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Toute l'actualité du bâtiment dans la catégorie Conjoncture - Economie

(87514 résultats)
Il y a 4 ans et 349 jours

OPPBTP : Module microlearning pour aider les entreprises à communiquer

L’OPPBTP propose un module de microlearning composé de 4 vidéos. [©DR] La crise du Covid-19 a frappé de plein fouet le secteur du bâtiment, mettant à l’arrêt de nombreux chantiers. Alors que ces derniers tendent à se relancer, l’OPPBTP publie un module de microlearning visant à aider les entreprises à communiquer les messages de prévention à leurs équipes. La boîte à outils, mis à jour régulièrement, se compose pour le moment de 4 vidéos d’1 à 2 minutes. Ainsi, “Comment anticiper ma communication”, “Comment organiser ma communication”, “Comment structurer mes messages” et “Comment adopter la bonne attitude” sont au programme. Celui ci est disponible sur la boîte à outils Covid-19 ou sur la playlist YouTube de Prévention BTP.
Il y a 4 ans et 349 jours

Covid-19 : la France a subi la plus forte chute d'activité du BTP de toute l'UE

CONJONCTURE. A cause du confinement sanitaire, le niveau de production du secteur de la construction a chuté de 12% dans l'Union européenne au mois de mars. Mais l'Hexagone détient un triste record : avec -40% par rapport à février 2020, il s'agit de l'Etat-membre qui a subi la dégringolade la plus importante.
Il y a 4 ans et 349 jours

L'ingénierie anticipe une chute de l'activité et s'alarme

Le constat du baromètre post-confinement établi par la fédération professionnelle Syntec-Ingenierie est rude. Suite à la pandémie de coronavirus, l'activité des entreprises d'ingénierie poursuit sa baisse.
Il y a 4 ans et 349 jours

KOZ Architectes choisi pour une résidence étudiante résiliente sur le Campus urbain de Paris-Saclay

A travers cette consultation, l'EPA Paris-Saclay portait l'ambition de proposer une résidence innovante afin de répondre aux besoins des établissements d'enseignement supérieur du campus urbain de Paris-Saclay, notamment à travers les enjeux suivants :une diversité dans les typologies de logements étudiants avec notamment, une majorité de logements en colocation ;une exemplarité environnementale avec, entre autre, la réalisation de la résidence en construction bas carbone et dans un objectif de sobriété énergétique pour atteindre le label énergie carbone niveau E3C2 et du label biosourcé niveau 2 ;une offre de service complémentaire avec celle disponible sur le Campus.DEMATHIEU BARD Immobilier, en partenariat avec le gestionnaire COLONIES, a été sélectionné dans un premier temps, en tant que maître d'ouvrage dans le cadre de ces objectifs.Puis, le jury, composé de représentants de l'Établissement public d'aménagement (EPA) Paris-Saclay, de DEMATHIEU BARD Immobilier, de la mairie d'Orsay, de la Communauté d'agglomération Paris-Saclay (CPS), de l'Université Paris Saclay et d'un collège d'experts, a choisi parmi les 4 candidats* au concours, l'agence KOZ Architectes.Le projet a été retenu pour sa capacité à développer une véritable identité, avec un esprit de « fabrique » industrielle et technique, qui trouve sa place au sein du cluster Paris-Saclay.Dense et résilient // Sauvage et urbainSituée au sein du quartier de Moulon à proximité de CentraleSupélec, du Lieu de Vie et du futur pôle de Biologie-Pharmarcie-Chimie, la résidence développée par DEMATHIEU BARD Immobilier sur un terrain de 5.451 m² dont le cœur boisé est conservé, se veut un concept hybride et pensé sur mesure pour répondre aux besoins du Campus urbain de Paris-Saclay. Il alliera co-living (150 chambres) et colocation (160 chambres).La stratégie du projet architectural de KOZ est guidée par deux ambitions fortes :créer un bâtiment résilient, construit en bois sur le système le plus économe en matière et le plus léger : le Poteau-Poutre, capable de s'adapter à des évolutions programmatiques dans le temps court et le temps long, pouvant être démonté en évitant la démolition ;créer un bâtiment dense et compact, dont l'impact au sol soit le plus réduit possible afin de préserver la belle masse végétale existante et maximiser les espaces de terres perméables.Le projet proposé par KOZ compose intelligemment avec le « déjà là » tout en s'insérant dans le projet urbain en cours de formalisation.Afin de mettre en avant la végétation présente en cœur d'îlot, de vastes rez-de-chaussée majoritairement transparents, sont construits sur la plus grande longueur. Cette façade soulevée permet ainsi de dégager de larges vues sur la forêt existante et sur le projet paysager.Des espaces partagés et des « HOMES »En rez-de-chaussée, les cuisines ainsi que la laverie sont équipées et jumelées à une salle de sport. Sont également prévus des salons équipés de bibliothèques ou de dispositifs de projection. Des rooftop seront également accessibles à tous.Les espaces partagés sont libres d'accès avec une grande capacité d'accueil. Sur le long court, ils peuvent être repensés, modifiés en fonction de leurs usages grâce à une conception des espaces qui se veut flexible et mobile.Les logements, dénommés « HOMES » par COLONIES, le gestionnaire de la résidence, sont distribués par 4 escaliers. Chaque palier d'étage distribue 2 « HOMES » et se transforme, côté forêt, en balcon partagé.100% des « HOMES » sont traversants et la majorité sont ouverts sur la forêt en cœur d'îlot. Les espaces partagés sont situés à l'entrée de chaque « HOMES ». Largement ouverts sur l'extérieur, ils sont distribués par de larges plateformes ; ces « plongeoirs » sont en balcon sur la forêt. Chambre et communs sont clairement séparés afin de garantir une vraie intimité. Une résidence à haute qualité environnementaleL'enveloppe du projet révèle sans artifice la rationalité de la trame structurelle et le soin particulier apporté aux baies. Ce systématisme, allié à une structure bois, permet de participer à l'atteinte des objectifs définis par l'EPA Paris-Saclay, notamment le label énergie carbone niveau E3C2 et le label biosourcé niveau 2.La haute qualité environnementale du projet sera garantie par l'obtention de la certification NF Habitat HQE « Excellent ».La résidence sera également rattachée au réseau de chaleur et de froid du Campus urbain.
Il y a 4 ans et 349 jours

Pierre Bressollette nommé Président d'Arkadea

Société de promotion immobilière créée en 2017 et détenue à parts égales par Poste Immo et Icade, ARKADEA favorise les synergies au sein du groupe La Poste et de la Caisse des Dépôts (CDC) et intervient sur l'ensemble des territoires.ARKADEA amorce une nouvelle étape de son développement avec une équipe de huit collaborateurs afin d'accélérer notamment ses recherches foncières sur le marché.Biographie Pierre Bressollette, 45 ans, est titulaire d'un diplôme d'ingénieur Supaéro et d'un Executive MBA de HEC. En 2007, il devient successivement responsable du portfolio management, puis en 2010, directeur délégué à la gestion d'actifs au sein de GE Real Estate. Il rejoint Poste Immo en 2013 en tant que directeur de la valorisation en charge de la politique immobilière sur l'ensemble du parc et de la stratégie de création de valeur sur les 4 millions de m² patrimoniaux.Après avoir participé à la création d'ARKADEA, il en devient le directeur exécutif en juillet 2017. En février 2020, il prend la direction générale de la structure. Il occupe, depuis le 1er mai 2020, le poste de Président d'ARKADEA.
Il y a 4 ans et 349 jours

Crédits immobiliers : la part des primo-accédants en baisse selon Cafpi

En avril, la part des primo-accédants est en baisse avec 62% contre 67% de primo-accédants en début d’année, annonce le courtier en crédits Cafpi.
Il y a 4 ans et 349 jours

RIOU Glass développe le premier verre sanitaire auto-désinfectant

Afin de lutter contre la propagation du Covid-19, RIOU Glass annonce avoir développé le premier verre chauffant auto-désinfectant... Cet article RIOU Glass développe le premier verre sanitaire auto-désinfectant est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 349 jours

