus de 100 km du domicile autorisé par le gouvernement

"Afin de permettre aux Français de reprendre leurs projets immobiliers et d'encourager la reprise d'activité du secteur, les déménagements et les visites immobilières en dehors de son département et à plus de 100 km de sa résidence sont désormais autorisés", a déclaré Julien Denormandie, ministre chargé de la Ville et du Logement, cité dans le texte.Exception aux règles imposées depuis la levée partielle du confinement pour lutter contre l'épidémie de Covid-19, sont désormais autorisés les déplacements liés à un déménagement ou à une visite immobilière, "qu'il s'agisse d'achat ou de location, quand ils ne peuvent pas être reportés", a précisé le ministère."Un nouveau modèle d'attestation sera prochainement mis en ligne et précisera les pièces justificatives à fournir pour pouvoir effectuer ces déplacements", selon la même source.Pour les personnes déménageant elles-mêmes: "il leur appartient de se munir de l'attestation de déplacement dérogatoire si le déménagement les conduit dans un autre département et au-delà d'une distance de 100 km de leur résidence initiale", souligne le ministère.A noter que dans le cas d'un déménagement ou d'une visite dans son département et à moins de 100 km de la résidence initiale, aucune attestation n'est nécessaire.Les personnes déménageant peuvent aussi faire appel à un professionnel qui pourra effectuer le trajet "dans le cadre de son activité professionnelle", ajoute le ministère.
Il y a 4 ans et 346 jours

Second tour des municipales le 28 juin : un soulagement pour le BTP

La tenue du second tour des élections municipales le 28 juin prochain soulagera le secteur de la construction. Annoncée ce 22 mai par le Premier ministre Edouard Philippe, cette décision concerne en effet surtout les plus grands donneurs d’ordre du bloc local : les grandes villes de France vont pouvoir relancer leurs commandes avant la fin de l’année. Dans leur sillage, les métropoles et communautés urbaines leur emboîteront le pas.
Il y a 4 ans et 346 jours

Supprimer des jours de repos pour accélérer la reprise serait une "fausse bonne idée" selon les économistes

"Enlever un jour de congé pour booster la croissance, c'est un peu une fausse bonne idée qui réapparaît en France après chaque crise et qui équivaut à une baisse de salaire déguisée", commente auprès de l'AFP Grégory Claeys, économiste à l'institut Bruegel à Bruxelles.Le débat a ressurgi récemment avec une proposition du Medef, toutefois rapidement remballée face à l'hostilité des syndicats.En temps normal, travailler un jour supplémentaire a un effet bénéfique sur la croissance, cependant considéré comme "marginal" par les économistes. Avant la crise, l'Institut national de la statistique avait ainsi estimé à +0,12 point l'effet positif du calendrier en 2020, qui compte deux jours ouvrés supplémentaires par rapport à l'année précédente.Inutile d'espérer accroître cet effet positif en augmentant significativement le nombre de jours ouvrés, préviennent les économistes. Car cela aurait des conséquences négatives - notamment sur la productivité - et pénaliserait certains secteurs d'activités.Raccourcir les vacances d'été de quelques semaines, par exemple, provoquerait un choc supplémentaire chez les professionnels du tourisme et du loisir. "Cela reviendrait à transférer l'activité d'un secteur à un autre, sans véritablement apporter d'avantage à l'économie dans son ensemble", explique à l'AFP Alexandre Delaigue, professeur d'économie à l'université de Lille.Augmenter le nombre de jours travaillés à l'échelle d'un pays permet éventuellement de répondre à un problème d'offre insuffisante ou de compétitivité. Afin d'améliorer cette dernière, le Portugal avait ainsi décidé en 2012 de rayer du calendrier quatre jours fériés. Avant de les rétablir quelques années plus tard.Autre cas de figure: en France, entre 2004 et 2008, le lundi de Pentecôte a été un jour férié non chômé, au cours duquel de nombreux salariés ont travaillé sans être rémunérés afin de financer la prise en charge des personnes dépendantes.Mais à présent "nous avons un problème de demande qui est faible en France et partout dans le monde", en raison des mesures sanitaires pour limiter la propagation de l'épidémie, souligne M. Claeys. Vêtements, meubles ou voitures n'ont guère trouvé preneurs pendant le confinement.Ajustements ciblésPour accompagner la reprise, "nous avons besoin de flexibilité, plutôt que d'une augmentation générale de la durée du travail", indique à l'AFP Agnès Bénassy-Quéré, professeure à l'université de Paris 1 Panthéon Sorbonne."Une journée de travail plus longue pourrait être extrêmement utile aux entreprises des secteurs où la demande est présente, étant donné que nous avons du mal à réallouer la main d’œuvre rapidement", complète-t-elle.Les commerçants, qui retrouvent leur clientèle mais doivent réduire le nombre de personnes accueillies simultanément par précaution sanitaire, pourraient par exemple réaliser un nombre de ventes plus important sur une journée allongée.Dans le secteur du bâtiment, cela permettrait d'opérer une forme de rattrapage sur les chantiers qui ont été interrompus.Lorsque l'activité sera repartie, "aménager d'une manière un peu différente le travail pourrait vraiment améliorer les choses dans certaines entreprises, mais ce type de décision doit être pris au cas par cas et en concertation avec les salariés", précise M. Delaigue.Certaines lois permettent de mettre en place des ajustements, en ayant recours notamment aux heures supplémentaires ou à l'annualisation du temps de travail.Mais "pour l'instant, l'urgence c'est de voir comment les entreprises vont pouvoir fonctionner, nous avons besoin de solutions originales et adaptées aux différents secteurs", estime M. Delaigue.
Il y a 4 ans et 346 jours

Nouveau directeur de la communication et des relations publiques chez Hager Group

Hager Group a nommé Michael Schattenmann, spécialiste de la communication et des relations publiques dans le secteur B2B, au poste de directeur de la communication et des relations publiques du groupe. Michael Schattenmann a pris ses nouvelles fonctions le 1er mai 2020 et rapporte à Franck Houdebert, directeur des ressources humaines et membre du directoire de Hager Group. Il succède ainsi à Harald Börsch, qui a quitté l’entreprise à sa propre demande. Dans ses nouvelles fonctions, Michael Schattenmann prend en charge, à l’échelle du groupe, la communication interne, les relations presse, les relations publiques ainsi que le sponsoring. Il est également responsable de l’identité visuelle de l’entreprise et de l’architecture des marques, contribuant ainsi à l’image de marque du groupe. Il supervise la gestion du Hager Forum, situé au coeur du plus grand site de production du groupe à Obernai (67), qui est une véritable vitrine du savoir-faire Hager et un lieu d’échanges et de vie innovant pour les collaborateurs, clients et visiteurs du monde entier afin de façonner l’avenir ensemble. « Nous sommes très heureux d’accueillir Michael Schattenmann, un communicant et manager expérimenté, à une période où nous concevons notre avenir avec un nouveau projet d’entreprise. Son expertise et son expérience internationale joueront un rôle prépondérant dans le positionnement notre entreprise, dans les années à venir, auprès de nos cibles actuelles et futures conformément à notre ambition d’être un acteur de premier plan du monde électrique de demain », explique Franck Houdebert. Michael Schattenmann était auparavant responsable du storytelling et du marketing pour Heraeus, un groupe familial technologique. Il occupait précédemment différents postes dans les affaires publiques et la communication chez Airbus à Berlin, Toulouse et Munich.
Il y a 4 ans et 346 jours

Milwaukee® étoffe sa gamme de marteaux démolisseurs filaires avec trois nouveaux outils

MILWAUKEE® K 1528 H et K 1530 H : deux nouveaux marteaux démolisseurs ultra-performants dans la catégorie 15 kgLes marteaux démolisseurs MILWAUKEE® K 1528 H et K 1530 H développent une force de frappe impressionnante de 39 Joules et une cadence de 1560 cps/min, assurant ainsi une progression rapide dans les travaux de démolition de dalles de béton et de fondations.Leur design en ligne est idéal pour les travaux de démolition au sol et les burinages intenses.Le modèle K 1528 H est équipé d'une réception HEX 28 mm et le modèle K 1530 H d'une réception HEX 30 mm.MILWAUKEE® K 1000 S : nouveau démolisseur SDS Max dans la catégorie 10 kgTrès proche des deux précédents modèles du point de vue ergonomique, ce marteau démolisseur MILWAUKEE® K 1000 S est équipé d'un emmanchement SDS Max et d'une mécanique puissante délivrant une force de frappe de 26 Joules et une cadence de 1 950 cps/min pour une vitesse d'exécution du travail très rapide.Sa construction compacte en ligne est idéale pour les travaux de démolition verticale et les burinages intenses.Il est également pourvu d'un variateur de vitesse électronique pour ajuster la cadence de frappe en fonction de la tâche à accomplir. Sa fonction Variolock rend possible l'orientation du burin sur 12 positions différentes pour trouver l'angle d'attaque optimal sur le matériau.
Il y a 4 ans et 346 jours

A Xi’an, l’aménagement du Sunac – Centre d’art moderne réalisé en CCD

A Xi’an, en Chine, CCD (Cheng Chung Design) a livré en octobre 2019 l’aménagement du Sunac – Grand Milestone Modern Art Center. Le bâtiment de 5 500 m², devenu un point de repère, entend illustrer le dynamisme culturel de la ville. Communiqué. Érigé à Xi’an, l’antique capitale, le Sunac – Centre d’art moderne apparaît comme […] L’article A Xi’an, l’aménagement du Sunac – Centre d’art moderne réalisé en CCD est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 346 jours

Isola 3 de KE créé un nouvel espace outdoor pour le restaurant italien “Il Casale da Renatone”

Le revendeur KE STORE Arredamenti Crispino a été contacté par le propriétaire du restaurant pour concevoir un nouvel espace extérieur, à la fois fonctionnel et en parfaite adéquation avec le contexte esthétique d'une ferme typique. Une nouvelle zone protégée, qui peut être utilisé et exploité à tout moment de l'année et où vous pouvez placer librement et espacer vos tables en préservant l'intimité et en assurant la sécurité nécessaires aux clients.Les concepteurs du KE STORE d'Isernia se sont concentrés sur la pergola ISOLA 3 de KE: des lignes pures, un toit légèrement arqué équipé avec une toile d'une élégante nuance de blanc mat de chez Ferrari Blockout et créé par Giovanardi ainsi que des fenêtres coulissantes pour pouvoir profiter pleinement de la nature environnante.Une fois de plus, KE se confirme comme le partenaire par excellence pour tous les restaurateurs qui ont envie ou besoin de moderniser l'espace outdoor de leurs locaux. Les structures ont non seulement un design sophistiqué, mais sont parfaitement adaptées à la création de véritables îlots extérieurs, dans le but de pouvoir accroitre sa capacité d'accueil. Hermétiquement refermables sur les côtés, en effet, ils s'adaptent parfaitement à toutes les conditions climatiques. De cette façon, les restaurateurs sont assurés de travailler avec plus de continuité et profite d'un double avantage: pouvoir offrir aux clients un lieu de prestige avec plus de place disponible, sans les inconvénients liés à la saisonnalité et aux intempéries.Dans ce cas précis, une nouvelle zone de 100 mètres carrés a été construite, elle vient compléter le bâtiment principal et répond parfaitement au besoin éventuel de créer des espaces bien séparés et délimités, sans compromettre le style de la pièce. Le kit de lumières LED RGB sur tout le périmètre externe d'ISOLA 3 crée un effet scénographique au coucher du soleil, tandis que les rideaux drapés installés juste devant les fenêtres coulissantes à l'intérieur ajoutent une touche d'élégance classique faisant rappel à la décoration du restaurant.Caractéristiques techniques :GENNIUS ISOLA 3 – Pergola en structure aluminium, disponible en version autoportante ou adosséeDimensions maximales: 550 cm de largeur x 700 cm d'avancéeHauteur du périmètre: 23 cmSystème autoportant dans les dimensions 550 cm x 700 cm avec 4 colonnesSystème adossé dans les dimensions 550 cm x 700 cm avec 2 colonnesSystème entièrement modulaire en largeur et en avancée avec différentes possibilités de construction.En option: kit d'éclairage LED blanc dimmable sur le périmètre interneEn option: kit d'éclairage LED RGB dimmable sur périmètre externeEn option: store vertical latéral Vertika intégré jusqu'à 6 mètres et entièrement dissimulé dans le périmètreEn option: rideau drapé sur le périmètre interneEn option: fenêtres panoramiques coulissantesVis en acier inoxydable non visiblesFiche d'identité du chantier :Nom du projet: Restaurant “Il Casale da Renatone”- “La Ferme de Renatone”Localisation: S.S., Strada Statale 85 var Variante di Venafro, 86077 Pozzilli (IS) Revendeur: KE Store Arredamenti Crispino - Viale S. Nicandro, 116, 86079 Venafro IS Projet: KE Store Arredamenti Crispino - Viale S. Nicandro, 116, 86079 Venafro IS Client: privéSurface couverte: 100 m² Produit installé: Pergola Gennius ISOLA 3, dans les dimensions 10 x 10 mètres, couleur RAL 9010 blanc avec kit d'éclairage LED et fenêtres panoramiques coulissantes.Toile utilisée pour la couverture: Serge Ferrari 602-50537 BLOCKOUT par Giovanardi.
Il y a 4 ans et 346 jours

Le groupe Hexaom et Nexhome signent un partenariat innovant pour la sécurité du domicile

« Une enquête menée auprès de nos clients en 2019, a révélé que le besoin de sécurité des acquéreurs d'une maison est très fort » nous indique Loïc Vandromme, secrétaire général du groupe HEXAOM, qui précise « dans l'année qui suit l'emménagement, nous avons constaté que près de 60% de nos clients s'étaient équipés d'une solution de sécurité, plus ou moins fiable. »En réponse à ce constat, HEXAOM a décidé, de traiter la sécurité du domicile comme une priorité, dès la construction, et non plus comme un sujet secondaire que le client traiterait seul, ultérieurement.Dans ce but, HEXAOM a établi un partenariat, avec la société NEXHOME, un opérateur de sécurité, spécialiste des maisons neuves, qui a développé une offre de sécurité innovante, haut de gamme, efficace, simple et proposée à un prix enfin accessible à tous.« L'offre de la société NEXHOME nous satisfait à double titre souligne Loïc Vandromme :pour les clients : l'alarme connectée fournie par NEXHOME, donne accès à un vrai service de télésurveillance, à un prix très accessible (moins de 15 € TTC/mois) et flexible (le service est proposé sans obligation et sans engagement de durée) ; nos clients nous disent tout simplement : « c'est bien d'y avoir pensé » ;pour les constructeurs : NEXHOME fournit du matériel de haute sécurité, d'une grande marque, réputée pour sa fiabilité. Le processus de pose très souple ne perturbe pas du tout l'organisation de nos chantiers. Ainsi, la sécurité est un plus commercial, sans contrainte technique. »Pour le Groupe HEXAOM, dans une maison, la sécurité n'est pas une optionEn partenariat avec NEXHOME, HEXAOM est le 1er constructeur national de maisons, qui commence à intégrer l'offre de sécurité, en base, dans des maisons neuves.Les chiffres sur la sécurité du domicile en France80%* des Français se disent souvent inquiets lorsqu'ils quittent leur maison.Cette crainte est fondée :1/2* : un Français sur deux sera victime d'un cambriolage dans sa vie.1/3* : un Français sur trois risque de subir un incendie dans sa vie.Une solution existe :les risques diminuent de 75%*, dans une maison équipée d'une alarme fiable, connectée à un PC de télésurveillance, dont les agents sont habilités à appeler directement les forces de l'ordre en cas d'intrusion, ou à alerter immédiatement les pompiers, en cas de départ de feu. Pourtant, moins de 7%* des foyers français sont équipés d'une alarme connectée, avec un vrai service de télésurveillance (versus 14%* dans de nombreux pays européens et 25%* aux Etats-Unis). Le marché français :D'après l'atlas de la sécurité 2019, fin 2019, il y avait environ 1,45 Millions de foyers bénéficiant d'un service de télésurveillance en France.Pourquoi un si faible taux d'équipement en France ?Le principal frein est le prix des services de télésurveillance : il faut compter généralement de 30 € à 45 € TTC par mois, pour un service de qualité. Un prix qui n'est malheureusement pas accessible à tous !NEXHOME résout ce paradoxe avec une offre de télésurveillance accessible à tous à moins de 15 € TTC / mois.* Source : Argus de l'assurance**L'autorisation d'exercer ne confère aucune prérogative de puissance publique à l'entreprise ou aux personnes qui en bénéficient.
Il y a 4 ans et 346 jours