Mira C Green Link, chaudière à condensation connectée à micro-accumulation

Confort en chauffage toujours assuréMira C Green Link est équipée d'une régulation d'ambiance modulante connectée, l'Expert Control, et d'une sonde extérieure virtuelle permettant une régulation optimale du chauffage. L'échangeur en inox Spin Tech Chaffoteaux garantit un chauffage à hautes performances. Sa composition en inox lui assure une durée de vie prolongée tandis que sa conception limite l'entartrage et l'encrassement, pour un entretien réduit.Pilotage à distance avec la solution chaffolinkMira C Green Link intègre de série la connectivité ChaffoLink : en seulement deux étapes, la chaudière est connectée pour une expérience unique du chauffage, jour après jour.Contrôle de l'allumage, arrêt et température d'ambiance.Programmation personnalisée pour plus de confort et d'économies.Affichage des consommations énergétiques estimées.Notification en cas de dysfonctionnement et intervention à distance par votre professionnel de chauffage.Compatibilité avec les assistants vocaux (Google Home, Alexa et prochainement Apple HomeKit) pour plus d'interopérabilité.Jusqu'à 30% d'économies d'énergieD'une grande efficacité énergétique (A+), Mira C Green Link permet une réduction moyenne de la consommation d'eau chaude sanitaire de 10 % et de celle du chauffage de 18%. Cette réduction moyenne peut atteindre 30% par rapport à une chaudière basse température de plus de 15 ans.
Il y a 4 ans et 350 jours

Trêve hivernale jusqu'en octobre dans les logements sociaux à Paris

La semaine dernière, le ministre du Logement, Julien Denormandie, avait annoncé un nouveau report de la trêve hivernale des expulsions locatives, fixée normalement au 31 mars. Dans la foulée, l'Assemblée nationale l'avait fixée au 10 juillet."C'est bien, mais pas suffisant", a jugé Ian Brossat, dans une interview au Parisien. "La crainte est d'avoir beaucoup de familles qui se retrouveraient sous la menace d'une expulsion ou à la rue au coeur de l'été.""Depuis le 15 mars, 7.500 familles (sur 200.000 logements sociaux de la ville de Paris) se sont retrouvées pour la première fois en situation d'impayé", explique l'adjoint. "C'est une augmentation notable par rapport à une période normale. Et c'est évidemment un bilan provisoire", prévient l'élu, qui redoute les conséquences de la crise économique et sociale.Ainsi, "les trois bailleurs sociaux parisiens (Paris Habitat, la Régie immobilière de la Ville de Paris et Elogie Siemp) ont fait le choix de prolonger cette trêve hivernale jusqu'au mois d'octobre prochain. Ce qui nous permettra de faire le pont avec la trêve suivante et d'avoir une année blanche", ajoute-t-il.Pendant la période, les locataires concernés "pourront payer de toutes petites sommes en attendant que leur situation s'améliore", assure l'adjoint, précisant que la mesure ne concerne pas "ceux qui font l'objet d'un congé pour trouble de jouissance".Pour les locataires du parc privé, M. Brossat se dit favorable, comme la Fondation Abbé Pierre, à "la mise en place d'un fonds national d'aide au paiement des loyers. Un fonds auquel la mairie de Paris pourrait contribuer".La décision des bailleurs sociaux parisiens sera évoquée lors du Conseil de Paris lundi, largement consacré au plan d'aides de la Ville aux acteurs économiques et culturels.
Il y a 4 ans et 350 jours

EnerJ-meeting Lyon : rendez-vous le 17 novembre 2020

EVENEMENT. La deuxième édition d'EnerJ-meeting en région se tiendra à Lyon, le 17 novembre 2020, au palais de la bourse. Au programme, conférences, networking, exposition des innovations et rendez-vous d'affaires.
Il y a 4 ans et 350 jours

"Il faut repenser d'urgence les règles des plans sociaux"

"La crise de l'emploi va être très forte et le climat social va être très dégradé", estime Raymond Soubie, patron du cabinet de conseil en ressources humaines Alixio.Il est "clair" qu'un "nombre élevé" d'entreprises "ne pourra pas conserver tous les chômeurs partiels", observe-t-il, pronostiquant la disparition de "dizaines de milliers, et probablement des centaines de milliers d'emplois". "Comme l'Etat aura déversé beaucoup de milliards en faveur des entreprises, il lui sera demandé d'interdire les licenciements et les plans sociaux", commente-t-il.Il se dit "étonné" que "personne ne parle de cette question" et n'"anticipe" ces plans sociaux et la situation d'entreprises qui vont se retrouver face à des "marchés durablement réduits". Pour les entreprises des secteurs très touchés, comme l'aéronautique, il "faut repenser d'urgence les règles des plans sociaux". A titre d'exemples: allonger la durée du congé de reclassement et l'ouvrir aux entreprises de moins de 1.000, ou encore instaurer une "protection spécifique" pour les salariés les plus vulnérables, créer un "congé compétence"..."Pour les entreprises dont la perte d'activité est modérée, l'Etat pourra continuer de les aider en maintenant un soutien plus limité à l'activité partielle, et en leur demandant en échange de continuer de faire des efforts pour garder leurs salariés", propose-t-il. Notamment, en concluant des accords de "transformation": "engagements sur l'emploi d'un côté, et des concessions sur le temps de travail ou les rémunérations de l'autre". Mais que feront les syndicats ?La CGT "ne sera pas dans cette logique" et "la CFDT le sera davantage" mais "posera des exigences préalables fortes au niveau national, sur la réduction des inégalités et la mise à contribution des plus aisés", anticipe-t-il. Rétablissement de l'ISF et taxation du capital ? "Le pouvoir politique aura du mal à y échapper d'une manière ou d'une autre", selon M. Soubie, qui juge par ailleurs que "la réforme des retraites ne pourra pas être menée à son terme".
Il y a 4 ans et 350 jours

Une mini maison de 20 m2 durable et accessible

EN IMAGES. Cette mini maison offre un nouveau modèle d'habitation et s'inscrit dans une optique écologique, où durabilité rime avec accessibilité. Vingt petits mètres carrés concentrés autour de l'essentiel.
Il y a 4 ans et 350 jours

La reprise des chantiers se déconfine aussi

INFOGRAPHIE. BTP Consultants a publié sa 7e et dernière édition de sa météo des chantiers, le 16 mai. Une semaine après le déconfinement en France, la relance se veut plus franche, même si la situation entre marchés publics et privés, mais aussi entre les régions, reste hétérogène. L'étude est à télécharger dans l'article.
Il y a 4 ans et 350 jours

L'énergie solaire, corollaire indispensable de la relance économique ?

RENOUVELABLES. Afin de tirer les enseignements de la pandémie de coronavirus et de la crise économique qu'elle pourrait engendrer, les professionnels du solaire ont signé une tribune appelant les pouvoirs publics à intégrer cette énergie renouvelable dans les plans de relance.
Il y a 4 ans et 350 jours

Logements sociaux parisiens : la trêve hivernale prolongée jusqu'en octobre

INITIATIVE. Les trois bailleurs sociaux parisiens dépendant directement de la ville, Paris Habitat, la RIVP et Elogie-Siemp, prolongeront la trêve hivernale jusqu'en octobre prochain, a annoncé Ian Brossat, adjoint (PCF) au logement de la ville de Paris, dans une interview à nos confères du Parisien.
Il y a 4 ans et 350 jours

Albioma annonce une hausse de son C.A. de 13% au 1er trimestre, malgré le contexte sanitaire

Entre janvier et mars, le chiffre d'affaires d'Albioma, surtout présent outre-mer, a bondi de 13% à 130,9 millions d'euros, selon un communiqué.Cette progression est liée au "bon fonctionnement de l'ensemble des installations malgré le contexte difficile entraîné par la crise sanitaire".L'activité de biomasse thermique en France, qui représente l'essentiel du chiffre d'affaires, a progressé de 16% à 115,8 millions d'euros, grâce à des "rémunérations complémentaires" liées à la mise aux normes du traitement des fumées et au report "des arrêts de maintenance" en raison du contexte épidémique.En ce qui concerne le solaire, le chiffre d'affaires a reculé de 7% à 11,6 millions d'euros, en raison "essentiellement de conditions d'ensoleillement défavorables à La Réunion".Dans ce contexte, Albioma a confirmé ses objectifs pour 2020. "Hors nouveaux effets liés au coronavirus", le groupe table sur un un excédent brut d'exploitation compris entre 200 et 210 millions d'euros et un bénéfice net entre 48 et 54 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 350 jours

Top 10 des franchises 2020 du secteur de l'immobilier et de la construction

CLASSEMENT. Franchise Directe élabore depuis plusieurs années un palmarès des franchises en France dans lequel figurent des acteurs du Bâtiment, et de l'immobilier. Découvrez le top 10 du secteur pour 2020.
Il y a 4 ans et 350 jours

Le long chemin de la reprise des travaux publics franciliens

CRISE SANITAIRE. Bien que la relance soit bien amorcée, le retour à une activité à plein régime demandera du temps. Le préfet de région, Michel Cadot, en a bien conscience, et poursuit les échanges avec la Fédération régionale des Travaux publics (FRTP) d'Ile-de-France pour accompagner les entreprises.
Il y a 4 ans et 350 jours