Malerba signe une trilogie numérique non virtuelle

Affichant aujourd'hui 11 unités de production et un chiffre d'affaires de plus de 190 millions d'euros pour 500 collaborateurs, MALERBA revendique une conception et une fabrication 100 % françaises. L'entreprise développe des solutions spécifiques de blocs-portes pour chaque marché, avec, en fil conducteur, performances et qualité, qu'il s'agisse d'esthétique mais aussi d'isolations thermique et acoustique, de résistance au feu ou à l'effraction ou bien encore de sécurisation des flux.Dans sa démarche d'innovation continue, l'industriel rhône-alpin, qui valide 25 à 30 nouveaux procès-verbaux et rapports d'essais par an, mise tant sur le développement de nouveaux produits que sur l'élaboration d'une palette exhaustive de services. Consolidant cette logique d'accompagnement clients, MALERBA annonce aujourd'hui une trilogie d'innovations numérique.Ainsi, outre l'annonce de la disponibilité de 99% de ses références en objets BIM, MALERBA crée la rupture au travers de véritables expériences immersives de show-rooms virtuels, dédiés aux secteurs de l'Habitat, des ERP/Tertiaire et de l'Industrie, pour concevoir, en quelques clics seulement, son bloc-porte ou sa porte technique, à façon. Autre innovation numérique, les équipes Prescription et agents commerciaux peuvent désormais proposer aux professionnels la possibilité de vivre, en 5 minutes environ, un essai feu en conditions réelles. Munis d'un oculus go, ils pourront, grâce à une vidéo tournée à 360° lors d'un véritable essai feu mené dans le laboratoire d'essais d'orientation MALERBA, mieux appréhender tous les enjeux autour de la sécurité incendie et la technicité des produits conçus par MALERBA.MALERBA : l'innovation BIMSeulement deux ans après s'être emparé du sujet BIM, MALERBA propose aujourd'hui une bibliothèque d'objets BIM complète et aboutie, avec la mise à disposition d'objets paramétriques et d'objets paramétrés, ainsi qu'un service support dédié au sujet du BIM. D'ailleurs MALERBA annonce la disponibilité de 99% de ses références produits dans cette base d'objets ; une information qui prévaut également pour les solutions MONTIBERT, soit quelque 968 objets BIM MALERBA et MONTIBERT disponibles ; les 1 % restant étant créés à la demande, via le service SupportBIM MALERBA qui dispose de toutes les compétences requises pour les réaliser.Intelligents, allégés, riches en données, les objets BIM MALERBA et MONTIBERT permettent à l'industriel de se démarquer commercialement et font la différence chez les bureaux d'études comme sur les chantiers, d'autant plus qu'ils sont complétés, depuis mi 2018, de toute l'expertise du SupportBIM, le service dédié au BIM chez MALERBA.Ce département MALERBA, qui traite 80% des demandes entrantes sous 48 heures, est en charge de développer les objets BIM paramétriques ou spécifiques et met aussi à disposition les données structurées des produits. Que le projet soit en phase amont ou chantier, il apporte des solutions adaptées à chaque profil de professionnel (objets paramétrés pour DOE numérique, paramétriques à la demande, conversion au format spécifique demandé, etc.).Ainsi, les objets BIM MALERBA répondent à tous les besoins, allant du basique LOD 200 (dimensionnement de l'encombrement) au complexe LOD 550 (niveau de détail précis). De même, mentionnons que MALERBA peut répondre aussi, sous REVIT, avec des objets RFA, mais aussi sous ARCHICAD avec des objets chantiers paramétrés au format IFC. Sous les logiciels métiers (Tekla, All Plan, Advent, Sketchup, etc.), MALERBA est capable d'assurer 100 % des demandes avec des objets chantiers paramétrés au format IFC ou en DWG 3D, accompagnés d'un fichier .txt intégrant les données structurées. Enfin, les données structurées des références MALERBA et MONTIBERT sont accessibles sur la base EDIBATEC avec une mise à jour régulière au gré des publications des évolutions.Fort du constat que ce service connait un succès croissant et que les clients et les prescripteurs apprécient d'avoir un interlocuteur expert dédié, David PALMERO, Directeur Commercial de MALERBA, précise : « Nous avons fait le choix de développer nos propres objets et d'apporter du support aux projets BIM, d'abord parce que cela fait partie de la philosophie de MALERBA de toujours apporter des solutions globales et concrètes. Ensuite, parce que nous souhaitons accompagner toutes personnes intéressées par les objets blocs-portes dans leur démarche et simplifier leur quotidien. Si nous passions par des plateformes de téléchargement par exemple, sans contact direct avec les utilisateurs de ces objets, nous ne serions pas en capacité d'apporter le niveau de service que nous proposons aujourd'hui et cela nous priverait d'une dimension « veille marché » importante pour nous. » Et de conclure : « Aujourd'hui, nous constatons que les bureaux d'études sont avant tout demandeurs d'objets REVIT, alors que nos clients réclament des objets REVIT mais aussi des données exploitables pour des logiciels métiers tels que Tekla Structure ou BIM Cloisons. Les demandes qui nous parviennent pour des objets sous ARCHICAD sont plus marginales. Chez MALERBA, aujourd'hui, nous sommes en capacité de répondre à 100 % de ces demandes, quel que soit le logiciel utilisé.»MALERBA : l'innovation show-rooms virtuelsSi MALERBA dispose aujourd'hui de 2 show-rooms physiques reconnus et appréciés des professionnels pour leur grande qualité à Cours-la-Ville, ces derniers présentent néanmoins des limites puisqu'ils ne peuvent exposer qu'une sélection infime des produits disponibles dans les gammes MALERBA et MONTIBERT et un tout petit aperçu des différentes définitions et finitions. Ne pas pouvoir démontrer toute l'étendue de ses gammes de blocs-portes et leurs possibilités de personnalisation n'était pas satisfaisant pour MALERBA. Aussi, en complément de ses show-rooms physiques, l'industriel français a imaginé deux show-rooms virtuels, en réalité augmentée, qui permettent de personnaliser son bloc-porte ou sa porte, à façon.Développé avec un logiciel traditionnellement utilisé pour concevoir des jeux vidéo, ce nouveau service MALERBA transporte en effet le visiteur dans une autre dimension. Il s'y déplace physiquement comme dans un véritable point de vente afin de choisir son produit, son huisserie et sa finition, celle du vantail ou encore ses équipements, etc. C'est le même principe qu'un jeu vidéo, en plus complexe puisqu'il y a une infinité de combinaisons possibles ! D'ailleurs, de l'avis même des développeurs, il y a un nombre bien plus importants de scénarios de configurations pour un bloc-porte (plusieurs millions en fait) que de variantes dans un jeu…Le visiteur, plongé dans cette expérience immersive MALERBA, élabore le produit de son choix et peut le visualiser en quelques clics seulement. Notons aussi que le système permet de prendre une photo et de se faire envoyer par email le visuel et le descriptif complet du produit paramétré… pour alimenter par exemple le dossier d'un projet. Efficacité et services MALERBA obligent.Disponibles au siège social de MALERBA, ces nouveaux show-rooms en réalité augmentée peuvent également, pour les partenaires commerciaux qui le souhaitent, être installés dans les locaux de leur entreprise pour une journée. Une occasion particulière de montrer à leurs équipes ou à leurs clients, toute l'étendue des solutions produits du fabricant au travers d'une expérience particulièrement avant-gardiste et ludique qui les transporte dans un univers totalement numérisé.David PALMERO, Directeur Commercial MALERBA, résume : « L'année dernière, nous avons mené une vraie réflexion sur le futur visage de nos espaces show-rooms. Parce que nous commencions à déployer des objets BIM performants et à disposer de données bien structurées, nous avions dorénavant la possibilité de développer des espaces imaginaires et interactifs, avec l'aide d'un moteur de rendu 3D. C'est ainsi que le développement des objets BIM a conduit au projet de virtualisation des espaces show-rooms. Aujourd'hui, MALERBA présente 2 show-rooms virtuels « Portes habitat/ERP/tertiaire » et « PMT/PMIS », qui dupliquent et complètent idéalement les show-rooms physiques de Cours-la-Ville. Ces nouveaux espaces virtuels disposent de possibilités qu'aucun show-room physique ne pourra jamais présenter, puisqu'ils permettent de personnaliser les blocs-portes à l'envi. »MALERBA : l'innovation Essai Feu immersiveAutre volet des nouveautés numériques MALERBA à découvrir, la vidéo immersive en 360° d'un essai feu conduit dans le laboratoire interne MALERBA, de sa préparation à sa phase finale. Beaucoup de professionnels travaillant dans le domaine de la sécurité feu n'ont jamais eu l'opportunité ni de près, ni de loin, d'assister à un essai feu réel (seul le personnel du laboratoire est habilité généralement à assister à l'essai). C'est pourquoi MALERBA, qui possède son propre four d'essais feu, souhaitait leur transmettre cette expérience.Ce laboratoire est intégré au sein d'un bâtiment de 400 m² spécifiquement dédié pour assurer un fonctionnement en totale sécurité. Equipé de 10 bruleurs pilotés par ordinateur qui font monter la température intérieure très rapidement en suivant une courbe de consigne normalisée, le four d'essais MALERBA dispose d'une ouverture de 4 mètres sur 4. Il a été conçu pour recevoir des éléments constructifs non-porteurs tels que des blocs-portes ou des cloisons et évaluer leur résistance au feu.Les produits MALERBA et MONTIBERT y sont testés (50 à 60 produits par an) suivant les principes généraux précisés dans la norme européenne EN 1363-1, et les méthodes d'essais spécifiques EN 1364-1 et EN 1634-1 avec, pour objectif, de qualifier la résistance au feu pendant 30, 60 ou 120 minutes généralement. Notons que lors d'un essai de résistance au feu EI120 (=2 heures), la température du four monte jusqu'à 1 200° C.Mentionnons aussi qu'en complément des tests dans le four d'essais feu, le laboratoire MALERBA dispose également des compétences et de l'équipement pour réaliser des essais d'orientation acoustiques, à l'A.E.V., d'ensoleillement, de battements, de vérins de poussée et D.A.S.Très pédagogique, la vidéo de cet essai feu permet, en 5 minutes environ, de vivre un essai en conditions réelles, avec des explications claires et concises.Une expérience qui assure une meilleure compréhension des enjeux autour de la sécurité incendie et la technicité des produits mis au point par l'entreprise.En effet, MALERBA a eu l'occasion de présenter récemment cette vidéo à plusieurs reprises et les retours sont unanimes sur le réalisme et l'impression immersive ressentis. Il ressort également que cette expérience permet aux spectateurs, acteurs au quotidien de la sécurité incendie, de mieux prendre conscience de l'importance de leur activité et de leur responsabilité en matière de sécurité feu. De plus, ceux qui avaient déjà pu assister à un essai ont déclaré que c'était la 1ère fois qu'ils assistaient à la préparation et à la fin d'un essai dont ils ne soupçonnaient pas ni la complexité ni la technicité.David PALMERO de conclure : « En fait, nous avions la volonté de faire partager à tous les professionnels l'expérience d'un essai réel au feu, ce qui nous a rapidement conduits au choix technique d'une captation vidéo à 360°. Face à l'accueil enthousiaste, notre équipe Prescription et certains agents commerciaux MALERBA ont été dotés d'un oculus go pour donner l'occasion à tous professionnels intéressés de découvrir cette expérience dans les mois qui viennent ».Nouvelles FDES individuellesMALERBA confirme la finalisation de la première partie de son programme d'élaboration de FDES individuelles (Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire), disponibles sur son site internet, rubrique « Démarche environnementale », et bien entendu, sur le site INIES. Ces FDES, propres aux produits MALERBA et MONTIBERT, sont basées sur l'Analyse du Cycle de Vie (ACV) et ont été vérifiées par une tierce-partie indépendante dans le cadre du programme de vérification INIES des FDES. Elles concernent tous les produits blocs-portes bois MALERBA et tous les produits MONTIBERT (blocs-portes bois vitrés, blocs-gaines bois, trappes de visite bois, châssis et cloisons vitrés bois).Nouveautés pour les gammes de blocs-portes HabitatMALERBA a aussi mené un travail sur ses gammes de décors et de finitions. Ainsi, sa gamme TON BOIS pour blocs-portes métalliques habitat a été totalement renouvelée avec une sélection de revêtements PVC affichant résistance aux UV et à l'air salin. Cette nouvelle gamme de décors TON BOIS pour blocs-portes métalliques remplace ainsi la gamme existante pour blocs-portes paliers. De plus, grâce à leurs caractéristiques techniques autorisant une utilisation en extérieur, ces nouveaux décors ont permis à MALERBA d'élaborer une toute nouvelle gamme pour ses blocs-portes d'entrée de maison individuelle.Par ailleurs, de nouveaux décors avec inserts décoratifs aluminium ont vu le jour pour personnaliser les blocs-portes bois paliers (gamme FIBER STYL') et les blocs-portes métalliques paliers (gamme STYL' ART) avec les modèles ZEN et FILETTI dans 2 versions : inox brossé et noir mat.Paumelles, serrures et cylindresPar ailleurs, MALERBA annonce que ses blocs-portes seront prochainement équipés avec de nouvelles générations de paumelles, fruits de 5 ans de recherche et de développement. Déjà commercialisée depuis quelques semaines, la paumelle PM2D a ainsi été conçue spécifiquement pour ses blocs-portes PMT et PMIS. Elle remplace avantageusement la solution antérieure de pivot avec capot en ABS noir, en améliorant considérablement l'esthétique des blocs-portes. Le fabricant s'apprête également à lancer une paumelle innovante conçue exclusivement pour ses blocs-portes bois. Parmi les caractéristiques distinctives de cette nouvelle référence, citons son esthétique d'une grande sobriété, parfaitement lisse, sans fourreau visible ni bouchon rapporté, ainsi que sa grande résistance mécanique. Enfin, MALERBA continue de diversifier son offre de serrures et cylindres connectés pour une ouverture sans clé. Dernièrement, MALERBA a ainsi validé la serrure connectée SOMFY sur ses blocs-portes bois paliers EI30 pour le neuf et la rénovation, venant compléter l'offre déjà existante avec le cylindre connecté ENT'R d'ASSA ABLOY.L'ensemble de ces nouveautés est à retrouver dans le catalogue HABITAT COLLECTIF 2020 et le document TON BOIS pour blocs-portes d'entrée de maison individuelle qui viennent de paraître.
Il y a 4 ans et 346 jours

«Le manque de visibilité sur les recettes est le sujet le plus inquiétant pour les collectivités locales», Luc Alain Vervisch, La Banque postale

L’analyste spécialiste des finances locales — Luc Alain Vervisch est le directeur des études de La Banque postale — identifie l’ampleur des pertes de rentrées des collectivités locales dans les prochains mois et années ainsi que l’incertitude sur les moyens de leur compensation comme les principaux freins à la relance de leur commande publique.
Il y a 4 ans et 347 jours

Au Caire, l'installation de quatre sphinx antiques en pleine ville fait polémique

Vieux d'environ 3.500 ans, les sphinx à tête de bélier et corps de lion ont longtemps orné le temple de Karnak, dévolu au dieu Amon, l'une des principales divinités du panthéon égyptien.Leur transfert début mai sur la place Tahrir, épicentre de la révolte populaire de 2011, a été un déchirement pour certains Louxoriens."Je suis contre le transfert des statues. Ça m'attriste", a regretté Ahmed Idriss, un député du gouvernorat de Louxor."Louxor est un musée à ciel ouvert qu'il aurait mieux valu développer car la valeur des monuments est liée à leur emplacement historique", a-t-il ajouté.Les quatre pièces de grès ont été installées autour d'un obélisque de granite rose trois fois millénaire portant une représentation du roi Ramsès II, pharaon de la XIXe dynastie (1301-1236 avant J.-C.).Ce dernier avait été déplacé quelques mois plus tôt du site archéologique de Tanis, dans le delta du Nil."Objets inestimables"Ce projet urbanistique, lancé par les autorités en 2019, s'est attiré les foudres d'archéologues, de militants et d'universitaires, en raison notamment de l'exposition des pièces antiques à la pollution et à l'érosion.Fin 2019, une pétition demandant l'arrêt des travaux a été adressée au président Abdel Fattah al-Sissi.Invoquant la Convention de Venise (1964) pour la restauration et la préservation des monuments, les avocats du Centre égyptien pour les droits économiques et sociaux (ECSR), une ONG locale, ont même entamé une procédure judiciaire dénonçant la mise en danger "d'objets inestimables".La Convention de Venise a été adoptée par l'Unesco en 1974 et signée la même année par l'Égypte."L'importante pollution sur la place Tahrir va dégrader les objets (antiques)", qui risquent de perdre leur valeur historique, a mis en garde sur Facebook l'égyptologue Monica Hanna.Au cœur de la capitale égyptienne, la place Tahrir est très souvent embouteillée et enfumée.Tahrir héberge plusieurs bâtiments importants dont le musée égyptien, très prisé des touristes, où se trouvent des milliers d'objets antiques et le "Mogamma", un grand bâtiment de style soviétique qui abrite des services administratifs.C'est devant ce dernier que s'étaient réunis en janvier-février 2011 les manifestants de la révolte qui a balayé Hosni Moubarak, après 30 ans de règne.En décembre, M. Sissi annonçait que le transfert des statues sur la place la doterait d'une "touche de civilisation".Pourtant, "Tahrir", qui signifie "Libération", n'est pas dépourvue d'histoire aux yeux de l'architecte Ayman Badr."La place n'a pas besoin d'être décorée avec des éléments historiques (...) Sa valeur historique réside dans sa mémoire", estime-t-il.Entre autres transformations, les autorités prévoient d'unifier la couleur des façades qui entourent la place, d'ajouter de l'éclairage et de réduire le nombre de panneaux publicitaires.Face aux craintes de voir les statues vandalisées, le ministre du Tourisme Khaled al-Enany a affirmé que des piédestaux avaient été construits "afin que personne ne puisse les toucher" et assure que les nouveaux monuments de la place seront régulièrement entretenus.AttractivitéLa date d'inauguration de cette transformation symbolique reste inconnue --les sphinx et l'obélisque attendent sous emballages.Le patrimoine antique de l'Égypte constitue une source importante d'attractivité et alimente l'économie du tourisme, vitale pour le pays.Comme partout ailleurs dans le monde, ce secteur, qui représente 5% du PIB égyptien, est à l'arrêt depuis le début de la pandémie de nouveau coronavirus.En dépit des arguments officiels, M. Badr demeure perplexe quant au bien-fondé du nouvel agencement de la place.Selon lui, les sphinx et l'obélisque sont "éclipsés" par les imposantes constructions qui entourent la place.Mahmoud Zaki, guide touriste à Louxor, considère, lui, que les adversaires du projet "ne se rendent pas compte" de la gloire que représente la présence de ces œuvres sur "la plus célèbre des places d'Égypte".Un avis que partage l'expert en égyptologie Ali Abu Deshish: "Ça n'a pas de sens que des obélisques égyptiens se trouvent sur des places aux quatre coins du monde et qu'il n'y en ait pas sur Tahrir".
Il y a 4 ans et 347 jours

Près de 300 chantiers inscrits sur « Reprise Chantier » en seulement une semaine

Une semaine seulement après ce lancement, cette initiative solidaire remporte un franc succès. Les professionnels travaillant au sein d'entreprises de toutes tailles (des grandes majors du secteur aux PME locales) ont en effet téléchargé l'application afin d'accélérer la reprise de leurs chantiers en toute sécurité. Ce sont ainsi près de 300 chantiers dans toutes la France qui sont déjà inscrits sur l'application « Reprise Chantier ».Marc Germain, cofondateur de Wizzcad, déclare : « Nous ne nous attendions pas à enregistrer un volume de téléchargement si élevé dès la première semaine. Ces chiffres impressionnants témoignent de la nécessité, pour tous les acteurs du secteur, de relancer rapidement leur activité mais aussi et surtout de leur volonté de protéger les équipes en garantissant un niveau maximum de sécurité aux personnes. Nous sommes ravis d'un tel engouement autour de notre initiative et fiers de contribuer, à notre niveau, à accélérer la reprise du secteur ».
Il y a 4 ans et 347 jours

Isover propose de mieux comprendre les certificats d'économie d'énergie (CEE)

Pour accompagner les particuliers et professionnels à y voir plus clair, ISOVER propose tout un dispositif pour mieux comprendre les CEE, lutter contre la précarité énergétique et réduire la consommation énergétique. Les CEE, un puissant levier de développement du chiffre d’affaires des professionnelsRappel du dispositif des CEEDepuis 2005, l’État incite les particuliers et les collectivités à réaliser des travaux de rénovation énergétique en échange d’une prise en charge d’une partie des coûts de ces travaux sous la forme d’une prime ou de bons d’achat assumés par les fournisseurs d’énergie et les distributeurs de carburants (les obligés).Sont notamment éligibles aux CEE, les travaux d’isolation des combles, murs, sols et plafonds pour les bâtiments existant depuis plus de deux ans à la date d’engagement de l’opération. Le demandeur peut être propriétaire, locataire ou bailleur.Avec les objectifs actuels des CEE (1 600 TWh cumac), ce sont près de 9 milliards d’euros de CEE qui sont à réaliser. Autrement dit, 9 milliards d’euros à saisir sur le marché de la rénovation énergétique, notamment en isolant les logements !L’isolation est au coeur du système des CEE avec le dispositif “coup de pouce”Depuis début 2019, le dispositif des CEE est amplifié grâce à la prime “coup de pouce isolation” qui permet d’aider tous les ménages, partout en France, à réaliser des travaux d’isolation à moindre coût. Les aides bonifiées se font sans conditions de ressources financières et sont cumulables pour une prise en charge maximale du coût des travaux. Ainsi, les CEE se cumulent avec le CITE (Crédit d’Impôt Transition Énergétique), le taux de TVA à 5,5% et l’écoprêt à taux zéro (ECO-PTZ), permettant une économie sur le coût total des travaux allant de 50 à 70%*. Autant de leviers pour les entreprises pour obtenir des chantiers !*Source : Baromètre ISOVER/Futurethinking 2019ISOVER répond aux questions que se posent les professionnelsSi, en moyenne, les artisans connaissent quatre dispositifs d’aide aux travaux de rénovation énergétique, les CEE (35%) et le coup de pouce isolation (21%) demeurent en bas du classement, loin derrière les classiques TVA à 5.5 % (81%), PTZ (61%) et CITE (60%). Reste que les professionnels qui, connaissant les CEE, les jugent “complexes” pour les particuliers, alimentant ainsi pléthore d’idées reçues sur le sujet. (source : Étude Mai 2019 - Institut Future Thinking France pour ISOVER).ISOVER aide les professionnels à utiliser les CEE, via des outils pratiquesPour calculer, en quelques clics, le montant des aides pour des travaux d'isolation thermique en rénovation, ISOVER a mis en place un outil digital, pratique et rapide appeléCALCUL'AIDESUn PACK CEE ISOVER ENTREPRISES est également disponible gratuitement sur notre site pour les professionnels. Il est composé d'une réglette permettant de visualiser d'un coup d'oeil les économies réalisées par les clients sur les travaux d'isolation, et d'un guide pour connaître les correspondances des produits isolants par rapport au niveau de confort souhaité, éligibles aux aides financières.ISOVER accompagne les professionnels via de nombreuses formations, dont une pour obtenir la qualification RGE. Ce label, dit d'éco-conditionnalité, permet aux professionnels de faire bénéficier à leurs clients des aides fiscales de l'État.À partir du 16 septembre, et durant deux mois, ISOVER lance une vaste campagne de communication qui servira d'amplificateur pour recourir à la mise en place des Certificats d'Économies d'Énergie dans le cadre des enjeux de la Transition Énergétique.Cette campagne, qui tranche avec la tonalité d'une campagne classique, a pour vocation de mettre fin aux idées reçues des professionnels comme des particuliers en apportant des solutions concrètes pour favoriser les CEE.
Il y a 4 ans et 347 jours

Enerplan promeut le solaire pour dissiper toute tentation d’une « relance grise »

Début Avril, mettant en avant la pandémie, le Medef demandait un moratoire sur les évolutions environnementales. A l’inverse, Enerplan  préconise aujourd’hui une relance par le solaire.
Il y a 4 ans et 347 jours

Nouveau guide pratique « Les toitures et terrasses végétalisées – 2ème édition »

Pour concevoir, réaliser et entretenir une toiture végétalisée, dans les règles de l'art !Ce guide couvre la globalité de la démarche de mise en œuvre d'une toiture végétalisée:conception du projet ;choix des éléments porteurs et du complexe isolation-étanchéité ;choix du complexe de végétalisation ;traitement des ouvrages particuliers ;dispositif d'arrosage et zones de toiture inadaptées ;entretien des toitures et terrasses végétalisées.Le présent guide est basé sur les DTU de la série 43, les Règles professionnelles CSFEADIVET-L'enveloppe du bâtiment, le fascicule 35 du CCTG « Aménagements paysagers » et les normes produits en vigueur.Cette nouvelle édition prend en compte les évolutions des règles de l'art sur la base des nouvelles règles professionnelles et des Avis Techniques de procédés de végétalisation. Deux nouveaux chapitres sur les intervenants de la chaîne et sur les travaux préparatoires de la toiture (délimitation des zones plantées et non plantées, etc.) dans le cadre de la mise en œuvre de la végétalisation sont proposés. Parmi les compléments de cette nouvelle édition, on peut aussi citer, dans le chapitre 3, la distinction faite entre les éléments porteurs à usage structural (terrasses végétalisées multi-usages partiellement accessibles) et à usage non structural (terrasse végétalisée non accessible). La partie sur la végétalisation a également été actualisée.Auteur(s)Cette nouvelle édition a été rédigée par Ismaël Baraud, ingénieur évaluation au Pôle évaluation étanchéité couverture de la Direction Enveloppe Isolation et Sols du CSTB, et Claude Guinaudeau, expert des techniques du paysage et de l'environnement.Sommaire▪ Le domaine d'application du guide ▪ Les intervenants ▪ La conception du projet de végétalisation ▪ Typologie des structures de végétalisation des toits et terrasses ▪ Les plantes ▪ Les prescriptions d'exécution des ouvrages de toitures ▪ La mise en œuvre des structures du bâti support ▪ Les toitures-terrasses végétalisées et le développement durable ▪ La maintenance et l'entretien des toitures végétalisées ▪ Réglementation, normes et autres documents de référenceCollectionGuide Pratique développement durablePublic viséCe guide sera utile à tout professionnel concerné par un projet de toiture végétalisée : maîtres d'ouvrage, architectes, étancheurs, paysagistes, donneurs d'ordre, collectivités locales, services urbanisme...Points fortsGuide basé sur les DTU de la série 43 et sur les Règles professionnelles.Pas d'ouvrage réellement concurrent.Guide complet qui aborde l'ensemble du sujet.
Il y a 4 ans et 348 jours