Le bâtiment comme symbole de reprise économique, le pari risqué du gouvernement

Le bâtiment "est un secteur absolument vital pour l'économie française", affirmait Bruno Le Maire au premier jour du déconfinement, le 11 mai. "Ça peut être le symbole du redémarrage économique français."C'était le premier déplacement du ministre de l’Économie après deux mois de strict confinement pour lutter contre la propagation du coronavirus, et son choix fut emblématique: un chantier, aux environs de Paris.Pourquoi le bâtiment plutôt que l'automobile, lourdement frappée par la crise et en quête de subventions, ou les commerces, largement contraints à fermer pendant le confinement ?Il y a d'abord le symbole concret de la reprise des chantiers, en grande majorité interrompus depuis la mi-mars. L'activité avait redémarré sur 72% d'entre eux dimanche, et le gouvernement veut qu'ils aient tous repris à la fin mai, même si le secteur n'y croit guère.La reprise du bâtiment est un moteur crucial. Son activité représente plus de 5% de l'économie française. Et au-delà, la santé du secteur est garante d'une offre suffisante en logements, essentielle au bon fonctionnement de toute l'économie.Son redémarrage n'a rien d'évident car il dépend de l'attitude de ses trois grandes catégories de clients: les particuliers, les acteurs publics - État et collectivités locales - et les groupes privés, dont les promoteurs qui construisent les logements.Ces derniers tentent encore d'appréhender l'avenir immédiat du marché.Depuis le début de la crise, il n'y a plus de chiffres mensuels sur les permis de construire. Le coup d'arrêt devrait se révéler brutal, bien que le gouvernement ait pris des mesures pour assurer une rapide reprise de leur examen après le confinement.Les promoteurs, qui évoquaient déjà une chute des permis avant la crise, craignent notamment que les blocages persistent avec les incertitudes autour des municipales, interrompues entre les deux tours par le confinement.Des clients "ont tout perdu"Au moins "la demande de logements, tirée par la démographie et le déficit d'offre structurel, ne disparaît pas: elle se reporte", soulignait début mai Alain Dinin, PDG de Nexity, premier promoteur français."Je ne crois pas à un retour à la normale avant la fin de l'année", prévenait-il toutefois dans la dernière édition du Journal du Dimanche. "Pour la promotion immobilière, l'année 2020 sera en baisse importante, d'au moins 100.000 logements."Et difficile d'être optimiste pour les autres grandes catégories de clients du bâtiment. Les particuliers, notamment, voudront-ils toujours refaire leur cuisine, après, pour certains, des mois de chômage partiel voire d'inactivité totale ?"Les clients sont inquiets pour la suite: certains ont fait des économies, mais d'autres ont tout perdu", rapporte à l'AFP Patrick Liébus, président de la Capeb, l'organisation qui domine les artisans du bâtiment, particulièrement touchés par le sujet."On a quand même pas mal de clients qui sont dans le commerce, l'hôtellerie, la restauration", ajoute-t-il. "Ils ne sont pas forcément en état de nous faire des devis."A un autre niveau, les inquiétudes sont semblables dans le secteur des travaux publics. Dans quel état les collectivités locales sortiront-elles de la crise et seront-elles en mesure d'engager des travaux ?Selon la FNTP, principale organisation des entreprises de travaux publics, la crise pourrait coûter jusqu'à neuf milliards d'euros aux collectivités locales, notamment parce que l'arrêt du marché immobilier les a privées des impôts locaux qu'elles prélèvent sur ces transactions.La fédération fait déjà état d'un "trou d'air" dans les appels d'offres et estime que de nombreuses entreprises du secteur pourraient ne pas y survivre avant même la fin de l'année."Sans attendre les plans de relance qui seront discutés une fois la crise sanitaire passée, il convient de soutenir immédiatement la commande publique locale qui menace de s'effondrer", pressait-elle fin avril dans un communiqué.
Il y a 4 ans et 350 jours

Audi talents 2020 : Les lauréats

Créé en 2007 par Audi France, le programme de soutien à la jeune création Audi talents récompense chaque année plusieurs artistes émergents. Après une délibération virtuelle, le jury pluridisciplinaire indépendant a annoncé les lauréats de l’édition 2020. On vous dévoile les trois projets retenus, qui seront prochainement exposés au Palais de Tokyo. Marie-Sarah Adenis, Ce qui tient à un filDiplômée de l’ENS-Ulm (2009) et de l’ENSCI-Les Ateliers (2017), la biologiste-designeuse Marie-Sarah Adenis part de la biologie pour développer des projets innovants. Avec Ce qui tient à un fil, elle propose une réflexion sur le génome en nous plongeant dans une nature génomique, de « la forêt chromosomique » au « jardin des hélices ». . Charlie Aubry, P3.450Après des études aux Beaux-Arts de Toulouse, Charlie Aubry décide d’associer travail sonore et travail plastique en détournant des objets quotidiens divers. Avec son projet P3.450, le jeune artiste nous propulse vers un futur proche, où les données collectées virtuellement par une intelligence artificielle deviennent matérielles. Son œuvre dystopique questionne ainsi les conséquences des nouvelles technologies sur notre vie. . Henri Frachon et Antoine Lecharny, Abstract design manifestoHenri Frachon et Antoine Lecharny, deux designers industriels formés à l’ENSCI-Les Ateliers, réinventent le design en imaginant une exposition inaugurale célébrant un design abstrait et conceptuel. Dans Abstract design manifesto, le duo réinvente le design en reformulant les codes et les usages de la discipline. Pour en savoir plus, visitez le site d’Audi talents. Photographies : 1) Marie-Sarah Adenis, Ce qui tient à un fil © Marie-Sarah Adenis et Paul Bonlarron2) Charlie Aubry, P3.450 © Charlie Aubry3) Henri Frachon et Antoine Lecharny, Abstract design manifesto © Henri Frachon et Antoine LecharnyLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 350 jours

Les architectes et artisans alertent le gouvernement sur la situation économique préoccupante du secteur

En effet, dans cette ordonnance, le Gouvernement considère une reprise à 100% du secteur de la construction et, de fait, impose que les délais d’études et de construction soient inchangés, en dépit de la prolongation de l'état d'urgence sanitaire.Les organisations professionnelles de la Maîtrise d’Œuvre et les entreprises artisanales du secteur estiment que les conditions de production dégradées, qui vont hélas perdurer durant l’été, ne permettront pas de tenir les délais de livraison. Financièrement, la question des surcoûts liés à la prise en compte du rallongement des plannings d’études et des chantiers, et liés à l’application des mesures sanitaires liées au Covid-19, n’est pas réglée et est non négligeable.Le secteur réaffirme sa volonté d’être consulté et de participer à un dialogue préalable avant toute ordonnance, afin d’éviter toute erreur dommageable à l’ensemble de ses entreprises. Parallèlement au maintien des dispositifs d’aides aux entreprises pour dépasser cette crise, le secteur demande la prise en compte de la date de fin de l'état d'urgence sanitaire dans les plannings des opérations.Si le texte reste en l'état et si les pénalités de retard sont appliquées, le résultat sera catastrophique à l’automne pour toutes les entreprises du secteur. Les fédérations redoutent l’effet domino qui sera terrible sur les défaillances d’entreprises de la Maîtrise d’Œuvre et du Bâtiment.Consultez ici la lettre du 30 avril adressée au Premier Ministre et signée des présidents des 5 fédérations, Régis Lambert pour l’UNGE, Patrick Liébus pour la CAPEB, Jean-Michel Woulkoff pour l’UNSFA, Dominique Millet pour le SYNAMOME et Frédéric Lafage pour la Fédération CINOV.
Il y a 4 ans et 350 jours

L’activité de la filière bois reprend des couleurs

Le taux d'activité de la filière bois s’élève à 69%, relève la fédération nationale du bois. Le négoce bois a, quant à lui, plutôt bien rebondi…
Il y a 4 ans et 350 jours

Avec +87% de factures impayées, la trésorerie est à nouveau un enjeu crucial pour les entreprises