Covid-19 : "Appel commun" de 70 associations pour une "reconstruction écolo et sociale"

Sur le site https://www.appel-commun-reconstruction.org/ elles appellent à signer ce texte qui demande aux responsables politiques de "revoir nos priorités dans la reconstruction qui s'annonce pour éviter les catastrophes à venir"."La grande erreur serait de reconstruire notre monde en conservant les méthodes d'hier. Notre société s'est révélée fragile, alors que nous sommes face à de nombreux autres périls. En plus des crises sanitaires, les désastres écologiques nous menacent et les inégalités sociales nous rendent toujours plus vulnérables", écrivent-elles."Investissons massivement, formons et créons des emplois dans les activités écologiquement et socialement responsables", poursuit le texte.Les signataires peuvent accéder sur le site à un outil pour interpeller par mail des responsables ministériels et leurs députés.Initié par des organisations de jeunes, le texte a été signé par des ONG environnementales (WWF, France nature environnement, Fondation Nicolas Hulot...) ou sociales (Emmaus, ATD quart-monde...), des associations citoyennes, des collectifs de soignants (étudiants en médecine, infimiers), des syndicats étudiants et des think tanks (Terra Nova, Shift Project...), des syndicats étudiants (FAGE, FIDL...).
Il y a 4 ans et 348 jours

Un site d'achat et une cellule psychologique à destination des entreprises

CRISE. Un site d'achat d'équipements de protection individuelle ainsi qu'une cellule d'accompagnement psychologique ont été mis en place par l'Union des entreprises de proximité afin d'épauler les artisans dans cette période délicate de reprise d'activité. Bercy a apporté son soutien à la démarche.
Il y a 4 ans et 348 jours

Après le prolongement nord, Colas Rail conquiert le sud de la ligne 14 du métro

CONTRAT. Colas Rail, en groupement avec ETF, a remporté un nouveau marché sur la ligne 14. Après avoir posé les voies du prolongement nord, c'est sur la partie sud que l'entreprise va désormais se concentrer.
Il y a 4 ans et 348 jours

Covid-19 : des aides pour déstocker les boues d’épuration dans l’Est

L’agence de l’eau Rhin-Meuse débloque 6 millions d’euros pour inciter les exploitants de stations d’épuration à trouver d’autres exutoires que l’épandage, très largement interdit par la propagation du Coronavirus.
Il y a 4 ans et 348 jours

Centrer les plans de relance sur les renouvelables, nouvel impératif économique

DÉVELOPPEMENT DURABLE. La pandémie de coronavirus n'a pas épargné les capacités de production énergétique de par le monde, selon l'Agence internationale de l'énergie, même si celles-ci ont plutôt bien encaissé le coup. Mais, une nouvelle fois, les spécialistes exhortent les gouvernements à placer les renouvelables au coeur des plans de relance post-Covid.
Il y a 4 ans et 348 jours

Architectes et urbanistes cherchent à concevoir la ville de rêve post-confinement

Architectes, urbanistes, maires, mouvements citoyens se mobilisaient depuis une dizaine d'années, sans être beaucoup écoutés, pour une ville où vivrait un "homo qualitus" respectueux de l'environnement dans des espaces dilatés.Ils se sentent désormais mieux épaulés par nombre de Français, qui ont pris goût au télétravail dans un environnement silencieux et vert.Le premier chantier qui semble le plus prometteur à engager est celui des périphéries urbaines.Dans les années 60 et 80, "on a massacré les entrées des villes avec des zones commerciales et artisanales aujourd'hui obsolètes. Des centaines de milliers d'hectares avaient été artificialisés, étanchéifiés, asphaltées", explique à l'AFP Denis Dessus, président du Conseil national de l'Ordre des architectes.Parking de supermarché reconverti en parc"Transformer un parking de grande surface rapidement en un parc avec des milliers d'arbres, et densifier autour est assez facile", observe Philippe Goncalves, président de l'Ordre des architectes d'Occitanie, et militant passionné d'écologie."Il faut entre 18 mois et 3 ans pour que des vers de terre reviennent", observe sa femme Leslie, également architecte."Ramener de la ville là-dedans, repaysager, y remettre du logement", c'est possible, confirme Denis Dessus qui remarque qu'"aux Etats-Unis ou en Chine, les centres commerciaux traditionnels sont à l'abandon".Cependant, pour dessiner la ville de demain, avertit-t-il, "il ne suffit pas de tartiner en vert". Il déplore le peu de moyens mis dans la planification urbaine, alors qu'"il faudrait des équipes pluridisciplinaires, d'architectes, paysagistes, écologistes".Un puissant levier économiqueAujourd'hui, les logements doivent être polyvalents et traversants, avec internet à haut débit, où on puisse vivre en famille, travailler et faire du sport.Le couple d'architectes écolos vante les "matériaux bio sourcés" ou "géo-sourcés" pour construire des bâtiments "écolomiques", "durables, "recyclables", voire "biodégradables". Recyclage, ventilation, mise aux normes.. La construction neuve ou la rénovation du bâti ancien, "qui n'est ni inscrit ni classé mais qui a un intérêt" constituent un "vrai levier économique, qui fera travailler le plâtrier et le peintre" dans le contexte de crise, note Denis Dessus. 5 à 6 millions de personnes sont mal logées en France, selon lui.Partout, le "même mouvement de fond" est perceptible, qu'il s'appelle "slow down", "slow cities", circuits courts, analyse la géographe Lise Bourdeau-Lepage, de l'Université Lyon 3. Poumons verts, réduction des émissions polluantes et des voitures, ilôts de fraîcheur... De Lyon à Paris, Lille, Strasbourg, Nantes, Rennes, ces dossiers sont des enjeux municipaux: pistes cyclables, aménagement des berges."Les gens se réapproprient leur espace public", observe la géographe: ainsi "on va enlever le bitume pour permettre aux gens de cultiver des petits carrés végétalisés sur le trottoir à Lyon".De même "on peut cultiver son petit pied d'arbre" par exemple dans le XIIIe arrondissement de Paris. "Cela peut être vu comme une privatisation de l'espace public par les populations plus aisées", mais c'est un phénomène positif.Ce qui se passe, c'est aussi, dit-elle, "une revanche du voisinage" et "du piéton qui avait été violemment éjecté par l'automobiliste": désormais "le quartier est pensé de manière qu'à une distance d'un quart d'heure de marche un ensemble de services et de biens soient disponibles"."Au niveau d'un quartier, illustre Leslie Goncalves, imaginons qu'on ait un petit jardin. La ville le récupère, le met en gouvernance partagée avec des habitants. Les légumes et fruits sont redonnés en partie à une association. On va être plus autonome alimentairement". Et on pourra produire du biogaz à partir des bio-déchets...Seconde vie pour les bourgs ?M. Dessus espère que les petites villes et bourgs, aux centres souvent très dégradés, vont retrouver une deuxième vie avec l'arrivée de citadins et d'entreprises.Pour cela, il faut régler la fracture numérique, cette "diagonale du vide" qui fait que des gens ne peuvent pas avoir le téléphone, et veiller au maintien des dessertes de trains.Pour Leslie Goncalves, l'alternative "ce n'est pas soit tout ville soit tout campagne". "Il faut un rééquilibrage" grâce notamment aux implantations des bureaux des entreprises.Ces "smart cities" du futur seront-elles forcément démocratiques: avec les moyens d'informations, recours aux drones, connaissance spatiale, "elles pourraient être aussi très sécuritaires", s'inquiète Lise Bourdeau-Lepage.
Il y a 4 ans et 348 jours