Pour la première fois, l'étude « Culture cash : enjeux et perspectives de la Direction Financière » combine la perception des Directions Financières avec des données concrètes issues des comportements de paiement de plus de 1,3 million d'entreprises en France. Cette étude sur la culture du cash apporte plusieurs grands enseignements pour le Directeur Financier post-Covid-19 en France :Environ 3,5 factures sur 10 sont échues avec plus de 10 jours de retard, versus environ 2 sur 10 avant le confinement ;Le nombre de factures payées de manière hebdomadaire chute à environ 680,000 factures versus une moyenne de 780.000 avant la période du confinement, soit 12% de baisse ;Les entreprises fournissant des services et de la prestation intellectuelle subissent des retards de paiement plus importants. A l'inverse, les entreprises délivrant des biens ou du transport ont des délais plus courts ;Une meilleure implication des fonctions opérationnelles ainsi qu'une utilisation plus poussée des technologies d'automatisation et d'intelligence artificielle figurent parmi les principales pistes pour optimiser la culture cash.A l'évidence, la crise économique due au Covid-19 aura donné à la Direction Financière une nouvelle dimension. Habituellement garante de la performance de l'entreprise, elle concentre, plus que jamais, ses ressources sur la pérennité de son activité par un ajustement quotidien de la trésorerie.« La crise économique sans précédent que nous traversons replace la culture cash au centre des préoccupations des entreprises et de leurs dirigeants, à l'heure où l'accès au crédit se tend et où les organisations cherchent à préserver leurs liquidités. L'étude que nous avons conduite met en lumière le nouveau rôle que sont amenées à jouer les Directions Financières au sein de leur organisation, véritables partenaires stratégiques du dirigeant d'entreprise dans ce contexte exceptionnel », analyse Baréma Bocoum, Associé Restructuring / Deal Advisory chez KPMG France.« Trop longtemps considéré comme une variable d'ajustement du ressort exclusif d'une poignée de spécialistes, le cash doit, lui aussi sortir de son long confinement. Alors que nous assistons à une véritable crise de confiance clients-fournisseurs dans toute l'Europe, il est désormais urgent que toute l'entreprise s'empare de ce sujet hautement stratégique. La capacité des Directeurs Financiers à diffuser les outils de pilotage collaboratifs de la relation client, en s'appropriant notamment les technologies d'analyse prédictive et d'automatisation, sera un atout capital pour éviter d'amplifier l'onde de choc de cette période inédite. Cette étude sans précédent arrive à point nommé pour les y aider », observe Olivier Novasque, PDG de Sidetrade.11 jours : c'est le retard moyen constaté en matière de délai de paiementL'étude KPMG France et Sidetrade révèle une vision fine des comportements de paiement inter-entreprises sur la période de janvier 2017 à février 2020 :Près d'un tiers des factures émises sur la période ont une échéance à 30 jours, et seulement 13,2% une échéance à 60 jours ;Le délai contractuel moyen de paiement des clients (ou DSO) est de 37 jours et le retard moyen constaté de 11 jours.Or, la crise du Covid-19 et l'impact du confinement ont d'ores et déjà des conséquences majeures sur les délais de paiement, qui viennent remettre la gestion du cash au centre de la stratégie globale de l'entreprise. Les chiffres présentés ci-dessous sont issus des données transactionnelles extraites de la plateforme Sidetrade et forment un échantillon de 15 millions de factures entre le 30 décembre 2019 et le 11 avril 2020.Augmentation de 4 points du nombre de factures impayées à plus de 10 jours ou payées avec plus de 11 jours de retard ;Chute de 12% du nombre de factures payées de manière hebdomadaire durant la période de confinement.Dans ce contexte, KPMG a modélisé une étude d'impact présentant, pour une entreprise industrielle avec des clients BtoB, la situation de trésorerie durant les 3 phases identifiées de la crise (confinement, reprise d'activité post-confinement et sortie de crise modélisée à partir de novembre 2020). Les scénarios envisagés permettent d'identifier 4 enjeux majeurs pour les entreprises :Des impacts financiers et opérationnels ;Un pilotage du cash minutieux ;Des leviers clés à activer ;Des axes d'amélioration de la performance à plus long terme.Top 3 des secteurs les plus impactés par les retards de paiement : L'Éducation, l'Hébergement et la RestaurationSur la période de janvier 2017 à février 2020, certains secteurs de l'économie sont plus sensibles aux problématiques de recouvrement et d'optimisation du poste client par essence. Les termes de paiement accordés tendent majoritairement vers 30 jours, ce qui est conforme à la LME et la Loi Macron.Le délai de paiement de 60 jours nets ne concerne qu'environ 11% des entreprises étudiées. Cette pratique se raréfie, même auprès des grands comptes.Le délai de paiement de 60 jours nets est plus fréquemment utilisé par les secteurs tels que : services administratifs, industries manufacturières, ventes de biens et matériels pour l'automobile.Néanmoins, les termes de paiement se contractent mais le comportement de paiement reste stable, créant un retard de paiement moyen de 11 jours.Côté fournisseurs, certains secteurs (comme celui des entreprises délivrant des biens ou du transport) bénéficient de délais plus courts. Cela tient au pouvoir de négociation / blocage plus important dans leur cas, ainsi qu'à la réglementation (Loi Gayssot). En revanche, ce sont les secteurs de l'Éducation, de l'Hébergement et de la Restauration qui subissent des retards de paiement plus importants.Côté acheteurs, ce sont les secteurs de la Production et distribution d'énergie, ainsi que les Services financiers qui subissent des retards de paiement significatifs.Quelles pistes pour optimiser sa culture cash ?L'intégration des fonctions opérationnelles au sein des Comités Cash est un facteur clé de succès. Celles-ci permettent d'anticiper les risques de tensions de trésorerie et améliorent sensiblement la qualité des prévisions, ainsi que l'accélération du cash. Ainsi, 50% des Directions Financières interrogées déclarent posséder des prévisions de cash intégrant les fonctions opérationnelles et 70% justifient la qualité de la culture cash de leur entreprise par le niveau d'implication des opérationnels.« Les entretiens menés avec les Directions Financières confirment l'importance de l'implication des opérationnels pour atteindre un bon niveau de performance cash. Paradoxalement, seulement 25% des Directions interviewées indiquent réaliser des « Comités Cash » réguliers et structurés. Une meilleure implication de l'ensemble des acteurs opérationnels de l'entreprise, couplée à l'appui des outils technologiques, représentent un levier puissant qui permet d'améliorer la stratégie économique de l'entreprise », complète Charles Durand, Directeur de Missions Restructuring / Deal Advisory chez KPMG France.L'étude met en avant 4 best practices pour une diffusion de la culture cash optimale au service de l'efficacité financière :S'inscrire dans la stratégie de la direction générale ;Mettre en place des indicateurs expliqués, partagés et communiqués ;Créer un système d'incentive financier aligné avec l'objectif ;Mettre en place des Comités Cash structurés au bon niveau et à la bonne fréquence.Enfin, et dans un contexte désormais post-covid-19, le Directeur Financier doit s'appuyer sur le numérique pour partager la culture du cash.L'analyse des données transactionnelles via les nouvelles technologies (process mining et data analytics) permet de mettre en lumière les gisements d'opportunités et de répondre aux besoins des Directions Financières (digitalisation du processus de facturation et robotisation du processus de recouvrement, mise en place d'un outil intégré permettant d'optimiser les prévisions de trésorerie…).Les technologies Cloud contribuent également à une digitalisation rapide du processus de gestion du poste client et à une diffusion accélérée de l'information auprès de tous les acteurs en charge d'un client.
Il y a 4 ans et 350 jours

"Les loueurs ont joué le rôle de variable d'ajustement" - Bertrand Carret, DLR

Le confinement terminé, le président de la fédération des matériels de construction et de manutention (distribution, location, maintenance) plaide pour une relance massive de l'activité en même temps qu'un meilleur équilibrage des efforts entre les loueurs et leurs clients.
Il y a 4 ans et 350 jours

Prysmian Group lance une application mobile pour sélectionner le câble adapté à son installation

PRYSMIAN CONFIRME SA VOLONTE DE FACILITER LE METIER DES INSTALLATEURS Sens, le 19 mai 2020 – Prysmian Group, leader mondial de l’industrie des câbles et des systèmes pour l’énergie et les télécommunications, lance sur le marché français CableApp, son application gratuite pour la configuration et le choix du câble nécessaire pour les installations électriques. Cette application est d’ores et déjà disponible et téléchargeable sur App Store et Google Play. Elle permet aux installateurs électriciens actifs sur le marché du bâtiment (résidentiel, tertiaire) et de l’industrie de déterminer très vite et sans risque d’erreur le câble et la section les plus appropriés à leurs chantiers. L’application est facile à utiliser, intuitive, et le calcul est immédiat. Une fois le câble et sa section déterminés, l’utilisateur peut en outre calculer les émissions de CO² ou les économies d’énergie liées au choix de la bonne section. Il peut également accéder directement aux fiches techniques des produits. CableApp inclut tous les câbles d’énergie de basse tension utilisés dans le bâtiment. Tous les câbles proposés sont conformes au RPC. « CableApp est un outil supplémentaire qui s’intègre parfaitement dans la stratégie plus globale du groupe Prysmian pour apporter une valeur ajoutée à l’ensemble de la filière. Prysmian group pense non seulement au produit et à sa qualité, mais aussi aux clients installateurs pour leur permettre d’identifier facilement la meilleure solution de câblage pour leurs projets » explique Francesco Zecchi, Directeur MID Europe du Sud pour Prysmian. Cette démarche s’inscrit dans la logique de Prysmian Group de faciliter le métier de l’installateur électrique. Prysmian a d’ailleurs lancé en 2016, le Prysmian Club (www.prysmianclub.fr), une plateforme web gratuite pour les professionnels de l’électricité. Il permet de bénéficier de toutes les informations utiles à leur métier: évolution des normes, informations techniques, cours en ligne, tutos… Précédemment dédié aux métiers de l’énergie, le site Prysmian Club France s’est récemment enrichi pour s’adresser aux professionnels des télécommunications : le Prysmian Club dispense désormais des informations sur ce marché, sur les normes et les métiers de la fibre optique.  
Il y a 4 ans et 350 jours

Talin Hazbar : Lithic

La designeuse et architecte syrienne Talin Hazbar puise son inspiration dans les civilisations passées, expérimente des matériaux bruts et signe des pièces de mobilier organiques. Les suspensions stalactites de sa dernière collection « Lithic » rendent hommage au conte populaire La Grotte de la créature, dont l’intrigue se déroule dans les montagnes de Khor Fakkan et de Fujairah (Émirats arabes unis). Les suspensions de la collection « Lithic » sont des structures modulaires en travertin, qui mettent en scène le conte populaire émirati La Grotte de la créature. Talin Hazbar a choisi la forme de la stalactite pour représenter l’habitation de l’être hybride mythique et la lumière artificielle pour symboliser sa puissance. Ces luminaires sont des objets référencés, dont la modularité sollicite l’imagination des collectionneurs. Chaque suspension peut en effet être ajustée à la convenance de l’acheteur, et ainsi raconter sa propre interprétation du récit. En intégrant le spectateur au processus de création, Talin Hazbar accorde une grande place à l’inventivité. Des pièces aussi surprenantes que créatives. Pour en savoir plus, visitez le site de Talin Hazbar. Photographies : © Talin HazbarLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 350 jours

Un tiltrotateur devant la tour Eiffel

Engcon France prend un cliché de son tiltrotateur devant la tour Eiffel. [©Engcon France] La filiale française du groupe Engcon innove et enregistre une photo pour le moins originale. Habitué des chantiers de construction, le tiltrotateur d’Engcon change de registre et prend la pose d’un modèle, le temps d’un cliché dans la capitale. En faisant poser un de ses tiltrotateurs en action devant la tour Eiffel, le groupe suédois verrait-il le potentiel de son outil aussi grand que le monument ? Le slogan de l’industriel “Une démo vaut 1 000 mots” prend en tout cas tout son sens. Car, qui sait ce qu’est un tiltrotateur ? Montée sur une pelle, cette attache articulée permet de tourner et d’incliner le godet ou une pince de tri dans tous les sens. Comme quoi une pelle bien placée peut devenir un excellent ambassadeur. A propos d’Engcon : Créé en 1990, le Suédois Engcon s’affirme aujourd’hui comme le leader mondial des constructeurs de tiltrotateurs. Doté d’un effectif d’environ 300 salariés, il a réalisé un chiffre d’affaires de 120 M€ en 2018. Le groupe est présent en France depuis 2002. 
Il y a 4 ans et 350 jours

Thermor présente sa nouvelle gamme de climatisation réversible connectée Nagano

Choisir le bon climatiseur pour se sentir bien chez soiAvec NAGANO, Thermor se donne pour mission d'améliorer le confort thermique de ses clients en toutes saisons.Les raisons de s'équiper ne manquent pas tant cette gamme présente des atouts indéniables en termes de performances et de fonctionnalités.Les climatiseurs connectés NAGANO bénéficient d'une large plage de fonctionnement : de -20°C à +43°C en été et de -20°C à + 24°C en hiver. Quelles que soient les températures extérieures, même aussi exceptionnelles soient-elles, le bien-être des occupants est assuré.Les climatiseurs connectés NAGANO mono ou multi-split (bi/tri/quadri) sont dimensionnés pour s'adapter aux petits comme aux grands espaces (jusqu'à 4 pièces).Disponibles dans des puissances allant de 2.600 W à 7.000 W en mono et de 4.000 W à 7.800 W en multi-split, ils chauffent ou refroidissent l'habitation très rapidement. Un confort absolu très appréciable.Affichant un niveau sonore de seulement 20dB(A), les climatiseurs connectés NAGANO savent se faire discrets afin de garantir la tranquillité de tous les utilisateurs.En plus d'être très efficace, la gamme de climatisation NAGANO est particulièrement esthétique avec son design élégant aux lignes épurées. Grâce à sa finition blanc mat, coloris intemporel et moderne à la fois, elle s'intègre harmonieusement à tous les styles d'intérieurs.La température parfaite en toutes saisonsLa souplesse de configuration et l'intégration de fonctionnalités innovantes offrent, incontestablement à l'utilisateur, une grande liberté et un niveau de contrôle extrêmement précis lui permettant de mieux maîtriser le confort thermique de son domicile tout en réduisant ses consommations d'énergie.la température s'ajuste au degré près, en fonction des habitudes de vie des occupants et des différents espaces de vie,la fonction Silence (quiet) bascule le ventilateur en petite vitesse et délivre un débit d'air plus faible,la fonction Intelligente (smart) mesure la température de la pièce pour adapter le confort automatiquement et garder une maison et confortable en toute circonstance,la fonction Sleep régule la température nocturne afin d'éviter un rafraîchissement ou un chauffage excessif la nuit,la fonction Timer permet aux particuliers de définir à leur guise une heure de déclenchement ou d'arrêt, un mode, une température de consigne et une vitesse de ventilation (au nombre de 3),le capteur ECOPILOT ajuste le débit d'air pour suivre ou pour éviter tout contact direct avec l'utilisateur en fonction de sa demande,le balayage à flux verticaux et horizontaux permet de répartir au mieux la fraîcheur ou la chaleur pour une homogénéité de température dans chaque pièce.Une simple pression sur les boutons de la télécommande permet de paramétrer avec une grande simplicité les commandes de l'affichage digital. Mais, l'utilisateur peut également, à distance, à partir d'un smartphone ou d'une tablette, allumer et éteindre l'appareil, modifier les réglages ou moduler la température, pièce par pièce. Il suffit pour cela de télécharger l'application Smart Clima depuis l'App Store ou Google Play.Cap sur les économies d'énergieAussi économique qu'efficace, la gamme de climatisation réversible connectée NAGANO affiche un haut niveau de classe énergétique en mode chauffage (A+++ et SCOP jusqu'à 4,6) comme en climatisation (A++ et SEER jusqu'à 8,50).Enfin, les climatiseurs NAGANO sont capables de détecter automatiquement la présence de l'utilisateur à 120° et jusqu'à 10 m. Ainsi, lorsque le capteur constate que la pièce est inoccupée, les fonctions chauffage ou refroidissement passent en mode économie (de + ou – 2°C).Installation, Formations et Stations SAV agrééesLa gamme de climatisation NAGANO s'installe très facilement. La mise en service quant à elle doit être effectuée par une entreprise disposant d'une attestation de capacité à manipuler les fluides frigorigènes. Si l'entreprise qui installe la climatisation de dispose pas de cette attestation, Thermor s'appuie sur un réseau de 120 stations SAV agréées pouvant assurer la mise en service et le dépannage des produits Thermor.Et pour accompagner encore davantage la filière professionnelle Thermor propose des formations, une assistance technique, un SAV sous 24 H, et une aide au dimensionnement. A ce sujet, Thermor vient de mettre en ligne une application mobile totalement gratuite (disponible sur l'App Store et Google Play via les mots clés « Thermor » ou « Climatisation » permettant de dimensionner précisément une installation de climatisation réversible.Une promotion exclusive pour les installateurs jusqu'au 31 Juillet 2020Enfin, pour compléter son dispositif de lancement, Thermor propose jusqu'au 31 Juillet 2020, une offre à destination des installateurs, soit 150€ TTC remboursés sur la 1ère installation d'une climatisation NAGANO.Une marque connue et reconnue, des fonctionnalités innovantes, un design réussi et un bouquet de services pour accompagner ses clients : autant d'atouts qui devraient permettre à Thermor de faire une belle entrée sur le marché de la climatisation !
Il y a 4 ans et 350 jours