Reprise économique: le gouvernement à l'heure des choix

Face à l'ampleur du choc, certains estiment que l'économie d'après ne pourra plus ressembler à celle d'avant, avec une occasion inespérée de concilier croissance et environnement, ou de pousser à plus de "made in France".A plus court terme, le chômage et, comme l'a dit le Premier ministre Edouard Philippe, "l'appauvrissement" qui se profile pour une partie de la population remettent en débat l'organisation du temps de travail et les choix fiscaux du quinquennat.(Re)taxer les plus richesEmmanuel Macron avait baissé les impôts pour les plus riches au début de son quinquennat, espérant les voir financer l'économie.Mais la crise et les dépenses engagées par l'Etat relancent le débat sur un rétablissement de l'impôt sur la fortune (ISF), remplacé en 2018 par l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Il est réclamé par la gauche et le Rassemblement national. Une sorte "d'impôt de guerre", pour le numéro un du PCF Fabien Roussel."Le pouvoir politique aura du mal à y échapper d'une manière ou d'une autre", a aussi jugé l'ancien conseiller social de Nicolas Sarkozy, Raymond Soubie, dans Les Echos, évoquant plus largement la taxation du capital.Pour le patron du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, ce serait toutefois "un très mauvais signal".Le gouvernement a martelé qu'il ne voulait pas d'augmentation d'impôts, quitte à laisser filer le déficit et la dette du pays, avec le blanc seing de Bruxelles.Travailler plus ?Comment relancer la production après deux mois de confinement et avec des entreprises dans une situation financière fragile? Comment redonner du travail aux centaines de milliers de personnes que la crise va mettre au chômage?A gauche et au sein des organisations syndicales, on défend un partage du temps de travail, et une réflexion pour "travailler autrement" et "mieux", selon le patron de la CFDT Laurent Berger.A droite, on plaide pour en finir avec "le carcan des 35 heures"."Dans certains secteurs, la demande peut-être soutenue, mais les contraintes sanitaires font que la productivité baisse: c'est là que la question du travailler plus peut se poser", a estimé Geoffroy Roux de Bézieux.Il avait auparavant évoqué une réduction de jours de congés ou de jours fériés pour "faciliter, en travaillant un peu plus, la création de croissance supplémentaire".Dans les entreprises, syndicats et direction peuvent conclure des accords de "performance collective" pour renégocier le temps de travail et la rémunération des salariés en cas de difficultés, a rappelé la ministre du Travail Muriel Penicaud.Une relance vertePour les défenseurs de l'environnement, les plans de relance sont une opportunité pour lancer la transition vers une économie bas carbone que l'on a peiné jusqu'ici à enclencher.Même le ministre de l'Economie Bruno Le Maire estime que la France doit devenir la "première économie décarbonée de la planète", en investissant dans les véhicules électriques, la rénovation des bâtiments... Le plan de relance qu'il présentera à la rentrée et les soutiens spécifiques aux filières automobile et aéronautique pourraient concrétiser cette ambition, avec des contreparties environnementales réclamées aux industriels.Mais certains milieux économiques réclament une pause dans l'application de nouvelles règles environnementales, le temps de surmonter la crise.Relocaliser les usinesPénurie de masques, de médicaments: l'épidémie a conduit l'exécutif à défendre une plus grande indépendance économique dans des secteurs clés, comme la santé. Plus largement, elle fait s'interroger sur l'éclatement mondial des chaînes de production."Le jour d'après ne ressemblera pas au jour d'avant, nous devons rebâtir notre souveraineté nationale et européenne", a affirmé le président Emmanuel Macron.Bruno Le Maire a aussi demandé aux constructeurs automobiles de "relocaliser certaines productions" en contrepartie du soutien public.Mais relocaliser des usines en France pourrait s'avérer difficile, alors que la compétitivité va rester capitale pour les industries fragilisées par la crise."Un mouvement de relocalisation ne pourra s'enclencher sans une réflexion sur notre compétitivité et nos coûts de production", a prévenu sur Twitter le président du Medef.Le gouvernement planchait avant l'épidémie sur une baisse des impôts de production, souvent une charge fixe pour les entreprises. Il ambitionne toujours de mener à bien cette réforme, malgré les faibles marges de manœuvre financières et l'opposition des collectivités qui en tirent une partie de leurs recettes.
Il y a 4 ans et 348 jours

Renaud Muselier, président des régions de France, pour un CPER de relance

Renaud Muselier, président de la région Sud-Provence-Alpes-Côte d’Azur et des régions de France, a profité de la visite du chantier de restructuration de la gare d’Aix-en-Provence, ce mardi 19 mai, pour rappeler son engagement dans la relance de l’économie. En tant que président des régions de France, il veut aussi discuter avec l’Etat d’un « contrat de plan Etat-Région de relance sur des chantiers engageables dans les six mois qui viennent ».
Il y a 4 ans et 348 jours

Daniel Rueda et Anna Devís : Photographies

Originaire de Valence (Espagne), le duo de photographes à la ville comme à la vie immortalise le paysage urbain à travers des clichés ludiques et imaginatifs. Se mettant tour à tour en scène devant certains des bâtiments les plus iconiques de la ville, les deux artistes exposent leur créativité quotidiennement sur Instagram. Léger et graphique, leur travail constitue une escapade des plus agréables. Connue pour son impressionnante Cité des arts et des sciences, la ville de Valence se révèle être un véritable terrain de jeu pour les photographes d’architecture. C’est dans ce décor urbain qu’exerce le duo d’artiste Daniel Rueda et Anna Devis qui créé des visuels plein d’humour à l’esthétique parfaitement calibrée révélant les bijoux architecturaux de leur terre natale. Quand l’un est derrière l’objectif, l’autre pose devant l’un des nombreux édifices à l’architecture remarquable de la commune, mettant son corps au service de l’échelle monumentale de certains des bâtiments futuristes caractéristiques de la Cité. Architecte de profession, Daniel Rueda a le don de trouver des lieux d’exception pour leurs séances photo. « Si je n’avais pas eu cette formation, je doute fort que j’aurais pu trouver les architectes, les œuvres et les références qui influencent mon travail aujourd’hui. L’œil est vraiment quelque chose qui doit se travailler et heureusement, l’architecture est un domaine très stimulant visuellement. » confie-t-il d’ailleurs à propos de son parcours.L’oeil unique des deux parties du couple leur ont d’ailleurs ouvert les portes de nombreuses collaborations avec des marques prestigieuses.Alors, prêt pour un voyage photographique à Valence ? Pour en savoir plus, visitez le compte instagram de Daniel Rueda et Anna DevisPhotographies : Daniel Rueda et Anna DevisZoé Térouinard
Il y a 4 ans et 348 jours

L'apprentissage risque un coup d'arrêt brutal à la rentrée

Il y a trois mois seulement, la ministre du Travail Muriel Pénicaud célébrait "la dynamique exceptionnelle" de l'apprentissage avec 368.000 contrats signés l'année dernière, un bond de 16%, conséquence de la bonne conjoncture et des premiers effets de la réforme de 2018 qui "a supprimé les freins" à l'essor de cette formation en alternance.Si cette hausse restait tirée par l'enseignement supérieur, l'apprentissage avait enfin redémarré, après une décennie difficile, dans le secondaire, du CAP au Bac Pro, signe d'un changement d'image auprès des jeunes et de leurs familles.Cet essor aurait dû se poursuivre en 2020, porté par l'ouverture de nombreux centres de formation d'apprentis (CFA) par les entreprises elles-mêmes, une des nouveautés de la réforme qui a libéralisé le secteur.Mais le confinement a complètement changé la donne.Certes, des mesures ont été prises pour que les apprentis gardent leur formation et leur contrat de travail (cours à distance, examens en contrôle continu, accès au chômage partiel).Mais se profile maintenant la rentrée avec la perspective d'un coup d'arrêt brutal des offres des entreprises."Les processus de recrutement dans les entreprises sont à l'arrêt, ça va être difficile de signer des contrats d'apprentissage en juin-juillet pour septembre", redoute Aurélien Cadiou, président de l'Association nationale des apprentis de France(Anaf).Si les grands groupes continueront à prendre des apprentis, souvent de l'enseignement supérieur, "les TPE vont être davantage frappées par la crise alors qu'elles emploient beaucoup d'apprentis de niveau inférieur au bac, là où l'effet de l'alternance sur l'insertion dans l'emploi est le plus fort", souligne-t-il.Face à l'incertitude, "certains collégiens et lycéens préféreront se replier sur la voie technologique ou générale", craint M. Cadiou alors que "l'apprentissage est déjà rarement le premier choix d'orientation".Les CFA, qui ont dû annuler leurs journées portes ouvertes ou salons de recrutement au printemps, ne notent cependant pas de baisse d'intérêt."On a organisé des journées virtuelles qui ont très bien marché", témoigne Jean-Claude Bellanger, secrétaire général des Compagnons du Devoir.A défaut d'une hausse de 37% de ses effectifs comme en 2019, M. Bellanger table sur "un même niveau de recrutement, ce qui serait déjà très bien. Ce qui va nous pénaliser, c'est l'emploi".Extension de l'aideMême constat préoccupant dans les branches professionnelles, qui ont vu leur rôle renforcé avec la réforme."On est sur le même niveau de candidatures côté jeunes. Notre inquiétude est côté entreprises: si aucune mesure n'est prise, nous projetons une baisse de 20 à 40% des alternants", rapporte David Derré, directeur emploi-formation de l'UIMM (métallurgie), qui comprend les filières particulièrement touchées de l'automobile et l'aéronautique.La branche, qui emploie 50.000 alternants (35.000 apprentis et 15.000 contrats de professionnalisation) avait prévu d'augmenter ce chiffre de 50% d'ici 2023, un objectif "qui n'est plus d'actualité", admet M. Derré.Pour éviter "une situation critique" à la rentrée, l'UIMM demande l'adoption de "mesures choc" d'ici juin.L'une d'elle est l'extension de l'aide unique à l'apprentissage, réservée aux entreprises de moins de 250 salariés et aux niveaux bac et inférieur.Cette aide, de 4.125 euros pour la première année d'un contrat, doit "être doublée et généralisée, quels que soient l'entreprise et le diplôme".De son côté, l'Anaf demande la prolongation de la période, actuellement de trois mois, pendant laquelle un jeune peut intégrer un CFA sans contrat. "Un allongement à un an laisserait à un jeune jusqu'à l'été 2021 pour trouver une entreprise", souligne M. Cadiou.Cela permettrait, selon lui, de résoudre un autre problème, le financement des CFA qui, depuis la réforme, dépend de leur nombre d'apprentis et serait en péril en cas de chute des effectifs.Des revendications auxquelles Muriel Pénicaud, fortement engagée sur l'apprentissage, devrait être sensible."Il faut un grand élan national sur l'apprentissage, ce sera une des priorités du plan de relance", assure la ministre, qui en discute mardi avec les partenaires sociaux.
Il y a 4 ans et 348 jours

Benoît Fabre, nouveau vice-président Aliaxis France

Le spécialiste des solutions dédiées au transport de fluides en matériaux de synthèse (Nicoll, Girpi et Aliaxis Utilities & Industry) annonce l’arrivée de Benoît Fabre au poste de Vice-Président France. Il succède ainsi à Benoît HENNAUT, qui pilotait la filiale française depuis 2013.
Il y a 4 ans et 348 jours