Le DLR reporte son congrès à avril 2021

Le congrès DLR a été reporté à avril 2021, toujours à Nice, en raison de la pandémie du Covid-19. [©DR] La crise sanitaire actuelle continue de faire reculer la bonne tenue de salons. Ainsi, prévu à l’origine les 26 et 27 mars derniers à Nice, le congrès DLR a été annulé. Mais bien entendu, ce n’est que partie remise. La prochaine édition du rendez-vous annuel de la fédération des matériels de construction et de manutention est, d’ores et déjà, programmée les 1er et 2 avril 2021. Toujours à Nice. « Ce rendez-vous majeur des acteurs de la filière sera l’occasion de se retrouver et de dresser le bilan. Ceci, après la longue période de confinement, de désorganisation et de reprise de l’activité qu’auront alors traversé le pays et la profession », indique la fédération. Par ailleurs, le conseil d’administration de DLR a décidé de tenir son assemblée générale par voie dématérialisée, le 19 juin prochain. Enfin, il a reporté l’élection de son futur président à 2021. Bertand Carret, qui préside la fédération depuis 4 ans, ayant accepté de poursuivre son mandat jusqu’à cette date…
Il y a 4 ans et 350 jours

La Tour Sigma à Dijon accueille ses premiers locataires, la phase 2 des travaux démarre

Les équipes de Bouygues Bâtiment Nord-Est et Linkcity Nord-Est mènent, depuis début 2019, le chantier de rénovation de la Tour SIGMA, située au pied de la gare TGV de Dijon. L'opération a repris le 15 avril après 1 mois d'arrêt dans le respect strict des conditions d'hygiène et de sécurité. La 2ème phase de réhabilitation de cet immeuble d'affaires d'environ 10 000 m² de bureaux sur 11 étages est en cours.Le 2 décembre 2019, la 1ère phase du chantier s'est achevée avec la livraison du bâtiment SIGMA II de 2 777 m² sur 2 étages.Linkcity, filiale de développement immobilier du groupe Bouygues Construction, a donné un second souffle à ce bâtiment emblématique situé au cœur de Dijon.« Certifié BREEAM New Construction Niveau Good pour ses performances environnementales et le bien-être au travail de ses usagers et au niveau Bâtiment Basse Consommation Rénovation, la Tour SIGMA est parfaitement adaptée aux besoins des entreprises locales. La location quasi-totale des surfaces de l'ensemble illustre la réussite de ce projet. Sa requalification en dehors du champ des Immeubles à Grande Hauteur et ses performances énergétiques permettent de proposer aux occupants un niveau de charges maitrisé, couplé à un loyer en adéquation avec le marché local » témoigne Victoire Guigues, Responsable de Programmes chez Linkcity Nord-Est.Bien que la majorité des surfaces de bureaux soient aujourd'hui louées, des surfaces locatives sont encore disponibles pour intégrer le bâtiment SIGMA II.Deux espaces de 470 m² et 270 m² à vocation tertiaire sont disponibles.Informatique Banque Populaire (IBP) installera quelques 300 collaborateurs de son site de Longvic, l'un des six sites de la filiale informatique, dans la Tour SIGMA.
Il y a 4 ans et 350 jours

Projet de stade avorté: le FC Nantes demande réparation

Le FC Nantes réclame environ 12 millions d'euros de dommages et intérêts à Nantes Métropole après l'abandon un an plus tôt de son projet de stade privé.
Il y a 4 ans et 350 jours

Bouygues annonce une perte nette trimestrielle creusée par la pandémie

Le groupe a signé une perte trimestrielle de 204 millions d'euros, nettement creusée par rapport aux 59 millions enregistrés un an plus tôt. Ses revenus ont décliné de 9% à 7,22 milliards.Ces résultats "reflètent les premiers effets de la pandémie de Covid-19", souligne Bouygues dans un communiqué.Il n'est certes pas rare que le groupe soit dans le rouge au premier trimestre, car l'activité de sa filiale Colas, spécialisée dans les travaux routiers et ferroviaires, est très saisonnière.Mais, par rapport à un an plus tôt, sa perte est d'une autre ampleur en raison de la crise du coronavirus qui a privé le groupe de 750 millions d'euros de revenus.Les effets sont surtout violents dans la construction, dont les revenus chutent de 12% alors que les chantiers français sont tombés au "quasi-arrêt" mi-mars avec le début du confinement décrété contre la propagation du coronavirus.Désormais, "depuis la mi-avril, les activités de construction redémarrent progressivement leurs chantiers en France", mais "le rythme de reprise est conditionné notamment à l'accord des clients", détaille le groupe, soulignant le coût élevé des mesures sanitaires.Pour l'heure, Bouygues, qui prévient que ses résultats souffriront plus lourdement au deuxième trimestre, ne donne pas de nouvelle prévision annuelle, après avoir renoncé en mars à ses précédents objectifs dans les premières semaines de la crise en France.Le groupe obtient néanmoins un soutien relatif de son autre grande branche, les télécoms, dont les revenus ont progressé (+2,5%) et où il a gagné de nouveaux abonnés dans le fixe comme le mobile."Les résultats commerciaux et financiers de Bouygues Telecom sont faiblement affectés par le Covid-19 au premier trimestre 2020", souligne le groupe, même si la crise lui a coûté une vingtaine de millions d'euros dans le secteur à cause surtout de la fermeture de boutiques.Contrairement à ses deux grands concurrents, Eiffage et Vinci, Bouygues est actif dans les télécoms alors qu'il n'exploite quasiment pas d'autoroutes ou d'aéroports, des secteurs particulièrement exposés aux restrictions sur les déplacements.
Il y a 4 ans et 350 jours

DuPont Sustainable Solutions anime une formation de sensibilisation aux risques pour les employés de Siemens Gamesa offshore

DuPont Sustainable Solutions (DSS) a été choisi par la division Offshore de Siemens Gamesa pour former environ 6 000 employés à une plus grande prise de conscience des risques afin d’améliorer la sécurité. L’unité commerciale Onshore de Siemens Gamesa ayant déjà collaboré avec DSS, la société a choisi de lui faire à nouveau confiance en raison de sa grande expertise et de sa réputation en matière de sécurité et de gestion des risques opérationnels. Les deux sociétés se sont associées pour mettre en œuvre la formation DuPont TM Risk Factor TM à tous les niveaux de l’organisation, un coaching en leadership de groupe pour les cadres supérieurs et intermédiaires, ainsi qu’un certain nombre d’ateliers de sécurité dans les unités de conception technique. La formation ayant été conçue pour être livrée à distance grâce aux technologies numériques, le projet est actuellement en cours, sans interruption en raison du Covid-19. Siemens Gamesa est le leader mondial du marché de l’industrie éolienne offshore, avec des employés et des installations sur les marchés principaux (France, Allemange, Espagne, États-Unis, etc.) et en développement (Inde, Chine, Brésil, etc). Les activités de l’entreprise englobent tous les aspects de la chaîne de valeur, y compris l’innovation, le développement, la fabrication, l’installation et le service, pour n’en nommer que quelques-uns. Dans les domaines de la fabrication, de l’installation, de l’exploitation et de la maintenance, de nombreux employés travaillent seuls ou en petits groupes, d’où l’importance de renforcer la sensibilisation aux risques critiques pour leur sécurité. Le projet « Siemens Gamesa LeadSafe » a démarré avec un projet pilote fin 2019 après une première évaluation de la culture de sécurité de l’organisation par DSS pour personnaliser la formation. Le projet implique la plupart du personnel travaillant sur les sites de fabrication de l’entreprise, les bureaux, les sites de pré-assemblage et le personnel d’installation. Il comprendra également des ateliers sur mesure pour 200 ingénieurs visant à améliorer la sécurité dans le processus d’ingénierie. Compte-tenu de l’importance de protéger ses employés, Siemens Gamesa a décidé de poursuivre la mise en œuvre du projet durant la pandémie du Covid-19, une grande partie de la formation étant délivrée virtuellement. Les marchés, comme la Chine, dont la reprise économique est plus avancée ont été priorisés. « Nous faisons le choix de la sécurité chez Siemens Gamesa et nous sommes fiers de collaborer avec DSS pour fournir à nos employés des outils pour prévenir les incidents en gérant les risques. La sécurité est toujours notre priorité parce que nous la plaçons au-dessus de tout ce que nous faisons. Nous voulons nous assurer que tous les employés ont le bon état d’esprit quant à leur prise de décision chaque jour. C’est ce que le projet LeadSafe est censé nous aider à réaliser », explique Andreas Nauen, PDG de Siemens Gamesa Offshore Business Unit. Le premier séminaire de gestion a déjà eu lieu, se concentrant sur le rôle que les dirigeants jouent pour influencer et réaliser un changement de culture. La communication est un des éléments les plus importants. Comme l’a dit un participant par la suite, « le changement de culture modifie les échanges. Vous devez parler de sécurité pour motiver les gens et demander leurs commentaires. » En plus des séminaires de leadership et du coaching, DSS soutient Siemens Gamesa Offshore en formant un certain nombre d’employés à devenir eux-mêmes des formateurs internes. Cédric Parentelli, Directeur Général Europe et Afrique du Nord de DSS, a déclaré : « La clé de la performance en matière de sécurité repose sur le comportement sécuritaire. Bien que les mesures techniques puissent réduire considérablement le nombre d’accidents, elles ne suffisent pas à les éliminer. Pour ce faire, il faut sensibiliser les gens aux risques et au rôle que joue leur prise de décision dans les incidents. Avec ce nouveau projet de sécurité, Siemens Gamesa Offshore fait un pas important dans cette direction. Signe supplémentaire de son engagement pour la sécurité, Siemens Gamesa Offshore définit actuellement la portée des travaux, visant à étendre le projet de sécurité actuel au reste des métiers du groupe : Onshore et Services, et introduit également des actions transversales/corporates ». http://www.consultdss.com
Il y a 4 ans et 350 jours

Les mesures sanitaires sur les chantiers pourraient être payées par les clients publics

Les maîtres d'ouvrages publics pourraient assumer une partie des coûts liés aux mesures sanitaires sur les chantiers, comme le demande le secteur, a avancé Bruno Le Maire.
Il y a 4 ans et 350 jours

EDF: le calendrier de Flamanville maintenu malgré la pandémie

Le confinement s'est traduit par un ralentissement du chantier de l'EPR de Flamanville (50) mais il n'y a "pas de raison" d'en revoir le calendrier, selon le PDG d'EDF, Jean-Bernard Lévy.
Il y a 4 ans et 350 jours

Covid-19 : L'UNICEM présente au gouvernement des mesures pour une relance résiliente de l'activité

Dans ce contexte inédit, l'UNICEM a proposé au gouvernement, il y a quelques jours, des pistes d'action pour garantir la reprise de l'activité avec des mesures de court terme.Dans la continuité, l'UNICEM a élaboré des propositions pour un plan de relance de l'activité à moyen et plus long terme.Aujourd'hui, la fédération insiste sur la nécessité d'assurer une relance cohérente avec les enjeux de transition écologique et l'adaptation des villes et des territoires au changement climatique, tout en accentuant notre résilience et en tirant les enseignements de cette crise, avec une place toujours plus importante accordée à la responsabilité sociale des entreprises.L'UNICEM invite le gouvernement à décider la mise en œuvre de mesures fortes et concrètes, parmi lesquelles :Réaliser des infrastructures et des aménagements collectifs nécessaires à un développement de l'économie compatible avec le respect de l'environnement et la santé des concitoyensLa construction et les travaux publics doivent être relancés en suivant deux priorités :Un ambitieux programme d'entretien et de rénovation :des infrastructures routières structurantes, y compris les ouvrages d'art, des voies navigables et du réseau ferroviaire afin de permettre une augmentation du trafic marchandises ;du patrimoine historique bâti, domaine important pour l'industrie française de la pierre ornementale, et la sauvegarde de savoir-faire nationaux.Un plan d'investissement massif en faveur :de l'extension et la rénovation des infrastructures nécessaires à la réalisation des missions de service public (hôpitaux, EHPAD, établissements scolaires, centres de recherche et cités administratives…) ;de l'extension des infrastructures adaptées aux nouvelles mobilités (infrastructures cyclables, transports en commun urbain et interurbain, mobilités électrique ou hydrogène, développement de la mobilité connectée et autonome) ;de la modernisation et du développement du parc de logements sociaux ;de la construction d'ouvrages qui favorisent la résilience de nos villes face aux inondations et aux vagues de chaleur ;du développement des contournements urbains pour améliorer la sécurité des populations et la qualité de l'air dans les villes et villages.Faire de la commande publique un levier pour encourager la production locale et le mieux-disantL'UNICEM souhaite que soit réengagé le débat quant aux règles européennes des marchés publics afin que la commande publique puisse favoriser, lorsque cela est possible, le recours aux produits et matériaux locaux ou à des entreprises engagées dans une démarche responsable (labels RSE, ISO 14 001, ISO 26 000, labels sectoriels…).Accélérer le développement de l'économie circulaireLa filière de recyclage et de valorisation des déchets inertes du bâtiment est équilibrée économiquement et performante sur le plan environnemental. Le taux de recyclage de la filière dépasse les objectifs de la directive européenne : le seuil des 70% de recyclage et valorisation est d'ores et déjà atteint. Les déchets recyclables sont recyclés à hauteur de 80% et ils couvrent 28% des besoins en granulats pour la construction. L'UNICEM propose d'aller encore plus loin dans la performance du recyclage en s'appuyant sur ce modèle qui fonctionne. La fédération est prête à contractualiser avec les collectivités et les pouvoirs publics un objectif d'amélioration de la couverture du territoire en points de collecte visant à atteindre en trois ans un taux de recyclage de 95%. Elle a déjà commencé à agir dans cette direction en signant une convention avec la CAPEB pour accompagner les artisans dans l'amélioration du recyclage des déchets du bâtiment et la lutte contre les dépôts sauvages.Garantir une fiscalité environnementale réellement favorable à la transition écologique et profitable à tous les territoiresLes entreprises adhérentes à l'UNICEM sont convaincues de la nécessité d'une fiscalité incitative, cohérente avec les moyens humains, matériels et financiers dont elles disposent, en faveur de l'atteinte des objectifs de l'Accord de Paris. Cette fiscalité incitative, ou ayant vocation à susciter une évolution des pratiques en faveur de l'environnement, doit cependant être soumise à l'existence d'une alternative à ces dernières.L'UNICEM propose qu'une part significative des taxes environnementales soit réorientée vers les territoires qui accueillent leurs activités. Ceci constitue un préalable nécessaire :A l'acceptabilité, donc la pérennité, des activités industrielles ;Au maintien des budgets de nos communes, donc à leur investissement dans les leviers humains et infrastructurels sources de valeurs pour l'ensemble de notre pays. « Avec ce plan pour une relance résiliente, notre ambition est de proposer au gouvernement des mesures fortes et concrètes qui permettraient au tissu économique de rattraper une partie de l'activité perdue et d'accélérer la transition écologique et l'adaptation de nos villes et de nos territoires au changement climatique », conclut Nicolas Vuillier, Président de l'UNICEM.
Il y a 4 ans et 350 jours

«Nous tablons sur une baisse de 30 % des droits de mutation», Didier Réault, conseil départemental des Bouches-du-Rhône

Pandémie de Covid-19 oblige, le conseil départemental des Bouches-du-Rhône va voter son budget primitif en juillet et non pas en avril comme prévu. Pour l’établir, ses services devront tenir compte de l’impact de la crise sanitaire. Didier Réault, vice-président en charge du budget au conseil départemental des Bouches-du-Rhône, fait le bilan de deux mois de confinement.
Il y a 4 ans et 351 jours

La Biennale de Venise à nouveau reportée en 2021

La Biennale de Venise annonce que la 17e exposition internationale d’architecture – « How will we live together ? » est reportée à 2021, du samedi 22 mai au dimanche 21 novembre. La Biennale de Venise avait annoncé en mars dernier un premier report de la date d’ouverture de l’exposition internationale d’architecture, en raison de la crise sanitaire mondiale liée au Covid-19. La Biennale d'architecture de Venise, initialement prévue du 23 mai au 29 novembre 2020, devait ouvrir...
Il y a 4 ans et 352 jours

Cabinet vétérinaire et de curiosité par Raphael Campagnari en Côte-d’Or

Le cabinet vétérinaire de Venarey-les-Laumes (Côte-d’Or), conçu par Raphael Campagnari, avec Maguelone Montanié architecte, a été dans tous les sens du terme réalisé en circuit court : l’architecte est local, le client est du coin et l’entreprise Métal Déployé est à deux pas. Richesse du terroir ? L’architecte Raphael Campagnari vit à Villars-et-Villenotte, petite ville de la […] L’article Cabinet vétérinaire et de curiosité par Raphael Campagnari en Côte-d’Or est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 352 jours

Bâtiment modulaire pour Atelier Aconcept à Mantes-la-Jolie

Dans le cadre du programme EOLE SNCF à Mantes-la-Jolie (Yvelines) Atelier Aconcept a dévoilé en mars 2020 un bâtiment modulaire de 2 000 m², un monolithe tout en métal perforé réalisé pour un coût de 6,33 M€ HT. Communiqué. Le projet fait l’objet d’un repositionnement des bâtiments existants ainsi qu’un regroupement avec une brigade SNCF. […] L’article Bâtiment modulaire pour Atelier Aconcept à Mantes-la-Jolie est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 353 jours

Covid-19 : les médecins du travail peuvent prescrire des arrêts de travail, mais ne feront pas de tests