Nomination de Laurent Germain au poste de directeur général d'Egis

Au terme de cette démarche, la Caisse des Dépôts, actionnaire majoritaire d'Egis, a décidé de proposer la nomination de Laurent Germain, actuellement directeur général du groupe Segula Technologies, au poste de directeur général du Groupe Egis. Celle-ci sera confirmée lors d'un prochain Conseil d'Administration et Laurent Germain rejoindra le Groupe le 2 juillet.Nicolas Jachiet, Président-directeur général d'Egis, déclare : « Je suis fier du parcours de développement et d'internationalisation accompli par l'ensemble des équipes d'Egis au cours des 15 ans où j'ai dirigé le groupe. Alors que j'ai fait le choix personnel d'un départ en retraite, je me réjouis d'accompagner Laurent Germain au cours des prochains mois, posant ainsi les bases solides d'une succession réussie pour Egis. Notre première priorité sera bien sûr de poursuivre les actions engagées pour faire face à la crise sanitaire et économique actuelle, en assurant la sécurité de nos collaborateurs et la continuité de notre activité pour nos clients. Et le groupe fera tous ses efforts pour reprendre le chemin d'un développement ambitieux au service d'un futur durable pour les populations, conformément à sa vocation »La Caisse des Dépôts proposera également la nomination de Paul-Marie Chavanne, déjà administrateur d'Egis, comme président non exécutif du Conseil d'administration d'Egis. Après une carrière diversifiée dans l'industrie, Paul-Marie Chavanne dirige depuis 20 ans le groupe Geopost, dont il va prochainement quitter la présidence. Laurent Germain, 48 ans, est actuellement Directeur général de Segula Technologies. Diplômé de l'ESSEC ('Ecole Supérieure des Sciences Economiques et Commerciales) et de l'Institut d'Etudes Politiques (IEP) de Paris, il est ancien élève de l'Ecole Nationale d'Administration (promotion 2000). Après avoir exercé différentes fonctions au sein du Ministère de l'Economie et des Finances, il devient en 2004 Conseiller du Ministre délégué à la Recherche, M. François d'Aubert, en charge des affaires budgétaires. Un an après, il est nommé Directeur financier du Centre National d'Etudes Spatiales (CNES), où il a fortement contribué à transformer la gestion des projets. Il a également assuré la présidence du conseil d'administration de CLS, filiale du CNES, qu'il a contribué à développer et où il a piloté l'entrée au capital d'Ardian. En 2014, il rejoint Segula Technologies, groupe mondial d'ingénierie et de conseil en technologies. Directeur général, il y a mené une forte croissance du Groupe (plus du doublement de la taille en 6 ans), notamment internationale, en portant une attention particulière à l'innovation.Paul-Marie Chavanne, 68 ans, est actuellement Président du groupe Geopost. Ingénieur de l'Ecole Centrale de Paris, ancien élève de l'Ecole Nationale d'Administration, il est Inspecteur des Finances et a débuté sa carrière au Ministère de l'Economie et des Finances, où il a passé près de onze ans. Paul-Marie Chavanne a occupé, pendant 31 ans, des fonctions de Direction Générale dans plusieurs groupes industriels (Autodistribution, Strafor Facom ou encore Automobiles Citroën). En 2001, il devient PDG de Geopost, la filiale de colis Express du Groupe La Poste, qui est devenu sous sa présidence le deuxième acteur de l'Express en Europe.
Il y a 4 ans et 348 jours

Rentrée 2020 : L’ESTP Paris lance deux nouvelles formations

L’ESTP Paris proposera deux nouvelles formations. D’un côté, un double-diplôme “Architecte-Ingénieur”. De l’autre, un bachelor “Manager de la construction”. [©DR] A la rentrée 2020, L’ESTP Paris proposera deux nouvelles formations. D’un côté, un double-diplôme “Architecte-Ingénieur”. De l’autre, un bachelor “Manager de la construction”. L’ESTP Paris et l’ESA Paris (Ecole spéciale d’architecture) se sont concertées pour délivrer en six ans leur formation d’excellence “d’Architecte-Ingénieur”. Ce double diplôme conduira à l’obtention du master d’architecte et d’ingénieur, spécialité bâtiment. La formation se fera, à Troyes, sur le campus de l’ESTP Paris. Le programme sera pluridisciplinaire. Et combinera des enseignements scientifiques, techniques, artistiques et sociologiques. Les étudiants y développeront ainsi des compétences pointues pour les deux métiers complémentaires que sont l’architecture et l’ingénierie. Une pédagogie interactive, en mode projets, permettra de combiner acquisition de compétences théoriques et opérationnelles.  Par ailleurs, le bachelor “Manager de la construction” a, lui, pour ambition de former en trois ans des professionnels, pour qu’il soient immédiatement opérationnels dans trois métiers. A savoir : manager dans la conduite de travaux, en bâtiments et travaux publics. Puis, manager de projets immobiliers. Et enfin, manager en gestion des risques et prévention dans la construction. Le programme de cette formation post-bac (recrutement sur ParcourSup) mettra l’accent sur les compétences managériales, scientifiques et techniques. Ainsi que sur les pédagogies collaboratives, le mode projet… Cette formation sera un tremplin vers la poursuite d’études en école d’ingénieur, pour les étudiants qui le souhaitent. 
Il y a 4 ans et 348 jours

Un ranch moderne récemment achevé dans une ancienne ferme de noix de pécan, au Texas

Fulshear, Texas. Une vaste résidence moderne composée de quatre bâtiments a récemment été construite sur une ancienne ferme de noix de pécan, à quelques kilomètres de Houston.David Wersebe, qui travaille dans le domaine de la redevance minière à Houston, a conçu lui-même le projet de plus de 550 m², développé sur le ranch familial de 85 hectars. Il a engagé un architecte pour établir les plans de construction.« À l'origine, j'ai construit cette maison pour moi. Si elle ne se vend pas, il est possible que je m'y installe », explique David Wersebe. « Nous aimerions la vendre aux alentours de 3 millions de dollars, ce qui est envisageable au vu de la culture équestre particulièrement importante ici. »La demeure, actuellement sur le marché, mêle des éléments de son site d'origine, un verger de pacaniers, avec des matériaux complémentaires à cet environnement. Du calcaire texan et des poutres provenant d'une grange amish vieille de 200 ans, tous deux taillés à la main, encadrent la vaste entrée, tandis que de grandes fenêtres métalliques sur mesure ouvrent sur un paysage naturel. Le bois durable modifié Kebony Character, spécifié comme revêtement pour les quatre façades, reflète la dimension naturelle mais moderne de la maison.« Le revêtement en bois Kebony fonctionne extrêmement bien sur ce projet », souligne David Wersebe. « Le fait que le bois prenne une patine gris argenté au fil du temps lui permet de se fondre harmonieusement dans son environnement. »La maison est organisée autour de quatre « capsules » distinctes : la capsule centrale accueille le salon, la cuisine et les autres espaces partagés ; les capsules nord et sud comprennent respectivement les chambres d'amis et la suite principale. Un garage climatisé distinct peut accueillir quatre voitures et comprend une porte de hangar qui ouvre sur un auvent, deux espaces de travail surélevés, ainsi qu'une terrasse d'observation sur le toit.Les quatre structures sont couvertes de métal, et comportent des auvents conçus sur mesure avec des treillis irrigués. La capsule centrale abrite un salon en chêne blanc sur deux étages, couronné d'un plafond cathédral ; son porche arrière comprend une terrasse en porte-à-faux surplombant le lac Lucille, avec un patio couvert et une cheminée à bois. Un pont à ossature en acier et à parois vitrées, offrant une vue imprenable, mène à la suite principale. Cette maison unique en son genre est entourée de terrains de polo et d'installations équestres.* La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d'améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l'environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide biologique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa durabilité et sa stabilité dimensionnelle, sans pour autant sacrifier son esthétique.
Il y a 4 ans et 348 jours

Fin de vie des matériaux biosourcés

Selon une étude menée par le Ministère de l’environnement en 2017, les entreprises du BTP ont produit 227,5 millions de tonnes (Mt) de déchets sur l’année 2014. Pour le secteur du bâtiment seul, ce chiffre s’élève à 42,2 Mt dont 10 Mt de déchets générés liés au second œuvre. Sur ces 10 Mt, seules 3 […]
Il y a 4 ans et 349 jours

Covid-19 : moins de 2% du trafic aérien habituel en avril à Paris

Le trafic de Paris Aéroport est en baisse de 98,6% par rapport au mois d'avril 2019 avec 100.000 passagers accueillis, a indiqué le gestionnaire dans un communiqué.À CDG, seuls les terminaux 2A, 2C, 2E et 2F ont été ouverts au mois d'avril afin d'assurer l'ensemble des vols commerciaux dont le nombre s'est effondré avec la fermeture des frontières pour éviter la propagation du virus.Le groupe anticipe un niveau qui restera encore bas au mois de mai avec un redémarrage en juin.A CDG, le trafic est actuellement de 5.000 à 7.000 passagers par jour, selon le groupe."Compte tenu de ce niveau du trafic et des prévisions à venir", le gestionnaire va progressivement "regrouper le trafic du terminal 2A au 2E et au 2F" entre le 20 mai et le 1er juin, a indiqué la direction à l'AFP.Ce regroupement "est une exigence pour améliorer la qualité du service rendu aux passagers tant sur le plan sanitaire que sur celui des autres services", précise-t-elle.Le trafic total du Groupe ADP est en baisse de 99% par rapport au mois d'avril 2019, avec 300.000 passagers accueillis dans l'ensemble du réseau de plus d'une vingtaine d'aéroports gérés par le groupe dans le monde."A l'international, l'ensemble des aéroports sont soit fermés, soit soumis à des fortes contraintes opérationnelles, à l'exception de l'aéroport de Liège" consacré au fret, précise le communiqué.
Il y a 4 ans et 349 jours

Julien Denormandie annonce "72% de reprise d'activité sur les chantiers"

Dans le secteur du bâtiment, "l'activité repart. (...) Ce matin, nous sommes à 72% de reprise d'activité" selon les chiffres des fédérations, a dit Julien Denormandie pendant Le Grand Rendez-vous d'Europe 1/CNews/Les Echos dimanche. Depuis la fin du confinement lundi 11 mai, le gouvernement met l'accent sur ce secteur pour incarner la reprise économique à laquelle il souhaite assister.M. Denormandie avait annoncé mardi sur BFMTV qu'il visait l'objectif d'une "reprise de tous les chantiers avant la fin du mois" alors que cette proportion n'était que d'un gros tiers début avril.Un objectif "illusoire" selon le président de la Fédération française du bâtiment (FFB), interrogé en début de semaine par l'AFP. Pour lui, les freins ne sont "pas du fait des entreprises, mais des clients qui ne peuvent pas ou ne veulent pas" reprendre dans l'immédiat les travaux pour des raisons sanitaires, ou de la nécessité de renégocier les contrats en raison de coûts supplémentaires.
Il y a 4 ans et 349 jours

Iberdrola met la main sur un acteur français de l'éolien

RACHAT. Le spécialiste espagnol des énergies renouvelables, Iberdrola, a acquis un expert de l'éolien français. Détails.
Il y a 4 ans et 349 jours

Sans partage des surcoûts, "notre reprise ne sera pas durable" (Chanut, FFB)

ÉCONOMIE. La Fédération française du bâtiment (FFB), par la voix de son président Jacques Chanut, appelle l'Etat à trouver des solutions adéquates pour partager les surcoûts des reprises de chantiers, sans quoi les comptes des entreprises du secteur seront définitivement plombés. Mettre en place davantage d'incitations fiscales est une autre proposition qui revient une nouvelle fois sur la table.
Il y a 4 ans et 349 jours

Une maison ultra contemporaine pour faire face à la pandémie

Il y a parfois des communiqués de presse qui laissent songeur. Alors que le 27 avril 2020, Le Monde, Le Journal du Dimanche et Les Echos expliquaient concomitamment le nouveau désir des Français pour une maison individuelle, Val de Saône Bâtiment, « constructeur de maisons personnalisées » à Charnay-lès-Mâcon (Saône-et-Loire), annonçait dès le lendemain à la presse […] L’article Une maison ultra contemporaine pour faire face à la pandémie est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 349 jours