Cette possibilité avait été prévue dans une ordonnance début avril.Les médecins du travail, qui ne peuvent pas prescrire des arrêts de travail contrairement à un médecin traitant, peuvent désormais le faire pour les "personnes atteintes ou suspectées d'infection au Covid-19, ou faisant l'objet de mesures d'isolement, d'éviction ou de maintien à domicile".En revanche, il n'est plus question de les autoriser à pratiquer des tests, comme le prévoyait l'ordonnance en vue, expliquait alors le ministère du Travail, "d'associer les services de santé au travail à une politique de tests plus massifs dans une perspective de sortie de confinement".Sur ce sujet, le ministère renvoie désormais au "protocole de déconfinement" diffusé la semaine dernière qui "interdit" les campagnes de dépistage en entreprise, comme avait commencé de le faire l'entreprise Veolia. Le Crédit mutuel et Engie se sont ravisés après avoir envisagé de mener de telles campagnes.Les services de santé au travail, qui représentent environ "12.000 personnes" selon le ministère, seront "recentrés" sur "les messages de prévention" afin de lutter contre le coronavirus, et sur l'application des guides de bonne pratique des différents métiers.Selon l'ordonnance, ils pourront aussi "suspendre certaines visites médicales obligatoires" et "privilégier les visites d'embauche et celles des personnes affectées à des postes à risque" notamment.Selon le texte de l'ordonnance, ils seront aussi chargés de "l'accompagnement des entreprises amenées, par l'effet de la crise sanitaire, à accroître ou adapter leur activité", et ce dans un délai fixé au 31 août 2020.
Il y a 4 ans et 353 jours

Covid-19 : l'Assemblée valide de nouvelles adaptations du droit du travail

Le but est "d'éviter les ruptures brutales" de contrats au moment où l'économie "repart", avait déclaré jeudi la ministre du Travail Muriel Pénicaud, au début de l'examen en première lecture du projet de loi composite relatif à "diverses dispositions liées à la crise sanitaire".Les députés ont adopté un amendement du gouvernement qui permet, par "accord d'entreprise", de fixer un nombre de renouvellement des contrats à durée déterminée (CDD) et contrats d'intérim à un niveau autre que celui prévu par accord de branche ou par la loi.Mme Pénicaud a souligné la "condition très importante de l'accord majoritaire" d'entreprise et les "garde-fous": cette "mesure n'existe que jusqu'au 31 décembre, elle accompagne la reprise" et il y a une "limite totale de 18 mois pour les contrats cumulés".Cette diposition était initialement renvoyée à une ordonnance.Des députés LREM ont défendu en vain, par la voix de Jacques Maire, le maintien de la "supériorité des accords de branches". "Si la branche se mobilise, il ne faut pas y déroger", a insisté ce "marcheur", à l'unisson de députés PS."Vous souhaitez précariser les salariés en permettant aux employeurs de déroger au nombre de renouvellement de CDD et contrats précaires", avait aussi dénoncé plus tôt l'insoumis Loïc Prud'homme, y voyant un "nouveau cadeau au patronat"."Nous pensons que la précarité doit être l'exception", avait renchéri Sébastien Jumel (PCF).Sur l'activité partielle, qui concerne actuellement 12,4 millions de salariés, le texte habilite le gouvernement à adapter les règles "aux caractéristiques des entreprises", au secteur ou aux catégories de salariés.L'objectif est de "moduler" le dispositif notamment pour "maîtriser la dépense publique", tout en tenant compte de certains secteurs comme l'hôtellerie et la restauration qu'il convient de "protéger plus fortement", a indiqué la ministre.Un amendement LREM a été adopté pour moduler l'activité partielle en "fonction de l'impact économique de la crise sanitaire" sur les entreprises, la ministre estimant qu'il va permettre de réagir "avec souplesse".Les communistes sont revenus inlassablement à la charge en vain pour avoir des détails sur la "réduction de voilure" annoncée du chômage partiel, rejoints notamment par le LR Antoine Savignat demandant que les élus soient "éclairés".Comme annoncé par le gouvernement la semaine dernière, un amendement prévoit aussi que le chômage partiel sera pris en compte pour la retraite de base. Il a reçu un soutien de tous les bancs.Les députés ont aussi temporairement relevé le plafond du temps de travail des étudiants étrangers de 60 à 80% d'un temps complet, en invoquant notamment leurs besoins financiers.
Il y a 4 ans et 353 jours

Covid-19 : La FFB interpelle le gouvernement et demande des compensations pour amortir les surcoûts des chantiers liés à la crise

La reprise des chantiers ne pourra pas se faire comme avant, en raison de l'application des préconisations sanitaires publiées par l'OPPBTP, dont le respect, indispensable, entraîne un allongement des délais et d'importants surcoûts d'exécution (mise en sécurité du chantier et du matériel, gardiennage, perte de rendement du fait des nouvelles conditions de travail, mobilisations supplémentaires de personnel et de matériels, variations du coût des matières premières ou de produits manufacturés, etc.).Redonner plein effet aux pénalités de retard, dans ce contexte, par une ordonnance prise sans associer les principaux acteurs et employeurs du secteur est d'une grande injustice.Aujourd'hui, la FFB interpelle le gouvernement sur la nécessité de prendre en compte les surcoûts liés à la Covid-19 que ne peuvent supporter les artisans et entrepreneurs, tant en marchés publics qu'en marchés privés.Des solutions existent, notamment la compensation des surcoûts de la Covid-19 par l'application systématique au prix des marchés d'un coefficient d'imprévision et l'annulation pendant quelques mois des charges sociales patronales.Pour Jacques Chanut, président de la FFB : " Le bâtiment avait été entendu sur le fait de décorréler l'instruction des permis de construire de la fin de l'état d'urgence sanitaire, mais les pouvoirs publics ont profité de cela pour décorréler également les délais de chantiers, sans donner de message clair à ce stade sur la nécessaire répartition des surcoûts de la Covid-19. Ce sujet important est aujourd'hui d'une grande priorité pour prévenir les dépôts de bilan des artisans et entrepreneurs du bâtiment, leur permettre de surmonter cette crise et participer, sur tous nos territoires, à la nécessaire reconstruction économique et sociale de notre pays."
Il y a 4 ans et 353 jours

Comment mieux isoler son domicile contre le bruit ?

Le bruit que font les enfants, la télévision allumée à toute heure ou la pratique du sport dans le salon augmentent le bruit dans les maisons, ce qui rend le travail à domicile plus difficile. Ne pas disposer d’un bon confort acoustique peut réduire notre concentration jusqu'à 48%, comme le souligne ROCKWOOL, leader de la fabrication d’isolants en laine de roche, un matériau durable et recyclable.Nous avons en tête que notre santé ne dépend que du régime alimentaire ou de l'exercice physique que nous faisons. Pourtant, un environnement bruyant peut causer, par exemple, des problèmes cardiaques. De plus, le bruit augmente le stress de 27% et diminue la productivité de 12%. Face à cette situation, améliorer l'acoustique des bâtiments en utilisant une isolation en laine de roche est une bonne méthode, car elle agit comme une barrière antibruit, isole et contrôle les vibrations. En raison de ses propriétés, ce matériau réduit l'impact acoustique provenant de l'extérieur ou du bâtiment lui-même.Le bruit, une nuisance invisibleLorsque nous choisissons une maison, nous le faisons en fonction du prix, de l'emplacement et des critères esthétiques, mais nous ne tenons généralement pas compte du confort acoustique qu'elle peut offrir. En réalité, c'est essentiel, car nous passons la majeure partie de notre temps à l'intérieur ; aujourd’hui, avec le confinement, ce phénomène a augmenté. Par conséquent, il est essentiel de miser sur des bâtiments durables, sûrs et confortables, pour ainsi augmenter la qualité de vie.La laine de roche, qui est au cœur des produits ROCKWOOL, est un matériau isolant et versatile qui absorbe le bruit. Son utilisation vous permet d’éviter d’entendre les pas des voisins sur le sol, les conversations dans la pièce d’à côté ou le déplacement de meubles, entre autres. Par conséquent, isoler correctement son logement est nécessaire pour se concentrer, être plus efficace au travail et être plus détendu.Comment isoler son appartement si les co-propriétaires s'opposent à la rénovation de l'immeuble ?Il n'est pas facile de convenir avec les voisins d'effectuer des travaux dans le bâtiment. Pour isoler votre appartement lorsque les voisins s'opposent à la réhabilitation complète du bâtiment, vous pouvez avoir recours à l'isolation par l'intérieur. Grâce à cette technique, il est possible de rénover uniquement l’appartement lui-même afin d’améliorer son confort acoustique et thermique. L'isolation en laine de roche, en raison de sa densité élevée est extrêmement résistante à la circulation de l'air, ce qui réduit et absorbe le bruit, rendant calmes les espaces auparavant bruyants.