Une nouvelle directrice RSE et innovation pour Linkcity France

NOMINATION. Linkcity annonce, le 19 mai, la nomination de Christine Grèzes au poste de directrice de la responsabilité sociétale et environnementale et de l'innovation.
Il y a 4 ans et 349 jours

Ebay observe des pics sur le bricolage et l'aménagement extérieur

BOOM. La plateforme de mise en relation entre acheteurs et vendeurs, Ebay, évoque des pics de vente et de demande dans le secteur du bricolage et de l'aménagement extérieur en France. Découvrez les chiffres.
Il y a 4 ans et 349 jours

Covid-19 : les propositions de l'ingénierie pour concevoir dès maintenant le monde d'après

Pour une nouvelle organisation du travail et un investissement dans le capital humain à travers leur fédération professionnelle Syntec-Ingénierie, les ingénieristes – qui interviennent dans tous les domaines d’activité (aéronautique, automobile, environnement, construction, infrastructures, industrie, énergie, chimie, numérique, etc.) - sont sur le pied de guerre pour proposer un nouveau modèle de croissance fondé sur 3 piliers.Pierre Verzat, président de Syntec-Ingénierie : « La pandémie de Covid-19 a profondément bouleversé notre société, notre économie, nos modes de vie. Alors que la menace sanitaire persiste, il nous revient de réfléchir dès maintenant à l’après, à ce que nous nous devons de modifier pour mettre sur pied un monde plus vivable, plus résilient. Tout notre environnement est impacté : nos logements (comment les rendre compatibles avec un recours plus fréquent au télétravail ?), les bâtiments de bureaux (comment les rendre modulaires en fonction du niveau de risque ?), nos modes de transports (comment réorganiser et sécuriser les différents flux ?). Les entreprises d’ingénierie, qui interviennent à la racine de tout projet, ont les talents, l’expertise et l’intelligence collective pour concevoir les solutions qui feront advenir demain. »Pour une souveraineté de la France et de l’Europe dans les secteurs clésLa crise du Covid-19 a mis sur le devant de la scène la dépendance de la France à la production étrangère en matière de matériel médical, de protection et de médicaments. Relocaliser les activités industrielles stratégiques. Cette relocalisation doit s’appliquer au médical, mais également aux secteurs stratégiques de la chimie, pétrochimie, sidérurgie, mécanique… pour lesquels la dépendance de la France peut être problématique en cas de crise d’une autre nature. Ce retour à la souveraineté industrielle doit notamment s’appréhender à travers le développement d’un nouveau mix énergétique associant un nucléaire renouvelé avec le développement des énergies vertes et renouvelables, le renforcement de nos capacités industrielles dans le domaine des infrastructures numériques et le retour d'activités dans le secteur pétrochimie et chimie notamment pour les nouveaux matériaux et les bases pharmaceutiques. Les entreprises d’ingénierie sont en capacité de jouer un rôle d’accélérateur par la réalisation d’études filières et la mise en œuvre de plateformes industrielles locales. Accompagner les entreprises industrielles pour les faire gagner en agilité en utilisant la flexibilité de leur outil de production et en investissant davantage dans l’industrie 4.0. L'industrie française a su montrer sa flexibilité pendant la crise. L'ingénierie peut l'aider à capitaliser sur ce succès en l’aidant à déployer les dernières technologies robotique-cobotique dans les usines ; et en développant en France la production de machines et automates, pour réaliser cette révolution industrielle 4.0 sans augmenter notre dépendance. Accélérer les démarches de simplification relatives à l’implantation de nouveaux sites industriels. Les durées trop longues des dossiers administratifs en vue d’installations industrielles sont un frein réel à l’investissement en France. Elles sont le fruit de nombreux facteurs, notamment de la multiplicité des acteurs intervenant dans leurs instructions. Une meilleure organisation et le développement de véritables plateformes industrielles mutualisant toutes les fonctions support et les agréments administratifs sont à notre portée avec le soutien des ingénieristes.Pour un monde plus résilient et plus responsableLa pandémie de Covid-19 a révélé de trop nombreuses fragilités dans l’organisation globale de nos sociétés et notre modèle de croissance.Repenser les territoires pour faire face aux chocs pandémiques. Il est urgent d’adopter une approche systémique qui conjugue sécurité sanitaire, technologie et durabilité. Pour les ingénieristes, cela doit notamment passer par de nouvelles mobilités du quotidien, dans un contexte où le télétravail sera amené à rester à un niveau élevé, le réaménagement des espaces publics pour respecter la distanciation sociale ou encore l’adaptation des infrastructures hospitalières, pour absorber les éventuels pics de pandémie. S’engager vers un modèle plus durable et plus sobre en carbone. Le maintien d’un haut niveau d’ambitions environnementales et climatiques est une condition indispensable à la réussite du plan de relance de l’après-Covid. Les entreprises d’ingénierie préconisent en priorité d’engager un vaste plan de relance en faveur des bâtiments sobres en carbone qui prennent en compte l’évolution des comportements ; et d’investir dans des projets d’infrastructures durables et adaptées au changement climatique, ainsi que de s’appuyer sur une digitalisation des process en vue de faire converger transition écologique et transition numérique avec la dématérialisation des procédures, le BIM et le déploiement accéléré de la technologie 5G.Pour une nouvelle organisation du travail et un investissement dans le capital humainRepenser l’organisation du travail en trouvant un nouveau point d’équilibre entre télétravail et retour au bureau. De même, l’usage de la formation à distance doit être encouragé. Les entreprises d’ingénierie sont volontaires pour repenser aussi bien les bâtiments privés que tertiaires pour prendre en compte l’évolution des modes de vie. Investir dans le capital humain pour mieux anticiper et gérer les transformations de l’économie. Au vu des inquiétudes fortes concernant les secteurs aéronautique ou automobile, il est essentiel d’anticiper et d’organiser les dispositifs de transferts massifs de compétences (formation, reconversion). La construction de passerelles professionnelles permettra non seulement de préserver l’emploi hautement qualifié, mais aussi de mettre les compétences des professionnels au service du redressement de l’activité industrielle du pays.Retrouvez l'intégralité de la contribution de Syntec-Ingénierie au plan de relance économique de l'après Covid-19.
Il y a 4 ans et 349 jours

Les EPL veulent peser sur la reprise

RELANCE. Dans sa "contribution pour la reprise de l'activité", la Fédération des EPL demande au Gouvernement de revenir sur sa décision d'exclure les entreprises publiques locales du dispositif d'activité partielle et pointe une application "délicate" du guide de l'OPPBTP. Pour les EPL d'aménagement et immobilières, la fédération propose des mesures en vue de faciliter les opérations dans le cadre d'Action coeur de ville ou encore les rénovations énergétiques.
Il y a 4 ans et 349 jours

Artisans et dirigeants du BTP : comment limiter le coût de sa décennale ?

Les artisans et professions du BTP sont très complémentaires et tous s’unissent pour mettre en place des constructions solides et robustes pour les années à venir. Hormis ce travail commun permettant d’aboutir à la concrétisation d’un projet, les artisans et dirigeants du BTP ont également des obligations communes, comme celle de souscrire une assurance décennale avant tout démarrage de chantier. Les entrepreneurs ne sont pas tous égaux à ce sujet et certains ont même des difficultés à faire face à ces charges financières contraintes. De quoi dépend le coût d’une décennale ? Les assureurs sont unanimes : la décennale est une des assurances qu’il est le plus compliqué à tarifer. Concrètement, une compagnie d’assurance va baser sa tarification en fonction du risque que représente votre activité. Afin d’évaluer ce risque, elle va devoir avoir accès à certaines informations comme : votre chiffre d’affaires prévisionnel sur l’année à venir, votre niveau de diplôme, vos années d’expérience sur le terrain (les diplômes et expériences de vos salariés et sous-traitants sont également considérés), votre type d’activité principale ainsi que les activités annexes ou complémentaires que vous exercez (le cas notamment pour les artisans tous corps d’état), la spécificité de vos chantiers, la structure juridique de votre société et même votre zone d’activités. Bien évidemment, les garanties et les franchises ne sont pas à négliger, ces dernières peuvent faire varier le coût de votre contrat du simple au double. Afin de vous donner un ordre d’idées, voici quelques exemples de montants de cotisations. Combien coûte une décennale ? Une décennale peut couter quelques dizaines d’euros par mois pour certains métiers peu risqués comme les peintres en bâtiment comme elle peut couter plusieurs milliers d’euros par an pour un artisan spécialiste du gros œuvre. Les tarifs listés ci-dessous ne sont donnés qu’à titre indicatif et correspondent à la cotisation en RCD d’un auto-entrepreneur réalisant un chiffre d’affaires inférieur à 70 000€ par an. Plombier / Electricien / Chauffagiste: entre 60 et 120€ par mois Peintre: entre 20 et 80€ par mois Carreleur / Plaquiste: entre 80€ et 132€ par mois Menuisier: entre 80€ et 150€ par mois Maçon / tous corps d’état / Charpentier: entre 90€ et 260€ par mois Comme pour tout contrat d’assurance, il est bien évidemment possible de négocier ses contrats. Pour cela, le meilleur moyen existant reste le comparatif de devis de décennales réalisables via un comparateur. >> En aucun cas vous ne devez débuter ou poursuivre votre activité sans être couvert, en plus de mettre votre client en danger financièrement, vous encourez de lourdes sanctions pénales. Au pire, la renégociation vous permet de ne pas subir de hausses de tarifs, au mieux, elle vous permet des économies jusqu’à 40% sur votre RC Décennale.  De quoi souffler un peu, surtout après une augmentation de tarifs pouvant survenir à cause des facteurs listés ci-dessous. D’autres astuces comme la validation de vos acquis ou le paiement annuel de vos cotisations vous permettront à coup sûr de limiter le coût de votre garantie décennale. Hausse du prix de la décennale : quelles causes ? Pendant votre carrière de dirigeant, vous subirez probablement de nombreuses augmentations de vos cotisations en décennale. Ces augmentations sont généralement justifiées par les causes suivantes : Votre chantier a débuté avant la souscription de la décennale (vous paierez probablement l’option de la « reprise du passé ») Vous avez déclaré un ou plusieurs sinistres et votre assureur vous inflige un malus Votre compagnie change de stratégie en matière de tarification La sinistralité du secteur sur une année a augmenté, la compagnie est obligée de réajuster ses tarifs Vous développez de nouvelles activités dans lesquelles votre expérience est moins importante Vous recrutez de jeunes collaborateurs ou des sous-traitants avec peu d’expériences >> Dans le cas d’un malus, sachez que de très nombreuses compagnies seraient d’accord pour ne pas considérer votre passif, en sommes, si vous avez un malus, changez d’assureur rapidement.